le jeu en vaut la chandelle (Rosie)

Aujourd’hui sera ma deuxième rencontre avec Rosie. Madame De Leon… Rosie. J’ai moi-même décidé de faire sauter les formalités, et ce, pour une raison bien précise. Parler de jouet sexuel en utilisant le < vous > comme forme de politesse ressemble un peu trop à tous ceux et celles qui chient plus haut que le trou pour moi. Donc… ma deuxième rencontre, oui voilà, est prévue à 14 h tapant dans les bureaux de Satine. J’ai travaillé une partie de la nuit et toute la matinée sur le prototype. Il n’est pas tout à fait au point, enfin il fonctionne, mais je ne suis pas satisfaite du matériel utilisé. Il est un peu trop rigide pour moi. Je vais devoir y ajouter un peu plus de silicone ou je ne sais quoi, mes neurones ont besoin de repos, mais je m’y mets demain sans faute. Rome ne s’est pas créé en un jour n’est-ce pas ? Pareil pour mes prototypes.

C’est donc armé de trois prototypes différents que j’ai appelé un taxi. Je ne conduis pas par choix. Pas de permis, pas de voiture, pas de pollution. Habituellement je marche, mais la distance à parcourir cette fois est trop grande pour mes capacités. Un taxi fait l’affaire. En plus il est mignon, un bonus non ? Je pourrais peut-être lui demander s’il a envie d’être mon cobaye. Vous vous imaginez sa tête. L’idée me fait sourire, mais je me dis que le pauvre bougre a des trucs plus importants à faire, plus importants, pas plus amusants. Une fois devant les bureaux, une fois le taxi payé, je descends et me dirige vers l3 petit café situé de l’autre côté de la rue. C’est avec trois prototypes, deux muffins et deux cafés que je reviens sur mes pas. Heureusement un bon samaritain m’ouvre la porte sinon je me voyais mal utilisé ma bouche. L’image est amusante en revanche…

J’ai rendez-vous avec Rosie de Leon.

Vous êtes ?

Amy.

Amy qui ?

Sérieux ?

Elle me lance un regard de tueuse en série et m’indique où aller et ajoute que je suis attendue. Non, mais franchement. Amy qui ? Je veux bien croire qu’il y a des milliers d’Amy dans le monde, mais il y en avait qu’une avec un rendez-vous à 14 h non ? Encore une fois la chance me sourit une fois devant la porte du bureau de Rosie puisqu’un mec, un grand blond plutôt sexy en sort. Il m’envoie un clin d’œil charmeur avant de me laisser passer. Comme un gentleman, il referme la porte derrière moi.

Mignon… belles fesses…

Je sais apprécier les œuvres d’art.

J’ai deux cafés, deux muffins aux bleuets et trois prototypes.

Je dépose mon fardeau sur le bureau, prend le premier café, un muffin et laisse à Rosie le soin de déballer le reste. Elle y verra trois anneaux de grosseurs différentes avec chacune leur télécommande.

La télécommande peut faire vibrer les anneaux, mais ce n’est pas nouveau comme concept. J’ai pensé y ajouter la possibilité de contrôle, le diamètre de la chose a distance. Plus petit pour punir… plus grand pour laisser passer un peu de pression. On peut faire varier la largeur de l’anneau, plus large dessous, ou pas, on peut faire varier la couleur et bla bla bla. Mais le principe demeure le même. ON enfile la chose et on décide si ce sera douleur ou plaisir. Avec un peu de pratique, je suis persuadé qu’il sera possible de les faire jouir juste avec ça. On stimule, varie la grosseur, stimule, fait vibrer et quand le moment est venu on relâche tout, le sang passe, l’extase frappe et badabimbadaboum, il y a du foutre partout.

Quoi ? Si le mot foutre la gêne, on n’est pas sorti de l’auberge. J’attends sa réaction en croquant dans le muffin.

Imaginez tout le plaisir que donnerait le contrôle total... ca me donne envie de me faire greffer un pénis tiens.

Le jeu en vaut la chandelle

Les journées remplies se succédaient ces temps-ci. Entre la portion libertine du cabaret et le nouveau studio de Satine, il y avait beaucoup à faire. Même si j’avais l’impression de retourner à la villa que pour dormir, je ne regrettais pas mes choix. Parfois, la voix de Tommy se faisait entendre dans un coin reculé de ma tête. Me disant que je n’aurais pas eu à lever le petit doigt si j’étais restée avec lui. Sauf que ce n’était pas la vie que je désirais. J’aimais être dans l’action. Je n’aurais qu’à prendre des vacances au besoin, pour décrocher.

J’étais dans mon bureau au-dessus du Lipstick aujourd’hui. Dulce trottinait joyeusement entre la réceptionniste et mon bureau, probablement en quête d’une quelconque récompense donnée pour ses beaux yeux. Le pauvre finissait par se coucher sur son coin luxueux et confortable aménagé dans mon bureau en poussant un profond soupir.

« Lo sé, tu vida es un verdadero infierno. Perro callejero miserable. » (Je sais, ta vie est vraiment un enfer. Misérable cabot.)

J’ajustais la ceinture qui soulignait ma taille et continuais à travailler sur mes dossiers, jetant un œil sur l’horloge dans le coin de mon écran de temps à autre. J’avais un rendez-vous et je souhaitais terminer certains dossiers avant.

Mon rendez-vous était pour une candidature pour le cabaret. Un artiste du sexe. Spectacle et prestations de service, dirons-nous. Un homme début de trentaine. Grand, musclé et doté d'une mâchoire découpée au scalpel. Ce n’était pas suffisant. Je cherchais quelqu’un d’articulé. Nous avions donc une conversation. Surprenant? Oui, mais j’étais loin d’être une femme conventionnelle. Pas besoin de voir son corps, j’avais ses photos en cv. Le Lipstick n’était pas un club de bas étage. Je cherchais de la qualité, la crème de la crème.

Nous terminions notre conversation et je lui mentionnais que je le rappellerais après la série d’entrevues de la semaine. Pour l’instant, il était le plus intéressant, mais je gardais le mystère entier pour lui. Il quittait et laissait sa place à mon prochain rendez-vous qui me rendait beaucoup plus fébrile : Amy Bishops. Mon sourire s’étirait en la voyant franchir la porte de mon bureau. Elle commentait l’homme croisé sur le seuil et j’esquissais un sourire félin.

« Oui, très mignon. C’est comme ça ici tous les jours. Y’a pire comme boulot. »

Elle ne me laissait pas le temps de l’aider et déposait son chargement sur le dessus de mon bureau et je sifflais devant la quantité d’éléments transportés.

« Amy, tu sais comment me redonner de l’énergie en plein après-midi : Café, nourriture et projet fabuleux! »

Je tapais joyeusement dans mes mains avant d’attraper un café et un muffin que je plaçais sur un coin du bureau. J’ouvrais la boîte avec beaucoup de curiosité et commençais à sortir les objets pour les disposer sur ma table.

« Dis-moi tout, j’ai hâte de voir tes conclusions. »

Alors qu’elle parlait, mes doigts attrapaient ladite télécommande. Puis mes doigts caressaient les anneaux alors que je buvais ses paroles. J’aimais ce que j’entendais.

« Je dois avouer que je suis charmée par cette perspective, mais que j’aimerais ajouter une option à tout cela. »

Je prenais une gorgée de café.

« Outre le foutre partout… J’aimerais le contrôle partout, en tout temps… Tu vois probablement où je veux en venir : une application pour le téléphone. Monsieur est en voyage d’affaires au Japon? Madame lui fait porter l’anneau et gère le tout de son appartement de New York, tu vois le genre? »

Un petit sourire en coin étirait ma bouche.

« Foutre dans ses pantalons et madame n’aura pas à nettoyer… Comme c’est merveilleux. »

Je l’observais droit dans les yeux.

« Je peux avoir une démonstration si je fournis un modèle? Il s’échauffe pour ce soir au cabaret, il est facile de réclamer un volontaire. »

lumos maxima

Mon savoir-être plait ou ne plait pas, c’est selon les valeurs profondes des gens et leur capacité à accepter les différences. Personnellement je m’en moque puisque là où certaines personnes se seraient vu offusquer de me voir déposer muffin, café et jouet sur leur bureau, sans permission, ma vis-à-vis pour sa part a préféré taper dans ces mains. Magique ? Ce geste, à lui seul, me laisse croire qu’une belle amitié est possible entre nous. Oui nous nous sommes déjà rencontrés. C’est quand même elle qui m’a embauché, il ne faut pas l’oublier, mais outre cette fois-là et deux ou trois autres rencontres par vidéoconférence, nos routes ne sont jamais croisées. Comme je ne peux pas faire de démonstration à distance… C’est donc une fois les mains libres, enfin je devrais plutôt dire les mains pleines avec le muffin et le café que je lui explique en gros ce qui se trouve devant elle. Je me tais ensuite pour la laisser commenter.

Ajouter une opinion ? Certainement, je suis là pour que tout cela soit à ta convenance.

Bah elle a le droit de dire son opinion c’est quand même elle qui me paie non ? J’écoute donc ce qu’elle pense de tout cela tout en profitant du moment pour croquer dans la petite collation, retenant de justesse un gémissement de bonheur lorsque le gout des bleuets éclate sur mes papilles gustatives. La discussion va bon train quand elle finit par me lancer une phrase amusante. « Foutre dans ses pantalons et madame n’aura pas à nettoyer… » Oh merde, me voilà qui tousse. Des petits bouts de muffin ont décidé de faire chier quand j’ai éclaté de rire en entendant ce petit bout. À la demande suivante, je hoche de la tête comme une conne au lieu de parler pour ne pas tout lui recracher à la figure. Une fois remise, je me lance.

Pardon, mais quelques images se sont matérialisées dans mon esprit et que ça donne envie. Je dois avouer que je vais acheter le premier de ces bidules quand ils seront mis sur le marché. J’ai même quelques idées de cobaye tient.

Le premier à avoir pris forme dans mon esprit est Jay… Je le vois bien assis au bar, flirtant puis jurant parce que j’ai tout à coup eu envie de faire tourner son esprit vers moi.

Et en parlant de cobaye…

Avec tout cela j’ai besoin d’une grande gorgée de café.

Je ne voudrais pas créer de bisbille ni rendre qui que ce soit mal à l’aise, mais si les volontaires se bousculent je ne dis pas non. Je n’ai pas honte d’avouer que je dis rarement non à tout beau mâle nu et bander. On n’est pas obligé d’ouvrir les jambes pour faire hurler de plaisir un mec même si… c’est parfois très agréable de se laisser tenter.

Je m’avance vers le bureau et prends l’un des prototypes avant de le tourner dans tous les sens.

Télécommande et application sur le téléphone ? Petit loquet pour empêcher notre homme d’enlever le jouet ? C’est hyper risqué, cela dit je ne le conseille pas personnellement à moins d’ajouter des tonnes de mise en garde. Tel quel il est hyper facile à retirer.

Je colle mes doigts ensemble avant de faire glisser l’anneau tout autour.

On y va avec le silicone ou avec le réel ?

Je parle des pénis ici bien sûr. Il faut bien le tester, non ?

Le jeu en vaut la chandelle

Amy était un petit rayon de soleil… Avec éruption solaire momentanée. Je l’aimais bien. Son énergie était à la source de sa créativité, j’en étais certaine. C’était un rendez-vous très intéressant pour les affaires, mais j’étais contente d’avoir une partenaire d’affaires aussi dynamique à mes côtés.

Je la faisais rire à s’en étrangler. Je buvais une gorgée de café, fière de mon coup. Je n’étais pas réalisatrice de pornos pour rien; moi aussi j’étais pleine d’idées. Des idées loufoques, salaces, érotiques et j’en passe. Elle devait s’attendre à ce que mon imagination m’amène à pousser le fantasme le plus loin possible.

« C’était l’idée… les images. »

Je lui adressais un clin d’œil plein d’humour. Elle voulait tenter sur un cobaye? Tiens… Moi aussi, j’en avais un ou deux qui me trottinaient dans la tête. Elle ne voulait pas causer de problème en utilisant des cobayes ou semer la discorde. Je balayais l’air de la main.

« Ne t’inquiète pas, je pense que parmi mes employés, quelques-uns carburent à l’exhibitionnisme et qu’une partie de masturbation avec public ne sera pas problématique. »

Amy parlait de loquet et je réfléchissais aussi. Elle était sur une piste intéressante pour les fétichistes de haut niveau. Avait-on assez de clients dans cette catégorie?

« Tu as raison, il faut des avertissements si nous prenons cette avenue… Et si l’on choisit cela… J’aimerais aussi que cela puisse se verrouiller et déverrouiller à distance, bien sûr… Imagine les défis que les couples pourraient se lancer! »

Elle me posait une question et je riais d’une façon cristalline.

« Il n’y a rien de mieux que le vrai pour faire des tests concluants. Allons, descendons dans mon univers. »

Je me levais et prenais un petit sac dans lequel je disposais les prototypes et j’ouvrais la porte du bureau, Amy à ma suite. Je passais par le bureau de la réception.

« Graciela, je suis occupée pour le reste de la journée. Je pense que je n’avais pas d’autres rendez-vous de toute façon. »

Nous descendions jusqu’à la partie libertine du Lipstick. Les employés s’échauffaient, nettoyaient la salle. L’ambiance était beaucoup plus détendue qu’une fois le soir venu. Je machais en direction d’un homme début trentaine. Musclé, mais svelte toutefois. Les cheveux bruns et courts, les yeux noisette. C’était un danseur du Lipstick qui rêvait de jouer pour Satine. J’allais lui donner une occasion de faire ses preuves.

« Sam… Voici Amy Bishops, une partenaire d’affaires de Satine Productions. Amy, voici Sam. Il est… toujours partant pour de nouveaux défis, n’est-ce pas? »

Sam hochait la tête, un sourire dubitatif sur les lèvres. Je lui faisais signe de nous suivre et il obéissait sans demander son reste. J’avais vu son visage s’illuminer lorsque j’avais parlé de la boîte de films. Nous nous rendions dans un salon privé et je refermais la porte derrière nous.

« Alors Sam, tu rêvais de jouer dans les films de Satine, si je me souviens bien. Nous n’en sommes pas encore là, mais voici, disons, un premier essai. Afin de voir comment tu te comportes devant un public plus restreint et privé que le Lip… Vois-tu, Amy aimerait tester des jouets qui feront partie de la ligne de Satine éventuellement. Des prototypes. Nous avons besoin d’un… modèle sur qui tester. J’ai tout de suite pensé à toi. Si tu es à l’aise bien sûr. »

Je faisais une pause.

« Je te rappelle que je ne veux pas te voir jouer. Nous voulons tes commentaires. Et, si tu te sens à l’aise devant nos yeux qui vont te scruter, c’est un bon pas pour t’ouvrir les portes de Satine. »

Il hochait la tête, presque trop emballé. Je souriais et me tournais vers Amy,

« Tu vois? C’est facile d’avoir un modèle motivé et volontaire ici! »

lumos maxima

Je ne sais pas pourquoi, mais ce que je sais c’est qu’elle et moi c’est pour la vie. Deux chemins qui se sont croisés dans un but bien précis, le boulot, mais qui vont se recroiser encore et encore allant jusqu’à inventer des raisons au besoin. En affaire ? Elle va briller et moi je vais la regarder dans l’ombre, fière et heureuse, me contentant des redevances de mes idées et de mon boulot sans rancune. En amitié ? Elle va encore là briller pendant que je vais être celle qui va soutenir en silence. En amour ? Pfff, mais non, oublier cette possibilité puisqu’elle ne se produira jamais. En revanche, côté sexe… À suivre ?

Carburer à l’exhibitionnisme hmmm ?

Je suis impressionnée et je ne le cache pas. Je n’ai rien contre me promener nue et tout et tout, mais je ne me qualifie pas d’exhibitionniste. J’ai envie de dire tant mieux, plus les cobayes seront à l’aise avec la nudité, plus il nous sera possible de modifier les jouets testés pour les rendre plus ouf et moins ark. J’ai enchainé avec le loquet et je prends note de ces souhaits, J’aime l’idée de lancer des défis et il se pourrait que j’utilise tout cela pour mon propre plaisir l’un de ces quatre.

Descendre ?

Je ne suis pas certaine de comprendre ce qu’elle attend de moi, mais je me lève à mon tour et la suis comme une ombre, souriant de plus en plus au fur et à mesure que nous avançons. J’ai encore le < occupée pour le reste de la journée > en tête, que voulez-vous, c’est que « on peut en faire des choses en une journée… L’homme qu’elle semble avoir choisi est plutôt mignon. Pas tout à fait assez bad boy pour moi, mais je reste persuadé qu’il sait très bien se servir de ces attributs. Quand elle me présente, je tends la main, serre la sienne et laisse mon sourire s’élargir en entendant le mot < défi >. Sans m’y attendre, je reprends le chemin en sens inverse jusqu’à entrer dans un salon privé, pièce qui a vu sa porte être refermée derrière nous. J’écoute la suite et rigole en entendant la dernière partie de sa courte explication.

« Tu vois ? C’est facile d’avoir un modèle motivé et volontaire ici ! »

Sam n’est pas seulement à l’aise, mais il semble aussi être impatient de servir de cobaye. Intéressant. Avoir su qu’il était aussi facile de trouver des volontaires…

Petit clin d’œil à ce Sam, je prends l’initiative de lui ordonner de se déshabiller d’un geste subtil de la main.

Tu permets ?

Je tends la main, attendant qu’elle m’offre le sac puis une fois en main, l’ouvre pour y prendre le premier prototype. Mhmmm, peut-être pas celui-là. Il est trop petit et notre cobaye n’a pas encore bander… Je fouille dans le sac et prends le plus gros en me disant qu’au pire, on pourra contrôler le diamètre à distance. L’anneau et la commande en main, je m’approche de l’homme, admire la vue en le détaillant de haut en bas et de bas en haut avant de lui tendre la chose.

Tu veux bien le tenir deux secondes ?

Une fois le jouet dans sa main, je le contourne, place une chaise derrière lui et revins me placer devant. D’une poussée, une bonne poussée, je le force à s’asseoir sur la chaise, puis, sans gêne, me mets à genoux devant lui. Mes mains empoignent sa verge, le caresse, titille le bout avec mon pouce, effectue quelques mouvements et, consciente de la paire d’yeux qui me regarde, donne quelques coups de langue joueurs. Quand sa queue est assez dure pour supporter la suite, je me relève, prends le jouet et le glisse autour de sa bite. J’ai bien fait de choisir le plus large puisque je peine à la faire rouler le long de sa verge. J’aurais pu le lui enfiler avant de le faire bander, mais j’aime bien entendre les grincements de dents de mes partenaires quand ils doivent subir l’enfilage à sec, déjà bandé et sensible. Je reviens ensuite vers Rosie, lui tends la manette et prends place à ces côtés. Inutile de l’inviter à jouer, quelque chose me dit qu’elle sait déjà ce qu’elle a à faire.

» Rosie et Tom
» Sydgo 1 // “Mieux vaut louer les vertus d'un ennemi que flatter les vices d'un ami.”
» Eljas et Rosie
» Renouvellement de contrat -Rosie-
» A pleasant or unpleasant visit ? -Rosie-

Rechercher

Résultats par : Messages Sujets
Tags
Recherche avancée