Le plaisir et rien d'autre ? (Aarynn)

Bon… Je viens de laisser mon adresse à la jolie blonde qui visiblement à un corps de déesse, est particulièrement chauffée à blanc et qui m’annonce qu’elle sera là dans 30 minutes… Et, là… Un petit doute me saisit… La nana est juste un putain de canon intersidéral et elle dit qu’elle ne trouve pas de mec capable de la déglinguer comme il faut ? Okay ça doit être une crevette. Elle doit avoir un visage compliqué. Peut-être une grande brulée ? Défigurée par un accident ? Elle a fait trop de chirurgie esthétique et n’a plus ni lèvres ni nez… Merde, j'aurai dû demander… Bah au pire, je lui ferme la porte au nez ? Ou je fais ça dans le noir ? Hey, je suis curieux maintenant… Je file à la douche quand même afin de faire un truc et puis il a fait chaud et un bon coup de propre chasse la transpiration. En sortant, j’attache mes cheveux en un chignon rapide et j’enfile un short et mes tongs. Je reste torse nu et me sert un verre d’eau. Attends, c'est suspect non ? Et, si elle était un appât pour que des mecs déboulent, me passent à tabac et me piquent tout mon fric ? Bah j’ai pas de liquide, mon argent est sur un compte, j’ai rien de précieux. Juste une boite à souvenir sans valeur pour ces gens. J’ai rien à perdre… Ah si putain un rein… Et si ils me kidnappent et me trainent à Tijuana pour me retirer un rein avec une scie rouillée dans une cave humide où on fait fermenter du Jalapeno ? Merde c’est chiant… Mattia ne voudras jamais venir me chercher en voiture… En bus c’est jouable ? Allez savoir… Au pire, je me débats et si le mec me menace d’un flingue sur le front, je m’arrange pour le coup parte. Au pire, je dirais que ce n'est pas ma faute… On va la jouer comme ça.

Je tourne un peu en ronds en attendant la nana. Pire idée du siècle ou meilleure idée de tout le temps d’avoir filé mon adressé à madame corps de déesse ? Finalement, on toque à la porte. Je me sens un peu fébrile j’avoue, mais j’y vais. Je m’arrête devant la porte, réalisant que j’ai emporté mon verre d’eau. Je repars dans la cuisine et le dépose avant de revenir et d’ouvrir et là… Putain la nana est là. Belle comme un ange, pas du tout défigurée et le corps semble correspondre… Okay c’est un guet-apens et je vais me faire fracasser par des connards… Je me penche et regarde autour, putain y’a personne, ils sont planqués ?

« Comme t’es pas défigurée et que t’es canon comme une déesse, j’en conclue qu’on va venir me piquer un rein ? »

C’est quoi cette entrée en matière de merde ? Je lui adresse un sourire amusé avant de dire.

« Y’a moyen de voir tes seins avant que tes copains embusqués ne débarquent pour me traîner dans une cave à Tijuana ? »

Je suis très fière de ma connerie, mais je ferais un très mauvais flic. Rien ne bouge et la fille me regarde comme si j’étais subitement con et qu’elle avait probablement loupé 25 chapitres… Ouais, les deux analyses sont parfaitement vraies… Je suis con et elle ne peut pas lire dans ma tête…

« Attends, on reprend… »

Je recule, referme la porte, puis la rouvre avant de sourire de toutes mes dents blanches.

« Bonsoir, t’as la déesse magnifique qui m’a envoyé des messages ? Entre, je te sers à boire ? Pitié oublie toute mon entrée en matière, j’ai un peu trop déliré, je crois. »

En même temps, expliquez-moi comment une femme aussi… Magnifique qu’elle peut à ce point manquer de sex ? Elle a juste à lever la main et dire j’ai envie et va y avoir un bataillon de mecs en train de se disputer pour passer avant les autres… Et moi, je parle trop au lieu saisir ma chance… je me fatigue des fois j’vous jure…

Outfit -- Je joue à un jeu dangereux. Je ne sais rien de cet homme hormis ce qu’il veut bien montrer sur les réseaux. Bon, il ne cache pas grand-chose de son anatomie certes, mais pour le reste… Mon lubies aussi fugaces que violentes peuvent être un véritable danger, un piège pour moi-même. J’en ai conscience et pourtant je ne fais rien pour me protéger. Si ma vie pro est pleine d’action, aucun jour ne se ressemble, ma vie perso manque cruellement d’action à mes yeux, et bien que je n’ai aucun mal à trouver un homme qui veuille coucher avec moi dés l’instant ou ils savent que je suis une fliquette, ils se mettent à prendre des pincettes avec moi, me traitant comme une jolie poupée en porcelaine que l’on pourrait briser et clairement ça m’emmerde. Je ne suis pas FRAGILE merde !!

En plus de posséder un corps d’apollon, Aaron ne semble pas être le genre de type à prendre des pincettes. Il sait secouer une salope quand il en croise une. C’est ce que je veux… et c’est dans une optique de folie décadente et brûlante que je me rends chez lui ce soir après ses échanges de Sms brûlant. Je l’ai aguicher comme une chienne sans pour autant lui dévoiler mon visage. Il m’a conviée chez lui pour me sauter sans même savoir qui je suis… a quoi les traits de mon visage ressemble. Ce type est dingue non ? Ça me plait et ça m’éclate.

J’ai pris une douche rapide et enfilé à l’arrache une robe bustier rouge épousant parfaitement les courbes de mon corps et dévoilant ses longues jambes fines et fuselées que je lui ai envoyé en photo pour l’aguicher un peu plus tôt. Je suis dingue, c’est comme si j’agitais devant un taureau un drap rouge flamboyant. Cette folie me galvanise putain, je me suis rarement sentie aussi vivante, aussi excitée. Arrivée devant sa porte je suis anxieuse oui forcément un petit peu. Je suis entrain de commettre une véritable folie non ? De plonger dans un truc plus fou et grand que moi non ? Je prends une profonde inspiration avant d’oser venir frapper à sa porte. Il apparait alors dans l’encadrement de la porte surpris visiblement de me découvrir. J’arque un sourcils quand avant un “salut” ou un “entre” il part dans un putain de délire. J’ai raté un épisode peut être ? Ou alors si l'on met de côté sa belle petite gueule ce type est complètement dérangé ? Une cave a Tijuana… je sais pas ce qu’il a fumé avant que je vienne, mais c’est de la bonne. Je le regarde probablement comme s'il était un peu dingue. Il ne m’a pas encore laissé la possibilité d’en placer une. Je suis partagée entre l’envie de pouffer de rire et l’envie de prendre mes jambes à cou mon. C’est dangereux de pénétrer dans l’antre d’un homme à l’imagination à ce point débordante non ? Il me coupe dans mes pensées, me fermant la porte au nez pour semble-t-il tout reprendre à zéro. C’est possible ? La vie possède une touche retour en arrière ? C’est bien ça non ? Quoique… pas certain. Bref, il rouvre la porte affichant un sourire franc et je dois le dire franchement charmant. Ce mec à en lui un je ne sais quoi qui me fait fondre et fais naitre en moi une chaleur prenant possession de mon bas ventre. Les images de ses vidéos sur le net défile dans ma tête et me rappel les raisons premières de ma prises de contact. Je dois passer pour une nana qui à le feu au cul, oui, très probablement et alors ? Si je suis là plantée devant lui, c’est que j’assume pleinement.

Ainsi, je passe du statut de voleuse de rein à déesse magnifique ? Je pouffe et pénètre à l’intérieur. Mes talons claque derrière moi, je m’avance dans la pièce et me retourne vers lui lorsqu’il a fermé la porte nous garantissant à présent une intimité agréable.

« Oubliée une entrée en matière aussi barrée ? Aucune chance » A moins qu’il m’étourdisse de sa vivacité ? Cette pensée me fais sourire, il ne m’a pas invitée ici pour jouer aux cartes, ça c’est clair pour lui comme pour moi, mais je suppose que nous devons mettre au clair certaines choses avant de faire quoi que se soit. « Une bière si tu as … sinon peu importe, un truc de fort pourrait peut être m’aider à assumer pleinement ma folie. » Je ne suis pas le genre de nana qui à froid aux yeux, je ne recul devant rien et assume mes décisions jusqu’au bout. « Tu invites souvent tes fans à passer du fantasme à la réalité ? » J’en sais rien, mais cette situation est suffisamment dingue pour que je me pose la question. « Ou je suis une petite veinarde ? » Mon sourire en dit long sur ses idées brûlante qui traverse ma petite tête blonde. Je m’avance vers lui un air amusé et clairement charmeur animant les traits fin de mon visage. Mes exigences c’était quoi ? Décadence et discrétion ? Oui évidement entre mon taff de flic ou je suis quand même une figure haut placé et mon paternel qui est une figure respectée et importante du monde politique, je ne peux pas m’adonner ouvertement à tous ces fantasmes qui murissent dans mon esprit. Pas avec n’importe qui… pas n’importe comment. « Alors… Tu as toujours envie de satisfaire une pauvre âme délaissée ? » Je prends cette air faussement innocent jurant avec ce désir brûlant qui me domine. En employant le terme délaissée j’y vais probablement fort, trouver un mec c’est pas le plus difficile en revanche un prêt à me malmener et me faire vibrer comme il se doit, ça c’est plus compliqué.

Le pire dans cette histoire, c'est que je n’ai pas de soucis à mourir, ce qui m’emmerderait par contre, c'est qu’on me fasse miroiter la jolie blonde que je ne pourrais pas baiser avant… Là, je l’aurais mauvaise… C’est peut-être pas une si mauvaise idée de proposer mes organes au marché noir tiens… Remarque vu ce que je prends en général, je dois être tellement pourri de l’intérieur que ça ne va jamais intéresser personne… Bon, je me suis un peu trop fait de films, mais en même temps quel mec va croire qu’une bombe atomique pareille qui veut juste se faire démonter solidement dans les règles de l’art ne trouve pas un débile assez doué pour lui donner quelques orgasmes ? Forcément j’ai paniqué en voyant cette femme d’une splendeur étourdissante et visiblement, je me suis angoissé pour rien. Elle était vraiment venue pour moi et pour s’envoyer en l’air et moi j’ai fait le con. Mais visiblement l’entrée en matière ne la dérange pas. Et, cette robe est un pousse au crime magnifique. Elle me demande une bière ou un truc plus fort pour assumer sa folie pleinement. Oh donc madame est du genre très chaud au point de m’envoyer des photos et débarquer ici une heure après mais c’est pas une habitude. Je nous sers alors de la Vodka dans laquelle je mets du jus d’orange et de la glace pillée. Frais, sucré et fort à la fois. Je la regarde alors qu’elle me demande si j’invite souvent des fans à passer du fantasme à la réalité, je souris amusé et lui lance.

« Si tous mes fans étaient comme toi, je me ferai un devoir de tous les recevoir ici »

Du coup oui, c'est une petite veinarde, enfin non, je crois que le veinard, c'est moi parce que c’est un sacré-cadeau qu’elle me fait ce soir en venant ici. Je souris et avale une gorgée de ma vodka orange et souris en la regardant.

« À vrai dire, je crois que j’ai de la chance que tu sois là… »

Je repose mon verre quand elle me demande si j’ai toujours envie de satisfaire une pauvre âme délaissée ? Je souris et m’avance vers elle et pour toute réponse, je l’embrasse enrouant ma langue à la sienne tendrement durant de longues secondes, je déguste sa langue contre la mienne et sa bouche. Je l’embrasse tendrement pour l’étourdir alors que mes mains se baladent sur elle doucement. Je coupe le baiser et agrippe le haut de sa robe tuyau.

« Et si je les regardais en vrai cette fois… »

Je baisse sa robe et dévoile ses petits seins magnifiques et bien formés. Je souris en me mordant la lèvre et me penche pour venir lui dévorer délicatement les seins, appliquant toute ma science dans mes caresses et mes baisers, mes morsures légères et mes coups de langue, je déguste ses seins dont j’agace les pointes de ma langue les suçant langoureusement avant de la regarder.

« Je n'arrive pas à comprendre pourquoi tu ne trouves pas de mecs capables de te donner du plaisir… »

Je souris et remonte sa robe pour dévoiler son sexe. La jolie robe rouge n’est désormais plus qu’un boudin de tissus autour de sa taille. Sa petite culotte dévoilée, je souris en la regardant dans les yeux et la baisse en me mettant dans la même foulée à genoux devant elle. Souriant, je la laisse s’appuyer contre la table et monter dessus en ouvrant ses cuisses. Je passe alors doucement ma langue sur son sexe en souriant de plaisir de la voir avec cette lueur dans le regard. Je cesse un instant et embrasse son clitoris avant de demander.

« Quelles sont tes limites ? »

Qu’elle me dise ce que je dois et ne doit pas faire. Je veux être à la hauteur de son fantasme, mais aussi pour que je me calme, j’ai peur d’être un peu trop fantasque sinon. Il faut me comprendre aussi… Le cadeau qu’elle me fait en s’offrant à moi ce soir est bien trop intense et magnifique pour que je pense à me retenir…

Outfit -- Je suis dingue. Je crois même que j'ai un très gros problème... Sur le trajet jusqu'à chez lui, je me suis répété en boucle que je faisais une connerie, que c'était en plus de ne pas être raisonnable une mauvaise idée. Plus je me répétais ça en boucle, plus je pressais le pas, plus j'avais envie de me jeter tout droit dans la gueule du loup. Je ne sais pas où je mets les pieds, je ne sais pas à quoi m'attendre j'ai agis sur un coup de tête, un véritable coup de folie mais j'aime cette adrénaline que je sent courir sous ma peau, se propager délicieusement sous mon épiderme. C'est addictif, c'est galvanisant. Le moins que l'on puisse dire c'est que mon séduisant petit acteur porno m'offre un accueil pour le moins surprenant. L'espace d'un instant j'ai cru que j'allais faire demi-tour. Sérieusement ? Non pas avec un mec avec une gueule d'ange pareille. Ce mec est bien trop sexy pour que je tourne les talons.

Je m'amuse de la situation et pénètre dans son antre sans attendre. Je ne suis pas venue jusqu'ici pour rester sur le pas de la porte et moins encore pour faire demi-tour si près du « but ». Il m'offre un verre que je m'empresse d'accepter, m'imaginant quoi ? Que ça allait m'aider à assumer totalement cette soirée qui tient clairement de la folie pure ? Peut être... j'admet même cette hypothèse à haute voix, comme si cherchait à lui démontrer que ces agissements ne sont pas dans mes habitudes. J'ai clairement joué les allumeuses, pour ne pas dire les chiennes en chaleur à grand coup de photos cachant que bien peu mon anatomie, mais ce n'est clairement pas mon « mode opératoire » d'ordinaire et ça je veux qu'il le sache. Il est en quelque sorte l'exception, cette belle gueule qui m'a charmé jusqu'à ce que je ne puisse plus résister au désir de venir me brûler les ailes au coeur du brasier. Mes doigts s'enroulent autour du verre de Vodka Orange qu'il m'offre, je le remercie d'un sourire radieux.

« Oh, ainsi je suis une heureuse veinarde. »

Mon regard pétille de malice pendant que je viens tremper mes lèvres dans mon verre, le regardant par-dessus quand il me dit avoir lui aussi de la chance. Je lui demande alors que je connais parfaitement la réponse s'il est toujours prêt à satisfaire une âme esseulée. Mes iris brillant de désir le sondent alors qu'il comble cette distance qui nous sépare de en quelques enjambées. Mon souffle se fait plus court et irrégulier quand ses lèvres viennent s'écraser contre les miennes. Sa langue force le passage entre mes lèvres, trouvant la mienne le temps d'une danse langoureuse et étourdissante. Ce baiser est d'une tendresse et d'une intensité qui étourdit mes sens, me rendant plus fébrile et désireuse que jamais. Le baiser rompus, mes lèvres demeurent entrouvertes comme si j'en désirais encore davantage. C'est le cas. Putain oui... tellement plus. Ce type a allumé en moi un putain de brasier d'une puissance que je ne mesure pas encore. Il baisse le bustier de la robe jusqu'à la taille. Je me mordille la lèvre en l'observant venir goûter mes pointes, les torturant du bout chaleureux de sa langue. Je retiens mon souffle, laissant échapper quelques gémissements sous cette délicieuse torture. Il relève la tête, n'en revenant pas que je ne trouve personne capable de me donner du plaisir. Un fin sourire provocateur anime les traits de mon visage.

« Dès qu'ils apprennent que je suis une flic, ils flippent et ne sont pas capables de me donner cette étincelle, ce brin de folie dont j'ai besoin... »

Pendant que je prononce ces quelques mots, expliquant ce qui m'a poussé à venir le trouver, il remonte me robe, dévoilant cette petite culotte en dentelle parfaitement assortie à ma tenue. Je retiens mon souffle quand ses doigts agrippent les élastiques de mon dessous pour le baisser et le laisser choir sur le sol. Je m'appuis contre la table juste derrière moi quand je le vois se placer à genoux devant moi. Mon souffle se fait plus cout et ma poitrine se soulève au rythme anarchique de ma respiration. Sa langue vient lentement passer contre mon intimité déjà brillante d'une envie que j'assume parfaitement avant de me demander quelles sont mes limites. Avec sa langue, jouant contre mon bouton de plaisir je ne suis plus certaine d'en avoir, ou du moins d'en vouloir. J'inspire profondément, ma main glisse lentement dans ses cheveux pour lui faire comprendre que j'en veux plus. Oh oui putain... tellement plus.

« Les limites ne sont-elles pas faites pour être sans cesse repoussées ? »

J'arque un sourcil et un sourire mutin et provocateur étiré mes lèvres que je viens lécher d'une lenteur délibérée. Je prends appuis sur la table pour me hisser dessus, j'écarte lentement les cuisses comme s'il s'agissait d'une brûlante invitation. Mon regard n'a pas lâché le sien. À aucun instant. Je me montre à la fois désireuse et provocante, je joue avec le feu en l'allumant de la sorte, mais je crois que je n'ai jamais eu à ce point envie de me brûler les ailes. Il s'approche, je l'agrippe, glissant ma main sur sa joue jusqu'à ce qu'elle échoue dans sa nuque contre laquelle j'exerse une légère pulsion pour venir écraser mes lèvres contre les siennes. Je sent sur la pointe de ma langue le goût de mon propre désir et c'est exquis de le goûter à même ses lèvres.

« Alors si maintenant tu m'aidais à découvrir ses fameuses limites que nous devons repousser... »

Ma voix est chaude et suave quand je ne mesure pas encore exactement ce dans quoi je me lanse. C'est dingue, c'est hors norme, et je crois que je ne me suis jamais aussi vivante qu'à cet instant, face à cette situation dont je perds peu à peu le contrôle. Lâcher prise et sombrer pour ce désir qui me consume. Je suis dingue, ça je ne cesse de me le répéter, mais je veux être là. Oh oui putain. Je veux être cette salope avide de stupre qui se jette corps et âme sur cet homme que je connais qu'à travers des vidéos sulfureuses. Lentement, je me laisse partir en arrière, me redressant qu'en appuis sur mes coudes. Dans mes iris dansent les flammes d'un désir fou et impétueux que je ne contrôle pas. En signe d'ultime provocation... ou d'invitation, mais dans notre petit jeu les deux semblent étroitement mêlés j'écarte les cuisses davantage pour lui offrir une vue imprennable.

Non mais c’est quoi ce délire ? Je peine à réaliser où je me trouve et que tout ceci est réel, c’est un manque total de prudence ce qu’on fait en ce moment et pourtant, je trouve ça dingue et très excitant. Qu’elle soit là en vrai après tout ce qu’elle m’a envoyé ce soir… Je suis d’humeur à faire des galipettes supplémentaires moi. Je la regarde alors que ses yeux crient son désir et son envie de moi. Je m’y noie avec plaisir avant de venir l’embrasser longuement pour lui assurer que contrairement aux mecs autour d’elle qui n’osent pas lui donner du plaisir, je suis plutôt du genre à ne pas me laisser impressionner. Je m’attaque même à sa robe pour dévoiler ses seins que j’attaque avec malice quand elle m’annonce que lorsque ces fameux mecs apprennent qu’elle est flic, ils flippent et ne sont pas capables de lui donner ce brin de folie dont elle a envie. La pression retombe d’un coup. À moins d’être dans un polar bas de gamme ou la sexy flic ripoux kidnappe des mecs pour revendre des organes, je crois que je n'ai pas à m’inquiéter de me faire enlever… Je souris en la regarde alors que je le repousse doucement vers la table.

« Flic ou pas bébé, tu ne repars pas d’ici sans avoir la voix brisée à force de hurler ton plaisir »

Je lui remonte la robe et la mets nue à l’exception de sa tenue qui lui entoure la taille maintenant. Je l’installe cuisses ouvertes sur la table et m’approche pour passer ma langue le long de sa fente en lui jetant des regards brulants. Le délicieux moment où le visage magnifique d’une femme se crispe sous le premier coup de langue est ce que je préfère. Et, quand je lèche, j’aime jouer avec le plaisir d’une femme. Je ne me débarrasse pas de ce genre de caresses comme certains mecs. J’aime faire monter le désir, j’aime que ma langue rende une femme folle et que je contrôle son plaisir de mes seules caresses. Je relève les yeux et constate que contrairement à ce qu’elle affirme depuis son arrivée, le chanceux, c'est moi. Cette nana est littéralement torride et je suis sur le que, le visage rouge d’épuisement, le corps transpirant, courbaturé de plaisir et haletant son bonheur, elle doit être encore plus sexy… Je contemple ses seins qui déjà se dressent. Je savoure ses soupirs naissants alors qu’elle me dit que les limites sont faites pour être repoussées… Pauvre d’elle… Ce genre de phrase pourraient me faire faire bien des conneries trop poussées pour une première fois avec une dame. Je souris à l’idée que ça ne soit pas un jour où je perds le contrôle de mon cerveau comme cette nuit ou j’ai failli faire une overdose, agressé un flic pour fuir avec Ana que j’ai baisé dans un hall d’immeuble crasseux avant de finir la nuit ici… Un petit sourire amusé m’arrive alors qu’elle caresse mes cheveux et m’invite à pousser mes caresses en elle. Elle me provoque d’une dernière phrase et finalement se laisse emporter. Elle soupire et savoure ma langue qui la fouille doucement. Son corps s’allonge et sur ses coudes, elle prend appuie, me regardant alors qu’elle trône sur ma table telle une reine qui se fait choyer par la langue d’un roturier qui s’évertue à lui faire chanter la plus douce des mélodies…

La langue douce et chaude glisse sur son intimité, formant des symboles savoureux sur son corps comme si la magie qui s’en dégageait serait d’une douceur accablante pour le plaisir de cette femme. Je force la barrière de ses lèvres intimes pour jouer avant de venir ouvrir son sexe avec mon index et mon majeur pour glisser ma langue sans gêne sur son sexe rosé et sensible. J’agite ma langue par de petits mouvements rapides avant de compenser avec des lentes et profondes caresses. Délaissant l’entrée de son sexe, je remonte vers son clitoris en la regardant et l’emprisonnant entre mes lèvres en corolles, je laisse ma langue passer et repasser dessus. Je la contemple et perfore discrètement son sexe avec deux doigts pour la surprendre. Je souris malicieusement et tourne mes doigts en elle, les recourbants vers le haut pour masser son point G. Je contemple sa réaction et remonte l’embrasser pour qu’elle goûte sa saveur sur ma langue pendant que mon autre main s’approche de son sexe et que mon pouce masse son clitoris pour continuer de la rendre folle.

« Maintenant que j’ai vu tes magnifiques seins en vrai t’as pas envie de voir en vrai ce que t’as eu en photo ? »

Mon Dieu Brynn, mais dans quoi tu es entrain de te lancer ? Ma raison tente bien de me hurler que je suis dingue et que je manque clairement de raisons. Ça craint, car je le sais parfaitement, mais c'est plus fort que moi, je veux, non j'ai besoin de cette adrénaline. Tous ces sextos ont allumé en moi un brasier qui devra être éteint - ou contenu- d'une manière ou d'une autre. Non mais sans déconner, je suis flic, je sais que ce genre de plan à travers écran interposé peut comporter comme risques. Qu'on ne peut pas se fier à une image virtuel, et si je tombais sur un fou ? Ouai... mais un fou avec cette gueule-là je dis pas non... et là est tout mon putain de problème. et quand on y repense ou est le mal ? Je le veux. Il me veut. Échange de bon procédé et basta ? Ouai je n'ai qu'à me donner bonne conscience comme ça.

Je suis d'humeur à étourdir mes sens à grand coup d'orgasmes successif, je veux épuiser mon corps et assommer ma raison. Je veux un mec qui n'est pas peur de me briser ou de me malmener, je lui explique que de manière général ils flippent des qu'ils savent que je suis flic. Son sourire provocant me rassure, il ne semble pas de ceux-là et ça rétorque m'arrache un sourire amusé. Je le bouffe des yeux, mes lèvres dévorent les siennes. « Tes paroles sonnent comme du miel à mes oreilles... J'espère seulement que tes actes seront à la hauteur de tes mots...» Je lui souffle ses mots entre deux baisers, c'est une provocation de ma part. Une de place pour lui donner le ton et lui prouver définitivement que je n'ai pas froid aux yeux, que maintenant que je suis arrivée jusqu'ici je ne ferais pas machine arrière. Le point de non-retour est atteint et ça je l'assume totalement.

Lui aussi semble vouloir me donner le ton, ma robe n'a clairement plus l'air d'en être une et sa langue glissant entre mes lèvres intimes m'arrache un putain de gémissement. La chaleur de sa langue contre mon intimité déjà luisante d'excitation c'est divin. Son regard semble être plein de promesse, il me dévore au sens propre comme au sens figuré et ça me rend folle. Je suis ivre... ivre d'un trop-plein de désir qu'il semble vouloir assouvir avec toute la férocité et l'intensité que j'attend de lui. Si j'avais des limites avant de franchir le pas de cette porte ses coups de langue semble me les faire oublier... ou du moins me donner envie de les repousser au moins ? L'esprit ce bride avec des limites qui peuvent être abolie avec un tant soit peu de conviction. Mon corps, peut supporter bien plus que je le crois et j'ai envie qu'il m'aide à prendre conscience de tout cela. Je ne me rends même pas complètement compte que je place une confiance incroyable en cet homme que je connais qu'à travers ses vidéos osées. Vas t il me faire regretter mes paroles ? Ou bien au contraire me prouver que mes intentions sont bonnes ?

Alanguie sur cette table, je le laisse faire chanter mon corps, en jouer comme d'un instruments, avec doigté et minutie. Je m'abandonne à lui, plongeant mes doigts dans ses boucles pour l'inciter à m'en donner plus. J'en veux plus. Toujours et encore davantage. Je passe pour une chienne nymphomane ? J'assume. Enfin je crois. Pour l'instant... avec l'aide de cette vodka orange et sa langue entre mes cuisses j'assume. Oh god... cette impression qu'il connaisse mieux que moi encore chaque recoin de mon corps est saisissante, il me conduit vers une extase inévitable. Ses doigts rejoignent sa langue, malmenant d'une main de maître ma fente et mon clitoris à la fois. Mon bassin ondule sous ses doigts, mes gémissements deviennent de plus en plus sonores. Je me surprend à la regarder, les joues rougis lorsque je peine à assumer ce trop-plein de plaisir. Depuis quand un mec digne de ce nom n'a pas su me maintenir dans cet état parfait à la seule dextérité de sa langue et de ses doigts ? S'il sait me rendre folle aussi aisément la suite c'est quoi ? J'ai peur ? Oui, un sentiment de crainte et d'impatience qui décuple toutes mes émotions et toutes mes sensations. L'orgasme me terrasse et il étouffe mes cris d'un baiser au goût indéfinissable. Je goûte à mon propre plaisir par l'intermédiaire de ses lèvres captivantes. Je rougies presque comme une vierge qui découvre ce que l'on appel plaisir. Pourtant j'en suis pas à mon coup d'essaie ? Putain c'est quoi ce délire ? C'est quoi ce mec ? Un dieu du sexe ?

Je le regarde avec ce regard de vierge effarouché, mon regard brille d'un plaisir qui me dépasse et me terrasse encore par sa violence hors norme. Mon corps tremble encore contre le sien quand il me propose de voir non plus à travers des photos son sexe, ce colosse qui me fait frissonner d'un désir bouillant. Merde j'ai l'impression d'être plus qu'une gamine trop timide alors que ça ne me ressemble pas. Il m'arrive quoi là au juste ? Je tente de reprendre contenance tant bien que mal, le faisant reculer doucement pour que je puisse désendre de la table. Je fais glisser le boudin formé par ma robe pour qu'il tombe à terre. J'en aurais plus besoin, tout morceau de tissus me semble d'une incroyable inutilité à présent. Je me penche en avant pour venir l'embrasser, mes dents attaquent sa lèvres inférieur pour le titiller à mon tour. Je dois reprendre du poil de la bête, je ne veux pas qu'il s'imagine que.... que quoi ? Qu'il y a peut être pas grand-chose derrière ses courbes qu'il semble tant apprécier. Le décevoir à présent ne sonne pas comme une option acceptable à mes oreilles. Dans le même temps mes doigts viennent palper son sexe durcit à travers la dernière barrière de tissus. J'en apprécie la taille du bout des doigts avant de laisser tomber son short. Je le sent s'étendre et prendre toute son envergure entre nos deux corps brûlant. Je me risque à baisser les yeux, un sourire plein de sous-entendue étire mes lèvres. « Il est encore plus impressionnant en chair et en os...» Je souffle ses mots tout en venant presser mon bassin contre le sien, appréciant de le sentir durcit et visiblement déjà prêt à bien des folie. « Tu permets ? Je dois remettre le score à 1 partout... » Je lui laisse pas le temps de réagir, je tombe à genoux et coule sur lui un regard digne d'un panthère prête à dévorer sa proie. Mes lèvres capturent son gland, coulissant lentement sur toute sa longueure. Je sent glisser chaque centimètre de son membre à la taille pour le moins impressionnante. Je doute qu'il entre entièrement et pourtant je m'apprête à prouver le contraire. Ce bâillon de fortune fait qu'attiser ma gourmandise. Je le provoque silencieusement du regard pendant que je commence à les laisser aller et venir, le comprimant entre mes lèvres, laissant ma langue s'attarder en son sommet. Je le déguste comme un met d'exception... attentive à ses soupires, ses gémissements quand mes intentions sont de le rendre complètement dingue, désireuse de libérer en lui l'animal qui sommeil et qui sera d'une férocité incontenable.

À quel moment un truc est parti en sucette pour que je me retrouve en train de lécher cette flic divine et parfaite sur cette table en lui jetant des regards enivrés et passionnés ? Je passe délicatement ma langue sur son sexe et déjà le corps de cette femme qui m’envoie des photos salaces et qui vient chez moi dans le but avoué de se faire démonter comme jamais, est en train de vibrer sous mes caresses. Elle est vraiment une fan ? Elle aime me voir baiser et elle a envie de sa part ? L’idée est bien trop salace et excitante pour être vraie. Et pourtant elle est là. Nue, cuisses ouvertes à gémir lascivement aux premières caresses. C’est presque trop facile si elle est déjà aussi expressive, je vais la mettre au supplice. Je pousse ma langue qui viole ses barrières intimes et découvre son intimité dans sa partie la plus délicate et sensible. Ma langue glisse et caresse bientôt suivie par mes doigts qui se font un plaisir de m’ouvrir le chemin pour faciliter le va et vient de ma langue contre son intimité en feu. Les minutes filent et les soupirs s’intensifient alors que je viens sucer son clitoris tendrement, enfonçant deux doigts en elle délicatement. Je dévore son clitoris et doigte son sexe langoureusement, massant son point G avec douceur et ferveur. J’aime donner du plaisir à une femme, la mettre dans un état de bonheur et de désir tellement suave et intense qu’elle oublie sa propre existence le temps de prendre son pied comme jamais et de vivre le moment a fond avant de rougir une fois revenue à elle de ce qu’elle a osé faire. Le pire, c'est que je ne peux pas envisager de fourrer ma langue entre les cuisses d’une femme sans la laisser vibrante et mourante de plaisir alors que cherche à la faire jouir sans concession. Faire jouir une femme est une chose que j’adore et quand l’orgasme de cette femme explose, je m’empresse de le dévorer de ma langue et de l’enflammer de mes doigts en elle. Frénétiquement et passionnément, j’alimente sa jouissance en lui jetant des regards enflammés et brulants de désir. Je souris malicieusement, les joues et les lèvres pleines de sa mouille brulante alors que je taquine toujours son clitoris, mes doigts en elle immobiles contre son point sensible…

C’est alors que je lui propose de voir en vrai ce que je lui ai envoyé en photo. Elle se lève et retire sa robe en boudin qui tombe au sol. Nue et perchée sur ses talons, la dame approche et se penche pour m’embrasser. Elle mord ma lèvre et je souris amusé. Elle agrippe mon sexe alors que je me lève et voilà qu’elle laisse tomber mon short et contemple ma queue raide et solide qui ne tend devant elle. Elle annonce qu’il est encore plus impressionnant en chair et en os. Je souris parce que j’adore sortir ma queue à une fille. Elle est toujours plus grosse qu’on l’imagine et j’avoue que c’est marrant. Elle me demande si je permets qu’elle remette le score à un partout et je hoche la tête en souriant de sa réplique avant de me mordre la lèvre de plaisir. Elle tombe à genoux devant moi et me fixe d’un regard ardent avant de poser ses lèvres sur mon gland avant de coulisser sa bouche sur toute ma longueur et continue de me prendre dans sa bouche et de jouer avec moi me jetant un regard de salope… Putain elle veut tellement attiser le feu… Je soupire et je crois que je pourrais passer des heures avec la queue dans sa bouche juste pour me sentir cajolé et vénéré comme un dieu. J’ai envie de lui dire d’y aller à fond, que je ne suis pas en sucre, mais putain j’ai envie de la baiser. Oh merde non… On va devoir enfiler une capote… Fais chier ça. J’me sens comprimé et c’est moins bon et risqué… Mais bon la dame il faut aussi la ménager un peu… Enfin pas trop. D’ailleurs, j’agrippe l’arrière de sa tête et serre ses cheveux avant de baiser sa gorge quelques secondes pour la faire suffoquer sur ma queue pendant que je tape au fond de sa gorge avant de sortir tout raide et dégoulinant de salive de sa bouche de déesse.

« Je crois que je pourrais faire ça pendant des heures, mais j’ai envie de voir comment tu cris quand je te baise… »

Je me penche et l’embrasse avant de l’esquiver en souriant et de piquer mon verre que je vide d’un trait avant de lui faire signe de me suivre vers le lit à l’autre bout de la pièce. J’ouvre le tiroir en passant et lui affiche un stock de capote dans lequel elle peut piocher. Je m’allonge et écarte les cuisses en me redressant sur un coude me caressant la queue pour la narguer.

« Tu m’enfiles une capote et on voit combien tu es bonne cavalière ou tu préfères que je te démonte comme un malade sans te laisser le moindre contrôle ? »

Est-ce qu’elle va réaliser qu’elle vient d’entrer dans la tanière du démon ? Un démon au sourire enjôleur… Mais dans tous les cas, je compte lui laisser un souvenir démentiel voir peut-être de lui donner envie de revenir si visiblement autour d’elle, elle ne trouve personne pour lui ravager son corps de déesse…

Je ne sais pas à quel moment mon cerveau a vrillé au point de me conduire jusqu'ici. Je mesure toute la dangerosité de la situation, tout ce qu'un tel comportement pourrait impliqué, mais je m'en fiche, ou du moins ça ne m'arrête pas. Je me sens alors comme dans une bulle de luxure, ou la dureté de mes obligations dus à mon poste dans les forces de l'ordre semble passer définitivement au second plan. C'est comme si chaque coup de langue qu'il porte entre mes cuisses me pousse un peu plus vers la déraison, m'emprisonnant dans ce carcan de désir sauvage et pressant. La femme sur d'elle que je suis quotidiennement semble céder sa place à une petite chienne gémissante et tremblante d'un plaisir qui la dépasse allègrement. Je n'en ai pas encore pleinement conscience, mais j'ai déjà perdu le contrôle de la situation, je suis déjà allé bien trop loin dans ma folie pour qu'un retour en arrière soit envisageable. Pourrais-je seulement en avoir envie ? Ma raison pourrais vouloir me rappeler à l'ordre, si seulement elle n'était pas fermement museler au plus profond de moi.

Sa langue trop habile me cajole et m'arrache des gémissements de plus en plus pressant, mon corps tout entier s'enflamme sous ses attentions. Mon regard brillant coule sur lui, et la lueure prédatrice que je lis dans ses prunelles me fais frisonner. Ce mec est dingue, il me rend dingue et plus ardente encore que le coeur en fusion d'un volcan. Mon corps tout entier se tend au fur et à mesure qu'il fait naître en moi un plaisir d'une rare intensité. Je me laisse porter par les flots tumultueux du plaisir, mon corps tout entier tremble d'un plaisir qui échappe totalement à mon contrôle. Je perds pied... je ne cotrôle plus rien et c'est à la fois effrayant et galvanisant. Mon plaisir explose et se propage dans chacune des fibres de mon êtres, sa langue brûlante continue de me fouiller avec acharnement, alimentant ma jouissance jusqu'à son paroxysme. Je me débat alors avec mon propre plaisir, avec cette vague qui me submerge et me noie entièrement. Je peine à reprendre contenance. Je tremble comme une feuille encore secouée par la violence de cet orgasme.

Son sourire satisfait et plein de malice me donne l'envie furieuse de remettre les scores à zéro, lui prouver que je peux offrir autant de plaisir que je semble capable d'en recevoir. Je me débarasse de ce qui reste de ma robe, je n'en ai plus besoin, de moins pas présentement. Je la jette dans un coin sans m'en soucier davantage, toute mon attention est focaliser sur lui... sur cet amant d'exception qui enflamme mon corps tout entier d'une simple caresse. J'ai gardée mes chaussures à talons, et nue avec mes escarpins autant vous dire que ça fait chienne à souhait. Je viens l'embrasser sauvagement, venant goûter à ma jouissance à même ses lèvres brûlante. Putain c'est dingue. Je suis dans un état d'excitation qui dépasse l'entendement. Je suis encore à peine remise de l'orgasme qui vient de me terrasser que je le dévore déjà comme une véritable affamée. J'agrippe son short que je baisse au niveau de ses chevilles pour pouvoir me délecter de cette vue parfaite sur son engin d'une taille plus que généreuse. Il est là, dressé devant moi comme un colosse au meilleur de sa forme. Je tombe à genoux devant lui, sans le lâcher des yeux un seul instant. Je veux qu'il mesure la gourmandise qui m'habite, qu'il effleure des doigts la dangerosité de ce désir qui m'assaille de toutes parts. Je dépose mes lèvres sur son sommet, l'embrassant chaudement avant d'entrouvrir les lèvres pour le sentir glisser et prendre possession de ma bouche offerte et provocatrice. Les regards que je lui lanse sont ceux d'une salope en manque de foutre et si je me voyais je ne suis pas sur que je serais en mesure d'assumer totalement. J'attise le feu, entretien la braise brûlante de son désir. Une chose est bien claire et établie, je veux le rendre dingue. Comprimé entre mes lèvres, je le cajole et le suce comme s'il était une véritable entité divine, un dieu vivant auquel je m'offre toute entière sans retenue et sans état d'âme. Je couine et mon coeur manque un battement dans ma poitrine quand je le sent m'empoigner par les cheveux pour m'imposer son rythme. J'ai l'impression de n'être plus qu'une poupée entre ses mains fermes et dominatrices et c'est une sensation divine. Il ne s'agit plus d'une fellation, non, plus depuis que j'ai perdu totalement le contrôle. Il baise mes lèvres avec violence et putain ce que j'aime ça ! ! Son gland tape au fond de ma gorge à chaque mouvement, je suffoque, j'ai l'impression de manquer d'air et pourtant mes gémissements laisse que deviner à quel point j'aime ça. Ma salive coule sur mon menton et dégouline sur ma poitrine tendue par l'excitation. Le joue me montent au joues, me donnant des airs faussement innocents et qui n'ont clairement plus lieu d'être à partir du moment où j'ai une queue enfoncé profondément entre les lèvre.

Quand il me laisse un peu de répit, je le regarde, le souffle court et les lèvres rougit et gonflées par le traitement sauvage qu'il vient de m'imposer. Ce mec est carrément dément et putain ce que j'aime ça. Il a ce piquant qui me manquais, cette audace et cette sauvagerie qui me fais carrément vibrer.

« Je veux pas crier... je veux hurler à m'en briser la voix...»

Je souffle ses mots contre ses lèvres chaudes, couinant de frustration quand il me refuse un baiser. Il vide son verre et j'en fais de même avant de me lever, m'avançant à sa suite lorsque je suis certaine que mes jambes tremblantes puisse me porter jusqu'au lit sans défaillir. Mes prunelles bleu tombent sur le tiroir plein de capote, une chose est certaine, c'est que nous allons pas en manquer. Y a clairement de quoi faire. En même temps j'aurais put m'y attendre. J'en prends un au hasard en passant. Il m'a promis de me faire crier non ? Et je me suis promis de me laisser aller... d'accepter de perdre le contrôle. Ça me demande de prendre sur moi, mais j'en ai besoin, ça parait ridicule à dire peut être mais à cet instant cela me semble presque vitale. J'ouvre la capote et le regarde avec un sourire qui en dit long sur les désirs qui me tenaille. J'ai si chaud à cet instant que j'ai l'impression que je pourrais m'enflammer ici et maintenant. Féline, je monte sur le lit, m'avançant vers lui, je pince le bout de la capote avant de la déployer sur son colosse de chair. Je me penche et l'embrasse longuement, dévotrant ses lèvres qui ont encore le goût de mon plaisir. Le chevaucher ou le laisser prendre le contrôle sur mon corps... telle est la question. En réalité, mon choix est fait... je suis venu ici pour me faire baiser salement, je suis venu chercher ce que d'autres ne savent pas m'offrir. A quatre pattes sur le lit, je me tourne, lui offrant une vue plongeante sur ma croupe à la peau pâle et laiteuse. Je laisse tomber mon buste sur le drap, écrasant ma poitrine pour venir poser mes mains de part et d'autres de mes fesses, les écartant doucement pour lui dévoiler mon intimité luisante de désir... La position est telle une invitation d'une provocation extrême. ù

« Je suis venu te trouver pour une expérience décadente, dépassant l'entendement... alors baise-moi, prend le contrôle de mon corps... fait moi hurler d'un plaisir si intense que je serais incapable de le contenir. »

Mon bassin ondule doucement pour le narguer. Je cherche clairement à l'aguicher comme une remarquable petite salope. Je lui avais vendu une chienne, une petite salope en manque de sensation forte et je veux lui montrer que je n'ai pas froid aux yeux, que tout ça ce n'était pas que du vent. Je ne reviens jamais sur mes décisions, sur mes choix, je vais jusqu'au bout quoi qu'il m'en coute, et ce, don juan au sourire enjôleur ne fait pas exception à la règle.

Bordel est-ce que la déesse du sex s’est abonné à mon Onlyfans et est-ce qu’elle s’est dit qu’elle avait besoin de sa part ? Putain j’arrive pas à croire que cette nana soit ainsi délaissée ! C’est un crime contre l’humanité !!! Elle est magnifique et je suis sur qu’en tant que flic son côté petite garce autoritaire doit être un délice. Si je bossais avec elle, je serai le pire employé du mois parce que je passerais mon temps à la chauffer. Et le pire c’est qu’en plus d’être belle et ardente elle suce comme une vraie merveille. Sa bouche m’avale sans retenue et ses yeux cramponnés aux miens ne cessent de me vénérer. Elle à ce genre de regard qu’il peut faire venir en mec en trois secondes parce qu’il donne l’impression qu’elle veut vous faire mourir de plaisir en quelques minutes. Elle est dangereuse. Et le pire c’est sa manière d’encaisser avec délice mes assauts. Sa gorge termine totalement envahie par mon sexe et elle se laisse défoncer la gorge même si j’y vais précautionneusement… Enfin… Plus que d’ordinaire on va dire. Je pousse le vice en prenant le contrôle et là je réalise que cette femme n’a pas envie de jouer les chefs au lit mais probablement la petite garce totalement soumise aux fantaisie de son amant ? Encore une fois que fais la police putain !? C’est impossible que cette nana ne soit pas occupée chaque soir avec un mec pour la combler… Vraiment les mystères de ce monde sont étranges et sans réponses… Elle ne se ménage pas et malgré la privation d’air et la douleur elle continue. Ses seins sont luisants de sa salive. Elle suce et gémit en poussant des bruits de gorges salaces. Ses yeux magnifiques sont rougis de larmes et scintillent. Elle aime se faire malmener. Elle aime me sucer… Je m’arrête pour ne pas me limiter à sa bouche même si l’envie est immense d’honorer ce traitement qu’elle m’a laissé lui infliger par une superbe récompense chaude sur sa langue… Je m’en abstient il faut savoir mesure garder sinon je vais devenir dingue et la kidnapper pendant des semaines… Alors que je lui déclare vouloir la baiser et l’entendre crier elle réponds qu’elle veut hurler. Putain cette nana me rends fou. J’avale un peu de mon verre pour calmer le feu qui gronde en moi et me rends vers le lit ouvrant le tiroir des capotes avant de m’allonger sur le dos. Elle approche et en pique une en souriant.

Cette femme est juste superbe et la voir approcher de moi toute nue en tenant cette capote dans les mains c’est juste torride à souhait. Je me redresse en prenant appuie sur mon coude et lui demande de m’enfiler la capote avant de voir si elle préfère me montrer comme elle est bonne cavalière ou si elle préfère se faire démonter sans ménagement et sans lui laisser le moindre contrôle ? J’ai un sourire radieux en la fixant. Je crois quelle connais déjà la réponse mais je peux me tromper… Même si la suite me donnera raison. Elle monte sur le lit. Déballe la protection. Elle pince le bout et la déroule habilement le long de mon manche. Je la regarde faire avec des yeux gourmands. Elle s’écarte et se place à 4 pattes m’offrant une vue sur ses deux orifices et se tourne vers moi pour me regarder avant de laisser tomber le haut de son corps sur le matelas. Je me redresse et viens derrière elle quand elle me dit qu’elle est venue pour trouver une expérience décadente et folle. Elle me demande de la baiser et de la contrôler… Je souris et présente mon sexe contre sien. L’extrémité s’enfonce lentement. Mon gland entre et je pousse très lentement mon sexe qui écarte le sien. Je suis bien membré. En même temps c’est cette particularité physique associé à mon visage d’ange qui m’a fait choisir ce métier… Je m’agrippe à ses hanches alors que mon sexe s’est enfoncé d’un tiers de sa longueur en elle. Je souris et soudain d’un coup sec, je tire son corps en arrière en frappant avec mon bassin sur l’avant. L’intégralité de mon sexe pénètre le sien sans douceur d’un coup sec et intense dont l’écho du choc se répercute encore sur les murs de l’appartement mêlés à un gémissement de surprise et j’espère de plaisir de ma magnifique victime du soir. Je me recule laissant mon gland en elle uniquement.

« Oh mon dieu pardon, j’ai trébuché… »

Je renouvelle mon assaut. Identique au précédent mais cette plus violent encore.

« Quel maladroit. »

Une fois planté au fond d’elle, je me met à onduler sèchement contre son corps que j’accable de va et viens vigoureux et profonds la dévorant des yeux. Son corps est un terrain de jeu sexy et savoureux. Je libère une main que je plonge sur son clitoris pour le pincer et le chahuter en la martelant encore et toujours aussi fort. Je veux que cette femme soit comblée au delà de ses attentes et qu’elle ne puisse pas repenser à cette nuit de malade sans mouiller abondamment de désir…

Cet homme est tout simplement incroyable. Il est tellement doué pour le sexe que je ne peux m'empêcher de penser qu'il est un vrai dieu dans ce domaine. Il sait exactement comment me faire frissonner de désir. Chacun de ses touchers me donne des frissons de plaisir. Et quand il me regarde avec ses yeux pénétrants, je me sens complètement captivée par lui. C'est comme si j'étais sous son charme et que je ne pouvais pas m'en échapper. Je me demande parfois si je suis comme un papillon de nuit attiré par la lumière dangereuse et fatale du plaisir. Mais je ne peux pas m'empêcher de succomber à cette adrénaline qui se déverse dans chacune des fibres de mon être et qui me galvanise, me rendant encore plus ardente que le cœur en fusion d'un volcan. C'est comme si chaque moment passé avec lui allait être une nouvelle expérience, une aventure excitante qui me transporte vers un monde de plaisir inexploré.

Mes lèvres douces et sensuelles glissent lentement sur son pieu de chair, le titillant avec désir et délectation. Je suis submergée par une envie incontrôlable de le posséder pleinement et de lui donner tout ce qu'il désire. Mon corps tout entier est enflammé de passion alors que je le regarde avec un désir sans fin. Je suis émue par la force de ses sensations incroyables, de la luxure pure et dure. Mes yeux se noient dans les siens alors que je lui donne tout ce que je suis, remplissant chaque instant de notre étreinte de passion et de désir. Peu à peu, je me laisse aller sous mes assauts et je lui offre tout le contrôle. Ses doigts s'enfoncent dans mes cheveux blonds et il impose son rythme. Son sexe se plonge au fond de ma gorge à chaque mouvement, me faisant pousser des gémissements obscènes mais délicieusement excitants. Je suis presque étouffée par sa bite, mais cela ne fait qu'attiser mon désir de plus en plus intense. Je me sens devenir de plus en plus humide et je me sens comme une salope en manque de foutre. Je suis obsédée par ce désir intense qui m'envahit, je ne peux plus m'en passer. Même si cela signifie souffrir et manquer d'air, j'en suis prête. En fait, je crois que la douleur et l'asphyxie font partie des ingrédients nécessaires à mon plaisir. Cette sensation est tellement forte que je me sens plus vivante que jamais auparavant. Chaque fibre de mon être est éveillée et je suis prête à tout pour satisfaire cette pulsion. Même si cela peut sembler fou pour certains, je ne peux pas m'empêcher de rechercher cette sensation enivrante encore et encore.

J’aurais tellement aimé goûter à ce liquide chaud et sentir sa chaleur se déverser au fond de ma gorge, mais il en a décidé autrement et s'est retiré. C'était si puissant et violent, cela a laissé mon esprit embrumé par le désir. Je ne pouvais pas m'empêcher de penser à la sensation de ses coups de reins qui me frappaient avec une puissance inouïe. Cela faisait ressortir mes désirs les plus profonds et je ne pouvais que couiner de frustration. Mais j'étais prête à tout pour satisfaire ces désirs qui résonnaient dans mon esprit comme des ordres. Je suis tellement excitée que je ne veux pas seulement crier de plaisir, je veux hurler à m'en casser la voix. Il semble répondre à mon excitation, ce qui ne fait qu'augmenter mon désir pour lui. Je choisis une capote au hasard, n'y prêtant pas attention à ses particularités, car tout ce qui m'importe maintenant, c'est de partager ce moment intime avec LUI. Je prends mon temps pour enfiler la capote sur son membre viril, appréciant chaque sensation et chaque geste. Tout en faisant cela, je suis submergée par l'excitation et l'anticipation de la suite de notre aventure érotique. Il me regarde avec insistance, un sourire malicieux aux lèvres. Il me propose un choix, mais ma réponse est sans appel. Je suis venue ici pour goûter à l'inconnu et vivre une expérience qui sorte de l'ordinaire. Je suis prête à me laisser aller et perdre le contrôle. Je me positionne à quatre pattes, telle une chienne, offrant ma croupe à cet homme qui m'attire tant. Je sens mon corps frissonner à l'idée de ce qui va suivre, mais je suis prête à lâcher prise et me laisser submerger par le plaisir.

Je retiens ma respiration quand je le sens derrière moi. Sa respiration chaude caresse la peau sensible et brûlante de mon dos, et je ne peux m'empêcher de frissonner sous son toucher. Mon corps entier est réceptif à ses caresses et mon bassin ondule, implorant qu'il me prenne à présent. Je gémis de plaisir en sentant chaque millimètre de sa queue s'enfoncer lentement en moi. La chaleur de mon intimité semble le ravir et il prend son temps pour savourer chaque sensation. Brusquement, il s'enfonce en moi avec une force inattendue, son bassin claquant contre mes fesses. Je ne peux retenir un cri de surprise. Je tourne la tête pour essayer de croiser son regard. Je veux voir le plaisir sur son visage, admirer son sourire de parfait branleur lorsqu'il me prend avec autant de fougue. Ses mains se saisissent de mes hanches alors qu'il continue de me pénétrer avec vigueur. La passion et le désir entre nous est palpitant, brûlant, électrique. Il continue à jouer, sort presque complètement de moi avant de recommencer à nouveau... Je ne peux m'empêcher de gémir, de crier... Je me tortille sous la force de sa poigne qui maintient fermement mon bassin en place. C'est un traitement que j'apprécie tout autant que je le redoute, car la violence me rend aussi tremblante que brûlante. Je me rends compte que je suis folle de ce qu’il est entrain de me faire, de cette passion dévorante. C'est une folie que je ne peux pas m'empêcher d'aimer, malgré tous les risques qui y sont associés.

« Putain… ta maladresse me rends complètement folle. »

Sa main cherche à jouer avec mon clitoris, en plus de ses coups de reins puissants et butoirs. Je sens que je suis en train de perdre le contrôle, submergée par un torrent de plaisir dévastateur. Mon corps est en feu, et je ne peux pas m'empêcher de gémir de plaisir. Ses doigts sont couverts de ma cyprine qui coule abondamment, témoignant de mon excitation croissante. À chaque coup de rein, je me rapproche un peu plus de l'extase, cette sensation inégalée de plaisir qui menace de me submerger. Je me demande s'il se rend compte de l'effet qu'il a sur moi, de la dépendance que je commence à ressentir pour son corps et ses traitements. Mais comment pourrait-il le savoir quand moi-même je ne suis pas encore consciente ? C'est comme si mon corps avait développé une vie propre, une vie qui ne demande qu'à être comblée par ses délires de plus en plus fous. Et je me rends compte que je veux plus que tout être sa chose, être à sa merci, être sienne en tout temps.

Je me sens alors envahie par un plaisir inouï et indescriptible. Chaque parcelle de mon corps est en feu et je suis secouée de spasmes délicieux et incontrôlables. Je me mets à gémir et à crier, totalement prise au dépourvu par la violence et l'addiction de cette explosion de plaisir. Mon corps tremble et semble à bout de force, mais je ne me sens pas rassasiée pour autant. Au contraire, cette sauvagerie n'est que le début d'une longue nuit de passion et de désir intense. Mon esprit est rempli d'images suggestives et je suis avide de découvrir ce que cette nuit me réserve, dans un tourbillon de sensations et de plaisirs infinis. Il me pilonne jusqu’à exploser à son tour, le sentir en proie à la jouissance à son tour me galvanise et me rends toute chose. Putain, je savais que c’était une bête de sexe, mais je suis à des milliers de kilomètres de ce que mon esprit pourtant productifs c’était imaginé. Il me fait vivre une expérience inoubliable et je souris en songeant que c’est probablement que le début de l’aventure. A moins que je sois une profonde déception ? Non… je ne crois pas, ce n’est pas ce que me laisse penser ses traits à la fois crispés et comblés par cet instant d’une rare intensité.

Je tente de me relever en m'appuyant sur mes coudes, m'avançant légèrement pour libérer son sexe de la chaleur de son logement. Mes jambes tremblent et peinent à supporter tout le poids de mon corps encore échauffé par la folie de cet échange charnel. Je me retourne et plonge mes yeux brillants dans les siens, le regardant comme un dieu parmi les hommes. Je sens une vague de désir m'envahir alors que mes bras s'enroulent autour de son cou et que je presse ma poitrine contre son torse brillant de transpiration, m'abandonnant à un baiser passionné. Mes pensées s'envolent alors que je me perds dans la chaleur de notre étreinte, savourant chaque instant de ce moment magique.

« Monsieur est à la hauteur de sa réputation… »

Un sourire naît sur mes lèvres alors que je souffle ses mots tout contre ses lèvres. Est-il dans le même état d'esprit que moi ? Je me demande s'il est aussi désireux que moi, si son envie est aussi pressante que la mienne. Mes yeux plongent dans les siens tandis que je cherche à y lire la même folie qui m'anime. Je sens mon cœur battre la chamade alors que je me rapproche de lui, attirée par son charme et sa présence. Les battements de mon cœur s'accélèrent et je sens mon souffle se faire plus court alors que nos lèvres se frôlent. Je me sens envahie par une vague de désir alors que je me laisse emporter par ce moment incroyable.

« Le problème maintenant c’est que j’en veux plus… »

Je me sens prise dans une spirale dangereuse, une dépendance qui m'attire et m’effrais à la fois. Cette drogue dont mon corps a maintenant goûté crée une addiction plaisante mais potentiellement dangereuse. Je décolle légèrement l’un de l’autre nos deux corps brûlants pour retirer la capote pleine de son sperme. Je jette la capote au pied du lit et lèche mes lèvres, me sentant comme une garce. Pour redonner sa vigueur à mon partenaire, je m'allonge ventre à plat sur le lit, prenant le temps de le nettoyer et de le préparer pour la prochaine session. Je ne peux m'empêcher de me sentir comme une chienne en manque, mais je suis prête à tout pour satisfaire cette addiction qui me domine.

Comment est-il possible que cette déesse soit en manque de sex ? Est-ce que les mecs sont devenus des petites bites flippées qui paniquent à l’idée qu’une femme sexy et belle comme un ange soit affamée de sex au point de les essorer jusqu’à l’évanouissement ? Chaque recoin de son corps est un délice, ses seins menus sont à tomber et vont parfaitement sur son corps svelte et élancé. Elle a un charme qui lui est propre et divinement savoureux. Sa manière de sucer est un appel brutal à la débauche. Sa manière de planter son regard dans le mien en engouffrant tout mon sexe avec cette ferveur et cette passion dévorante me renverse le bide. Je crois que je pourrais me contenter de baiser sa bouche et sa gorge jusqu’à la libération totale. Mais ce serait criminel de ne pas lui donner la satisfaction de me sentir me déchainer entre ses cuisses. Je la repousse doucement et lui laisse un choix qu’elle illustre d’une posture d’une indécence parfaite. Il n’en faut pas plus pour réveiller l’animal en moi et surtout ce sourire qui présage de mon déchaînement à venir. Je viens derrière elle, la queue enveloppée de plastique et me place près d’elle. Mon sexe entre en elle avec une lenteur calculée et je la pénètre centimètres après centimètres, très lentement, comme pour lui faire sentir combien mon outil de travail peut être épais et imposant et qu’elle ait la sensation de me sentir entrer indéfiniment en elle. Quand j’ai enfoncé les deux tiers de mon équipement, un coup de bassin puissant et solide la perfore sans retenue. Je lui déclare être maladroit et tente de me retirer pour replonger en elle d’une manière indique. Elle commente positivement et alors que je joue avec son clitoris de mes doigts, la magnifique jeune femme se serre autour de mon sexe. Je bénis finalement cette capote qui d’ordinaire m’embarrasse plus qu’autre chose car elle me permet de tenir. Cette femme est faite pour le sex. Tous les mecs du monde qui l’ont repoussé sont des nuls.

Elle doit d’ailleurs être sacrément en manque car elle monte rapidement en pression et moi je m’abreuve délicieusement de ses soupirs. Je la percute sans ménagement car elle adore ça. Je réalise cependant que je ne vais pas battre des records de durée… J’étais clairement pas prêt pour cette déesse… Qu’importe, on va dire que c’est un coup pour rien. Juste histoire de faire connaissance avec elle. Je m’active sur elle et me redresse lui agrippant les hanches pour la pilonner sèchement, claquant mon bassin contre son cul vivement sans pour autant lui faire bénéficier de ma « botte secrète » Mais c’est déjà suffisant. Elle s’effondre et exalte son plaisir qui couvre les bruits de mon corps claquant contre le sien. Je suffoque quant à mon tour je suis surpris par sa jouissance qui enserre mon sexe et le fait céder. Je grogne de bonheur en me déversant dans ma prison de plastique, haletant de bonheur alors qu’elle vient de m’arracher une jouissance intense. Elle se retourne et me retire en m’enlaçant. J’ai les jambes qui tremblent. Sérieux c’est quoi cette meuf ? La tornade du sex ? Elle me complimente alors qu’on a tenu quoi … 5 minutes ? Elle sourit et m’embrasse. Putain elle est heureuse avec si peu ? Cette femme est parfaite. Je l’embrasse du bout des lèvres quand elle me dit que le problème c’est que maintenant elle en veut plus.

« Le problème c’est que tu ne vas pas dormir de la nuit… »

Je l’embrasse alors qu’elle se décolle et me retire la capote pleine qu’elle jette au pied du lit avant de venir se mettre à plat ventre sur le lit face à mon sexe raide et souillé. Je saisis ses cheveux en une natte improvisée avec ma main gauche et lui enfonce dans la bouche pour lui baiser langoureusement avant de lui foutre une claque violente sur le cul de ma main libre. Je souris de voir son cul rougir et lui enserre la fesse que je masse fermement.

« … Et surtout maintenant… Je vais te démonter comme une vraie salope doit l’être… Pardon bébé, mais t’es bien trop intense pour que je te baise mal… »

Mon sexe force sa gorge et plonge en entier dans sa gorge avant de reculer et de replonger tout au fond. Je souris et m’en amuse avant de frapper son autre fesse de ma main.

Cet homme est une véritable pépite, un amant absolument hors du commun. Je suis telle une biche captive des phares aveuglant d’une voiture. Je me sens comme une biche captivée par les phares aveuglants d'une voiture, incapable de résister à son charme irrésistible. Bien que je sois consciente des dangers que ce jeu pourrait causer à ma réputation et à ma carrière, mes sens sont en ébullition et je suis incapable d'être raisonnable. Je me laisse emporter dans cette passion torride, savourant chaque instant avec lui comme s’il pouvait m’échapper à chaque instants.

Je me suis jetée sur sa bite comme une affamée, la dévorant avec une férocité que je ne me connaissais pas. Mon regard était celui d'une salope en manque de sensation forte, mais j'assume cet appétit dévorant sans rougir, mon sang chaud et épais est tel de la lave en fusion. Je m'offre entièrement à lui, sans l'ombre d'une hésitation et sans conditions, désirant ardemment le plaisir pur et brutal qu'il peut me donner. C'est tellement exaltant de pouvoir s'abandonner ainsi à ses désirs et de se laisser emporter par la passion. Chaque caresse, chaque baiser, chaque contact est une source de frissons et de plaisir intense. Quand il m’offre un choix, ma réponse viens s’illustrer avec une position osée et subjective, qui ne laisse pas sa place au doute quant à ce que je désire. Je veux une passion animale, une fougue sauvage qui réveille l'instinct animal en moi. J'aime le sentir se libérer de toutes les conventions et se laisser aller à ses désirs les plus fous. C'est dans cette indécence parfaite que je trouve l'extase absolue. J’aime contempler cette lueurs prédatrice dans la profondeur de ses iris. Elle semble refléter toute la force et la détermination qui l'habitent, ainsi que sa capacité à conquérir tout ce qu'il désire. Cela me donne l'impression d'être face à une force de la nature, capable des corps à corps les plus brûlants et les plus sauvages et je tremble d’excitation à l’idée d’y goûter.

Je me tiens à genoux, sachant qu'il est derrière moi. Je sens sa présence, son aura qui me fait frissonner du sommet de ma tête jusqu'à la pointe de mes orteils. Je suis en feu, attendant avec impatience d'être remplie et ravagée par sa folie. Il est en train de me pénétrer avec son gland, et je retiens mon souffle. Chaque centimètre de sa virilité imposante est en train de s'enfoncer lentement en moi, et cela me rend complètement folle d'envie. Il prend son temps, calculant chacun de ses mouvements pour augmenter mon désir. Enfin, il s'enfonce en moi brutalement, m'envahissant de toute sa longueur. Sa férocité me coupe le souffle, il me percute sans ménagement, me démontant tout en massant mon clitoris avec dextérité. Je monte en pression sans attendre, tout mon corps, tout mon être entre en ébullition. Je suis submergée par un plaisir puissant, qui me ravage de l'intérieur. Mon corps tremble, secoué par des spasmes qui ne semblent jamais s'arrêter. Je suis comblée, mais je veux encore plus. Je veux que ce moment d’une rare intensité ne s’arrête jamais.Il grogne de plaisir, son corps vibrant de sensations intenses alors que ma chatte brûlante continue de presser sa verge, toujours profondément enfoncée en moi. Les soupirs et les gémissements s'intensifient alors que nous explorons ensemble les profondeurs de la passion et de l'extase. Chaque caresse, chaque mouvement, chaque souffle est une ode à notre passion débridée et passionnée. Nous nous abandonnons totalement au plaisir de notre union charnelle.

Je peine à reprendre contenance après l’intensité de ce moment, mon corps est encore tremblant de ce plaisir sauvage. Je me retourne, pour venir plaquer mon corps contre le sien, je l’embrasse langoureusement, me complaisant de cet instant. Il a été bref certes, mais d’une intensité inédite pour moi. Le truc maintenant c’est que j’en veut plus, ce qu’il a réveillé en moi c’est puissant, c’est brûlant, il a éveillé en moi une dépendance qui devra être satisfaite dans le stupre et la dépravation.

« Je suis pas venue ici pour dormir Trésor…»

Je souffle suavement ces paroles contre les lèvres, je l’aguiche et le provoque d’une certaine manière. Sa capote finit par terre, jonchant le sol au pied du lit, à plat ventre sur le lit, je lève les yeux pour accrocher son regard du mien, je cède à ce désir brûlant qui m’anime. Ce mec c’est comme une bonne drogue de drogue putain, un besoin impérieux auquel je ne peux pas résister. Impossible. C’est le propre d’une addiction.Ma langue humide s'active sur mes lèvres, comme pour les préparer à la dégustation qui va suivre. Je suis avide de goûter ce breuvage, de sentir le goût de son foutre encore chaud souiller ma langue. Mes papilles gustatives frémissent d'impatience. Je me régale à l'idée de savourer chaque goutte de ce nectar divin. Le goût sucré et salé, la texture crémeuse et onctueuse, tout cela me transporte vers des sommets de plaisir insoupçonnés. Plus encore lorsque sa poigne ferme et dominatrice agrippe ma tignasse blonde, forçant le passage de son sexe entre mes lèvres. Il s’impose à moi, il baise mes lèvres brutalement et j’aime ça, les sensations sont à la fois brutales et exaltantes. La paume de sa mains s’abat sur ma croupe, mordant ma peau jusqu’à la faire rougir. Cette sensation de brûlure est étourdissante. J’ignorais que l’on pouvait à ce point lier étroitement plaisir et douleur. Cette expérience m'apprend que le plaisir peut prendre des formes inattendues, et que la douleur peut être source de jouissance intense. A cet instant j’en suis certaine, je ne pourrais pas me satisfaire d’une seule nuit.

Clouée au silence par sa bite profondément ancrée entre mes lèvres, il me bâillonne et force mon corps à demeurer sien, créant une sensation d'extrême érotisme et de passion que je n'avais jamais ressentie auparavant. Les bruits obscènes s’échappant de ma gorge dont il dispose comme bon lui semble emplissent la pièce, nous enfermant dans une bulle de plaisir décadent et sans limites, où nous sommes seuls et libres d'explorer tous les recoins de nos corps.

Bien sur que je pensais avoir des limites, mais je ne suis plus certaine de rien alors que je suis pendue à sa bite tendue, me laissant emporter par l'intensité de la passion et de la luxure qui nous consume tous les deux. Mes yeux s’emplissent de larmes alors que je succombe à la sensation incroyable de son corps contre le mien, et mes doigts agrippent ses cuisses pour trouver un point d’ancrage, pour m'accrocher à la réalité. Je veux qu'il s'arrête, mais en même temps, je veux qu'il continue. Mon regard azur tente de lui faire comprendre cette émotion pleine de contradiction qui brûle en moi, qui me possède et me pousse à me montrer toujours plus chienne, toujours plus avide de sexe, de sensations. Je suis à la fois effrayée et excitée par la passion brûlante qui m'anime, et je me laisse emporter par l'ivresse de l'instant, sachant que je suis en train de vivre quelque chose de totalement unique et inoubliable.

Cette femme est une tornade, une déesse. C’est incroyable qu’elle manque à ce point de sex et je n’en reviens pas. Mais comme je ne suis pas assez con pour me mêler à la plèbe des connards qui se sente incapable de satisfaire une femme qui assume ses désirs, cette femme est une tornade qui me rend complètement ivre de plaisir et de passion. Elle encaisse mes assauts furieux et passionnés et ne cherche pas à se retenir. Elle est venue prendre son pied et elle se donne à fond. Elle me ravage le sexe de caresses merveilleuses et je remercie la capote de m’aider à encaisser parce que sans elle je crois que je battrai des records de vitesses… Je la pilonne sans relâche et m’acharne à la faire devenir folle de plaisir. Je m’agrippe à elle sans retenue et la tabasse de mes coups de bassin. Je ne lui fais pas encore l’honneur de mon coup spécial qui me vaut mon surnom de « marteau-piqueur » mais déjà, je n’y vais pas en douceur et on dirait que madame adore ce que je lui inflige… Agrippé à elle nous jouissons ensemble et la protection retient la violente inondation que mon plaisir allait lui infliger… Je me serre contre elle et l’embrasse et la caresse en lui avouant qu’après un truc pareil je ne vais pas la laisser dormir de la nuit, ce à quoi elle réplique qu’elle n’est pas venue ici pour dormir… Sérieusement c’est quoi cette manie de toujours sortie la bonne réplique ? Je me retire d’elle et la repousse d’une claque sur le cul avant de l’attirer pour l’embrasser. Elle me vire la capote et je l’attire sur ma queue.

Je lui fais gouter ma semence qui enduit mon sexe et je crois qu’elle adore vu sa manière de me sucer. Elle se laisse guider même si pour l’heure je n’y vais pas à fond. Je veux me ménager un peu de retenue et de progression. Pas lui faire tout en une fois. Ouais parce que si je grille toutes mes cartouches en une fois elle n’aura peut-être pas envie de revenir se frotter à moi et elle va sans doute en avoir envie et cette fois je vais progressivement monter la dose pour qu’elle crève de délice et reviennent encore et encore. Pendant qu’elle suce ma queue et je tiens ses cheveux, je contemple ce corps qu’elle m’offre. Putain cette femme est une déesse et je craque avant de lui foutre une claque sur le cul venant guider ma main pour trouver son sexe que je pénètre de mes doigts pour la rendre folle de plaisir. Les secondes passent et j’agrippe une capote. Je me retire de sa bouche et l’embrasse le temps de m’équiper. Elle grimpe sur moi et s’empale pour me chevaucher le temps de se mettre en température. Joueur je la contemple massant son clitoris de mon pouce en dévorant son corps nu de mes yeux. Putain elle est parfaite.

« C’est quoi ton prénom bébé ? »

Je souris et me redresse pour déguster ses seins menus et parfaits. Je mords son cou, agrippe son cul et la force à se baiser plus fort. Je roule sur elle et la défonce encore et encore. Elle s’abandonne et s’agrippe très fort à moi. Pendant que je la baise, une idée me vient et lorsque l’orgasme n’est plus loin et qu’elle a besoin de souffler, je m’arrache à elle, vire la capote et la fait sucer. Elle me fixe pensant déguster ma semence à sa source mais au moment de jouir, je lui retire mon sexe. Elle tend la langue par réflexe dévoilant son âme de chienne en chaleur et me faisant craquer un peu plus. Je lui glisse mon pouce dans la bouche qu’elle suce alors que je me caresse et lui explose sur les seins. Je souris et prends son téléphone pour faire une photo de ses seins tachés de ma semence avec mon sexe posé entre eux… Je souris et lui rends son téléphone.

« Petit souvenir… Moi c’est comme ça que j’aime tes seins… »

La suite n’est qu’une nuit folle en plaisir. Nous baisons sous la douche, dans mon lit et alors que je suis lessivé, nous finissons en 69 avant que je ne la prenne une dernière fois. Lessivé je m’effondre et elle dort quelques heures avant de se barrer un peu avant l’aube. J’ai toujours son numéro et j’ai juste le temps de lui lancer un « à bientôt ? » Auquel elle répond d’un sourire charmeur en m’envoyant un baiser avant de partir. Putain qu’elle nuit… Je me rendors épuisé mais comblé…

C’est la folie qui m’a guidée jusqu’au fond de son antre, et c’est la passion et le plaisir tourbillonnant qui m’y clouent durablement. Je suis complètement subjuguée par cet homme qui manie mon plaisir avec une telle dextérité, comme s'il était un magicien de l'érotisme. Je suis venue ici, dans cette situation dangereuse, pour jouer avec le feu, et maintenant, les flammes me consument complètement, enveloppant chaque partie de mon être. D’une certaine manière, je suis déjà prisonnière de cet instant, totalement enchaînée par la passion et soumise au plaisir qui me submerge. Je sens que je perds le contrôle de la situation, mais étrangement, cela me procure à la fois un plaisir enivrant et une crainte palpitante. Normalement, je suis une personne rationnelle, mais quelque chose en lui m'hypnotise et me captive, et même si je suis consciente du potentiel danger, une part de moi refuse obstinément de le voir. Je suis plongée dans un abîme d'émotions contradictoires, oscillant entre la raison et la passion dévorante qui m'emporte.

Je goûte sa semence, m’en délecte comme le plus fabuleux des nectars. Je me fais chienne, je me fais salope pour ces beaux yeux. C'est un plaisir indicible qui me transporte au-delà des limites de l'extase. Chaque goutte est une explosion de jouissance qui parcourt mon corps tout entier. Je m'abandonne complètement, me laissant emporter par le tourbillon de désir et de plaisir. Mes sens sont en éveil, mon esprit est captivé par cette expérience unique et enivrante. Je suis prête à tout donner, à me perdre dans la passion et le désir brûlant qui nous consume. Chaque instant est une danse sensuelle, une symphonie de plaisirs intenses. Je suis éprise, envoûtée par cette alchimie puissante qui unit nos corps et nos âmes. C'est un voyage sans fin vers l'extase, une fusion parfaite de deux êtres en quête d'émotions intenses et sauvages.

Je lui souffle mon prénom entre deux orgasmes, un soupir se mourant sur ses lèvres que dompte et dévore avec une avidité que l’on me connait peut. Le feu qu’il a ravivé en moi est un brasier puissant dont la violence ne semble pas pouvoir être tari. Pas aussi aisément en tout cas, une nuit ne suffira pas, c’est une certitude. Il se retire de ma chatte trempée et palpitante, mes lèvres s’entrouvrent et mon regard coule sur son sexe que je veux dévorer. Ma langue se fraye un chemin entre mes lèvres, quémandeuse, implorant sans pour autant exiger. Mes iris le supplie et l’implore telle une salope parfaitement docile quand c’est son pouce qu’il glisse entre mes lèvres ensorcelantes. Je le suce dans un simulacre parfait de fellation, laissant échapper une couinement quand sa semence chaude et épaisse vient maculer ma poitrine. La souillant de la plus délicieuse des manières. Putain ce mec me rend folle… et le summum c’est lorsqu’il s’empare de mon téléphone pour immortaliser cette instant d’une perversion parfaite et absolue. Mes joues s’empourprent malgré moi, ce type est chaud bouillant et c’est mon corps qu’il fera chanter pour le reste de la nuit. Sous la douche, dans son lit… dans tout un tas de positions, mon corps est lessivé, épuisé d’un plaisir puissant et sauvage. Au petit matin, je file à l’aube, quittant la chaleur saisissante de son corps chaud encore endormi. Mes jambes peine à me porter, je n’ai jamais rien connu de tel et cette sensation est délicieuse. Il a tout juste le temps de me lancer un “à bientôt” auquel je répond d’un baiser que je lui envoie avant de disparaître. Une promesse de nous revoir ? Après une nuit pareille qui ne voudrais pas recommencer ?

Les journées passent et le retour à la réalité, à mon quotidien est violent. De nombreuses fois, à l’abris des regards trop curieux j’ai maté cette photo de mes seins qu’il à prise pour immortaliser ce qu’il a fait de moi : une chienne. Avide de foutre, avide sensation… avide de baise. Le sérieux de mon travail me pousse compartimenter mes pensées, mon job représente tellement à mes yeux, je ne peux pas laisser des pensées trop ardente obscurcir mon jugement et me pousser à faire des erreurs.

Une, deux, trois… presque une semaine passe et mon corps est en feu, il a besoin, il a envie. Mes caresses ne me suffisent plus je me décide enfin à lui envoyer un message. Simple et direct : « Chez toi ! Dans une heure. Mon corps est en ébullition, j’ai envie de toi… » Le tout accompagné d’un photo de ma main plongeant entre mes cuisses. Je veux. Maintenant. Tout de suite. Mon message est trop autoritaire ? Il sonne presque comme un ordre, mais mon corps en ébullition doit être soulagé… et il fait ça si bien. Une heure plus tard, je me pointe chez lui, j’ai pas attendu qu’il confirme ou non mon auto-invitation, j’espère seulement qu’il sera là. Devant sa porte, un sourire plein d’impatience étire mes lèvres. La robe que je porte sous ce manteau arrivant jusqu’à mes genoux est bien trop ajourée pour être portée ainsi dans la rue… et dessous je ne porte absolument rien. Je frappe à la porte, attendant qu’il ouvre, mon corps frémit déjà d’impatience. Je veux l’embrasser, sentir ses lèvres chaudes contre les miennes, ses doigts audacieux parcourir chaque centimètre carré de mon anatomie.

Cette meuf, c'était de l’or en barre. Sexy, sauvage, passionnée et clairement en manque. On a passé une nuit de délice et de folie. Il m’a fallu deux jours avant d’avoir de nouveau envie de baiser tellement elle m’avait ravagé… J’ai adoré la moindre seconde et je crois qu’elle aussi. Son regard mi-inquiet mi-excité quand j’ai photographié ses seins sur lesquels je venais de jouir, c’était dément. Je crois qu’elle ne s’attend pas à mes délires et qu’elle les adore. Je crois qu’on s’endort aux premières lueurs du matin et quand je la sens glisser en dehors du lit, je la regarde et lui lance un « à bientôt ? » Qu’elle me répond en m’envoyant un baiser. Putain cette nana, c'est vraiment quelque chose… Mais après ça plus de nouvelles. Je ne lui écris pas et rapidement, je me fais absorber par le boulot. On est à la bourre de partout et Mme de Leon me demande de venir baiser à tour de bras pour finir des scènes. On a un mec qui est tombé malade alors, j'ai double boulot, mais l’avantage, c'est que je me montre fiable et que ça marche pour moi. Mais du coup, je retrouve un semblant d’équilibre de vie en fait. Je me lève, je mange assez pour avoir de l’énergie et le soir, je me couche tôt car je suis lessivé. Pas de sortie, alcool, drogue ou nuit blanche. J’ai même pas le temps d’être en manque parce que je me réveille en folie pour repartir. Je sais que ça ne va pas durer longtemps mais pour ces deux semaines j’ai besoin de souffler.

Ce matin je reçois une alerte de mon Onlyfans. Ça fait deux semaines que je n'ai rien posté et on s’inquiète. Je prends une photo de ma queue bien solide et raide en écrivant que je suis en tournage et que je baise dur mais que bientôt je ramène du contenu… Amusé, je l’envoie à la jolie Brynn avec un message « ça ne te manque pas ? » Je souris et me lève et commence à bosser rapidement après. Je bosse avec Lucy c’est une brune canon qui match bien avec moi, mais comme on n'a pas encore comblé le retard, on doit enchainer plusieurs scènes en un jour. Du coup c’est épuisant. Alors que j’attends entre deux scènes, je prends mon téléphone et découvre une photo de Brynn la main entre ses cuisses avec la légende : « Chez toi ! Dans une heure. Mon corps est en ébullition, j’ai envie de toi… » je souris et réponds rapidement.

« Pas chez moi, je suis en tournage. Il me reste une scène. Vient me voir, tu glisses le mot de passe : Blueberry Night à l’agent de sécu, il te fera entrer. À de suite. »

Le pire, c'est que je me sens bouillant à l’idée de me taper Brynn encore… Je me lèche les lèvres et replonge avec plaisir dans ma scène. Lucy commence à trouver le temps long et fatigue. Plus qu’une scène à tenir et on est bon. Scénario en place, on fait genre une journée avec deux amoureux en vacances et nous en sommes au soir et là, nous nous envoyons en l’air une dernière fois dans notre lit. Lucy attaque avec une virtuosité Buccale qui me retourne et me dresse sans effort. Elle prolonge amusée de me voir encore en état, mais la pauvre est totalement épuisée et peine à mouiller suffisamment. Le lubrifiant l’irrite à force et je me mets à la dévorer longuement avant de pouvoir enfin me planter en elle sans la faire souffrir et me met à la marteler avec plaisir. C’est alors que relevant les yeux, j’aperçois Brynn qui vient d’arriver. Je souris et la regardant je me dis que j’ai envie de lui faire le show. Je tire une claque sur le cul de Lucy qui pousse un cri de surprise. Je saisis ses cheveux et tire pour qu’elle se cambre, la faisant relever la tête et gémir à pleins poumons. Brynn nous regarde et je la martèle plus sèchement. Étrangement, je crois que mon impro réveille tout le monde. Les gars s’agitent pour filmer. Lucy réagit et se laisse embarquer et moi, je la tamponne sans retenue, fixant Brynn pour la provoquer en souriant délicieusement pendant que j’en défonce une autre sous le regard des caméras…

L’intensité de cette nuit de folie raisonne encore en moi. Putain on a baisé comme des bêtes, c’était fou, c’était sauvage et ce plaisir sans faille hante encore chaque parcelle de mon être. Ce n’était pas une nuit isolée, il y en aura d’autre. Je l’espère… a moins qu’il m’est dit “à bientôt ?” par pure politesse ? Non… ce plaisir fou et sauvage était partagé. Les souvenirs de cette nuit torride continuent de se mêler à mes pensées, me faisant mouiller comme une salope chaque fois que j'y repense.

Les jours sont passés et entre le travail et mes occupations quotidiennes je ne l’ai pas contacté. Pas un message. Pas une photo. Lui non plus d’ailleurs. J’ai du mal à croire que cette nuit décadente était qu’une parenthèse de folie isolée. Les souvenirs de cette soirée restent gravés dans ma mémoire. Je ne sais pas si c’est une question de foutue fierté mal placé, mais j’attends, le corps bouillonnant. Des flashs de cette nuit me reviennent sans cesse, rappelant à mon corps à quel point il en a envie alors que ma raison me force à rester sur les railles. Pour l’instant du moins, parce que quand je reçois cette notification sur mon téléphone je suis en pleine réunion au travail… C’est lui. Mon coeur manque un battement, la curiosité me tord l’estomac. Je regarde en toute discrétion, et Ouah !! Putain merde !! La vision de son sexe dressé me déconnecte complètement de la réalité. On s’adresse à moi je relève la tête brusquement peinant à trouver mes mots. Et merde !! Ce genre de comportement ça me ressemble pas. Tellement pas que ma collègue me demande si je vais bien. Je la rassure, et quand la réunion se termine je suis obligé de m’arrêter dans les toilettes pour me passer de l’eau sur le visage. Je déraille. Putain c’est violent. Je regarde sa photo, puis celle de ma poitrine qu’il a fait cette nuit là. Je veux. J’ai envie. Tout de suite. J’ai l’impression d’être une gamine capricieuse incapable d’attendre. C’est ce que je suis. Je m’isole pour lui envoyer une photo de ma main entre mes cuisses puis : *« Chez toi ! Dans une heure. Mon corps est en ébullition, j’ai envie de toi… ». Je peux être plus clair ? Non. Pas vraiment. Sa réponse se fait guère attendre. Venir sur son tournage ? Oh putain ! Je mordille ma lèvre à la fois curieuse et intimidée. Je lui réponds que j’arrive et il m’envoi l’adresse.*

Je passe par chez moi, comment on s’habille au juste pour aller sur le tournage d’un porno ? J’en sais rien. Je parcours à la vitesse de la lumière mon placard en revue. J’opte pour une petite tenue simple mais pas moins sexy. Mon taxi me dépose devant, je donne le mot de passe à l’entré. Trouver le coeur de l’action a été relativement simple, il m’a suffit de suivre les gémissements qui plonge cet endroit dans une atmosphère bouillante. Je m’avance, esquissant un sourire quand je le distingue entrain de ravager une actrice. Sa silhouette se dessine et mon intimité s’embrase, rappelant à mon corps à quel point il était bon d’être à la place de la dame. Jalouse ? Non pas le moins du monde. Envieuse ? en revanche oui, ça carrément. Je m’avance, nos regards se croisent, et de manière quasi instantané il redouble d’ardeur, claque le cul de la dame avant de la défoncer dans les règles de l’art. C’est dû à ma présence ? Je n'en sais foutrement rien, mais une chose est sur j’aime ce que je vois. Mon sang devient lave en fusion, je m’avance, pour prendre une place parfaite pour voir le spectacle sauvage qu’il est entrain de m’offrir. Je le fixe, me mordant la lèvre pour tenter de contrôler ce désir fou qui me consume. Il la tringle oui, avec force et puissance, mais c'est dans mes iris que les siens se fixe. Une démonstration de ses talents ? Une provocation ? Une invitation ? La seule chose que je sais c’est que je veux entendre ce putain de clap de fin pour que ce soit entre mes cuisses qu’il se glisse. Égoïste ? Totalement, mais j’assume.

La fin de la scène arrive, et je ne m’occupe même pas des brefs regards se posant sur moi, se demandant certainement ce que je fiche ici. Mes iris sont rivés sur lui, je le fixe, comme hypnotisé par ce type qui m’a fait une impression incroyable. Je demeure immobile, je le fixe non sans afficher un sourire plein de séduction et de provocation.

« Impressionnant !! C’était chaud. »

Ca c’est le moins que l’on puisse dire, ce doute-t-il que je suis en feu et que le voir ainsi en ravager une autre à fait qu’aiguiser mon désir ? Certainement, s’il m’a invité à le rejoindre ainsi ce n’est pas anodin si ? Son univers est brûlant et une part de moi veut en découvrir davantage, je pourrais m’y brûler les ailes ? Depuis cet instant où j’ai passé le pas de sa porte l’autre nuit j’ai perdu le contrôle, je le lui ai cédé d’une certaine manière. J’en ai pas encore totalement conscience.

« Presque autant moi à cet instant.»

J’assume ce désir qui m’assaille et qui clairement me domine en ce moment précis. Mes yeux se fixent sur lui comme si, en le regardant de cette manière, je créais une bulle d’envie qui nous enveloppe tous les deux. Je ressens une pulsion intense qui me pousse à vouloir le posséder, à succomber à cette tentation qui brûle en moi. Chaque fibre de mon être est attirée par lui, comme un aimant qui ne peut résister à l'attraction. Je suis prête à me laisser emporter par cette passion dévorante, à plonger dans les profondeurs de nos désirs les plus profonds, mais nous ne sommes pas seuls l’effervescence autour de nous est bien là et me force à la sagesse, forçant ce corps brûlant à demeurer raisonnable, quand c’est l’envie qui menace de me dominer.

« Tu me fais découvrir ton univers ? »

Je suis curieuse, et quitte à être ici, dans ce lieu dédié à la luxure et la dépravation la plus folle autant en profiter.

Je sais qu’elle arrive et j’ai envie de faire le show. Je sais qu’elle adore me suivre sur Olyfans. Je sais qu’elle s’est fait un fantasme de dingue en venant baiser avec moi et son message ne laisse place à aucun doute. La dame veut se faire tringler salement une nuit de plus. Et j’avoue que j’ai bien envie de lui faire sa fête et peut-être de lui donner une autre photo de nous… Celle de ma semence sur sa poitrine est divine… Il faudra que je lui demande si je peux la partager, voir si mes fans l’aiment autant que moi… Mais pour l’heure je suis sur Lucy que j’ai soudainement réveillée ainsi que l’équipe. Brynn est là. Magnifique blonde élancée et fine dans sa tenue noire. Cette mini-jupe qui donne envie de la soulever… Elle me regarde et je me déchaine. Lucy m’encaisse et semble prendre son pied malgré la fatigue. Son corps qui criait pitié est en train de suffoquer de plaisir. Elle enchaine orgasme sur orgasme et la scène prend un tour plus sauvage et ardent. Les autres films et je vois les queues se dresser sous les jeans. Brynn me contemple, les yeux brillants. Je retourne Lucy et la baise en levrette lui infligeant ma « figure » le marteau-piqueur qui me vaut mon surnom. Je la défonce de longues secondes, presque une minute. Elle est foudroyée par un orgasme et je m’arrache à elle et alors qu’elle suffoque de plaisir en tremblant dans cette posture je me vide sur son cul et son dos en gémissant. Elle en a partout et la scène se termine en douceur avec son visage rayonnant de plaisir. Elle me nettoie en me dévorant avec des yeux énamourés. Elle a vraiment pris son pied alors qu’elle ne l’attendait pas. Elle file et les gars commencent à ranger. J’avance nu et encore raide vers Brynn qui me félicite. Je lui agrippe la nuque avec mes doigts et l’approche pour lui rouler une pelle sauvage et ardente histoire de lui dire bonjour.

Elle avoue avoir adoré le spectacle et j’en suis content. J’ai presque envie de lui dire que la prochaine fois c’est elle qui sera à la place de la blonde, mais étrangement, si une fille peut fantasmer de se taper un acteur porno comme moi, l’idée de tourner avec moi n’est pas du tout séduisante pour elles. Elle me demande alors de lui faire découvrir mon univers. Les gars sont lessivés et sont en train de ranger malgré l’érection dans leurs pantalons. Je prends la main de Brynn et l’entraine vers les coulisses. La maquilleuse replie tout et essuie le dos et les fesses de Lucy avec un mouchoir. Elle commente en disant que j’en ai vraiment foutu partout.

« Ça va je me suis un peu emballé mais note que j’ai évité le visage cette fois… »

Sarah la maquilleuse déteste que je défonce son travail avec mes excentricités… Je souris et Lucy éclate d’un sourire amusé avant de filer sous la douche. Sarah replie son matos et je me tourne vers Brynn lui agrippant son haut pour le retirer comme si de rien n’était et le pose sur une chaise.

« Ah oui pardon… Là c’est le moment où on prend une douche avant de rentrer… Tu sais comme les sportifs après un match. Vient, on y va. »

Je tire sa jupe et l’entraine en souriant alors que Lucy sous l’eau grogne déjà.

« Non Aaron je suis à la bourre et lessivée ! »

« Ça va t’as eu ton compte je fais découvrir les coulisses à une amie… »

Lucy se savonne et moi je tente d’attirer Brynn pour une douche à trois. Ouais je sais j’ai un vrai souci je n'arrête pas d’avoir envie même lorsque je viens de jouir… Je provoque un peu Brynn également, est-ce qu’elle a déjà baisé devant quelqu’un ? C’est pas commun de faire devant des spectateurs. Je rigole mais inconsciemment je teste un peu ses limites…

Le retrouver directement sur son plateau de tournage est une expérience incroyable. Rien ne peut décrire l'excitation que je ressens à ce moment-là. C'est bien plus qu'une simple excitation, c'est comme si de la véritable lave en fusion coulait dans mes veines lorsque je l'aperçois en train de s'adonner passionnément à des scènes intenses avec cette actrice. Nos regards se croisent et j’ai l’impression que la bête s’éveille en lui, qu’il s’anime d’une passion sauvage et intense. La scène se déroulant devant moi m’hypnotise, je ne parviens pas à détacher mon regard de lui, de cette bête de sexe capable de me donner si incroyablement chaud en un seul instant. Il donne tout, et c’est diablement plaisant à observer. Il se vide dans son cul, maculant le dos de l’actrice de son foutre chaud. La scène et brûlante. Elle le nettoie avant de filer pendant que les mecs du tournage commencent à ranger le matos. Aaron me fixe et marche d’un pas déterminé dans ma direction. Il est nu, mais je suppose que dans ce contexte-ci c’est totalement… normal. Mes prunelles se verrouillent sur lui, mes lèvres s’étirent d’un sourire taquin puis il attrape ma nuque, un hoquet de surprise m’échappe quand il me tire contre lui pour m’embrasser, une putain de pelle sauvage et endiablée. Il n’en fallut pas plus à mon corps pour se remémorer cette nuit de dingue, et raviver en moi un désir d’une puissance folle.

Je lui demande de me faire découvrir son univers. Il m’attrape par la main et je le suis sans me poser la moindre question. Il m’entraine jusque dans les coulisses, ou l’actrice qu’il déglingué un peu plus tôt se fait nettoyer. La maquilleuse lâche une remarque à Aaron, lui faisant remarquer qu’il en a mis partout. Il lui répond du tac au tac et sa rétorque m’arrache un sourire amusé. L’ambiance et légère et chaleureuse et je crois que j’aime franchement ça, c’est diamétralement à l’ambiance lourde et sérieuse du poste de police. Absolument rien à voir. Aaron se tourne vers moi, il agrippe si vite les bords de mon haut pour me le retirer que j’ai à peine le temps de comprendre ce qui m’arrive. Mes yeux s’arrondissent sous l’effet de surprise. Putain, mais… on est pas seuls, il me fait quoi là ? « Mais… » Il tire sur ma jupe d’un seul coup, lui faisant subir le même sort qu’à mon haut. Mes joues rougissent malgré moi, on serait que tous les deux je ne me poserais même pas la question, mais là, avec sa collègue qui prend sa douche juste à côté je me découvre plus pudique que j’aurais pu le penser. Il m’entraîne avec lui sous la douche et aussi étrange que cela puisse paraître, malgré l’effet de surprise, je le laisse m’entraîner. J’hésite un instant, mais mes doigts menaçaient d’échapper à sa poigne, alors je les agrippe, comme si d’une certaine manière je refusais de rompre le contact. Je suis attirée par cet homme, une attraction magnétique qui me pousse à céder à mes désirs les plus enfouis. Mes pensées se bousculent dans ma tête, essayant de rationaliser cette situation, mais mon désir prends le dessus. Je suis à la fois nerveuse et excitée. Mais je suis prête à prendre ce risque, à me laisser emporter par cette vague de passion. « Aaron… T’es sur de toi ? » Je sais qu’il l’est, bien sur qu’il l’est, mais j’ai besoin qu’il me donne ce petit coup de pouce pour céder à cet instant de folie. J’ai diablement envie de céder à cette invitation brûlante, mais ma raison me retient encore… faiblement certes, mais il y a encore une part de moi qui me bride et m’empêche de faire ce dont mon corps lui a envie.

Je suis nue, et j’ai subitement terriblement chaud, parce que je suis pas la nana la plus à l’aise sur terre à cet instant ça c’est clair, mais aussi parce que ce désir brûlant en moi me pousse à faire des folies. Je le regard, le fixe avec une envie que je ne cherche même pas à dissimuler. J’attends quoi là au juste ? Qu’il finisse par la baiser elle parce que je manque d’audace ? Peut être que je merde complet, mais ce dont je suis certaine en revanche c’est que j’ai envie de lui putain. OUI. Un désir brûlant et sauvage. Je le veux. Ici. Maintenant. Tout de suite. Je lui adresse un sourire coquin avant d’abattre mes barrière et aller de l’avant. Je suis déjà à poil de tout façon… Je les rejoint, ne prenant même pas la peine de m’excuser auprès de Lucy qui râle qu’elle est crevée. Pas moi. Oh non, mon corps à son contact est comme revigoré. Mes doigts s’enroulent autour de sa nuque pour l’embrasser avec une passion ardente, je ne l’embrasse pas non… je crois que lui bouffer la bouche serait le terme plus adéquat. J’abandonne tout contrôle, c’est comme si je mettais mon cerveau en pause pour profiter de l’instant. Ce grain de folie et de passion qu’il est capable de m’apporter et bien ça me rends dingue. Complètement déraisonnable, mais je crois qu’une part de moi a besoin de ce genre de folie…

Je rompt ce baiser seulement lorsque l’air commence à me manquer, je m’écarte légèrement seulement pour ancrer mes prunelles dans les siennes, pour y lire l’envie et le désir. Mes doigts glissent entre nos deux corps bouillant, empoignant sa virilité que je commence à caresser… me délectant de le sentir déjà aussi dur et prêt à remettre ça. Putain ce type c’est quelque chose. Incroyable. « Tu me fais faire n’importe quoi… » Je lui dit ça non sans un sourire plein de provocation. Cet effet qu’il a sur moi est dingue certes oui, mais putain ce que j’aime ça. C’est vivifiant, exaltant… incroyable. « Et j’adore ça. Putain ça me rends folle… » Folle d’envie, folle désir et luxure. Mon bassin vient se coller contre le siens, s’y frottant pour l’exciter davantage, je veux qu’il sente à quel point il me donne chaud… a quel point j’ai envie de lui.

Je suis dans mon élément et puis elle est fan de moi non ? Elle aime les trucs un peu fous et inattendus et puis j’ai bien vu son regard pendant que je baisais Lucy et sa manière de me dévorer des yeux quand j’ai éjaculé sur le corps de la brune. Elle a aimé chaque seconde et elle est excitée, ça se voit dans ses yeux. Je ne réponds pas et quand elle est nue, je lui vole un baiser et la prends par la main. Lucy nous voit débouler et comprends dans mon regard que j’ai une connerie en tête. Elle me met en garde et je la rembarre en souriant. Elle nous regarde amusée et continue de se savonner. Brynn vient m’embrasser la nuque et je souris. Elle est excitée et pas du tout en retrait. Je me tourne et elle se met à m’embrasser follement se moquant de Lucy qui nous regarde. Ma langue retrouve la sienne et je me met clairement à bander contre elle. Merde… Je suis une machine… J’ai pas arrêté depuis 15 jours j’en suis à ma 6eme éjaculation de la journée et je suis encore au garde à vous… Brynn coupe le baiser et me regarde dans les yeux alors qu’elle agrippe mon sexe fermement et le caresse. Elle me dit que je lui fais faire n’importe quoi. Je souris alors que Lucy soupire un « étonnant ça » tellement second degrés qu’elle flirte avec le 3eme degrés… Forcément je fous la merde et j’adore ça. Brynn avoue qu’elle adore aussi et ma voilà qui se colle à moi frénétiquement. Elle m’embrasse et Lucy quitte un instant la douche. Je reprends le contrôle du baiser et plaque Brynn à plat dos sur le mur et embrasse son corps en descendant. Quand j’arrive à son sexe dès les premiers coups de langue Lucy arrive et me glisse une capote dans la main. Pas bête. On n’en est pas là avec Brynn et le souci en tournage c’est qu’on a des règles sanitaires… Je dévore le sexe de Brynn la fixant dans les yeux sous le regard de Lucy qui continue de se laver.

Doucement je glisse ma langue qui s’enroule autour de son clitoris. Je me place sous elle et lèche son sexe forçant le barrage de ses lèvres intimes pour venir caresser les parties les plus douces et reculées de son sexe. Je serre la capote et continue de la dévorer quand je déchire l’emballage et déroule la capote sur ma queue. Je me relève et lui colle une claque sur le cul. Je lui fais poser les mais à plat sur le mur et venant derrière elle je saisi ses cheveux d’une main et la fait se cambrer en tirant dessus avant de la pénétrer de mon sexe raide. Je tremble et soupire avant d’aller et venir vigoureusement dans son sexe. Évidemment Brynn était totalement en transe avant même que je l’approche… Lucy nous regarde en souriant et se rapproche pour nous regarder de près. Sans nous toucher ou faire trop de choses elle se caresse un peu le sein et mord sa lèvre de plaisir. Soudain dans notre dos arrive Steven qui tient les sous-vêtements de Lucy qu’elle utilisait dans la scène. Il voit alors la jolie Brynn se faire prendre contre le mur et si elle tourne la tête sur le côté elle peut croiser son regard.

« Lucy j’ai tes… Putain… »

Lucy éclate de rire et je souris et sans cesser de tamponner Brynn je lui tourne la tête pour qu’elle regarde Steven.

« Steven je te présente… Brynn… Brynn, je te présente Steven… C’est le cadreur… »

Je souris et Lucy me vole un baiser avant de nous contourner et de nous saluer en donnant un baiser sur la joue de Brynn. Steven se fait embarquer par elle et je souris avant de baiser plus sèchement Brynn alors qu’on est un peu seul mais qu’on entend aller et venir dans la loge.

Je plonge dans une folie sourde et décadente ? Certainement, mais je ne peux définitivement pas lutter contre ce désir brûlant et cet attraction folle qui me pousse à m’offrir à lui sans conditions d’aucune sorte. Rien que l’idée de venir le voir sur son plateau de tournage m’a mis le feu au ventre, comme si mon corps se souvenais avec quel vivacité et quelle ferveur il l’a démonté lors de cette nuit chez lui. Le tournage touche à sa fin, et il m’embrasse presque comme si je lui appartenais avec un naturel qui me cloue sur place avant de m’embarque dans la loge. Nous sommes pas seuls et quand il me mets à nu mes joues s’empourprent malgré moi. Je ne suis pas quelqu’un de particulièrement pudique ou de timide, mais j’ai jamais baisé devant qui que ce soit, alors là-devant cette nana qui est en plus une pro, ça me rend anxieuse. Pourtant, son regard m’hypnotise, mon désir pour lui semble surpasser tout le reste. Je le rejoint sous la douche, j’embrasse sa nuque, capte ses lèvres comme une camé cédant à sa dose, il me fait un effet dingue. En sa présence je déconne sévère, je ne contrôle plus rien et cette sensation est aussi terrifiante qu’excitante.

Putain, même après cette scène incroyable sur le plateau il est déjà au garde à vous. J’en reviens pas de le sentir s’éveiller aussi rapidement, j’empoigne l’objet de mon désir avec une détermination ferme et un désir assumé. Je déraille complètement et je lui confis adorer ça. Putain oui, je me sent vivante comme jamais, c’est dingue, c’est puissant et sauvage. Aaron me plaque dos au mur, il dévore mes lèvres avec ferveur, déviant de mes lèvres gonflés d’envie pour dévorer ma gorge… ma poitrine… descendant sur mon ventre pour finir sa course entre mes cuisses qui s’ouvrent instinctivement pour lui offrir le passage. Mes lèvres s’entrouvre et je réprime durement ce gémissement de plaisir puissant et sonore lorsque je sent sa langue chaude glisser entre mes lèvres intimes. Mon Dieu… Mon regard coule sur Lucy qui nous regarde un sourire aux lèvres. Mon corps s’embrase, je perds totalement pied. Je tente de contenir tant bien que mal cette farandole de gémissements qui menacent de m’échapper. Mes joues se tintent d’un rouge absolument délicieux quand mon regard coule sur lui. Voir sa langue danser contre mon intimité est carrément hypnotique. Je suis totalement captivée, je perçois à peine Lucy qui gravite autour de nous et qui viens de fourrer entre les doigts d’Aaron une capote.

Sa langue me délaisse, me laissant une sensation de manque incroyable, je pousse un gémissement de frustration alors qu’il se redresse pour me retourner avant de gratifier ma croupe d’une fessée virulente. Ma peau rougis instantanément et mon corps se cambre traduisant par sa posture l’étendue de ce désir puissant et sauvage. Non mais putain il m’arrive quoi là ? Je suis entrain de le laisser me baiser comme une chienne aux yeux de tous… moi qui voulais de la discrétion je m’offre sans l’ombre d’une hésitation. Je pourrais l’arrêter, mettre un terme à cette folie… Mais… parce que oui, il y a une mais, je n’en ai pas la moindre envie. Mon corps est en fusion, je le veux et là tout de suite les conditions je n'en ai plus rien à foutre. Ma raison est muselée, bâillonnée avec fermeté pour laisser s’exprimer que la chienne avide de stupre qui m’habite.

Mes paumes appuyés sur le carrelage chaud et humide de la douche je pousse un cris lorsqu’il s’enfonce en moi. C’est brutal. C’est soudain… mais qu’est-ce que c’est bon. Son poing se referme sur ma tignasse blonde, il force mon corps à une cambrure exagérée pendant qu’il me pilonne avec force. Ma poitrine se soulève au rythme fou de ses coups de rein. Je gémis comme une véritable chienne, le regard embué d’un désir sauvage. Je suis en trans, je suis dans cette bulle de perfection absolue qui éclate brutalement quand une voix masculine tonne derrière moi. Je sursaute, mon coeur manque un battement et mes joues s’empourprent quand je comprends que nous avons un autre… visiteurs.

Mon regard remonte sur Lucy qui a encore les mains sur ses seins. Elle éclate de rire alors que moi je pique un phare monumentale. Je suis partagée entre cette excitation étourdissante et ce malaise paralysant. Aaron me tamponne aussi avec force, secouant mon corps d’une frénésie sauvage. Tout ça leur semble absolument normal, alors que moi de me sentir ainsi à la vue de tous, ça me met dans tous les états. Les doigts d’Aaron agrippe mon menton pour me forcer à tourner le visage pour affronter le regard amusé de Steven le cadreur. Merde, je dois avoir l’air d’une gamine fautive prise sur le fait.

«En… Enchanté…Oh putain oui… »

Enchanté ? Vraiment ? Comme si c’était le moment de se faire des politesses. Politesses interrompus par un putain de cris de plaisir puissant et sonore. Je pète un plombs, mon corps est si ardent qu’il pourrait s’embraser instantanément. Lucy vient déposer un baiser sur ma joue avant de partir avec Steven. Nous laissant seuls. Mon corps tremble et mon coeur bat à tout rompre dans ma poitrine, je lui adresse un regard brûlant par-dessus mon épaule.

« T’es dingue putain…»

Le plaisir monte en moi à une vitesse fulgurante, il se propage en moi dans chaque fibres de mon être. Je suis au bords de l’explosion et je crois que l’idée que l’on puisse à nouveau nous surprendre, voir son sexe aller et venir dans mon intimité brûlante et dégoulinante décuple mon plaisir. C’est fou et je peine à comprendre ce qui m’arrive.

« Et tu me rends dingue…»

Oui, et le mot et faible. Je ne sais pas ce qui m’arrive mais je me délecte de chaque instant tant ce que je vis est intense. J’explose. Le plaisir qui me submerge est un véritable raz de marrer. Mon intimité palpite se contractant autour de son sexe gorgée d’envie, comme si je voulais l’engloutir et l’aspirer au fond de moi. Mon corps tremble et ma respiration se fait rapide et irrégulière. J’ai l’impression d’être dans du coton, tous autour de moi me semble flou et indéfinissable. Il est toujours planté en moi, mon corps semble incapable de se remettre de la violence de cet assaut, pourtant mon bassin ondule encore, comme si j’avais besoin de le sentir encore m’investir.

« Je vais peut être le regretter… mais j’en veux encore. Plus de toi. Plus de folie… »

Je vais le regretter ? Non, impossible quand cette folie ardente court sous ma peau sensible. Ce goût d’interdit et de folie qu’il me laisse me gouverne totalement et alterne cette raison qui devrait me ramener à la prudence. Je tourne la tête, cherche son regard pour m’y noyer et y lire les flammes ardentes et sauvage d’un plaisir dévastateur.

Oh ouais je sais qu’elle aime ça la jolie Brynn, cette femme c’est une sorte de diamant du sex qui ne sait pas qu’elle aime follement toutes les dingueries dont je suis capable. Je crois qu’elle s’est gourée de taff ou alors qu’elle aurait du trouver un mec tellement chaud de la queue qu’elle pourrait se faire démonter dans les règles quand elle en a besoin au lieu de se faire frustrer par des petites bites impressionnés quand il s’agit d’assumer de satisfaire une femme avec des besoins conséquents… Là sous la douche je la baise sous le regard de Lucy puis de notre technicien qui se rince l’oeil devant la magnifique blonde que je démonte. Et ouais mon gars j’ai baisé Lucy que tu regardes avec des yeux pleins d’amour. Je sais que le soir tu te branles sur ses vidéos et que t’aimerai ma place et que là tu me maudit d’avoir en plus l’énergie après une journée de baise intense de ramoner encore et encore cette jolie blonde… Le plus drôle c’est que Lucy attends juste un peu pour le rendre fou, mais elle craque complètement pour lui. Elle embrasse Brynn et nous laisse alors qu’une fois éloigné Brynn me dit que je suis dingue et fini malgré tout par pousser un gémissement lascif. Je ne me trompais pas. Ma charmante petite flic est une sacrée chaudasse qui aime se faire reluquer. Elle a une âme de pornstar… Je réponds d’une claque sur son cul avant de continuer à la bourrer de coups de bassin quand elle avoue que je la rends dingue. Je souris et tire ses cheveux pour lui faire tourner la tête et lui rouler une pelle sauvage.

« C’est un plaisir pour moi tu sais… »

Sourire de petit con satisfait de sa propre connerie et la voilà qui ondule contre moi comme pour m’aider à la faire crever de plaisir. Je souris de délectation et finalement m’arrête pour venir retirer mon sexe d’elle et la prends par la main pour quitter la douche amusé.

« Plus de folie hein ? »

Je l’attire toute trempée et la fait asseoir sur la table ou on se maquillait. J’ai juste mes habits dessus et lui ouvre les cuisses. La queue toujours enveloppée de latex, je me penche et donne deux coups de langue sur son intimité avant de prendre mon téléphone et de me filmer léchant sa chatte. Je souris et me redresse et prenant soin de ne pas filmer son visage. Je me met en live et souriant je me filme en train de m’enfoncer en elle en soupirant avant de tourner la camera pour me filmer le visage.

« Salut à tous, je sors de tournage, mais une amie est passée et j’ai décidé de faire un peu des folies. J’étais lessivé, mais regardez… »

Je tourne la camera de mon téléphone d’une pression et filme le bas du cors du Brynn et montre bien mon sexe protégé qui glisse en elle. Je souris et la regarde d’une air malicieux avant de continuer comme si de rien n’était puisqu’à l’image on ne voit que ma queue qui la pénètre. Le public sur le chat envoie des « sa tête ! » « montre sa tête » « sa tête putain »

« … Je ne vous montre que son corps, elle est un peu timide, mais croyez moi, cette chatte est si serrée que c’est prodigieux de tenir quelques minutes en elle… Et puis elle est canon… »

Je la regarde et filmant plus près mon sexe dans le sien je me penche sur elle et l’embrasse avant de me redresser et de continuer de la baiser en filmant. Les mecs s’enflamment et veulent que je lui fasse des trucs. Ça va dans tous les sens et je n’écoute pas. Je continue de la tamponner pour leur faire entendre les gémissements de plaisir de Brynn venant de ma main libre masser son clitoris pour l’aider à chanter un peu pour la foule…

Je me trouve en train de jouer avec les flammes d'un danger, un danger qui est bordé de luxure, une luxure que je ne maîtrise absolument pas. C'est une situation dans laquelle je me trouve totalement dépassé, sans aucun contrôle, une chose particulièrement surprenante et déconcertante. Quand on prend en compte le fait qu'au quotidien, dans mon travail, j'ai l'habitude et le besoin d'avoir la main mise sur tout ce qui m'entoure, cette situation est profondément déroutante, mais pas ici, pas avec Aaron. Il, m’inonde de toute sa présence, il dégage une luxure décadente, une luxure absolument folle qui me dépasse et me submerge.

Je le laisse m’embarquer dans des délires complètement fous, des imaginaires sauvages qui dépassent l'entendement. La part raisonnable en moi, celle qui devrait protester, qui devrait me garder ancré à la réalité, se retrouve muselée avec une fermeté étourdissante, une puissance implacable qui laisse peu de place au doute. Dans ces moments, seul le désir, l’envie, parle et s’exprime, comme une voix puissante qui émane du plus profond de mon être. Il surpasse absolument tout le reste, il résonne dans mon esprit, éclipsant toutes les autres pensées, tous les autres sentiments. C'est une force irrépressible qui guide mes actions, qui façonne mes réactions, qui définit mon existence dans ces moments de pure folie.

Sous le déluge doux et chaud de la douche, une envie sauvage et primitive se fait écho en moi, balayant toute trace de pudeur. Les regards curieux et avides de nos spectateurs ne font qu'amplifier le plaisir qui monte en moi, en une vague déferlante. Aaron, avec une force et une vigueur surprenantes, me fait perdre pied, m’arrachant des gémissements puissants qui résonnent dans l'espace confiné. Son endurance est à la fois incroyable et intimidante, ce mec est vraiment hors du commun. Son effet sur moi est indescriptible, il repousse sans cesse les limites que je me suis toujours fixées, m'emmenant dans des territoires inconnus et exaltants. Je ne sais pas jusqu’où il peut aller et cette incertitude m'envoie des frissons délicieux à travers tout le corps. Au bout de sa queue, je me sens à la fois comblée et plus vivante que jamais, il sait faire chanter chaque fibre de mon corps avec une perfection presque divine.

Il me conduit aux portes de l’extase avec une habileté qui me laisse sans voix, avant de se stopper net, me laissant suspendu entre deux mondes. Mon esprit est embrumé d’un plaisir étourdissant qui éclipse tout le reste. Sa main, forte et rassurante, agrippe la mienne, et ensemble, nous sortons de la douche, la vapeur d'eau enveloppant nos corps. Je m’installe sur la table, le fixant avec un regard dévorant qui est un mélange de désir et de frustration. Putain, ce sourire de petit con plein de provocation me rends absolument dingue. Les cuisses écartées, mon intimité, luisante d’envie et de désir non assouvi, semble le narguer. C'est comme si chaque fibre de mon être l'appelait, réclamait plus de cette douce folie.

« Toujours plus… Avec toi j’en veux toujours plus. »

Je le tire doucement vers moi, l'attirant dans mes bras avant de l'embrasser avec une passion débordante, jusqu'à en perdre haleine. Ma langue, audacieuse, force le barrage de ses lèvres délicates pour venir danser avec la sienne dans un ballet intime. Une sensation intense parcourt mon être, et mon cœur manque un battement, trébuchant dans ma poitrine, lorsque je le vois sortir son téléphone de sa poche. Il déverrouille l'écran et, à ma plus grande surprise, il commence à filmer notre moment. Mais… il est fou, il fait quoi là…? Un mélange de confusion et d'émerveillement envahit mon esprit alors que je me demande ce qui se passe.

« Tu.. Tu fous quoi là… ?» Je panique… et mon corps lui déraisonne de désir. Il s’enfonce en moi… « Oh putain Aaron…»Dans un élan de passion, il investit mon intimité de toute sa longueur, étouffant ainsi toute protestation qui aurait pu échapper à mes lèvres. Sans se soucier du monde extérieur, il s'adresse à son public en ligne, ses fidèles fans, et je me retrouve à rougir comme une jeune fille trop réservée, confrontée à une telle audace. Il commence à se mouvoir en moi, et sans aucune pudeur, il filme son sexe qui va et vient en moi. Malgré la situation qui pourrait sembler dégradante, il prend le soin de ne pas filmer mon visage, une précaution que j'apprécie grandement. Cependant, ne montre-t-il pas déjà trop? C'est une question qui trotte dans mon esprit, mais à laquelle je n'arrive pas à donner de réponse. La vérité est que je ne peux résister, je ne peux pas lui résister. Je suis intimement convaincue que c'est tout ce chaos décadent qui le caractérise, cette folie qui semble le définir, qui me met dans tous mes états.

« T’es complètement dingue…»

Je murmure doucement mes mots contre ses lèvres, créant une intimité si intense qu'il est le seul à pouvoir les entendre. Il est dingue, oui, c'est indéniable, mais il est clair que j'aime ça, si l'on en juge par le sourire chaleureux que je lui adresse et mes yeux qui brillent d'un plaisir intense. J'apprécie cette folie absolue qui est à la fois déroutante et enivrante, ce danger constant qui ajoute un frisson d'excitation à chaque moment passé ensemble. Ce piment, cette épice qui ajoute une saveur supplémentaire à nos interactions, propulse notre plaisir vers les plus hautes sphères de notre atmosphère. C'est une expérience profondément enivrante et intensément passionnante.

Mon bassin ondule contre lui, dans une danse de passion et de désir, et mes gémissements, aussi doux qu'une mélodie, emplissent la pièce, rebondissant contre les murs nus. L'extase que je ressens est intense, immense, presque insoutenable. Mon corps se cambre, comme un arc tendu à son point de rupture, menaçant d’exploser de plaisir à chaque instant. À chaque mouvement, à chaque toucher, je sens que je suis sur le point de sombrer dans l’extase la plus délicieuse, la plus enivrante. Je mords sa lèvre inférieure d’un désir féroce, sauvage, le relâchant que lorsqu’il lâche un grognement de plaisir qui me fait frissonner jusqu'aux orteils. Mon regard, brûlant de désir et de curiosité, se porte ensuite sur son téléphone. Le chat s’excite et l’inonde de messages, chaque notification faisant monter en moi une vague d'excitation.L'idée que tous ces gens puissent nous voir, puissent être témoin de notre passion, me donne le vertige. Putain Brynn, qu'est-ce que tu fais ? Tu es une flic respectable, une femme de loi... et là tu te prends pour une actrice de films pour adultes. C'est insensé, non ? Oui, c'est insensé, c'est complètement fou, mais là tout de suite, je m'en fiche. Voir tous ses messages apparaître sans cesse, voir ces inconnus réagir à notre passion, ça ne fait qu’attiser ma curiosité. Ça ravive la flamme de mon désir, ça me pousse à l'abandonner encore plus à ce plaisir sauvage, interdit.

« Qu’est-ce qu’ils veulent…? Dis moi… »

J'ai eu l'occasion d'assister à plusieurs de ses performances en direct dans le passé. Je me suis souvent retrouvée à fantasmer, me laissant emporter par l'image de lui me faisant l'amour. Aujourd'hui, je suis cette femme que j'enviais tant, celle qui, bien qu'anonyme, est sous les projecteurs, exposée au regard de tous. C'est une sensation à la fois excitante et terrifiante. Bien sûr, personne ne devrait être en mesure de me reconnaître en ne voyant que mon intimité bousculée par ses assauts passionnés, mais on ne peut jamais être totalement sûr. Je le regarde, ses yeux brillent d'un plaisir si intense, si grand, qu'il en est presque débordant.

« Offrons-leur ce qui veulent…»

Les mots que je prononce sont à peine audibles, ils sortent de ma bouche comme des murmures hésitants, comme si je n’assumais pas pleinement ce que je suis en train de dire. Je suis parfaitement consciente que je suis en train de flirter avec la folie et que je pourrais m’exposer à des situations incontrôlables, des situations de folies que je ne pourrais pas contrôler. C'est une pensée effrayante, mais en même temps, elle est excitante. De toute façon, quand je suis avec lui, je ne contrôle rien. Tout est imprévisible et c’est précisément cela qui me stimule, qui me galvanise et me rend ivre de plaisir. A son contact, je me métamorphose, je deviens une autre personne, une chienne en chaleur brûlante, une femme avide de luxure et de désir.

Ce que je fous ? J’ai envie de répondre « du grand moi » ce qui équivaut à répondre « je fais absolument n’importe quoi. Et le pire, c'est que je crois que cette nana est absolument dingue de ma débilité. La preuve, je suis en train de me filmer en train de la baiser sans montrer son visage, juste son corps de déesse que je tamponne avec ma grosse queue emprisonnée de latex… Brynn me fixe, terrifiée que je montre son visage et à la fois totalement excité par l’extravagance et la dangerosité de la situation. On dirait que plus ça va, plus cette femme est en train de me plaire. C’est dingue… Les commentaires pleuvent. Vire la capote ! Fais voir sa gueule ! Fais-la sucer ! Encule-la ! Ouais, c'est internet et des mecs qui doivent se branler en même temps donc il ne faut pas demander de la littérature ou du raffinement. C’est presque un exploit qu’ils parviennent à écrire du texte d’une seule main, sachant que l’autre doit être très occupée… je rapproche le téléphone et leur fait contempler combien le sexe de Brynn est étroit et délicieusement enlacé autour de mon sexe… Elle me demande ce qu’ils veulent puis à force de la marteler sans lui répondre, elle finit par me dire de leur offrir ce qu’ils veulent. J’ai un sourire amusé et même si je suis tenté de profiter de la situation pour faire un truc très con, je coupe mon téléphone et le balance avant de venir contre elle accélérer la cadence et la baiser sauvagement durant de longues secondes. Je la pilonne sans relâche et enfin ma jouissance arrive. Je me plante au fond d’elle et explose ma jouissance contenue dans la prison de latex qui m’enserre délicatement le sexe. Je soupire contre son oreille, mon corps agrippé et collé au sien. Je me mets à rire et l’embrasse avant de me retirer d’elle en souriant.

« Fais gaffe à ce que tu peux me dire quand on baise. Tu n’aurais certainement pas aimé voir ton visage se faire couvrir de sperme en live… »

Je me penche et embrasse son ventre avant de me redresser et de virer la capote, d’y faire un nœud et de la balancer dans une poubelle. Je souris en la regardant et l’aide à se relever.

« Si tu veux faire le show pour les pervers du net sans te griller, il va falloir ruser. »`

Je le lance en déconnant déjà, les mecs vont être au taquet et ruminer de rage d’avoir loupé la fin. Je n'aurais pas dû couper, mais j’ai eu une envie et puis j’ai plus eu envie… C’est un peu moi ça. L’inconséquence. Je peux vouloir un truc pendant des heures et une fois qu’il est là, cinq secondes suffisent pour en avoir déjà marre. Je l’attire et l’embrasse avant de lui tendre ses habits.

« On va manger ? On prend à bouffer et on va chez moi ? De quoi tu as envie ? »

C’est vrai qu’elle était censée avoir envie de me voir moi et comme le tournage a pris du retard, elle est venue ici. Bordel, c’était une longue journée, j'avoue. Mais ce soir, on va se détendre un peu non ? Je souris et nous nous habillons. Pendant qu’elle s’arrange un peu, je regarde mon téléphone. Putain les mecs sont au taquet. Ils veulent tous savoir qui est cette nana que je baisais ? Amusé, je lui tends mon téléphone pour qu’elle constate elle-même de son propre succès et qu’elle puisse constater que j’ai bien fait de ne pas l’écouter quand elle m’a dit de leur offrir ce qu’ils voulaient. Mais c’est marrant, j’ai l’impression que ses yeux brillent de plaisir ? Je la regarde fixer mon écran comme fascinée par ce qu’elle peut lire. Est-ce que Brynn serait du genre exhib ? Est-ce qu’elle aimerait pouvoir faire des cochonneries avec moi en nous filmant et préserver son identité ? C’est un peu dingue non ? Mais je contemple son air ébahi par ce qu’elle lit et je me contente de simplement savourer le moment. Bientôt, on va sortir et se faire une soirée torride et sympa et au matin, elle va partir avec la promesse d’une autre fois ? Simple et efficace. Et si on a un cheeseburger et de la tequila, c'est encore mieux.

Qu’est-ce que je fais là ? Franchement une part de moi ce le demande encore. Si on m’avait dit il y a quelques semaines que je viendrais sur le tournage d’un film porno, je n’y aurais probablement pas cru. Mon job devrait me contraindre à une certaine forme de retenu et de sagesse, mais le souvenir de cette baise hors norme a marqué mon esprit et me pousse à la folie. L’envie, ce désir puissant, fait bouillir mon sang sous ma peau me poussant à toujours plus d’audace. À son contact, je me fais plus chienne qui je ne l’ai jamais était et ça m’effraie autant que ça m’excite.

Nous filmer entrain de baiser, c’est un truc de fou non ? Il ne dévoile pas mon visage, heureusement sinon je crois que j’aurais pété un câble. Je perdrais toute ma crédibilité, et certainement mon job par la même occasion, et j’ai bossé beaucoup trop dur pour en arriver là où j’en suis aujourd’hui. Pourtant, là, en me mettant en danger avec lui, je crois ne m’être jamais sentie aussi vivante. Je suis la captive de mes propres émotions, prisonnière de la crainte qu’il montre mon visage et de ce désir qui me consume avec une ardeur folle. Pourtant, les mots qui passent la frontière de mes lèvres sont ceux d’une femme transit de désir, à cet instant-là, cet instant fatidique ou la jouissance est à la fois si proche et si loin à la fois, je pourrais tout accepter, je pourrais céder aux pires folies avec la seule promesse d’une explosion de plaisir inoubliable. Je suis dingue… c’est officiel, je suis complètement folle… mais c’est tellement vivifiant.

Prise dans un tourbillon de sensations, je me vrille complètement sous l'assaut de son corps. Il me pilonne avec une intensité sauvage, presque forcenée, chaque mouvement arrachant de ma gorge des gémissements d’un plaisir toujours plus grand, toujours plus intense. Dans l'étau de cette passion dévorante, je parviens à articuler une question, demandant ce que veulent ces figures indistinctes qui nous entourent. Il ne me répond pas, restant étrangement silencieux face à ma requête. Et puis, dans un élan de folie, une impulsion qui doit certainement être teintée de stupidité, je lui propose de céder à leurs demandes, de leur offrir ce qu'ils réclament avec tant d'insistance. Nos regards se croisent dans une connexion intense. Comme s'il était poussé par une urgence soudaine, il jette son téléphone, coupant le live. Tout à coup, nous nous retrouvons seuls, juste lui et moi, dans notre propre monde, loin du bruit et des distractions. Ses mains, fermes et puissantes, s'agrippent à moi, me tirant vers lui. Il me serre contre lui avec une passion dévorante, me pilonnant avec une ardeur qui ne cesse d'augmenter. Mes doigts, cherchant un soutien, se nouent derrière sa nuque, se perdant dans les mèches de ses cheveux. Je trouve refuge dans le creux de son cou, nichant mon visage là où sa peau rencontre son pouls. Je m’enivre de son odeur, une fragrance à la fois douce et masculine qui semble imprégner chaque fibre de mon être. Je goûte et embrasse sa peau, qui a la couleur délicieuse du miel doré sous le soleil d'été.

La jouissance m'envahit de manière inéluctable, crispant chaque fibre de mon corps dans une vague de plaisir d'une ampleur incommensurable. Il n'y a aucune importance si mes cris de délice ou le bruit percutant de sa peau frappant la mienne se font entendre, se répercutant dans l'air nocturne. Dans cet instant d'une perfection absolue, il n'y a plus que lui et moi, deux êtres enlacés dans une danse intime de passion débridée. Nous sommes enveloppés dans une bulle de plaisir brûlant, un cocon d'extase qui semble suspendre le temps et l'espace. C'est un moment d'intensité que je souhaite faire durer, une bulle de pure jouissance que je ne veux absolument pas voir éclater.

Je me penche vers lui, et l’embrasse, le corps encore tremblant, je peine à reprendre contenance. Mon regard brillant croise le sien lorsqu’il me met en garde aux conséquences que pourraient avoir mes requêtes. Mes joues s’empourprent lorsqu’il me dit que je n’aurais certainement pas apprécié me faire couvrir le visage de sperme en live. Faire le show sur le net ? Moi ? Je crois que je pique malgré moi un phare monumental. M’exposer de la sorte n’est pas une chose que j’aurai imaginée faire un jour et en toute honnêteté, il me l’aurait simplement proposé à froid, j’aurai dit un non catégorique, mais là… dans le feu de l’action, c’était… c’était fou et bien que je ne sois pas certaine d’être capable de l’assumer là tout de suite, je crois que je pourrais recommencer. Avec lui.

« Me faire griller n’est pas une option envisageable. »

Je ne m'engage pas explicitement à une prochaine fois, mais je ne refuse pas non plus. J'établis plutôt une limite, ferme et inébranlable. Je ne peux m'empêcher de rire quand il me tire tendrement vers lui pour m'embrasser, nos langues s'entrelaçant dans un ballet intime. Il est un tourbillon d'excentricité qui me fait tourner la tête. Je ne sais pas jusqu'où cette folie, cette aventure imprévisible, pourrait nous mener. Cependant, je suis certaine d'une chose : je suis prête à m'aventurer sur ce chemin incertain, à braver l'inconnu et à voir où cette route sinueuse nous emmènera.

« Oui. Je meurs de faim, tout ça m’a creusé l’appétit. Burger fritte ? Ça te va ? » Je me dirige vers l'endroit où j'ai laissé mes vêtements afin de me rhabiller. Il suit mon exemple et commence également à enfiler ses vêtements. Avant de partir, je m’arrête devant le miroir, prenant un moment pour arranger ma crinière blonde qui a été quelque peu dérangée. Ensuite, je fouille dans mon sac pour retrouver mon rouge à lèvres et en appliquer un peu plus pour rafraîchir ma couleur. Une fois que je suis satisfaite de mon apparence, je m’avance vers lui. Il a son téléphone à la main, et je le prends lorsqu'il me le tend. Mes yeux s’arrondissent en lisant les messages qui s'affichent sur l'écran, et une vague de surprise me submerge… Oh putain merde !! C'est avec un frisson qui parcourt mon échine que je lis tous ces messages qui se sont accumulés. Il est évident que les internautes ont grandement apprécié ce qu'ils ont vu, leurs commentaires bouillants en sont la preuve palpable. J'explore chaque demande qui est formulée, je m'attarde sur chaque remarque qui est faite. C'est un sentiment d’excitation qui m'envahit, je suis à la fois impressionnée par la résonance que cela a eue et subjuguée par l'ampleur des réactions. Mes joues se teintent d'un rosé doux, signe de l'émotion qui me traverse. Mes iris, quant à eux, pétillent de délice, reflétant l'excitation et la joie qui m'animent en ce moment précis.

« Wouah !! Ils ont beaucoup aimé ce que tu leur as montré on dirait. »

Un sourire plein de malice anime mon visage. Je lui rends son téléphone et profite de cette proximité pour l’embrasser. Encore. Le goût de ses lèvres est tellement savoureux que je crois que je pourrais m’en abreuver. Nous sortons ensemble, partons pour une soirée absolument délicieuse. Les commentaires que j’ai lus raisonnent dans ma tête, me hante, me laissant entrevoir que finalement d’infime possibilité quant à l’étendue des possibilités. Pourtant, il y a bonne partie de toutes ses propositions qui ne m’avait jamais effleuré l’esprit, certaines que je n’ai jamais explorée. Pour lui, tout ça doit lui sembler tellement banale… dans la norme.

« T’as encore de l’énergie après une journée pareille ? »

Je le regarde les yeux plein de malice, me demandant comment il peut avoir encore autant de vigueur après une journée de taff comme il vient de se taper. Je suis impressionnée et captivée. La pression est retombée et il semblerait que j’ai retrouvé mes capacités de réflexion, je suis très loin d’être conne, mais quand le désir vient se foutre au milieu tout change et mon esprit vrille.

Forcément… Elle m’explique qu’elle est flic et qu’elle ne doit pas se faire reconnaitre et comme j’ai les fils qui se touchent dans cette masse informe et spongieuse qu’on appelle cerveau, et bien je la baise et j’en filme une partie… Mais le pire c’est qu’une fois que c’est terminé je crois que je peux sentir son dilemme et je trouve ça délicieux. Elle est habituée à se faire obéir, à être « au-dessus », les hommes baissent sans doute la tête devant elle et acquiescent. Tous doivent se branler en pensant à elle et se dire qu’ils vont entrer dans le bureau, lui tirer les cheveux et la faire sucer comme une salope et aucun n’aurait les couilles de le faire car ça ne marche que dans les porno ce genre de choses, mais j’ai la sensation que si un mec pas trop moche lui faisant ça, il réveillerait chez cette femme un torrent de passion, de luxure et d’ardeur. Je crois même que par réflexe de survie, la queue du mec refuserait de bander face à un danger pareil. Brynn aime me voir sur les réseaux, elle aime mes films, elle a aimé venir ici et me voir. Elle a aimé que je la baise devant des gens qui regardaient ça en mode normal, je crois même que si la journée n’avait pas été aussi longue, Lucy nous aurait rejoints et je crois que Brynn aurait adoré ça… Être une salope pareille ça ne s’invente pas.

Prise dans l’euphorie, elle me demande de faire ce que les gens qui nous regardaient demandent et je me félicite de ne pas l’avoir écoutée. Elle aurait plongé dans un monde ou elle aurait perdu son poste et ou elle aurait été du jour au lendemain totalement exposé et moquée pour cet instant de folie. C’est un peu ce truc que je trouve fascinant dans la vie, ce moment ou d’un geste ou d’un mot on peut tout faire basculer. Comme un père qui pris de rage plante sa femme puis son fils de 4 ans avant de se défenestrer… Je caresse un instant la cicatrice blanche sur mon torse avant de chasser cette pensée loin de mon cerveau. Je la regarde en souriant alors qu’elle m’embrasse et, troublée me déclare que non se faire griller n’est pas une option envisageable. Je souris bien conscient que je viens de la « sauver » mais je n’ai aucun besoin d’être un sauveur pour qu’elle me suce… Oh mon Dieu j’ai fait ça par bonté d’âme et non pas par intérêt… Où est mon prix Nobel de la bienveillance ? Elle se détache de moi toute rayonnante on décide de prendre à manger et d’aller chez moi. On s’arrange et hop nous voilà dehors. Alors qu’on va commander, je lui tends mon téléphone pour qu’elle voie le bordel que ces quelques secondes de vidéos ont généré. Les mecs sont déjà en train de chercher qui était cette fille, dans quels films elle a joué, ses castings, des photos… Je me marre devant son air effaré. Elle s’étonne de voir qu’ils ont aimé ce que je leur ai montré. Je pouffe de rire en récupérant mon téléphone.

« Non idiote c’est toi. Moi je suis la grosse queue qu’ils jalousent. Quand ils regardent ça, c’est pas moi qu’ils regardent, c’est la projection de eux te baisant toi… Et crois moi t’as mis le feu à internet… »

Je souris et arrive à un snack ou je passe commande pour nous. Elle me demande si j’ai encore de l’énergie après une journée pareille ? C’est vrai que j’ai une putain d’endurance… À vrai dire j’ai toujours mis ça sur le compte d’être un crevard accro au cul, mais je dois avoir une sorte de… Prédisposition… Ou alors je suis Avenger du cul qui ignore qu'il a un superpouvoir sexuel jusqu’à ce qu’une bombe atomique en string descende du ciel en volant pour m’enseigner comment sauver le monde avec ma bite ? Ouais faut que je dorme. Je la regarde avec un sourire et passe ma main sur son cul en douce pour écraser sa fesse de mes doigts en murmurant à son oreille.

« J’en garde juste assez pour une dernière baise avec toi avant de pioncer… »

La commande arrive et je paye. Nous sortons et alors qu’on marche on prend nos burgers pour les manger. J’avale une bouchée avant de lui dire.

« Dis-moi, ça te dirait qu’on se filme ? Je suis curieux de voir les réactions… Rien de dingue, ton corps nu, ma bite et je me termine sur toi… »

Simple et basique mais je suis curieux de voir ce que ça peut provoquer comme bordel dans la communauté. Je la regarde en souriant malicieusement devant son air surpris, légèrement empourpré.

« Tu sais si tu hésites, on balance ta photo ou j’ai joui sur tes seins et on demande si ils aiment et dans 30 minutes on regard combien ta photo à voyagé ? »

Je suis insupportable, mais j’ai l’impression que ça l’émoustille autant que ça l’intimide et j’adore ce trouble que ça déclenche chez elle, c’est juste ravissant et délectable de l’initier… Je mords dans mon cheeseburger en la regardant, attendant sa réponse…

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