Mensonge et sexe -Mimi-

Il commence à peine à faire jour. Le soleil commence légèrement son élévation, le ciel est teinté d’un mélange de bleu et d’orange. La ville sort doucement de sa léthargie, les ouvriers partent à l’usine, les fêtards rentrent chez eux pour cuver leur vin et pour moi ma seconde vie commence. Celle d’un homme qui a besoin de rencontres féminines mais aussi de marquer son territoire avec sa fiancée. Celle-ci ne sera pas disponible, elle m’a prévenu tant mieux, je vais pouvoir retrouver cette petite blonde que j’ai rencontré dernièrement. Je ne connais ni l’âge, ni l’adresse exacte de cette dernière. Elle s’arrange toujours pour que l’on se retrouve dans un endroit différent à l’abris des regards sans doute pour dissimuler une relation extraconjugale. Il est possible que je sois l’amant d’une femme en couple ou mariée, celui qui gâche une famille car un enfant peut se trouver au milieu de tout cela. Est-ce que cela me fait quelque chose ? Non car un autre est certainement entrain d’écarter les cuisses de Màiri pour la faire jouir avec une micro-queue. Je relis les divers sextos que l’on s’est envoyé avec la jolie blonde, elle va vivre une sacrée partie de baise car je suis assez excité. Je dois la rejoindre près de Seaport Village et après elle m’indiquera où nous rendre. Il est toutefois possible que je ne résiste pas et que je la ramène au Cosmo où nous serons tranquilles puisque fermé de la journée. Je monte dans ma caisse après avoir lancé le gps pour aller plus vite et à peine que la clé est insérée voilà qu’un témoin lumineux se fait remarquer. L’huile est basse visiblement … putain j’ai pas le temps pour ça, cela va devoir attendre un de ces jours prochains car il faut que je prenne rendez-vous. Mon esprit est ailleurs, je réfléchis au boulot et au moyen d’améliorer encore plus les finances du casino mais aussi de la partie discothèque. La bar à cocktail est pour le moment en rénovation mais je sais que cela sera un succès à sa réouverture. Je soupire, un pépé est devant moi et évidemment pas moyen de le doubler… la poisse ! Je me demande ce que ce fossile fait déjà sur la route au lieu de promener son teckel ou son yorkshire en allant chercher le pain que mémé lui a commandé pour le petit-déjeuner. J’arrive dans l’Urban Side, le centre-ville est encore plus vivant : les camions poubelles ramassent les détritus, des pompiers rentrent à la caserne, des parents amènent leurs enfants à la garderie ou d’autres rentrent chez eux après une nuit de labeur.

Je ralentis car j’arrive au complexe de boutiques et de restaurants, je ne regarde plus trop la route mais plus vers le trottoir où peut se trouver mon rendez-vous. Je ne sais pas exactement où elle est, je roule réellement sur la bande du bus à allure hyper réduite pour la repérer. Quelques minutes se passent, je dépasse le village commercial et la remarque. Un coup de klaxon est donné, un signe de main effectué avant de stopper mon véhicule. Je lui ouvre la portière de l’intérieur avec un large sourire.

« Monte ma belle ! »

Une invitation sans lui dire bonjour tout de suite, pas super élégant mais je crois qu’on s’en moque tous les deux.

« Salut ! »

Enfin ! Je lui passe la main dans les cheveux avant d’attirer son visage contre le mien pour l’embrasser avec gourmandise.

« T’es très sex chérie ! »

Un compliment qui est réel car bon dieu cette nana à du chien et je vais en faire ma chienne tant on va baiser quand on sera arrivé à l’endroit qu’elle désire mais qu’elle m’a toujours pas dévoilé.

J’ai beau être fiancé, ce n’est pas pour cela qu’il est écrit qu’il faut que je sois fidèle. Je sais que Màiri ne se gêne pas de son côté et cela me couterait de l’attendre tous les soirs à la maison. Je ne suis pas ce genre de gars. Il me faut sortir et me divertir. Je vais m’amuser en retrouvant Milena, oui encore une femme portant cette lettre comme initiale à croire que j’y suis abonné ou que je suis fétichiste de la treizième lettre de l’alphabet si cela existe. Il est possible que cela soit le cas vu que, notre société place tout dans des cases désormais. Je viens d’enfiler ma veste et je pars retrouver ma camarade de jeu.

Nous sommes deux âmes errantes à la recherche d’un plaisir non feint. Prêts à se donner entièrement l’un à l’autre sans réelles contraintes, sans aucunes obligations sauf celle de satisfaire l’autre. Durant la soirée nous nous sommes excités, allumé. Je n’ai pas baisé de la soirée et j’avoue être particulièrement frétillant. Nous nous retrouvons sur Seaport pour plus de facilité. Un coup de klaxon pour attirer son attention. J’observe sa tenue minimaliste, cette dernière ne cache pas grand-chose mais de toute manière, elle ne la gardera pas longtemps. La voilà à mes côtés dans l’alcôve que forme ma voiture, nous ne sommes pas à l’abris des regards mais bien dans notre bulle. L’espace d’un instant, je me fais tendre et charmeur. Le baiser est déjà plus que fiévreux. Nos langues se taquinent, s’affrontent avant qu’elle ne me traite de flatteur. J’aime la complimenter, lui dire qu’elle est sexy car, elle l’est. Que du plaisir, du désir et aucune obligation. Elle est bandante, très bandante même. Elle soupire et m’indique tout de suite qu’il y a un parking sur la droite. Elle pointe son index pour me désigner l’endroit. Le regard est chaud, volcanique tout comme ce qu’elle m’annonce. Elle ne va pas pouvoir attendre jusque-là ? Oh putain, je crois deviner ce qu’elle a en tête surtout qu’elle semble très amusée par la situation.

« Ah oui ? »

La question peut paraitre innocente mais elle est loin de l’être. Je sens sa main glisser sur ma jambe alors que je l’observe s’agenouiller. Je vais rouler très doucement, très, très, très doucement. Un zip se laisse entendre, ma queue est libérée. Déjà flattée par les doigts experts de la belle blonde, elle se redresse. Au niveau de la conduite, j’essaie de rester concentré sur la route et je ne peux rouler moins vite que je ne le fais déjà. Je souffle en sentant le premier baiser que ma partenaire dépose sur mon sexe avant que je ne sente sa langue s’enrouler dessus.

« T’as fait bien de pas attendre »

Je délaisse le levier de vitesse pour venir poser ma main sur le dessus du crane de Milena pour l’inviter à continuer. Je suis déjà excité mais le fait de savoir que l’on puisse être vu ne fait que décupler cette sensation. Je vais m’occuper d’elle après en attendant je tourne un peu sur le parking à l’allure d’un escargot car aucune place n’est libre. Je laisse une place un peu trop serrée à une demi bagnole, un pot de yaourt européen ou une bagnole pour nain de jardin. Un tour de carrousel est encore effectué, le monde commence à arriver mais je viens de trouver ce que je cherchais. Un carré pour encore mieux se placer et ne pas être serré.

« Attention je vais freiner et me garer. »

Je tente d’être le plus doux possible alors que les bruits de succion se sont quant à eux accéléré, elle est passé à l’étape supérieure.

« Oh putain ! Plus fort, plus profond ! »

Qu’elle m’engloutisse jusqu’à sa limite maximum avant que je ne lui bouffe la chatte.

Nous nous comprenons rapidement et ce dès le premier jour ou nous nous sommes rencontrés avec Milena. Nous sommes taillés dans le même moule, dans la même essence. Nous n’attendons rien l’un de l’autre hormis du plaisir, celui de s’envoyer en l’air comme des diables sans s’avouer de sentiments ou promesses de futur rose bonbon. Voilà une chose que je ne pourrais faire, je vis dans la violence, l’arnaque, le crime, le mensonge. Le fait qu’elle écarte les cuisses m’arrange, cela m’aurait fait chier de galérer pour la posséder. Milena est clairement une belle femme et mon style de gonzesse. Blanche avec de jolies formes, des longs cheveux … J’aime la nana en plus du packaging.

Nous n’avons pas perdu de temps, la blonde s’est placée à genoux sur mon siège passager pour s’occuper de sa sucrerie favorite. Je me mets à durcir, grossir immédiatement sous l’effet de ses caresses buccales. La blonde sait y faire, elle me contrôle, possède les pouvoirs sur moi. Elle peut me couper le chibre en un geste si elle le souhaite. J’ai posé ma main sur sa tête tout en roulant doucement pour ne pas la blesser. Mes soupirs de plaisir sont venus se mélanger à ses bruits de succion. J’arrive à la faire rire en la prévenant de ce que je vais faire. Cela serait con de sectionner l’œuvre d’art qu’est ma queue. Sa salive coule sur ma tige désormais dressée, elle a accéléré la cadence avant de se redresser, me sourire et de se pencher pour tirer sur la manette du siège et le faire reculer au maximum.

Me voilà totalement au fond des rails, le fond calé contre le dossier de mon siège, Milena me regardant joyeusement en glissant entre mon volant et ma place. Sa langue revient rapidement à la charge sur la base de mon gland avant de s’attaquer à mes boules. Ce traitement ce fait jeter ma longue crinière en arrière, pousser de longs soupires de plaisir. Lorsque sa bouche vient enrober ma tige, je ne peux que placer mes mains sur le dessus du crâne de ma partenaire qui a déjà commencé des gestes plus rapides, plus précis et surtout plus inattendu puisqu’elle m’enfonce jusqu’à la garde sans que je ne lui demande. Elle secoue la tête, émet des bruits salaces ce qui me provoque des secousses sur la tige. Les frissons de plaisir sont instantanés, les râles qui suivent aussi. Aussi perverse que moi, elle crache sur mon champignon magique et le gifle d’un coup de langue avant de revenir gober mon engin. Je sais que l’on pourrait nous surprendre à n’importe quel moment, qu’on pourrait se faire choper pour attentat à la pudeur, nous ne frôlons plus l’indécence, nous en sommes le cœur même.

Nous regards sont flamboyants et animés du même désir, mes mains sont sur son occiput à la guider à nouveau vers mon phare. Elle se fait douce, je ne peux rester inactif plus longtemps, il faut que je la touche moi aussi. Le bout de mes doigts passe presque au ralenti sur sa gorge avant de glisser sur le tissu du haut de sa tenue. Je commence à caresser sa poitrine à travers leur cachette. Je sais qu’elle est solidement gâtée par la nature, j’apprécie la rondeur de son galbe tout en émettant des soupirs de plus en plus vulgaires. Cette chienne sait y faire avec sa bouche et j’ai hâte de lui rendre la pareille avec la mienne.

Milena me prouve une fois de plus qu’elle est une déesse du sexe, une Aphrodite des temps modernes. Sa bouche glisse délicieusement sur ma tige fièrement dressée pour elle. Ma main accompagne chacun de ses mouvements non pas pour la forcer mais juste par envie de le faire. Il serait idiot de lui imposer une vitesse alors qu’elle se fait déjà gourmande. Je devine qu’elle se touche, se caresse la chatte car je vois son bras légèrement bouger, se tortiller. Sa langue est sur toute la largeur ma colonne de chair qu’elle embrasse à l’extrémité. Elle émet un léger bruit, retire sa bouche et la remplace par ses doigts qu’elle enroule autour du mât pour entamer quelques caresses assez douces. Nous poussons des soupirs en simultané, je suis prêt et elle le sait. Mes mains se posent sur ses reins tandis qu’elle me montre son string, je souris, il est ravissant mais elle est mieux sans !

Désormais à califourchon, ma virilité se frotte contre elle, elle me fait savoir qu’elle a envie de moi et qu’elle me veut maintenant ! Heureusement car j’aurais boudé comme un gosse si cela n’avait pas été le cas. Je dois lui dire que j’ai des capotes. Qu’elle sache une chose : j’ai toujours ce qu’il faut sur moi ! Je baise à tord et à travers, je suis un nid à MST même si, je me fais assez souvent tester pour cela.

« Je te veux aussi Milena ! »

Je la regarde plein d’envie, glissant une de mes pognes sur son cul que je claque légèrement avant de nous faire légèrement basculer pour ouvrir un cendrier et sortir un petit paquet carré. Il n’est pas bien épais mais il contient la protection adéquate que je montre à ma partenaire avec un large sourire. Je porte l’emballage carré à mes dents pour que je puisse le sectionner. La chair de gallinacé apparait quand ma partenaire trace sa possessivité temporelle sur ma nuque, mon lobe d’oreille avant de répéter qu’elle me veut. Je choisi ce moment pour lui tendre le préservatif ouvert.

« Parfum naturel chérie ! »

Chérie ? Oui bon on va passer ce mot tendre pour le moment.

« Place le moi ! »

Aussitôt dit, aussitôt fait ! Je place mes mains sur la croupe de la blonde et l’empale d’un geste ample. Elle glisse tout le long pour venir buter conter mon bassin avec le sien.

« Oh putain que c’est bon … »

La connexion est effectuée, nous ne formons plus qu’un désormais. J’emmerde les conventions qui veulent que l’on se disent des mots romantiques avant de baiser. Je me contente d’aller chercher sa bouche avec la mienne, nos langues vont naturellement se retrouver pour valser alors qu’elle va avoir le plaisir d’imprimer les premiers mouvements de bassin, qu’elle donne le rythme du début car dès que je prendrai les rênes, les amortisseurs de la bagnole le sentiront passer. Tout en commençant à la sentir bouger, les doigts de l’une de mes mains se font aventureux, ils écartent une de ses fesses pour se glisser dans sa raie et venir titiller son étoile. Milena n’est pas encore suffisamment excitée à mon gout. L’autre s’accroche fermement pour accompagner les mouvements de coulissement. Les respirations se font plus saccadées, les regards encore plus allumeurs et que les badauds profitent pour se rincer l’œil s’ils le veulent, je suis bien trop occupé pour les remarquer.

Son regard est scandaleusement et délicieusement sensuel, je frissonne aux caresses de ses doigts sur mon torse avant qu’elle n’émette l’envie de se faire prendre. Mon dard est dressé, pressé de la pénétrer, je veux bouger en elle, sentir son cul rebondir contre mon bassin, nos souffles se mélanger, laisser nos regards s’embraser. Elle s’est mise à mordiller mon lobe d’oreille lorsqu’elle a pu voir qu’il y avait l’armure adéquate à mon petit soldat. Elle me place la capote avant de que je ne l’entraine et l’amène à venir s’empaler sur mon pieu qui lui est tendu. Nous nous libérons par des soupirs et ma compagne de jeux me clame un petit bordel enfin. Je suis d’accord avec elle, enfin. La conjonctions et l’unisson de nos mouvements est tout simplement diabolique, c’est fort, c’est rapide, charnel, passionné, on baise presque à la vue de tout le monde sans s’en formaliser. Nous ne sommes que deux adultes qui s’amusent ensemble, sans se promettre quelque chose qu’aucun de nous ne souhaiterait réellement, on se donne du plaisir, on se caresse et on s’entend bien mais tout ce qui est affectif s’arrête là.

J’adore exciter la jolie blonde et cette dernière réagit au quart de tour lorsque je viens titiller sa raie du cul. Ma respiration s’accélère, se saccade tout comme nos mouvements qui s’accélèrent encore plus, je gifle l’un de ses seins en souriant légèrement, je suis sadique mais elle ne doit pas hésiter à me griffer, gifler aussi si le cœur lui en dit. Nous n‘entendons plus rien, ne voyons que l’autre. Personne ne peut nous arrêter, elle me fait frissonner à nouveau en posant ses mains sur mon torse et en venant m’embrasser fougueusement : nos langues se mettent à jouer ensemble, leur ballet est diablement érotique presque incendiaire. Je ne comprends pas pourquoi, elle se redresse et me regarde de cette manière, enfin si car, je la sais joueuse. Elle me fixe directement droit dans les yeux et se plante encore plus brusquement pour améliorer le contact avec mes doigts, nous nous abandonnons entièrement, je me remets droit pour aller sucer ses seins tout en maintenant fermement son cul d’une main et en jouant avec mes doigts de l’autre. Je continue mes coups de reins en haletant contre sa peau, lui donnant des frissons de plus. Le plaisir est total de son côté également, elle se cambre, bascule la tête en arrière, ses seins me sont encore plus visibles, ils sont bien ronds et généreux, elle finit par m’abandonner quelques secondes en souriant et je sais que ce sourire quelque chose que nous aimons tous les deux. Elle est joueuse, provocante et taquine c’est pour cela qu’elle vient se coller totalement contre mon torse pour jouer de sa langue sur ma nuque m’arrachant des râlements de plaisir digne d’un homme des cavernes tant ils sont rauques. Elle m’annonce qu’elle me veut dans ses fesses, hum oui son joli petit cul rempli par ma tige.

« Cela tombe bien, j’ai très envie de t’enculer aussi ! »

Plus romantique tu meurs mais nous savons que le romantisme est mort depuis notre rencontre. Nous sommes bruyants, souples enfin surtout vu comment elle se tord pour venir me guider de sa main vers son étoile déjà prête à m’accueillir. Elle se met à descendre doucement en couinant, je me sens serré dans son trou plissé, nous entamons quelques va et vient assez léger pour que cela soit sans douleur pour elle. Je la fixe comme elle le fait lorsqu’elle se laisse retomber, permettant à ses fesses de claquer contre mon bassin. Elle se branle la chatte, commence à pousser des cris de plaisir alors que je bouge encore plus férocement en elle.

« Bordel Milena ! C’est bon oui ! »

Je grogne, claque les rondeurs de ses fesses avant de nouveau les empoigner pour accentuer les mouvements de nos ébats. Elle aime quand je la baise de cette manière, l’indécence est de mise une fois de plus. J’accélère souffle sur les pointes de ses seins fièrement dressés alors que je la pistonne comme un fou.

« J’adore te baiser comme ça, comme une bonne chienne ! »

J’aime son cul, j’aime la fesser, lui lécher les seins qui viennent me gifler la gueule sous mes coups de bite. Bordel nous sommes réellement fait pour baiser l’un avec l’autre tant l’indécence et la luxure sont nos crédos à tous les deux.

Pas de faux semblant, pas de romantisme ou de chichis. On baise pour le plaisir de baiser un point c’est tout. On le fait sans être discrets, sans retenues car cela nous amuse. Nos couennes s’entrechoquent, je la fous en transe sans aucunes concessions en jouant avec son clito alors que je la baise comme un malade. Elle me bouffe la bouche comme une morfale pour étouffer ses gémissements et mes grognements. Je la traite de chienne et cela l’amuse et l’excite encore plus, elle se plante avec encore plus de ferveur sur mon tronc, la bagnole respire, transpire le sexe, les cris vont encore raisonner très longtemps. Je caresse ses seins alors qu’elle se cambre contre le volant et qu’elle subit un orgasme. Cela ne m’empêche pas de continuer mes allers-retours frénétiques en elle, elle vient me gifler le visage avec ses seins en en réclamant encore, m’informant que je dois continuer. Les suspensions de la caisse prennent assez cher car nous sommes tous les deux déchainés. Elle remet de la vitesse dans cet échange des plus sulfureux. Nous aimons tous les deux le sexe et chaque échange est une ode à l’érotisme. Un véritable poème sulfureux est récité, joué au point qu’on en rendrait Eros fou de jalousie et qui ferait rougir Aphrodite elle-même.

Nos regards se croisent, nos lèvres se frôlent alors que nous sommes toujours en action et dans un rythme qui n’a pas baissé en intensité. Les frissons s’expriment librement sur nos cuirs en fusion. Mes mains explorent sans honte, sans retenue et tracent des sillions ardents. Je la transporte une nouvelle fois vers l’orgasme qui arrive par vagues succinctes, doucement dans un premier temps puis de plus en plus fort, elle en vient à hurler mon prénom alors que mon bassin claque le sien plus violemment. J’agrippe plus fermement ses fesses pour la faire retomber encore plus fort sur moi en laissant ma langue explorer sa gorge vers son menton dans un râle des plus caverneux. L’euphorie nous emporte, nos sens explosent alors que je la remonte et la refait descendre tout aussi vite pour me vider en elle une première fois et dans le meilleur des endroits. Je sais qu’elle ne tombera pas enceinte, je sens mon sperme dégouliner de son cul et glisse sur ma tige encore en elle. Je la serre contre moi, nos corps sont en sueur mais je n’ai pas envie de la laisser là, je veux un autre round en sa compagnie.

« J’espère que t’as encore de l’énergie car je n’ai pas envie de te quitter tout de suite ! »

C’est dit et en la regardant dans les yeux et non je ne m’attache pas, elle est juste un coup parfait. J’attrape un de ses mamelons le temps de reprendre vigueur. Je suce légèrement le bout de chair en émettant des bruits assez sonores alors que mon autre main vient sur sa colonne vertébrale et effectue de petits mouvements de montées et descentes comme ma bite dans son cul il y a quelques secondes. J’ai envie de sa chatte mais la bagnole est étroite pour se faire. J’ai envie de nous exhiber, de lui dévorer la chatte, de la déchirer et de la faire hurler à nouveau. Je lâche son téton dans un plop bruyant.

« J’ai envie de faire rougir les passants ! »

Voyons voir si elle va me suivre dans mon délire.