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Ah ! San Diego ! Cette ville emblématique de la Californie et de sa douceur de vivre. Un climat chaud, des plages sublimes à perte de vue qui bordent l'océan Pacifique. Difficile de ne pas succomber à son charme de carte postale, et pourtant ... Avouons-le, la belle photo sur papier glacé dissimule dans l'ombre de nombreuses rivalités. Au coeur de la ville un dilemme rode, Pick a Side or don't ! En découvrir plus
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 El sol en nuestra piel [Feat Metz']

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Juan Vargas
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MessageSujet: El sol en nuestra piel [Feat Metz']   El sol en nuestra piel [Feat Metz'] EmptyDim 2 Juil - 16:39

El sol en nuestra piel 
ambiance -- Un oeil s’ouvre, mon monde est un kaléidoscope de couleurs mélangées, le temps de m’adapter, l’autre s’ouvre sur le plafond du lit à baldaquin ou j’avais fait demander de peindre un paysage pastel rappelant le Mexique, rien que cette vue me fait soupirer légèrement une mélancolie ancestrale et profondément ancrée en moi. Je sens une légère brise venir caresser mes cheveux en bataille, l’odeur de l’océan titille mes narines, une nouvelle envie de voyage, bercé par les vagues, parfois, je me dis que ma vie aurait dû être faite d’aventures et d’exploration tel un conquistador.
Mon corps, lentement, se réveille, mes orteils gigotent, mes doigts, ma main, un léger décalage sous les draps de soie et je sens sa chaleur, la douceur aussi incroyable qu’un nuage cotonneux. Je l’entends un léger soupir et déjà, je suis conquis. Je referme les yeux, j’agresse un peu plus cette partie charnue, ses fesses, que dis-je ! Son cul si arrogant et provocateur, mes doigts s’impriment avant de s’arrêter, ne voulant pas briser ce que j’allais bientôt voir oh belle endormie.

Et je me tourne, belle endormie, son léger gémissement d’un sommeil réparateur me fait la regarder, nue dans les draps de soie, je peux admirer ses courbes sous la nacre, des vallons et des monts que j’aime à chaque fois gravir, une terre capricieuse et sensuelle qui fait de moi, toujours, un explorateur ébahi par la beauté de ce monde nourricier. Mais voilà que les monts glissent, maintenant me voilà devant une mer de nacre, les courbes bougent telles des vagues alors que tout son corps semble s’animer pour trouver une nouvelle position mais sait-elle seulement que ses petits mouvement m’évoquent l’érotisme d’une mer charmeuse, je pourrais presque entendre les sirènes me demandant de revenir replonger sous la surface de soie pour gouter sa peau chaude.
Tentant, comme la promesse d’un lever de soleil sur une plage mexicaine, mais je préfère la regarder dormir, calme, détendue, ses lèvres se sont étirées dans un léger sourire, mi amor, je fonds en la voyant ainsi et puis comme si ce corps n’avait pas assez de contraste avec la peau chaude, elle lui avait offert une crinière de jaie, accentuant son regard encore clos.

Et je m’écarte, lentement, mes pieds se posent sur le carrelage de brique de feu encore glacée par la nuit fraîche d’hier, le frisson me remonte tout le long de la colonne vertébrale, un glaçon électrique arrivant à une vitesse délicieuse dans mon cerveau. Totalement nu, je me lève, je prends un léger kimono que j’enfile à la volée avant de me diriger vers la terrasse où déjà, l’éclat aveuglant de la carafe en cristal me fait plisser les yeux et me fait dire que je vais encore pouvoir déguster un bon jus d’orange frais.
L’éclat du soleil, lorsque je passe la large baie vitrée ouverte, me transperce encore plus la rétine et puis enfin, la vue. Le long des plages de San Diego, dans un endroit légèrement à la périphérie de la Mégalopole on pouvait se croire au Mexique avec les différents bâtiments de l’Hacienda, la brique, les couleurs criardes, oui, c’était un placebo à mon envie de retourner au pays, mais c’était mieux que rien.
Je me penche sur la table préparée pour nous et sens déjà l’arôme de l’odeur du café moulu prendre mes narines et je ne résiste pas à l’envi d’une bonne tasse après cette nuit magnifique. Si seulement, c’était ainsi, nous aurions sûrement passé le pas de l’église, mais il y avait toujours cette passion qui nous dévorait.

Après avoir versé mon nectar d’un noir caramélisé, je porte la tasse à mes lèvres, pas de sucre, jamais et je bois une gorgée, elle m’irrite, me brûle, mais j’aime cette sensation, comme un léger rappel de je ne sait quelle vicissitude de la vie. La journée s’annonçait belle pour aujourd'hui et c’était bien, aujourd’hui l’Hacienda se parait de ses grandes festivités avec le thème du Día de Muertos. J’avais laissé comme d’habitude le soin à Metz’ d’organiser tout ça, elle était douée, plus que douée même.
J’aimais la regarder lorsqu’elle travaillait, du coin de l’œil, elle affichait ce caractère de femme forte, de femme d’affaires, imperturbable, féroce dans les négociations, exigeante. Rien que d’imaginer tout ça, l’envie de retourner au lit pour la prendre se faisait ressentir dans le bas de mon ventre et cette sensation de soie du kimono, la brise océane sur mes couilles, c’était un véritable plaisir.

Une nouvelle gorgée, encore et toujours, ça plus la clope, je pourrais sûrement en mourir, d’ailleurs, je retourne sur la table où des cigarettes étaient présente, j’en prends une que j’allume et reviens au plus près du balcon pour m’adosser à la large rambarde, le regard perdu et mon souffle qui cherche encore plus son poison.

J’aimais cette saison, mais elle me rendait encore plus nostalgique du pays, pour moi, le jour des morts était quelque chose qui résonnait plus de raison, j’avais l’impression d’y voir la véritable âme du Mexique, oui, c’était viscéral et je savais que Metz’ allait encore me rendre fière de l’avoir comme partenaire.
Il y avait aussi des affaires moins courantes, mais ça, ce n’était pas pour elle, j’allais devoir gérer cela de façon solo comme souvent, un boulot éreintant, mais faute d’avoir un bras droit solide avec moi, impossible de me reposer sur une épaule. Je prends une grande inspiration, gonflant mes poumons, c’est une belle journée qui commence non ? Mes yeux se plissent devant l’océan miroitant encore le jeune soleil. Il y avait aussi la surprise que je devais offrir à Metz’ aujourd’hui, j’espère qu’elle aimera la délicate attention à son égard, ce n’était finalement qu’un jour comme un autre, mais nous avions parfois l’envie de nous offrir des choses sans lien avec quoi que ce soit.
Pando
Metztli Rivera
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MessageSujet: Re: El sol en nuestra piel [Feat Metz']   El sol en nuestra piel [Feat Metz'] EmptyLun 3 Juil - 20:42

El sol en nuestra piel 
Même endormie profondément, le corps détendu, je me tends vers lui. Sa chaleur aimante la mienne et je gémis dans mon sommeil. Je bouge, lentement, les draps dévoilant un peu plus mes courbes. Ses doigts se refermant sur le galbe de mes fesses, voilà ce qui m'a animée, par delà les bras de morphée... sans doute parce qu'aucune étreinte ne saurait jamais le supplanter. Je m'éveille quelques minutes plus tard, presque étonnée de ne pas le trouver près de moi. J'ouvre doucement les yeux, savourant l'ambiance enchanteresse de cette chambre. Je m'étire doucement, tel un chat, nue, nymphe abandonnée parmi les draps de ce lit au baldaquin charmant. Les échos de nos ébats nocturnes caressent encore ma peau, et je brûle dès l'éveil d'un désir insatiable. Mes yeux papillonnent dans les différents recoins et je pousse un petit soupir.

Dans une impulsion irrésistible, je me lève, ne me souciant guère de ma nudité, et me dirige vers la terrasse qui s'ouvre majestueusement sur l'horizon infini. L'océan m'accueille de son chant mélodieux, ses vagues dansantes se mêlant à la symphonie de mon cœur palpitant. Sa silhouette se dessine et me tire un sourire. Je me fonds alors dans son dos, mes bras serpentant autour de lui telles des lianes enlacées, mon corps se pressant doucement contre le sien. -"¡Sabes que no me gusta despertarme sin ti!"

D'une voix suave, mêlant la provocation à la tendresse, je lui susurre à l'oreille. -"¿Cómo iba a apagar el fuego que encendes en mí?" Les mots tombent lentement, alors que mes lèvres, telles des roses vermillon, déposent des baisers brûlants le long de son cou, cherchant à réveiller en lui une passion irrésistible. Les flammes du désir crépitent en moi, dévorant chaque seconde qui s'écoule, me consumant comme toujours quand je suis aussi près de lui. Je crois que j'apprécie aussi l'indécence de ma nudité, alors même qu'il s'est couvert d'un kimono.

L'Hacienda est une oasis de passion, loin du romantisme fleur bleue, plus âpre, plus fort. Je glisse sous son bras, pour me lover contre son torse, relevant vers lui un visage mutin au sourire amusé. Je récupère sa cigarette, pour la porter à mes lèvres, exhalant un nuage bleuté alors que je me hisse, les fesses sur la rambarde. Je ne me soucie pas le moins du monde qu'on puisse me voir. Je suis ici chez moi ! J'agis comme bon me semble et le monde extérieur devient une toile indistincte, un royaume sur lequel régner, nimbée d'une douce obscurité. Mes soupirs se mêlent à la brise légère, tandis que je prends une nouvelle bouffée. -"¿Estás listo para hoy, cariño?"

Sous le soleil naissant, je l'observe, mon roi de passion, simplement heureuse d'être contre lui. J'écrase la cigarette que je lui ai volé pour venir me perdre cette fois en un baiser langoureux. Dans ses bras, j'ai trouvé des reflets ardents, des envies d'infini. Sans cela je ne l'aurais pas suivi ici. Dans ce monde qui a presque tout du notre, mais qui n'en est finalement qu'une copie. Une partie de nos invités, risque de venir pour "le folklore" là où c'est la quintessence de notre monde qui va s'offrir à leurs yeux. Les fêtes de l'Hacienda ont fait leur réputation dans l'opulence et le luxe, que ce soit dans les parties vanilles ou dans notre chère Catrina. Ce soir ce sera un summum, une soirée d'extase à la gloire de nos racines mexicaines. Tout sera parfait... parce que je le désire. C'est amusant, parce que lovée là, contre lui, je songe qu'à chaque aube qui nous réunit, je suis émerveillée de réaliser que je suis exactement là où je suis destinée à être : au creux de son étreinte enflammée, prête à danser encore et encore au rythme de notre passion dévorante. Dans une vie plus classique, j'aurais sans doute désiré porter son nom, régner tout autrement. Mais tout ça n'a pas la moindre espèce d'importance, je suis à lui, comme il est à moi, selon nos propres codes, ceux qui sont inscrits sous ma peau dès que ses doigts m'effleurent.

Je souris et ma bouche se perd de nouveau dans son cou, pour mordiller la ligne de sa mâchoire. Y abandonnant un léger soupir alors que mes jambes se nouent à ses hanches. Je crois que je viens de décider de lui donner envie de me ramener au lit. Il me semble que c'est là, la meilleure façon de débuter ce qui semble être parti pour être une très belle journée. -"¿Necesitas que te anime?" Voix trainante, dans notre langue natale, que nous abandonnons rarement, tant que nous n'avons pas de public, alors même que ma main rampe sous la soie de ce kimono. Une caresse, délicate, qui effleure son torse, écarte les pans de tissu, trouve son ventre. Glisse encore, pour venir taquiner sa virilité. Mes yeux noirs sont plantés dans les siens, le mettant au défi de m'arrêter, ou d'éteindre le feu qui brule désormais entre mes cuisses. Je sens mon corps, pulsant à l'encontre du sien, qui réclame son dû. Le désir, telle une flamme insatiable, brûle au plus profond de mon être. Il danse en moi, faisant vibrer chaque fibre de mon corps, alors que ma main se referme sur la hampe tant convoitée. J'abandonne un soupir et relève le menton pour lui tendre mes lèvres. Les flammes ardentes de la passion se reflètent dans mes onyx. Le regard intense de Juan, que je veux embrasé par la même convoitise, me fait délicatement trembler.
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MessageSujet: Re: El sol en nuestra piel [Feat Metz']   El sol en nuestra piel [Feat Metz'] EmptyMar 4 Juil - 10:33

El sol en nuestra piel 
ambiance -- Alors que je profite de la fraîcheur matinale, je l’entends, ses pieds nus sur le carrelage, c’est étrange, mais je trouve qu’il y a quelque chose de mélodieux dans ce doux bruit d’un pied nu mais peut-être est-ce aussi parce que, sans me retourner, je sais qu’elle n’a certainement pas mit quelque chose sur elle pour la couvrir, qu’elle est totalement nue et qu’elle s’avance vers moi.
Après tout, une femme avec son caractère devait estimer qu’elle était chez elle et qu’elle pouvait faire ce qu’elle désirait et puis honnêtement, une beauté comme la sienne, c’était presque normal d’en faire profiter les hommes et parfois, je me disais que notre relation ne me convenait pas, que je voulais la garder pour moi et moi seul.
Oui, mais voilà, notre couple n’en était pas vraiment un, un duo aurait été plus de bon ton. Notre relation particulière était celle que nous voulions, point final, il n’y avait jamais de “je t’aime” entre nous, de l’affection, des mots tendres, oui, parfois même des cris et de l’énervement, mais jamais un, je t’aime. Pourquoi ? J’aime à penser que c’est pour montrer que nous ne sommes pas enchaînés l’un à l’autre, que nous menons notre vie comme nous l’entendons, que notre plaisir passe avant tout, que nous avons l’orgueil de croire que l’amour n’est qu’une passade alors que notre relation d’amants est la seule chose qui peut faire de nous un être entier.
Mais en réalité, je crois que nous avons peur de dire le premier “je t’aime”, ce serait comme avouer sa faiblesse à l’autre. Enfin, c’est ce que je pense et c’est bien la raison qui me pousse à ne pas lui dire, à être nonchalant devant Cupidon. Pourtant, c’était la chose la plus belle que je n’ai jamais vu, Metz’, rien que d’y penser, ça me fait rire, jamais je ne dit son prénom complet, toujours Metz’, de peur de lui montrer ma faiblesse face à elle et pourtant, que j’aimerais pouvoir dire son prénom en entier, faire rouler chacune des lettres, elle a un prénom magnifique, elle est une oeuvre d’art et alors que je pense à tout ça, je sens cette odeur qui émane d’elle, elle est naturelle, une odeur presque animale, impossible à décrire, un mélange de notre passion de la nuit dernière, une effluve qui déjà même réveil mon corps. Alors je souris, elle ne le voit pas, mais elle le sait, oh oui, je sais parfaitement qu’elle est au courant que je suis déjà heureux de sentir sa présence.


Son corps se love contre mon dos, je sens sa poitrine arrogante s’écraser contre moi, je peux sentir ses tétons contre la soie de mon kimono, j’en serais presque à pousser un soupir libidineux. Aucune autre femme ne me fait cet effet, mon corps semble vouloir répondre, il se tend, non pas par appréhension, mais, car il a déjà envie de plus, faire tomber ce vêtement qui sépare nos deux corps, ressentir le frisson, l’envie de nos peaux se fusionnant. Sa voix vient briser ce moment et un léger rire s’échappe de ma gorge. D'instinct, je prends une de ses mains pour y déposer un baiser. “Si me hubiera quedado admirándote en nuestra cama, creo que habría hecho añicos tus sueños.”

Oh, bien sûr, elle n’aurait pas dit non et moi non plus, mais il fallait parfois se faire violence. Mais bien sûr, mes mots n’ont aucune résonance, elle m’attaque encore, mon cou est victime de ses assauts, de cette bouche tentatrice. “Estaría... Casi lamento ser un pirómano pero siempre me das estas ganas de reavivar las brasas…”
Elle se glisse, tel un serpent, celui de la Génèse pour se retrouver face à moi, je n’ai offert aucune résistance, je la laisse faire, il y a presque une danse sensuelle dans cette étreinte et lorsqu’elle me pique ma cigarette, je ne lui offre qu’un sourire amusé et je me permets de caresser cette joue déformée par son sourire mutin, mon regard se plonge un instant dans le sien, un profond sentiment d’envie semble vouloir exploser mais je me retiens, d’ailleurs, mon regard ne se fixe que dans le sien, de peur de succomber encore une fois en voyant son corps nu.
Elle n’a pas peur des regards, il faut dire qu’il est encore tôt, la maisonnée sait très bien que nous ne voulons pas être dérangés le matin, il est à nous et à nous seuls. Seule la gouvernante se permet de venir apporter le petit-déjeuner, ensuite, les affaires courantes attendent sagement que l’on ouvre la porte de notre chambre. Il y a bien des jardiniers dans l’Hacienda qui peuvent voir, mais je suis pervers sur les bords, qu’ils me voient avec cette tentation faite de chair et de courbes, il n’y a rien de plus excitant.
Hissée sur la rambarde, mon regard, finalement, la dévore, je ne peux résister plus longtemps et la façon qu’elle a de se tenir, de fumer ma cigarette, nue, face à moi, oh il ne faudrait pas grand-chose, une invitation, des cuisses qui s’ouvrent, un kimono qui tombe…

“Sabes muy bien que este día es mi favorito mi hermosa” Comme d’habitude, notre langue natale est omniprésente entre nous, comme une sorte de code, certes facilement décryptable, mais c’est comme un lien qui nous unit. J’étais bel et bien prêt pour cette journée de festivité, et même pour toute la semaine, il y allait avoir du boulot, mais cela ne me faisait pas peur, bien au contraire, encore une fois, cette fête était ancrée en moi et je pourrais vivre ainsi toute ma vie, dans les lumières des bougies et des crânes colorés.
Sans vraiment m’en rendre compte, ma main est sur sa cuisse que je caresse doucement, comme un rappel de ce qu’elle est, réelle et terriblement bandante. Durant les festivités, il y aura de fortes chances pour que nous ne nous voyons pas énormément, elle était une acharnée du boulot, c’était son univers, sa responsabilité et elle y tenait, mais je respecte ça, elle était la partenaire idéale.

Je laisse un grognement couver dans ma gorge alors qu’elle est toujours à me cajoler, comme si cette petite vicieuse voulait que mon esprit reste embrumé. Ses jambes s’enlacent contre mon bassin, putain, son corps est contre moi, je sens la chaleur de sa peau, la soie ne semble pas être une barrière efficace, je me laisse faire, comme envoûté, je la laisse mener sa petite danse, elle sait ce qu’elle veut et elle sait aussi très bien que je ne peux pas lui dire non… Démone. Une question, un sourire, ma main vient se poser autour de son cou, fragile, délicat, l’index remonte alors pour venir caresser une nouvelle fois sa joue. “Eres la súcubo más terrible y hechizante, ¿lo sabías? Siento que estoy en un océano embravecido cada vez que te admiro.”

Un frisson, sa main vient caresser mon torse, mon kimono n’est plus vraiment une barrière mais un objet érotique qui sert à la délectation des sens, je sens mon torse se bomber mais plus encore lorsque sa main vient s’emparer de mon sexe déjà tendu par le désir, je ferme un instant les yeux, un large sourire illumine mon visage et lorsque je réouvre les yeux, je la vois comme la plus belle des perfection humaine, elle est un tout que je ne peux pas nier, que mon coeur n’imagine pas perdre et pourtant, je le sais au plus profond de moi, qu’il ya un cable aussi tendu que ma queue en ce moment, un cable ou nous jouons les funambules, nous pouvons tomber, peut-être qu’un jour je devrais lui dire qui je suis réellement ou alors le sait elle et elle s’en moque ? Je ne sais pas, mais de toute façon, en ce moment, sa main dicte un nouveau chapitre. Lorsqu’elle offre sa bouche, ma main sur sa joue se pose à l’arrière de sa nuque pour un baiser enflammé, mes lèvres s’ouvrent, ma langue part à l’assaut de l’émail éclatant, je glisse, je la trouve, cette langue taquine et je m’enroule autour d’elle alors que mon autre main prend possession de son sein que je prends, caresse, j’ose même coincer son téton entre mes doigt pour venir le pincer avant de rompre le baiser. Naturellement, je viens embrasser son cou offert avant de venir murmurer dans le creux de son oreille.

“Déjame ir y recoger el néctar más dulce, ¿quieres?”

Sans aucune autre information de ma part, je lui écarte les cuisses d’une façon brute tout en la regardant avec un sourire carnassier et je tombe à genoux devant elle, mon regard toujours rivé dans ses iris et puis, je m’abandonne à l’envie. Je prends entre mes mains un de ses pieds que j’embrasse doucement, mes lèvres se pose sur la cheville, je lui prodigue de multiples petites délicatesses avant de remonter lentement, toujours, les baisers se changent parfois en une langue serpentine qui laisse présager d’une envie débordante.
Plus je remonte, plus je sens sa chaleur, elle irradie. Mes lèvres se rapprochent de sa source, mais alors que mon souffle caresse sa fente, mes lèvres se posent sur son pubis, comme pour la narguer. Mais mains se posent sur ses genoux pour l’ouvrire encore plus avant l’assaut final, j’écrase ma bouche sur sa vulve, douce comme une promesse, ma langue darde, taquine sa fente, prend le temps de l’ouvrir et enfin je m’engouffre dans cette fontaine de jouvance érotique, je goûte, j’apprécie, je remonte la pointe de mon muscle pour venir savourer le bouton fébrile, je contourne, j’enlace, je titille, esclave de son envie, je dévore son sexe et me gorge de son jus comme un fruit mûr et un soupire s’échappe.
Un regard extérieur comprendrait bien vite ce qui se passe sur ce balcon, je n’ai pas pu attendre de la ramener au lit, non, je la veux, ici et maintenant comme si demain ne nous appartenait plus et qu’il n’y avait que cette matinée pour sceller notre passion l’un pour l’autre.

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MessageSujet: Re: El sol en nuestra piel [Feat Metz']   El sol en nuestra piel [Feat Metz'] EmptyDim 9 Juil - 0:19

El sol en nuestra piel 
Dès que, je passe les bras autour de lui, avant même que mes doigts n'effleurent sa peau, la passion me consume. Il a ce pouvoir sur moi. M'embrasant d'un geste ou d'un regard. Parce que dans le moindre échange, nos âmes sont comme enchevêtrées dans une danse sensuelle et dévorante. Les rayons du soleil caressent nos peaux enlacées, illuminant sa peau d'une lueur dorée et je me coule contre son torse. -"No, cariño, los habrías alimentado." Les murmures s'élèvent dans l'air, mélodie envoûtante qui me tire un sourire que j'écrase contre la peau de son cou. -"Mi pirómano." Possessive? Sans le moindre doute en cet instant.

Mon regard se perd dans le sien, capturant l'étincelle d'un désir partagé, alors que j'acquiesce quand il me dit que c'est son jour préféré. Les mots se perdent dans l'écho de mes pensées, les mots inutiles face à la puissance de notre connexion charnelle. Cette période est bénie des dieux, en tout cas elle est toute l'essence de mon monde, mieux, de notre monde. Ce grondement qui échappe à sa gorge me fait délicieusement frissonner et je soupire quand sa prise se referme sur ma gorge. Je relève doucement la tête et m'offre au contact délicat de son doigt sur ma joue.

Le temps s'arrête alors que je l'écoute me déclamer une poésie ardente dont il a le secret. La brise marine caresse ma peau nue, éveillant en moi une sensation de liberté, une ivresse des sens, qui se nourrit du contact avec son bassin, mes jambes fermement arrimées à lui. Je me délecte de chaque instant, chaque souffle, m'enivrant de la beauté de l'instant présent. Mes cheveux flottent autour de moi portés par le vent qui murmure des secrets à mon oreille. Je tourne doucement la tête, contemplant un instant l'immensité de l'océan qui s'étend à perte de vue. Les vagues se brisent avec une élégance infinie. Notre cadre de vie est un enchantement, mais ce n'est rien à côté de sa réaction quand je lui tends les lèvres. Cette prise possessive qui me livre à lui, captive volontaire. Ma langue s'enroule à la sienne, mon buste s'écrasant contre son torse et mes mains remontant pour se perdre dans ses cheveux en une prise assumée et vorace.

Je couine de délice quand ses doigts se referment sur cette pointe dardée et nos regards se rencontrent, alors qu'il abandonne ce baiser. Une promesse silencieuse échangée dans cet échange de regards complices, je le laisse écarter mes cuisses en humectant mes lèvres de ma langue y cherchant toujours plus de sa saveur. Mes yeux ne quittent pas un instant les siens, quand il se laisse choir à genoux. Sa bouche chaude et douce, cajole ma cheville, il remonte doucement, laissant sur ma peau une trainée de feu. -"¡Oh sí, lo quiero!"

Je me laisse emporter par la danse de ses doigts sur ma peau, son souffle me faisant trembler, avant qu'il ne m'achève d'une bouche gourmande. Le monde extérieur s'efface, ne laissant place qu'à l'intensité de sa présence. -"Oooh Juan." Mon bassin bascule, se tendant encore plus vers lui, si cela est seulement possible. Je vibre contre ses lèvres, mon bouton de plaisir torturé par l'expertise qu'il a de mon corps et j'ai l'impression de quitter la terre. Je m'agrippe à la balustrade, pour ne pas basculer, cale un genou derrière son épaule et je me cambre pour mieux savourer cette caresse.

Ses mouvements sont de plus en plus enivrants et je me consume dans la magie de l'instant. Mes soupirs se mêlent à la symphonie du réveil de l'Hacienda, créant une œuvre d'art éphémère, une ode à notre histoire. Alors que le soleil veille sur notre étreinte, je m'abandonne à mes instincts les plus profonds, plongeant dans un océan de plaisirs qui vibrent sous ma peau. Chaque mouvement de sa bouche est une symphonie, produisant sa propre mélodie de soupirs. Il arrache à mon corps une extase infinie, mais j'en veux plus encore... Je veux nos corps entrelacés, nos souffles mêlés, je le veux lui ! Tout entier. Je veux me vautrer dans la luxure dans le charme ouaté des draps de soie, nos corps vibrants de passion. Mes doigts se ferment dans ses cheveux et ma poigne traduit ma fièvre. Conte envoûtant tissé de désir et de tendresse, notre histoire se poursuit, s'écrit dans chaque caresse. Je tire sur cette poigne raffermit dans ses cheveux, pour l'arracher à ce baiser indécent. "¡Te deseo, ahora mismo! Juan... tómame!" Ma voix est une tempête, grondante, mes yeux le mettent au défi de me contredire... et puis je ne lui en laisse pas l'opportunité. Ma jambe quitte son épaule et je glisse, pour retrouver le sol. Je le surplombe, accentuant ça d'un regard impérieux. Je me veux, royale ! Pourtant je ne résiste pas longtemps à l'attraction qu'il exerce sur moi. Je viens chercher ses lèvres, des miennes, les cajole, les mordille, y trouve la saveur de mon plaisir du bout de la langue.

Je gémis doucement et glisse pour me trouver à califourchon sur lui. -"Si no te quitas ese kimono, ¡ lo voy a quemar!" Voilà qui traduit un peu de la morsure d'envie qui me fouaille le ventre. Je déborde, d'envie ! Mon bassin en vagues délicates, cherche le sien et je soupire de délice quand il rencontre cette virilité érigée. -"¡No me hagas exigir!" Le choix des mots est amusant, parce que je suis bien plus près de le supplier que de lui donner des ordres, mais qu'importe ! Il me connait ! Ce que je veux transmettre c'est l'urgence qui me tord le ventre ! Je pousse contre son torse, qu'il bascule sur le sol, sur le dos et je me retrouve au dessus de lui, poitrine agitée par la courtesse de mon souffle. -"¿Me obligarías a follarte aquí?" Il ne pourra que noter que ce n'est pas de nature à m'arrêter. Enfin.. le noter, il n'en ignore rien. Il sait tout de mes emportements, de la folie douce qui peut m'étreindre et qui répond si bien à la sienne.

C'est ce qui fait notre force. On se connait... bien. Mais ça ne vient pas pour autant amoindrir ma faim, de lui. Il me rend insatiable, me poussant à en vouloir toujours plus. Pousser le curseur, dépasser des limites, jouer l'un de l'autre... Comment pourrais je m'en lasser ? Notre union n'a rien d'un mariage simple et doux. On est très loin du long fleuve tranquille, mais n'est ce pas plus fou? Plus grand... Plus... nous. Le désir, cette flamme ardente qui parcourt chaque fibre de mon être, me martèle quand je plonge les yeux dans les siens. Je sens ma peau frissonner au toucher de ses mains, mon pouls s'accélère à chaque regard intense que nous partageons.

Mes lèvres aspirent au contact des siennes, mes mains aspirent à explorer chaque centimètre de sa peau. L'électricité parcourt mes doigts lorsque je caresse son corps, en tirant sur les pans de ce kimono de soie. Je ferme les yeux, une seconde, quand mes pulpes trouvent le grain si particulier de sa peau. Je plonge dans cette sensation, laissant le désir prendre totalement le contrôle. Je peux sentir les battements précipités de mon cœur, le besoin palpitant qui s'éveille au plus profond de mon être. J'ai besoin de la plénitude de cette fusions de nos êtres. Je veux me perdre dans ses bras, me fondre en lui jusqu'à ce qu'il n'y ait plus rien d'autre que cet instant d'effervescence et de passion. Je veux que mes gémissements se mêlent aux siens, que nos respirations entrelacées soient la musique qui accompagne notre danse charnelle.

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MessageSujet: Re: El sol en nuestra piel [Feat Metz']   El sol en nuestra piel [Feat Metz'] EmptyDim 9 Juil - 16:35

El sol en nuestra piel 
ambiance -- Le feu était dans toutes les religions, toutes les peurs primaires, les passions aussi, les ardentes, celles qui ne peuvent que se consumer, dévorer l’autre, l’envie que ce soit la dernière fois, que ce soit d’être inoubliable.
Ce feu, nous l’avons en nous, Metz’ et moi, un lien qui ne semble pas vouloir se terminer, il ne veut pas être consumé, nos corps ne peuvent être autosuffisant l’un de l’autre. Elle est mon soleil, je veux me brûler à chaque fois les ailes, ressentir cette chaleur oblitérer mon corps sous la passion, sa passion.
C’était une pyromanie charnelle entre nous, la voir c’était l’envie de tout brûler, la faire brûler de désir, d’envie, de lubricité.

J’ai entendu ses mots, son envie, j’ai senti son corps vibrer, devenir chaud puis humide de ce plaisir que je lui offrais, elle m’offrait une vertu qui était apte à enorgueillir le plus insignifiant des hommes, c’était un cadeau que les femmes pouvaient offrir et l’homme avait juste à accepter, remercier. Son nectar est divin, ma langue vient la chercher, la goûter toujours plus, mais je sais que ce petit jeu ne va pas éteindre sa flamme, elle ne souffrira pas de ne pas avoir le reste.
Je sens ses doigts venir s'entremêler dans ma tignasse, tels des serpents, la serre d’un oiseau de proie, elle a dicté l’instant où elle voulait bien plus, m’arrachant à ce baiser que je ne veux pas quitter si facilement, dans une ultime provocation de ma part, mes lèvres viennent s’envelopper autour de son bouton de chair gorgée de plaisir et je viens le suçoter à tel point que lorsque sa poigne se raffermit pour me détacher, un bruit humide s’échappe. Je n’ai peut-être pas gagné cette bataille, je dois bien le reconnaître, mon ennemi n’a pas faibli malgré les assauts, alors je lui accorde le choix du prochain terrain de l’affrontement.

Elle gronde son envie, elle me veut, rien dans sa voix ne me laisser penser que je peux encore trouver une échappatoire à ce qui m’attend et cela m’amuse, mon regard défi le sien, une lueur maligne derrière mon iris et mon sourire devient arrogant, provocant. “¿En realidad ?” Oui, je provoque, toujours, ce ne serait pas drôle et excitant sinon.
Elle se détache, rien ne semble vouloir l’arrêter, à dire vrai, je pense que j’aurais réussi à la faire craquer, ici, et maintenant, durant cette ouverture, si je me lève, que je la retourne contre la balustrade, alors je serais le conquérant, le vainqueur mais non, je ne saisis pas la perche, je la laisse diriger car je sais qu’elle est douée, qu’elle est aussi passionnée que moi. Elle me domine, me regarde et puis décide qu’un baiser serait de bon aloi et je la laisse m’embrasser avec cette ardeur qui me fait bander comme un cerf, nos langues reviennent pour un court ballet et elle me vole au passage un peu d’elle, voleuse libidineuse qu’elle est, oh toi, je t’aime peut-être bien trop.

Lentement, mais sûrement, les rôles s’inversent, je suis proche d’être soumis à ses caprices, mon komono se froisse, il n’est plus une barrière, juste une entrave désagréable que je doute rester longtemps sur moi. D’ailleurs, elle le dit clairement et la voir assise à califourchon sur moi, totalement nue, la poitrine arrogante, le regard de braise, j’éclate de rire alors qu’une de mes mains vient cajoler un de ses seins. Oui je ris, mais cela ne calme pas mon feu.

“¿Y yo soy el pirómano?”

Ultime de mes bravades, elle me répond par un coup de  bassin langoureux, je sens sa chaleur, non, plus qu’une chaleur, c’est bien plus, c’est un foyer débordant, dévorant, mon bassin semble même réagir en la provoquant dans un coup de bassin rageur, qui fait lentement glisser mon sexe contre sa peau, laissant une traînée amoureuse et surtout désireuse. Elle me demande de ne pas exiger, mon regard s’amuse encore plus, ma tête se penche alors que ma main est toujours aussi tactile, la pulpe de mes doigts vient agresser le mamelon si sensible, si dur, me donnant une terrible envie de le dévorer.

“¿Solo eres capaz de violentarte a ti misma para no resbalar sobre mi polla que desborda de ganas de follarte, mi reina?”

Ma voix est légèrement amusée, un nouveau défi, une autre provocation, un autre préliminaire qui déclenche chez moi de nouvelles sensations d’envie de baise bestiale. Elle m’allonge sur le sol froid, une nouvelle sensation qui me fait, je ne peux m’en empêcher, grogner d’une envie tout aussi pressante qu’elle.
Son ultime question n’en est pas une, le lit est bien trop loin, je ne pense pas que nos corps puissent supporter plus longtemps de ne pas s’emboîter dans la chaleur d’une étreinte sulfureuse. Ses mains parcourent mon corps, c’est presque douloureux en vrai, c’est comme si ma peau était devenue hypersensible, mais c’était une douleur exquise, j’en voulais sûrement plus mais elle avait gagnée, je n’allais pas la faire languir, mes yeux dans les siens, je me perds alors que mes mains s’agrippent à ses hanches, bloquant son corps, elle sait ce qui va arriver. “Aquí y ahora.”

Mes derniers mots, ultime palabre avant d’aller chercher ses lèvres, plus rien ne compte, en vrai, est-ce que quelque chose compte à mes yeux lorsqu’elle apparaît dans mon espace ? Non, je ne crois pas, Metz’, ma vie.
Je la redresse d’un coup, mon bassin s’avance, mon sexe palpite, mon gland vient s’écraser contre sa fente, le bruit est mélodieux, sensuel, érotique, sa chaleur m’appel, je la rabat fortement sur moi, nos bassins s’invitent, fusionnent, je sens ma queue s’engouffrer, aucune barrière, elle est totalement à ma merci mais je le suis également à ses envies, mon gland se loge en elle, étire les chair, viens se lover, recueillir cette chaleur tant désirée, lorsque elle arrive à la fin, lorsque je sens mes poils pubiens se frotter à son pubis, mon baiser se transforme en un nouveau grognement, mais celui-ci est d’une envie que je vais satisfaire ici et maintenant. Je bascule pour être allongé, mes pieds s’ancrent dans le sol, comme des piliers et je donne un premier coups de bassin mais il n’y a pas de tendresse, de délicatesse, de subtiles bouleversement, non, c’est du sexe, cru, sans tabou, mes premiers assauts sont bien plus qu’une simple reconnaissance, non, je baise Metz’, c’est peut-être horrible dit comme ça mais pourtant c’est ce que je fais, nos sexes se fusionnent, un claquement sonore emplit l’espace, je la tire vers moi, pour sentir sa poitrine s’écraser sur mon torse, une main dans ses cheveux, je l’immobilise contre moi, mon souffle chaud, excité dans son oreille, mon bassin attaque, ma queue la pénètre, se retire, retourne encore plus fort, nos bassins claquent de plus en plus, l’étreinte est intense, courte mais intense avant que je ne la relache pour la faire se redresser et poser ma main sur sa gorge, je l’admire, sa poitrine qui se soulève, ce désir, sa chaleur, je la regarde dans les yeux, mes doigts s’enfoncent légèrement dans sa chair, mon désir, elle le sait est souvent bestial.

L’amour entre nous n’attend pas la chambre à coucher, en cette matinée, nous allons offrir nos gémissements à l’ensemble de l’Hacienda, comme souvent, comme le chant d’un coq fasse au soleil qu’il ne peut renier.


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MessageSujet: Re: El sol en nuestra piel [Feat Metz']   El sol en nuestra piel [Feat Metz'] EmptyDim 9 Juil - 22:52

El sol en nuestra piel 
Divines provocations, insolente perfection. Sa bouche s'égare au creux de mon être et me fait vibrer d'un plaisir dévorant. Il connait mon corps sur le bout des doigts... devrais je dire sur le bout de la langue. Il me fait fondre d'envie et mon souffle peine à se frayer un chemin entre mes lèvres. Mes doigts dans ses cheveux se raffermissent mais cette façon qu'il a de s'aimanter à mon sexe, de l'aspirer alors même que je tire en sens inverse. L'indécence de ce petit bruit acqueux... tout ça m'achève. La provocation dans sa voix, résonne en défi au creux de mon ventre. Le faire taire... en l'étourdissant de l'envie qui me fouaille le ventre. Voilà ce que je veux, quand je me fonds contre lui, exigeante ! Et puis les mots se perdent dans les abysses de notre désir, laissant place à une communication purement sensorielle. Mes hanches ondulent avec une grâce féline, cherchant le contact de sa virilité ardente. Chaque mouvement est un appel, une invitation brûlante à succomber à nos pulsions les plus profondes.

L'urgence qui m'anime est palpable, et il y répond enfin. Je l'embrasse, il m'embrasse, je ne sais plus, je vibre, serrée contre lui, le sein captif de la dureté de sa paume, les soupirs au bord des lèvres. "El piromano y el remedio al fuego que me devora" Je murmure contre sa bouche, la voix rauque, avant de le faire basculer sur le sol. Il me provoque d'un coup de bassin et de mots d'une vulgarité qui achève de m'enflammer. ¿Cuándo es todo lo que quiero? ¡Que finalmente me jodas! ¡Sería estúpido! Je souris, souveraine, le défiant d'un regard ardent. ¡Nunca soy estúpido! ¡Pero joder, cómo te deseo! Je vois dans son regard, avant même qu'il ne parle que c'est la fin de mon supplice. Il me redresse, saisi mes hanches et trouve le chemin qui le mène en moi. Un frisson, extatique, me fait me cambrer à sa rencontre, mon petit cri de plaisir étant étouffé par le poids de ses lèvres qui recouvrent les miennes en un baiser ardent. Il bouge, se laisse couler sur le sol, s'invite en moi, me marque de son épaisseur, m'impose la chaleur de son contour et je me tords entre ses bras. Il me bloque, d'une prise possessive qui me tire un nouveau gémissement ravi, presque un ronronnement alors que nos corps s'entrechoquent avec une intensité sauvage. Il me baise, sans égard, en ébats passionnés, comme une symphonie du plaisir qui s'élève dans l'air et me tire de petits gémissements ravis Mes mains explorent chaque parcelle de son être à ma portée, mes ongles laissant leur marque sur sa peau, tandis que mes lèvres se délectent des siennes offertes à mes baisers.

Je me cambre, offrant mon intimité à ses désirs les plus brûlants. Son regard avide se perd dans le mien, une lueur de convoitise qui alimente le brasier qui nous consume. Je sens son pouls battre à l'unisson du mien, le rythme effréné de nos corps qui s'entremêlent dans une danse charnelle exaltée. Chaque claquement de son bassin, me tire un nouveau frisson. Les sensations se multiplient, une décharge électrique qui parcourt chaque fibre de mon être. Je me laisse aller à l'extase, m'abandonnant totalement à ce plaisir dévorant. Mes soupirs se mêlent aux siens, une symphonie de jouissance qu'on livre au petit matin et à notre royaume.

J'ai la sensation exquise que nous sommes deux âmes en fusion, embrasées par la même passion indomptable. Chaque mouvement, chaque caresse est une affirmation de notre lien, aussi sauvage qu'indéfectible. Les frontières entre nos corps s'effacent, ne laissant que le tourbillon de sensations intenses qui nous unit dans une étreinte enivrante. Sa virilité me fouaille, me possède, me fait trembler de plaisir et bientôt je roule, pour me trouver sur le dos, le gardant au creux de moi. Mes cheveux s'étalent sur le sol, je trouve ses yeux et je souris avant de l'embrasser et de mordre dans sa lèvre inférieure tandis que mes ongles s'impriment dans son dos sculpté. -"Juan... ¡otra vez! ¡Sin consideración!" Oh oui putain, encore et encore et sans le moindre égard.

Et alors que nous nous enlaçons, corps et âmes enchevêtrés, nous nous laissons porter par le flux puissant de notre passion, explorant ensemble les confins de l'extase. Dans cette communion des sens, nous transcendons les limites de la réalité, nous abandonnant à un plaisir profondément connecté, une union qui dépasse les mots et nous transporte vers des sommets inexplorés. Il est le seul capable de me rendre ivre, d'un simple contact. Et ce contact... ardent... profond. Il me bouleverse littéralement.

Alors que je suis allongée sur le dos, mes yeux s'emplissent d'une extase délicieuse. Je remonte mes jambes, les enroulant autour des hanches de mon amant, offrant ainsi une ouverture totale à notre étreinte passionnée. Chaque mouvement puissant et profond me fait frissonner d'une jouissance intense. La sensation de plénitude absolue qui me submerge à chaque pénétration est indescriptible, mon corps vibrant au rythme de ses assauts ardents. Chaque coup de rein me propulse plus loin dans les abysses du plaisir, mes soupirs de satisfaction se mêlant aux grognements de plaisir qui s'échappent des lèvres de Juan. Alors que le rythme s'accélère, l'excitation monte en moi, les vagues de plaisir déferlant dans mon être. Chaque poussée est une explosion de sensations, une fusion de désir et de plaisir qui nous consume tous les deux. Dans cet acte charnel sauvage et passionné, je me perds tout autant que je renais, abandonnant mon corps à la délicieuse emprise de mon homme, me laissant submerger par le feu brûlant de sa marque. Je suis à lui, comme il est à moi. Cette absolue certitude est presque aussi délicieuse que chacun de ses coups de bassin. Le contact du sol, rude et rugueux, s'étiole, que j'en sois marquée ou non, n'a pas la moindre espèce d'importance. Rien ne fait sens, si ce n'est la délicieuse plénitude de mon antre palpitant contre son arrogance. Le plaisir monte, dompteur de mes plus bas instincts et mes dents se plantent dans son épaule, l'enjoignant par là à plus de bestialité encore. Le sexe entre nous n'a rien d'une mièvrerie, bien qu'il puisse nous arriver d'être doux, ou tendres. Ce n'est pas de tendresse que j'ai envie en cet instant, mais bien de l'absolue perfection de ses coups de butoirs, du rythme métronomique des claquements de nos deux corps et de son souffle brulant qui appelle le mien.


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MessageSujet: Re: El sol en nuestra piel [Feat Metz']   El sol en nuestra piel [Feat Metz'] EmptyLun 10 Juil - 8:11

El sol en nuestra piel 
ambiance -- Il était difficile de réfléchir, de penser à elle, enfin, je veux dire par là, que toutes mes pensées, mes envies, mon excitation étaient tournées vers elle, mais j’aurais peut-être envie de penser à nous ? Ce qui fait vraiment de nous des amants ? Sa chaleur me capture, ses gémissements m’électrisent, elle est comme une l’œuvre d’une vie, un tableau blanc au départ, j’ai l’impression d’en faire un chef d’œuvre, non, pire que ça, mon œuvre s’anime devant mes yeux, arrogante, envieuse, sauvage, sensuelle, érotique, cruelle parfois, mais toujours impérieuse.
Elle me parle, mais ses mots n’arrivent pas à destination, du moins, mon cerveau traite tout ça en arrière-plan, le reste est totalement dédié à son plaisir, à ses envies, je martèle, je prends, j’enfonce, mon sexe palpite, il semble vouloir s’arracher de mon corps tellement son ardeur est communicative.
Nos bassins se synchronisent dans un échange impérieux, vital, je dirais même, je sens déjà les perles de sueur venir glisser et rouler le long de mon torse, preuve que nous n’y allons pas de main morte malgré la fraîcheur de ce début de matinée.
Elle se cambre, délice, je sens son sexe s’offrir encore plus, je glisse facilement, dans une chaleur humide qui produit un doux son à mes oreilles, je pourrais l’écouter des heures. Mais voilà, madame est toujours insatisfaite, elle en veut toujours plus. Notre échange brutal, animal dure plus que de raison, comme s’il était le final de notre union, mais ce n’est que le début.
Alors que mon sexe retourne embrasser le fond de son antre, elle se contorsionne, je comprends, mon corps épouse les mouvements, jamais nous ne nous détachons alors qu’elle bascule sur le sol, magnifique, ses cheveux étalés sur le sol, le regard mutique, ce regard qui me fait toujours autant chavirer, sa poitrine qui me fait deviner une respiration saccadée. Oui, décidément, je pourrais tuer pour elle, me damner aussi. J’ai envie d’un temps suspendu, juste cet instant, pas même l’acte, non, juste cette vision de cette femme totalement nue, avide de mes caresses, de ma queue, qui attends juste un nouvel assaut.
Je la sens resserrer ses jambes autour de mes hanches mais je ne continue pas, le temps d’un instant, la Belle à terrasser la Bête, son simple me regard m’interdit de bouger, de vivre, un court instant, un battement de coeur à dire vrai, une angoisse me prend, mon cerveau semble se déconnecter, je perds pied, j’ai peur, peur de la perdre, que nos petits jeux nous reviennent un jour comme un boomerang, j’aimerais pouvoir lui dire je t’aime, lui énnoncer toutes les fleurs auxquelles elle me fait penser, auxquelles j’ai envie de caresser les pétales comme je caresse sa poitrine en ce moment même.
Mes doigts dessinent des arabesques sur son sein, je le regarde comme s’il s’agissait de ma première fois, nos ébats sont arrêtés depuis ce qui me semble une éternité et pourtant, ma virilité est dure, elle est comme un second coeur entre ses cuisses et je donne un profond coup de bassin, un seul, ma gorge se noue, je me penche pour venir embrasser sa poitrine et se faisant, je la met en position, ses fesses décollent du sol.
Elle sait ce qu’il va se passer, peut-être cependant doit-elle être interloquée devant la brusque tendresse que j’éprouve ? Je ne sais pas. Penché sur elle, dans cette position, mon bas-ventre se colle au sien, nos souffles déchirent l’air ambiant, nous reprenons en même temps des forces.


“Debo decirte que eres la chispa que devora mi alma y la enciende, eres tan pirómano como yo.”

Solide sur mes appuies, , je lève les talons, basculant un peu plus Metz’ qui je sens, s’accroche à moi par le cou, je la regarde en souriant et lentement, je me retire dans un bruit érotique, je sens alors les griffures sur mon dos, les perles qui s’en échappent, j’en avait eu des frissons de plaisir pendant, là, je sens juste la morsure d’une légère douleur salvatrice, comme si cela me permettait de me reconcentrer sur elle.
Mes mains se posent sur ses hanches et je commence un curieux mouvement de balançoire du bout de mes pieds, j’avance je recule, ma verge tendue entre, s’échappe presque dans un plop érotique, seul le gland vient la taquiner alors que je la regarde droit dans les yeux, je lui offre un large sourire car ce qui arrive, ce petit mouvement que j’ai… Hmm délicieux, le bout bombé de mon sexe s’amuse au début à n’effleurer que cette fente des désirs les plus primaires, ressortir, mais lentement, le rythme du balancier s’accentue, le gland et bientôt une partie de ma colonne de chair entre en elle, glisse, s’avoure encore et toujours sa chaleur, son feu intérieur qui nous consume à petit feux. Je grogne, la position est certes stimulante, mais elle me demande un petit effort physique. Le balancier continue inexorablement à accentuer son mouvement jusqu’à ce que ma queue entre totalement en elle dans un dernier assaut et une fois totalement lové en elle, après l’avoir teasé de façon obscène, je lui permet, elle aussi de se reposer, mes mains contre ses fesses, je la dirige sur le sol alors que je fais passer ses jambes sur mes épaules, je la domine mais en réalité, est-ce vraiment moi qui suit à la manoeuvre ? Mes mains glissent sur ses cuisses, remontent jusqu’à ses genoux qui sont au niveau de mon visage et je recommence à la pénétrer. Dans cette position, elle peut se laisser aller, c’est moi qui accepte le poids, l’effort, mais je sens tout de même son bassin s’activer, rechercher le mien. Une de mes mains quitte son genoux pour venir s’agripper à un de ses seins que je malmène tout en la regardant droit dans les yeux avec parfois, je l’avoue, une monté de plaisir que je veux calmer, je veux continuer à la posséder, à lui faire l’amour, la baiser, choisissez le mot, je m’en fout, je veux mourir entre ses cuisses, je veux qu’elle soit la dernière, oh Metz’, laisse moi être ton dernier amant mais ça, non, je ne lui dirait pas, ma gorge se noue dans un grognement plutôt que dans une déclaration d’amour, mon corps est bouillant, ma transpiration glisse sur mon torse, mes lèvres embrasse le genoux de ma brune, je lèche sa peau, un léger goût de sel, l’effort est là, il est savoureux.

Mais je sais que cette passion risque de me coûter la jouissance, mais il n’y a que Metz’ qui peut décider de quand et où j’ai le droit, mes coups deviennent plus brutaux, le claquement est plus impérieux, mon bas-ventre embrasse sa fente, mes couilles rebondissent, une légère brise pour accompagner notre envie, je suis au paradis.


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MessageSujet: Re: El sol en nuestra piel [Feat Metz']   El sol en nuestra piel [Feat Metz'] EmptyLun 25 Sep - 23:32

El sol en nuestra piel 
Au petit matin, dans le doux éveil de l'aube, je me trouve lovée dans les bras de mon amant, à ma juste place, nos corps s'enlaçant avec une puissance qui me monte à la tête. Je bascule sur le dos et l'harmonie de notre étreinte fait qu'il me suit sans nous désunir. La lueur timide du jour caresse nos corps enlacés, révélant les ombres de nos désirs enfouis, prêts à s'épanouir telles des fleurs au souffle du printemps. C'est un moment suspendu, un instant où le monde semble s'effacer pour ne laisser place qu'à lui et moi, à notre passion qui s'enflamme comme une étoile naissante dans le firmament de nos émotions. Il a ce pouvoir sur moi, sur mes sens, mon corps et mon âme. Dans ses bras je vibre sans commune mesure.

Son souffle, chaud et apaisant, est la mélodie qui berce mon âme. Ses mains, douces et fortes à la fois, parcourent ma peau comme les doigts d'un virtuose sur les cordes d'un violoncelle, étirant mes soupirs en une mélodie que j'offre au creux de son oreille. Dans cette étreinte passionnée, nos corps dansent au rythme d'une symphonie sensuelle, une musique que nous seuls pouvons entendre et tout à coup il se fige. Il me contemple avec une intensité nouvelle et je me perds sous le feu de son regard. Quand il bouge, c'est pour nous mettre dans une position qui me fait gémir presque immédiatement d'envie autant que de frustration. Cette caresse est d'une puissance folle, l'imposant en moi à un rythme lancinant, mais surtout avec une profondeur qui me donne envie de lui hurler de me prendre, autant que de continuer. Je suis bouleversée, arrimée à lui pour soutenir la cadence entêtante de ce balancier qui me tire des frissons.

Je me sens comme une fleur qui s'ouvre aux premiers rayons du soleil, une rivière qui se laisse emporter par le courant de son désir. Chaque baiser est une goutte de rosée qui perle sur mes pétales, chaque caresse est une brise légère qui fait frissonner mes sens. Son corps est un paysage que je désire explorer, une terre inconnue où je veux m'égarer avec délice. -"Juaaan." Un râle quand enfin il se plante en moi de toute sa longueur et je me mords la lèvre inférieure au point de la marquer, surement pour plusieurs heures. Je me sens ivre, de lui, de nous, de cette intensité rare qui submerge chaque cellule de mon corps.

Nos soupirs se mêlent, comme les murmures secrets d'une nature qui s'éveille. C'est une danse enivrante, une chorégraphie de passion et de désir qui nous emporte dans un tourbillon de sensations. Je me sens comme anéantie et renouvelée, comme s'il faisait de moi la rosée du désir. Mon regard arrimé au sien, je tremble alors qu'il me repose doucement au contact du sol et qu'il impose une cadence plus brutale de nouveau. Un petit cri et mon bassin se tend instinctivement à la rencontre du sien. Je souris quand ses lèvres trouvent ma peau et ferme les yeux une seconde, savourant l'absolue perfection de l'instant.

Chaque battement de son cœur résonne en moi comme une mélopée envoûtante, une chanson d'amour qu'aucun de nous ne chante pourtant. Chaque effleurement de nos peaux est une poésie silencieuse, des vers éperdus écrits avec nos gestes et nos soupirs. Les mots sont superflus dans ce lieu secret où le langage de nos corps suffit à exprimer la profondeur de notre désir. Rien ne saurait traduire la magie dans laquelle il me plonge. Je m'arrime à lui, mes yeux se noient suppliants et abandonnés à la fois. Le silence des jardins est peuplé uniquement de nos soupirs entremêlés, comme si le monde entier retenait son souffle pour ne pas perturber ce moment magique où nos corps se fondent en une fusion parfaite qui m'arrache un orgasme qui me fait me resserrer autour de lui.

Le temps, ce matin, est une notion abstraite, une horloge arrêtée pour laisser place à l'infini de nos sensations. Chaque instant est une éternité, une parcelle d'infini. Le monde extérieur n'existe plus, et nous sommes seuls dans notre bulle d'intimité, un monde où seules comptent nos pulsions, nos émotions, la plénitude de son corps au creux du mien. Aucune inhibition, n'entache la puissance de mes envie et je me laisse emporter par cette fièvre délicieuse qui supplicie mon corps d'un plaisir brutal et aiguisé. -"Dentro de mi...Juan lléname" Crue, vulgaire sans doute, mais la mièvrerie n'a jamais été notre norme. En fait... nous n'avons pas la moindre norme, je crois ? Je sais pas... je m'en fous. Je suis à lui, pleinement et hormis ça, rien ne compte.

Les lueurs du jour peignent des arabesques de lumière sur sa peau qui semble se nourrir de reflets d'or. Il m'apparaît comme baigné du métal précieux et je me gorge de la beauté qu'il dégage, alors même que mes yeux s'unissent aux siens. C'est comme si le soleil lui-même se joignait à notre étreinte, célébrant notre union et l'apothéose de mon plaisir. Je ressens chaque centimètre de son corps comme une terre promise, un territoire à conquérir et à aimer sans retenue. Je suis à lui... et ça me sidère de bonheur. Symphonie orgasmique qui éclate comme un feu d'artifice et le grave encore un peu plus profondément sous ma peau. Je l'ai dans la peau... cette expression c'est dans ses bras que j'en ai compris les nuances. Quand par la force de ses caresses je suis devenue pleinement moi.




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MessageSujet: Re: El sol en nuestra piel [Feat Metz']   El sol en nuestra piel [Feat Metz'] EmptyMar 23 Jan - 15:16

El sol en nuestra piel 
ambiance -- L’amour est comme un kaléidoscope, jamais le même, jamais parfait, toujours imparfait, rarement meilleur que lorsqu’on trouve la personne qui partage le même prisme, la même déclinaison de couleur par rapport à la lumière qui tape la surface. Avec Metz’ nous avons le même… Dios mio, même son surnom, cette contraction d’un nom de divinité est exquis à prononcer, ça roule contre ma langue, cela donne une force à cette femme qui n’a pas vraiment besoin de ça en plus à dire vrai. Je pourrais faire une longue tirade sur sa beauté, sur son regard qui aurait mit Cortes à genoux, rien de plus simple que ses iris et pourtant, je ressens toujours cette chaleur en bas de mes reins quand je plonge mon regard dans le sien, il y’a quelque chose en elle qui se dégage bien plus que les autres femmes, elle est comme la pièce centrale d’un musée de statue de nymphes, on s’amuse à sourire en voyant l’érotisme des courbes que les sculpteurs réalisent d’une main ferme et puis, lorsque vous approchez de celle-ci, plus rien ne vous amuse, les pensées cochonnes en voyant un cul parfaitement bombé s’étiole car la véritable beauté, la véritable femme qui vous fait vibrer ne permet pas le sourire pervers, vous ne trouvez plus les mots, votre âme s’échappe pour venir l’enlacer, pire, s’enchainer à ses chevilles que je sais aussi parfaites que le reste de son corps.

Mais Metz’, ce n’est pas que la beauté quasi divine qui vous rend esclave de ses envies, non, c’est aussi l’érotisme qui se dégage d’elle, sa démarche qui fait chavirer car elle n’est pas le navire, non, elle est la mer que respecte les navigateur, elle est la houle qui vous fait tituber, elle est la brise marine qui lorsqu’elle vous parle, vous donne une vigueur que vous ne connaissiez pas pour essayer, un bref instant, de la dompter, illusion cruelle car elle est bien trop parfaite pour vous. Elle est la vague scélérate, celle que l’on n'attend pas, qui nous pétrifie, un homme à la mer, s’il te plaît Metz’, devient aussi la sirène qui récupère mon âme lorsque je me noie rien qu’à l’idée de te prendre comme cette matinée.


La brume de l’envie a totalement éclipsé mes sens, je ne ressens plus que sa chaleur, son envie, ses mots, crus, parfois son simple gémissement, sa frustration, ses coups de bassins, qui viennent quémander ma verge. Putain que c’est bon, oui, peut-être bien que j’étais amoureux à crever d’elle, que je pourrais tout à fait juste l’admirer dans une sorte de romantisme mièvre, mais…. Le sexe avec elle, c’est au-delà des mots, parfois, nous sommes dans une bataille acharnée afin de prouver à l’autre notre supposée supériorité, quand bien même au final, l’orgasme nous emporte tous les deux. Parfois, il est plus paresseux, jamais par contre, il est mécanique, non.
Mes yeux roules dans leurs orbites, alors que ma verge continue son chemin vicieux entre ses cuisses, et puis la délivrance, non pas que j’arrive à ma limite, il suffirait juste de se calmer mais non, ici et maintenant impossible, nous sommes comme deux papillons de nuits attirés par la lumière, nous devons nous consumer, impossible de ne pas voir nos ailes fragiles se consumer en un instant. Et c’est elle qui vient de me dicter le dernier battement d’ailes, oui, je suis prêt également.

“Maldita sea... ya voy”

Ma main sur son sein devient une serre, je sens le téton ourlé de désir et pointant dans ma paume, mon bassin donne un dernier coup, le dernier pas du condamné et j’explose dans un grognement sortant presque de mon cerveau reptilien, je me décharge, mon foutre gicle en elle, la remplit comme elle me l’avait presque ordonné ou supplié ? Difficile à dire avec Metz’.
Mon corps tremble, mais pourtant, mon bassin continue quelques accoups, l’un plus violent que les autres, mes bourses se déchargent et j’ai l’impression alors que je redécouvre mon souffle, je prend une grande gorgée d’air frais avant de basculer légèrement, ma queue encore tendue s’échappe d’entre ses cuisses, et finalement je m’écrase sur le sol, nos jambes entremelées, nos corps en sueurs, je n’ai même pas besoin de regarder sa poitrine qui j’imagine est comme mon torse, en train de faire les montagnes russes pour chercher plus d’air et mon regard se perd totalement dans le ciel alors que ma verge se pose paresseusement sur mon bas ventre, je peux sentir nos fluides me marquer mais je ne ressens pas un seul instant le dégout, juste ce putain de plaisir ultime que de prendre son pied ainsi, sans aucune gêne.

“Dios mio…”

Même sortir ces deux mots est presque une torture avant que je n’éclate de rire, je ne peux rien y faire, c’était tellement jouissif qu’il m’était difficile de ne pas l’exprimer autrement. Et même maintenant, je n’arrive pas à rompre le contact, mes jambes restent emmêlées aux siennes sans que je ne puisse dire quelque chose.
À dire vrai, si la journée pouvait se terminer sur ça, j’aurais déjà eu une journée bien rempli. Mais ce n’est que le début ce qui peut être très dangereux avec cette femme fatale, car lorsque dès qu’elle pose le pied hors du lit et qu’elle a cet appétit de tigresse, j’ai tout intérêt à prendre des vitamines, mais honnêtement, je suis un petit veinard… Si seulement j’avais un peu plus de couilles pour lui avouer des choses qui me font peur…. Je secoue la tête, je ne devrais pas penser à ça, pas maintenant.

J’arrive péniblement à me redresser sur mes coudes et je ne peux pas m’empêcher d’avoir un sourire pervers en voyant Metz’, du moins, la vision totalement obscène qu’elle m’offre.

“Y si no ? ¿Qué opinas del desayuno? El día está ajetreado y sería una pena empezarlo con el estómago vacío.”



Pando
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MessageSujet: Re: El sol en nuestra piel [Feat Metz']   El sol en nuestra piel [Feat Metz'] EmptyMer 14 Fév - 0:06

El sol en nuestra piel 
Dans l'aube naissante, nos corps s'entremêlent dans une étreinte enflammée, où la lumière vacille entre pureté et ardeur, révélant les contours de notre passion dévorante, à même le sol. Chaque souffle est un cri étouffé, chaque caresse est une brûlure délicieuse qui consume mes sens dans un tourbillon de désir insatiable. A cette seconde, si on me demandait comment j'aime faire l'amour, je répondrais : exactement comme ça. Et c'est le sentiment qui nait, dès que cet homme, mon homme, se fond en moi.

Telle une allégorie de l'enfer de Dante, nos ébats sont une descente aux tréfonds du désir, une exploration des abysses de la luxure où nos âmes se perdent et se retrouvent dans un échange éperdu de plaisirs interdits. Chaque baiser est une déflagration, chaque mouvement est un coup de fouet qui me propulse vers des sommets de délectation inconnus. Il transcende mon corps, bouleverse mon âme, électrise chaque putain de cellule de mon corps et j'en réclame encore et encore, perclus d'extase.

Sous ses mains expertes, je me sens déchirée, écartelée entre l'extase et la folie, entre le feu et la glace. Chaque sensation est une décharge électrique qui parcourt mon être tout entier, faisant naître en moi des tourments indicibles, des cris de plaisir qui résonnent comme des malédictions dans l'air embrasé. Je me moque qu'on nous entende, mieux même, j'aime l'idée que mes cris de plaisir bercent l'hacienda, gouvernent notre monde. Quand il m'a proposé de le suivre, c'était une évidence, que je n'ai jamais regrettée et que je savoure en cette seconde, subissant l'ardeur de son bassin claquant contre le mien.

Je suis la vestale sacrifiée sur l'autel du plaisir, offrant mon corps en holocauste à la flamme dévorante de sa passion. Chaque friction est une incantation, chaque étreinte est un rituel sacré où nos corps se fondent et se confondent dans une danse macabre, dans un ballet de luxure et de perdition. Je me perds en lui, au moins autant que j'y renais... il est ma plus jolie chance, comme le seul être sur cette Terre capable de me faire perdre tout sens des réalités.

Les mots, ces obscénités divines, s'échappent de mes lèvres comme des blasphèmes, comme des prières profanées adressées aux dieux de la chair, adressées à une allégorie de l'amour qui dépasse nos corps terrestres pou nous fondre dans un tout qui me dépasse . Je suis l'ensorceleuse en proie à ses propres sortilèges, l'adepte égarée dans les méandres de la volupté, prête à tout sacrifier pour cet instant de plaisir suprême. Dans cette étreinte infernale, je suis sa reine déchue, la courtisane éperdue qui se livre corps et âme à son amant maudit. Il est le roi de mon corps, le prince de mes désirs... l'empereur de mon monde. Chaque sensation est un coup de poignard dans mes entrailles, chaque orgasme est une résurrection dans les bras de la damnation éternelle. Comment cela est il possible ? Que mon souffle se suspende, encore et encore, avant qu'il ne me tire un nouveau cri, me soutirant une vague de jouissance de plus... Toujours un peu plus loin, un peu plus fort, dans un cyclone d'orgasme qui n'a plus ni début, ni fin.

Et quand l'orgasme l'emporte à son tour dans un tourbillon de sensations, je sens mon être se dissoudre dans une extase indescriptible, dans un ravissement divin qui m'arrache des abysses de l'oubli. Sa main sur mon sein semble se refermer directement au centre de mon être et mon rire finalement vient se joindre au sien. En étincelles de joie qui crépitent dans l'air. Nous sommes des amants perdus dans les limbes de l'abandon et bordel ce que j'aime ça. Je bouge lentement, pour le regarder alors qu'il se redresse, un sourire ourlant mes lèvres. Dans l'étreinte fiévreuse de nos corps enlacés, j'ai trouvé un plaisir fou et si je me sens toute amollie par la passion, je ne m'en redresse pas moins à quatre patte pour avancer lentement et le rejoindre. Je pose la langue contre ses bourses, l'y étale et remonte lentement, en une douce caresse, du plat de ma langue, comme une dernière prière murmurée à l'autel de la passion. Je ne sais pas ce que je cherche de la perte absolue ou de la rédemption dans les bras de mon amant et ça n'a pas la moindre espèce d'importance. Dans une douce communion des âmes, errant dans les limbes de la tentation, martyre de ma propre passion, je viens doucement refermer les lèvres contre l'extrémité veloutée de son sexe. J'y cueille les dernières perles de sa jouissance, y trouve sa saveur mélée de celle de mon plaisir et j'ai un petit ronronnement de chatte satisfaite avant de relever un regard plein d'adoration sur lui. "Creo que eres la única comida que necesito, Juan Vargas." Il y'a du désir dans ma voix, mais ce n'est pas tout... loin... vraiment loin de là. Les mots ne sauraient traduire le trouble de mon âme, à moins que ce soit trop vertigineux pour que je m'y essaie ? Je l'ignore, je ne m'y risque pas. Je ne peux pas faire ça. Prendre le risque de tout perdre ? De le perdre ? Autant mourir... Et moi, ce que je veux, c'est vivre ! Profiter encore et encore de la vie à ses côtés. Quitte à vendre mon âme et tout le reste.



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MessageSujet: Re: El sol en nuestra piel [Feat Metz']   El sol en nuestra piel [Feat Metz'] EmptyVen 12 Avr - 17:20

El sol en nuestra piel 
ambiance --
Cette femme m’épuise, accepter la danse d’une vie avec elle, c’était se perdre dans un tourbillon fait de la lumière des lustres et de douce parures de soie d’une salle où une valse est jouée pour vous et elle, mais elle, oh mon Dieu, elle, dans ce tourbillon, elle est là, impeccable, envoûtante, le flou n’a pas d’emprise sur elle, impossible que vos yeux ne se détourne de son spectacle. Je la regarde, telle une chatte ou plutôt une lionne, satisfaite de sa chasse, revient enfin. Sa langue, qui revient cajoler mes bourses, me fait basculer la tête en arrière, je sais déjà ce qu’elle va faire et mon corps encore meurtri semble vouloir reprendre les armes.
Belle et fatale carnassière qui ne se contentant pas de ça, reviens sur ma hampe, je sens le dard de sa langue taquine, venir récolter ce qu’elle avait fait naître, ou plutôt explosé. C’était un pied absolu, elle savait que j’étais sensible, des frissons parcours tout mon corps et une supplique grogne au fond de ma gorge jusqu’à elle s’enroule, le serpent n’aimant pas la vertue, mais le vice d’une vie emplit de sève charnelle que d’ailleurs, oui, elle le pompe encore, une dernière fois, une dernière goutte. La chose qui par contre me fait redresser la tête, c’est sa phrase, je la regarde, là, vision obscène d’une femme à côté d’une queue encore affaibli d’une baise parfaite, oserais-je dire Madre de Dio, qu’on dirait une nonne devant le pilier érotique, luttant de sa passion dévorante pour une chimère obscène… Putain Met’z, succombe à ne plus pouvoir.


“Ay, creo que voy a envenenar tu comida para que te dediques totalmente a ella.” Je me penche pour venir capturer sa joue et la faire revenir lentement vers moi pour enfin l’embrasser, nos salives qui fusionnent, le goût sucré d’autres choses qui me donnent une furieuse envie de la reprendre, mais non, un instant de calme après cette première tempête.

Mes mains caressent ses courbes graciles sentant le picotement d’une peau qui après la chaleur d’une baise sauvage réclame celle d’une douce étreinte. Il m’arrivait parfois d’imaginer qu’une vie simple dans une petite cabane, sur une plage du Mexique serait la meilleure fin possible pour moi et toujours, lorsque je pensais à cette petite cabane, c’était Metz’ qui s’imposait, comme une évidence. Ha, les chimères sont parfois si agréablement lointaines… Je me force, dépose un baiser sur son front et j’en profite pour respirer l’odeur de ses cheveux d’un noir de nuit sans étoile, cette douce odeur.

“Pero para poder alimentarte tengo que alimentarme yo mismo y ahora me resultaría intolerable no satisfacerte siempre, querida. Vamos, te obligaré a venir conmigo... ¿Al menos?”


Je me lève, difficilement et la tire avec moi, je ne m’occupe même pas de ce qui peut bien arriver, qui pourrait nous voir, mais je ne vais pas me rhabiller pour l’instant, de toute façon, nous voir n’était pas si évident vu la hauteur… Les cris eux…
Je sens la résistance de Metz’ sur le sol, boudeuse, j’imagine mais je fais comme si de rien était, la laissant finalement sur le sol, non sans entremêlant nos doigts avant que je n’atteigne la terrasse avec la table et une coupe remplie de raisins qui me semble tout à fait délicieux. Je gobe le premier raisin avec un certain entrain, en vrai, comment ne pas être heureux de commencer une journée avec une femme si parfaite ? Bon, une journée entière à éclater le lit, mais ce ne serait pas vraiment sérieux. Je commence à me dandiner, offrant la vue de ma croupe à Metz’ et chantonne une petite chanson mexicaine.

Oui, au final, qu’est-ce qui pourrait mal se passer aujourd’hui ? Je m’offrirai peut-être un petit joint après le petit dej’, sale habitude que je “cache” à Metz’, entendez par là qu’elle ne m'a jamais fait la remarque, jamais lorsque je m’absente pour parfois fumer. Oh d’ailleurs, je me demande ce que ferait l’effet sur Metz’... Je rigole doucement, interrompant ma chanson en imaginant ça. S’il n’y avait pas des risques de prison pour moi, je dois dire que ce serait la deuxième meilleure vie que j’aimerais avec Metz’.



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