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| Calmence 1 // Nuit charnière. | |
| WebName : Lex Date d'inscription : 07/10/2024 Messages : 5 Surnom : Clem' Avatar & crédits : Léa Seydoux & Tumblr Date de naissance : 13/08/1990 Age : 34 Statut civil : Célibatarde Occupation : Experte en stratégie et développement Habitation : La Jolla. Rivalités : Non-participant
| Sujet: Calmence 1 // Nuit charnière. Lun 7 Oct - 15:38 | |
| --Outfit-- Il est quoi 22h, 22h30 ? Et je suis encore au bureau. Épuisée, les paupières lourdes, le corps tendu. Pourtant, je n’ai pas le droit de lâcher maintenant. Demain, c’est le grand jour. La présentation capitale pour l’obtention de la direction du secteur stratégie et développement. Le poste que je convoite depuis des mois, celui pour lequel j’ai tout sacrifié. Mes soirées, mes week-ends, mon énergie. Je n’ai pas gravi les échelons pour abandonner maintenant. Pas question de me laisser distancer. J’ai toujours brillé, et demain ne fera pas exception. Je vais éclater tous les autres, c’est sûr. Mais là, devant mon écran, les mots se brouillent. J’ai beau me concentrer, réviser mes notes, ajuster mes slides, rien ne reste en place dans ma tête. Chaque seconde passée ici me pèse un peu plus. Le silence de la nuit est oppressant. Il n’y a que le bruit distant de la climatisation qui ronronne, et moi, seule dans ce bureau glacé. Je sens l’irritation monter. Mon esprit vacille, trop fatigué pour continuer à lutter. Je sais ce que je dois faire. Ce n’est pas la première fois que ça arrive. Quand le corps flanche, il y a d’autres moyens de se recentrer. J’ai découvert ça par hasard il y a quelques semaines, une nuit similaire à celle-ci, quand tout semblait hors de portée. Femtasy. Ce truc qui a, en quelques minutes, réussi à effacer le stress et à me ramener à l’essentiel. Je glisse mes écouteurs dans mes oreilles, presque avec impatience. Le souffle rauque de la voix masculine résonne, caresse mes tympans. Il me parle, cette voix, avec un ton chaud, intime, comme s’il savait exactement ce dont j’avais besoin. Comme s’il était là, tout près de moi, prêt à répondre à ce désir qui monte insidieusement, à cette chaleur qui envahit mon ventre. Je ferme les yeux, je me laisse porter. Sa voix me dit des choses, des mots terriblement ardents, des mots crus, directs, mais qui résonnent étrangement bien avec cette tension que je garde enfouie. Il sait, il comprend ce que je veux, ce que j’attends, même si je ne l’ai jamais vraiment formulé. Mes doigts effleurent doucement ma peau, glissent sous ma robe, caressent mes côtes, mon ventre. Ma respiration devient plus courte, mon cœur bat plus vite. Je relève les jambes pour poser les pieds sur mon bureau, corps basculé en arrière dans mon fauteuil et mains balladeuses. Les mots qu’il murmure me font frissonner, me font oublier l’heure, la fatigue, le stress. Il m’enveloppe, me prend tout entière, et chaque sensation devient plus vive, plus réelle. Mon corps se réveille, se tend sous mes mains, sous la caresse imaginaire de cette voix qui me fait vibrer. Je m’abandonne à ce moment, à cette douceur. Je n’ai finalement pas besoin de quelqu’un pour me faire du bien, je n’ai jamais eu besoin de personne pour ça. Je suis un peu addict à ça... Je me détends. Enfin. Mon esprit s’apaise, le stress disparaît. Les nœuds dans mes épaules se défont sous la vague de plaisir qui monte doucement. Je me laisse aller, je laisse mes pensées s’égarer, loin de ce bureau, loin de cette course effrénée vers le sommet. Je gémis de plaisir et mes doigts s'agitent, plus fort, plus vite, écartant ma lingerie pour me baiser follement. Quelques minutes, juste ça. C’est tout ce qu’il me faut pour retrouver mon centre, pour chasser la fatigue et me rappeler qui je suis. Je soupire, les yeux mi-clos, je me sens déjà plus légère. Le besoin de contrôle s’évapore. Ce moment de calme, c’est la clé. Je le sais et putain ce que ça fait du bien... et demain ? Demain, je brillerai. |
| WebName : Hortek Date d'inscription : 06/10/2024 Messages : 8 Surnom : Caca... Pitié m'appelez jamais comme ça... Avatar & crédits : Kevin Pabel - Moi Date de naissance : 14/08/1989 Age : 35 Statut civil : Célibataire
| Sujet: Re: Calmence 1 // Nuit charnière. Jeu 17 Oct - 21:20 | |
| TENUE22h30… Je crois que je vais péter un câble. Quand j’ai rencontré Madison, j’ai été charmé par l’ambition et son attrait pour ma démarche profondément humaine dans le travail. Madison avait cette réputation de dirigeante féroce et sans concession et sans chercher simplement à m’embaucher pour profiter de mon aura et se donner une bonne image. Elle semblait sincèrement intéressée par ma manière d’aborder la construction de profits sur l’humain avant tout… Et là… Quelque temps plus tard débarquent Clémence Delcroix… Une… Harpie ! Un démon ! Cette femme c’est mon opposé le plus total. Le pire c’est que pour Madison j’ai des origines « Françaises » de par mon nom Québécois et ma mère donc, et que ça pourrait bien coller… C’est comme essayer de mélanger du Nutella avec du Saucisson. Chacun de leur côté, c'est très bon, mais ensemble c’est juste immonde… C’est un peu cette impression que j’ai. Cette femme chie littéralement sur l’aspect humain. Chiffres, rendement et côtes… C’est tout ce qui l’intéresse. L’humain, elle s’en balance et le pire… C’est que pour essayer de faire valoir mon point de vue et la pertinence de ma démarche j’ai accepté de jouer le jeu qui n’est pas le mien et je me retrouve épuisé et lessivé. J’ai à peine le temps d’aller au foot, j’ai à peine le temps de rentrer chez moi si ben que mes plantes sont mortes et que ma copine m’a quitté y’a un mois parce que je la délaissais… Et le pire, c'est qu’elle n’a pas tort. J’ai refusé deux réunions de famille pour le travail. J’ai à peine eu mon père au téléphone. À peine pu lire une première ébauche de son nouveau livre alors qu’en général on prend ce temps-là. Qu’il est important pour nous. Le pire, c'est que quelque temps après ma rupture j’ai tenté Tinder, et après un match et un peu de discussions j’ai réalisé que je n’avais même pas le temps d’un verre à accorder à la jeune femme… Clémence, j’ai essayé de discuter, de sympathiser. Mais un bloc de Glace serait plus chaleureux. Elle est venimeuse, glaciale et détestable. Elle bosse bien, c'est sûr, mais en plus depuis que Madison nous a « forcé » à jouer en équipe et qu’a l’issue de ce projet, elle donnera le poste de responsable à celui qui aura été le plus brillant et le second sera en charge de l’équipe de fonctionnement. Ce qui équivaut à : le premier est chef, le second sera son assistant et va en chier salement. Et moi j’ai envie de gagner parce que affronter Clémence sur ce genre de chose, c'est comme le combat du bien contre le mal ! Et je ne peux pas perdre. J’ai même assuré à Madison pour justifier mon implication dans son entreprise que j’accepterai de rester même si je n’obtenais pas le poste et lui ai donné ma parole. Grave erreur ? Pas quand on est sûr de gagner. Parce que je vais gagner. Le bien triomphe toujours ! Clémence était déjà chiante, mais là c’est l’enfer. Ça va faire trois semaines que je ne dors pas, que je ne vis pas. Elle devient de pire en pire au point que je finis par me demander si se faire tringler une bonne fois pour toutes ne la calmerait pas ? Non mais qui voudrait. Elle… N’est pas moche. Mais clairement pas dans mes gouts et je crois surtout que son attitude me la rend terriblement antipathique. Son mépris des gens c’est juste… Raaaaaaaa j’ai tellement envie d’aller lui vider une des bonbonnes d’eau de la fontaine à eau du couloir sur la gueule parfois ! Ce soir elle reste dans son coin et m’envoie des mails plutôt que de me parler. Putain je suis seul en salle de conférence alors qu’on doit bosser ensemble. J’ai voulu commander à manger aucune réponse résultat on ne mangera pas ! Elle démonte tout ce que je fais et envoie comme si elle était ma chef. Elle m’a bombardé de mails et défonce tout ce que je fais, je lui renvoie des trucs et puis rien. Je vois mon téléphone vibrer et je vois une photo. Une de mes tantes a pris la photo à table ce soir de toute la famille. Ils jouent à un jeu de société et mon père sourit malgré tout. J’écrase une larme. Pourquoi je suis là putain ? Et l’autre connasse qui ne répond plus du tout !! C’en est trop. J’ai toujours refusé de gueuler mais là c’est fini elle va m’entendre !!! Le pire c’est que jamais je ne me comporterai comme ça avec elle quand je serai son chef ! Chemise dans le pantalon, ouverte et sans cravate, manches relevées sur mes avants bras je pousse sa porte et m’avance vers elle avant de figer brutalement en la regardant. J’allais gueuler et rien ne sort de ma bouche. Je reste là. Debout. Clémence est dans son fauteuil, elle a ses écouteurs, son regard est tourné vers moi, mais elle à les yeux presque dans le vague. Je me tiens debout devant elle alors qu’elle… Se caresse… Je ne m’attendais pas à ça. C’est comme découvrir qu’elle est humaine et en plus elle est… Dans un moment intime qui n’est censé appartenir qu’à elle. Je la regarde sans bouger, mes pieds comme pris dans du béton et je me tiens là en regardant sans savoir quoi dire alors que sans le réaliser une bosse pousse férocement sous le tissu de mon pantalon. |
| WebName : Lex Date d'inscription : 07/10/2024 Messages : 5 Surnom : Clem' Avatar & crédits : Léa Seydoux & Tumblr Date de naissance : 13/08/1990 Age : 34 Statut civil : Célibatarde Occupation : Experte en stratégie et développement Habitation : La Jolla. Rivalités : Non-participant
| Sujet: Re: Calmence 1 // Nuit charnière. Lun 4 Nov - 21:26 | |
| Demain, oui… demain, je brillerai. L’idée flotte dans mon esprit, une promesse que je me fais, une prière silencieuse dans cette nuit qui n’en finit pas. Je suis Clémence Delcroix, et tout ce que j’ai traversé, tous les sacrifices, toute la rage contenue, tout ce qui fait de moi ce que je suis, rien de tout cela n’aura été en vain. Je m'en fais la promesse, alors que le plaisir grimpe au creux de mon ventre et c'est comme un mantra qui m'entraine plus haut, plus vite.
Cette satisfaction sourde et brûlante qui n’appartient qu’à moi, que je m'offre, incapable de ne pas répondre à l'appel de mon désir. Aussi étrange que cela puisse sembler c'est pour moi un véritable havre de paix... mon meilleur antistress C’est dans ce contraste, entre la femme que je suis, implacable, et la créature vulnérable que je deviens dans ces moments d’abandon, que je puise ma force. Il y a une ivresse dans cet instant volé au stress et à l’ambition, une liberté que je ne me permets jamais autrement. Une façon de ressentir… pour mieux revenir à moi et à ce que je dois !
Un soupir s’échappe de mes lèvres, les échos de la voix dans mes oreilles m’enveloppant encore, presque comme une étreinte. Demain, il ne restera rien de cet instant, rien de cette faiblesse, rien de ce plaisir caché. Demain, je serai froide, distante, parfaite. Ma voix ne tremblera pas, mes gestes seront précis, et je les éclipserai tous. Parce que je sais que je peux. Parce que je sais que je suis meilleure qu’eux. Alors, je reste là, la tête appuyée contre le dossier, le souffle encore légèrement saccadé, laissant chaque tension se renforcer avant de se dissiper, une à une. Je suis plongée dans ma bulle, étreinte par la chaleur et le frisson du moment. La voix dans mes oreilles me murmure des promesses délicieuses, et je me laisse emporter, comme si le monde extérieur n'existait plus. Et puis, la porte s'ouvre. Un bruit, un souffle, une intrusion dans cet espace sacré que j'ai créé pour moi. Je lève les yeux, le cœur battant, et je vois son regard.
Il est là, figé, comme une statue de marbre. Son expression est un mélange de surprise et de confusion, une réaction qui me fait littéralement sourire intérieurement. Je n'avais pas prévu de le voir ici, pas dans cet instant, mais c'est terriblement excitant d'être surprise ainsi. Ses yeux, si souvent pleins de ressentiment et de frustration, se posent sur moi, et je sens un frisson me parcourir à la fois d'excitation et de défi. Je continue mes caresses, le regard venant se planter dans le sien, en une provocation silencieuse. Qu'il soit irrité ou fasciné, c'est une victoire à mes yeux, c'est l'indifférence que je ne supporterais pas. Je suis une femme qui revendique son corps, ses plaisirs, et pour un instant, je crois que je deviens l'objet de son désir, même s'il ne l'admettra jamais.
Je vois la bosse sous son pantalon, un indicateur que mon jeu porte ses fruits. Une chaleur monte en moi, une vague de satisfaction totalement inappropriée. Il s’est toujours montré adorable et empathique, là où je suis arrogante, condescendante, et je l'ai toujours perçu comme cet obstacle à surmonter, mais là, dans ce moment suspendu, il devient quelque chose d’autre. Mon corps réagit à sa présence, et je me mords la lèvre, ne sachant plus si je veux le provoquer davantage ou l’envoyer promener. Je le dévisage avec un léger sourire, revenant à cette bosse qui je dois bien l'avouer me met le feu au corps... Je sens le pouvoir de la situation glisser entre mes doigts, c'est étrange, flippant, mais aussi stimulant... Je ne suis pas seulement quelqu'un qui aime gagner, pas seulement la femme qui travaille dur et refuse de plier sous la pression. Je suis aussi celle qui peut jouer avec le feu, celle qui peut allumer des étincelles là où il n'y en avait pas, une femme qui aime vaincre mais pas sans péril, ou donc serait la gloire ? -"Tu comptes rester planté là à me mater ou achever de me montrer ce que tu caches sous cette chemise ?" Je le dis d'une voix à la fois mielleuse et provoc', les yeux clairement accrochés aux parcelles de peau qu'il dévoile, les jambes outrageusement écartées et les doigts continuant de me rendre ivre... putain c'est diantrement bon !-"A moins que tu préfères rester là à regarder, comme un petit voyeur, plutôt que de découvrir à quel point je peux être… engageante?" Le choix des mots... un régal. |
| WebName : Hortek Date d'inscription : 06/10/2024 Messages : 8 Surnom : Caca... Pitié m'appelez jamais comme ça... Avatar & crédits : Kevin Pabel - Moi Date de naissance : 14/08/1989 Age : 35 Statut civil : Célibataire
| Sujet: Re: Calmence 1 // Nuit charnière. Dim 17 Nov - 22:10 | |
| Pourquoi je suis entré dans son bureau déjà ? Pourquoi je voulais pourrir ce putain de cyborg alors qu’elle me fait devenir ce que je déteste ? Oublier tout paramètre humain pour ne considérer que l’argent et le profit ? Pourquoi je suis entré et pourquoi au lieu de bosser, je la trouve là. Cuisses ouvertes sans aucune putain de pudeur à se caresser frénétiquement comme si elle était soudainement redevenue humaine ? Pourquoi je la regarde ? Pourquoi elle n’arrête pas, ne ralenti pas et me regarde comme si ce qu’elle se faisait en ce moment n’avait aucune foutue incidence sur le fait que je me trouve face à elle à la regarder dans son moment d’intimité ? Je ne réalise pas que je bande sous mon pantalon. D’ailleurs comment est-ce que je pourrais bander pour elle ? Pour une femme aussi froide, égocentrique, narcissique et odieuse ? Pourquoi je banderai alors que j’ai pas eu de vie sexuelle pendant des mois à cause de cette présentation et de ce poste à pourvoir ? Pourquoi je suis rongé de travailler à sa manière à elle parce que je voulais lui prouver que je serais plus doué qu’elle ? J’aurais dû rester à ma manière au lieu de la suivre dans sa façon de faire. J’ai tendu la main et elle a craché dedans. Et là pendant que je souffre de toute l’accumulation de la tension, de la fatigue et du stress l’autre est en train de se doigter comme une furie pendant que je suis en souffrance ?
L’instant s’étire et elle continue de se toucher en me regardant et je reste figé ne sachant plus pourquoi je suis venu. Pourquoi elle est là ? Pourquoi je suis là ? Pourquoi je n’arrive plus à savoir ce que je dois penser ni même à bouger mes pieds. Je devrais sortir et je n’arrête pas de la regarder faire. Ses doigts qui bougent sur son sexe luisant c’est… Hypnotique. Je crois que je pourrais rester là à regarder durant des heures mais soudain elle me provoque de sa voix glacée et cinglante. Je réalise qu’elle me regarde et m’invite ? Carrément ? Je fige et ouvre la bouche pour répondre. Mais aucun son ne parvient à en sortir. Venir la rejoindre ? Vraiment ? Elle et moi coucher ensemble ? Est-ce qu’elle aurait une attirance pour moi que je n’aurais pas vu ? Est-ce que je lui plais ? Qui coucherait avec une personne qu’elle déteste ? Est-ce que je la déteste ? Oui putain !!! Alors pourquoi j’ai envie d’aller vers elle maintenant ? Puis soudain elle rajoute une couche à sa provocation me narguant avec des mots soigneusement choisis. Je la regarde et mon regard change. Je m’avance vers elle d’un pas décidé.
« Ah oui tu veux pouvoir te toucher avec une vue plus agréable que ta putain de porte ? »
Je saisis ma chemise et l’ouvre d’un geste dévoilant mon torse musclé. Je fais pas mal de sport et si j’ai un peu ralenti ces derniers temps je ne mange pas beaucoup du coup je dois sembler très sec et avec l’éclairage mes muscles semblent plus marqués. Je détache mon pantalon et la tourne vers moi pour qu’elle se retrouve cuisses ouvertes devant moi me fixant par en dessous en se touchant pendant que je sors mon sexe raide et me caresse devant elle à mon tour. Merde je fais quoi là ? Je réalise que je pète complètement un câble et qu’elle affiche un petit sourire presque narquois et très satisfait. Je grogne en la regardant. Putain elle est presque attirante quand elle ferme sa gueule.
« J’ai pas de capote pour te baiser alors ce sera juste comme ça… »
C’est vrai et en même temps j’aime bien me conserver un garde-fou même illusoire. Je suis déjà allé trop loin mais alors de là à la baiser sans aucune protection… Faut pas pousser non plus. Merde putain ses doigts ne cessent de bouger dans son sexe et moi je bande et je me masturbe devant elle à moitié nu chemise ouverte sur mon torse musclé le pantalon à mi-cuisses…
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