Just sunshine [feat Jolene]

ambiance -- Une grande inspiration, les yeux fermés, je sens la brise du Pacifique caresser mon visage, ma peau frissonne encore de son absence et puis, un sourire lorsque je peux enfin sentir son arrivée, douce et légèrement chaude, ma peau se réchauffe. J’inspire, j’expire, mon corps se plie aux sensations qui semblent venir avec l’astre au petit matin, un mouvement, fluide, l’arbre et j’attends avec patience que le soleil s’échappe de l’horizon et puis, j’ouvre les yeux. Ils se plissent d’abord, essayant d’échapper à l’ardeur des rayons avant que je ne m’habitue et puisse admirer le paysage que j’ai en face de moi, comme salut, le guerrier, j’admire les couleurs, de l’orange, du bleu, des déchirures de blanc cotonneux des nuages ici et là et le blanc intense du soleil, la lumière pure qui irradie l’océan Pacifique. J’enchaîne différentes positions debout, toujours le regard fixé sur l’horizon.

C’était mon petit rituel, tous les matins, venir ici, c’était un endroit plutôt populaire dans la journée et c’est pour ça que je préférais venir tôt le matin. Je passais au moins une heure ici, enchaînant les poses, sans même une musique, seulement le son ambiant. Un moment pour moi, rien de plus, rien de moins. C’était peut-être le seul moment où j’étais buvable, et encore… Je termine de me détendre calmement avant de vider mes poumons. Je bouge légèrement mes pieds dans l’herbe fraîche avant de m’installer sur le sol en position standard dans le yoga. Je me penche pour récupérer dans mon sac à dos une gourde et me prends une bonne rasade d’un petit cocktail maison et cherche mes écouteurs.


Une fois de la musique dans les oreilles, un bon vieux the Dead South, je sors mon bouquin, la couverture est abîmée, usée à cause des nombreuses relectures, Les Salauds Gentilhommes, la lecture était un moyen pour moi de penser à autre chose, me concentrer sur un univers inconnu où mon imagination travaille. D’ailleurs, aujourd’hui c’était une journée off, loin des tracas de ma double vie qui de toute façon en ce moment était plus tendue vers mes chasses aux trésors que sur l’autre activité et je devais bien avouer que ce n’était pas pour me déplaire, j’avais encore les meurtrissures de ma dernière mission et j’avais le sentiment que mes associés étaient dans le même mood que moi alors, autant en profiter. J’allais pouvoir voir Ashanti un peu plus souvent, bon, même si elle n’en avait rien à foutre de moi… Rien que d’y penser, j’ai un léger sourire en voyant son petit regard emplit de dédain, une arme mortelle pour n’importe qui, sauf pour moi grand con que je suis.

Après quelques instants, je vais récupérer mes rays-bans, le soleil, c’est salvateur au moment où je l’ai capté, mais après, mes rétines disent non merci. Franchement, si je le voulais, je pourrais me faire une bonne journée off ? Un petit brunch en terrasse avec vue sur la plage, ça devait être faisable, j’imagine… Oui, pourquoi pas.
Décidé, je continue ma lecture pour encore quelque temps, après tout, aujourd’hui, je n’étais pas pressé.

@JOLENE FITZROY

Pando

ambiance -- --Outfit-- Repérer sa routine, ça n'a pas été sans peine mais finalement je crois que j'y suis parvenue. Il se lève tôt, très tôt, clairement trop tôt bordel. Avant même le soleil... Personne d'autre ne me ferait faire un truc pareil. Je ne suis pas du matin, au contraire. Moi j'aime la nuit, la façon dont les sons s'étouffent une fois le crépuscule arrivé, la douceur de l'air quand les sons résiduels de la vie humaine se taisent enfin. J'aime le calme de la nuit, la solitude qu'elle apporte aussi. Pourtant ce matin, je me suis levée, j'ai enfilé un bikini, une robe d'été et une veste par dessus. Mon casque et mon scooter, pour simplement rejoindre les alentours de cette plage pour attendre son arrivée. Ce qui est chiant avec mon scoot' c'est de balader ma planche de surf, clairement j'évite le long board, quand j'ai personne pour me le trimballer.

Au départ j'étais obligée de stalker l'entrée de son logement mais c'était clairement pas discret et je prenais vraiment le risque de me faire gauler. Alors maintenant je mise sur les lieux qu'il a l'habitude de fréquenter et puis ça a l'avantage de me permettre de m'entrainer. Parce que bon, je ne peux pas négliger le surf ! Je wax gentiment ma planche, balance mes pompes et mes fringues sur le sable et je vais me prendre quelques vagues. Faut avouer que le lever du soleil sur mon surf, enchainant bottom turn et cut back, ça a son charme? Mes yeux se posent sur sa silhouette enchainant les poses et j'ai un sourire qui nait sur les lèvres avant de balancer mon plus bel aerial. Je prends encore une vague ou deux avant de me décider à quitter l'eau pour m'avancer sereinement vers lui. Il s'est installé avec ce livre qu'il trimballe partout et que je viens de recevoir sans avoir encore pris le temps de l'ouvrir. J'ai des journées bien remplies, entre les cours, le stage, le surf et le stalk intensif, putain je me pose pas une seconde.

Je secoue mes cheveux pour les replacer dans mon dos et pose doucement mon surf sur le sable avant de m'avancer vers lui. Mes affaires sont à quoi trois mètres ? J'ai vraiment bien calculé mon coup. Un sourire et je cherche à attirer son attention en toussotant doucement. -"Bonjour Aaron." J'aurais pu aller sur un monsieur Striker... de nature à me donner un petit frisson, mais on se connait maintenant non ? Bon clairement pas autant que je le voudrais... mais ça viendra. Je ne suis pas femme à qui on refuse quoi que ce soit et ça ne va pas commencer maintenant. Encore trois pas et je me laisse tomber sur le sable, offrant mon visage au soleil me cambrant pour m'appuyer sur mes mains en arrière, parfaitement consciente que ça dessine mes courbes de manière plutôt... satisfaisante.

@JOLENE FITZROY

Pando

ambiance -- Difficile de passer à côté de Jolene, je l’avais remarqué depuis que j’étais arrivé sur la plage, sans vraiment faire attention. Elle avait tout de la fille de la Côte Ouest, tout était, je dirais solaire chez elle ?
Depuis qu’elle était sur le bateau pour son stage, elle avait été adoptée par l’ensemble de l’équipage, bon, dire que c’était à cause d’elle que mon équipe et moi nous étions plutôt calme dans nos activités non-légale aurait été un peu fort, mais d’un autre côté, ce n’était pas tout à fait inexacte, elle était notre faire-valoir, notre alibi face aux regards un peu trop curieux sur ce que nous étions possiblement et puis, non, je l’aimais bien, même quand parfois je recevais des sms tard le soir de sa part, c’était peut-être aller trop loin dans l’engagement mais son petit sourire faussement mutin avait de quoi me faire baisser les réticences que je pouvais avoir.
En-tout-cas, je l’avais totalement ignorée, d’une part, c’était mon moment à moi et je ne voulais pas non plus la déranger, après tout, de ce que je voyais du coin de l’œil, elle surfait, elle surfait bien même, et peut-être qu’au final, elle était là pour la même raison que moi ? Profiter d’un moment à elle… Quoique étrange… Je ne l’avais jamais vu ici, peut-être qu’elle cherchait un nouveau spot ?

Mais forcément, impossible de ne pas se parler, après tout, son petit coin n’est pas loin du mien et fatalement, elle arrive vers moi, j’abaisse mon livre et la regarde à travers mes lunettes de soleil, lui offrant un petit sourire.
Est-ce que dire qu’elle est hot serait mal vu ? En-tout-cas, quand je la regarde, je peux comprendre facilement les hommes qui craquent pour les petites jeunes, elle est belle, enfin bien plus je dirais. Il y a ce côté interdit qui doit exciter, l’imaginer nue, luisante de la sueur après une baise sauvage, le goût pareil à des rayons de miel chauffés sous le soleil. Oh nan, n’allez pas croire que je craque, j’imagine juste ce qu’un homme peut imaginer pour vouloir juste passer, l’espace d’un instant, un petit moment dans ses bras. “Voici ma petite mascotte, tu es matinale pour une stagiaire, félicitations.”

J’abaisse mes lunettes pour lui lancer un petit clin d’œil avec en prime un sourire amusé. Je pose mon livre et détaille les courbes qu’elle me laisse voir, c'est-à-dire tout. Ouais, je crois bien que lorsqu’une fille comme elle décide que vous êtes son plat de résistance, il est pratiquement impossible d’y échapper. D’un côté, cela ne me choque pas, après tout, chacun est libre de succomber, il faut juste après vivre avec ça et c’est peut-être bien le plus compliqué.

“Nouveau spot ?”

Oui, je suis un poil curieux et d’une pression de mon doigt, je mute mes écouteurs et les dépose à côté de mon livre. Si jamais elle avait décidé que c’était son nouveau spot, j’allais soit devoir en trouver un autre et clairement, ça allait me faire chier ou alors j’allais devoir la voir régulièrement et… Hmm ce n’était pas désagréable, on flirtait avec la limite, mais justement, c’était ce qui était amusant.

@JOLENE FITZROY

Pando

ambiance -- --Outfit-- Dire que je le dévore des yeux serait limite peu dire... Je me rince l'oeil avec délectation et je suis presque sure que j'affiche la moue gourmande qui va avec. Cette petite moue charmée et ce regard incandescent. Je n'y peux rien, je le masque mal, et en fait je crois que je n'ai pas envie que ce soit autrement. Ce mec est torride, de la pointe de ses cheveux à ses putains de pieds. En tout cas pour ce que... je vois. J'happe l'air en songeant aux zones qui me restent à découvrir, sous le feu d'une bouffée de chaleur que je ne cherche pas à contenir, à quoi bon.

On pourrait considérer que c'est les hormones qui me mettent en ébullition, mais bon je ne suis plus une ado, faut quand même pas exagérer. Je souris quand il m'appelle sa petite mascotte. Pas à cause du titre, non, c'est le possessif qui me plait. La sienne ? Alors je veux bien être affublée de n'importe quel nom. Ouais j'ai prévenu que quand il s'agit de lui, mes réactions sont plutôt... intenses. Je souris et m'installe, tandis qu'il prend le temps de poser son bouquin et ses écouteurs. Il se rend compte que son sourire est carrément torride ? Je sens des papillons naitre dans mon ventre et pousse un petit soupir tout en me cambrant un peu plus, comme pour m'offrir au soleil, alors que je m'offre seulement à son regard. -"Je découvre oui, c'est clairement cool ici, puis je prépare les sélections en nationale, alors je n'ai pas d'autre choix qu'être matinale."

Oh la petite menteuse. Enfin, je ne mens pas totalement, juste sur la raison de mon réveil. Mais va lui dire "oh non je me lève tôt juste pour te voir te balader et t'imaginer nu contre mon corps". C'est un peu étrange non ? Y'a des chances pour qu'il me prenne pour une dingue, donc j'évite. Même s'il me rend littéralement dingue. Je suis dévorée d'envies, quand on se frôle sur le bateau ça menace de me faire suffoquer. Et évidemment au lieu de m'en tenir loin, je me mets en situation que ça arrive encore... et encore. -"Et toi Boss ? Tu viens souvent ici?" Oui je connais déjà la réponse, mais ça non plus je ne peux pas le dire ! "J'ai tellement envie de t'arracher tes fringues que je connais ton planning mieux que toi". Je crois que ça a jamais été une bonne accroche ! Je me redresse et abandonne ma pose alanguie pour en prendre une nouvelle. Je me laisse doucement couler en avant, le buste sur le sable écrasant mes seins tout en relevant les fesses de façon suggestive avant de me trouver allonger et de relever les jambes pour en battre doucement. -"On a quoi de prévu aujourd'hui?" L'heure du rendez-vous est bien plus tard dans la matinée, mais rien ne m'empêche d'essayer de m'incruster dans son organisation. J'en ai bien l'intention. Lui, moi, moins de vêtements et le paradis sera tout proche. Lui en moi et là... là ça devient le nirvana ! Dangereuses pensées qui me poussent de nouveau à laisser errer mes yeux sur sa peau.

@JOLENE FITZROY

Pando

ambiance -- Elle est déroutante cette fille, parfois, j’ai l’impression qu’il suffirait que je le décide pour l’avoir dans mon lit, c’est arrogant, je sais, après tout, elle a quoi… Plus de la vingtaine, je me rappelle de ce détail, et si je ne suis pas le meilleur pour me souvenir de ça, je crois bien qu’elle a moins de vingt-cinq ans… Autant dire qu’elle est beaucoup plus jeune que moi, alors peut-être qu’elle me trouve beau, sexy, mais c’est sûrement l’âge qui fait rêver, ou alors c’est moi qui me fais des films et qui m’imagine qu’elle mouille sa culotte en me regardant. Oui, bon, arrête d’imaginer des choses Aaron, c’est juste une jeune adulte qui doit se chercher et qui doit trouver amusant de s’imaginer avec un mec plus âgé. Mon regard ne peut pas s’empêcher de l’admirer alors qu’elle s’offre un petit peu plus au soleil, mon Dieu, j’ai envie d’éclater de rire devant cette attitude provocatrice, est-ce qu’elle en a conscience ? Je dirais que oui, maintenant, c’est sûrement un petit jeu et j’ai déjà assez d'emmerdes pour éviter du harcèlement en plus.

Je l’écoute, intéressé, après tout, c’est ma stagiaire non ? Même si elle est parfaite pour neutraliser les suspicions sur la nature réelle de mon bateau, je me suis pris au jeu et j’ai très envie qu’elle réussisse.
“Nationale ? Carrément ? Attends, tu veux dire que j’ai la chance d’avoir peut-être une championne à bord de mon navire ?” Je me penche en avant pour poser ma main sur son genou et le tapote gentiment. “Tu peux être sûre que je vais motiver les autres pour t’encourager… Et si on doit casser quelques genoux, n’hésite pas.” J’éclate de rire… Bon, oui, c’est une blague même si en réalité… Je serais largement capable de briser les genoux de quelqu’un, mais uniquement pour le boulot.

“Oui, c’est mon petit coin à moi, ma bulle, toutes ces conneries healthy… En vrai, c’est juste qu’il n’y a jamais personne ici.” Je pointe mon doigt en direction du poste de secours. “Tu vois ? Les shorts rouges n’arrivent pas avant dix heure au moins, j’évite tout le bordel et les connards et connasses qui veulent se la jouer… Et surtout, je veux éviter qu’on me catalogue dans cette bande de débiles.” J’offre un large sourire avant de la laisser changer de position… Putain, ce cul… Oui, elle doit en faire chavirer des mecs, l’idée de la prendre alors qu’elle bombe ses fesses me traverse l’esprit, je ne sais pas si c’est malsain ou si c’est juste normal, après tout, je ne joins pas le geste aux pensées donc, techniquement, je suis safe nan ?

Heureusement, elle me sort de mes idées scabreuses en me parlant boulot, après tout, c’est ce qui nous enchaîne l’un à l’autre, certainement pas ma queue entre ses cuisses… Oh, bon, là, je vais trop loin, t’es son mentor en quelque sorte, pas son sugar daddy dégueulasse. Je lève la tête vers le ciel totalement bleu, faisant mine de réfléchir et surtout pour éviter de trop penser à ce que ce corps pourrait offrir avant de la regarder de nouveau.
“Aujourd’hui… Hmm les autres sont en off, j’avais pensé à nettoyer un peu le bateau, refaire le listing de sécurité et tout le reste, bref, rien de bien incroyable et c’est pour ça que je te libère, entraîne toi pour la compet’, toujours mieux que de remplir les bouteilles d’oxygène.”

Oui, j’étais un boss plutôt cool, ça au moins je pouvais le faire ça marchait mieux auprès des fans et des employés et puis merde, si en la laissant s’entraîner, je pouvais me targuer d’avoir une championne sur mon bateau, ça pourrait attirer de nouveaux sponsors… Calculateur ? Oui, un brin… Mais comme ça, tout le monde est gagnant.

@JOLENE FITZROY

Pando

ambiance -- --Outfit--Ses doigts... sur moi... putain ! Le contact de ses pulpes me brule la peau. Je prends une inspiration un peu hoquetante et je me mordille la lèvre en me retrouvant toute excitée parce que j'imagine qu'il laisse glisser ses mains, plus haut, plus loin... plus fort ! Je papillonne des yeux et j'éclate de rire quand il me dit qu'il pourrait bien briser des genoux pour m'aider et je fronce le nez aussi mignonnement que possible. -"C'est adorable, mais j'ai le niveau pour gagner à la loyale et je suis sure que tu as mieux à faire de tes mains."

Oh merde ! C'est donc pour ça qu'il vaut mieux penser avant de parler ? Et pas juste ouvrir les vannes... Je ne suis clairement pas prude et pourtant je rougis légèrement, consciente que je viens de révéler une part de mes pensées. A moins que ce soit juste mes idées qui font que j'ai le sentiment de lui avoir fait un putain d'appel de phares? Dur à dire. Je peine à penser quand il est aussi près. Pourtant ça ne m'empêche pas de jouer la reptation pour m'installer de manière plus que suggestive sous ses yeux. Je l'écoute me parler de ce lieu, et si je savais qu'il y vient très souvent, je découvre ses raisons, ce qui a forcément son intéret.

De toute manière, je crois qu'il pourrait me lire le bottin que je continuerais à l'écouter passionnément. La façon dont ses traits s'anime a quelque chose d'entetant. Je ne sais pas très bien comment. Mais j'aime. Je lui demande ce qu'il prévoit pour la journée et suis d'abord ravie en l'entendant me dire que l'équipage est off, avant d'afficher une moue toute déçue quand il propose de me l'offrir aussi. -"Oh mais... je... non." Ok c'est pas démentiel ça en terme d'argumentaire, je vais devoir mieux faire. -"J'ai un nombre d'heures à faire et je serais ravie de te tenir compagnie." Sourire charmeur et nouveau battement de jambes. -"Et puis je suis sure que ce sera passionnant." Je penche un peu la tête, pointe la langue pour happer ma lèvre quelques secondes avant d'ajouter. -"Tu rends tout passionnant." Je plisse un peu les yeux et prends une grande inspiration avant de très consciemment en remettre une couche. -"A moins... que... que tu ne veuille pas de moi?" Faussement hésitante, franchement provocante, mes yeux se baladant sur son corps avant de venir se planter dans les siens, suppliants. J'ai envie qu'il me garde auprès de lui, d'autant plus que je sais maintenant que ce serait l'occasion de passer la journée seule à ses côtés.

La quantité d'idées qui me passent dans la tête quand j'envisage la solitude à ses côtés sur le bateau... les cabines, son bureau... la salle des commandes, tant de lieux, tant de configurations, tant de positions possibles. J'en tremble légèrement, un frisson dévalant ma colonne vertébrale. En plein soleil je suis pourtant couverte d'une chair de poule que je dois au virevoltage de pensées toutes plus indécentes les unes que les autres.

@JOLENE FITZROY

Pando

ambiance -- Je suis sûr que j’ai un sourire de benêt lorsque je l’entends dire que je peux faire autre chose de mes mains. Elle voulait dire quoi par là ? Sûrement rien, ou alors un petit flirt, en vrai, je ne sais pas, mais crois bien ma petite Jolene que oui, je pourrais faire autre chose de mes mains, t’empoigner ta tignasse pendant que je te prends en levrette, jouer à malaxer ta poitrine encore jeune et sûrement agréable à toucher, jouer avec ta peau, pincer tes tétons… Putain, je commence à avoir chaud, limite, mon bas-ventre ce réveil doucement à l’idée d’une bonne partie de sexe, mais non, ne soyons pas dans l’idée que cette jeune femme rêve de me voir la prendre, juste une phrase tordue pour un esprit tordu.
En tout cas l’idée de lui accorder son jour libre ne semble pas vraiment la rendre joyeuse, pourtant, de ce que je me rappel de ma jeunesse, avoir une journée off était toujours agréable mais son argument est valable, elle est juste une bonne élève, amusant, je ne l’aurais pas imaginé comme ça, plus une one life comme quoi, l’habit ne fait pas le moine, enfin en l’occurence, la nonne et bon Dieu, elle aurait sûrement offert le vice et la luxure aux curés en venant se mettre à genoux pour prier le Père… Malin, j’ai l’image et l’idée maintenant, je dois vraiment arrêter sinon, un jour, je vais avoir des problèmes. Tout ça pour dire qu’elle ne semble juste pas vouloir avoir l’envie de surfer toute la journée et je hausse mes épaules, après tout, elle fait ce qu’elle veut et j’incline légèrement ma tête sur le côté avec un petit sourire de coin.

“T’es sérieuse ? Tu préfères que je fasse de toi mon larbin toute la journée plutôt que de surfer ? Tu n'es pas croyable.” Je rigole, je ne fais même pas attention à la phrase, un peu tendancieuse. Après tout, elle fait ce qu’elle veut non ? Je me redresse alors d’un coup face à elle, pliant les genoux et tapotant sa tête blonde. “Si t’es sûre de toi, je ne vais pas être un connard et t’obliger à kiffer ta planche.” Je récupère doucement mes affaires avant de tourner la tête vers les petites cabines au niveau de la plage avec des douches solaires.

“Bon écoute, moi, je vais profiter d’une bonne douche gratis offerte par San Diego et après, je vais à la Marina. Tu peux venir quand tu veux.” Avant qu’elle ne dise quelque chose, je lui intime l’ordre de se taire “Tu fais vraiment ce que tu veux, tu peux m’attendre, prendre une douche aussi, on fait le chemin ensemble ou tu profites, vraiment, tu fais ce que tu veux, je ne voudrais pas décevoir encore ma mascotte.”

Nouveau clin d’œil et putain je viens limite de comprendre que c’était une invitation… Non, quand même, quand je parle de prendre une douche aussi, ce n’est pas avec moi, rien de pervers dans l’idée… Putain, je ne sais pas ce que j’ai aujourd’hui, mais j’ai l’impression que je suis limite.

@JOLENE FITZROY

Pando

ambiance -- --Outfit-- Hochement de tête convaincu et lèvre happée entre mes dents, j'ai tout de la gamine absolument ravie du programme. A t'il seulement idée de comment sonne larbin sous mon crâne ? Non sans doute pas, puisqu'il reste complètement de marbre à chacune de mes provocations. C'est frustrant ! Et étrangement encore plus excitant. Décidément j'en tiens une sacrée couche... Je me retrouve à serrer les cuisses et à savourer le petit crissement que ça provoque quand il se redresse pour se retrouver sur les genoux à me surplomber... Pendant une seconde je crois vraiment qu'il va sortir... enfin... Mais non pas du tout.

J'en pousse un soupir de frustration alors qu'il me tapote la tête comme si j'étais un chaton. Tu te rêves chienne et il te traite en chaton... compliqué à gérer ça putain. J'écoute ce qu'il me dit tout en le regardant par en dessous, incapable de ne pas envisager que ce serait la vue... qu'il aurait si il décidait de se glisser entre mes lèvres. Pensée qui automatiquement fait naitre un sourire gourmand. Il se met à me parler de sa douche mais m'intime le silence avant que j'ai le temps de répondre. Ce petit air autoritaire, oh merde c'est sexy. Je sens ma bouche s'assécher et il reprend sa litanie sur ma liberté totale et entière. J'acquiesce et me lève pour me frotter les mains et répondre enfin. -"Suffisait de dire viens me frotter le dos Jolene !" Je ris doucement et cherche ses yeux pour y lire ce qu'il peut penser de mes provocations. Il vient de regrouper ses affaires et je laisse les miennes sur le sable, je les prendrais après la douche. Ma robe, ma veste et mes chaussures ne devraient pas attirer grand monde.

En revanche, avant de prendre la direction de la douche, je récupère ma planche. Ce surf coute une blinde et surtout c'est le mien ! Je l'aime et ça c'est précieux. J'avance en me la jouant presque catwalk pas le moins du monde impressionnée par ce que je viens de sous entendre. -"On partage la cabine ?" Je viens de m'adosser contre la porte fermée, la main sur la poignée, cambrant le dos. Le message ne peut pas être beaucoup plus clair... à moins que je n'aille jusqu'à m'agenouiller en lui présentant mes cheveux relevés en queue de cheval ? Ce serait possiblement savoureux, sauf si il me jette ! Pas sure que mon égo s'en remettrait. Encore que, je serais bien capable de ravaler ma morgue et de simplement trouver un autre angle d'approche. Je ne suis pas capable de dire comment ni pourquoi, mais je le veux, ça c'est clair. Je me rappelle de mon premier jour sur le bateau, il me montrait un truc, j'ai mal compris, j'ai reculé et je me suis retrouvée écrasée contre lui une seconde, les fesses contre son bassin et la puissance de son torse dans mon dos... depuis il me hante, il s'est insinué en moi...  

@JOLENE FITZROY

Pando

ambiance -- Un large sourire illumine mon visage lorsque j’entends Jolene, s’amuser à me chauffer… On est d’accord ? Une allumeuse, je vois. C’était amusant ce genre de personne, toujours dans ce petit jeu, à vouloir se sentir désirée ? Je dois dire qu’elle sait y faire mais je ne suis pas un prépubère qui craquerait son slip avec ce genre d’allusions, généralement, les femmes comme Jolene aime juste s’amuser, mais lorsqu'elles arrivent au point de non-retour, elles bafouillent et cela engendre des soucis alors… Qu’est-ce que je fais ? Je joue le jeu ? Je la stop directement au risque de la vexer ? Ce serait dommage qu’elle en arrive là, car elle risquerait de devoir quitter l’aventure. Peut-être que j’ai envie de jouer moi aussi ? Jeu dangereux Aaron tu le sais, mais cela calmera ses ardeurs.

Alors j’ose aller plus loin, je la regarde, toujours amusé, elle est là après la proposition bien plus que scabreuse, une invitation à partager la cabine et plus si affinité et il y aura de ce que je comprends, enfin tout du moins, c’est ce qu’elle propose, la jeunesse capable de diablerie. Je m’approche, posant mon avant-bras sur la porte de la cabine qu’elle a fermée, nos corps sont presque à se toucher, nos souffles se mêlent l’un à l’autre alors que je la domine totalement, pas difficile cela dit vu la différence de taille. Mon autre main se pose sur la sienne qui retient la poignée de la porte et je penche mon visage pour venir glisser mes lèvres contre son oreille.
“On pourrait partager cette cabine étroite oui." Ma voix, presque un murmure avait accentuée le mot idéal aux oreilles "… Mais je ne suis pas partageur Jolene.”

Ma main écrase doucement la sienne alors que ma tête s’écarte d’elle, je respire une dernière fois l’odeur de ses cheveux et j’ouvre la porte et d’un geste, je la récupère sur mon épaule en faisant attention à ne pas cogner sa tête contre les parois de la cabine. “J’admire ton côté écologiste à vouloir économiser l’eau.” Je lui fesse rapidement sa fesse accessible alors que je la porte comme un sac à patates et la dépose dans la cabine juste à côté de moi avec un regard malicieux. “Profite bien de ta douche.” Un clin d’oeil et je referme la porte avant d’aller à la cabine à côté et je commence à me foutre à poil, posant mes affaires sur la parois côté Solenne afin qu’elle puisse voir que je suis à poil, comme si je m’amusais à vouloir jouer le jeu jusqu’au bout ou alors juste pour la faire rager, allez savoir, je ne sais plus vraiment ce que je fais, est-ce que j’ai le contrôle de la situation ou au contraire j’ai totalement foiré et il y aura des conséquences ? Ou pire, est-ce que je viens de me faire avoir par Jolene et je ne m’en rends pas compte ?

J’allume l’eau qui vient frapper ma peau, j’ai un petit sursaut, froide, ça fait du bien. Ma tête bascule en avant et je regarde l’eau s’évacuer, je peux voir l’ombre de Jolene de l’autre côté et je souris encore une fois, content de mon petit jeu, elle doit sûrement me prendre pour le pire des blaireaux qui ne comprend absolument rien à rien, ou alors elle se fait de plus en plus de films ? Hmm Finalement je commence à ne plus être vraiment sûr de moi, la fessée était sûrement de trop au final… Cela dit, je ne regrette pas, son cul… J’ai déjà eu l’occasion, deux ou trois fois sur le bateau de le sentir contre mon bassin et putain, j’aurais adoré la prendre contre le bastingage… Putain Aaron, à quoi tu penses… Sans le vouloir, j’imagine plus et forcément, ça me fait bander…

@JOLENE FITZROY

Pando

ambiance -- --Outfit-- Est ce que j'ai envie de lui ? Non ! Je suis littéralement et totalement dévorée d'envie de lui ! C'est putain de pas pareil. C'est un truc à te vriller le ventre, à te faire trembler, à sentir l'air se comprimer dans ta poitrine et à avoir le sentiment que c'est la plus douce des façons de suffoquer. Je me retrouve plaquée à la paroi et mon corps se cambre, d'abord pour l'aguicher et puis instinctivement, en réaction à son approche. Son avant-bras contre la porte, la proximité de son corps, son souffle qui rejoint le mien... Je crois que je couine quand ses doigts se posent contre les miens, venant électriser ma peau, pour s'enrouler à ma colonne vertébrale.

Quelques divines secondes, qui se prolongent quand il se penche et viens chuchoter à mon oreille. La suavité de cette voix, putain ! La façon dont il fait résonner "étroite", me fait serrer les cuisses et c'est un petit gémissement qui vient quitter ma gorge. Ensuite... tout va très vite. Et clairement pas du tout dans la direction que j'avais envisagé. Il claque ma fesse, écope d'un mot grossier et d'un gémissement en réponse avant que je ne me retrouve seule et abandonnée dans cette saloperie de douche de plage. C'est quoi que j'ai pas compris là ? Je pousse un grognement de frustration et me mord la lèvre inférieure avec férocité en le voyant ostensiblement balancer ses affaires sur la paroi qui nous sépare. Ah ouais ? On joue à ça ?

Je peux deviner la puissance de sa silhouette, du fait de l'ombre que je vois s'étendre et ça me monte à la tête. J'allume l'eau, qui crépite bientôt autour de moi, dénoue le haut de mon bikini, le laisse tomber sur le sol, le pousse du pied dans la direction de sa cabine. Le bas ne tarde pas à suivre et un coup de pied plus franc envoie les deux pièces contre ses pieds. Je viens m'appuyer, dos à la paroi qui nous sépare, soulève la jambe pose le pied contre la paroi opposée et je ferme les yeux. Je m'imagine revivre cette proximité et une toute autre suite. Sa puissance, sa carrure qui s'impose face à moi, la chaleur de son corps... Son souffle sur ma peau... déjà les pointes de mes seins se dardent et je viens les pincer, tandis que mon autre main se faufile doucement entre mes cuisses.

Mes pensées vagabondent, se détachant de la réalité pour explorer des territoires plus personnels, plus secrets. Je me concentre sur ce que je ressens, sur la chaleur qui monte en moi, se diffusant depuis mon ventre jusqu'à chaque extrémité de mon être. Mon bassin se délie et mes fesses heurtent la paroi, dans un bruit mouillé, qui ne couvre pas les gémissements qui fleurissent graduellement, et que je ne cherche pas le moins du monde à contenir. Je respire profondément, accueillant chaque onde de plaisir qui monte, chaque pulsation de désir qui me traverse. -"Haaaan putain."

L'eau continue de couler, imperturbable, tandis que je m'abandonne à cette exploration intime. Mes mouvements deviennent plus assurés, plus rythmés, synchronisés avec les battements de mon cœur. Le monde extérieur s'efface, remplacé par un univers de sensations et de plaisir. Mes doigts dansent, créant une symphonie silencieuse qui résonne au plus profond de moi. Il s'efface ? Non ... il se concentre dans mon envie de lui. Dans le plaisir fou que je m'inflige en l'imaginant me rejoindre.

@JOLENE FITZROY

Pando

ambiance -- L’eau me fait du bien, elle me permet de remettre un peu en place mes idées, non mais vraiment t’es trop con mon pauvre, tu viens clairement d’allumer une fille, bon certes, elle est majeure, elle est putain de désirable et j’imagine ses jambes se nouer autour de ma taille… Putain, c’est si compliqué de résister ? Est-ce qu’on est juste des putains d’animaux ? Même un bonobo aurait honte de me voir bander comme ça comme un âne après juste des suggestions osées, mais bordel, pour moi, les mots ont une résonance si particulière. Je ne sais pas en vrai, est-ce que j’ai mal fait ? Je joue un jeu certainement très dangereux, mais en même temps, on va être franc, ça fait un moment que je n’ai pas senti le contact d’une femme… Oui bon, soyons honnête deux secondes, ça fait un moment que je n’ai pas baisé oui, voilà et l’envie, elle est là, elle est dévorante, elle parcoure chaque centimètre de ma peau, mon coeur pompe de plus en plus… Je suis sûr qu’elle pompe divinement, j’imagine cette peau qui sent le sable chaud, celui de la Californie, allez savoir pourquoi j’imagine mes lèvres venir se poser contre cette peau, son cou, ressentir sur la pulpe de mes doigts les frissons qui viennent picter sa peau, le désir qui s’échappe de ses lèvres, j’aimerais me ressaisir, mais là, juste à côté de moi, il y a une fille désirable, une simple paroi nous sépare, un coup violent et je l’embarque… Je me demande quel effet ça ferait de sentir sa bouche venir envelopper ma queue déjà tendue comme pas possible… Putain, respire Aaron.

Je sens quelque chose d’humide contre ma cheville et je vois, je vois son bikini au complet là, s’étendant sur le sol de ma douche, je n’avais pas fait attention, depuis quand c’est là ? Mon esprit vagabond beaucoup trop, c’est horrible. En-tout-cas, mon pied se pose dessus, comme si par ce contact, je pouvais la ressentir et je ne fais même pas attention mais ma main droite est déjà sur ma verge et je commence à me masturber, idiot que je suis, putain, où ça va m’emmener cette connerie ? Mais le pire, c’est que ça ne s’arrête pas là, comme un écho, j’entends un bruit contre la paroi, un bruit humide, je me demande ce que c’est et puis, un gémissement, malgré l’eau, je peux l’entendre, attend, elle se masturbe ?
La bête me déchire les entrailles, ma main se crispe sur mon sexe, l’eau ne m’aide plus à réfléchir, la bête gronde, rien ne nous sépare finalement, même pas un loquet et de toute façon, je doute que le loquet soit mis… Alors peut-être que je pourrais la rejoindre ? Mais si elle a mis le loquet ? Comme une petite effrontée pour se venger ? J’aurais l’air d’un con et ce serait un beau jeu de sa part. J’ai l’impression que ma bête veut s’échapper encore plus, mes entrailles sont une bouillie d’un magma obscène qui ne veut qu’une chose… Elle.


Alors, j’ouvre ma porte, elle ne doit même pas s’en rendre compte vu comme la paroi tremble, je n’ai pas de boule au ventre, pas de peur d’être rejeté, non, même quand ma main se pose sur sa porte et que je l’ouvre et là, le choc, pas celui qui te fait reculer, non, celui de l'obscénité qui me fait frémir, là, son pied contre le mur opposé, elle se caresse, elle est la pure allégorie de la tentation. Sans un mot, je referme la porte rapidement, la douche n’est pas grande, je me retrouve vite contre elle, ma queue palpite contre sa cuisse alors que ma main empoigne sa tignasse pour qu’elle tourne la tête vers moi, lui offrant ainsi mon sourire carnassier.
Sans rien dire, je me fous à genoux devant elle, car oui, j’ai une envie, une putain d’envie de lui bouffer la chatte, c’est vulgaire oui, et alors ? Je ne suis pas un grand romantique ou un poète, mais plutôt quelqu'un de viscéral. Honnêtement, quand je regarde sa vulve et ses doigts espiègles, j'ai juste envie de l'aider, de m'abreuver. Je n'attends pas longtemps avant d'approcher mes lèvres de son sexe et de laisser ma langue caresser sa fente. Je bois littéralement son plaisir, comme un chien assoiffé, sans aucune soumission, simplement une pulsion primaire. Ma langue s'enfonce entre ses lèvres, savourant la chaleur et la douceur qui l'enveloppent. Je pousse un gémissement de satisfaction profonde en faisant cela, et je continue en titillant son clitoris avec ma langue, le suçotant avec avidité. Pendant ce temps, mes mains saisissent ses fesses et les serrent fort.




Putain, Jolene, excuse-moi, mais toi et moi, on va détruire les douches, car ce n'est que le commencement, car j'ai une vive douleur entre les jambes, j'ai besoin de ta chatte, j'ai besoin de tes seins, de ta bouche, je veux tout de toi, maintenant.

@JOLENE FITZROY

Pando

ambiance -- --Outfit-- La frustration est venue me déborder, je ne vois pas d'autre explication. Le fait qu'il soit venu m'attraper de cette manière, gifler mes fesses... j'ai cru que je touchais enfin mon rêve du doigt, mais il m'a plantée là. J'aurais pu me contenter de partir, de ramasser mes affaires et de rentrer chez moi, mais j'ai choisi une toute autre option. Nue sous cette douche, mon bikini bazarder de son côté de la paroi, le corps cambré, la jambe tendue, pied reposant sur la paroi opposée, les doigts glissant sur ma peau. J'ai rapidement atteint un degré d'excitation me tirant des frissons et des gémissements rauque. Le savoir tout proche, me souvenir du grain de sa peau, de la chaleur de son souffle... Les yeux fermés, les doigts perforant mon sexe, putain ce que c'est bon.

Quand la porte s'ouvre, j'ai un petit sursaut et mes dents se plantent dans ma lèvre inférieure sans que je n'arrête pour autant de me caresser. Mon menton se redresse, petit air effronté et je reste cambrée, lâchant un nouveau gémissement. Son corps vient se presser contre le mien, je peux sentir la vigueur de son envie et ça me tire un frisson de délice. Sa main dans mes cheveux, me fait tourner le visage vers lui et son sourire me fait presque trembler. Il y a tant de virilité dans son expression que j'ai l'impression que l'air se comprime dans mes poumons. Il m'achève en se laissant glisser à genoux à mes pieds. L'eau ruisselle autour de nous et je pousse un petit cri ravi en découvrant le velouté de ses lèvres tout contre mon sexe. -"Han putain de bordel !" Il vient d'immiscer sa langue en moi et je gémis en déverouillant mon bassin à sa rencontre. C'est tellement bon que ça vibre sous ma peau et quand il vient titiller mon bouton de plaisir je crois que je perds tout sens de la mesure.

J'ai rêvé ce moment, tant de fois, à me caresser des heures durant, à m'amener tout au bord de l'extase et à recommencer, encore et encore, jusqu'à exploser. Et maintenant... je ne rêve pas. Il est là, à mes pieds, écrasant mes fesses dans ses mains puissantes alors qu'il prend le contrôle de mon souffle et de mon corps. L'eau chaude glisse sur nos peaux, mêlant ses caresses à celles de ses mains et de sa langue. Je me tiens debout, les mains plaquées contre mes seins, mon corps vibrant de désir sous ses assauts. Chaque coup de langue, chaque baiser est une décharge électrique qui se propage à travers moi, réveillant des sensations que je n'avais jamais imaginées possibles. Il me rend ivre, de lui, de plaisir, d'une envie tellement puissant qu'elle menace de déborder mon esprit.

Je ferme les yeux, me perdant dans l'irréalité de cet instant. Cet homme, celui dont j'ai rêvé pendant si longtemps, est enfin là, réel et présent, répondant à mes désirs les plus profonds. Il y a une perfection dans chaque mouvement, chaque toucher, qui me laisse sans souffle, comme si je vivais une scène sortie tout droit de mes fantasmes les plus intimes. Mes hanches se pressent contre son visage, et je sens chaque muscle de mon corps se tendre sous l'effet de son talent. Mon esprit est en ébullition, submergé par une marée de sensations qui me laissent étourdie. Chaque caresse est un rappel de sa présence, de sa dévotion à mon plaisir. Le monde autour de nous disparaît, ne laissant que nous deux, liés dans une danse de désir et de satisfaction. Je suis à la fois perdue et trouvée, chaque frisson, chaque gémissement me rapprochant un peu plus de l'extase. L'eau ruisselant sur ma peau accentue chaque sensation, ajoutant une dimension presque onirique à ce moment. Je me sens emportée par une vague de plaisir, submergée par l'intensité de ce que je ressens. Ses mains, sa bouche, tout en lui est une symphonie de délices, jouant sur chaque corde de mon être. -"Aaron... putain... oh putain." Peut il me sentir basculer dans l'orgasme ? Alors même que ma voix ronronnante le supplie. -"Baise moi !" Deux mots alors que je me laisse glisser à mon tour, à califourchon sur lui, pour le guider d'un geste de la main, pour le planter en moi et achever d'exploser sur sa queue dans un cri de plaisir. Je me cambre, m'accroche à sa nuque et mon bassin va et vient à sa rencontre, alors que je me perds dans ses yeux une seconde avant de me jeter sur ses lèvres.

@JOLENE FITZROY

Pando

ambiance -- Le fruit défendu, c’est ce que je dévore, je m’abreuve jusqu’à la lie, comme si ma vie dépendait des fluides qui s’échappent d’elle, une fontaine de jouvence dont je suis le conquistador. Ma langue cherche, s’aventure dans cette jeunesse débridée, mes doigts deviennent des serres, meurtrissant la chair de ses fesses pour ne pas qu’elle s’échappe, mais le veut-elle vraiment ? Car je l’entends, elle semble s’affoler, il n’y plus d’effronterie dans ses propos, juste des gémissements suaves qui me font frémir, mais son corps aussi vibre contre ma bouche, tel le serpent gardant l’Eden, mais il n’y pas volonté de se dérober, son bassin s’écrase contre mon visage, voilà bien quelque chose de terrible, je pourrais m’étouffer sous les suppliques, mais j’en serais heureux, car diable qu’elle est savoureuse.

Alors que je continue de toujours vouloir presque fusionner, elle réussit à me sortir quelques mots, quelques mots qui flattent mon ego, après tout, je ne suis qu’un homme et entendre une femme savourer ce que vous lui offrez et bien. Oui, on est fier, personne ne peut me blâmer non ?
Je peux comprendre qu’elle est prête à basculer dans un orgasme et je veux pouvoir le ressentir entre nos lèvres liées dans un ballet érotique mais mademoiselle ne semble pas de cette avis et de sa bouche sort une grosiierté qui me fait un effet boeuf, putain que j’aime l’entendre dire ça, c’est plus que plaisant mais je ne peux pas m’empêcher de grogner ma frustration lorsqu’elle se détache de moi, l’eau qui avait été durant tout ce moment d’une agréable légèreté devient désagréable car ce n’est pas ce liquide que je veux contre ma bouche, non, mais elle en a décidé autrement, elle se baisse, saisissant ma verge d’une main et s’empale, m’arrachant cette fois un gémissement de plaisir, putain, sa chaleur, d’instinct, mes mains se posent sur son bassin et alors même que ma verge s’enveloppe dans les délices d’une jeunesse chaleureuse, je ressens l’éteau qui se ressert, il ne faut pas plus, pas une seule seconde, comme une baise éphémère, un trop plein, elle jouit presque instantanément contre moi, mon sexe semble devenir vivant tellement il palpite en elle. Elle crie, elle se cambre, j’aime, c’est peut-être con, mais voir une femme se cambrer, c’est comme voir l’émergence d’une déesse, elle est un peu mon Aphrodite, naissante dans l’écume de nos ébats mais elle ne s’arrête pas, son bassin quémande encore, la fougue de la jeunesse et elle vient m’embrasser.
Nos lèvres s'entrouvrent, nos langues passent tels des barbares l’émaille blanche semblable à une muraille abattue sous l’envie, nos salives sont la rencontre de deux rivières, un léger goût pourtant, la note de son plaisir.

“Putain… Jolene…”


J’arrive à m’échapper du baiser, dans cette position, je ne peux pas faire grand-chose sauf la soutenir et donner de puissants coups de reins, la faisant sans retenue s’empaler toujours plus profondément, mais quel plaisir, quelle bestialité nous anime dans cette cabine de douche, j’espère que personne ne passe à côté sinon, bonjour les soucis… Mais… Peut-être que j’aurais dû fermer ma grande gueule, car alors que nos corps deviennent deux prédateurs voulant prendre le contrôle de l’autre, j’entends un bruit dehors… Merde, non, impossible… Je m’arrête et plaque ma main sur la bouche de Jolene et je reste attentif, mais joueur que je suis, je ne peux pas m’empêcher. La portant à bout de bras, je me relève pour la plaquer contre la paroi, toujours en elle, je lui impose de remonter ses jambes pour m’enserrer, mais pas plus, pas un seul bruit alors que la porte à côté de nous s’ouvre… Merde, non, c’est bon, c’est la cabine libre… Heureusement sinon il y aurait eu sûrement surprise en découvrant un bikini et un maillot comme ça sur le sol.

Je regarde mon amante avec un grand sourire et donne un grand coup de bassin, la paroi couine, mais cela reste léger. Je la mets au défi ? Peut-être, en tout cas, je ronge mon frein, moi qui ai envie d’être un animal sauvage avec elle, me voilà d’une lenteur à faire pâlir un paresseux, mais je sais que si on recommence, il n’y aura pas de doutes dans l’esprit de notre voisin… Mais… Putain que j’ai envie, mes mains glissent pour venir écarter ses fesses, les malmener alors que je redonne encore un coup de rein en la regardant toujours droit dans les yeux.

@JOLENE FITZROY

Pando

ambiance -- --Outfit-- L’eau chaude ruisselle sur ma peau, embrassant chaque courbe, chaque creux de mon corps avec une douceur trompeuse. La vapeur emplit la cabine de douche, créant une brume intime qui nous isole du reste du monde. Nos regards se croisent, et je sens mon désir déborder comme une rivière en crue, impossible à contenir. C’est lui, celui qui hante mes nuits, celui dont les mains, dans mes fantasmes, connaissent déjà chaque centimètre de ma peau.

Je n’attends plus. Mon impatience est une bête sauvage, rugissant dans ma poitrine. Avec une détermination brute, je m’empare de lui, mes mains glissant sur son torse humide, descendant sans hésitation jusqu’à son sexe. Il est dur, vibrant de la même tension électrique qui parcourt mon corps. Un grondement de satisfaction s’échappe de mes lèvres, se mêlant au bruit de l’eau qui frappe le carrelage. Je me cambre, et sans plus attendre, je m’empale sur lui avec une avidité qui frôle l’insolence et qui me fait littéralement basculer dans l'extase. Mon corps s’ajuste à sa longueur, et une vague de plaisir brut me traverse, me laissant haletante, tremblante, à la limite de la déraison. Mes ongles s’enfoncent dans ses épaules, cherchant un ancrage alors que je commence à bouger, à chevaucher cet homme qui incarne mes fantasmes les plus débridés.

L’eau continue de couler, mais je ne la sens plus. Tout ce qui existe, c’est lui, en moi, remplissant un vide que je n’avais même pas réalisé avoir. Je bouge avec une frénésie désespérée, mes mouvements dictés par une faim insatiable. Chaque va-et-vient, chaque fois que je descends sur lui, me rapproche un peu plus d'une nouvelle apogée. Je suis consumée par un besoin primordial, primaire, primal, une nécessité de sentir chaque centimètre de sa chair en moi, sur moi, contre moi. Je le veux, avec une force et une puissance qui sont en train d'abolir l'univers et le temps.

Ses mains trouvent mes hanches, ses doigts se crispent sur ma peau, guidant mes mouvements, m'empalant plus violemment sur lui. Nos regards se rencontrent à nouveau, et l’intensité dans ses yeux me fait chavirer. Il est à la fois maître et esclave de ce moment, et cette dualité me fait perdre pied. Je gémis son nom, ma voix rauque, presque étrangère à mes propres oreilles. J'aime gouter mon plaisir sur ses lèvres, j'aime la façon rauque dont sonne sa voix et cette vulgarité accolée à mon prénom me font trembler jusqu'au creux de mon corps.

Le rythme s’accélère, devient frénétique. Nos corps se heurtent, s’épousent, se dévorent. Le plaisir monte en moi comme une marée, inexorable et puissante. Je sens chaque pulsation, chaque onde de chaleur, se propager de notre union à chaque extrémité de mon être. L’orgasme s’approche, menaçant de me submerger. Mais il se fige, me couvre la bouche et écope d'un regard presque courroucé. Privée de mon orgasme, perdue dans ses yeux, j'écoute et mes yeux s'écarquillent quand je perçois ce qui l'a fait s'arrêter. Un bruit, quelqu'un de l'autre côté. Je pourrais éclater de rire, mais déjà il se lève et m'emporte avec lui, me plaquant contre la paroi et se remettant à bouger en moi, un coup de bassin d'une apreté qui me fait doucement gémir.

Mon corps se tend, se contracte autour de lui, amplifiant mon plaisir et menaçant de me tirer un nouveau cri. Ses mains glissent, écartent et malaxent mes fesses et je prends appui de mes avant-bras sur ses épaules, pour me redresser au maximum et me laisser retomber sur sa queue. Je souffle, essayant de contenir mon gémissement, mais putain ce que c'est bon... ce que c'est dur ! Mes yeux ne quittent pas les siens, le défi y brille tout autant. Je bouge, à sa rencontre, le plaisir me déborde et finalement je livre d'une voix impertinente -"J'ai dit Baise moi !" en laissant mes hanches onduler plus fort. Je crois que je me fous qu'on nous entende ! Clairement ouais, j'en ai rien à foutre ! Ma bouche repart à l'assaut, mes mains griffent son dos et je me laisse aller à gémir de plaisir quand je le sens buter au fond de moi.

@aaron striker

Pando

ambiance -- L'impertinence jusqu’à plus soif, elle ne veut pas abdiquer dans les murmures de la débauche, elle le clame, elle veut baiser, mon sang ne fait qu’un tour, non pas de honte car elle collée à moi, je sens son corps chaud contre mon torse, l’envie, la chaleur, le sexe, je n’ai pas honte non, bien au contraire, je suis encore plus excité et je la regarde droit dans les yeux avant d’écraser mes lèvres contre les siennes et puis, dans un souffle. “Alors je vais te baiser…” Ma voix est lourde d’envie, si elle veut faire trembler le mur, alors ne soyons pas timide.
Écrasée comme elle contre mon corps, il est facile de donner des coups de reins, mon sexe dur s’engouffre entre ses cuisses avec une facilité déconcertante mais elle est étroite, je ressens les pulsation de ce corps à chaque fois, je peux presque sentir les battements de son coeurs onduler le long de ma queue, ma tête se pose contre son épaule et dans une envie cannibale, je plante mes dents dans sa chair, marquant alors qu’elle même laboure mon dos, je sens les estafilades, je veux plus et je lui fait comprendre en la labourrant contre le mur qui couine, rien à foutre de la personne à côté, je veux hurler mon putain de plaisir, je veux lui faire prendre son pied, comme si la vie était si courte qu’il fallait en profiter à fond.

Mes lèvres se perdent ensuite dans son cou où je lui laisse une nouvelle marque de succion, mais elle n’est pas courte, non, je suçote comme un forcené, elle aura cette marque pour un petit moment alors que nos corps, toujours, se cherchent, je sens son bassin embrasser le mien, je peux presque deviner ses os tellement nous voulons aller profondément l’un et l’autre, comme s'il était possible d’une fusion.
Le bruit est humide, obscène, l’eau ne fait qu’amplifier le bruit et d’ailleurs, je n’entends plus rien à côté de nous, la personne est elle partie ? Outrée ? Ou alors elle est dans ce silence complice, écoutant notre envie qui s’exprime par des assauts répétés, mon bas-ventre claque contre le sien, mes doigts cherche une prise jusqu’à ce je grogne, elle me glisse entre les doigts, ma queue se tend et je décide d’écourter cette position et j’imagine bien la frustration, mais ce n’est pas terminé, non, loin de là et elle doit savoir que ce n’est que quelques secondes. Je l’agrippe par les cheveux et la fait se positionner pour qu’elle me tende son cul et mon Dieu, là, cambrée comme la pire des allumeuses, je peux admirer ses fesses que j’ai malmené et je ne peux pas m’empêcher d’y déposer une frappe sonore avant de guider mon gland contre sa fente et je me penche doucement en avant. “Ton cul est incroyable ma belle…”


Et j’avoue que j’ai presque envie de le croquer, mais au lieu de ça, mon gland écarte ses lèvres pour de nouveau retourner s’engouffrer entre ses cuisses et je ne m’arrête pas, mon bas-ventre claque contre son joli fessier, le bruit est… Brrr je ne sais pas quoi dire, c’est aussi obscène que magnifique, je pourrais rester ainsi à regarder ce dos, cette courbure jusqu’à perdre pied mais mes mains décident d’agripper ses hanches et je recommence à la prendre, plus fort, plus durement, il n’y apas de douceur, la passion que j’ai pour elle est brut, j’ai envie, je l’avoue, de la baiser jusqu’à ce qu’elle crie grâce, c’est présomptueux, je sais mais je ne peux m’empêcher de l’imaginer vaincue mais heureuse… On ne peut pas dire que c’est de l’amour et j’imagine que n’importe qui dirait que je suis un malade, mais j’en ai rien à foutre, en ce moment, je suis en train de m’envoyer en l’air avec une fille plus jeune que moi, une véritable blasphèmeuse et j’adore ça, d’ailleurs, une lourde claque échauffe son cul si bien foutu, putain, mais quel pied je prends, tellement, oui, putain Jolene… Je sens mon corps se convulser, je m’ancre un peu plus sur le sol et mes coups de reins deviennent une drôle de symbiose entre le chaos d’une envie qui m’échappe totalement et la chaleur d’une étreinte passionnelle.

“J… Hnnn.. Putain Jolene… Putain je vais jouir…”

@JOLENE FITZROY

Pando

ambiance -- --Outfit-- Mon corps tremble d'anticipation alors que ses mots résonnent dans mes oreilles. "Alors je vais te baiser…" Sa voix est lourde de désir, et je sens la chaleur se répandre en moi, envahissant chaque parcelle de mon être, c'est tellement torride que je menace de suffoquer. Mes cuisses s'ouvrent instinctivement pour lui, et quand il s'enfonce si fort en moi, une vague de plaisir m'emporte, faisant exploser chaque nerf de mon corps en une symphonie de sensations. -"PUTaaaain."

Je m'accroche à lui, mes ongles traçant des sillons sur son dos, mon souffle se mélangeant au sien dans une danse sauvage. Ses coups de reins sont puissants, chaque mouvement en moi est une décharge de plaisir brut, primal, excitant au delà de tout ce que je pouvais imaginer. Mes gémissements deviennent plus forts, plus rauques, se mêlant aux siens dans cette cabine de douche qui résonne de notre passion. Je me fous totalement qu'on nous entende, je vis un petit instant d'éternité et je me contente de m'y laisser aller.

Il mord mon épaule, et la douleur mêlée au plaisir me fait gémir encore plus fort. Je crois que ça achève de me rendre folle, mes yeux s'écarquillent et je cherche de nouveau ses lèvres, comme pour m'y abreuver, comme pour survivre au déferlement de plaisir sans perdre la raison. Chaque coup de bassin est une promesse de plus de plaisir encore, et je me tords de désir, me pressant contre lui, avide de chaque sensation, affamée de lui. L'eau ruisselle sur nos corps, amplifiant chaque contact, chaque effleurement, rendant notre union encore plus intense. Les bruits aqueux sont d'une indécence qui frise le profane et confine pourtant au divin.

Ses lèvres quittent mon épaule pour se poser dans mon cou, suçant ma peau avec une telle intensité que je sais que la marque restera longtemps après que ce moment sera passé. Mais je m'en fiche, non mieux, je chéris cette idée. Tout ce qui compte, c'est l'instant présent, ce tourbillon de sensations qui nous enveloppe, mais l'idée d'être marquée... par lui... ça me fait vibrer la peau. J'aime cette marque, cette possession qui en dénote et je crois que je ne peux m'empêcher d'espérer une forme de possessivité. J'ai envie d'être à lui, j'aimerais qu'il en ait envie lui aussi, rien de moins logique non ?

Et puis il me guide, me tirant tout de même un râle de frustration colérique quand il se retire de moi. Mais déjà, il me fait pivoter pour que je me penche en avant, lui offrant mes fesses. Mon cœur bat à tout rompre alors qu'il admire mon corps, sa main venant frapper ma peau avec une force qui envoie une décharge électrique à travers mon être. -"Han oui !" Je sens son sexe glisser en moi, trouvant sa place avec une précision exquise. Ses mots me font frémir, et quand il commence à me prendre avec force, la sensation est au-delà de tout ce que j'ai pu imaginer. Je pousse un cri de plaisir, sentant son sexe s'enfoncer profondément en moi, chaque mouvement m'arrachant des gémissements de plaisir brut. Je griffe la paroi, me cambre contre lui, mes hanches se mouvant en rythme avec les siennes. Chaque coup de rein est une onde de plaisir qui me traverse, mes gémissements devenant des cris alors que je me perds dans cette étreinte sauvage.

-"Han bordel oui ! Baise... moi... bien…" Les mots me manquent, remplacés par des sons gutturaux de pur plaisir. Mon corps vibre à chaque poussée, et je sens l'orgasme monter en moi, une vague de chaleur qui menace de m'engloutir. Il agrippe mes hanches, me tirant encore plus fort contre lui, ses mouvements devenant plus rapides, plus désorganisés. Chaque coup de bassin est une plongée fatale dans le plaisir intense, me faisant trembler de la tête aux pieds. Sa voix est rauque, empreinte de désir, et je sens son corps se tendre contre le mien, cette annonce qu'il me fait me faisant perdre la tête. Ses coups de reins deviennent fous et je me tends à sa rencontre, venant claquer mes fesses contre son bassin. -"Oui ! Oui ! Jouis... je te veux... en moi." Je me perds dans ce tourbillon de sensations, mon propre orgasme explosant en moi avec une intensité dévastatrice. Mon corps se convulse, chaque muscle se contractant autour de lui, m'emportant dans une vague de plaisir pur, brut. Je me resserre sur sa hampe et j'en suffoque, bouche ouverte, tête basculée en arrière, démesurement cambrée.

@aaron striker

Pando

ambiance -- Mon intention de jouir était presque une supplique, mon corps se tends, lourd du désir que j’essaye de refouler, c’est à la fois bon et douloureux, car j’ai envie, j’ai envie de jouir et heureusement, Jolene répond avec la conviction d’une véritable succube, ces mots me fond frémir, quelle obscenité pour une jeune femme mais c’est ce qui rend la chose oh combien savoureuse, putain, je crois bien qu’il sera difficile de s’échapper de ce piège mais en même temps, est-ce que j’ai vraiment envie de m’échapper ? En-tout-cas, ses mots me font redoubler d’ardeur et je ne peux pas m’empêcher de prendre dans ma pogne ses cheveux pour basculer sa tête. “Hn… Putain.. Ouais.. Je..”

Putain la connasse ! Alors que je continue de m’enfoncer en elle rapidement, sentant ma hampe devenir une simple onde de plaisir, elle se resserre, elle jouit elle aussi, me prenant de court, je ne pensais pas… Non… Je ne pense plus, à dire vrai, je crois bien que mon cerveau est mort à l’instant, je ne suis rien d’autre qu’un volcan immoral, je suis en train de baiser dans une cabine de douche publique une stagiaire de mon équipe, mes yeux se ferment, comme pour savourer ces quelques flashs qui viennent m’assaillir. Lorsqu’elle se cambre de façon presque grotesque, j’empoigne un de ses seins, je l’agrippe, je peux sentir son téton gonflé dans ma paume putain… Jolene…

Un grognement rauque s’échappe de ma gorge alors que ma verge termine de s’enfoncer jusqu’à la garde, difficilement, tellement elle s'est resserrée et c’est la libération, un autre flash, ma verge pulse en elle, mon foutre s’échappe, la remplit, putain de merde que c’est bon. “Hmmmm… Le pied !”
Mon corps flagelle, trop d’émotions ? Hahah ouais, c’est sûrement ça. En-tout-cas, je m’effondre sur le sol, entraînant Jolene avec moi, mon sexe s’échappe dans un petit bruit visqueux, c’est crade hein ? Et pourtant moi, je kiffe, mon dos s’écrase sur la paroi et je viens prendre dans mes bras cette beauté, je cherche à reprendre mon souffle tout en caressant le ventre de mon amante et puis… J’éclate de rire, mon torse tambourine contre son dos et je ne peux pas m’en empêcher de continuer.

“Haha… Putain Jolene, meilleure baise que j’ai eu depuis longtemps…”

J’embrasse son épaule et mon nez frôle le lobe de son oreille que je viens suçoter rapidement. J’arrive à reprendre mon souffle, nos jambes s'entremêlent alors que l’eau continue à couler… Ma tête bascule vers le ciel. Bordel, si l’on m’avait dit que ce matin, j’allais avoir le droit à ça, je ne l'aurais pas cru. Ma main sur son ventre dessine de douces arabesques sur sa peau, mon index s’amuse à contourner son nombril, remontant ensuite jusqu’à l’aune de sa poitrine et taquin, je m’amuse à pincer doucement son téton sûrement sensible avant de retourner contre son ventre paresseusement.

“Il va falloir récupérer nos affaires…”

Je me demande s’il y a toujours quelqu’un, il peut bien appeler la police, rien à foutre, je veux bien être condamné pour attentat à la pudeur. Je toque à la paroi, un peu amusé de la situation, je n’aurais pas imaginé que le faire dans un lieu public m’aurait autant excité, je devrais presque la remercier d’avoir été ma muse pour cette découverte, mais je ne lui dirais pas, j’imagine que vu son impertinence elle n’en serait que trop fière alors laissons la mariner un petit peu. Maintenant, il y a aussi le truc que… Et bien, on a franchi la ligne rouge, qu’est-ce qui va advenir ? Oui, j’avoue, je n’avais pas réfléchi à ça. Mais pour l’instant, je suis dans un tel état que cela n’a pas d’importance. Non, pour l’instant, je n’ai qu’une envie, c’est l'embrasser et c’est ce que je fais, capturant entre mes doigts son menton, je lui fais tourner la tête pour l’embrasser, comme un remerciement, mais en même temps, je crois qu’elle a compris que j’ai adoré cet instant avec elle et dans un coin de ma tête, j’espère bien que ce ne sera pas la dernière fois qu’on s’amuse ensemble… Rien que l’idée me donne envie et me fait sourire comme un con.

@JOLENE FITZROY

Pando

ambiance -- --Outfit-- Son sexe qui pulse en moi, qui force le passage dans mon antre rendu étroit par l'orgasme, c'est d'une puissance absolument sidérante et je crois que ma bouche s'entrouvre sur un cri libérateur alors qu'il jouit en moi. Que je peux sentir chaque giclée brulante... C'est terriblement bon, de nature à me faire clore les yeux, totalement concentrée sur cette lave bouillonnante qui tournoie dans mon ventre. Je reprends mon souffle, encore haletante après l'orgasme dévastateur qui vient de me submerger, mais sans que je ne comprenne bien le déroulé des évènements je bascule avec lui, sur un cri qui m'échappe alors que je me retrouve allongée sur le sol. Aaron éclate de rire, un rire profond et contagieux qui résonne dans la cabine de douche exiguë, et je ne peux m'empêcher de le rejoindre, le son de nos rires se mêlant à la vapeur chaude qui emplit l'air. Nos corps glissent sur le sol mouillé, collés l'un à l'autre, nos rires remplissant l'espace comme un écho joyeux. C'est égréable d'en sentir les soubresauts contre mon dos, sa chaleur aussi.

"Wow, c'était ma meilleure baise depuis longtemps," déclare-t-il, et je sens une pointe d'orgueil se mêler à mon euphorie. Sans réfléchir, je mords doucement son bras, marmonnant en riant, -"Un jour, j'entendrai que je suis la meilleure baise de ta vie." Il rit de nouveau, et je ne peux m'empêcher d'ajouter, provocante, -"Si tu as l'endurance en tout cas." Nos corps encore tremblants de plaisir, je me blottis contre lui, savourant la chaleur et la sécurité de ses bras. Aaron frappe contre la paroi de la douche, vérifiant si nous sommes seuls. Son geste me fait rire encore plus, et je me blottis plus près de lui, ne voulant pas rompre ce moment de complicité et de bonheur pur.

Quand il mentionne de récupérer nos affaires, je sais que notre petit paradis de vapeur et d'eau chaude doit prendre fin. Mais il revient en quête de mes lèvres et je ne boude clairement pas mon plaisir, ma langue venant immédiatement en quête de la sienne. Ce que j'aime cette façon qu'il a de m'embrasser.... ce mélange de passion ardente et de total détachement... c'est entêtant. Quand je recule, c'est pour sourire et mordiller sa lèvre inférieure avant que je hoche la tête, pose les lèvres dans son cou puis me lève paresseusement, m'étirant de tout mon long, en me cambrant très ostensiblement. Après tout il a dit apprécier la vue de mon cul, non ? Les courbatures délicieuses et la brûlure sur mon cul marquée par ses doigts me rappellent l'intensité de notre étreinte et m'assèche la bouche tout en affolant mon souffle de nouveau. Je le contemple quelques secondes, mémorisant chaque détail de son corps, inscrivant l'indécence de se souvenir en lettres d'or sous mon crâne. Je lui envoie un clin d'oeil avant d'aller récupérer mon maillot de bain et de l'enfiler rapidement.

De retour près de lui, je me love contre son torse, posant mes lèvres sur sa peau chaude et humide. -"Tu m'emmènes directement au bateau ?" je demande, levant les yeux vers lui, pleins d'espoir et d'envies nouvelles. J'aimerais que ses bras se referment autour de moi, j'ai le sentiment de vivre un moment d'exception et il y'a en moi un mélange d'incrédulité et de besoin que ça continue. Je me doute que ça n'est pas aussi simple pour lui. Qu'il n'aura sans doute aucune envie que ce qui s'est passé ici se sache. Mais ça... je m'en fous. Si je dois être la parfaite petite étudiante en public et avoir un tel traitement en privé ? Je signe immédiatement ! Non, même mieux que ça : je vends mon âme à qui en voudra. Impossible de renoncer à un tel afffolement de mes sens, maintenant que j'y ai gouté, j'en veux plus, j'en veux encore.

@aaron striker

Pando

ambiance -- Il y a un temps pour tout et même les meilleures choses ont une fin à ce qu’on dit mais là, clairement, j’aimerais que cela ne s’arrête pas, son attitude et sa façon de me tester me font rire, elle me cherche clairement, lorsque par exemple elle espère être un jour ma meilleure baise, je ne dis rien, je souris juste, j’ai envie de la piquer au vif et la faire douter, je sais qu’elle peut l’être, c’est même une évidence dans un coin de ma tête et la façon qu’elle a de me provoquer et jouer sur mon endurance me font dire qu’elle n’en a pas encore fini avec moi et je dois avouer qu’elle me redonne une certaine jeunesse.
Bon en réalité, même si j’ai de l’âge, je crois bien que je reste au top de ma forme et que je peux écraser n’importe qui, d’ailleurs, c’est un peu ma raison d’être sinon, c’est la mort qui va m’accueillir. Baiser et câlins se succèdent mais oui, toutes les bonnes choses doivent en tout cas se mettre entre parenthèse le temps de et je ne peux m’empêcher de la regarder se lever, s’étirer tel un chat et mon sourire se fait carnassier, elle sait jouer de ses charmes, la vision de son cul est sublime, je vois l’eau perler dessus et l’envie de venir passer ma langue pour recueillir les quelques gouttes me taraude mais elle enfile rapidement son bikini, ne boudant pas elle non plus son plaisir de me regarder et je lui laisse tout le plaisir, après tout c’est donnant donnant non ? Elle revient se blottir contre moi, me posant une question qui me laisse un léger frisson… Est-ce que je comprends bien ce qu’elle propose ? J’ai peut-être l’esprit mal placé, mais d’un autre côté… Vu ce qu’il vient de se passer, est-ce qu’on me jettera la première pierre ? Je fais mine de réfléchir avant de la regarder, taquin.

“J’aurais préféré que tu me dises de t’emmener directement au septième ciel, mais d’accord…”

Je hausse les épaules, faussement triste avant de rire et l'embrasse doucement avant de me relever pour aller chercher mon maillot, je fais bien attention de le récupérer rapidement, quand je suis arrivé ce matin, il n’y avait personne, il y a maintenant plus de risque, et même si je me fiche pas mal d’être vu à poils, je ne voudrais pas non plus avoir des problèmes.
Enfin habillé, je l’invite à me suivre, non sans je ne sais quelle raison, glisser mon bras autour de ses hanches, comme un petit couple, mais en réalité, j’ai juste besoin d’être à son contact, comme s’il m’était difficile de me détacher d’elle.
On se dirige vers ma Jeep, un classique et je balance mes affaires dedans sans vraiment y faire attention et l’invite à se mettre du côté passager avant de tourner les clés de contact, faisant vrombir le moteur et direction la Marina. Durant le trajet, cheveux au vent et lunettes de soleil sur le nez, ma main s'égare parfois sur sa cuisse.

“Dit moi ? Tu es rendu ou dans le dossier que tu devais rendre la dernière fois ? Il te manque des trucs pour le compléter ?”

Oui, nous venions de nous envoyer en l’air il y a quelques minutes, nous étions en route pour le bateau où j’avais clairement envie de la retourner encore une fois, mais j’arrivais quand même à parler de ça, comme ça, sans même avoir un petit regard moqueur ou amusé, j’étais très sérieux, et ce, quand bien même ma main s’amusait à remonter parfois jusqu’au creux de ses cuisses. Certes, je venais de la voir nue, mais elle restait surtout une étudiante qui faisait un stage chez moi.

@JOLENE FITZROY

Pando

ambiance -- --Outfit-- Provocation pour provocation, sourire pour sourire et baiser pour baiser... j'ai l'impression de rêver. Son corps contre le mien borde mes fantasmes depuis tant de jours ! Et maintenant je suis là, surf sous le bras, serrée contre lui, avançant vers sa jeep, le corps légèrement endolori de courbatures délicieuses. Si c'est un rêve je vous en supplie putain, ne me réveillez pas.

Il s'installe, je place mon surf à l'arrière et je me glisse sur le siège passager en le dévorant des yeux. Sa main trouve ma peau, me tire un frisson savoureux. Quand il la remonte doucement entre mes cuisses je ne peux pas résister à les écarter doucement en rougissant, plaquant mon dos au siège sans plus pouvoir respirer. Il parle et je tourne la tête vers lui, un sourire espiègle aux lèvres, charmée par l’aisance avec laquelle il passe d’un moment de passion à une conversation banale. J’apprécie son côté décontracté, mais je ne peux m’empêcher de jouer un peu avec cette dynamique. Sans doute parce que je ne suis pas vraiment redescendue pour ma part.

-"Tu es sérieux là ?" je dis en riant, mes yeux pétillant de malice. -"Après tout ça, tu veux vraiment parler de mes dossiers ? " Je le taquine, me moquant gentiment de sa capacité à rester impassible. Mes doigts effleurent la main qui repose sur ma cuisse, un geste léger et intime qui me rappelle à quel point je me suis sentie bien avec lui. J’apprécie l’étrangeté de notre situation, la façon dont nous oscillons entre le professionnel et l’intime, le sérieux et l’insouciant.

-"Eh bien, pour être honnête, j’ai pris un peu de retard."  Je lui lance un regard amusé, comme si je pouvais anticiper sa réaction. -"Parce que mes pensées ne parvenaient pas à se concentrer là dessus. Je crois que j'avais bien d'autres images plus... intéressantes en tête. Je ne sais pas si ça t’intéresse de savoir ce qui se passe dans la tête de ta stagiaire?"

J’incline légèrement la tête, feignant l’innocence, tout en sachant que je joue avec le feu. Je ne peux m’empêcher de me sentir séduite par le mélange de son sérieux et de ses gestes pourtant provocateurs, comme s'il me poussait à m'exprimer plus librement. -"Mais je dois te dire que tu y tiens régulièrement le premier rôle." j’ajoute, mes lèvres s’étirant en un sourire plein de sous-entendus. Je sais qu'il est à la fois mon supérieur et mon complice, et je me délecte de ce jeu délicieux qui s'installe. -"Et pour répondre à toute autre question, je suis plutôt occupée à me demander si tu es prêt pour un deuxième round sur le bateau ? "

Avec une petite moue, je le provoque, impatiente de voir sa réaction. Ma langue pointe entre mes lèvres, mes cuisses se resserrent autour de sa main. Le moteur de la Jeep vrombit tandis que nous avançons vers la marina, et l’anticipation monte dans l’air. Je ne devrais pas... j'en suis consciente, mais je m'en fous. Je ne peux pas résister à cette force brute qui me pousse vers lui. Je le veux. Je ne peux pas le dire autrement, je crois que je marcherais sur les mains ou sur des braises si il me le demandait. Ce mec me rend littéralement dingue, depuis que j'ai croisé son regard pour la première fois. C'était purement physique au départ, une pulsion animale et dévorante et puis j'ai découvert son humour, ce ton mi acide mi charmeur, cette façon dont ses yeux se plissent quand il sourit, la puissance de son corps que je venais frôler du mien... je le veux ? Non... je veux être à lui. Qu'il fasse de moi tout ce qu'il veut, tant qu'il n'espère pas s'en tenir à ce moment d'égarement dans les cabines de douche !

@aaron striker

Pando