Retrouver un semblant de vie [Feat Lana]

Retrouver un semblant de vie

Ces quatre derniers mois auront probablement été les pire de ma vie. Tôt ou tard, je savais que mon passé finirait par pointer le bout de son nez et que la mort de maman ne resterait pas indéfiniment sans réponse. Seulement, je suis loin d'être prête pour la suite des événements et je reste sur le qui-vive dans le cas où il tenterait d'en finir une bonne fois pour toute. Mais je n'ai pas l'intention de me renfermer sur moi-même, ou alors je m'appelle plus Crystal Bell. Et même si ces derniers mois je n'ai rien fait d'autre qu'être la simple assistante de monsieur Payns, ce soir, je suis rien moi. Plus question d'être vulnérable ou sensible à quoi que ce soit. Je n'oublie pas ce qui est en train de se passer dans ma vie, mais j'ai besoin de prendre du temps pour moi et mettre de côté tout ce qui tourne pas rond chez moi. Demain, les emmerdes seront toujours là.

Plus jamais je n'ai osé remettre les pieds au-delà du Lipstick par crainte de me sentir épiée à chaque coin de rue. D'autant que ce salaud qui me sert de père a été libéré de prison et qu'il pourrait à tout moment me retrouver et se venger pour son temps passer derrière les barreaux. J'ai donc préféré me protéger un peu plus en réduisant mes sorties, au point même que j'en suis arrivé à démissionner de mon travail au centre commercial. Il faut dire que, depuis mon entrée chez les Templiers, j'ai d'office été choisie pour être l'assistante personnelle de monsieur Payns. Aujourd'hui, je comprends mieux pourquoi. Il voulait garder un œil sur moi depuis la mort de maman. D'ailleurs quand j'y pense, ça me fait toujours froid dans le dos, à savoir qu'ils se connaissaient bien. Mais d'un côté, je me sens un peu plus en sécurité. Ici, personne n'oserait y pénétrer pour foutre le bordel sans passer par lui ou bien les autres Templiers.

Je n'ai jamais mis les pieds au Cosmos, l'une des Discothèques les plus branchées qui soit de San Diego. Ce serait l'occasion idéale de m'y rendre afin de briser cette foutue routine à laquelle j'y ai pris goût depuis mon retour de mon escapade avec monsieur Payns, en décembre dernier. En fin de journée, alors que je finis par mettre de l'ordre dans mes dossiers, je file à l'étage pour me préparer. Et après un long moment passé dans un bon bain chaud, à faire le vide dans ma tête, je sors de l'eau et enfile une tenue que je n'ai encore jamais mise composée d'un haut en coton à manche longue avec décolleté et d'une mini-jupe assortie. Comme je l'ai dis, j'ai bien l'intention de m'éclater et faire des connaissances. Me sortir de la solitude le temps d'une nuit me ferait le plus grand bien. Et qui sait, peut-être que je trouverais une personne qui m'aidera à me faire vivre quelque chose de positif. Et quoi de mieux que cette nouvelle tenue pour attirer l'attention ? J'ai besoin de m'amuser comme je l'entends.

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Retrouver un semblant de vie

Il est grand temps de partir pour profiter pleinement de ma soirée, loin des emmerdes quotidiens qui seront toujours présents demain. À bord de ma Ford Mustang, j'indique l'adresse du Cosmos sur mon GPS et m'y rends immédiatement. Plusieurs minutes plus tard, j'arrive sur place et je suis surprise du nombre de bagnoles qui sont garées devant le bâtiment. Je mets un certain temps avant de tomber sur un  emplacement vide, et quand je finis enfin par en trouver un, je me dépêche à la prendre avant que la voiture en face de moi ne me le pique. Seulement, on manque de se rentrer dedans. «Fils de pute !», je cris dans l'habitacle. J'arrête le moteur, récupère mon téléphone et mon petit sac et sors de la voiture. Lorsque je me trouve à l'extérieur, je peux entendre gueuler le type qui voulait prendre ma place. «Espèce de Salope, j'étais là avant toi.» Je m'approche de ce connard, en furie, et quand je suis assez près de lui pour le remettre à sa place, je plisse des yeux pour observer les deux personnes à l'intérieur de la voiture et souris en les regardant. «Mike ? Victoria ? C'est vous ?» «Crystal. Salut, ma belle.» dit mon amie. «Désolé, Crystal, je savais pas que c'était toi. Je t'aurais laissé la place sinon. C'est juste que ça fait une plombe qu'on tourne en rond. Vraiment désolé.» répond Mike. «T'es pardonné, Miky. J'espère que vous trouverez vite une place pour que nous puissions nous retrouver devant l'entrée.» «T'en fais pas pour nous, Crystal. Je t'appellerais quand nous en auront trouver une.» répond Victoria. «Ok. On se retrouve à l'intérieur, alors ?» «On fait ça, ma belle.»

Après un dernier sourire amical à mon couple d'amis, je me dirige en direction du bâtiment. Je me place au fout de la file d'attente. Après une bonne demi heure à attendre mes amis, d'autres personnes sont arrivées, toujours pas de Victoria et de Mike en vue. Je rentre donc toute seule dans le bâtiment après que le videur se soit bien rincer l’œil en me reluquant. Il me sourit et me laisse passer. À l'intérieur, l'ambiance est parfaite. Tout ce qu'il faut pour me satisfaire en ce moment. La musique résonne et les jeux de lumières... Bref, ce lieu risque d'être mon sanctuaire pour les prochaines fois où j'aurais besoin de me vider la tête. En attendant que Mike et Victoria ne me rejoigne, je me laisse emporter par la musique qui est en cours. Je m'insère parmi la foule et commence à suivre le rythme du son. D'ordinaire, je me rends toujours au bar pour me commander une boisson mais ce soir, c'est la piste de danse qui m'attire en premier lieu. Les bras en l'air, les yeux fermés, je commence à bien m'éclater. Puis, je peux sentir des mains venir s'agripper à ma taille. J'ouvre les yeux et me retourne pour y voir un mec se déhancher contre moi. Je souris à son geste et le laisse continuer, m'autorisant moi-même à m'agripper à ses épaules. «T'es sacrément bonne comme femme, on te l'a déjà dit ?» me dit l'inconnu à mon oreille. «On me le dit très souvent, oui.» je réponds sans retenue. «T'es venue seule ce soir ?» «Pourquoi ? T'as des projets à me proposer ?» je dis en me retournant, dos collé à son buste. «C'est à toi de me le dire. On pourrait s'écarter de la piste de danse et s'amuser différemment.» Je rigole à sa proposition et lui fait face à nouveau. «Je suis pas assez soûle pour ça, beau mâle. Redemande moi quand je serais un peu plus pompette.» Puis je viens capturer ses lèvres, mon corps collé au sien. Au niveau de mon entrejambe, je peux déjà sentir la bosse de son pantalon grossir à petit feu. «Il semblerait que je commence déjà à te donner chaud.» j'ajoute en lui passant la main par-dessus sa bosse. Puis, je m'écarte à reculons en suivant toujours le rythme de la musique, les mains plaquées sur mes seins, finissant par me perdre parmi la foule qui m'encercle.

Une fois loin du type au sang chaud, je continue à danser, toujours à fond. Mais très vite je perds pieds lorsque je suis accidentellement bousculée par quelqu'un. Je me retourne pour faire face au responsable de cet incident et quand je lui fais face, c'est sur une bombe atomique aux énormes seins et au visage angélique que je tombe. Elle s'excuse de m'avoir bousculée. «C'est pas grave. Ça peut arriver à tout le monde.» je dis simplement. «On est là pour faire la fête et s'amuser, non ? Alors profitons et oublions cet accident.» Je lui souris et lui fais signe de me suivre sur la piste de danse. «Sauf si bien sûr tu es accompagnée. Fais-le moi savoir.» Je lui fais un clin d’œil et retourne sur la piste de danse. Elle finit par me rejoindre et se déhancher lentement devant moi. Je la suis dans son mouvement et la fixe du regard pendant toute notre danse. Sans réfléchir, je me mets à mon tour à déhancher non pas lentement mais sensuellement pour attirer son attention, ne la quittant jamais du regard.

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Retrouver un semblant de vie

Ce qui est en train de se passer à l'intérieur de cette boite de nuit, c'est exactement ce que j'aime le plus faire au monde : danser et faire des rencontre inattendues. Pour le coup, je viens de faire la connaissance d'une bombe atomique qui semble apprécier tout autant que moi la vie nocturne. Une simple bousculade classique et le tour est joué ; nous sommes déjà en train de se séduire mutuellement sans perdre de temps. Car c'est aussi ça le plaisir de sortir en boite de nuit : tu t'éclates, oubliant ton quotidien et tu profites du moment qui se présente à toi, peu importe avec qui. L'importance c'est de s'amuser autant qu'on le peut. Et cette femme que je viens de bousculer a de quoi me plaire physiquement parlant. Elle a tout ce qu'il faut, là où il faut. Que demander de plus ? Après un bref échange au sujet de l'incident qui nous a conduit à se rencontrer, je ne m'éternise pas sur le sujet et l'invite à me suivre sur la piste. Seulement, elle n'est peut-être pas venue seule, alors je finis par me renseigner à ce propos. Mais quand finalement je la vois me suivre, je sais qu'elle est seule et disponible pour être ma partenaire pour au moins cette chanson.

Je ne la quitte pas du regard et observe son déhanché qui me plaît vraiment beaucoup. Je la suis dans son mouvement et commence à me coller à elle. Mon regard est toujours posé sur le sien et je n'ai clairement pas l'intention de m'arrêter de si tôt. Les bras en l'air, je continue à me déhancher sensuellement afin qu'elle me regarde à son tour. Là, elle m'explique alors qu'elle n'est pas venue seule mais qu'elle et ses amis ont été dispersés. Puis, elle se présente et ajoute qu'un sort les a fait se jeter l'une sur l'autre. Je souris de plus belles, mes yeux désormais rivés sur sa belle poitrine. «Moi, c'est Crystal. Et, je sais pas si c'est un sort qui nous a jeté l'une sur l'autre, mais t'es sacrément canon et c'est un régal pour mes yeux.»

Ma nouvelle amie pose un bras sur mon épaule et m'attire vers elle. Je me laisse faire évidemment, car j'aime bien sa façon de s'y prendre avec moi. Puis, soudainement, elle porte ses lèvres sur les miennes et je me sens basculé en arrière. Je passe mon bras par-dessus sa nuque et me laisse porter par ce baiser fougueux. Je peux sentir à ce moment-là, ses seins venir se frotter aux miens, ce qui donne à la scène encore plus de piment. Et là, j'imagine que tous les chiens en manque de chattes doivent se rincer l’œil en nous matant. Lana replace une mèche derrière mon oreille tandis que nos deux bouches se détachent. «Putain, ça c'était un baiser torride.» Lana rajoute que ce baiser risque de donner faim à tous les mecs qui me convoitaient avant notre rencontre et ça, ça l'amuse beaucoup. Donc, elle m'observait déjà un peu plus tôt ? «Observatrice ? Intéressant ça.» Cette nana a tout pour me plaire, visiblement. «Ne les faisons pas plus attendre que ça dans ce cas.» Je porte à mon tour mes lèvres sur les siennes et l'embrasse avec avidité. Je me redresse, me colle un peu plus à ma partenaire et regarde tous les mecs qui sont autour de nous. Je souris à travers ce baiser et commence à plaquer une main sur le sein de Lana et à le palper.

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Retrouver un semblant de vie

Avoir les yeux rivés sur moi de mecs complètement en manque m'amuse vraiment beaucoup. Je sais que j'ai ce don de les exciter et de les rendre encore plus en fou dans ce genre de soirée. C'est une de mes spécialité. J'aime les voir saliver en me reluquant, c'est un des avantages que mère nature m'a donné. Mais ce soir, c'est pas de mec dont j'ai besoin mais d'une femme qui a, elle aussi, envie de s'éclater avec une autre femme. Et par chance, nous nous sommes trouvés par le plus grand des hasards. Lana est l'heureuse élue avec qui je vais sans doute passer une nuit inoubliable et qui sait, peut-être que je serais celle qui rendra sa nuit inoubliable aussi. Nous verrons cela lorsque nous sortirons de cette boite pour aller s'amuser ailleurs. Mais pour l'instant présent, tout semble penser que nous n'allons pas s'arrêter à un simple baiser et une palpation de boobs. Non, j'ai bien l'impression qu'elle désire tout autant que moi de poursuivre cette soirée dans un lieu plus intime. Mais j'ai bien l'intention de faire durer ce plaisir et d'exciter encore plus longtemps les mecs, quitte même à ce que l'un deux commence à ressentir la soudaine envie d'aller se branler sur nous deux. J'ai déjà vu ça par le passé, un mec qui a sortie sa queue pour commencer à se branler sur moi. Autant dire que je l'ai vite remis à sa place, même si j'avais aimé ce que je voyais. Une chaudasse, moi ? Ça dépend. Mais ce soir, avec Lana, j'ai bien envie de l'être. Ce ne serait pas la première fois qu'on me considérerait comme une salope, car j'ai bien sucé deux types en public pour rendre mon ex jaloux, c'est dire l'effet que ça me fait, à savoir que dalle. On a qu'une seule vie et j'ai bien l'intention d'en profiter.

Alors que notre baiser se prolonge et que je prends un malin plaisir à peloter le sein de Lana devant les regards des mecs, je la vois se reculer et me regarder de son regard qui a pour but de m'exciter. Elle veut que je lui apprenne à embrasser comme ça. Je ris à sa remarque et lui susurre à l'oreille : «Tu n'as pas besoin d'apprendre, beau yeux, tu le fais très bien.» je lui réponds en passant mon pouce sur le coin de sa lèvre sur laquelle se trouve de la salive. Je l'embrasse à nouveau, lui palpant à nouveau son sein de façon à ce que tous les mecs regardent bien la scène. Pour pimenter encore plus la chose, je soulève ma jambe et viens la plaquer sur son tour de taille. Je sens que Lana se sent très observée par tout le monde. Elle me propose alors de monter à l'étage car elle veut être mienne pour la nuit. Mission réussie ? «Pourquoi monter à l'étage maintenant ? On a encore toute la nuit, beauté. Allez viens, c'est ma tournée. On a assez excités les mecs. Promis, après on montera à l'étage pour s'amuser différemment. Mais là, tout de suite, j'ai besoin de boire pour m'hydrater. Viens.» je lui prends la main et je nous conduit jusqu'au comptoir du bar où je nous commande une boisson la plus forte qu'ils aient. Le barman me sourit et s'exécute à la tâche. «Tu vas voir, après ça, on va passer une nuit qu'on n'oubliera pas de si tôt.» «Et voilà pour vous mesdemoiselles. Savourez bien.» je lui fais un sourire charmeur et tends un verre à Lana.«Allez, viens, suis-moi. On va aller se poser quelque part.» On galère à trouver une table, mais après quelques bonne minutes, un groupe de personnes quitte une table qu'on s'empresse de prendre. «A notre rencontre. Je bois une gorgée de mon verre et je grimace légèrement. «Il est fort celui-là, putain ! Il arrache.» Je me tourne vers Lana et souris en l'observant. «Si j'étais un mec, je me serais branlé en pensant à toi et il y a même moyen que j'aurais puisé sur toute la réserve de mes boules en jouissant. je dis en riant. «Tout ça pour dire que t'es vachement excitante et que j'ai moi aussi envie de jouer avec toi pour le reste de la nuit.

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Retrouver un semblant de vie

L'idée était simplement de venir dans cette boite de nuit et faire la fête pour oublier mes tracas du quotidien. Je ne voulais en rien rester cloîtrer chez moi à me demander si j'allais un jour pouvoir retrouver un semblant de vie normale depuis... Eh bien il se trouve que je passe une putain de bonne soirée au Cosmos, comme jamais je n'ai passé un bon moment dans un autre boite. Enfin, si, peut-être que par le passé je me suis déjà retrouver dans une boite et que je m'y suis bien éclaté. Mais là, ce soir, c'est un moment assez agréable que je partage avec ma nouvelle amie. Pour l'instant, on se connaît pas, on a juste chauffé quelques mecs sur la piste de danse et maintenant, on est toutes les deux assises sur une banquette à boire une boisson alcoolisé ultra forte. Mais pour la suite de la soirée, il me faudra encore plus de dose non pas que j'en ai besoin pour monter à l'étage et m'occuper de ma nouvelle partenaire de sexe. Mais je ne veux pas baiser juste pour baiser ce soir. Je veux que quelque chose se passe entre elle et moi, une sorte d'étincelle qui nous pousserait automatiquement dans les bras de l'autre, même si je sais que c'est ce qui va arriver. Elle est chaude et je suis chaude. Je lui ai quand même palper le sein pour rendre des mecs complètement dingue, c'est pas rien.

Maintenant que nous avons toutes deux goûté à cet alcool très fort, je me suis lancé dans un sujet qui, même après lui en avoir parlé, je me demande pourquoi je l'ai fait. Après tout, ce n'est pas comme si je pouvais être un type qui se masturberait en pensant à Lana. Non, moi je suis juste une femme qui va se la faire systématiquement une fois que nous auront assez d'être sur cette banquette à bavarder. Sa réponse à mon commentaire la fait bien sourire.  «Je me dis que si j'étais un des mecs qui nous reluquaient, il y a de fortes chance que je me serais astiquée la queue pour évacuer toute la sauce. On va pas se mentir, tu as dû en faire jouir plus d'un, j'ai pas raison ? Et même si on toi et moi on va s'amuser un peu plus tard, je me mets à la place des hommes qui ont bien dû avoir la gaule.» Parler de cette manière à Lana me permet de lui montrer que je suis ouverte à tout, encore plus aux conversations qui nous ramène au sexe. D'ailleurs, à ce propos, Lana poursuit en me disant avoir apprécié que je prenne les devants tout à l'heure et je ne peux m'empêcher d'afficher un petit sourire du coin des lèvres lorsqu'elle me fait part avoir crue que j'allais la baiser en public. «Tu es si mignonne d'avoir eu cette pensée, ma belle, mais tu crois tout de même pas que j'allais faire plaisir à ces mecs et les faire profiter gratuitement d'un tel spectacle ? Sois sans crainte, ce soir, il n'y a que toi qui va avoir la chance de voir l'entièreté de mon corps nu.» Lana pose son index sur mon menton et je me demande ce qu'elle a bien derrière la tête en ce moment. «Qu'est-ce que tu fais ?» je demande en la fixant droit dans les yeux. C'est alors qu'elle s'interroge sur la façon dont son ego réagirait si je la considérais comme une chienne. J'admets que là c'est assez inédit. On me l'avait jamais faite celle-là. «Premièrement, je n'ai pas l'intention de t'humilier de la sorte. Et même si tu es très coquine, tu n'es pas pour autant une chienne. Enfin tout dépend du contexte. Si c'est en privé, tu peux être ce que tu veux avec moi, je garderai cette facette de toi pour moi. Puis, je te connais pas encore pour te juger sur qui tu es. Ce soir, je suis autant chienne que toi.» je dis en me collant à elle.

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Retrouver un semblant de vie

Cette fille-là n'a pas froid aux yeux et ça me plaît beaucoup. J'ai su dès l'instant où j'ai croisé son regard que nous deux ça allait parfaitement coller, et jusqu'à présent, je n'ai rien à rejeter sur elle ; elle est sacrément excitante et a tout ce qu'il faut pour me séduire sexuellement. En général, il m'en faut très peu pour être totalement séduite quand il s'agit de sexe étant donné que ça reste une activité que je pratique constamment. Et ce genre de rencontre non prévue, me conduit très souvent à baiser dans la foulée - c'est quelque chose qui m'excite énormément, d'ailleurs -, et je ne compte même plus le nombre que l'on m'a retournée dans des lieux publics. Le risque d'être surprise en train de forniquer me fait encore plus monter l'adrénaline. La première fois que j'ai vécu ça, c'était avec mon petit-ami, Jordan. Sa mère nous avait surpris alors que je lui pompais la queue. Cette fois-là, j'ai bien cru que j'allais mourir de honte. Mais finalement, j'y ai pris goût et j'ai recommencé.

Mais ce soir, avec Lana, j'ai bien l'impression que nous donner en public ne nous dérangeraient pas plus que ça ; sur la piste de danse, ça a déjà bien commencé en nous exposant de la sorte devant tous ces inconnus. Et j'ignore si Lana apprécie de se donner en spectacle devant un public, mais je dois bien avouer que pour ma part, j'aurais été tout à fait capable de la doigter devant tout le monde et la faire mouiller comme une salope. Mais n'ayant aucune connaissance de son plaisir sexuel, je me contenterais de m'en occuper en privé. Pour le moment, je suis là, assise auprès d'elle en train de savourer une boisson ultra alcoolisée à me languir pour la suite de la soirée. Mais je me contente plus seulement de boire et baiser avec des inconnus non, j'entame une conversation pour essayer d'apprendre à les connaître, du moins, ceux qui m'intéressent vraiment. Lana entre dans ce lot de personne. Elle a ce petit quelque chose qui me fascine et qui me donne très envie de la connaître.

Tout en sirotant notre boisson, je tiens à la rassurer sur la personne qu'elle est. Et même si j'en ai strictement aucune idée, je pars du principe qu'elle n'est pas une mauvaise personne, malgré les doutes qu'elle s'auto-inflige. Mais très vite, je la dissuade de penser négativement à son propos et semble réussir à la convaincre. Dans le même temps, je me suis rapprochée un peu plus d'elle et j'ai la sensation d'être très confortable à ses côtés. Je passe la main sur sa jambe et me mets à la caresser tout le long pendant qu'elle me fait un bon commentaire sur ma personne. Si tu savais ce que j'ai envie de te faire, là, maintenant... je me dis dans ma tête tandis que ma main se remonte légèrement jusqu'à son intimité. Elle me fait cadeau d'un baiser furtif, mais au même moment, je sens monter l'excitation au niveau de mon entrejambe et j'ai cette impression de commencer à être humide.

Je ris lorsqu'elle me parle de dominance. Sujet assez ironique quand on sait que je ne suis pas une experte dans ce rôle et que, de manière générale, je préfère largement être soumise que dominante ; lorsque je me fais baiser, j'aime voir mes partenaires me dicter les choses et prendre les devants sur la suite. J'opte principalement pour le libre arbitre de chacun, c'est ce qu'il y a de plus excitant.  «Eh bien, je constate que tu ne fais pas les choses à moitié, toi. Baiser avec toi doit être un pur régale. Mais au risque de casser ton fantasme, je n'ai jamais été dominatrice, pas même une soumise. Cela dit, il ne faut jamais dire jamais, hein.» je dis en remontant encore un peu plus la main. «Par contre, là, maintenant, tu sais ce que je désire le plus ? Te montrer à quel point je suis chaude.» je dis ça alors que je sens ses doigts descendre le long de ma colonne vertébrale, ce qui me fait frémir légèrement. Ça y est, je crois que nous y sommes. Lana se lève et me demande de la suivre. Je boit d'une traite le reste de mon contenu et la suis. Nous parvenons jusqu'à un couloir qui donne sur des chambres. Lana entre dans l'une de celles-ci et j'entre à mon tour. Je ferme la porte et la rejoint sur le lit double. «Et maintenant, je pense qu'il est temps de passer aux choses sérieuses, tu penses pas ?» Je commence à déboutonner mon haut, m'approche de Lana et viens capturer ses lèvres avec fougue.  

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Retrouver un semblant de vie

Je ne pensais pas rencontrer une femme aussi fêtarde que moi. Encore moi, une femme fêtarde et canon en même temps. Cela dit, ce n'est pas ce qui manque au Cosmos, des femmes ultra canons, mais celle-ci, cette Lana, elle a des attribues qui m'ont tout de suite plu. Ce soir, j'étais d'humeur à sortir et à faire de nouvelles rencontres. Et c'est d'ailleurs pour ça que nos chemins se sont croisés au Cosmos, comme si nous étions prédestinées à nous rencontrer. C'était du plus grand des hasards, bien sûr, et jusque-là, je ne regrette en rien cette rencontre. Puis, avec l'alcool qui nous serve et ma dépendance à celui-ci, il était évident que je n'allais pas tarder à sortir le grand jeu pour impressionner cette fille. Et ça tombe bien, je suis autant attirée par les femmes que par les mecs, et ce soir, c'est sur elle que j'ai jeté mon dévolu.

Alors que notre première rencontre se passe chaudement, elle me demande de la suivre. Je m'exécute et la suis jusqu'à l'étage. Elle nous fait entrer dans une chambre et une fois à l'intérieur de celle-ci, je réalise que la soirée ne fait que commencer. Je referme la porte derrière moi et lui annonce qu'il est grand temps pour nous deux de passer aux choses sérieuses. La réponse de Lana me fait bien sourire, puisqu'elle confirme que j'ai été bien trop sage jusqu'à maintenant. De ce fait, elle exige que je lui montre qui je suis réellement lorsque je suis brûlante. «Tu vas pas le regretter, ma belle. Je vais tout te donner.» Je m'avance dans sa direction et commence à déboutonner mon haut et viens capturer ses lèvres, me plaçant à califourchon sur elle, nos deux poitrines venant se collées l'une contre l'autre. S'ajoute à ce baiser, nos deux langues qui viennent s'épouser mutuellement. Et sans m'y attendre, Lana nous fait basculer sur le lit. Toujours à califourchon sur elle, je garde mes lèvres sur les siennes, profitant pleinement de ce moment. Lana dégrafe mon soutien-gorge et je me retrouve très vite la poitrine à l'air. Je souris à la scène et continue de l'embrasser, puis je fais descendre mes lèvres jusqu'à sa poitrine. Lana me dit vouloir me voir sortir les griffes de coquines et ajoute qu'il n'y a pas plusieurs options : sortir les griffes ou se laisser bouffer toute crue. Je me redresse et plaque mes mains sur sa poitrine. «Dans ce cas, je vais opter pour les deux : sortir mes petites griffes de coquine et me laisser bouffer par toi. Dans les deux cas, tu vas être servie, ma jolie.» Je place mes mains sur ses épaules et fais glisser sa robe le long de son corps. Je me retrouve avec une vue plongeante sur sa magnifique poitrine. À mon tour, je dégrafe son soutien-gorge et le jette à terre. «Toi, je vais te manger toute crue.» Je me cambre sur elle et l'embrasse à pleine bouche, nos deux poitrines se touchant. Je plaque ma main sur sa joue et m'allonge à côté d'elle, nos deux corps désormais collés. Je profite pour tenter de lui retirer l'entièreté de sa robe pour ne laisser place qu'à son joli corps de rêve.

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J'ai tellement besoin de me vider la tête et d'oublier tout ce qui concerne mon père et mon passé. Je n'ai plus envie de vivre avec ça, au moins le temps de cette soirée... de cette nuit... tout dépendra de comment ça va se passer entre Lana et moi. Mais à en juger par ce que nous sommes en train de faire, je dirais que la nuit sera plus plausible, et avec elle, je retrouve la fille que j'étais avant tout ça. Rencontrer Lana va me permettre de reprendre ma vie, là où je l'ai laissée il y a quatre mois et tenter de recommencer à vivre comme je l'entends. Quelques verres avec ma nouvelle connaissances, ce n'était qu'une question de temps avant que nous nous retrouvions dans cette chambre du Cosmos, prêtes à coucher ensemble ; il ne m'en faut pas plus pour me laisser séduire par une femme aussi plantureuse que Lana. C'est le genre de femmes qui me plaît beaucoup et dont je n'ai aucune difficulté à dire non. Quand il s'agit de baise sans lendemain, je ne suis jamais très loin, en général, et plus encore lorsque c'est avec ce genre de personne.

Allongées sur le lit, désormais nues, on entre toutes les deux dans une phase de caresses. Mon corps collé au sien, mon visage près du sien, je fais glisser mes doigts sur son corps parfait avant de reporter ma bouche sur la sienne pour l'embrasser avec fougue. Je passe ma jambe par-dessus la sienne. Je sens maintenant que nos deux entrejambes se touchent. J'ondule mon bassin pour stimuler ma partenaire. Je la regarde à nouveau et lui souris. «Tu es tellement excitante quand tu me parles comme ça. Tu seras pas déçue, je te le garantie.» Je l'embrasse à nouveau avant de la basculer sur le dos. Me retrouvant à nouveau sur elle, mes mains plaquées sur son ventre, j'ondule à nouveau mon bassin, cherchant cette fois-ci à l'exciter un peu plus. Lentement, je la chevauche comme je chevaucherais une queue et après quelques va-et-vient, j'augmente la cadence et continue de frotter ma féminité contre la sienne, mon objectif étant de l'amener à l'excitation. Je commence à gémir. Tout en poursuivant mes va-et-vient, je me penche en arrière, les mains posées sur les draps et je continue à me frotter à elle.

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