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 Soirée déprime (Tessa)

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Jake Harris
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MessageSujet: Soirée déprime (Tessa)   Soirée déprime (Tessa) EmptySam 5 Aoû - 22:37

Je suis vieux. Un putain de vieux. J’en ai marre de voir ma gueule ravagée de rides à la con et toujours plus de poils blancs dans cette barbe à la con. Putain ce nez que j’ai cassé, cette gueule ravagée, cet œil légèrement plus fermé que l’autre. Putain de vieux tacot pourri. Le pire, c'est que ce soir en rentrant chez moi je me suis surpris à me dire que je ne voulais pas sortir m’entrainer à la salle et dormir… Dormir sérieux ? J’éclate le miroir du poing pour effacer ce vieil homme fatigué de mon regard. Je vais dans la salle de bain et je me rase. Putain ça fait minet. Je prends la tondeuse et c’est parti pour les cheveux. Bien court, bien net, histoire de faire moins vieux et de réveiller ce vieux lion qui dort. Tijuana me manque. Le frisson du combat. Je prends mon sac et ce soir à la salle, je défonce le sac. Je fais tellement de bruit que j’en viens à déranger ceux qui se tapent sur le ring. Un merdeux me prend de haut et je grimpe sur le ring. Son sparing s’interpose et mange un coup qui l’envoie au sol. Le mec m’attaque et j’encaisse son cou. La suite, c'est un bordel d’échange de coups où on tente de nous séparer. Je provoque et je tape. Furieux et provoqué, il accepte le combat. Putain il est jeune, il est vif. Il est bon. Mais il ne tape pas assez fort pour me calmer et un mec qui fonce sur lui garde baissée pour le narguer avec des yeux de fous en lui hurlant de frapper plus fort tout en arrêtant les coups de poing avec son visage, c'est clairement un truc qu’il ne maitrise pas. Il finit le cul au sol a force de manger mes poings. Le gong sonne et j’éclate de rire alors que je me tape de qui a gagné. Le mec n’en revient pas et pour faire la paix j’invite qui veut en boite. Je passe une chemise et un pantalon classe et on y va.

**TENUE**

Le videur veut nous bloquer et j’annonce qu’on prend un carré VIP et il rechigne encore alors, je sors ma plaque en douce et lui demande s'il veut que j’appelle mes collègues pour foutre la merde dans sa boite ? Il nous laisse entrer et je prends les bouteilles. Tequila et bières, la Vodka c’est pour les Russes et les ados.

Ouais j’me sens vient. Le gamin m’a clairement secoué la gueule ce soir et j’ai la tronche un peu rougie des coups que j’ai pris. Putain je suis trop vieux pour ces conneries… Mais putain que ça fait du bien de retrouver ces sensations de l’époque… De la belle époque… De la grande époque… Merde non ça fait chien. Même ces cinq poufs qu’on a faits débouler dans le carré pour venir nous tenir compagnie, ça ne ressemble à rien. Je me lève et je fends la foule en direction du bar. J’en ai plein mon cul de cette soirée minable. C’est rien comparé à Tijuana et aux folies d’après combat. Je me sens angoissé de voir cette merde de soirée dans cette boite à la con. Quand je regarde la salle, c'est comme regarder un porno ou les acteurs sont habillés et que la caméra filme un coin de table pendant qu’on devine que le couple baise. Putain c’est décevant… J’ai besoin d’une clope. Je dégaine mon paquet mais un videur arrive direct sur moi et m’arrête avant de me désigner l’étage et la terrasse où les gens fument… Sérieusement ? L’espace d’un instant je me vois lui mettre un coup de tête mais je me résigne. Je monte et une fois dehors j’allume ma clope et tire dessus en me demandant ce que je fous là. Je regarde la ville et caresse de mon pouce les motifs de crâne sur mon zippo en or. Celui de Reccoba. Mon trophée de guerre… Putain ça fait chier, même cette clope a une saveur de poussière. J’aimerais tant remonter en arrière de 10 ans juste une nuit, retrouver tout ce passé qui me manque à en crever…
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MessageSujet: Re: Soirée déprime (Tessa)   Soirée déprime (Tessa) EmptyMar 8 Aoû - 7:08

Ma réadaptation à San Diego est pas aussi simple que je me l’étais imaginé. C’est ici que je suis née certes, mais je suis partie si jeune que j’ai l’impression d’être plus qu’une étrangère. Le seul repère que je pourrais encore avoir ici c’est mon frère, Hugo, mais je refuse catégoriquement de le contacter. Il peut bien crever la bouche ouverte avec cette famille de substitution qu’il s’est trouvé pour nous remplacer. De toute manière j’ai trouvé les templiers, ils sont devenus ma famille et la seule ligne de conduite envisageable. Un fil rouge dans cette vie qu’est la mienne aujourd’hui. Je suis encore de manière très régulière en relation avec mon père, il est resté à Tijuana certes, mais il garde un œil sur moi et sur ce que je fais. M’imaginer qu’il me laisserait voler de mes propres ailes sans s’emmêler un seul instant aurait été d’une naïveté déconcertante. Il m’a demandé si j’ai vu mon frère. Il est sérieux ? La dernière fois que j’ai vu ce petit con j’avais quoi six… sept ans peut être, je ne le reconnaîtrait même pas dans la rue si je venais à le croiser. Il espère quoi au juste qu’on reprenne contact ? Le rallier à sa cause pour développer son empire financier ? Je devrais lui suffire au paternel non ? Moi, au moins je suis là !! J’ai peut être pas les attributs qu’il veut entre les jambes ? N’importe quoi, j’en ai plus dans le froc que la plupart des mecs. Je suis sure de moi et je ne recule pas face à la difficulté, et tout le monde ne peut pas en dire autant.

J’ai peu de sujet de discorde avec mon père, mais dès qu’il me parle d’Hugo je me braque et le coup de téléphone c’est terminé brutalement. Je lui ais articulé quelques insultes en espagnol avant de lui raccrocher brutalement au nez. Fin de la discussion !! Je ne veux plus aborder ce sujet, le message est clair non ? Dommage que mon père soit aussi têtus et volcanique que moi. J’ignore les appels qui ont suivis me terrant dans mon mauvais caractère. Je suis trop agacée et survoltée pour rester tranquillement chez moi ce soir. J’ai besoin de bouger, de faire la fête… et oui de m’enfiler quelques verres aussi. J’aurais tout le temps d’être sage et raisonnable demain, une fois que je serais calmée.

Une sortie en boite, je ne connais pas encore suffisamment la ville pour savoir exactement où je mets les pieds. J’ai retenu le nom de cet établissement au cours d’une conversation qui n’avait pas une grande importance. Pourquoi pas aller là-bas… J’ai besoin que de musique pour danser et d’un bar pour boire quelques verres. Simple non ? En somme, je ne demande pas la lune. Enfin, il me semble. J’opte pour une petite robe sombre, semblant sage devant mais le décolleté dans mon dos est vertigineux. Une petite paire d’escarpin et un rouge à lèvre rouge mat se mariant à merveille avec le roux flamboyant de ma chevelure. Je m’engouffre dans un taxi qui me dépose devant l’établissement où j’entend déjà les basses raisonner. J’ai déjà envie de laisser mon corps se déhancher, et s’étourdir jusqu’au petit matin.

À l’intérieur, je prends le temps de boire un cocktail fruité avant d’aller danser. Rapidement, je me laisse happer par l’ambiance, dansant comme s’il s’agissait presque d’un besoin vitale. Ca l’est d’une certaine manière, j’ai besoin de me vider la tête et c’est exactement ce que je suis entrain de faire. Je ne demeure pas seule longtemps sur la piste de danse, je danse lascivement avec quelques hommes seulement par jeu. Je me sens sexy et convoitée et c’est quelques choses d’agréable. Bon, ces mecs ont faim et pour la plupart la seule chose qu’ils veulent c’est d’aller baiser dans un coin. Ce n’est pas ce que je veux, ou du moins pas avec ces types ça peut paraître con, mais j’ai besoin de vibrer, et aucuns d’eux malgré des plastiques pas désagréable m’a donné cette envie. Une armoire à glace, un type qui doit faire pas loin de deux mètres me colle un peu trop et me retiens en m’agrippant par les hanches quand je tente de m’extirper. Mes doigts agrippent sa poigne, mais comparer ma force à la sienne est ridicule, j’enfonce mes ongles dans sa peau mais j’arrive à peine à le faire sourciller. Il me tire plaque ma croupe contre son entrejambe et quand il me murmure un truc salace à l’oreille son haleine chargée en alcool manque de me faire tourner de l’oeil. Ses lèvres dans ma nuque me hérisse le poil, je me contiens pour ne pas lui hurler de ma lâcher, avec la musique hurlante ça ne servirait à rien, je plante mon talon dans son pied, sous l’effet de surprise il me lâche un instant, je me retourne et lui flanque un coup de genoux dans les bijoux de famille, il couine et articules quelques insultes, mais je ne reste pas là, je me fraille un chemin dans la foule dansant avant qu’il puisse réagir. Est-ce qu’il m’a suivit ? Je n’entend pas me retourner pour vérifier. Je file à l’extérieur, j’ai besoin de respirer. La porte s’ouvre et une profonde bouffé d’air fait emplit ma cage thoracique. Mon coeur bondit dans ma poitrine et je dois me faire violence pour me calmer. Malgré la foule, personne ne percevait que j’avais besoin d’aide, ça passait inaperçu et ça me rend folle.

Je sursaute et mon coeur manque un battement quand la porte s’ouvre brusquement, claquant contre le mur sous la poigne hargneuse de l’homme qui vient de l’ouvrir. Je me tourne et blêmis en voyant qu’il s’agit du même type. Son regard est celui d’un fou et avant même que je puisse reculer, il a déjà empoigné mon bras pour me tirer contre lui en me traitant de salope et de putain d’allumeuse, m’entrainant sans me laisser la moindre chance dans un recoin un peu plus sombre, plaqué contre un mur dur et froid. Je tente de lui flanquer un, puis deux coups de pieds, mais la montagne de muscle ne bouge pas d’une pouce. Je grogne de rage, mes iris lui lance des éclairs, je ne l’implore pas de me lâcher, je le lui ordonne. Si j’ai peur, je refuse qu’il le perçoive. Je refuse de lui offrir ce plaisir.
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MessageSujet: Re: Soirée déprime (Tessa)   Soirée déprime (Tessa) EmptyVen 11 Aoû - 12:00

Putain ça ne me ressemble pas d’avoir le moral aussi merdique. Je me sens vieux. Je me trouve vieux… Je suis vieux. J’écrase une larmes qui gonfle dans mon oeil avec le pouce et ramène ma clope à mon bec pour en aspirer deux taffes. Alors que j’expulse l’air de mes poumons une nana me regarde. Elle est dégueulasse avec son faux bronzage son maquillage exagéré et ses putains de seins, de cul et de lèvres refaites… Putain y’a plus de plastique dans son corps que dans tous l’océan Atlantique… Un frisson de dégout me transperce alors qu’elle se prends en photo en surjouant son émotion pour les réseaux sociaux… Putain que la décadence des soirées du Mexique me manque. Mais soudain c’est un bruit qui attire mon attention et ma main se pose par réflexe là où j’ai mon flingue d’ordinaire. Bah non débile t’es en boite de nuit t’as pas d’arme sur toi… Le mec est immense et visiblement énervé. Une jolie rouquine se trouve devant lui. Plutôt canon la dame et visiblement le mec en a après elle… Il l’entraine même s’il donne l’impression d’un mec très amoureux embarquant sa nana tendrement… Il l’entraine dans un recoin à l’insu de tous… Je m’approche. La fille se débat et tente de le frapper du pied mais il encaisse sans broncher. Bon… Un mec héroïque ferait un truc stupide du genre prévenir le mec pour tenter de réveiller en lui une sensation de mauvaise action et en se tournant il deviendrait un vrai problème et c’est un coup à perdre ses dents… L’avantage de ne pas avoir de scrupule et d’être officiellement un connard c’est que je peux le latter sans hésitation. Mon pied tape entre ses jambes percutant ses couilles avec une violence féroce. Ma main à l’arrière de sa tête s’avance et lui fait frapper le front contre le mur ou il a coincé la dame. Il pivote et frappe avec son bras au pif histoire de ratisser large. C’est presque trop simple. Mes bras en garde je plie les jambes pour esquiver et une fois face à moi on joue l’enchainement classique. Jab gauche, job gauche, direct du droit en pleine tête, crochet gauche au foie et uppercut en remontant direct au niveau du bide. Le mec tombe à genoux et roule sur le côté. Je regarde la fille alors que les gens nous regardent.

« Faut viser les couilles trésor sinon ce genre de gros tas ça encaisse les coups »

Je retire ma clope de ma bouche et crache la fumée et tapant la cendre pour qu’elle tombe sur le mec. Il va avoir besoin de souffler un moment pour se remettre. Je le regarde lui dit.

« Quand tu pourras te mettre debout va pisser et si demain tu pisses encore du sang va à l’hôpital, panique pas ce soir ce sera normal »

Je regarde le rousse en souriant fier de ma réplique. C’est un truc qu’on ne connait pas quand on regarde des boxeurs, mais on se fait tellement malaxer les entrailles et les organes en combattant qu’on pisse souvent du sang le soir même. La rançon du succès… Je plisse les yeux en regardant la nénette en face de moi.

« Hey on se connait tous les deux non ? »

Elle me rappelle quelque chose en tout cas. Ou alors j’ai le cerveau qui déconne à plein régime. J’ai pas mal pris de tarte ce soir à l’entrainement c’est pas impossible que je sois encore un peu ravagé en plus d’habitude ou mon cerveau n’est pas non plus la partie la plus performante de mon anatomie. Le mec au sol se tortille un peu? Il encaisse bien le con.

« Tu sais quoi ? Garde ça pour après on se tire y’a ton amoureux qui va se relever… »
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MessageSujet: Re: Soirée déprime (Tessa)   Soirée déprime (Tessa) EmptyMer 16 Aoû - 14:19

Moi, une femme forte et indépendante, je me retrouve subitement dans une situation de vulnérabilité. Telle une gazelle étourdie entre les pattes puissantes d'un lion rugissant, je me sens impuissante et fragile. Ce constat est difficile à accepter, car je suis censée être une prédatrice dans ce monde, une BT aguerrie. Je me répète sans cesse "je ne suis pas une proie", mais l'haleine nauséabonde de mon agresseur m'envahit et me donne envie de vomir. Il ricane avant de m'embrasser avec brutalité. Je tente de crier et de me débattre, mais sa force est immense. Je le mords alors de toutes mes forces, plantant mes dents dans sa lèvre ou sa langue, je ne sais plus. Dans cette bataille, je sens le goût ferreux du sang envahir ma bouche, mais je sais que ce n'est pas le mien. Il se recule en m'insultant avant de m'asséner une violente baffe qui me sonne un peu.

La suite ? Tout se passe vite, trés vite. Je me sens subitement libérée du poids de mon agresseur et quand je relève les yeux je vois un homme le rouer de coups. Ce connard couine comme un cochon qu’on égorge, et quand il tente de reprendre le dessus sur son agresseur le pauvre con est déjà allongé par terre en gémissant de douleur. Je regarde mon “sauveur” les paupières papillonnant de surprise. Le mot que je cherche c’est sans doute “merci”. Enfin je crois, pour une fois que je reste sans voix, c’est un fait suffisamment rare pour être noté et souligné. Je tourne la tête et plante mes grand yeux claires dans les siens quand il s’adresse en moi m’appelant trésor me conseillant de viser les couilles la prochaines fois. Je reste comme là, comme une conne. Je bug sur ce type, malgré l’obscurité, les traits de son visage écliré par les rayons argenté de la lune me semble familier ça voix rocailleuse également.

” Faut-il en avoir encore l’occasion chaton. “

Il m’a appelé Trésor non ? Moi aussi je peux user d’un petit surnom familier tout chou ? Pas sur qu’il le prenne bien, mais le sourire qui étire mes lèvres laisse entrevoir mon côté joueur une fois la peur causé par l’’autre connard estompée. C’est quand il s’adresse à l’autre étendue sur le sol que ça me frappe tout d’un coup. Mais oui putain. Le Mexique. Tijuana comment n’ai  je pas pu le remettre tout de suite.  En plus Jake, ce n’est pas le genre de mec que l’on oublie facilement, je me souvient encore avec précision avec quelle facilité il avait mis mon corps en ébullition. J’étais qu’une gamine en manque d’expérience à l’époque. Mon corps semble se souvenir lui aussi, il s’embrase quand son regard amusé plonge dans le mien, il semble se souvenir lui aussi ce qui m’arrache un sourire. Je pensais pas que lui me remettrait en revanche je pensais être qu’une groupie parmi les autres, une petite salope que l’on baise une nuit et balais de son esprit dès le petit matin. C’est les grognement de mon agresseur qui semble se remettre plus vite que prévu de sa dérouillé qui me rappel à la réalité. Plus réactif que moi, mon bienfaiteur m’attrape par le bras pour qu’on se barre bien vite avant que l’autre con veuille une revanche.

Hors de question de retourner dans la boite, il m’y retrouverait trop facilement. On cours presque sur le trottoir tellement on presse le pas, ralentissant qu’à quelques rues de là, une fis qu’on a disparut du champ de vision de l’autre con.

” Ha pasado un tiempo Jake… “

Je lui confirme qu’on se connais en usant de mon espagnol? Je n’en ai pas pipé un mot depuis que j’ai quitté le giron de papa au Mexique. S’il ne se souviens pas de mon nom, il se rappeler peut être de cette nuit folle partagée lors d’une soirée dingue là bas. Y a rien à faire, j’aime les USA, j’aime San Diego, mais niveau fiesta ce n’est pas  comparable. J’attends qu’il se tourne vers moi pour voir s’il remet un prénom sur le visage, ce n’est pas sur, nous avons changé plus de cris et gémissements que de mots cette nuit là.

”Gracias Jake. Sin su intervención habría…”

Il m’aurait probablement violée à même le sol parsemé de détritus. Je ne sais pas pourquoi je continu de lui parlé en espagnol, parce que quelque part ça me fais du bien de retrouver cette langue sans que mon interlocuteur soit mon père ? Peut être… J’en arrive rarement à remercier qui que se soit, je suis douée pour éviter ça et comme d’une manière général je m’imagine que tout m’est du… mais là, c’est différent malgré mon sourire de convenance je suis encore sonnée par ce qui vient de se passer.

” Alors tu t’es lassé du Mexique ? “  

Je lui souris appréciant de retrouver ici les traits d’une personne appartenant à ma vie passé. Certes nous avons partagé qu’une nuit, bestiale et sauvage, du stupre pur mais c’est déjà un point d’ancrage qui m’est agréable.

” Tes coups sont toujours aussi efficace à ce que je vois. “

Sa puissance physique est sauvage, c’est ce caractère fougueux et indomptable qui m’a hypnotisée et attirée à l’époque, et aujourd’hui je peux qu’avouer qu’il me fais toujours de l’effet. Mon corps se réchauffe sous la simple passé de souvenirs lointains pourtant.
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MessageSujet: Re: Soirée déprime (Tessa)   Soirée déprime (Tessa) EmptyDim 3 Sep - 21:33

Ce que j’aime avec les tartes dans la gueule c’est que c’est un langage universel. Et plutôt que de prévenir un gros costaud qui a tendance à trop pousser à la salle mais qui doit plutôt bien encaisser avec tous ces gros biscottos, je préfère lui taper dessus plutôt que de faire un long discours ennuyeux et inutile. D’ailleurs je regrette d’avoir retenu ma frappe, le mec est déjà debout. Je retiens mon désir de lui en remettre une et embarque la nénette rousse avec moi. Je rois qu’on se connait mais j’avoue que là je m’en souviens pas vraiment. En tout cas je l’exfiltre. En passant devant le carré VIP avec les gars je réalise que les pétasses de tout à l’heure sont à califourchon sur eux et j’ai déjà tout payé. Au pire je dirais que j’ai du me tirer un peu vite de là. Une fois dehors on trace le long du trottoir, je l’embarque vers ma caisse, je vais la raccompagner pour éviter qu’elle retombe sur le gros con. C’est alors qu’elle me parle espagnol et je me tourne vers elle alors qu’elle me sourit… Putain c’est Tessa… La petite rouquine incendiaire qui venait en douce en boite et qui souvent finissait dans un lit avec moi… Elle était canon et alors que moi je vieillis elle en revanche elle gagne en superbe. Putain c’est quoi son secret pour être encore plus canon 10 ans plus tard ? J’ai encore en mémoire ses gémissements lascifs alors que je la tamponnais comme un sauvage et cet acharnement à vouloir le tenir éveillé… Ouais… C’était vraiment la belle époque putain. Croyez moi il ne faut pas vieillir c’est surfait… Elle me remercie pour mon intervention parlant toujours Espagnol… Putain ça me donne tellement la gaule qu’une jolie femme me parle en espagnol…

« Eres aún más hermosa que en mis recuerdos Tessa. »

Je la complimente un peu mais en même temps c’est sacrément mérité putain. Elle est torride la Tessa. Je me tourne un peu vers elle m’arrêtant alors qu’on a mis assez de distance avec la boite de nuit. Putain je suis pas habillé classe. C’est juste simple. J’ai pris des coups à l’entrainement et si j’avais le casque j’ai un peu morflé donc bon c’est pas génial surtout qu’elle est torride elle… Elle me demande alors dans notre langue géographique si je me suis lassé du Mexique ? J’ai un petit rire. Oh non… J’en rêve putain. Je rêve de cette puissance que j’avais. De cette sensation de vivre comme un étalon qui galope dans les plaines en défiant le vent de sa superbe. Je suis une vieille carne aigrie et mourante voilà ce que je suis.

« Non je suis devenu vieux… »

Elle me prend pour un boxeur alors autant la jouer ainsi. Heureusement j’ai pas ma plaque visible sur moi. Puis bon au pire je peux dire que je suis devenu flic pour arrondir ma retraite et garder un peu d’activité… Elle n’a pas besoin de connaitre mon service ni mon grade. Elle répond que mes coups sont toujours aussi efficaces à ce qu’elle voit. Je souris amusé. Y’a un joli double sens à entendre dans ses mots suaves et sexy.

« J’ai quelques restes… »

Je la détaille des pieds à la tête, pas d’alliance à l’annulaire, toujours aussi canon… Je dirais qu’elle a même prit quelques formes… C’est sexy… Je déverrouille ma voiture. Et lui fais signe de monter.

« Aller vient j’te ramène. Si jamais t’as une bouteille de Tequila chez toi j’te laisserai m’inviter à boire un verre. »

Petit sourire arrogant et amusé. Avant j’étais un dieu, elle était jeune et avait besoin de frisson. Maintenant c’est une femme et moi un vieux machin. Avant j’aurais claqué des doigts et elle se serait mise à genoux devant moi en pleine rue. Ici… Ce n’est pas Tijuana… Je m’installe au volant et attends qu’elle monte. Si elle refuse, je partirai sans elle.
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MessageSujet: Re: Soirée déprime (Tessa)   Soirée déprime (Tessa) EmptyDim 10 Sep - 21:31

Sans l’intervention musclée de Jake, ce type aurait certainement abusé de moi. Cette seule éventualité me glace le sang et je ne peux m'empêcher de penser à toutes les conséquences terribles que cela aurait pu avoir. Je me sens étrangement impuissante et vulnérable, comme si j'avais perdu tout contrôle sur ma propre vie. Pourtant, je ne me suis jamais vue comme une victime et je refuse de le devenir. Si lui ne m’a pas reconnue, moi, en voyant cette silhouette familière et cette  voix rocailleuse, je l’ai reconnue instantanément, je suis soulagé et secouée à la fois. Il est celui qui, dans le passé, a su me faire frissonner de plaisir, mais aujourd'hui, c'est surtout son assurance et sa force qui me rassurent. Il a su terrasser mon agresseur avec une aisance que je lui connais.  Sa poigne ferme se referme autour de mon poignet et il m'entraîne avec lui à l'écart. Nous n'attendons pas que l'autre se relève pour partir,  le danger n'est pas encore écarté.

Nous marchons côte à côte sur le trottoir, enveloppés dans l'obscurité silencieuse de la nuit. Je me sens en sécurité en sa compagnie et je n'ai aucune raison d'être anxieuse. Après tout, cet homme n'est pas un inconnu pour moi. Nous avons exploré tant de recoins de nos corps respectifs que le stade de la simple "connaissance" est largement dépassé. Je décide de briser le silence pesant en m'adressant à lui en espagnol, une langue que je connais bien. Je cherche à travers cette intonation chaleureuse à lui rafraîchir la mémoire. Il se retourne brusquement vers moi, me dévisageant avec perplexité alors que je lui adresse un sourire amusé. Malgré sa confusion, je remarque que les connexions semblent se faire peu à peu dans son cerveau, comme s'il était frappé par les souvenirs brûlant de nos nuits partagées. Ça remonte à une décennie peut-être ? Je me rappelle encore de ce temps où je cherchais désespérément des sensations fortes. Avec lui, je dois dire que j'ai trouvé ce que je cherchais. Si pour lui je n'étais qu'une gamine parmi tant d'autres avec qui il passait une nuit, pour moi c'était bien plus que ça. Il a donné une toute autre dimension au terme "plaisir" et m'a fait découvrir quelque chose de complètement différent de tous ces hommes d'à peine vingt ans qui n'étaient capables que d'un coup d'un soir. Il était un expert en la matière et il savait comment faire vibrer le corps d'une femme avec une dextérité étourdissante. Je me souviens des moments passés avec lui comme faisant partie des plus intenses de ma vie, et ça marque une âme.

Mon visage se fend d’un sourire taquin quand il me répond en espagnol que je suis encore plus belle que dans ses souvenirs. Vraiment ? Je m’avance un peu vers lui, lentement, d’une démarche souple et féline, l’expression de mon visage se transforme et laisse à présent entrevoir une moue boudeuse.

«En realidad ? ¿Es por eso que tardaste tanto en recordarme? ¿Porque te deslumbré con mi belleza?»

Mes lèvres soufflent ses mots si proches de ses lèvres qu’il doit pouvoir aisément sentir mon souffle chaud effleurer sa peau. Mes iris plantés dans les siens son plein d’une malice que j’assume sans rougir. Puis, je me recule aussi promptement que je me suis approchée pour le tenter de mes charmes que j’ai largement aiguisés au cours de ses dix dernières années.

Je lui demande alors s’il c’est lassé du Mexique. Sa réponse m’arrache un sourire taquin. Vieux ? Hum ce n’est pas le terme que j’emploierais pour le décrire. A moins que comme le bon vin il se bonifie avec l’âge ? Car soyons clair, ses airs un peu bourru et mal rasé n’enlève pas à son charme bien au contraire. J’enchaîne sur ses coups toujours aussi précis et puissants. Je parle de ses poings oui… mais pas que. Mon petit sourire trahirait-il mes pensées ? Peut être, mais au fond je pense que le double de sens de mes mots était évident.

On arrive devant sa voiture, qu’il déverrouille avant non pas de me demander, mais de m’imposer de me ramener. Ça ne serait pas Jake, je refuserais probablement par pur esprit de contradiction, mais c’est lui, et son sourire plein d’arrogance et de provocation me donne envie de vérifier si les années l’ont ramolli ou non.  Un petit éclat de rire m’échappe quand il me dit qu’il me laissera l’inviter à boire un verre si j’ai une bouteille de Tequila. Je me retourne et prends appuis sur sa voiture, pressant mon petit cul rebondit sur la portière l’attrapant doucement par le col de sa chemise pour l’attirer à moi, effleurant ses lèvres sans pour autant l’embrasser.

« Quelle délicieuse manière de t’inviter chez moi…» Mes lèvres viennent enfin capter les siennes pour un baiser suave et langoureux après avoir joué un moment au jeu du chat et de la souris. «y tal vez incluso te deje refrescar tu memoria…»

Je rompt le baiser, laissant ma langue caresser se lèvres inférieur d’une manière plus que subjective. La petite Tessa qu’il a connue a bien grandi et est bien plus entreprenante qu’à l’époque. Je me décolle légèrement de lui pour attraper la poignet de porte de sa caisse et ouvrir la portière. Souriante et aguicheuse, je lui balance un regard brûlant par-dessus mon épaule.

« Vamos abuelo, la Taquila nos espera…»

Une petite pique, oui, pour le piquer au vif, pour le taquiner et le provoquer. J’aime jouer avec le feu, c’était déjà le cas à l’époque et ça n’a pas changé. Maintenant direction ma maison en bords de plage, je lui donnerai l’adresse sitôt que nous serons tous les deux installés et prêts pour une nuit plus torride encore que celles que j’ai encore gravées dans ma mémoire.
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MessageSujet: Re: Soirée déprime (Tessa)   Soirée déprime (Tessa) EmptyDim 24 Sep - 20:44

Je crois que la vie de gangster m’irait mieux. À vrai dire, je crois qu’il aurait mieux valus que je sois déjà mort. Dans une ultime soirée où un gang rival m’aurait pris pour cible. J’aurais crevé dans un déluge de feu et de balles. J’aurais expulsé mes derniers battements de cœur après cette nuit d’ivresse à m’étourdir de ma toute puissance, d’alcool et de petits culs. Au lieu de ça, je suis un vieux grincheux qui a perdu la seule chose importante dans sa vie parce qu’il prenait trop de plaisir à jouer au voyou pour les flics et que ça n’a aucun sens au final. Ouais je suis vieux et ça me déprime solide. Je rêve de revenir en arrière, de changer les choses. Alors comme je déprime à l’idée de voir des rides sur ma gueule et de voir mon corps lâcher peu à peu, je fais ce genre de conneries. À savoir me taper avec un mec sur un ring comme si j’avais 20 ans et ensuite je vais en boite alors que j’ai mal partout et que je serai bien resté chez moi ce soir et que j’aurais adoré dormir très tôt. Et résultat je cogne un mec deux fois plus gros que moi et je retombe sur Tessa. La rouquine sexy que j’ai si longuement déglinguée quand j’étais à Tijuana. Pourquoi moi, je deviens vieux et elle dans sa trentaine, elle est encore plus femme et magnifique que cette jeune femme bandante qui me baisait des nuits entières ? La vie n’est pas une chienne… La vie est la reine des salopes…


Tess et moi nous enfuyons plus loin pour échapper au retour du gros connard qui après sa défaite éclaire va surement faire jouer sa fraicheur physique, son jeune âge et sa colère. Je vais probablement en prendre plein la gueule et dans une boite de nuit c’est pas idéal de se bagarre. Donc, nous voici dehors et elle semble s’amuser de me parler en espagnol en me jetant des regards fiévreux et des sourires comme si j’étais la 7eme merveille du monde. Sérieux chérie t’as pas besoin d’être aussi pleine de gratitude ni de faire semblant de pas voir que je suis vieux et que j’ai la gueule ravagée… Elle me demande si je l’ai reconnue et je lui lance un sourire mi-figue mi-raisin.

« solo soy viejo »

Ouais j’ai pas remarqué qui elle était parce que je suis trop occupé dans mon propre cerveau. Je réfléchis à cette « gloire » passée… Je me sens vieux. Rance et dépassé. C’est affreux. Je n’insiste pas. Je ne veux pas jouer les vieux grognon même si j’en suis un. Je lui propose de la ramener puisque visiblement la soirée a pris un tour malheureux et que je pense que la dame ne va pas vouloir retourner boire et danser… Elle rit et passe devant moi et appuie son cul torride contre la portière et m’attire par le col pour me rapprocher et planter son regard dans le mien tout en effleurant ma bouche de ses lèvres. Elle m’avoue que c’est une délicieuse manière de m’inviter chez elle et elle m’arrache enfin un petit sourire. Elle m’embrasse et je réponds à son baiser. L’occasion est bien trop belle pour laisser passer ma chance. Tessa a toujours ce gout de passion. Elle me donne l’impression que je suis cette énorme pâtisserie qu’elle s’offre en douce alors qu’elle est en plein régime. C’est grisant. Elle coupe le baiser et propose de me rafraichir la mémoire. Elle continue de jouer de ses charmes et je crois que je vais me laisser tenter pour ce soir. Retrouver un petit gout de Mexique entre ses cuisses, ça peut avoir son charme. Surtout que j’aime cette prise de contrôle. En général je poussais et elle faisait. Si bien que j’avais pris l’habitude d’imposer directement mes désirs et de la voir y répondre, mais qu’elle vienne maintenant me chercher pour répondre aux siens c’est autre chose mais totalement savoureux. La petite Tessa a grandi et j’aime vraiment ça. Elle m’appelle grand-père et me taquine pour me piquer. Je la tire vers moi pour la décoller de la voiture et la pousse pour qu’elle contourne la voiture et monte du côté passager lui collant au passage un magnifique main au cul.

« Llámame abuelo otra vez y mañana estarás cojeando como un pato. »

Je monte et la laisse s’installer. Elle me donne son adresse et je me mets en route. Je ne roule pas à fond mais après quelques mètres de fait en bagnole, je presse le bouton de sa ceinture de sécurité que je fais sauter avant de conduire et de regarder la route, détachant ma ceinture de pantalon et l’ouvrant sans la regarder.

« Ramène ta bouche par ici… ça t’évitera de dire des gros mots… »
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MessageSujet: Re: Soirée déprime (Tessa)   Soirée déprime (Tessa) EmptyLun 2 Oct - 22:20

Ce qui aurait put arriver sans l’intervention de Jake ? Je crois que je préfère ne pas y penser. Il m’a évité le pire en collant à mon agresseur une raclé monumentale. La peur a cédé sa place à ce sentiment de satisfaction de le retrouver. Le souvenir de nos nuits torrides à Tijuana me hante encore, putain ces soirée c’était de la folie quand j’y repense. Je n’hésite pas un seul instant et je me tire de la boite avec lui. Sa présence protectrice tend à balayer l’angoisse engendrée par cette mauvaise rencontre, je me sent en sécurité avec lui et le souvenir de nos nuits endiablés me pousse à me montrer séductrice. Aguicheuse. Je joue avec le feu ? peut être bien, mais que voulez vous, on ne se refait pas.

Les flammes de l’envie danse dans la clarté de mes iris, grandissant quand nos langues se délient avec quelques paroles en espagnol. Son accent m’arrache des frissons délicieux se propageant tout le long de ma colonne vertébrale. Vieux ? Hum… nous avons prit tous les deux des années dans les dents, ainsi va la vie, mais vieux n’est pas le terme que j’aurais employé en posant mes yeux sur lui. S’il a certes prit quelques rides, son charme lui demeure intact. L’effet qu’il me fait en me dévorant des yeux n’a pas changé, mais peut être que la chaleur de nos souvenirs commun altère quelque peu mon jugement. Un sourire franc vient éclairer mon visage quand il me propose de me ramener chez moi. Me ramener hein… une manière de s’inviter à venir me sauter, mais je joue le jeu, tout ça m’excite et me plais énormément. Je joue les allumeuses et laisse mes charmes manœuvrer. Appuyée contre la carrosserie de sa caisse je l’attire contre moi pour effleurer ses lèvres des miennes, dans un geste prompt et léger  pour l’aguicher et attiser ce désir naissant et grandissant. J’approuve son programme avant de l’embrasser plus franchement, laissant ma langue venir chercher la sienne le temps d’une danse brûlante, partageant au-delà du baiser une envie partagée, une impatience qui me fait vibrer. Jake à ce goût sauvage, celui de l’interdit… il est cette flamme dansante et virevoltant avec laquelle je veux danser au risque de m’y brûler.

A l’époque j’étais qu’une gamine enquête de sensation fortes, Jake me les offraient, ces nuits étaient à couper le souffle. Je n’avais de cesse de surpasser, je perdais le contrôle pour lui plaire, je lui offrais tout ce qu’il aurait pus désirer parce que je ne me lassais jamais de lire le plaisir dans ses iris. J’étais cette gamine qui voulait être guider sus les sentier sombres et tortueux du plaisir. Aujourd’hui, ces chemins je les connais davantage, je les ais empruntais tant de fois, j’ai grandi, j’ai gagné en expérience et en audace et je suppose qu’il peut que le remarquer.

Je le taquine en le nommant grand-père, un éclat de rire plein de provocation m’échappe quand il me pousse non sans une certaine autorité de l’autre côté de la bagnole pour me faire pénétrer à l’intérieur. Oh j’ai piqué monsieur au vif ? Totalement, et ça m’amuse. Ca m’amuse parce que je n’en pense pas un mot, je ne le vois pas comme le vieillard qu’il pense être, et cette main qui traîne sur mon cul, elle est pleine de vivacité et fais que faire monter mon désir vers des cimes vertigineuses.

«No deberías hacerme ese tipo de promesa… »

Il fait qu’aiguiser mes désirs de provocation quand je suis entrain de m’installer sur le siège passager. Il se place derrière le volant et je lui donne mon adresse. Il démarre, et roule tranquillement quand mon impatience voudrait qu’il appuis sur le champignon. Tout à coup, il détache ma ceinture de sécurité, m’arrachant un couinement de surprise. Mon sourire s’étire en le voyant déboucler sa ceinture. Son impatience semble faire écho à la mienne. Ce constat me ravie, et sans même que j’en ai réellement conscience ma langue vient humidifier mes lèvres, preuve d’une gourmandise qu’il vient de faire naître en moi.

«Quelle élégante manière de me faire ferme ma grande gueule. »

Mes lèvres se pincent réprimant un sourire quand je suis déjà penché au-dessus de son sexe que ma main vient d’extirper de son carcan de tissus. Ma langue vient glisser lentement de sa base jusqu’à son sommet. Je le sent durcir sous mes caresses linguales et cette sensation est divine. Mes lèvres se referment sur son gland pour le comprimer, le sucer avant que sa verge toute entière glissent entre mes lèvres. Ce trajet que je désirais de prime abord aussi bref que possible prend tout d’un coup un tout autre tournant. Je me surprend à désirer à ce qu’il se paie tout les feu rouge pour prolonger cet instant. Le sucer au volant de sa choisir, cajoler son pieu de chaire comme une chienne en manque, ça m’excite. Je remonte de temps à autre mon regard sur lui, guettant ses réaction, me demandant s’il saura demeurer impassible si des véhicules passent à notre hauteur. Je veux sentir sa respiration s’accélérer et se raccourcir, je veux sentir son sexe palpiter sous ma langue provocatrice, la souillant de son foutre pour la laver de tout ses vilains mots que j’ai osé prononcer.

«Ne te presse surtout pas…»

Je souffle ses mots contre son gland avant de repartir à l’attaque. M’aidant de ma main pour faire monter la température de quelques degrés supplémentaire. A cet instant je le veux avec une telle ardeur que j’en ai presque le vertige, mon désir étourdit mes sens et altère ma raison. La passion qui m’anime transforme mon sang en lave et me rend plus ardente encore que le coeur en fusion d’un volcan. Mes lèvres redoublent d’ardeur, le prenant plus profondément et plus vivement à chaque va-et-vient. C’est simple j’aspire qu’à une chose, le rendre fou.
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MessageSujet: Re: Soirée déprime (Tessa)   Soirée déprime (Tessa) EmptySam 7 Oct - 0:03

Pourquoi cette soirée a subitement un arrière-gout de tequila pur jus ? Celle qu’on ne donne pas aux touristes, cette vraie saveur d’agave fermentée qui vous pénètre le corps jusqu’au tréfonds de vos os. Pas cette merde infâme coupée au sucre de canne qu’on agrémente d’un tas de sucre coloré pour faire plus branché. Non, cette saveur âpre et grisante qui râpe la langue et vous colle deux dents pendant plusieurs minutes et qui une fois disparu vous donne envie d’y goûter de nouveau. Cette femme qui n’était qu’une gamine excitée par le boxeur, qui fendait la foule avec la fougue de sa jeunesse et qui venait se foutre sur moi à califourchon, faisant reculer deux voir parfois trois nanas qui se collaient à moi, c’était dingue à voir. On aurait dit que cette minette à peine majeure était capable de faire dégager des nanas sublimes et expérimentés par sa seule fougue. Et les nuits avec elles étaient torrides. Comme elle devait souvent rentrer à l’aube, je m’efforçais parfois de faire durer juste pour la baiser le plus longtemps possible. J’étais jeune et fort à cette époque. D’ailleurs, je crois que j’aurais probablement mis son agresseur K.O d’un coup à l’époque. J’en ai collé trois et je l’ai sonné quelques secondes seulement… Mais retrouver Tessa devenue une femme et une femme désirable et sensuelle, c'est dingue. Sans parler de cette manière de me parler en espagnol et de me rendre dingue avec ça.

Elle provoque et je ne suis pas du genre patient. Alors je la pousse dans la voiture et m’empresse de me foutre au volant, mais alors qu’elle s’attend à se laisser conduire, je détache sa ceinture et lui fait réaliser que j’ai une toute autre idée à lui soumettre en lui expliquant que ça va lui éviter de dire des gros mots. Loin de s’offusquer de mon initiative, elle me félicite, déclarant que c’est une élégante manière de lui faire fermer sa grande gueule. J’ai un sourire amusé, je suis sûr que n’importe quelle féministe entendant ça me brûlerait sur place et je n'en ai rien à foutre. C’est carrément l’idée et comme elle aime ça, je n’ai aucune raison de me retenir avec elle. Sans attendre, elle sort mon sexe de mon pantalon et sa bouche s’active. Putain, elle suçait déjà bien, mais là, c'est autre chose. Elle a progressé la merdeuse… Avant, c'était plein d’entrain et d’envie de faire, mais là c’est… Expert. Je caresse ses cheveux et parfois, je la regarde quand je m’arrête à un feu rouge. Elle me nargue et s’amuse avec moi, me montrant qu’elle aime cet exercice. Quand elle me dit de ne pas me presser, je souris et ouvre la vitre pour sortir mon coude.

Alors que j’attends au feu rouge, une voiture arrive à ma hauteur. Une nana s’y trouve et me regarde. Une pimbêche qui se prend en photo en faisant des duckface… Je saisis les cheveux de Tessa et lui impose des gorges profondes sur mon sexe la forçant à faire des bruits de gorge salaces que la nana entend. Elle rougit et me regarde avant de lever la tête pour tenter de bien voir ce qu’elle comprend que je fais. Je souris et hausses les sourcils histoire de lui dire « pas mal hein ? » Ouais j’ai de la chance… Le vieux moche qui se fait sucer la queue par une nana sublime et ardente. C’est divin. Au feu vert, je démarre et roule. Je la laisse reprendre le contrôle de sa fellation et arrive enfin chez moi, je coupe le moteur et tire ses cheveux pour la virer de sur moi. Je me lève et sort de la voiture. Je fais le tour et arrive de son côté. J’ouvre sa porte et lui agrippe la tête et la force à sucer ma queue, baisant sans bouche comme un sauvage pour me finir avec force et férocité histoire de me déchainer un peu sur sa bouche et la forcer à sucer sans retenue ma queue raide…
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MessageSujet: Re: Soirée déprime (Tessa)   Soirée déprime (Tessa) EmptyDim 22 Oct - 11:16

Cette soirée vient de prendre un tournant inattendus. Quelles étaient mes chances de retomber sur Jake ici à San Diego ? Je n’aurais pas parier une cacahuète là-dessus, et pourtant… Un sourire carnassier étire mes lèvres. Il vient de me sauver les fesses. Le revoir fait remonter en moi une farandoles de souvenir de ces nuits de luxure que nous partagions lui et moi après certains de ses matchs. J’étais qu’une gamine en manque d’expériences et en manque de sensation et lui il m’offrais ce que je voulais, je lui octroyais tous les droit sur mon corps et putain on en a passé des nuits brûlantes et sauvages. Mon corps s’en souvient encore avec une incroyable précision, il s’échauffe à la vision de son sourire, à la sensation de son souffle chaud sur ma peau. Les intonations espagnol c’est incroyablement sexy et excitant. Je le provoque et le chauffe, je veux le rendre dingue, le faire dérailler. Je joue avec le feu ? Oh que oui et je veux me brûler au cœur des flammes du plaisir et de la dépravation.

On passe de la ruelle à sa caisse pour aller chez lui. Je suis impatiente ? Totalement mais visiblement il l’est plus encore, il fait sauter ma ceinture de sécurité pour m’inviter à la sucer plutôt pour ne plus dire de bêtise. Hum, quelle délicieuse manière de m’inviter à fermer ma gueule. Je pourrais m’en offusquer, mais c’est tout le contraire. L’envie qu’il attise en moi est sauvage et brûlante. J’extirpe son sexe de son carcan de tissu, ce dernier s’élève et semble pointer fièrement vers le ciel n’attendant plus que je viennent y apposer mes lèvres gorgée d’envie. Je relève sur lui mon regard brillant et plein d’une provocation que j’assume totalement.

Mes lèvres viennent capter son gland, le suçant avec envie, puis ce sont mes lèvres qui glissent le long de hampe de chair avec une lenteur calculée, comme si je voulais ressentir et apprécier chaque centimètre que j’engloutie. Je me mets alors à le sucer comme si ma vie en dépendais avec une ardeur et une envie dépassant l’entendement. Je le dévore avec une avidité folle, je lui souffle de prendre son temps que j’entend bien satisfaire cette incroyable gourmandise qu’il suscite en moi. Il s’arrête à un feu rouge, je ne relève pas la tête mais je comprends qu’on nous observe à la seconde où il empoigne ma chevelure de feu pour m’imposer des gorges profondes. Des bruits obscènes mais terriblement excitant m’échappe. Je lui abandonne le contrôle et putain qu’est-ce que c’est bon. Les années n’ont en rien altéré ce feu qu’il sait si bien faire naître au creux de mes reins.

Il redémarre et me laisse reprendre le contrôle de cette fellation ardente. Je perds toute notion du temps, trop concentrée sur son plaisir, les gémissements rauques qu’il ne peut pas toujours réprimer, sur sa respiration qui s’accélère. Dominer en homme en s’emparant de son plaisir est une sensation délicieuse. Le moteur de la voiture se coupe et je couine de frustration quand il me vire, me retirant cette sucette que je sentais durcir et palpiter entre mes lèvres. Il sort de la caisse, je me redresse les lèvres gonflées et tremblantes. Ma portière s’ouvre brusquement. Mes iris le scrutent, il agrippent ma nuque pour me déloger de sa voiture, il veut mes lèvres, que je termine cette ce que j’ai commencé là dans l’allée. Je couine d’envie. Délogée de la bagnole, je suis à genoux devant lui. Je relève la tête pour capturer son regard du mien quand dans le même instant ma langue vient torturer son gland. Mes doigts agrippent ses hanches seulement pour me donner un meilleur appui, mes lèvres s’animent et coulissent le long de sa verge tendue et offerte pour mon plus grand plaisir. De son sommets à sa base mes lèvres œuvrent et ma langue le torture. La férocité avec laquelle je le dévore est dingue. A aucun instant mon regard ne se détache du sien, je veux voir les flamme ardente du plaisir danser dans l’obscurité de ses iris. La gamine qu’il a connue à Tijuana n’est plus qu’un souvenir, remplacée par une femme qui assume ce désir grondant et sauvage qui la consume. Je veux le sentir exploser de plaisir entre mes lèvres, je veux sentir sa semence inonder ma gorge, je veux le goûter, le dévorer, et nettoyer sa verge goutte après goutte. Je veux le finir… pour m’offrir ensuite à lui.

Je m’acharne sur cette verge comme une véritable affamée, enchaînant les gorges profondes jusqu’à ce qu’il explose enfin. J’assume cette vague de plaisir sans fin, l’avalant jusqu’à la dernière goutte. La violence a été telle que mes yeux sont rougis mais j’assume, ma langue vient recueillir chaque goutte de sperme comme s’il s’agissait d’un véritable trésor dont on ne peut perdre aucune goutte. Je termine par nettoyer son gland avant de me redresser, collant mon corps contre le sien. Je suis brûlante et tremblante.

« Bien meilleure que la Tequilla…»

J’esquisse un sourire plein de provocation quand mes lèvres viennent chercher les siennes, l’embrassant avant de reculer légèrement pour plonger mon regard dans le sien. Sa verge délaissée par mes lèvres est presser contre mon bassin qui semble s’embraser de désir. Je le veux, et je crois que je n’ai pas besoin de formuler ce désir quand mon corps semble vouloir parler pour moi. Mes doigts viennent crocheter les siens, l’incitant à les remonter le long de ma cuisse pour venir sous les pans de ma robe. Mon dessous en dentelle est trempé d’un désir difficilement mesurable tant il est pressant. Mon regard est plein d’envie et de provocation.

«Sentir cuánto te deseo... es indecente.»

Mes lèvres effleurent les siennes sans pour autant l’embrasser, je gémis en guidant ses doigts entre mes cuisses. Je crois que s’il me fais attendre plus longtemps je vais devoir le supplier… l’implorer de me baiser encore et encore.

«¡¡Fóllame!! Te deseo. Ahora ! No me hagas rogarte Jake… »
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MessageSujet: Re: Soirée déprime (Tessa)   Soirée déprime (Tessa) EmptyVen 3 Nov - 13:42

C’est délicieusement indécent et savoureux. Rouler en sentant la bouche de Tessa sucer fiévreusement ma queue. Elle s’active avec perfection. Elle joue sans retenue et se donne à 200% comme si elle cherchait à me faire céder en quelques secondes. Et j’adore ça. Les pipes timides, laissez ça aux puceaux qui découvrent. Je réalise d’ailleurs que ces quelques années de plus l’ont rendu plus. Assurée et plus belle encore. C’était une jeune femme déchainée et ardente qui testait sa séduction et le sex adulte en se donnant à une star locale et je crois que ça avait un côté transgressif pour elle ce qui rendait ça encore plus torride et intense. Ma main dans ses cheveux roux, je la force à me satisfaire, la queue me prenant dans sa gorge sans retenue. C’est intenable et quand j’arrive chez elle, je coupe le moteur dans mon parking de son immeuble. À cette heure, on ne va croiser personne mais même si c’est le cas je m’en tape. Je la pousse. Quitte la voiture, sort et la queue a l’air trempé de sa salive, je contourne mon bolide et ouvre sa porte. Je sais sa tête et la tourne vers moi. Je saisis sa tête et la force à continuer sa fellation torride. Elle agrippe mes hanches et me guide pour que j’y aille encore plus intensément. Les secondes filent et je la regarde avaler ma queue sans sourciller. Elle a progressé. Elle est devenue encore plus dingue qu’avant. Je pousse toujours et enfin la sensation de libération arrive. Je force la gorge profonde et éclate au fond de sa gorge avant de reprendre les va et viens pour la forcer à encaisser encore et avaler encore et encore pour ne pas s’en foutre partout. Elle avale soigneusement et en perds rien. Elle a tout pris et se relève en me disant que c’est bien meilleur que la Tequilla.

« Non en aucune manière mais c’est mignon que tu y crois. »

Moi perso ce sera toujours la Tequilla qui aura ma préférence au jus d’homme… Elle se colle et on dirait que la jeune femme ne souhaite pas s’arrêter là. J’avoue que ce serait grossier de ranger ma queue et de lui foutre une claque sur le cul avant de lui dire que je rentre. Non en fait c’est pas mal. Je regarde autour de nous et ma main sous sa robe écarte le tissu trempé de sa culotte alors que je devine une lingerie très coquine là-dessous. Elle s’enflamme et me parle en espagnol me donnant des mots très chauds et cru pour exprimer tout son désir et j’avoue que ce serait criminel de la laisser dans cet état sans rien faire… Je regarde rapidement autour de nous et si j’ai très envie d’une chambre, je l’attire, ferme la portière et la couche sur le capot, remontant sa robe en ouvrant ses cuisses. Je décale sa lingerie et tape mon sexe contre le sien pour la faire frémir. Je la regarde dans les yeux pour m’assurer qu’elle est consciente qu’ici on va se faire probablement surprendre mais avant qu’elle ne parle je me plus planté en elle sans aucune protection et commence à la limer sèchement. Cette jeune femme a eu la bonne idée de me vider à l’instant. Je peux l’enchainer sans protection et sans retenue sans risquer de l’inonder trop vite. Je saisis le haut de sa robe et la baisse pour dévoiler sa poitrine dans son soutient gorge. Je le dégrafe par l’avant, ça c’est pratique. Je me penche sur elle et l’accablant de coups de bassin je me mets à dévorer ses seins sans retenue, les mordants et les aspirants avant de les sucer pendant que mes mains les massent sans relâche.
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MessageSujet: Re: Soirée déprime (Tessa)   Soirée déprime (Tessa) EmptySam 11 Nov - 15:46

Sucer Jake avec autant d’acharnement me renvois à cette époque lointaine où je n’étais qu’une gamine avide d’aventure, de sensations fortes et de nouvelles expériences. L’insouciance de ma jeunesse, combinée à un désir insatiable d'explorer l'inconnu, m'a conduit à lui. Les nuits que j'ai passées avec lui à cette époque étaient teintées d'une folie pure et d'une luxure décadente qui dépassaient tout ce que j'avais connu auparavant. C'était une période de passion effrénée, de désir brûlant et d'abandon total à la volupté. Les braises de ce désir, bien que tamisées par le passage du temps, brûlent encore au fond de moi. Il a suffit d'un simple souffle, d'un simple rappel de ces nuits de passion pour raviver ces braises et allumer à nouveau le feu de cette luxure décadente.

Avec une avidité folle, je le pompe, chaque mouvement de mes lèvres brûlantes de désir alimenté par la seule aspiration de le sentir succomber à l'extase. Il n'y a dans mes gestes aucune esquisse de timidité, aucune trace de retenue. Surtout pas avec lui. Surtout pas avec Jake. Je veux lui démontrer que les années ont affiné mon habileté, que le temps m'a façonné et m'a permis de gagner en dextérité. Je ne suis plus la petite fille perdue qui se cherchait, mais une femme, confiante et déterminée qui sait exactement où elle va et ce qu'elle fait. Chaque geste, chaque mouvement est délibéré, empreint de certitude et de [détermination.](http://détermination.Sa) Sa poigne ferme et dominatrice se resserre dans ma chevelure rousse, me forçant à céder à son rythme effréné. La sensation de sa main dominante dans mes cheveux me rend presque sans défense face à son contrôle absolu. Je hoquette d'envie, un désir incontrôlable s'éveille en moi, alimenté par l'intensité de son contrôle. Sa verge raide s'enfonce profondément à chaque mouvement, touchant le fond de ma gorge. Cette sensation d'asphyxie, loin d'être effrayante, décuple mon envie, faisant naître en moi des sentiments d'excitation et de désir intense. C'est violent, c'est fou, c'est une danse passionnée où la douleur et le plaisir se confondent dans un tourbillon d'émotions.

En arrivant sur le parking devant ma maison, il éteint le moteur, marquant ainsi la fin de ce premier round. Je me redresse, mes lèvres tremblent et gonflent à cause du traitement intense qu'il m'a infligé. Il fait alors le tour de la voiture et ouvre ma portière, forçant le barrage de mes lèvres pour reprendre exactement là où nous avions laissé les choses. Mes mains trouvent instinctivement ses hanches, et les siennes se perdent dans ma tignasse. Son sexe, gonflé de désir, se presse de plus en plus profondément, de plus en plus sauvagement. Jusqu'à ce qu'il atteigne enfin le paroxysme de son plaisir, libérant son foutre chaud au fond de ma gorge. A bout de souffle, j'ingurgite avec gourmandise chaque goutte de ce précieux nectar, comme s'il était le plus exquis des délices.

Avec lenteur et délicatesse, je retrouve peu à peu mes esprits, me reconnectant progressivement à la réalité tout en restant hypnotisée par les flammes ardentes qui brûlent au plus profond de ses iris sombres. Je me risque à déclarer qu'il est bien supérieur à la tequila, à quoi il me rétorque que ce n'est pas le cas. En cet instant précis, je peux affirmer sans l'ombre d'un doute qu'il est exquis... non, il est bien plus que ça. Mes yeux s'embrasent d'un désir déconcertant lorsque ses doigts audacieux viennent percevoir la preuve tangible de mon abandon entre mes cuisses. Il écarte délicatement mon sous-vêtement et un gémissement incontrôlé m'échappe lorsqu'il entame sa caresse. Le bruit sourd de la portière qui claque résonne dans l'obscurité, suivi d'un gémissement de surprise qui m'échappe lorsqu'il me saisit pour me faire allonger sur le capot de la voiture. Ici ? Aux yeux de tous ? Mes joues se teintent d'une couleur cramoisie malgré moi.Peu importe les doutes ou les réserves que je pourrais émettre, il les a muselées fermement et instantanément. En un mouvement audacieux et étonnamment érotique, il remonte lentement ma robe, révélant mon corps à son regard avide. Son sexe, qui a retrouvé toute sa vigueur, frotte provocateur contre mon intimité brûlante, me faisant frissonner d'anticipation. L'envie qui me consume est trop importante, bien trop pressante, et bien que je sache que c'est une folie, je ne peux m'opposer à cette sensation. La tentation de céder à ce désir irrépressible est tout simplement trop forte pour que je puisse y résister.

On peut se faire surprendre à chaque instants, mais là tout de suite, c’est le cadet de mes soucis. Il libère ma poitrine, l'exposant à son regard brûlant d'excitation. Mon corps se courbe instinctivement, cherchant désespérément le contact qu'il me propose. Finalement, il s'enfonce en moi dans un geste sauvage et brutal, marqué par un désir primaire et bestial. Il commence à me prendre avec une force et une puissance qui me laissent sans voix, dévorant ma poitrine avec une avidité qui me fait tourner la tête. Des gémissements de plaisir incontrôlable m'échappent, je porte ma main à mes lèvres, essayant de retenir mes cris pour ne pas attirer l'attention sur nous. C'est tout ce que je désire en ce moment, et je me laisse emporter par l'intensité de la situation. Je tremble de plaisir contre lui, mes doigts s'accrochent fermement à sa nuque, la crochète avec une détermination désespérée pour l’attirer contre mes lèvres. Je l’embrasse avec une avidité étourdissante, consommant chaque instant de ce baiser passionné, étouffant mes gémissements contre ses lèvres douces et chaudes. C’est si bon, si incroyablement délicieux que je me sens défaillir, emportée par les vagues déferlantes d’un plaisir intense que je ne contrôle pas. Chaque fibre de mon être est en émoi, submergée par la sensation écrasante de cette passion ardente. Mes iris sont enflammés par un désir si violent et si intense que j'en suis presque à bout de souffle, je suis sur le point d'atteindre l'extase. Son dynamisme me plonge dans un état de folie absolue, m'emportant dans un tourbillon d'émotions intense. Je l'embrasse avec une passion dévorante, caressant chaque centimètre de sa peau comme si je le découvrais pour la première fois. Dans une frénésie désespérée, je commence à défaire les boutons de sa chemise, un par un, en essayant maladroitement de nous mettre sur un pied d'égalité. Chaque instant passé ensemble est une exploration de l'inconnu, une danse brûlante entre deux âmes qui se cherchent dans le chaos de la passion. «De nuevo ! De nuevo ! Dios mío, Jake…» Chaque mot que je prononce semble mourir doucement contre ses lèvres. Je suis au bord du précipice, à la lisière de l'extase promise, mon corps en feu frémit et tremble contre le sien, dans une danse aussi ancienne que le temps lui-même. Mes iris plongent dans les siens, perdus dans un océan de désir et de passion, et une vérité inébranlable me frappe alors : je sais que j’en voudrais plus… encore et toujours plus. Comme lors de ces fameuses nuits, ces nuits d'ivresse et de folie où nous nous abandonnions l'un à l'autre, où nous ne nous arrêtions que lorsque nos forces nous abandonnaient, lorsque chaque parcelle de notre être était épuisée…«Mejoras con la edad. Es incluso mejor de lo que recuerdo.»
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MessageSujet: Re: Soirée déprime (Tessa)   Soirée déprime (Tessa) EmptyDim 17 Déc - 18:42

Cette petite nostalgie a un gout délicieux. On dirait qu’elle a pris de l’expérience ou alors c’est moi qui aie oublié cette passion avec laquelle elle pouvait me donner du plaisir avec sa bouche ? C’est sans doute mieux que je m’abandonne à elle. Elle est assez canon pour me donner envie de plus… Ses caresses vont me garder raide et je vais pouvoir tenir la cadence une fois entre ses cuisses. C’est tout bénef comme on dit. D’ailleurs je suis ardent et excité et je continue d’occuper sa bouche en la regardant dans les yeux, tenant ses cheveux pendant qu’elle me garde raide et nettoie mon sexe. Les secondes passent et je regarde autour de nous. On pourrait rentrer dans la voiture, grimper en hâte chez elle et pourtant je l’agrippe et la ramène sur le capot de la voiture. Je la fais monter dessus et remonte sa robe. Je me frotte à elle et me plante dans son corps sans retenue m’agrippant à elle pour la baiser ainsi sans aucune forme de retenue. Au pire on fera rougir les vieux et baver les plus jeunes qui nous croiseront. Je me tape totalement de ses voisins je suis là pour la baiser et pour la baiser salement. Rapidement, Tessa se laisse emporter et s’agrippe à moi en laissant ses soupirs envahir le parking. Son corps se tend sous les assauts du mien et la voici se mettant à onduler son corps pour mieux ressentir les attaque de mon sexe qui va et vient en elle. C’est démentiel de réaliser que cette femme a gagné en prestance, en beauté et en féminité avec ces quelques années de plus.

J’étais fatigué ce soir, je me suis bagarré, pour beaucoup, on pourrait considérer que je suis un crétin qui a fait des choses qui ne sont plus de son âge et pour moi, j’ai eu la sensation de combattre et de vaincre le temps. Ce soir je suis redevenu jeune. Et entre les cuisses de cette femme, je retrouve ma vigueur, ma fougue et mon âme. J’oublie ces années passées. J’oublie la souffrance, la mort de ma fille. J’oublie que j’aurai sans doute du être du côté des voyous et non des flics, que j’étais un roi à cette époque, un seigneur puissant et que je ne suis qu’un vieil homme en train de se débattre pour ne pas voir son reflet se ternir dans le miroir… Je tremble de plaisir alors que j’ai l’impression de rajeunir à chaque gémissement qu’elle libère. Mon sexe plonge en elle et chaque mouvement me fait rajeunir. Le décor sale et sombre du parking se déchire. Je suis au Mexique dans mes draps de soie, martelant cette gamine rousse qui me contemple comme si j’étais un dieu et qui se tortille et se déchaine pour que je la préfère à toutes les autres le temps de cette nuit où un dieu s’est penché sur elle et l’a choisi parmi toutes les autres pour prendre du plaisir. Je me laisse griser par l’instant et je déchaine mon corps qui frappe le sien sans relâche et qui me fait pousser des ailes de feu qui déchirent ma peu et réchauffent mon âme. Je me noie dans les yeux de Tessa qui soudain m’encourage avant de me dire dans notre langue du plaisir que l’âge nous rend meilleur et que c’est bien meilleur que dans ses souvenirs… Je souris et me penche pour l’embrasser avant de murmurer chaudement une main glissant sur son cou délicatement.

« El tiempo ha jugado a tu favor y ha trabajado en mi contra. »

Je lui prends les mains et la fait saisir ma nuque. Elle était plus jeune et moi sans doute plus solide, mais je l’agrippe et la soulève la laissant se tenir à ma nuque pendant que je la porte en la soutenant par les fesses et me met à la faire monter et descendre le long de mon sexe de sorte qu’elle se sente « empalée » sur moi et que la sensation de pénétration soit intense à chaque mouvement car son poids descendant la fait se planter sur moi avec force et puissance. Je me sens glisser au fond d’elle et me délecte de sentir son corps trembler et son souffle devenir fou. C’est étrangement tout aussi facile qu’à l’époque, pas si rouillé le vieux on dirait. Soudain un bruit attire mon attention et je me tourne pour croiser le regard d’un mec qui nous fixe et rougit. Sans cesser ce que je fais, je lui fais signe de dégager d’un mouvement de tête.

« Dégage t’as assez maté… »

Je le laisse partir en continuant de baiser Tessa avant de lui dire une fois que le type a disparu.

« On continue chez toi ou j’te finis ici ? »
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MessageSujet: Re: Soirée déprime (Tessa)   Soirée déprime (Tessa) EmptyVen 19 Jan - 22:04

Les chances de tomber sur Jake ici, dans la vaste et animée ville de San Diego, étaient pratiquement inexistantes. Cependant, contre toute attente, c'est bien lui qui est apparu de nulle part pour me sortir d'une situation difficile, seulement pour mieux me bouleverser quelques instants plus tard. Cette fellation qui se produit alors qu'il est encore au volant de sa voiture de luxe, les lumières de la ville défilant à l'extérieur, a un goût de nostalgie vertigineux qui me fait tourner la tête. Le désir qui émerge alors, qui prend racine au plus profond de moi, est puissant et sauvage, semblable à une tempête qui se déchaîne sans retenue. Ce sentiment, qui était autrefois familier, est maintenant ravivé avec une intensité dévorante.

Nous arrivons enfin devant ma maison après une soirée remplie et riche en émotions. Au lieu de rentrer à l'intérieur, où nous pourrions nous laisser aller à nos désirs dans l'intimité et la discrétion de chez moi, il fait un choix différent. Avec une force qui me surprend, il me soulève et me pose durement sur le capot brillant de sa voiture garée à l'ombre discrète de la rue déserte. Là, sous le ciel étoilé et a porté des regards indiscrets, il me prend avec une passion sauvage qui reflète l'intensité du désir qui nous assaille l’un et l’autre.

Mon corps, dans une danse de frénésie et de passion, se tord et se tend d'un plaisir intense, si profond qu'il semble venir d'un autre monde. Je suis forcé de mordre férocement ma lèvre inférieure, comme si je cherchais à contenir les torrents de plaisir qui menacent de se déverser de ma bouche en des gémissements puissants et sonores. Si je me laissais aller totalement, je crois que j'ameuterai tout le quartier, je ferais trembler les murs de leurs maisons avec la symphonie de ma jouissance. Chaque mouvement de mon corps, chaque coup de rein brutal et sauvage m'emmène plus près du bord de l'extase, me rapproche d'une jouissance incroyable et étourdissante. C'est comme si je me rapprochais d'un sommet, et à chaque pas, l'air devient plus fin, plus pur. J'ai l'impression de revivre, de renaître d'une longue hibernation. C'est comme si je prenais une profonde inspiration après une apnée trop longue, comme si je sortais enfin à la surface d'une mer profonde et obscure pour m'éblouir dans la lumière du soleil. C'est une sensation divine et incroyable, un moment d'éternité capturé dans l'écume des vagues du plaisir.

«Tu vivacidad y ferocidad están intactas para mi mayor placer.»

Animée par son énergie, je suis poussée à enserrer sa nuque avec une fermeté déterminée. Mes lèvres s'abandonnent aux siennes, se livrant à une passion sauvage et dévorante qui consume tout le reste. Avec une facilité déconcertante, il me soulève, me positionnant avec une aisance apparente sur son membre viril comme si mon poids était insignifiant. Sentir sa présence profonde en moi, sa prise sur moi avec une intensité si ardente, me fait vaciller sur le bord de la conscience. Je m'agrippe à lui comme si ma vie entière dépendait de cet instant, je l'embrasse en dévorant ses lèvres avec une passion déchaînée, avant de pousser un hoquet de surprise en apercevant les yeux grand ouverts de notre observateur. Sa réaction est visible, il rougit à la vue de nos corps étroitement enlacés, et la lueur brillante d'une extase indéfinissable dans nos yeux finit de le déstabiliser. Jake le chasse sans cesser ses mouvements brutaux, le mec dégage sans demander son reste. Mon attention, qui avait été momentanément détournée, se reporte entièrement sur Jake. Il me lance un regard interrogateur, me demandant implicitement si nous devons terminer ce que nous avons commencé chez moi, ou s'il devrait conclure ici même. Un sourire se dessine sur mon visage, à la fois taquin et empli de promesses, étirant mes lèvres en une expression qui ne laisse aucun doute sur mon intention.

« Je crois que je t’avais promis de la Tequilla… » Avec une détermination absolue, mes doigts se referment sur sa chevelure épaisse, le forçant à basculer sa tête en arrière avec une force contrôlée. Je m'attaque à sa gorge, dévorant chaque parcelle de sa peau avec un appétit féroce qui ne connaît aucune limite. Mes intentions, ainsi que mes envies, sont d'une clarté limpide, rayonnant avec l'intensité d'un phare dans la nuit la plus sombre. « Et je veux hurler de plaisir sans aucune retenue…» Mes iris plongent dans les siens, plein de promesse et d’un plaisir dévorant que je peine à contenir. « Rentrons. » Mon souffle chaud caresse son oreille tandis que je murmure doucement ses paroles, chaque syllabe résonnant avec une intimité qui ne peut être niée. Ma langue s'aventure pour mordiller délicatement son lobe, provoquant une sensation qui envoie des frissons sur toute sa peau. Mes jambes s'enroulent instinctivement autour de sa taille, s'entrelaçant fermement afin d'affirmer ma prise. Ce geste lui permet de me porter sans effort, nous permettant de nous déplacer ensemble sans rompre notre union. Je reste résolue à ne pas le laisser déloger son sexe de son écrin de chair palpitante, désirant rester aussi proche de lui que possible.
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MessageSujet: Re: Soirée déprime (Tessa)   Soirée déprime (Tessa) EmptyDim 4 Fév - 19:48

Merde Tessa est totalement déchainée et je mesure que cette femme que j’ai connue assez jeune était déjà totalement délurée mais désormais elle n’a pas gagné en retenue au contraire. Elle se donne sans ménagement et ma voiture nous sert de support dans son parking. C’est tard mais il est possible malgré tout de croiser un gardien, un voisin qui rentre tard… D’ailleurs au beau milieu d’une série de coups de bassin un mec passe et nous regarde. Il fixe Tessa un peu comme s’il l’avait déjà remarquée ou comme s’il espérait qu’on finisse par l’inviter ? Je lui jette un regard noir et l’envoie chier sans cesser de baiser Tessa qui se serre à moi et fini par agripper ma nuque en s’amusant de ma réaction. Bah quoi ? Il ne voulait pas filmer non plus l’autre con ? Je demande à Tessa si elle souhaite finir ici ou si on va boire chez elle et elle se redresse et me force à la porter contre moi la laissant empalée sur ma queue. Elle déclare m’avoir promis de la Tequila avant de tirer mes cheveux en arrière et de mordre mon cou. Mes doigts se crispent de plaisir sur son cul et je la pilonne de deux trois coups de bassin bien secs avant de rajouter qu’elle veut que je la fasse hurler de plaisir sans retenue. Okay elle réalise que j’ai pas un QI sur développé et que j’ai pas envie de faire appel aux génies de la Nasa ? Elle s’amuse et me dit qu’on rentre. J’ai le jean à mi-cuisses et elle sa robe se trouve en fourreau autour de sa taille… Ouais c’est jouable. Je la porte et sans me détacher d’elle je vais à l’ascenseur. J’appuie le bouton la soulevant un peu pour qu’elle glisse et ondule contre ma verge. Les portes s’ouvrent et on entre. Je la plaque au mur et la laisse décider de l’étage alors que je la tiens en place et recommence à la baiser contre la paroi de la cabine qui bouge remue pas mal.

Elle choisit l’étage et je la tringle sans aucune forme de retenue, ma queue tape en elle sans ménagement et je mords son cou pour la faire gémir. Rien à foutre si on réveille tout l’immeuble. Je baise et ça fait du bien putain. Au moins j’ai pas l’impression d’être un vieux sac à merde totalement incapable de tenir la route. On arrive et je sors de l’ascenseur et la baise debout dans le couloir la faisant sauter sur ma queue raide.

« Où est ta porte ? »

Elle la désigne et je m’y rends avant de la plaquer contre la porte et de la défoncer avant de prendre sa clef. Je l’embrasse et ouvre avant de l’emporter pour passer la porte et fermer derrière nous. Je la repose et sors d’elle la regardant avec des yeux gourmands et me fout à poil avec une vitesse folle. Je l’agrippe par les cheveux et la tourne vers le premier mur que je trouve pour me planter en elle par derrière la baisant sauvagement. Je ne suis pas loin de la jouissance alors autant finir ici avant le verre. Je tire ses cheveux la forçant à se cambrer et la défonce en venant masser son clitoris pour qu’elle se bouge de prendre son pied parce que dans 10 secondes je ne vais plus tenir…
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MessageSujet: Re: Soirée déprime (Tessa)   Soirée déprime (Tessa) EmptyJeu 22 Fév - 11:32

Je ne saurais dire précisément ce qui me plonge dans cet état d'excitation sauvage et décadent, si puissant et si écrasant. Serait-ce le souvenir persistant de nos nuits passionnées et luxuriantes passées ? Ou peut-être l'impulsion dominatrice de ses doigts, qui, tels des artistes, savent exactement où et comment me toucher ? Est-ce la raideur parfaite et violente de son sexe, planté en moi avec une telle détermination et une telle force ? Ou peut-être est-ce un mélange de tout cela, entrelacé de manière indissociable. Je suis déchaînée, gouvernée par un désir si étourdissant qu'il en devient presque tangible. Il est là, me prenant comme un sauvage sur le capot de sa voiture, juste devant ma maison, et je ne me soucie guère que mes voisins puissent nous voir. Cela m'est totalement indifférent, tant qu'il ne s'arrête pas. Même ce type qui nous regardait de loin, son regard voyeur ne représentait qu'un détail insignifiant dans le tableau de notre passion débridée.

La seule pensée qui parvient à traverser mon esprit en ce moment, c'est que je ne veux en aucun cas que cela prenne fin. Je désire qu'il épuise chaque fibre de mon corps avec un plaisir si puissant, si intense, qu'il transcende tout ce que j'ai jamais connu. Je veux pouvoir me libérer, hurler de plaisir avec l'assurance totale qu'aucune intervention extérieure ne viendra perturber ce moment d'intimité. Dans mon état d'extase, je pourrais facilement arracher les yeux de quiconque oserait nous interrompre. Portée par ses bras, il me guide à l'intérieur, me plaquant contre la paroi froide de l’ascenseur. Son regard, brillant d'une lueur sauvage, me captive. Je m’accroche à lui, mes doigts s'enfonçant dans sa peau, comme si ma propre survie en dépendait. Tant bien que mal, nous entrons chez moi, la porte claque nous garantissant à présent une intimité parfaite.

C'est dans un mouvement presque désespéré qu'il me dépose, cherchant à se débarrasser de ses vêtements devenus une barrière inutile à nos ébats passionnés. Dans un ballet d'impatience et de désir, je me débarrasse à mon tour de ma robe, qui rejoint rapidement son pantalon sur le sol. Notre désir, brûlant et sauvage, ne tolère aucun obstacle. Mon regard se croise avec le sien, mais c'est un échange fugace. Presque aussitôt, son poing se referme sur ma tignasse de feu, me forçant à faire face au mur, exposant toute ma vulnérabilité.

Un frisson me parcourt l'échine, un gémissement d'anticipation m'échappe lorsque son corps se rejoint au mien. Il impose à mon corps une cambrure exagérée, me pilonnant avec une force qui me laisse sans voix. Son sexe tape au fond de moi à chaque coup de rein puissant et sauvage, me faisant perdre la notion du temps. Chaque mouvement, chaque pulsation me rapproche un peu plus de l'extase, de l'explosion de mes sens. Je ne retiens plus mes cris de plaisir, qui résonnent comme une symphonie déchaînée dans la pièce, reflétant l'intensité de nos émotions.

L'intensité de cette expérience s'intensifie encore et encore, une chaleur divine, presque surnaturelle, s'empare de chaque fibre de mon être, transformant mon sang en un torrent de lave en fusion. Une vague de plaisir incommensurable m'envahit et je cède à l'explosion de sensations délicieuses qui submerge mon corps. Mon corps se tend à l'extrême, chaque muscle se contractant dans un spasme de pur plaisir. Mon intimité se contracte avec force autour de son sexe encore profondément enraciné en moi, comme si mon corps cherchait instinctivement à l'emprisonner, à l'engloutir et à le garder captif dans ce cocon de passion déchaînée. Lutte pour reprendre mon souffle, chaque respiration est un défi alors que je peine à reprendre contenance. Mon corps tremble encore sous l'impact de cette jouissance, une danse de tremblements qui atteste de l'incroyable puissance de ce plaisir partagé. Après cet échange d'intensité et de passion, nos respirations commencent à se calmer, bien que péniblement, comme si chaque souffle était encore teinté de l'effort de l'extase qui vient de passer. Son souffle chaud effleure ma nuque, chaque expiration provoquant de délicieux frissons qui se propagent le long de ma colonne vertébrale.

Doucement, avec une délicatesse presque éthérée, je m'efforce de me libérer de son emprise. C'est un mouvement lent, presque réticent, comme si chaque fibre de mon être résistait à cette séparation. Finalement, je me retourne, mes yeux cherchant les siens dans une danse silencieuse de révélation. Mes iris, reflets de mon âme, plongent dans les siens, y trouvant un miroir de mon désir. Un sourire, timide et pourtant audacieux, se dessine sur mon visage. C'est un geste qui promet plus, qui invite à l'intimité. Et puis, j'avance, mon cœur battant à un rythme frénétique dans ma poitrine. Mes lèvres, tremblantes et gonflées par le plaisir, trouvent enfin les siennes. C'est un baiser qui parle de passion, de désir.

« Je crois t’avoir promis de la Tequila… »

Je suis convaincue que j'utilise cette excuse pour prolonger ce moment précieux, car la sensation de son corps se détachant du mien me donne une impression de fraîcheur mordante, presque comme une brise d'hiver. Mes doigts, comme s'ils avaient leur propre volonté, agrippent fermement les siens, l'entraînant dans mon sillage. Avec une détermination silencieuse, j'attrape la bouteille de Tequila qui se trouve à proximité. Je lève la bouteille et en bois quelques gorgées directement à même le goulot, savourant la chaleur liquide qui descend dans ma gorge avant de la lui tendre. L’envie, intense et impérieuse, obscurcit déjà mon jugement. Je sais, quelque part au fond de moi, que combiner l'alcool à ce mélange d'émotions n'est peut-être pas la décision la plus sage, et pourtant je ne parviens pas à m’en empêcher. C'est comme si une force irrésistible m'y poussait.

« J’ai encore envie de toi…»

Je murmure doucement des mots contre ses lèvres, mordillant ma lèvre inférieure avec une certaine hésitation, comme si je luttais pour accepter l'évidence de cette situation. Mes doigts, tremblants mais déterminés, s'enroulent délicatement autour de son sexe, le caressant avec une tendresse renouvelée et une intention précise, cherchant à lui redonner toute sa vigueur et à raviver le désir.

« Pour un ancien, tu n'as rien perdu en vivacité… »

Je le taquine avec un doux jeu de séduction, lui adressant un sourire qui est un mélange de désir intense et de provocation audacieuse. J'ose espérer que les années passées ont affiné ma compréhension du plaisir, me transformant en une femme qui connaît ses désirs et sait comment les réaliser. Je ne suis plus cette gamine naïve qui découvre à peine ce que veut dire le mot "plaisir", je suis une femme qui s'assume et qui sait ce qu'elle veut. Mon bassin vient se coller contre le sien dans une danse intime, laissant son sexe glisser contre mon intimité, créant une tension électrique qui laisse présager d'un plaisir intense à venir.
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MessageSujet: Re: Soirée déprime (Tessa)   Soirée déprime (Tessa) EmptyVen 1 Mar - 23:07

Putain, moi qui me pensais épuisé et vieux, qui me suis forcé à sortir en boite après un entrainement d’une violence folle et une bagarre, me voilà portant Tessa tout en la baisant dans la cabine d’ascenseur, puis dans le couloir et contre sa porte d’appartement… Pas mal ou un vieux croulant non ? À peine entré chez elle, je la repose. Non pas parce que j’ai du mal à la soulever. Elle ne pèse rien et moi je suis du genre costaud, mais parce que je vais virer ces putains d’habits et une fois nu, je la tourne contre le premier mur près de nous et la perfore de mon sexe raide qui se met à la limer sans ménagement. Je baise sa chatte sans relâche en soupirant de plaisir, tirant ses cheveux pour qu’elle se soumette tout en lui faisant parfois tourner la tête pour lui rappeler qui est en train de la baiser. Bah quoi ? Un maitre artiste signe toujours sa toile non ? Moi je m’assure qu’elle sache qui est en train de la démonter dans les règles de l’art. Mais j’avoue que plonger ma queue en elle c’est retrouver ma jeunesse perdue. C’est sentir cette douce pression. Ce plaisir de me sentir au sommet du monde. De me voir à mon apogée et de réaliser que si elle est devenue une femme magnifique et ardente et plus une gamine délurée en manque de sensation avec un haut potentiel de séduction… Moi je suis le vieux bouc qu’on garde parce qu’on ne saurait pas quoi faire de son cadavre… Je déteste ça… Alors l’espace d’un instant j’oublie qui je suis et je me retrouve à Mexico sur le lit luxueux de ma suite ou je la tamponnais si souvent comme je le fais en ce moment et où cette jeune femme à peine dans sa vingtaine gémissait de plaisir sous les assauts de la brute épaisse que j’étais. Je pousse un grognement de plaisir et elle se contracte en retour.

Durant de longues secondes délicieuse, je suis parcouru de spasmes de plaisir alors que je me vide en elle par giclée saccadée et brulantes. J’inonde son vagin de sperme brulant tremblant à chaque fois que son sexe se contracte autour du mien et me fait sursauter tellement je suis sensible. Je reste planté en elle a reprendre mon souffle avant de tirer ses cheveux pour l’embrasser et boire ses soupirs. Putain c’est nul de vieillir et Mexico me manque… Elle me repousse très doucement et me retire d’elle se vient se placer face à moi pour m’embrasser doucement me montrant qu’elle a adoré ça et me confortant dans l’idée que j’ai encore de beaux restes… Il ne m’en fallait pas plus pour me sentir un peu moins vieux. Elle me dit alors qu’elle croit m’avoir promis de la tequila. Je souris et hoche la tête. Je la regarde saisir la bouteille de tequila et elle prend ma main pour m’entrainer avec elle. Je la suis entièrement nu. Elle boit à la bouteille avant de me la tendre. Je l’imite avec plaisir. Putain ! Elle a pris de la VRAIE Tequila… ça c’est une femme qui a la classe… Puis alors que je regarde la marque elle me déclare qu’elle a encore envie de moi avant de venir poser ses lèvres sur les miennes. Elle en profite pour saisir mon sexe et le caresser de ses doigts avant de me dire que pour un ancien j’ai rien perdu en vivacité. Je souris et avale une gorgée de Tequila.

« J’ai aucun mérite. T’es encore plus torride que dans mes souvenirs… Et ces quelques années de plus te vont à merveille.»

Elle se colle à moi et se frotte. Je n’ai jamais vu une femme aussi tactile ni aussi déchainée. On dirait qu’elle se retient à peine de me sauter dessus… J’aime beaucoup l’idée… Je tire ses cheveux et la force à descendre à genoux. Je bouche l’embout de la bouteille et lui verse sur la bouche et la langue quelques gouttes de Tequila avant de boire une gorgée puis de venir lui couler un mince filet d’alcool et de ma salive directement de ma bouche sur sa langue. Je me penche et l’embrasse avant de me redresser et de venir lui frotter ma grosse queue raide sur le visage avant de la guider vers sa bouche.

« … Maintenant montre-moi combien tu as envie de me baiser encore et encore… »

Je vais m’écrouler de fatigue, mais rien à foutre. Je dormirai au taff ou je me ferai porter pâle. Qu’importe si je m’endors en baisant. C’est agréable quand c’est bordélique comme ça. Je tiens toujours ses cheveux et me retire de sa bouche pour la bifler sèchement avant de la forcer à avaler ma queue sans relâche me foutant royalement de sa capacité à me prendre en entier ou non, j’y vais de toute manière sans aucune préparation. Elle voulait baiser ? Je commence par sa bouche…
Tessa Castelli
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MessageSujet: Re: Soirée déprime (Tessa)   Soirée déprime (Tessa) EmptyDim 17 Mar - 21:08

Jake et moi, nous nous laissons emporter par des plaisirs d'une intensité étourdissante, des moments si intenses qu'ils me ramènent sans effort aux nuits d'ivresse et de luxure partagée que nous avons vécues ensemble au Mexique. Au fil des années, j'ai mûri, j'ai évolué, tandis que lui, il a vieilli, du moins en théorie. Parce que, dans la réalité, dans la véritable pratique de nos retrouvailles, il n'a rien perdu de cette fougue qui le caractérise, de cette virilité écrasante qui me rend ivre d’un plaisir fou et sauvage.

À peine  le seuil de  chez moi franchi,  que nos vêtements sont rapidement ôtés. Il me plaque alors avec une vigueur inouïe contre le mur le plus proche, me prenant avec une force brutale et un rythme qui me laissait presque sans souffle. Ma chevelure éparpillée était tenue fermement dans son poing, il forçait mon corps à se cambre de manière exagérée, dans une posture qui ne laissait place qu'à une soumission totale. Dans cette position, je me retrouvais entièrement à sa merci, totalement offerte à lui, sans aucune possibilité de retenue ou de résistance.La brutalité intense, presque sauvage, de son regard quand il me regarde avec passion est absolument saisissante. C'est un regard qui promet une intimité et une connexion qui sont presque effrayantes dans leur intensité. Chaque fois qu'il me regarde de cette façon, je suis frappée par son pouvoir et sa passion. Les gémissements qui franchissent la frontière tremblante de mes lèvres sont une ode à ce plaisir puissant, un plaisir qui prend possession de moi et envahit mon corps tout entier. C'est un plaisir qui est à la fois délicieux et déconcertant, un plaisir qui me submerge complètement, me laissant dans un état de pur extase et de contentement. La jouissance que je ressens est totale et puissante, c'est un plaisir qui englobe tout mon être. Chaque fibre de mon corps se tend et tremble, submergée par une vague de plaisir presque insoutenable, comme si elle était sur le point de rompre face à l'intensité de ces sensations. Il déverse son foutre en moi avec une puissance qui témoigne de son désir incontrôlable, inondant mon intimité palpitante de sa semence chaude et épaisse. C'est une sensation qui envahit tout mon être, qui me fait frissonner de plaisir. Mon intimité, en réponse à cet assaut passionné, se contracte autour de son sexe dur, l’engloutissant dans une étreinte intime et irrésistible. C'est comme si chaque fibre de mon être voulait le garder, le capturer en moi, gravant ce moment de pur plaisir dans la mémoire de ma chair.

Lentement je reprend contenance et reviens doucement à la réalité. Je le repousse doucement et reviens vers lui avec cette bonne bouteille de Tequila que j’ai ramené du Mexique la dernière fois que je suis allée voir mon père à Tijuana. Peut apprécie la vraie bonne Tequila comme il se doit, Jake fait parti de ces rares connaisseurs. Mes doigts, dans un mouvement presque instinctif, s'accrochent aux siens, l'entraînant avec moi dans le sanctuaire intime qu'est ma chambre. Avant de poursuivre, je m'accorde une pause, buvant quelques gorgées de liquide ambré directement à même le goulot de la bouteille. Puis, dans un geste d'invitation silencieuse, je la tends vers lui pour qu'il en fasse de même. Mon estomac est noué par une faim insatiable, une faim de lui qui me consume de l'intérieur. Ce désir colossal qu'il m'insuffle, je l'assume sans honte, sans retenue. Mon seul objectif est de raviver la flamme dans son regard, de faire renaître le phénix de ses cendres. Le dernier round a été d'une intensité à couper le souffle, un tourbillon d'émotions et de sensations qui a laissé sa marque indélébile en moi. Mais malgré cela, mon corps en demande encore, ma soif pour lui est loin d'être étanchée. Je ne retiens pas cette gourmandise débordante, j'en veux toujours plus, encore et encore.

« cette fois ci c’est probablement moi qui t’aurais à l’usure… »

Je fais clairement référence à ces innombrables moments où il a épuisé mon corps, me donnant tout ce qu'il avait, avec une vigueur et une passion sans fin. Il était comme une machine, ne s'arrêtant jamais, chaque mouvement était plus intense que le précédent. Mais cette fois-ci, les rôles seraient-ils inversés ? Pourrait-ce être moi qui aurait le dessus ? Cependant, rien n'est moins certain dans cette situation. Nous partageons quelques gorgées d’alcool, savourant chaque instant. Cette Tequila, délicieusement forte et enivrante, semble encore meilleure lorsqu'elle est goûtée à même ses lèvres.  Une atmosphère électrique se propage dans l'air alors que nous partageons un baiser. C'est un baiser d’une intensité sauvage et passionnée, un mélange d'envie et de désir brûlant. Avant que je ne puisse comprendre ce qui se passe, il se redresse, laissant son sexe dur et épais à la hauteur de mes lèvres. Il frôle mes lèvres, attisant ma gourmandise, provoquant un désir irrésistible. Chaque contact est comme une étincelle, amplifiant le feu qui brûle déjà en moi.

Quand il me demande de lui montrer à quel point je suis affamée de lui, je ne prononce pas un seul mot. Au lieu de cela, je lève doucement les yeux pour croiser son regard brûlant. Je fixe mes yeux dans les siens, créant un lien électrique entre nous. Pendant ce temps, ma langue danse délicatement autour de son gland, titillant cette zone sensible, attisant son désir pour moi d'une manière qui est à la fois délicieusement provocante et intensément intime. Chaque mouvement de ma langue est calculé pour lui montrer combien je le désire, chaque regard est destiné à lui montrer combien je suis prête à lui appartenir.Il me bifle alors sèchement, comme pour me rappeler à l’ordre, comme pour démontrer son autorité. Un couinement, un son presque animal, m’échappe alors qu'il insère son sexe entre mes lèvres. Il le pousse jusqu’à la garde, sans se préoccuper de ma capacité à pouvoir l’engloutir entièrement. C'est un geste audacieux, presque téméraire. Il baise ma bouche avec une vigueur presque brutale, me coupant le souffle, m’étouffant presque avec l’intensité folle de son acte. La sensation est presque trop pour moi, mais je m'accroche. Mes doigts s'agrippent à ses hanches, s'y cramponnent comme si ma vie en dépendait, pour ne pas perdre pied dans cette mer de sensations. Je lutte pour garder mes sens, pour m’aider à l’assumer totalement sans faiblir, pour ne pas me laisser submerger par le torrent de sensations qui déferle en moi.

C'est absolument fou, cette sensation intense qui m'envahit, celle de me laisser complètement submerger par l'envie et la passion, est tout simplement incroyable. Il y a une lueur particulière dans mes iris, une lueur qui scintille à cause de la violence de cet instant, qui est presque palpable. Mon regard se verrouille avec le sien, soutenant le sien dans une sorte de provocation silencieuse, une danse audacieuse de volontés non dites. Les bruits obscènes qui s'échappent de ma gorge, des sons qui trahissent mon abandon à ce moment, raisonnent dans la pièce, créant un rythme hypnotisant qui marque cet instant de pure folie, ce moment de délice débridé. Mes yeux se perdent dans les siens, cherchant dans leur profondeur un reflet de mon propre désir. Je sens un frisson parcourir mon échine, une onde de plaisir intense qui me fait trembler de la tête aux pieds. Cette nuit promet d'être longue et débridée, une nuit où tous les interdits seront brisés.

Alors que la passion grandit entre nous, chaque seconde qui passe semble durer une éternité. Submergée par l'ivresse des sens, je m'abandonne à cette danse endiablée, chaque mouvement de mon corps répondant parfaitement au sien. Sa poigne ferme et dominatrice me tiens en place, sous son emprise totale. Je n’aurais de toute manière aucune envie de me dérober à lui, cette sensation d’être soumise à sa passion sauvage est absolument dingue. Nous repoussons les limites du plaisir, les limites de la luxure.  Le désir est notre seul guide, un phare qui éclaire notre chemin dans l'obscurité. Nos gémissements de plaisir se mêlent aux sons de la nuit, créant une symphonie érotique qui résonne dans l'air. Et alors que je plonge mon regard dans le sien, je vois dans ses yeux la même flamme qui brûle en moi. Un désir ardent, un besoin insatiable qui ne peut être apaisé que par la fusion de nos corps.
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MessageSujet: Re: Soirée déprime (Tessa)   Soirée déprime (Tessa) EmptyDim 31 Mar - 23:05

Baiser Tessa c’est comme plonger dans une fontaine de jouvence. Ça rappelle ces années où j’étais au top. Ou elle se donnait à moi ou j’étais un dieu. Je suis rendu un vieux. De Dieu je suis devenu vieux et la transition fait mal au cul. Alors même si je dois m’effondrer de fatigue dans quelques heures je vais donner le change et lui rappeler que j’ai de beaux reste. À peine chez elle, je lui impose mes assauts et l’inonde de mon plaisir sans la laisser faire autrement que de se laisser remplir. J’aime cette idée qu’elle va me garder en elle et me sentir couler entre ses cuisses plus tard… Puis j’étais bien lancé et je ne voulais pas m’arrêter pour lui décorer le cul de sperme. Elle méritait de prendre son pied comme il faut. On tape une gorgée de tequila de qualité alors qu’on souffle un peu, mais rapidement elle a le regard qui brille et là où la petite jeune femme était plus mesurée et avait besoin de s’échapper pour mieux savourer l’intensité de ce qui venait de lui arriver, la femme, mature et assurée qu’elle est sait que le plaisir vient se chercher et qu’elle aura tout le temps de retomber de son nuage. Elle approche et me fait la promesse que cette fois c’est elle qui m’aura à l’usure. Je lui vole un baiser avant de m’envoyer une dernière gorgée pour reposer la bouteille.

« J’aime pas perdre, mais vas y fait moi abandonner pour voir… »

Je suis combatif et dans tous les cas même perdant je gagne. La pauvre avait été mon putain de sex toy pendant ces années au Mexique… Ce soir je lui annule toute possibilité de pouvoir se marier en blanc un jour. Je compte tellement la baiser qu’elle va se retrouver maudite sur 25 génération par le Vatican… Je la guide à genoux devant moi et lui présente mon sexe avant de lui dire de me monter combien elle a envie de me baiser encore et encore. Elle semble se réjouir et me fixant d’un regard rieur et brillant de délice elle balade sa langue sur mon sexe et me charme. Je ne résiste pas au plaisir de la biffler pour le plaisir de lui faire sentir que j’ai faim. Très faim. J’impose mon sexe dans sa bouche et me met à la baiser. Je l’étouffe et je me moque du reste. Ma queue baise sa bouche. On a déjà fait ça, et déjà plus jeune elle savait faire pour encaisser. Puis dans la voiture elle m’a rappelé ce qu’elle savait faire. Je m’agrippe à sa tête et baise sa bouche comme si j’étais entre ses cuisses. Elle s’accroche à moi et encaisse. Elle ne faiblit pas et avale mes assauts au fond de sa gorge bavant, laissant éclater des bruits de gorge et laissant ses yeux se remplir de larmes son visage rougissant sous l’effort.

Je continue comme si je me moquais de ses autres orifices. Je baise sa bouche comme si c’était la seule voie que j’envisageais à ce moment. Je me donne sans ralentir et je la laisse se noyer dans mon regard alors que je ne cesse de m’imposer dans sa gorge. Je pousse férocement et plante ma queue au fond de sa gorge la laissant quelques secondes avant de m’arracher en souriant de plaisir. J’ai la queue raide et huilée de sa salive. Je lui colle la bouche à mes couilles et me branle comme si je comptais me finir sur son visage mais après quelques va et viens je me détache et la tire par les cheveux comme si c’était une laisse. Je vais vers le canapé et m’installe en m’asseyant dessus et la regarde dans les yeux alors que je l’attire pour la faire grimper sur moi et l’empale sur ma bite bien raide qui plonge dans la semence et la mouille. On va s’en foutre partout… C’est pervers… Je me jette sur ses seins souillés de sa salive et les dévore sans retenue alors que je m’agrippe à son cul parfait pour lui imposer de danser sur moi. Je veux qu’elle me baise comme un dieu. Qu’elle déploie ses charmes pour me combler. Je mords son téton dès les premiers mouvements de son corps et lui lance.

« Baise-moi comme si tu voulais me faire venir dans les 10 prochaines secondes… »
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MessageSujet: Re: Soirée déprime (Tessa)   Soirée déprime (Tessa) EmptyVen 3 Mai - 23:03



Je déraille complètement, j’agis sans réfléchir, allant seulement au gré de mes envies, sans me soucier de quoi que soit d’autre.Je me sens comme un train fou lancé à pleine vitesse, incapable de s'arrêter ou de changer de direction. Mes pensées sont confuses, mes actions imprévisibles. Je sais que je devrais ralentir, prendre le temps de réfléchir, mais j'ai l'impression d'être emportée par une force incontrôlable et totalement électrisante. Je suis parfaitement consciente de mes actes, mais je ne parviens pas à les arrêter. C'est comme si j'étais en pilote automatique, laissant mes pulsions prendre le contrôle.

Nous venons à peine d'entrer chez moi que nous nous précipitons déjà l'un sur l'autre. Il s'impose à moi, s'insinue en moi, me pilonnant avec une force brute qui me fait totalement défaillir. Je me sens submergée par une passion dévorante et incontrôlable, nos corps s'entremêlant dans un tourbillon de désir et de plaisir intense. Chaque caresse, chaque baiser, chaque souffle devient une explosion de sensations enivrantes qui nous transporte vers des sommets de volupté inexplorés. Nos corps sont en fusion. Une bouteille de téquila pour la suite des évènements. Je ne suis plus cette femme en manque d’expérience qu’il a connu, j’ai gagné en assurance et je l’espère en dextérité. Je lui promets de cette fois-ci l’avoir à l’usure et sa réponse m’arrache un sourire amusé. Il me met au défi et j’adore ça. 

« Et moi j’adore relever les défis… »

Je suis à genoux devant lui, mes prunelles incendiaires semble le défier à chaque seconde tandis que ma langue provocatrice joue avec le sommet de son sexe. Ses gémissements rauques résonnent dans la pièce, m'encourageant à intensifier mes attentions. Je sens son souffle devenir plus erratique. Mes lèvres effleurent sa peau brûlante, le faisant frissonner de désir. Je sais que je le tiens entre mes mains, prêt à succomber à mes moindres caprices. Et je compte bien le faire plier à mes envies les plus torrides. Car quoique les hommes puissent dire, malgré ma position face à lui, c’est la femme offrant la fellation qui détient l’avantage. Son plaisir est soumis à mon bon vouloir que ça lui plaise ou non. Je pousse un couinement lorsqu’il me biffle, un moyen de me rappeler à l’ordre, de me renvoyer à ses si belles années de dépravation que nous avons partagés au Mexique. Mes lèvres s’entrouvrent et il pousse son sexe à l’intérieur, profondément, baisant ma bouche avec une fougue incroyable. Chaque poussée me coupe le souffle. C’est incroyablement bon, incroyablement intense. Je m’agrippe à lui, encaissant ses assauts jusqu’à ce qui s’extirpe sans pour autant relâcher sa prise ferme et dominatrice dans ma chevelure de feu. Je suis à bout de souffle, peine à reprendre mes esprits. Les étincelles de désir que je perçois au fond de son regard me rendent complètement folle. J’ai le nez plaqué contre ses bourses que je lèche avant qu’il me traine jusqu’au canapé en me tirant par les cheveux. Comme une laisse, je le laisse prendre l’ascendant, je le laisse m’​​​​​​​écraser sous sa virilité étourdissante. Il m’attire contre lui, à califourchon sur ses genoux, il m’empale sur son sexe raide, m’arrachant un cri de plaisir fou. Je m’agrippe à lui, balançant brutalement mon visage en arrière lorsque ses dents se referment sur mon sein. 

« Oh Putain Jake !! »

Mon corps est enflammé, une sensation de plaisir intense parcourt chaque centimètre de ma peau, pulsant à travers mes veines comme une mélodie sauvage et indomptée. Il veut que je me déchaîne, que je laisse libre cours à mes désirs les plus profonds ? Il n'a pas besoin de me le répéter. Mes doigts se crispent sur sa nuque, le rapprochant de moi dans un mouvement irrésistible. Nos lèvres se rencontrent dans un baiser sauvage, ardent, passionné. Je finis par mordiller sa lèvre, un geste audacieux qui en dit long sur le désir brûlant qui me consume. Pendant ce temps, mon corps se meut au-dessus du sien, ondulant avec une ferveur fiévreuse, comme si chaque mouvement était une danse érotique au rythme du désir. Je plonge mon regard dans le sien, ayant plus qu’un seul but : son plaisir. Nous n’avons pas mis de capote, mais je n'en ai rien à foutre. Je suis incapable d’être raisonnable dans cet état d’excitation incroyablement grand. Pour l’instant, j'aspire qu’à le sentir exploser en moi, tapissant mon intimité de son foutre chaud. Putain oui !! Je me déchaîne comme une véritable lionne, plongeant mon regard dans le sien. Je veux le voir exploser, je veux être témoin de cet instant magnifique, ou son regard brillera différemment. Je suis en proie à mon propre plaisir, grandissant et menaçant de m’emporter à chaque instant… Seulement, je refuse de venir avant lui, mais j’ignore encore combien de temps, je vais résister. Son sexe frappant au fond de moi à chaque mouvement, chaque va-et-vient est plus puissant que le précédent, nous rapprochant un peu plus de cette extase foudroyante. 
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