Nouvelle Collaboration || Sean & Shali

Ce magnifique projet, L’Ambrosia, un club sélect doté d'un concept unique, a bien failli tomber à l’eau. Mon aventure entrepreneuriale a commencé avec un premier investisseur qui m’a fait faux bond après m’avoir promis monts et merveilles. Il m'avait fait miroiter un budget quasi illimité et, bien que je ne sois pas naïve, j'ai été séduite par la profondeur de son regard et par ses promesses alléchantes. C'était en effet trop beau pour être vrai. Après cet épisode, j’ai bien failli abandonner le projet, et c’est exactement ce que j’aurais fait si je n'avais pas rencontré Sean.

Sean est un ami de mon père que j’ai rencontré lors d’une soirée mondaine. C'est un homme politique influent, à la réussite financière indéniable. Au fil de nos discussions, l'idée de relancer le projet de club a commencé à mûrir dans mon esprit. C’est dans l'intimité de ses draps, au milieu de conversations passionnées, qu’un accord a finalement été trouvé. Aujourd'hui, il est devenu mon associé discret, un partenaire financier de l'ombre. Bien que les lieux appartiennent autant à lui qu'à moi, son nom et son implication dans l'affaire restent en retrait. Il préfère rester dans l'ombre, laissant la lumière briller sur l'ambition de mon projet.

Sean m'a donné toute liberté pour m'occuper de la décoration des lieux. C'était tout à fait logique, considérant que ce type de tâches est totalement dans mon domaine et correspond parfaitement à mes compétences et à ma passion. Je me sens comme un poisson dans l'eau quand il s'agit de décorer, d'imaginer et de concevoir chaque petit détail pour que tout soit absolument parfait. Mon souci du détail, cette capacité à ne rien laisser au hasard et à veiller à ce que chaque élément soit à sa place, est sans doute ma meilleure arme. C'est l'une de mes plus grandes qualités qui, je crois, fait de moi l'une des meilleures dans mon domaine. C'est ce qui me distingue, ce qui donne à mon travail une touche unique et inimitable.

Nous sommes aujourd'hui à quelques semaines seulement de l'ouverture tant attendue de notre club. Si l'infrastructure physique du club est prête à accueillir ses premiers clients, une question prédominante reste en suspens : celle du personnel. Plus précisément, il nous manque encore à recruter les employés pour notre donjon SM. Nous recherchons une diversité d'individus pour satisfaire tous les goûts : des corps séduisants, des esprits soumis, d'autres plus rebelles, nous avons besoin d'une palette variée d'employés.

J'aurais pu assumer seule la responsabilité de cette tâche de recrutement, mais soyons honnêtes, c'est beaucoup plus divertissant lorsqu'on est accompagné. Je me trouve actuellement dans la dernière salle du club, située au cœur de la zone réservée au Donjon. Occupée à ajuster les derniers détails, j'apprécie la vue d'ensemble et l'ambiance particulièrement érotique que j'ai réussi à instaurer dans cet espace. Des lumières tamisées, des matériaux nobles et naturels, des photos en noir et blanc de corps nus et entravés ornent les murs. Tout est en place et rien n'a été laissé au hasard.

Posée sur une table, une bouteille de champagne millésimée repose patiemment dans un seau à glace, un doux reflet de lumière glissant sur sa surface. À côté, deux flûtes en cristal attendent d'être remplies, l'éclat de leur transparence rivalisant avec la brillance du champagne. Autant faire de cet instant de préparation un moment agréable, n'est-ce pas ? Chaque détail a été soigné, tout est parfait et prêt pour l'ouverture. Un sourire élargie mes lèvres, un sentiment de fierté et d'anticipation m'envahit. Soudain, des bruits de pas attirent mon attention, rompant la quiétude de la pièce. Je me retourne pour apercevoir mon associé qui vient me rejoindre, sa silhouette se dessinant dans l'encadrement de la porte. Je lui adresse un sourire rayonnant, un sourire qui dit sans mots tout le succès que nous avons construit ensemble.

« Tu m’as presque fait attendre. »

Avec une vivacité et une détermination délibérées, je couvre rapidement la distance qui nous sépare en quelques enjambées agiles. Mon visage est illuminé par un sourire espiègle, un peu provocateur, destiné à piquer sa curiosité et à susciter l'intérêt. Arrivée à sa hauteur, je me hisse doucement, presque dans un mouvement de danse, sur la pointe de mes pieds. En guise d'accueil chaleureux, je dépose délicatement mes lèvres sur les siennes, mêlant surprise et familiarité dans ce geste audacieux. Une distance professionnelle ? Pourquoi devrions-nous nous encombrer d'une telle formalité ? Si nous avons la possibilité de mêler l'utile à l'agréable, ne serait-ce pas une approche plus attrayante et plus satisfaisante ? Je claque des doigts et une jolie demoiselle en tenue légère nous serre le champagne. Les flûtes pleines sont en moins de temps qu’il en faut pour le dire entre nos doigts.

« J’espère que ce que j’ai fait de cet endroit te plais, il ne nous reste plus qu’à trouver quelques perles rares pour le donjon, et nous serons fins prêt pour l’ouverture. »

Mon verre se lève, sonnant doucement contre le sien, un doux écho qui résonne dans la pièce. Trinquons ensemble, prenons un moment pour célébrer notre réussite, pour reconnaître le travail acharné et la détermination qui nous ont amenés ici. Nous allons trinquer à notre beau projet, qui après tant d'efforts et de dévouement, va enfin voir le jour, va enfin éclore en une réalité tangible. Mes doigts, tremblants d'excitation et de joie, s'enlacent aux siens, créant une connexion tangible qui symbolise notre partenariat. Avec une douce pression, je l'entraîne avec moi, une oasis de confort.

« Klara ma belle, veux-tu bien faire venir les premiers candidats. Nous allons pouvoir commencer. »

La jolie blonde, avec une grâce sans effort, disparait rapidement dans la foule, s'exécutant sans le moindre murmure de discorde. Quant à moi, je me tourne lentement vers mon collaborateur séduisant. Un sourire séducteur, plein de promesses non dites et d'histoires à venir, étire lentement mes lèvres pulpeuses. C'est un sourire qui parle d'espoir et de possibilités, un sourire qui invite à la confidence. Mon regard, pétillant d'intérêt et d'amusement, cherche le sien. Je tente de le sonder, de percer le voile de mystère qui l'entoure, cherchant à deviner les émotions qui l'animent, les pensées qui traversent son esprit. C'est un moment d'intense connexion, où le monde semble s'estomper autour de nous, ne laissant que l'étincelle qui brûle entre nous.

(( Robe ) -- Baiser avec un ami de mon père, ça ne se fait probablement pas, et s’il venait à l’apprendre, je ne doute pas qu’il soit fou de rage, bien qu’en réalité, il n’a pas grand-chose à dire sur ce que je fais. Certes, c’est grâce à que j’ai intégré les BT, j’ai appris à ses côtés en quelques mois bien plus que durant tout le reste de ma vie, mais il me connait depuis quelques années seulement, le même sang coule dans nos veines, mais il ne m’a pas élevée, il ne m’a pas vue grandir et ça change beaucoup de chose.

N'ayant pas seulement un partenaire exceptionnel au lit, j'ai découvert en lui un investisseur de confiance, un allié de taille qui a su apporter de la valeur à mon projet. Ce club, l'Ambrosia, une création issue de mon esprit fertile et ambitieux, a finalement pris vie grâce à lui. Sa présence unique et distinctive a non seulement apporté une nouvelle dimension à l'endroit, mais aussi une touche unique d'authenticité. Son charisme indéniable a insufflé une vie et une énergie nouvelles à l'endroit, ajoutant une divine perfection à l'ensemble. C'est grâce à lui que le club est passé d'une simple idée à une réalité tangible, une réalité qui a dépassé mes attentes les plus folles. Il apporte l’argent et moi je transforme ces billets vers en un concept frôlant la perfection, notre entente au lit transpire dans chacun des pores de cet endroit. Malheureusement, la cohésion charnelle seule ne suffit pas à tout expliquer. Sa confiance en moi n'est pas aveugle et il est bien compris entre nous deux qu'il a un droit de regard sur l'utilisation que je fais de son argent. Ce n'est pas seulement une question de contrôle, mais également un droit de veto s'il estime que certaines actions ou dépenses ne sont pas appropriées ou ne correspondent pas à ses attentes. Ce contrat tacite qui nous unit n'est pas unilatéral, mais le résultat d'un commun accord qui nous convient à nous deux. Il est basé sur le respect mutuel et l'entente commune, et bien que non exprimé explicitement, il est tout aussi réel et contraignant qu'un contrat écrit. C'est une entente qui respecte les intérêts de chacun et qui convient autant à lui qu'à moi.

Au-delà de son regard sur les comptes, je tiens à clôturer les entretiens d’embauche en sa compagnie, pour bénéficier de son expertise, et également pour savourer le point final de ses préparatifs. L’ouverture est imminente est, c'est un point à fêter entre nous, je crois. Tout est fin prêt et je l’attends. On peut dire que j’ai mis les petits plats dans les grands, tout spécialement pour lui. La robe que je porte dissimule peu de chose de mon anatomie, mais dans ce contexte, dans cette ambiance, je parais presque trop habillée. C’est Klara qui l’accueille en le conduit jusqu’à moi.  

« Tu es parfaitement à l’heure. »

Mes lèvres s’étirent en un sourire des plus enjôleur alors que je viens l’embrasser pour le saluer. Pas très professionnel comme salut, mais je n’aime pas franchement me confronter aux principes de bienséance. Pour être polie, ça m’emmerde profondément. En un claquement de doigts, des coupes pleines d’un champagne millésimé atterrissent entre nos mains alors qu’il me félicite pour le travail accomplit. Je lui adresse un sourire plein de satisfaction. Je suis ici parfaitement dans mon élément et je dois avouer être totalement satisfaite du travail abattu.

« Klara est une perle, son sens du détail de l’organisation est un atout indéniable pour notre fonctionnement. » En dehors de son corps parfaitement proportionné, ses compétences sont quasi irréprochables et bien que je comprenne parfaitement l’appétit de Sean la concernant, c’est envisageable si ça ne me fais pas perdre cette perle rare. « Et elle ne semble pas insensible à tes charmes… Qui le serait d’ailleurs… »

Je suis clairement dans une démarche de séduction, mais je suis ainsi naturellement et je ne m’en cache absolument pas. Nous nous installons et Klara revient avec à sa suite deux jeunes femmes. Je m’installe confortablement, croise les jambes et observe, laissant Sean prendre les devants de l’entretien. Sa manière de remettre à sa place cette pseudo-dominante m’amuse bien plus que je l’aurai pensé. La minette vient de griller toutes ses chances d’embauches dès ses premières paroles, sa soumise en revanche… attise davantage mon intérêt et celle de Sean aussi visiblement.

La pseudo domina finit par se faire mettre dehors sous des cris qui me vrillent les oreilles. La voix de Sean s’adoucit immédiatement lorsqu’il s’adresse à la soumise à présent esseulée. Alice. Je souris en l’entendant enfin se présenter, elle n’est pas à l’aise, mais vu que nous venons de jeter sa dominante dehors sans ménagement, je suppose que c’est normal. Je sirote ma flute de champagne tout en observant la scène d’un regard amusé. Il lui pose plusieurs questions, lui laisse un temps de réflexion, venant se réinstaller à mes côtés.

« Les hommes aussi me font mouiller, et j’ai déjà eu deux maîtres et une maîtresse, et non, pour être une bonne soumise, j’ai besoin d’avoir la certitude que mon partenaire sait ce qu’il fait… Passer entre d’autres mains ne me pose pas de soucis à la condition que cette dernière est de l’expérience. »

La jolie langue d’Alice ce délit et on peut dire que je suis agréablement surprise. La douceur qu’elle dégage ne me laisse moi-même pas insensible. Klara est prête à nous envoyer la nouvelle fournée de candidat dès que nous lui en donnerons le signal. Je trempe mes lèvres dans ma coupe et soupire d’aise en voyant Alice s’approcher de moi, ses airs timides me font vibrer, elle est entièrement nue et viens se placer à quatre pattes devant moi, sa croupe à la peau trop pâle pointée dans ma direction.

« Très sage décision ma jolie. »

Pour ponctuer ses mots, le plat de ma main vient claquer son cul, faisant rougir cette magnifique peau de porcelaine. J’adresse à Sean une œillade coquine, puis mes doigts viennent agripper les siens, afin que nos mains jointes viennent caresser la croupe d’Alice, un moment de douceur après la morsure que j’ai infligée à sa croupe.

« Bienvenue à l’Ambrosia Alice… »

Nos mains s’arrête au sommet de sa croupe, au creux de ses reins. Je tourne la tête et me penche vers mon délicieux collaborateur, mes lèvres effleurent sa nuque, je joue les allumeuses et j’assume parfaitement.

« Elle est parfaite, qu’en penses-tu ? Sa beauté fragile donne envie de lui faire courber l’échine non ?  »

Passer ces entretiens avec Sean est un moment de délice absolu. C’est un peu comme la cerise sur le gâteau. Nous finalisons ensemble ce que nous avons créé et monté de toutes pièces. Ensemble. Son fric, mon esprit créatif. Un duo merveilleux. Son talent pour cerner les gens et en faire ressortir le meilleur est un véritable délice. Il pousse à sa manière cette jeune femme à nous montrer quelle belle soumise elle peut être. Elle se positionne devant moi et je me délecte de la vue. Mes doigts courent sur sa peau douce. Je soupire d’aise, appréciant cette docilité qu’elle nous offre d’elle-même.

« Je ne doute pas un instant qu’ensemble, nous pouvons créer… la perfection. »

Avec Alice ? Avec ce club ? Les deux ? Je me plais à croire que de notre alliance, il en ressort que des étincelles étourdissantes. Je claque les fesses de la belle Alice pour l’entendre couiner. Mon regard plonge dans celui de Sean, puis un sourire étire mes lèvres en le voyant glisser son doigt dans l’anus de notre belle petites choses. Sa croupe ondule, elle aime ça,  c’est d’une telle évidence, ça crève les yeux, et le voir ainsi se jouer d’elle provoque un moi des vagues de chaleur, témoignant d’un plaisir très nettement présent et grandissant.

Passons à la prochaine ? Allons-y ! Nous sommes là pour ça non ? Gardons cependant Alice sous la main pendant que nous procédons à la suite des entretiens. Je m’amuse de voir Klara rougir comme une ado devant Sean.  La prochaine fait qu’un passage éclair devant nous, je n’ai pas eut à ouvrir la bouche, un seul regard a suffi pour nous mettre d’accord Sean et moi. Next ! Elle était bien trop agressive, trop vulgaire… clairement pas raccords avec le standing que nous voulons pour cet endroit. Elle beugle, mais c’est avec la sécurité qu’elle est “délicatement” raccompagnée. La prochaine est finalement le prochain. Oh !! Un sourire naît instantanément sur mon visage. Beau, très beau spécimen. Malgré sa carrure imposante, il se place immédiatement comme un soumis ce qui fait que davantage attiser mon intérêt. Je le fixe, le regard pétillant d’envie et de malice pendant que Sean commence à s’adresser à lui. Il nous explique ce qu’il est, ce qu’il aime et ce qu’il recherche en venant ici. Sa vision de la soumission me plait particulièrement et cette étincelle que je vois briller dans son regard m’attise et me donne envie d’en apprendre plus, beaucoup plus à son sujet.

«Nécessaire ? Mhnnn probablement pas, mais envie ? ça, c'est une autre histoire ? »

Je ne cache pas mon désir, j’assume totalement cette chaleur délicieuse qui m’envahi. Nous sommes installés dans la salle principale du club, et nous manquons d’accessoire pour tester comme il se doit les deux parfaits soumis, ces deux perles rares que nous avons dégotés. Mes doigts délaissent quelques instants la croupe de notre soumise pour glisser sur l’avant-bras de mon très séduisant collaborateur.

« Que penses-tu de passer à la partie plus “pratique” des entretiens dans la seconde partie du club ? »

Mon sourire est taquin, mon regard espiègle. Nous avons trouvé deux parfaites recrues et il me semble parfaitement dans l’ordre des choses, de nous assurer de la véracité de leur parole. C’est simple de s’affirmer soumis, mais il est plus difficile de l’être réellement, s’abandonner à une tierce personne, lui vouer une confiance quasi totale, c’est un art que tous ne sont pas capables de manier à la perfection.

Je me redresse et laisse mes doigts glisser sur la joue rugueuse de Sean, l’invitant à tourner la tête dans ma direction. Mon regard dans le sien, je me penche pour venir l’embrasser longuement, faisant lentement monter la température. Alice est à nos pieds et Adam je crois, est toujours à genoux un peu plus loin devant nous, visiblement excité par la scène devant lui, son membre est imposant, fièrement dressé. Oh putain oui, tout ça, ça donne sacrément envie de baiser.

« Sacrément envie, oui… La question est penses-tu avoir besoin d’accessoire ? Ou non ? »

La soumission peut avoir bien des visages, et ça je suis certaine que Sean le sait mieux que personne. Je fais signe a Adam de s’approcher pendant que mes doigts courent sur Sean, sur Alice… Dans des gestes rapides et emprunt d’une certaine impatience je commence à déboutonner sa chemise. Alice est soumise. Klara l’est aussi certainement… Adam aussi… mais moi ? Moi, c'est plus compliqué, moins franc, je suis de celles capable de prendre leur pied dans la soumission comme la domination, j’aime les deux facettes de la pièce.