WebName : Pivette Date d'inscription : 24/09/2023 Messages : 17 Avatar & crédits : Katharine McPhee (Pivette) Date de naissance : 25/03/1984 Age : 40 Statut civil : Divorcée Occupation : Agent de la DEA Habitation : East Village Rivalités : Health & Law
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| Sujet: Delilah Hastings ∞ I don't want to die without any scars Dim 24 Sep 2023 - 22:40 | |
| Rewind ... start again ! | Hastings, Delilah 39 ans 25 mars 1984 Palm Springs, CA, USA Trouble Water |
Origine(s) & nationalité(s) Américaine avec des origines remontant comme beaucoup de monde au vieux continent, des ancêtres Britanniques, Irlandais, Ecossais et Allemand. Statut civil & orientation sexuelle Divorcée et hétérosexuelle Situation familiale Des parents avec qui je m'entends bien après des périodes difficiles mais on s'est toujours soutenus dans les mauvais moment. J'avais une petite soeur de cinq ans ma cadette, sa disparition a donné un sens à ma vie, ma vocation. Occupations, études & statut financier Agent de la DEA, reléguée à du travail d'enquête au bureau, je n'ai plus le droit de retourner sur le terrain pour encore un moment. J'ai une famille passablement aisée, des économies et je ne suis pas une grande dépensière donc mon compte en banque est bien fourni en cas de coup dur. Les rivalités Je bosse à la DEA donc vous pensez bien que je sais ce qui se trames dans les rues de ma ville. Ces guerres dans nos rues je me dis qu'un jour, peut-être on arrivera à les enrayer. Mais pour le moment je fais mon possible pour recueillir des infos que ce soit officiellement ou par mes indics avec qui j'ai construit une relation de confiance et d'échange de bons procédés. Mais certaines querelles sont moins visibles pourtant elle existent elles aussi. Choisir un camp ou un autre semble couler dans l'ADN des citoyens de San Diego. Combative, Râleuse, Entreprenante, Bavarde, Franche, Revancharde, Spontanée, Ironique, Attentionnée, Entêtée, Fouineuse, Positive, Charmeuse | Quelle est ta chanson ? Feeling Good / Nina Simone Quel est ton film ou quelle est ta série ? Tout ce qui demande pas de réfléxion. Quelle est ta voiture ? Toyota RAV4 grise, une des voitures les plus vendues en Californie, se fondre dans la masse ça aide pour mon job. Quelle est ta pire manie ? Avoir toujours de quoi grignoter que ce soit dans la voiture, dans mon bureau, quand je suis stressée ou que je dois me concentrer, c'est devenue une habitude. Quelle est ta personne favorite ? Marjorie, un poisson combattant qui va sur sa 3ème année. Oui un poisson et alors ? Bon ok mes parents aussi bien sûr, mais eux ne m'attendant pas et ne m'écoutent pas raconter ma journée tous les soirs ! Plutôt dormir ou non ? Je dors un peu plus depuis que je ne suis plus sur le terrain mais, certains cauchemars sont récurrents. Un mot sur ta dernière relation ? On a été ensemble pendant 8 ans dont 5 ans de mariage. On s'aimait, je l'aimais en tout cas plus que lui apparemment. Être le mari d'une flic ne lui convenait pas, et quand il a commencé à me presser pour qu'on ait des enfants, que j'arrête mon job, on a commencé à s'éloigner. Je bossais tout le temps, il s'est mis sauter tout ce qui avait une paire de jambes. Le plus ironique c'est qu'il m'a pris de court et c'est lui qui a demandé le divorce. Depuis j'ai quelques aventures, quelques petites histoires mais rien de très sérieux. |
California girl, born and raise. Quand on a une mère CEO d'une banque et un père directeur de recherche à l'institut de technologie de Californie, on sait que ses parents ne s'attendent pas vraiment à ce que leur fille devienne flic, encore moins agent de la DEA. Et pourtant …
Une enfance heureuse, des parents attentifs et attentionnés bien que souvent très occupés. Ils ont toujours tenu à ce que l'on passe des vacances ensemble, ou des weekends, que l'on se retrouve ensemble que l'on se parle et même si j'ai passé beaucoup de temps avec notre employée de maison, j'ai toujours su que j'étais aimée par mes parents. J'ai peut-être fait quelques crises de jalousie quand ma petite sœur est née, j'avais cinq ans mais j'ai très vite adoré mon rôle de grande sœur, on s'entendait à merveille, devenant fusionnelles, surtout très complices pour faire des bêtises.
Je crois que c'est le soir où j'ai regardé Blue Steel que j'ai voulu devenir flic, souvent autours de moi je voyais plutôt des hommes dans la police mais dans ce film cette femme y arrivait malgré le fait qu'on lui reproche d'être une femme avec ses émotions. C'est à partir de là que j'ai commencer à dire que je voulais devenir flic quand on me demandait ce que je voulais devenir plus tard. J'avais en générale en réponse un sourire ou une petite tape sur la tête, on me disait qu'on me voyait plutôt infirmière ou enseignante. Mais ça c'était les plans de ma petite sœur, quand elle ne voulait pas devenir princesse ou chanteuse.
Vingt et un ans, enfin, depuis toutes ces années je n'ai pas changé d'idée au contraire, j'ai été exemplaire dans mes études, sportive et motivée j'entre à l'académie de police et je compte bien montrer que j'en veux. Ce n'est pas simple tous les jours, ça non, pas mal de sexisme mais ça forge mon caractère déjà bien affirmé, je suis une femme oui et alors, je suis tout aussi qualifié pour faire respecter la loi que n'importe lequel de mes collègues masculins. Ça ne plait pas toujours mais je m'en moque, j'aime ce job, j'ai l'impression de réussir à faire une différence, de jouer un rôle qui compte dans la vie de notre société.
Mon supérieur voit en moi un certain potentiel et je quitte quelques temps ma Californie bien aimée pour intégrer le programme de formation du FBI à Quantico. Là c'est encore plus difficile mais je ne me démonte pas, je suis prête à tout pour montrer que je veux faire partie des meilleures, je respecte les règles, j'en dévie juste quand cela est nécessaire pour le bien d'une enquête et j'en ressorts avec une plaque, et un badge que beaucoup rêvent de porter. Agent Hastings, ça claque !
Durant ma formation je me suis un peu éloignée de ma petite sœur, on s'écrivait, on s'appelait souvent, elle se prenait la tête avec les parents pour ses études, ses sorties, elle me reprochait d'avoir été trop sage à son âge et qu'à cause de ça le moindre pas de travers qu'elle faisait lui valait tous les reproches du monde. Je me suis pris la tête avec mes parents moi aussi, je ne cautionnais pas toutes les fréquentations et activités de ma sœur mais il fallait qu'ils lâchent un peu de lest avec elle. C'est sans doute la plus grosse dispute que j'ai eue avec eux, enfin c'est ce que je pensais à l'époque. Quand quelques mois plus tard mon père m'a appelé, j'étais sur une enquête, il a été froid, m'énonçant uniquement un fait glaçant. Ma sœur était morte, il fallait que je rentre.
Devant le corps inerte de ma petite sœur, je n'ai pas compris, j'attendais qu'elle se réveille, qu'elle me hurle au visage qu'elle m'avait bien eue. Mais elle n'a pas bougé, ma petite sœur, elle se droguait et elle avait fait une overdose avec un produit des plus merdique. J'ai demandé des congés, j'ai voulu aider à l'enquête, je n'ai pas pleuré ma sœur, pas avant que l'enquête et que le réseau soit démantelé et les responsables écroués. Là, je me suis effondré, les engueulades avec mes parents ont repris de plus belles, pour eux c'était plus simple de rejeter la faute sur moi, de m'en vouloir de leur avoir dit de la laisser vivre un peu. Mais si malgré cela elle a fait ces choix-là, je n'ose pas imaginer ce qu'elle aurait pu faire de pire si ils avaient été encore plus strictes avec elle. Durant l'enquête j'ai travaillé avec une agente de la DEA qui m'a rappelée quelques mois plus tard, me proposant un poste dans son service de San Diego, suite à la mutation d'un collègue. J'ai décidé d'accepter, c'était ma manière de réparer mes tords et de faire en sorte que personne ne vive ce que j'ai pu traverser avec la perte de ma sœur. Je sais bien que je n'éradiquerais pas les trafics de drogues de nos rues, mais si je peux faire en sorte de minimiser les dégâts, cela sera un bon début.
C'est deux ans après m'être installée dans ma nouvelle vie à San Diego que j'ai fait la rencontre de celui qui allait devenir l'homme de ma vie. Une collègue voulait aller à une soirée speed dating mais ne voulait pas y aller seule, je ne sais pas comment elle m'a convaincue mais à la fin de la soirée il y avait deux hommes qui me plaisaient bien et avec qui le courant était bien passé. Deux jours plus tard l'un d'eux m'a envoyé un message m'invitant à dîner, on est sortis quelques fois, et puis une chose en entrainant une autre on s'est rapprochés et on a fini par ne plus vouloir se quitter. Au bout de trois ans il m'a fait sa demande et j'ai accepté sans hésiter une seconde ! Jamais je n'avais aimé comme ça, pour moi c'était une évidence. Un beau mariage, une superbe lune de miel et une vie de couple qui suivait son court, pas un nuage à l'horizon. Enfin durant quatre ans c'est ce qui se passait, mais petit à petit il me faisait comprendre qu'il voulait qu'on fonde une famille, qu'on se pose tous les deux, que je laisse mon job et qu'on élève nos enfants en banlieue. Ce jour-là j'ai eu l'impression de me réveiller auprès d'un parfait inconnu, il connaissait mon job depuis le début, il savait que je ne voulais pas d'enfants, en tout cas pas aussi rapidement, peut-être plus tard mais on avait parlé de tout ça, on était sur la même longueur d'ondes. Enfin ça c'est ce que je pensais, on s'est un peu éloigné, j'étais sur pas mal d'affaires importante, on se croisaient et on est presque devenus des colocs qui se laissent des mots sur le frigo plutôt que le couple fou amoureux de nos débuts.
Quand j'arrivais à me libérer c'est lui qui trouvait des excuses, sa société avait des réunions interminables ou alors il avait un dîner d'affaire. J'ai commencé à avoir quelques soupçons mais on avait toujours été honnêtes l'un envers l'autre, on s'était toujours promis qu'on se parlerait si ça n'allait plus. Mais apparemment sa vision était un peu différente, c'est ce que j'ai compris en rentrant plus tôt pour lui faire la surprise de passer notre soirée tous les deux pour notre anniversaire. Il avait apparemment d'autres plans, plans qui incluait une plantureuse blonde qu'il honorait de ses ardeurs sur la table de la salle à manger. J'ai tourné les talons, claqué la porte et passé ma nuit à l'hôtel. Son message ce soir-là ? Je crois que ça ne marche plus entre nous, je veux qu'on divorce. Et bien bon anniversaire !
Durant quelques mois je n'étais pas vraiment à mon affaire, mes collègues étaient au courant de mon divorce mais tout s'est accéléré lorsque lors d'une enquête, je me suis trop impliquée, la victime qui avait trinquée était une gamine, elle avait l'âge de ma sœur, elle lui ressemblait, j'ai vrillé ! Je n'ai pas attendu les renforts, j'ai pris l'initiative d'intervenir alors que le périmètre du hangar des dealer n'était pas sécurisé. Mon partenaire m'a suivi et à cause de moi, l'opération a échoué, je me suis retrouvée avec une balle dans le gilet et une jambe cassée, mais lui, lui n'a pas repris connaissance. Il a passé six mois dans le coma avant que les médecins ne puissent plus rien faire et que sa famille a dû prendre la décision de le débrancher.
Les affaires internes, tout le bordel, j'ai été écartée un moment, le temps que ma jambe se remette mais on m'a surtout cantonnée au travail d'enquête au bureau, je pouvais travailler, reprendre mon job mais fini le travail sur le terrain pour moi jusqu'à nouvel ordre. Un divorce, la morte de mon partenaire sur la conscience, j'ai commencé a me renfermer un peu durant quelques mois, mais c'était sans compter sur mes parents qui ont du sentir, ou peut-être que la peur de perdre leur autre fille a été plus forte, ils m'ont soutenus, ont été constamment là pour moi pour me remotiver à remonter la pente et grâce à eux, j'ai repris du poil de la bête et même si je ne pouvais plus aller sur le terrain, je deviendrais la meilleure enquêtrice pour que mes collègues puissent mener à bien les différentes affaires.
Un soir, dans un bar, j'ai fait la rencontre d'un journaliste, on a fini la nuit ensemble sans rien se promettre, mais il avait une idée en tête et c'est comme ça que l'on a commencé à collaborer tous les deux, discrètement bien sûr, parfois je lu file des infos pour ses articles, parfois c'est lui qui me file des tuyaux qui me servent sur des enquêtes. Il est devenu mon indic pour me balancer certains trafics de petite envergure, mais c'est à la source qu'il faut agir. Mais le point culminant de notre collaboration c'est à l'été 2022 quand Ilyas était sur le point de publier son article sur la mise au jour d'un réseau pédophile impliquant une personnalité politique et pas mal de gens hauts placés dans divers milieux. Ce n'était pas un trafic de drogue mais il est passé par moi pour passer le dossier au département concerné, grâce à lui, me collègues ont pu arrêter les protagonistes avant qu'ils ne prennent la fuite, Son article a fait grand bruit dès le premier tirage du matin !
Depuis on continue de collaborer de temps en temps, surtout qu'en plus des enquêtes sur lesquelles je bosse à la DEA, je me suis prise de passion pour les cold cases et parfois, j'ai besoin de ses lumières pour essayer de relancer une affaire ou l'autre. Ne plus pouvoir être dans nos rues me frustre, encore plus avec ce qu'il s'est passé ces dernières années entre les Hounds et la Bratva, je ne sais pas quand, comment mais il va falloir qu'on fasse la pleine lumière sur ce qui se trame.
pseudo/prénom Pivette âge 39 pays & présence Heidiland, souvent ! ou quand, comment ? once upon a time in a galaxy far far away prélien ? inventé ? Prélien de @Ilyas Ricci Commentaires Je vous d'amour ! Trigger Warning on en discute ensemble. | |
Dernière édition par Delilah Hastings le Sam 30 Sep 2023 - 18:07, édité 14 fois |
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