Un mirage pour une assoifée (Jamy)

San Diego ressemble un peu à Los Angeles, mais juste un peu. Il fait chaud, on a l’océan tout près, la bouffe est bonne, il y a des Templiers… Vous avez noté le sarcasme ? Mes parents se foutent de savoir si je respire encore, mais je dois rester disponible pour les Templiers. Il faut sauver l’image de la famille parfaite. Est-ce que j’ai fait acte de présence depuis mon arrivée à San Diego il y a quatre mois ? Je n’ai pas eu le temps et je m’en moque. Entre déménager, décorer l’appartement, rénover mon atelier au rez-de-chaussée, rencontrer ma patronne, me faire bronzer et bosser un peu, je n’ai pas eu le temps. Cependant, puisque je ne suis pas ma mère et que remettre toujours à demain ce qui doit être fait aujourd’hui n’est pas dans mes cordes, je me suis dit que le temps était venu de faire acte de présence. Le Lipstick. Je préfèrerais de loin m’installer sur le canapé pour manger du popcorn, mais bon, je ne veux pas recevoir d’appel qui me dira que je ne suis pas un ermite et que je dois socialiser. Ils sont bien les ermites, je trouve moi pourtant, mais bon, il faut ce qu’il faut et je me dis que je vais peut-être croiser Rosie. Peut-être qu’elle va me présenter deux ou trois beaux mecs et peut-être qu’un finira chez moi en fin de soirée. Habillé comme je suis, je ne devrais pas avoir trop de mal a faire tourner quelques regards. Je ne me maquille pas souvent, je préfère jeans et T-shirt, mais je sais me faire sexy quand il le faut.

C’est donc avec une robe, coiffée, maquillée et sans sous-vêtements que j’embarque dans un UBER. À la bave sur le bord des lèvres du mec, je vais être populaire ce soir, tant mieux. Une fois là-bas, je donne mon nom au gars ayant les plus gros biceps du monde se tenant à l’entrée du bar, y parait que mon nom va s’y trouver, puis j’entre. Je n’aime pas les boites, mais je dois avouer que celle-ci ellen' est pas mal du tout. Mes pas me mènent au bar ou, d’une voix assez forte pour être entendus, mais pas assez pour qu’il le barman prenne ma commande puisqu’il est occupé a baver dans le décolleté de ma voisine, je commande un sex on the beach. Heureusement la petite rousse derrière le comptoir me sourit et me dit que j’aurais de quoi boire dans moins de 30 secondes. Elle est mignonne… C’est un mec que je veux ce soir, mais elle est mignonne… J’allais prendre une gorgée de mon verre quand une claque tombe sur ma fesse gauche. Un soupir, un lever de regard au plafond et je me retourne pour prendre ces couilles entre mes doigts. Je serre…

On demande avant de toucher. Un, ta paire de couilles est trop petite pour moi et 2, reviens me voir quand tu auras appris la politesse.  

Mon verre à la main, je m’éloigne en souriant, un gloussement résonne derrière moi et j’en déduis que la petite rousse a entendu. Une copine ? Plus tard, là je fais le tour du bar, regarde les gens danser, se tripoter, boire, rire, danser encore, discuter, je regarde aussi ce brun qui me zieute depuis tout à l’heure et le petit blond là-bas dans le coin, puis je vois Jay qui discute avec un autre mec un peu plus loin à ma gauche et un grand costaud drogué aux stéroïdes.  

Hein ?

Jay ? Je me retourne pour m’assurer avoir bien vu et putain de bordel de merde… JAY ? OK là, j’avoue que c’est moi qui bave. Il est toujours aussi sexy que dans mes souvenirs, plus même. Surprise de le voir ici ? Oui, angoissé de savoir s’il aura envie de me revoir ou pas. Énormément. Je vais le voir ou pas ? Je fais semblant de ne pas l’avoir vu ? Ce serait con non ? Fuck, mais pourquoi est-ce que je n’irais pas le voir hum ? Je suis conne… Allez hop, je marche vers lui, je me glisse derrière et pose mes deux mains sur son postérieur, mais juste après lui avoir glisser à l’oreille…

Tu te ramollis Jay !!!

Il va se retourner, c’est certain et quand il va le faire je vais lui roule la plus grosse pelle que la terre a connue. Il m’a manqué, certes, mais je ne veux pas que son < copain > me croit ouverte à une partie de jambes en l’air. Son seul regard me fait frissonner de dégout.


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J’ai toujours aimé San Diego, ses lieux improbables, son stade, ses bars, ses restaurants, sa plage … il s’agit de ma ville, celle qui m’a vu naitre, grandir et baiser pour la première fois. Mes parents y vivent toujours, enfin, j’imagine car ils m’ont rejeté, du jour au lendemain … sans que je ne puisse me défendre, leur donner mon point de vue !  Trop bornés pour entendre que le métier d’acteur porno était tout aussi bien que celui de médecin ou avocat et qu’il payait bien plus. Tout ce qu’ils voyaient s’était les on dit que … bordel pour une réputation ils ont préféré me rejeter … tant pis pour eux … j’aurais pu tout leur offrir ! Je suis majeur, vacciné depuis des années, je suis devenu une célébrité et ils ne peuvent en profiter.

Aujourd’hui est une journée tranquille, pas de tournage de prévu pour moi ni de signature dans un sex-shop et pas de shooting photo non plus ! Je suis donc en congé ! Je n’ai pas besoin de passer au Lipstick sauf pour le plaisir.  Doug un de mes proches m’a proposé d’aller prendre un verre car il souhaite me parler d’un projet qu’il a … le connaissant, il va vouloir savoir s’il peut devenir mon garde du corps. Grand et sportif, il a tout ce qu’il faut pour effrayer les plus gênant de mes fans. On en a déjà parlé mais pour le moment, j’ai toujours refusé. Je n’ai besoin de personne pour me défendre car avec un gabarit comme le mien, les gens restent polis … je ne suis pas spécialement quelqu’un de violent pourtant. Pensent-ils que je suis réellement ce que je montre à la caméra ? Peut-être mais ils ne me connaissent pas ! Ils ne savent pas comment, je suis dans la vie privée et c’est pourquoi, j’ai toujours refusé une protection humaine. Pour le retrouver, pas de chichi, un jeans noir et un simple t-shirt noir avec un smiley triste dessus. Pour éviter d’avoir froid, j’ai passé en plus, une veste de cuir.  

Arrivés tous les deux au cabaret, nous nous retrouvons au bar comme convenu. Je ne remarque personne, je me prends une bière et écoute Doug me déblatérer ses conneries. J’avais raison, il revient sur le sujet de l’emploi … il me soule … on rigole tout de même car on déblatère pas mal de conneries ensemble. Je ne remarque pas la personne qui se glisse derrière moi pour me caresser les fesses et d’un coup, j’entends que je me ramollis, je connais la jeune femme qui vient de me le glisser à l’oreille. Amy ? Elle est présente ici ? Mais depuis quand ? Elle ne peut le remarquer encore mais un large sourire vient de se dessiner sur mes lèvres. Je me retourne vers elle et attrape ses fesses à mon tour, la soulève légèrement puis sans un mot, mes lèvres foncent sur les siennes. Ma langue part directement à la conquête de celle de la belle à moins que ne cela soit l’inverse car elle ne demande pas son reste. Doug doit comprendre qu’il n’est plus mon occupation désormais, je n’ai déjà plus que d’yeux pour ma petite templière. Oh bon dieu quelle est belle sa surprise et qu’il est bon de la retrouver de cette manière.

« Ça c’est une surprise ! Mais depuis quand tu es là ? »

Je parle de manière à ce qu’elle seule puisse m’entendre alors que je la garde dans mes bras, les mains toujours fermement posées sur son cul pour bien démontrer aux autres mecs que c’est une propriété privée. Je n’ai pas encore réellement remarqué sa tenue mais mes mains sont déjà en contact avec sa peau ce qui veut dire qu’elle porte une mini-jupe ou une robe très courte et ce n’est pas fait pour me déplaire. Je nous éloigne déjà du bar pour avoir la paix et qu’on puisse discuter un peu ou faire toute autre chose.

« Cela me fait réellement plaisir de te retrouver. »

Elle doit l’entendre au son de ma voix et peut-être le sentir à la protubérance qui déforme mon pantalon.

Tenue:

Sa réaction ne me surprend pas un seul instant. Il en aurait fait moins que j’aurais été déçue. Ces mains sur mon popotin, sa vigueur, le bonheur qui semble irradier de chacun des ces pores de peau est un souffle de plus sur la joie de renouer. Je ne savais pas que sa présence m’avait à ce point manqué avant que mon regard ne voit sa silhouette, maintenant je sais. Il me porte je ne sais où, probablement dans un coin plus intime et à part avoir enrouler mes jambes autour de ces hanches, je ne peux rien faire de plus.

« Cela me fait réellement plaisir de te retrouver. »

Je sais… Je peux le ressentir…

Mon sourire est mi-coquin, mi-joueur.

Je suis ici depuis quelques mois, mais avoir su que tu t’y trouvais…

Je l’embrasse de nouveau pour lui démontrer par un geste ce que mon esprit se languit de lui dire. Avoir su qu’il était à San Diego j’aurais remué ciel et terre pour le croiser. Avoir su, j’aurais placardé son visage sur tous les lampadaires comme un maitre ayant perdu son animal de compagnie. Avoir su… Il n’y a jamais eu de liaison amoureuse entre lui et moi, que de la baise ici et là, des fous rires, de longues soirées à parler de tout et de rien et j’en passe. Cela ne veut pas dire que je ne me suis pas langui de son absence.

Je peux également confirmer que tes coups de reins ont pris de l’assurance et de la confiance au fil des années.

Quoi ? Vous croyez que je ne regarde pas de porno ? Il n’y a pas juste les mecs qui regardent ce genre de truc puis, il m’a fallu effectuer quelques recherches sur Satine production afin de m’assurer que cette entreprise me convenait non ? Dire que je n’ai pas tilté sur le fait qu’il pouvait se trouver lui aussi à San Diego, je me trouve un peu beaucoup conne sur le coup.

Aller ne soit pas chiche et offre moi un verre avant de me dire bonjour avec plus de fougue.

J’espère pour lui qu’il n’aura pas besoin de traduction et qu’il a compris l’invitation. Il ne manquerait plus que je lui demande de me baiser… ce que j’ai déjà fait dans le passé cela dit. Le passé n’étant pas garant de l’avenir, je me permets un brin de folie et de mystère pour nos retrouvailles. C’est bien non ? Le faire languir pour mieux me faire dévorer ça aussi c’est bien… Je délaisse donc ces hanches afin qu’il me pose par terre, cherchant une chaise ou un banc du regard. Il nous a vraiment amené dans un coin tranquille, bordel, à part le couple qui fornique sur la banquette à côté de nous, la vue sur la piste de danse, il n’y a pas grand-chose dans cette partie du bar. Un bar qui est plus qu’un bar bien sûr, enfin d’après ce que l’on m’a dit de l’endroit. Tout respire la sensualité, le romantisme et le plaisir des sens. Un petit paradis pour la femme de ce monde, pour les amoureux de la beauté et de l’art, un paradis pour ceux et celles qui veulent s’évader le temps de quelques battements de cœur. Pourtant il est possible de ressentir autre chose, un petit truc que je ne peux pas nommer. Mon regard a pu, des mon arrivée, deviner quelques membres des templiers par leur seule posture, mais combien de membres se trouvent dans ces lieux exactement je ne pourrais pas le dire. Je suis une habituée de ces joutes de pouvoir et pourtant j’étouffe un peu. Était-ce une bonne idée de venir dans ces lieux ? M’afficher ? Je suis la digne fille de mon père, homme puissant et bien que je ne sois pas un membre officiel j’orbite dans son sillage depuis tellement d’années.

Certains mecs me donnent la chair de poule. J’ai presque envie de te demander de me baiser sur cette table afin que tous sachent que je suis hors limite pour ne pas finir en chair à saucisse.

Je le regarde, pas du tout honteuse des paroles qui viennent de quitter mes lèvres, au contraire. Me baiser pour dire que je suis officiellement hors limite ce serait bien, même si tout cela n’était qu’une façade. Baiser ici ou baiser ailleurs… Voit-il à quel point l’idée de me faire pilonner me fait serrer les cuisses d’envie ? Il est où ce verre merde ?

Je ne cache pas ma surprise et ma joie de la retrouver ici et maintenant. Ses fesses sont un aimant pour mes mains car ces dernières viennent se poser dessus automatiquement. Elle est toujours aussi délicieuse et elle me fait comprendre qu’elle m’a manqué et bien plus que je ne pourrais et devrais l’admettre. Je lui affirme de vive voix après l’avoir soulevée pour l’éloigner et être le seul à profiter d’elle ! Ses paroles me font sourire, effectivement elle peut très bien sentir la bosse de mon pantalon car je bande et pour elle seulement. Amy m’apprend qu’elle est ici depuis quelques mois et avant de terminer sa phrase, elle vient m’embrasser à pleine bouche, je crois qu’elle de me dire avec ses lèvres. Les actes sont nettement plus importants que les mots parfois. Je ne savais pas qu’elle était ici à San Diego sinon, j’aurais cherché à avoir son numéro pour l’inviter à prendre un verre, ou juste à venir dans mon lit directement. Nous ne sommes pas un couple, je doute que nous en serons un, un jour mais nous partageons beaucoup de choses comme des moments de fou rire, de longues soirées à bavarder parfois de futilités ou parfois de choses beaucoup plus sérieuses. Même si nous ne sommes pas ensemble, sa présence m’a manqué ! Elle m’affirme que mes coups de reins ont pris de l’assurance et de la confiance au fil des années. C’est bon de savoir qu’elle matte toujours mes films et excitant de l’imaginer se caresser en nous imaginant encore et encore !

« Je vais te faire une démonstration privée cette nuit ! »

C’est bien plus qu’une promesse mais une évidence avec nous deux et mon amie ne perd pas une seconde pour confirmer mes dires, je dois lui offrir un verre avant d’aller lui dire bonjour avec beaucoup plus de fougue ! Ah ça … pour être fougueux cela le sera ! J’ai envie de la baiser et je ne vais pas me faire prier pour le faire avec la manière ! Je ne sais pas combien de temps nous allons passer ensemble et c’est pour cela que nous devons ne pas tourner autour du pot, en profiter un maximum et de chaque instant passé ensemble.

« La même chose ? »

Je parle évidemment de son verre car pour le reste, je sais ce qui va lui faire plaisir. Elle desserre son étreinte et me fait savoir qu’il est temps de la laisser remettre le pied au sol ! Un couple est déjà entrain de s’envoyer en l’air sur une banquette, ils s’en foutent qu’on puisse les voir depuis la piste de danse. Je ne peux m’empêcher de passer un bras autour de la taille de la templière pour bien démontrer aux mecs que c’est mort pour eux car elle est à moi ce soir et cette nuit. Nous ne sommes pas les deux seuls templiers présents au Cabaret, c’est notre quartier général après tout mais cette fois, je ne partagerai pas ma partenaire. Cette dernière me déclare que certains des mecs présents lui donnent la chair de poule et qu’elle a presque envie de me demander de la baiser sur la table pour leur montrer qu’elle est hors limite et qu’elle ne finira pas sur leur saucisse. Nos regards se croisent, un sourire est échangé avant que je ne la contourne pour venir derrière elle, placer mes mains sur ses hanches pour lui faire comprendre qu’elle va être dirigée vers la table !

« Place tes mains sur la table et après on prendra une chambre ! Ils vont voir que t’es hors de portée et que tu vas te faire défoncer ! »

Pourquoi seulement les mains sur la table ? Pour que je puisse mieux m’occuper de son minou et de son cul avant de passer au reste de son corps en privé. J’ai fais un signe au serveur pour qu’il nous ramène une autre bière et la boisson de la presque trentenaire avant que je ne me place à genoux et que je ne relève le bas de la robe de la jolie jeune femme et que je ne vienne embrasser chacune de ses fesses tour à tour avant de passer un premier coups de langue sur sa chatte !

« Putain Amy tu as toujours aussi bon gout ! »

Je me régale toujours à lui bouffer la foufoune et je ne me prive pas pour le faire en public afin que tous les bêta ou gamma comprennent qui est leur alpha ! En plus de laisser ma langue aller entre les lèvres intimes de ma partenaire, je viens glisser un premier doigt pour qu’elle leur montre aussi qu’elle est prise par son mec, son dominant, son sex-friend, son ami … qu’elle me nomme comme elle souhaite, je m’en fous, je suis trop occupé à vouloir la faire mouiller et à préparer ma venue en elle car elle ne va plus savoir marcher demain.

« Je vais te faire une démonstration privée cette nuit ! »

Sur 100 femmes, combien auraient rougi en entendant cette affirmation ? Combien auraient trouvé ces avances déplacées ? J’imagine que le pourcentage est dans la moyenne pour la première question et probablement dans les 80 % pour la deuxième, je n’en sais rien. Toutefois, ce que je sais c’est que je n’entre pas dans ces catégories. Je ne rougis pas et je ne suis pas offense, pas avec lui en tous les cas et je le suis que très rarement dans la vie de tous les jours. Je construis des prototypes de jouets sexuels tout de même, cette petite information en dit long sur le reste j’ose l’espérer.

Si tu réussis à me faire crier de plaisir comme la petite blonde avec le petit faon de tatouer sur le sein, je te demande en mariage.

Oui, mais non, ce mec n’est pas pour moi. En fait si, peut-être, je ne sais pas. Ce serait étrange de devenir tout à coup monosexuel ? Je n’ai rien compte d’avoir qu’un seul mâle dans ma vie jusqu’à la fin des temps. La fidélité c’est bien, mais seulement avec le bon partenaire. Ce qu’on appelle la chimie ou les petites étincelles vous connaissez ? Sans cela les baises torrides s’estompent et il y en a toujours un des deux qui va voir ailleurs. Bref, ni lui ni moi ne cherchons ce type de lien pour le moment, au contraire. Entre nous il y a un temps pour la passion, le sexe et un temps pour tout le reste. Le jour où ce ne sera plus possible de faire la différence entre les deux sera le jour ou un choix devrait être fait. Ce jour-là ne sera pas aujourd’hui. Pourquoi ? Parce que je viens de lui demander de bien vouloir me faire sienne pour chasser tous les autres mâles en rut du territoire. Certains regards me foutent la trouille et je ne suis pas femme à se laisser impressionner facilement.

Les mains sur la table hum ?

Il sait que la table n’est pas collée au mur et que des coups de reins un peu trop fiévreux risque de nous faire glisser la table sur le sol ? On va avoir l’air d’un couple de vieux tentant ayant pris en otage une table au lieu d’une marchette. Je perds quoi ? Rien, voilà, je pose donc mes mains sur la table et écarte un peu les jambes afin d’avoir un bon équilibre avant de sourire comme une conne quand je le sens s’accroupir derrière moi.

Il n’y a pas juste les hommes qui vont devenir verts de jalousie là. Tu veux que je me fasse poignarder par tes admiratrices ?

Je rigole un peu parce que lui, comme moi, savons que je m’en contrebalance.

Mhmmm charmeur va !!

J’ai toujours aussi bon gout hum ?

Fuck Jay…

Des coups de langue c’est bien, mais faire glisser son doigt en moi est carrément divin.

Y a que toi qui peut me faire rouler les yeux de plaisir avec un seul doigt.

Imaginer deux ou même trois ?  

Moi qui aime la discrétion… y a que toi pour me transformer en petite pute.

Ma tête se renverse vers l’arrière alors que j’écarte les jambes un peu plus. Entre des oui presque miauler et des fuck oui ravaler pour ne pas créer d’émeute, ce n’est pus sur mes mains que je prends appuie maintenant, mais sur les coudes.

Relève ma robe jusque sous mes seins Jay… À ce rythme-là, il y en a déjà au moins trois qui vont se vider les couilles dans leur pantalon.

Mes réactions sont-elle un peu beaucoup exagérées ? Coupable, je l’avoue, mais c’est non seulement amusant de voir les hommes se tortiller sur les chaises alors que leurs femmes leur lancent des regards de furie mal baisée, mais c’est tout aussi aphrodisiaque pour moi de voir que mon plaisir fait autant d’effet.

Je vais te chevaucher comme une furie tout à l’heure Jay… putain je suis si près…

Mon cœur bat la chamade alors que mes lèvres laissent passer des gémissements et petits cris d’un plaisir non feint. Encore quelques secondes de ce traitement et non seulement il y aura explosion, mais je crois que ma lèvre va saigner tellement je la mort avec force. Je finis aplatie sur la table, le corps tremblotant sous l’extase qui me foudroie.

Une affirmation osée vient d’être faite et nous ne sommes pas retrouvé depuis cinq minutes. Cette femme à l’habitude avec moi, je ne suis pas spécialement un homme de blabla mais, je sais que cela ne va pas rougir et qu’elle ne va pas être offensée par un tel discours. Elle est conceptrice des sex-toys donc elle a l’habitude de voir des phallus, d’entendre ou de lire des choses grivoises. Elle lance un pari : si j’arrive à la faire crier comme ma partenaire tatouée sur le sein, elle me demande en mariage. De laquelle elle me parle encore ? Je me refais la liste de mes films rapidement en tête. Des blondes, je n’en saute pas souvent dans mes films. Oh ! Elle parle de Kayla avec qui j’ai tourné dans « Mémoires d’un dominant » un film que Roselyn a écrit puis réalisé d’une main de maitre. Le jeu en vaut la chandelle car l’actrice est une femme fontaine et je sais que mon amie, amante et conceptrice favorite en est capable aussi.

« Prépare la bague alors mais tu seras déjà à genoux. »

Elle doit se douter que je me fous d’elle, pas moyen que nous nous marrions elle et moi. Je ne suis pas capable d’être fidèle et cette femme mérite un mec qui l’est ! Elle est canon, sexy, intelligente, marrante et c’est un sacré coup au lit … son sourire est sublime, elle est naturellement belle … putin non oubliez ce que je viens de dire. Je ne suis pas pour elle … bien que cette chimie existe entre nous … non juste du cul car elle se retrouvera vite cocue sinon … je sais qu’elle rigole et je la prends au mot avant de la prendre tout court. On va en rester là pour les questions nuptiales aujourd’hui, nous avons mieux à faire que papoter. Elle va être défoncée devant un tas de mecs qui ne souhaitent qu’être à ma place. Toutefois, ils vont vite comprendre qu’ils ne pourront pas espérer quelque chose. Elle va être en sécurité avec moi, elle doit le savoir.

« On va vite leur faire comprendre que tu es chasse gardée. »

Clairement oui, elle est chasse gardée. Elle répète ma question et glisse un petit gloussement. Je sais que la table n’est pas collée au mur et que l’on risque de faire tomber la table au sol si nous y allons avec beaucoup trop d’entrain. De quoi aurions-nous l’air ? Je ne souhaite pas l’imaginer ! Elle obtempère, place ses mains sur la table, ouvre les cuisses alors que je m’accroupis derrière elle. Elle rigole sur une chose mais elle n’a pas tort, elle mentionne mes fans, celles qui voudraient que je les tringle comme des pantins sans âmes. Ce que ces dames oublient, c’est que je suis acteur et que lorsque j’apparais à l’écran et que je saute une soi-disant inconnue, c’est en fait un scénario. En ce qui concerne Amy, c’est loin d’être une inconnue pour moi. Notre passé nous appartient et restera entre nous, il ne regarde pas les fans.

« Je te protégerai ! Il est hors de question qu’elles s’en prennent à toi. »

En fait des autres nanas, je m’en contrebalance, j’ai juste envie d’Amy là tout de suite. Je la dévore, trouve et dit qu’elle a toujours bon gout. Elle me traite de charmeur alors que je viens de lui dire entre deux coups de langue que je trouve qu’elle a toujours aussi bon gout. J’en tiens compte et glisse un premier doigt en elle. Elle me complimente à nouveau, m’incite à continuer, alors, j’en place un second car je suis gourmand.

« Que vas-tu dire avec deux alors princesse ? »

Elle me signale qu’il n’y a que moi pour la transformer en petite pute aussi facilement alors qu’elle aime la discrétion.

« La mienne ! »

La question est posée alors que je viens d’enfoncer un troisième doigt en elle. Les vas et vient sont entamés d’une manière frénétique. Elle entame des oui, fuck en haletant, elle me demande de relever sa robe jusqu’à sous ses seins et qu’à ce rythme-là, il y en a trois qui vont se vider dans leur froc.

« Qu’ils se tâchent … »

Je relève sa petite robe comme demandé et attrape ses tétons qui pointent tout en la léchant comme un affamé, ma langue allant de bas en haut comme à un rythme effréné. Elle m’apprend qu’elle va me chevaucher comme une furie tout à l’heure et qu’elle est près à jouir. J’aspire son bouton, le mordille légèrement, le suçote, l’embrasse tendrement avant de passer un coup de langue avec tendresse.

« hum oui, explose dans ma bouche ! »

Je lui lance cette invitation avant de me remettre au travail, j’aime l’entendre crier et j’ai hâte qu’elle vienne me chevaucher totalement nue afin que je puisse profiter de sa petite poitrine tressautant sous mes assauts. Ma bouche aspire doucement mais surement sa moule alors que je grogne non seulement pour la faire jouir encore plus fort mais pour lui faire comprendre que cela me plait aussi ce qui est entrain de se passer. Elle s’effondre sur la table, tremble tout en se liquéfiant dans ma bouche. Elle peut entendre les bruits d’aspiration, je ne laisse rien échapper. Son jus intime est absorbé à la source, ma bouche est une pompe, elle l’aspire à m’enivrer.

« Joui pour moi ! Oh oui vas-y ma chérie et après, je t’assure que je bande comme un malade ! »

Elle va vite pouvoir le sentir mais avant, je recolle sa chatte encore coulante contre ma bouche qui n’en a pas fini avec elle car elle n’est pas sèche.

« Amy dis-moi que tu viens vivre ici avant que l’on se mette à baiser … »

Un aveu de faiblesse ? Oui … mais aussi un aveu de dépendance sans doute à son corps car quand elle baise, elle baise … c’est toujours un pied d’enfer que je prends dans l’intimité et loin des caméras …