C’est 17h quand j’ouvre les yeux. J’ai la nausée et mon premier réflexe, c’est de courir vers les chiottes et vider le contenu de mon estomac qui est plein de liquides en tout genre. Oh, mon Dieu, je tremble de tous mes membres en me relevant. Je regarde ma tronche dans la glace et j’ai vraiment l’air claqué. Je reviens vers ma chambre en titubant alors que je contemple le cul torride de la fille qui visiblement à passé la nuit ici. Une brune plutôt jolie, mais honnêtement, j’ai tellement envoyé du lourd niveau picole et drogues que j’ai presque aucun souvenir de comment elle a fini ici. En-tout-cas le nombre de capotes usagées autour du lit témoigne que la dame a eu son compte. Je baisse les yeux sur ma bite à demi raide. Est-ce que je la réveille pour lui mettre un dernier coup histoire de lui rappeler qu’il est temps qu’elle se tire ? Mmmm réflexion faite… Non pas envie. Je me désespère de voir l’heure. J’ai encore abusé, mais étrangement, ça va. Tout se goupille assez bien, j’ai un tournage rapide pour les réseaux sociaux de la nouvelle boite. Satine Production. Ils font un peu chier avec leurs règles. Genre, je dois juste commencer par attiser l’envie en me faisant découvrir par leurs actrices qui me font des trucs alors qu’on me filme en P.O.V c’est un peu chiant en général d’avoir l’autre con de caméraman qui s’appuie sur moi et qui me bande contre le cul. Puis l’odeur… Bon ça, c’était avant. Dans cette boite, ce n'est pas aussi glauque.
Je m’installe et me fais un thé noir avant de choper une banane et une pomme. À table. J’ai des hauts le cœur en mangeant. Bordel, j’ai encore la nausée et pourtant, ça va. Je mange pendant que la fille pionce à côté comme si de rien n’était. Finalement, l’heure avance. Petite douche en insistant sur les parties intimes. J’enfile un boxer noir, un jean, t-shirt noir. J’attache mes cheveux en un chignon et me voici prêt. La dinde est encore endormie et je hausse les épaules. Je n'ai rien de précieux ici en dehors d’une boite que personne ne regardera jamais et que j’ai planqué pour ne pas la voir. Donc rien à foutre. Je me tire et elle se démerdera pour partir en général, je ne ferme pas ma porte. Un taxi m’attend et je plonge dedans. Petite surprise, j’ai une caméra une jolie blonde un peu sur maquillée qui m’attends. Elle me tend la camera et on dirait que je vais me faire sucer direct comme ça. Okay pas mal la production. Ça prend 30 bonnes minutes de tournage pour qu’elle finisse la bouche pleine de mon plaisir et qu’elle avale en montrant bien à la caméra combien elle aime la semence d’homme. Alors que le taxi nous dépose quelque part, je reçois un sms. Petite fête dans une villa au bord de la plage ? Parfait. Je demande au taxi de m’y déposer et lui laisse la camera.
20h, je suis à la fête. Y’a de l’ambiance, c’est déluré, musique à fond, y’a des gens qui s’éclipsent déjà pour baiser, d’autres qui papotent, d’autres qui font des selfies et vidéos pour leurs réseaux. Certains qui picolent, dansent, pas encore de trace de drogues. La piscine à débordement est pleine et les gens sont en maillots presque partout. Je garde mes cheveux attachés et retire mon t-shirt avant d’en fourrer une partie dans la ceinture de mon jean pour le laisser pendre alors que je me mets en quête d’un verre et d’un peu de substance pour faire la fête. Deux heures passent et je me laisse étourdir. Puis au milieu de brouhaha, je crois voir Alice. Elle me sourit, mais je cligne des yeux et c’est une pétasse siliconée qui semble vouloir m’attirer dans un coin. Je la repousse avec une mine de dégoût et me dirige vers le jardin. Je m’adosse à une rambarde proche d’escaliers menant au jardin puis à une plage. Je remets mon t-shirt et me roule un joint. J’aspire la fumée et rapidement, je ressens le délicieux cocktail d’herbe venir envahir mon corps et me détends. Je remarque une petite brune toute jolie que j’ai déjà vue. Oh oui, hier, elle était à la soirée. Je tire une taffe et quand elle me regarde, je lui tends mon joint en soufflant la fumée.
« Je t’ai vue hier soir toi non ? »