| | | Mise au point (Aaron) |  |
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 |  Sujet: Mise au point (Aaron)  Mer 8 Mar - 23:47 | |
| Entre les cours, le boulot, les rendez-vous galants et dormir, oui parce que dormir est tout de même important, il y a ce petit con d’Aaron qui m’évite. J’ai autre chose à faire, moi, que de m’inquiéter à chaque appel ignoré ou à chaque texto rester sans réponse. Il me fout les nerfs à vif, non, mais, je vous jure. Le pire est que je sais qu’il ne va pas bien quand il me fait ça et que je ne peux pas laisser un copain, aussi con soit-il, sombrer sans tendre la main. Comme si j’avais envie de me rhabiller une fois en pyjama. Qui aime se rhabiller après avoir décidé que la journée se terminait, hum ? Enfin non, elle est loin d’être terminée puisque l’horloge vient de sonner 19 h, mais j’ai encore ce papier à terminer pour dimanche 23 h 59. Comme si j’avais envie de rester cloitré chez moi un vendredi soir. Dans le fond ça me fait presque plaisir d’avoir à me rhabiller. Aller go, je peux le faire.
Un petit saut dans la douche, j’enfile un jean, un sweatshirt trop grand pour moi, des souliers de course et me voilà prête à affronter le monde. Les cheveux attachés en queue de cheval, pas de maquillage, soit un mois au naturel sur lequel Aaron a de nombreuses fois posé le regard. Il m’arrive de me faire belle quand je vais le voir, mais ce soir il n’a pas besoin du moi flashy, mais du moi tout court. Toutefois, j’appelle un UBER pour le bien de la cause et une fois devant l’endroit où vit Aaron, je descends, paie et sortir mon cellulaire afin de lui texter un petit mot.
TEXTO : J’espère que tu es chez toi
Un peu tard pour lui demander de texter ça, je sais, mais si je lui dis que je suis devant il a assez de culot pour foutre le camp alors je préfère ne pas lui dévoiler le plan de match. Il serait assez débile pour sortir en douce pour me laisser poireauter pour rien. D’ailleurs je suis persuadé qu’il l’a fait à plusieurs reprises. Tout à fait son genre… Ouais, c’est bien beau là de prévoir sa fuite, mais je ne peux pas rester là à poireauter sur le trottoir. Je pourrais aussi aller le tirer de sa torpeur pour l’amener prendre l’air sur la plage ? Une chose à la fois Mattia, une chose à la fois. Je m’avance donc vers son petit chez soi et une fois devant la porte je cogne… Mais non, je ne cogne pas, je ne cogne jamais. Je teste la poignée oui et j’utilise la clé au besoin sinon j’entre. Je sais, je sais, avant d’ouvrir tout grand j’écoute pour m’assurer qu’il est seul ou, ou mieux, qu’il n’est pas entrain de baiser. Sa ne semble pas être la cas cette fois je peux donc me permettre d’entrer et de refermer dernière moi.
Aaron ?
J’ai presque chuchoté son prénom, question de ne pas lui faire faire de crise cardiaque. Rien… J’avance d’ans l’appartement… rien… Je fais donc comme chez moi et me dirige vers le frigo pur y prendre deux bières avant de partir à sa recherche. Il ne me reste que la salle de bain ou sa chambre, ce qui ne devrait pas me prendre plus de 32 secondes. Debout, l’épaule coller sur le cadre de la porte menant à sa chambre, je regarde l’épave d’un regard triste.
Une bière ? La septième ? Huitième ? Neuvième ?
J’enlève mes souliers de course, je les envoie valser je ne sais où d’un coup rapide du pied, puis lentement, je viens m’allonger sur le lit, les bières toujours dans les mains.
Tu me racontes ou je te torture ?
Il sait qu’avec moi ces secrets resteront secrets, je ne suis pas une balance. J’ai également une patience d’ange, il peut donc prendre tout son temps pour vider son sac, je ne suis pas pressé. La question est ? Il va me dire des profanités pour me pousser vers la porte ou pas ? Son petit côté petit macho homme des cavernes ne m’a jamais impressionné. |
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| | Sujet: Re: Mise au point (Aaron) Dim 12 Mar - 21:14 | |
| Mattia… C’est genre la femme parfaite. Sérieusement. Ne cherchez pas mieux qu’elle, ça n’existe pas. Je ne saurais pas comment dire comment on a pu sympathiser. On a commencé par s’engueuler, puis parler, rire, parler encore. Bon, j’avoue, on n'a pas encore baisé ensemble, mais ce n'est pas vraiment l’essentiel même si j’avoue sans soucis que son regard bleu turquoise, son corps de déesse et son sourire d’ange. Sans parler qu’elle est un amour absolu… Alors, non, je vous vois venir je ne suis pas amoureux d’elle. C’est juste que c’est, je crois ma meilleure amie. Parler avec elle, c’est facile et ça vient sans forcer. Elle sait que j’ai souffert de perdre une personne très chère, mais sans plus de détails pour le moment et elle respecte ma pudeur. Elle est douce et compréhensive même quand je suis con voire très con. Mais elle ne m’aime pas. C’est mieux. Je n'ai pas besoin de ça. Pas besoin d’une Lilly deux… Merde, Lilly est parfaite et je suis le roi des cons avec elle. Raaaaa non-cerveau, tu ne vas pas sur ce terrain-là. Il est vendredi soir et je suis tellement ravagé de fatigue et totalement décalé que je me suis couché ce vendredi à 14h avec la ferme intention de dormir assez pour me réveiller à 6h du matin samedi et je retrouvais un rythme cohérent ! Stratégie à la con quand tu nous tiens… Putain Lilly… Pourquoi faut-il qu’elle ressemble autant à Alice ? J’ai encore la trace de quelques coups du passage à tabac quand je suis allé la voir dans ce bar avec tous ces cons en treillis… Et pourquoi quand mon cerveau déconne, il pense à elle ? Je m’endors, mais mon téléphone me réveille. Mattia ? Oh, merde ça attendra. Je le repose et me rendors.
Quand elle entre, je ne l’entends pas et continue de dormir. C’est quand j’entends sa voix que je me tourne me foutant complètement du fait que je suis à poil. Je passe mon temps à me faire filmer en baisant alors ça va aller niveau pudibonderie… Elle retire ses souliers et s’allonge avec moi avec les bières. J’ai encore mal au crâne des précédentes, mais j’ai soif… L’eau serait sans doute plus indiquée, mais j’ai envie d’une bière. Elle me demande si je raconte ou si elle me torture ? Un sourire amusé arrive sur mon visage alors que je regarde ses seins par-dessus son habit avant de lui prendre une bière.
« Si t’avais été à poil j’aurais me croire au paradis… »
J’avale une gorgée de bière alors qu’elle ne dit rien et attend. Elle est comme… Du vent. J’ai beau l’attaquer pour la faire réagir, elle est calme et détendue. Elle m’encaisse comme personne et elle finie toujours par m’épuiser sans rien faire… J’ai vraiment envie de jouer à ça ? On dirait que oui. Je me pince les lèvres et avale une gorgée de bière qui au vu de l’état de mon corps, est une vrai pisse immonde sur ma langue. Je dépose la bouteille sur la table basse en l’ayant à peine entamée. Comme je sens monter la peine et les larmes, je lui balance avec froideur.
« T’as pas mieux à foutre de ton cul un vendredi soir ? »
Pourquoi son regard ne change pas et pourquoi ça glisse sur elle malgré le ton agressif que je viens d’employer ? Pourquoi Mattia, est aussi calme face à moi. J’ai le cerveau en compote et le cœur qui est en train de sombre dans la tourmente. J’ai froid et chaud et je m’allonge sur le dos posant mon avant-bras sur les yeux pour cacher l’approche de mes larmes. L’émotion est en train de me monter à la gueule…
« S’il te plaît je… Je ne vais pas être de bonne compagnie… Je… S’il te plaît Mattia… Je… »
J’étouffe un sanglot et inspire pour le faire passer, mais je trahis mon état émotionnel en une seconde. Les lames coulent. J’arrive pas à contrôler, je me mets à pleurer… Putain de serpillère à la con je fais…
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| | Sujet: Re: Mise au point (Aaron) Dim 7 Mai - 19:19 | |
| « Si t’avais été à poil j’aurais me croire au paradis… »
Ou en enfer ? J’ai un corps comme celui-là parce que j’ai vendu mon âme au diable, je ne t’ai pas raconté ?
Si moi j’ai vendu mon âme au diable je peux vous promettre que Aaron va se tenir bien droit à mes côtés une fois que nous serons morts tous les deux. Imaginez le regret de Lucifer quand il va comprendre qu’il est dans la merde avec nous en bas. J’imagine sa tête et j’ai envie de pouffer de rire.
Puis pour répondre à ta deuxième question et bien non, je n’ai rien de mieux à foutre. J’ai un travail de session à faire, mais bon, ce n’est que quelques pages insignifiantes alors inutile de se prendre la tête OK ? Puis, le plus important… il n’y a pas de s’il te plaît qui tient, pas avec moi. Je suis là et c’est tout, je ne veux pas savoir si tu es d’accord ou pas.
Je ne suis même pas certaine que mes mots aient trouvé une oreille attentive avec toutes ces larmes. Lui caresser les cheveux je peux. Lui dire un paquet de conneries aussi, au cas ou ça lui changerait les idées, mais à part cela je suis aussi démuni que lui.
Tu es toujours de bonne compagnie !!!
Même maintenant, oui, idiot, non ? Je ne mens pas, hein ? Être de bonne compagnie diffère d’une personne à une autre. Pour certaines personnes il faut que son ou sa vis-à-vis danse et boive et fasse la fête, alors que d’autres se contenteront d’une bonne conversation autour d’un verre de vin. En ce qui me concerne, le terme possède une définition différente selon la personne avec qui je suis. Pour Hammish être de bonne compagnie signifie baiser jusqu’à l’évanouissement. Pour certains clients ça signifie fait toi jolie, sourie et ferme ta gueule. S’ils ont besoin d’une jolie fille à leur bras pour se sentir puissants, je n’y peux rien moi merde. Pour Aaron ? Le spectre est large et franchement je n’ai pas de définition bien précise. Être en sa présence est parfois suffisant, comme maintenant alors qu’à d’autres moments c’est autre chose.
J’ai appris un truc avec les années et même si tu ne veux pas le savoir, je vais tout de même te le dire.
Bah quoi ? Les amis ce n’est pas fait pour nous caresser dans le sens du poil tous les jours.
Les émotions négatives, plus tu les gardes en toi et plus elles vont te pourrir l’existence. C’est comme une cannette de Pepsi. Plus tu la brasses et plus la pression augmente. Si tu as le malheur de l’ouvrir quand les bulles font rage et bien tu t’en prends plein la gueule. Si tu l’ouvres alors que c’est le calme, il y aura un petit bruit insignifiant et c’est tout. Je veux en venir où ? Bah je me dis que puisque je suis maso, que j’ai bien envie d’ouvrir la tienne maintenant. Alors sois-tu parles, soit c’est moi qui parle et je te promets que tes bulles vont finir par faire éclater la canette.
Il a compris ou pas ? Il est peut-être trop saoul pour faire le lien non ?
Si je dois me mettre nue aussi pour que tu parles je n’en ai rien à foutre hein ?
Mon corps et moi on est ami. Je ne suis pas pudique pour deux sous et lui non plus, alors tout va bien.
Aller crache ou tu vas le regretter !
Je dépose ma bière sur la table de chevet aussi, au cas où. Je ne le crois pas capable de devenir violent, mais ça aussi je peux en prendre. |
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| | Sujet: Re: Mise au point (Aaron) Dim 14 Mai - 21:29 | |
| J’adore Mattia, parce qu’elle a cette capacité a absorbé cette rage qui fait fuir les autres et parce qu’elle touche juste à chaque fois et qu’elle perçois ce que j’ai en moi comme personne. Elle ne se laisse jamais berner par mes attitudes et c’est une personne qui, sans que je m’explique comment c’est possible ni comment c’est arrivé est ma meilleure amie. Cette femme qui peut lire en moi immédiatement avant même que je sache moi-même ce qui chie dans la colle. Elle est là et alors que j’ironise sa venue derrière un sourire de petit con, elle me rembarre à sa manière en jouant de mes répliques. Putain cette femme est si évidente dans ma vie. La parfaite copine. Je l’appelle, elle vient. Elle m’appelle, je laisse tout tomber. J’ai envie de me mettre à l’envers, elle va me suivre et assurer ma sécurité. C’est un refuge, une sécurité. Mais là, j'ai mal et ça me ronge et j’essaye de la dégager. Je deviens agacé et lui demande sur un ton presque colérique si elle n’a pas mieux à foutre un vendredi soir ? Elle a décidé de venir ici et elle est capable de rester plantée là à me fixer sans broncher, à répondre à mes piques ou attendre que je cesse de l’ignorer. Putain, elle lit si facilement en moi, c'est agaçant et à la fois ça fait du bien parce qu’elle va réagir quand j’opposerai la bonne émotion. Je finis par craquer et pleure. Elle me caresse les cheveux. Je me sens faible. Confronté à cette peine qui monte en moi et que je ne peux plus cacher, je la supplie de partir et de me laisser parce que je ne veux pas pleurer. Devant personne. Elle me dit que je suis toujours de bonne compagnie et elle reste là.
Elle reste là. Sa simple présence me fait du bien. Là où j’exploserai pour faire fuir tout le monde, je tolère sa présence. Elle décide de me parler et de me raconter un truc. Elle me parle des émotions négatives et me donne une explication imagée pour débiles profonds, mais le pire, c'est que je visualise parfaitement ce qu’elle me raconte. Merde, elle a raison, mais qu’est-ce que je vais raconter hein ? Alice ? Pour quoi faire ? Je crois que je pourrais sortir ma queue de sous le drap et lui dire de me baiser et elle le ferait. Elle me baiserait encore et encore et elle n’arrêterait pas d’exiger des réponses. Je vais mal. Elle le voit, elle le sent, elle le sait. Je n’ai pas moyen de contourner ça. J’ai mal et ça me déborde. Elle pose sa bière et me regarde. Je m’avance et lui donne un baiser sur les lèvres puis je l’agrippe. Je la serre et l’écrase contre moi. Puis je roule et l’attire dans le lit, venant sur elle, mais au lieu de l’enjamber et d’enlever ses habits pour la baiser, je me love contre elle comme si elle était ma peluche et je coince mon visage dans son cou. Je laisse les sanglots éclater. Longuement. Je pleure. Je me serre sur Mattia et pleure, noyant son cou de larmes qui ne cessent de couler.
Je me laisse aller, savourant sa seule présence réconfortante contre mon corps. Noyé dans la pénombre de mon appartement éclairé par le simple poteau lumineux qui borde la plage en face de chez moi. Il va s’éteindre dans quelques heures, mais pour l’heure lui seul parvient à éclairer la chambre et ma silhouette nue étendue contre le corps habillé de Mattia. Les minutes passent et je finis par me calmer. Je voudrais dormir et éviter de parler, mais je ne vais pas m’endormir pour l’instant… Je me serre contre elle et cale mon nez sous sa mâchoire.
« Merci d’être venue… »
Je me sens honteux. Minable. Faible et vulnérable. Merde, j'ai trop de chance… Elle… Lily… Merde Lilly. Elle est parfaite. Elle est divine et moi, je la maltraite comme l’ordure que je suis. Pourquoi de toutes les personnes à qui elle pourrait ressembler, il faut qu’elle ressemble à Alice ? Pourquoi il faut qu’elle s’agrippe à moi aussi fort que je la repousse ? Mes bras se serrent plus doucement contre le corps de Mattia. J’aimerais sentir sa peau contre la mienne. Le contact peau à peau me fait du bien. C’est peut-être pour ça aussi que je suis devenu acteur porno. Toucher des peaux…
« Pourquoi je n’arrive pas à vivre ? Pourquoi je n’arrive pas à exister sans elle ? Pourquoi elle est morte ? Ce n'était pas possible d’être juste heureux après toutes ces années de merde ? Pourquoi le monde est noir et merdique ? Pourquoi on doit crever de douleur en permanence ? »
Je roule et attire Mattia pour qu’elle se couche sur moi. Allongé sur le dos, je serre Mattia comme une couverture sur moi. Je veux que son poids m’écrase et me mette dans un cocon. Regardant le plafond en respirant son parfum, je lui lance.
« J’ai perdu Alice. Depuis je lutte pour ne pas me foutre en l’air parce que je lui ai juré de vivre pour elle… Elle me manque. Comment je peux vivre sans elle ? » |
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| | Sujet: Re: Mise au point (Aaron) Ven 30 Juin - 22:15 | |
| Se mentir à soi-même c’est la pire des conneries que quelqu’un puisse se faire. Ça et se tirer une balle entre les deux yeux, mais au moins, quand tu es mort, tu n’as pas besoin de te mentir encore et encore. Je sais que mon petit Aaron souffre, ce n’est pas écrit dans son front, mais c’est tout comme. Il a beau faire le paon, ouvrir ces jolies plumes, mais chez moi ça ne passe pas. Je n’ai pas de sixième sens, je ne suis pas une héroïne de film possédant des pouvoirs extraordinaires, non je n’ai rien de tout cela et pourtant je sais. Il faut quelqu’un qui a vu et vécu la souffrance pour en reconnaitre un autre. Une souffrance, petite ou grande, reste une souffrance et je crois que je suis née avec la capacité de la voir, de la ressentir. Aaron souffre depuis trop longtemps, mais il n’a jamais été prêt à délaisser ce poids. Je me suis donc toujours abstenu de lui brasser la carcasse jusqu’à maintenant. J’ai bien fait parce que le fruit est bien mûr, je peux le voir par les larmes qui coulent sur ces joues. Prisonnière de ces bras, de son corps, je me sens bien. Si c’est-ce dont il a besoin pour vider le trop plein alors soit, je ne bougerai pas. Il peut me noyer de ces larmes je n’en ai rien à foutre et au pire si ma robe est foutue, je pourrai toujours revêtir l’un de ces t-shirts.
« Merci d’être venue… »
Tout le plaisir est pour moi !!
Il en aurait fait autant, alors n’en parlons plus. Non, parlons plutôt de tout ce charabia qu’il vient de me lancer à la figure.
Je ne sais pas si tu es prêt à entendre la vérité Aaron, mais je vais te la dire quand même parce que je t’aime et que je tiens à toi.
Coucher sur lui, je fais glisser mes jambes de chaque côté de son corps et me redresse difficilement sur mes coudes afin de permettre à nos regards de se croiser.
Pourquoi tu n’arrives pas à vivre ? Pourquoi tu n’arrives pas à vivre sans elle ? Pourquoi le monde est noir et merdique ? Pourquoi tu n’arrives pas à être heureux ? Pourquoi on doit crever de douleur en permanence ? Parce que tu n’as jamais aimé ton petit toi-même Aaron. Tu as mis ton bonheur entre les mains d’une femme qui n’est plus là et tu ne sais plus comment te sortir la tête hors de l’eau. Tu dois t’aimer toi en premier, toi et toi seul et seulement à ce moment-là tu pourras commencer à vivre sans elle. Je ne te dis pas de l’oublier, tu ne peux pas faire ça, mais si tu continues à te détester, ta promesse tu finiras par ne plus pouvoir la tenir.
Lentement, je m’allonge de nouveau sur lui, consciente qu’il pourrait me jeter en bas du lit dans un claquement de doigt. Mes mots vont-ils le mettre en colère ou le faire pleurer un peu plus encore, mais avant que l’orage n’éclate je reprends.
Je ne suis pas mieux que toi tu sais. J’ai mis tout mes espoirs en cette rencontre avec ma mère, l’espoir de voir de l’amour dans son regard, de la fierté, de l’admiration ou peu importe. Elle est restée de marbre… Ma propre mère, Aaron, ma propre mère, est restée de glace alors que je voulais juste être vu. J’ai compris cette journée-là que je ne perdais rien, mais que je gagnais une nouvelle liberté. Mes espoirs ne m’étouffent plus, ma douleur est partie. Pardonne-lui d’être partie Aaron, pardonne-lui de t’avoir laissé seul et mords dans la vie…
Je le serre contre moi, fort, tant pour moi que pour lui. Sa chaleur me fiat du bien. Je suis peut-être égoïste en ce moment de vouloir rechercher sa chaleur afin de me réconforter et alors ? Mon histoire est moins dramatique que la sienne, mais il peut tout de même en tirer une leçon de vie importante. Laquelle ? C’est à lui que revient le fardeau de comprendre, j’ai dit ce que j’avais à lui dire de façon cru, je ne suis pas certaine de pouvoir refaire la chose dans un avenir rapproché. |
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| | Sujet: Re: Mise au point (Aaron) Ven 14 Juil - 23:47 | |
| J’adore Mattia. Cette femme aurait eu mille occasion de me traiter de ce que je suis vraiment et de se tirer et de ne plus revenir me voir. Mais non. Elle m’a pris en affection. Elle me trouble et me fait peur. C’est comme si son regard pouvait en permanence traverser mon armure et voir immédiatement ce qui déconne chez moi. Elle parvient à sonder mon cœur et trouver en une fraction de seconde l’émotion que je tente de cacher avec mes attitudes. Je déteste ça autant que j’aime ça. Avec elle mon numéro ne tient pas longtemps. Rapidement, Mattia me perce au grand jour et me recentre sur ma véritable émotion. Je suis pris au piège, mais je crois que j’ai besoin de ce que me fais Mattia. J’ai besoin de me faire secouer et de faire sortir toute ma peine et ma rage. Ces numéros que je joue ce n’est pas moi et elle le sait. Je laisse tomber le masque et la remercie d’être là. Quand je bois ou me drogue ce n’est pas par plaisir, c’est parce que j’essaye de faire taire ce démon en moi qui s’amuser à me rappeler que je suis seul. Je lui balance alors des bribes maladroites de raisons qui font que je me comporte ainsi. Dans mon déballage, j’ai roulé et j’ai saisi Mattia contre moi, la faisant se coucher dans le lit avec moi. Je savoure la sensation de son corps sur le mien et la serre en regardant le plafond pour chasser la montée de larmes. Mais, elle se replace et prends et appuie sur ses coudes pour couper mon face à face avec le plafond et me regarder dans les yeux. Surpris, je me tais et la regarde en rougissant de ce contact forcé que je n’attendais pas. Puis, elle me dit que je ne suis pas prêt à entendre la vérité, mais qu’elle va me la dire parce qu’elle m’aime et qu’elle tient à moi. C’est quoi cette mode des déclarations d’amour en ce moment ? Toutes les jolies filles de la terre sont subitement toutes amoureuses de moi ? Bon okay elles sont deux… Et, pourquoi j’ironise mentalement ? Ah oui parce que je redoute ce qu’elle s’approche de sa déclaration. Elle y met les formes avant de me déclarer que je dois m’aimer moi-même en premier ?
Cette déclaration me scotche un peu. Évidemment que je m’aime. J’ai un regard doux, un visage d’ange, je suis hyper sexy et beau gosse. J’ai une énorme bite ! Et, ouais… l’emballage est sympa, mais le biscuit derrière son papier est mauvais et impropre à la consommation… Je détourne le regard, mais c’est elle qui revient s’allonger sur moi comme si elle me laissait l’espace nécessaire et l’intimité pour ressentir les choses. C’est dingue, mais elle a raison. Est-ce que je m’aime ? Non. Évidemment que non. Pourquoi Alice ? Parce que le seul amour qu’on ne m’a jamais donné, c'est elle qui me l’a donné. Ma mère peut être, mais je ne m’en souviens pas et à 4 ans mon père m’a laissé cette cicatrice dans le ventre avant de se défenestrer… Je n’ai jamais été aimé. J’ai eu Alice et sans elle… Je n’ai plus rien. Waow… ça ne résout rien sans doute, mais ça fout une claque et je suis plutôt détendu en fait. Mattia sur moi commence à me parler d’elle. Je n’ai pas bougé d’un poil et je serre son corps en l’écoutant, caressant sa nuque de ma main.
« Ta mère est une connasse. »
Ça claque tout seul, mais ouais si elle est capable de faire de la peine à Mattia c’est une connasse, j’en ai rien à péter. Je sens qu’elle me serre plus et je viens lui embrasser la joue doucement et longuement. Je ne sais pas si je pourrais faire ce qu’elle me dit de faire, mais je vais essayer. Elle a balayé un peu de cette poussière devant chez moi. J’ai envie de dire un truc mais je ne sais pas quoi. Je ne veux pas bouger de là, je suis bien.
« Merci Mattia… Je ne te promets rien, mais je vais… Essayer… »
Ce n'est pas évident pour moi de parler. Mattia c’est plus facile sans que je comprenne pourquoi ça l’est d’ailleurs… Mais c’est comme ça… Puis, pour casser le côté trop intense de tout ce qu’on vient de se dire je tente une diversion.
« T’étais pas censé venir toute nue ? »
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| | Sujet: Re: Mise au point (Aaron) Sam 5 Aoû - 20:02 | |
| Je sais comment reconnaitre quel homme joue un rôle et lequel sait être lui-même. Ce n’est pas un don que je possède, loin de là. Je dirais plutôt que j’ai croiser assez d’hommes dans ma vie, croiser et non baiser hum, pour être en mesure de déceler le vrai du faux. Aaron est vrai, unique, authentique… quand il laisse tomber ces faux semblants, ces costumes, ces barrières. Son corps et sa bouche disent un truc alors que son regard dit le contraire. Les regards ne mentent pas… jamais. Il n’a pas besoin de se faire faire la morale et il n’a pas besoin non plus de se faire traiter comme une base de porcelaine. Ce dont il a besoin c’est de quelqu’un qui soit apte à lui remettre les yeux en face des trous au moment opportun, comme maintenant. Ce que je n’avais pas prévu c’est de parler de moi. Je ne suis pas ici pur moi, mais pour lui et pourtant sa réaction me plais.
Oui en effet !!!
En effet ma mère est une connasse, mais une connasse qui m’a donné la vie.
« Je ne te promets rien, mais je vais… Essayer… »
Je pourrais youhouter de joie en entendant ce possible début de cesser le feu, mais je ne fais rien puisque cela pourrait jeter une ombre sur sa résolution. Le pire c’est que j’ai bien fait puisqu’il ouvre la bouche de nouveau et pourquoi ? Pour m’envoyer une autre connerie a la gueule bien sûr, quoi d’autre ?
« T’étais pas censé venir toute nue ? »
Ça t’arrive de ne pas être con ?
Sur ce, je me relève avec un peu de difficulté avant de descendre du lit. Fâchée ? Non, pas du tout, mais je ne suis pas obligé de le lui dire n’est-ce pas ? Je fais donc la moue un court instant avant de, oui oui, avant de soulever le bord de ma robe du bas vers le haut afin de la faire passer par-dessus ma tête. Une fois fait, je la lance au loin d’un coup de poignet. Il ne me reste plus qu’à enlever le reste avant de me placer debout devant le lit, debout devant lui.
Vas-y, rince-toi l’œil une bonne fois pour toutes que ça te sorte du petit pois qui te sert de cerveau. JE ne vais pas baiser avec toi pour autant hein, t’es pas mon type et t’es trop jeune. Puis t’as déjà vu une paire de seins avant alors ça va ? Je te plais comme ça ?
J’attends encore quelques secondes avant de revenir me faufiler sous les draps. Quoi ? Quand on doit retirer un pansement ça fait toujours moins mal de la faire en tirant d’un coup sec que de le faire petits peu par petit peu. Oui je sais, ce n’est pas terrible comme comparaison, mais peu importe. Il est mignon le petit con, mais lui, comme moi, pouvons faire avec la nudité sans se jeter sur l’autre comme un affamé devant un buffet. Enfin j’espère parce qu’il est un peu trop tard maintenant.
Si un de tes conquêtes entre et me voit je nie tout en bloc promis. Je suis passé maitresse dans le < ce n’est pas ce que tu crois >.
Je ne peux retenir un gloussement de franchir mes lèvres en disant cela parce que, franchement, la moitié des hommes que je fréquente, si ce n’est pas plus, sont des hommes mariés.
Finalement, une bière ce serait bien.
Quoi |
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| | Sujet: Re: Mise au point (Aaron) Mar 8 Aoû - 21:45 | |
| Bordel, j’adore cette nana. Elle est siphonnée mais elle est juste totalement capable de me calmer quand je pars en couille et de surtout parvenir à me canaliser. En général mon attitude de merde suffit à faire dégager les gens, mais pas elle. Elle voit directement en moi et elle me force à exprimer la vraie émotion que je ressens. C’est à la fois détestable et tellement agréable. C’est comme s’envoyer une dizaine de coups de marteau dans la jambe. Ça fait mal et on veut s’enfuir mais une fois que ça s’arrête ça fait beaucoup de bien… Bon okay ma comparaison n’est pas glorieuse ni très inspirée… Mais Mattia, elle arrive si facilement à déceler la bonne émotion qui se cache en moi alors que même moi je l’ignore et elle me met en face si facilement. Et même si ça fait mal, ça ramène de la logique dans mon cerveau… Elle ne résout rien, ne cherche rien à résoudre, elle me supporte, m’écoute, me parle, me fait fermer la gueule quand j’abuse… Ses mots font d’ailleurs mouche dans mon cerveau et j’écoute ses explications avant de leur donner du crédit, promettant que je vais essayer de suivre ses conseils… Comme ça devient un peu lourd comme ambiance je lui lance une vanne sur le fait qu’elle était censée venir toute nue. Ce à quoi elle me demande si ça m’arrive de ne pas être con.
« Négatif je le suis 365 jours par an… »
Elle se relève de sur moi et je roule des yeux parce qu’elle va râler mais au moins ça va changer d’ambiance non ? C’est alors qu’elle fait la moue et agrippe sa robe par le bas avant de la passer par-dessus sa tête. En sous-vêtement, elle se déshabille entièrement et se plante devant moi avant de me déclarer de me rincer l’œil une bonne fois pour toute avant de déclarer qu’elle ne va pas baiser avec moi pour autant parce que je ne suis pas son type et que je suis trop jeune… Non mais elle se fout de ma gueule ? J’ai 24 ans et elle 23 ! Elle provoque et moi je me retiens de lui répondre que si on ne baise pas elle peut toujours me sucer non ? Mais c’est débile parce qu’elle me fait sourire intérieurement. Je la regarde et la voilà qui revient s’allonger nue sur moi alors que je ferme mes bras sur elle. Sa chaleur et la douceur de sa peau sont une pure merveille. Je respire son parfum quand elle me déclare que si une de mes conquêtes entre, elle niera tout en bloc et se vante sur ses capacités. Je serre son corps nu contre le mien comme si elle était un doudou merveilleusement bienfaisant.
« C’est juste hyper agréable de te serrer contre moi et de sentir sa peau sur la mienne. Merci… »
Je veux bien rester contre elle sans la baiser ça ne me dérange pas. En fait on va devoir probablement automatiser le procéder, le câlin est terriblement agréable ainsi. Je la regarde quand elle me dit qu’une bière, ce serait bien. C’est vrai que ça peut le faire grave… Okay… J’ai compris le message. Je roule et la couche à plat dos sur le lit me retrouvant sur elle. Je la regarde et lève mon index.
« T’es ultra-canon alors surtout je ne veux aucun commentaire. »
Je me lève du lit évidemment je suis en train d’arborer une solide vivace érection. Je traverse le salon et vais vers le coin cuisine. Mon appartement est un grand studio avec juste une salle de bain. Je prends 2 bières et un reste de pastèque coupée de la veille en triangles. Ouais j’ai faim. Je ramène tout ça et le pose sur un coin du lit avant de venir sur elle poser mon corps sur le sien, mon sexe raide entre nous. Je me couche sur elle et referme mes bras le temps de ronronner une seconde avant de rouler pour la remettre sur moi pour qu’elle puisse s’envoyer sa bière.
« J’espère qu’elle sera assez fraiche, tu m’en fais couler une gorgée ou deux dans ma bouche directement de la tienne ou t’es du genre à craindre les microbes ? »
Je fais un peu le con mais je crois qu’elle ne réalise pas le bien qu’elle me fait. Je la regarde et retiens l’envie de caresser un de ses seins magnifique.
« Tu restes avec moi aujourd’hui ou t’es attendue ? » |
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| | Sujet: Re: Mise au point (Aaron) Mar 29 Aoû - 18:37 | |
| « Négatif je le suis 365 jours par an… »
Je marmonne juste assez longtemps pour le faire chier avant de finir par deux mots audibles, soit < par > et < an >. Je me moque, bien sûr, parce que je l’aime ce petit con, surtout quand il est vraiment petit con. Il m’en fait voir de toutes les couleurs, me garde alerte et me donne envie de rester mentalement stable. Je devrais plutôt dire qu’on se garde mentalement stable en duo. Qui se mettrait nue devant un copain pour lui remonter le moral à part moi, hum ?
Agréable ?
Je suis censée m’insulter de n’être qu’agréable ? Le pire c’est qu’il a raison, ce contact physique gratuit et sans arrière-pensée est agréable. Encore plus agréable avec une bière non ? Il va se lever et agir en gentlemen ? Oui ? Non ? Ahhh, merde, mais il fait quoi ? Il pourrait prévenir avant de me rouler dessus comme un bulldozer ?
« T’es ultra-canon alors surtout je ne veux aucun commentaire. »
Je ne suis pas certaine de le suivre là, j’ai le droit de lui demander de m’expliquer ? Ah non, il se lève déjà et… Je rigole avant même d’avoir tout capté et c’est tout en rigolant que je lui demande si je suis censé être flattée de provoquer cette réaction physique allant dans la normalité ou pas. Le pire est que, si j’étais branchée homme jeune et fringuant, je lui sauterais probablement dessus parce que, croyez-le ou non, c’est qu’il est bien membré le petit con. Je pourrais… on pourrait… juste une fois ? Ça vaudrait la peine d’envoyer valser une belle amitié pour du cul ? En même temps, il est payé pour faire du cul et moi aussi d’ailleurs, différemment bien sûr, mais le résultat est le même non ?
Non, mais… euh… tu fais… quoi ?
Impossible de dire tout cela bout à bout puisque je viens de me faire écraser sous un câlin, tourner comme une saucisse sur le gril avant de finir en dindon de la farce. Je sais que dans sa tentative de pique il parle de bière, mais est-il conscient que je vais lui retourner tout cela sur la gueule ? Probablement et pourtant, il devrait savoir que je ne suis pas le genre de femme sainte nitouche qui rougie devant le sourire d’un beau mâle. Bref… testons sa réaction…
Si tu veux que je la laisse couler dans ta bouche c’est toi qui devrais craindre les microbes et non le contraire. Puis… ce sera plutôt tiède comme température…
Je parle de quoi, là ? De mouille bien sûr, quoi d’autre ? Combien de temps ça va lui prendre avant de faire le lien hum ? Je me détache de sa chaleur, prends place assise et ouvre la bière dans le plus grand silence, retenant mon rire le plus longtemps possible.
Et je reste bien sûr, Hammish est en service, Volki je ne sais pas et les autres je n’ai pas envie.
Il n’y a pas des centaines d’hommes dans la catégorie < les autres, mais juste assez pour ne pas les nommer. Certains ne sont que des fuck friend alors que d’autres font parfois preuve de générosité à mon égard. Pour ce qui est de ma pique… J’ai quand même réussi à ne pas rire, il y a de quoi être fière, je pense. Boire quelques gorgées d’un seul coup, aide, je ne le cache pas. Ne pas le regarder aussi, bien sûr et j’ajouterais que les deux c’est encore mieux. Oui, je sais, je ne pourrai pas éviter son regard jusqu’à la fin des temps, je me tourne donc vers lui avec un sourire moquer sur les lèvres.
Attends !!
Je cale la bière et me rallonge sur lui comme si j’étais la couverture, puis reprends.
Tu as un tournage bientôt ? Je devrais peut-être tenter le coup, non ? Pas certaine que mes daddy aimeraient voir mon cul à l’écran
Je parle toute seule et tout le monde s’en fout. Il est douillet le petit con. |
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| | Sujet: Re: Mise au point (Aaron) Dim 3 Sep - 21:42 | |
| Je suis con en permanence c’est un fait indéniable… Et le pire c’est que je ne me soigne pas. Mais Mattia elle a juste ce talent pour voir en une fraction de seconde l’émotion qui prédomine chez moi et parfois elle le devine avant moi. C’est déroutant et à la fois plaisant de me faire percer à nu et de jouer sur la bonne gamme d’émotion. Alors qu’on se serre nus l’un contre l’autre et que je lui avoue que je recherche le côté agréable de la sentir contre moi sans vêtements elle demande une bière. Je roule sur elle pour prendre le dessus et m’excuse par avance pour ce qui va suivre car oui elle est beaucoup trop canon. Je me redresse et exhibe sous son nez un début d’érection assez solide qui dresse mon sexe imposant. Elle me demande ce que je fais alors que je crois que je viens de la prendre par surprise. Aller trésor, tu vas pas me dire que tu pensais que j’allais rester flasque quand une bombe de ton calibre se colle nue contre moi ? Je vais chercher sa bière marchant lentement pour qu’elle ait le temps de matter le matos et la marchandise. Je reviens et pose la bière sur la table de nuit. Je me couche sur elle mon sexe à plat entre nous et roule pour la remettre sur moi. Je prends sa bière et la lui donne avant de lui demander une gorgée ou deux avec une manière de faire un peu… Salace et teinte d’une touche de provocation.
Évidemment elle me remballe et s’échappe à moi me laissant une sensation de froid sur le corps avant de s’asseoir et d’ouvrir la bière. Je la regarde en restant allongé, mon sexe raide reposant sur mon ventre alors que j’aurais envie de me caresser juste à la regarder. Je lui demande alors si elle va rester avec moi aujourd’hui ou si elle est attendue ? Elle me valide qu’elle reste et je hoche la tête en souriant. Elle cale la bière et me dit d’attendre avant de revenir se glisser nue sur moi comme une couverture. Je frissonne quand la peau de son ventre caresse mon sexe qui va finir totalement raide. Je me noie dans ses yeux alors qu’elle pose le menton sur mon torse et me demande si j’ai un tournage bientôt. Elle me dit alors qu’elle devrait tenter le coup mais qu’elle n’est pas sûre que ses Daddy aimeraient voir son cul à l’écran.
« Tu dis de la merde, si tu deviens pornstar, ils vont être deux fois plus au taquet sur toi… ça va te coller une image de salope qui va les exciter comme des puceaux… »
Je souris avant de rajouter en venant glisser mes mains sur elle pour empoigner ses fesses fermement.
« … Et si tu te lance ? T’as une idée du partenaire de ta première scène ? »
Pourquoi je suis en train de contracter mon bassin pour pousser plus en avant mon bassin contre elle comme pour lui rappeler que je suis totalement raide ? Je tourne la tête et regarde mon téléphone posé dans un coin du lit. J’ai mon Only fans ou j’ai tendance à partager des trucs, faire des choses… C’est marrant de se branler et de se filmer et que les gens payent pour voir ça. C’est un peu comme le porno ça me fait lier le rentable au plaisir… Je souris en la regardant dans les yeux et tire ses fesses vers le haut comme si je cherchais à rapprocher doucement nos sexes l’un de l’autre.
« Si tu te lance, je veux bien t’initier… Tu sais j’ai un peu d’expérience… Puis je suis sur qu’on serait magnifique… »
Je prends mon téléphone en lâchant sa fesse et tends le bras vers lui. Je le bascule en mode photo et renverse-la caméra pour qu’on se voit. Je souris et lui dis avec un ton amusé.
« Dit Cheeeeeeeese »
Et Hop une photo de Mattia nue couchée sur moi. Et hop une deuxième. La 3eme avec un sourire amusé de moi et la 4eme ou le tire la langue et fait mine d’aller toucher ses lèvres avec… |
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| | Sujet: Re: Mise au point (Aaron) Dim 1 Oct - 2:13 | |
| Ce n’est pas moi qui dis de la merde, mais lui. Ils ne seront pas deux fois plus au taquet sur moi si je deviens une pornstar, non, mais sérieusement, tu les vois me présenter comme la fille qui suce des bites devant une caméra pour gagner sa vie ? Oui, je sais, je suce et je baise pour de l’argent en ce moment même, mais la seule différence étant la caméra. C’est une grosse différence, une différence qui me permet de marcher dans la rue incognito, une différence qui me donne le droit de jeter ceux qui ne me plaisent pas sans peur de représailles, une différence qui n’oblige pas les connaisseurs de ce monde à me traiter en victime en devenant elles-mêmes mes agresseurs. Puis tout le monde sait qu’un homme qui baise est un héros alors qu’une femme est une salope de première. Je ne suis qu’une salope que dans la chambre a couchée… la cuisine, le salon, la salle de bain et j’en passe. Je ne suis pas une pute 24 h sur 24 h, 7 jours sur 7 et je ne compte pas faire cela toute ma vie non plus.
Ça fait un bout de temps que je ne me suis pas fait de puceau cela dit. Si tu en connais je prends.
Comment ça je déforme ces propos ? Ce n’est pas interdit, il me semble non ?
Et non, aucune idée puisqu’il n’y aura pas de première scène.
« Si tu te lances, je veux bien t’initier…
Je sais où il essaie de mener la danse, je ne suis pas aussi conne que j’en ai l’air, mais je le laisse faire à sa guise quand même. Ces mains sur ma fesse, mon bassin qui s’approche dangereusement de sa queue dressée et sa main qui se tend vers son téléphone… Ma première pensée penche vers une bonne claque sur sa jolie gueule, mais quand il me dit < cheeeeese >, je ne peux pas m’empêcher de sourire comme une conne.
Aaron…
Je grogne entre les dents quand il en est à la troisième photo. Puis il m’en faut peu pour que je lui mordre la langue sur la quatrième. J’aimerais le mordre, le faire saigner comme un porc, lui arracher la langue pour le punir d’avoir des pensées impures envers moi. AU lieu de cela je l’embrasse, oui madame et monsieur, je l’embrasse et avec passion en plus, profitant du moment pour prendre une cinquième photo avant de reculer. Oui, non, c’est que son baiser est plus enivrant et électrique que prévu et à ce rythme-là, je vis finir par lui faire un bon rodéo.
Je veux voir cette photo sur ton only fan quand je vais me connecter demain.
Oui je suis l’une de ces abonnées et alors ?
Tu sais que tu n’es pas encore abonné à mon compte ?
Oui, mesdames et monsieur, mademoiselle Mattia a un compte depuis moins d’une semaine, on l’applaudit bien fort.
On peut relier deux comptes tu crois ? Partager des photos ?
Dans les faits, le seul compte auquel je suis abonnée c’est le sien et je n’y comprends pas grand-chose. Mon truc à moi c’est l’art, la restauration d’œuvre d’art pour être plus précise, pas le nu ou les différents médias sociaux.
Tu ne peux pas aller prendre une douche froide ? Je dis ça parce que, si ça se trouve, je me dis que tu pourrais être mon tout premier partenaire. Ça me changerait de baiser un étalon fringant et à peine sevré.
Au lieu d’éclater de rire comme je le fais habituellement quand des piques de ce genre quittent ma bouche, cette fois j’ai réussi à rester de marbre. De plus, il sait que je préfère les vieux et que je ne baise pas les copains, mais je ne suis pas fait de marbre non plus hein et là, tout de suite, des images impures commencent à se bousculer dans mes pensées. Baiser avec Aaron pourrait ruiner notre amitié. Ni lui ni moi n’avons ou n’aurons de sentiments amoureux envers l’autre, impossible, mais quand on crache en l’air parfois ça nous retombe dessus. Je n’ai pas toujours eu un karma favorable si vous voyez ce que je veux dire.
Fuck… maintenant j’ai envie de passer voir Hammish ou Volky ? |
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| | Sujet: Re: Mise au point (Aaron) Ven 6 Oct - 23:32 | |
| J’adore cette nénette pour plein de raisons que j’arrête pas d’énumérer, mais y’a un côté libre et détaché. C’est relaxant quand elle est là. La preuve. La nana me gronde en se lovant à poil contre moi dans mon lit alors que je comporte comme le dernier des trous du cul, on parle librement et ou pas besoin de m’en cacher, cette femme est belle et attirante et si elle veut se lancer dans le porno je lève le bras très haut en hurlant « PREUMS !!! » Bon évidemment qu’elle ne va pas faire ça, elle est bien trop intelligente pour se foutre en l’air comme ça. Je sais que j’ai un grain et que c’est pour ça que j’ai pris cette direction. De toutes manières, je cherche inconsciemment ou de manière indirecte à crever très jeune. Mais sans doute que je cherche à ce qu’elle me tue de ses mains parce que j’agrippe le téléphone et commence à nous prendre en photo nue l’un sur l’autre. Je fais le con et j’en prends 4 en tout. Mais soudain, elle m’embrasse sur la bouche et je réponds à son baiser tellement surpris que j’oublie de prendre la photo et que j’en échappe le téléphone sur le lit. Elle s’arrête et me menace de ne pas voir cette photo sur mon Onlyfans demain en se connectant… Je savais qu’elle était fan… Puis, elle me dit qu’elle n’a pas encore d’abonnés à son compte, je souris et la trouve avant de m’abonner.
« T’en a un maintenant… Par contre, montre tes seins, ça va rendre dingue… »
Je souris et hoche la tête quand elle me parle de mêler nos comptes. Je la regarde et soupire quand elle me propose d’être son premier partenaire. Sans que je comprenne, elle préfère les vieux et m’a déjà expliqué qu’on ne baiserait pas. C’est con, on est déjà à poil couché l’un sur l’autre. Elle éclate de rire et elle m’avoue à demi mot qu’elle a envie de ses amants régulier. Je prends mon tel et lui donne une photo de Joe Biden.
« Met toi à 4 pattes et regarde-le pendant que je te défonce, ça pourrait faire illusion… »
Sourire de branleur à la clef, je lui interdis toute réponse en lui volant un baiser. Je frotte sous elle pour faire glisser mon sexe raide contre sa peau. C’est foutrement enivrant et j’ai de moins en moins envie d’être sage. Je souris amusé par ma connerie avant de lui dire.
« Non la douche froide ne va pas me calmer, par contre, tu peux me tendre ton cul et tes seins et me laisser me soulager histoire d’être plus détendu ? Sinon, je mets une fausse moustache et je parle comme un vieux ? »
Il ne faut surtout pas me tendre ce genre de perche, je suis un incorrigible débilus qui va s’engouffrer dans la moindre brèche. Je suis le débile capable de détricoter tout un pull-Over simplement parce qu’il joue à tirer sur le petit fil qui dépasse…
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| | Sujet: Re: Mise au point (Aaron) Lun 9 Oct - 17:34 | |
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« T’en a un maintenant… »
Montrer mes seins hum ? Pourquoi pas, je n’ai pas honte de mon corps, au contraire. Puis je ne suis pas pudique non plus. Oui, OK, je vais faire cela et voir si ça m’apporte quelques abonnés de plus ou pas. Si certaines femmes gagnent leur vie à montrer un peu de peau, je peux bien faire la même chose pour arrondir les fins de mois. Je ne suis pas à plaindre, j’ai des daddy qui prennent soin de moi, mais un jour ils trouveront plus jeune et plus fringante, je dois prévoir le coup. Une idée qui est mise au rencard quand il me montre une photo de Biden, image qui me fait éclater d’un rire franc et sincère.
T’es con putain !! J’ai réussi à dire ces trois mots entre deux respirations sifflantes et quelques rires. Vraiment très con !
Je peine à calmer mon rire, non, mais il en a du culot ce con quand même. Sans dire qu’il ajoute que je n’y verrai que du feu s’il me baisait alors que je le regarde. Il a même eu le temps de frotter son membre contre moi avant que je n’éclate de rire, merci à mon temps de réaction. Je crois que c’est la douche froide et la fausse moustache qui ont finalement eu raison de ma retenue. Je ne sais pas s’il a parlé après cela parce que j’étais trop occupé à rire et c’est finalement coucher sur le dos, par terre, que je réussis à reprendre contenance. Je souris encore, certes, mais lentement mon cœur se calme et mon cerveau redémarre.
Aaron passe ta tête sur le bord du lit et regarde-moi tu veux bien ?
Une fois son visage bien à la vue je poursuis.
Je n’ai pas besoin de fixer la tête de Biden pour te laisser me baiser !!!
Toujours en le fixant du regard je me tourne sur le ventre et soulève mon cul vers son visage pour qu’il puisse le regarder d’un peu plus près.
Si tu attends trop longtemps pour me faire crier sous tes assauts je risque de changer d’idées tu sais… Puis si cette baise détruit notre amitié, je te jure que tu vas le regretter.
Je me penche un peu plus, courbe le dos et ouvre les jambes pour un meilleur appui. S’il change d’idées, sérieux, c’est lui le pire, pas moi.
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| | Sujet: Re: Mise au point (Aaron) Dim 15 Oct - 21:31 | |
| J’aime bien la taquiner, elle n’est pas du genre à tout prendre mal ou à exiger que je sois comme ci ou comme ça. Elle me prend comme je suis et quand je déborde elle me recadre et c’est tout ce qu’il me faut, je crois. Avec elle c’est simple et facile. On rit, on pleure, on s’engueule, on parle… On est même à poil l’un sur l’autre à papoter en savourant la peau de l’autre contre la sienne. Mattia, elle est géniale. C’est une chouette fille qui un jour a déboulé dans ma vie. J’étais en mode connerie et elle m’a suivi et depuis on ne se quitte plus. Je crois que je vais directement vers elle quand ça ne va pas. Je ne contrôle pas, c'est instinctif et normal pour moi de faire ça. Alors comme on déconne et qu’elle aime les vieux, je tente le coup avec une photo de Joe Biden en espérant qu’elle s’excite dessus et me laisse la prendre pendant qu’elle regardera les photos de lui. Évidemment, elle éclate de rire et me dit que je suis con en se bidonnant de rire. C’est ce que j’aime avec elle. C’est drôle et léger. Ça fait oublier que j’ai la tête et le cœur à l’envers. J’en rajoute une couche quand elle me parle de douche froide et lui fais une contre-proposition à base de moustache et de voix de vieux. Complètement ivre de plaisir, riant comme une folle, elle tombe du lit qui est pratiquement à raz de terre et me demande de regarder. Je me glisse sur le lit et la regarde alors qu’elle me balance qu’elle n’a pas besoin de fixer la tête de Biden pour me laisser la baiser.
Je lui lance un sourire charmeur alors qu’elle se tourne sur le ventre et me tends son cul dans une posture outrageusement perverse. Elle me dit que si j’attends trop longtemps pour la faire crier, elle va changer d’avis. Je me glisse en avant sur le lit, approchant mon visage de ses fesses alors que je suis encore allongé à plat ventre sur le lit. Je souris à sa dernière phrase et doucement lui répond après avoir posé un baiser sur sa fesse.
« Gâcher une amitié avec du sex c’est comme vouloir gâcher une glace avec des pépites de chocolat… Le sex rend tout meilleur »
Avant qu’elle ne réponde, ma langue passe langoureusement sur son anus. Directement entre ses fesses. Je souris tout content de ma surprise et m’attaque alors sans détours à son anus avec ma langue pendant que me redressant un peu, je libère un bras et viens la doigter langoureusement, poussant ma langue dans ses fesses. Je joue avec elle avant de la pousser en avant et de venir me glisser contre son dos doigtant son sexe vivement en venant mordiller et embrasser son épaule.
« Tu veux qu’on s’embrasse avant que je te l’enfile ou t’es pas du genre à aimer un peu de romantisme avant de faire défoncer ? »
Pourquoi je suis toujours obligé de jouer au con ? C’est maladif chez moi. En plus j’aurais dû embarquer une capote au lieu de faire le malin… Je glisse mon sexe entre ses fesses en guise de provocation alors que je continue de la doigter en me tenant dans une posture étrange sur elle pour faire tout ça en même temps. |
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| | Sujet: Re: Mise au point (Aaron) Mer 1 Nov - 0:50 | |
| Aaron est le seul homme que je laisse me voir nue sans qu’aucune arrière-pensée ne vienne miner l’atmosphère. La majorité des hommes que je fréquente me veulent nue à un moment ou un autre parce qu’ils savent qu’ils me payent pour ça. Ils en veulent pour leur fric, je les comprends, mais c’est bien de ne pas se sentir comme un objet de temps en temps. Puis, la nudité c’est bien non ? Nous nous ressemblons tous nus, tout en étant totalement différents. De toute manière, il a l’habitude d’être nu aussi alors si tout le monde s’en fou on a fera pas tout un plat.
En revanche, si on m’avait dit qu’un jour je lui présenterais ma croupe avant de lui demander de me baiser, alors là je ne vous aurais pas cru. Je baise pour l’argent, je baise, peu importe qui. IL baise pour le fric aussi. Il baise pour un public. On baise, lui comme moi, pour le seul plaisir de baiser et pour le fric. Oui, je sais, dis comme ça c’est franchement inquiétant, mais cela signifie juste qu’il est possible de s’envoyer en l’air sans s’attendre à ce que l’autre nous aime d’amour au petit matin. Lui comme moi sommes en mesure de partager un bon moment sans foutre en l’air qui que ces soit et ma petite menace n’est qu’une menace en l’air et rien de plus. Le con il fait quoi ? Il parle de glace et de pépites de chocolat…
Je suis la glace ou les pépites ?
Question idiote et alors ? Il faut croire qu’une question aussi absurde en attire d’autres parce que la sienne est vraiment sortie de nulle part. Il vient de me demander s’il doit m’embrasser pour mettre un peu de romantisme ou s’il peut me l’enfiler sans cérémonie. Genre quoi ? Pendant que je suis bouche bée, il se place derrière moi, me doigte et tente de faire je ne sais quoi. Naturellement, au lieu de laisser passer sa connerie, je finis encore une fois par éclater de rire.
Finalement je vais prendre Biden !
Encore une fois je m’aplatis au sol et je réussis même à me retourner malgré mon rire afin de lui faire face. La dernière soirée où les fous rires se sont enchainés remonte à loin et si ma mémoire est bonne, je crois que c’était encore une fois avec Aaron. Il a ce don de me faire sortir de ma zone de confort, de me faire vivre autre chose que le quotidien parfois ennuyeux et fade. Il est mon ange.
Aide-moi à me lever et trouve-moi de la glace, tu m’as donné faim.
S’il n’en a pas, je lui demande d’aller en chercher ou je laisse tomber ? Ce serait marrant de le regarder s’habiller pour sortir non ?
Oh et envoie-moi Biden pour plus tard.
Je souris, ce qui est mieux que de tomber du lit non ? Puis, ce n’est pas une certitude, mais le jour où on baisera ne semble pas encore arriver. Je devrais peut-être accepter son offre de partager la vedette de l’un de ces films, qui sait, ça pourrait être marrant. Je me demande s’il me faudra jouer la comédie ou pas? Non pas que je ne le crois pas capable de me faire jouir, mais très peu d’hommes peuvent se vanter de m’avoir fait jouir. Je suis payé pour servir de vides couilles, ne l’oublier pas. Bref, il est temps de bouffer et de me recoucher sur le lit.
Avec des pépites !
Bah quoi, c’est de sa faute si j’ai envie de tout ça, la prochaine il n’aura qu’à se taire. |
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| | Sujet: Re: Mise au point (Aaron) Mer 29 Nov - 23:00 | |
| Putain moi et ma grande gueule. Je suis déjà en train de venir planter ma queue en elle que Mattia me pose une question qui me fige et j’oublie de pénétrer son corps avec le mien. Je réfléchis à la question. Non, c'est idiot, la glace est notre relation et les pépites de chocolat, c'est le sex et l’idée est de dire qu’il est impossible de vouloir gâcher une glace en lui ajoutant des pépites de chocolat. Je vais répondre un peu surpris qu’elle n’ai pas compris. En général, c'est elle la fille intelligente. Moi, je suis là gueule d’ange insupportable qui adore montrer sa grosse queue aux jolies filles avant de les enfiler dessus… Mais voilà que Mattia est hilare et déclare prendre Biden avant de se tourner vers moi en riant. Nue, offerte, cuisses ouvertes, je me tiens près d’elle, la queue à la main raide comme un âne et voilà qu’elle me rembarre… sérieusement ? On est à genre 4cm d’une pénétration et elle veut bouffer une glace ?
« De la glace ? Putain Ma’ bordel, t’as vu ma bite ? Tu pourrais faire des tractions dessus et tu veux que sorte dans cet état acheter de la glace ? Même pas un coup de langue, ou juste tes doigts dessus, rien… »
Je grogne, mais c’est pour la forme en fait ça me fait rire. Elle parle de Bidden et je crois que je vais investir dans un masque en latex. Au pire, je peux trouver celui de Berni Sanders ou d’un vioc… je regarde autour de moi et lui lance alors.
« Si je me fous la bite dans le congélateur et que je la trempe dans un truc sucré, ça compte comme une glace ? »
Quoi ? Je suis capable. Elle me met le feu je suis à deux dois de me la faire et madame préfére bouffer. Bordel, on devait se sauter dessus et voilà qu’elle veut bouffer et me laisse avec une érection si sauvage qu’un courant d’air pourrait me faire venir en soufflant sur mon sexe… partagé entre l’envie de la foutre dehors, celle de lui mettre des coups avec ma bite sur le visage où aller chercher la glace, je suis un peu perdu.
« Putain t’es chiante merde, j’étais bien chaud pour baiser ! »
Je me lève du lit et je vais vers mon congélateur. Je trouve un reste de glace aux noix de macadamia. Je prends le pot et le pose sur la table de manière véhémente avant de l’ouvrir. Je prends un sirop de chocolat que je coule dessus et écrase une tablette de chocolat au riz soufflé et le disperse en pluie sur la glace. Je fous une cuillère dedans et le lui rapporte avant d’embarquer sur le lit à plat ventre.
« Bon App et étouffe-toi avec… »
J’éclate de rire et roule sur le dos pour regarder le plafond. Putain, elle est nue, moi aussi et j’ai une érection de tous les diables !!! La laissant manger, je me mets doucement à me caresser le sexe des doigts pour calmer le feu qui s’en est emparé sans regarder Mattia qui mange ou pas sa foutue glace de merde. Puis soudain je lui demande.
« C’est quoi ton délire avec les vieux ? T’aime quand ça bande mou ? » |
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| | Sujet: Re: Mise au point (Aaron) Ven 29 Déc - 22:18 | |
| Sa gueule de petit con qui vient de se faire envoyer la plus belle baffe mentale de l’histoire de l’humanité me plait. Je n’ai pas pour habitude de garder ma langue dans ma poche et il vient de recevoir ça en pleine figure. Je me fous de sa gueule en rigolant et en tournant le fer dans la plaie et tout cela gratuitement. Rire et regarder son air frustré se transformer peu à peu en air rieur, voilà pourquoi j’aime cet homme d’amour. Enfin pas d’amour amour, mais juste d’amour. Je me comprends.
« Même pas un coup de langue, ou juste tes doigts dessus, rien… »
Je dois préciser que je rigole encore comme une dingue ? Un rire qui ne meurt pas avec la question suivante. J’ai l’impression qu’il veut me faire mourir de rire, non, mais, c’est quoi l’idée de m’offrir sa bite enrobée de substance sucrée hum ? Le pire c’est qu’il finit par se lever et par aller me préparer le festin le plus divin jamais mangé en sa compagnie. J’ai profité de son absence pour m’installer de nouveau sur le lit, c’est quand même plus confortable que le sol. Pour manger une glace, non ?
Je suis payée pour être chiante, mais pour toi je le fais gratos !!!
Dernière pique quand il revient avec le butin. Glace aux noix de macadam, un sirop de chocolat et une tablette de chocolat écrasée… Tout en l’observant du coin de l’œil je prends quelques bouchées, déguste et me retiens de gémir pour ne pas remettre de l’huile sur le feu. J’aurais peut-être dû le faire ou j’aurais peut-être dû quitter avant que cette petite visite ne glisse trop loin parce que la question qui vient de tomber, bien que légitime, est difficile à répondre. Je me doute bien qu’Aaron sera le dernier à me juger et qu’il ne devrait pas m’envoyer la première pierre, mais je n’ai jamais parlé de cela à personne et c’est un peu gênant.
Pour plusieurs raisons en fait Aaron… La première c’est que dans les faits, les hommes plus âgés savent comment se servir de leur queue, ils n’ont rien à prouver et ils ont depuis longtemps oublié d’être égocentriques dans ce domaine. Puis…
Je prends deux autres bouchées avant de venir le chevaucher à la hauteur des genoux. Je pose mon bol sur son b=ventre et me penche au-dessus de lui avant de poursuivre.
Je le fais aussi pour l’argent… rare le nombre de jeunes qui peuvent s’offrir mes services. Puis…
Je laisse tomber de la glace sur ces couilles, puis sur sa bite…
De cette façon je ne suis pas celle qui le trompe et que l’on jette pour une plus jeune.
Je prends une bouchée de glace dans ma bouche, mais au lieu de l’avaler je descends le long de ces jambes afin de faire glisser la glace le long de sa queue, lentement, nettoyant tout avec ma langue par la suite. Je dois prendre quelques secondes pour mastiquer les morceaux de noix et de chocolat, bien sûr, mais il peut patienter un peu non ? Surtout que la suite est prometteuse… quoi ? Je descends un peu plus encore pour prendre ces boules dans ma bouche pour les suçoter. Elles sont collantes et froides, non, elles étaient collantes et froides et maintenant elles sont humides et chaudes.
Il manque de chocolat.
Connerie, je sais, mais cela ne m’empêche pas de glisser son membre durci entre mes lèvres ni a mes mains d’inculquer un va et viens identique a ma bouche sur le reste de son anatomie que je ne prends pas en bouche encore.
Les vieux m’offrent des bijoux et les jeunes… de la glace…
J’ai envie de rigoler, encore, parce que je viens de lui envoyer un coup bas, légal et savoureux. Au lieu de cela je pousse sa queue plus loin dans ma bouche. Se sera ma façon à moi de me faire pardonner… disons… |
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| | Sujet: Re: Mise au point (Aaron) Dim 14 Jan - 20:36 | |
| J’adore cette nénette. Elle est siphonnée et elle n’hésite pas à me remballer en cas de besoin. Elle est capable de lire mon émotion et je crois qu’elle apprécie de faire des conneries avec moi. Ouais, on n'a pas encore baisé et vu son comportement c’est pas parti pour mais au moins on rigole et on ne se fait pas chier. Elle est aussi changeante que moi et j’avoue que ça j’adore. Alors qu’elle me laisse en plan avec ma queue raide et mon désir ardent je la rabroue pour l’abandon abominable qu’elle me fait subir. Laisser un mec avec une érection pareil c’est criminel ! Si je m’écoutais et si je n’étais pas aussi loin de la jouissance je crois que je me finirai à la main. Là je roule des yeux à sa remarque sur son attitude de chiante qu’elle me fait subir gratos et je me lève pour aller lui chercher sa putain de glace… En fait c’est plutôt cool moi aussi j’en veux… Mais elle aurait juste pu me baiser avant ou juste me sucer ou juste un bon coup de poignet bordel. Je fais une remarque sur ce qu’elle peut définir comme une glace cherchant un moyen détourner de lui faire sucer mon sexe mais elle ne répond pas et je trouve un reste de glace qui va bien. Je reviens avec en lui demandant pourquoi elle aime baiser des vieux. On s’entend qu’elle ne fait pas le tour des maisons de retraite, mais elle prend des mecs d’une quarantaine d’années ou un peu plus. Elle m’explique en profitant au passage de son explication pour me mettre un tacle bien senti… Je m’installe en tailleurs sur le lit ma queue toujours raide. Décidément je ne suis pas prêt de débander, en plus elle est nue et particulièrement calienté.
Mais soudain elle approche de moi et je déplie mes jambes alors qu’elle se retrouve au-dessus de moi et je pousse un cri quand la glace tombe sur mes couilles et sur ma bite. Elle continue de parler comme si de rien n’était et m’explique que les vieux ont du fric et qu’en baisant des vieux elle n’est pas la nana qu’on trompe pour une plus jeune. Tout en parlant elle prend de la glace et glisse sur moi la répandant de sa bouche sur mon sexe avant de revenir nettoyer le tout de sa langue. Oh putain. Mes doigts s’agrippent aux draps et je serre de toutes mes forces. Sa langue qui glisse sur ma queue et contraste avec le froid de la glace… Elle aspire alors mes couilles et les sucent avant de dit qu’il manque du chocolat. Je souris avant de commencer à me sucer sans retenue, mettant une expertise folle dans sa manière de faire. Je soupire et suffoque de plaisir alors qu’elle continue de me raconter que les vieux lui offrent des bijoux et les jeunes… De la glace. Je vais rire mais elle s’inflige une gorge profonde exquise qui me raidit de délice. Je tremble alors que je me noie dans ses yeux et tremblant de désir je saisis sa tête à deux mains et la force à se laisser baiser la gorge pendant quelques secondes avant que je la repousse en souriant.
« Ouais on fait avec ce qu’on a en fait… En général je ne sais pas quoi foutre de mon fric. »
Je prends une bouchée de glace et viens l’embrasser tendrement laissant la glace fondre entre nos langues et couler de sa bouche sur sa poitrine. Je tire ses cheveux et la force à se cambrer et je plonge sur elle léchant sa peau pour nettoyer la glace quand mes doigts libres se glissent entre ses cuisses pour la faire monter en pression pendant que j’aspire et suce son téton.
« Mais je crois que je vais acheter des centaines de glaces… »
Je la pousse et l’allonge dans le lit venant embrasser son ventre faisant coulisser délicatement mes doigts en elle travaillant mon approche en dégustant sa peau pour finalement embrasser son clitoris avant de donner un coup de langue dessus en lui jetant un regard brulant.
« … Je crois que c’est mon parfum préféré qui se trouve entre tes cuisses… »
Je retire un peu mes doigts et les écartent pour ouvrir son intimité et y plonger goulûment ma langue avec plaisir léchant son sexe et dégustant sa saveur intime avec un plaisir non dissimulé. |
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| | Sujet: Re: Mise au point (Aaron) Dim 25 Fév - 19:28 | |
| Il ne devrait pas me regarder comme ça. Toute cette folie passionnelle frôlant la comédie me donne la chair de poule. Oui je veux bien croire qu’il me trouve belle, mais il m’a déjà vue nue non ? Je vais mettre ça sur le dos de sa queue bien droite, de ces hormones qui sautillent et qui menacent de lui sortir par les oreilles. Est-ce que cet état d’euphorie va changer quoi que ce soit entre nous ? Je ne crois pas non, je devrais plutôt dire j’espère que non parce qu’il serait dommage de perdre un copain de ce genre. D’un autre côté on est tous les deux majeurs et vaccinés non ? Lui il tourne des films pornos et moi je baise pour du fric, alors côté sainte nitouche on repassera. Une chose est certaine, lui et moi on ne fait rien qui ne soit pas anormal. Je l’ai taquiné, laissez en plan et là je le suce…. La normalité quoi. Le problème vient après, soit au moment où il me repousse. Genre hein ? S’il me dit que je ne sais pas faire, je le bute le con.
« En général je ne sais pas quoi foutre de mon fric. »
Je pouffe, mais ce qu’il peut être con. Un con pour qui je donnerais tout et il le sait. Je joue souvent les dures avec lui, les pétasses, mais il sait que mon cœur est grand et qu’il compte pour moi. Même s’il peut me fait passer par différentes émotions contradictoires en cinq minutes, je l’aime ce con. Je l’aime et je savoure son tendre baiser avec plaisir. Je le laisse me manipuler à sa guise, me cambrant davantage pour lui permettre de me torturer avec ces lèvres.
Tu parles trop…
Quoi ? Je ne veux pas savoir combien il va acheter de glace, non, moi je veux qu’il me dévore comme si j’étais la dernière bouchée de son bol.
J’aimerais fondre aussi Aaron !
Là c’est moi qui parle trop, mais on ne peut pas m’en vouloir. Aaron vient de me pousser afin que je m’allonge sur le lit, ces doigts glissent sur ma peau avant de me soutirer un grognement de plaisir lorsque ces lèvres se posent sur le point le plus érotique de mon anatomie.
Charmeur va !!!
J’ouvre les jambes le plus grand possible afin de lui laisser tout le loisir de faire ce qu’il a envie de faire avec moi.
Tu as tout le loisir de me prouver que j’ai tord…
Mes mains se posent sur sa tête et sans vouloir le guider, mes doigts s’agrippent à ces cheveux. Je tire, relâche, tire et relâche selon les coups de langue et les frisons qui s’emparent de mon corps. Il est doué, je ne peux pas dire le contraire. Chaque coup de langue me fait monter vers un orgasme qui s’annonce fulgurant. Est-ce le petit côté interdit, la nouveauté de l’acte qui fait monter mon plaisir ou le simple fait de ne rien avoir à offrir en retour ? En revanche, s’il me fait le coup de la crème glacée, je le bute et je me tire avant de faire silence radio jusqu’à ce qu’il rampe à mes pieds. Il n’osera pas n’est-ce pas ? Oui je lui ai fait le coup, mais… une invitation a plus ?
Si tu me retournes comme une crêpe pour me baiser, je te laisse me défoncer à ta guise.
Je n’ai pas joui grâce à sa langue, mais peu importe, je me doute bien qu’il ne me laissera pas en plan à la fin, pas son genre. Pour l’avoi vu à l’œuvre dans l’un de ces films, il a assez de résistance pour me baiser quatre fois, minimum, donc ça va. Je me doute bien que les scènes ne s’enchainent pas les unes au autres sans arrêt, mais j’ai tout de même une bonne idée de ce qui m’attends.
|
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| | Sujet: Re: Mise au point (Aaron) Dim 25 Fév - 21:57 | |
| J’ai beau jouer le détachement et le petit con, je vais être très honnête, j’adore Mattia. Et pas seulement pour ce que nous partageons tous les deux comme relation, mais aussi parce que je la trouve magnifique et que si on est tous les deux très adeptes du nudisme et de nous balader à poil, j’avoue que glisser mes yeux sur elle c’est me délecter de ce que monde a de plus beau. Après, je sais que je ne suis pas dans le « calibre » de ses clients. Elle les aime plus riches et plus vieux. C’est plutôt cool pour les vieux moches qui bandent à peine, les solides étalons sexy en pleine possession de leurs moyens c’est pas son truc… Mais ça reste léger et même me prendre une veste quand elle me chauffe et que j’ai moyen de me la faire ça me fait rire. Je crois qu’elle me frustrer sans que je le prenne mal même si je joue les offusqués. Je lui donne sa glace en balançant de la punchline de merde parce que j’ai l’habitude de ça. Je crois que si j’avais été moins enclin à baiser mes partenaires et que j’avais du muscle j’aurais pu être un acteur de film d’action des années 80, je suis juste né trop tard. Ce qui est encore plus con parce que si j’avais été un acteur célèbre des années 80 j’aurais le fric pour qu’elle me suce et elle le ferait volontiers en plus… Mais le jeu s’envenime de nouveau alors qu’elle me suce avec la glace et que je la repousse pour l’attaquer de ma bouche. Cette fois j’ai une ouverture et je lui avoue que le parfum de glace que je préfère c’est celui entre ses cuisses.
Elle me traite de charmeur mais quand vous savez que Gwyneth Paltrow a fait des bougies au parfum de sa chatte je me dis qu’il n’est pas impossible qu’Angelina Jolie fasse une glace au parfum de son cul… Est-ce que je devrais proposer à Mattia de me laisser lui caresser la chatte avec un glaçon ? Non. Parce que maintenant que j’ai le visage entre ses cuisses et qu’elle parle encore pour dire je ne sais pas quoi, j’enroule mes bras autour de ses cuisses pour lui interdire de fermer ses jambes et pour la lécher autant que je le veux. Je sens ses doigts dans mes cheveux et elle me pousse et me repousse en gémissant et joue avec moi alors que je sens que je suis clairement en train de le faire monter dans les tours. Elle m’offre son sexe que je lèche sans relâche. Ma langue se glisse dans son sexe et la caresse. C’est là qu’elle me dire que si je la retourne comme une crêpe pour la baiser elle se laissera défoncer à ma guise… Je la fixe, fais mine d’hésiter et donne un lent coup de langue pour forcer ses lèvres intimes et finir par un coup sur son clitoris avant de lui dire.
« Non… Pas envie… »
Je plonge sur son sexe sans attendre la léchant pour l’achever. Je veux clairement la faire jouir de ma langue et boire son plaisir pour savoir le gout qu’elle peut avoir quand elle perd totalement les pédales. Je fourre ma langue en elle et l’agite pour caresser les parois de son vagin avant de sortir et d’envelopper son bouton de plaisir de sa mouille et de ma salive avec ma langue avant de le sucer longuement et de continuer de l’accabler encore et encore. Je la regarde dans les yeux au moment où l’orgasme la transperce… Je continue de la lécher avidement avant de remonter sur elle léchant son ventre pour venir lui rouler une pelle qui me permet de me placer entre ses cuisses ouvertes et de frotter mon gland nu contre son sexe trempé et brulant qui palpite encore de son orgasme.
« On va faire ça les yeux dans les yeux et… Si tu t’avises de m’échapper avant que je jouisse, je ne te parle plus jamais Mattia Mancini… »
Elle ouvre la bouche ou pas, mais mon sexe passe ses lèvres intimes. Il s’enfonce et l’extrémité pénètre en elle. C’est tellement évident vu son état de désir. Je continue de la fixer et pousse. Lentement mon sexe entre en elle mais à un tiers de la pénétration, je donne un coup de bassin puissant et plonge en entier en elle avant de la marteler de coups de bassin puissants et vigoureux en la regardant dans les yeux pendant que je la baise sans relâche…
« Regarde-moi… »
Je soupire en posant mon front sur le sien. Je veux qu’elle voie la différence avec ses vieux. Qu’elle voit que je suis celui qui lui donne du plaisir et aussi parce que j’adore trop cette femme pour qu’elle se dise que c’est un autre que moi qui la baise et lui donne du plaisir… |
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| | Sujet: Re: Mise au point (Aaron) Dim 31 Mar - 23:55 | |
| Plus jamais ? Menace envoyée en l’air, comme d’habitude, mais cette fois cette menace ne me fait pas rigoler. Je ne vais pas jouer avec le feu, le risque est trop grand. Enfin je ne sais pas, je ne sais plus. S’il continue à pousser son membre en moi à cette vitesse, je crois que c’est moi qui vais le renier. Il va me soutirer un grognement…
Mhmmm !
J’ai fermé les yeux un court instant quand, enfin, il m’a offert le coup de grâce. C’est bon, divin, il me remplit comme peu d’hommes l’ont fait avant lui. Surprenant, non ? Est-ce dû à la vigueur de sa jeunesse ? Je ne crois pas non puisqu’il est bien membré point, mais putain que c’est bon et mon soupire pratiquement miauler en est la preuve.
« Regarde-moi… »
Ce moment, résultat d’un désir, soubresaut d’une longue série de décision plus folle les unes que les autres, est une symphonie reliant deux corps et deux âmes complémentaires. Si on m’avait dit qu’un jour j’allais partager mon intimité avec Aaron, je vous aurais dit de prendre rendez-vous avec un psychiatre et pourtant me voilà. Le regarder ? Je ne comptais pas fermer les yeux mêmes si, avouons-le, cela me permettrait de savourer plus que ce qui est permis. Alors non, non, je ne vais pas fermer les yeux. Je veux le voir s’emballer quand l’orgasme me frappera parce que oui, il me fera jouir avant lui. Aaron n’est pas un homme égoïste sans ajouter que je sais de quoi il est capable.
Que toi et moi Aaron !
Ce moment est intense, trop, il me fait peur. Je ne crains pas l’homme, au contraire, j’aime Aaron d’un amour sincère et pur, non ce que je crains c’est le après. On fera quoi si un malaise s’installe entre nous ? Si nous ne pouvons plus nous regarder sans regretter ? Une amitié comme la nôtre, ça ne se trouve pas à tous les coins de rue ni sur Amazon. Est-ce que cela va m’empêcher de profiter de la situation ? Non. J’ai déjà profité de sa langue en moi comme toute femme censée l’aurait fait. Il a réveillé le monstre et fait bouger mes hanches au même rythme que ces coups de langue.
Toi et moi !!
Parler est difficile, plus difficile que de suivre ces mouvements. Plus difficile que d’admirer les sentiments qui se bousculent dans son regard. Plus difficile que de contrôler les miens. Pourquoi ? Parce que pour la première fois de toute ma vie, ou presque, je ne baise pas. Je ne dis pas que je fais l’amour non plus, mais ce que je reçois en ce moment même n’est pas une simple baise. Comment j’ai pu survivre sans ce sentiment de plénitude qui m’enveloppe à chaque coup de reins hein ? Si je ressens tout cela avec un ami… que seront les répercussions sur mon âme quand l’homme qui me baisera aura gagné mon cœur ? Vais-je un jour avoir l’opportunité de… faire l’amour ?
Aaron ? S’il te plait…
J’aimerais posséder 10 mains afin de pouvoir le caresser comme il le mérite. Une main dans ces cheveux, deux sur les fesses, deux autres qui laissent des sillons de plaisir sur la peau de son dos et ainsi de suite.
Baise-moi !
Je dois tracer cette ligne entre nous et il doit m’aider à la tracer. Je ne peux pas succomber plus loin que des coups de reins échanger sous le feu d’un désir mutuel. Pour l’inciter à tout me donner, pour qu’il reste du bon côté de la ligne, l’une de mes mains empoigne sa fesse, la serre et en profites pour le pousser à chaque fois qu’il plonge en moi. L’autre main s’est logée à la base de sa chevelure, bien enroulée derrière sa nuque. Mon regard ne ment pas. J’aime ce qu’il me fait, trop peut-être. Il pourra se vanter de m’avoir fait changé d’idées, s’il réussit à me faire avouer qu’un jeunot m’a donné plus que ce qu’un vieux ne l’a jamais fait. Je ne verrais plus mes baises du même œil. Il serait peut-être temps que je me trouve un vrai petit copain ? Pour finir le cœur brisé ? Merde, je crois que cette baise était bel et bien une erreur puisqu’elle me fait poser trop de questions, puisqu’elle réveille la femme, mes rêves, les vrais, plutôt que de me laisser surfer vers les buts que je me suis fixés. Je le déteste… Autant que je l’aime… |
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| | Sujet: Re: Mise au point (Aaron) Ven 26 Avr - 12:07 | |
| Mattia je l’adore. C’est viscéral. Cette femme et moi on va être les meilleurs amis de l’univers. Elle est capable de comprendre ce que je ressens quand même moi je suis incapable de le savoir. On est sexy et on parle de cul, elle comme moi on n’a pas de soucis avec la nudité et je crois que je peux dire que je l’adore, mais maintenant que j’ai senti la douceur de sa bouche autour de mon sexe et que j’ai senti son corps frémir de plaisir sous mes coups de langue, je crois qu’un choix s’impose à moi et la fièvre me prend soudainement. Alors quand elle me dit que si je la retourne comme une crêpe pour la baiser elle me laissera la défoncer à ma guise, je décide de faire du pur moi-même et lèche son sexe pour lui forcer un orgasme puissant avant de remonter et de me frotter contre elle en lui déclarant que je vais la baiser les yeux dans les yeux et que si elle m’échappe avant que je jouisse je ne lui parlerai plus jamais. J’attends qu’elle ouvre la bouche pour répliquer et me plonge en elle pour la baiser en lui ordonnant de me regarder. Merde. La sensation du corps de Mattia sous le mien, la chaleur et la douceur de son sexe autour du mien avec l’absence totale de protection c’est… Etouffant de délice. Je tremble à la marteler avec passion alors qu’elle tourne son regard bleuté vers moi et que nos regards s’accrochent tendrement. Elle dit alors « que toi et moi Aaron » et je sens alors toute sa vulnérabilité. Je crois qu’on sait ce qu’on ressent l’un pour l’autre et que cette étape était « obligatoire » le sex et le plaisir qu’il procure est trop ancré en nous et il fallait qu’on en passe par-là pour que notre relation fonctionne. Mais c’est du double tranchant et on le sait. Elle s’agrippe à moi et répète « toi et moi » je souris et pose mon front sur le sien continuant de la regarder dans les yeux.
« Juste nous Mattia… »
Je bouge plus fort contre elle. Je ne suis pas dans une baise sauvage, je suis entre le sex ardent et la passion sincère. Je ne peux pas pour notre première fois baiser Mattia comme un bout de viande pour juste nous faire du bien. Je baise mon amie et je dois lui donner une forme d’amour. Je ne serai jamais aussi intense que l’homme qui l’aimera d’un amour fou, mais je vais être différent de tous ceux qui l’on baise jusqu’ici. Parce que j’aime cette femme et que je veux la rendre folle de plaisir et l’envelopper d’amour. Alors quand elle me demande de la baiser, je souris amusé et lèche ses lèvres d’un petit mouvement malicieux.
« Ferme ta gueule et laisse-moi faire. »
Je l’embrasse en souriant, ondulant contre elle sans retenue en tremblant de plaisir. Je plante mon corps au fond du sien avec vigueur et tendresse. Je la martèle très doucement et vivement. Je sens ses mains ramper sur moi et m’agripper pour m’inviter plus loin en elle. Je tremble alors que je ne vais pas changer de position, je ne vais même pas tenir longtemps. Je vais me laisser porter parce que je veux qu’on jouisse ensemble. Je coupe le baiser parce que ça devient suffoquant de continuer de l’embrasser et que j’ai besoin de respirer. Je tremble et mon regard est toujours plongé dans le sien. Mon corps se crispe en cadence sous les assauts que je lui inflige. Suffoquant et tremblant je la regarde en réalisant que j’arrive déjà au bout sans savoir depuis combien de temps je suis en train de faire aller et venir mon sexe en elle.
« Mattia… Oh Mattia… Avec moi… Ensemble… Droit dans les yeux… »
Je tremble alors que je sens orgasme monter et menacer de me ravager. Elle me regarde dans les yeux alors que je n’y tiens plus, je m’abandonne. Une ultime seconde. Le mouvement arrière de mon bassin recule mon sexe qui craque. L’instant se suspend. Puis noyé dans ses yeux, je donne un coup de bassin puissant et explose au moment ou je me retrouve au fond d’elle. Surpris par l’intensité de mon orgasme, chaque giclée me met au supplice alors que je rampe contre elle me serrant comme si je cherchais à garder mon sexe collé au fin fond du sien pour qu’elle me sente la remplir jusqu’au tréfonds de ses entrailles. Je me noie en elle et dans ses yeux alors que je me vide en elle par giclée saccadées avant de m’effondrer tout mou contre elle mon front sur le sien mes yeux dans les siens n’arrive pas à parler alors que nos souffles érotiques se mélangent sensuellement. Je baigne en nous et je ne bouge plus me contenant de profiter de cet instant de grâce absolue. |
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