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| Besoin de compagnie | |
| WebName : Jemel Date d'inscription : 07/11/2023 Messages : 15 Surnom : Ju Avatar & crédits : Charlize Theron Date de naissance : 10/04/1980 Age : 44 Statut civil : Mariée Occupation : Directrice des RH pour l'hôpital Habitation : Pacific Beach Rivalités : Black Templar (Secte)
| Sujet: Besoin de compagnie Ven 24 Nov - 12:26 | |
| J’ai toujours aimé participer à des galas de bienfaisance et la cause, cette fois, me tient encore plus à cœur. Le but est de ramasser assez d’argent pour bâtir une résidence pour les parents avec enfants prématurés, tout près de l’hôpital afin qu’ils puissent avoir un toit au-dessus de la tête sans se ruiner. J’aime les enfants, je les aime d’amour. J’aurais aimé en avoir plus qu’un, mais il faut croire que le ciel en a décidé que ce ne serait pas le cas. Nous avons un fils, Jacob, c’est suffisant puisque la lignée est sécurisée. On ne peut pas risquer d’avoir une fille, franchement, qu’est ce que les autres en penseraient ? Pourquoi écouter les ouï-dire de couloir et se priver de bonheur ? L’image, toujours l’image, pour un avocat très renommé l’image c’est tout ce qu’ils ont. Ils ont du fric aussi, bien sûr, mais toujours grâce a l’image. Ce soir il a donné pour ce gala, une bonne somme, ce qui m’a surprise. Il a même fait acte de présence et serré quelques mains pour l’image avant de repartir pour un rendez-vous important. Ces maitresses sont plus importantes que moi et je m’en moque. Il ne serait pas venu et je m’en serai bien porté aussi.
Vous êtes en beauté ce soir, madame Winters. Votre fils a beaucoup de chance d’être vu à votre bras.
Je lève les yeux aux cieux avant de glousser comme une adolescente.
Va charmer les jolies biches Jacob.
Mais vous êtes le faon le plus magnifique de la soirée, madame Winters.
Je glousse un peu plus encore avant de déposer mes lèvres sur sa joue. Il ajoute qu’il doit lui aussi quitter, le boulot et me remercie de l’avoir invité. Il me remercie MOI de l’avoir invité alors que sans lui je ne pourrais pas être ici. C’est grâce à lui si j’ai une robe digne de ce nom ce soir. Mon mari ayant refusé de m’offrir un tel luxe, le fils a pigé dans son compte de banque personnel pour que je ne sois pas ridiculisé devant tout le monde. Il a aidé avec l’organisation et il est venu… il est venu et il est resté… Je l’ai remercié avant de le pousser vers la sortie en souriant. S’il demeure encore à la maison, pour moi, je sais qu’il fait sa vie ailleurs en cachette. J’ai élevé un homme bien, aux valeurs de base solide, au courage exemplaire. Cependant… me voilà seule. Nous en sommes à la mi-soirée et me voilà seule. J’ai déjà vu quelques-uns des invités s’éclipser par l’une des portes pour monter dans les chambres et je me dis que je devrais faire la même chose. Je n’ai pas choisi le Carleton pour rien, mais il y a quelques Templiers ici ce soir ce qui signifie que je dois être prudente.
Je fais donc ce que je fais de mieux, soit faire le tour des convives pour discuter de tout et de rien et pour les remercier de leur don. J’ai le droit a des sourires chaleureux, a des clins d’œil et a de jalousie. Certaines femmes me jalousent et je ne sais même pas pourquoi. Si j’avais au moins couché avec leur époux, je ne dis pas, mais bon, je ne peux rien y changer.
Juliette ?
Je reconnais cette voix et elle me donne le dégout. Un homme nommé Petrov. Je n’aime pas les Russes en général, mais lui je le déteste avec une haine divine. Il semble vivre dans mon ombre comme une sangsue et il me fait peur. Je lui dis bonsoir sans me retourner et me dirige vers le buffet où se trouvent quelques personnes, loin de lui. Quelques petites bouchées pour reprendre un visage neutre. |
| WebName : Lex Date d'inscription : 26/09/2023 Messages : 25 Avatar & crédits : Olivia Wilde & Hortek <3 Date de naissance : 25/12/1983 Age : 40 Statut civil : Célibataire Occupation : Chirurgien, chef des urgences. Habitation : Gaslamp Quarter Rivalités : Health & Law
| Sujet: Re: Besoin de compagnie Mer 21 Fév - 20:14 | |
| -- Outfit -- Les invitations mondaines, ces parenthèses imposées dans nos vies souvent déjà bien remplies, sont le fardeau d'une fonction que je porte comme un poids sur mes épaules. Mais ce soir, elles prennent une saveur particulière, un parfum de nécessité dans le paysage mouvant de mes responsabilités. Je m'observe dans le miroir, ajustant chaque détail de ma tenue avec une précision qui trahit ma résistance intérieure. La robe de soirée impeccable, la couleur élégante mettant mes yeux en valeur, les talons hauts qui rythment mes pas. Tout est calculé, mesuré, comme une armure que je revêts pour affronter l'arène sociale qui m'attend. Le maquillage vient souligner mes traits, masquant la fatigue qui plombe mes paupières, ajoutant une touche de mystère à mon regard. Je m'observe, étrangère à moi-même dans ce reflet trompeur, mais je sais que c'est le prix à payer pour jouer le jeu, pour naviguer dans les eaux troubles du pouvoir et de l'influence. Je préfère clairement ma tenue de bloc, mais je reconnais tout de même apprécier le reflet que me renvoie le miroir. Le taxi m'attend en bas, prêt à m'emmener vers cette soirée où les sourires sont des masques et les conversations des danses diplomatiques. Je m'y engouffre, résignée mais déterminée à accomplir ma mission, à obtenir les fonds nécessaires pour maintenir à flot les services dont j'ai la charge. Le lieu est une oasis de luxe et d'opulence, un microcosme étincelant où se côtoient la crème de la société. Je salue poliment les visages familiers, échangeant des banalités qui sonnent creux à mes oreilles. Mais au détour d'un regard, mon cœur s'emballe, reconnaissant une figure familière parmi la foule dorée. Juliette, tourbillon de grâce et d'élégance, est là, éclatante dans sa robe de soirée, mais quelque chose dans son regard trahit une détresse cachée. Je sens mon sang bouillonner, une impulsion irrépressible me pousse vers elle, comme un aimant qui m'attire inexorablement vers sa lumière. Sans réfléchir, je m'approche, enroulant mon bras autour de sa taille avec une assurance feinte, plaçant un baiser léger sur sa joue comme pour effacer les ombres qui la hantent. Mes mots sonnent faux, enrobés de miel et de politesse, mais mon regard trahit une vérité plus profonde, une connexion que je ne peux ignorer. -"Ma douce, je te cherchais partout", je murmure, l'intonation de ma voix trahissant mon inquiétude. -"J'ai un possible sponsor à te présenter." Mon sourire est un masque, dissimulant mes véritables intentions derrière une façade de courtoisie. Soit elle passe un bon moment, je me suis plantée, et elle va différer ma demande, soit elle embarque et on vire ce mec louche du paysage. -"Bonsoir, désolée, si je vous l'enlève." Ces mots à l'adresse de cet homme sont une invitation à la discrétion, à l'éloignement, mais sur un ton courtois. Je sais louvoyer en eaux troubles, ça n'a jamais été un problème. Ce n'est pas ce que j'aime, dans mon poste de chef de service, mais je sais très bien que ça fait partie du job. Au fond nous sommes deux étrangères dans ce monde de faux-semblants, parce que je doute que ce soit totalement sa tasse de thé à elle. La soirée s'étire devant nous, un ballet d'ombres et de lumières, mais dans les méandres de ce jeu social, je sais que notre rencontre n'est pas le fruit du hasard et ça compagnie me rend tout cela bien moins pénible à envisager. Est elle le prélude à une histoire encore inécrite, un chapitre où nos destins se croisent pour mieux se révéler ? |
| WebName : Jemel Date d'inscription : 07/11/2023 Messages : 15 Surnom : Ju Avatar & crédits : Charlize Theron Date de naissance : 10/04/1980 Age : 44 Statut civil : Mariée Occupation : Directrice des RH pour l'hôpital Habitation : Pacific Beach Rivalités : Black Templar (Secte)
| Sujet: Re: Besoin de compagnie Lun 1 Avr - 0:11 | |
| Les lumières me donnent le mal de crâne. Le faux sourire des lèche-cul me donne la nausée. Pourtant je souris, je serre des mains et je fuis, oui, je fuis les ceux qui se trouvent tout en bas de ma longue liste de connaissance et en haut de ma liste de gens à éviter. Malheureusement ce type de personne ne comprend pas vite ou ils ne veulent pas comprendre du tout. Puis, de toute évidence, ces prédateurs attendent de savoir leur proie isolée avant de bondir pour les dévorer. Même en me dirigeant vers le buffet je ne peux me départir de son ombre, gis oppressant qui est noirci à chacun de mes pas. Inutile de vous dire que je sursaute lorsqu’un bras m’enlace. Ça non plus, je n’ai pas l’habitude. Les seuls touchés auxquels j’ai droit sont habituellement douloureux à moins que ce ne soit sous les couvertures et… avec un autre homme que mon époux. Ma tête a tourné vers ce que je croyais être un connard, mais heureuse surprise, le visage m’est connu et même si je ne peux étiqueter ce lien que nous formons comme un lien amical, il n’est pas non plus grisonnant.
J’étais caché sous la jupe de mon fils, heureuse d’avoir été sauvée de sa protection divine.
Les deux parties de ces répliques sont vraies. En revanche, elle ne me sauve pas de mon fils, mais de cet hurluberlu. Je suis persuadée qu’elle peut lire à quel point son intervention est appréciée et bien sûr je joue le jeu.
—" Bonsoir, désolée, si je vous l’enlève. »
Je glisse mon bras sous le sien et d’un sourire encourageant je l’invite à me tirer de là alors que la petite assiette contenant quelques fromages et raisons termine dans les mains du russe. Une fois assez loin pour ne pas être entendu, je me penche vers elle afin de lui murmurer des remerciements au creux de l’oreille.
Merci de tout cœur Paige. Cet homme est un connard de première. Je déteste ce type de soirée, je les déteste encore plus quand il faut faire semblant et sourire. Je t’offre un verre ?
Je me tourne vers elle, lui souris et fais signe à l’une des serveuses de venir vers nous. Armée de son plateau rempli de verre de champagne, je tends la main et soulève deux coupes, une pour ma nouvelle amie et une pour moi.
À nous, à cette soirée qui ne semble pas vouloir se terminer et… aux nouveaux matériels médicaux que nos sacrifices apporteront.
Je ne sais même pas si elle aime ou pas ce type de soirée. Si cela se trouve, elle gère tout cela comme un poisson dans l’eau. Je ne la connais pas assez pour prétendre savoir si elle aime ou pas tous ces faux semblants, mais je ne souhaite pas continuer à jouer la comédie. Je serais probablement déjà dans mon lit à l’heure qu’il est si mon chez-moi était douillet et accueillant, si dans l’ombre de la chambre un prédateur tout aussi monstrueux ne m’y attendait pas. À choisir entre deux maux, vaut mieux prendre le moindre.
À nous !
Je prends une gorgée de champagne, du bout des lèvres, puis tente de cacher ma grimace.
Ce que je donnerais pour une tasse de thé fumante et un croissant au chocolat.
J’aimerais ajouter en robe de chambre et en bonne compagnie, mais je m’en abstiens. Il ne manquerait plus que je la scandalise avec des propos déplacés. Elle et moi nous nous connaissons de vue et je ne la crois pas capable de se laisser aller à faire des galipettes dans un placard à balai… moi si.
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| WebName : Lex Date d'inscription : 26/09/2023 Messages : 25 Avatar & crédits : Olivia Wilde & Hortek <3 Date de naissance : 25/12/1983 Age : 40 Statut civil : Célibataire Occupation : Chirurgien, chef des urgences. Habitation : Gaslamp Quarter Rivalités : Health & Law
| Sujet: Re: Besoin de compagnie Dim 19 Mai - 12:24 | |
| Je déteste cet univers, les ronds de jambes et les discours creux et sans intérêt qui y ont cours. Mais je ne suis pas dupe, je sais pertinnemment que les finances gouvernent le monde, même dans celui de la santé. C'est horrible, ça me révolte, je hais cette simple idée, mais je ne suis pas assez naïve pour penser que m'y opposer apporterait quoi que ce soit de positif. Mon service a besoin d'argent, pour former les meilleurs internes, pour recruter des chirurgiens de qualité, pour que mes urgences tournent et assurent ! Alors oui j'enfile une robe qui semble cousue sur moi et je m'oriente vers l'enfer en essayant de me dire qu'il sera peut être au moins pavé de bonnes intentions.
Je ne suis pas là depuis longtemps quand j'avise notre DRH manifestement pas ravie de la compagnie, DRH que je ne connais que peu, mais qui m'a fait bonne impression, ce qui est rare avec les financiers. Sinon je me serais peut être bien abstenue de voler à son secours. Je me pointe donc, essayant de faire passer notre fuite avec le plus de délicatesse possible. Je ne suis pas très douée pour ça. Je suis quelqu'un de franc et de direct, j'ai un métier qui le nécessite et je crois de toute façon que c'est plus facile pour moi comme mode de communication. Pas de blabla inutile, des faits et une réponse adaptée. Si seulement le monde pouvait être ainsi, je m'y sentirais surement plus à mon aise.
Elle lui plante son assiette de petits fours dans les mains et je me retiens d'éclater d'un rire de gamine. J'ai presque l'impression qu'on fait l'école buissonnière et ça m'amuse énormement. Une fois à l'écart elle me glisse que le type est un connard et confie son désamour pour ce genre de fête. -"Ce sera nettement mieux en prenant un verre entre amies." Je la laisse héler une serveuse et viens trinquer de ma coupe contre la sienne, tout en souriant doucement. -"A nous et en effet aux subventions que je compte décrocher." J'avale une gorgée et j'ai un petit rire en l'entendant me confier son envie du moment. -"Thé et croissant ? Original." Je prends une nouvelle gorgée avant de confier. -"Pour ma part, je rêve simplement de mes urgences." C'est triste ça non ? De confier à cette heure que je n'aurais rien de mieux à faire que de me trouver au boulot ?
Peut être, j'en sais rien en fait. On emmerde pas un mec qui a son job comme priorité, alors pourquoi je devrais sans cesse m'excuser ? Pourquoi je devrais forcément admettre qu'il me manque quelque chose et qu'en privilégiant mon job j'ai tiré un trait sur tout le reste ? Aucune idée ! Même si parfois, dans le silence de ma chambre, je ne peux m'empêcher de me demander ce qu'aurait été ma vie si j'avais fait d'autres choix. En fait la bascule, je la connais... ça a été ma décision de tout sacrifier pour devenir chef de service. Professionellement c'est tout ce que je désirais et je crois que, je suis douée, mais le prix à payer me laisse régulièrement des larmes, amères. -"On peut tenter le uber eat, je crois que je serais assez amusée de voir des serveurs entrer avec tisane et croissants pour tout ce beau monde." Un petit rire et je viens de nouveau tremper les lèvres dans le champagne. Je ne suis pas de garde et ça peut m'aider à me détendre assez pour supporter cette réception. -"Je suppose que tu connais l'assistance ? Dis moi sur qui on doit concentrer nos efforts pour que j'obtienne enfin le budget pour la réfection de la salle des plâtres." Je lui adresse un petit sourire en coin. -"Impossible de résister si on s'y met toutes les deux." Façon détournée de la complimenter ? Oui sans doute un peu, je ne suis pas très à l'aise sur ce registre. |
| WebName : Jemel Date d'inscription : 07/11/2023 Messages : 15 Surnom : Ju Avatar & crédits : Charlize Theron Date de naissance : 10/04/1980 Age : 44 Statut civil : Mariée Occupation : Directrice des RH pour l'hôpital Habitation : Pacific Beach Rivalités : Black Templar (Secte)
| Sujet: Re: Besoin de compagnie Dim 8 Sep - 13:42 | |
| Je veux être ailleurs et je peine à jouer mon rôle de femme parfaite. Je ne le suis pas, je le sais et tout le monde le sait, mais c’est ça ou je risque la colère de mon mari s’il venait qu’à apprendre que je lui ai fais honte. L’image, l’image et encore l’image. Je serais curieuse de savoir combien de personnes, ici ce soir, sont dans le même bateau que moi. Combien de personne joue la comédie ? Si cela se trouve, on joue tous une grande pièce de théâtre où nous jouons notre rôle plus ou moins à la perfection. C’est triste lorsqu’on y pense. Triste oui et non puisque je vais probablement me faire une alliée parmi tout ce beau monde ce soir. Me débarrasser de mon assiette de façon aussi cavalière est libérateur.
—"Ce sera nettement mieux en prenant un verre entre amies. »
Deux, trois et même quatre.
J’ai murmuré cette réponse, n’espérant rien en retour. Au lieu de cela, je fais signe à une serveuse pour prendre l’une de ces flutes afin de trinquer avec ma nouvelle complice.
Faut les saigner à blanc.
Oups ? Non pas oups, enfin si, mais seulement pour les apparences et encore il m’aurait fallu le dire haut et fort. La réponse qui suit, en revanche, me laisse songeuse. Elle rêve simplement de ces urgences ? Soit elle est dédiée à son boulot, soit elle n’a que le boulot. Je ne vais pas lui jeter la première pierre, je fais pareil, mais voir une autre personne que soi-même se débattre avec une vie sociale inexistante me rend triste. Personne n’aime se regarder dans un miroir. Par chance elle a de l’humour et je ne retiens pas mon rire quand elle suggère d’appeler UberEat.
La salle des plâtres hum ?
Je prends une gorgée du nectar et regarder l’assistance tout en réfléchissant.
J’imagine qu’une réfection complète est de mise ?
Elle n’a pas besoin de réponse puisque, au pire, le surplus sera investi ailleurs.
Un peu de manipulation te convient ?
Je la regarde avec un sourire en coin, car je peux d’ores et déjà deviner sa réponse. Je continue d’observer les gens, en choisis quatre pour la salle des plâtres et un pour les urgences.
Tu vois l’homme un peu bedonnant sur la gauche ? Cravate et soulier rouges ? Tu l’approches, tu lui expliques que les urgences auraient besoin de telle ou telle nouvelle machine pour X et Y raison puis tu lui demandes si Simone se porte bien. La vieille à gauche de la cravate rouge, celle qui porte 10 000 colliers de perles tu la vois ? Si tu lui promets de donner de ton temps pour aider lors de l’un de ces nombreux soupers-bénéfice aux profits des chats errants, tu en obtiendras ce que tu veux.
Je lui laisse le temps de digérer tout cela et reprends.
Les deux derniers, M. Papatos et M. Jenkins. Ces eux là sont en compétitions pour tout. L’un des deux a marié la femme de l’autre et il y a un truc aussi avec leur boulot, je ne sais plus, mais si tu vas a l’un et que tu lui dis que l’autre a été très généreux et que grâce à lui, la salle des plâtres sera rénovée… vice versa… tu auras plus d’argent entre les mains que tu en as vraiment besoin.
Je prends une dernière gorgée, question de laisser toutes les informations prendre racine dans la tête de ma vis-à-vis. Les deux derniers je les connais de par mon mari, le boulot et toujours le boulot tandis que les deux premiers sont des templiers, femme de templiers et j’aimerais bien les voir saigner à blanc.
J’exige le paiement d’un croissant au chocolat par poisson que tu auras pêché.
Mon sourire en dit long sur mon envie de la voir réussir.
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| Sujet: Re: Besoin de compagnie | |
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