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 Apprendre à fermer ma gueule? Pas aujourd'hui (Vadim)

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Màiri Orlov
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MessageSujet: Apprendre à fermer ma gueule? Pas aujourd'hui (Vadim)   Apprendre à fermer ma gueule?  Pas aujourd'hui (Vadim) EmptyJeu 9 Juin - 17:10

Violence , sexe, langage vulgaire (prenons pas de chance ^^)



Demandez-moi si j’ai envie d’être ici ce soir, aller, demander moi? Personne ? J’ai l’obligation de travailler au Cosmos deux soirs par semaine et l’envie n’y est franchement pas. J’aime mon emploi de barmaid, le problème n’est pas là. J’aime ou j’aimais ? Les femmes de la Bravta sont traitées comme de la merde, tout le monde le sait, sauf que je suis plus que cela, beaucoup plus et ne pas pouvoir être reconnue à ma juste valeur me rend dingue. Vous ne me croyez pas ? Pour le travail ce soir j’ai revêtu une robe plus que sexy, pas le choix, mais une robe qui ne cache rien de mes ecchymoses. Vous savez la raclée reçue par mon père et ma demi-rien ? On peut voir du bleu foncé sur mes cotes et on peut me voir peiner à servir verre après verre, mais qui s’en soucie ? Personne ! Je dirais même que certains semblent apprécier la vue. Glauque, non ? Il y a même un connard qui s’est trouvé drôle quand il a poussé du bout des doigts sur l’ecchymose se trouvant sur mes cotes. Je lui ai bien entendu lancé un froid et furieux, mais je me suis fait ramener à l’ordre rapidement par le chef barman. J’ai également eu droit au regard sévère de mon père quand il est entré dans l’établissement, un regard rempli de promesses douloureuses. Je suis dans la merde et la question que tout de monde devrait se poser est :t pourquoi diable l’envie de faire chier tout le monde la mène par le bout du nez hum ? Aucune idée, mais The show must go on. JE vous ai dit que le type que je viens de servir ne semble pas apprécier ma rudesse.

Putain de catin tu me refais ça et je te baise.

Super, non ?

Si vous avez une plainte à faire libre à vous. Sâcher que je me prénomme Màiri, Màiri MacKellar.

Deux questions devraient être posées juste là. La première ? Pourquoi utiliser le nom de jeune fille de ma mère ou lieu de celui de mon père ? Poser la question c’est y répondre, mais en bref disons que je le fais parce que je sais que ça va le faire chier et parce que ce sera une petite victoire à savourer pleinement. La seconde question ? Pourquoi ne pas lui avoir lancé quelques excuses bidon afin de faire redescendre la pression ? La réponse est facile à trouver ici aussi et c’est parce que j’ai envie de faire chier. Mon plan fonctionne à merveille d’ailleurs si je me fie au visage du client.

Le mec qui t’a foutu une raclée aurait dû te frapper un peu sur la gueule pour que tu cesses de fanfaronner.

Va te faire… OW FUCK !!!

Le barman en chef vient de me foutre la main sur les côtes, putain, en plus il enchaine en disant que la maison lui offre toutes les consommations ce soir afin de se faire pardonner la mauvaise humeur de leur employée. Ensuite ? Ensuite il me traine par le bras jusqu’au font du bar, puis me colle le dos au mur avec force.

Je ne sais pas à quoi tu joues Orlov, mais tu as 5 minutes pour te ressaisir.

Il me jette un regard noir et me laisse seule. Le dos au mur, je peine à retenir mes larmes. Tout mon corps crie à l’aide, mon corps et mon âme. Je veux retourner en Écosse et avoir encore 5 ans. Je veux me libérer de tout cela, mais hélas j’y suis prisonnière pour le reste de mes jours. Plus je me rebelle et plus la cage diminue en superficie, mais je ne veux pas lâcher e morceau. Tout ce que ma mère avait à faire c’était de fuir les mecs, mais non, au lieu de cela elle a décidé de chercher un nouvel amoureux putain. Une envie d’être aimé de nouveau qui lui a mis une balle dans la tête, une envie qui a transformé la petite fille souriante en prisonnière rebelle. 17 ans de rébellion pour finir le dos collé au mur encore une fois. Je devrais peut-être céder et marier ce trouduc non ? Mon père et mon frère me foutraient la paix et comme ça il ne me resterait qu’un connard à gérer. Le seul point positif c’est qu’il est mignon le connard, non, mais, il aurait pu faire 3 fois mon âge et être laid comme le cul d’un singe. Je me montre donc reconnaissante de ce côté.

Hum quoi encore merde ?

Une ombre est venue troubler ma remise en question et malheureusement j’ai encore répondu avant d’avoir ouvert les yeux. Oh misère… c’est le connard.

Ce n’est franchement pas le moment Vadim. Tu ne peux pas me foutre la paix un peu et me laisser souffrir en silence hum ? C’est trop demander ? Vas-y dans ce cas, réjoui toi, fais comme tous les autres je n’en ai plus rien à foutre. Tu veux me baiser aussi pendant qu’on y est ? Je dis ça parce que le mec au bar aurait bien aimé baiser la catin que je suis, ça et me péter la gueule pour m’apprendre à me la fermer.

Je referme les yeux en espérant qu’il poursuivra son chemin.


Dernière édition par Màiri Orlov le Lun 5 Sep - 0:45, édité 1 fois
Vadim Volkov
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MessageSujet: Re: Apprendre à fermer ma gueule? Pas aujourd'hui (Vadim)   Apprendre à fermer ma gueule?  Pas aujourd'hui (Vadim) EmptyMer 15 Juin - 18:09

Violence - sexe -vulgarité (autant prévenir aussi)

--

J’ai la chance de travailler sur le même lieu que ma fiancée et jeter un œil quand cela ne va pas à la vue de son job. Mairi est barmaid deux soir par semaine au Cosmo et comme à mon habitude, il me plait de l’observer depuis mon bureau à l’aide de ma vitre sans teint. Tout le monde est au courant de nos fiançailles, je les ai annoncées en grandes pompes payant quelques bouteilles de champagne au personnel avant de rincer les clients pour une tournée générale le soir même. J’y avais laissé une sacrée poignée de dollars mais cela ne m’importait que peu, je voulais faire la fête et partager ce moment avec pas mal de monde. C’était aussi pour moi, un moyen de montrer ma main mise sur la jolie rousse et lancer un avertissement à certains connards style templier. Ces personnes n’ont peurs de rien et il y a longtemps que j’en ai planté un, donc une petite provocation de plus a été obligatoire dans le but de s’amuser avant que je ne m’amuse avec Mairi.

Cette dernière a revêtu une robe très sexy pour travailler, bien que couvertes d’ecchymoses. Marques laissées par son propre père et par sa demi-sœur. J’aurais aimé assister à la scène mais une chose me dit que je vais endurcir un jour moi aussi ma moitié, que je vais lui apprendre à se défendre et rendre les coups à sa salope de demi-sœur. Son père ? il canera un jour mais l’autre chienne est encore jeune … il faut donc que McKellar sorte les griffes un jour car pour le moment, elle ressemble un chihuahua qui ne fait plus qu’aboyer. Je veux la transformer en un petit roquet (par rapport à sa taille) qui est prêt à bouffer n’importe qui. Elle est bien jolie à aboyer mais cela me casse les oreilles et les couilles.

Ce qui devait arriver, arriva et plutôt assez vite, un connard la fait chier, elle le sert avec rudesse et le ton semble vite monter. Je n’entends rien de ma position mais le chef barman intervient rapidement. La suite ? Je ne la connais pas, j’ai décidé d’aller voir par moi-même. Je suis à peine sorti de mon bureau que l’un des employés qui ne travaille pas ce soir vient me demander un rendez-vous. Heureusement, j’ai mon smartphone sur moi, je regarde rapidement sur mon agenda et fixe un rapide rendez-vous avec cet employé. Cela sera pour le lendemain à 15h30 et il aura une dizaine de minutes pour m’expliquer sa situation. Je descends les escaliers et me faufile à travers la foule, je bouscule par mégarde un danseur, ce dernier est tellement drogué qu’il ne se rend compte de rien. Le bar est encore à quelques pas, des habitués s’écartent pour me laisser passer mais, je ne la retrouve pas. Mairi a disparu. Je la retrouve dos au mur, je me suis rapproché d’elle en douceur … cette fois. Les premières paroles sont cinglantes, elle a encore du se faire gueuler dessus. Je pousse un soupir

« Charmant l’accueil … »

Le ton est bourru, glacial et mordant. Je l’écoute me bouffer encore … putain le toutou d’à peine trente ou quarante kilos est de retour. Ce que je commence à entendre ne me plait absolument pas du tout.

« Ouais c’est trop me demander ! »

Je mets à me foutre de sa gueule mais, je commence aussi à apprendre ce qui s’est passé au bar. La baiser ? J’dirais pas non mais avant, je crois que je vais aller m’expliquer avec ce fils de pute qui l’a traité de catin. En plus de cela, il a voulu lui péter la gueule. Je retire la veste de mon costume noir pour la passer sur ses épaules. Je ne porte plus que ma chemise blanche, rentrée dans un pantalon noir et décorée par une cravate noire aussi. Mes cheveux sont quant à eux lâchés pour laisser une impression encore plus sévère sur mon visage.

« J’dirais pas non à te baiser tout de suite Màiri mais avant tu vas venir avec moi et me montrer ce fils de pute ! »

Clairement, je suis remonté et je suis prêt à le défoncer surtout que j’ai un cran d’arrêt sur moi, -j’en ai toujours un- je vais laver son honneur devant tout le monde. Je sais où planter pour bien faire souffrir car en aucun cas, il ne va devoir crever.

« Le seul qui peut te la faire fermer c’est moi avec ma queue dans ta bouche ! »

Je passe ma main sur son épaule, elle doit savoir que je sais plus ou moins ce qu’il s’est passé car je sais toujours tout ou presque mais je veux tout entendre de sa bouche avec tous les détails.

« Tu vas tout me raconter ! »

Le ton est assez clair, je ne lui laisse pas le choix, elle va devoir coopérer qu’elle le veuille ou non.
Màiri Orlov
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MessageSujet: Re: Apprendre à fermer ma gueule? Pas aujourd'hui (Vadim)   Apprendre à fermer ma gueule?  Pas aujourd'hui (Vadim) EmptyJeu 16 Juin - 22:51

« Ouais c’est trop me demander ! »

Il fallait s’en douter, non ? J’aimerais aller dormir, tiens, dormir et me réveiller dans 10 ans, pas une journée de moins, pas une journée de plus. Vous savez un peu comme la belle au bois dormant quoi. Je devrais essayer, vous croyez que ça fonctionne ? Je me pique le doigt, m’allonge et attends le baiser de mon prince charmant. Ouais, mais non, les contes de fées c’est pour les gamines et le jour où j’ai vu mon père tirer sur ma mère, j’ai dû grandir rapidement. Les princes charmants n’existent pas et Vadim, même s’il vient de poser sa veste sur mes épaules, ne réussira pas à me convaincre du contraire. Oui, j’apprécie le geste et non, je ne vais pas le lui dire, question de ne pas voir ses chevilles enflées plus qu’elles ne le sont déjà et j’ai bien fait parce que la suite me fait soupirer de désespoir. Il ne dirait pas non pour me baiser hein ? Le contraire m’aurait étonnée.

Vadim je…

« Le seul qui peut te la faire fermer c’est moi avec ma queue dans ta bouche ! »

J’ai envie de lui dire que ce n’est pas nécessaire de prendre ma défense après ça vous croyez ? Il est pire, pas le pire, mais il est pire.

« Tu vas tout me raconter ! »

Euuuh ? Ah oui ? Je vais tout lui raconter parce qu’il l’exige ? Vraiment ?   Il me prend pour son nouveau petit chiot ? Il ne manque plus que la récompense et je me roule sur le dos, non, mais, sérieux ? Il sort d’où ce trouduc ? C’est sans le quitter des yeux un seul instant que je commence mon explication.

Il était une fois une jolie petite rousse nommée Màiri Mackellar Orlov, fille d’un mafieux et d’une femme exceptionnelle. Un jour, la petite fille a vu son père tirer une balle dans la tête de sa mère et c’est là qu’a débuté son calvaire.

Je soupire, détourne le regard pour voir si nous sommes seuls et voyant que c’est le cas je reprends.

Tout ça ce n’est pas TON combat Vadim, mais MON combat et aussi sexy que tu puisses l’être je ne compte pas laisser ta queue passer la barrière de ma bouche de sitôt, voire jamais.

Je le détaille de haut en bas et de bas en haut avant de poursuivre, me permettant même de caresser son épaule, son bras et son torse du bout des doigts.

(En russe) Tu es musclé, sexy et attirant, ça va de ce côté, mais je ne veux pas de cette vie Vadim tu peux le comprendre non ? Je ne veux pas de cette violence, je ne veux pas devenir ta propriété et je ne veux pas mourir avec une balle dans la tête à mon tour. Tu m’ordonnes comme mon père le fait. Ça ne t’ait jamais venu à l’idée de me dire < tu veux bien tout me raconter s’il te plait > au lieu de jouer au trouduc ? Je n’ai jamais couché avec un client du Cosmos tout comme je ne baise pas avec mes collègues et encore moins avec mes patrons.  

Pourquoi je lui dis tout cela ? Aucune idée, mais j’ai envie de le lui dire alors je laisse toutes mes idées coulées vers lui sans vraiment réfléchir à rien.

Tu veux savoir alors OK… voyons… un homme que je vais appeler connard a cru que de pousser l’une de mes blessures avec le bout de son doigt ferait éclater de rire tous les gens se trouvant autour de lui, genre regarder comme elle grogne la pétasse. Je lui ai lancé un regard furieux et il n’a pas aimé. Le mot catin est tombé et je lui ai donné mon nom au cas où il voudrait porter plainte. La suite est connue du public, mais maintenant quoi hum ? Tu vas aller le péter la gueule ? Tu crois que ça va changer les choses ? Le problème ici ce ne sont pas les clients, mais bien ceux qui se trouvent tout en haut de la pyramide. Que tu le veuilles ou non, tu fais partie de ce groupe alors… Tu pourrais commencer pas te péter la gueule à toi-même si tu tiens autant à corriger la situation. Si tu as besoin d’aide, tu le dis hein, je suis persuadé que mon crochet droit pourra faire des miracles.

Je lui redonne sa veste afin de retourner travailler, les 5 minutes sont probablement écoulées
Vadim Volkov
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MessageSujet: Re: Apprendre à fermer ma gueule? Pas aujourd'hui (Vadim)   Apprendre à fermer ma gueule?  Pas aujourd'hui (Vadim) EmptyDim 17 Juil - 19:17

Ma nana m’oblige à être désagréable avec elle, à mal lui parler et parfois à mal la traiter. Je viens de lui répondre sèchement une fois de plus pour lui montrer que je ne suis pas d’accord avec sa requête de lui foutre la paix. J’ai comme un présentiment, un doute car ma princesse à des emmerdes. Avec sa grande gueule, elle a dû se les créer toute seule, comme une grande -ironique quand on sait qu’elle est une demi-portion- sans solliciter l’aide de quelqu’un évidemment. Je suis loin d’être le prince charmant que toute petite fille une fois adulte souhaite trouver. Elle peut oublier Adam de la belle et la bête, Phillipe de la belle au bois dormant et j’en passe ce sont tous de grosses tarlouzes car pomponné et maquillé comme des gonzesses. J’ai déposé ma veste sur ses épaules car j’ai remarqué qu’elle frissonnait, je tiens à ma rouquine tout de même. Une baise ? Oui avec plaisir et encore plus avec elle. Elle a peine le temps de l’ouvrir que je lui ressors une saloperie dont j’ai le secret même si l’idée me tente réellement aussi. Fourrer ma tige dans le gosier de ma fiancée est un bonheur et je la trouve encore plus belle avec mon sexe dans sa petite bouche. Je viens de lui sommer de tout me raconter, il est hors de question d’un autre l’humilie. Moi seul ait ce privilège et encore, je le fais car je veux qu’elle se soumette un jour et quand cela arrivera, je serai plus doux avec elle. J’aurai toujours qu’on cherche à m’atteindre en la blessant. Je ne le supporterais pas alors, je suis comme ça pour ne rien montrer.

L’ordre de me raconter se qui s’était passé était encore passé, je ne lui laissais pas le choix cette fois. Elle me fixe directement droit dans les yeux, elle n’a pas peur de moi, que du contraire. Elle devrait pourtant, elle sait comment, je suis. Elle me surprend à obtempérer bien qu’elle commence à se foutre de ma gueule. Je connais tout ça, je sais comment sa mère est morte et que son connard de père est un mafieux, il semble qu’elle n’a pas compris que je veux savoir c’est ce qu’il s’est passé ce soir. Après un soupire, elle détourne le regard et j’en fais de même sans l’expiration fortement orale. Je regarde si nous sommes seul, c’est à ce moment là qu’elle se décide à reprendre. J’apprends que ce n’est pas mon combat mais bien le sien et j’ai bien entendu son insistance sur les articles possessifs. Une chose me fait sourire : elle ne compte pas laisser passer ma queue dans sa bouche de sitôt si ce n’est jamais.

« Ne jamais dire jamais ! »

Le ton est arrogant, suffisant. Je passe ma langue sur mes lèvres comme pour la provoquer alors qu’elle me détaille de la tête aux pieds avant qu’elle ne me caresse mon épaule, mon bras et mon torse. Chaque geste est effectué du bout des doigts et me filent des frissons. Elle se met à me parler en russe afin que seul nous, comprenions. Elle me trouve sexy et attirant mais elle ne veut pas de cette vie et me demande si je peux le comprendre. Elle ne veut pas de cette violence, d’être ma propriété et mourir d’une balle dans la tête comme sa mère. Je peux le comprendre en effet mais jamais, je ne lui mettrai une balle dans son joli minois. Tout ce qu’elle se prendra comme calibre c’est celui que j’ai entre les jambes. Je l’ordonne comme son père ? Hmm non, je ne crois pas … j’exige car je suis son mâle. Je veux faire payer ce fils de pute car on ne manque pas de respect à Madame Volkov un point c’est tout. J’apprends aussi que je joue au trouduc et là enfin un truc tombe : elle ne baise pas avec les clients du cosmo ni avec ses patrons. Je hausse un sourcil donc un client ou un de mes collègues qui a voulu obtenir des faveurs sexuelles par la force.

J’allais prendre la parole à mon tour pour lui répondre lorsqu’elle me devance et me crache le morceau. Un homme, une bête dirons-nous qu’elle nomme connard a cru que de pousser sur une de ses blessures avec le bout de l’un de ses doigts allait faire éclater de rire Màiri ou l’entourage du club en transformant ma rouquine en démone grognant sur tout ce qui bouge. Elle l’a mal regardé et l’insulte est vite tombée car monsieur trou du cul n’a pas aimé, elle lui a donné son nom pour qu’il aille porter plainte tout de suite. Je hausse un sourcil, elle est gonflée quand même. La suite est connue du public visiblement et elle me demande ce que je vais faire ? Lui péter la gueule car je pense que cela va changer les choses ? Oui c’est une solution mais arroser les flics également. J’en crois pas mes oreilles car elle pense que le problème vient des patrons donc de moi aussi car je suis en haut de la pyramide. Je soupire car elle me compare à cette pourriture et elle se propose de m’aider à me péter la gueule en m’annonçant que son crochet pourrait faire des miracles. Je regarde alors son petit poing et commence à me marrer. Elle pourrait faire des dégâts face à une femme certes mais face à moi … j’en doute sincèrement. Elle me rend ma veste car elle l’a décidé ainsi. Mais j’attrape son bras avec délicatesse cette fois.

« Attend s’il te plait ! »

Je lui parle d’abord en anglais avant de me racler la gorge en réfléchissant à certains mots dans notre langue natale.

« Si je suis comme ça avec toi c’est pour te protéger Màiri ! Je ne veux pas que tu sois en danger car on est fiancé. Tu me plais énormément et je donnerais ma vie pour toi s’il le fallait car tu es sexy et que tu ressembles à une petite lionne qui montre souvent les crocs. Si tu deviens ma propriété cela serait dans l’intimité car oui, je ne te cache pas qu’il me plairait de te dominer, de t’emmener au septième ciel de la meilleure des manières mais il faut que tu acceptes qu’ici, je me montre froid et diabolique pour la couverture. Je ne veux pas non plus que tu finisses avec une balle dans la tête et cela ne sera jamais le cas avec moi. »

Bordel de merde, je me fais doux avec elle et je suis totalement sincère dans mes propos. Pour la première fois, je lui fais part de mes vrais sentiments pour elle.

« Le fils de pute … »

Je soupire légèrement essayant de garder mon self contrôle devant elle.

« Je peux lui péter la gueule oui tout comme je peux appeler les flics pour une agression sexuelle après avoir fait sortir monsieur l’enculé de service du cosmo pour comportement déplacé. Tu n’es pas une pute et je ne tolèrerai jamais que l’on te traite de ce nom sauf si c’est moi un jour au lit car tu me l’auras demandé. »

Je ne peux m’empêcher de sourire en repensant à sa proposition de me péter la gueule.

« Au fait si tu me frappais, tu te ferais mal mon amour maiiiiiis, je peux te proposer une chose : c’est de t’entrainer à te battre ainsi tu pourras me porter des coups gratuitement pour te défouler. Il sera hors de question pour moi de te frapper évidemment sauf sur les fesses pour te motiver. »

J’ai lâché son bras pour la laisser libre entre temps. Finalement je m’approche d’elle pour la prendre dans mes bras de manière assez tendre.

« Cela pourrait nous rapprocher qu’en penses-tu chérie ? »

Toutefois, je complote déjà contre le trou du cul qui a osé la toucher, il ne s’en sortira pas à s bon compte et j’arroserai quelques flics pour que cela passe à la trappe si l’autre avait les couilles de porter plainte pour coups et blessures.
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MessageSujet: Re: Apprendre à fermer ma gueule? Pas aujourd'hui (Vadim)   Apprendre à fermer ma gueule?  Pas aujourd'hui (Vadim) EmptySam 13 Aoû - 20:52

Je regrette de lui avoir parlé avec autant de sincérité. Pourquoi ? Parce que c’est plus facile de détester quelqu’un quand il agit comme un connard que de détester quelqu’un qui vous parle, lui aussi, avec son cœur. Il n’avait pas le droit de faire ça. Comment ça, j’exagère ? Vadim est le mâle alpha typique ou, si vous préférez, stéréotypé au maximum. Je suis le dominant et tu es la dominée… Je décide et tu obéis… Sinon gare à tes fesses… grrr… Le tableau est facile à comprendre ? Oui ? Alors, dites-moi une chose. Est-ce qu’un homme de ce genre est censé parler comme il vient de le faire ? La réponse est non, non et encore non. Dire que je le préférais en homme des cavernes serait un mensonge, mais plus j’y pense et plus je me dis qu’il me fait moins peur avec son costume de macho man qu’avec celui d’homme rose. J’ai l’habitude de côtoyer des connards, je sais quoi dire ou quoi faire, mais là ? Puis c’est quoi, ça, ne jamais dire jamais ? En voilà un e expression idiote.

Tu n’es pas une pute et je ne tolèrerai jamais que l’on te traite de ce nom sauf si c’est moi un jour au lit, car tu me l’auras demandé. »

Hum… il a bien dit < mon amour > là ?

« Cela pourrait nous rapprocher qu’en penses-tu chérie ? »

Ce que j’en pense ? Il est sérieux là ? Il a utilisé une voix douce, il m’a proposé de m’apprendre à me battre et là j’ai le droit de me sentir prisonnière entre ces bras ?  

Euuuh… Vadim ? Tu as fumé un truc ou quoi ?

Heureusement quand j’essaie de me dégager de son étreinte il me libère, mais cela ne m’empêche pas de le regarder avec un air étrange par la suite. Je poursuis avec un sourcil légèrement relevé.

Tu es qui ? Où est Vadim ?

Je regarde à gauche, à droite et même derrière lui avant de ramener mon regard vers lui de nouveau. Un soupire plus tard je me lance ou relance, je ne sais plus. Cette soirée est plutôt horrible et je me sens un peu à bout de souffle, tant physiquement que psychologiquement.

Tu sais que mon paternel a essayé de m’apprendre à me défendre et que j’ai fini à l’hosto ?

Inutile de lui raconter qu’après de multiples refus, il a envoyé des petits cons me péter la gueule afin de me faire comprendre que c’était pour mon propre bien. Je ne crois pas que la violence peut tout régler et je ne le croirai jamais. Pour moi, négocier et se mettre d’accord sur un consensus est la clé, et ce, même si verbalement parlant il m’arrive de faire chier en prononçant des mots plutôt menaçant ou offensant. J’aimerais en ce moment même lui lancer quelques phrases piquantes et violentes afin de le faire reculer, voir courir en sens inverse, mais hélas je suis encore bouche bée suite à tout ce qu’il vient de me dire.

Pourquoi tu as fait ça ?

Il va surement me demander qu’est-ce qu’il a fait alors je me dépêche de lui répondre avant même qu’il ne pose la question.

Tu es censé agir comme un connard et juste comme un connard..  Tu n’es pas censé me dire toutes ces choses comme tu n’es pas censé non plus de me prendre dans tes bras avec douceur. Tu n’as pas le droit d’essayer de briser ce mur que je me tue à bâtir entre moi et toute cette merde. Pourquoi tu m’a appeler ma chérie ? Pourquoi tu me surnommes mon amour ? Pourquoi moi ? Tu n’as pas besoin de moi pour monter en grade ?   Je ne suis qu’une interprète qui peine à joindre les bouts et qui refuse de devenir comme es autres membres de sa pseudo famille. Je travaille même avec la police Vadim… LA POLICE !!!!

Je sais que je ne leur donne pas de renseignements et il doit le savoir aussi, mais tout cela me sert à prouver que je ne suis pas pour lui.

Voilà ce que je te propose à mon tour. Si tu me sors d’ici ce soir, parce que j’ai vraiment plus envie de travailler, je te promets que j’irai à un et un seul de tes entrainements de boxe OK ?

Inutile de lui dire qu’il se pourrait que j’y retourne si l’exercice est concluant n’est-ce pas ?

Si tu me sors d’ici et si tu m’offres une pizza, bien sûr, parce que je meurs de faim.  

Puis avant qu’il ouvre la bouche, je me dois de finir en beauté.

J’ai l’air de rien comme ça, mais tu devrais plutôt faire gaffe à tes fesses au lieu de penser à moi dans ton lit. Dans les petits pots, les meilleurs onguents.

Voilà comment on négocie.
Vadim Volkov
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Apprendre à fermer ma gueule?  Pas aujourd'hui (Vadim) Lucahollestelle
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MessageSujet: Re: Apprendre à fermer ma gueule? Pas aujourd'hui (Vadim)   Apprendre à fermer ma gueule?  Pas aujourd'hui (Vadim) EmptyMar 23 Aoû - 22:05

Nous devenons de plus en plus franc l’un envers l’autre, je suis son mâle alpha qui la domine des pieds à la tête, je dois bien avoir le double de sa taille mais elle est si mignonne … et je me mettrais bien à sa hauteur pour m’occuper de son cul. Je lui parle mal, intérieurement, je m’en veux mais je ne dois rien laisser paraitre. Je suis issu d’une sale famille, j’ai été élevé à la dure par un père haut placé dans la tristement célèbre mafia rouge ou Bratva pour les plus intimes. Jovan m’a formé pour lui succéder et c’est ce qui est arrivé, j’ai pris sa place au sein de l’organisation avec le plus d’avoir été fiancé de force à la rouquine. Je m’adoucis rapidement, elle a raison, je n’ai pas le droit de lui parler de cette manière. Je vois apparaitre une expression surprise sur le doux visage de celle qui doit partager ma vie, il faut dire que je viens d’y aller encore de manière assez forte et que j’ai utilisé un premier mot doux, une caresse auditive dans mon langage, J’enchaine avec un autre tout aussi doux véritable hit finish combo dans un jeu de baston. J’ai quand même réussi à lui demander si elle souhaitait que je lui apprenne à se battre. Surprise encore une fois, elle me demande si j’ai fumé lorsqu’elle se trouve dans mes bras. Cela me fait sourire car je suis on ne peut plus sobre.

« Non, je n’ai rien pris d’illicite ma beauté. »

J’en rajoute une couche en la libérant de mon étau comme je lui ai promis. Son regard est interrogateur et les mots qui suivent le sont également.

« Où je suis ? Mais devant toi ! Qui je suis ? Vadim qui se montre sous un autre jour tout simplement. »

J’ai un peu l’impression de me foutre de sa gueule là-dessus mais pourtant la fin de ma phrase est sincère. Mais qu’est ce qu’elle fabrique encore ? Qu’est-ce qu’elle à regarder à gauche ou à droite de cette manière bizarre avant de me fixer et soupirer à nouveau. Je gonfle mes poumons d’air et l’expire bruyamment en l’écoutant, je suis pas son père et je ne l’enverrai pas à l’hôpital sauf un jour pour qu’elle accouche de notre premier enfant puis des autres car je compte lui en faire beaucoup.

« J’imagine ce que ton père t’a fait subir. Mais je te rassure, je ne te cognerai pas et tu n’iras pas à l’hôpital de ma faute. »

En vérité, je sais ce qu’il lui a fait subir et rien que pour cela, je le hais au plus haut point mais, je ne peux l’éliminer sous peine d’être sacrifié comme un paria. Il faut que je sois fin pour le coup. Le mariage la protégera, un héritier assurera son avenir. Elle rêve d’un monde utopique où la violence n’est que légende et où les licornes volent sur des arcs en ciel. Il ne faut pas se leurrer la violence fait partie de ce monde et les licornes, elles te chient à la gueule. Màiri reste bouche bée, épatée par ce que je dis et fait pour elle. Je la regarde, interloqué à sa question. Pourquoi j’ai fait ça ? Je lui ai déjà dit mais, je vais me répéter tout de même mais je n’en ai pas le temps, elle enchaine encore et me voilà résolu à l’écouter. Selon elle, je dois agit comme un connard et non pas comme, je viens de le faire. Je ne suis pas censé non plus lui dire tout ce que je viens de lui dire ni d’avoir les gestes que je viens d’avoir. Je ne peux pas être doux et encore moins briser ce mur qu’elle se tue à bâtir. Elle me demande pourquoi, je viens de la nommer chérie, mon amour et surtout pourquoi elle car je n’ai pas besoin d’elle pour monter en grade car elle n’est qu’une interprète qui travaille avec les flics et qui peine à joindre les deux bouts car elle cherche à renier son connard de père.

« Je sais que tu travailles avec les flics mais que tu n’es pas une balance et c’est pour cela que je veux les appeler mais aussi pour te protéger. »

Je dis le tout calmement en soupirant tout de même. Je passe les mains dans mes poches pour la regarder.

« Ah bon ? Je n’ai pas le droit ? Dis donc mademoiselle, il faudrait savoir tout de même car si je me comporte comme un connard, c’est une chose, si je ne le fais pas, cela en est une autre. Si je t’ai nommée ma chérie ou mon amour c’est que j’en avais envie tout simplement. »

Au d’un moment, les femmes devraient savoir ce qu’elles veulent car cela s’avère être chiant et je ne sais plus sur quel pied danser. Attendez ! Elle me propose un truc à son tour ! Elle négocie ! Putain, elle m’éclate ma nana. Je vais devoir la sortir du casino car elle a vraiment plus envie de travailler ce soir et elle me promet qu’elle ira à un seul et unique de mes entrainements de boxe. C’est déjà mieux que rien. Je me satisfais de ça, c’est un premier pas que nous faisons chacun de notre côté. Bon elle en rajoute une couche mais c’est pour la bouffe car elle meurt de faim et propose une pizza. Elle m’achève en me disant que je devrais faire à mon cul au lieu de penser à elle dans mon pieu. Sa dernière phrase ne me menace pas, elle a raison de se mettre en valeur.

« Ok on deal et va pour une pizza qu’on mangera à la maison. »

Après tout, elle n’a pas précisé le lieu où on allait manger.

« On va aller chercher tes affaires et on se barre d’ici. »

Je sors mon téléphone de ma poche et envoie rapidement un message à son chef : « Màiri malade, on rentre. Compta demain. Appel les flics pour l’autre FDP ! » je ne lui laisse pas le choix de toute manière, il n’a rien à me dire, je lui suis supérieur après tout. J’en profite aussi pour passer commande afin de récupérer plus vite notre repas.

« Bonsoir ici Monsieur Volkok, non pas de table cette fois, je vais venir prendre la commande moi-même. Il me faudrait deux végétariennes et une bouteille de rouge s’il vous plait. Oui exactement, celui-là. Gracié ! »

Je parle à voix basse tout en surveillant Màiri qui me devance légèrement en avançant. Nous allons dans le vestiaire pour récupérer ses effets personnels. Je replace ma veste sur ses épaules lorsqu’elle revient à ma hauteur, elle a récupéré ses effets personnels. Personnellement, j’ai déjà mes clefs de bagnole, mon phone et mes papiers., j’ouvre la porte à ma femme et passe à nouveau mon bras sur son épaule de manière protectrice. Le trajet est court jusqu’à la bagnole et je ne sens pas Màiri rassurée. Je lui lance quelques regards pour savoir si cela va avant de démarrer comme un fou furieux. Le muscle car n’aide pas, ma Ford Mustang Shelby GT500 est un bijou de puissance mais pas de technologie. J’aurais pu l’améliorer pour la transformer en monstre mais, je préfère le classique, elle rugit déjà assez bien comme cela.

« Direction la pizzeria ! »

Dis-je en sortant du parking, la meilleure de la ville se trouve à Little Italy, cliché direz-vous mais pas forcément, le meilleur chinois n’est pas dans pas dans chinatown mais en périphérie. Je respecte le code de la route pour aller au restaurant italien. Je prends la main de ma fiancée et la pose sur le changement de vitesse bien que cela soit une boite automatique avant de la recouvrir de la mienne. Màiri peut se sentir en sécurité avec moi. Je prends deux places pour me garer, rien a foutre et en plus, je suis garé sur des places handicapés. Je sors comme un fou furieux et contourne la caisse pour me retrouver du côté de la potière passagère.

« J’arrive ! »

A peine le temps de terminer ma phrase que je suis déjà parti, cette fois c’est elle qui ne peut rien dire. Je me dépêche de retirer notre commande, je paye et je retourne à la voiture les pizzas dans une main, la bouteille emballée dans un papier dans l’autre.

« Le repas chère demoiselle. »

Je souris en déposant la bouteille sur la banquette arrière et lui donnant les pizzas.

« Maintenant à la maison où tu vas enfin pouvoir te reposer. »

Le timbre est plus détendu, je soulagé qu’elle rentre avec moi ce soir. Bon il va falloir faire gaffe désormais car bien qu’elle soit véggie, il y a quand même de la sauce tomate dans la garniture et j’ai pas envie de salir ma bagnole. Je ne peux m’empêcher de regarder Màiri avec envie et d’un coup sans lui demander son autorisation, je pose mes lèvres sur les siennes en forçant légèrement le passage pour que ma langue aille jouer avec celle de l’irlandaise quelques instants avant de me reculer et de sourire satisfait. Je risque une gifle mais qu’importe car cela été trop bon et désormais j’en veux plus mais cela attendra la maison.
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MessageSujet: Re: Apprendre à fermer ma gueule? Pas aujourd'hui (Vadim)   Apprendre à fermer ma gueule?  Pas aujourd'hui (Vadim) EmptyLun 5 Sep - 0:44

« Non, je n’ai rien pris d’illicite ma beauté. »

Je le crois… pas. Croire ou ne pas croire ? Il ne me semble pas avoir les yeux rouges, ni de trace de piqure de je ne sais pas quoi au bras pourtant. Il y a d’autres façons d’ingérer de la drogue, je sais, je ne suis pas conne. Il est peut-être saoul ? Nan, son haleine ne sent pas la fond de bouteille non plus, alors quoi ? Oh je sais… c’est moi qui suis saoule et moi qui entend des choses c’est ça ? On a glissé des hallucinogènes dans mon verre. En fait, je n’ai aucune idée des réactions que provoque un hallucinogène alors oui, je vais mettre tout cela sur le dos de ce truc de merde. Non, mais, c’est parce que je préfère me faire une excuse bidon que de savoir qu’il lui arrive d’être gentil.  

Mouais.

Il a fini par me libérer pour me dire que MON Vadim se trouvait devant lui et qu’il se montrait sous un nouveau jour. Il aurait pu laisser tomber les acrobaties cervicales entre vous et moi parce que sa gentillesse me déstabilise et ça, ce n’est pas joyeux. Revoir le portrait global que je me suis fait de ce futur époux va me demander encore du temps et des efforts vous voyez ce que je veux dire ?

Mouais

On verra ! Quoi ? Comment ça on verra quoi ? Il vient d’essayer de me rassurer que jamais il ne m’enverra à l’hosto. N’est-ce pas ce que tous les maris violents disent ? D’ailleurs, ça me fait penser… et là commence mon long monologue du < pourquoi >et des < tu ne peux pas >, monologue qui se termine encore une fois par une surprise. Je vais faire semblant de ne pas avoir écouté parce que tout cela ne fait pas de sens. Appeler les flics pour me protéger et puis quoi encore ? Même chose pour le… il faudrait savoir. Il n’a pas tort par contre parce que, en ce moment, j’ai l’air aussi désorganisée mentalement que lui.

Ok !

Il en avait envie. Que suis-je censé répondre à ça, moi ? Ne pas savoir quoi répondre me pue au nez. Enfin si, je sais quoi répondre, mais la suite n’a rien à voir avec son < faudrait savoir > puisque ça parle de boxe et de pizza. Les pizzas c’est la vie et la boxe ? Demander moi si être courbaturé pendant des jours est un truc qui me tente ? Je suis en forme hein, je coure tous les jours et tout et tout, mais boxer ? Le bon côté des choses ? Je vais lui faire repayer la pizza après la séance de boxe, c’est intelligent de ma part non ? Je vais le ruiner en pizza, ou pas, mais au moins je vais en profiter un peu. Oui, voilà, c’est ce que je ferai. De la pizza et des sushis. De la pizza, des sushis et des pâtes parce qu’il ne faut oublier les pâtes bien sûr. Fettucine sauce Alfredo avec des brocolis, des poivrons, des tomates cerises et champignons. Mhmmm…

« Direction la pizzeria ! »

Hein ? Merde, avec tout cela je ne me suis même pas rendu compte que je suis allée chercher mes trucs, il faut que je fasse gaffe moi bordel.

Waaaouh, belle bagnole ?

Pffff, mais quel connard ? Il ne me laisse même pas le temps de la caresser du bout des doigts. C’est un coup bas de sa part, un vrai de vrai coup bas et je vais le bouder tiens. Enfin non, je ne le boude pas, mais si je ne peux pas y toucher, je peux laisser mon âme se laisser bercer par le son de son moteur non ? Il arrive ? Hein ? Comment ça il arrive ? Putain, mais faut vraiment que je me concentre !!! Puis il a vu ou il a stationné sa voiture ? Connard un jour connard toujours parce que faire ça ce n’est pas cool.

« Le repas chère demoiselle. »

Oh misère l’odeur est divine. À la maison ? Comment ça à la maison ? Je n’ai pas fait le menage de mon condo moi bon Dieu ! Puis pourquoi il me regarde de cette façon ? Ohhhhhhhhhhhhhh… il a osé ? Oui, il a osé et moi je n’ai rien fait pour l’empêcher et je ne fais rien ensuite pour lui signifier mon désaccord. Il mériterait ma main sur sa joue, mais au lieu de cela, je le regarde et glisse ma langue sur mes lèvres pour faire durer le plaisir. LA HONTE ! Mon premier réflexe aurait été de prendre un morceau de pizza et de l’enfourner, mais cette fois tout ce que je réussis à faire c’est de détourner la tête pour regarder dehors. Ma concentration se tourne vers l’accélération des battements de mon cœur, le traître et probablement le rouge qui vient de mon monter aux joues, le traître aussi. Encore une fois, ce n’est qu’une fois arrivé que je me rende compte ou on est.

Je croyais qu’on allait chez moi ?

Première phrase qui sort de ma bouche depuis le baiser et heureusement qu’il m’ouvre la porte sinon je serai probablement encore là à regarder nulle part, les pizzas sur les genoux. Une fois en dedans de son chez-toi, je ne peux que m’émerveiller de ce que je vois. Oui, on dirait la tanière d’un loup, mais c’est parfait ainsi. Voir les murs peints en rose m’aurait probablement fait prendre mes jambes à mon cou si vous voyez ce que je veux dire. Je me souviens de cette journée avec Asya et ou elle me disait de faire attention à moi et de vivre un jour à la fois. Elle m’a aussi dit de ne jamais avoir d’enfants, mais ça, je ne crois pas pouvoir y arriver. Je dois jouer mes pions pour le mettre échec et mat le plus rapidement possible, amis plus je passe du temps avec lui et plus je sens l’étau se resserrer. Je fais quoi si l’image de dure qu’il dégage n’est qu’une image ? Moi aussi je projette une image non ? Je ne suis pas aussi dure avec les gens que j’aime et pourtant, je le traite comme un connard encore et encore. Tout en réfléchissant, je dépose les pizzas sur la table, en prends une pointe et me dirige vers le patio pour admirer la vue.

Je crois qu’il y a pire dans la vie que de me lever avec cette vue tous les jours.

J’ai profité de la pizza pour réfléchir… encore. Toujours en regardant dehors je poursuis.

Je te donne une chance Vadim. Une et une seule chance et si tu oses me traiter comme une pute de coin de rue ou un sac de sable, je te promets que je vais te poignarder durant ton sommeil.

Dernière étape ? Je me tourne vers lui pour qu’il puisse voir ma détermination dans mon regard. Je ne blague pas et je compte bel et bien le poignarder, mais ce sera après lui avoir coupé la queue, tant qu’à y être.

Tu me fais visiter ?

En fait, ce que je voulais vraiment dire c’est < embrasse-moi encore >, mais j’ai trop de fierté pour le faire.
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MessageSujet: Re: Apprendre à fermer ma gueule? Pas aujourd'hui (Vadim)   Apprendre à fermer ma gueule?  Pas aujourd'hui (Vadim) EmptyDim 29 Jan - 19:23

Je viens de lui affirmer que je ne me suis pas drogué, que je suis clean en tout point car je suis ultra doux et prévenant avec elle. N’en ai-je pas le droit ? Ne puis-je pas être normal avec ma fiancée qui vient d’être agressée ? Il peut m’arriver d’être gentil, souriant et prévenant mais visiblement elle ne me croit pas ! Le mot qu’elle prononce ne fait que le confirmer, six lettres qu’elle reprononce sans enthousiasme voire de manière de désespérée. Je ne suis pas un enfoiré qui cogne les femmes, je ne dis pas non à les regarder se battre entre elles quand le ton commence à monter mais, non, je ne lèverai jamais la main sur une femelle. Quoi que j’aime coller une fessée quand on baise mais je ne considère pas ça comme le fait de battre le sexe dit faible. Je me plais à la fixer dans les yeux pour lui affirmer ce que je viens de dire. Il ne faut pas qu’elle ait peur de moi. Beaucoup d’hommes qui battent leur épouse tiennent ce genre de discours mais je ne suis pas ce genre de bête humaine, je préfère lâcher l’animal quand nous pratiquons le coït.

Mentalement, je ne sais plus où j’en suis, elle me fait chier ! Je suis obligé de me justifier pour les surnoms doux que je lui donne et tout ce qu’elle arrive à répondre c’est ok ! Elle est sérieuse ? Visiblement oui … nous ne sommes pas doués pour exprimer nos sentiments ou pour nous parler tout simplement. Je suis certain qu’elle me fera payer tout ça quand nous nous nous entrainerons ensemble. Avec moi, elle pourra manger ce qu’elle veut quand elle veut, on ne regardera pas aux dépenses pour la bouffe, gourmet et gourmand avec un portefeuille plein. Le tout arrosé de bons vins évidemment. La destination est annoncée, elle peut admirer la caisse et c’est ce qu’elle fait. Je suis heureux qu’elle lui plaise car elle sera souvent dedans !

« Heureux de le savoir ! Tu pourras la conduire de temps en temps si tu veux. »

Bon pas ce soir et gare si elle a une railure car j’y tiens à ma Shelby … bordel, elle est tellement ailleurs qu’elle ne remarque pas que nous arrivons vite. Oui, je me suis garé sur des places handicapés, oui je m’en cogne sévèrement car je suis pressé et qu’ils ne vont pas me faire chier pour deux minutes d’attentes. J’ai des pizzas et du vin à récupérer avant que ma nana se taille car qui sait ce qui pourrait lui passer par la tête. Pour terminer la soirée, nous allons aller chez moi, son futur chez elle si elle le désire car déménager une fois mariés n’est pas dans mes projets. Elle pourra me dire ce qu’elle en pense, si elle désire prendre ses quartiers là ou pas. Tout ouvre mon appétit : les pizzas, Mairi, la route … je profite rapidement d’un instant pour l’embrasser avec une certaine passion avant de me reculer et remettre le moteur en marche. Si elle croit que je n’ai pas remarqué sa petite langue sur ses lèvres pour savourer le gout et continuer le plaisir, elle se goure. Elle détourné le regard et ne m’a plus parlé. Le silence est pensant jusqu’au freinage final, Mairi réalise que l’on n’est pas devant son appartement.

« Mais on est chez toi ! »

Enfin si elle le veut évidemment car je ne veux pas la séquestrer sauf dans mon lit pour la faire jouir. Je lui ouvre la portière, l’aide à descendre de la bagnole.

« Enfin si tu le désires évidemment. »

Nous marchons côte à côte et d’un geste aisé, j’ouvre la porte pour la laisser entrer en premier. Je passe le bras rapidement et allume la lumière.

« Bienvenue ! »

Elle peut regarder, toucher la décoration, les murs … les pizzas sont déposées, je regarde Mairi s’acclimater et visiter. Je viens déposer la bouteille sur la table et après elle, j’attrape une part du repas et la rejoints sur le patio, le seul élément de la maison un tant soit peu romantique de mon domicile. Le reste est à mon image, froid avec les murs blancs, des couteaux placés sur des socles, des peintures aux murs mais aucunes photos, je n’aime pas ça. Le passé est passé et la seule photo qui pourrait attirer ici est celle de notre mariage avec ma divine rousse. Elle me confie qu’il y a pire dans la vie que de se lever avec une telle vue.

« Je confirme que la vue est magnifique et encore plus avec un lever ou un coucher de soleil. Il me tarde que tu prennes part au spectacle. »

Ai-je dévoilé un double sens dans ma phrase ? A elle de le deviner car, je connais la réponse. Elle me donne une chance que je vais saisir. Je ne vais pas la traiter comme une putain de bas étage ou encore comme un grain de sable que je vais dégager à la moindre emmerde.

« Arrache moi la bite si un jour j’ose franchir une de ces barrières que tu viens d’évoquer Mairi ! »

Elle s’est tournée pour mon plus grand bonheur, elle peut voir ma sincérité de cette position et je peux lire la sienne aussi. J’entends sa demande de lui faire visiter mais avant, j’ai envie d’autre chose … je me colle à elle, passe mon bras droit autour de sa taille et vient déposer ma main gauche sur sa nuque après qu’elle ait caressé son visage angelin. Ma tête se baisse, mes lèvres se fondent sur celles de l’interprète pour lui offrir un baiser encore plus sensuel que celui de la voiture. Je ferme les yeux, laisse ma langue aller chercher sa comparse et lui permet de danser avec elle un moment. Je n’ai pas l’impression que j’ai dû forcer ses lèvres à s’ouvrir contrairement à tout à l’heure ce qui me donne encore plus de frissons. Je pourrais rester des heures comme cela mais les pizzas risquent de refroidir. La main dans son dos se fait aventureuse et se pose sur le cul de la rousse avant de revenir dans le creux de ses reins, histoire de ne pas envenimer les choses car l’instant est trop beau et Mairi embrasse divinement bien en plus de terriblement m’exciter.
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