un mal pour... un mal (Mimi)

Non, non ne me tuer pas, je vous en prie, je peux payer…

J’ai envie de lever les yeux au ciel et pas parce qu’il est beau et sans nuage, je suis dans le sous-sol et je m’en contre-balance. Mon degré d’exaspération est à un niveau plutôt élevé, ce qui est habituellement de mauvais augure pour ceux qui se trouvent devant moi. Pourquoi ils radotent tous la même chanson hein ? Tout le monde sait que s’ils sont ici c’est parce qu’ils ne peuvent pas payer. Pensent-ils vraiment que je perdrais mon temps avec des minables dans leur genre ? Dans les faits, je lève les yeux aux cieux pour réfléchir. Je le tue ou je ne le tue pas ? Y en a marre je le tue ? Arme, lame ou poings ? Je le regarde de nouveau pour voir si son visage serait inspirant et le con, il décide d’ouvrir la bouche de nouveau.

Non non non, je…

Je sors mon arme et le pointe vers lui rapidement. Il va la fermer sa gueule oui ?

Prenez ma copine en échange je vous la donne OK ? C’est ça, je vous la donne contre ma dette OK ? SI ?

Si ? Il essaie de parler italien en plus ?

Puisque je viens de sortir mon arme, il ne me reste plus qu’à le poser sur son front, comme ça…

Elle est belle et bien roulée, aller quoi, merde, vous pouvez la revendre et basta non ?

Après un long moment de réflexion, je finis par ranger mon arme et ordonne à Vincenzo de ramener le petit con dans son trou question de me laisser le temps d’aller à la rencontre de sa… copine.


****

Au moment même où j’ai posé mes yeux sur elle j’ai su. Non seulement elle allait payer pour la dette du con, mais elle allait m’appartenir de droit. La revendre sur le marché pourrait le faire, j’en obtiendrais plus que la dette en jeu, mais cela ne m’apporterait pas la satisfaction de la faire mienne. Non seulement elle est belle et bien roulée, mais elle a une aura qui donne envie de la casser, de la remodeler et de la faire sienne. Mienne. Cela fait déjà quatre jours que le mec moisit dans son trou et trois jours que je me plais à observer sa copine, ma chose. Le petit travail de recherche fait sur elle m’a plu et je suis prêt à passer à l’attaque. Elle termine de travailler dans 5 minutes… j’en profite pour entrer… la regarde… envoie quelques sourires ici et là… puis quand elle se dirige enfin vers la porte je m’approche, l’enroule de mes bras et lui glisse rapidement à l’oreille que tout cri, mouvement brusque ou indice que je ne suis, pour elle, qu’un inconnu enverra une balle entre les deux yeux de son copain avant d’ajouter :

Joue le jeu sinon tous les curieux ici présents vont également se prendre une balle.

Mes lèvres glissent le long de son cou.

Je t’ai manqué mon amour ? Je me suis dit que tu aimerais que je passe te prendre.

Je parle assez fort pour que les spectateurs comprennent mes paroles, pour qu’il me croit être son nouveau copain ou son copain tout court me sachant pas si elle leur a déjà présenté le petit con ou pas. Puis, qu’elle me dise oui ou non je m’en moque. Je garde un air neutre sur le visage, pose mes mains sur ces hanches comme si j’étais quelqu’un de très important pour elle avant de revenir murmurer quelques mots au creux de son oreille.

Ton petit copain a commis une énorme erreur piccola flore et tu dois me suivre sans faire d’histoire si tu souhaites le voir vivre jusqu’à sa prochaine connerie.  

Je la fais pivoter sur elle-même, son visage maintenant tourné vers le mien. Comme c’est moi qui mène la danse, je l’embrasse et lui prends la main quand je décide que le jeu a assez duré afin de la trainer dans mon sillage jusqu’à la voiture. En vrai gentleman je lui ouvre la portière, monte à sa suite et laisse le chauffeur refermer la porte derrière moi.

Tu viens de lui sauver la vie piccola fiore, voyons voir combien de temps tu pourras le garder en vie maintenant.

Combien de temps avant qu’elle n’explose ? Je parie pour moins de 10 secondes…

4 jours, ca fait maintenant 4 jours que Travis n’est plus réapparu dans leur appartement et ca commence sérieusement à l’inquiéter. Ce n’est pas la première fois qu’il disparaît pour aller avec ses copains dealeurs mais là ca fait long. Ce matin, après l’entraînement, elle a décidé qu’elle irait dans les quartiers ou Travis avait l’habitude de traîner, même si c’est dangereux qu’importe, elle a son spray au poivre et elle ne peut plus vivre dans cette attente angoissante.

Au moins pendant l’entraînement, elle ne pense plus à Travis et à ses problèmes, l’équipe est géniale et ils sont en bonne position pour gagner le trophée de Daytona, ils travaillent dur pour parfaire leur technique. Après une bonne douche, elle sort en même temps qu’une flyer Gaby, c’est une jeune fille adorable et travailleuse et lui apprendre de nouvelles acrobaties est un plaisir. A peine Gaby partie, un homme se matérialise devant elle et se colle contre elle en lui disant qu’elle ne doit jouer le jeu sinon toutes les personnes présentes mourront.

Qu’est-ce que c’est que ce bordel ? Tout se brouille dans la tête de Mikaela jusqu’à qu’elle sente les lèvres de l’homme sur son cou, automatiquement elle se raidit et serre la main de l’homme qui s’est posé sur sa hanche.

- Merci, ca me fait plaisir de te voir sa voix tremble et elle ne sait même pas comment elle a pu prononcer ses paroles, elle est transi de peur mais c’est pas pour autant qu’elle arrive à s’enfuir. Elle comprends tout quand il lui dit que son petit copain a commis une erreur et qu’elle va devoir le suivre pour qu’elle lui sauve la vie. Elle comprends que cet homme fait partie de la mafia et qu’il est là à cause de l’argent que leur doit son fiancé. Il la fait pivoter et elle se retrouve à quelques centimètres de son visage. C’est bel homme si il ne lui faisait pas autant peur, ses yeux bleus acier sont pénétrants qu’elle en frissonne, il a un sourire mauvais reflet de son âme qui doit être bien noire. Soudain, ses lèvres se posent sur les siennes .. putain quel con pense-t-elle, elle s’essuie la bouche, elle voudrait l’insulter mais aucun son ne franchit la barrière de ses lèvres et puis elle n’en as pas le temps car il lui prend la main et entraîne vers une belle voiture noire. Tout s’est passé très vite, et ce n’est quand elle est assise dans la voiture qu’elle peut enfin s’exprimer.

- Mais c’est quoi ce cirque ? Vous êtes qui ? Et pourquoi c’est à moi de sauver la vie de Travis ? Laissez-moi sortir ! tout en appuyant sur la poignée pour ouvrir la porte, le mélange peur et énervement lui fait faire de drôles de choses car la voiture roule et elle pourrait se faire très mal en tombant mais bien évidemment la porte est verrouillée. Elle se tourne vers l’homme qui est d’un calme olympien et son rictus mauvais ne l’as pas quitté. Dites-moi ce que vous avez fait de Travis, c’est vous qui le retenez ?

Elle entrain de vivre un putain de cauchemar, elle veut se réveiller mais force est de constater que c'est pas un cauchemar.

- Ou est-ce que vous m'emmenez ? Vous allez rester longtemps à me regarder comme ça ? Ses yeux lancent des éclairs, l'homme ne cesse de la regarder toujours ce sourire mauvais sur le visage. Elle soupire tout en croisant les bras et tourne la tête vers la fenêtre, même si elle ne sait pas ou elle vas, le paysage est beaucoup plus intéressant que l'homme à côté d'elle.

@Mateo Russo

6… 5…

— Mais c’est quoi ce cirque ? Vous êtes qui ? Et pourquoi c’est à moi de sauver la vie de Travis ? Laissez-moi sortir !

Elle aura droit à quelques réponses bientôt, mais elles ne viendront pas de ma bouche, mais de celle de son petit copain. Pour le moment je me délecte de sa rage, de sa peur et des questions qui se bousculent sur ces lèvres. Une vague de déception me prend pratiquement d’assaut quand elle se retourne pour regarder le paysage. Quoi ? C’est tout ? Elle est peut-être bien roulée, il n’a pas tort sur ce point le petit con, mais elle manque de mordant. Elle sera peut-être trop facile à mâter ? Bah, pas grave, j’aurai tout le temps voulu une fois qu’elle aura placé tous les morceaux de l’histoire les uns près des autres. Au lieu de me battre avec elle, je texter à Vin que je suis presque là et qu’il doit remettre le petit con de fiancé bien à la vue, soit nu comme un ver, les mains attachées au plafond par une chaine solide, les pieds pendant pour nous assurer que la douleur soit bien présente.

Sort !

Nous sommes arrivés à l’entrepôt et si je lui ordonne de sortir c’est pour éviter de la forcer à le faire.

On a dû taper dessus un peu, question de lui remettre les yeux en face des trous Don. Il est dans la dernière salle.

Je hoche de la tête pour lui faire signe que j’ai bien compris et lui fais signe de s’assurer que la dame me suive bel et bien jusqu’au bout du voyage. Je n’ai pas envie de me battre avec elle pour le moment. Soit elle obéit, soit l’un de mes hommes va la faire obéir. Elle se rendra vite compte de ce qui est mieux pour elle j’en suis persuadé. Il ne me reste plus qu’à me rendre dans les salles, ce que je fais sans me retourner. Pas besoin, elle va suivre qu’elle le souhaite ou non, quitte à la faire bâillonner si elle devient insupportable.

Ouvre !

Le garde ouvre la porte sous mon ordre et me laisse entrer avant de refermer derrière nous deux.

Assis !!

J’ai vu de quoi avait l’air son fiancé et si mi je l’ai vu, elle aussi. Il a des coupures et des ecchymoses un peu partout sur le corps, ne voit qu’un d’un œil ça cause de cela. Il pue la pisse, la merde et je ne sais pas quoi d’autre… la routine quoi. Pour moi, pas pour elle, voilà pourquoi je lui ordonne de s’asseoir. Je pose ensuite mes fesses sur le rebord de la table, là où se trouvent différents outils de torture et je l’écoute en secouant la tête, exaspéré. Pardon mon amour… je n’ai pas eu le choix… il allait me tuer… je ne veux pas mourir… pardon… je t’aime… bla bla bla.

Ta gueule !!

Une claque a suivi et ce fut le silence. Bien !

Ton fiancé, ici présent, m’a offert de payer sa dette d’une façon… honorable. Vois-tu… il s’est dit qu’une jolie femme comme toi valait son pesant d’or.

Je repose mes fesses sur le rebord de la table en me disant que la suite des choses sera plutôt agréable. Elle peut maintenant se lever, l’engueuler, le battre à son tour si cela lui fait du bien puisqu’il va crever de toute manière. Une fois qu’ils se seront parlé, expliquer, qu’elle ait plus ou moins une bonne idée de l’ensemble de l’histoire, il ne me restera plus qu’à lui dicter la suite, soit les règles de sa nouvelle vie. Je ne compte pas la vendre au plus offrant non, celle-là je la garde pour moi et moi seuls. Enfin, peut-être pas moi seul, on verra bien. Lorenzo devrait aimer se la faire aussi, qui sait.

Depuis leur accident leur vie a basculé, l’opération, la rééducation trop hâtive qui a fait que Travis a basculé dans la consommation de drogue et d’antalgiques et l’abandon de leurs rêves. Ce jour-là en sortant de l’entraînement, elle n’a pas idée que sa vie vas totalement changée.

Elle ne comprend rien quand cet homme charismatique s’approche d’elle et lui murmure à l’oreille qu’elle a intérêt à entrer dans son jeu sinon les personnes autour d’elle mourront.. c’est digne d’un film mais Mikaela n’est guère aventurière et elle sent bien l’arme sur ses côtes. Elle ne peut que balbutier une phrase bateau et se laisse entraîner par cet homme qui lui fait très peur. Il a toutes les cartes en main et ne s’en prive pas quand ses lèvres se posent sur les siennes… elle aurait du le mordre mais la panique la paralyse et puis il sait ou se trouve Travis et elle donnerai sa vie pour lui, ils ont un lien indéfectible que ca en est risible pour la majeure partie des gens.

Elle se retrouve assise dans une belle voiture noire qui se met en route pour une destination inconnue. Mikaela a un tant soit peu retrouver ses esprits, elle se retourne vivement en direction de son ravisseur en lui demandant ou il l’emmène, ou se trouve Travis et qui est-il ? Son coeur bat si vite qu’il va exploser et l’homme a côté d’elle ne pipe pas un mot. C’est pire que tout ce silence !

Au bout de quelques minutes qui paraissent des heures, la voiture s’arrête et l’homme lui ordonne de sortir. Mikaela regarde autour d’elle, il y a des entrepôts partout et n’arrive pas à reconnaître dans quel endroit de la ville elle se trouve. Un homme en costard noir digne de la mafia s’approche d’eux et lui dit qu’ils ont du lui taper un peu dessus afin de lui remettre les idées en place. Elle comprend tout de suite que c’est de Travis dont il s’agit, dans quel merdier il s’est fourré pense-t-elle. Son ravisseur marche devant et l’homme qui leur a parler se met derrière Mikaela et elle comprend vite qu’elle doit le suivre, elle ne sait pas comment elle tient sur ses jambes tellement elle tremble. Il passe une grande porte, traversent un entrepôt vide et arrive vers une porte plus petite surveillée par un garde, il lui demande d’ouvrir et entre dans une salle sombre mais elle voit au centre de celle-ci, son homme entravé et nu comme un ver, il y a du sang parterre et l’odeur y est pestilentiel, quand à Travis, il est défiguré, le visage tuméfié et le corps couvert de bleus. Mikaela pousse un cri et met ses mains devant sa bouche en voyant l’amour de sa vie dans cet état. L’homme lui donne l’ordre de s’asseoir, Mikaela sursaute et s’exécute et ne remarque pas tout de suite que sur la table ou s’est appuyé l’homme, il y a tout un tas d’objets de torture.

Travis lève la tête péniblement et esquisse un sourire qui ressemble à une grimace et lui dit d’une voix chevrotante et à peine audible qu’il l’aime, qu’il n’as jamais voulu lui faire de mal et qu’il lui demande pardon. En un quart de seconde, l’homme se redresse et va le gifler et lui demande de la fermer. Mikaela pousse un cri et des larmes commencent à couler, elle tremble de tout ses membres et à très peur de la suite, il se tourne vers elle et lui annonce la sentence. Tout se brouille dans l’esprit de la jeune femme, elle est naïve mais la elle a bien compris ce que ca implique. Travis en échange de sa vie et de sa dette l’as offerte à cet homme et il peut en disposer comme bon lui semble. Elle se lève et  chancelle, sa main se pose sur la table pour retenir. Comment l’amour de sa vie peut-il lui faire ça ? Après tout ce qu’ils ont vécus ? Elle y croyait dur comme fer que leur histoire allait durer toute leur vie.

Elle rassemble le peu de courage qu’il lui reste et fait face à son bourreau. Elle n’as plus rien à perdre et si elle doit mourir, elle mourra avec son homme.

- Vous me dégoutez avec votre petit jeu malsain, vous vous sentez puissant ?  vous êtes juste un petit bonhomme qui s’ennuie et pour tronquer son ennui, s’amuse à détruire des vies.

Travis lui hurle d’arrêter de parler et d’accepter le deal, qu’elle ne se rend pas compte de qui il est et de quoi il est capable. Elle allait tourner la tête pour parler à Travis, quand une gifle puissante la frappe au visage et la fait tomber au sol. Elle le regarde horrifiée en se tenant la joue….

@Mateo Russo

Ahhhhhhhhhhhhhh l’amour. Quelle émotion difficile à contrôler et dévastatrice, lorsque placée entre les mauvaises mains. Cette mignonne petite chose vient tout juste de la découvrir et comme je suis un connard, je reste de marbre. Elle peut m’insulter, me gifler ou autre du genre si elle le souhaite. En fait, je lui conseille vivement de le faire pendant qu’elle le peut encore. Il est rare que j’accepte l’irrespect sans riposter avec plus de puissance. Bon OK, j’ai vu pire côté irrespect, je ne vais pas mentir, j’ajoute même qu’elle est plutôt mignonne. On dirait un chaton qui tente de chasser le vieux chat du lit. Le vieux matou a décidé qu’assez tait assez et une claque a suivi. Trop forte ? Peut-être, mais il y a des lunes que je me fous de savoir si les coups que je donne sont trop ou pas assez forts. La voir ainsi par terre, au lieu de m’horrifier, me laisse plutôt avec une petite envie de plus.

Tu la touches encore connard et je te bute !

Putain il va la fermer sa gueule ? Je m’amusais à regarder ma proie, un sourire aux lèvres et là, au lieu de profiter, je dois m’occuper de lui… encore. Il l’a cherché non ? Je prends mon arme et lui tire une balle dans le genou, à froid, sans prévenir et sans rien dire. Son cri résonne comme une mélodie à mes oreilles un moment avant que le canon de mon arme ne vienne se poser sur la tempe de Travis.

Déshabille-toi, au complet, et place-toi debout devant lui.

Je t’en prie, fais ce qu’il te dit.

Oui, voilà, obéis à ton petit copain.

Quoi ? C’est amusant de tourner le fer dans la plaie, non ? Puis, la regarder se dévêtir est signe qu’elle est assez intelligente pour savoir quand obéir ce qui est plutôt agréable à constater. Je pourrais même pousser la note et siffler le plaisir que me donne son corps nu, mais je ne le fais pas, non, je regarde et admire.

Baillonne-le !

Un de mes gars s’avance et bâillonne Travis sans ménagement avant que je ne me lève à mon tour pour venir m’installer derrière lui.

Je n’ai pas l’habitude d’expliquer les règles du jeu, mais je vais faire une exception. Vois-tu, Mikeala, quand l’un de mes hommes décide de faire le con, il meurt. Quand c’est l’un de mes clients qui décide de tester mes limites soit il meurt, soit il tente de négocier. En m’offrant ta vie en échange de sa dette, en principe, ferait de lui un homme libre. Je te vends comme esclave au plus offrant, encaisse le pognon et basta. Toutefois…

Je me déplace lentement dans la pièce afin de venir, cette fois, me placer derrière elle. Mes mains se posent sur ces épaules et descendent lentement le long de ces bras.

Tu me plais et pour toi et toi seul je vais faire une exception. Je vais te laisser choisir. Sois tu es vendu au plus offrant et Travis ici présent est libre… soit il meurt et c’est toi qui acquiers un peu de liberté. Tu veux savoir ce que tout cela implique n’est-ce pas ?

Mes mains remontent le long de son corps et glisse vers son ventre, ces seins, partie de son anatomie et je caresse avec beaucoup de douceur pour le moment tout en regardant le petit con dans les yeux. Il sait qu’il est foutu si elle choisit l’option deux et je peux voir cette petite étincelle de peur briller dans son regard. Personnellement, si je devais choisir entre ma vie et la sienne, je choisirais de vivre. C’est exactement ce qu’il a fait en me donnant sa copine, reste à savoir si elle sera égoïste à son tour.

Si tu crois que ta vie vaut plus cher que la sienne alors voici mon offre. Tu auras le droit de vivre dans un luxueux appartement de mon choix, tu pourras continuer de travailler, d’étudier et même de voir tes amis. En revanche… ce corps est à moi quand je le veux, ou je le veux et dans la position qui me plait. Ta liberté contre ta soumission pleine et entière ou… je te vends au plus offrant.

Pendant que l’autre petit con se débat et marmonne, je ne sais quoi à travers le bâillon, l’une de mes mains à quitter ces seins pour descendre vers sa chatte.

Travis est la plus belle chose qui soit arrivée dans la vie mais c’est aussi ce qui va la détruire, son amour pour lui est si fort que ca va la tuer. Malheureusement pour Travis la drogue a supplanté son amour pour elle, alors qu’il lui avait promis que rien ne pourrait les séparer.

Elle se retrouve dans cet entrepôt, en face d’elle, elle voit un Travis attaché, le visage tuméfié et ensanglanté et de l’autre un homme charismatique certes mais dont les yeux reflètent sa cruauté et qu’elle n’as jamais vu mais qui détient la vie de son homme entre ses mains. Toute cette mise en scène ressemble à un film de gangster et elle ne sait pas comment s’en sortir, il y a des gorilles partout et si elle tente de s’enfuir, il la rattraperont en 2 2. Elle essaie un coup de bluff en l’insultant l’homme mais elle n’est guère convaincante et la sentence arrive instantanément, l’homme la gifle et elle tombe au sol, tout en se tenant la joue elle le regarde horrifiée. Travis l’insulte et tout va s’accélérer, l’homme sort une arme et tire dans son genou, le bruit du tir est étouffé par les hurlement de son homme. Mikaela panique,  elle tremble, elle se recroqueville sur elle-même et se bouche les oreilles, elle veut que tout s’arrête.

Des bras la soulèvent et l’emmènent devant Travis et le bourreau claque un ordre qu’elle doit se déshabiller. Ses yeux vont à l’homme puis à Travis qui la supplie de faire ce qu’il dit. Elle n’en as pas envie, elle recule de 3 pas mais se heurte à l’un de ses gorilles. Elle ne peut décemment pas accepter ça mais avec ce qu’il vient de faire si elle veut s’en sortir en vie, elle va devoir obéir.

Les mains tremblantes elle enlève son t-shirt, son leggins puis ses sous-vêtements, par réflexe, elle cache sa poitrine et son intimité avec ses mains et regarde le sol, elle se sent humiliée et se demande si ca ne serait pas mieux qu’il lui tire une balle dans la tête. Les mains puissantes de l'un des gorilles lui prend les bras et les tire en arrière pour l’empêcher de se cacher et de laisser tout le plaisir à son patron de la reluquer. Son bourreau ordonne à ses sbires de bâillonner Travis.

Tout en marchant lentement dans l’entrepôt, il lui explique ce qu’il va se passer pour tous les 2 et c’est totalement ignoble.  Il ne sont plus au moyen-âge et l’esclavage a été aboli depuis longtemps. Il s’approche lentement et vint se poster derrière elle, il laisse ses mains glisser le long de ses épaules, de sa poitrine et effleure son intimité, son souffle lui fait hérisser  les poils, elle est incapable de bouger et ses muscles sont tendus à l’extrême et plus il parle plus elle a envie de mourir, ce qu’il lui propose c’est soit Travis reste en vie mais elle sera vendue à n’importe qui et dieu sait ce qu’on pourrait lui faire, soit il meure et elle reste en vie mais sera à sa disposition nuit et jour. L’une comme l’autre des propositions est contre nature qu’elle ne peut se décider à faire un choix, le seul point positif c’est qu’elle pourra continuer à avoir une vie soi-disant normal. Tout se brouille dans sa tête, elle regarde Travis, il l’implore du regard et se débat, s’il n’avait pas fait le con rien de tout ça ne serais arrivé et ils vivraient heureux.

Le temps est suspendu, tout se mélange et elle doit prendre une décision surtout que sa main s’aventure vers son intimité et qu’il commence à être très insistant. Il lui souffle à l’oreille Tic Tac, elle trésaille, des larmes coulent sur ses joues, sa gorge se serre, elle lance un regard tendre vers Travis, elle baisse la tête et murmure

- Je suis à vous

Elle vend son âme au diable, elle décide de la mort de son homme, de toute manière, ils n’auraient pas pu être ensemble, la drogue avait pris trop de place et plus jamais il n’aurait été l’homme dont elle était tombée amoureuse.

Oui, je sais, je suis un vrai connard et alors ? Il n’y a rien dans cette affirmation que je ne sais pas déjà et en plus je l’assume et en suis fier parce que l’on ne devient pas qui je suis en jouant selon les règles. On n’est pas craint de tous en disant s’il vous plait et merci, ni en demandant poliment quand quelque chose nous plait. Non, on prend et on fait fermer la gueule de ceux et celles qui crient trop fort. Travis à crier trop fort, pire, il a essayé de jouer au vilain avec moi. Il a perdu, j’ai gagné. On va bel et bien se rejoindre en enfer, je sais, mais le diable étant un copain à moi je ne crains pas ces représailles le moment venu. Je gagne toujours… Parfois avec moins de gloire, mais je gagne toujours… N’est-elle pas nue devant moi ? Mes mains ne sont-elles pas déjà parties à la découverte de ce corps ? Je prends mon temps pour faire tomber l’offre et me réjouit de l’effet que fait la bombe. Comme je viens de le dire… TIC TAC »

— Je suis à vous.

Très bon choix

Ces mots sont à peine sortis de ma bouche que mes doigts se frayent un chemin afin d’entrer dans son antre brulant. Je n’y ai pas été invité ? Demandez-moi si cela me dérange. Elle est à moi non ? Quelques vas et viens avec mes doigts pou ouvrir la voie avant de la coucher sur une table qui vient d’être poussée entre nous et lui, entre nous et Mathis. Je la place pour que ce petit con puisse tout voir, je veux que son regard voie ma queue se faufiler en elle à chaque coup de reins. Je veux qu’il puisse voir son visage quand elle jouira sous mes assauts. Je veux qu’il me maudisse assez pour que son âme soit à tout jamais tourmentée. Une fois bien installée je lui écarte les jambes et libère ma bite d’une main. Elle est déjà bien dure, impatiente de gouter à ce nouveau jouet.

Regarde-moi…

C’est moi qui la baise, pas lui et j’attends qu’elle obéisse avant de m’introduire en elle. Si elle s’attendait à de la férocité, de la douleur ou pire que cela, elle vient de se rendre compte qu’elle s’est trompée. J’y suis allé avec douceur. Lentement, un coup après l’autre, je m’enfonce et me retire tout en profitant de l’occasion pour suçoter ces seins et caresser sa peau. Je la baise avec respect jusqu’au moment où je la sens excitée, jusqu’au moment où ma queue glisse sans friction. À ce moment-là ma main glisse sous sa nuque pour la soulever avant de l’embrasser avec fougue. Je peux entendre l’autre connard tenter de s’interposer, en vain.

Jouis pour moi… crie mon nom… Fais-le souffrir avant que la mort ne vienne le chercher et j’exaucerai l’un de tes vœux. Un vœu qui devra rester accessible bien sûr.

Quoi ?

Donne lui chose à ruminer une fois en enfer. Venge-toi pendant que tu le peux encore.

Je la redépose et accélère le tempo. Pas besoin de me soucier de savoir s’il regarde ou pas parce que je sais qu’il le fait. Je continue donc cette danse effrénée de vas et viens, la pilonne et fais monter la chaleur. Je peux la baiser assez longtemps pour qu’elle jouisse, surtout si je change un peu l’angle… voilà, n’est-ce pas divin de se faire défoncer le point G hum ? Je replie ces jambes le long de son corps afin que sa chatte soit tout ce qu’il puisse voir et la baise encore et encore jusqu’à a sa jouissance. Une fois atteint ? Je la pilonne encore pour qu’elle reste au sommet le plus longtemps possible puis me retire et me masturbe pour lui cracher mon foutre sur le ventre. De longs rubans viennent se mêler à sa sueur pendant que je grogne mon plaisir.

Fuck oui !!!

Quelques coups et je me rhabille, la laissant là où elle est sans me préoccuper de rien d’autre que de Travis.

Elle peut prendre ces vêtements, mais elle s’habillera de l’autre côté de cette porte.

J’attends qu’elle soit sortie et une fois la porte refermée derrière moi je prends le pistolet gentiment offert par l’un de mes gardes du corps.

Droguer le.

Un troisième homme s’approche, lui injecte un liquide incolore dans les veines et une fois bien endormi je tire en l’air.  

Vendez-le, Enrique a besoin de pute mâle pour sa clientèle féminine.

On ne le reverra plus, sa dette est payée et elle le croit mort. Tout est bien qui a fini bien. Je quitte donc la pièce, referme derrière moi et me place devant mon nouveau jouet en souriant.

Tu vas me suivre jusqu’à mon bureau sans rouspéter et on va discuter de la suite.