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Ah ! San Diego ! Cette ville emblématique de la Californie et de sa douceur de vivre. Un climat chaud, des plages sublimes à perte de vue qui bordent l'océan Pacifique. Difficile de ne pas succomber à son charme de carte postale, et pourtant ... Avouons-le, la belle photo sur papier glacé dissimule dans l'ombre de nombreuses rivalités. Au coeur de la ville un dilemme rode, Pick a Side or don't !En découvrir plus
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WebName : Lex / Claï Date d'inscription : 11/02/2023 Messages : 75Surnom : Ness, son prénom étant Vanessa Avatar & crédits : Liza Kovalenko & Hortek <3 Date de naissance : 23/05/1997 Age : 27Statut civil : Célibataire & Pansexuelle Occupation : Etudiante en dilettante, serveuse par obligation. Habitation : Un petit appartement à la bordure de la Jolla Rivalités : Non-participant
Sujet: Re: Jolie comme un bouquet de roses. // Alviness 2 Dim 2 Juin - 1:51
Alors que je la sens s'abandonner graduellement sous mes caresses, j'ai l'impression de toucher au paradis, son corps se tend et se cambre avec une grâce féline que je contemple avec fascination. Chaque frisson qui parcourt sa peau, chaque soupir qui s'échappe de ses lèvres enflamme davantage le brasier qui brûle en moi. Mes mouvements deviennent plus pressants, plus urgents, comme si je cherchais à fusionner avec elle, à ne faire qu'une avec cette femme qui occupe toutes mes pensées, qui enflamme tous mes sens. C'est étrange à ressentir, pourtant j'ai la vrai sensation que son plaisir devient doucement le mien.
Je sens ses mains bouger, ses doigts s'enfoncer dans mes cheveux, me guidant, m'encourageant à continuer, à explorer chaque recoin de son corps avec une dévotion extrême. Je suis totalement captivée par elle, par la douceur de ses gémissements, par la chaleur de son regard qui ne quitte pas le mien. Il y a une connexion entre nous qui transcende les mots, une complicité tacite qui nous lie dans cette étreinte passionnée. Mais dans cette connexion nous ne sommes pas seules et je sens le regard de Vigo peser sur nous, intensifiant l'atmosphère déjà tant chargée d'érotisme. Il est une présence silencieuse mais puissante, un témoin de notre passion débridée. Et à cet instant, je ne veux rien d'autre que le voir nous rejoindre, partager avec nous cette expérience hors du commun. Il se lève et je pousse un gémissement d'envie qui s'étouffe contre l'intimité d'Alya qu'il rejoint rapidement. Chaque pas qu'il fait vers nous semble charger l'air d'une tension électrique, d'une anticipation palpable. Quand il atteint la table de notre côté, je me redresse légèrement, mon souffle court et erratique. Je sens une nouvelle vague de désir m'envahir à la pensée de ce qui va se passer, de cette nouvelle dimension que nous allons explorer ensemble. Il prend le contrôle des lèvres d'Alya et je regarde ce ballet sensuel, fascinée, mes doigts s'agitant pourtant toujours au creux de son corps.
Il se trouve là, tout près, ma main libre s'enroule d'ailleurs à sa cheville, le pressant doucement, comme pour l'accueillir, alors qu'Alya est en train de le deshabiller. Elle révèle l'intensité de son désir et je couine de nouveau, arrachée à la caresse ardente que j'octroie à Alya par sa poigne sur ma nuque. Il fond sur ma bouche et ma langue se fait immédiatement passionnée en réponse à la sienne. Un baiser que j'ai l'impression étrange d'avoir attendu tout ma vie. Quand il m'abandonne pour revenir à Alya, j'ai le corps transi d'envie, le souffle quasi suspendu et l'âme tremblante. Alya laisse échapper un gémissement étouffé, et je sens son corps se tendre sous la nouvelle sensation, sous la puissance de nos caresses conjointes. Il dévore la beauté de son buste et je me trouve transcendée par la beauté de ce que je contemple. Je la regarde, nos yeux se rencontrent et je vois dans ses pupilles dilatées le même désir brûlant, la même impatience de partager cet instant unique.
Ensemble, nous continuons à explorer le corps d'Alya, nos mouvements se synchronisant naturellement, comme si nous étions en parfaite harmonie. Les soupirs d'Alya deviennent plus forts, plus désespérés, et je sens une vague de satisfaction m'envahir. Nous sommes trois maintenant, unis dans cette quête de plaisir absolu, et cela rend chaque sensation, chaque moment, infiniment plus intense. Il vient me rejoindre et sa langue se joint à la mienne contre le velouté du sexe d'Alya. C'est étourdissant, de l'embrasser ainsi, tout en donnant du plaisir à cette femme qui concentre toutes mes passions.
Je ne pense plus à rien d'autre qu'à la manière dont nos corps se complètent, dont nos désirs se nourrissent les uns des autres. La chaleur de nos étreintes, la douceur de nos baisers, l'urgence de nos caresses. Tout cela crée une symphonie parfaite, une mélodie enivrante qui nous transporte au-delà de la réalité, dans un monde où seul compte le plaisir, où chaque sensation est amplifiée, magnifiée. Vigo agenouillé à mes côtés, son bras s'enroule à moi et il vient chercher mon sexe de ses doigts. Je me tords en gémissant et j'écarte les jambes pour lui donner un accès plus complet à ma féminité. Mon bassin ondule et quand il me perce de ses doigts je danse à la rencontre de ses pulpes, me baisant littéralement et aprement sur ses doigts.
Et dans cette étreinte à trois, je trouve une nouvelle forme de plénitude, une extase qui dépasse tout ce que j'aurais pu imaginer. C'est un moment de pure magie, de pure passion, et je sais que jamais je ne pourrais l'oublier, je sais aussi que je ne pourrais pas m'en contenter. Je découvre une nouvelle dimension du désir, une intensité de sensations qui me laisse éperdue, tremblante de satisfaction et d'envie d'encore plus. Je sais que je veux plus, que je veux encore, que je la veux aussi fort que j'ai envie de lui. Quand il abandonne la caresse de sa langue pour venir planter les dents dans mon cou, c'est presque un rugissement qui nait dans ma gorge. Ma main se pose sur son torse, le caresse doucement, glisse et s'enroule finalement avec délicatesse. Je suis submergée par la chaleur vibrante de son désir, par la longueur veineuse éveillée d'envie. Chaque caresse est une promesse murmurée à l'oreille du vent, chaque frôlement un souffle d'éternité. La sensation de sa dureté contre ma paume m'envahit d'une onde de plaisir brut, tandis que ma langue s'agite délicatement sur le clitoris d'Alya, dessinant des arabesques de désir sur sa peau tendre. C'est un ballet sensuel où nos corps se répondent en harmonie parfaite, une symphonie silencieuse de soupirs et de gémissements. Le plaisir monte en crescendo, une vague puissante et inéluctable, emportant tout sur son passage. Dans ce moment suspendu, nous sommes trois étoiles filantes traversant l'infini, brûlant d'un feu sacré qui consume tout et illumine la nuit de nos passions entremêlées. Elle explose de plaisir et j'accompagne son orgasme en embrassant doucement sa peau, puis je me redresse, mes yeux féroces se plantant dans ceux de Vigo. Mes doigts le masturbent alors que je bouge, me décale, l'enjambe. Je colle mon dos contre son torse, bouge le bassin et son sexe se retrouve à coulisser lentement entre mes fesses. Je me cambre, agrippe ses mains, les guide sur mes seins. -"Je te veux... tellement fort... c'est presque douloureux." Quelques mots susurrés à même la peau de la cuisse d'Alya. -"Vous me rendez folle."
Vigo Lindell
WebName : Hortek Date d'inscription : 26/02/2023 Messages : 45Surnom : Hortek Avatar & crédits : Ben Hill - By me Date de naissance : 12/01/1985 Age : 39Statut civil : Célibataire Occupation : prêtre Rivalités : Black Templar (Secte)
Sujet: Re: Jolie comme un bouquet de roses. // Alviness 2 Ven 7 Juin - 23:45
Je suis passé par l’enfer. Par la douleur. Aussi bien physique que mentale. J’ai subi des choses terrifiantes et dévastatrices. J’ai appris à être fort, implacable et voilà où j’en suis… Je me fourvoie. Je me suis fait identifier comme un bleu par deux femmes qui… M’attirent terriblement. J’ai beau jouer le détachement et le calme, il n’en est rien. C’est bien simple depuis la mort de Laslo je ne me reconnais plus… Je doute. Je doute des décisionnaires. Du bien fondé de mon ordre. De la raison de nos actions… Je doute de mon engagement et alors que je termine d’embrasser Alya je croise le regard de Ness et j’ai un frisson de délice qui m’envahit. Je la veux. Je crois même que je pourrais tuer pour l’avoir. Cette pensée me tord le ventre. Je regarde Alya et je réalise que si quiconque en dehors de Ness avait osé toucher son corps, je lui ôterais la vie sans hésiter. Mes propres pensées me trahissent. Je suis en train de vriller salement et sans le réaliser je suis venu me place près de Ness. Je l’embrasse et ensuite, nous attaquons Alya avec entrain. Je dévore cette femme sage qui sombre dans les méandres de son propre désir. Elle n’assume pas vraiment l’amour qu’elle porte à Ness et je suis un homme d’Église pour elle. Et pourtant aucun geste de recul. Elle s’abandonne à nous bien trop contente de la tournure des évènements. Je me tiens un peu derrière Ness et alors que nous nous appliquons à lécher le sexe d’Alya ma main rampe sur elle et trouve son sexe. Je m’occupe de l’accabler avec force pour enfin lui rendre la monnaie de sa pièce. J’ai dû rester sage bien trop longtemps en sa présence et maintenant je veux la rendre folle. Je veux lui montrer ce que ça signifie de me chercher comme elle l’a fait… Son bassin ondule contre mes doigts alors que nos langues se rencontrent parfois sur le sexe d’Alya.
Mais j’ai faim d’elles et alors que Ness est contre moi, je délaisse le sexe d’Alya et plante mes dents dans le cou de Ness avant de saisir un de ses seins de ma main libre et de le maltraiter en écho à ce que mes doigts font entre ses cuisses. Sa main glisse dans son dos et elle vient saisir mon sexe qu’elle caresse. Puis Ness s’agite et Alya jouit. Elle explose et Ness la cajole avant que cette dernière ne me repousse. Nu près d’elle je la sens venir me présenter son dos, guider mes mains et onduler. Tremblant et excité, je regarde Alya cuisses ouvertes, le sexe luisant et pulsant de plaisir, nous regarder d’un regard vitreux. Ness déclare qu’elle me veut. Elle me décrit la sensation et alors qu’elle ondule ses fesses contre mon sexe, si j’avais encore une once de résistance, elle vole littéralement en éclat. Ness déclare qu’on la rend folle et se penche, venant placer son visage à l’intérieur de la cuisse d’Alya… Je décide d’abandonner ma raison et me redressant, je saisis mon sexe que je guide dans sa remontée. Je trouve le sexe de Ness et mon gland force le passage de ses lèvres intimes. Je trouve l’entrée de son corps et d’une pousse simple je l’envahis d’un soupir exalté. Je la sens dans toute sa perfection. Je n’ai placé aucune protection entre nous. Je n’en veux de toutes façons pas. Je veux sentir cette femme sur toute la longueur de mon sexe.
Je recule mon bassin et le plaque d’un coup vif contre ses fesses la retenant par les hanches alors qu’elle ponctue mon attaque d’un cri de plaisir. Je m’agrippe à ses hanches et la tient en place pendant que je l’assaillis sans relâche. J’ai même tendance à l’attirer vers moi quand je me pousse vers l’avant et tremble de plaisir. Le sexe de Ness est un foutu délice. Elle est… Merveilleusement douce et les sensations que je ressens sont divines. Je dévore son corps du regard réalisant que si sa silhouette dans cette posture est à tomber, je sais que je fondrai littéralement sous son regard.
C’est alors que je semble réaliser qu’Alya nous regarde. Je n’ose pas la toucher, mais mon regard se visse au sien. Elle est étourdissante. Et alors que j’accable Ness de mes assauts, je libère une main et tire les cheveux de Ness pour lui forcer à lever le menton et regarde Alya. La jeune femme nous fixe, légèrement rougissante encore de son orgasme et je me plais à baiser Ness devant elle. J’aime son regard sur nous et ses yeux qui vont de Ness à moi la laissant libre de nous regarder ou de venir plonger délibérément avec nous dans la luxure et le vice. Je mets toute ma vie et toute ma raison de côté le temps d’une nuit de plaisir. Libre à elle de plonger avec nous ou de juste nous regarder. Mais une chose est certaine… Ce soir je n’ai aucune limite…
Alya Flores
WebName : Caro' Date d'inscription : 27/02/2023 Messages : 81Surnom : Aly Avatar & crédits : Taylor Hill & Co Date de naissance : 22/02/1997 Age : 27Statut civil : Célibataire Occupation : Les jeux ; les livres ; les sorties en compagnie de son frère
Sujet: Re: Jolie comme un bouquet de roses. // Alviness 2 Mar 18 Juin - 15:13
❝ Jolie comme un bouquet de roses ❞
- Alya Flores & Vigo Lindell & Ness Calloway -
Il est parfois bien difficile de lutter contre ces propres envies, parfois on en oublie l'enjeu
Ce que tu ressens quand elle te touche, tu as autant de mal à l’assumer qu’à l’expliquer. Ness est une pierre précieuse que tu as découverte en arrivant aux Etats Unis. Tu étais venu pour voir ton frère, pour profiter de lui et tenter d’oublier ce qui te faisait tant de mal dans ton pays natal. Tu étais venu retrouver et combler ce manque que tu ressens comme chaque fois qu’il se trouve loin de toi, puis elle est apparue. Il n’y a pas eu que son physique qui t’a interpellé. Femme ou homme, Ness est en mesure de faire se retourner et envouter la terre entière si elle le souhaitait. Non, il y a eu sa personnalité aussi, cette manière bien à elle qu’elle a de vous faire vous sentir unique au monde et merveilleuse. Il t’a suffi de passer quelques minutes à ses côtés pour comprendre que tu ne pourrais décemment pas t’arrêter à un petit moment, et rien d’autres. Elle s’est frayée un chemin pas juste dans ton univers mais dans ton cœur, te comprenant sur certaines de tes confidences, te réconfortant sur d’autres, et menaçant certaines personnes de les rayer de la surface de la terre sur quelques autres encore. Si tu ne l’avais jamais envisagé c’est juste que tu étais trop focus sur tes erreurs, sur tes relations passées, sur le fait que pour toi tu ne pouvais aucunement aimer une femme autant qu’un homme. Et puis, Ness t’était fidèle en amitié mais tu connaissais ses confidences sur le fait de n’éprouver aucun désir de se poser avec une seule et unique âme. Est-ce cela qui a fait que tu ne l’avais jamais envisagée ? Peut-être, ou peut-être que tu te cherches juste des excuses pour justifier le fait qu’encore aujourd’hui tu es incapable de savoir ce que tu veux, et attend d’elle. Tu ne veux pas d’une relation exclusive, toi qui n’as jamais été une femme volage. Tu ne veux pas d’histoires d’amour avec elle, et pourtant tu ne supportes pas que quelqu’un d’autre pose les mains sur elle, ou capte son attention. Tu refuses de vous laisser porter par ce qui semble être une attirance extrême, une alchimie parfaite, et pourtant tu réponds à la provoque de ce type d’église, en utilisant les pulsions de Ness à ton égard. Depuis le mariage tu es totalement perdue… Mais tu pourras dire et trouver toutes les excuses que tu veux, tu es éperdument incapable de résister à la passion et la magie qui éclate dans ton corps et dans ton âme, lorsqu’elle te touche. Cette connexion entre toi et elle, est purement inexplicable et lutter contre elle devient tout bonnement impossible.
Habituellement tu détestes qu’un homme ou une femme s’approche trop de Ness, tu détestes ces petits jeux qu’elle leur lance pour tout simplement les séduire, les rendre addictes d’elle. Tu détestes, et ce n’est pas une mince à faire que de te l’avouer, qu’elle cesse de te porter de l’attention. Tu hais plus que tout de ne pas être l’objet de son attention. Et tout cela tu le gardes enfouit en toi depuis que quelques brèches de tes réactions s’imposent à toi, et t’oblige à comprendre ce que tu ressens. L’homme qui t’a sauvé la vie, Vigo est pourtant là. Il est là, il te regarde mais la regarde aussi elle. Dans ces yeux, il n’y a pas grand-chose à voir, à ressentir, il est une perfection de ce qu’on appelle un bluffeur. Un homme capable de masquer tout ressenti. Et pourtant face à elle, face à toi, allongée sur cette table à deux doigts d’exploser sous la bouche de ta meilleure amie, tu peux lire de la manière la plus claire qui soit le désir qui le consume. L’espace d’un instant alors qu’il t’abandonne après t’avoir embrassée, et s’octroie la bouche de Ness, la vision de ses lèvres qui l’embrasse te fait frissonner. Pas de rancœur, pas de possessivité ou de sensation déplaisante. Non. Les voir ensemble faire ça, te plait aussi bizarre que ça puisse être. Tu les observent revenir à toi, entre tes cuisses et s’assurer d’y mettre le feu. Leurs langues se mêlent à une danse érotique qui manque de faire flamber tout ton corps. Tu sens ton corps s’étire, s’arquait sous les puissances sensations qu’il t’arrache. Vigo s’extirpe de ce baiser et se déplace derrière Ness, ton corps est en feu, ta tête menace d’exploser et pourtant, tu ne quittes pas un seul instant la scène de ces deux amants qui se cherchent. Tu vois le regard de ton amie brillé plus fort alors qu’il semble que la main de Vigo s’échappe hors de ton champs de vision entre ses jambes. Et brusquement elle gémit, et tu sens que ça en est trop. Tu ne quittes pas leurs silhouettes des yeux, tes paupières devenant lourdes de plaisir. Ton orgasme finit par avoir être victime des caresses charnelles de sa langue. Tu exploses de manière abrupte et passionnée. Ta main se raccroche à la seule chose qu’elle trouve, ses boucles que tu resserres entres tes doigts. Ton cri raisonne et tes iris se perdent jusqu’à ce qu’elles soient rattrapés par l’obscurité d’un regard gris. Ness se décale et écarte les cuisses alors que Vigo s’est agenouillé juste derrière elle et que la posture laisse à suggérer l’emboitement parfait afin qu’elle puisse le baiser avec un désir sans retenu. Ta respiration est éprouvée, ton cœur bat follement alors que tu te redresses pour en observer ce spectacle depuis ton endroit plus en hauteur. La bouche de Ness embrasse ta cuisse articulant qu’elle vous désire, et ta main vient lui caresser la joue, ton pouce étreignant sa lèvre inférieure alors que ta bouche s’entrouvre à l’instant où Vigo la pénètre et l’oblige à te regarder. Tu oublies qui il est… Qui elle est… Tous ce que tu vois ce sont deux êtres foutrement attirants et qui sont en mesure de te faire ressentir des choses que tu n’as strictement jamais imaginé même pas dans tes rêves les plus fous.
Vigo s’insère en elle et tu es incapable de détourner les yeux et laisser gouverner cette gêne qui normalement te pousserait à détourner les yeux voir même à quitter la pièce. Non, tu observes tout, mémorise le rythme, la cadence et la force que Vigo mobilise pour procurer du plaisir à Ness. Délicatement tu descends de cette table, tes yeux revenant à elle qui vient d’abandonner un cri de plaisir. Elle est magnifique clouée au silence par des émotions qui la dévaste. Tu glisses ta main dans ses cheveux en t’agenouillant face à elle, en amenant sa bouche contre la tienne. Tu ne sais plus bien ce que tu fais, tu fonctionnes à l’instinct et ton instinct te dicte de ne pas t’éloigner d’eux. Ta bouche s’ouvre sur ses lippes, ta langue se glisse contre sa lèvre inférieure. Ta main tire sur ces cheveux pour l’obliger à pencher la tête et le bleu de tes iris viennent s’ancrer dans la froideur de l’acier. Ta main libre vient délicatement caresser sa poitrine et tu sens la chaleur qui se diffuse de nouveau en toi face à cette connexion.
Ce soir, les limites disparaissent, ce soir tu te moques de qui sont les personnes face à toi. Ce soir, tu veux oublier qui vous êtes, les convenances et tout le ramassis de conneries qu’on vous oblige à respecter. Ce soir, tu veux faire l’amour avec une déesse, et désirer un démon jusqu’à ce qu’il dévore ton âme.
WebName : Lex / Claï Date d'inscription : 11/02/2023 Messages : 75Surnom : Ness, son prénom étant Vanessa Avatar & crédits : Liza Kovalenko & Hortek <3 Date de naissance : 23/05/1997 Age : 27Statut civil : Célibataire & Pansexuelle Occupation : Etudiante en dilettante, serveuse par obligation. Habitation : Un petit appartement à la bordure de la Jolla Rivalités : Non-participant
Sujet: Re: Jolie comme un bouquet de roses. // Alviness 2 Sam 7 Sep - 20:30
Je danse, délicatement, contre son sexe, le faisant coulisser entre mes fesses, ressentant sa longueur pulsatile. Mes seins se tendent, et je suis presque suffocante. Il bouge, se guide et... je découvre un plaisir aux nuances d'éternité. Il se plante en moi, de toute sa longueur, son sexe semblant moulé aux dimensions du mien. La violence de cette sensation fendille toutes mes défenses et quand il fait claquer son bassin contre mes fesses, je ne peux retenir un cri de plaisir.
Il tire sur mes cheveux, me cambre plus encore et je me retrouve les yeux ancrés dans ceux d'Alya. J'y trouve l'écho de mon propre état, la même langueur fiévreuse, ce trouble qu'elle doit au plaisir qu'on a fait chanter dans son corps. Les vagues de plaisir continuent de déferler en moi, chaque mouvement de Vigo au creux de mon corps est une ode à la volupté, une danse folle et effervescente qui m'emporte graduellement au bord de l’extase. Si vite ? C'est fou, mais j'ai la sensation écrasante qu'il écrase chaque point sensible de mon intimité, à chaque fois qu'il s'y plante. Alya se lève, déesse sublime au corps de nymphe, elle me regarde et je crois qu'elle peut lire dans mes yeux une forme d'adoration désespérée. Elle vient s'agenouiller devant moi et nos corps s’entrelacent comme des lianes dans une forêt enchantée, où chaque souffle, chaque caresse devient une mélodie enivrante, une symphonie des sens. Elle m'embrasse, lie son essence à la mienne tout comme le fait Vigo. Je le sens si fort en moi, une présence ardente qui électrise l’air, ses mains devenant les architectes de mon plaisir, sculptant chaque frisson, chaque gémissement avec une précision exquise. Il tire... sur mes hanches, que je sente d'autant plus fort la vigueur avec laquelle il me comble.
Ma peau, tremblante, se gorge d’une nouvelle chaleur, chaque frôlement du sexe de Vigo contre les parois du mien est une caresse divine qui m’entraîne dans un tourbillon de sensations. Le rythme de mon bassin, s'adapte au sien, y répond instinctivement, comme si j'avais toujours été sienne. Chaque mouvement semble orchestrer une danse cosmique, et quand je réponds au baiser d'Alya j'ai le creux du corps pulsant au rythme de notre passion collective. Chaque vague de désir nous poussant plus loin dans les abîmes de l’extase, je couine, contre ses lèvres en sentant ses mains sur moi, j'agrippe son corps, l'attire plus près. Je sens les mains de Vigo explorer ma peau, chaque contact est un éclat d’étoile dans la nuit noire de cette union. Alya putain ! Sa peau contre la mienne est une caresse de soie, chaque mouvement un murmure d'éternité. Je la caresse de nouveau, presque forcenée, captant le galbe d'un sein et glissant mes doigts en petits cercles sur son bouton de plaisir.
Le plaisir d’Alya se propage comme une onde dans un lac tranquille, ses gémissements sont les échos d’un rêve éveillé, des éclats de lumière dans un ciel nocturne. J'en veux encore ! J'en veux plus ! Je la veux elle, je le veux lui. Je veux me fondre en eux et oublier tout ce qui n'est pas leur contact. Lorsque le corps de Vigo se meut contre le mien, il devient l'instrument de ma perte dans l'infini de l'orgasme. Les doigts d’Alya, encore empreints de l'empreinte de notre étreinte, se glissent doucement contre ma peau, dessinant des arcs d’émerveillement qui me font frissonner. Sa présence est une douce mélodie, un écho envoûtant dans la danse passionnée que nous partageons. Je ne sais plus qui me touche, qui m'accable, je les veux tous les deux, je ne pourrais dire ce qui enchante mes sens de sa vigueur et de sa douceur. Ils sont un tout, le mien, univers ardent d'une passion paienne.
Les vagues de plaisir se rejoignent, se mélangent dans un tourbillon extatique. Je me cambre, le souffle court, me perd dans les sensations qui m’envahissent. Chaque gémissement, chaque soupir est une célébration que j'offre à la divinité de ses corps qui bordent le mien. Je me redresse, mon corps se colle plus fort encore contre celui de Vigo, le désir est une flamme vive qui vient de dévorer mon être. Je me sens comme une étoile filante, consumée mais refusant de s'éteindre. Je ne peux pas perdre cette connexion sublime, j'en mourrais. Mes doigts se referment dans les cheveux d'Alya et je l'attire à moi, je lui fais presque boire les soupirs de plaisir que l'orgasme me soutire. Ma langue exige son abandon, sa passion, mon corps mendie sa tendresse, son amour, mon âme chante à la rencontre de celle de l'homme qui me foudroie de plaisir. Je suis subjuguée, offerte, totalement tremblante, ma main gauche se tendant en arrière, cherchant le contact de Vigo. J'ai besoin de son contact... encore... plus ! Ils sont les maîtres du plus beau des empires, celui de la volupté.
Alors que je m’abandonne complètement à leur pouvoir, je crie, je murmure, je hurle que je suis à eux. En tout cas c'est ce qui se produit dans le creux le plus secret de mon être. Ils sont les souverains de cette nuit, les seigneurs de mon plaisir, et moi, si fière et conquérante, je crois que je pourrais me réjouir de vivre à leurs pieds. Conquise, je suis à eux, en adoration comme en extase, âme renaissante comme le phénix ardent qu'ils viennent de faire de moi. -"Serre moi... serre moi... Embrasse moi..." J'exige de l'une comme de l'autre, je suis ballotée par l'ouragan nommé plaisir et je crois que ça se traduit jusque dans ma voix.
Vigo Lindell
WebName : Hortek Date d'inscription : 26/02/2023 Messages : 45Surnom : Hortek Avatar & crédits : Ben Hill - By me Date de naissance : 12/01/1985 Age : 39Statut civil : Célibataire Occupation : prêtre Rivalités : Black Templar (Secte)
Sujet: Re: Jolie comme un bouquet de roses. // Alviness 2 Jeu 19 Sep - 23:05
Je ne suis pas joueur. Je ne suis pas faible et jamais je ne foire une mission. Et ces deux-là… Elles me font déjouer. Elles me font fauter. Je me suis exposé. J’ai mis ma mission et mon rôle en danger parce que je refusais de laisser Alya se faire violer. Puis j’aurai dû les éliminer. Je devrais le faire pour protéger l’ordre et le secret. Mais j’en suis incapable. Parce que même si mon regard est impénétrable et froid, derrière l’onde calme de ce lac insondable c’est une tornade, une tempête, un cyclone qui sont en train de me ravager. Ces femmes… Ces femmes ont un pouvoir qui me met à mal et j’ai envie, non… J’ai besoin de céder à cette pulsion. À ce désir. J’en ai marre de devoir faire ce qui se doit alors que je doute. Ce soir j’ai envie de me faire plaisir à moi. J’en ai marre de lutter contre le désir. Marre de me retenir alors que Ness est en train de frotter son cul contre mon sexe raide. Marre de voir Alya nue me contempler et rester sage et détaché. Je me plante dans le corps de Ness et l’agrippe par les cheveux. Elle m’a provoqué. Elle pensait avoir affaire à un prêtre. Peut-être me découvrir, s’émouvoir de mon inexpérience. Je m’attaque à elle avec plaisir et passion. Je mesure toute l’intensité de cet instant dans le regard d’Alya qui nous contemple et réalise que je suis nu dans le corps de son amante. De la femme qu’elle aime. Oh oui j’ai vu ce regard il ne trompe pas malgré la peur qui le teinte. La peur de s’engager. D’aimer envers et contre tout.
Je tremble à chaque va-et-vient agrippé aux cheveux de Ness. Son sexe semble avoir été moulé pour le mien. Elle me caresse tellement bien, tellement intensément que chaque poussée est plus difficile et intense que la précédente. J’ai la sensation qu’elle me masse à chaque mouvement avec ses muscles internes. C’est un enfer savoureux de me plonger en elle encore et encore. Alya ne reste pas sage et vient s’attaquer à son amante et amie l’embrassant et la caressant me jetant des regards brulants et puissants. Bordel je crois que je pourrais passer la nuit à passer de l’une à l’autre. Je crois que j’oublie mon âge, j’oublie que je suis un vieux machin et qu’elles sont mille fois trop bien pour moi. Je suis un dieu comblé par deux déesses. J’ai de nouveau 20 ans. Je ne pense à rien d’autre que le plaisir que je prends à sentir mon sexe comblé de douceur par une Ness ardente et vibrante. Je glisse mes mains sur elle et la dévore de mes mains gourmandes qui vont chercher sa peau avec délice. Je tremble et soudain j’entends sa supplique. Je prends le poignet d’Alya et la lève pour qu’elle s’écrase contre Ness que je redresse. Debout tous les trois, nous écrasons Ness entre nous et je continue de la prendre par derrière tenant Alya nue contre nous. J’embrasse Ness avidement avant de la tourner vers son amante et de les laisser s’embrasser alors que je me délecte de les contempler, échanger ce baiser pendant que je bouge mon bassin accablant Ness comme je peux.
Je décide de venir glisser une main entre elles et pince le clitoris de ma victime en la martelant sans retenue. Je veux la faire jouir. Je veux que l’orgasme la prenne pendant qu’elle embrasse Alya. Mais alors que j’espère avoir fait crever Ness de plaisir, je réalise que je ne veux pas en rester là. Je me retire de Ness et tout raide, je viens m’immiscer en elles et embrasse Alya. Je la repousse et quand ses fesses trouvent la table, je l’assois dessus et ouvre ses cuisses avec envie. Je coupe le baiser et la pousse pour qu’elle s’allonge sur la table. Je la regarde dans les yeux au moment ou je m’enfonce en elle tout raide et luisant de la mouille de Ness. Je tremble et me tourne vers la jolie Ness que j’attire. Je prends sa bouche en la serrant contre moi. Je me mets à marteler Alya pendant que ma bouche danse avec celle de Ness. Je tremble et d’une main mon pouce masse le clitoris d’Alya qui encaisse mes assauts et ma main libre arrive entre les cuisses de Ness pour lui infliger des va et viens de mes doigts suivant la cadence de mes assauts sur Alya… Je ne suis plus qu’une boule de feu dévorante et je ne contrôle plus mon corps. Je suis en train de sombrer dans la folie et la folie porte leurs noms et leurs visages… J’adore ça…
Alya Flores
WebName : Caro' Date d'inscription : 27/02/2023 Messages : 81Surnom : Aly Avatar & crédits : Taylor Hill & Co Date de naissance : 22/02/1997 Age : 27Statut civil : Célibataire Occupation : Les jeux ; les livres ; les sorties en compagnie de son frère
Sujet: Re: Jolie comme un bouquet de roses. // Alviness 2 Dim 6 Oct - 10:05
❝ Jolie comme un bouquet de roses ❞
- Alya Flores & Vigo Lindell & Ness Calloway -
Il est parfois bien difficile de lutter contre ces propres envies, parfois on en oublie l'enjeu
L’instant est suffoquant, d’une sensualité à t’en tordre le corps, d’une animosité à t’en faire frissonner, d’une beauté à t’en couper le souffle. Ton esprit semble s’être mis sur pause, oubliant tous ce qui fait de toi, toi. Ta pudeur, ta fragilité, ta naïveté font partie de ton tempérament et pourquoi l’instant présent n’inspire aucun de tes traits de caractère. Ness est là, ta meilleure amie, celle qui depuis quelques temps n’est plus uniquement que cela, sans que tu ne saches vraiment ce qu’elle est. Depuis le mariage de Rose, c’est… le trouble. Tu as succombé à ses charmes, à ses avances alors même qu’elle avait une petite amie. Tu as succombé en pensant le regretter mais les jours et semaines passants n’ont fait que te prouver qu’elle te manquait, même lorsque tu passais du temps avec elle, elle te manquait. Tu as tenté de garder tes pensées secrètes ; d’oublier ce qui s’est passé entre elle et toi, de peur que ça ne brise tout. Et après cette dispute dans ce club, où un drame aurait pu se jouer tu peines encore plus à cacher ce que cette déesse éveille en toi.
Regardez là… D’une beauté à couper le souffle, d’un charisme à faire rougir n’importe qui. Ce caractère plein d’impertinence et ses iris océaniques qui vous donne le tournis, empreint de promesses érotiques. La regarder c’est comme regarder le paradis dans le fond des yeux. Ce paradis qui t’hypnotise alors que le corps de Vigo derrière elle enchaine les coups de butoir. Tu as oublié qui, il était lui aussi. Il y a plus de meilleure amie ou de Padre. Non… Il y a une divinité et un roi et, chacun d’eux te donne des envies d’interdit plus fort de secondes en secondes. Tu descends de cette table depuis laquelle tu reprenais pieds suite à ton orgasme. Tu approches d’elle qui suffoque délicieusement à chaque fois que le membre de Vigo impose sa présence. Sa poitrine sautille à chaque coup et ton regard prend une teinte plus affamée en fixant la scène. Tu t’agenouilles revenant à sa hauteur pour prendre sa bouche et boire ses souffles d’agonie. Elle est belle… L’intensité de tes yeux se fait plus pétillantes, alors qu’elle vient à te caresser et à titiller les braises qui venaient de se calmer en toi. Tu lui souris, passant ta main contre sa joue alors que l’une de tes mains glissent contre son corps pour venir la caresser en rythme avec celui de Vigo. Tu bois ses cris, ses gémissements et certains t’en arrache même à toi, tu mordilles sa lèvre inférieure en chuchotant.
- Ce que tu es belle, Ness.
Ses iris se perdent alors que son souffle s’accélère, tu devines sa jouissance proche et tes doigts s’adaptent à l’instant pour la pousser à grimper plus haut, histoire que son vertige soit plus profond encore. Ton bassin ondule contre sa main, mais c’est trop tard. Tu veux la voir dépérir. Vous vous redresser dicté par un Vigo maître d’un jeu sensuel. Ta main contre l’intimité de Ness lui laisse la place alors qu’il accentue les coups. Tu veux lire dans ses yeux comme Vigo la comble, la tourmente et l’achève. Et à l’instant où son orgasme la saisit, tu attrapes sa nuque et l’oblige à crier contre tes lèvres. Ta bouche capturant ce qu’il lui a arraché. Tes yeux se tournant vers ton sauveur. Celui sans qui, tu ignores quelle issue aurait été la tienne. Tu embrasses Ness avec une passion folle et ton regard fait en sorte de séduire celui qui ne devrait sans doute pas prendre autant son pied. Ness s’accroche en glissant sa main en arrière et alors que son bassin continue de baiser ton amie, tu abandonnes la bouche de la déesse pour te saisir de celle du roi. Abandonnant un gémissement à l’électricité qu’il diffuse en toi, c’est à la fois piquant et vivace. Tu écrases le corps de Ness contre le lui, t’y pressant. Le contact de sa peau affole tes sens, comment tu réussis à lutter au quotidien à cela tu l’ignores, quoi qu’il en soit on t’oblige à reculer. Vigo a reporté son attention sur toi, et le gris de son regard fait trembler ton corps de la tête au pied alors que tu recules jusqu’à ce que tes fesses rencontrent de nouveau le rebord de la table. Ses lèvres sont autoritaires et ta main se pose sur sa joue pour l’effleurer alors qu’il t’impose de t’allonger et que brusquement la raideur de son membre vient s’emparer de toi. Ton corps se voute en une ondulation sensuelle, alors que tes iris le regardent et que tu repères la déesse aux cheveux d’abysses s’approcher et prendre ton relai sur la bouche de Vigo. Ton corps ne t’appartient plus, chaque toucher, chaque baiser, chaque coup de butoir est un pas de plus vers un Nirvana qu’il contrôle. Tes souffles portent leurs noms, pas plus l’un que l’autre, ils sont nécessaires tout les deux à t’amener à atteindre les sommets. Tu couines alors que le membre de Vigo manque de te faire défaillir à chaque poussée. Ils s’embrassent, il la masturbe en même temps qu’il le fait pour toi, et pas une seule pointe de jalousie n’émerge de son action.
- Je… Je… Oh, vous n’avez pas idée de ce que vous me provoquez…
Tu fais couler tes mains sur ton corps, tes cheveux, tes seins. Tu as chaud, froid, tu sens le vertige guetter et alors qu’un ultime frisson te parcourt, Ness abandonne un soupire contre les lèvres de Vigo et brusquement tu sens la bascule. Ton corps se voute, ton intimité se contracte, l’air s’échappe, et des étoiles recouvrent ta vision comme des centaines de lumières illuminant ton âme. Tu n’as jamais connu cela et tu as bien peur de ne pas réussir à oublier la moindre particule de chaleur régnant entre vous trois. Si l'enfer possède leurs couleurs alors tu y plonges, en oubliant tout le reste.
WebName : Lex / Claï Date d'inscription : 11/02/2023 Messages : 75Surnom : Ness, son prénom étant Vanessa Avatar & crédits : Liza Kovalenko & Hortek <3 Date de naissance : 23/05/1997 Age : 27Statut civil : Célibataire & Pansexuelle Occupation : Etudiante en dilettante, serveuse par obligation. Habitation : Un petit appartement à la bordure de la Jolla Rivalités : Non-participant
Sujet: Re: Jolie comme un bouquet de roses. // Alviness 2 Jeu 7 Nov - 14:43
Nos corps se mêlent en un enchevêtrement brûlant, où chaque toucher, chaque baiser devient une caresse céleste, comme si des forces cosmiques avaient réuni nos âmes pour une seule et unique danse. Qu'importe ! Si ce moment ne devait plus jamais se reproduire je m'en fous, je veux le vivre avec force, sans la moindre limite. Je veux me repaitre de leurs corps, de leurs caresses, de ces épidermes qui agitent le mien de myriades de sensations extatiques. Les mains de Vigo, fermes et passionnées, me guident dans ce monde aux frontières du tangible, là où le désir s’épanouit en vagues incessantes. Avec chaque mouvement de son corps, c’est une nouvelle fissure dans les remparts de mon contrôle ; je me perds, je chavire, je brûle et j'en redemande. Je veux qu'ils se perdent avec moi, en moi, sans espoir de retour. La puissance de ce que je ressens m'enivre et me terrorise tout à la fois. Comment pourrais je encore être la même après ça ?
Mes doigts s'enroulent dans les cheveux d’Alya, et tandis qu’elle se presse contre moi, son souffle glisse sur ma peau tel un vent chaud d’été, ses lèvres effleurant les miennes, me laissant un goût d'éternité. Je la veux, pour toujours... je ne sais pas lui dire, je ne peux plus rien dire... alors je me contente de la dévorer d'un regard noyé, me gorgeant de sa beauté. Cette femme est à la fois mon paradis et mon enfer, celle pour qui je renoncerais au monde, celle qui refuse de me laisser être le sien. Je l'aime, pas seulement comme une amie, je le sais depuis cette nuit là... mais je le ressentais déjà bien avant. Ses caresses sont une douce torture, une symphonie qui s’insinue dans chaque parcelle de mon être, m'abandonnant aux vagues de plaisir. Chaque frémissement, chaque soupir échangé est un vers d'un poème ancien, une ode dédiée aux plaisirs les plus profonds, les plus secrets. Elle s'élève, telle une déesse parée d’une aura de mystère et de tendresse, et dans ses yeux, je vois l’infini, le miroir de mon propre désir. Elle est tout ce que je désire, ce qui me comble et la voir ainsi, ravagée par le plaisir qu'on lui a donné, alors que cet homme me prend, alors qu'il s'infiltre sous ma peau pour la marquer à jamais... c'est une expérience hors du temps et de l'espace. J'abandonne toute notion de raison, je ne suis plus que ce corps ravagé de plaisir, cette âme qui cherche à se mêler aux leurs.
Vigo nous enveloppe, devient notre centre, notre ancre, et lorsque son corps fusionne avec le mien, il ne reste rien du monde extérieur. Nous sommes une constellation éphémère dans la nuit, un éclat de lumière ardente, vivant au rythme de nos propres battements, sans plus de barrières, sans plus de frontières. Sa vigueur et son souffle brûlant transforment chaque instant en un feu d’artifice intérieur, chaque poussée un appel envoûtant à plonger plus profondément dans cette étreinte, à abandonner toute mesure, toute pudeur.
Alya me regarde, ses mains glissent sur moi avec une douceur qui contraste délicieusement avec la puissance de Vigo, et nos corps se répondent, se cherchent, se possèdent. Elle m’enlace comme les branches d’une liane s’enroulant autour de son tronc, et je ressens en elle cette force douce et inébranlable, une promesse muette, l'écho de mon désir d’éternité. Elle dépose un baiser fiévreux contre mes lèvres, et nous formons un triangle parfait d’amour et de désir, un royaume éphémère où nous sommes seuls maîtres. A moins que j'y sois leur esclave volontaire ? Moi ? Pourtant si fière ? Oui je le pourrais, si c'est là ce qu'ils veulent. Je suis à eux, je les rêve à moi et je tremble dans les bras de Vigo, comme dans ceux d'Alya, la frontière de nos peaux n'a plus le moindre sens, qui me caresse, comment? Quelle importance ? Je vibre et suffoque.
Le plaisir grandit, monte, se mêle à nos soupirs comme une mer en furie, prête à déborder. Chaque mouvement de Vigo en moi est une onde qui traverse mon corps, m’emportant, m’engloutissant dans les vagues brûlantes de l’extase. Nos corps ne sont plus que des instruments, des vaisseaux voués à exprimer cette symphonie brûlante de nos âmes. Je sens ses mains glisser sur mes hanches, m’ancrant davantage, me liant plus intimement encore à lui, comme si nous n’étions qu’un seul être, une seule âme divisée pour se retrouver dans cet instant sublime.
Mes doigts caressent les courbes d’Alya, explorent sa peau veloutée, ses soupirs me guident, m’enivrent, et je me perds dans la chaleur de son étreinte, dans la musique que forment nos corps unis. Un murmure échappe de mes lèvres, une supplique silencieuse, un élan brut d’abandon ; il n’existe plus rien d’autre que ce feu sacré, cette union d’étoiles en fusion, cet espoir silencieux de ne plus jamais vivre dans un monde sans eux.
Alors que nos souffles se synchronisent, que nos gémissements résonnent dans cette nuit, je ressens cet instant comme un serment silencieux, une prière offerte aux dieux du plaisir. Nous sommes un, nous sommes éternels, et je me laisse aller, totalement offerte, soumise à la puissance de la passion, m’abandonnant dans ce creuset ardent où je renais, encore et encore, dans un tourbillon infini. Je reprends pieds dans la réalité en poussant un gémissement rauque de frustration quand son corps quitte le mien, vide, abandonnée, perdue. Je titube, complètement hébétée, arrachée au plaisir qui montait jusqu'à des cimes quasi célestes. Je tremble et je peine à reprendre mes esprits dans une réalité qui m'est désormais toute étrangère. Sur le point de jouir je suis un peu sidérée d'endorphines et je peine quelques secondes à focaliser mon regard sur une scène qui me ravage le ventre d'une passion folle. Je le vois, l'attirant, sur cette table où nous l'avons dévorée conjointement, l'y plaçant comme une offrande païenne et se plantant en elle avec une fièvre telle que j'ai le sentiment de le sentir encore au creux même de mon corps. Je gémis, sur cette cadence qu'il impulse à ses coups de bassin, l'impression chevillée au corps que c'est moi qu'il pilonne.
Il tend la main, vers moi, je ne réfléchis pas vraiment, je me contente de répondre à cet appel silencieux en m'avançant lentement, les yeux fixés sur leurs corps enchevêtrés. Collée contre lui, ma hanche contre la sienne il tourne la tête et l'impériosité de ses lèvres fait une nouvelle fois s'éclipser le monde. Ma langue danse contre la sienne au rythme fou qu'il imprime à ses coups de reins et j'ai une étrange impression que je la baise à travers lui. C'est excitant, tellement que je sens mon bassin danser doucement. Quand il pousse les doigts en moi j'ai un ronronnement rauque et mon corps se contracte avec une force presque douloureuse. Je me retrouve haletante, aux portes d'un plaisir qui me semble sur le point de ravager mon monde sans espoir de retour. Comment pourrais je me contenter de vivre ? De simplement arpenter la vie ? Alors que je goute au paradis et à l'infinie puissance d'une connexion divine. Je suis une supernova en expansion, vulnérable et puissante, me sentant toute petite et à la fois vaste et reliée au monde. Mon homme, ma femme, réunis dans un big bang de plaisir alpha et omega d'une quête initiatique d'un monde dont ils sont désormais les piliers, mon monde. Ses doigts au creux de moi, mon souffle se suspend, je gronde et je cherche une nouvelle fois sa bouche, déposant mes soupirs contre ses lèvres alors que je bascule dans l'orgasme, mes doigts se refermant instinctivement sur la peau de la jambe d'Alya, comme pour me raccrocher à sa tangibilité dans un monde ou tout n'est plus que vapeur éthérée.
Vigo Lindell
WebName : Hortek Date d'inscription : 26/02/2023 Messages : 45Surnom : Hortek Avatar & crédits : Ben Hill - By me Date de naissance : 12/01/1985 Age : 39Statut civil : Célibataire Occupation : prêtre Rivalités : Black Templar (Secte)
Sujet: Re: Jolie comme un bouquet de roses. // Alviness 2 Dim 17 Nov - 21:38
Ma foi vacille depuis bien longtemps déjà. Et je crois que je commence à comprendre le regard que Laslo m’avait jeté avant que je ne lui ôte la vie. Ce regard d’un homme résigné qui avait de toute façon accepté sa mort. Il avait perdu celle qui le faisait vibrer. Cette femme qui lui avait donné l’envie d’abandonner son serment. Je pensais qu’il pourrait vivre libre et avec elle. Mais le Cardinal avait déclaré qu’elle était d’un autre camp et que le risque que Laslo trahisse l’ordre des Lames était grand. Cependant, il avait pris soin de ne pas me demander à moi d’être dans la première vague. Sa compagne fut tuée et il tua les deux lames envoyées. Puis deux autres et enfin, ce fut mon tour. Cette fois, c'est moi qui parvins à tuer mon ancien mentor et ami. Je n’avais pas compris ce regard, mais maintenant, je comprends. Je comprends alors que je m’accable de plaisir en compagnie de ces deux femmes. Elles ne sont pas juste deux créatures de rêves que je n’aurais jamais vraiment pu espérer me taper un jour dans ma vie… Elles ont cet intérêt dans le regard qu’aucune autre femme ne m’avait jamais jeté. À cet instant précis, j’aimerais que le monde s’arrête à cet appartement. Que cette étreinte ne trouve aucune forme de limite ou de fin. Que l’éternité se déroule devant nous et que plus rien n’existe en dehors de nous trois et de cette étreinte qui me fait un sentiment de délice.
J’ai passé ma vie à souffrir, à prévoir, anticiper. À faire attention. À toujours être sur mes gardes. À subir des situations de violence, de peur et de souffrance alors que tout est si doux en cet instant. Pourquoi je souhaiterais être capable de faire cesser le temps, de continuer d’aller de l’une à l’autre enchainant jour et nuits pour l’éternité. Quand, je me suis retiré de Ness pour me planter sans aucune retenue dans le corps d’Alya j’ai senti le bonheur. C’était grisant de pénétrer une femme enduite du plaisir d’une autre. Mais déjà le regard presque surpris de Ness me fait tendre le bras vers elle et l’embrasser quand elle se love nue contre moi et que je martèle Alya ne lui laissant pas d’autre choix que d’être mienne… D’être notre. J’enroule ma langue à celle de Ness avec un plaisir non feint. Je retrouve son sexe trempé et mes doigts glissent en elle et l’espace d’un instant j’ai la sensation d’être connecté aux deux. Que notre échange passe au-delà du réel, au-delà de tout ce qui est connu. L’espace de cet instant nous sommes un. Un tout unique et entier. Les soupirs enfiévrés d’Alya se mêlent à ceux de Ness étouffés par ma langue qui en cesse de chercher la sienne. Je suis en train de crever de plaisir. Ces deux femmes que je pensais être capable de canaliser sont en train de me déjouer. Je faute. Non pas au sens biblique du terme. Je faute dans mon engagement auprès des lames. Je faute vis-à-vis de mon existence entière. À cet instant je voudrais quitter les lames et n’exister que pour elle. Et c’est immédiatement que je sens une ombre glaçante m’enlacer.
Je ne peux pas.
Je ne le dois pas. Si je continue de fauter, si je continue d’aller au-delà de cette simple nuit, je vais engager leurs vies. Je vais les faire entrer dans un monde dont je veux les préserver. Je ne suis qu’une ombre de l’histoire. Celui qui fait les actes qui resteront dans les grandes lignes. Je suis la lame qui poignarde et qu’on oublie. Car celle qui a tué les grands de l’histoire ne porte pas de nom. Les balles qui tuent les grands hommes ne portent pas de noms. Je suis ces choses sans nom qu’on utilise. Je réalise que je suis en train de désirer tout plaquer et partir avec elles. Mais nous serons chassés et tués. Ce sera dans un mois, 10 ans… Plus ? Moins ? Non… Je dois mettre fin à tout ça. Et pourtant, cette bulle je ne peux la détruire. Je ne peux en sortir. Et pourtant je le dois. Ma main qui tenait Alya par sa hanche vient prendre la main de Ness. Je continue de suffoquer de plaisir martelant la jolie Alya de mon sexe approchant du précipice dans lequel je m’apprête à tomber délibérément. Je coupe le baiser avec Ness et me noie dans son regard écrasant son clitoris avec mon pouce et m’arrachant à Alya avant de prendre la main de Ness et la poser sur mon sexe.
Ainsi, suffoquant de plaisir, je contemple et savoure les doigts de Ness masturbant mon sexe à toute allure pour me faire exploser en plusieurs traits de sperme brulant sur le ventre et le corps d’Alya que je souille de mon plaisir en me crispant à chaque explosion de plaisir que Ness de ses doigts me fait vivre. Je jouis. Longuement. Passionnément. Et à mesure que le plaisir s’évacue de moi, le sens des réalités revient en courant. Je réalise alors l’étendue de ma démence. De la démesure de ce qui vient de se jouer ici. Pourtant, je ne regrette rien. Mais si je m’écoute et retourne aux caresses… Je vais les condamner. Or, j’ai encore cette chance de m’en tirer. Je prends la bouche de Ness avec la mienne et l’embrasse longuement. Puis je tourne vers Alya qui s’est redressée et je viens saisir sa bouche avec la mienne ma langue encore empreinte du baiser de Ness. Je me détache et rapidement je prends mes habits. Je profite de ce moment d’hébétement général pour passer mes habits en hâte et partir sans demander mon reste. Je quitte l’appartement en vitesse les laissant se débrouiller ainsi. Peut-être me maudire qu’importe. C’est arrivé et j’en suis enchanté et heureux et pourtant je suis terrifié de les mettre en danger. Ainsi je quitte l’appartement et traverse la nuit essayant de couvrir mes traces et de vérifier qu’on ne m’observe pas…
Alya Flores
WebName : Caro' Date d'inscription : 27/02/2023 Messages : 81Surnom : Aly Avatar & crédits : Taylor Hill & Co Date de naissance : 22/02/1997 Age : 27Statut civil : Célibataire Occupation : Les jeux ; les livres ; les sorties en compagnie de son frère
Sujet: Re: Jolie comme un bouquet de roses. // Alviness 2 Lun 18 Nov - 12:39
❝ Jolie comme un bouquet de roses ❞
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Il est parfois bien difficile de lutter contre ces propres envies, parfois on en oublie l'enjeu
Est-ce que c’est cela atteindre le Nirvana ? Atteindre le septième ciel ? Tu étais pourtant certaine d’avoir vécue et ressentie tout ce qu’il y avait à ressentir dans les plaisirs charnels. Tu étais pourtant sûre qu’il était impossible d’aller plus haut, ni plus loin dans ce culte sensuel où les âmes se mêlent et dansent pour mieux ensuite s’éloigner. Seulement à cet instant et ceux, malgré une seconde vague de plaisir, leurs âmes ne te quittent pas. Les caresses de Ness sur ta peau restent des traînées de lave qui rend ta peau ardente, lorsque la fermeté de la prise de Vigo sur ton corps t’enflamme et t’oblige à succomber aux flammes. C’est d’une intensité, d’une beauté sans pareille. L’entièreté de ton corps est une enveloppe charnelle d’une extrême sensibilité, qui manque de se déchirer sous l’intensité de l’instant, sous la violence de cet orgasme qui porte leurs visages comme identité. Ton cri brise le silence de la pièce, leurs iris pour seuls témoins de ta chute, qui n’était jusqu’alors que bercé par leurs gémissements. Cette manière dont il te baise, alors que ses doigts donnent du plaisir à ta divine amie. Cette façon dont elle, elle te regarde. Alors que dans ta tête c’est un foutoir sans nom, un ramassis de conneries, de non-dit et d’envies inavouées d’elle.
Voutée à l’extrême, l’arc de ton dos redescend lentement alors que Vigo quitte le cocon chaud de ton intimité. A l’instant où il s’échappe, il te manque. Leurs corps enchevêtrés debout devant toi, Ness le soulage finalement, ses doigts autour de son membre, l’amène fiévreusement à la jouissance, aspergeant ton ventre du fruit de sa jouissance. Merde… Tu es sans doute en train de commettre les pires des dépravations et pourtant, tu n’as jamais vu un spectacle aussi beau. La chaleur de son fluide recouvre ta peau, et tu abandonnes un simple soupire alors que tes jambes se resserre délicatement autour des siennes. Ton pied glissant doucement contre son mollet en une caresse pendant que tu te redresse, et les observe de tout prêt en train de s’embrasser. Ta main cherche celle de la brunette qu’il embrasse, avant que son visage ne se tourne vers toi et que sa bouche ne vienne s’emparer de la tienne. Ta main vient lentement s’apposer contre sa joue, une pointe de tendresse que tu n’es pas en mesure de refreiner, alors que le parfum de Ness teinte sa langue. Tu viens de t’envoyer en l’air avec un foutu prêtre, non… Tu viens de faire l’amour avec Ness, ET avec un prêtre. Vigo s’éloigne et ta main retombe de sa joue, alors que de l’autre tu serres plus fort les doigts de Ness. Il se saisit de ses vêtements, dans ta tête règne la confusion. Il s’en va… ? Comme ça ? Un éclair d’amertume, de déception surtout, passe un bref instant dans ton regard. Ta raison ne s’est pas encore totalement fait un chemin vers la réalité. Ton regard inquiet passe dans celui de Ness. Tes iris se perdent dans la nuance paradisiaque dont seule elle, a le secret. Sans réfléchir tu tires sa main afin que son corps s’approche. Ta main rejoint sa nuque et l’amène à revenir contre ta bouche. En temps ordinaire, tu aurais fui, tu aurais détalé comme un lapin face à la peur des conséquences. Mais à l’instant où ta bouche trouve la sienne, à l’ultime moment où la chaleur de sa bouche réchauffe tes lèvres, une décharge sensuelle vient fouetter tes reins. Ton baiser pourrait être la définition de la tendresse à cet instant. Son contact vient contracter ton abdomen, ta main libre entoure son corps et l’approche de toi. Tu savoures chaque micro seconde, chaque micro-mouvement de ce baiser avant que tes prunelles ne se rouvrent sur elle. L’espace d’un instant ton âme parle à la sienne, elle n’est plus ton amie… Il faut que tu t’y résous. Si c’est toujours ce qu’elle a été, aujourd’hui, là, ici alors que vos corps sont nus l’un contre l’autre, tu sais que tu te berces d’illusions depuis bien trop longtemps. Tu abandonnes un petit soupire alors que ta main replace l’une de ses mèches derrière son oreille.
- Ce n’est pas tout à fait à ça que je pensais quand je t’ai demandé, d’être sage…
Le coin de tes lèvres s’élargit en un sourire en coin, alors que tes épaules s’affaissent doucement sous le poids de la discussion qui t’attend. Tu lui as fait du mal, tu t’en rends bien compte. Tes iris percent les siennes, prenant une teinte pleine de remord. Cependant cette fois, il n’y aura plus de « non-dit », d’incertitude.
- J’aurais dû comprendre avant que notre amitié n’en été plus une… J’aurais dû le savoir dès le mariage, que ce qui se passait ça ne se maitrisait pas.
Tu baisses les yeux, constatant que la jouissance de Vigo est toujours sur ton épiderme. Ta main dans le dos de Ness dessine de petites formes contre sa peau à la chute de ses reins. Culpabilisante.
- Seulement… Ness j’ai aimé aussi ça… Avec Vigo… Est-ce que… Ca fait de moi un monstre ?
WebName : Lex / Claï Date d'inscription : 11/02/2023 Messages : 75Surnom : Ness, son prénom étant Vanessa Avatar & crédits : Liza Kovalenko & Hortek <3 Date de naissance : 23/05/1997 Age : 27Statut civil : Célibataire & Pansexuelle Occupation : Etudiante en dilettante, serveuse par obligation. Habitation : Un petit appartement à la bordure de la Jolla Rivalités : Non-participant
Sujet: Re: Jolie comme un bouquet de roses. // Alviness 2 Lun 18 Nov - 14:24
Je suis un navire en perdition, écartelée par des marées contraires, et s'il est la tempête qui m’arrache les voiles, Alya, est l'océan qui m’engloutit. Ballottée entre passion et jalousie, dépossédée de mon orgasme pour y être ensuite livrée par ses doigts comme une offrande sur l'autel de deux divinités, je suis totalement perdue et désemparée. Mon esprit s'embrume, mon âme se contracte et je ne sais plus ni où, ni même qui je suis.
Son souffle s’imprime sur ma peau, brûlant, tandis que ses mains égarées dessinent les frontières d’un désir insensé. Il est là, dominant l’instant, cet homme, cet écho vibrant de tout ce que je ne comprends pas mais qui pourtant m’habite. Il guide ma main vers sa virilité arrachée à Alya et mes doigts s'animent sans vraiment que je le décide. Mon âme pourtant si fière se plie à son envie, se laisse absorber et mes doigts dansent jusqu'à le faire exploser.
Je peux observer les traits de son plaisir peignant l'extase sur le corps d'Alya. Existe t'il scène plus indécente ? Plus dingue que celle là ? Je n'en sais rien. Je n'ai pas le loisir de penser puisque déjà il m'embrasse, puis m'abandonne pour embrasser ma douce qui a glissé les doigts dans les miens.
Elle me retient alors qu'il s'éloigne et que mon esprit refuse de comprendre ce qui se déroule sous mes yeux. C'est comme un coup de vent cruel qui claque une porte et laisse le silence se moquer de moi. Je déteste ce froid que je ressens malgré les caresses d'Alya.
Quand il se rhabille, ses gestes sont nets, presque mécaniques, et ils me lacèrent. J'aimerais parler, exiger, le retenir, j'aimerais être capable d'exprimer ne serait ce qu'une once de l'intensité de ce que je ressens, mais je reste là, plantée, roide et presque désincarnée. Le dernier regard qu’il me lance, me semble chargé d’une indifférence que je refuse de comprendre, qui me laisse béante. Une plaie ouverte, un cri silencieux. Comment ose-t-il s’éclipser ainsi, me laissant à la merci de cette furie en moi ? Comment peut il juste tirer un trait sur l'instant fou que l'on vient de vivre. La porte claque et je sursaute, prête à agripper mes vêtements et à me tirer à mon tour, absolument incapable de faire le point sur mes ressentis pour le moment.
Alya tente de me ramener. Ses lèvres cherchent les miennes, ses mains douces, patientes, effleurent ma peau, mais elles ne me touchent pas vraiment. Moi, je flotte, suspendue quelque part entre ciel et enfer, hors d’atteinte. Mais elle m'attire à ses lèvres, me pousse à reprendre pieds, à respirer de nouveau, à m'abreuver à sa source de vie.
Elle parle, Alya. Ses mots sont des murmures veloutés, mais je ne les entends pas vraiment. Ils glissent sur moi, comme des gouttes d’eau sur une pierre brûlante. Je secoue la tête, incapable de comprendre ce qu’elle dit. Ne comprenant même pas le trait d'humour, simplement sidérée. Est que tout va bien ? Est ce que le monde n’a pas changé, même si le mien s’écroule ?
Je vacille, déchirée entre elle et lui. Je suis cette funambule fragile sur une corde tendue au-dessus d’un gouffre de contradictions. Ses mots viennent apaiser le feu de mes plaies mais ce sont les miens qui manquent, ceux que je n’arrive pas à formuler. Je souris, en tout cas j'essaie, suivant son regard sur son corps maculé. Je crois qu'elle est en train de me dire que nous n'en sommes plus tout à fait au stade de l'amitié, mais l'ennui c'est que je ne sais que très vaguement ce que ça peut signifier. Je multiplie les relations, les conquêtes, depuis bien des années, mais jamais encore mon coeur n'avait manifesté quoi que ce soit dans l'équation. C'est doux et beau, mais terrifiant aussi.
Alya est là, mais je ne peux plus la voir. Il est parti, mais il est partout en moi. Et moi, je suis perdue, réduite à une ombre de ce que j’étais avant eux. Pourrais je seulement comprendre ce qui vient de se jouer ? Comment je peux avoir ce sentiment qu'ils se sont indélébilement inscrits sous ma peau ? -"Je suis désolée." De quoi ? Je serais bien en peine de le dire... Et pourtant ces trois petits mots raffermissent ma prise sur le monde. -"Je ne sais pas ce qu'il m'a pris." Oh que si, je le sais très bien, j'ai lâché la bride au furieux désir que j'ai d'elle et ce galop sauvage a été la plus belle expérience de toute mon existence... Mais ça je le tais, seul mon regard le laisse paraître. -"Mais je ne peux pas te promettre de ne pas recommencer.". Un pas et mon corps qui se fond contre le sien pour un baiser torride,ma langue retrouvant le goût de celle de celui qui nous a laissées là. Je lui en veux... Je le veux... C'est flou et si présent tout à la fois. Il m'arrive quoi ? Ils m'ont fait quoi ? C'est ça aimer ? Vouloir aussi fort ? Quitte à se brûler les ailes ? Quitte à ne plus respirer que par et pour eux ? Je ne saurais peut être jamais... Mais tant que sa peau borde la mienne, je crois bien que je m'en fous. -"Pourquoi serais tu un monstre ? Parce qu'une religion viendrait dire ce qui est beau ou non ?" Est ce qu'elle m'avoue qu'elle l'aime ? Qu'elle le veut lui ? Pour elle seule ? Je suis tellement paumée...
Je reprends ses lèvres d'assaut incapable de m'en empêcher ou de me contrôler. Je la veux, je la revendique et mon corps crie ce que je me force à taire. Je l'embrasse avec toute la fièvre de mon coeur en déroute avant de me détacher pour foncer dans sa chambre y récupérer un tee-shirt XXL le passer et choper mes affaires au passage pour m'enfuir comme une voleuse. C'est dans le couloir, que je m'arrête, pose la main sur sa porte et murmure pour moi seule. -"T'es pas mon amie... T'es ma putain d'âme soeur." Et sur ces mots qui ecorchent ma gorge et font monter mes larmes je m'engouffre dans l'ascenseur pour disparaître dans la nuit et regagner ma piaule, m'effondrer sur mon lit et rêver encore à leurs corps enlacés au mien.
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