Hamsie 1 // Je suis dans la merde à quel point ?

--Outfit--
Les bruits de la nuit résonnent dans les ruelles sombres, et l'odeur âcre de la fumée du cigare de Milton emplit l'air. Je suis là, postée comme un chien de garde, surveillant les ombres qui s'étirent entre les bâtiments abandonnés. Mes frères et sœurs des Hellhounds sont ma seule famille, ma seule raison de vivre dans ce monde décadent. Les moteurs vrombissent en arrière-plan, le son familier des motos qui me connecte à quelque chose de plus grand que moi. Ils vont et viennent, ramenant la marchandise du dernier labo et moi bah je veille !

Je ne suis qu'Elsie, la douce et naïve, la timide Hellhound qui se fond dans l'obscurité avec un cœur aussi tendre que la lueur d'une bougie. Mes yeux scrutent les ombres, laissant mon esprit vagabonder dans les coins sombres où pourrait se cacher la menace. Mes frères et sœurs comptent sur moi, et je ne peux pas les décevoir. Il faut que je sois attentive, même si je n'aime pas le gros Milton et que je ne suis pas fana de ce genre d'échange, surtout dans cette ambiance avec les russes. C'est dangereux et même si ma vie est d'un vide abyssal, je n'ai pas envie de mourir, abattue par un de ces fous !

Je hausse une épaule, tentant de relativiser et c'est alors que je le vois, ce type pourtant en civil qui se faufile avec une aisance suspecte. Mon cœur se serre, et une boule de nervosité se forme dans mon estomac. Mes antennes se dressent, et mon instinct, comme cette fidélité inébranlable envers les Hellhounds, me pousse à reconnaître le danger. Je l'ai déjà vu ce mec ! Il est flic ! Et à la brigade des stup en plus !

Je m'approche du groupe, essayant de rester aussi discrète que possible. Ma voix hésitante s'élève dans un murmure, un murmure presque perdu dans les rumeurs de la nuit. -"Les gars, il y a un flic de la DEA dans le coin. Je l'ai repéré, il faut bouger genre maintenant." Les regards se croisent, et sans un mot, mes frères et sœurs remballent et enfourchent leurs motos. Les moteurs rugissent dans l'obscurité, et les Hellhounds disparaissent comme des ombres dans la nuit. -"Milt' tu m'emmènes steuplé." Non princesse tu seras plus utile ici, t'as même pas ton cuir et t'as rien sur toi alors retiens les ! J'ai envie de pleurer mais je vois bien qu'il ne sert à rien d'argumenter. Et je me retrouve seule, abandonnée dans l'obscurité qui avale tout.

Mon cœur bat rapidement, et l'angoisse se lit sur mon visage réservé. Pourtant, une part de moi reste calme, la certitude que j'ai fait ce qu'il fallait pour protéger ma famille. Mon optimisme fragile me murmure que tout ira bien. Je me retrouve plantée là, entendant des pas dans la ruelle, laissant la réalité me rattraper. Ma tendance à me sous-estimer me rappelle que j'ai été laissée derrière, mais je tente de me convaincre que j'ai joué un rôle crucial. Protéger les autres, c'est dans mes veines, même si je m'oublie au passage. Alors je vais essayer de le faire.

Je me résous à attendre, patiente, alors que j'aurais envie de prendre mes jambes à mon coup et quand il approche et que la lumière révèle sa silhouette je glisse une cigarette entre mes lèvres et l'allume, essayant d'afficher une fausse assurance. -"S'lut, t'es perdu ?" J'expulse la fumée et affiche un petit sourire goguenard. Jouer la petite conne et espérer qu'il ne soit pas venu pour nous, ça se tente, non ? En baissant la tête je remarque un sachet de H, tombé probablement et laissé derrière, tout comme moi... ok peut être que je suis finalement bien bien dans la merde.

La journée au boulot a été chiante à souhait. Entre les deux cons qui semble vouloir se bouffer la gueule pour un oui ou un non et ce dossier avec les Mexicains qui commencent sérieusement à me faire chier, je ne suis pas resté pour faire quelques heures sup comme j’en ai l’habitude. J’ai besoin de discuter avec mon informateur et le con, il joue au fantôme. Je vais devoir aller le chercher par la peau des fesses, mais plus tard parce que ce soir j’ai autre chose de prévu.

J’aime bien arpenter les ruelles sombres une fois la journée de boulot terminée. Cela me permet de voir des choses plutôt distrayantes et parfois importantes pour un certain dossier. Toutes les informations sont bonnes à prendre pour faire chanter les gens. C’est donc armer de mes vêtements de tous les jours que je me suis aventuré dans les ruelles et les coins un peu perdus de la ville peu après 20 h et jusqu’à maintenant je n’ai rencontré que des putes et des sans-abri. Ah non, pardon, j’aime aussi rencontrer deux gars qui baisaient tout près d’une benne à ordure et un vieux couple qui marchaient main dans la main. La nuit est calme et je ne suis pas certain si c’est bien ou pas. J’aurais peut-être pu me joindre aux deux gars. Pousser ma bite dans le cul de l’un deux alors que lui-même défoncer son vis-à-vis ? La nuit est encore jeune, non ? Ouep… je crois avoir trouvé de quoi faire. Drogue ? Arme ? Je les laisse me voir ou pas ?

Elsie ?

Elle est belle comme un rayon de lune, naïve et bandante à souhait. Je ne l’ai jamais approché ni parlé, mais je sais qui elle est. Je m’approche d’elle à pas feutré, mes sens en alerte, cherchant la présence d’embuscade ou de quoi que ce soit y ressemblant. Cela ne semble pas être le cas, mais je ne peux rien laisser au hasard. J’aurais aimé discuter avec Milton. La prochaine fois ? J’ai une autre victime dans le collimateur pour le moment, une biche vers qui je marche d’un pas nonchalant.

— " S’lut, t’es perdu ? »

Je lève un sourcil avant de suivre son mouvement de tête, voyant à mon tour le petit sachet au sol. Elle est dans la merde ? Oui, non, cela dépendra de la suite. Pour ma part je préfère garder le silence et de lui retirer la cigarette des mains pour en prendre une longue bouffée à mon tour.

Pas du tout !

Elle m’a demandé si j’étais perdu et la moindre des choses est de lui répondre non ? C’est exactement ce que je fais avant de laisser glisser mon regard sur elle. Elle porte une culotte sous cette robe noire ? Je peux très bien l’imaginer nue avec, pour seule décoration, ces longues bottes lacées.

Je ne suis pas en service ce soir donc… disons que je n’ai pas vu ce petit sachet. Toutefois…

Je m’avance vers elle encore et encore jusqu’à ce que son dos soit non seulement collé au mur, mais que je sois assez près pour poser mes mains de chaque côté de sa tête.

Elsie…

J’approche ma bouche de son oreille afin de lui murmurer le reste d’une voix encore plus basse que d’habitude, ce qui devrait l’effrayer.

Je ne suis pas con et je sais que tu as donné l’alerte et je n’apprécie pas du tout voir mes proies m’échapper.

Double sens ? Moi je dis oui, voyons oui si elle aura compris.

Que feras-tu pour te faire pardonner ?

Je pourrais la baiser sans son consentement, je n’ai pas de problème avec cela, mais j’ai un truc en suspens avec Milton et les Hounds alors je dois jouer avec plus de finesse. Elle mérite que je joue avec plus d e finesse même si, une fois bien enroulé dans mes filets, elle n’aura d’autres choix que de subir.  Je la veux pour moi et moi seul depuis que je l’ai vu pour la première fois.  Sa beauté me consume… elle sera mienne.

Je vois ce sachet sur le sol et mon attitude doit me trahir parce que son regard suis le mien, allumant tous les warnings sous mon crâne. Je Suis DANS la merde ! Il attrape ma clope, en tire une longue bouffée et j'essaye de ne pas totalement perdre contenance. Il dégage une aura qui me fait me sentir encore plus petite que je ne suis en réalité. A moins que ce soit cette voix, grave, sensuelle aussi ? Je ne sais pas trop. Déjà qu'en temps normal je peine à monter des plans, là, c'est la cata.

Il déclare ne pas être en service, mais je n'ai pas le temps de pousser un ouf de soulagement qu'il s'est avancé pour me coller entre le mur et lui. J'ai un petit couinement qui m'échappe, digne d'une des souris de Cendrillon et je me prends une bouffée du parfum de sa peau. Epicé, viril, effrayant ! Il vient murmurer à mon oreille et je sens mes jambes trembler. -"Je... je ne vois pas de quoi... de quoi vous parlez." Je ne peux pas afficher mes frères d'arme, c'est hors de question. Donc ma meilleure chance est sans doute de faire ce qu'on attend de moi, jouer l'ingénue au courant de rien, simplement au mauvais endroit au mauvais moment.

-"Je n'ai... rien à me ... à me faire pardonner." Je me sens de plus en plus prise au piège, d'autant qu'il connait mon prénom, ce qui veut dire que jouer l'oie blanche va être plus compliqué. D'un autre côté j'ai jamais rien fait de fou. Je donne l'alerte, c'est tout, parce que je suis douée pour me fondre dans la foule et me faire oublier. -"Je... je n'ai vu personne !" Là clairement j'abuse, d'autant que je le dis d'une petite voix résolue, mes mains posées sur ses hanches essayant de le repousser. Mauvaise idée, sentir son bassin et... ne pas avoir la force de le repousser, ne m'aide pas du tout à ne pas paniquer.

Je relève la tête, pour croiser son regard, espérant... je ne sais pas trop quoi. C'est un flic ! Du bureau de lutte contre les stup', je suis une Hellhound... qu'est ce que j'ai à espérer ? Je n'ai rien sur moi, mais qu'est ce qui l'empêche de faire croire que ce sachet est à moi ? J'essaie de réfléchir à la peine encourue ? Un seul sachet, je peux toujours dire que c'est pour ma consommation perso ? Sauf que si ils me font un test sanguin, ils verront bien que je ne suis pas consommatrice. La panique monte, mes capacités de réflexion baissant en flèche de façon totalement symétrique. -"Je... je vous souhaite une bonne soirée?" Tentative pathétique d'échapper à son contrôle, mais j'aimerais vous y voir. Ce mec semble tout droit sortie d'un film des années 30. Je sais pas pourquoi je pense ça ? Sans doute quelque chose du côté d'une virilité flamboyante et assumée qui me ferait sans doute fondre si je n'avais pas autant la trouille. Sa silhouette imposante se dressant devant moi comme un mur infranchissable, je ne vois pas comment m'échapper qu'en lui faisant entendre que je n'ai aucun intérêt. Ses yeux me scrutent avec une intensité que je peine à décoder, me transperçant de part en part sans espoir de raison. Je sens la peur s'insinuer plus loin en moi, une peur viscérale qui me paralyse sur place, immobile, lèvres entrouvertes. Des images tourbillonnent dans mon esprit, des images presque sans queue ni tête, qui fracassent le peu de sécurité intérieure que je peux avoir.

Le pouvoir de mon insigne me donne des bouffées de plaisir indescriptibles. Elle est prise dans mes filets. Elle et moi savons qu’elle devra la jouer finement pour s’en sortir sans égratignures. Son petit couinement de souris ne ment pas. Les mensonges qu’elle tente de glisser vers mon intelligence non plus. Rien à se faire pardonner, hum ? Elle n’a vu personne hum ? Moi si, comment ne peut-elle pas les avoir vus puisqu’elle était mieux placée que moi je me le demande. Les petits mensonges inoffensifs qu’elle me lance me font sourire intérieurement. J’ai envie de lui demander de poursuivre puisque chacun d’entre eux alimente mon envie de rapetisser sa cage. Ou de l’ouvrir pour la dévorer ? Elle se rend compte qu’en posant ces mains sur mes hanches elle fait grossir en longueur et en diamètre ce qui se trouve entre mes deux jambes. Je peux facilement l’imaginer nue, nous imaginer nus tous les deux, elle tentant de me repousser comme elle le fait en ce moment et moi plongeant en elle sans me soucier des conséquences.

« Je… je vous souhaite une bonne soirée ? »

OK, là, sur le coup, elle a réussi à me soutirer un vrai sourire. Sa naïveté ajoute une grande légèreté à cette soirée, une lumière qui, cette fois, vient à son aide. Enfin oui et non. Ces paroles ne me font pas reculer, ce qui ne lui rend pas sa liberté comme elle l’espérait tant, mais au moins l’atmosphère est moins lourde qu’il y a quelques minutes. Il ne me reste plus qu’à lui ouvrir tout grands les yeux. De jolis yeux de biches apeurées et une bouche entrouverte.

Tu crois pouvoir te glisser dans les ombres de cette ruelle… seule ? Que dirait-Milton s’il te voyait fuir ? N’es-tu pas censé protéger leurs fesses ?

Mes mains ont délaissé le mur pour venir glisser le long de sa colonne vertébrale afin de pouvoir palper le galbe de ces fesses avant de la soulever. Une fois faites, mes mains poursuivent leurs courses sous ces cuisses, les guidant vers mes hanches afin qu’elles s’y enroulent sans se poser de questions. Une fois que la position désirée est bien comprise de sa part, l’une de mes mains retourne se positionner sous son popotin alors que l’autre remonte vers son visage.

Ouvre !

Mon pouce, devant ces lèvres, ne laisse place à aucune interprétation et dès qu’elle m’en donne l’accès, je le glisse le long de sa langue de manière très très suggestive, mon regard bien planté dans le sien.

Tu as peur Elsie ?  

Question idiote, je sais, mais c’est amusant de la poser.

Ta beauté, déjà légendaire, n’est rien à ce que tu m’offres ce soir ma beauté. Tes yeux de biche ou baigne la peur et une panoplie d’émotions contradictoires est aphrodisiaque.

Mon pouce baise toujours sa bouche avec une douceur qui ne me ressemble pas pendant que je reviens lui glisser quelques mots au creux de l’oreille.

Tu es mienne Elsie et tu veux savoir pourquoi? Parce que je te veux. Parce que j’ai envie de te baiser. Parce que tu es plus belle qu’un rayon de lune. Parce que tes cris m’appartiennent désormais.

Cris de plaisir et de douleurs, je n’ai pas précisé pour la garder saine d’esprit encore un peu. Combien de temps ? On le saura bientôt puisque mon pouce a quitté sa bouche pour aller se glisser sous sa jupe, sous ces sous-vêtements et entre ces lèvres intimes.

Tu es mienne que tu le veuilles ou non.

Mon pouce se faufile en elle, bouge un peu avant d’entamer de lent vas et viens, une intrusion qui s’apparente étrangement à un échange forcé… un viol ? Oui, non, tout dépend du point de vue n’est-ce pas ? Quand j’en aurais fini avec elle ce soir, j’espère qu’elle comprendra que la prochaine fois, quand je lui demanderai ce qu’elle est prête à faire pour se faire pardonner, elle me donnera une vraie réponse. Moi, sans réponse, je fais ce que je veux.

Ce sourire qu'il arbore me fait penser une seconde qu'il va me laisser partir, preuve s'il en manquait de mon intense naïveté... Il ne fait que s'avancer un peu plus, m'écrasant délibérement entre lui et le mur. En tout cas j'en ai la sensation, tant sa présence est dévorante, mais je m'égare quand ses mains quittent le mur pour trouver mon dos et qu'il mentionne Milton. Le fait qu'il connaisse son nom et sache que j'étais... sous ses ordres ce soir... ça me fait flipper.

J'essaie de rassembler mes pensées, mais ça devient terriblement difficile quand il me soulève du sol comme si je ne pesais rien. Il pousse mes jambes à se verrouiller autour de ses hanches et je réalise que je l'ai fait presque instinctivement. Mes yeux s'écarquillent quand je sens sa main retrouver sa place contre mon cul alors qu'il m'ordonne d'ouvrir la bouche. J'écarquille encore un peu plus, mais mes lèvres s'entrouvrent, comme si elles se contentaient d'obéir à sa volonté... à lui. Il immisce son pouce entre mes charnues avec une fièvre qui me fait presque trembler.

Sa question trouve pour réponse un petit signe de tête de dénégation. Bravade ! Je suis terrifiée. J'ai l'impression d'être une biche, prise dans les feux d'une voiture lancée à pleine vitesse. Trop tard pour éviter l'impact... Hallucinant parce qu'il part en poésie presque érotique en me comparant à ce même animal. Je ne peux pas lui répondre et je réalise que ma bouche n'est pas totalement passive. J'ai enroulé ma langue à ce pouce inquisiteur. Je pourrais me débattre, je ne suis pas sidérée, je serais en capacité de le mordre et de me défaire de son contact, mais je ne fais rien. Pas à cause de la peur ou des conséquences, non. Je reste ainsi, serrée contre lui, parce que sa présence me trouble au delà de tout ce que j'ai pu connaître dans ma vie.

Il vient me parler à l'oreille et je happe l'air, avec peine, me cambre à sa rencontre et pousse un petit gémissement etouffé par ce pouce qu'il s'amuse à faire aller et venir entre mes lèvres. Il annonce son envie de moi, mais aussi... le fait qu'il me considère à lui ? Qu'il faut s'octroyer mes cris ? Je tremble, légèrement, sous le coup de la vague de trouble et de désir qui vient s'écraser sur moi de plein fouet. Ses mains rampent, sur moi, jusqu'à ce que je le sente écarter ma lingerie et que je couine en sentant son pouce s'immiscer en moi. -"Oh... non... merde..." Une reptation de mon bassin vient de le planter plus intensément au creux de mon corps et je me tortille tout en faisant non de la tête. -"Je... non... je... on pourrait nous voir." C'est ça mon excellente raison pour qu'il arrête ? Le problème est là ! Je suis parfaitement consciente qu'il n'a pas le droit de faire ça ! Qu'il ne devrait pas et que je ne dois pas le laisser... Mais c'est suffoquant et je ne sais plus trop penser. -"Je... han.. je.." Je quoi ? Je veux que tu arrêtes ? Je rêve que tu remplaces ton pouce par cette bosse orgueilleuse que tu écrases contre moi ? Non ! Non ! On ne peut pas réclamer un truc pareil, clairement, NON ! Petite voix insidieuse dans ma tête qui chuchote : Même si t'en crève d'envie ? Je ne sais pas... je ne sais plus grand chose en fait. Ce mec, ce regard, le parfum de sa peau, même sa putain d'arrogance... tout me pousse à perdre pied.

Le petit hochement de tête offerte après lui avoir demandé si elle avait peur est risible et divin. Bien sûr qu’elle a peur. Elle est le petit canari qui regarder le chat passer la patte par la porte ouverte de sa cage. La patte ou le pouce ? Je peux facilement m’imaginer baiser sa bouche avec autre chose que mon pouce, facile, fascinant même d’être capable de me retenir en ce moment même. Je ne peux pas me la farcir avant de mettre tous les points sur les i et les barres sur les T, ce que je fais avant de faire passer mon pouce de sa bouche à son intimité.

Oh… non… merde… »

Oh si… Ne voit-elle pas que plus elle bouge, plus je la tiens avec fermeté ? Continue de faire non de la tête, je m’en moque. Continue de refuser parce que je m’en moque aussi. Elle est à la fois pathétique et mignonne avec ses < je > et ses < on pourrait nous voir >.

—"Je… han.. je.. »

Difficile de résister hum ?

Tout en parlant, je continue de la doigter avec mon pouce, variant vitesse et amplitude au gré de mes envies.