Soirée Vaudou (SybJenAel)

Il est minuit et la lune est pleine. Sur San Diego, le vaudou s’élève. Des totems aux allures de cauchemars, des crânes d’animaux récupérés dans le désert, des bouts de bois et des os de poulet sur des ficelles, des lambeaux de tissus et le subterfuge est bon. Dans le sable, se délimite par des flambeaux le lieu du rituel autour duquel se masse la foule. Pas de téléphones, pour voir, il faut être présent. Yuna, une jeune femme de la communauté, vient de respirer une fumée qui la met en « transe » elle commence à gesticuler dans sa tenue. Des didgeridoos font résonner une longue et lancinante musique grave et profonde qui fait vibrer les entrailles. Les gens qui voient cela pour la première fois sont tous craintifs et observent autour d’eux, alors que les habitués sourient de voir sur d’autres ce qu'eux ont pu ressentir la première fois. Des tambours résonnent et j’entre. Le corps couvert de symboles tracés à la peinture blanche sur ma peau noire. Mes cheveux sont attachés et me donnent une allure sauvage. Mon visage aussi est retouché de peinture des cercles et des traits animent mon corps quand je marche. Je suis torse-nu ne portant qu’un short de bain. La plupart des gens sont aussi en maillot de bain femmes et hommes. Certaines ont enfilé un pagne, d’autres un simple t-shirt, mais tous ont les yeux rivés sur moi. Droit et fier, je contemple Yuna qui ondule agitant un bâton au bout duquel flambe une flamme vive. Elle commence à chanter dans une langue à elle. Mélange de cris, de sons gutturaux et de cris stridents. Elle bouge autour de moi. Alors que je tente de garder une attitude, mes yeux se posent sur deux créatures de rêve. Une petite brune aux yeux torrides et d’un bleu affolant et une grande blonde qui se tient près d’elle et qui fais délicieusement picoter ma nuque… Soudain, la main de Yuna se pose sur mon visage et je me penche en arrière me cambrant en laissant mon corps s’amollir et tomber alors que mes pieds son coincés sous moi. Cette posture « pliée » me donne un air possédé avant je me redresse à la force de ma musculature suivant le mouvement de sa main comme un pantin désarticulé. Elle me gorge de force et d’énergie. Puis dans un chaudron elle verse de l’alcool qu’elle appelle « eau de vie » et répand du sang en écrasant une poche dans sa main pour que ça coule dedans. Le mélange qui n’est autre que de l’alcool de manioc et du sirop de cerise. Elle plonge un bol en terre cuite et le tend vers moi. Elle l’enflamme et le présente à la foule. Elle étouffe les flammes et me tend le bol. Le silence se fait et elle m’ordonne de boire moi fils de Mawu, Ismael le Lion noir béni de la lune. Je bois sans attendre d’une traite alors que des gars à moi habilement placés dans la foule font partir une clameur soulevée par les tambours et les didgeridoos. Les gens s’avancent et sont invités à boire le cocktail amer avec l’alcool et doux grâce au sirop. Je laisse faire alors qu’on verse à boire à la louche dans des gobelets. Je prends deux petits bols qui font la quantité d’un petit verre et une fois servi, je vais vers les deux femmes que j’ai repéré et leur pose dans les mains avant de dire.

« Bwè pouvwa Mawu »

C’est grosso modo « buvez la puissance de Mawu » en créole Haïtien. Mais dit d’une voix chaude et rauque en les fixant de toute ma splendeur féroce, je sais que l’effet sera torride et va leur couper le souffle. Je les regarde boire et m’éloigne sans un mot ni un regard. La foule se rassemble vers un bâtiment et la soirée commence. Les lumières changent en rythme et la fumée, les corps en sueur qui commencent à se déhancher sur du gros son avec les basses bien boostées.

https://www.youtube.com/watch?v=H3axP4norfk

Je laisse aller la musique et me glisse dans la foule et commence à danser. J’ai faim de m’amuser un peu et je savoure ces soirées où tout est fait pour créer une atmosphère et lancer la fête à notre façon à nous… Et accessoirement travailler mon culte de chef de droit divin de ce gang Haïtien…

Soirée Vaudou

Outfit -- Des rumeurs cours sur des fêtes d’un genre nouveau à l’ambiance chaude et délicieuse en périphérie de San Diego. Des fêtes vaudou à l’ambiance mystique à ce qui paraît c’est unique et à voir au moins une fois. Je devais en être. Non, nous devions en être. Bien sûr, j'ai immédiatement pensé à Sybille, ma nouvelle coloc. Elle est cool et pas seulement. Elle est canon, du genre vraiment canon, et c'est le genre de nana qui fait tourner toutes les têtes. Le courant passe bien entre elle et moi, enfin je crois, même si on se connaît que très peu finalement. Je me suis dit qu'elle serait la partenaire idéale pour cette soirée unique. Je suis ravi que Sybille soit ma colocataire. Après avoir eu des colocataires difficiles dans le passé, je suis convaincu que je suis tombé sur la bonne personne cette fois-ci.

Il est presque minuit et nous nous préparons pour cette soirée mystique. Je suis excité à l'idée de découvrir ce qui nous attend. Quand nous arrivons au abords de la plage j’adresse un regard complice à ma coloc, je ne sais pas si elle est aussi électrisée que moi. « Cette soirée va être d’enfer ! » Particulièrement impatiente, je lui adresse un sourire radieux avant d’attraper sa main pour l’attirer avec moi. Je porte par-dessus le haut de mon maillot de bain qu’une chemise blanche que j’ai laissée ouverte. La pleine lune éclaire d’une lueur blafarde la plage ou une foule commence à se former. J’observe toute la mise en scène avec un intérêt non feint. Les didgeridoos *commencent à raisonner, l’ambiance se fait plus lourde, je suis comme hypnotisée par la danse de la jeune femme. Je n’avais jamais rien vu de telle, ma main attrape la main de Sybille que je presse doucement, non pas par crainte mais plutôt comme si j’avais besoin de m’assurer qu’elle était toujours là à côté de moi et que nous partagions ce spectacle ensemble. Un frisson me parcours de la plante de mes pieds jusqu’à la naissance de ma nuque lorsqu’il entre en scène. Je suis comme hypnotisée par son allure sauvage et viril. Bon sang ce mec… ce mec est incroyable, il émane de lui un charisme qui me cloue sur place et noue les mots dans ma gorge. Le contraste des peintures blanche sur sa peau sombre est tout bonnement saisissant. L’ambiance qui nous enveloppe à cet instant est particulière. Inédite. Le spectacle est incroyable. Pour dire vrai je ne trouve même pas les mots. Ce mysticisme, cette aura à la fois sauvage et brûlante qui émane de cette cérémonie me fascine. Je ne saurais dire si c’est l’ambiance, la scène se déroulant sous nos yeux ou cet homme qui me fascine le plus. Les trois probablement… Bien que ce ne soit pas ça l’important à cet instant. Le silence ce fait tout autour de nous, je coule un regard sur Sybille, curieuse de voir si elle était aussi fascinée que je l’étais.*

Ismael le Lion Noir, ce nom lui va à merveille. Mes prunelles azuréenne sont fixées sur lui quand il boit le contenu du bol. Pendant un instant j’aurais juré que son regard a accroché le mien. Une faction de seconde. Peut être que je me fais des idées. Certainement même. Le bol vidé, le silence n’est plus remplacé par des acclamations et le bruit des instruments. Mon coeur manque un battement lorsqu’il s’approche de nous, déposant entre nos mains deux bol. Je serre le mien, frissonnant quand il s’adresse à nous dans une langue que je ne comprends pas. Sa voix chaude et suave m’arrache un fin sourire. Je porte mon bol à mes lèvres sans le lâcher un seul instant des yeux. Putain merde, une chaleur agréable se propage en moi et je sais que c’est son regard qui m’embrase.

Il s’éloigne, sans un mot de plus. Sans un regard. Je le regarde disparaître dans la foule au milieu de ses corps en sueur qui commencent à se déhancher sur une musique endiablée. Je me tourne vers Sybille, mon regard brille d’une lueur coquine. « Putain t’as vu ce mec…» Bien sur qu’elle la vu. Qui aurait put ne pas le remarquer ? Le moins que l’on puisse dire c’est qu’il m’a fait un effet dingue. Mon corps tout entier est comme… électrisé. « Dis-moi qu’à toi aussi il t’a fait cet effet…» Je me mordille la lèvre inférieur, posant ma main sur son avant-bras avant d’esquisse un sourire complice. Dis-moi que je ne suis pas folle… ou au contraire dis-moi que je déraille complet.

@Ismael Tekoa @Sybille Maxwell

Pando

--Outfit-- Je ne sais pas trop qui a eu l'idée de cette soirée? Ma nouvelle coloc je crois bien, mais j'ai directement été fan de l'idée. Une soirée vaudou ? Réellement? Le côté spirituel ou ésotérique de l'histoire me fait clairement délirer et je suis convaincue qu'on peut passer une soirée dantesque. Gros son, plage, magie, on peut faire mieux? Oh ça oui ! On peut avoir une diablesse aux yeux d'azur pour compagnie. Je ne sais pas si elle est consciente d'avoir des diamants à la place des yeux? Même pas sure ! Elle a un petit air angélique qui me fait clairement craquer, mais je m'interdis de le lui dire. Je vis chez elle... Enfin techniquement non, je suis chez moi, aussi... mais c'était chez elle avant chez moi ! Comment ça je vous perds? C'est pas si compliqué pourtant !

Craquer pour ta colocataire, ça peut être le début des embrouilles ! C'est ce que je veux dire. Parce que bon, si elle me tej, c'est pas le pire... Si elle est du genre homophobe, c'est la merde. D'un autre côté, j'ai aucune envie de vivre avec quelqu'un de ce style. Mais putain je suis vraiment en train de penser à ça alors que je m'habille? Complètement à la ramasse en fait... J'enfile mon trikini, me maquille à peine et laisse mes cheveux aussi libres et fous qu'ils en ont envie. Après tout c'est une soirée sur la plage non ? J'enfile quand même un paréo par dessus le tout, nouer savamment comme une robe, entourant mes formes et mon cou.

Rejoindre Jenna me fait pousser un petit "oh" de délices quand je l'aperçois. Torride... cette nana c'est l'enfer et la damnation, sous mon nez ! Une longue inspiration et je fais en sorte de réfréner mes ardeurs. Direction la plage. J'abandonne mon paréo dans la voiture, avec mes chaussures, me mettant directement dans le bain. L'ambiance s'électrise vite et j'y plonge sans retenue. C'est complètement onirique, ces clameurs qui éclatent, cette façon qu'elle a de danser et ... lui. Putain ! Ok je suis dans un rêve? Non parce que là quand même ! Je secoue la tête, me pince vaguement mais je ne me réveille pas ET j'ai mal, c'est le signe que je dors pas ça, non ? Ce mec a une allure complètement barge. Je sens la main de Jenna chercher la mienne et j'observe quelques secondes nos mains liées avant de pousser le contact en nouant mes doigts aux siens. Je ne peux m'empêcher de me mordiller la lèvre inférieure, caressant le dos de sa main de mon pouce, me rendant compte que je peine un peu à déglutir. Elle se rend compte de l'effet qu'elle me fait? J'espère que non...

Reportant les yeux sur la cérémonie je ne loupe rien du rituel faussement sanglant. Enfin faussement? J'espère... parce que voilà que monsieur gravure de mode nous apporte un peu de la potion concoctée ! J'hésite une seconde, mais Jenna est déjà en train de boire, complètement subjuguée par ce gars. Je peux comprendre... d'ailleurs, il dégage quelque chose d'extrêmement viril, il faut l'avouer. Je peux sentir son trouble et ça ajoute au mien. Je vide le bol alors qu'il s'éloigne déjà. Mes yeux errent très clairement sur le galbe de ses fesses et je réponds à mon amie d'un petit soupir presque conquis avant de baisser le visage vers elle. Elle se mordille la lèvre et ses yeux brillent sous les lueurs de la lune. Je ferme les yeux et prends une large inspiration avant de poser la main sur sa nuque. Je referme les doigts, affirme une prise possessive et l'attire contre moi. Elle est un peu plus petite que moi, 5 cm à tout casser, mais je m'en cogne franchement. Sentir le galbe parfait de ses seins qui s'écrasent contre moi, me fait frissonner. -"Tu parles de cet effet?" Quelques mots avant d'écraser furieusement ma bouche sur la sienne, ma langue partant directement à la recherche de la sienne. Bon ok... pour la modération on repassera. Mais je sais pas... y'a un truc dans l'air, c'est complètement dantesque. D'ailleurs la musique résonne et sans libérer ses lèvres je commence doucement à onduler du bassin, au rythme des basses. Je me sens complètement enivrée, alors que je n'ai bu que... ce truc. Je crois que les lèvres de ma jolie colocataire et l'ambiance suffisent.

Ambiance brûlante et ardente. J’ai le corps en feu. L’ambiance est brûlante et la chaleur monte vite. Des gars de l’équipe sont en train de faire des boissons dans des chaudrons en mélangeant des choses. Aux 4 angles de la boite de nuit improvisée dans ce bâtiment désaffecté sur la plage et rafistolé de bric et de broc avec de la récup, on sert les gens dans des gobelets en carton. Les règles ici sont claires cependant. Pas d’arme, pas de drogue et pas de fric. Les gens viennent ici pour voir la soirée vaudou et s’ils assistent à la cérémonie, ils ne payent pas. S’ils arrivent après c’est tarif d’accès obligatoire. Ici, les Haïtiens font la sécurité et personne ne rentre dans le quartier s’il n’est pas invité ou ne montre pas patte blanche comme on dit. La règle est ainsi faite. Alors que je danse contre quelques dames qui se déhanchent sur du gros son bien lourd, je remarque ce type. Un grand blond costaud qui commence à se glisser dans la foule et fourre des cachetons dans les gobelets de certaines filles. Je lui emboîte le pas virant les verres des mains que je renverse au sol avant de leur rendre. Deux de mes gars ont vu et débarrassent les filles qui ont été visées. Le travail de la meute est rodé. Les fauves s’arrangent pour couper la route du monsieur en douceur le faisant reculer vers la sortie. Je lui emboîte le pas et une fois dehors du lieu de danse, il est saisi et dégagé comme une merde. Il réalise sa connerie et se dégageant, il bouscule les deux bombes atomiques que j’avais repéré dans la foule et qui… Se roulent une pelle des enfers… Raaaaa pourquoi les plus canons sont toujours Lesbiennes ? Le blond se relève alors que j’avance vers lui comme un prédateur lui jetant mon regard le plus noir. Les gars se reculent en riant pour me laisser la place murmurant entre eux que le gars est mort.

« Écoute mec, c’est bon j’ai juste mis de quoi faire la fête. »

« Pas de drogue. »

« Écoute, on peut s’arranger, je te fais un gros pourcentage. »

« Pas d’armes… »

« Écoute, c’est bon, je le ferais plus ! »

J’avance vers lui affichant mon regard le plus noir. Pris de peur qu'il frappe le premier pour m’empêcher d’avancer. Mon corps est plus rapide. Plus félin. J’esquive d’un écart sur le côté en me baissant. Mes jambes poussent d’un coup en avant et sous son bras tendu, je rentre un coup de genou. Pas le temps de se tenir le ventre et de se plier en deux que je suis passé dans son dos agrippant ses épaules pour le jeter au sol à plat dos. Il tombe lourdement sonné. Sa tête a tapé le sable. Il gémit de douleur.

« Tu es banni à jamais de ce quartier. Reviens une fois ici et tu le regretteras… »

Les mots prononcés, mes gars prennent la relève pour évacuer le monsieur. Je me redresse et croise le regard des deux femmes qui ont tout vu puisque leur baiser a été interrompu par le type qui me fuyait. Je les regarde avant de leur faire un petit sourire en arrivant à leur hauteur.

« Ici, on respecte les règles. Bienvenue à vous… Vous dansez ? »

Je prends délicatement leurs mains et les entraînent avec moi vers la danse. Une fois sur place, la musique, nous enveloppe et je commence à bouger contre elles en gardant leurs mains dans les miennes juste un peu histoire de m’afficher avec deux femmes torrides… Quel dommage qu’elles préfèrent se rouler des pelles entre elles… Mais je peux onduler à ma guise contre elle abusant de mon talent naturel de danseur…

Soirée Vaudou

Outfit -- Cette ambiance est juste folle, d’une intensité rare. La prestation de ce dieu sombre n’y est pas pour rien. Ses mouvements félins sont hypnotiques, il porte tellement bien son nom. Le Lion Noir. Mon dieu, il m’a fait un effet dingue. Je regarde tout autour de nous pour voir si je suis la seule dans ce cas, où s’il fait cet effet-là à tout le monde. Je ne parviens pas à détacher mes iris du galbe parfait de son petit cul quand il s’éloigne. Putain merde, je le matte comme une affamé, il faut que je me calme. Je reporte toute mon attention sur mon amie, qui semble être dans un état comparable au mien. Son regard pétille d’une malice, Sybille est une femme magnifique. C’est le genre de femme sexy et plantureuse qui fait tourner toutes les têtes.

Mon coeur manque un battement et hoquet de surprise m’échappe quand elle m’attrape par la nuque pour m’attirer contre elle. Un geste possessif et plein d’assurance qui ne me laisse pas de marbre. Je sent sa poitrine s’écraser contre moi, je relève la tête, son souffle chaud se mêle au mien. Ma respiration est rapide et irrégulière tant je suis captive encore de l’effet de surprise. Mes iris plongent dans les siens, elle dégage une telle assurance. Je suis captivée et je dois le reconnaître peut être un brin intimidée. Bien sur qu’elle me plais qui ne craquerait pas pour une succube pareille, mais elle est aussi ma coloc et ça devrait être une raison suffisante pour ne pas succomber… mais putain ce baiser. Je fond à l’instant même ou ses lèvres viennent capturer les miennes, toutes mes certitudes et mes réticences se brisent. Un frisson délicieux parcours mon corps de la tête au pieds quand sa langue trouvent la mienne pour une danse sulfureuse. La température monte instantanément c’est dingue, c’est comme si le temps venait de se suspendre. Je dévore ses lèvres sans plus aucune retenue, au diable la raison et la retenue. Je n’ai jamais été du genre raisonnable de toute manière… et ce n’est visiblement pas aujourd’hui que ça va changer.

La musique raisonne et nos corps ondulent presque instinctivement au rythme cadencé des basses alors que nos lèvres semblent scellées l’une à l’autre. Mes doigts glissent de part et d’autre de ses hanches, mon bassin demeure collé contre le sien. Mon corps est en feu contre le sien, je perd toute notion du temps. Je profite de la chaleur ardente de cet instant sans percevoir exactement ce qui se passe autour de nous. Il n’y a plus que cette musique entraînante et les lèvres diaboliquement délicieuses de Sybille.

Un petit cri de surprise m’échappe quand un homme nous bouscule. C’est qui ce connard qui vient interrompre ce moment brûlant ? Je reprend contenance tant bien que mal, mes paupières paillonnent comme si ça pouvait m’aider à retrouver la pleine possession de mes moyens. Je remarque bien sur le grand blond qui vient de nous percuter de plein fouet, mais mes iris se posent sur Lui. Son regard est celui d’un prédateur, la virilité qui émane de cet homme me vrille l’estomac. Ca… et ce baiser d’enfer qui m’a étourdie. Ma main vient se loger sur la chute de rein de Sybille, juste à la naissance de ce fessier étourdissant, comme si j’avais besoin de retrouver son contact alors que mes iris scrutent avec attention la scène devant nous.

Les règles sont les règles. Le Lion protège son territoire, fait respecter la lois, et l’assurance qu’il dégage quand il s’avance vers ce type est folle. Le chaos brille dans ses iris obscure. Il le neutralise avec une agilité déconcertante. J’en ai le souffle coupé. Ses hommes évacue le trouble-fête, le “spectacle” semble terminé. Lorsqu’il arrive à notre hauteur nos regards se croisent. Je lui adresse un sourire franc et charmeur quand il s’adresse à nous, nous proposant se danser avec lui. Comment refuser hein ? J’adresse une oeillade complice à mon amie quand il prend à chacune l’une de nos mains pour nous entraîner à sa suite sur la piste de danse.

Entre lui et Sybille, je ne sais plus où donner de la tête. Sa main chaude dans la mienne, son regard intense qui semble vaquer entre ma délicieuse coloc et moi, je suis captivée. Les basses raisonnent et nos corps ondulent au rythme de la musique. Je profite de l’instant, je me laisse porter par l’instant… par ces désirs qui se bousculent en moi et par ces notes de musique qui raisonnent en moi. Ma main toujours dans la sienne, je viens plaquer ma croupe contre son bassin ondulant en rythme tout en étant consciente de l’effet que je voulais provoquer. Son souffle dans ma nuque m’électrise. Ma main libre attrape Sybille par la taille pour qu’elle se colle davantage contre moi. Mes iris croisent les siens, et je me mordille la lèvre tant ce que j’y lis attise le brasier en moi. Je n’en délaisserai pas un pour l’autre, deux corps tellement différent qui suscite en moi une attirance tout simplement dingue..

@Ismael Tekoa @Sybille Maxwell

Pando

Parfois il faut savoir se laisser porter... en tout cas c'est ce que je pense, juste avant d'agripper sa nuque pour venir dévorer sa bouche. Je ne sais pas faire la part des choses, entre l'ambiance, mon attirance franchement difficile à contrôler, la brillance de ses yeux suite au comportement de ce mec... Clairement elle l'a dans la peau et j'en profite allègrement. Malhonnête? Oui... peut être, si on veut. Disons plutôt que je me saisis de la magie du moment ! Mon corps s'anime contre le sien, je me laisse porter par les basses, mais surtout par la saveur enivrante de ses lèvres que j'écrase sous les miennes. Enrouler ma langue à sa jumelle, lutter avec délectation, c'est complètement fou et je pousse un petit gémissement avant qu'on ne soit interrompues. Je foudroie le type du regard avant de réaliser pleinement ce qui se trame.

Clairement j'étais partie bien loin de toute contingence réaliste, dans un petit paradis de désir. La bulle éclate, mais je sens la main de Jenna retrouver la peau de mes reins. Je lui adresse un petit sourire, avant de reporter les yeux sur la démonstration de force du lion noir. Manifestement il n'apprécie pas qu'on vienne jouer au con sur son domaine. Plutôt rassurant ça, au final. Parce que malheureusement toutes les soirées ne sont pas sures, surtout quand on est une jeune femme. Certains hommes semblent penser que la prédation est un mode de séduction comme un autre. Triste ! Parce que franchement, aucune femme ne va désirer être abusée de la sorte. Qu'un mec soit direct, dans l'expression de ses envies, c'est complètement admissible à mes yeux, même foutrement sexy, en revanche il doit pouvoir admettre que non ça ne veut pas dire "essaye plus fort". Je me perds quelque peu dans mes pensées sur le sujet, ma hanche effleurant celle de... ma ... colocataire? Oui ça elle l'est.

L'homme revient vers nous, sourire charmeur aux lèvres et je penche la tête sur le côté en plissant quelques peu les yeux. Est ce qu'il essaye clairement de draguer Jenna sous mon nez? Pourquoi cette idée me fait grincer des dents d'ailleurs? -"Pourquoi pas." Sa main quitte mes reins pour se glisser dans celle du jeune homme alors qu'il attrape la mienne et je me laisse entraîner. Rejoindre la piste ne prend guère de temps, pas plus qu'il n'en faut à Jenna pour se coller contre lui. Je la regarde quelques secondes, les yeux brulants de désir. Je m'avance quand elle enroule son bras à ma taille, ma main toujours abandonnée au contrôle du lion noir. Je souris et relève les yeux dans ceux de mon amie avant de les perdre dans ceux du nouveau venu. La façon dont elle ondule contre lui est d'une sensualité folle et je ne doute pas qu'il y soit sensible. Je ne tarde pas à la rejoindre dans ses ondoiements lascifs, mon bassin cherchant le sien. Je me penche quelque peu pour poser les lèvres contre la peau de sa gorge, un baiser délicat, avant de pincer son épiderme de mes dents, remontant ensuite en un sillon humide, de la pointe de ma langue. J'ai l'impression d'un crépitement qui se répercute de ma bouche à mon être. Faramineux effet provoqué par cette nymphe.

Ma bouche dévie près de son oreille, je mordille son lobe et glisse un murmure, en un souffle -"Torride diablesse." Deux petits mots avant de poursuivre ma route, passant de la peau de la jeune femme à celle de son cavalier. Je rampe entre les marques blanches qui ornent sa peau, pour mordiller la ligne de sa mâchoire, automatiquement plaquée encore plus près de Jenna. Quand je relâche la pression de mes dents c'est pour me reculer et planter les yeux dans ceux du jeune homme, les miens brillants d'une forme de défi. -"Et si tu m'aidais un peu à la rendre folle?" Provocation? Non... simple envie de voir les beaux yeux de Jenna fondre de désir. Ma main libre remonte contre la hanche de la jolie Jenna et glisse contre celle du jeune homme, avant de poursuivre sa route en m'octroyant très clairement le plaisir de caresser le bombé de sa fesse. Tirer, pour le plaquer contre Jenna un peu plus près, mais aussi pour me retrouver en position d'effleurer ses lèvres des miennes.

On s’est battu avec les membres du Gang pour créer un petit coin de fête dont on soit fiers ici dans le quartier. Ici, c’est pauvre et on pique du fric surtout aux Bourges dans leurs quartiers chics mais on évite de se mêler aux autres et on défends le territoire. Ici, on fait la fête et ça doit être bien et si les femmes ne sentent plus en sécurité elles vont cesser de venir et ensuite les mecs ne viendront plus et tout sera fini. Donc je ne peux pas laisser faire. Je m’arrange pour que ce type face exemple. Les règles sont simples et ici, personne ne transige avec les règles. Parfois, les mecs fâchés reviennent mais les autres membres du gang savent lui interdir l’accès. C’est ça la solidarité des Haïtiens. Mais ce soir, je pense que ce petit branleur ne reviendra pas. Je reviens vers ces dames et décide de les inviter à danser. Elles sont sexy, et même si elles sont lesbiennes et bien danser avec elle sera assez sympa. La jolie brune se place entre la blonde et moi et ondule son cul parfait contre mon bassin. C’est ardent. Mes mains de part et d’autre de sa taille la touche à peine juste pour rappeler ma présence et la faire bouger contre moi. Mon bassin frotte contre son cul. C’est lascif et torride. Les basses, mes transpercent et résonnent dans mon corps. J’adore ça. La blonde avec son maillot n’est pas en reste. Elle se plante contre la jolie brune et la chauffe en bougeant son bassin avec le sien se collant pour bien la sentir contre elle. C’est torride mais étrangement j’ai pas le sentiment que la blonde « marque le territoire » en me mettant hors-jeu. Au contraire, on dirait qu’elle ondule comme pour faire bouger le bassin de la jolie brune contre moi pour me chauffer davantage. Bordel de lesbiennes… C’est affreux de me tenir après un truc pareil. Je danse et ondule toujours quand la blonde embrasse la brune et la chauffe ouvertement. Puis elle va vers son oreille et lui murmure un truc que je ne peux pas entendre. Je commence à me dire que je suis de trop. De toute façon l’idée était de les ramener à la fête, de m’afficher avec elles et de leur faire passer une bonne soirée histoire de ne pas considérer mon acte d’autorité comme une bonne raison de ne pas revenir ici une autre fois.

Mais la brune se retrouve collée à moi et la blonde s’est avancée et me mordille la mâchoire avant de me regarder dans les yeux et me défie en me demandant si je l’aide à la rendre folle ? Je réalise que j’ai tout faux et que les dames ne sont pas contre un peu de moi dans leur duo ? Perspective alléchante… Je vais peut-être changer de gamme et me montrer plus offensif… Je souris et alors que la blonde me colle en tenant mes fesses, mon bassin s’active dans une danse plus frénétique contre les fesses de la brune qui peut soit suivre ma cadence et accompagner mon mouv’ soit se laisser tamponner les fesses par mon bassin. La jolie blonde me fixe et je glisse une main derrière sa nuque et continue de danser avec elle avant de me pencher pour les voir rapprocher leurs visages et effleurer leurs lèvres. Je suis à quelques centimètres d’elles avec les miennes mon souffle sur leurs lèvres. Je regarde en venant alors glisser mes mains sur les fesses de la blonde pour les écraser doucement en la faisant danser pour qu’elle soit surprise et embrasse la brune. Mais cette fois, je suis aux premières loges pour contempler leur baiser…

Soirée Vaudou

Outfit -- Agir d’instinct, sans songer un seul instant aux conséquences, faire seulement ce dont on en envie, quand on en a envie ça a du bon parfois. La raison voudrait probablement pas que je m’abandonne aux baisers savoureux de Sybille, mais là tout de suite ma raison vous savez ce que je lui dis ? Elle peut bien me hurler tout ce qu’elle veut en mon for intérieur, je fais la sourde oreille. Habitée par des envies qui me dépasse je me laisse submerger par ce raz de marrée. Advienne que pourra. Le premier baiser lascif échangé avec Sybille m’a laissé pantoise. Je ne l’avais pas perçu de cette manière jusqu’ici, mais maintenant que j’ai encore le goût sucré de ses lèvres sur les miennes, la chaleur de sa langue contre la mienne je songe qu’à y revenir et à céder à cette faim qu’elle a provoqué.

Ajoutez à cette équation le Lion Noir qui vient danser avec nous, capturant nos mains dans les siennes. La chaleur de sa paume contre la mienne m’arrache un frisson délicieux. Une sorte de courant électrique qui me parcours de la tête au pied. Entre ce beau mâle viril et la félinité sauvage de ma colocataire j’ai de quoi perdre la tête. De manière presque instinctive je viens me coller contre lui, ma croupe contre son bassin mon corps ondule au rythme cadencé des basses. Sa présence hypnotique ne me fais pas oublier ma jolie blonde. Oh non… comment éclipser de son esprit une tentatrice pareille ? Ma main autour de sa taille, je l’attire contre moi lui adressant un sourire à la fois taquin et complice quand mes yeux croisent les siens. Elle me fait un effet dingue, le souvenir de notre baiser me hante encore quand je me rend compte que je fixe ses lèvres avec gourmandise. La tête en arrière, mon coeur manque un battement quand ses lèvres viennent s’écraser dans ma gorge. La sensualité de cette femme me rend dingue. Chaque frôlement, chaque regard ne fait de raviver le brasier brûlant en moi. Mes lèvres s’entrouvrent, laissant échapper un soupir lorsque je le sent remonter jusqu’à mon oreille qu’elle malmène avant d’y souffler quelques mots. C’est elle la succube animant en moi un brasier dévastateur. L’émotion couplé à ce désir qu’ils font naître en moi noue ma gorge. La chaleur de son corps dans mon dos et de son souffle brûlant dans ma nuque est déroutant… ajoutez à ça les lèvres démoniaques de Sybille et la pression de son corps de déesse contre le mien, il y a de quoi perdre la tête. Ce soir ce n’est pas l’alcool qui plonge mon esprit dans le brouillard mais bien le désirs provoqué par deux âmes hypnotisantes.

Je tourne légèrement la tête sur le côté pour voir les lèvres de ma charmante colocataire parcourir la peau sombre de notre partenaire. La voir faire, tout en pressant son corps contre le miens me rends folle. Je perds complètement le contrôle de la situation et c’est grisant. Qui ne perdrait pas la tête coincée entre deux corps aussi parfait ? Mon corps ondule en rythme, ma croupe n’a de cesse de se presser contre son bassin. Je ne perçois pas les mains baladeuses de Sybille qui s’aventure sur son fessier musclé pour le presser davantage contre moi… mais la sensation est délicieuse. Je suis le mouvement ondulant mon corps en rythme avec le siens. C’est chaud… brûlant. J’en oublis tout ce qui se passe autour de nous. Une de mes mains glissent dans le dos de Sybille pour aller se perdre sur le galbe parfait de son cul, la seconde se pose sur la main sombre sur ma taille l’incitant à venir se perdre sur le plat de mon ventre, le contact de sa main sur ma peau est tellement plaisant. Mes incisives malmène ma lèvre inférieure quand je relève les prunelles azures pour les plonger dans celles de ma sulfureuse amie. Son souffle caresse ma peau, ses lèvres ensorcelantes étaient entrouvertes avant de venir s’écraser contre les miennes. Je répond à ce baiser avec une fougue incroyable, ma langue partant à l’assaut de la sienne dans une danse à la fois sauvage et brulante. Ma main remonte dans son dos, le long de sa colonne vertébrale pour terminer sa course sur sa nuque, y exerçant une pression pour approfondir encore ce baiser sauvage. Rythmé par la musique qui transcendement notre danse endiablé, mon corps ondule toujours en rythme avec les leurs, excitée, galvanisée par la passion de cet instant.

@Ismael Tekoa @Sybille Maxwell

Pando

Je suis encore sous le coup de l'émotion de cette soirée vaudou à laquelle je viens d'assister avec ma colocataire. L'ambiance était incroyable, la musique, les couleurs, les danses, tout m'a transporté dans un autre monde. Et puis, il y a eu ce baiser, imprévu mais bouleversant. Complètement ardent, effaçant les contours du monde, créant une bulle d'envie tout autour de nous. L'irruption du réel a été un choc, avec ce mec balancé au sol mais le maitre de cérémonie a rapidement balayé tout ça en nous emmenant à l'intérieur. Ce jeune homme au charme étourdissant qui nous a accompagnées sur la piste de danse. Nous dansons ensemble, et je dois avouer que si Jenna est complètement subjuguée, je ne suis pas insensible à son charme.

Pendant que nous dansons, je sens mon cœur battre de plus en plus fort et je l'invite à m'aider à la rendre folle. Je crève d'envie de l'embrasser, de ressentir de nouveau ses lèvres contre les miennes. Mais je résiste, faisant monter la fièvre, jusqu'à ce que les caresses du jeune homme ne me tire à elle. Je ne voulais pas gâcher cette soirée magique en cédant à mes impulsions, mais c'est déjà trop tard et je n'ai plus envie de penser. Alors je continue à danser contre elle, avec lui qui s'écrase dans son dos, profitant de l'instant, enivrée que chaque mouvement de nos corps qui semble s'accorder aussi parfaitement. Sentir le souffle chaud du jeune homme, contre mes lèvres jointes à celles de Jenna... putain ça me rend folle.

Je me laisse aller au rythme des basses, enlaçant ma colocataire et le mystérieux inconnu qui nous accompagne sur la piste de danse. Nos corps se frôlent, se pressent les uns contre les autres dans une osmose parfaite. Je sens le regard de mon amie qui me brûle, elle sait que j'ai envie d'elle désormais. Peut être que plus rien ne sera pareil, mais alors là tout de suite... je m'en branle. Mes lèvres abandonnent celles de Jenna, alors même qu'elle a agrippé ma fesse. Je sens leurs mains se disputer le galbe de mon cul... c'est complètement dingue. Je fixe la jolie dame avant de me tourner vers le jeune homme pour capter sa nuque et l'attirer contre nous. Je l'embrasse, dérive sur la bouche de Jenna, retourne à la conquête de celles du brun que je mordille suavement et puis je m'oublie, je me perds... Je gémis doucement alors que je ne sais plus qui embrasse qui, tout se mélange dans un tourbillon de désir et de passion. Les lèvres de mon amie se posent sur les miennes, puis celles du garçon viennent s'ajouter dans un baiser à trois totalement délirant. Nous nous laissons aller, sans retenue ni tabous, enivrés par la musique et peut être un peu de la magie de la soirée vaudou. Aucun doute, quoi qu'il arrive désormais, cette nuit restera gravée dans ma mémoire à jamais, comme un souvenir brûlant et sensuel, un moment de liberté où tous les désirs étaient permis. Mais je n'ai clairement pas l'intention que ça s'arrête. C'est beaucoup trop puissant et ardent pour que je n'en veuille pas plus. Je me noie, très volontairement, dans le désir, cette flamme ardente qui me consume.

Le cœur avide de passion dévorante, je caresse, embrasse, emportée dans cette danse enivrante. Ils sont le feu qui brûle dans mes veines et je cherche toujours plus de contacts avec l'objet de mon émoi. Le désir, cette douce torture qui me pousse graduellement à plus d'envie encore, à celle de rechercher l'extase ultime, dans les étreintes brûlantes d'ébats enflammés. Tout s'entremêle en moi, désir, envie, frissons et frémissements d'émotion. Je vibre à l'unisson de leurs corps, dans des élans toujours plus grands et plus forts. Je rêve d'un royaume, d'un empire, où le plaisir est roi et le temps suspendu, dans une étreinte divine où tout est absolu. Je tremble contre eux, le souffle erratique, les yeux noyés, le corps alanguie, désireuse bien au delà des mots.

Je suis encore tout vibrant de cette soirée. Il faut que ces soirées soient réussies. On se doute qu’on va avoir des infiltrés. Des flics sous couvertures, des petits malfrats comme celui que j’ai viré. Mais on doit faire passer ça pour un spectacle culturel et non une véritable religion. Je veux répandre le vaudou sur la ville parce que c’est nous, parce que c’est moi. Je suis le lion noir, celui qui veille sur son territoire et qui protège son clan. Ce soir, je me sens fort et puissant. Je suis intouchable et j’avoue que les créatures de rêves qui viennent de m’inclure dans leurs caresses et rapprochements ça me met le ventre à l’envers de délice. Mon corps musclé et puissant se frotte aux leurs. La brune est un peu plus jeune et à peine plus petite que la blonde et si chacune est absolument parfaite, je serais bien incapable de savoir laquelle je peux trouver la plus jolie. En tout cas pour des lesbiennes, elles sont carrément conciliantes avec les mecs. À moins que ça ne soit moi ? Je ne sais pas expliquer ma situation actuelle, mais hors de question de laisser passer l’occasion de me frotter à ces deux déesses sans en profiter un maximum. Je glisse mes mains sur elles tour à tour, restant toujours sur des zones qu’on va considérer comme « non critiques » histoire de ne pas passer pour un tripoteur déjà que j’ai tendance à beaucoup me frotter contre elles…

Mais au fil des secondes qui s’égrènent et des basses qui m’étourdissent et résonnent dans mon corps, je me fais écraser contre elles et fondant de plaisir, je sens parfois leurs poitrines venir s’écraser sur moi. Leurs mains détailler ma musculature solide et je les regarde s’embrasser, me tenant tout proche si bien que mon souffle doit se sentir sur leurs peaux. Mon Dieu que c’est sexy de voir deux femmes s’embrasser d’aussi près… J’avoue que je peine à respirer. Je commence à apprécier de serrer ces deux femmes contre moi et de les sentir contre mon corps. Mon bassin collé aux fesses de la jolie brune, ça me met dans un émoi incommensurable. Mais lorsque la blonde quitte les lèvres de la brune pour venir capturer les miennes, c'est comme un savoureux coup de fouet qui me cingle les reins et fais dérouler une vague de picotements électriques le long de ma colonne vertébrale. Je m’enflamme et écrase cette odieuse bosse naissante sous mon jean contre les fesses de la brune alors que ma langue décide de venir se mêler à celle de la blonde dans une danse passionnée et dévorante. Mais déjà, elle quitte ma bouche et reprend celle de la brune pour revenir à moi encore. Je frissonne de délice et je viens même donner un baiser à la brune avant de me tourner vers la blonde. Cette histoire me donne décidément bien trop chaud et je suis en train de bruler de l’intérieur.

Nos mains ne cessent de glisser sur l’un ou l’autre et je n’en peux plus de cet amas fabuleux de caresses et de baisers sulfureux. La douce tension qui me déchire les entrailles est en train de me rendre fou. N’y tenant plus vraiment, je profite de la chanson suivante pour agripper les poignets des deux femmes et les entrainer à travers la foule hors de la piste de danse et de la bâtisse. Le lion noir vient de faire son choix et je ne veux pas m’en tenir à des caresses au milieu d’une piste de danse. J’ai faim d’elles et il est hors de question que je retienne mes désirs. Certes si l’une d’elles ou les deux veulent que ça s’arrête là, je ne forcerai rien, mais pour l’heure, je les mène à l’écart sur la plage dans un coin un peu abrité.

Soirée Vaudou

Outfit -- Cette soirée à eut le don de me transporter dans un tout autre monde, une tout autre dimension. C’est amusant, mais c’est comme si en dehors de mes deux partenaires plus rien d’autre ne pouvais avoir de prise sur moi. Happée, littéralement transporté dans un océan de sensualité incroyable. Le baiser de Sybille a été en quelque sorte l’élément déclencheur, ce qui a transformé cette soirée magique en une soirée incroyablement parfaite. Je mentirais si je disais que je n’avais jamais posé sur ma délicieuse colocataire un regard appréciateur, mais je n’avais pas imaginé que les choses puissent aller au-delà… et pourtant, à cet instant mes lèvres quittent les siennes que pour celles du beau mâle au corps athlétique et ensorcelant. Mon corps délicieusement pressé contre les leurs m’offres des sensations que je peine même à décrire tant elles sont magiques et délicieuses.

Nous dansons les uns contre les autres, comme si nos trois corps formaient une seule entité aussi ardente que le coeur en fusion d’un volcan. Je suis complètement subjugué par cet homme dont le charme et le charisme assourdissant nous enveloppe toutes les deux. Sybille semble elle aussi complètement sous le charme. Chaque caresses, chaque contacts qu’ils m’offrent fait qu’accroitre un désir plus brûlant, contre lequel je ne pourrais même pas lutter. Je n’ai pas envie de lutter, non, c’est même tout le contraire. Ne plus penser, céder à ses envies sans se soucier des conséquences, c’est dangereux certes, mais je crois bien que je m’en fiche complètement… être sage et raisonnable, ça n’a jamais été mon fort de toute manière.

Mes doigts et ceux du Lion Noir s’enlacer sur le galbe parfait des fesses de ma sublime colocataire. Cette caresses conjointes est délicieuse, et semble parfaitement au goût de Sybille que je pourrais presque la sentir frisonner contre moi. La voir l’attirer contre nous, pour vaquer de ses lèvres au mienne est un spectacle étourdissant dont je ne me lasserais probablement jamais. Nos lèvres forment alors un balais parfait, mes lèvres vaquant de l’un à l’autre sans y réfléchir, je profite de l’instant c’est tout… et il n’y a rien de mieux, et je ne vous parle pas de cette sensation terriblement excitante de les voir s’embrasser, leurs lèvres l’une contre l’autre, leurs langues danser ensemble, tout en sentant cette excitation durcir contre ma croupe. Exquis. Putain ils me font un de ces effets, c’est à peine croyable. Cette soirée est en tout point magique, allant déjà bien au-delà de mes espérances, qui aurait pus imaginer un moment d’une telle perfection ? La puissance de ce désir qui émane en moi est totalement inédit, une soirée déjà gravée en moi alors qu’elle ne fait pourtant que commencer. Un moment d’une sensualité extrême qui met tous mes sens en alerte. Comment pourrais je accepter d’en rester là alors que mon corps tout entier est en ébullition ? Brûlant d’un désir si grand que je n’en mesure même pas l’immensité.

Je reviens à une pseudo réalité que lorsque sa main large et puissante se referme sur mon poignet, il nous entraîne ensemble à sa suite, traversant la piste de danse, fendant la foule pour nous conduire dans un coin à l’écart sur la plage. Ce désir qui me brûle les entrailles et me met le ventre à l’envers fait que s’accroître. J’ai envie d’elle, j’ai envie de lui, et désir semble partager et nous unir tous les trois. Je jette néanmoins un regard à Sybille pour m’assurer qu’elle est bien aussi partante que je le suis. Ses yeux semblent briller d’une excitation au moins semblable à la mienne, c’est comme si des milliers d’étoiles semblaient animer la beauté sans pareille de ses iris. Je lui adresse un sourire complice, comme si en un seul regard je faisais passer mille mots. Mes doigts viennent immédiatement s’enlacer au sien, comme si ce contact m’étais aussi vitale que j’avais besoin d’air pour respirer. Ma main libre remonte le long du bras sombre de l’homme qui nous accompagne et semble parfaitement enclin à profiter de notre compagnie. La Lion Noir… rien que ça. Mes doigts glissent dans sa nuque, exerçant une très légère pression pour l’inciter à se baisser légèrement pour venir en me hissant sur la pointe des pieds pour sceller mes lèvres contre les siennes le temps d’un baiser brûlant.

« Vous savez faire la fête dites donc, elle est dingue. »

Je parle de la fête à proprement parlé oui, mais pas seulement, ce rapprochement qui m’a irrémédiablement ouvert l’appétit n’y est pas pour rien. La musique nous parviens toujours mais de manière nettement moins intense. Je me laisse envelopper par la chaleur de leurs regards, loin du reste de la foule, c’est réellement comme si nous étions seuls au monde, unis par la seule force d’un désir électrisant. Je me tourne vers Sybille, lui adressant un sourire taquin soufflant ses quelques mots à son attention : « Et il n’y a pas que cette fête qui me rende dingue visiblement » Non, ELLE me rend dingue… IL me plonge dans le même état, je sais qu’après cette soirée des choses vont changer, mais qu’importe, nous verrons bien en temps voulu.

@Ismael Tekoa @Sybille Maxwell

Pando

Je me laisse guider par cette spirale de désir insatiable, abandonnant toute retenue et me laissant porter par les vagues de passion dévorante. Cette soirée est en train de me monter à la tête? Peut être bien ! En tout cas, j'ai laissé la retenue loin derrière moi et je m'abandonne désormais au bonheur de la presser contre moi. La virilité de ce corps qu'il l'encadre de l'autre côté me mettant un feu incendiaire dans le ventre. Quand il nous guide vers l'extérieur, je ne cherche même pas à comprendre. Il l'aurait déshabillée au milieu de la piste que j'aurais suivi de la même manière. Le monde n'existe plus, il m'indiffère, tout mon attention est concentrée sur le contraste saisissant de leurs peaux qui s'emmêlent.

Alors je suis et la plage devient notre sanctuaire, notre temple où je veux voir célébré la fusion de nos corps enivrés. Les vagues caressent doucement le rivage, semblant accompagner le rythme effréné des battements de mon coeur. Elle l'embrasse et je n'en perds pas une miette, je crois même que j'exhale un soupir envieux. Mes mains sont avides d'explorer chaque centimètre de peau, révélant des frissons électriques à chaque contact, je n'en peux plus d'envie. Alors je m'avance et me colle contre eux deux, mes lèvres cherchent, trouvent des jumelles sans trop savoir lesquelles et se perdent dans un mélange de douceur et de férocité. Je sens les souffles haletants se mêler, les gémissements s'échapper de nos bouches, portés par le vent nocturne et ça me rend totalement extatique.

Mes sens sont en éveil, amplifiés par cette communion charnelle. Chaque caresse, chaque baiser, chaque échange de regards est une promesse de plaisir intense. Les frontières entre nous s'estompent, nous devenons une entité brûlante, assoiffée de désir, abandonnant toute notion de limites ou de conventions. J'ai rarement eu le ventre aussi tenaillé par l'envie de faire l'amour qu'en cette seconde, c'est fou. La saveur de leurs baisers est un élixir qui me fait planer.

La nuit s'étire, les étoiles scintillent au-dessus de nous, témoins silencieux de notre transe passionnelle. Les corps se tordent, s'entrelacent, se désirent encore et toujours plus. L'excitation monte en flèche, mes doigts rampent contre le ventre de Jenna et je déboutonne son short en jean pour y glisser les doigts. Je caresse tout ce qui est à portée de main, de lèvres, de peau. Mon corps entier caresse les leurs et mon souffle est haletant, erratique.

Je me moque totalement des conséquences ou des lendemains incertains. Seul compte l'instant présent, cette communion sauvage où se mêlent le feu de la passion et une once d'interdit. Je me perds, corps et âme, dans cette danse éperdue, où les sensations deviennent des torrents d'extase, où le temps se suspend et où nous sommes les seuls maîtres de notre destin et bordel ce que j'aime ça. La nuit s'embrase, aussi fort que mon ventre, une étoile filante qui semble ne pas oser contempler l'indécence de nos corps qui se veulent. Je tombe à genoux, emportant le short de mes mains, remontant en pluie de baisers brulant, achevant ma course contre le torse du lion noir avant de venir furieusement dévorer sa bouche.

-"J'ai tellement... tellement envie de vous deux ! C'est en train de me dévorer de l'intérieur." Quelques mots que je susurre contre les lèvres du jeune homme, mes doigts rampant pour trouver la fente humide de celle qui est désormais bien plus que ma colocataire. -"Han putain... putain je vous veux !" J'ai l'impression d'être une torche humaine, ma peau me brûle et crépite du besoin de se fondre à la leur.

Je crois que la chance me sourit ce soir. Et je crois que la folie qui s’empare de moi est si douce que je pourrais sans doute jeter ces deux femmes au sol dans un matelas ridiculement petit fait de nos habits en vrac pour leur faire l’amour ici devant tout le monde. À vrai dire, je m’en ficherai totalement. Mais je crois que j’ai déjà une chance immense de me retrouver attiré entre elles. Je ne connais même pas leurs noms. Je me suis retrouvé près d’elle suite à un concours de circonstance et je les avaient repérées. Mais j’avais pensé qu’elles étaient en couple et jamais, je n’aurais imaginé qu’elles m’incluraient entre elles… J’ai beau avoir ce statut de chef ici, je n’ai jamais eu le loisir de me retrouver pris entre deux femmes et forcément l’idée me met le feu au corps. Ma peau me brule et leurs manières de se coller à moi sans pudeur et me toucher, s’embrasser et m’inclure dans leur échange me fait littéralement vriller. J’impulse la suite en les prenant par les poignets pour les emmener avec moi vers l’extérieur. Je traverse la plage le cœur légèrement battant. Putain, je suis vraiment aux portes de cet instant ? Je vais vraiment m’isoler pour faire l’amour avec deux femmes et deux femmes étourdissantes de beauté et de perfection ? Je frissonne et doit me retenir de ne pas courir à toute allure pour rapidement atteindre ma destination. Sans un mot nous nous retrouvons à l’écart, abrité dans un coin de la plage ou personne ne viendra nous trouver et où personne ne pourra nous voir. Je me tourne vers les deux femmes et après un regard, c'est la petite brune qui m’attire en me caressant le bras pour m’embrasser avant de saisir ma nuque avec fermeté. Je réalise avec délice qu’elle est largement décidée à faire ce pourquoi on s’est éloignés. Elle me dit qu’on sait faire la fête et je souris en la regardant, me redressant pour en imposer de ma stature. Puis, elle regarde la blonde et déclare que la fête n’est pas la seule chose qui la rend dingue.

Mon regard se tourne vers la jolie blonde et je confirme… Elle me rend dingue-moi aussi. Bien aisée cette situation où je n’ai pas de choix cornélien à faire. Choisir l’une serait renoncer à l’autre. Et Mawu soit loué, je n’ai aucune raison de le faire. Je contemple la jeune femme blonde qui s’avance vers nous et se love tendrement, venant embrasser la petite brune puis moi. Ses mains glissent sur moi et sur elle. Je pioche de nouveau des lèvres au hasard sans plus savoir qui j’embrasse et soudain c’est leurs deux langues que je sens contre la mienne. Existe-t-il sensation plus étourdissante encore ? À cet instant, j'en doute fortement. Mais soudain la blonde s’attaque au short en jean de sa copine et tombe à genoux pour le lui retirer avant de remonter le long de mon corps pour m’embrasser et murmurer qu’elle a tellement envie de nous deux que ça la dévore de l’intérieur. Je crois que je suis dans le même état. Elle caresse toujours la brune et gémit qu’elle nous veut. Je brule de l’intérieur et glisse mes mains sur elles. Ma main glisse sous l’élastique du maillot de la blonde et trouve son sexe que je caresse de mes doigts alors que l’autre main finit entre les cuisses de la brune pour les caresser à cet endroit intime avant de murmurer.

« Occupez-vous de vous déshabiller l’une l’autre, je m’occupe de vous enflammer… »

Mes doigts s’enfoncent en synchronisation parfaite en elles et viennent les masser délicatement en les doigtants avec passion, cherchant à les rendre fiévreuses et les voir se jeter l’une sur l’autre et se déshabiller. Merde, je crois que je vie ma meilleure vie en ce moment et j’ai les yeux qui brillent de délice. Le plaisir rampe sous ma peau et je frissonne à n’en plus finir. Ce soir, je suis fort et puissant et la présence de ces deux femmes me donne le sentiment d’être un Dieu vivant… C’est grisant et je lutte encore pour conserver un semblant de contrôle sur mon corps qui est à deux doigts d’agir de sa propre volonté…

Soirée Vaudou

Outfit -- J’ai cette sensation étrange d’être complètement déconnectée de la réalité, comme propulsée dans tout autre monde ou la sensualité et le désir règne en seuls maîtres. Comment une simple soirée un samedi soir peut-elle prendre un telle tournant ? Je ne m’y attendais clairement pas et c’est justement cet effet de surprise qui rend ce moment plus précieux et brûlant qu’il ne l’est déjà. Coincée entre ses deux corps, si différents… et pourtant tout aussi plaisant et excitant un plaisir dont ne peux plus me passer maintenant que j’y ais goûté. Cette gourmandise exacerbée grandit en moi, prends une dimension complètement dingue, je ne contrôle plus rien, cette envie brûlante qui monte en moi devra être assouvie, je veux laisser le plaisir me posséder et me consumer comme jamais. Je n’avais jusqu’à ce soir jamais perçue Sybille de cette manière, bien sur qu’elle était belle et attirante, mais je n’avais jamais envisagé de prendre un tel virage avec elle, et pourtant, à présent que mes lèvres ont goutté aux siennes, j’ai envie d’y goûter… encore et encore… sans jamais m’arrêter, et cet homme… ce lion aux allures viriles à la danse complètement hypnotique, je n’aurais pas imaginé que j’allais pouvoir lui dévorer les lèvres à loisir… encore moi avec elle. Cette situation à tout d’un rêve à l’érotisme époustouflant et pourtant je ne rêve absolument pas.

De la piste de danse, il nous guide vers l’extérieur, sur la plage dans un recoin tranquille et à l’abris des regards, nous garantissant une intimité parfaite. Je n’ai plus qu’une envie et c’est eux, j’ai une faim féroce et ils semblent être les deux seules personnes à être en mesure d’éteindre ce feu qui me consume. Je n’ai jamais ressenti une attirance pareille, c’est fou, c’est intense… sauvage et complètement décadent. Je viens l’embrasser lui, dévorant ses lèvres, comme si un seul baiser pouvait traduire la puissance de mes envies. Sybille vient se coller à nous, et tout mon corps frissonne. Elle a un effet fou sur moi. Mon coeur bat si vite dans ma poitrine que j’ai l’impression que je pourrais en entendre les battements effrénés. Ses lèvres se mêlent aux nôtres, ce balais est d’une perfection absolue, je finis par de plus savoir qui j’embrasse mais celà m’est égale. Je les dévore l’un et l’autre avec une gourmandise que j’assume totalement.

Ce vers quoi nous nous aventurons n’est pas commun, c’est même probablement totalement fou, mais terriblement excitant. Cette passion qui émane de nos corps en fusion est palpable, elle plane tout autour de nous, nous enveloppant dans une sorte d’aura sensuelle et brûlante. Un gémissement m’échappe, étouffé par la pression passionné d’un baisé lorsque les doigts de ma délicieuse colocataire glissent à l’intérieur de mon short. La chaleur qui se propage et moi m’électrise jusque dans chacune des fibres de mon être. l’une de mes mains glissent sur sa poitrine, malaxant sa poitrine au galbe parfait, pendant que la seconde vient contre son entrejambe, caresser son colosse de chair au travers du tissus pour le sentir se durcir sous mes doigts.

Un gémissement de surprise et d’impatience m’échappe quand Sybille tire sur mon short, m’en débarrassant sans plus attendre. C’est la respiration rapide et irrégulière que je l’observe l’embrasser tout en laissant ses doigts s’aventurer entre mes cuisses déjà luisante d’une excitation d’une évidence incroyable. Quand elle évoque son désir nous concernant c’est comme si elle venait d’enflammer quelque chose en moi, déclenchant un feu d’une puissance et d’une violence tout bonnement incroyable. Je gémis sans la moindre retenue, laissant ce plaisir fou et sauvage prendre possession de moi. Comme seule réponse à cet aveu absoluement troublant, j’embrasse ma jolie blonde jusqu’à en perdre mon souffle, une réponse à son désir silencieuse certes mais incroyablement parlant je pense. Mon regard brillant et incandescent se pose sur elle quand les doigts de notre amant glissent en nous. Mes lèvres s’entrouvrent pour laisser des gémissements en passer la frontière. Ses attention m’étourdissent, je les regarde l’un et l’autre tour à tour, les yeux luisant d’émotions et de sensation qui me dépasse allègrement. Mes doigts agrippent les bretelles du maillot de ma délicieuse colocataire pour les faire glisser sur ses bras et offrir à la gourmandise de notre regard sa poitrine au galbe parfaite. Lentement j’aide ce malheureux morceau de tissu à tomber sur le sable fin de la plage. Je me penche en avant pour empoigner un de ses seins, que je viens malmener avec ma langue, léchant, suçant se pointe jusqu’à l’entendre gémir. Ils me rendent totalement dingue… Ma main vient attraper celle de ma délicieuse amie pour que l’on vienne en concert caresser cette virilité qui attise notre gourmandise commune.

@Ismael Tekoa @Sybille Maxwell

Pando

Alors que mes mots se perdent dans l'éther de la nuit, une étincelle s'allument dans leurs yeux, témoin de leur propre désir. Nous nous laissons emporter par cette spirale d'étreintes enflammées, où le désir se tisse tel un fil d'or autour de nos corps assoiffés. Les barrières de la retenue s'évanouissent, laissant place à une passion dévorante qui consume nos sens. Tel des alchimistes des plaisirs, nous nous fondons dans cette danse effrénée, où chaque caresse est une note harmonieuse jouée sur les cordes sensibles de nos envies. Je vais de l'un à l'autre, de caresses en baisers, appréciant la myriades de différences entre leurs épidermes, dans la saveur de leurs lèvres... je tombe pour eux et je ne cherche pas le moins du monde à me retenir.

Au contraire la soirée se mue en une ivresse de sensations transcendantes, où les vagues de désir submergent nos êtres, autant que la raison. Nous nous perdons dans l'abandon, laissant nos instincts guider nos gestes avec une férocité brûlante. Nos corps s'entrelacent, formant une toile enchevêtrée d'extase, où les contrastes de peau s'entremêlent tels des pinceaux sur une toile vierge. Je ne connais même pas son prénom... Cette pensée un instant, avant que ses doigts ne trouvent le repli le plus intime de mon être et que cette douce pénétration ne me fasse exhaler un soupir brulant.

Comme une marée en furie, nous nous enchevêtrons les uns aux autres, sans chercher à comprendre. Elle me déshabille et je fais de même, comme si l'étoffe de nos vêtements tombait en lambeaux sous le feu qui déborde de nos êtres. Le monde extérieur n'a plus d'importance, nous sommes consumés par l'éblouissement des chairs qui se mêlent et c'est tout ce qui importe sur cette plage. Notre sanctuaire où les flammes de nos corps s'unissent et brulent pour se rejoindre. Les vagues effleurent tendrement le rivage, en parfaite harmonie avec le battement effréné de nos cœurs. Chaque baiser échangé est une symphonie de douceur, et nos mains avides explorent chaque parcelle de peau, déclenchant des frissons électriques à chaque contact. Notre désir est insatiable, chaque fibre de notre être appelle à l'étreinte. Ma bouche trouve la pointe dardée de son sein et j'y referme doucement les dents, grondant sous l'assaut des doigts du jeune homme.

Nous nous approchons les uns des autres, je me colle, comme pour me fondre dans leur chaleur, nos lèvres cherchant les jumelles, sans distinction. Dans un mélange de douceur et de ferveur, nous nous perdons dans cette étreinte passionnée. Les souffles s'entremêlent, les gémissements s'échappent de nos bouches, portés par la brise nocturne, une symphonie sensuelle qui nous plonge dans un état d'extase totale.

Mes sens s'aiguisent, amplifiés par cette fusion charnelle. Chaque caresse, chaque baiser, chaque échange de regards est une promesse de plaisir intense. Les frontières entre nous se dissipent, nous devenons une entité brûlante, avide de désir, laissant derrière nous les limites et les conventions. Mon ventre brûle d'un désir ardent, d'une passion dévorante, comme rarement auparavant. La saveur de leurs baisers est un élixir qui me fait planer au-delà des cieux. Sa bouche s'écrase sur la mienne et je dévore Jenna comme si ma vie entière en dépendait. Quand elle abandonne mes lèvres je pousse un gémissement de frustration, qui s'étiole en douceur, puisque sa bouche trouve mon sein et m'étourdit, alors même qu'elle vient me guider pour joindre nos mains contre la virilité du jeune homme.

La nuit s'étend, les étoiles scintillent au-dessus de nous, témoins silencieux de notre transe passionnée. Nos corps s'entrelacent, se tordent, toujours en quête de davantage, je me plaque contre le torse du jeune homme pour achever de le mettre à nu lui aussi. L'excitation grandit en flèche, quand je révèle les lignes de son corps et je crois que je pousse un petit soupir ravis. Nos doigts se glissent le long du ventre de cet apollon, pour rejoindre sa virilité et s'y refermer. Une lente caresse, douce, mais aussi frustrante, alors j'attire Jenna près de moi, à genoux sur le sable, forçant le jeune homme à abandonner ses caresses brulantes mais aussi à se mettre debout.

Ma peau brûle d'une fièvre intense, et je ne peux plus attendre. Je succombe au désir, abandonnant toute inhibition. Chaque mouvement est une déclaration de passion débridée, où les limites se dissolvent et où nous sommes libres d'explorer les recoins les plus sombres de nos désirs. Je dévore une seconde la bouche de Jenna et dépose ensuite la mienne sur la cuisse du jeune homme. Je relève les yeux sur lui une seconde, puis fixe ma colocataire, du défi dans les prunelles. Et si on le rendait fou, toutes les deux? Ma bouche remonte le long de sa cuisse, explore, ma langue se darde et je progresse lentement jusqu'à sa virilité fièrement érigée pour lui octroyer les douceurs que recèlent mes lippes. Dans cet éden secret, sur cette plage, au clair de lune, nous sommes les protagonistes d'un récit enflammé, où les frontières du plaisir se repoussent sans cesse. Véritables âmes errantes en quête de l'ultime et parfaite fusion de leurs corps et de leurs esprits. Et le plus beau là dedans? Ce voyage putain... il fait que commencer. C'est la pensée évanescente qui me traverse alors que je referme les lèvres. Mon souffle chaud et enivrant enveloppe son membre, en une caresse intime et profonde. Mes mouvements se veulent irrésistibles. Ma langue, agile et joueuse, danse autour de lui, explorant chaque centimètre de son membre avec une dévotion enchanteresse. Quand je l'abandonne, ce n'est que pour laisser ma bouche retrouver celle de Jenna, et recommencer, encore et encore.

Cette soirée tourne au fantasme, au rêve éveillé. Je suis pris dans ce duo et je forme le 3eme membre de ce qui est devenu trio. Sous la clarté de la pleine lune qui nous éclaire de sa lumière, je me sens rayonner comme un dieu vivant. Je suis le fils de Mawu, le lion noir qui mène les membres du clan. Nous sommes 10 en tout et les autres membres du quartier nous voient comme un petit groupe qui s’amuse et met l’ambiance, mais ce soir, après la cérémonie, la danse, la correction infligée à ce petit dealer sous les yeux de ces femmes, puis cette danse et ce rapprochement. Ce soir, je me sens roi d’un pays puissant. Je me sens comme un homme fait dieu. J’ai l’impression que le monde entier se prosterne à mes pieds et se soumet à mes 4 volontés. Les deux femmes rivalisent de charmes et de douceur. Le plus exaltant, c'est cette sensation fiévreuse qu’elles sont en train de se découvrir l’une et l’autre. C’est presque dingue à imager qu’on puisse ce soir être trois à se découvrir. Pourtant, quand je vois la blonde retirer le short de la brune et la brune retirer le haut de la blonde et s’attaquer à ses seins, je ressens comme une fébrilité profonde et un émerveillement sincère. Je les contemple en les caressant alors qu’elles répondent à mes ordres sans un mot. Je me délecte de les contempler à ma guise en caressant leurs intimités qui se réchauffent sous l’action de mes doigts et dont l’humidité se fait sentir au point que je parviens à glisser en douceur mes doigts dans leurs corps. Mince. Deux femmes belles comme des anges… J’en tremble d’excitation et pourtant j’ignore tout d’elles. Jusqu’à leurs prénoms. Je vais vraiment le faire ? Alors que je ne les connais pas ? L’idée est folle. Folle et séduisante.

Je ressens la douce chaleur de leurs sexes sur mes doigts qui coulissent avec tendresse dans leurs corps. Je cherche à leur donner la plus douce des sensations, mais soudain alors que les étoiles scintillent autour de nous et que je me laisse bercer par les petits gémissements et bruits de leurs soupirs et baisers, par le va et viens de la mer derrière nous. La jolie bonde glisse à genoux dans le sable et entraine sa comparse me forçant à cesser mes caresses. Je me fais alors déshabiller et me retrouve nu et excité face à deux femmes superbes à genoux dans le sable face à moi. Vibrant de délice, je les regarde joindre leurs mains sur mon sexe et me caresser ensemble. Je soupire alors qu’elles échangent un dernier baiser puis c’est la blonde qui me fixant de ses yeux magnifiques vient embrasser ma cuisse. Ses baisers me brulent la peau et j’adore ça. J’ai le souffle court et aucune parole ne parvient plus à sortir de ma bouche. Elle me jette des regards avides comme si j’étais un roi puissant et regarde son amie comme pour la provoquer. J’arque un sourcil avant de contempler la blonde lécher ma cuisse et se rapprocher de mon sexe. Lentement sans se presser, elle se rapproche et glisse enfin sa langue brulante et douce sur mon sexe raide. Un soupir nait de mes lèvres entrouvertes, mais soudain mon sexe est aspiré dans la bouche de la blonde qui me contemple droit dans les yeux… Sa langue s’agite tendrement autour de mon sexe, je me délecte de sa caresse qui se passe sous les yeux brillants de sa copine. La blonde s’arrête et l’embrasse me laissant une sensation de froid sur le sexe en comparaison à la chaleur de sa langue. Je les regarde s’embrasser alors que la blonde revient me sucer. Je glisse une main dans ses cheveux et accompagne ses mouvements sans m’imposer, mais de l’autre main, je caresse la tête de la brune et l’approche doucement, guidant son visage vers la base de mon sexe, l’invitant à en lécher la zone renflée juste sous la base pendant que la blonde s’active le long de ma verge dressée… Oh mon Dieu, cette sensation est indescriptible. Je me sens à la fois roi et puissant et tout à la fois victime et proie de ces deux prédatrices avides de mon corps dont elles disposent à leurs convenances. Je suis incapable de bouger ou de parler tant la douceur et l’intensité des caresses me saisit. J’aime me retrouver à ce point impuissant, totalement dominé par deux déesses qui s’activent de leurs langues à genoux devant moi…

Soirée Vaudou

Outfit -- Je suis happée dans un tourbillon émotionnel complètement décadent, un désir fou et complètement inédit imprègne toutes les fibres de mon être. C’est dingue, je suis incapable de penser à autre chose qu’à lui, qu’à elle… à nous et cet union parfait que nous formons nos corps pressé les uns contre les autre. C’est brûlant, c’est sensuel. J’ai encore du mal à me rendre compte vers quoi nous nous enfonçons inlassablement à force d’échauffer mutuellement nos corps et nos esprits. Rien ne pourra nous arrêter, c’est la seule certitude que je peux avoir à cet instant. La seule. Pour le reste je suis trop chamboulée, trop troublée pour y songer. Nous verrons demain, mais si c’est un rêve je voudrais ne jamais me réveiller.

Nous ne savons rien de cet homme, pas même son nom, et ça ne m’effleure même pas l’esprit que nous faisons les choses à l’envers. J’ai peur d’ouvrir la bouche et de gâcher ce moment de perfection totale. Les barrières de tissus tombent les unes après les autres afin que plus rien ne puisse freiner ce désir plus ardant que le coeur d’un volcan. Mes doigts explorent chaque parcelle de peau comme le plus merveilleux des trésors. Cette atmosphère brûlante et électrique qui nous enveloppe est divine, je n’ai jamais rien ressenti d’aussi intense. Ses doigts jouent contre mon intimité avec une dextérité incroyable, accompagné de ma belle colocataire, ils parviennent à faire chanter mon corps comme des virtuoses. Nos corps, nos plaisirs fusionnent ensemble pour former plus qu’une seule entité empreinte d’une passion dévorante. Mes lèvres les dévorent l’un et l’autre sans plus aucune distinction. J’ai soif d’eux, j’ai envie et besoin de la pression de leur caresse… de leur baisers contre ma peau.

Mes doigts vient s’entrelacer avec les siens pour former qu’une seule entité et venir caresser la virilité de notre partenaire. Durant cette étreinte puissante en sensualité la nuit nous enveloppe et nous donne cette sensation incroyable d’être seuls au monde. Comme si rien ni personne ne pourrait venir ébranler cet instant parfait en tout point. Admirer leurs deux corps pressé l’un contre l’autre est un spectacle hypnotique, le contraste de leurs peau est saisissant. Plus aucune barrières de tissus ne peut nous stopper dans notre élan à présent. Avec Sybille nous tombons à genoux devant lui. Je relève les yeux pour croiser son regard dans l’obscurité. Nous sommes là, telles de lionnes aux pieds du Lion noir, possédées par ce désir brûlant de le rendre ivre d’un plaisir violent et sauvage. Sybille m’étourdit d’un baiser qui finit d’abolir la moindre retenue, je l’admire frissonnante embrasser la cuisse sombre du jeune homme. Elle me fixe, et ce que je lis dans les iris brillant de ma colocataire me transporte, plein de promesse, plein de défis. Je frisonne délicieusement, ils font à eux deux vibrer chaque fibre de mon être jusqu’au tréfonds de mon âme. Partager cet homme avec elle, le dévorer en duo me rend folle. J’ai l’impression d’être affamée… incapable de résister à cette envie qui me tord le ventre avec violence.

Mes iris vacillent entre eux, allant des onyx brillant d’excitation du jeune homme, aux lèvres gourmandes et audacieuses de Sybille. Je suis hypnotisée par ce spectacle d’une intensité incroyable, c’est les lèvres ardente de ma colocataire qui me rappel à la réalité, ma langue par à la conquête de la sienne, dévorant comme un nectar pression son goût mêlé à la salive de ma blonde. Putain c’est incroyablement intense, j’ai encore du mal à réaliser que tout ça c’est réel. Une telle passion dévorante peut qu’exister dans mon esprit non ? Les lèvres de Sybille repartent à l’assaut de sa verge dressée pour notre seul plaisir. Je frisonne délicieusement en sentant les doigts de notre partenaire se refermer sur ma chevelure certainement en bataille pour guider mes lèvres entrouvertes vers la base de son sexe. Ma langue audacieuse vient le dévorer avec un appétit puissant et sauvage. Lorsque la langue de Sybille descend jusqu’à sa base, los langue s’unissent échangeant un peu de salive avant de repartir à la conquête du plaisir de notre partenaire.

A genoux devant lui, notre position est presque celle de la soumission, pourtant c’est bien nous qui menons la danse, nous sommes les détentrices de son plaisir, et cette sensation est diablement plaisante. Sa main dans nos tignasses respectives est ferme et tendre à la fois, il nous guide pour faire chanter son corps sans jamais nous imposer quoi que ce soit. Ses gémissements rauques se mêlent au doux bruissement des vagues, cet instant est mystique, comme hors du temps et de l’espace. Nous sommes seuls, écrivant les prémices d’une histoire plus folle encore que cet instant. Je n’ai plus de limites, plus rien de peut brider ce moment magique. Je le dévore avec férocité, et quand mes iris brûlant croisent ceux de ma colocataire c’est que pour y lire une pointe de défis mêlée à une excitation dévorante. Elle est divinement belle ainsi. Une de mes mains vient empoigner le petit cul sombre et parfaitement musclé de notre partenaire pendant que l’autre cours sur le corps à la peau pâle et laiteuse de ma blonde trouvant son chemin jusqu’à son intimité que vient titiller. Je veux la rendre folle et entendre ses gémissements étouffés par cette épée de plaisir entre ses lèvres tentatrices. Je pince son clitoris, l’asticotant pendant que ma langue le dévore sans pudeur ni retenue. Mes lèvres remontent par moment sur son ventre, y déposant une farandole de baiser avant de revenir à l’objet de cette faim violente et enivrante. Mes lèvres remontent le long de son pieu de chaire, pour rencontrer la langue de Sybille qui tout comme moi s’acharne à le rendre fou. Combien de temps peut il tenir ainsi torturé par deux succubes ? Cette pensé me fais sourire. Mes iris passe d’elle à lui, attentive à la moindre réaction, aux moindres soupires d’aises. Mes doigts glissent en elle pour la fourrager avec la même intensité que nous mettons à le sucer en concert toutes les deux. Jamais j’aurais put imaginer me trouver un jour dans une situation pareille, et pourtant c’est bel et bien le cas, et c’est plus intense encore que j’aurais put ne serais ce que l’imaginer…

@Ismael Tekoa @Sybille Maxwell

Pando

Dans cette nuit où les étoiles elles-mêmes retiennent leur souffle, nos corps sont les instruments d'un plaisir fou, des poèmes à peine commencés mais qui menacent de ne plus jamais finir, des flammes dévorantes qui dansent dans l'obscurité, réconfortantes bien plus que dangereuses. Le désir coule en nous comme une rivière en crue, emportant tout sur son passage, effaçant les frontières entre nos âmes, ne laissant que la passion ardente à sa suite. Me laissant dans un état complètement fiévreux, le souffle haletant, le buste agité de délicieux hoquet quand j'ose planter ce pieu de chair presque au creux de ma gorge.

Chaque contact, chaque baiser, est une mélodie envoûtante, un son doux et délicieux qui s'inscrit dans le firmament de nos sens. Les ombres de la nuit sont notre toile, nos soupirs sont les échos d'une symphonie interdite, une ode à l'abandon total. La pénombre devient un havre de volupté, où nos corps se cherchent et se trouvent, se perdent et se retrouvent, dans une danse effrénée d'extase. Elle glisse les doigts en moi et c'est contre son chibre que j'étouffe mon cri de plaisir alors qu'elle me caresse avec autant d'âpreté.

Les barrières sociales, les noms et les prénoms n'ont plus de sens ici. Nous sommes des créatures de désir, des étoiles filantes qui se heurtent dans le ciel noir de la passion. Qui explosent en vol en une myriades d'étincelles brulantes. Ses doigts tracent des chemins secrets, nos bouches se fondent en une étreinte vorace, contre le sexe dressé de notre divin amant. Nos souffles deviennent un chant envoûtant qui s'élève vers les étoiles et je me sens complètement envoutée par la magie de ce moment. Inaliénable perfection qui se teinte des milles nuances de la passion, je suffoque en regardant les joues creusées de Jenna, les contractions délicieuses du ventre du lion noir...

Le sable de la plage devient notre témoin silencieux, recueillant nos empreintes, les marques de notre union ardente. Chaque frisson est une promesse de plaisir, chaque gémissement est une offrande à la nuit qui nous entoure. Nos corps dévoilés, se découvrent, se dévorent avec une faim insatiable, affamés de l'autre, des deux autres... C'est fou et tellement bon.

La lueur de la lune caresse nos peaux, notre étreinte est une célébration de la vie, une communion des sens, une sorte de prolongation de cette cérémonie magique qu'il a offert à son public. Même les vagues qui effleurent le rivage semblent chanter notre mélodie, rythmant notre étreinte avec une douceur infinie. Nous sommes des voyageurs de l'âme, explorateurs de la chair, perdus dans les dédales du plaisir et j'adore cette sensation. Je m'arrache à l'érection qui m'affame pourtant, pour venir lécher doucement le sein droit de Jenna et me laisser ensuite glisser le long de son corps. Je m'impose avec la plus extrême délicatesse, la poussant à se redresser pour m'instiller sous elle. Pour que son intimité luisante d'envie vienne s'écraser contre mes lippes avides. Suçoter, embrasser, cajoler, sucer doucement, torturer son bouton de plaisir de la pointe de ma langue avant d'y écraser tout le velouté de sa longueur...

Chaque caresse de ma langue se veut poème, ode à la perfection de ces deux êtres contre lesquels mon corps se tend. Chaque regard est un pacte secret qui me rend plus ardente encore, plus ivre d'elle, de lui, de mes envies qui me tordent le ventre et agitant mon bassin pourtant libre de caresses. Les limites se brouillent, les conventions s'évaporent, et nous nous abandonnons à la ferveur de l'instant présent. Le désir est notre boussole, la passion est notre guide, et nous nous laissons porter par les courants envoûtants de cette nuit magique.

Et tandis que je goûte à la douceur de l'intimité de Jenna, tandis que mes lèvres dévorent ses courbes les plus sensibles, je réalise que je vis une épopée sensuelle complètement hors du réel, trop folle et trop belle pour ne pas toucher à l'indicible. Et le plus beau, c'est que ce voyage ne fait que commencer, que les pages de ce livre secret sont encore à écrire, que les étoiles continueront à veiller sur cette passion qui éclot et virevolte en ces divins instants.

Je suis un abominable veinard, je suis un prince, un roi, je suis un Dieu. Debout, baigné dans la lumière de la lune qui nous irradie, je contemple les deux jeunes femmes qui n’ont eu de cesse d’attirer mon regard toute la soirée. Rien ne m’avait préparé à les retrouver maintenant à genoux l’une et l’autre devant moi. Deux femmes superbes et largement bien trop belles qui sont maintenant en train de se partager mon sexe avec une avidité délicieuse, alternant leurs places si bien que je suis obligé de les contempler pour savoir laquelle suce ma verge dressée et laquelle promène sa langue sur mes bourses… Je tremble et je me tiens avec délices à leurs cheveux. Blonde et Brune. Je ne connais pas leurs prénoms, mais si ce soir, elles me demandent la lune, je la leur décroche sans une once d’hésitation. Le lion noir est pris par deux lionnes et s’en délecte. Je suis à la fois puissant et fort et totalement sous le charme de leurs caresses. La douceur accablante de leurs langues, la chaleur de leurs bouches, la douceur de leurs regards qu’elles relèvent avec douceur et délice sur moi me liquéfie le ventre de plaisir. On pourrait me croire en train de soumettre deux déesses à mes désirs, mais c’est moi le chanceux qui se trouve partagé par leur passion. Parce que leurs regards ne sauraient mentir. Si elles partagent un désir commun et ardent pour moi, il faudrait être aveugle et con pour ne pas voir les œillades enflammées que la blonde lance à la brune qui la contemple à son tour comme si elle était la 7eme merveille du monde. Et moi là-dedans ? Je me sens étouffé de plaisir et tellement apprécié, désiré et croyez-moi, c'est étourdissant de se faire regarder de cette manière…

Mais c’est la jolie blonde qui met un terme à ce moment que je n’aurais cessé pour rien au monde. Elle a faim de son amie et la guide pour l’allonger dans le sable. Je contemple ce spectacle, le froid de la nuit glissant sur mon sexe dressé qui après la chaleur de leurs bouches se sent victime d’un vent glacial. Je vois la brune s’empourprer de l’audace de la blonde qui laisse parler sa faim. J’ai comme la sensation de voir une chose qui a toujours été là et qui pourtant les prends l’une et l’autre par surprise. Le regard bleuté de la brune ne quitte pas la blonde qui s’immisce entre ses cuisses et vient la lécher. Je me mords la lèvre en soupirant au moment où je contemple la langue de la blonde glisser sur le sexe de la brune qui se crispe et soupire. Durant quelques secondes, je contemple ce spectacle comme si mes pieds étaient coulés dans le béton. Puis je réalise que dans cette position la blonde m’offre une vue sur ses fesses qu’elle tient bien hautes dans ma direction… Mes pieds retrouvent leur liberté de mouvement et je viens me placer derrière elle. Je caresse ses fesses et ses hanches avant de poser un baiser sur ses reins. Je me redresse. Je n’ai rien à dérouler sur mon sexe et c’est le sexe entièrement nu que je m’enfonce dans le sexe de la blonde, mon ventre se crispant de plaisir au moment de la pénétration. La brune peut me voir prendre sa copine et l’effet que le plaisir inflige aux muscles de mon ventre qui se serrent délicatement. Je me cramponne aux hanches de la blonde et pendant que je la regarde lécher la brune, je me mets à la marteler avec vigueur, remontant parfois mon regard sur la brune et son regard embrumé de plaisir qu’elle pose sur moi…

Soirée Vaudou

Outfit -- Cet instant, d'une perfection divine, est au-delà de mes rêves érotiques les plus fous et les plus torrides. Il est tellement intense et enivrant que je me sens submergé par une vague de sensations et d'émotions indescriptibles. Chaque seconde qui passe est comme une délicieuse étreinte qui me transporte dans un univers de plaisirs inexplorés. Je suis captivé par la magie de cet instant et je me délecte de chaque seconde qui s'écoule, savourant chaque sensation avec une extase insoupçonnée. Je me perds dans ce tourbillon délicieux de désirs et de plaisir, aux côtés de Sybille je m’occupe du Lion Noir, jouant avec sa virilité, sentant son excitation durcir et se raffermir un peu plus après chacune de nos attentions, repoussant ensemble les limites de l’extase pour faire de cette nuit un instant hors du temps et de l’espace ou rien d’autres que notre passion commune n’a de prise.

Fiévreuse, remplie d'un désir sauvage et ardent, je suis emportée par un torrent de passion dévorante. Chaque caresse, chaque baiser alimente ce feu qui me consume de plus en plus. Sous ce ciel étoilé, le doux murmure des vagues berce notre amour passionné. Je suis submergée par l'intensité de mes émotions, je le désire, je la désire, je souhaite leur offrir autant d'attention et de passion qu'ils m'en offrent en retour. Mes doigts cherchent et chouchoutent l'intimité de ma charmante colocataire tandis que ma langue s'occupe de cette virilité qu'il nous offre sans aucune réserve. Ma langue se mêle à la sienne, dansant avec sa jumelle sur sa virilité, m'enivrant de ses gémissements que mes doigts lui arrachent. Je n'avais jamais perçu Sybille de cette manière, et pourtant à présent, je ne peux imaginer rompre ce contact passionné. La danse du Lion Noir nous a hypnotisés et nous a rapprochés de la manière la plus délicieuse. Nos souffles chauds se mêlent pour n'en former plus qu'un. L'air frais de la nuit semble brûlant et se raréfie. Dans cette intimité enivrante, notre connexion se renforce, éveillant des désirs profonds et sauvages.

La langue de Sybille s'écarte de la mienne, déviant cette fois-ci vers mon sein droit, m'arrachant un gémissement que j'étouffe contre sa virilité, la savourant avec une ardeur accrue. Je me sens affamée, comme une bête aux abois, je suis tout simplement émerveillée de vivre une expérience aussi intense. Chaque sensation, chaque émotion est amplifiée, et je ne peux m'empêcher de me demander où cela nous mènera. La passion qui nous consume est un feu qui brûle si brillamment qu'il éclaire tout sur son passage. Je me perds dans ce tourbillon de désir et de plaisir, m'abandonnant complètement à cette extase enivrante. Chaque instant est précieux, chaque caresse est une symphonie, et je me sens vivante comme jamais auparavant. Cette connexion profonde et intime que nous partageons est une expérience qui dépasse toutes les attentes et les limites de ma compréhension. Je suis subjuguée par cette alchimie qui nous unit et je savoure chaque seconde de cette rencontre passionnée. La langue brûlante de Sybille glisse le long de mon corps, explorant chaque centimètre avec une délicatesse enivrante, jusqu'à atteindre finalement sa destination entre mes cuisses. Je me redresse, réprimant un soupir de plaisir extatique lorsque ses caresses viennent envelopper mon intimité. Brûlante... palpitante, les gémissements qu'elle m'arrache sont une symphonie passionnée dédiée au plaisir. À quel moment ma colocataire est-elle devenue la plus ardente des amantes ? Je ne peux prédire ce que l'avenir nous réserve, mais pour l'instant, je me délecte de chaque instant, le vivant avec une intensité qui rivalise avec celle d'un dernier souffle.

Je suce et cajole son membre en érection tout en étouffant les gémissements de plaisir arrachés par la langue salvatrice de ma blonde. Putain elle me rends dingue, folle d’un plaisir sauvage et décadent. Dans l’obscurité de la nuit, je remonte les yeux sur lui, mes iris brillent de satisfaction quand je voix le plaisir sur son visage éclairé par les rayons argenté et mystique de la lune. Mes joues s’empourprent quand mon corps ne semble pas être prêt à vivre un truc pareille. C’est dingue. C’est fou et d’une intensité qui retourne mon âme tout entière. Je le libère pour reprendre mon air, et couler un regard sur celle qui transforme mon sang en lave en fusion, je me consume et m’embrase d’un plaisir fou. Je le regarde se déplacer pour se placer derrière elle, mon regard s’ancre dans le sien quand je distingue nettement sa peau brune courir sur la peau laiteuse de ma blonde. Il s’enfonce en elle, je sens ses gémissements poindre contre mon intimité. Je me mords la lèvre rageusement pour contenir ce plaisir qui m’embrase le corps et l’esprit. Le voir la prendre avec férocité est un spectacle divin dont je ne perds pas un instant. Mes doigts glisse dans ses cheveux dorés l’encourageant à me dévorer avec cette passion qui l’anime si bien… Sa langue est divine, mon plaisir monte et atteint des cimes vertigineuses, le tout est accru par cette vision magnifique. Le plaisir est la ligne conductrice, le fil rouge qui unit nos âmes comme les pièces d’un même puzzle et s’imbriquant parfaitement les unes aux autres.

Mes gémissements se font de plus en plus puissants et sonores, le preuve d’un plaisir qui ne cesse de croître. Mon corps menace d’exploser ce n’est qu’une questions d’instants. J’accueille ce plaisir intense et inédit, je peine à croire que tout ça est réel, mon bassin ondule contre ses lèvres divines en quête de cette explosion qui me retournera totalement. J’ai l’impression d’être dans un rêve à l’érotisme parfaitement brûlant. Mes doigts n’ont de cesse de la caresse, de glisser le long de sa nuque et la ligne divine de sa colonne vertébrale. La sensation de son corps secoué par les coups de reins sauvages du Lion Noir est d’une perfection absolue, ce plaisir que nous partageons les uns à travers les autres est incroyable. Cet instant marque mon corps et mon âme au fer rouge, si je m’attendais à une soirée incroyable j’étais à des millions de kilomètres de la réalité. La réalité est incroyablement brûlante, je me sens plus vivante que jamais, alors que je peine à trouver mon air tant ce plaisir qui me terrasse est puissant et sauvage.

@Ismael Tekoa @Sybille Maxwell

Pando

Volutes enflammées d'un plaisir interdit. Mon corps vibre et s'épanouit, sous l'assaut sidérant d'envies incandescentes. La douceur infinie des courbes de l'une, le charisme magnétique de l'autre... Je suis au paradis, ou c'est tout comme ! Non je crois même que c'est mieux. Au lieu des anges et des prières j'ai l'ardeur éperdue du désir pour me guider. Mon corps se frotte aux leurs et puis n'y tenant plus j'attire Jenna pour l'allonger sous les reflets de la lune.

Les nuances argentées qui viennent orner sa peau sont une source d'enchantement. Je la contemple quelques instants, avant de me pencher pour dévorer son sexe d'une langue envieuse. Je vrille à son contact et j'arrête de réfléchir. Je n'ai pas envie de me demander si c'est une connerie et si je devrais me tenir à distance respectueuse de ma colocataire. Pas ce soir... pas quand je peux sentir la plus intime des contractions de son corps.

Ses doigts sur ma peau, dans mes cheveux et ma langue qui se fait tantôt délicate, tantôt furieuse. Je cajole, suce doucement son clitoris, ses petites lèvres. Ma langue s'enroule, la pénètre en tournoyant doucement et j'étouffe contre son sexe le gémissement furieux qui me foudroie quand il se glisse en moi. Déjà son approche, délicate, ses lèvres sur mes reins, la douceur de la peau de ses paumes sur celle de mes hanches... Un frisson a couru le long de ma colonne vertébrale et désormais... j'ai l'impression que tout le plaisir du monde est en train de se comprimer au creux de mon ventre. Comment fait il ça ? Comment peut il me rendre ivre en deux coups de reins ?

Je pousse un cri quand il referme sa prise sur mes hanches pour me prendre plus fort et me cambre encore plus à sa rencontre tout en dévorant âprement le sexe offert de Jenna. Mes bras sont venus se verrouiller autour de ses cuisses, pour mieux l'offrir à mes caresses, autant que pour trouver un appui pour mieux subir la violence des assauts du lion noir. Je me cambre de plaisir, me tend vers lui, fais claquer mes fesses contre son bassin et je vrille encore et encore. Putain ce que c'est bon !

Je me moque totalement qu'on puisse nous voir ou nous entendre. Je veux qu'elle crie pour moi, pour lui, qu'elle prenne son pied autant que je le fais. Je suis sidérée par la puissance magique contenue dans ce moment. La lune darde ses rayons sur sa peau d'albâtre, s'enroule autour de ses seins parfaits en volutes majestueuses et je me crispe d'extase. Mon corps se tend et je suffoque avant de me libérer sur un cri rauque. Je jouis, sans la moindre retenue, me laissant aller sur la crête de ce frisson enchanteur. Cette lame de fond, qui part de mon ventre et rampe dans tout mon corps. L'adrénaline, les endorphines, mes hormones en un feu d'artifice inonde chaque cellule de mon être pour m'offrir à l'orgasme autant qu'à eux. Cette femme magnifique, cet homme sublime... je crois que je rêve ! Ça ne peut pas être réel !

C'est une sensation exquise qui m'envahit chaque fois qu'il claque son bassin contre moi et je m'abandonne à la douce violence du plaisir ultime. Alors que je me laisse emporter par cette onde plaisante, le monde extérieur s'estompe, laissant place à une émotion suave qui me transporte. C'est un délice inouï, une découverte infinie de mon propre corps. Mon corps est un temple de sensations, qu'ils célèbrent dans cette danse païenne. Je ressens une onde de chaleur qui m'envahit, des frissons qui parcourent ma peau, une douce tension qui s'installe en moi. Célébration de ma féminité, exploration de l'âme et d'un corps qui vibre pour eux. C'est une expérience intime et personnelle, une sensation unique et d'une beauté rare. Je me sens connectée à ma propre essence. C'est un moment de pure magie, une communion avec moi-même autant qu'avec mes deux amants. Je me sens vivante, épanouie, et pleinement femme. Je remonte lentement de sa féminité à son ventre, en rampant pour m'allonger sur elle. J'ai envie de me trouver entre leurs corps, écrasée contre elle, sous son poids à lui. -"Prends la ! Sidère la de plaisir elle aussi... s'il te plait." Ma voix est un chuchotis doux et rauque alors que mes dents viennent doucement honorer la peau de la gorge de ma sublime colocataire. J'ai envie qu'il glisse de mon corps au sien, puis l'inverse... puis encore !

La nuit est si douce, mais ce n’est pas la nuit qu’il l’est, je pourrais qualifier de douce le corps de cette femme blonde dont j’ignore le prénom et dont je prends le corps lentement comme si c’était trop intense pour moi. Comme si la moindre perte de contrôle, le moindre mouvement brusque ou rapide me mettrait alors au supplice d’une jouissance incontrôlée. Pourtant, bien loin de sentir une quelconque fébrilité à cet instant, je me sens au contraire gorgée d’une vigueur féroce. Ma peau me brûle délicatement et la sensation du sexe de la blonde autour du mien me donne si chaud que j’en aurai presque froid si le regard enflammé de la brune qui, cuisses ouvertes se laisse dévorer par son amie en me jetant des regards fous ne me réchauffait de ses yeux. Je la laisse contempler mon corps nu marqué de cette peinture blanche qui scintille sous l’éclat de lune. Le ciel constellé de points de lumières et le plafond de notre monde qui commence d’elle et fini à moi. Une bulle d’éternité suave dans laquelle nous nous vautrons avec délice et lubricité. C’est délectable et merveilleux. Et enhardi par ses soupirs étouffés contre le sexe de la brune, je déguste les gémissements rauques de cette petite nana magnifique qui rougit presque gênée de me voir baiser sa copine qui la lèche et qui pourtant reste totalement captivée par les mouvements de mon corps.

Baissant les yeux, j'ai le délice de contempler ma peau sombre s’engouffrer dans le corps de la jolie blonde dont la silhouette gracile ondule devant moi, achevant de me faire devenir dingue. Je tiens ses hanches et à mesure que le temps passe, la poésie de l’instant cède la place à la vigueur de nos mouvements qui deviennent intenses et passionnés. Je martèle la sublime blonde en regardant la brune comme si en baisant l’une, je faisais jouir l’autre… C’est insensé, mais à cet instant, je ne sais plus où je commence ni où je termine. Nous sommes un tout dans une bulle juste assez grande pour nous. C’est étrange, c’est fou, c’est ardent et passionné. Et soudain dans un tourbillon de délice, la blonde se crispe et son corps vibre alors qu’elle cesse de lécher sa copine qui lui caresse les cheveux pendant qu’elle exhale son plaisir et échappe à mon sexe qui bande dans le vide enduit de sa chaleur qui s’estompe et me laisse une sensation de froid. Je me rapproche alors que la blonde s’allonge sur sa copine et me souffle une proposition merveilleuse. Je me rapproche d’elles et alors que la blonde se couche sur son amie, je pénètre le sexe trempé et brulant de la brune réalisant que son intimité se crispe au moment ou je rentre en elle. Ma main se love tendrement entre leurs corps brûlants. Le dos de la main contre le corps de la brune, mes doigts tournés vers le haut je trouve le clitoris de la blonde et l’attaque délicatement alors que je commence à onduler contre la brune pour m’occuper d’elle délicatement.

Sentir le corps de la blonde entre la brune et moi et savoureux et son regard luisant de milles feux de plaisir me contemple et m’attire si fort, je viens prendre sa bouche. Elle supporte courageusement nos poids à l’un et l’autre et quitte délicatement sa bouche pour venir chercher celle de la blonde que je caresse comme un fou passionné alors que mon corps tape contre son cul pendant que je vais et viens dans le sexe de la brune avec mon sexe nu. Finalement de ma main libre j’attire la brune que j’invite à mêler sa langue aux nôtres et pendant que je caresse l’une et baise l’autre, nos trois langues se retrouvent dans un balai suave et pervers d’une délectation absolument savoureuse et divine. Je ne sais pas l’heure qu’il est mais pour l’heure je veux que cette nuit ne se termine jamais.

Soirée Vaudou

Outfit -- C'est un désir fou et insatiable, un désir qui semble consommer chaque fibre de mon être et qui accélère les battements de mon cœur dans ma poitrine. Le rythme effréné de ce battement est si intense, si puissant, qu'il semble presque douloureux. Il bat si fort, si impitoyablement, que je peux sentir le sang pulser contre mes tempes avec une véhémence qui me laisse à bout de souffle. Chaque battement est une résonance, un écho constant de ce désir qui me consume. En décidant de participer à cette soirée en compagnie de Sybille, mon espoir était de passer un moment qui sortirait de l'ordinaire, un moment d'exception qui resterait gravé dans ma mémoire. Toutefois, jamais je n'aurais pu anticiper à quel point cette soirée deviendrait incroyablement intense et ardente. J'étais à mille lieues d'imaginer l'ampleur du feu qui l'embraserait. Ce feu dont ils sont indéniablement les auteurs. La beauté de leurs corps dansant sous la lueur argentée de la lune m’hypnotisent.

Dans un recoin sombre et isolé de la plage, nous nous sentons comme s'il n'y avait personne d'autre au monde. C'est comme si tous les événements de l'univers s'étaient suspendus, comme si la terre elle-même avait cessé de tourner, le temps s'était arrêté, tout cela pour que nous puissions vivre et savourer pleinement cet instant d’exception. C'est un moment de connexion profonde entre lui, elle et moi. Nous sommes trois âmes fusionnées, unies par un sentiment et une envie hors du commun, une envie qui dépasse les limites et qui nous transporte dans une réalité alternative où seul l'instant présent compte. La langue de ma délicieuse colocataire danse entre mes cuisses me procurant un plaisir à couper le souffle. Mes iris, brillant d'une envie insatiable, passent d'elle à lui, captivés et hypnotisés par la vision divine de leurs corps emboités. Le spectacle de leurs silhouettes, se mêlant en une danse sensuelle, est absolument envoûtant. Sentir son corps secoué par ses coups de rein puissants, voir sa respiration s'accélérer et ses yeux se voiler de plaisir, est une expérience à la fois folle et inédite. Les sensations qui me submergent alors sont indescriptibles : une combinaison de désir, d'extase et d'anticipation. Sentir son corps se gorger d’un plaisir ravageur, se répandant comme une onde à travers ses membres, est une sensation divine qui enflamme ce désir qu’elle fais grimper en moi avec une dextérité à couper le souffle. . Chaque mouvement, chaque frisson, chaque soupir partagé intensifie cette sensation folle et inédite, faisant monter l'excitation à un sommet encore inexploré.

Mes doigts glissent doucement, explorant la douceur veloutée et la chaleur enivrante de la peau de Sybille. Dans le même temps, mon regard reste fixé, ancré de façon inébranlable dans le regard profonds du Lion noir, créant. Cette connexion, cette union étroite et intense, brûlante de passion et vibrante d'énergie, que nous partageons tous les trois est vraiment extraordinaire, transcendant le simple contact physique pour devenir quelque chose de profond.Il la conduit avec une force passionnée et intense à travers ses coups de rein jusqu’à atteindre le sommet de la jouissance. Je sens chaque fibre du corps de ma blonde se crisper et se contracter sous l'étreinte du plaisir indicible. Sa langue audacieuse et curieuse explore mon intimité, me rendant folle de désir et de sensation. C'est comme si elle absorbait et me partageais cet orgasme puissant et écrasant qui m'a envahie. Mon corps est secoué de tremblements incontrôlables, un signe indéniable de la joie et du plaisir qui me submergent. Je déverse alors sur sa langue le goût sucré de ce plaisir qui me transcende et me transporte dans un autre monde, celui du plaisir sans fin et de l'extase.

Sa voix, encore tremblante de plaisir, fait écho dans mes oreilles à mesure qu'elle prononce chaque mot, mon cœur manque un battement, la sensation est presque insupportable. Je la regarde, la dévore des yeux, avec une telle intensité que j'espère silencieusement partager avec elle la tumultueuse vague d'émotions qui me submerge à cet instant. Ses lèvres, douces et tentantes, courent sur mon ventre, remontant lentement, comme une exploration délicieuse. Mes doigts trouvent naturellement leur chemin vers sa nuque, l'attirant plus près pour un baiser langoureux, profond et passionné. Je suis totalement ivre d’un plaisir intense, un sentiment qui semble consommer chaque fibre de mon être. Ma langue danse contre la sienne, dans un ballet sensuel qui s'arrête net quand il pousse son sexe encore luisant du plaisir de ma blonde en moi. Mes lèvres s’entrouvrent, laissant échapper un cri de plaisir puissant qui résonne dans l’obscurité lorsque mon intimité se contracte, semblant vouloir l'engloutir, accueillir totalement cette intrusion délicieuse.

Dans cet instant intense, les doigts du Lion Noir glissent habilement entre nos deux corps brûlants. Ils stimulent ma jolie blonde avec douceur et précision, pendant que je la dévore de baisers passionnés, aussi ardents que le feu de notre désir. Les coups de rein du Lion Noir sont puissants, ils me clouent sur place avec un plaisir ravageur, pressant le corps de ma délicieuse colocataire contre moi avec une force qui exprime toute l'intensité de nos émotions. Je viens étouffer mes gémissements et mes cris d'extase contre ses lèvres, je me gorge d’elle, je me gorge de lui, comme si chaque seconde, chaque instant pouvait être le dernier. Le plaisir monte en moi à une vitesse vertigineuse, je n’ai jamais rien ressenti de tel. C’est incroyable. Inédit. Enivrant. Mon corps est sur le point d’exploser d’un plaisir fou et ravageur alors qu'il m’attire à eux, me mêlant à leurs balais de langue ardents, dans une danse de passion qui ne semble pas vouloir prendre fin. L'union de nos corps est comme une symphonie, chaque mouvement est un accord, chaque souffle est une note. Nous sommes tous les trois emportés dans un tourbillon d'émotions et de sensations qui ne semble pas avoir de fin, un véritable feu d'artifice de plaisir et de passion.

Les vagues de l'océan se brisent doucement sur le rivage, leur doux rugissement se mêlant aux soupirs et aux gémissements qui s'échappent de nos lèvres. L'air est chaud et lourd, chargé de l'électricité de notre désir mutuel, mais aussi de la douceur apaisante de la nuit. La lune, notre unique témoin, baigne la scène d'une lueur argentée, ajoutant une aura de mystique à notre union passionnée. Le rythme de notre danse s'accélère, mené par le Lion Noir dont chaque coup de rein me pousse plus profondément dans les bras d’un plaisir sidérant. Les doigts de ma délicieuse colocataire explorent mon corps avec une douceur étonnante, chaque caresse envoyant des vagues de plaisir à travers ma peau.

Le temps semble s'étirer, chaque seconde durant une éternité alors que nous nous perdons l'un dans l'autre. Les limites entre nous deviennent floues, nos corps et nos esprits fusionnant en une entité unique, baignée dans l'extase d'une passion déchaînée. Et puis, comme un crescendo dans notre symphonie d'amour, le plaisir atteint son apogée. Un cri de pur extase s'échappe de mes lèvres alors que les vagues du plaisir me submergent, me laissant haletante et tremblante. Je sens le corps de Sybille brûlant contre le mien, ses gémissements de plaisir se mêlant aux miens dans une harmonie parfaite.

Mon corps tremble encore, vibrant de sensations intenses. Mes iris passent de l’un à l’autre, scrutant leurs visages, cherchant à percevoir si leur état reflète le mien. L’émotion est si puissante qu'elle noue ma gorge, rendant mes lèvres incapables d’articuler le moindre mot. Dans un élan de passion, j’agrippe notre amant par la nuque, le tirant contre nous. Je l’embrasse avec une ferveur débridée, créant une pression délicieuse alors que le corps de Sybille est compressé entre les nôtres. Chaque sensation est amplifiée, chaque battement de cœur résonne à l'unisson avec le nôtre, chaque souffle partagé dans ce baiser passionné.

@Ismael Tekoa @Sybille Maxwell

Pando

La brise marine caresse ma peau pâle alors que je m'abandonne aux délices de la nuit. Le sable chaud sous nos corps devient le théâtre d'une passion dévorante, il ne manque que les vagues pour lécher nos corps entrelacés. Avec Jenna, mon amie, ma complice, nous nous aventurons dans un monde d'audace et de désir, où les limites s'estompent dans l'ivresse du moment présent.

La lueur vacillante des étoiles éclaire notre scène, où nous sommes les protagonistes d'un tableau de luxure et de tentation. Jenna, audacieuse et envoûtante, est à mes côtés, sa silhouette se dessinant à la lumière de la lune. Nos regards se croisent, chargés d'une promesse muette, alors que nous plongeons tête baissée dans l'inconnu. Sa langue contre la mienne, celle de cet inconnu qui se mêle à ce baiser, c'est totalement fou, enivrant à me faire trembler.

Cet inconnu au charme ensorcelant est en train de nous faire succomber, l'une après l'autre, l'une contre l'autre. Il se fond en moi, en elle, nous tire des gémissements aux sonorités d'un rauque délectable. Son regard, sombre comme la nuit, révèle une aura mystérieuse qui m'attire inexorablement. Il est le lion noir, fier et sauvage, prêt à dévorer nos sens dans un tourbillon d'extase et je m'offre à lui, telle une proie consentante.

La cérémonie vaudou, dont il émerge tel un phénix des cendres, a laissé sur lui une empreinte quasi indélébile. Ses traits semblent sculptés par les dieux, son sourire énigmatique éveille en moi des désirs inavoués que mon corps crie. Sous le voile de la nuit, nous succombons à son charme, emportées par la vague implacable de la passion. La façon dont les peintures éclairent son corps est presque onirique, une prière païenne offerte à la déesse de la luxure. Déesse, oui et pas dieu, parce que les courbes affolantes de Jenna en sont l'incarnation, mieux même l'allégorie.

Les premiers échanges ont été presque timides, empreints d'une tension palpable qui électrisait l'air autour de nous. Mais désormais, nos corps s'attirent, se repoussent, dans une danse sensuelle où chaque geste est une promesse de plaisir. La langueur de la nuit nous enveloppe, nous berce dans son étreinte envoûtante, alors que nous nous abandonnons aux ardeurs du désir. Je tremble, j'arrive au bout de ma résistance.

Les vagues viennent soudainement lécher nos pieds nus, comme pour nous rappeler que nous sommes à la merci des éléments, que nous sommes les acteurs d'un jeu dont les règles nous échappent. Je pousse un petit cri de surprise que j'étouffe contre la bouche de l'une, à moins que ce soit de l'autre ? Je ne sais plus et ça m'indiffère, parce que je suis à la merci de ces deux êtres sans limite.

Leurs mains expertes parcourent mes courbes avec une avidité dévorante, réveillant en moi des instincts ancestraux, des désirs enfouis au plus profond de mon être. -"Mon dieu... je... c'est trop bon..."

La passion nous consume, me consume jusqu'à l'extase, dans un ballet effréné où les limites du plaisir se repoussent sans cesse. Mes soupirs se mêlent aux murmures, à mes suppliques, j'en veux encore, je veux me fondre en eux et renaitre dans l'eden de l'orgasme. Les caresses se font plus insistantes, alors que nous nous abandonnons corps et âmes à cette parenthèse de folie indécente. Et puis vient le cri, déchirant la nuit de sa puissance libératrice. Un cri qui résonne dans l'air velouté de la nuit, un cri de plaisir, de délivrance, de pure extase. C'est mon cri, c'est le cri de Jenna, fusionnant dans un écho envoûtant qui se perd dans l'immensité de l'océan. Un orgasme commun, que cet homme nous inflige avec délices et passion.

Sous le voile de la nuit, nous sommes libres, libres de nos désirs, libres de nos pulsions, libres d'être qui nous sommes vraiment. Et dans cet instant fugace, nous sommes immortelles, captives de l'éternité, dans les bras de la passion. La passion porte un nom et je souris en pensant que je n'ai pas encore la chance de le connaître. La passion incarnée, sous les traits d'un inconnu au charme fou, au sourire d'ange, au corps de démon... Je ne peux plus penser, je me contente d'être sidérée par un orgasme d'une puissance qui redéfinit les limites du mot plaisir. -"Encoooore."

Je suis vivant. Cette sensation me sidère. Celle de sentir chaque battement de nos trois cœurs, de me sentir connecté aux sensations de chacune. Comme un tout que nous formons. Contempler sous la lueur des étoiles, bercé par le bruit de la mer les caresses ardentes de ces deux femmes est un délice. Contempler mon corps en tension cramponné à celui de la blonde dans lequel je me vois entrer et sortir est un pur moment d’extase alors que j’ai aussi l’impression que mes assauts font vibrer la petite brune délicieuse qui se confond en gémissements sous la langue de son amie. Je frappe mon bassin contre les fesses de cette déesse blonde alors que je déguste sa peau de caresses brûlantes. Je veux la faire crever de plaisir et j’avoue que je me perds dans mes propres sensations. Je me laisse envelopper et porter par chaque seconde quand elle se crispe et pendant que nos langues se mêlent les unes aux autres dans un baiser puissant et merveilleux, la blonde tremble et explose dans un orgasme qui me prend au dépourvu. Je souris et ondule plus lentement pour alimenter sa jouissance en la contemplant avec un sourire. Elle déclare que c’est trop bon et je mordille son épaule avant de la pousse un peu en avant.

La brune se retrouve allongée dans le sable et la blonde remonte sur elle. Je saisis le bassin de la brune et la tire vers moi. Son visage se retrouve sous l’intimité tremblante et palpitante de son amie alors que moi je contemple son sexe tout luisant de plaisir et de la salive de sa copine. Je prends mon sexe toujours raide et enduit de la mouille abondante de la blonde. Je me plonge doucement en elle excité à l’idée que je pénètre une femme couvert du plaisir d’une autre… Laissant la brune s’exprimer à son tour sur le sexe de la blonde, je me mets à pilonner la brune pour qu’elle ait son compte, elle aussi. Son sexe trempé aspire le mien alors que je prends ses jambes et glissant mes mains sous ses genoux je les remonte et lui fait prendre une sorte de posture de grenouille pour mieux écraser mon sexe en elle et lui faire sentir toute la pénétration délicieuse de ma verge dans son corps.

Les minutes s’égrènent et je deviens animal. Je suis le lion noir qui sous la lueur de la lune accable ses lionnes de sa passion féroces. D’amantes j’en fais des proies. Les proies de mon désir galopant. Je me sens fort, puissant, respecté, désiré et libre. J’ai la sensation que je peux exprimer librement mon désir avec elles. J’adore ça. Tremblant de plaisir je pose mon front contre le dos de la blonde et pousse pour qu’elle se penche en avant les bras tendus dans le sable la tête de la brune entre ses cuisses. Je me glisse et doucement, sans cesser mes assauts passionnés sur la brune je viens promener ma langue sur l’anus de la blonde pendant que la brune lèche son sexe… Je me contracte de plaisir à chaque fois que mon sexe plonge au fond de celui de la brune et ma langue est comme possédée à se glisser encore et encore sur l’orifice le plus étroit de la blonde…

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