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 (Violent) Une fois de trop (Chayra)

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Mateo Russo
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MessageSujet: (Violent) Une fois de trop (Chayra)   (Violent) Une fois de trop (Chayra) EmptyMar 17 Oct - 0:19

La plupart du temps, quand je dois me rendre à un rendez-vous d’affaires, ma femme reste à la maison. Les femmes ne comprennent pas la complexité de telles négociations et si, par le plus pur des hasards se serait le cas, elles n’ont pas leurs mots à dire. Cependant, puisque mon vis-à-vis a pris le temps de me dire qu’il viendrait avec sa femme, je n’avais d’autre choix que d’amener la mienne. Heureusement elle sait se faire belle, ce qui m’enlève le poids de la honte de sur les épaules. Enfin, c’est le cas d’habitude, mais ce soir je dois dire qu’elle m’a cherché. Oh, pour être belle, elle était belle, je n’ai rien à redire sur sa tenue, mais je ne peux pas en dire autant sur son comportement. J’ai vu les sourires envoyés du coin de l’œil, je l’ai entendu flirter avec le serveur et j’ai également aperçu cette lueur moqueuse dans son regard quand mon futur partenaire a osé faire un petit résumé de notre dernière escapade de golf. J’ai perdu cette fois-là et elle sait à quel point perdre me fou en rogne. Je n’ai rien dit sur le coup sauf, peut-être, glisser ma main sur sa cuisse, sous sa robe, afin de la serrer avec force. Quelque chose me dit que ce soir, une fois à la maison, les empreintes de mes doigts seront encore et toujours visibles, à voir.   Le repas s’est poursuivi et naturellement j’ai payé la facture. Les au revoir sont tombés, j’ai regardé le couple partir et une fois leur voiture loin sur la route, j’ai pris la main de ma femme et je l’ai accompagné jusqu’à notre voiture. En parfait mari amoureux de sa femme, je lui ai ouvert la portière et j’ai déposé mes lèvres sur son front avant de refermer pour aller prendre place de l’autre côté. La voiture a démarré, et j’ai pris la route dans le silence le plus parfait. Les boulevards sont devenus des rues, les rues se sont transformées en chemins de campagne boisés, et ce, toujours dans ce silence de mort de plus en plus lourd.

Tu aurais aimé qu’il te baise, dit moi ?

Maintenant elle devrait avoir peur. Tremble ma biche tremble, regarde le petit chemin de terre dans lequel je viens de tourner et regarder ce qu’il y a autour. Tremble parce qu’il n’y a rien, rien du tout à part une route déserte et des arbres.

Tu aurais aimé qu’il te laisse son numéro de téléphone ?

Je coupe le moteur, prends les clés et ouvre ma portière. Je ne la regarde pas, enfin si du coin de l’œil, mais je fais comme si je me foutais bien de ces réactions alors qu’en réalité je veux la voir trembler de peur. Tremble, ma biche tremble… Une fois ma portière refermée, je contourne la voiture et fais la même chose de l’autre côté, mais cette fois pour la forcer à sortir de la voiture. Avec force je lui colle le dos sur la bagnole, ma main tenant fermement sa mâchoire.

Mets-toi a genou et suce comme si ta vie en dépendait parce que… elle en dépend.

Je sors mon flingue et le lui colle au milieu du front.

Mais avant… je te veux nue.  

La nuit est plutôt froide et être nue la gardera en alerte.   Son corps aura le temps de frissonner sous la brise glacée de la nuit. Sa peau aura le temps de bleuir avant que je ne me lasse de la faire mienne. Son esprit aura le temps de s’obscurcir de pensées négatives. Sa bouche aura le temps de me supplier des dizaines de fois. Si elle ne fait pas ce que je dis ? Elle a déjà visité ma salle de jeu, plusieurs fois même, pas certaine que sa lui plaise d’y retourner quand je suis dans une rage aussi noire. Déjà que les jeux ne lui plaisent pas souvent, quand je suis de bonne humeur, j’espère qu’elle prendra le temps de réfléchir aux conséquences si elle ose ouvrir sa grande gueule.
Chayra Russo
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MessageSujet: Re: (Violent) Une fois de trop (Chayra)   (Violent) Une fois de trop (Chayra) EmptyMar 17 Oct - 17:48

Mateo m’emmène très rarement avec lui en rendez vous d’affaire, et honnêtement ça m’arrange. Il me fais suivre comme un joli trophée quand il n’a pas le choix. J’aime pas ça, j’ai l’impression d’être qu’un accessoire… un vulgaire objet dont il se serre que lorsque ça l’arrange. Ce soir, l’homme qu’il devait voir venait avec sa femme, alors il était de bon goût de m’emmener. Est ce qu’il m’a demandé mon avis ? Non, bien sur que nous vous rigolez là ? Mon avis d’entre JAMAIS en ligne de compte, il n’a à ses yeux pas la moindre importance et n’en aura probablement jamais. Alors comme à chaque fois pour ce genre de soirée, je me fais belle non pas pour lui faire plaisir, mais parce que je le dois. Mon apparence est parfaite, ma robe noire met mes courbes parfaitement en valeur, mes talons prolonge mes jambes interminables et ma chevelure est “domptée” mais me donne un air légèrement sauvage.

Le repas est terminé et nous rentrons, Mateo m’ouvre la portière pour que je me glisse sur mon siège et embrasse mon front avant de prendre place derrière le volant. Les apparences sont parfaites… elles le sont toujours avec lui, nous pouvons passer pour un couple parfaitement unis et amoureux, mais dans les faits il n’en est rien. Le silence qui s’installe ensuite est pesant. Son visage est crispé, dur et froid. Il est contrarié et je sais pourquoi. Je suis l’origine de cette colère grondante et je sais que tôt ou tard je devrais répondre de mes actes. A ses yeux, je n’en doute pas un instant j’ai dépassé les bornes sur bien des points. Je ne ferais pas amende honorable, je ne m’excuserais pas parce que je refuse de lui donner une telle satisfaction. Mon regard dénué d’émotion est rivé sur la route quand je le vois emprunter des routes de plus en plus petite pour finir sur un chemin en terre au milieu de nulle part. Merde !! Ça put pour moi. Sa voix gronde quand il me demande si j’aurais aimé qu’il me baise. Qui ? Le serveur. J’ai dragué ce mec, mais si c’était seulement pour l’emmerder ça serait plus facile pour moi à assumer.

« Il me fallait bien que je dérive ton attention du pied de madame que j’ai trouvé un peu trop agile sous la table.»


Que les choses soient parfaitement clair, je ne l’aime pas, je ne suis pas jalouse mais je ne supporte pas qu’une femme tente de lui faire du charme juste sous mon nez. Question de respect. Alors oui, j’ai fais du charme au serveur pour l’agacer suffisamment afin qu’il soit insensible au tentatives séductrice de cette dinde. Et encore il n’a probablement pas remarqué quand j’ai discrètement écrasé son pied de la pointe de mes talon aiguille. Elle a dû se mordre la lèvres pour réprimer le couinement de douleur.

Je ne m’imagine pas que vouloir évincer cette salope me rapporte des points. Oh non bien au contraire probablement. La peur forme une boule dans mon estomac quand je regarde tout autour de nous : rien. Il n’y a rien. J’ai cette sensation angoissante de sentir un piège se refermer autour de moi, un piège dont je ne réchapperais pas. Je devine sa satisfaction à me sentir le craindre et ça me donne des ailes que je ne devrais pas déployer. Ne tire pas la queue du diable Cheyra… Contiens-toi pour ta propre sécurité… si tu ne le fais pas pour toi, fais-le pour elle, le prunelle de tes yeux pour qui tu te lève chaque matin. Je me répète ça, espérant m’en convaincre… mais quand il me demande si j’aurais aimé qu’il me donne son numéro, un sourire carnassier étire mes lèvres. Je remonte ma robe sur ma cuisse et extirpe coincé entre ma cuisse et l’élastique de mon bas un petit morceau de papier plié. Je l’agite sous son nez comme un trophée.

« Et s’il l’avait fait ? Ça changerait quoi ? »

Je ne comptais pas l’utiliser, non, mais l’occasion était beaucoup trop belle. C’est mal je sais, mais mon désir de le provoquer est tel que je ne perçois pas tout de suite que mon comportement pourrait mettre en danger la vie du serveur. Il pourrait le tuer pour ça… parce que je fanfaronne alors qu’entre nous il n’y a franchement pas de quoi. Il ne me répond même pas, il sort de la voiture après avoir coupé le moteur. Mon coeur se met à battre à toute vitesse dans ma poitrine. Je suis probablement allée trop loin dans mes provocations cette fois, mais c’est plus fort que moi, je suis incapable de fermer cette ravissante petite bouche. Il contourne la voiture, et ouvre la portière pour m’en extirper avec force. Un cris m’échappe, un cris puissant qui raisonne dans la nuit mais qui demeura inaudible de tous. Nous sommes seuls, au milieu de nulle part et rien ni personne viendra me délivrer de sa colère. Il me plaque le dos contre la voiture sans ménagement. Mes couinement de douleur ne sont que miel à ses oreilles.

« Mateo…je t’en pris…»

Ses ordres tombent, ils sont clairs et ne souffre d’aucun espoir de contestation. Mon corps tremble, de peur, puis de froid quand je baisse lentement la fermeture de ma robe pour la laisser tomber sur le sol. La nuit est fraîche et je vais attraper la mort si je reste comme ça. Il n’en a rien à foutre. Il prends son pied à m’humilier et à me traiter comme de la merde. Il sort son flingue et le point sur mon front… mon coeur manque un battement. Il oserait ? Réellement ? Pour un serveur à la con il priverait notre fille de sa mère ? Part pure vanité ? Je ne pense pas qu’il irait jusqu’au bout, mais cette fois je ne vais pas tenter le diable. Les flammes de la colère que je vois danser dans ses yeux me force à la raison.

Je plante un regard empreint de plus de rage que je le devrais dans le sien. Je fais déjà un effort surhumain pour fermer ma gueule, je ne peux pas contrôler les émotions passant dans l’obscurité de mes iris. Je tombe à genoux devant lui, mes doigts agrippent la ceinture de son pantalon pour la déboucler, sortant son sexe non sans une certaine dose de rage. Je devrais baisser les yeux mais j’en suis incapable. Je l’empoigne fermement, mes lèvres viennent former un O parfait avant de venir le faire glisser entre mes lipes. Je n’y vais pas avec le dos de la cuillère, je le prends en bouche fermement comme si ma vie en dépendait puisque visiblement… c’est le cas. J’ai froid, je tremble, mais je refuse de lui montrer cette faiblesse… cette détresse qui m’anime. Mes lèvres glissent le long de son pieu de chaire, naviguant de son gland sur lequel je m’attardent, glissant ensuite à sa base jusqu’à ce que je sente ses valseuses d’Italien trop fière ballotter contre mon menton.

Entre lui et moi il n’a jamais été question de douceur… moins encore quand il est dans une rage pareille. Il veut seulement me faire mal et asseoir sur moi toute sa dominance et sa supériorité, et ma haine envers lui est si forte que je suis incapable d’agir pour ma propre sécurité. Il serait probablement bien plus facile pour moi de céder et de me soumettre… définitivement… mais j’en suis incapable, je me suis fait la promesse de ne jamais le faire, et surtout je ne veux pas que ma fille est cette vision-là de moi. Cette vision néfaste que j’avais de ma propre mère.
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MessageSujet: Re: (Violent) Une fois de trop (Chayra)   (Violent) Une fois de trop (Chayra) EmptyDim 29 Oct - 19:02

Même après tous les coups et les menaces, elle a encore le culot de me tenir tête. Toute femme dotée d’une intelligence, même minime, aurait appris et se serait assagie. Non, pas elle, pas en privée et ce soir pas en public non plus. Parfois j’ai l’impression qu’elle aime se faire taper dessus. Non mais c’est vrai quoi, qu’elle se fou de ma gueule quand je suis de bonne humeur passe toujours, mais qu’elle agisse ainsi quand j’ai envie de meurtre qui passe un peu moins. Je devrais lui tirer une balle entre les deux yeux et pourtant je ne le fais pas. Pas pour elle, pas pour moi, mais pour notre fille et pour elle uniquement. Je pourrai taper dessus pour lui faire comprendre de ne pas jouer avec le feu, je pourrais, mais ce n’est pas ce que je vais faire non. Enfin, disons que j’ai changé d’idée quand elle m’a mis le bout de papier sous le nez. S’il l’avait fait ça changerait quoi elle a demandé ? Pour elle pas grand-chose… pour lui ? Chaque chose en son temps. Pour le moment je dois m’occuper de ma pute de femme et ensuite je m’occuperai de l’autre connard.

« Mateo… je t’en pris… »

Douce mélodie ! Elle rigole moins là, hein ? N’empêche qu’elle est plutôt mignonne avec le bout de mon arme sur le front. Enfin, concentration. Mes yeux la regardent se déshabiller, visage impassible. Je me délecte de sa rage, de son impuissance, de cette volonté de vivre qui la pousse à obéir comme un petit chiot qui essaie de plaire à son maitre.



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MessageSujet: Re: (Violent) Une fois de trop (Chayra)   (Violent) Une fois de trop (Chayra) EmptyDim 5 Nov - 11:52

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MessageSujet: Re: (Violent) Une fois de trop (Chayra)   (Violent) Une fois de trop (Chayra) EmptySam 18 Nov - 20:06

Ce qu’il y a de plus amusant dans le fait qu’elle tente encore et toujours de se rebeller, c’est le fait que ça ne fonctionne pas. J’aime voir cette lueur de colère, que dis-je, cette fureur brûler dans le fond de son regard. Je m’en abreuve comme si cela était le nectar des dieux. Je crois que le jour où elle déposera les armes à mes pieds sera un jour ou une vague de déception me prendra d’assaut. Quel dommage de tuer une si jolie rebelle n’est-ce pas ? Quelle joie aussi de la voir encore bâillonnée le lendemain, les joues barbouillées de larmes. Si hier elle était jolie, ce matin elle est foutrement sexy. Sans parler de sa pique, non mais, quel délice d’avoir de quoi me mettre sous la dent non?  Oui je suis un connard, un connard qui s’assume, mais un connard qui le prend mal quand on le lui crache à la figure.

« Ou… ou tu m’emmènes… »
 

Je t’ai donné la permission de poser des questions ?

Elle peut serrer le peignoir autour d’elle autant qu’elle le voudra, je m’en moque pourvu qu’elle me suive et c’est exactement ce qu’elle fait, bien. Je tourne encore deux fois, descends dans le sous-sol et cesse mes pas devant « une des nombreuses portes. J’attends qu’elle soit à ma hauteur avant d’ouvrir la porte, avant de lui faire signe d’entrer. Naturellement j’entre à sa suite et referme la porte derrière nous, poussant même l’audace jusqu’à tourner le verrou. Elle peut voir un homme, nu, assis sur une chaise de bois et menotté. Sans le moindre regard pour Chayra, je dépose la photo de la femme du prisonnier sur la petite table se trouvant tout près. Il peut voir la photo, mais il ne peut pas la toucher, ni même bousculer la table pour retirer la photo de son regard. Non, tout ce qu’il peut faire c’est de fermer les yeux et s’il le fait, il risque de le regretter.



Dernière édition par Mateo Russo le Mar 2 Jan - 0:08, édité 2 fois
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MessageSujet: Re: (Violent) Une fois de trop (Chayra)   (Violent) Une fois de trop (Chayra) EmptyMer 29 Nov - 14:05

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MessageSujet: Re: (Violent) Une fois de trop (Chayra)   (Violent) Une fois de trop (Chayra) EmptyMar 2 Jan - 1:19

Pauvre Chayra, elle doit se sentir complètement dépassée par l’endroit où nous sommes, sa position plutôt inconfortable et l’offre que je viens de lui faire. Elle qui n’a jamais mis les pieds au sous-sol, elle qui n’est jamais mise au courant de ce tout qui touche de près ou de loin à la Cosa et elle que je tiens en laisse pour mon propre plaisir. Mon voyage en Italie m’a apporté des informations pertinentes et j’ajuste le tir. Ça et autre chose que je ne peux pas nommer. Quelque chose que seul le temps pourra dévoiler. De toute façon, le moment n’est pas aux discussions de cuisine, mais aux démonstrations de force. Le petit < Mateo > ayant franchi la barrière de ces lèvres vaut de l’or. Ça et toutes les petites réactions corporelles qu’elle m’offre contre son gré. Elle a beau grogner, crier, jurer… elle fond dessous mes caresses. Ce n’est pas la première fois et ce ne sera pas la dernière. Même quand je la baise brutalement, son corps chante pour moi… Elle est si faible… Si forte… Je me doute bien qu’elle ne pourra pas résister à mon offre. Elle a soif de pouvoir autant que moi, elle a envie de ne plus être au bas de l’échelle, sous ma coupe. Ce qu’elle ne sait pas encore c’est qu’elle sera toujours sous ma coupe. Comment je sais ? Sa mouille… je pourrais pratiquement m’abreuver à la source.

« Tout ce que je voudrais ? Absolument tout ? »

Bingo ! Je pousse en elle mon pieu, écoute le chant de la sirène cesse mes mouvements quand un < non > retenti.

Non ?

Elle se fout de ma gueule ou elle a décidé de jouer le jeu ? Oui, parce que là, je n’en suis pas tout à fait persuadé. Un léger doute qui prend la poudre d’escampette quand elle stipule que je ne vais pas la baiser. Bien, très bien… Je me régale non seulement du timbre de sa voix, mais du sourire que va bientôt ravaler le petit con. Je reprends les coups de reins et dois retenir un grognement quand sa croupe se tend vers moi. Je continue de la baiser, plus fort, plus vite, écoutant ces paroles, prêt à intervenir au besoin.

« Quand j’en aurais terminé avec elle tu regretteras que Mateo ne l’ai pas baiser… »

Pencher au-dessus d’elle, je lui mords l’épaule en guise de mise en garde.

« Je la veux. Je veux cette garce que tu m’as promise. »

Mhmmm !!!

Je la soulève pour que son dos soit collé sur mon torse, pour que ses seins soient à la vue du petit connard, mais pas pour lui, mais bien pour pouvoir lui susurrer quelques mots supplémentaires au creux de son oreille.

Elle est à toi même s’il parle… Je te le promets sur la tête d’Alice.


J’embrasse le creux de son cou tout en la baisant avec sensualité puis, sans crier gare, je la penche de nouveau au-dessus de la table pour la défoncer.

Il se passera quoi quand ma femme en aura marre de ta pute hum ? Tu crois que je vais pouvoir la relâcher ? Combien tu crois que je peux obtenir pour chaque baise ? Attachée ou pas. Bâillonnée ou pas. Le cul en l’air ou pas. Elle a trois trous hum ? Une dans la bouche, un dans la chatte et quoi… deux dans son joli cul ? Ça fait quatre billets de 100 $ pour une baise ? Attends, non attends… Si je lui fais faire 10 baises par jours 7 jours par semaine pendant… une dizaine d’années ça fait combien hum ? Combien pour ta sœur ? Je ne l’ai pas promis à ma femme, cette petite garce ne l’oublie pas.

Il gueule des < ferme ta gueule connard > et des je vais te tuer < trou du cul >

Regarde ma femme… REGARDE ENFOIRÉ et demande-toi si tu as envie d’y voir ta femme ou ta sœur.

416 Holland road… 416 HOLLAND ROAD PUTAIN !!!

Je continue de baiser Chayra jusqu’à ce qu’elle jouisse, me délectant des ces cris et de ces grognements et une fois obtenue, une fois la vague de plaisir bien surfer, je me retire pour aller cracher me semence à la gueule du petit con. Je reviens ensuite vers Chayra, me rhabille et lui tends sa robe de chambre afin qu’elle puisse se couvrir.

Faites entrer sa femme, on va pouvoir discuter un peu en attendant de pouvoir valider les infos.

Je m’assois sur l’une des chaises et attends de voir ce que Chayra fera.


Dernière édition par Mateo Russo le Sam 9 Mar - 20:31, édité 1 fois
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MessageSujet: Re: (Violent) Une fois de trop (Chayra)   (Violent) Une fois de trop (Chayra) EmptyMer 24 Jan - 19:59

Dire que je suis submergée, dépassée par la réalité de ma situation serait un euphémisme très doux. C'est un état perpétuel dans lequel je me trouve, bien que je ne puisse plus compter le nombre de fois où il m'a violentée et dégradée, me rabaissant bien plus bas que terre. C'est la première fois qu'il m'entraîne avec lui dans les profondeurs sombres de ses affaires obscures. Je suis censée être la femme du Don de la Cosa Nostra, mais en vérité, il me tient à l'écart de toutes ses transactions louches. Est-ce un manque de confiance en moi ou un manque de considération pour mon intelligence ? Peut-être un mélange des deux. À ses yeux, je ne suis rien d'autre qu'un trophée à exposer, une belle chienne à séduire et à posséder. Alors, pourquoi les choses changeraient-elles maintenant ? Est-ce parce qu'il m'entraîne avec lui cette fois, me faisant une offre d'une indécence si incroyable que je suis déconcertée par l'audace de sa proposition ?

La façon dont il abat une à une mes défenses, par le biais de ses caresses délicates et minutieuses, me fait perdre la raison. Mon esprit me dit que je devrais le détester de tout mon être, de toute la fibre de mon âme. Cependant, mon corps, incontrôlable et rebelle, réagit de manière tellement instinctive à la sensation de ses doigts qui explorent audacieusement mon intimité. Ses caresses éveillent en moi des sensations si intenses et si puissantes qu'elles en sont presque insupportables, me laissant dans un état d'extase indescriptible. Mon regard se fixe sur l'image de cette femme, celle qu'il suggère de me donner en pâture. A moi ? Qu'est-ce qui lui permet de penser que je ne ferais pas tout mon possible pour lui venir en aide, pour la sauver d'un sort aussi sombre et lugubre que le mien ? En effet, il n'y a absolument rien qui pourrait le laisser croire cela, à part peut-être cette étincelle d'excitation, cette lueur presque imperceptible qui anime mes prunelles à cet instant précis. Ce pouvoir qui est à portée de main est si tentant, si irrésistiblement tentateur... comment pourrais-je y résister ? C'est comme si une force invisible me poussait, m'attirait vers lui. Mon regard croise le sien et dans ses yeux, je trouve une complicité étonnante, un genre de connexion incroyable que je ne saurais expliquer avec des mots. C'est une sensation étrange, nouvelle et complètement inédite pour moi. Mon esprit est en ébullition, essayant de comprendre ce qui se passe, mais tout se passe si vite... Trop vite. Et avant même que j'aie le temps d'analyser la situation, d'y réfléchir plus profondément, j'ai déjà pris ma décision. Une décision qui pourrait, sans que je ne le sache encore, changer ma vie à jamais.

Je suis traversée par ce besoin étrange, presque inexplicable, de vérifier, de m'assurer de la réalité de ce qu’il est entrain de me proposer. Cette proposition, si audacieuse et directe, m'intrigue et m'attire à la fois. En guise de réponse, il s’enfonce en moi avec une force et une vigueur inégalées, m’arrachant un cri de plaisir que je ne peux absolument pas contenir, peu importe à quel point je peux essayer. C'est un son qui échappe à mon contrôle, un aveu de la pure jouissance que je ressens. Cela m’emmerde férocement de l’admettre, mais je dois reconnaître que ce plaisir qu’il m’offre est unique en son genre. Il vibre en moi avec une intensité déroutante, presque déstabilisante. La facilité avec laquelle je pourrais le haïr serait bien plus grande si ce n’était pas le cas, si ma haine n’était pas entravée par ce plaisir d'une puissance sauvage et intense, qui me submerge et me domine complètement.

J'infuse délibérément le doute dans son esprit, créant un suspense, une pause dramatique, avant de lui révéler ce à quoi je dis “Non”. Ce n'est pas à lui que je dis non, ni à son offre extravagante qui frôle l'absurdité par son caractère démesuré et indécent. Non, c'est plutôt à cette jalousie interdite qui s'exprime à travers moi. Il n'aura pas le droit de la toucher, de la désirer. Il me l'a juré si je consentais à jouer à son jeu, et c'est précisément ce que je suis en train de faire. Il me donne l'opportunité de quitter l'obscurité dans laquelle il m'a tenue, de ne plus être seulement l'objet de ses caprices, sa chienne docile, mais de devenir sa Reine, celle qui règne à ses côtés. Je suis perdu, je ne sais pas ce qui m’arrive. C'est comme si j'étais happé par une force inconnue qui m'entraîne dans une spirale de confusion. Je ne comprends pas ce changement qui s’opère en moi. Est-ce le cours naturel de la vie ou un phénomène plus mystérieux? Ais-je toujours eu cette part d’ombre en moi, cachée dans les profondeurs de mon être? Ou est-ce l'effet de l'aura d'une autre personne - est-ce son âme qui déteint sur la mienne, influençant ma pensée, mes sentiments et ma perception de moi-même? Je me pose ces questions, cherchant désespérément une raison, une explication. Mais je crois que je n’aurai jamais la réponse à cette question. Peut-être que ces réponses sont aussi insaisissables que l'ombre elle-même.

Mon regard, brillant simultanément d'une excitation sauvage et d'un vice capable de faire frémir le plus endurci, est fixé sur l'homme en face de moi. Un combat intérieur fait rage alors que j'essaye de maîtriser le plaisir grandissant qui menace de me submerger. Je menace cet homme d'un sort bien pire que celui de mon mari si jamais sa douce venait à tomber entre mes griffes affamées. Suis-je capable d'une telle chose ? Je crois bien que j'ai reçu une formation adéquate avec Mateo. C'est avec une assurance imperturbable que j'affirme ma position devant le regard stupéfait de cet homme. J'affirme haut et fort mon désir pour cette garce qu'il m'a promise, comme si elle n'était qu'un jouet, un trophée qu'il me tend. Le premier trophée de ce genre, et je dois avouer qu'il a une saveur toute particulière.

Mon corps, dans une réaction instinctive et incontrôlable, se tend et s'arc-boute, comme pour l'accueillir en moi encore plus profondément. Je ne tente pas du tout de dissimuler l'effet étrangement puissant qu'il a sur moi. Au contraire, j'accueille ce plaisir dans toute son intensité, criant et gémissant de plaisir sans aucune retenue. Je me délecte de ses gémissements rauques qui résonnent contre les murs de la pièce, comme une mélodie sauvage et envoûtante. Le plaisir que nous partageons semble être amplifié par la nature inhabituelle de cette scène, comme si la situation elle-même nous galvanisait et intensifiait nos sensations. Sa respiration chaude et rythmée dans le creux de ma nuque provoque en moi une série de frissons, aussi intenses qu'indescriptibles. Il me promet cette chienne, avec une assurance et une détermination inébranlable, et ce, même si la langue de notre malheureuse victime venait à se délier dans un élan de courage. Un sourire, plein de satisfaction et de contentement, vient alors étirer mes lèvres, formant une courbe parfaite de triomphe et de plaisir.

Avec une féroce intensité, il continue à me baiser tandis qu'il détaille impitoyablement à notre victime ce qui arrivera à sa femme lorsque je ne la désirerai plus. Le ton de sa voix ne laisse aucune place à la contestation, et je le connais assez bien pour comprendre que ses paroles ne sont pas de vaines menaces. Cette femme, va vivre un véritable enfer simplement parce que son compagnon a eu le malheur de contrarier la mauvaise personne. C'est une réalité cruelle et sombre, mais c'est la dure réalité du monde dans lequel nous vivons. Personne n'a prêté attention à mes suppliques désespérées quand j'ai tenté d'ouvrir les yeux de mon père. J'ai tenté de lui faire comprendre le danger de me donner à cet homme comme on offre un sacrifice. Ce mariage, tel qu'il était conçu, n'était rien de moins que le don d'une chienne docile et soumise. Il s'agissait de me réduire à n'être qu'un objet, un pion dans les jeux des adultes, sans égards pour mes sentiments ou mes désirs. Alors pourquoi le sort de cette fille m’importerait ? Tout le monde sait comment Mateo me traite et personne ne se soucis de moi, et des sentiments qui m’étreigne. Ma propre douleur m’a rendu égoïste.

L'homme pauvre et désespéré finit par succomber et révèle tout, sans se rendre compte que c'est déjà trop tard pour lui. Mateo, de son côté, jubile de satisfaction. Il continue à me donner des coups de reins avec une intensité croissante jusqu'à ce qu'une jouissance puissante et sauvage me terrasse. Cette sensation secoue mon corps fatigué, le remplissant de spasmes de plaisir délicieux. À ce moment-là, je suis presque déçu qu'il ne me remplisse pas de son foutre. C'est avec le corps encore sous l'effet divin de la jouissance que je regarde mon mari cracher son foutre à la face du pauvre homme, qui est assailli d'insultes toujours plus virulentes les unes que les autres.

Je m'enveloppe délicatement dans mon peignoir en soie, dissimulant ma nudité derrière les pans de tissus doux et confortables pendant que Mateo, imperturbable, se rassied dans son fauteuil. Il donne l'ordre à ses subordonnées de faire entrer sa femme, comme une attente silencieuse que les informations données soient vérifiées et confirmées. Sa voix autoritaire résonne dans la pièce, alors que notre victime s’égosille en une série d'insultes virulentes et chargées de mépris... Cependant, ses dernières paroles se transforment rapidement en suppliques désespérées lorsqu'elle fait son entrée. Elle apparaît à la porte, l'air d'un chaton apeuré et perdu, et il y a de quoi. Elle est clairement dans une situation très compliquée, dans la merde, pour dire les choses simplement. Cependant, l'ampleur de la situation ne lui est pas encore totalement connue, et lui laisser penser qu'elle peut encore s'en sortir, c'est sadique. Mais je dois admettre que le jeu du chat et de la souris est étonnamment jouissif.

Je viens m’installer sur les genoux de Mateo, ainsi est ma place non ? Et ainsi je pose les choses, je ne suis pas une énième victime dans cette pièce mais bel et bien l’un des… maître du jeu ? C’est étrange à dire comme ça mais c’est le cas non ? Je lance un regard à mon mari, cherchant une forme d’approbation et d’encouragement dans ses iris d’une obscurité envoûtante. Puis, je me tourne vers la jeune femme, lui adressant un sourire d’une compassion feinte de toute pièce.

« Bienvenue à notre petite … réunion ma jolie. » Ma voix est d’une clarté étonnante, presque avenant au vu de cette situation compliqué. Elle regarde son mari qui est dans un sale état, entravé et couvert du foutre de Mateo. Elle s’adresse à son mec, mais je lâche un avertissement sonore lui intimant immédiatement le silence. « »[n mec est dans la merde ma belle. Il semblerait qu’il est contrarié la mauvaise personne et il semble qu’à présent sa vie dépende de toi. /b] Avec une lenteur délibérée, je me lève de ma position. Il commence à vrombir de protestation, lui disant de ne pas m’écouter… blablabla. Je suis presque certaine que sa voix m'est trop familière maintenant. Mes yeux attrapent ce qui semble avoir été, dans un passé révolu, un tee-shirt, le sien peut-être ? Il est en lambeaux et couvert de sang, ce qui rend difficile de dire avec certitude ce qu'il était avant. Je le roule soigneusement en boule et le bourre entre ses lèvres avec détermination. La ferme !! C’est assez clair ainsi ? Ses yeux, des iris qui dardent sur moi des éclairs de colère, mais je m’en amuse. Il s'agit là d'un jeu dangereux. Est-ce que je dépasse les bornes et outrepasse les droits qu’il m’offre ? Il est fort probable que oui, mais je prends le risque, galvanisée par ce sentiment de pouvoir qu'il me donne subitement.

[b]« Pardon mon amour, mais sa voix m’insupporté… »


Mon amour ? Vraiment ? Nous sommes en public et le rôle de la parfaite épouse doit être joué à la perfection. Bien que prononcer ces mots, dans cette situation bien précise m’arrache d’étrange frissons. Je reviens m’installer sur ses genoux, laissant mes doigts glisser sur sa nuque que je caresse presque avec tendre. Mon attention se reporte sur la pauvre petite chose tremblante devant nous.

« Sa vie dépends de toi à présent… Et la tienne dépends de la véracité des information qu’il vient de nous donner. Tu comprends ? »

La pauvre petite tremble comme une feuille, mais une lueurs de colère anime aussi son regard. Je pourrais parier qu’elle rêve de me sauter au visage, mais elle ne le peut pas, elle n’a pas les armes pour, et je crois que je commence à comprendre et apprécier cette sensation de toute puissance que ressent Mateo chaque jour.
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MessageSujet: Re: (Violent) Une fois de trop (Chayra)   (Violent) Une fois de trop (Chayra) EmptySam 9 Mar - 21:16

Oui, je suis un vrai de vrai connard et je m’assume complètement. Avec le titre que je porte, je n’ai guère le choix de rester froid et de faire plier. Je ne dis pas que je n’aime pas cela, je dis juste que je n’ai pas le choix. Avec les années j’ai appris à vivre avec et à aimer les cris soutirés sous la torture. Obtenir un aveu est tout aussi orgasmique que de défoncer le petit cul d’une vierge. Avec les années j’ai appris que donner une carotte à un mendiant le rend plus loyal, plus docile et plus affamé encore. Élever mon épouse au rand de reine ne se fera pas dans un claquement de doigts, il faut laisser le temps ç mes hommes de bien comprendre que désormais, après moi et Lorenzo il y a ma femme. Comment cela Lorenzo passe avant Chayra ? Si je meurs, ce n’est pas ma femme qui prendra les rênes, mais cet ami de longue date, il est donc normal qu’il soit deuxième. Puis… bien que reine, reine en devenir, elle ne sera pas mise au courant de tout, voir de pratiquement rien. Ce sera une couronne très légère, mais une couronne quand même. En revanche, même après avoir eu de telles pensées, surtout après avoir eu de telles pensées, je suis surpris de sentir les fesses de mon épouse venir se poser sur mes cuisses. Son regard trouve preneur et je hoche subtilement de la tête pour lui donner du courage, fier qu’elle se soit laissé aller à demander ma permission.

Elle a compris, ce qui me réjouit puisqu’avoir dû intervenir aurait brisé le lien de puissante qu’elle se doit d’établir avec son jouet. Je la laisse se lever, se diriger vers elle, vers lui. J’observe et me demande quand elle perdra patience parce que si ce con continue à faire chier c’est moi qui vais me lever et il aura une langue en moins. Toutefois… elle veut faire quoi avec ce lambeau de tissu ? Ah ? Oui, bonne idée, le faire taire ainsi lui permettra de nous avouer autre chose au besoin.

« Pardon mon amour, mais sa voix m’insupporté… »

Tout va bien ne t’en fais pas. Je dois même dire qu’il a de la chance puisque j’étais sur le point de lui couper la langue.

Un frisson de dégout et de peur s’est glissé sur la peau de la jeune bichette ? Tant mieux… Elle sait que ni moi ni Chaya ne lui donnerons la clé de la prison. En parlant de ma femme… quand elle revient vers moi, je laisse mes bras glisser le long de son corps afin de venir l’emprisonner dans une douce étreinte. La question qu’elle pose ensuite à sa chose me fait sourire. Si elle comprend ? Elle a entendu oui, elle ne semble pas être sourde, mais a-t-elle compris ? Je dis ça parce que cette petite lueur de colère n’est pas passée inaperçue.

Elle va te défier ma douce. Le regard ne ment jamais. Apprends à y déceler les nuances, fais-toi obéir et tu seras une reine crainte et respectée.

Je n’ai pas murmuré ces deux affirmations au creux de son oreille puisque le but n’était pas de cacher quoi que ce soit à nos invités, mais bien de former mon épouse sans son nouveau rôle. La suite, en revanche, ne pourra être entendue que de Chayra.

Teste ces limites et quand tu auras trouvé sa faiblesse, tu auras l’arme parfaite pour la casser et la faire tienne. Est-elle une femme jalouse ? Nous avons des putes qui peuvent baiser le mec… Est-elle pudique ? Elle pourrait elle-même baiser son époux une dernière fois non ? Avec de la chance, les infos seront véridiques et sa mort rapide. Mourir la queue bien enfouie dans la chatte de sa femme est une belle mort non ? Ou alors… quelles sont ces limites au niveau douleur ? Il y a une multitude de jouets dans cette pièce si tu souhaites tester.

C’est excitant de discuter de toutes ces choses avec ma femme entre les bras. Quelque chose me dit qu’elle peut sentir la bosse qui se forme dans mon pantalon.

Tu es divinement sexy quand tu es vilaine.

Parole prononcer à voix haute pour son plaisir à elle, mais aussi pour donner le ton, soit celui qui affirme que je ne vais pas me mêler de décisions qu’elle prendra. Puis… elle est vraiment sexy, mais cette fois il n’y a aura pas de punition, pas de coup, pas d’insulte. Je ne lui offre qu’encouragement et caresse. C’est à se demander si le Mateo qu’elle connait n’est pas mort en Italie et remplacer par un sosie, mais non, je suis bel et bien le seul et unique.

Si tu as envie de les laisser mijoter, je ne suis pas contre une autre baise passionnée… en privée.

Quoi ? Au pire je la baise ici, mais c’est sur et certain que je ne reste pas bader comme cela pendant des heures.
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MessageSujet: Re: (Violent) Une fois de trop (Chayra)   (Violent) Une fois de trop (Chayra) EmptyJeu 21 Mar - 13:54

J’ai grandi dans ce milieu, dans ce climat de violence quasi constante. J’ai grandi avec cette vision de l’homme et de la femme, cette vision machiste comme quoi l’homme est en tout point supérieur. Physiquement… je veux bien le reconnaître, en revanche, je persiste à croire que ceux qui sous estime les femmes courent à leur perte. Mon mari a toujours vu en moi qu’une chienne bonne qu’à être baisée, un jouet dont il peut user et abuser comme bon lui semble. Il ne m’a jamais mêlée à ses affaires, jamais jusqu’à cet instant. Pourquoi maintenant ? Je n’en sais rien, est-ce qu’il a une idée, un plan derrière la tête ? Certainement. Il a beau attiser ma colère comme personne, je dois reconnaître que c’est un homme à l’intelligence redoutable. Il sait susciter la peur et la crainte comme personne et croyez-moi, j’en sais quelque chose. Je reconnais sa supériorité parce que je n’ai pas le choix, parce qu’il ne me laisse pas le choix, mais il lui arrive de plus en plus souvent de me laisser entrevoir des facettes de lui plus rare et plus précieuse.

Pour la première fois il me laisse entrevoir son monde et deux choix s’offrait à moi. La peur, me replier sur moi-même et tout rejeter en bloc, ou prendre ce qu’il me donne, accepter sa cruauté, accepter d’être la Reine du Roi cruel et sans pitié, devenir comme lui… Je suis une femme forte la seule option que j’accepte d’envisager c’est d’ouvrir les bras à ce royaume qu’il m’offre et me sert sur un plateau d’argent. Un pas infime vers un respect qu’il m’offrira peut-être un jour. S’il m’en juge digne.

Pour la première fois, en venant m’installer sur ses genoux, mon regard planté dans le sien, je cherche son approbation, ses encouragements. Une Reine peut régner sans un Roi, mais pas ici, je veux qu’il me guide et m’apprenne non pas à devenir une reine parmi tant d’autre, mais la sienne. Jamais je ne serais libre de son emprise, c’est bien une des seules certitudes que j’ai, alors autant apprendre à vivre ensemble et à tirer le meilleur de ce mariage. Je ne suis naturellement pas une femme cruelle, mais ma fidélité et ma dévotion va à ma famille, et ma famille c’est Alicia, c’est Matéo… C’est la Cosa Nostra. Alors, je me relève et prends les choses en mains, prenant l’ascendant sur mon jouet qui espérait probablement trouver en moi une alliée… Une aide qu’elle n’obtiendra malheureusement pas.

Je bâillonne notre victime dont les couinements commençaient sérieusement à me taper sur les nerfs. Je le bâillonne quand mon cher et tendre me confis que lui, lui aurait coupé la langue. Plus radical, mais au fond, je sais que ce mec ne ressortira pas d’ici vivant. Je reviens naturellement vers Mateo, laissant mon corps glisser contre le sien, le contact de ses doigts courant sur ma peau m’électrise. Je ne sais pas si c’est l’adrénaline, l’excitation ou encore cette sensation de pouvoir, mais j’ai terriblement envie de mon mari. La rage à son encontre qui m’anime habituellement semble se mettre en sourdine, elle semble se muer en un désir violent et sauvage.

C’est une grimace pleine de contrariété qui anime les traits de mon visage quand il me dit qu’elle va me défier. Je n’impose pas le respect et la crainte comme il le fait naturellement. Peut-être un jour, bien qu’il est impossible de jouer au même niveau que le sien. Il est le maître incontesté de cette discipline. Je l’écoute, frissonnant lorsque son souffle chaud vient lécher ma nuque tout en fixant le jouet qu’il vient de m’offrir. Je ne sais pas réellement moi-même jusqu’où je serais capable d’aller avec elle. Cependant, à présent, je ne peux pas faire machine arrière, je ne peux pas me raviser et me montrer clémente. Je perdrai alors toute crédibilité et j’aime cette lueur de désir que je perçois dans le regard de Mateo, et ça peut paraître étrange vu nos rapports trop souvent conflictuels, mais je ne veux pas le décevoir.

J’écoute avec la plus grande attention toutes ses propositions, toutes ces pistes qu’il me donne alors que je fixe notre victime, me demandant quelle option lui serait la plus adaptée. Suis-je un peu distraite par sa virilité que je sens durcir contre moi ? Certainement oui et plus que je veux bien l’admettre. Un sourire large et franc, le genre de sourire que je ne lui offre jamais en tant normal, étire mes lèvres alors qu’il dit me trouver divinement sexy quand je me montre vilaine. Je ne le lui avouerai pas, mais je crois que je pourrai m’habituer à recevoir ce genre de sentiment de sa part.

« Qui êtes vous et qu’avez-vous fait de mon mari…  »

Un sourire plein de provocation, chaleureux et amusé, illumine les traits fins et délicats de mon visage lorsque j'apprécie les éloges inhabituels et inattendus qu'il m'offre. Je ne peux m'empêcher de rire légèrement, touchée par son charme particulier. Enthousiasmée par son approche, je me penche doucement vers lui, réduisant l'espace qui nous sépare. Alors, je l'embrasse longuement, mêlant ma langue à la sienne dans une danse langoureuse et passionnée. Chaque mouvement est une expression d'intérêt mutuel et d'affection non dite, chaque seconde passée ensemble renforçant ce lien étrange qui existe entre nous.

« Andrea ? »

Ma voix claire s’élève et l’homme de Mateo qui nous avait accompagné jusqu’ici entre et s’avance. Il pose d’abords son regard sur mon mari, comme pour s’assurer qu’il pouvait m’obéir. C’est la première fois que Mateo me mêle à ses affaires, et je comprends que sa puisse être perturbant pour ses hommes. Cependant, Andrea rapporte son attention sur moi, fixant peut-être un peu trop certaines courbes de mon anatomie. Mon regard à moi passe de lui à la petite chose tremblante qui se demande encore à quelle sauce elle va se faire bouffer. Je me lève et m’approche d’elle, je me baisse légèrement pour que mon visage soit à la même hauteur que le sien. Je plonge mon regard se voulant plein d’assurance dans le sien.

« Écoute-moi bien parce que je ne me répéterai pas ma jolie. Ton mec va mourir, tu ne peux rien faire pour le sauver de cette triste fatalité ma belle.  » J’attrape son menton fermement, la forçant à me regarder droit dans les yeux pendant que son mec vocifère à travers son bâillon.  «  En revanche, c’est toi qui est la maîtresse de ces derniers instants. » Je suis sympas là non ? Hum oui mais non, pas réellement. «  Mon cher et tendre et moi allons devoir vous laisser, nous avons à faire tous les deux… Mais Andrea et ici pour vous surveiller, et je veux que tu baises ton mecs jusqu’à son dernier souffle. Offre-lui ce petit cadeau… » Elle couine, les larmes coulent sur son visage quand elle affirme en être incapable. « Si tu refuses, c'est Andrea qui te baisera devant lui. Fais ton choix. » Je la relâche alors brutalement, le repoussant en arrière pour lui faire perdre l’équilibre. Je lui offre le choix, c’est plutôt sympa de ma part non ? Je détourne mon attention d’elle pour venir coller mon corps contre celui de Mateo que je gratifie d’un sourire se voulant presque complice. « On peut aller dans un coin plus tranquille ? » Mon regard vissé au sien, je formule ma demande tout en laissant mes doigts flatter son érection. J’ai envie de lui, j’ai faim de lui, je ne le formule pas, mais mon regard parle pour moi. Mon langage corporel également. Aucune crainte m’anime, seulement un désir sauvage. À cet instant, je me donne à lui. Pleinement. Entièrement. C’est suffisamment rare pour qu’il ne laisse pas cette opportunité filer.
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