| | | Pas le bon jour... (Sydron take2) |  |
| WebName : Hortek Date d'inscription : 16/10/2022 Messages : 183
Avatar & crédits : Jay Alvarez Date de naissance : 15/03/1999 Age : 25
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 |  Sujet: Pas le bon jour... (Sydron take2)  Ven 1 Mar - 22:52 | |
| C’est aujourd’hui… Hier pour une fois j’ai pas cherché à m’exploser la tête avec tout ce qui me passait sous la main afin que mon cerveau soit totalement abruti par la drogue et l’alcool afin que j’oublie totalement cette journée. Que j’oublie l’avoir vécu. Pour annihiler purement et simplement son existence. Je n’ai rien fait et depuis ce matin je erre perdu dans ma propre émotion. Je promène blessé et hagard d’un coin à l’autre de chez moi. La pression de l’air me fait suffoquer et je peine à respirer comme il faut. Je l’ai éparpillée aux 4 vents à sa demande et elle fait partie désormais de la terre, d’un tout. Je ne sais pas où aller pour la voir pour lui parler. Mais c’est stupide. Elle est morte et moi je suis toujours là. J’ai promis de rester, de ne pas écouter et l’envie de le faire revient en boucle dans ma tête et dans mon cœur. C’est étouffant de violence. Je suis éteint et au bord du gouffre. Sans le réaliser, j’ai accepté de bosser aujourd’hui. Je tourne avec Candy, une nana joviale et souriante. Je traine autant que possible et je quitte finalement mon appartement.
Après quelques pas j’ai l’impression que tout tourne autour de moi. Que mon cerveau fait des siennes à m’en donner des nausées. Je m’arrête et hèle un taxi qui m’emporte au studio. Une fois sur place, je souris de manière forcée et je donne le change. Mais ça ne va pas du tout. Candy arrive toute heureuse et joyeuse. Elle a une nouvelle couleur de cheveux. Elle est blonde… Puis la scène se lance. Je suis mécanique. Alors l’équipe se concentre sur Candy qui s’éclate sur moi. Elle rayonne de plaisir et de joie de vivre et moi je me fais chier. J’ai l’impression de la regarder de derrière un écran. Comme si ce n’était pas moi dans cette scène mais que je regardais ça de derrière mon écran. La scène avance et je suis en levrette derrière elle. Ses cheveux blonds qui ondulent me ramènent à une autre époque. Un autre moment. Une autre personne. Mes yeux se chargent de larmes et je retiens de toutes mes forces. Je relève les yeux pour chercher un extincteur à fixer pour ne pas craquer. Mais mon regard croise alors celui de Sydney. Depuis quand elle est là ? Depuis quand elle est entrée ? Je baisse les yeux et dans un râle je me vide dans le corps de Candy qui jouit avec moi. Le caméraman se rapproche et je sors de la joie blonde pour le laisser filmer le « résutat ». Je devrais embrasser Candy, jouer le jeu, mais non. Je quitte le plateau avant le couper et je vais me foutre dans une loge vide.
J’ouvre l’eau qui m’éclate dessus glacée et puissante. Je tape le mur de mon poing alors que je n’arrive plus à retenir mes larmes. Je pleure durant de longues minutes sous l’eau qui me tabasse de froid sans parvenir à calmer la douleur. Je coupe l’eau et me laisse descendre dans la douche le dos contre le mur de carrelage. Je finis assis au sol. Je ne pleure plus, mais j’ai mal à en crever et je me tiens ici, genoux repliés contre moi. Coudes sur les genoux, mains jointes le front contre celles-ci et essayant de respirer en tremblant de froid… Putain… J’aurais vraiment du m’exploser la gueule avec une dose de cheval… |
| WebName : Lex / Claï Date d'inscription : 12/03/2022 Messages : 404
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| | Sujet: Re: Pas le bon jour... (Sydron take2) Dim 10 Mar - 21:38 | |
|  C'était long... putain ce que c'était long. Pas de tournage aujourd'hui mais des photos, pour les affiches des prochains films. Je crois que je n'avais jamais posé dans autant de tenues loufoques en une seule journée. Je crois qu'il faut que je discute avec miss De Leon, ce photographe est cinglé. Je suis fourbue quand je regagne le Lip et l'étage de Satine. Mon intention ? Saluer le reste de l'équipe avant d'aller m'installer sous un plaid dans mon canapé avec une putain de série. J'entre dans les studios et comprends vite qu'un tournage est en cours. On est pas sensés approcher, ni faire le moindre bruit, mais le fait d'être une actrice vedette évite ce genre de désagrément. Enfin disons que ça me donne un petit passe droit qui me permet de m'avancer tranquillement pour découvrir Candy déchainée avec un Sledgehammer complètement éteint. Je crois que c'est ce qui m'interpelle et fait que je reste plantée là. En général je ne contemple pas le travail des autres, ça me fait pas rêver en fait. Donc hormis quand on m'apprend la réal, je m'abstiens mais là... c'est bizarre. Il relève les yeux et ça me fait l'effet d'une gifle monumentale. Ce regard de noyé, ce n'est pas celui que je lui connais. La suite est une fuite en avant, il se vide dans la fille qui jouit bruyamment. Ok ça me je m'en tape clairement. Il se lève et se casse ? Le coupé résonne en même temps que la porte par laquelle il vient de se barrer. C'est quoi ce bordel? Réal fumasse ? Je m'avance en levant les mains avec apaisement. -"Ma faute, j'ai perturbé la fin de la scène. Je m'en occupe." C'est faux, on le sait tous les deux, mais je te conseille de bien fermer ta gueule. C'est ce que mon regard lui impose alors que je m'avance et prend le même chemin qu'Aaron. Je tranche sérieusement dans mon accoutrement. Bikini, paréo, ce putain de chapeau. Je l'abandonne sur le sol et balance les lunettes de soleil par dessus. Le réal fait un pas et je l'entends grommeler sans comprendre ce qu'il dit pour autant. La main sur la poignée de la loge je me retourne et impériale je balance. -"Rappelle moi de parler de toi à Rosie... enfin de toi ? Du fait que je ne veux plus travailler avec toi." Sourire de bitch, regard étincelant et je pousse la porte. J'entre pour le trouver assis dans le bac de la douche, le corps tout tremblant. -"Bordel Aaron, mais que se passe t'il ?" Il affiche un air misérable et ça me fait mal au ventre. Je déteste le voir comme ça, abattu et manifestement triste. Alors je m'avance et je force le passage pour me glisser entre ses jambes, à genoux face à lui. -"Mais tu es gelé en plus, tu vas attraper la mort." Je secoue la tête, tend la main au dessus de nous pour rallumer l'eau et régler la température. J'ai un petit cri en réalisant qu'il vient de se prendre une douche gelée et je me retrouve trempée à mon tour, le fixant, les yeux exprimant une inquiétude et une tendresse non feintes. Je sais qu'on s'envoie des fions en permanence, mais... y'a pas que ça... et je déteste le voir comme ça. |
  La vie n'est qu'une infinie quête de plaisir.  | WebName : Hortek Date d'inscription : 16/10/2022 Messages : 183
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| | Sujet: Re: Pas le bon jour... (Sydron take2) Dim 31 Mar - 22:13 | |
| C’est comme si un truc au fond de moi enflait. Immense, oppressant et glacial. Il me ravage de l’intérieur et ma peau est trop petite pour le contenir. J’ai mal. Et je n’ai rien pour me détacher de cette douleur, ni alcool, ni drogue, ni rien. Je n’ai même pas la force de faire le con jusqu’à ce qu’on perde patience et me frappe jusqu’à ce que la douleur ou la perte de connaissance voir les deux me fassent passe cette souffrance pire que la mort. Pourtant ce soir-là, j’ai promis. J’ai promis à Alice de tenir. J’ai promis de ne jamais céder et de me donner la mort volontairement. Mais quand je suis dans cet état-là… C’est plus difficile que toute autre chose de devoir conserver cette promesse. Je me suis réfugié ici sans savoir pourquoi ? Je suis sous cette eau glacée pour je ne sais qu’elle raison ? Ressentir quelque chose ? Je ne sais pas. J’ai mal partout et nulle part à la fois. J’ai comme un vide en moi, un trou noir qui m’aspire de l’intérieur. Le vide. Le vide absolu. Rien. Ni lumière, ni ténèbres. Juste le vide. Froid et glacial. Rien du tout. Je suis nu dans le vide et j'erre sans but ni moyen d’en réchapper. Et la pression que je ressens m’étrangle et me laboure violemment les entrailles.
La porte s’ouvre et je ne réalise pas qui est là, mais j’entends une voix. Bof je m’en tape. Je reste comme je suis sous l’eau qui continue de me couler glaciale sur la tête et le dos. Je tremble et cette sensation de froid me détourne un peu de la souffrance même si c’est loin d’être assez efficace. Mais la personne arrive en face de moi et… Merde Sydney ? Sérieusement ? Elle vient se placer près de moi, entre mes jambes et se met à genoux avant de me dire que je suis gelé et que je vais attraper la mort. Si seulement c’était vrai… Elle se hisse et remet de l’eau chaude et se fait tremper. Je réalise que ça pique effroyablement ce contraste de chaud contre le froid. Je réalise le froid, je réalise la douleur car elle s’imprime aussi sur ma peau. Je tremble et alors qu’elle est là. Dressée sur ses genoux, je ne parviens pas à faire autrement. Je passe mes bras autour d’elle et l’attire contre moi. Je place mon visage dans son cou écrasant son corps chaud contre le mien. Je la trempe en l’attirant sous l’eau et là je ne parviens plus à me retenir et je pars en sanglots.
J’explose en larmes et je pleure contre elle, le visage dans son cou. Ma peine éclate et se répand en sanglots incontrôlables. Je pleure à chaudes larmes, écrasant de toutes mes forces Sydney contre moi comme si elle était la planche de bois salvatrice au cœur de la tempête qui menace de me noyer dans les flots impétueux et sombre. Je m’agrippe à elle pleurant sans retenue, tant pis pour tout. Je me moque de ce qu’elle dira suite à ça. J’ai juste… Aucun contrôle. Elle et là. Sa peau est chaude, sa présence me réconforte. Les minutes passent. Longues. Et je fini épuisé contre elle. Je ne pleure plus et pourtant je n’ai pas desserré mon étreinte. Je reste contre elle et l’eau qui nous coule dessus et chaude et le bruit est presque apaisant. Je refuse de bouger mais je lui lance d’une voix étranglée par la peine intense que j’ai ressentie et avec une pointe d’ironie mal ajustée dans la voix.
« Déjà que tu me prenais pour une merde, je vais en plus passer pour un gros naze… » |
| WebName : Lex / Claï Date d'inscription : 12/03/2022 Messages : 404
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| | Sujet: Re: Pas le bon jour... (Sydron take2) Lun 1 Avr - 18:07 | |
| Je ne suis même pas certaine qu'il m'a entendu ? C'est comme si son corps était là, mais sans son esprit ni son âme. Un corps désincarné ? C'est possible ça? Je n'en sais rien, ce qui est sur c'est que ça me tord le bide et qu'au lieu de me casser en le plantant là, je me suis approchée doucement. J'ai changé la température de l'eau, comme pour le ramener dans le monde des vivants. Il lève la tête et je lui souris gentiment, mais je ne sais pas s'il le voit. Il m'attire dans ses bras, me serre et niche son visage dans mon cou.
Je referme les bras sur lui et ma main glisse naturellement dans ses cheveux que je caresse doucement. Je m'alanguis contre lui et je sens mes yeux s'embuer de larmes quand les sanglots déchirent sa gorge. Aussi froide et distante que je puisse paraitre je crois bien qu'il fait déborder mon empathie. Je ne sais pas ce qui lui arrive, mais je n'essaie pas de le faire parler, répondant simplement instinctivement à son besoin de chaleur humaine. Je le serre, je le laisse se blottir contre mon cou et je caresse ses cheveux en murmurant. -"Je suis là." Je serais bien en peine de dire combien de temps nous restons là, sous l'eau chaude, attendant que cette vague de peine le libère.
Il se calme graduellement, son corps n'est plus secoué de sanglots, pourtant il me serre toujours contre lui. Quand sa voix résonne, je sens toute sa peine et sans doute un peu de son dégout pour lui même. C'est douloureux, ça fait écho, ça me fait de la peine et mal aussi. Je déteste me montrer vulnérable et je transpose sans doute, mais je ne suis pas sure qu'il ait envie de vivre avec cette idée. Alors je prends une longue inspiration, je me décale juste assez pour poser un bisou sonore sur sa joue et balancer. -"Je vois pas de quoi tu parles, p'tit con." Sourire que je force un peu avant de venir doucement frotter mon nez contre le sien et m'installer un peu plus confortablement. Mes genoux n'appréciant que très modérément le contact prolongé du carrelage.
Je lui offre une porte de sortie, à ma façon bien sur, à l'image de notre relation aussi. Il peut me parler, ou choisir de faire comme si de rien n'était et je viens de valider implicitement que je suivrais si c'est son choix. -"Et je ne t'ai jamais pris pour une merde !" Petit mordillement sur la ligne de sa mâchoire. -"Mais j'ai toujours su que tu es un gros naze." Joueuse et taquine, dans la voix, douce et tendre, dans les gestes. J'espère que mon langage corporel suffira à lui faire entendre que je veux simplement l'aider à reprendre pied. Je suis contente que l'eau de la douche se soit confondue avec mes larmes et que je puisse l'accuser totalement de la ruine de mon maquillage. Je ne pleure pas souvent et je n'aimerais pas du tout expliquer le pourquoi du comment. -"Même si te taper Candy a tout d'une épreuve après avoir tourné avec moi, je pense que tu es propre désormais." Clin d'œil et je l'embrasse doucement sur les lèvres avant de couper l'eau et de me redresser pour lui tendre la main. -"Tu as gagné le droit de visiter mes appartements, magne toi Cooper, avant que je change d'avis." Je suis pas douée pour ça... je ne sais pas m'y prendre, mais il compte assez pour moi... pour que j'essaie.
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| | Sujet: Re: Pas le bon jour... (Sydron take2) Ven 26 Avr - 12:04 | |
| Je suis accablé, étouffé, écrasé. J’ai mal en dedans. Je souffre terriblement. J’ai mal et c’est indescriptible, c’est comme si tout en moi était en train de se broyer et qu’un froid glacial s’emparait de moi. J’ai tellement mal que j’aimerais me larder de coups ou de me jeter sur une autoroute pour me faire tellement massacrer que j’oublierai cette douleur infâme. J’ai minimisé, j’ai pensé que j’allais gérer. Que je pouvais le faire… Je me suis trompé et la vague que je prends sur la gueule est terriblement puissante. Je m’effondre et je réalise que je suis blotti contre Sydney. Putain. Elle est vraiment venue me voir ? Elle m’a vraiment pris dans ses bras ? Elle a vraiment foutu en l’air sa coiffure, son maquillage et sa tenue pour me tenir contre elle et me réconforter alors que je sanglote comme un gros bébé dans ses bras ? J’ai honte. Et pourtant j’y reste blotti tout en douceur. Je savoure sa chaleur et sa douceur. Puis je décide de lui lancer une vanne essayant d’être un peu proche de cette image qu’elle peut avoir de moi en général et me réponds qu’elle ne voit pas de quoi je parle en m’appelant : « P’tit con ». Ça me va bien. Je garde. Elle m’embrasse la joue et mordille ma mâchoire avant de me dire qu’elle a toujours su que j’étais un gros naze. Je laisse échapper un rire dans un sanglot et je la serre plus fort contre moi ne voulant pas quitter l’espace de son corps. J’entends dehors l’équipe qui se barre. Personne ne va venir ici cette loge est inutilisée. Je reste un moment contre elle quand elle rajoute que me taper Candy à tout d’une épreuve après avoir tourné avec elle considère que je suis propre. Elle me taquine et j’aime bien. Comme si elle pouvait nier que quand on se glisse l’un dans l’autre le terme de perfection prend tout son sens ? C’est mon âme sœur de baise. C’est fou dit comme ça, mais je crois qu’on est capable de se faire jouir d’une pauvre caresse si on le désire. Elle a beau résister parfois, je sais que je la fais devenir folle en 4 secondes et… C’est terriblement réciproque… Elle m’embrasse et coupe l’eau en tendant son bras. Je cale mon visage dans son cou embrassant l’os de sa clavicule au-dessus de ses seins alors qu’elle s’échappe de moi toute mouillée et débraillée et que je me sens de nouveau froid et miteux. Elle tend sa main et déclare que j’ai gagné le droit de visiter ses appartements et de me magner avant qu’elle ne change d’avis. C’est assez naze comme manière de faire, mais j’apprécie l’effort. Je tends ma main et me laisse relever. J’ai froids et je tremble. Elle me tourne le dos pour filer et je la retiens, enroulant un instant mes bras autour de sa taille penchant ma tête pour la poser sur son épaule, étouffant un nouveau sanglot.
« Elle me manque tellement… Comment ? Comment je fais pour tenir ? Pourquoi ce n'est pas moi qui suis mort ? »
Pourquoi la mort semble toujours me regarder avec dédain alors qu’elle m’a visité tant de fois ? Pourquoi c’est toujours plus difficile de tenir debout ? Pourquoi je lui raconte tout ça ? Pourquoi je suis faible ? Pourquoi je l’emmerde avec ça ? Pourquoi je suis comme ça ? Je me calme progressivement. Ça me frappe fort puis ça s’estompe. Je respire et lui demande en restant contre elle.
« On peut aller sur le toit et je te dis une méchanceté pour que tu me pousses ? »
Ce n’est pas drôle je sais mais ça me fait bien envie je crois. Je tremble de froid et pourtant je n’ai aucun désir de me réchauffer. Je suis angoissé et perdu et pourtant elle est là. Elle est venue et elle essaye et je n’aime pas qu’on me plaigne. Je suis un connard. On ne doit pas me plaindre. Je ne veux pas qu’on me regrette le jour où je vais mourir. J’embrasse sa joue doucement et je me détache d’elle après un bref et murmuré.
« merci »
J’enfile mon jean sans mettre de sous-vêtement et j’enfile juste mon t-shirt un peu trop large pour moi. Tête basse, cheveux trempés, j’attends qu’elle dise où on va, comment on y va. Je glisse mes pieds dans mes sandales et c’est tout. Je laisse même mon téléphone je m’en tape en fait. |
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