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 Matin gueule de bois (Roxaaron)

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Aaron Cooper
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MessageSujet: Matin gueule de bois (Roxaaron)   Matin gueule de bois (Roxaaron) EmptyDim 17 Déc - 18:33

Alors… Résumons… Je suis visiblement dans un lit, l’odeur ici est différente de chez moi, donc je suis quelque part… Dans un lit ? Attends non c’est une caisse… Je suis dans une voiture ? Je suis à poil et… Oh merde y’a genre cette nana toute nue et toute pleine de tatouages, peau d’ébène… Okay j’ai visiblement baisé un canon moi cette nuit… Je souris amusé et me passe la main dans les cheveux. La bonne nouvelle, c'est que j’ai visiblement bu mais je n'ai pas la tronche trop fracassée… On va dire un 4 sur l’échelle du fracassage de tronche… Pas mal… En y regardant mieux, je vois qu’on est dans un coin de nature et que la bagnole est proche d’une petite habitation et je prie pour ne pas voir débarquer trois enfants affamés qui vont demander après leur maman qui serait cette jeune femme qui avait sans doute préféré qu’on aille baiser dans la voiture pour respecter le sommeil de ses rejetons… Bon on va dire qu’une fois n’est pas coutume j’ai oublié une bonne partie de la soirée et … Le nom de la dame… Chouette… Faudra que je pense à me l’écrire sur le bras la prochaine fois et… Oh merde… J’ai écrit Roxana sur mon avant bras et entre parenthèse : « la fille près de toi du con »… Putain mon moi du passé est tellement génial vis-à-vis de mon moi du futur… Nos habits sur le sol, on a basculé le siège arrière et ça nous sert de lit. Les fringues sont autour de nous. Pas de capote. Des bouteilles et visiblement son corps porte les traces séchée de ce que je pourrais être ma propre semence… Bon… On dirait que j’ai encore fait du grand moi…

Elle dort et il faudrait que je lui demande si elle n’aurait pas une cafetière dans la boite à gant… Mais arrive un autre souci. La dame est très jolie, endormie et moi, je réalise que l’érection du matin est au top niveau et je me dis que ce serait dommage de gâcher ? Lentement je me glisse près d’elle. Couchée sur le flanc, elle me tend ses fesses. Parfait ça. Je viens saisir mon sexe et le frotte contre elle. La dame endormie soupire dans son sommeil et je la découvre toute accueillante. Lentement, je pousse le bassin et mon érection de 28 cm totalement raide s’enfonce en elle sans aucune forme d’hésitation. Je me retrouve en elle à onduler doucement ramenant une main sur elle pour masser sa poitrine quand je la sens s’animer doucement. Je souris amusé et lui lance.

« C’est bon ? T’as fini ta sieste ? T’es avec moi pour le final ou tu retournes dans les bras de Morphée ? »

Et voilà… Le jour se lève à peine et je fais déjà le con… Non en fait je crois que j’ai toujours pas arrêté de faire le con… Il faudra que je me filme en dormant si ça se trouve je suis con même quand je dors… À peine ouvre-t-elle les yeux que je donne un coup de bassin plus sec avant de serrer son sein dans ma main.
Roxana Baker
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MessageSujet: Re: Matin gueule de bois (Roxaaron)   Matin gueule de bois (Roxaaron) EmptyMar 19 Déc - 18:36

Toujours assise à cette table, à l’écouter répéter en boucle que je suis mignonne, qu’il aimerait me connaître et que j’ai un joli sourire… Je me fais violence pour rester assise. Dès que j’ai le malheur de vouloir quitter la table, je m’entends glousser bêtement à ses compliments, pour mieux me voir le suivre vers la sortie. Ce n’est pas faute de me crier dessus, de m’arracher la gorge à hurler qu’il va me faire du mal, je me vois quitter le restaurant à son bras, un sourire trop heureux aux lèvres pour ce qui va suivre. Alors, j'attends que les aiguilles de l’horloge bougent enfin, que ce rendez-vous interminable trouve une fin. À force de faire le même rêve, j’ai fini par en connaître chaque recoin et comme à chaque fois, je finis par vouloir fuir sa présence, je m’attends encore une fois à glousser comme une idiote, mais à la place, je me retrouve sur une plage. Le changement de décor est plus que déroutant, pas de Jonathan en vue, ni foule… Simplement le son des vagues et une douce chaleur qui commence à me remonter l’échine… Ça change… C’est agréable, alors je ne boude pas mon plaisir pour me laisser envahir par cette chaleur, m’allongeant tranquillement sur le sable fin, ne remarquant même pas que je suis complètement nue. Plus j’ondule sous le soleil et plus la chaleur émanant de mon corps semble monter en intensité, autant que le sable sous mon dos. À tel point que d’une douce chaleur, je passe à une fournaise dévorante et sans hésiter, je viens l’attiser, trouvant son origine entre mes cuisses. Mes gémissements semblent être portés par le vent et rejoindre des soupirs plus masculin, ce qui n’arrange rien à mon état, alors que je m’abandonne à ce rêve de plus en plus excitant. Quand mes yeux s’entrouvrent, je peux discerner les rayons du soleil, mais ceux-ci sont moins directs que sur la plage. Un simple rayon s’est faufilé entre les rideaux de mon van et m’aveugle littéralement… Un rêve érotique ? Carrément ? Je n’ai pas le temps de me repasser les détails du rêve qu’un hoquet m’échappe, au moment où mon corps se tend contre un autre. Là ce n’est pas un rêve, je peux clairement sentir un membre s’imposer en moi, profondément planté dans les tréfonds de mon intimité sensible, autant que mon sein prisonnier d’une poigne ferme. « C’est quoi cette merde…⁣ » C’est plus un marmonnement confus, qu’un coup de gueule en l’état. Une fanfare semble avoir établi son camp dans ma tête. Ça tambourine, ça tangue un peu quand j’essaie de bouger la tête… Super, j’ai encore fait du grand moi. Heureusement qu’il n’y a pas de séance aujourd’hui, sinon bonjour l’allure devant le jury.

Bon, j’me souviens pas de la fin de soirée et un trou noir veut dire que j’ai dû faire une connerie… Super. Mollement, j’enfonce mon visage dans l’oreiller, ignorant un moment l’agréable frisson qui traverse mon corps. Il va vraiment me tringler alors que je dors ? Sa question suffit à m’indiquer que oui, du moins c’était son intention avant que je n’me réveille. Pourquoi ça ne m’étonne même pas, il n’y a que moi pour coucher avec des pervers sans vergogne. Soupirant, je tourne la tête par-dessus mon épaule, avisant mon dernier coup en date. Mmh pas mauvais, pas mauvais du tout. J’ai au moins eu la chance de ramener un canon, ça change des mecs aux allures douteuses… Si seulement ce n’était pas un chien en rut. « Fais c’que t’as à faire. C’est pas comme si tu m’avais attendu pour le lancement. » Un haussement d’épaule et je me retourne, avisant mes rideaux qui peinent à filtrer la lumière… Je devrais pouvoir me rendormir avant la fin de matinée, enfin, c'est dans le cas où il tient plus de deux minutes.

Enfin, dans l’immédiat, je préférerais qu’il finisse vite son affaire, rien qu’avec ses roulements de hanches, je peux sentir qu’il est monté comme un cheval et dans mon état, je doute de pouvoir en mener large… Même si au fond… Ça serait con de passer à côté de cette opportunité, d’avoir un étalon dans mon lit. Suivant cette pensée, je lui lance un nouveau regard en coin, n’ayant pas bougé d’un poil depuis que j’ai commencé à émerger. « Par curiosité, ça donne quoi un final avec toi ? Que je sache si j’ai mieux fait d’aller me chercher un café au lieu de perdre mon temps au lit. » Quitte à le faire autant que ça en vaille la peine, non ? Parce qu’un inconnu qui te réveille en te prenant au saut du lit, c’est un peu le fantasme de toutes les nanas, mais rien ne dit que le fantasme ne va pas tourner au cauchemar après deux pauvres coups de reins. Pour ça, je préfère retourner dans mon rêve cochon à m’exciter toute seule sur la plage. En attendant une réponse ou réaction de sa part, je viens claquer mon bassin contre le sien. Ma réaction ne tarde pas, mes orteils se crispent sous le coup de la surprise et mes dents se plantent dans ma lèvre pour étouffer le gémissement qui menace de faire vibrer tout mon corps. Je pense que c’est assez clair concernant mes intentions, non ?
Aaron Cooper
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MessageSujet: Re: Matin gueule de bois (Roxaaron)   Matin gueule de bois (Roxaaron) EmptyDim 14 Jan - 20:47

C’est le souci quand on se réveille dans un lieu qui sent encore le sexe et la débauche et que la nana à côté de vous est une bombe sexuelle qui dort nue. C’est toujours plus sensuel de la réveiller en la baisant que de faire genre le beau gosse et risquer qu’une fois que la lumière révèle votre visage elle n’ait plus aucun désir pour vous. Et puis c’est aussi pour cette raison que la prendre par-derrière est aussi pratique et savoureux. Je me suis donc glissé dans son antre brulante et que le sommeil a rendu très accueillante. Je m’y glisse et ondule doucement. Quand elle se réveille, je la taquine doucement en la caressant au niveau du sein pendant que mon sexe énorme et long glisse savamment en elle. Je pouffe de rire quand elle demande ce que c’est que cette merde et l’embrasse dans le cou en soupirant alors que mon sexe pousse aussi profondément que possible en elle.

« Tu parles de moi ou de ce qui glisse entre tes cuisses ? »

J’aspire le lobe de son oreille et le suce délicatement. J’adore son parfum et son sexe écrase si parfaitement le mien… C’est un bonheur de faire coulisser ma queue dans son corps alors que je la tiens contre moi. Putain le pire c’est que ce n’est pas la première fois que je me retrouve nu avec une fille sans aucun souvenir de la soirée mais contrairement à la fois où la fille avec une très jolie queue bien raide et deux copains qui dormaient plus loin, je me suis dit que j’allais m’enfiler cette jolie nana au cas où je n’ai réellement aucun souvenir de ce qu’on a pu faire elle et moi…Soudain, elle tourne la tête et me regarde et si un instant je crois voir des flammes danser dans ses yeux, je crois que mon visage d’ange suffit à lui donner envie de me laisser un peu faire. Bon si je suis un peu à son gout on va dire que c’est déjà ça… Alors elle me dit que je fasse ce que j’ai à faire et que ce n’est pas comme si je l’avais attendu pour le lancement… Je souris et ma main quitte son sein et vient masser son clitoris pendant que je continue mon inlassable va et viens. La dame n’est pas seulement trempée, son sexe se contracte en cadence et malgré son extraordinaire détachement, je dirais qu’elle apprécie ce que je lui fais à cet instant… C’est ce moment qu’elle choisit pour réaffirmer son air détaché en me demandant par curiosité ce que ça donne un final avec moi ou si elle a mieux fait d’aller cher un café. Je souris et pince son clitoris avant de mordre son épaule. Je lui flanque deux coups de reins bien secs et je la sens presque éclater sur ma queue. C’est bien joué mais je crois que t’as fini de voir les étoiles belle inconnue…

« Le café c’est meilleur après l’orgasme… »

Je roule et la bascule à plat ventre venant sur elle en me couchant sur son dos et me met à onduler plus librement que quand nous étions sur le flanc. Je tremble de plaisir, sa chatte est accueillante. Je me redresse les mains agrippées à ses épaules, les bras tendus. Je tamponne son cul avec mon bassin. Ses jambes sont serrées et mon sexe est écrasé dans le sien. La pauvre… Je ne vais lui faire aucun cadeau… Je me penche sur son oreille et lui murmure.

« … Mais si t’as peur que je réalise que t’aime ça, tu peux mordre le coussin et feindre le détachement… »

Je lui pose un petit baiser sur l’épaule avant de la marteler sèchement, le tenant soumise sous moi à encaisser mes coups de bassin alors que je me demande si elle va continuer de faire la connasse détachée ou si elle va être honnête et se laisser un peu aller ? Histoire d’en rajouter je donne un coup de bassin plus sec et lui demande alors.

« … Oh pardon, ça va ma queue est pas trop grosse pour toi ? »

Je suis insupportable… Mais ça elle ne doit surement pas s’en souvenir… La pauvre… J’aurais presque pitié si elle n’était pas aussi désirable et sexy… Aller soupire un peu que sache si tes gémissements sont aussi torride que ton cul de déesse.
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MessageSujet: Re: Matin gueule de bois (Roxaaron)   Matin gueule de bois (Roxaaron) EmptyLun 15 Jan - 3:06

Y a plus dégueu comme réveil, j’veux dire, j’aurais aussi pu me retrouver dans une ruelle à rouler dans mon vomi. Clairement, je préfère le traitement qu’il m’offre à toutes les ruelles du coin… Ça n’empêche que sur le coup, j’suis pas emballée par son approche, même si je sens bien qu’il y a moyen de bien commencer la journée. Son pouffement, suivi par ses baisers venant échauffer mon cou, me donnent l’impression d’être une idiote. Ok, ma question était un peu conne, mais sur le coup, j’ai vraiment aucune idée de comment on en est arrivé là. Alors sa question me donne juste envie d’écraser ma main sur sa gueule, mais ses gestes me font perdre le fil, autant que la sensualité avec laquelle son corps ondule contre le mien. Y a pas à être aussi excitant et con en même temps ! Comment je fais pour le gifler maintenant, alors que je veux juste me laisser faire et couiner ? Je soupire un long moment pendant que ma tête est enfoncé dans l’oreiller, lui laissant tout le loisir de continuer à réchauffer mon corps plaqué contre le sien. Je sens bien qu’il prend plaisir à la situation et ça ne m’aide pas à l’ignorer. Enfin, ce n’est pas comme si j’essayais de fuir son contact, alors que je sais bien l’effet que ça a sur moi. Il a dû s’en rendre compte, à la manière dont je me tortille à chaque succion apposée sur mon oreille. D’ailleurs sa nouvelle question a le mérite d’être claire : j’étais foutue avant même d’ouvrir les yeux. Pour le coup, cette nouvelle intervention de sa part, ravive mon enfin de lui décalquer la tronche. Il sait pas quand s’arrêter, ou c’est juste sa personnalité ? En tournant la tête pour lui dire de faire son affaire comme il l’avait prévu, je suis agréablement surprise et prise de court par sa jolie gueule d’ange. Ça suffit pour me faire reconsidérer l’idée de rougie sa joue étirée par un sourire, trop amusé et communicatif à mon goût. Me dites pas que j’ai été ramolli par ses boucles blondes et son air espiègle… Est-ce qu’il a seulement la gueule de bois !? Parce qu’il m’a l’air bien heureux pour un lendemain de soirée. Je dis ça, mais je sens les coins de ma bouche frémir avec l’intention de répondre à son sourire, alors que je me sens pas spécialement amusé par la situation… Enfin, j’ai pas envie de l’être, même si je dois admettre que plus, j'émerge et plus je suis tentée d’aller dans son sens.

Faut dire que ses doigts savent où faire pression et comment me toucher pour faire trembler mon corps, m’amenant à rapprocher mes fesses de son bassin, me faisant bien galérer pour étouffer les soupirs qui menacent de remonter ma gorge. J’me suis dit qu’en gardant le silence, il finirait plus vite, mais c’est plus un problème qu’une solution en l’état. Je le sens bien que mon corps est complètement sous son emprise, j’ai du mal à me contenir à son contact et la taille de son membre stimule autant mon sexe, qui se fond sur le sien à chaque va-et-vient, que mon imagination. Je suis prise d’une forte envie de le laisser me baiser dans toutes les positions possibles, que ce soit dans le van… Ou en dehors de celui-ci. À défaut de pouvoir taire ma curiosité, je lui lance une pique sous couvert d’une question qui se veut anodine et il mord à l'hameçon comme un affamé. Le pincement de ses doigts me fait hoqueter sur le coup, mais je sens déjà mes cuisses s’échauffer, alors qu’elles se retrouvent un peu plus mouillé et que le frisson m’ayant pris de court s’intensifie en sentant ses dents se planter dans mon épaule. Ajoutez à ça ses coups de reins qui me font l’effet d’une montée sous ecstasy et je finis par lâcher un long râle, une fois que je retrouve mon souffle. Prise dans le flot de sensations traversant mon corps, j’en ai oublié de respirer. C’est un putain de gros con ! S’il continue je vais beugler et les flics vont venir nous arrêter pour exhibitionnisme ou une connerie du genre… Mais en y repensant, j’ai la gorge qui grappe un peu, ça a dû arriver souvent durant la nuit. J’suis contente de pas avoir de voisin pour se plaindre, si c’est le cas.

Mes sourcils ont à peine le temps de monter haut sur mon front, que je me retrouve à plat ventre, sans même avoir le temps de lui répliquer quoique ce soit. Je me cambre instinctivement, dès qu’il se met à rouler du bassin, comme si mon corps se préparait déjà à être ravagé, avant que j’aie le temps d’aligner les chars. L’enfoiré ! Qu’est-ce qu’il m’a fait pour que ça passe aussi bien ? J’veux dire, j’en ai vu passer des queues avant la sienne… Bon j’me souviens peut-être pas forcément de toutes, mais j’me suis pas senti aussi excitée au lit depuis un bail. Le frottement de son torse contre mon dos, l’aisance avec laquelle il s’impose en moi, la chaleur qu’il dégage et ses soupirs m’excitent plus que je ne veux l’admettre. C’est pas qu’il me dégoût, ou qu’il me fait aucun effet, j’ai juste… Plus l’habitude de prendre autant de plaisir. C’est devenu plus mécanique qu’autre chose, je tire un coup, j’ai ma dose d’endorphine gratuite et j’ajoute une couche de plaisir artificiel pour oublier l’inconfort. Ouais, c'est exactement ça le problème ! J’suis pas mal à l’aise ! Y a pas ce truc désagréable quand je sens sa peau contre la mienne, comme s’il ne dégageait rien de repoussant… Sauf son humour, il mérite des baffes justes pour ça. Même si sur le coup, j’suis plus concentrée sur le clappement régulier de mon cul contre son bas-ventre et la sensation de pesanteur qui m’engourdi à chaque fois qu’il me prend de tout son long. Putain, j’avais oublié à quel point j’aimais sentir mes orteils se crisper sous le coup du plaisir. Bien sûr, il se sent obligé d’en rajouter une couche et fidèle à moi-même, je fonce dans l’ouverture, malgré ma difficulté à aligner deux mots sans perdre mon souffle. « … Va… Te faire… Espèce… Chier ! » Pour le coup, j'enfonce mon visage dans le coussin, y plantant mes dents, enrageant de ne même pas l’avoir insulté une fois. C’est impossible avec la manière dont il martèle ma chatte qui n’oppose aucune résistance, bien au contraire ! Mon corps est un putain de traitre, prêt à m’abandonner pour se faire soulever après des mois sans véritable satisfaction… Ouais ouais des mois ! J’suis même pas sûre de pouvoir me toucher comme il l'a fait, sans être frustré au bout dix minutes à m’acharner dans le vide.

« … Ça fallait l'demander avant de t’inviter du con. » Je lui grogne littéralement dessus, après avoir écarté mon visage du coussin imbibé de salive qui vient gentiment mouiller ma joue, alors que j’abandonne l’idée de lui tendre une épaule froide. Je voulais au moins l’insulter une fois avant de céder à l’urgence. « … J’me demande plutôt si c’est toi qu'es pas trop à l’étroit avec ta grosse queue. Ma chatte est littéralement en train de l’avaler, tu le vis bien ? » Malgré la moquerie évidente, je ne peux plus vraiment lui cacher que je prends plaisir à chaque pénétration. Il suffit d’entendre les trémolos dans ma voix, qui a plusieurs fois menacé de se transformer en longs soupirs en plein milieu de ma pique. Sur le coup, je me contente juste de me détendre un peu, relâchant la tension de mes épaules sous sa prise. Soudainement, c’est comme si le nœud dans ma gorge venait d’être défait, laissant doucement sortir de timides soupirs peu assumés. Pour le coup, je sais que ça n’est pas de la simulation. À défaut de gémir, j’ai tendance à dire des grossièretés en gigotant comme une possédée… Ou simplement faire l’étoile quand c’est vraiment nul. Il est clair que je n’ai fait ni l’un, ni l’autre avec lui. S’il se souvient de ce qui s'est passé cette nuit, il s’en rendra compte tout seul, à mesure où je me ferais à l’idée que sa compagnie me procure plus de plaisir que de douleur à propre dit. Sinon… Bah, il devra se contenter de mes gémissements lents et éparses. Dans l’immédiat, je me fais à sa présence et à chaque contraction de mes cuisses à mesure que je me laisse prendre à la partie, redécouvrant presque ce qui fait frémir mon corps et le rend aussi réactif au sien. Je relève d’ailleurs que ses tremblements rejoignent les miens, ne laisse aucun doute sur le plaisir qu’il tire de la situation. Un rictus étire mes lèvres, alors que je cherche le meilleur angle pour le voir, sans me tordre le cou. « … Bah alors Beach boy, on n'a pas l’habitude d’être au chaud dans une chatte mouillée ? J’peux t’aider si tu veux ? » Taquine, je lui tire la langue, mais regrette aussitôt ce geste quand ma bouche s’ouvre en grand, laissant monter un gémissement plus suave, le genre que je ne me suis pas entendu faire depuis… Bref. Pour le coup, j’me suis surprise toute seule, abandonnant mon air moqueur et le laissant clairement voir ce qui se joue dans ma tête. Putain, il me fait quoi ce con ?
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MessageSujet: Re: Matin gueule de bois (Roxaaron)   Matin gueule de bois (Roxaaron) EmptyDim 4 Fév - 20:00

Okay… La nana est juste une… Bombe atomique. Du coup c’est parfaitement logique pour moi de me retrouver tout nu dans ce Van avec elle et à moins qu’elle ne soit pas du tout compétente en ménage ou qu’elle fasse une collection de trophées bizarre… Je dois dire que les capotes remplies qui traînent sur le côté du lit doivent contenir mes petits soldats… Alors forcément j’ai tenté de réveiller la dame qui semble grogner du traitement. Mais alors qu’elle commence à gémir et à s’amollir de désir contre moi ce qui me fait accentuer mes caresses. Par contre j’adore sa manière de me gronder et de me parler mal. Je suis certain que c’est ce qui m’a donné envie d’elle. Et d’ailleurs c’est pas seulement la chaleur et la douceur de sa chatte que je ramone qui me fait fondre, ni même les délicieux sursauts de plaisir que son corps subit, ni même sa manière de se contenir de gémir de plaisir… Mais bel et bien sa manière de me parler mal comme si j’avais kidnappé sa mère et qu’elle était forcée de baiser avec moi pour que je la libère… Heeeey !!! Note à moi-même, penser à kidnapper la mère de la râleuse et négocier du sex pour la libérer… Le plus drôle c’est de la narguer et de la voir me fixer en réalisant que je suis totalement sa came puis la voir enfouir son visage dans le coussin et replacer son bassin pour mieux m’encaisser… Petite futée… Je souris et continue de l’accabler de caresse contrôlant mes va et viens pour tenir le plus longtemps possible. Elle grogne et elle semble pressée… Autant prendre tout mon temps. Soudain je la nargue en lui demandant si ma queue n’est pas trop grosse ? Honnêtement vu comment réagit son corps, elle doit me trouver très satisfaisant et elle doit détester ça… Je souris comme un gros débile parfaitement fier de sa connerie et je regrette presque qu’elle me tourne le dos… Elle décolle sa bouche du coussin et me demande si je ne suis pas trop à l’étroit car sa chatte est littéralement en train d’avaler ma queue. Elle me demande si je le vis bien ?

« Carrément… D’ailleurs m’en veut pas, mais je vais probablement te baiser un peu plus fort parce que tu mouilles délicieusement sur moi et je suis sur que je vais pouvoir te faire jouir un peu… »

Je serre ma prise sur ses hanches et accélère mes assauts quelques secondes. Juste une puissante série de coups de bassin qui claquent à toute allure contre elle faisant un clapotis accéléré et bruyant puis je ralentis en poussant un soupir d’extase alors qu’elle me regarde dans les yeux en tournant un peu la tête avant de m’appeler Beach Boy et me nargue ou plutôt tente de le faire et me tire la langue avant de laisser échapper un petit gémissement lascif qu’elle ne contrôle pas. Je souris amusé et comprends qu’elle peine à garder le contrôle. Je saisis sa chevelure et tire dessus pour la forcer à lever le menton et se tenir sur ses bras tendus. Je la baise quelques secondes avant de gémir.

« J’adorerais que tu me suces mais… Je suis bien en toi… J’te termine et on garde tes prouesses buccales pour le second round ? »

Après le café peut être non ? On verra bien. Je continue de tirer ses cheveux et libérant sa hanche de ma poigne, je glisse ma main entre ses cuisses et maltraite de mes doigts son clitoris. Je soupire à plein poumon avant de la forcer à gémir sans plus pouvoir retenir ses expressions de plaisir. Je souris et la force à tourner le visage vers moi pour me regarder en se tordant le cou.

« Pardon mais je ne peux pas m’empêcher de croire que t’aime pas ce que je te fais… J’arrête si tu veux… j’essayais d’être un invité agréable mais si je te déplais… Je m’arrête tout de suite… »

Je lui fais une petite moue triste adorable… Oui je suis un odieux petit con qui en plus cesse de bouger mais laisse son énorme queue au fond d’elle bien plantée et qui masse toujours son clitoris avec tendresse. Je me noie dans son regard et penche la tête sur le côté en la regardant dans yeux tout ému et visiblement embêté. Je suis un odieux petit con je le sais… Mais je fais ça si bien…
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MessageSujet: Re: Matin gueule de bois (Roxaaron)   Matin gueule de bois (Roxaaron) EmptyDim 25 Fév - 0:27

Peu importe par quel bout j’essaie de comprendre cette merde, j’en viens à la même conclusion : ce mec me donne chaud. Autant sa manière de me baiser est grisante, autant j’ai envie de le démarrer façon Rocky Balboa. Il a aucune gêne, ça semble même pas le déranger de me sauter, alors que je l’envoie chier depuis que j’ai ouvert les yeux. Puis ajoutez à ça mon corps qui est littéralement en train de partir en vrille, y a rien qui va. J’ai beau vouloir l’insulter, ne pas m’impliquer dans cette partie de jambes en l’air, je sens bien que ce que je veux et ce que je pense ne va pas de pair. Mon corps me pousse à lâcher prise, à céder à l’excitation qui monte doucement, mais surement en moi, alors que dans ma tête, c'est le flou total, y a aucune réaction compréhensive. Je sais plus à quoi me fier dans ce foutoir et voilà que ces gémissements, sorti de nulle part, viennent en ajouter une couche. Est-ce que j’suis en train de prendre mon pied, oui, ou merde ? En tout cas, la question semble pas avoir atteint son cerveau à lui. Il surenchérit sur ma dernière pique, m’annonçant qu’il compte y aller plus fort vu comment je mouille et m’assure qu’il arrivera à me faire jouir. Ça me fait bien rire sur le coup. S’il suffisait de le dire, j’aurais pas des mois de désert orgasmique à mon compteur. Il se prend pour qui ? Un gourou du sexe ? Avant que j’aie le temps de lui balancer ma remarque à la figure, mon corps est pris d’un sursaut inquiétant. Ça me fait l’effet d’un sauna poussé au max, comme une longue sueur froide. À la fois agréable et terriblement inconfortable. Alors, je sers les dents, je m’agrippe de toutes mes forces au drap, encaissant ses assauts du mieux que je peux. J’peux sentir mes muscles se crisper tout du long et ça semble durer des heures, quant au bout de quelques secondes, je lâche un râle d’effort et de soulagement. Pour le coup, tout se mélange, les palpitations de mon sexe qui peinent à ralentir après une pénétration aussi intense, l’extase qui m’engourdi alors que je relâche enfin la tension dans mes membres et la confusion entre ce que je pensais ressentir et ce qui s’est réellement passé. Je sens une petite gêne, mais ce n’est pas douloureux, c’est plutôt… encombrant, une espèce de boule qui me pèse sur le bas-ventre et menace d’éclater au moindre mouvement.

C’est frustrant, de ne plus savoir ce que je ressens et surtout pourquoi je me sens comme ça, puis avec la gueule de bois, réfléchir est quasi impossible. Du coup, je fais ce qui semble plus facile dans l’immédiat : me foutre de sa gueule. Sauf qu’en cherchant à tourner la regarder sans me briser les cervicales, je me cambre légèrement et ce simple geste me fait gémir d’une manière aussi indécente qu’embarrassante, après tous mes efforts pour taire mon plaisir. Je peux le sentir au plus profond de moi et c’est loin d’être désagréable, à vrai dire ça devient même insoutenable quand l’idée lui prend de m’attraper par les cheveux. Un grondement fait vibrer ma gorge à chaque nouveau coup de bassin, j’ai beau serrer les dents, ça suffit à peine pour étouffer mes plaintes, je me retrouve même à frémir en l’entendant gémir à son tour. Y a pas à me mettre les nerfs comme ça ! Contrariée par ma perte de contrôle, je ne cherche même pas à penser avant d’ouvrir la bouche, laissant échapper un nouveau soupir de plaisir avant de répliquer. « Mais c’est qu’il y croit en plus à son second round. Sois d’jà content qu’il en est un dont tu te souviendras, Beach Boy ! » Y a rien d’acide dans mes paroles, même si j’y mets toute ma volonté d’être odieuse. J’ai du mal à respirer calmement dans cette position et les contractions avides de mon intimité m’envoie des signaux contraires à mon envie de dédain. Plus il fera trainer cette affaire et moins, je serais capable de me contenir, je suis déjà en train de perdre la main… J’ai peur de ce qui va arriver si je me laisse aller, quand mon impression que tout va bien s’envolera et que ça devienne un cauchemar. C’est pour ça que je bois avant de coucher avec qui que ce soit, comme ça je m’en souviens pas, j’ai le temps d’oublier.

Encore une fois, c’est comme si mes paroles tombées dans l’oreille d’un sourd. Il en a vraiment rien à foutre que je sois une garce avec lui ? Il a aucun amour-propre ou quoi ? Vous me direz, ça nous ferait un point commun. Quand je sens sa main quitter ma hanche pour s’aventurer entre mes cuisses, je pince mes lèvres l’une contre l’autre, retiens ma respiration en commençant à compter à rebours… Du moins j’essaie. Ses soupirs lascifs m’empêchent de faire abstraction de ce qui se passe, ou du plaisir qui parasite mes pensées rebelles. C’est comme j’étais pris au piège entre son excitation et la mienne. Impossible de faire demi-tour, ou de rester stoïque, c’est oppressant… Ma gorge comme à me brûler, j’arrive vite au bout de mon apnée. La force de ses poussées me fait perdre pied, dans un dernier sursaut de résistance, je me mords la lèvre pour finalement prendre une grande inspiration, portant mes gémissements dans l’habitacle et surement en dehors. Comme la première fois, j’ai l’impression d’être soulagée d’une tension, sauf que cette fois, c'est tout mon corps qui me lance. Ça picote de partout. Jusque-là les sensations étaient assez floues, c’était supportable, mais là, j’ai l’impression d’être une boule de nerfs avec laquelle il joue comme un pianiste aguerri. Mes paupières deviennent lourdes, j’ai du mal à remplir mes poumons sans gémir à m’en tordre le visage. « Putain ! » C’est tout ce qui me vient alors que mes genoux tremblent. Le claquement de mon cul contre son bassin me fait l’effet d’un compte à rebours à l’approche de l’extase. J’ai du mal à tenir sur mes bras tendus, mais je n’ose pas bouger pour autant. Ça y est presque, je peux la sentir sur le bout de ma langue : la jouissance. Elle est là depuis un moment, mais j’étais trop occupé à l’ignorer, pour en prendre toute la mesure. Les frissons, la sensation de pesanteur, les orteils qui se crispent, l’envie de le laisser me toucher… J’ai envie de me laisser baiser par cet abruti jusqu’à pouvoir jouir comme avant.

Merde, je suis plus désespérée que j’le pensais. Moi qui préférais oublier, pour ne plus me souvenir de la peur, j’suis maintenant prête à courir le risque pour quelques secondes d’extase… Je vais sûrement le regretter après coup, mais franchement j’en ai plus rien à foutre là. Quand il me force à tourner la tête pour le regarder, je me fatigue même pas à cacher mon expression, ou le désir qui me picore les joues en louchant sur ses lèvres étirées dans un sourire qui m’excite quelque peu. J’suis tellement pris dans ma rêverie qu’il me faut un moment pour capter ce qu’il vient de dire. Mon regard passe de ses lèvres toujours souriantes à son regard bien trop brillant pour l'air triste qu'il prend, sans sourciller, je le fusille sur place. Je peux sentir mon excitation retomber, sans pour autant disparaître et c’est là que je capte qu’il continue de me caresser l’air de rien. Pour le coup, je passe de la satisfaction à la contrariété en sentant mon sexe se contracter autour du sien, qui est planté là, comme un touriste au milieu de Time Square. « Qui t’a dit de t’arrêter, connard ? » Ma question fuse avec le dédain et l’agacement qu’il convient. Faut dire que là, il pousse le bouchon le p’tit merdeux. Dans un équilibre approximatif, je viens attraper son poignet d'une main et reste en appui sur l'autre, pour éloigner ses doigts de mon clitoris, sur le point de demander grâce. J’y mets toute ma force, même si je doute de pouvoir lui faire mal, ça me défoule un peu. Tout en tirant sur ma prise, je pousse mon bassin en arrière, frottant involontairement sa queue contre les parois sensibles de mon intimité. C’est trop soudain pour que je puisse étouffer le soupir qui en résulte, mais je m’en fous, j’ai pas fini de mettre du sel dans ses yeux. « Un coup, tu veux aller plus fort, puis tu parles de t’arrêter si j’te l’dis. Concrètement, si t’arrives plus à te retenir, dis-le, Beach Boy. J’te jugerai pas, y a pas de honte à avoir l’endurance d’un prépubère. » Ouais, j’ai choisi de piquer son ego, même si j’ignore s’il en a vraiment un. Tous les mecs voient flous quand on questionne leur endurance, alors je pique à défaut de pouvoir lui écraser les couilles. Sa moue triste doit sûrement en faire craquer plus d'une, mais il m’aura pas avec. Plus je la vois et plus, j'ai envie de lui griffer la gueule. Ouais, je sais, j’me tire une balle dans le pied en étant aussi méchante. Après tout, j’étais bien parti pour glisser jusqu’en enfer avec lui, mais il vient de m'passer l’envie. Plus les secondes passent et plus, j'ai envie de l’étrangler, de lui arracher ses jolis yeux pour l’étouffer avec, avant de l'castrer à grand coup de brique. Puis merde ! Maintenant que j’suis lancé, autant aller au bout !

Pour bien marquer mon agacement le plus totalement, je retrousse un coin de ma lèvre en veillant à bien l’insulter du regard. « T’sais quoi, c’est mieux si tu t’arrêtes là. Tu vas te faire un tour de rein à vouloir me faire jouir. Abandonne, c'est mieux pour tout le monde. »

Rien qu’en voyant la tête qu’il a tiré après avoir lâché sa bombe, alors que j’étais littéralement en train de prendre mon pied avec lui, y a pas besoin d’être Einstein pour comprendre qu’il voulait que je le supplie de continuer. Sauf que j’suis pas une chienne et qu’il a autant à perdre que moi, si ce n’est plus. J’ai presque envie qu’il accepte pour le virer de mon van avec des couilles bleues et un coup à son ego de petit branleur !
Aaron Cooper
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MessageSujet: Re: Matin gueule de bois (Roxaaron)   Matin gueule de bois (Roxaaron) EmptyDim 25 Fév - 21:55

Merde, elle est vraiment tenace avec son caractère épouvantable. Son corps est au supplice et moi je me délecte de chaque mouvement que je fais en elle. Elle est trempée et elle m’écrase à chaque fois que son corps pulse de plaisir. Je soupire alors que mes doigts s’acharnent sur elle pendant que je la baise cette fois, mettant plus de rudesse dans mes assauts. Je crois que j’adore ce genre de réveil et qu’elle peut pester autant que bon lui semble je n’ai aucune intention de me calmer le cul au contraire. Je suis bien décidé à lui en faire voir de toutes les couleurs. Libre à elle de voir si elle parviendra à contenir son plaisir. Je l’accable de tous mes charmes, jouant avec elle alors que je continue de l’asticoter pour le plaisir de la faire grogner. Elle ironise mon histoire de second round, même si je suis persuadé que si elle me fait l’honneur d’une stimulation buccale elle pourra encore m’insulter très fort si elle le souhaite. Les minutes passent, je continue de m’activer sur elle et voulant qu’elle accepte de réaliser que je lui donne du plaisir, je tire ses cheveux et elle gémit sans parvenir à contrôler et jure avant de se prendre une claque sur le cul qui met tout son corps en émoi. Elle aime ça. Elle s’est caché, mais c’est visible comme le nez au milieu de la figure. Mes doigts l’accablent de plus belle et je sens qu’elle va craquer alors que je la force à me regarder en se démanchant le cou pour le faire. Je continue d’écraser son cul contre mon bassin en la tamponnant alors que je fais trembler mes doigts vivement contre son clitoris. Puis joueur et forcément très con, je m’arrête en restant en elle lui proposant d’arrêter si vraiment, elle n’aime pas.

Sa réponse m’arrache un sourire quand elle me demande qui m’a demandé de m’arrêter et je me fais traiter de connard. J’explose de rire alors qu’elle en profite pour me dégager le poignet de son sexe et pousse son bassin vers moi. Elle en tremble presque aussitôt, elle est bien trop sensible maintenant et je crois que les caresses sur clitoris allaient finir par devenir douloureuses. Elle soupire et cette fois le doute n’est plus permis. Elle me jette une provocation pour ado prépubère et je souris avant d’embrasser langoureusement sa nuque que je mordille doucement.

« Tu es bien trop excitante pour que je m’arrête… Miss Grognon… »

Je souris car je n’ai aucun égo. Je suis un petit con, un connard parfois, un gentil débile et une tête à claque. Mais je n’ai aucune fierté. Puis elle attaque encore me provoquant une nouvelle fois cachant derrière sa hargne son désir de me voir continuer, mais on dirait que m’insulter est plus facile que de me dire qu’elle adore ma queue et la manière dont je m’en sers… Les femmes je vous jure… Je saisis ses cheveux et tire dessus avant de lui planter la gueule dans le coussin. Je lui fais poser la joue contre et claque son cul qui se redresse. Je me redresse contre elle et m'accroupis sur son cul pour peser de tout mon poids sur la pénétration. La posture est très bestiale et va décupler la puissance de mes coups.

« Je vais te baiser… Mais t’as intérêt à foutre ta langue dans ma bouche pour me remercier… »

Je recule le bassin et me plante en elle d’un coup sec avant de recommencer. Cette fois, je sais que je ne vais pas tenir des heures, je vais me mener à la fin et je vais le faire sans aucun ménagement. Je suis connu dans le milieu du porno pour cette figure que je m’apprête à lui infliger. Je suis le marteau-piqueur. Mon bassin est capable de frapper celui de ma partenaire à toute allure, que je sois sur elle, sous elle ou dans une levrette passionnée… En général, je travaille la femme jusqu’à ce qu’elle soit en transe et que son sexe m’écrase de plaisir et là je me déchaine et la fait crever dans une jouissance incontrôlable. C’est du timing et de la puissance. Je me place et accélère peu à peu. Je la tiens, mais rapidement, j’ai besoin de mes bras et je me cramponne à ses hanches que je serre dans mes mains alors que mon bassin frappe sans relâche sur son cul. Mon sexe énorme et raide plonge en elle et sans aucune pitié je la frappe de tout mon poids m’enfonçant dans son corps comme un sauvage. Je vais vite et fort et je me déchaine sans relâche. Les secondes passent et quand je sens venir le bon moment je déchaine ma puissance. 10 secondes de violence pure et de sauvagerie absolue. Le van se remplie de bruits de son corps se faisant tamponner par le mien et de ses soupirs. Je gémis avec elle alors que je sens la jouissance arriver et je ne fais rien pour la contrôler. Plus fort ! Plus vite !!! Plus intense !!!! L’orgasme me foudroie et je me plante au fond d’elle tirant son bassin vers moi pendant que je jouis en elle me déversant au fond d’elle en tremblant, giclant mon plaisir en explosions saccadées.

J’ai les entrailles liquéfiées et je sens mon sperme couler en elle brulant et intensément. Je cesse de bouger car chaque mouvement est un coup de fouet qui claque en plein sur mon plaisir. Je me répands en souriant et en tremblant. J’ai chaud, j’ai soif, je tremble… Je m’effondre sur elle sans me retirer, restant planté en elle cherchant sa bouche avec la mienne alors que je l’enlace en venant me coucher contre elle dans la posture dans laquelle je l’ai réveillée. J’espère qu’elle me donnera sa bouche avant de me traiter de tous les noms encore une fois…

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MessageSujet: Re: Matin gueule de bois (Roxaaron)   Matin gueule de bois (Roxaaron) EmptyLun 26 Fév - 2:45

Tout ce qui me vient à l’esprit là, ce sont des insultes toutes trouvées pour cette tête de gland. Il va finir par me donner le tournis entre ses coups de bassins acharnés et sa langue trop pendue. Je sais bien qu’il ne fait que me provoquer, mais j’arrive pas à garder mes répliques pour moi. Dès que je sens l’excitation monter, j’ai envie de lui hurler d’aller se faire enculer chez les Grecs pour mieux me la mettre profonde. Y a clairement un truc qui cloche chez moi, j’le sais de source sûre, mais j’pensais pas qu’il existait un mec aussi insupportable que bandant dans cette ville. Alors ouais, j’ai pas su tenir ma décision d’être la partenaire la plus chiante de Californie, j’me suis lamentablement laissé prendre à son jeu. À chaque fois que ses doigts frôlent mon clitoris, j’ai l’impression d’être travers de bas en haut par une décharge électrique et celle d’après est encore pire que la précédente, c’est insoutenable et en même temps tellement jouissif. Je crève d’envie qu’il continue, mais c’est impensable que je le dise à voix haute, même en étant prise avec une telle hargne qu’on croirait qu’il est possédé. Je refuse de lui donner raison, alors que mes petits gémissements et mes réactions suffisent à vendre la mèche. Mon entêtement est aussi légendaire que ma tendance à l’excès, s’il suffisait de me susurrer des mots doux pour me faire changer d’avis, ma vieille aurait pas eu des courbatures à force de me corriger. Pourtant, je mentirai en disant que je n’aime pas ce qu’il est en train de me faire, même si j’essaie de le cacher depuis le début, je sens bien qu’il n’y a rien de repoussant chez lui, ou de réellement dérangeant. Ses gémissements m’émoustillent, sa manière de m’attraper par les cheveux et de faire claquer mon cul contre son bas-ventre sans discontinuer… Il a tout pour me plaire, c’est clair que cette nuit, j'ai dû voir toutes les constellations de c’putain d’univers et pour le coup j’suis curieuse de les voir maintenant et de m’en souvenir pour une fois. Alors sous le coup de ses assauts et face à la limite de ma retenue, j’arrête enfin de bouder mon plaisir et me laisse envahir par tout ce qu’il a m’offrir.

Sur le coup, ça fait bizarre de passer du flou à la clarté la plus totale. J’ai encore le cerveau en vrac avec la gueule de bois, mais la moindre sensation, le moindre tremblement provoqué par le plaisir me prend à la gorge et je n’ai pas d’autre alternative que de gémir haut et fort, non sans juré avec ce qui me reste frustration. Il aurait dû être content de me voir me dévoiler après autant d’insultes et de moqueries, hein ? Bah, ça aurait été le cas, s’il était pas un petit con fini à la javel ! Au lieu de se contenter me voir excitée comme une pucelle après son premier rêve érotique, il vient me titiller dans le mauvais sens. Non mais sérieux, qui lui a dit de s’arrêter pour me narguer !? J’étais bien parti pour voir les étoiles, je le sentais bien, mais il a fallu qu’il fasse le malin. À croire que son trip, c'est de faire monter la pression avant de laisser ses amantes en plan ! Bah, il peut toujours s’enfoncer le doigt dans l’œil et jusqu’au coude ! Ni une, ni deux, je vais pour l’engueuler et pour le coup, j’ai pas envie de l’asticoter et qu’est-ce qu’il m’fait ? Il rigole ! Cette ordure me rit au nez en continuant me chauffer du bout des doigts. Du coup, j'écarte sa main de mon pauvre bouton de chair qui menace de tomber tellement il est gonflé et sensible au possible, mais dans l’action, j’en oublie que ce n’est pas la seule partie sensible de mon intimité et me prend une balle perdue, laissant échapper un soupir qui vient casser mon élan. Bien que sur le coup, j’ai senti mon excitation baissée, elle n’a pas complètement disparu et avec elle mon envie de toucher l’extase du bout des doigts. Ce n’est pas pour autant que j’abandonne l’idée de lui jeter mon dédain à la gueule, frappant aussi bas que je peux en attaquant son ego, même si, avec tout ce que je lui ai déjà largué dessus, je doute qu’il en ait un. Égal à lui-même, il me couvre de baisers langoureux et de mordillant le long de ma nuque, au lieu de s’offusquer de mes paroles blessantes. Aussitôt, tout mon corps se tend contre le sien, alors que je me tords la nuque en penchant la tête dans le sens opposé, lui laissant tout le loisir de me faire frissonner et soupirer. Même ma contrariété ne suffit plus à me faire décrocher, j’en veux encore et ses paroles me ramènent momentanément à la raison. Miss Grognon, sérieux ? Ce surnom me remet d’aplomb pour lui balancer mon ultime provocation, mais à aucun moment son sourire ne quitte ses lèvres. Dans d’autre circonstance, j’lui aurais peut-être demandé s’il connaissait l’amour-propre, mais ça aurait aussi déplacé qu’impossible. Je l’insulte à défaut de pouvoir le faire avec celui qui m’a tout pris, je refuse de lui dire qu’il est arrivé à ses fins et que j’ai envie de lui, parce que… Parce que c’est plus facile que de dire la vérité, que je crève d’envie de continuer ce qu’il a commencé en me réveillant plus tôt. Ça m’arrange même qu’il ne s’offusque pas devant mon ton hargneux, qu’il laisse coulé, au moins je n’aurais pas à m’excuser en le voyant réellement atteint par mes mots… C’est mieux comme ça.  

Le doute me prend en sentant sa poigne sur mes cheveux se raffermir et au moment où mon visage s’écrase sur l’oreiller, je sens ma gorge nouée par l’appréhension et mes yeux me piquer devant la sensation de déjà-vu. Mon cul se redresse automatique sous l’impact de la claque, plus joueuse que réellement cuisante. Ça m’aide à garder les idées claires pour le moment, je garde mes yeux rivés sur le rideau et le petit bout de ciel qui déborde. Finalement, j’aurais peut-être dû m’en tenir aux baises enivrées. Je sens son poids s’imposer sur le bas de mon corps, même si je voulais me défaire de sa prise, c’est trop tard… Je ne pourrais pas le repousser, il est plus grand et plus lourd que moi. Par réflexe, je me concentre sur ma respiration, faisant mon possible pour qu’elle reste régulière, une respiration après l’autre. Son affirmation me fait rater un battement tout en faisant naître un léger sourire au coin de mes lèvres. Il ne fera pas de mal, ce n’est pas lui. Le coup sec me fait hoqueter dès qu’il se plante en moi. Ça n’a rien à voir avec ceux qu’il a pu me mettre jusque-là, mais je n’ai même pas le temps de m’habituer à cette intensité déroutante, qu’il recommence, encore et encore. À chaque nouveau claquement sec, je sens mon corps s’écraser vers l’avant, mes genoux trembler et ma respiration s’étouffer sur des hoquets surpris. Sur le coup, j’suis complètement perdue, est-ce que je devrais avoir peur, ou est-ce que je peux me laisser picorer par l’excitation de redécouvrir le frisson qui précède l’orgasme ?

Le choix semble se faire de lui-même, alors qu’il accélère au fur et mesure. Mes hoquets sont doucement remplacés par des soupirs un peu pénibles, mais pas moins agréables et plus, il s’impose avec force, plus je me sens engourdi à chaque fois qu’il me prend de tout son long. En partie immobilisée par son poids, sa prise sur mes cheveux, je ne peux qu’encaisser en craignant que mes genoux ne cèdent sous l’intensité de ses coups de bassins, pourtant, je tiens bon, me sentant de nouveau dévorer par la chaleur fictive de la plage de mes rêves. Son sexe s’écrase si brutalement dans le mien que c'en est douloureux, mais aussi délicieusement excitant. C’est comme si à chaque fois qu’il venait se planter dans le fond de mon sexe au bord de l’implosion, je me prenais un shot d’adrénaline en pleine face et que ma vue se troublait l’espace de quelques secondes. C’est étourdissant et j’adore ça. Je me sens comme si j’étais en plein trip, sans moyens de redescendre, la drogue parfaite. Son changement d’appui me laisse plus de liberté de mouvement, mais pour le coup, je ne cherche même pas à bouger, souriant bêtement en me laissant traverser par le plaisir brut qu’il m’assène à grand renfort de pénétrations aussi brutales qu’intenses. La pression de ses doigts sur mes hanches m’excite autant que ses râles d’effort qui se confondent avec mes gémissements de plus en plus marqués. Mon cul clapote joyeusement sur son bassin, surement couvert de mouille. J’en ai juste que sur les cuisses, je ne pensais pas mouiller aussi fort alors que mon bassin me lance aussi violemment. Mon corps tremble de toutes parts, je sens la sueur perlée sur ma peau, alors que mes cris de plaisir s’écrasent les uns sur les autres. Il va me briser le bassin à me baiser aussi fort, je ne sens même plus mes genoux qui peinent à supporter la sauvagerie de ses assauts et c’est au moment où je pense être arrivé au bout de mon ascension pour le Nirvana que tout s’effondre dans une brutalité et une sauvagerie innommable. Vous voyez ses animaux qui baisent sans pudeur dans les zoos ? La manière dont le mâle matraque sa partenaire sans merci ? Bah j’me sens comme ses bêtes, sauf que moi, je gueule tout mon soûl, à moitié consciente de ce qui passe, tout en étant perdue dans l’explosion qui me tord les entrailles. En 2 secondes, mes cris de plaisir se retrouvent coincé dans ma gorge alors que mes doigts s’enfoncent dans les draps mouillés de sueur. En 4, mes yeux révulsent et mon corps est pris de tremblements incontrôlables tout comme ma chatte qui éclate sur sa queue insatiable. En 6, je me liquéfie littéralement, perdant le contrôle de corps qui ne me répond plus, prisonnier de sa prise, tandis que je sombre dans une jouissance infernale. En 8, j’agonise de plaisir, grognant, convulsant sous l’impact de l’orgasme ravageur qui me bouffe avec une voracité jusque-là inconnue. J’ai envie de le supplier d’arrêter, de m’épargner et en même temps, je veux qu’il finisse me briser en me faisant jouir aussi fort. Encore !! Plus !!! Connard !!!! En 10 secondes mon esprit se vide de toute pensée, je me sens comme sur un nuage, à deux doigts de perdre conscience, un sourire allant d’une oreille à l’autre quand l’orgasme finit de me faire couiner de contentement en sentant son sexe se décharger par à-coup en moi. Chaque giclé chaude me laissant doucement émerger de ma bulle cotonneuse.

Son immobilité est la bienvenue, alors que je cherche par quel sens remettre mon cerveau. Je jurerai voir des petites lumières clignoter dans mon champ de vision… Ou ce sont peut-être mes neurones en train de cramer, après le saccage que vient de subir mon corps. Je sens plus ma chatte… J’suis même plus sûre d’en avoir une. Cette pensée me fait ricane et je suis aussitôt prise de tremblement. Il fait chaud, puis froid, j’ai mal, puis j’me sens juste vidé. Mon corps est comme prit dans un épais brouillard, mais le moindre mouvement me lance au point de me faire trembler comme une feuille. Une plainte à peine audible m’échappe en le sentant s’écraser sur moi, mais son étreinte est la bienvenue, alors je me garde de lui faire une remarque désobligeante. En fait, j’ai plus vraiment envie de l’engueuler là, j’suis bien. Ses lèvres viennent se perdre sur ma tempe, comme si elles cherchaient leur chemin à l’aveugle. Il m’fait quoi là, me dites pas qu’il est du genre câlin après avoir broyé ses victimes ? Mmh en même temps, c'est pas désagréable. Je tourne un peu la tête et ses lèvres s’écrasent sur mon front. C’est doux et sa chatouille en même temps, je rigole donc bêtement. J’me demande s'il va continuer à m’embrasser si je lève la tête. Prise au jeu, j’incline la tête, écopant d’un bisou sur le nez avant que nos lèvres ne se rencontrent. Oh, c’est ça qu’il voulait ? Il aurait pu l’dire aussi, j’suis pas devin. Souriant malgré moi, j’abandonne mes divagations pour pleinement profiter de sa bouche. Lentement, je me laisse d’abord guider, avant de lui offrir un baiser aussi doux que langoureux. Restant là en quelques secondes, je ramène doucement mes mains sur les siennes avant de rompre le contact de nos lèvres. « Finalement, il suffisait que je t’embrasse pour que tu la boucles. » Ricanant faiblement, je ne lui laisse pas l’occasion de répliquer en venant de nouveau quérir ses lèvres pour l’embrasser pour légèrement. « Maintenant, j’sais pourquoi t'étais encore dans mon lit c’matin. » Taquine, je viens frôler ses lèvres des miennes, avant d’écarter mon visage du sien, lui souriant amusé par mon geste. N’ayant plus la force de garder ma tête dresser, je la laisse retomber sur l’oreiller, reprenant la posture dans laquelle il m’a trouvé au réveil. L’envie de fermer les yeux se fait forte, mais je sais que si je replonge, je ne serais pas réveillée de si tôt et j’ignore où nous nous sommes, alors je lui lance déjà somnolente. « T’as peut-être pas fini avec un tour de rein cette fois-ci, mais moi j’suis plus en état de conduire… Tu vas devoir déplacer le van si tu veux pas que tes voisins râlent, Beach Boy… 'Fin c’est toi qui vois, j’sais même pas où on est. » Un sourire bien heureux aux lèvres, je me cale contre son torse, profitant qui soit encore chaud, ne relevant même pas l’appendice reposant tranquillement en moi. Il aura qu’à se retirer plus tard, ça glissera comme dans du beurre.
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MessageSujet: Re: Matin gueule de bois (Roxaaron)   Matin gueule de bois (Roxaaron) EmptyDim 31 Mar - 22:25

Putain cette femme est véritablement divine. Si elle a été aussi mordante hier soir tu m’étonnes que j’ai craqué… Remarque je pense que si elle a été douce et câline j’ai forcément aussi fondu. Y’a des nanas qui sont des étoiles de mer et qui te laissent faire et qui vivent le truc de manière personnelle et sans partager avec toi. Elle, elle a beau faire genre je grogne, elle ne peut pas nier qu’elle adore et que je lui fais de l’effet. Putain ça m’excite ce jeu pervers… J’ai l’impression que si elle jouit bien fort elle va tomber le masque. Parce qu’elle m’aurait dégagé bien autrement si elle n’avait pas voulu. J’ai un peu d’habitude et je dois avouer que cette nana elle est hyper réceptive à ce que je lui fais. Pire encore, elle joue de geste d’humeur, mais elle savoure et me guide pour toujours plus ressentir ma poigne et ma manière de faire. Je continue dans mon rôle et je joue. Je joue totalement à l’écoute de son corps et de ses réactions. Elle masque ses soupirs, mais son corps ne me ment pas. Elle prend son pied et elle adore ce que je lui fais. Je m’active sur elle n’écoutant que ce dialogue silencieux. Son sexe écrase le mien et les coups de fouets que le plaisir cingle au niveau de me reins me fait fondre. Plonger dans son corps en fusion c’est comme ressentir une décharge électrique de le long de mon sexe puis le sentir se répandre dans tout mon corps. C’est une sensation de délice qui me donne la force et l’énergie de la baiser plus fort encore. Je tremble et je m’agrippe à elle. Vient le moment de réaliser que je suis dans la dernière ligne droite et elle aussi. La communion est totale et je sais qu’on va jouir ensemble. Elle le sait aussi j’en suis sur. Je ne parle plus. Je ne provoque plus. Je me tiens à elle autant pour ne pas flancher que pour lui interdire de se soustraire. Je pousse et je frappe en elle. Je tremble et soudain sans prévenir ni même vraiment le contrôler, je déclenche cette figure qui dans le milieu à faire ma réputation et mon surnom. Je la pilonne comme un marteau-piqueur. Je suis sauvage et puissante. 10 secondes de rage intense et de baise puissante qui se conclue par l’explosion. Pure et simple. Je jouis en elle sans me retirer. Je la remplie de ma semence brulante qui coule en elle et se répand dans son corps dans lequel j’impose ma jouissance. Je me tiens à elle, haletant, pantelant et tremblant. Elle a jouit avec moi et sans un mot, je me tiens à elle sursautant de plaisir à chaque contraction de son intimité autour de mon sexe. Je m’écrase sur elle suffoquant de délice et alors qu’elle tourne la tête, je lui embrasse le nez et me jette sur sa bouche.

Je l’embrasse avec tendresse et douceur parce que même si j’ai donné l’impression que j’étais en mode connard qui veut vider ses couilles, j’ai pris ça comme un jeu sexuel et j’ai adoré. Si je n’avais pas senti de désir j’aurais cessé mais là… Elle répondait à mon désir et mes envies et je me suis délecté de chaque seconde. Elle répond à mon baiser alors que je reste en elle et ce calme après la tempête est particulièrement savoureux. Elle coupe le baiser et me balance un fion qui active un sourire charmé et charmeur. Elle ricane et m’embrasse de nouveau avant de me dire qu’elle sait pourquoi j’étais encore dans son lit ce matin. Je recule le bassin et le pousse vers elle pour lui rappeler que je la remplie encore de ma présence. Elle retombe mollement sur l’oreiller et je l’accompagne, me retrouvant derrière elle, enlacé à son corps dont je ne suis pas sorti. Elle me parle de tour de rein et qu’elle n’est pas en état de conduire. Je crois que moi non plus. Elle me parle des voisins et qu’elle ne sait pas où on est. Je tends le bras et écarte un des rideaux occultant. Je vois une maison… Et… Oh merde.

« Heu… Je crois qu’on est chez moi… ça ressemble à ma maison… »

Je me tourne et écarte un autre rideau et oui je confirme c’est chez moi. Je referme et me recolle contre elle doucement avant de caler mon visage dans son cou.

« … On a du ramener ton bahut ici et on n'a pas dû vouloir le quitter. T’as du m’allumer comme une garce… »

Je la taquine parce que j’ai forcément du faire en sorte qu’on ne quitte pas son van. J’ai clairement eu très faim d’elle. D’ailleurs si on était sorti du van je suis presque sur qu’on aurait fait le premier round dehors contre la porte d’entrée… Quand je vous le dit que je suis un bordel ambulant… Je me remets à bouger le bassin en elle et empoigne ses seins avant de mordiller son oreille. Bah oui c’est le matin je suis plein d’énergie.

« Quand on aura l’énergie de bouger on se fera une douche, café et pancake… »

Je souris et bouge le bassin de manière plus appuyée avant de me retirer d’elle et de foutre une claque sur son cul.

« Bon faut que je pisse, tu viens on se fait le petit dej ? J’te porte si tu veux, grimpe sur mon dos. »
Roxana Baker
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MessageSujet: Re: Matin gueule de bois (Roxaaron)   Matin gueule de bois (Roxaaron) EmptyLun 22 Avr - 8:10

*Outfit*
Même si je cherchais un point de comparaison, rien ne pourrait égaler ce qui vient de se passer dans mon van. Je ne serais même pas étonnée qu’un de mes pneus ait crevé dans le processus, voire tous en même temps. Ce mec vient de me faire vivre le meilleur orgasme jamais répertorié dans l’histoire de la baise, du moins dans la mienne. C’est une vraie tête à claque, mais je dois admettre qu’il me fait de l’effet avec sa gueule d’ange, puis ses grognements de plaisir merde ! J’en ai l’estomac noué juste en y repensant… Dire que j’ai failli passer à côté de cet Apollo par pure flemme, j’aurais pu ne jamais connaître toute l’étendue de ses talents et ce n'est pas avec ma mémoire de poivrot que j’allais m’en rappeler un jour. Enfin, vu l’état dans lequel je suis, je vais m’en souvenir pour les jours à venir de cette rencontre, il m’a complètement rincé le bougre. Alors quand il vient m’enlacer sans prévenir, j’en profite pour reprendre mon calme et tenter de remettre de l’ordre dans mes neurones grillés à l’endorphine. J’adore ce moment de calme après la tempête, ce silence réconfortant meublé par nos respirations encore haletantes, c’est presque trop bon pour que ce soit vrai. La dernière fois que je me suis retrouvé dans cette situation… J’ouvre rapidement les yeux, balayant les environs du regard pour m’assurer que je ne suis pas dans son appart. Ok, je vais peut-être pas me replonger dans cette réflexion, ce n'est pas la bonne voie à suivre. Prenant une profonde inspiration, je décide de reporter mon attention sur le blond qui semble aussi fracassé que moi, si ce n’est plus, je peux sentir sa peau coller à la mienne, on doit faire peine à voir. Au contact de ses lèvres, j’en oublie presque qu’il y a quelques minutes, je ne voulais même pas lui sourire de peur qu’il prenne la confiance. Il fait preuve d’une tendresse que je ne lui aurais pas soupçonnée et c’est rafraichissant, je me laisse aller à savourer cet échange qui laisserait croire que je ne l’ai jamais traité de tous les noms. Bien sûr, je ne peux pas m’empêcher de lui balancer une pique, après ce final éloquent, et son sourire me conforte une fois de plus dans l’idée qu’il aime bien ma langue acérée… dans tous les sens du terme. Après un second baiser, je me risque à lui glisser un compliment et sa réponse vient jeter de l’huile sur les braises qui brûlent encore au creux de mon ventre. Je n’ai même pas la force de l’insulter, préférant abandonner mon corps sur le lit embaumé par notre odeur et à la chaleur de sa peau qui semble irradiée un peu plus à chaque seconde qui passe.

Le simple fait de poser ma tête contre l’oreiller, me donne immédiatement envie de dormir et ça aurait été avec plaisir, si ça n’était pas pour l’endroit où nous nous trouvons et le fait que j’ignore où l’on se trouve exactement. Profitante d’être encore capable d’aligner deux mots, je lui fais part de la situation, m’en remettant à sa jugeote pour éventuellement m’éviter une contravention pour stationnement non autorisé ou une connerie du genre. Je le sens s’agiter derrière, fronçant le nez quand la lumière se fait plus vive dans l’habitacle, après chaque rideau soulevé. Chez lui qu’il dit ? Bon au mieux, on est dans son allée où un truc du genre, j’peux donc pioncer sans souci, à la bonne heure ! Je commence donc à me blottir un peu plus contre lui, me préparant à sombrer d’une seconde à l’autre, mais à la place j’me mets à ricaner en l’écoutant me décrire comment on est arrivé là d’après lui. « J’suis sûre qu’il a suffi que j’te montre ma p’tite culotte pour qu’tu sautes à l’arrière avec le pantalon sur les chevilles… » Cette perche était trop belle pour ne saute pas sur l’occasion de le taquiner à mon tour. Faut croire que sa belle gueule n’est pas la seule raison pour laquelle il m’a intéressé. Puis si on est encore dans mon van après une telle soirée, c’est que je ne devais pas non plus avoir la patience d’aller jusque chez lui pour profiter de sa compagnie… Franchement qui aurait pu se retenir de lui sauter dessus ? Pas moi, même si j’ai été une vraie connasse au saut du lit… C’est, lui aussi ! Il a mal choisi son moment pour une baise matinale. Qu’est-ce que je disais !? On vient à peine de finir qu’il est déjà en train de me chauffer ! Sérieux, je n'sais pas comment j’ai fait pour tenir la nuit, ou même fermer l’œil avec cette créature dans les parages. Sous le coup de l’excitation, je me cambre, pressant mes fesses contre son bas ventre et réveillant par la même occasion la petite voix perverse en moi, qui était plutôt calme jusque-là. Plus je reste près de lui, moins j'ai l'impression de contrôler mes pulsions et je sens que ça va me jouer des tours, si je ne fais rien pour l'arrêter.

Quand il me parle de bouger, de douche et de café, j’lui réponds par un grognement sommaire, le genre qui dit : ferme-là, j’ai d’autres projets en tête. Dont certains qui impliquent de reprendre notre séance de cardio, s’il continue à me toucher de la sorte. Et plus il s’amuse à remuer son bassin, plus sa semence s’écoule entre mes cuisses me donnant envie de recommencer, alors sur mon meilleur ton grommelant, je l’avertis. « Continue et j’te réclame une pension alimentaire dans 9 mois… » Voilà ça devrait le… Fils de chien. La claque était tellement soudaine que j’ai besoin d’une seconde ou deux avant de comprendre qu’il est déjà prêt à se bouger pour aller chez lui. Oh, monsieur veut m’offrir le p’tit dej et me propose même de me porter ? J’fais quoi, un fion ou un gentil merci enrobé dans un joli sourire ? « T’as tout intérêt à me porter ouais, après m’avoir déboité le bassin, c’est la moindre des choses. Au moins pour me remercier d’avoir joui. » Ouais, c’est bien plus mon genre, puis il a droit mon plus beau sourire de garce fière d’elle, c’est gentil ça, non ?

Prenant mon temps, je commence par m’asseoir, avant de venir me pencher au bord du lit, j’attends qu’il se pousse un peu avant d’ouvrir un des compartiments, fouillant dans mes vêtements pour trouver un truc qui ne me demandera pas trop d’effort pour l’enfiler. Plus je fouille et moins j’ai envie de me couvrir, j’me sens poisseuse et j’ai la flemme d’enfiler quelque chose. En levant le nez, je repaire mon peignoir. Parfait. D’ordinaire, je le garde au bord du lit, mais il a dû se faire éjecter pendant nos ébats.  Je vais pour lui demander de me le passer et là ça me frappe d’un coup… Il s’appelle comment ? Je n’ai jamais eu à me souvenir de leur prénom jusque-là, soit parce qu’ils s’étaient barré avant que j’émerge, ou simplement parce que j'les foutais dehors dès que j'voyais leur gueule. Je marque un temps d’arrêt, le fixant ouvertement en essayant de fouiller ma mémoire défectueuse. J’me sens un peu con là… même si j’suis sûre que lui non plus n'sais pas comment je m’appelle. À défaut d’avoir son prénom et n'voulant pas me retourner le cerveau en cherchant un moyen de lui demander sans passer pour une idiote, je lui tapote l’épaule et lui formule ma demande l’air de rien. Voilà, simple et efficace. Une fois mon vêtement en main, je vais pour l’enfiler et le noue au mieux pour qu’il ne me fausse pas compagnie avant d’être à l’abri des regards. Fin prête, je cherche mon sac et en vérifie le contenu avant de reporter mon attention sur lui. « Je compte sur toi pour pas me faire tomber en chemin. » Le laissant sortir en premier, je me traine comme je peux derrière lui. Je sens déjà les courbatures qui vont me tomber dessus demain. Qu’est-ce qui m’a pris de coucher avec lui, ce mec peut me rendre tétraplégique en quelques coups de reins !

Pour la forme, j’enfile mes tongs qui trainent dans un coin et avant même de mettre un pied dehors, je passe mes lunettes de soleil. Autant faire mon possible pour minimiser les dégâts de la soirée. « Tu me tiens bien, hein ? » Ouais, j’ai beau avoir vu de mes propres yeux son corps d’athlète, je n’suis pas vraiment rassurée à l’idée qu’il me porte. J’veux dire si j’suis décalquée, lui aussi doit m’être et ça fini jamais bien deux personnes alcoolisées qui jouent à saute-mouton. Alors, je serre bien les cuisses en passant mes jambes autour de sa taille et fait en sorte de garder mes bras le plus loin possible de son cou, histoire de ne pas l’étrangler par accident. On ne sait jamais, s’il se foire, on n'pourra pas dire que c’est d’ma faute. Pendant le trajet, je jette de rapide coup d'œil ici et là, l’air iodé me laisse à penser qu’il doit y avoir une plage pas loin, même si elle n'doit pas être à deux pas. « Finalement, Beach Boy c’est un bon prénom, y a une plage pas loin, non ? » Ce n'est pas ma meilleure, mais comprenez-moi, j’suis pas sereine concernant son projet de me porter jusque chez lui.
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MessageSujet: Re: Matin gueule de bois (Roxaaron)   Matin gueule de bois (Roxaaron) EmptyVen 26 Avr - 12:13

On dirait que la dame est carrément moins enclin à grogner une fois qu’elle s’est mangé un bel orgasme bien salé. C’est mieux. J’avoue que si elle m’avait jeté dehors à peine fini ça aurait été moins savoureux. Alors comme j’ai l’impression qu’elle se détend et qu’elle est limite très douce, je me dis qu’elle va le regretter et qu’il vaut mieux la faire se remettre à grogner bien fort histoire de rigoler un peu ? Je continue de faire du moi avant de vérifier et de comprendre qu’on est chez moi. Enfin dans mon allée… Putain heureusement que je n’ai que peu de voisins proches. Je suis un bordel ambulant. Je ferai tellement tâche dans une jolie banlieue propre sur elle… Je suis toujours planté dans la fille dont je ne connais pas le nom et d’ailleurs… Je m’en tape. On va la surnommer Grognon. Ça lui va bien. Moi je suis Ptikon. Elle ironise notre rencontre avant de m’arracher un sourire à l’évocation de sa technique pour me faire baisser mon pantalon.

« Mais ouais c’est ça d’être un garçon extrêmement sensible face à une exhibitionniste »

Je pouffe de rire et alors que je suis toujours en elle, je joue à donner parfois un coup de bassin pour lui rappeler qu’elle est remplie de moi dans tous les sens du terme d’ailleurs. Finalement je m’arrache à elle après avoir commencé à onduler et lui fout une claque sur le cul alors qu’elle me fait une menace à la pension alimentaire dans 9 mois. Je pouffe de rire.

« Fais gaffe à ce que tu souhaites, t’as vu le bordel que je suis ? Imagine-moi en petit être incontinent qui ne fait pas ses nuits et qui braille… »

Je peux faire le con je me suis fait faire une vasectomie en devenant acteur porno. Faudrait m’enlever l’attache si un jour je veux faire cette connerie, c’est ce qu’a dit le médecin qui ne voulait pas juste couper pensant que j’étais trop jeune et « immature » pour un acte aussi définitif. Mais bon ça éviter les accidents du travail… « Papa, comment maman et toi vous m’avez eu ? » « et bien on tournait : salope en chaleur 4 et j’ai jouit dans maman à la fin de la scène et 9 mois plus tard Bim t’as déboulé. On a la vidéo si tu veux » non c’est pas terrible Nivea éducatif. Je lui propose alors de sortir du lit d’aller bouffer et prendre une douche. Je tente de la soudoyer avec un programme alléchant mais là où moi une grosse baise matinale me met la pêche on dirait qu’elle ça lui donne envie de pioncer… Les femmes j’vous jure… Elle accepte que je la porte après lui avoir déboité le bassin c’est la moindre des choses. Je pouffe de rire en la regardant.

« C’est ça de vouloir baiser un vrai pro… T’as changé de catégorie trop vite… »

Je lui tire la langue en faisant un sourire de branleur particulièrement adorable et sexy. C’est mon arme fatale. Ose me dire un truc alors que je suis trop Kawai pour toi… Elle se redresse et prend une putain de robe de chambre superbe, d’un vert absolument divin et des motifs floraux dorés qui lui donnent un air de princesse Elfe. Ouais une elfe !!! Rien à foutre c’est SO TOLKIEN pour moi.

« Putain mais en fait t’es Galadriel ? »

Je la dévore du regard. Sa peau sombre avec ses tatouages, sa chevelure de petites tresses et cette robe de chambre lui donnent un air fantasmagorique et princier.

« Tu peux la garder la prochaine fois qu’on baise ? »

Mais déjà elle veut sortir et me demande de ne pas la laisser tomber. Je sors nu et encore raide et respire un moment. Il n’y à personne. Juste quelques mecs qui surfent au loin sur la plage. Je me tourne et voilà qu’elle grimpe sur mon dos. L’image doit être géniale entre un petit con nudiste qui porte une princesse Elfe avec des lunettes de soleil. Je l’entraine vers la maison quand elle me parle de la plage et je souris amusé.

« Sinon moi c’est Aaron. Mais tu peux m’appeler Ptikon j’aime bien aussi. »

Je la porte et alors que je trouve qu’elle ne pèse rien, je fais semblant de tomber pour qu’elle pousse un cri et me serre plus fort alors que j’éclate de rire avant de reprendre mon chemin jusque chez moi. Je pousse la porte qui n’est jamais fermée et j’avance vers la cuisine.

« Tu reprends ta liberté de marcher ou tu continues de jouer les sacs à dos ? »

Je m’approche de la cafetière pour me lancer un café de l’enfer capable de réveiller des morts en une gorgée. Toujours nu, je prends une préparation à Pancake et la fout dans un bol avec de l’eau en mélangeant, faisant des grumeaux. Ouais je suis nul en cuisine. Je prends une pomme et mords dedans avant de la lui tendre.

« Tu veux un croc ? »


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MessageSujet: Re: Matin gueule de bois (Roxaaron)   Matin gueule de bois (Roxaaron) EmptyVen 26 Avr - 21:34

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Si cette baise matinale m’a mise sur les rotules, elle semble avoir donné un second souffle à ce petit con et pas besoin d’un sixième sens pour voir venir le raz de marée qui va me tomber sur l’coin de la gueule, si j’me laisse de nouveau prendre à son petit jeu. Je choisis donc de me rendormir telle une bien heureuse… Enfin, ça, c'était le plan, jusqu’à ce qu’il ouvre la bouche et que la réplique me brûle les lèvres, fusant comme une évidence. Ouais, j’suis faible de chair et d’esprit quand il s’agit de vanner à tout-va. C’est plus fort que moi, comme de finir un paquet de chips après l’avoir ouvert : impossible de le refermer pour plus tard. Encore dans un entre deux, je me contente de répliquer du tac au tac sans réfléchir : « Tellement sensible qu’un bout de sein le remet d’aplomb pour toute la nuit… P’tite nature. » Et c’est moi qui dis ça, avec la tête à moitié enfoncé dans mon oreille et un œil ouvert. Je supplierais bien qu’on me fasse taire, mais qui sait s’il n'a pas un troisième sens et décide d’intervenir à ça manière… Nan, j'tiens pas à finir asphyxiée aussitôt et vu comme il s’agit ça va pas tarder. Une part de moi veut céder, n’ayant plus vraiment à cœur de le repousser, mais les quelques neurones encore fonctionnels quelque part dans mon cerveau, m’incite à mettre le haut là tant que je suis encore en possession de mes moyens. Et quoi de mieux que la potentielle visite surprise d’un rejeton pour refroidir un mec ? Ouais, moi aussi j’me suis dit que ça allait être radical, mais d’une fessée bien placé suivi d’un pouffement presque offusquant, il me démontre une fois de plus que son cerveau n’est pas sensible mes menaces. Je ne peux m’empêcher de ricaner en l’écoutant me décrire ce qu’un gosse venant de lui pourrait donner : un mini lui en plus chiant et insupportable. « Elle est où la pharmacie la plus proche ? Aucune pension alimentaire ne vaut cette torture, j’passe mon tour. » Logiquement mon implant est encore bon pour l’année prochaine, mais avec la vigueur qu’il a mieux vaut agir, avant qu’un Gremlin ne vienne hanter ma vie pour les vingt prochaines années. Enfin, si c’était aussi facile de tomber enceinte, j’aurais eu plus de frères et sœurs bâtards avec la mère que j’me tape.

Son offre de petit déjeuner et surtout d’une douche bienvenue, finit m’intéresser et je l’en remercie avec toute ma verve de grognasse, ce qui indubitablement mène à une réponse bien placé de sa part. Putain ce que j’aime cette manière de communiquer, c’est pas tous les jours que je peux envoyer des fions à la minute. Le sourire de branleur à la fin, c’est pour m’achever sans aucun doute et il fait mouche me faisant manquer l’occasion de lui renvoyer la balle. Disons qu’il gagne cette manche et j’aurai la prochaine. J’me contente juste de secouer la tête, plus amusé qu’autre chose. Il a pas tort en soi, j’suis passé d’un modèle tout terrain à une Formule 1 sans même avoir appris comment ça se conduit. Je rigole dans mon coin, amusé par la comparaison, tandis que je cherche de quoi me couvrir pour finalement arrêter mon choix sur mon peignoir. À peine ai-je fini de le nouer autour de ma taille que sa question me fait l’effet d’un choc, ramenant mon regard sur lui avec une attention toute nouvelle. Il vient d’me comparer à Galadriel là ? Non non, pire, il vient de faire une putain de référence à Tolkien et en plus, il me dévore du regard en la faisant ? J’ai le bas-ventre qui me tire agréablement, trop agréablement pour être une bonne chose. Y a deux trucs qui peuvent me faire kiffer une personne sans même la connaître : les blagues graveleuses et l’univers de Sir Fucking Tolkien. Et là j’peux vous dire que je n’ai pas juste envie d’me faire une bouffe avec ce blond impétueux... Sauf si c’est lui le repas. J’suis tellement perdu dans ma contemplation entre lui sauter dessus et essayer de me calmer que sa seconde question me fait perdre le fil de ma pensée.

Maintenant tout ce qui me vient à l’esprit, c’est lui me prenant de tout son long dans mon peignoir débraillé… L’échange de regard me semble interminable, c’est con à dire, mais plus je ressens l’intensité avec laquelle il me regarde, moins je me sens capable de lui non ou même d’attendre qu’on soit ailleurs pour reprendre nos ébats avec encore plus d’ardeur. Finalement, je suis celle qui rompt le contact en fermant les yeux, prenant une profonde inspiration pour essayer d’ignorer à quel point j’ai chaud tout d’un coup. « Ok il va s’calmer deux secondes Thranduil. » Et merde… Je râle un coup et la refait. « Alors, j’kiffe ce qui se passe là et j’te répondrai bien en quenya, mais j’suis pas sûre de c'qui risque de m’arriver après et j’aimerais aussi bien ne pas mourir le ventre vide. » Sur ces bonnes paroles, je l’invite à sortir, histoire de réduire les changes que je dérape après mon beau discours. J’suis tellement focalisé sur l’idée de garder le contrôle sur mes pulsions, en concentrant mon attention sur ma peur qu’il me fasse tomber, que je relève qu’après coup l’absence totale de vêtement sur son corps et à quel point il est raide comme un tronc. C’est officiel, je vais mourir dans cette vie. Vu qu’il ne semble pas dérangé par sa nudité et que je couvre littéralement ses arrières, j’essaie d’éloigner à nouveau mon esprit de son corps nu et des choses que je voudrais lui faire.

Je me concentre sur mes orteils pour garder mes tongs en place, ma prise autour de ses épaules bien plus solides et musclés que je l’imaginais… La prise de ses mains qui me laissent deviner qu’il pourrait me porter sans même forcer… La pression de mes cuisses sur ses hanches qui à chaque roulement me rappelle avec quelle aisance il est parvenu à me baiser dans le petit espace de mon van. Stop ! Une p'tite blague sur son surnom du jour devrait le faire, alors j’me lance et sans prévenir, j'obtiens son prénom ET son surnom attitré. « Ah ouais, Ptikon ça a bien plus de cachet que Beach Boy, mais je pourrais pas t’appeler autrement… Sauf peut-être Thranduil ou Legolas. » Muselez-moi ! Ok, on rebondit, on- « AAAH !! » Je m’agrippe à lui en me sentant partir en arrière, ou en avant, rien à foutre ! Si je tombe, il tombe avec moi ! J’me prépare à l’impact, les yeux fermes, crispé jusqu’au bout des ongles, mais dès que j’entends son rire ; j’ai qu’une envie c’est d'lui foutre une baffe et cette fois j’me retiens pas, serrant les cuisses pour venir lui claquer l’épaule faute de pouvoir viser sa joue. Ça a autant défait qu’une tapette à mouche, mais j’me risque pas à recommencer, me raccrochant à lui pour l’engueuler. « T’es vrai con ! Je t’ai demandé de pas me faire tomber et tu t’moques de moi ! Attends qu’on arrive chez toi, j’vais t’enculer avec du beurre demi-sel ! » Je continue à grommeler en calant mon visage dans son cou, me tenant de toutes mes forces sur lui. Ouais, je boude et après ? Il m’a fait peur et c’était pas drôle !

Pour le coup ça « blague » a eu le mérite de faire disparaître toutes pensées lubriques de mon esprit, j’ai juste envie de me laisser pendre dans son dos et de l’étouffer… Mouais, il me doit encore un p’tit déj et j’ai vraiment besoin d’une douche. Désormais dans son antre, j'observe rapidement les lieux pendant qu’il s’y engouffre. Je relève que la porte d’entrée est ouverte, que la disposition est différente, la couleur des murs, le mobilier, l’horloge… Ce n’est pas son appart… Ce n’est pas L.A… Ce n’est pas son appart… Ce n’est pas L.A… Je continue à me le répéter jusqu’à ce qu’il s’arrête, m’interrompant dans ma litanie alors que je découvre sa cuisine par-dessus son épaule. « Nan, je reste là. C’est ta punition pour ta blague toute pourrie. T’es officiellement une maman singe. » Ça sort sur un ton moqueur, mais au fond, ça m’arrange s’il accepte de me laisser agripper à son dos encore un peu, le temps que l’angoisse passe. Je relâche tranquillement ma prise, posant mon menton sur son épaule pour regarder ce qu’il fait et ce qu’il touche. C’est rassurant… Enfin, je crois. L’odeur du café en préparation embaume rapidement l’air alors que la pâte à pancake qu’il prépare ressemble à une bouillie pleine de grumeaux, me faisant froncer le nez, désapprouvant sa manière de mélanger. « Fallait ajouter l’eau progressivement, pas d’un coup ! Quoi après ta queue, tu prévois aussi de m’étouffer avec tes pancakes ? Recule Ronron, je gère. »

Sur ces paroles, je descends de son dos, lui donnant un coup de hanche pour la forme, alors que je m’empare du bol et mélange plus activement dans l’espoir de rattraper ses bêtises. Concentré sur ma tâche auto-attribué, j’use de mon meilleur mouvement de poignet pour défoncer le plus gros. Je suis tellement emballé que je finis par m’éclabousser légèrement, en prenant un peu partout, entre mes sourcils froncés par l’effort, le haut de mon peignoir et mon buste exposé entre les deux pans de tissus émeraude. « Bon, je ferais pas mieux, mais y a déjà moins de chance pour qu’on s’étouffe pas à chaque bouchée. » J’évalue les dégâts subis, récoltant les gouttes visibles sur mon buste ici et là pour mieux les lécher sur mon doigt. Il n’a pas besoin de me proposer deux fois que je tape un croc dans sa pomme, avant de retirer mes lunettes pour les abandonner sur l’ilot et aller me débarbouiller le visage. « Bien mieux, comme ça je ressemble moins à une souillon. » Je me tourne vers lui, toute sourire et lui chiper sa pomme pour y reprendre un croc, avant d’entreprendre de m’asseoir sur l’un des plans de travail près de lui, l’air de rien. « Au fait, avant que tu ne décides de me jouer un sale tour, j’allais te dire mon prénom, mais maintenant, tu peux juste m’appeler Galadriel pour la journée. » Je lui fais un clin d’œil et lui sourire de toutes mes dents, savourant sa pomme bouché après bouchée, laissant mon regard se balader sur lui sans discontinuer.
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