Sylimar 1 // Contrat juteux.

outfit -- Une simple soirée au Lipstick ? Non, certainement pas, même si j’apprécie particulièrement cet endroit, ma présence n’est pas totalement désintéressée. L’objet de ma convoitise possède des courbes harmonieuses à se damner et des yeux d’un bleu si profond qu’on pourrait s’y noyer. Je suis venue voir Sydney Jeager, en plus d’être une soeur Black Templar elle est une prostituée dans cet établissement. Loin de moi l’idée de la prendre de haut parce qu’elle vend son corps. Un métier comme un autre, et soyons honnête un instant elle a tous les atouts pour faire succomber la diable en personne. Un succube, aussi électrisante que dangereuse. Je la veux. J’ai un marché à lui proposer, qui si nous trouvons un terrain d’entente nous arrangera autant l’une que l’autre. Certains de mes clients réclament des putes de qualités et je veux offrir à mes clients le mieux que l’on puisse obtenir.

La nuit est tombée depuis bien longtemps maintenant quand je passe les portes de Lipstick. Je m’attarde d’abord dans la partie cabaret de l’établissement, cherchant l’objet de ma convoitise des yeux. Ne l’apercevant pas, et n’ayant pas franchement envie de perdre mon temps, je la demande. Les salons privée. Bien, sûre de moi et de mes objectifs du soir, je m’y rends sans plus attendre. Je suis le genre de personne qui va droit au but, je ne tergiverse pas cent sept ans autour du pot. Je passe les portes du salon, au bref coup d’œil tout autour de moi. Un sourire étire mes lèvres quand je l’aperçois au bar, dans une tenue qui à elle seule est une invitation à la luxure et la décadence.  Le corps de cette femme pourrait me faire succomber. Oh oui putain, cette femme à un corps de dingue. J’avoue être tout autant sensible aux courbes harmonieuse et fine d’une femme, qu’au corps plus fort et viril d’un homme. Pourquoi se priver de l’un ou de l’autre quand on peut avoir les deux ?

Elle détourne la tête quand je m’avance dans sa direction. Elle et moi n’avons jamais eut l’occasion de faire connaissance ou même nous fréquenter que brièvement. Si je n’ai aucun ressentiment en ce qui la concerne j’ignore ce qu’elle pense de moi de son côté. Je suis pas a San Diego depuis longtemps, elle m’a peut être même jamais remarquée. Peu importe finalement quand ce soir elle saura qui je suis de toute manière. Je me pose parfois trop de question, me préoccupant trop de l’image que je laisse paraître. Arrivée à sa hauteur, je me hisse sur le tabouret voisin du sien. Un sourire amusé étire mes lèvres quand je la détail sans me gêner un seul instant.  Je ne fait aucun commentaire appréciateur, je suppose que mon regard suffit à traduire ses pensées brûlantes qui me traverse l’esprit.

“  Sydney…. voilà justement la femme que je voulais voir.” Je fais un simple signe au barman pour qu’il me serve un cocktail. Je me tourne vers elle en souriant avant de planter mes iris noisettes dans le bleu hypnotique de ses yeux. "Shalimar." Une présentation qui n’a peut être pas lieu d’être, mais qui a le mérite d’être polie. Le barman pose mon verre devant moi, mes doigts s’enroulent autour du pied avant de le porter à mes lèvres pour en boire quelques gorgée avant de reprendre. “ T’as un peu de temps à m’accorder ? J’aimerais m’entretenir avec toi…” Son prix sera le mien bien entendu. Je n’aborde pas de but en blanc l’aspect officiel de ma proposition, elle se doute que je ne suis pas là uniquement pour le bleu de ses yeux aussi beaux soient-ils. “ Une proposition qui pourrait je l’espère t’intéresser… et te profiter à toi autant qu’à moi.” Je n’en dis pas plus, pour l’instant je veux seulement piquer sa curiosité, attiser son intérêt.

@Sydney Jaeger

Pando

outfit -- J’ai un objectif en tête et je ne compte pas en déroger un seul instant. Je suis le genre de femme têtue et obstinée, qui va au bout de ses idées. Je ne recul pas aisément quand la situation se corse. Je n’ai strictement aucune raison d’imaginer qu’elle a déjà porté un jugement sur moi, que Sydney m’a déjà rangée dans une case sans même me connaître. C’est fréquent… le nom de mon père fait cet effet-là.  Je ne prends pas la peine de détromper ceux qui pensent que je suis née avec une cuillère en or dans la bouche. Je les laisse croire ce qu’ils veulent, mon passé, mon enfance plus particulièrement fait partie des choses dont je refuse de parler. Trop douloureux. Trop de regrets. Ma vie a changé par la force de ma détermination, je dois mon présent à la force de mon caractère.

Je me focalise sur l’objet de ma présence. Sydney. C’est bien elle que je suis venue voir et le fait qu’elle m’ignore superbement ne change en rien la donne. Au contraire même je crois, plus elle s’obstine à vouloir m’ignorer, plus elle m’intrigue et m’attire. Je me hisse en haut du tabouret voisin du sien avant de m’adresser à elle. Je n’y vais pas quatre chemin, je vais droit au but en lui spécifiant tout de suite que c’est parce que je souhaite m’entretenir avec elle que je suis ici. Aussi plaisante que soit la vision qu’elle m’offre aussi légèrement vêtue ce n’est pas sa seule compagnie à laquelle j’aspire. Bon ok, elle est carrément excitante comme ça, mais payer pour m’envoyer en l’air c’est pas dans mes habitudes.

Sa réponse ne se fait pas attendre, en plein travail la demoiselle monnaie son temps et elle m’annonce directement la couleur. Sublime avec un caractère de feu… elle a décidément tout pour elle. Est-ce qu’elle pensait vraiment que j’allais me décourager aussi facilement ? Je le laisse poursuivre en sirotant tranquillement mon verre, le dégustant du bout des lèvres non sans refréner un sourire amusé. Elle semble douter de mes paroles, après tout je ne peux pas lui en vouloir. Je débarque ainsi comme un cheveux sur la soupe alors c’est à moi de ramer pour espérer la convaincre de mes paroles. Je lâche un soupire sonore avant d’attraper mon sac pour en sortir une liasse épaisse de billet vert. Je porte mes doigts à mes lèvres pour les humidifier afin de compter les billets avec plus de facilité. Je les compte comme si cette somme rondelette d’argent ne valait pas grand-chose à mes yeux. Je suis consciente que cela puisse paraître particulière hautain,  mais je m’en moque. C’est justement le but je crois finalement. Je dépose devant elle une somme plus que conséquente, couvrant très largement quelques heures de son temps. Je range l’excédant dans mon sac, nous verrons plus tard s’il est nécessaire que je rallonge…

« Ça devrais être suffisant pour quelques heures en ta compagnie je suppose…   »

J’ai volontairement donné plus qu’il n’en faut, et je scrute alors la moindre de ses réactions pour en apprendre davantage sur elle, mine de rien. Qu’elle me prenne pour une petite conne imbue de sa personne m’importe peu. Je n’attend pas d’elle qu’elle m’apprécie, je ne suis pas ici pour ça. Je me sers des gens, les approches uniquement par intérêt, pas d’amis, pas d’attache c’est ainsi que je fonctionne. Les attaches et les émotions sont que des freins dans la vie, ma vision des choses est peut être triste pour certains mais encore une fois je m’en cogne.

« Vue le prix que je te paie, un peu d’intimité pour poursuivre cette discussion ne serait pas de refus  »

Malgré que je sois la cliente la payant grassement je n’impose rien, me contentant pour l’instant de proposer, d’émettre des souhaits, des désirs et rien de plus. Je me tourne alors plus franchement vers elle arborant un souvenir taquin avant d’attraper le morceau de fruit trempant dans mon cocktail pour le glisser entre mes lèvres, léchant non sans arrière pensé les gouttes s’échappant sur mes doigts. Mon comportement est aguicheur et clairement calculé, bien que je n’ai pas pour habitude de payer des putes - pour ma consommation personnelle j’entend - je compte bien en avoir pour mon argent… mais chaque chose en son temps. Je me suis assurée d’avoir son entière attention et maintenant que nous avons le temps je ne me précipite pas. Le client est Roi comme on dit… et s’il y a une chose dont je suis pratiquement certaine à présent c’est qu’elle ne va pas se dérober à ma compagnie. D’une seule traite je termine mon verre, lui signifiant à présent que je la suis pour une discussion plus intimes à l’abris des regards et des oreilles indiscrètes.

@Sydney Jaeger

Pando

outfit -- Je me repose que très peu sur les autres, c’est ainsi que je fonctionne, ainsi, on s’évite bien des déceptions, mais il y a des moments ou on a pas le choix, des moments ou notre seul savoir faire n’est plus suffisant. Je ne suis pas venue lui demander de l’aide à proprement parlé, je ne suis pas non plus venue lui demander de travailler pour moi. Elle refuserait probablement et elle aurait raison, je veux qu’elle travaille avec moi, que nous mettions nos savoir faire en commun pour en tirer le meilleures. Je n’ai aucun doute quant au biens faits qu’elle peu m’apporter, je dois seulement lui faire comprendre que cette collaboration nous serait autant bénéfique à l’une qu’à l’autre… Je ne lui ai encore fait aucune proposition que mon esprit s’échauffe déjà, tirant des plans sur la comète alors que je dois procéder méthodiquement pour ne pas tout faire foirer.

Je ne suis pas venue jusqu’ici pour la laisser se défiler et me rembarer aussi facilement. Je sort une liasse de billet que je laisse rouler sur le comptoir juste sous son nez. J’ai de quoi payer, ce n’est pas le problème et ce n’est pas une excuse que je suis prête à accepter non plus. Ca parait peut être présomptueux, mais je devais taper assez fort au moins pour être certaine qu’elle accepte de m’écouter. J’aurais tout le temps de me radoucir dans un second temps. Son sourire provocant me plais, la dame ne manque pas de répondant et même si nos caractères ensemble peuvent être explosif, un petit quelque chose en moi me dits qu’ils pourraient tout aussi bien s’accorder.

Une petite heure ? Un sourire taquin étire mes lèvres, la demoiselle est dure en affaire dites donc. Ça me plais et surtout ça m’intrigue. Au-delà de sa plastique parfaite et même je dois le dire : divine, elle me donne envie de gratter la surface pour la découvrir plus en profondeur. En une heure ce sera compliqué, j’ai on va dire d’autres priorités pour l’instant.

« Une heure ? Tu es dure en affaire toi…» Je lui adresse un sourire taquin avant de poursuivre « Espérons-le, et dans le cas contraire je dois avoir de quoi rallonger… j’aime prendre mon temps et je ne suis pas certaine que je puisse m’en contenter.»

Une moue faussement boudeuse fronce les traits de mon visage. Je n’ai pas l’habitude de devoir payer pour avoir de la compagnie, une première en quelques sorte, et c’est amusant d’une certaine manière. Maintenant que j’ai payé une somme plus que rondelette, j’espère bien profiter de ses précieuses minutes dans une sphères plus intime. Je n’oublis pas la réelle raison de ma présence entre ces murs, mais je doute être en mesure de rester ‘sage’ devant une vue pareille.

Je la suit à travers les couloirs, les lumières tamisés et diffuse confère à cette endroit une atmosphère particulièrement chaude. Elle nous ouvre les portes d’un salon, qui a davantage l’air d’une vaste chambre à la décoration parfaite. Mon regards se pose sur le miroir au-dessus du lit, un sourire anime alors mes lèvres. Intéressant… et ça projette dans mon esprit bien des images. Je dois secouer doucement la tête de droite à gauche pour reprendre mes esprits et me reconcentrer sur l’objet principal de ma venue. Je m’avance vers elle, progressant jusqu’au bar. Je m’arrête à sa hauteur, me positionnant juste en face d’elle de manière à pouvoir scruter son regard quand j’avancerai doucement mes arguments.

« La même chose que toi si te plais. »

Être la cliente ici ne m’exempte pas de toute politesse. Souriante, avenante, je me pose comme une jeune femme à l’éducation parfaite. Je lui adresse un sourire clairement amusé quand je sent une nette impatience dans sa voix. Il faut dire que je n'ai rien lâché encore pour le moment.

« Je pourrais me contenter de cette vue délicieuse… mais tu as raison, il ne s’agit pas que de ça. » Je m’accoude sur le bar, me penchant par la même occasion légèrement vers elle, j’attrape mon verre que je serre entre mes mains avant de planter mes iris dans les siens. « Puisque chaque minute m’est durement comptée je vais aller droit au but. J’ai une offre à te faire… et qui je l’espère pourrait t’intéresser. Je lui adresse un sourire taquin et porte mon verre à mes lèvres, marquant une courte pause afin d’être certaine que j’ai son entière attention avant de reprendre : « Je travaille dans événementielle, j’organise des soirées de tout genre, et mes clients réclame de plus en plus souvent des escorts, ils ont de l’argent, il aime le luxe et veulent la crème de la crème.»   Je la regarde esquissant un sourire, l’évoquant clairement comme la perfection en question dont je parle… « Je ne veux pas que tu bosses pour moi… non, mais avec moi, comme une sorte… d’équipe si je peux dire. Tu es une des meilleurs dans ce milieu, tu es respecté et apprécié à ta juste valeur. J’aimerais que tu gères cette partie, une sorte de cheffe d’équipe… »   Je l’observe, cherche à la sonder à deviner ce qu’elle pense. Peut être qu’elle va simplement m’envoyer bouler, elle pourrait même si j’espère le contraire. Je m’attends à ce qu’elle cherche à négocier pour tirer au mieux son épingle du jeu, ça serait de bonne guerre. «  Comme tu as pus t’en rendre compte… ça paie bien»   Cette fois ci je m’arrête j’interrompt cette première phase d’explication pour récolter ses premières réactions, la laisser en placer une. Si elle m’envoie chier, je peux probablement encore essayer de la convaincre, car c’est elle que je veux, mais d’un autre côté travailler avec une personne que ça n’intéresse qu’à moitié c’est courir au casse-pipe. Je l’observe, l’admire aussi, sa beauté et à couper le souffle… si elle dit non au moins je sais comment je vais occuper les précieuses minutes qui nous reste.

@Sydney Jaeger

Pando

outfit -- Sydney est une femme en tout point magnifique, mais comme la plus belle des roses, elle est parée d’épines. Aussi ravissante que piquante cette jeune femme m’intrigue à bien des égards et je ne suis pas ici seulement pour me ravir de son corps de rêve. Je pourrais… et je le ferais à n’en pas douter, ça serait un crime de ne pas le faire, mais chaque chose en son temps, malgré ses dires, j’ai le temps et je me ferais un plaisir de lui prouver que j’ai de quoi rallonger pour me payer une nuit de rêve avec elle si c’est nécessaire. Fière  ? Peut être un peu… bon d’accords beaucoup mais que voulez vous, on ne se refait pas. Je la suis jusque dans le salon émeraude, nous y sommes seules et à l’abris des regards et oreilles indiscrètes. La tension qui règne ici et chargée, elle est mêlé à un désir indéniable et ça rend la situation étrangement délectable. La sensualité des lieux aiguise mes sens. C’est amusant de constater comme le cadre dans lequel nous pouvons nous trouver influe sur nos émotions et nos désirs. Si je n’étais pas aussi déterminée mon désir pour cette femme pourrait outrepasser cette négociation que je suis venue entreprendre et qui est à l’origine même de ma présence ici.

Dire que je la dévore du regard est un doux euphémisme. Si je le pouvais je la boufferais ici et maintenant sans attendre une seconde de plus. Je m’avance alors vers elle avec une démarche lente et féline, j’attrape ce verre qu’elle vient de me servir, je me délecte de ce breuvage qui me brûle la gorge sur son passage avant de délier ma langue et lui expliquer plus précisément les raisons de ma venue. L’intensité de son regard fait monter en mon un désir qui me dépasse. Je m’immobilise un instant, fermant les yeux avant d’inspirer profondément comme si j’en avais besoin pour conserver mon self contrôle. L’envie de lui sauter de lui sauter dessus me torture. Je gomme - momentanément du moins - l’envie furieuse de la chopper par la nuque, pour plaquer mon corps au siens avant de lui voler un baiser sauvage. Les images danse dans mon esprit et ça ne m’aide clairement pas à garder la tête froide.

« Oh mais je compte bien mêler l’agréable à l’utile, je ne suis pas une grande partisane de ceux qui disent qu’il ne faut pas mélanger plaisir et travail, je trouve ça bien dommage de ce priver du plaisir lorsqu’il est si proche qu’on pourrait l’effleurer du bout des doigts. »

Je soutiens son regard mêlant curiosité et provocation avant de commencer à lui expliquer la raison principale de ma venue. Je sirote mon verre tranquillement tout en lui exposant avec plus de précisions cette offre que je veux lui faire. Je l’observe tomber sur le lit à plat d’eau, mon regard croise le sien par le biais du miroir se trouvant au plafond. J’aime percevoir les flammes de la provocation animer ses prunelles, j’y vois un défis que je brûle d’envie de relever.

Elle se redresse et un sourire plein de provocation anime mon visage quand elle me dit que l’argent ne sera pas un appât suffisant. Un plus peut être ? Je me doutais un peu de cette réaction, après tout elle a déjà l’air de palper largement ce qu’il faut en matière de fric.

« Tu veux dire plus que le plaisir de travailler en étroite collaboration avec moi ? »

J’arque un sourcil quand je n’imagine pas un seul instant que ça puisse être un argument valable. C’est par pur provocation que je prononce ces mots avant de m’approcher d’elle. J’ai posé sur mon trajet mon verre vide sur une petit tablette. Je pose un genoux sur le lit pour y monter à mon tour, me positionnant juste devant elle, féline j’avance mon visage vers le siens, mes iris demeurent plonger dans les siens, avant de m’adresser à elle avec se fin sourire moqueur.

« Si un pourcentage généreux ne suffis pas à te convaincre, est ce que le loisir de profiter de ces événements jusqu’à t’en étourdir l’esprit… ainsi que les relations intéressantes que tu pourrais y trouver constituerais des avantages supplémentaires…? »  

Je me penche en avant, adoptant une posture presque prédatrice, appuyée sur une main, la seconde glisse contre sa joue, filant dans sa nuque pour agripper ta crinière brune. Je l’empoigne fermement, l’attirant près de moi, mes lèvres effleurent les siennes sans pour autant l’embrasser, mon souffle chaud caresse la peau fine et sensible de son cou. Contre son oreille, j’inspire profondément, venant mordiller le lobe de son oreille, ne dissimulant nullement le désir impérieux qu’elle fait naître en moi.

« A mois qu’il y est des conditions particulières que tu aimerais mettre en place…  je dois avouer que là… tout de suite, il n’y a pas grand chose que je pourrais te refuser…»

Elle a clairement le pouvoir, j’en suis consciente mais ça m’est égale. J’ai conscience d’avoir plus besoin d’elle qu’elle de moi… elle détient le pouvoir entre ses mains et ça dois être particulièrement jouissif pour elle. Je me recule légèrement pour venir replonger mon regard dans le sien. Elle est aussi belle qu’elle est scandaleusement provocante, mon désir pour cette femme est plus ardent que les flammes même de l’enfer. Je n’ai pas l’habitude de venir ainsi ramper une requête devant qui que se soit… et je joue peut être avec le feu ce soir, mais je compte bien aller au bout des choses et pour ce qu’importe le prix à payer.

@Sydney Jaeger

Pando

outfit -- La tension sexuelle est palpable, je dirais même qu'elle imprègne chaque atome d'oxygène qui nous entour. Sydney est une femme magnifique oui, mais je crois que c'est davantage ce qu'elle dégage qui tord mon ventre d'un désir qui devra être assouvi si je veux pas sombrer dans la folie. Je la dévisage sans cache un seul instant l'intérêt qu'elle m'évoque. À quoi bon ? Ce défis se mêlant intrinsèquement à ce désir environnant nous plonge l'une comme l'autre dans une situation incroyablement brûlante. Nous sommes deux femmes fortes, deux fortes têtes refusant de céder du terrain à l'autre. Ça peut bien finir ça vous croyez ? Les heures qui vont suivre nous le diront.

La sensualité incroyable de cette femme m'hypnotise. J'ai l'impression d'être la captive de cette vision magnifique. Le jeu est lancé et je ne suis pas sure que nous soyons capables de jouer sans « tricher ». Elle a fait du plaisir son travail et elle excelle dans cet art. Ce n'est pas pour ça d'ailleurs que je suis venue la trouver ? Pour pouvoir jouir de ces talents et servir aussi mes propres intérêts ? Alanguie sur le le lit, nous nous affrontons dans un duel d'oeillade avec le miroir fixé au plafond comme intermédiaire. Cette femme est brûlante et ce désir qu'elle fait naître en moi obscurci peut être mes pensées au points de me rendre peut-être moins vindicative qu'à mon habitude. Je cherche à m'octroyer son intérêt mais elle me pique au vif en me rappelant qu'elle à l'oreille du grand maître quand moi je ne l'ais pas. Je dois encore faire mes preuves et prouver l'étendue de ma dévotion total aux Black Templar. J'ai quitté LA pour évoluer loin de l'ombre trop protectrice de mon père. J'ai refusé qu'il intervienne en ma faveur. Je suis fière et je veux tirer mon épingle du jeu à la seule force de mon caractère et de ma détermination. Mes lèvres se pincent quand je décide de ne pas renchérir sur sa pique. Elle a visé juste et il n'y a rien à répondre. Qu'elle a raison ? Non, je suis trop fière pour ça aussi. Clouer ses lèvres au silence est la meilleure option pour l'instant.

Je ne reste cependant pas plantée là sans réagir. Je m'avance vers elle, réduisant la distance nous séparant à un quasi-néant. Je monte sur le lit à mon tour, me montrant tout aussi suave et féline qu'elle. Le plaisir n'est pas mon métier certes mais je suis loin d'être une débutante en la matière. Je commence à avancer mes arguments ils sont nombreux et je l'espère convaincant. Je n'ai aucune garantie de faire mouche, mais qui ne tente rien à rien. Si je reviens bredouille j'aurai au moins profité du corps de cette succube. Le contact de la pulpe de ses doigts sur ma peau m'électrise toute entière. Mes doigts agrippe sa chevelure la forçant ainsi à se cambrer légèrement pour laisser aller mes lèvres à venir dompter les siennes. Ma langue se fait taquine et inquisitrice, je joue avec elle, laisser la température montrer entre nos corps. Je viens déguster sa gorge avec un désir que je ne tente pas de dissimuler un seul instant. Je relève mes iris, venant les ancrer dans les sien quand elle me dit être davantage intéressé par de nouvelles relations que par l'argent. Un sourire satisfait étire mes lèvres. Politique... homme d'affaires... ma toile c'est lentement étendue sur toute la ville.  Mon carnet de contact est bien remplit et si c'est ce qui l'intéresse nous pourrons peut être nous entendre elle et moi. « Ma toile s'étend lentement sur la ville,  et ensemble nous pourrions l'étendre encore. » Oui, j'en suis certaine, et même peut être y engluer quelques proies au passage. Elle peut m'ouvrir des portes et moi je peux lui en ouvrir d'autres. Un échanges de bons procédés qui pourrait nous profiter à l'une comme à l'autre. « Je pourrais probablement t'étourdir de bien des manières... » C'est une mise au défis ? Qu'elle prenne garde c'est le genre de jeu auquel j'aime m'adonner...

Nous sommes si proches à présent que son souffle est une caresse douce et électrisante sur mon visage. Elle veut de nouvelles sensations ? de l'inédit ? Quelques chose de ... spéciale ? Challenge accepté. Je souris de toutes mes dents, comme d'une promesse demeurant pour l'heure silencieuse. Un couinement m'échappe quand elle mords subitement ma lèvres inférieur, je la regarde, le regard brillant d'une excitation dévorante quand elle m'avoue aimer que je ne puisse rien lui refuser. Oh putain,  son regard me cloue littéralement sur place. Les flammes de l'enfer brûlant et dévorant m'attise et m'attire irrémédiablement vers elle. Elle veux que je lui cède totalement ? Que je ne lui refuse plus rien ? Aucun caprice ? Aucune retenue ? Un jeu dangereux... un feu dont l'immensité pourrait me dépasser et me consumer toute entière. « Rien te refuser ? tu crois ? » J'esquisse un sourire amusé, quant au fond de moi je sais parfaitement que c'est le cas. J'ai probablement davantage besoin d'elle que l'inverse et elle le sait parfaitement. Et ça à l'air de la faire jubiler de plaisir.

Je ne suis pas le genre de femme à se soumettre ou à ses s'écraser, elle non plus et je suis forcée de constater qu'elle à nettement pris l'ascendant sur moi. Elle m'attire contre elle, mon bassin vient se presser contre le sien. Je soupire d'aise en sentant la douceur de ses caresses flatter le galbe de mon fessier rebondit. Sydney est une femme torride. « Je vais opter pour la démonstration...»   Nous en sommes déjà à l'introduction non ? Et je dois dire que la dame à déjà bien commencé à m'éttourdir à coup de baiser brûlant et de caresse parfaitement orchestrée. Je trouve même pas la force à argumenter davantage, mes lèvres semblent aspirer qu'à une seule chose :  les siennes. Sa manière de prendre les choses en main m'électrise totalement, je lui cède peu à peu du terrain jusqu'à ce qu'elle le possède dans son entièreté. Je l'embrasse furieusement, ma langue trouvant son chemin entre ses lèvres tentatrices pour la dévorer de baiser. Traduisant ainsi toute l'étendue du désir qu'elle fait naître en moi. C'est pas ainsi que les négociations auraient du se passer et pourtant c'était inévitable. Moi qui plus tôt parlait de cette toile que j'avais étendue il semblerait que dans le cas présent c'est moi qui soit venue m'engluer dans la sienne. Elle me regarde comme si elle allait me dévorer et ça me procure des frissons qui me secouent jusque dans les tréfonds de mon âme. Mes doigts remontent le long de ses cuisses glissant entre nos deux corps collés l'un contre l'autre pour trouver le chemin vers son intimité. Mes doigts se font inquisiteurs et cherche à la faire couiner d'envie, je la caresse, la fouille m'enfonçant sur le chemin sombre et sinueux du plaisir. Je me redresse doucement plantant mon regard plein de malice dans le sien. Un sourire plein de promesse et mes lèvres viennent capturer un sein à travers la dentelle, je soupire contre sa peau, laissant mes lèvres poursuivre leur chemin sur son ventre, s'attardant au sommet de ses cuisses puis à l'intérieur. J'ai moi aussi certains talents à démontrer... Sans bouger, je lève les yeux vers elle, captant son regard du mien pendant que mes doigts écarte le tissus de son dessous pour me laisser le champ libre. Mes lèvres mordille la peau fine et sensible de l'intérieur de ses cuisses... et si elle ne m'arrête pas je vais la dévorer... et laisser toute cette faim gourmande qui me tenaille le ventre déferler sur elle.

@Sydney Jaeger

Pando

outfit -- Ce rendez-vous, qui semblait professionnel à première vue, prend une tout autre dimension. Un tournant qui ne me déplaît pas du tout. Sydney est le genre de femme capable de faire fondre mon désir d'un simple regard. Sa beauté n'est qu'une corde supplémentaire à son arc, il y a bien plus que cela. Son attitude, son charme fou, tout cela allume en moi les braises d'un désir sauvage et brûlant. J'ai l'impression que chaque moment passé avec elle est une expérience enivrante qui fait battre mon cœur plus fort. Je suis captivé par sa présence et chaque moment passé à ses côtés est un véritable enchantement. Je suis complètement incapable de détourner mon regard du sien, cette femme est tellement ensorcelante, elle me captive comme une biche prise dans les phares hypnotiques d'une voiture qui fonce droit sur elle. Même si l'accident semble inévitable, je ne fais rien pour l'éviter, au contraire, je me laisse emporter par cette envie irrésistible. Je la désire tellement que je suis prête à en payer le prix. Je brûle de passion pour cette femme, je succombe à l'envie intense qui m'anime. Mon regard sur elle est celui d'une prédatrice, soumise à ce désir sauvage qui la domine. Mes lèvres parcourent l'intérieur de ses cuisses, mordillant sa peau fine et sensible, en attendant qu'elle me donne accès à l'intimité que je désire tant embrasser et caresser. Son bassin ondule contre mes lèvres et sa main ferme et dominante s'accroche à ma chevelure pour imposer son propre rythme. J’ai tellement l’habitude de conserver le contrôle en toute circonstance que le lui céder là, à quelque chose d’inédit et de terriblement excitant. Elle me regarde avec cet air de dominatrice qui me fais littéralement fondre de plaisir.

Elle me laisse durant quelques instant la goûter, laisser ma langue la fouiller et la cajoler non sans conserver le contrôle de la situation. C’est elle la maîtresse de la situation, c’est elle qui m’impose son rythme et j’en pousse des gémissements qui demeurent étouffés contre son intimité palpitante et délicieuse. J’aspire qu’à une chose, la sentir défaillir de plaisir contre moi, entendre ses gémissements de plaisir délicieux. Je la veux tremblante, je la veux gémissante. Je la veux mienne. Je me veux sienne aussi… un couinement m’échappe quand elle me force à délaisser le trésor entre ses cuisses, me forçant à me redresser pour venir capter mes lèvres. Les siennes viennent dompter les miennes avec une détermination folle, son propre plaisir se mêle à nos salives échangés durant ce baiser sauvage et passionné. Le baiser rompus, je demeure les lèvres entrouvertes, mes iris plongé dans les siens, je m’enivre de son odeur et de ce regard de braise qui me fait un effet dingue. Cette femme est une tigresse, féline et sauvage, le mot tentation semble avoir été inventé pour la définir. Elle me fais basculer sur le lit avant de me mettre à nu, les fibres des derniers vêtements me couvrant craque sous la fermeté de sa détermination. Je m’en fiche, mon coeur s’emballe dans ma poitrine quand son regard posé sur moi me donne l’impression d’être une merveille à découvrir. Ça ne me ressemble pas, mais pourtant je m’abandonne à elle, et la laisse disposer de moi, comme une petite salope docile et obéissante. À son contact, je suis plus chienne et soumise que je l’ai probablement jamais été.

« Je crois que tu ne mesure même pas à quel point… »

Mes mots sont qu’un souffle ardent, passant la frontière tremblantes de mes lèvres désireuse de tant de décadence sauvage et passionné. Elle agrippe mes chevilles pour venir écarter mes cuisses, me plaçant dans une position d’évidente soumission. Ses mains glissent sur mon corps comme si je lui appartenais. Je retiens mon souffle quand ses doigts viennent se loger au creux de mes cuisses, venant en moi, m’arrachant des gémissements plein d’envie quand ils entament de lents vas et viens. Je suis incapable de retenir mes gémissements, plus encore quand son regard sonde le mien, cette lueurs possessive animant ses iris me rends folle. Je veux cette femme, je la désire d’une puissance étourdissante.

« Cruelle diablesse…»

Soufflais-je à bout de souffle quand elle provoque en moi un plaisir grondant mêlant à une douleur ensorcelante. Le mélange des deux est incroyable. Mon corps tente de se mouvoir d’envie sous sa poigne ferme laissant place à aucune contestation. Sa torture est à la fois délicieuse et cruelle, elle m’amène au portes de la jouissance sans jamais me libérer. Elle joue avec moi comme un chat avec la souris captive entre ses griffes. Mes gémissements de plus en plus sonore emplissent la pièce, raisonne entre les murs du salon dédié aux plaisir le plus fou et sauvage. Mon regard fixe le miroire au-dessus de nous, la vision de mon corps offert au sien me fais prendre conscience de cette faiblesse que je lui laisse entrevoir, de cette facette de mon être dont je la laisse jouir. Ce désir de soumission déferle en moi comme un besoin impérieux auquel je tente encore de résister vainement. Mon corps tremble d’un désir de jouissance impérieux sous le sien, mon regard brûlant cherche le sien, la suppliant ainsi silencieusement de me libérer, de me laisser exploser, quand j’ai l’impression de me noyer sous ses vagues de désir pressant. C’est une véritable torture et elle le sait, elle joue avec moi comme si j’étais une poupée. Sa poupée. Je me redresse sur les coudes pour la contempler me torturer quand elle semble se complaire de mon apparente docilité. Ses termes me font l’effet d’une gifle, animées d’émotions en totale contradiction. Mon corps lui aime ce sentiment de supériorité qu’elle exerce sur moi, quand la nature de mon être elle tente de reprendre le dessus… de s’affirmer malgré son évidente supériorité. Je suis la captive de deux parts de moi en parfaite contradiction. Mon corps ondule sous le sien, je suis en feu, l’envie est trop ardente, trop brûlante.

« Libère-moi… laisse-moi exploser de plaisir et je suis à toi pour le reste de la nuit…»

Je n’en reviens pas moi-même de lui faire une telle offre, mais elle me rend folle, ivre d’un plaisir étourdissant et pressant auquel je suis incapable de résister. Je la dévore des yeux en me mordillant la lèvre témoignant d’un désir impérieux. Le monde pourrait s’écrouler autour de nous que j'en aurais rien à foutre, seul elle et cette passion sauvage qui nous anime a de l’importance à présent. Le désir qu’elle a fait naître en moi est si incroyable que je m’en remets entièrement à elle, je m’offre à elle sans autre condition que celle de jouir sous ses doigts. Je suis prête à explorer chaque recoin de son corps, à savourer chaque instant de cette union passionnée. Chaque caresse, chaque baiser est une décharge électrique qui parcourt mon être et me fait frissonner de plaisir. Je suis captivée par cette connexion intense qui nous unit et je ne peux m'empêcher de vouloir prolonger cet état d'extase. Mon désir pour elle est inextinguible, insatiable, et je la désire ardemment, corps et âme. Je suis prête à tout donner, à tout abandonner pour ce moment de plaisir absolu. Chaque seconde passée avec elle est une éternité de bonheur, un tourbillon de passion qui enflamme mon être et me transporte vers des sommets inconnus. Je suis totalement envoûtée par cette relation enflammée et je ne peux que me laisser emporter par cette déferlante de sensations enivrantes. Pour la première fois je cède tout contrôle, à une autre âme que la mienne, à elle… à cette femme à la beauté étourdissante et hypnotique, je lui l’offre, une offrande dingue certes… mais je laisse parler mon plaisir. Un plaisir qu’elle sait faire raisonner en moi d’une manière incroyable et inédite. Mes iris demeurent planté dans les siens, tremblante j’attends de connaître sa décision, voir si elle va prendre complètement l’ascendant sur moi ou non..

@Sydney Jaeger

Pando

outfit -- Je n’aspire à aucun traitement de faveur parce que je suis la fille du Chancelier Davis de l’essaim de Los Angeles. J’ai été très claire avec mon père quand je suis partie de Los Angeles pour intégrer les rangs de l’essaim de San Diego je veux prouver ma valeur, gravir les échelons parce que je mérite et non parce que je suis la fille de. Malgré mes exigences je reste dans l’ombre de mon père. Ce nom que je porte me colle à la peau. Je ne suis pas une fille à papa mais on ne peut pas lutter contre l’image que l’on offre aux autres, mais pour l’heure, la seule image que je souhaite renvoyer à Sydney c’est celle qu’une amante brûlante et sauvage. Elle me provoque et, je crois que je la désir avec une telle ardeur que j’en oublié les réelles raisons de ma venue jusqu’ici. Les mots, les baisers et les caresses tout est là pour me faire perdre pied, me faisant basculer dans un désir qui dépasse l’entendement. Sydney est une succube, une créature divine qui pourrait nous faire penser que le mot “désir” a été inventé pour elle.  

Moi qui suis d’habitude d’une assurance à toute épreuve devant elle cette dernière se gomme au profit d’un désir sauvage. Captive de son regard de braise, soumise à ces caresses semblables à la plus douce des tortures je fonds pour cette femme. Une déesse de la luxure. Sans même que je m'en rende réellement compte elle a prit possession de mon corps, me laissant plus aucune chance de lui réchapper ou même de lui résister. Je fonds d’un désir puissant pour cette femme. Elle me maintien avec une dextérité incroyable entre deux mondes, perdue entre plaisir et frustration je la dévore des yeux, la regardant comme si elle était un joyau dont jamais mes iris pourraient se lasser.

Je lui cède entièrement, déclarant être à elle pour le reste de la nuit. A Elle. Mon cœur manque un battement quand sa réponse à ma déclaration me cloue d’excitation sur place. Je lui suis déjà... Mes paupières papillonnent comme si je tentais de me reconnecter à la réalité, mais j’ai déjà basculé. Basculé dans les méandres d’un plaisir sauvage, intense et infinie pour cette femme qui vient finalement que d’énoncer une réalité. Je suis sienne... mon corps s’échauffe et réagit à cette seule pensée. Qu’est ce qui m’arrive ? Ça ne me ressemble pas de me laisser emporter dans un tel tourbillon d’envie et de sensualité... et pourtant c’est le cas. « A toi...» Ma voix n’est pplus qu’un souffle à peine audible. Ma respiration s’accélère et mon souffle devient plus court quand elle immobilise ses doigts en moi. Je baisse les yeux pour que mon regard embrumé d’un plaisir puissant croise le sien. Plein d’assurance... ce sourire dominateur me cloue sur place et incendies mon bas ventre d’un feu plein d’une passion intense et sauvage. Syd me fais perdre pied... Sa langue experte nous transporte dans une bulle de passion ou elle est la seule à avoir de l’importance à mes yeux. Je la veux. Putain oui, je la veux !!  

Le spectacle de nos corps plein d’un plaisir intense se mouvant l’un contre l’autre est étourdissant... Je suis totalement hypnotisée, captiver par cette femme au charisme brûlant. Je me redresse péniblement en prenant appuis sur mes avant-bras quand elle me demande de l’avouer haut et fort. Mes dents malmènent ma lèvre inférieure quand je suis en proie à une véritable lutte contre moi même. Une part de moi fond de désir pour elle, voudrait se soumettre totalement sans condition d’aucune sorte quand la seconde tente encore de s’affirmer en lui opposant une dernière résistance. Deux facettes de mon être qui s'oppose quand mon corps lui semble déjà avoir fait son choix. Tremblant contre ses lèvres brûlante lui céder totalement est la seule issue possible. « Je t’en pris... Libère moi c’est une véritable torture...» Mon bassin ondule comme une invitation à mettre un terme à cette frustration trop grande. J’ai tellement envie d’elle que j’ai l’impression que mon corps pourrait s’embraser brutalement d’un seul coup. Ses lèvres contre mon intimité me rendent folle. «... et je te montrerais a quel point je peux être chienne... » J’empoigne les draps avec une telle fermeté que les fibres du tissu menacent de craquer. « Ta chienne...» C’est dit... avoué haut et fort. Un fait immuable que rien ne pourra altérer. Je ne sais pas à quel instant elle a prit une telle emprise sur moi, mais je suis captive de cette attraction puissante.  

Sa langue s’enroule contre mon bouton de chair, sa chaleur et sa dextérité étourdissante me propulse dans un état de trance incroyable. Mon corps tout entier s’embrase ppour elle, secoué par des spasmes de plaisir intense. Les sons passant la frontière tremblante de mes lèvres sont puissants et sonores, je me fiche éperdument que l’on puisse nous entendre. Au contraire, je veux que tous sachent l’effet incroyable qu’elle a sur mon corps, me secouant jusque dans chacune des fibre de mon être. L'orgasme est puissant, d'une violence incroyable. Je suis ivre de plaisir, ivre d'elle... Mon plaisir inonde sa langue qui s’acharne encore jusqu’à ce les derniers spasmes de plaisir aient raison de moi. Je gémis son nom, le cri sans rougir. Elle semble se délecter de manière dont mon corps chante pour elle, je crois qu’il n’a d’ailleurs jamais chanté ainsi... avec une telle passion.  

Brusquement je me redresse, agrippant sa nuque pour qu’elle se redresse. Je viens écraser mes lèvres contre les siennes, l’embrassant avec une passion sauvage, comme si ces lèvres ayant le goût de mon propre plaisir étaient miennes. Ma langue force le barrage de ses lèvres, venant trouver la sienne pour une danse sauvage et passionnée. « Je veux faire chanter le tien...» Un souffle contre ses lèvres, mes doigts viennent pincer la pointe de ses seins. Mon corps viens se coller contre le sien, le pressant jusqu’à ce qu’elle bascule sur le lit. Je me penche au-dessus d’elle dévorant ses lèvres, mordillant la peau fine et sensible de sa gorge sur laquelle je laisse une trace durable de mon passage. J’esquisse un sourire animal plein de promesse avant de souffler au creux de son cou : « A présent je vais te dévorer... » Je ne lui laisse pas le temps de me contre dire ou de protester, je la cloue au silence d’un baiser avant de laisser mes lèvres gonflées d’envie glisser le long de son corps pour venir se perdre contre son intimité. Je lève les yeux, lui adressant un regard plein de provocation avant d’enrouler mes bras autour de ses cuisses pour les verrouiller. Offerte, ma langue vient la dévorer, glissant contre ses lèvres intime, cherchant à s’insinuer en elle pour me gorger de son plaisir. Son plaisir inonde ma langue, un goût délicieux dont je compte me rassasier jusqu'à plus soif.  

@Sydney Jaeger

Pando

outfit -- J’étais venue ici pour parler affaires vraiment ? En partie oui, c'est vrai, mais mes objectifs semblent totalement mis au second plan par ses charmes envoûtant. Dire qu’elle me rend folle est un doux euphémisme, elle me met le feu au corps, elle a transformé une étincelle en un véritable brasier dévastateur. Je m’offre à elle sans la moindre retenue, j’affirme être sienne, sa chienne, son amante. Je me perds dans la pureté infinie de ses iris, y décelant un univers entier, un million d'étoiles brillantes et hypnotisantes. Sa beauté est indéniable, sa sensualité enivrante. Elle est ardente, passionnée, et elle éveille en moi quelque chose de nouveau, quelque chose de si fort et si intense que je ne parviens même pas à le décrire avec précision. C'est une sensation inconnue, un sentiment sans nom que je n'avais jamais ressenti auparavant.

Ses doigts adroits, sa langue aguicheuse m’enivre d’un plaisir absolument fou. Je lui offre mon corps, mais je crois que ça va bien plus loin que ça. Je n’ai jamais cédé autant de terrain à personne avant elle, le pouvoir que je lui cède sur moi est inédit, puissant et sauvage. Je perds toute notion de temps et d’espace, une seule âme compte à cet instant à mes yeux : la sienne. Les flammes dansant dans ses iris alors qu’elle prend possession de moi, affirme sa prise sur mon corps, me proclame sienne sont d’une beauté ahurissante. Mes lèvres s’entrouvrent, gémissant le prénom de l’investigatrice de ce plaisir hors norme. Le monde pourrait s’effondrer autour de nous, ça n’aurait aucune importance si nos corps sont en osmose l’un avec l’autre. Je déraille complètement, je me livre comme jamais, je ne l’ai jamais fait.

La jouissance est intense, folle, brûlante. Mon corps tout entier se tend, s'arque d’un plaisir si grand que j’en ai le souffle coupé. Une puissance ardente déferlant dans tout mon corps, le possédant, le rendant plus ardant encore que le cœur en fusion d’un volcan. C’est son œuvre, une œuvre de luxure brûlante et sauvage. Elle m’emmène au-delà même de l’extase, cet instant unique est d’une perfection divine. L’apogée d’un plaisir inexprimable. Je me redresse péniblement, le corps encore tremblant pour la contempler, je me gorge de sa beauté, la détail avec attention, comme si je voulais graver dans mon esprit la finesse de chacun de ses traits.

Rien ne semble en mesure d’apaiser le feu qui m’anime, aussi divine soit l’extase que je viens de vivre, j’en veux encore. Je veux plus d’elle, je veux que ses gémissements de plaisir emplissent la pièce, je veux qu’elle hurle de plaisir, qu’elle hurle mon nom. Je veux son corps en fusion, qu’elle soit mienne autant que je suis sienne. Je perds le contrôle, je ne maîtrise plus rien, mais je m’en fiche, je suis focalisée sur Sydney. Mon regard se fait presque prédateur quand je la retourne et viens verrouiller ses cuisses de mes bras. Mon regard coule sur son intimité luisante et offerte. Mienne. Je n’attends pas qu’elle approuve ou conteste, je prends l’objet de mon désir. Mes lèvres partent à la conquête de sa fleur, glissant entre ses lèvres intimes… torturant son bouton de chair gonflé. Je le dévore, animée par une seule envie : le rendre folle. Je veux la sentir trembler et défaillir de plaisir contre moi.

Un couinement de frustration m’échappe quand sa poigne ferme me force à délaisser le goût divin de son plaisir. Je plonge mon regard brûlant dans le sien, et viens dévorer sa bouche. Nos salives et le goût de nos plaisirs partagé se mêlent. L’intensité de cet instant est incroyablement brûlant. Elle me rend folle, ivre d’un plaisir inexprimable. Nos bassins dansent l’un contre l’autre dans une danse frénétique, nos intimités s’attisent, se cherchent en dansant l’une contre l’autre. Une danse saphique d’une intensité étourdissante. Je monte si vite en pression… c’est juste dingue. Mon sang devient de la lave en fusion. Mon bassin danse contre le sien en quête de sensation toujours plus folle. «Oh putain…» Mon corps s’électrise en même temps que le sien, je me gorge d’elle, de ses gémissements que je viens étouffer contre mes baisers. «Sydney…» L’orgasme me terrasse une nouvelle fois… son prénom quittant mes lèvres pour se mourir sur les siennes. Cette femme est divine, une perfection absolue. Mes doigts se crispent dans sa chevelure, la forçant à basculer la tête en arrière pour m’offrir sa gorge que je dévore avec une passion ardente. Je mordille la peau fine et sensible de son cou, y déposant une marque. Ma marque. Comme si par ce geste, je voulais la revendiquer, montrer que je suis celle qui l’a conduite à l’extase, que son plaisir et le mien ont formé qu’une seule et même entité. Mon corps tremble encore sous l’intensité de cet instant quand je la libère de ma prise ferme et dominatrice. Je presse toujours mon bassin contre le sien, mêlant nos cyprines pour former plus qu’un seul et divin nectar. Mon regard plonge dans le sien, je lui adresse un sourire plein de provocation. Mes doigts glissent entre nos corps en feu, cueillant du bout de mes doigts ce nectar bénit des dieux. Ils viennent ensuite glisser entre mes lèvres, je les suce dans un simulacre parfait de fellation. « Hum… délicieux…» Je la regarde, les iris à la fois rieurs et provocants, et puis, je me penche vers lui, pour lui partager le goût de ce nectar divin.

@Sydney Jaeger

Pando

outfit -- Je ne m'attendais absolument pas à découvrir des paillettes d'une telle rareté en cette femme. Je ne m'attendais pas, non plus, à ce qu'elle ait sur moi un effet aussi puissant et déroutant. Le feu qu'elle attise en moi est d'une violence étourdissante, un brasier ardent qui me fait perdre pied, me submergeant et m'engloutissant sous des vagues d'un plaisir étourdissant, presque insoutenable. Le plaisir qui me consume, qui me transcende jusqu'à l'essence de mon être, semble faire écho au sien, dans un ballet sensuel et passionné. Nos corps, incandescents de désir, tremblent et couinent à l'unisson, dans une symphonie de sensations qui nous unit de la manière la plus intime et la plus profonde.

Je ne pense plus, je ne réfléchis plus, mon esprit en est actuellement bien incapable. En cet instant précis, les vagues de l'orgasme me terrassent avec une violence incontrôlable qui brouille toutes mes pensées. Mes dents viennent marquer sa peau, laissant une trace indélébile de mon passage. C'est comme si je voulais imprimer à même son épiderme qu’elle est mienne, qu'elle appartient à ce moment, à ce lieu, à cet instant précis. C’est égoïste et présomptueux, certes, mais elle l’est, seulement à cet instant bien précis, mais elle l’est d'une certaine manière. Ce plaisir qui la terrasse, qui secoue son corps de délicieux spasmes de plaisir, est de mon fait. C'est mon œuvre, mon chef-d'œuvre. Et la voir ainsi s'abandonner sans retenue aux plaisirs qui la consument, à cette vague de sensations qui la submerge, est le plus beau des spectacles. C'est une satisfaction qui dépasse tout ce que je pourrais décrire, un sentiment d'accomplissement qui me comble au-delà de tous mes désirs.

La connexion qui nous unit à travers cet orgasme partagé est d'une violence sauvage et passionnée; une force indomptable qui nous consume tous les deux. Je crois sincèrement que ni elle ni moi ne nous attendions à partager une telle connexion, une intimité qui transcende nos corps. Mes doigts courent sur sa peau, explorant chaque repli et chaque courbe, tandis que mes lèvres la décorent avec un appétit vorace que je suis bien incapable de tempérer. C'est une faim insatiable, une soif de la connaître qui m'anime. Nos regards, brillant comme des joyaux sous la lumière tamisée, se croisent et sa beauté m'éblouie – une beauté qui est à la fois physique et spirituelle. Son visage, illuminé par la lueur de la passion, est une vision qui restera gravée dans mon esprit. Un sourire plein de promesse et de provocation étire mes lèvres lorsqu’elle me dit qu’il est déconseillé de marquer la peau des filles du grand maître. Son avertissement, livré sur un ton mi-sérieux mi-joueur, me fait sourire. J’arbore cet air faussement innocent, une mimique qui cache mal ma rébellion évidente, avant de lui répondre avec un éclat malicieux dans les yeux.

« À croire que tu m’as ensorcelée, me poussant à prendre des risques inconsidérés seulement pour pouvoir… te posséder. »

Elle rit avec une joie contagieuse, et doucement, ses dents effleurent ma peau, déclenchant une vague de frissons qui envahissent chaque vertèbre de ma colonne. C'est comme une décharge électrique qui se propage à travers tout mon corps. Ensuite, elle se rapproche encore plus, sans laisser d'espace entre nous, et dévore mes lèvres avec une passion ardente. C'est un baiser qui nous consume, rempli de sentiments non exprimés et de désir puissant. Elle se retire ensuite, un sourire malicieux sur le visage, et me pose une question qui me fait sourire à mon tour. Elle veut savoir si j’ai fait ça pour être sûr qu'elle pense à moi. En réponse, un sourire taquin se dessine sur mes lèvres, plein d'une provocation silencieuse qui ne fait que réchauffer l'atmosphère déjà électrique entre nous.

« J’ai l’espoir peut être audacieux que tu n’auras pas besoin de ça pour penser à moi. »

Son souffle, doux et caressant, frôle ma peau alors que mes paroles, remplies d'un espoir à peine voilé, sont à peine audibles, murmurées comme un secret partagé entre nous. Cet instant, d'une intensité électrique, se grave profondément dans mon esprit. Je la fixe, mémorisant chaque détail de son visage, comme si je cherchais à graver en moi chacune des courbes sexy et hypnotiques de son corps. Lorsqu'elle mord ma lèvre, un hoquet d'excitation et de surprise m'échappe. Elle affirme d'une voix confiante que je lui appartiens.

La chaleur me monte aux joues et je sens mes pommettes se teinter d'un rose discret mais délicieux. Sienne ? L'idée me plaît énormément, et chaque fibre de mon corps semble vibrer d'accord. En fait, sans même encore pleinement réaliser, je crois que je suis déjà à elle. Chaque parcelle de moi-même est attirée par elle, et chaque moment que nous partageons ne fait qu'accentuer ce sentiment.

« Tu es sure de ça …? »

Ses lèvres s'attaquent à mes pointes avec une passion dévorante, les aspirant, les mordillant de la manière la plus divine qui soit. Chaque contact provoque une vague de frisson qui s'écrase sur moi, laissant mon corps en émoi. J’émets un doute, mais c'est plus par esprit de provocation et de contradiction qu'autre chose. En réalité, je suis parfaitement consciente que je ne trompe personne avec ce jeu. Mon corps réagit au moindre de ses gestes, chantant une mélodie divine sous ses attentions attentives. Et le fait indéniable est que je serai tout à fait incapable de lui résister. Chaque geste, chaque toucher, n'est que la promesse d'une douce torture que j'attends avec impatience.

Je sens mes doigts se refermer fermement dans l'épaisseur de sa tignasse brune, l'arrachant à son relâchement pour la forcer à se redresser. Je viens écraser mes lèvres contre les siennes dans un baiser sauvage, imprégné d'un désir impétueux que je ne parviens pas à contrôler. C'est un désir intense qui me consume, un besoin viscéral qui me pousse à agir. Avec un mouvement de bassin, j'inverse nos positions. La plaquant sur le dos, je m'installe au-dessus d'elle. Je la contemple, émerveillé, comme si elle était la huitième merveille du monde, un joyau précieux et inestimable. Je ne m'attendais certainement pas à trouver ici un pareil trésor, à découvrir une telle beauté. Ce qu'elle éveille en moi est inédit, quelque chose d'une puissance folle qui bouleverse mon monde, qui ébranle mon être jusqu'à ses fondations. C'est une émotion forte, une émotions qui m'était jusqu'alors inconnu.

Mon genou trouve délicatement sa place entre ses cuisses tandis que mes doigts, guidés par une passion ardente, glissent entre nos corps enflammés pour malmener son bouton de chair. Je le caresse, le pince, en quête de la moindre réaction qui me permettrait de la faire couiner. Je désire entendre le son de ses gémissements mélodieux qui ravissent mes oreilles. Mes lèvres, quant à elles, explorent avec avidité le territoire qui s'étend de ses lèvres douces et suaves à sa poitrine généreuse. Je m'amuse à couvrir de baiser chaque parcelle de ce corps brûlant qui me fait un effet étourdissant, m'enivre et me pousse à me perdre en elle. Chaque baiser, chaque caresse est une revendication silencieuse, une affirmation de mon désir et de ma volonté de la posséder entièrement.

« Tu es une tentation à laquelle je ne peux résister,… » Mes paroles, imprégnées d'une passion ardente, sont murmurées contre sa peau brûlante, résonnant comme une promesse de plaisirs inavoués.

Mon souffle chaud contre sa peau, je sens son corps frissonner sous mes attentions. Je laisse mes lèvres glisser le long de son cou, y laissant une trace de baisers brûlants. Ma main continue son exploration de son corps, chaque courbe, chaque creux, une découverte qui me fait frissonner d'anticipation. Je sens son corps se tendre sous mes caresses, sa respiration devient irrégulière, ses gémissements de plus en plus forts. Je souris contre sa peau, satisfaite de ces réactions que j'évoque en elle.

« Tu es exquise... »

Les mots s'échappent de mes lèvres dans un murmure rauque, rempli de désir. Ses mains se perdent dans mes cheveux, me tirant plus près d'elle. Je peux sentir son cœur battre contre ma poitrine, un rythme effréné qui correspond au mien. Nos corps se mouvent en parfaite synchronisation, comme s'ils n'avaient connu que cela. Je plonge mon regard dans le sien, y trouvant une passion qui égale la mienne. Il n'y a plus qu'elle et moi à cet instant, plus rien d'autre n'a d'importance.

« Je veux te faire mienne, encore et encore... » Ma voix est basse, presque un grognement, tandis que mon désir pour elle se fait de plus en plus insistant.

Je ne sais pas de quoi peut être fait l’avenir, mais en cet instant, je ne veux rien de plus que de la posséder, de la faire vibrer sous mes caresses, de la faire crier mon nom dans l'extase.

@Sydney Jaeger

Pando

outfit -- Cette passion fille secoue mon corps jusque dans les fibres les plus profondes de mon âme. Nos souffles se mêlent et s’enlacent pour finalement en constitué plus qu’un seul, nos cœurs battent ensemble, à l’unisson. Cet instant est beau, non il est magnifique, je ne m’attendais pas à vivre une passion aussi dévorante et sauvage. Le plaisir qui me transcende et anime mon corps est étourdissante. J’accepte cet instant comme un cadeau rare à la valeur inestimable. Au dessus d’elle, je plonge mon regard dans le sien, dans l’immensité magnifique de son regard d’azur. La beauté de cette femme est à couper le souffle.

Je crois qu’une part de moi lutte encore, tout m’échappe et mon esprit ne semble pas encore assumer se que mon corps lui hurle avec évidence. Sienne… Je suis sienne… Mon corps réponds à chaque baiser, chaque caresse avec une intensité incroyable. Le feu ardent du plaisir c’est transformé en un brasier hors de tout contrôle. Je tente de la provoquer, luttant sur ce sentiment d’appartenance de plus en plus puissant. Nos lèvres ne semblent pas être capable de se séparer plus de quelques instants. Seulement le temps de reprendre notre souffle avant de reprendre cette danse fiévreuse. La seule chose qui me retiens encore un tout petit peu, c’est ma trop grande fierté. Une fierté qui s’efface lentement, un peu plus après chaque baiser, chaque caresses. Sydney a le don de rendre toute lutte totalement impossible. Un sourire large et franc étire mes lèvres quand elle m’ordonne de ne jamais lui résister. Comme si je pouvais en avoir la force… Mon cœur bat à tout rompre dans ma poitrine, je peux résister à beaucoup de choses… mais pas à elle. La femme forte que je clame être chaque jours, abat toute ses défenses devant elle, je suis plus vulnérable que jamais, lui offrant une facette de moi que je dissimule habilement d’habitude. Étrangement cette vulnérabilité dévoilée je ne la ressent pas comme une faiblesse. La vérité c’est que dans ses bras je découvre un paradis qui ne m’avais jamais été offert jusqu’à ce jour.  

« Jamais…»

Je rends les armes ? Non, j’accepte simplement cette réalité qui s’impose à moi. Je fond sur ses lèvres, les capturant dans un baiser passionnés emprunt d’un désir qui dépasse l’entendement. Le monde pourrait s’effondrer tout autour de nous que je n’en aurais rien à foutre, elle est tout ce qui compte, elle est tout ce que je veux. Mes doigts courent sur son corps, la caressant comme si je voulais imprimer chacune de ses courbes profondément dans mon esprit, comme si je voulais graver en moi la perfection absolue. Entre deux baisers, elle me dits que je me trompe, que je deviens sienne un peu plus à chaque seconde… Je me redresse, plantant mon regard dans le siens. Ses mots et la profondeur de son regard font écho en moi. Mon coeur manque un battement, je peine à comprendre ce que je ressent à cet instant, mais je dois cesser de lutter, ne plus chercher à analyser ou à comprendre pour seulement accepter. Accepter la beauté étourdissante de cette étreinte passionnée.

Je me redresse promptement au dessus d’elle, et plonge d’un seul coup mes doigts entre ses cuisses quand elle me demande si je supporterais de la voir avec mes clients. Les flammes d’une jalousie nouvelle dansent dans l’obscurité de mes yeux. Les doigts de ma main libre se referme autour de sa nuque pour l’attirer contre moi. Je l’embrasse fiévreusement, comme si je cherchais à la revendiquer à travers l’intensité de ce baiser. Mes lèvres quittent les siennes seulement lorsque l’air commence à nous manquer.

« Tu es mienne. »

Cet élan de possessivité, qui me submerge, est violent et brutal, semblable à une tempête qui fait rage en moi. Elle est celle que je revendique, celle que je désire ardemment, et tout le reste n'a aucune importance à mes yeux. Je suis éperdument absorbé par elle, totalement indifférent à tout ce qui m'entoure. Mon regard, intense et brûlant, se perd dans le sien, créant un lien invisible mais puissant entre nous. Pendant ce temps, mes doigts, doux mais fermes, vont et viennent en elle, lui arrachant des gémissements de plaisir qui ne font qu'augmenter mon désir de la posséder. Chacun de ces gémissements semble me l’approprier un peu plus, augmentant ma possessivité à chaque seconde qui passe. Ce moment, où nous ne faisons qu'un, semble s'étirer dans le temps, nous enveloppant dans une bulle d'intimité intense.

Mes lèvres finissent pas délaisser les siennes, entament une lente descente, m’attardant quelques instant sur ses seins que je torture de mes dents, parcourant son ventre, puis le sommet de son intimité. Je me stop un instant, relevant mon regards sur elle. « Dis le moi… Dis moi que tu es miennes… » Je souffle ses mots contre son intimité avant de commencer à la torturer, glissant ma langue contre sa fente, goûtant le goût exquis de cette femme qui anime en moi des émotions totalement inédite et semblant hors de tout contrôle.

@Sydney Jaeger

Pando