Une journée à nous (Anna)

Warning : Sexe /!\

Il est rare que je puisse passer autant de temps à la maison. Pourtant, ce matin, Mateo m’en a fait la demande de le laisser tranquille. Il veut passer du temps avec sa fille. Normal quand on est père de famille je suppose. J’adore Alicia mais nous sommes d’accord, nous ne serons jamais parents avec Anna. Nous voulons garder notre liberté et je trouve cela dangereux d’avoir un enfant ces derniers temps. Me connaissant, je serais bien trop protecteur si c’est une fille et bien trop enclin à lui apprendre à tirer, défendre les siens si c’est un petit sicilien. De plus, il devrait épouser Alicia obligatoirement et là, je me ferais abattre par Mateo. Je traîne au lit, nu comme un ver, à mes côtés ma sublime épouse dort à point fermé sur le ventre. Elle est nue également. Je le sais vu notre activité nocturne. Je me tourne pour regarder l’heure, il n’est pas bien tard, le jour vient sans doute de se lever. Je relève la couette et regarde le merveilleux fessier de ma chérie, il est véritablement à croquer.
C’est décidé, je sais comment, je vais la réveiller. Doucement, je change de position. Je viens mettre ma tête à hauteur de ses cuisses, les regarde avec envie avant d’en approcher mon visage. Je pose mes lèvres avec une certaine douceur sur le bas de son biceps fémoral avant de les retirer et remonter avec la même gestuelle de manière très lente pour lui faire ressentir tout le désir possible. Je ferme les yeux, respire son parfum, caresse du bout des doigts le mollet opposé. Je cesse mon petit manège pour changer de cuisse lorsque j’arrive à la naissance de sa fesse. Le scénario est répété encore une fois, chaque cuisse est passée sous mes lèvres avant de mordiller doucement une première fesse puis la seconde. Je ne m’arrête que lorsque je la sens légèrement bouger mais je reviens vite à l’attaque. J’ai envie de lui faire plaisir. Je pose mes mains et délicatement, j’écarte les fesses de ma chérie pour venir lui lécher l’anus puis le vagin. J’alterne entre les deux. Ma langue se fait experte, sportive. Mes yeux se ferme pour écouter les faits et gestes de l’amour de ma vie. Je vais lui dédier ma journée si elle ne travaille pas. Nous n’en avons pas parlé lorsque je suis rentré cette nuit. Je n’avais qu’une envie : la retrouver et lui faire l’amour. Chose qui a été faite car elle était demandeuse également.

Je m’attaque plus sérieusement sur son étoile lorsque je la sens se réveiller, un large sourire se dessine sur mon visage, je suis la cause de ce réveil mais je sais aussi que je peux très bien me faire tuer … Anna a un caractère volcanique …

« Buongiorno amore mio ! »

Je viens de lui dire bonjour avant d’aller conquérir ses lèvres avec les miennes qui goutent son plaisir. Elle peut changer de position, me replacer pour la faire jouir, me demander de venir la planter avec mon dard.

« Sono tutto tuo per questo giorno ! » Je suis à toi pour toute la journée.

Oui et seulement à elle si elle le souhaite car j’ai pas envie de bouger du lit sauf avec elle évidemment.

Une journée à nous

feat. Lorenzo & Anna

Les jours étaient longs pour Lorenzo et moi dernièrement. Lui, de son côté, gérait les problèmes de la Cosa Nostra, les menaces à l’égard des Russo. Du mien, je passais des journées entières à la Cour de San Diego, à défendre des cas plus lourds les uns que les autres. Rien qui touchait la Cosa Nostra, heureusement. Par chance, le personnel de la maison faisait rouler la villa et nous préparait tout ce qu’il fallait pour que nous mangions autre chose qu’une tranche de pain sur le coin du comptoir en rentrant à la maison.

Hier soir, j’étais rentrée tout de même avant Lorenzo. Mes escarpins avaient été catapultés à l’autre bout de la grande penderie de la chambre des maîtres et je m’étais affalée sur le lit. Je m’étais réveillée parce que Lorenzo était entré dans la chambre. Il s’était dévêtit et je n’avais pas pu résister à l’appel de la luxure en voyant son corps parfait devant moi. J’étais ensuite passée dans un lourd sommeil récupérateur, en sécurité auprès de l’homme qui faisait battre mon cœur.

Je rêvais. J’étais au tribunal. Assise dans mon tailleur et mes escarpins de la veille. Le juge semblait douter des informations dans notre dossier. Il avait besoin de preuves plus tangibles. À la barre des témoins, un des membres de la Cosa Nostra. Qui? Aucune idée, son visage me semblait flou. Ce dernier se levait et se déshabillait pour démontrer ses dires. Il se dirigeait vers ma table et me faisait lever d’un geste, sa paume sur ma nuque. Sans cérémonie, il relevait ma jupe et écartait mon dessous. Je sentais les doigts et les lèvres de quelqu’un d’autre, probablement mon associé à la défense, caresser le derrière de mes cuisses jusqu’à la naissance de mes fesses. Le témoin me retenait en place comme par la pensée. J’étais immobile et drôlement excitée.

Ses doigts caressaient mon intimité et je soupirais fortement. Je sentais la chaleur et l’humidité parcourir mes lèvres intimes alors qu’il se penchait, m’appuyant contre la table, sa langue se mettait à laper entre mes cuisses comme s’il était assoiffés et que je pouvais étancher sa soif. Mon associé caressait toujours mon corps et des frissons parcouraient tout mon corps.

J’émergeais subitement. Mon regard partait à la ronde et je découvrais ma chambre. Les rideaux n’étaient pas bien juxtaposés et laissaient un mince rayon de soleil levant filtrer dans l’interstice. Il me fallut que quelques secondes pour comprendre que mon rêve avait été provoqué par Lorenzo qui tentait de me réveiller de la plus séduisante des façons. Je gigotais un peu. Il se redressait et venait chercher un baiser et je faisais mine de le repousser un peu, question qu’il insiste un peu. Son corps réchauffait le mien.

« Buona mattinata… »

Ma voix était un peu rauque alors que je me retournais sur le dos, histoire de pouvoir bouger plus facilement. Il me disait être à moi aujourd’hui et je souriais.

« Merveilleux. »

Je prenais ses doigts et les portais entre mes cuisses alors que je l’embrassais amoureusement. Mon corps réagissait déjà fortement au contact, déjà bien excitée par ses soins, mais aussi par mon rêve très érotique… Qui était, en fait, de sa faute aussi. J’ondulais mon bassin lentement alors que je prenais son poignet en otage, le forçant à continuer ses caresses, mon autre main avait trouvé les draps.

« Si tu pouvais me faire commencer tous les matins comme cela, Lo. »

Nous avons tous les deux énormément de boulot, cela me fait parfois chier de ne pas pouvoir passer autant de temps que je le souhaiterais à la maison. J’aime admirer un feu de cheminée en me faisant sucer, mais aussi admirer ma femme nue écarter les cuisses avant que je ne lui dévore la chatte. La Costa est ma seconde famille, la première étant celle que j’ai fondé avec Anna depuis notre mariage. Nous avons une belle villa et du personnel pour l’entretenir. J’aime leur faire savoir quand nous arrivons pour qu’il prépare le repas afin que mon épouse et moi puissions manger dès notre arrivée. Notre personnel est des mieux traité et peut nous demander des arrangements sur les horaires dès qu’ils en ont besoin, la seule condition est que nous n’ayons même pas à réchauffer le repas.

Je suis encore rentré tard ce soir, Anna est déjà là et couchée, elle se réveille pour m’accueillir et l’offre de la luxure s’offre à nous pour la nuit avant que l’on s’endorme tendrement enlacés et amoureux comme jamais. Lors de mon réveil et à la vue du cul parfait de mon épouse, j’ai souhaité lui offrir le meilleur des réveils. Bon nous sommes d’accord que je suis le premier à en profiter mais tout de même… Je lèche avec une envie incontrôlable mais aussi avec une douceur que je ne me connais pas. La ravissante brune qui partage ma vie se réveille, elle gigotte un peu pour me le faire comprendre. La voix qu’elle possède est un peu rauque pour me souhaiter une bonne matinée à son tour, ma femme est encore ensommeillée et est divinement craquante. Elle me repousse légèrement alors que j’essaie de l’embrasser. J’insiste un peu, je me place sur elle et conquiers brièvement ses lèvres. C’est si bon ce genre de réveil et surtout si prometteur. Je la laisse se retourner et reviens me placer directement à ses côtés, plonger mon regard dans le sien pour lui annoncer la surprise que j’ai pour elle. Elle la trouve merveilleuse et le sourire qui se dessine sur ses jolies lèvres me fait craquer.

« As-tu bien dormi ? »

Évidemment que cela m'intéresse ! Elle prend mes doigts et les amène vers son antre en l’embrassant amoureusement. Nos langues se trouvent automatiquement, elles se laissent valser comme lors du premier baiser que nous avons échangé. Je la sens déjà bien excitée, sa fente est trempée. Ma femme ondule du bassin alors que je commence des aller-retour. Elle attrape aussi mon poignet par peur que je ne m’arrête.

« Oh mais je peux très bien mon amour ! Je peux faire beaucoup plus aussi … »

Elle sait de quoi je suis capable, je n’ai plus besoin de le lui prouver depuis autant d’années mais parfois, elle a besoin d’une cure de rappel. Un petit sourire carnassier alors que mon pouce vient écraser légèrement son clitoris pour le masser et la faire encore plus monter dans les tours. Je veux qu’elle explose de bonheur. Je me baisse à nouveau mais dévie de ses lèvres pour venir poser mes lèvres sur la rotule de son épaule, la mordiller avant de souffler dessus et remordiller légèrement son cuir.

« Tu es toujours aussi belle mi amor ! »

Je ne peux m’en empêcher, il faut que je le lui dise à chaque fois. Je regarde encore son corps, ses seins bouger sous l’effet de mes assauts que j’effectue toujours avec le sourire et l’envie qui croit au niveau de ma verge.

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