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| une journée comme les autres ? (Ninalek) | |
| WebName : Hortek Date d'inscription : 21/09/2023 Messages : 87 Avatar & crédits : Tobias Sorensen Date de naissance : 15/08/1998 Age : 26
| Sujet: une journée comme les autres ? (Ninalek) Jeu 28 Sep - 22:35 | |
| **tenue**C’est une journée lassante et fatigante. Un studio Coréen est en train de faire un jeu totalement foutraque et le pire, c'est que ça fonctionne… Le concept pompé sur un tas de jeux à droite à gauche est un immense bordel magistral et ça plait. Visiblement ça va faire un gros buzz et si les mecs font un minimum de bon travail, ce sera un gros succès. Ainsi, drapé dans mon costume j’attaque ma journée bille en tête. Je délaisse mon café pour attaquer directement mes mails, je jette ceux de mon frère immédiatement, ma mère me passe un coup de fil et quand je prends mon café, il est froid, je le vire dans une corbeille et quand l’équipe arrive sur les coups de 9h j’ai préparé la réunion. Sofia est aux petits soins et s’est elle-même préparé en prévoyant des propositions d’actions. C’est un appui précieux, et pendant la réunion, elle montre tout son talent et son savoir-faire. Elle est magnifique et les débiles qui pourraient considérer qu’elle n’est là que parce qu’elle est torride seraient des débiles bien mal avisés. C’est mon assistante parce qu’elle est capable de gérer et qu’elle pourrait me remplacer en cas de soucis. J’ai une confiance totale en elle. Mais vers midi, alors qu’elle me ramène un truc à grignoter et qu’elle me jette ce regard plein de désir, j’avoue que je lutte contre mon désir de la défoncer sur mon bureau… Trop compliqué… Un procès pour agression sexuelle et c’est la mort. La règle aux USA c’est « jamais de scandale sexuel ou de terrorisme » le reste ça se négocie toujours… Je la regarde partir et prends mon téléphone. J’ai envie de baiser Nina… Non… Je repose mon téléphone. Le temps qu’elle arrive, je serais déjà occupé… Mais l’image de Nina me hante et me délecte… La suite de la journée est géniale, l’équipe passe en Beta test le jeu qu’on développe et je signe un projet avec la firme Disney pour un Star Wars… Merveilleux… Demain, on mettra ça en place. Je passe une commande et alors que j’assiste sur internet à une conférence de nos concurrents Coréen, je réalise que leur jeu est tellement buggé qu’ils ne vont pas nous causer des soucis avant la sortie de notre futur triple A. Comme tout est bien qui fini bien, j’ai besoin de m’amuser ce soir. Je commande des trucs sur internet et quand je quitte mon bureau, deux sacs de repas à emporter sont placés sur le bureau de Sofia qui me questionne du regard. J’en pousse un vers elle en lui expliquant que je lui offre le repas du soir et de ne surtout pas venir demain matin, qu’elle a assez travaillé aujourd’hui. Je pars avec ma précieuse cargaison et envoie un SMS à Nina avant de démarrer « Chez moi à 20h, j’ai le dîner » je souris parce que je sais qu’elle sera là à l’heure et parfaite. Si elle est sage et aussi parfaite qu’à son habitude, elle sera là dans une robe magnifique et sans aucun sous-vêtement. Si elle est joueuse, il se peut qu’elle m’attende nu ? Qui sait ? Je verrais bien. C’est ma précieuse, ma numéro une… Elle est parfaite, je n’ai pas à m’en faire. Je démarre et roule en trombe. Mon frère tente de m’appeler et je décroche. Il commence par me demander si ça et je réponds d’un ton glacial que je suis pressé qu’il aille au but. Il hésite et me dit qu’il comptait passer à San Diego bientôt. Je réplique que je suis pas mal occupé et que je verrais si j’ai un moment. Je raccroche et même ce coup de fil ne parvient pas à entamer ma bonne humeur. C’était une bonne journée et je sais que Nina m’attend. Je me gare et grimpe chez moi. C’est une villa luxueuse dont une partie à côté de la cuisine est une villa immense et destiné à Nina, c’est « chez elle » mais elle n’a qu’à traverser le jardin pour être chez moi. Je m’avance vers le salon qui à l’étage donne vue sur la piscine. C’est le salon « intime » le salon de réception est trois fois plus grand et en dessous à la hauteur de la piscine… J’avance, cherchant Nina du regard, mon précieux butin à la main. |
| WebName : Lex Date d'inscription : 12/09/2023 Messages : 31 Surnom : Hormis précieuse ? Avatar & crédits : Charlotte mcKinney Date de naissance : 10/07/1995 Age : 29 Statut civil : Célibataire Occupation : Mannequin Habitation : // Rivalités : Non-participant
| Sujet: Re: une journée comme les autres ? (Ninalek) Mar 3 Oct - 0:51 | |
| --Outfit-- Chez moi vingt heures, j'ai le dîner. parfois une simple phrase remet tout en question. C'est ce que je me dis en regardant l'écran de mon téléphone. Je souris et envoie simplement un petit coeur palpitant en réponse. Je change de conversation et texte Izzie pour annuler notre soirée. Dîner et bar de nuit avant une virée en discothèque... pas mal, évidemment, mais pas quand il me signifie qu'il veut me trouver à l'attendre. Izzie râle évidemment, elle avait très envie de s'afficher en soirée avec une ange. Sur le coup ça me tire un petit sourire. Mon heure de gloire est passée, mais il m'en reste tout de même quelques oripeaux, dans lesquels me draper. Je rajoute un petit mot d'excuse et jette le téléphone sur mon lit, avant de me rendre dans la salle de bain. Une douche longue et brûlante, un maquillage discret mais mettant en valeur mes yeux de chat et un long brossage pour que la chevelure soit comme de la soie liquide. Il ne me reste plus qu'à m'habiller. La tenue est toute choisie d'ailleurs. Un ensemble string et bustier que je viens d'acquérir et qu'il n'a encore jamais vu. Je suis prête en avance et je gagne la porte séparant mes appartements du reste de la villa. On est loin du studio et j'ai tout le confort souhaité, mais surtout je suis toute proche de lui. Ça peut ne pas sembler grand chose mais pour moi c'est important, comme le fait de partager son lit. Ça n'a rien du modèle de couple traditionnel et j'en suis bien consciente, mais je crois que je m'en fiche. J'ai croisé sa route alors que j'étais perdue, totalement à la dérive et remettre le contrôle entre ses mains n'a pas été chose facile, mais c'est venu révéler quelque chose en moi. Me soulager d'un trop plein de peurs et de peines, lui plaire, le satisfaire est devenu une sorte de Graal. Je souris en y pensant, installée sur un transat au bord de la piscine avec un verre de vin blanc. Je me lève en l'entendant entrer, pour avancer près du bassin et clairement poser. Un pied en avant, la jambe délicatement repliée. Je mets en valeur la cambrure de mes reins, autant que la longueur de mes jambes. Je suis un modèle, forcément ça n'a rien de très compliqué... mes mains remontent dans mes cheveux pour mimer une queue de cheval, façon très claire de m'offrir à lui. Je tourne légèrement le visage pour le regarder approcher. J'ai besoin de lire dans ses yeux, sa satisfaction ou son désappointement. Mon attitude se calquant presque instinctivement sur ce que je peux lire ou non dans ses prunelles sombres. -"Bonsoir Malek." Ma voix est douce, elle porte mon plaisir de le retrouver mais je ne bouge pas, n'initie rien, me contentant de le regarder par en dessous. -"Tu m'as manqué." Évidence absolue, puisqu'il me manque dès qu'il ne me touche plus... mais ce n'est pas une raison pour ne pas le lui dire. N'est ce pas ? Je souris avec douceur, attendant de savoir ce qu'il me réserve. |
| WebName : Hortek Date d'inscription : 21/09/2023 Messages : 87 Avatar & crédits : Tobias Sorensen Date de naissance : 15/08/1998 Age : 26
| Sujet: Re: une journée comme les autres ? (Ninalek) Dim 8 Oct - 20:20 | |
| Cette demeure est magnifique. Exubérante et pourtant tellement moyenne pour quiconque aurait mes moyens de faire. Et pourtant j’aime la foule de détails, de luxe de cet endroit et tout ce qui se trouve ici. Mais cette maison serait fade et sans intérêt si elle ne cachait pas en son cœur cette femme. Ma précieuse. Ma Nina… Ma raison de ne pas sombrer. Celle qui encaisse, accepte, se soumet. Celle qui écarte les nuages et me soulage de ma peine. Elle m’attend. Elle a soigné son apparition. Tenue, posture, paroles… Je dépose le sac de nourriture sur la table et m’avance lentement vers elle, regardant autour de nous avant d’aller vers elle passer doucement ma main sur sa fesse que je serre délicatement avant de lui demander.
« Nous avons du monde à la maison ? »
Elle me répond d’un non de la tête alors, je remonte ma main et saisis ses cheveux pour l’attirer et lui donner un baiser ardent et sauvage, envoyant ma langue dévorer la sienne avec passion, cherchant à la rendre molle dans mes bras sous l’impact du plaisir que je lui inflige dans ma poigne.
« Alors c’est bonsoir Maître »
Malek, c'est pour les convenances et le public. Quand nous sommes ensemble, c'est maitre que je veux être appelé. Je souris à son aveu et il ne s’en faut pas de beaucoup, je lui fasse saisir les bords arrondi de cette échelle de piscine pour venir la baiser… Non… Je suis bien trop ardent, je dois me calmer.
« J’ai pris ton vin préféré et des anti-pasti. J’avais envie de manger léger, varié et probablement froid… Tu es exquise ma précieuse… »
Je souris et l’embrasse avant de libérer ses cheveux et de glisser mes doigts sur sa nuque, son épaule, son bras et de venir caresser l’intérieur de son poignet avant de prendre délicatement sa main. Je l’attire doucement vers moi avant de lui murmurer.
« Tu vas chercher les verres et j’installe le repas ? »
Ou tu m’arraches ma chemise et je te punis pour ça toute la nuit ma magnifique et précieuse Nina ? Voilà ce que mes yeux lui balancent… Je crois que j’ai eu très envie d’elle toute la journée et que l’avoir maintenant sous la main ça me dévore un peu beaucoup. Je retiens l’envie de la baiser sur place comme la dernière des garces et pose un baiser délicat sur sa main que je serre dans la mienne et la pousse vers la cuisine d’une claque sur son cul parfait avant de la laisser filer et de la regarder s’éloigner. Je dois me calmer parce que je vais avoir très rapidement trop chaud…
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| WebName : Lex Date d'inscription : 12/09/2023 Messages : 31 Surnom : Hormis précieuse ? Avatar & crédits : Charlotte mcKinney Date de naissance : 10/07/1995 Age : 29 Statut civil : Célibataire Occupation : Mannequin Habitation : // Rivalités : Non-participant
| Sujet: Re: une journée comme les autres ? (Ninalek) Dim 8 Oct - 20:50 | |
| Toute mon attitude change, dès l'instant où je sais que je suis sous son regard. Instinctivement je prends la pose, pour sembler la plus désirable possible. J'aime le reflet de désir qui nait dans ses yeux, je m'y noie et je m'y sens délicieusement bien. Il approche et je fais un petit signe de dénégation à sa demande, qui est en fait je le sais déjà, un rappel à l'ordre. Pas de doute permis, ce n'est pas mon amant qui m'embrasse à cette seconde. Je le sais par sa poigne, par cette prise possessive et avant même qu'il ne précise sa pensée j'ai baissé délicatement les yeux. -"Pardon maître." Préciser qu'il m'a manqué n'est sans doute pas nécessaire, mais je le fais, parce que ce n'est que pure vérité.
Les heures sans lui sont fades et sans saveur, même quand je papillonne d'une chose à une autre. Je vis ici avec lui, dans le luxe et l'opulence, que j'ai toujours désiré, pourtant désormais mon bonheur est ailleurs. Il se loge dans les nuances de ses yeux noirs, dans les notes de fierté ou d'envie que je peux y lire. Mon vin préféré... de quoi grignoter, surtout froid... et ce compliment ? Je suis au paradis? Je rêve ? Non... mieux, je vis. -"Ravie de vous plaire, maître." Je savoure le baiser qu'il me donne, mais surtout la caresse délicate de la pulpe de ses doigts, ma nuque, mon bras, jusqu'au creux de mon poignet. Les frissons courent sur mon corps, le réanimant, m'imbibant de sa présence pour me border de douceur. Je pousse un soupir et le dévore des yeux alors qu'il me demande d'aller chercher des verres.
J'y lis comme un défi à la désobéissance... mais le programme est tellement parfait... Je suis comme étourdie, à ne plus savoir si je veux être récompensée ou clairement punie... Forcément puisque être punie par lui est totalement étourdissant ! Je me retrouve la bouche asséchée, le regard dévorant et le souffle court, incapable de bouger, figée comme le serait une biche prise dans le prisme des phares d'une voiture lancée à pleine vitesse.
Il lit en moi, comme toujours et c'est la fermeté de sa main qui me met en mouvements. Sa main claque sur le rebondi de ma fesse et me tire un petit couinement, avant que je ne me dirige vers sa cuisine en ondulant des hanches. Forcément, renoncer au catwalk serait d'une tristesse... Je pèche deux verres à vin, rouge forcément, bourgogne, puisqu'il a dit qu'il s'agissait de mon vin préféré. Découvrir le vin a été une véritable révélation, pour moi et tout le cérémonial qui va avec me plait énormément. Tel verre pour tel cépage, comme un écrin précieux, révélant toute la beauté parfois cachée du breuvage des dieux. Je récupère également le tire-bouchon et regagne rapidement la terrasse. Je pose tout a sur la table et reste ensuite en retrait, visage baissé, mains jointes dans mon dos. -"Je suppose que tout ceci signifie que mon maître a passé une bonne journée?" Un petit sourire et je me mordille la lèvre inférieure avant d'ajouter. -"Dites moi comment la rendre encore plus douce?" Il demande... j'exécute, aussi simple que ça. Que ce soit dîner et échanger tranquillement, comme le ferait tout couple vanille ou le moindre caprice qui pourrait lui traverser l'esprit. Etrangement je n'ai jamais lutté, ça a toujours été une évidence, avec lui. |
| WebName : Hortek Date d'inscription : 21/09/2023 Messages : 87 Avatar & crédits : Tobias Sorensen Date de naissance : 15/08/1998 Age : 26
| Sujet: Re: une journée comme les autres ? (Ninalek) Dim 8 Oct - 21:12 | |
| Ma merveilleuse et parfaite Nina, ma précieuse. Cette femme qui accepte tous mes désirs et mes imbécilités. Je suis un étrange personnage perdu entre grandeur et décadence. Entre violence et passion extrême. Je savoure cette femme de la pointe de ses cheveux jusqu'au bout de ses orteils. J'aime qu'elle soit mienne. Qu'elle accepte cette vie, ma folie et mes désirs. Qu'elle s'abandonne sans commune mesure et qu'elle ma cède follement. Ce soir je veux lui faire plaisir car j'ai pensé à elle toute la journée. Ce soir je veux la séduire. Je veux qu'elle se sente soumise par devoir et troublée par ma tendresse et mon affection. Elle est ma précieuse et je veux la rendre dingue de plaisir et de désir. Je l'envoie chercher des verres me délectant de l'effet que cette claque sur son cul parfait à pour effet. je la regarde partir et dépose tout sur la table. C'est un délice de forme de couleurs et tout fait envie. Rien n'est simple tout est raffiné et tout est typique. C'est de la restauration de qualité. D'ailleurs je me dis que je devrais bientôt aller en Italie pour le plaisir. Prendre le Jet ou le Yacht pour vivre nu dans les Caraïbes avec elle ou une semaine de ski en suisse dans un chalet à la neige. Qu'importe.
Je la regarde revenir et tout est installé. J'ai retiré ma veste et reste en chemise. Je débouche le vin et alors qu'elle me donne les verres, son bordeaux favori embaume déjà et comme j'ai insisté sur ce vin là le traiteur s'est démené pour associer des saveurs italiennes au gout suave et corsé de ce vin d'exception. Je rempli son verre et le mien alors qu'elle se tient en retrait et me fait pas d'une hypothèse.
"Ton maitre a fantasmé après toi toute la journée... J'ai failli t'appeler mais je n'avais pas le temps..."
Puis elle me demande quoi faire pour rendre la journée encore plus douce. Je la regarde et prenant mon verre je le porte à mon visage pour le respirer.
"Retire tous tes habits et viens sur mes jambes... Mange et bois avec moi et parle moi de ta journée. Prends des forces car avant le dessert je te baiserai sauvagement ma précieuse..."
Je lui dis ça les yeux dans les yeux. je la contemple du regard sans sourciller. je sais ce que je veux. je sais comment je le veux et je sais qu'elle va me le donner. J'ai faim d'elle plus que de toute autre chose à cet instant précis et il est hors de question que je me contienne en terme de désir, je veux juste jouer sur la sensation que le temps se dilate pour elle et qu'elle va sentir la pression monter à mesure que l'échéance approche. Qu'elle soit aussi fébrile que moi avant que nous ne dégustions le dessert... |
| WebName : Lex Date d'inscription : 12/09/2023 Messages : 31 Surnom : Hormis précieuse ? Avatar & crédits : Charlotte mcKinney Date de naissance : 10/07/1995 Age : 29 Statut civil : Célibataire Occupation : Mannequin Habitation : // Rivalités : Non-participant
| Sujet: Re: une journée comme les autres ? (Ninalek) Mar 10 Oct - 16:58 | |
| Mon sourire dit tout le plaisir que j'ai à l'entendre me confier ça, même si une pointe de regret me serre le ventre. J'aurais aimé qu'il m'appelle, j'adore le rejoindre comme ça... Qu'il m'utilise délibérément pour soulager les tensions du moment, c'est généralement ardent et dévorant. Il s'installe et hume son vin, tandis que je lui demande ce que je peux faire pour rendre sa journée encore plus douce. Son pouvoir sur moi s'affirme encore un peu plus, quand je sens mon ventre réagir instantanément à ses mots.
Mes yeux dans les siens, je croise les bras dans mon dos pour attraper le laçage de mon bustier et le défaire. Je tire et l'ouvre pour le retirer et le laisser glisser sur le sol. Le string assorti glisse rapidement le long de mes jambes, je conserve mes chaussures, pour avancer et le rejoindre. Sourire aux lèvres je me glisse contre lui, assise sur ses cuisses, les jambes d'un côté et mon visage trouve sa place dans son cou. Je le respire, me gorgeant de l'odeur virile de sa peau. Son parfum a le don de m'enivrer, mieux que le meilleur alcool.
J'effleure sa peau du bout de mon nez, avant de l'embrasser doucement. -"Comment veux tu que je patiente jusqu'au dessert? Quand je sais que tu as pensé à moi toute la journée?" Ma voix est douce, n'exigeant rien, affirmant seulement mon envie de lui. Ça me dévore, c'est assez fou. -"Ma journée a été excellente." Même si j'ai envie qu'il me pose sur cette table pour me dévorer et jouer avec mon corps comme lui seul sait le faire, je n'en oublie pas pour autant son exigence. -"Paul m'a appelée pour un casting après-demain." Mon agent, il le connait, évidemment. Malek a le contrôle sur l'ensemble de ma vie, c'est venu graduellement et je n'ai pas vraiment cherché à ce qu'il en soit autrement.
Je crois que je suis rassurée, par tout ça. J'ai évidemment des amies qui se sont offusquées, qui m'ont expliqué sur tous les tons que "ça n'est pas normal". Peut être qu'elles ont raison? Je ne sais pas vraiment. Ce qui est sur c'est que ça me convient et que ça me rend heureuse. -"Je prévoyais de sortir et tu as envoyé un message, alors Izzie va surement bouder un peu." J'ai un petit rire en réalisant la frivolité de ce que je raconte, tout en étant pleinement consciente qu'il le savait en demandant. C'est sans doute ce qu'il recherche au fond, en me faisant lui conter mon attente... parce que ce n'est que ça. Quand je ne suis pas avec lui, j'attends le moment de le retrouver. Sait il combien je tiens à lui ? Combien il est nécessaire à ma vie ? Il est l'oxygène que je respire, je vis par et pour lui. Je crois qu'il le sait... à moins qu'il ait encore et encore besoin de s'en convaincre ? Pendant que je parle, mes doigts caressent doucement sa nuque, se perdant par instants dans ses cheveux, tandis que mes fesses viennent trouver son bassin, pour onduler presque imperceptiblement contre sa virilité. Je n'ai pas envie d'être sage... pas jusqu'au dessert. Je me redresse et agrippe son verre, pour y boire une gorgée, les yeux dans les siens, gémissant de plaisir sous l'explosion aromatique. |
| WebName : Hortek Date d'inscription : 21/09/2023 Messages : 87 Avatar & crédits : Tobias Sorensen Date de naissance : 15/08/1998 Age : 26
| Sujet: Re: une journée comme les autres ? (Ninalek) Dim 15 Oct - 21:48 | |
| Je ne loupe rien de son déshabillage. Si j’aime le soin qu’elle met à trouver des tenues toutes plus délicieuses et parfaites que les autres, c'est aussi pour le plaisir pervers de la contempler, les retirer et m’exhiber avec délice toute la perfection de son corps de déesse. Et ce tatouage somptueux qu’elle a apposé sur sa peau en guide de présent éternel. Cette femme est ma précieuse. Ma merveilleuse Nina, ma folie, mon point de repère dans ce monde à la con… Je la regarde dans les yeux quand elle se prépare à détacher son bustier et je baisse un regard gourmand et plein de désir sur son corps. Il tombe au sol et je découvre sa poitrine magnifique et lourde avant de contempler ce tatouage qu’elle porte à ma demande entre le nombril et l’os de sa hanche… Je la dévore des yeux alors qu’elle conserve ses chaussures et approche de moi pour s’installer sur mes jambes. Je frémis de délice en caressant sa peau délicate. Son visage glisse dans mon cou qu’elle caresse de son nez avant de me demander comment je veux qu’elle patiente jusqu’au dessert quand elle sait que j’ai pensé à elle toute la journée ? Je souris amusé et embrasse son épaule, passant ma main autour d’elle pour venir la poser sur sa hanche. Elle se met à me raconter sa journée et je bois une gorgée de vin. Elle me parle de Paul et d’un casting pour après-demain. Je sais qui est Paul et je connais l’importance pour elle de continuer d’exister alors, je note l’information mentalement pour faire en sorte de lui dégager du temps et surtout de penser à lui envoyer mes vœux de réussite et de soutien.
« Casting de quoi ? Photo ou pour un rôle dans un truc ? »
Je sais que parfois les studios ont besoin de femmes très très belles pour quelques scènes, parfois ça demande du jeu et parfois non. Il faudrait peut-être qu’un jour je fasse créer un personnage de jeu basé sur elle, ça pourrait relever sa popularité auprès des joueurs et lui permettre d’attirer l’œil de certains producteurs. Elle me parle d’une sortie avec Izzie et qu’elle va bouder. Je soupire, cette fille est terriblement capricieuse.
« Au pire invite la à se dorer le cul au bord de la piscine ça va la détendre… »
Je caresse la cuisse de Nina au moment où elle prend mon verre pour boire dedans. Je prends un toast pain de campagne, concassé de tomates noires, mozzarella et pesto. Un régal. C’est simple, mais ingrédient de qualité et cuisine soigné. Je n’ai pas besoin de feuilles d’or à la con pour trouver ça précieux. Je profite qu’elle boive et glisse ma main entre ses cuisses pour la caresser alors que je plonge le visage sur sa poitrine et aspire son sein délicatement pour le sucer quelques secondes, massant son clitoris habilement.
« Moi j’ai eu très envie de te siffler… Je crois que je vais t’inventer un poste pour t’avoir proche de moi quand j’ai besoin… Un matelas sous mon bureau pour tes genoux… »
Je la laisse boire et libérant son sein, je l’assois sur la bosse sous mon pantalon de sorte qu’elle me tourne le dos. Je mords son cou et massant toujours son clitoris je viens pincer son sein.
« Le vin est bon ma précieuse ? » |
| WebName : Lex Date d'inscription : 12/09/2023 Messages : 31 Surnom : Hormis précieuse ? Avatar & crédits : Charlotte mcKinney Date de naissance : 10/07/1995 Age : 29 Statut civil : Célibataire Occupation : Mannequin Habitation : // Rivalités : Non-participant
| Sujet: TW : relation M/e, BDSM. Mar 24 Oct - 22:13 | |
| L'indécence d'être ainsi nue dans ses bras... alors qu'il est tout habillé. J'adore ça. J'adore cette façon qu'il a de me conduire sur des chemins que je n'aurais jamais cru emprunter. C'est délicieusement torride et ça me met clairement des papillons dans le ventre. Sa main vient s'enrouler contre ma hanche et je souris avant de lui répondre. -"Apparemment un rôle dans une publicité." Je ne suis pas connue pour l'acting, clairement, mais c'est peut être une voie de sortie? Est ce que j'en suis capable? Je n'ai jamais pris de cours de comédie. J'ai été repérée alors que j'étais très jeune, sur de purs critères physiques et j'ai surfé sur la tendance... Jusqu'à ce que ça devienne compliqué. 28 ans... me voilà vieille. La vie de mannequin n'a rien d'un monde de bisounours en même temps.
Je lui parle d'Izzie et sa remarque me tire un rire. -"Tu es sur d'avoir envie de l'avoir ici?" Je sais qu'elle a un don pour l'horripiler mais je l'aime bien c'te fille. Elle n'a pas sa langue dans sa poche et elle m'amuse, par son irrévérence et ses facéties. Je lui prends son verre, en profitant pour effleurer sa main au passage et mes yeux plongent dans les siens. En tout cas jusqu'à ce qu'il glisse contre mon buste pour suçoter la pointe de mon sein, me tirant un long frisson qui me cambre entre ses bras. Diaboliquement habile il trouve également le centre névralgique de mon plaisir de la pulpe de ses doigts et j'ai un petit hoquet de plaisir.
Il prend le contrôle de mon corps, me soulève, me repose tout contre lui, les fesses plaquées sur sa solide érection et je peine à déglutir ma gorgée de vin. Instinctivement je cherche plus de contact et je me frotte tout doucement à lui. -"Oui maître... il est presque aussi divin que toi." Lentes ondulations de mes hanches et soupirs, chaque fois que je bute contre son sexe tendu. -"Tu peux me siffler autant qu'il te fera plaisir." Nouvelle ondulation. -"Parce que je suis à toi." Je couine doucement en le disant, guidant sa main libre sur le tatouage qui orne mon bassin. Le feu de l'aiguille sous son regard... c'était une expérience totalement folle.
A cet instant j'ai tout abdiqué. J'ai décidé de passer le grade le plus fou d'une relation SM. Je ne suis plus seulement sa soumise, mais sa propriété, esclave volontaire qui ne peut plus avoir le moindre contrôle. C'est effrayant... avant. Mais une fois que j'ai sauté ce pas, je me suis sentie libérée. Il veille... j'obéis. Il désire... j'exécute... et s'il siffle j'accoure sourire aux lèvres. Non a été effacé de mon vocabulaire, remplacé par "oui maître". Attention... il ne s'en sert pas pour me blesser, enfin pas en venant contredire mon consentement... c'est bien plus profond que ça.
Je suppose que ça peut sembler atroce, pour beaucoup de gens. Une servitude paraissant forcément âpre et dure. D'ailleurs ça peut l'être. Ma vie à ses côtés n'est pas faite que de douceur, loin de là. Il lui arrive d'imaginer des rites de passage d'une complexité qui me sidèrent. Mais qu'importe ? Ma vie n'aurait plus le moindre sens sans sa présence. J'ai besoin de lui, de ses attentions, au moins autant que de l'air que je respire. Non ! Il est l'air que je respire. Il récupère sa main et pince mon sein, me torturant le cou de ses dents, me faisant couiner. J'hésite à m'échapper pour lui faire regoûter ce grand cru, versé sur mes seins, mais la puissance des sensations me cloue sur place. Il a été le maître de mon corps, bien avant que je ne lui cède tout, et je sais qu'il adore me le rappeler... |
| WebName : Hortek Date d'inscription : 21/09/2023 Messages : 87 Avatar & crédits : Tobias Sorensen Date de naissance : 15/08/1998 Age : 26
| Sujet: Re: une journée comme les autres ? (Ninalek) Dim 29 Oct - 19:23 | |
| Une pub… Oui ça semble bien. Sans lui faire offense, elle n’a pas encore été actrice et entre les films de série B bas de gamme ou les séries qui veulent utiliser sa plastique de déesse, elle va surtout jouer les potiches et rien faire de fou. Après je ne sais pas si elle sait jouer la comédie, mais elle n’a pas fait de cours et ce n’est visiblement pas ce qu’on lui demanderait… Même si elle approche la trentaine et qu’on lui préfère des minettes plus jeunes, elle reste éblouissante et je préfère la voir jouer les femmes magnifiques dans une pub plutôt que de casser son image dans une comédie à la con avec Ryan Reynolds ou Dwayne Johnson…
« C’est plutôt bien j’espère que ça marchera. »
Puis elle me parle de cette grosse dinde d’Izzie et elle ironise en me demandant si je suis sur d’avoir envie de l’avoir ici. Je lui jette un regard entendu avec un sourire en coin. Non même nue à 4 pattes les fesses en l’air et bâillonnée, je n’ai aucun plaisir à voir Izzie ici… Je prends mon verre et avale une gorgée de ce vin que Nina vient rapidement me chiper pour y gouter à son tour. Je la regarde faire avant de venir sucer son sein délicatement tendu. Je la sens se cambrer en buvant et je viens trouver son entre-jambe de mes doigts. Délicatement je la caresse et la laisse se lover contre moi pendant que mes doigts la font monter délicatement en pression. Je lui parle nonchalamment en la caressant de mon désir de la « siffler » aujourd’hui pour venir me distraire et me soulager, puis je lui demande comment elle trouve le vin et elle m’appelle maître en me disant qu’il est presque aussi divin que moi. Je souris amusé et mon sourire s’agrandit quand elle me dit que je peux la siffler autant qu’il me fera plaisir… Puis, elle rajoute que c’est parce qu’elle a moi en ondulant son bassin contre mes doigts. Je fonds de délice et frémis tout à la fois. Je me délecte de cette abnégation à mon égard. De sa soumission totale, de sa fidélité absolue… Je reviens pincer son sein et mordre son cou. Elle en gémit de plus belle et se tortille sur moi avec douceur et délectation. Je suis adossé à ma chaise et doucement l’attirant sur moi je lui sers de matelas et agrippant sa gorge d’une main ferme je reviens enfoncer mes doigts en elle la doigtant alors que son dos repose contre moi mais que seules ses épaules et ses fesses me touchent. Cambrée de plaisir elle se tient dans cette posture tendue pendant que je la fouille de mes doigts. Je mords son épaule et me retiens de lui laisser une marque si elle doit faire sa pub…
« Tu m’as manqué ma précieuse… »
Je tire ses cheveux d’or sèchement et la redresse avant de me lever avec elle la doigtant toujours. Je la bascule contre la table de sorte que le haut de son corps soit couché dessus. Je lui fais écarter les cuisses en utilisant mon pied pour pousser les siens. Puis je viens me placer derrière elle regardant son cul de déesse sur lequel ma main s’abat sans pitié, le bruit venant se répercuter sans ménagement sur les murs de la pièce. Je tire ses cheveux en arrière et la force à relever le menton et à gémir de plaisir en se cambrant avant de prendre une nouvelle claque sur son cul. Je continue de la frapper avec le plat de ma main. Puis je lâche ses cheveux et laisse ma main glisser à plat sur son dos, le caressant de mes doigts en glissant vers ses reins délicatement. Je viens déboucler ma ceinture et la retire des passants de mon pantalon. Je caresse ses fesses avec le cul de ma ceinture en guise de provocation…
« Tu préfères la sentir frapper ton cul ou s’enrouler autour de ton cou ? » |
| WebName : Lex Date d'inscription : 12/09/2023 Messages : 31 Surnom : Hormis précieuse ? Avatar & crédits : Charlotte mcKinney Date de naissance : 10/07/1995 Age : 29 Statut civil : Célibataire Occupation : Mannequin Habitation : // Rivalités : Non-participant
| Sujet: Re: une journée comme les autres ? (Ninalek) Dim 12 Nov - 12:32 | |
| J'aime qu'il valide ce projet, ça me tire un sourire, alors que je me love contre lui. La suite? C'est une lente agonie de plaisir. Il se joue de mon corps et me fait délicieusement monter en pression, jusqu'à ce que sa prise se raffermisse dans mes cheveux pour me faire me lever, alors que ses doigts fouillent toujours mon corps. Il me penche sur cette table et je me cambre en réponse, écartant les jambes sous la pression de ses pieds.
Sa main s'abat, fort, me tirant un couinement et rougissant la peau diaphane de mes fesses. Une fois... une fois encore... mes hanches ondulent en réponse et je gémis de désir quand la douceur de sa main apaise un peu de ce feu ardent. Il caresse le bas de mon dos, mes reins et je tremble sous ses doigts. Quand il retire sa ceinture j'ai un petit soupir, ravi. Mes dents happent ma lèvre inférieure et je me tord pour pouvoir l'observer par dessus mon épaule. -"Je veux les deux !" Mauvaise réponse, je le sais par avance. Choisir une option non proposée c'est m'exposer à une punition, mais peu importe.
Je crois que j'aime être punie par lui. Il y a là un abandon et une absence de retenue qui me rendent totalement ivre. J'ai découvert le milieu bdsm entre ses bras, très vite. Dès notre rencontre il a ... pris possession de mon corps. Je ne sais pas le dire autrement. Cette marque encrée sur ma peau n'est que le prolongement de ce qui s'est joué cette nuit là. Il a pris possession de moi, a marqué ma peau de ses dents et mon âme d'une empreinte bien plus profonde. C'est aussi une forme de morsure, ça c'est imprimé en moi et ça m'a changée. Je ne sais pas trop comment ni pourquoi, mais je n'ai pas envie de m'y appesantir. Ce que je veux c'est lui plaire, le satisfaire, même quand ce tatouage signale au monde comme à moi que je ne suis qu'un numéro.
Certes ! Mais je suis la numéro une ! Et j'entends revendiquer et conserver cette place dans sa vie. -"Maitre... je veux l'entendre claquer." J'ondule des hanches et prend appui de mes mains sur la table, même si je veille à ne pas en décoller mon buste. -"Jusqu'à ce que je ne puisse plus retenir mes cris." Ma voix est un murmure, à sa seule destination. -"Ensuite je serais docile, cette laisse à mon cou." Façon comme une autre d'avoir les deux, n'est ce pas? De toute façon, je sais très bien qu'il n'en fera qu'à sa tête et que je m'en contenterais. C'est ainsi, il ordonne, j'exécute. Ma vie est d'une simplicité folle, non ? On pourrait penser que c'est difficile, d'ainsi tout abdiquer, mais pas du tout, c'est juste parfaitement libérateur et délicieux. -"Pourquoi ne pas me montrer à quel point tu as eu envie toute la journée? Et surtout... de quoi ?" Je n'ai pas osé dire... de qui. Pourtant cette idée me plait. J'aime être à lui, j'aime qu'il pense à moi. J'aime être celle à qui il pense quand l'envie menace de le déborder. Il a tout, le physique, l'argent, la position sociale, il pourrait avoir n'importe qui et pourtant... c'est moi ! Juste moi, qu'il a choisi. Cette place est à moi, je ne la laisserais à personne et même si je suis d'une douceur infinie en sa compagnie, ne nous leurrons pas, j'ai aussi des griffes, acérées, dont je sais me servir. |
| WebName : Hortek Date d'inscription : 21/09/2023 Messages : 87 Avatar & crédits : Tobias Sorensen Date de naissance : 15/08/1998 Age : 26
| Sujet: Re: une journée comme les autres ? (Ninalek) Ven 1 Déc - 12:09 | |
| Oui Nina m’a manqué. Nina est ce point central dans mon existence qui me rappelle à chaque fois combien la vie est parfois douloureuse et combien il est merveilleux de m’accrocher à elle pour mieux laisser passer la tempête. Alors oui régulièrement elle me manque. Nina est une sorte d’oxygène dont j’ai besoin pour survivre. J’ai encore très mal de certaines choses et si je le pouvais je crois que je passerais mon temps avec elle, mais j’ai bien trop peur de me lasser et je préfère créer le manque plutôt que de dévorer cette source de bonheur et de la mettre à sac pour la perdre et me sentir encore plus seul et abandonné. Et Nina est parfaite. Elle connait parfaitement mes gouts et mes pensées et elle sait ce qu’elle doit faire, comment être pour représenter cette perfection absolue à laquelle j’aspire avoir droit… Je lui pose un choix et me surprends de l’entendre me répondre qu’elle veut les deux… Je reste interdit avant de sourire amusé. Elle est bien trop parfaite pour faire une erreur aussi stupide. Donc j’en conclus que ma douce Nina souhaite se faire un peu malmener ce soir. Qu’elle a envie de se faire gronder… Ma lèvre inférieur est délicatement pincée par mes dents avant que je ne dégage ma ceinture de mon pantalon, qu’elle me dise qu’elle veut l’entendre claquer, elle me décrit la scène dans son esprit et m’explique ce qu’elle fera ensuite… Elle aggrave son cas… Puis, elle s’enterre définitivement en me demandant de lui montrer à quel point j’ai eu envie toute la journée et surtout de quoi ? C’est trop… Ma ceinture s’abat et claque, cinglant son cul d’une vive marque rouge.
« Non contente de mal répondre tu oses m’expliquer quoi faire avec toi et cette ceinture ? »
Le bras se relève et la ceinture claque de nouveau. Une fois, deux fois, trois fois… Je larde son cul de coups de ceinture avant de dévier sur ses cuisses et le bas de son dos. Je frappe la regardant se tortiller et gémir partagée entre douleur et plaisir de se soumettre. J’abats la ceinture une dernière fois et la fait glisser caressant sa peau en feu avec le cuir chaud de ma ceinture. Mes doigts de ma main libre se mettent alors à masser sa fente déjà trempée. Je pousse mon index en elle et le ressort comme si je testais sa température.
« Mains dans le dos… »
Je pose la ceinture sur ses reins et détache ma cravate. Je prends ses poignets et lui attache les mains dans le dos prenant soin de pousser malicieusement mon bassin et cette bosse insolente contre son intimité avant de me saisir de la ceinture qui passe autour de son cou et que je tire à deux mains pour qu’elle se redresse en suffoquant un peu. Je lèche son oreille avant de la mordre et me détache d’elle pour revenir m’asseoir, ma ceinture toujours dans la main prenant mon verre pour en avaler une gorgée.
« Tu attends quoi pour venir déshabiller ton maitre ? »
Mon regard brille de délice. Je crois que j’ai subitement perdu tout intérêt pour le repas et que j’ai terriblement envie de jouer avec ma chose ce soir. Elle a envie de moi et je compte lui faire sentir combien j’ai attendu de la retrouver ce soir. Je me sens très inspiré et joueur, ce qui est une merveilleuse chose car ma douce Nina semble très envieuse ce soir de me soulager de la totalité de mes désirs… |
| WebName : Lex Date d'inscription : 12/09/2023 Messages : 31 Surnom : Hormis précieuse ? Avatar & crédits : Charlotte mcKinney Date de naissance : 10/07/1995 Age : 29 Statut civil : Célibataire Occupation : Mannequin Habitation : // Rivalités : Non-participant
| Sujet: Re: une journée comme les autres ? (Ninalek) Dim 17 Déc - 14:44 | |
| Le grondement dans sa voix, annonciateur d'un orage passionnel me fait couiner avant même que la ceinture ne s'abatte pour la première fois. Je gémis doucement et ma voix murmure -"Pardon maître." Amusant non? Alors que j'ai très clairement provoqué ce courroux en toute connaissance de cause. Je me tortille sous le feu du cuir, laisse échapper quelques cris qui mêlent savamment désir, douleur, surprise... et plaisir. J'ai découvert entre ses mains le plaisir insensé qu'on peut tirer de la douleur. Il sait en jouer pour que je bascule dans un monde aux couleurs plus brillantes sans jamais dépasser la limite. La douleur oui, mais aucune souffrance, au contraire...
Je me retrouve rapidement haletante, le corps agité de petits soubresauts. Je ne sais même plus si j'essaie de fuir le cuir ou si je me tends au contraire à sa rencontre. Ses doigts glissent contre mon sexe et je frissonne quand il me pénètre du doigt, en feu, littéralement. L'ordre tombe et j'agis avant même d'en avoir pris totalement conscience. Je tends les bras pour offrir mes poignets et soupire quand je sens son bassin se plaquer contre mes fesses. L'insolence de cette bosse me fait presque geindre. La fraicheur sur le feu de mes fesses est un baume apaisant mais aussi presque paralysant.
Il me redresse, de toute sa poigne contre la ceinture qui enserre ma gorge et la suffocation me fait monter des larmes de délice. Je vibre quand sa langue taquine mon oreille, me cambre à sa rencontre, agite doucement les fesses contre son sexe. Je suis au bord d'un précipice qui me nargue de toute sa profondeur et je ne cherche même pas à jouer les équilibristes, non, je plonge, happée par le magnétisme qui émane de cet homme, mon homme. L'ordre suivant est donné sur un ton presque malicieux, délicieusement provocateur. Privée de mes mains, il désire me voir le déshabiller ? Un petit soupir et je tire légèrement sur cette laisse improvisée, comme pour vérifier sa poigne, alors que mon regard brille d'envie. M'approcher lentement, poser les lèvres dans son cou, tirer sur le tissu avec mes dents. Difficile de le déshabiller ainsi, il le sait très bien, tout n'est que prétexte à me punir encore... à me faire jouir, plus fort.
Je parviens à déboutonner un premier sésame, puis un second et ma bouche vient se repaitre de la peau de son torse. -"Han maitre..." Ma voix est noyée de désir et je tire sur le tissu, espérant faire sauter les boutons plus facilement. Je m'agace, parce que j'ai diablement envie de le voir dans toute la splendeur de sa nudité. Je couine doucement et finalement abandonne la chemise pour venir lécher cette bosse indécente, au dessus de son pantalon, mes dents trouvent le passant du bouton et tirent doucement. Pas si simple à enlever... pourtant je m'acharne, espérant qu'il récompense mes efforts en m'aidant... en m'offrant cette virilité orgueilleuse que je rêve déjà d'accueillir au creux de mes lèvres. -"Je vous en supplie maitre." Petit mordillement sur son ventre alors que je lève sur lui un regard dévoré par l'envie. C'est une torture savante et délicieuse, qu'il manie évidemment avec une maitrise qui m'assèche la bouche et me fait pulser le corps. Mon intimité se crispe, se tord, me fait bruler toujours plus fort. |
| WebName : Hortek Date d'inscription : 21/09/2023 Messages : 87 Avatar & crédits : Tobias Sorensen Date de naissance : 15/08/1998 Age : 26
| Sujet: Re: une journée comme les autres ? (Ninalek) Dim 7 Jan - 21:54 | |
| Aucune faute ne viendra jamais d’elle. Précieuse est précieuse parce qu’elle est parfaite. Parce que derrière son visage d’ange au corps de démone se cache une perfection de femme. Soumise et divine. Elle est faite pour les dimensions de ma queue autant qu’elle est idéale pour le merdier ambulant que j’ai dans la tête et qui me rend complètement con à vivre. Elle supporte et accepte mes conneries, ma violence, mon excentricité, mes colères… Elle est la rivière qui calme et apaise le feu rageur de mes entrailles en souffrance. Alors quand elle fait une erreur je sais qu’elle le fait par jeu pour m’exciter car Nina veut que je lui fasse subir ma colère. Je claque son cul avec le cuir de la ceinture. Pas trop fort car elle ne doit pas avoir de marques, mais je sais qu’elle aime avoir le cul rouge de mes coups… Je la doigte et baise son sexe avec mes doigts agiles pendant que je continue de malmener son cul et ses cuisses de ma ceinture. Puis je saisis ses cheveux et tire dessus pour l’attirer à moi. Puis ses mains sont entravées dans son dos pendant que mordille et joue avec son oreille. Puis je la laisse et vais m’asseoir à ma place la regardant avant de lui demander ce qu’elle attends pour me déshabiller d’un ton qui laisse sous-entendre que je vais être méchant si elle me fait attendre… Elle lutte et gémit et avec sa bouche elle essaye et galère. Elle est adorable à voir faire. Je caresses ses cheveux alors qu’elle peine et me supplie de l’aider en m’appelant maitre. Je souris et tire ses cheveux avant de la gifler.
« Vilaine salope… Comment penses-tu pouvoir me sucer convenablement si ta bouche est incapable de me déshabiller ? »
Je suis odieux et j’adore ça… Je la repousse et la regarde alors que j’ouvre ma chemise que je garde sur moi et me déshabille devant elle rapidement pour montrer mon agacement. Je m’exhibe nu et raide devant elle. Je bande vers son visage dont la joue doit la cuire et la fusille d’un regard noir.
« Tu mériterais de rester à genoux ici et me regarder me donner du plaisir seul puisque visiblement mes mains sont plus efficace que ta bouche… »
Je m’assois de nouveau et lui fais signe d’avancer à genoux vers moi. Sa bouche approche de mon sexe et elle récolte une gifle avant que je tire ses cheveux pour la remonter amenant ses gros seins devant mon sexe. À genoux entre mes cuisses largement ouvertes, je place ses seins autour de ma queue et les tiens en place serrant mon sexe alors que je pince ses tétons sans douceur.
« Ça ne glisse pas assez… »
Je suis odieux et j’adore ça et elle aussi si j’en crois son regard brillant et brulant. La pauvre est entravée et je me délecte de la tourmenter et de la forcer à l’échec. C’est de sa faute, elle voulait se faire punir alors j’y vais joyeusement avec tout le zèle de l’univers… Je suis affreux et elle adore ça. Et moi aussi.
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| WebName : Lex Date d'inscription : 12/09/2023 Messages : 31 Surnom : Hormis précieuse ? Avatar & crédits : Charlotte mcKinney Date de naissance : 10/07/1995 Age : 29 Statut civil : Célibataire Occupation : Mannequin Habitation : // Rivalités : Non-participant
| Sujet: Re: une journée comme les autres ? (Ninalek) Ven 19 Jan - 21:53 | |
| J'essaie, de toutes mes forces, mais même si ma langue est agile, j'échoue lamentablement et la gifle tombe, me cuisant de honte plus que de douleur. La hargne dans sa voix me dit combien il s'y attendait, et l'envie qu'il a de me malmener. Je baisse la tête humblement alors qu'il me morigène, mais ne peut m'empêcher de relever le visage pour le contempler alors qu'il se déshabille. -"J'implore pardon, de toutes les fibres de mon corps." Sans doute insuffisant mais tout à fait vrai. -"Oui maitre. Je le mérite." J'implore d'un regard tendre et doux, transpirant l'admiration et l'amour éperdu que je porte à cet homme.
Pas un amour conventionnel, ça non, mais est il moins valable pour autant ? Alors que j'ai cédé l'entièreté de ma vie entre ses mains? Alors que je ne suis plus une personne à part entière mais bien sa possession ? J'aime cet état de fait, je l'ai choisi volontairement. Le seul qui peut mettre fin à cette relation telle qu'on la partage, c'est lui, j'ai abdiqué le contrôle et le droit de choisir. -"Je serais chanceuse d'avoir le droit de regarder." Un petit couinement quand il lève la main et que je songe à prendre un coup de nouveau, pourtant je ne bouge pas d'un pouce. Mais non, il m'attire à lui, entre ses jambes, toujours agenouillée comme la chienne que je suis pour lui. Il écrase mes seins autour de son sexe, me torturant les tétons au passage, la douleur me tirant un frémissement qui me fait me cambrer. Je le fixe un moment, alors qu'il me reproche que ça ne glisse pas assez et j'abaisse le visage pour prendre son gland entre mes lèvres et laisser ma salive couler contre mes seins.
C'est une véritable preuve de soumission que d'accepter de me souiller ainsi moi même et j'ai jaugé qu'il valait mieux ne pas lui faire l'affront de cracher sur son sexe. Je redresse la tête et les yeux brulants et dévorant je me contente de le contempler. Il est beau ainsi, ses yeux brillent de perversion et je sais quel gout il a à me tourmenter. Comment ? Je pense que c'est tout à fait proportionnel au pied que je prends à être malmenée par ses soins. Notre lien est bancal, pervers, dévorant, violent à bien des égards, mais il est aussi d'une plénitude absolue. Il est mon univers, là où je me contenterais toujours d'être son défouloir. Déséquilibre des forces? Oui surement, mais je ne suis pas sure d'être la perdante dans cette histoire. Loin de là. L'envie de lui se fait dévorante et c'est exactement ce pourquoi je ne dis rien, parce que je ne veux surtout pas qu'il m'en prive. Je fixe mon regard le plus doux dans le sien, jusqu'à ce que n'y tenant plus je revienne l'enserrer entre mes lèvres pour le sucer avec fièvre. Je creuse les joues, aspire, tente de l'enfoncer dans le creux de ma bouche mais me trouve assujettie à sa prise sur mes seins, obligée de subir, excitée de subir ! Bordel ce que ça me rend ivre. |
| WebName : Hortek Date d'inscription : 21/09/2023 Messages : 87 Avatar & crédits : Tobias Sorensen Date de naissance : 15/08/1998 Age : 26
| Sujet: Re: une journée comme les autres ? (Ninalek) Dim 28 Jan - 19:35 | |
| Comment pousser l’art de la perfection au rang divin… Elle cherche mes remontrances en faisant exprès de se mettre en faute. Elle est divine. Elle aime se sentir vibrer sous mes coups et me satisfaire. Parfois elle absorbe ma colère et ma rage. Mais ce soir elle veut se faire rudoyer légèrement par mes coups et attirer ma passion dans sa soumission. Délectable précieuse qui sait apprécier les choses les plus ardentes et les plus chaudes… Le plus fou c’est qu’étant déjà parfaite elle se complait à faire des erreurs comme pour me donner l’occasion de la corriger encore un peu… Je suis fou d’elle et alors qu’elle annonce mériter mes remontrances elle s’abandonne à moi et je lui annonce qu’elle mériterait de rester à genoux devant moi et de me regarder me soulager à la main devant elle tellement elle ne fait pas bien son travail… Ultime provocation qu’elle déguste du bout des lèvres en m’avouant qu’elle serait chanceuse si je lui donnais le droit de regarder. Existe t’il réponse plus parfaite encore ? Pourtant malgré le plaisir que je ressens à sa totale soumissions je me montre sans pitié et triturant ses tétons je lui écrase les seins autour de mon sexe critiquant le manque de lubrification jouant les blasés et les dégoutés alors que je suis en train de jubiler de délice. C’est alors qu’elle vient délicatement poser sa bouche autour de mon gland et laisse un délicat filet de salive couler le long de ma verge en l’enduisant ainsi sans violence. Elle n’a même pas craché sur mon sexe… Habile petite maline, quand je vous dis qu’elle est parfaite. Je continue de me glisser entre ses seins achevant par faire pénétrer mon gland entre ses lèvres quand elle cède et commence à s’écarter et me sucer.
Je pourrais grogner, la réprimander, mais son timing, sa manière de se lancer sans autorisation… Tout est parfait. Elle récolte ma main dans ses cheveux d’or et j’accompagne son mouvement retenant ses cheveux afin de contempler au mieux son visage d’ange aspirant ma queue avec amour. Son regard accroché au mien je me noie dedans et la contemple creuser ses joues avec ardeur pour étouffer mon sexe dans cet écrin brulant de douceur. Je tremble et progressivement je fais pression pour qu’elle appuie plus fort ses caresses. Elle m’accepte et se donne avec des bruits de gorges salaces. Je tremble et soudain je me dresse et debout devant elle j’agrippe sa tête à deux mains et commence à lui baiser la bouche et la gorge en grognant de bonheur la forçant à accepter ma violence. Elle ne bronche presque pas. Pas même quand je l’arrache à ma queue en tirant ses cheveux pour lui gifler le visage avec mon sexe enduit de salive avant de lui approcher la bouche de mes couilles en me masturbant de ma main libre.
« Debout chienne… Allonge toi sur la table ouvre tes cuisses. »
Je suis ivre de désir, j’ai l’appétit qui me dévore et j’ai envie de me planter en elle. Je la fixe attendant que ma chienne se dépêche de m’obéir encore et encore…
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| WebName : Lex Date d'inscription : 12/09/2023 Messages : 31 Surnom : Hormis précieuse ? Avatar & crédits : Charlotte mcKinney Date de naissance : 10/07/1995 Age : 29 Statut civil : Célibataire Occupation : Mannequin Habitation : // Rivalités : Non-participant
| Sujet: TW : relation M/e, BDSM. Mer 21 Fév - 19:36 | |
| Agenouillée devant lui, prête à lui offrir tout ce qu'il désire. Mon cœur bat la chamade, anticipant chaque instant, chaque geste, comme une danse dont nous connaissons parfaitement les pas. Je provoque, j'attise, savourant ma punition par anticipation. J'aime tout de lui, sa violence comme sa douceur. Sa présence domine la pièce, emplissant l'atmosphère d'une aura magnétique qui m'attire irrésistiblement vers lui. Je suis le papillon de nuit, inexorablement attiré par sa lumière, au risque de tout perdre. Je m'en fous, tout perdre ce serait simplement le perdre, lui ! Mes mains nouées dans le dos m'empêchent de caresser mon tatouage, pourtant j'ai la délicieuse sensation qu'il me brule, comme si l'encre s'animait de me sentir en sa puissance.
Ses yeux scrutent les miens, étincelants de désir et de puissance, m'enveloppant d'une chaleur enivrante. Je sens mon souffle s'accélérer, ma peau frissonner au contact de son regard brûlant. L'excitation monte en moi, comme une vague prête à déferler sur le rivage. Je prends sa présence comme une bénédiction, une offrande à laquelle je m'abandonne avec dévotion. Mes mains tremblent légèrement, ma bouche se resserre sur sa verge et j'encaisse quand il se met à me baiser âprement la bouche, levant mes yeux pleins de larmes pour qu'il contemple ma totale soumission. Chaque geste est une caresse, chaque mouvement une offrande à sa magnificence. Même quand c'est la violence qui semble teinter nos échanges, même quand il me bifle et me parle aussi durement.
Lorsque je me retrouve face à lui, je sens mon cœur battre la chamade, comme un tambour résonnant au rythme de notre désir commun. Mes lèvres effleurent sa peau, douces comme une brise caressant les fleurs au petit matin. Je me laisse guider par l'instinct, par le désir ardent qui consume mon être tout entier. Je ne pense plus, je me contente de répondre à son envie et c'est totalement étourdissant de perfection autant sans doute que de perversion.
Sa respiration se fait plus profonde, plus irrégulière, signe que je touche la corde sensible qui le lie à moi. Je savoure chaque instant, chaque sensation, comme si le temps s'était arrêté pour nous laisser savourer cet instant d'éternité. Mes gestes se font plus assurés, plus précis, comme une artiste accomplie façonnant une œuvre d'art. Le sucer est une forme de cadeau, qu'il me fait, en me laissant poursuivre alors que j'ai pris l'initiative.
Et lorsque nos regards se croisent à nouveau, je sens le feu de la passion brûler entre nous, illuminant l'obscurité de la nuit de sa lueur éclatante. Je me sens vivante, libre, comblée par le plaisir de le satisfaire, de lui offrir le meilleur de moi-même dans un élan de dévotion absolue. Je me laisse emporter par le tourbillon de sensations, de désirs, de plaisirs, comme une fleur se laissant caresser par le vent. Et dans cet instant de fusion parfaite, je sais que je suis exactement là où je dois être, à genoux devant lui, à ses pieds, lui offrant mon amour et mon dévouement les plus profonds. Il me guide contre ses bourses, que je caresse doucement de ma langue, la pointe d'abord puis le plat que j'y écrase, le couvrant de salive, n'aspirant pas, veillant à simplement faire ce qu'il aime.
L'ordre tombe et je me cambre pour pouvoir poser le pied au sol et me relever rapidement. J'aurais adoré m'allonger sur le dos, pour contempler son approche, mais mes mains liées viennent me l'interdire. Alors je recule, en le fixant d'un air doux, ne me tournant que quand je sens la table dans mon dos. Je viens y apposer le buste, tend les fesses en arrière et j'écarte les jambes, au maximum, dans une pose impudique qui indique bien la confiance que je place en lui. Je suis totalement vulnérable, offerte à ses moindres caprices et putain ce que j'aime ça. -"Votre plaisir est le mien maitre." Sentencieux? Peut être... qu'importe. Tant que j'écope d'un sourire sur l'ourlé de ses lèvres, je suis prête à bien plus. |
| WebName : Hortek Date d'inscription : 21/09/2023 Messages : 87 Avatar & crédits : Tobias Sorensen Date de naissance : 15/08/1998 Age : 26
| Sujet: Re: une journée comme les autres ? (Ninalek) Dim 25 Fév - 21:23 | |
| Perfection incarnée n’a pas de nom ? Si c’est Nina… Quel bonheur de pouvoir être moi sans aucune concession ou retenue. Cette femme me voue un amour, une adoration, un respect et une fidélité sans limites. La perfection incarnée. La femme qu’il me faut et qui comble mes propres démences et folies. Elle est ce baume qui apaise les brûlures de mon âme. Elle encaisse et je sais que je pourrais lui infliger les pires choses, elle en serait enchantée à partir du moment où elle sait que j’aime ça. Elle aime que je la malmène, que je la pousse à se donner à moi comme si son absolue soumission était la cause de mon amour. Je suis sa bouée autant qu’elle est la mienne et le jeu pervers entre nous est que j’essaye de percer cette bouée et qu’elle, elle s’efforce de me prouver qu’elle est impossible à percer… Je ne sais pas ce que je ferais sans elle. Sans ma précieuse je crois que je vais suffoquer de douleur et crever comme un chien.
Mais l’instant n’est pas aux analyses métaphysiques, parce que je l’étouffe de mon sexe la forçant à m’encaisser dans sa gorge. Elle bave énormément et lubrifie mon sexe en acceptant mes assauts et les tourments que je lui inflige. Je la connais si bien que je n’ai pas besoin de lui foutre un doigt pour savoir qu’elle est plus que vibrante et qu’elle coule déjà de délice. Nina est une perfection. Je crois même que ma simple proximité la fait mouiller sans ménagement. Habile, elle me suce et me met au supplice m’accablant en prenant le dessus sur moi petit à petit alors que son regard exprimant cette ultime abandon me laisse la possibilité de me finir ainsi. Mais l’idée que cette femme me veut aussi fort et mouille si fort pour moi m’accable. Je veux la prendre. Je lui claque un ordre alors que je venais de la faire lécher mes bourses en me caressant. Je crois que j’ai envie d’elle et pas juste de « jouer » elle montre un contrôle incroyable et je veux casser ça. Je veux qu’elle finisse jouissante et abandonnée.
Elle se redresse et se place me tendant ses fesses en se cambrant devant moi. Buste sur la table elle me tend ses fesses en se cambrant comme une damnée. Elle est toujours entravée mains dans le dos et je souris devant sa manière d’écarter les jambes. Impossible de faire plus offerte et plus parfaite. Elle me déclare que mon plaisir est sien et mon cœur fond d’amour. Je déguste cette vue et son sexe déjà luisant alors qu’il n’a reçu aucune caresse jusque-là… Parfaite. Exemplaire au-delà du réel… Je regarde mon sexe raide et luisant de salive bander vers son cul. Je veux m’enfoncer et bouger jusqu’à crever de plaisir. Mais mon tempérament est rarement à l’abandon. Je souris et abat une main sur son cul avec une violence soudain. Elle pousse un cri et se contracte. Elle attend la seconde, mais je me suis placé un genou au sol derrière elle et ma langue lape soudainement son intimité forçant le passage de ses lèvres intimes pour venir lui glisser sur l’anus pour l’étouffer de plaisir. Je me redresse et l’agrippant, je la retourne. Elle renverse des trucs qui étaient sur la table et la voici sur le dos.
Ses bras dans son dos doivent la rendre inconfortable. La position est bancale et je m’en tape. Je me moque qu’elle ait mal pour me donner du plaisir. Je me moque qu’elle soit prise dans son douloureux inconfort car alors qu’elle est à moitié sur le dos et sur ses bras attachés dans son dos, j’ouvre ses cuisses et me plante en elle la regardant dans les yeux alors que je la tiens par le bassin et la bourre de coups de bassin secs qui font balloter ses seins énormes à chaque coup qui résonne en elle. Je soutiens son regard ivre de sa beauté et de ce qui rayonne au fond de ses yeux quand elle me contemple. Je me regarde baisant ce corps dont je raffole alors que je me dis qu’avec plus de maitrise j’aurais pu la tourmenter encore, mais je n’en ai plus envie… Je veux qu’elle jouisse pour moi et aussi parce que j’ai eu envie d’elle toute cette putain de journée et qu’il était temps que je me retrouve entre ses cuisses pour de bon. |
| WebName : Lex Date d'inscription : 12/09/2023 Messages : 31 Surnom : Hormis précieuse ? Avatar & crédits : Charlotte mcKinney Date de naissance : 10/07/1995 Age : 29 Statut civil : Célibataire Occupation : Mannequin Habitation : // Rivalités : Non-participant
| Sujet: Re: une journée comme les autres ? (Ninalek) Lun 25 Mar - 22:37 | |
| Le coup du plat de sa main, me tire un cri, surprise, mais surtout plaisir... Un plaisir qu'il pousse à son paroxysme en remplaçant la bestialité de ses coups par l'habileté de sa langue. Il fouaille mon intimité et je déglutis bruyamment avant de me tordre quand il remonte ainsi jusqu'à caresser mon anus. Je tremble d'envie et un gémissement rauque franchit mes lèvres. J'ai envie de le supplier de me prendre, mais je n'en fais rien, consciente que ça ne le rendrait que plus prompt à se jouer de la férocité de mon besoin.
Il agrippe mes hanches et me retourne avec une facilité déconcertante. C'est douloureux, ça coupe littéralement la circulation dans mes bras, mais ça m'offre une vue... divine. La puissance de son regard, alors qu'il écarte mes cuisses, la ligne de sa mâchoire, son sexe tendu vers moi ! Je tremble par anticipation et pousse un cri de plaisir quand il se plante enfin en moi. Il est sec, brutal, chaque coup de bassin achevant les barrières qui protégeaient encore ma raison. Je gémis de plaisir, mes yeux dévorants les siens, accueillant sa puissance avec toute la douceur de ma soumission et de mon obéissance. Je suis à lui, dans chaque champ de ma vie et clairement... dans le sexe c'est absolument fou à expérimenter.
Quand on connait mon tempérament on a du mal à imaginer que j'y prenne un tel plaisir. Pourtant ? Jamais je n'ai ressenti une telle fièvre, avant, lui. Dans cette étreinte, la tendresse de mes sentiments se mêle à la sauvagerie dans un maelström de sensations phénoménales. Chaque contact de son corps au creux du mien est une brûlure de luxure, chaque baiser achève de me transcender. J'aime à porter les marques laissées par ses dents affamées, comme j'arbore mon tatouage avec une fierté folle. Mon corps le cherche avec une férocité presque animale, se tendant vers lui sans que je me soucie de la douleur de mes bras, me cambrant comme je peux à sa rencontre. Mes gémissements se mêlent aux grondements qui fleurissent dans ma gorge, mon souffle haletant résonnant comme des rugissements dans la nuit. Chacun de ses mouvements est empreint de force brute, j'ai le sentiment qu'il me dévore avec une voracité insatiable et ça me met littéralement le feu autant à l'âme qu'au creux de mon corps. Dans cette danse chaotique de désir et de luxure, je suis sa chose, son objet de plaisir, son esclave volontaire. Il est mon tout, le perdre ce serait renoncer à ce qui fait sens dans ma vie, ce serait me morceler en dizaines de pièces inutiles. Il est tout. Il me pousse chaque jour un peu plus loin, m'entrainant dans les abysses de nos pulsions les plus profondes et à moins que la passion me consume toute entière, je veux qu'il en soit ainsi pour toute l'éternité.
Je me sens sécurisée par sa prise ferme, protégée par sa force, libérée de tout fardeau par sa guidance. Je ressens pour lui, un océan de sentiments complexes et profonds, même si je n'ai pas la place pour les avouer, j'espère qu'il peut les lire dans mes yeux, dans les crispations de délice de mon corps. Mon maître incarne pour moi bien plus qu'une simple autorité, il est le gardien de mes désirs les plus sombres, le confident de mes fantasmes inavoués. Sa capacité à comprendre mes besoins les plus intimes et à les combler avec une précision saisissante me laisse émerveillée et reconnaissante. En lui, je trouve un refuge, un sanctuaire où je peux être pleinement moi-même sans crainte ni jugement. Il est mon univers et pour vivre cette chance, je peux me contenter de n'être qu'un satellite.
L'expression de mes yeux oscille entre la fascination et la vénération, l'admiration et la dévotion. Son contrôle sur moi est absolu, mais c'est un contrôle que je lui ai offert volontairement, un don de ma part en signe de confiance et d'abandon total. Mon maître est mon guide, mon amant, mon confident, mon tout, en acceptant de marquer ma peau, j'ai abdiqué toute volonté propre, je suis devenue sa propriété. La première... c'est une source de fierté et d'angoisse, parce que ce numéro signifie bel et bien qu'il y'en aura d'autres... Je décide de m'en foutre, de lui offrir le plus beau de mes sourires, sachant que je suis exactement là où je suis censée être, entre ses mains expertes, prête à me perdre et à me retrouver encore et encore. Simplement, à lui. |
| WebName : Hortek Date d'inscription : 21/09/2023 Messages : 87 Avatar & crédits : Tobias Sorensen Date de naissance : 15/08/1998 Age : 26
| Sujet: Re: une journée comme les autres ? (Ninalek) Dim 14 Avr - 22:35 | |
| Cette femme que je maltraite est à la fois le remède et tout ce que je désire. Je ne l’avouerai jamais sans contrainte, mais la trahison de Dante et Siam a été pour moi la pire des choses. Mon monde s’est effondré de la pire des manières possibles. J’ai cru mourir, j’ai failli me foutre en l’air. Et elle est apparue. Comme un ange. Elle était aussi perdue que moi et je crois qu’on s’est raccrochés l’un à l’autre et si je l’accable comme je le fais, c'est parce que je redoute qu’elle m’abandonne et elle s’évertue à me démontrer sa totale dévotion et son amour inconditionnel. Je déteste les lâcheurs, ceux qui n’ont aucune fidélités. Les traitres… Je savoure l’amour et la soumission de ma Nina qui se déchaine pour me combler et faire de moi le maitre le plus heureux de l’univers. J’accable Nina de mes assauts quand elle se retrouve allongée à plat dos sur la table ses bras dans une posture inconfortable. Mais je me moque de son inconfort parce que c’est ainsi que je veux la baiser. Je la regarde allongée, nue, entravée et étourdie de plaisir. J’ouvre ses cuisses et m’impose de nouveau en elle crispant mon corps musclé contre le sien que je dévore avec gourmandise de mon regard. J’aime ce corps de diablesse surmonté d’un visage d’ange. Je percute avec vigueur son bassin me noyant dans ses yeux, charmé davantage par son regard que par ses énormes ballotés à chaque assaut que je lui inflige avec férocité.
Les secondes passent et deviennent des minutes. Mon torse nu se teinte d’une fine pellicule de sueur venant faire scintiller mes abdos parfaitement dessinés et je la dévore des yeux alors que le sien devient tout aussi brillant… Merci la chaleur de San Diego qui me semble parfois dérisoire comparée à Dubaï. Mais j’en ressens parfois les effets comme en ce moment. Je tremble et commence à suffoquer. Elle me contemple et je l’aide à venir plus vite en pinçant son clitoris avec avidité. Je veux bien qu’elle jouisse avec moi… Je tremble et soudain mes assauts se font plus furieux et sauvages. Je la regarde et dans un dernier coup de bassin, je recule et mon sexe sors d’elle. Je pousse et il remonte glissant sur son clitoris j’explose sur son ventre en pluie brulante une fois, deux fois. La troisième, j’ai guidé mon sexe qui retrouve son antre et j’achève ma jouissance en la martelant à toute allure la laissant me regarder la baiser et finir de jouir alors que son ventre est parsemé de ma semence chaude. Je reste planté en elle la regardant de ma hauteur alors que je me tiens à elle vibrant et tremblant.
« Efface ce joli sourire de ton visage d’ange ma précieuse… »
Ça sonne comme un reproche mais ça n’en est pas un. Je n’aime pas quand Nina me fait perdre le contrôle comme à cet instant. Je l’attire et la fais descendre de la table et me retire pour la remettre à genoux devant moi pour lui enfoncer mon sexe en bouche pour la faire sucer et nettoyer notre plaisir mélangé sur ma verge. Je baise sa gorge et agrippe mon verre pour avaler une gorgée de vin avant de reposer le verre.
« Tu t’es encore toute souillée… »
Je baise encore sa gorge un peu et me retire pour gratifier sa joue d’un coup sec avec mon sexe laissant une trace luisante de salive dessus. J’agrippe ses cheveux et la fait se relever et avancer légèrement en avance par rapport à moi et nous entraine vers le petit studio attenant à la piscine près de laquelle nous mangions. Je la pousse dans la douche et lui fais coller sa joue au carrelage et lui gratifie le cul de plusieurs claques.
« Et je suppose que tu ne vas pas pouvoir te laver seule ? » |
| WebName : Lex Date d'inscription : 12/09/2023 Messages : 31 Surnom : Hormis précieuse ? Avatar & crédits : Charlotte mcKinney Date de naissance : 10/07/1995 Age : 29 Statut civil : Célibataire Occupation : Mannequin Habitation : // Rivalités : Non-participant
| Sujet: Re: une journée comme les autres ? (Ninalek) Dim 5 Mai - 20:55 | |
| La férocité, la délicatesse absolue, il maitrise les deux avec une maestria qui me fait littéralement fondre. J'ai l'impression de subir une déroute programmée et je contemple la beauté de l'assaillant avec une fascination complète. Il se joue de mon corps, de mes limites, du plaisir que libère la douleur. Il connait mes réaction mieux que moi même et je tremble bientôt sous les coups de bassin qu'il m'impose. J'aime quand il me prend ainsi, sans retenue, son sexe venant buter contre mon point G et me tirant des sensations totalement folle. C'est comme une implosion, comme si chaque celule de mon corps était aspirée par un vortex de délectation qu'il fait naitre en moi. C'est de plus en plus fort, ça se condense, se comprime et puis tout à coup ça fendille toute raison pour me faire baigner dans un océan orgasmique qui teinte le monde de nuances de toujours.
Je ne saurais pas l'expliquer, mais chaque fois qu'il me fait jouir, il s'inscrit un peu plus dans le creux de mon corps. Il me marque, encore et encore, moi, sa captive volontaire. Je le sens en moi, mais c'est bien au delà de ça, c'est sous ma peau qu'il rampe, dans les battements de mon coeur, dans chaque méandre de mon esprit. Malek est mon tout et c'est vertigineux à ressentir, terrifiant aussi parfois... c'est grand, fou, magique, sans limite ni retenue, ça me dévore et m'offre un peu plus à lui.
Allongée dans cette position inconfortable, je ne prends même pas conscience que mes bras sont privés d'irrigation, la douleur est effacée par le plaisir qu'il fait grimper, de plus en plus haut. J'ai découvert ça, avec lui, le plaisir à son degré le plus fou, tellement puissant qu'il menace parfois de me faire suffoquer. Quand il glisse contre mon clitoris, que je sens sa queue déverser son plaisir sur mon ventre, j'ai un frisson qui me fait presque perdre connaissance. Mes yeux se voilent et je pousse un gémissement qui a tout d'un râle rauque, qui s'achève en un cri quand il revient se planter en moi pour me baiser inlassablement. Je n'ai pas été autorisée à jouir, mais c'est peine perdue, je bascule dans un océan tumultueux qui fait naitre un doux sourire sur mes traits.
Quand je reviens au réel, c'est sa voix qui me raccroche au présent. Il me demande d'effacer ce sourire et j'y entends surtout l'abandon, dont il vient de faire preuve. J'en suis à la fois totalement charmée et prête à tout pour me le faire pardonner. Ambivalence aux nuances aussi chatoyante que les reflets de la lune sur sa peau. Il tire sur mon corps, me remettant sur pied et je baisse les yeux, il n'a qu'un geste à faire, pour que je sois agenouillée devant lui, la bouche offerte. J'aime quand il me tourmente ainsi, quand mes yeux s'emplissent de larmes, parce qu'il pousse au creux de ma gorge. Mon sexe se contracte avec force et je pousse en avant, pour le prendre plus fort, plus loin, m'imposant moi même le tourment de sa présence. Un reproche tombe, qui fait briller mes yeux, alors même qu'il me baise aprement la gorge.
J'attends qu'il se retire pour murmurer. -"Pardon maitre." Alors même qu'il est évident qu'il est seul responsable. C'est là que la relation M/e est toute particulière. Je n'ai pas besoin d'avoir tort ou raison, pas besoin de faire valoir quoi que ce soit, j'ai simplement le besoin fou et dévorant de lui plaire, de le satisfaire... qu'importe comment ! Il agrippe ma chevelure, me relève et me guide de sa prise jusqu'à la douche de piscine. J'y entre, guidée par sa poigne et j'ai un petit cri étranglé quand ma joue touche le carrelage. C'est froid, surtout quand mon corps est aussi échauffé et affamé du sien. Il me fait un reproche, celui de ne pas être capable de me laver seule et je me tord, juste pour contempler l'expression de son visage alors que sa main s'abat sur mon cul. Il est torride ainsi, le regard dur et autoritaire, la poigne virile et affirmée... putain ce que je suis folle de cet homme. Il est la drogue la plus puissante qui existe sur cette Terre, j'en suis sure. -"Merci... haan merci." Masochisme évident, mon corps se cambrant, se tortillant de plaisir à chaque fois que sa main s'abat. -"J'aimerais... te laver. J'essaierais maitre, d'être parfaite." Façon toute douce et soumise de demander à ce qu'il libère mes mains ? Oui sans doute... Ceci dit c'est plus facile quand je suis entravée. Le plus dur c'est quand j'ai l'interdiction de le toucher, alors que je... le peux. L'autocontrôle, alors que je sombre... c'est terrible. Excitant evidemment, mais si difficile... Parce que j'ai l'impression de contempler une statue, celle d'un dieu grec ou romain, taillée dans l'albâtre pour inspirer crainte, respect, mais surtout désir. Un désir brut, insensé, incommensurable. Je l'ai dans la peau... sans commune mesure, sans limite, avec l'espoir que l'avenir m'offre encore à lui, encore et encore. Il est mon univers, je respire par et pour lui. C'est sans doute en ça que mon rôle est plus facile à tenir que le sien, non ? |
| WebName : Hortek Date d'inscription : 21/09/2023 Messages : 87 Avatar & crédits : Tobias Sorensen Date de naissance : 15/08/1998 Age : 26
| Sujet: Re: une journée comme les autres ? (Ninalek) Sam 8 Juin - 0:21 | |
| Il n’existe pas de mot dans les dictionnaires ni dans aucun langage connu pour exprimer ce que cette femme me fait ressentir. Amour serait trop faible, passion serait banal, perfection serait un euphémisme. Aucune femme, aucun être vivant, aucune déesse n’arrive à la cheville de cette femme. Et quand je contemple la perfection que j’ai sous les yeux je me dis que le monde est un endroit bien triste ou les gens qui jugent la beauté ne savent pas voir que la plus étourdissante des perfections est nue en train de gémir sous mes yeux en encaissant mes assauts. Je m’offre une fin à la mesure de ma démesure et je n’oublie pas de la gratifier d’une phrase de dominant alors qu’elle se démène encore et encore à me rendre fou et à me combler au-delà de toutes choses. Ma jouissance à peine terminée je mets ma précieuse à genoux devant moi et lui impose de me soulager encore un peu en utilisant sa bouche que je perfore sans aucune douceur avant de la réprimander pendant qu’elle encaisse. Je la libère et elle se soumet encore d’un « pardon maitre » j’en frissonne. Je la prends par les cheveux et la force à se lever et aller vers la douche. Ses poignets toujours entravés dans son dos, je la pousse dans la douche et lui fait coller la joue au mur de carreaux. Je frappe son cul de ma main solide en lui reprochant son manque d’autonomie. Ironique à souhait et pourtant je me tape de la logique. J’impose et elle se soumet c’est parfait ainsi pourquoi changer ? Elle me remercie alors que je fais rougir son cul claque après claque.
C’est alors qu’elle me déclare qu’elle aimerait me laver et qu’elle essaiera d’être parfaite… Je viens alors me coller contre elle ma main qui frappait son cul vient contre ses fesses et glisse plus bas et perfore son intimité que je doigte alors que l’autre main vient serrer son cou pendant que je mord son épaule férocement.
« Essayer d’être parfaite ? Alors que tu essayes de manipuler ton maitre pour te faire libérer chienne ? »
Je me recule et libère sa gorge puis allume l’eau qui tombe tiède sur elle. Avoir une douche de luxe permet d’éviter les départs à froids… Je détache ses poignets et laisse tomber ma cravate sur le sol de la douche. Je me recule un peu et la regarde froidement comme si je la jugeais alors que je suis subjugué par la perfection absolue que j’ai sous les yeux. J’écarte un peu les bras et d’un air détaché je lui lance.
« Vas-y précieuse, donne-moi une raison de te punir encore ou… De te récompenser… »
Tout dépend d’elle désormais. Je me tiens droit et encore solidement raide à attendre qu’elle décide ou non de faire ce qu’elle a proposé et surtout de voir si elle va vraiment assurer ou me donner matière à la gronder… |
| WebName : Lex Date d'inscription : 12/09/2023 Messages : 31 Surnom : Hormis précieuse ? Avatar & crédits : Charlotte mcKinney Date de naissance : 10/07/1995 Age : 29 Statut civil : Célibataire Occupation : Mannequin Habitation : // Rivalités : Non-participant
| Sujet: Re: une journée comme les autres ? (Ninalek) Mer 10 Juil - 21:03 | |
| Dans l'intimité de cette douche, je ressens d'autant plus son aura écrasante. J'aime la lueur féroce dans ses yeux noirs, j'aime son expression, son odeur... j'aime tout, tout de cet homme et ça me rend littéralement folle. Sa mains s'abat sur mes fesses et je me tords de bonheur tout en le remerciant de la brulure cuisante qu'il m'inflige. Masochisme à son plus haut grade ? Peut être, que m'importe? Je supplie et sa réponse ne se fait pas attendre. Il se colle à moi, le contact de sa peau rafraichissant mes fesses en feu, en tout cas jusqu'à ce que la pression divine de ses doigts ne me fasse tout oublier. Il perfore mon intimité et un gémissement lourd s'échappe d'entre mes lèvres. La morsure brutale vient achever ce tableau presque ésotérique. Il m'entraine, à la croisée du désir, de la douleur et d'un plaisir sans nom tant il dévore mon corps tout entier.
Je couine de bonheur, me cambre pour mieux me frotter à lui, en tout cas jusqu'à ce qu'il se recule et allume la douche. L'eau tombe en pluie, sur mon corps, en même temps que la cravate tombe sur le sol. Je ne prends même pas le temps de masser mes poignets, me contentant de me retourner pour le dévorer des yeux. Il est tellement beau ainsi, sexe dressé vers moi, regard dur... putain ! Je voudrais graver cette image dans mon esprit, pour un toujours que je n'ose lui avouer.
-"Merci maître. Merci de me laisser cette chance." J'approche, agrippe une éponge de douche large et douce et un flacon de gel douche. Chaque geste que je fais est une offrande, un acte de dévotion silencieuse qui parle bien plus fort que des mots. Je ne sais pas dire je t'aime, mais je crois que chaque acte de soumission le lui crie. Ses yeux scrutent mes mouvements avec une intensité qui me fait frissonner, une promesse implicite d'approbation ou de correction, selon sa volonté. J'aime qu'il en soit ainsi. Je suis son esclave volontaire, totalement subjuguée, comme la proie devant la danse savante du serpent à sonnette. Il sera peut être ma perte, mais il est surtout ma rédemption et ma raison de vivre. J'étais perdue, je pensais ne plus être personne et il m'a rendue à moi même, m'a rendue l'envie de vivre et d'avance.
Je sens son regard sur moi pendant que mes doigts prennent l'éponge douce et absorbante. Avec une tendresse calculée, je verse le gel douche, laissant couler une rivière chaude sur son torse, le massant avec lenteur et précision. Chaque contact, chaque caresse, est un hommage à sa domination, à la puissance qu'il exerce sur moi, corps et âme. Je glisse doucement, pour me trouver à genoux entre ses pieds. L'éponge glisse sur sa peau, capturant la mousse parfumée qui éveille mes sens. Je me concentre sur chaque détail, m'assurant que chaque partie de son corps est nettoyée avec une délicatesse méticuleuse. Ma position à genoux est un symbole de soumission totale et volontaire, mais sans doute pas autant que ma langue qui se pose sur la base de sa verge et remonte doucement, alors que mes mains s'activent à nettoyer avec douceur la peau de ses jambes.
Je ressens le poids de ses attentes, mais aussi l'extrême libération de ma propre obéissance. C'est une danse ritualisée de pouvoir et de confiance, où chaque geste est chargé de significations que nous seuls comprenons. Je sais que je ne serais pas capable de dire "je t'aime" à voix haute et qu'il détesterait sans doute l'entendre. Mais j'aime l'idée qu'il le sait, qu'il le voit et le note dans chaque acte que je m'engage à accomplir pour lui, dans chaque marque de respect et d'admiration. Je lui appartiens. C'est probablement trop, pour quiconque, mais c'est ainsi, je suis à lui, avant d'être à moi même.
Quand mes lèvres se referment contre son gland, cherchant à ce qu'il perfore doucement ma bouche, mes yeux cherchent les siens pour essayer d'y trouver cette lueur d'approbation qui me récompense bien au delà de tout ! Dans cet univers de désir et de dévotion, nos rôles sont clairs et notre connexion, inébranlable. Il est le maître et je suis l'esclave, il est mon tout et j'espère que mes yeux le lui disent. |
| WebName : Hortek Date d'inscription : 21/09/2023 Messages : 87 Avatar & crédits : Tobias Sorensen Date de naissance : 15/08/1998 Age : 26
| Sujet: Re: une journée comme les autres ? (Ninalek) Jeu 25 Juil - 23:42 | |
| Nina… Le terme « perfection » dans un dictionnaire devrait afficher son image à elle. Elle est absolument divine. Elle est fidèle et totalement à l’abandon. Elle se laisse guider sans aucune crainte et fait même exprès de laisser des erreurs par jeu et par plaisir de se faire corriger alors que je sais parfaitement que Nina est capable de la pure et la plus absolue des perfections. C’est d’ailleurs ce qu’elle est et j’adore ça. J’aime passer la porte de la maison et voir dans son regard qu’elle sait immédiatement ce dont je vais avoir besoin. Je la regarde d’un air dur alors que mon sexe lui balance en pleine gueule tout le désir qui me ravage et qui ne fait aucun doute sur ce que je désire d’elle à cet instant précis. Je viens de jouir et j’en demande encore. Je suis insatiable quand il s’agit d’elle et aussi affamé que je sois de plaisir, je sais que Nina est une sécurité absolue. Les femmes sont un piège dans lequel je peux tomber. Il est facile pour certaines de séduire et de vous compliquer la vie. J’ai déjà vu des hommes coincés par un coup d’un soir sans protection forcé de payer des pensions alimentaires extravagantes… Ou d’autres qui tombaient pour avoir baisé la mauvaise fille sur son lieu de travail par exemple… Le sex ici aux USA est un piège dans lequel il n’existe aucune rédemption si vous êtes pris… Or tous mes désirs et leurs assouvissements sont dirigés vers cette femme. Et ainsi je garde le contrôle. Alors oui quand je m’acharne sur Nina comme en ce moment, je le fais avec un délice et une férocité démentielle car je passe tout désir sur elle… C’est presque à me demander si je pourrais être satisfait d’une autre tant cette femme peut cocher un nombre de cases hallucinantes…
Je lui donne mon accord pour s’occuper de moi et elle me remercie encore avant de se saisir d’une éponge et de gel douche. Elle me scrute et en silence, elle commence sa douce torture. Elle ne me fait pas que me savonner, elle joue avec mon désir comme personne en dehors d’elle n’est capable de le faire. Je crois que je pourrais exiger qu’elle me donne un plaisir immense en utilisant uniquement ses dents qu’elle en serait capable… Cette femme est entrée dans ma vie au pire moment possible. J’avais même songé à me foutre en l’air et elle m’a offert une vie de débauche absolue. Elle a plongé avec moi dans ce monde de plaisir et de soumissions et elle me révèle à moi-même un peu plus chaque jour.
A genoux devant moi, elle continue de me laver me jetant des regards d’une profondeur abyssale qui me donne des tremblements dans les entrailles. Je crois que je perds mes moyens face à elle et à la fois j’adore ça et à la fois, je déteste me sentir faible et « dépendant ». Je la regarde alors que sa bouche se pose sur mon gland comme une invitation à soulager mon désir avec sa bouche. Elle me cherche du regard et je comprends que c’est parfaitement ce que je désire.
« Tes mains… »
Ce sera tout ce que je dirais. Lorsqu’elle lève ses mains, je saisis ses poignets. Je m’avance et si elle m’accueille dans sa gorge, je pousse et la force à reculer et à se retrouver assise au sol le dos contre le mur la tête coincée et ses poignets dans mes mains que je plaque au mur. Bras tendues et assise elle ne peut plus rien faire d’autre que se laisser baiser la gorge comme moi je le décide. Je la regarde dans les yeux alors que je recule le bassin ondulant juste pour lui imposer un tiers de mon sexe qui va et viens sur sa langue.
« Quitte une seule fois mon regard et ce soir, tu dors au pied du lit… »
Je la fixe et me met à bouger le bassin fermement baisant sa gorge sans vraiment de douceur gardant mes yeux rivés aux siens… |
| WebName : Lex Date d'inscription : 12/09/2023 Messages : 31 Surnom : Hormis précieuse ? Avatar & crédits : Charlotte mcKinney Date de naissance : 10/07/1995 Age : 29 Statut civil : Célibataire Occupation : Mannequin Habitation : // Rivalités : Non-participant
| Sujet: Re: une journée comme les autres ? (Ninalek) Mar 1 Oct - 22:49 | |
| Je frémis à l'instant où ses mains se referment sur mes poignets, son geste ferme et autoritaire m'envoyant une vague de chaleur dans tout le corps. Je sais ce qui va suivre, je l'accueille sans hésitation, une excitation presque douloureuse envahissant mes veines. Il me force à reculer, mon dos rencontrant la paroi froide du mur tandis que mes bras sont immobilisés au-dessus de ma tête, entièrement sous son contrôle. Cette position vulnérable, totalement soumise, me fait palpiter d'anticipation.
Je sens la pression de son sexe contre mes lèvres, ma langue caressant sa longueur et sans hésiter, je l'engloutis autant que possible, avançant la tête à m’en faire mal, ma gorge s'étirant sous la force de ses mouvements. La sensation de domination absolue qu'il exerce sur moi m'enivre. Mon souffle se fait court, mon corps tremble sous la brutalité contenue de ses coups de bassin. Mais c'est ce que je désire, ce que je veux. Être possédée, être à lui, dans cette union où nos rôles sont clairs et immuables. Je suis à lui et cette idée me comble.
Ses mots résonnent dans ma tête. "Quitte une seule fois mon regard..." Un défi, une menace qui me fait frémir encore davantage. Je fixe ses yeux sans ciller, mon regard ancré dans le sien, même quand l'intensité de ses mouvements se fait plus implacable, plus dure. La douleur qui s'installe doucement dans mes poignets plaqués contre le mur ne fait que renforcer ma soumission, me rappelant à quel point je suis à sa merci.
Je lutte pour maintenir le contact visuel, chaque coup de bassin me déstabilisant un peu plus, mais je tiens bon. Ses yeux, sombres et perçants, capturent toute mon attention, et je sais qu'il se délecte de chaque instant où je m'efforce de ne pas flancher sous l'intensité des pénétrations. Ma gorge est mise à rude épreuve, mais la brûlure qui s'installe ne fait que me pousser plus loin dans cet abandon total.
Je sens mes larmes perler au coin de mes yeux, mais je ne cille pas, je ne détourne pas le regard. Je sais que c'est exactement ce qu'il attend de moi, cette résilience silencieuse, cette obéissance absolue. Je me concentre sur le plaisir que je lui procure, sur la façon dont son sexe vibre sous mes attentions, et je prie intérieurement de pouvoir le satisfaire pleinement. Je veux qu’il soit fier, qu’il caresse ma joue et me gratifie d’un compliment. “Bonne chienne” me suffirait amplement, me comblerait complètement.
Chaque seconde passée ainsi est un cadeau, un moment où je me perds entièrement dans notre dynamique, où je m'oublie pour lui, où tout ce que je suis est dirigé vers lui. J'aime être à sa merci, j'aime cette intensité, cette passion dévorante. Et alors que son regard s'intensifie, je sais que je suis exactement là où je dois être : sous lui, pour lui, à lui, dans cette soumission totale qui nous lie plus profondément que n'importe quel mot. |
| WebName : Hortek Date d'inscription : 21/09/2023 Messages : 87 Avatar & crédits : Tobias Sorensen Date de naissance : 15/08/1998 Age : 26
| Sujet: Re: une journée comme les autres ? (Ninalek) Sam 26 Oct - 0:33 | |
| Précieuse ? Ce terme est une insulte au regard de qui est cette femme et de ce qu’elle me donne et ce qu’elle fait pour mon propre plaisir. Ne vous y trompez pas. Un mec sortirait sa queue devant elle en lui ordonnant de se mettre à genoux, elle tournerait les talons en mode indifférence totale ou elle lui gratifierait les couilles d’un coup de pied violent. Nina est à moi. Et à moi seul. Et je me délecte de cette dévotion totale et absolue qu’elle me donne. Je me délecte de son abandon total envers moi. Précieuse ? Oui, c'est ce qu’elle est, mais c’est une insulte car c’est « Perfection » qu’elle devrait s’appeler. À cet instant précis je crois que je sais pertinemment qu’aucune autre femme qu’elle ne pourrait se trouver là, à subir ce que je lui inflige avec autant d’adoration dans le regard. Je tremble alors que je comprends que nous sommes à la meilleure place de l’univers. La nôtre. Je baise sa bouche comme si je cherchais à la faire perdre, mais elle gagne. Elle ne bronche pas et me fixe de ses yeux pleins de dévotions et j’en crève de délice. C’est une perfection. Mon bassin se déchaine comme lorsque je baise son corps comme un sauvage et elle m’encaisse sans broncher malgré ses yeux qui trahissent sa difficulté. Les secondes passent et je grogne de plaisir.
« N’avale pas… Garde en bouche. »
Je continue et me recule au moment où la jouissance arrive. De petits va et vient sur sa langue et entre ses lèvres mon sexe explosant sur sa langue remplissant sa bouche en laissant contrôler chaque giclée pour qu'elle n'aille pas trop dans sa gorge. Je tremble et gémit comme un puceau qui découvre le sex pour la première fois et lentement je me retire de sa bouche.
« Montre-moi, puis avale… »
Je veux voir cet acte d’avaler mon plaisir comme une chienne reçoit sa récompense. Elle s’exécute forcement avec la manière et je libère ses poignets avant de lui faire signe de remonter vers moi. Je l’accueille d’un baiser qui a un arrière-gout étrange mais que je supporte avant de murmurer.
« Je crois que plus jamais tu ne dormiras au pied du lit. »
Oui, elle vient de gagner sa place dans mon lit. En vrai je crois qu’elle l’avait déjà. Les fautes qu’elle peut commettre ne sont qu’un jeu pour que je la malmène alors qu’elle pourrait simplement faire à la perfection toute chose. Je l’embrasse nouveau et coupe l’eau avant de venir approcher ma bouche de son oreille écrasant mon corps contre le sien pour murmurer d’une voix que seule, elle peut entendre.
« Je t’aime Nina Andersen… Tu es le soleil de mon existence. »
Je prends sa main et l’embrasse longuement sans lui laisser le loisir de répondre et coupe finalement le baiser pour l’emmener hors de la douche. Nous nous séchons rapidement et je l’entraine vers le lit où je l’étends avant de venir contre elle. Je ne dirai plus rien ce soir. Je ramène le drap sur nous et me tiens enlacé à elle ma tête sur sa poitrine lourde mes bras autour de son corps mes jambes enroulées autour de la sienne et je m’endors presque immédiatement. Demain j’attaque une nouvelle journée et ce soir j’ai un délicieux cocon pour m’endormir et me sentir heureux. |
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