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 A pleasant or unpleasant visit ? -Rosie-

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Thomas Sutherland
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MessageSujet: A pleasant or unpleasant visit ? -Rosie-   A pleasant or unpleasant visit ? -Rosie- EmptySam 3 Sep - 19:18

Lors de mon divorce, j’ai pu garder la villa que je possède près de ma distillerie mais, il me fallait autre chose pour vivre le weekend ou lorsque j’ai énormément de livraison pour les restaurants. J’ai quelques livreurs mais, je tiens à garder contact avec certains clients. Ils sont trop importants et obtiennent les meilleures bouteilles en général. Jil est tôt mais je rentre déjà d’une visite de courtoisie et d’une vérification de fût pour aller passer quelques appels importants. Une fois n’est pas coutume, je suis en jeans mais je porte tout de même une chemise blanche et des richelieus en cuir marron, l’ordinateur est déjà allumé, je regarde ma montre et commence à calculer, nous avons six heures de décalage avec l’Europe et plus particulièrement le Luxembourg. Il est l’heure de passer à table là-bas. Je croise les doigts pour que quelqu’un me réponde. Skype laisse entendre sa sonnerie, je passe le pouce de ma main droite nerveusement sur mes lèvres, je n’aime guère appeler à ce genre d’horaire mais, ils veulent un partenariat et avant de me déplacer, j’aimerais avoir plus d’information à propos de ce dernier. Un voyage me couterait non seulement du temps mais aussi de l’argent et je n’ai guère envie de me prendre un jetlag pour rien. L’écran change et je vois une personne apparaitre, je ne saurais dire au premier abord s’il s’agit d’un homme ou d’une femme tant le visage est efféminé. Le timbre de voix ne me laisse pas de doute, il s’agit d’un homme et la pomme d’Adam qui apparait ne fait que confirmer. Je lui fais part du pourquoi de mon appel, un sourire apparait car il s’agit du patron, il est heureux que son mail ait retenu mon attention. Je suis curieux de savoir comment, il m’a connu. Il m’explique que c’est lors de ses vacances aux Etats-Unis avec son compagnon qu’il a découvert mes whiskys et qu’ils ont décidés de tenter le partenariat et les servir dans leur propre restau sur le vieux continent. Cela m’intéresse mais pas à n’importe quel prix, car cela va demander pas mal de démarches administratives, il va leur falloir aussi prévoir des frais de douanes et que forcément les prix seront plus élevés pour un autre continent que l’Américain. Je suis prêt à faire un geste commercial pour un essai et si par la suite, le produit convient à leur clientèle. Ils vont réfléchir mais semblent assez emballé avec la proposition. Le marché m’intéresse également, cela me plairait énormément de me faire connaître là-bas.

Je termine l’appel en leur souhaitant bonne réception des échantillons qu’il m’a demandés et que je me sois assuré d’un agrandissement possible de l’offre dans le futur. J’ai à peine le temps de fermer le logiciel des stocks que la porte de mon bureau s’ouvre et qu’une silhouette apparait, je connais par cœur la femme que j’ai désormais devant moi et qui ne semble pas heureuse d’être là.

« Roselyn ! Que me vaut ta charmante visite mi querida. »

Une pointe d’arrogance mais aussi de charme se laissent entendre dans mon allocution, je tiens toujours à elle, je la trouve aussi belle mais j’en suis arrivé à un point que je la hais autant que je l’aime désormais. Je me relève et contourne le bureau pour lui faire face en hésitant à l’embrasser à pleine bouche et à l’étreindre ou à lui cracher à la figure mais, si elle est présente ce n’est pas pour rien et ma curiosité ainsi que mon sens des affaires me poussent à savoir pourquoi.
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MessageSujet: Re: A pleasant or unpleasant visit ? -Rosie-   A pleasant or unpleasant visit ? -Rosie- EmptySam 10 Sep - 17:59

A pleasant or unpleasant visit?

J’étais énervée… Furieuse même. Devoir faire des courses pour les Templiers n’était pas nouveau pour moi. En fait, c’était comme cela que j’avais commencé à m’exposer à cet univers. Cela dit, il y avait longtemps que je n’en faisais plus parce que mon rôle auprès de l’Ordre avait changé. M’occuper de la partie libertine du cabaret était assez prenant sans avoir à ajouter des tâches connexes. Sauf que le rôle de Chevalier que je portais apportait un certain lot de responsabilités. Aujourd’hui, je devais assumer une partie moins plaisante de ce rôle.

J’aimais négocier pour Satine Productions. J’aimais obtenir le meilleur d’un partenaire pour du financement. Le coursier mandaté pour obtenir de l’alcool venait de nous faire perdre un contrat de whiskey par son manque de professionnalisme. Connaissant Syrus, je savais que ce n’était qu’une question de temps avant que le coursier disparaisse sans laisser de trace. Nous étions donc en déficit pour la soirée à venir. La proposition du Grand Maître me faisait dresser les cheveux sur ma nuque. Mais oui, Roselyn connaît un distillateur de whiskey. Elle pourrait aller négocier une entente de dépannage et peut-être pour plus long terme. Ah ouais, merci Syrus, je vais me faire une joie de retourner voir mon ex-mari. Mais je ne pouvais rien lui refuser, j’en étais incapable. Et puis, nous étions vraiment dans une impasse.

Je montais donc dans ma voiture et rentrais à ma villa déposer Dulce. J’en profitais pour me refaire une beauté, histoire de retrouver Tommy sous mon meilleur jour. C’était presque comme un instinct de survie. Jamais je ne voudrais paraître faible ou malheureuse. J’étais une femme forte et je voulais le lui rappeler chaque fois qu’il me verrait. Retourner dans notre ancienne demeure ne m’enchantait guère. Trop de souvenirs; les bons et les horribles. Des années de pur bonheur, puis les querelles et le divorce. Il n’y avait rien de pire que de me rappeler les derniers moments de couple avec Tommy. Une vague de tristesse m’envahissait alors que j’étais au volant. J’allumais donc la radio pour me distraire et tenter de calmer mes idées. Je devais redevenir la femme d’affaires. Celle que mon ex-mari m’avait défendu de devenir.

Je cognais à sa porte. Aucune réponse. Encore. Toujours rien. Je m’impatientais. Je savais qu’il était là. Je pouvais voir ses clés de voiture qui étaient soigneusement placées sur un crochet dans le hall d’entrée. Je tentais d’ouvrir et la porte ne résistait pas. Il ne verrouillait jamais ses portes. Je m’en souvenais bien. C’était quelque chose que je ne me permettrais plus, avec toutes ces histoires de menaces et d’invasion de domicile chez moi. J’entrais donc, un peu coupable de me faufiler ainsi dans sa demeure.

« Tommy? Tu es là? »

Pas de réponse, mais j’entendais sa voix. Il conversait avec quelqu’un. Il avait sa voix professionnelle, ce qui m’arrachait un sourire. Ce n’était pas l’intonation qu’il prenait avec moi quand nous étions ensemble. Il avait cette façon de m’envelopper de sa voix. C’était chose du passé. Je savais où se trouvait son bureau et m’y dirigeais sans plus attendre, évitant de regarder autour pour rester concentrée sur le but de ma visite : obtenir du whiskey de la part de Thomas Colton Sutherland. Je poussais la porte du bureau après avoir cogné deux fois très doucement.

Nous nous croisions souvent à San Diego, mais nous ne discutions que très peu. Nous fréquentions les mêmes endroits pour nos rendez-vous d’affaires, ironiquement. C’était comme si l’univers voulait nous faire souffrir de voir l’autre. Mais c’était la première fois depuis longtemps que je le voyais de si près et que nous étions seuls. Son ton était différent. Ni celui des affaires ni celui qu’il m’accordait jadis. Je déglutissais pour reprendre mon calme.

« Thomas. »

Je n’avais pas aimé qu’il m’appelle Roselyn. Il ne m’appelait jamais Roselyn. Et je ne l’appelais jamais Thomas. Ce fut pourtant mon choix afin de me mettre au même niveau que lui. Je ne pouvais m’empêcher de détailler son physique. Toujours aussi séduisant. Je remarquais que sa tenue était moins soignée qu’à l’habitude. Le voir porter un jean était rare lorsqu’il travaillait. Mais cela lui allait comme un gant, bien sûr : tout pour me rappeler comment il était beau. Il était face à moi et j'ignorais quelle attitude adopter? Lui serrer la main me semblait complètement farfelue et lui faire la bise tout autant. Je restais donc là, à hésiter un instant pour finalement rester plantée là sans bouger, comme une pauvre idiote. J'inspirais. Je devais me concentrer sur le but de ma visite.

« Je suis ici par affaire. »

Oui, bon, ça commençait mal. Il détestait mon implication avec les Templiers ainsi que mon travail. Cela avait été le coup fatal pour entraîner le divorce. Mais c’était lui qui avait jadis commencé à fournir du whiskey aux Templiers, n’était-il donc pas celui qui avait provoqué la situation?

« Notre fournisseur de whiskey habituel n’est pas en mesure d’honorer sa livraison aujourd’hui et nous sommes dans l’embarras pour le cabaret. Je suis donc venue négocier, si possible. »

Inutile d’expliquer la raison réelle du problème. Je voulais régler la situation rapidement et retourner à la maison.

« Tu as l’air bien. »

Une pause dans ma voix de businesswoman. J’étais sincère. Une petite voix intérieure, probablement la jalousie, me criait que c’était sûrement parce qu’il s’envoyait toujours en l’air avec de petites sottes de la vingtaine. Mais je faisais taire cette voix, je n’étais pas là pour déverser mon amertume sur lui.
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MessageSujet: Re: A pleasant or unpleasant visit ? -Rosie-   A pleasant or unpleasant visit ? -Rosie- EmptySam 1 Oct - 22:06

Soyons honnête Rosie me manque mais je saute sans pitié n’importe quelle jeune ou moins jeune femme qui se présente. Est-ce de la vengeance ? Il y a de forte que oui ! Je l’ai dit mon ex-épouse me manque mais je ressens ce besoin de baiser et de la blesser non pas physiquement mais mentalement. Je me fais un plaisir de la narguer dès que je la croise en solitaire ou avec son toutou qui vient du froid ou pas car il semble assez chaud tout de même le gamin. Bref assez parlé de ces deux-là, je me concentre sur mes breuvages et sur l’avenir de ces derniers en inspectant quelques cuvées aux quelles, je tiens particulièrement. Je crois en leur succès plus que je ne pourrais croire en une possible nouvelle union. Je prends le temps qu’il faut pour les analyser, les gouter afin d’en apprécier les saveurs naissantes et les couleurs. Satisfait et convaincu de ce que j’ai vu j’en profite pour glisser quelques mots aux employés. De retour chez moi, je dois passer un appel et ce dernier est à hauteur de mes attentes. Un nouveau partenariat va être créé si les breuvages que je dois envoyer plaisent et ils le feront, j’en suis convaincu. J’aime négocier et partir en voyage pour connaitre la satisfaction de mes clients, cela me permet aussi de placer d’autres produits en plus de gouter à diverses associations pour développer mon palet. Je suis occupé à pianoter sur mon clavier afin d’envoyer un mail à l’équipe d’expédition pour les prévenir de l’expédition de produit en plus d’inclure un petit bonus dont nous avons le secret.

Je ne l’entends pas entrer, je suis concentré sur ce que je fais, je ne sais pas que mon ex-femme est dans notre maison. Mon écran m’accapare ainsi que ma conversation, je suis totalement sérieux et appliqué dans ce que je fais. Je veux que mon travail soit reconnu et apprécié dans le monde entier. Mon rêve le plus fou ? Qu’un chef étoilé en fasse la promotion un jour devant un président ou un roi. Une présidente ou une reine également mais, le whiskey est traditionnellement est considérée comme une boisson masculine. Je me demande qui cogne à la porte du bureau. Je découvre qu’il s’agit de Roselyn, ma rosie. La joie de l’affaire avec les européens est déjà retombée pour laisser place à une certaine mélancolie mais aussi à une certaine colère qui amène de la froideur dans ma voix. Bon sang est-ce que nous ne pourrions pas être tranquille ? Le sort s’acharne contre nous. Nous qui pouvons nous croiser dans la ville mais sans pour cela être seuls dans la même pièce comme c’est le cas actuellement. Elle me salue en fermant ses jolis traits. Je n’aurais … peut-être pas dû être aussi froid mais, il s’agit là pour moi d’une carapace car en mon intérieur, je jubile de la voir là si proche de moi. Nos regards l’un pour l’autre sont nettement plus doux, ils relèvent ce que nous ressentons réellement. Elle est magnifique et je dois bien l’avouer, j’en suis toujours amoureux. Nous ne bougeons plus et elle me révèle qu’elle est présente pour affaire. Merde ! J’ai un instant pensé qu’elle serait là pour moi. Encore et toujours pour ces foutus templiers et son putain de club de merde je suppose.

« Dis-moi tout ! »

Soupirais-je un peu plus chaleureusement mais tout en étant sur la réserve. Leur fournisseur habituel n’a pas été en mesure de leur fournir leur livraison et ils sont dans la merde. Je hausse les épaules en entendant sa dernière phrase.

« Voilà ce que c’est de travailler avec des amateurs. »

Désolé, je n’ai pas pu me retenir c’est plus fort que moi.

« De quoi as-tu besoin exactement ? Pure malt ? Single malt ? Tennessee Whiskey ? Bourbon ? Blend ? Autres ? »

Car oui, il existe encore d’autres type de whiskey comme le corn whiskey, le breuvage au maïs ou encore le blended grain fabriqué avec différent type de céréales comme le maïs, le seigle, l’avoine, le blé ou encore l’orge... Le whisky de grain n'est distillé qu'une seule fois et possède un gout nettement plus marqué.

« Me permettrais-tu de placer un nouveau produit ? Un Rye whiskey. Une composition de 51% de seigle, de 30 % de maïs et de 10 % d’orge. Il est vieilli dans des fûts de chêne fraichement flambé. Il est plus fruité et plus sec qu’un bourbon par exemple. »

Autant se faire un peu de publicité non ? Mais elle a assez d’explication pour se décider et je peux en fournir une bouteille pour que le connard sacré ou je ne sais quel nom lui donner puisse y gouter. Elle me trouve bien et cela me fait légèrement fondre.

« Merci, je te retourne le compliment. Tu as l’air en forme. »

Ce n’est pas peu dire. Une certaine jalousie s’est installée en moi, il m’est difficile d’y résister.

« Viens, assieds-toi s’il te plait Rosie. »

Je ne sais pas ce qu’il me prend mais je lui désigne un canapé qui se trouve proche de mon bureau. Je me mets à contourner ce dernier pour attraper ce dernier pour attraper un pc portable dans un des tiroirs que j’ai rapidement ouvert et fermé. Je viens me placer à coté de la jolie brune avec un léger sourire.

« Cela fait du bien de te voir. »

Hum non mauvaise phrase … elle n’est que pour affaire après tout.

« Voilà ce que j’ai en stock … »

Je tourne le portable vers elle après avoir cliqué sur quelques fichiers et la laisse regarder sans broncher. Mon imagination se laisse quand à elle bien aller, je nous imagine déjà nous embrasser après lui avoir retiré le portable des mains et lui murmurer quelques mots doux.
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MessageSujet: Re: A pleasant or unpleasant visit ? -Rosie-   A pleasant or unpleasant visit ? -Rosie- EmptySam 8 Oct - 18:34

A pleasant or unpleasant visit?

Un petit moment de silence, le malaise est bien présent. Quelle idée de m’envoyer ici! C’était presque de la torture. Tous les souvenirs, les bons, les mauvais, les merveilleux, me revenaient en tête, se bousculaient à une vitesse folle. J’avais peur que mon cœur n’y survive pas. C’était bien trop dur de le voir devant moi. Dans les restaurants ou les rues de San Diego, l’expérience était beaucoup moins pénible, car je pouvais être forte ou encore détourner le regard. Mais cette fois, nous étions seuls et il m’était impossible de faire autrement que de revivre toutes ces années où nous avions parcouru la vie en duo.

Tommy finissait par me demander de lui expliquer la situation et je ne me le faisais pas dire deux fois. Occuper ma tête et mon cœur avec le but de ma visite me donnait un peu de contenance. Il accusait mon fournisseur d’être un amateur et j’esquissais un sourire amusé. Si seulement il savait qu’il s’agissait plutôt de l’incompétence d’un des nôtres, mon cher ex-mari se ferait un plaisir de rabaisser mon organisation devant moi. Il détestait les Templiers, la criminalité du regroupement surtout. Je ne lui laisserais pas l’occasion de le faire, car je savais que notre rencontre chavirerait en dispute. Je devais atteindre mon but aujourd’hui, le Lipstick avait un besoin urgent de whiskey.

« Des amateurs oui… »

Est-ce que cela voulait dire qu’il allait me prêter mainforte? Je l’espérais. Il était ma seule chance d’obtenir ce que nous avions besoin rapidement. Il me demandait finalement de quoi j’avais besoin et je sentais un poids s’évaporer de mes épaules. Je me détendais visiblement, mais la foule de choix me rendait indécise…

« Euh… Qu’as-tu de disponible aujourd’hui? je ne peux pas revenir les mains vides. »

Je plongeais mon regard dans le sien en essayant de ne pas laisser mon cœur s’emporter, mais ce visage que j’avais tant aimé était si près de moi. Son corps que j’avais serré contre moi… Son odeur qui restait sur les draps quand il se levait tôt le matin… Je devais me ressaisir. Tommy me parlait d’un nouveau produit avec l’enthousiasme que je lui connaissais su bien. Comment pouvait-il m’avoir empêché de travailler alors qu’il était lui-même si passionné?

« Je veux bien apporter de la nouveauté au cabaret, mais j’ai aussi besoin d’une valeur sûre pour mes clients qui aiment la routine et les classiques. »

Nous prenions tous les deux un instant pour nous complimenter. C’est vrai que j’étais en forme. J’étais occupée, mais je prenais toujours autant soin de moi. Thomas m’invitait à m’assoir et je suivais sa demande. Prenant place près de moi avec son portable, il me disait être heureux de me voir et je ne savais pas trop quoi lui répondre. Est-ce que ça me faisait du bien de le voir? En fait, cela me brisait encore plus le cœur que cela me faisait du bien. Notre divorce avait été douloureux. Je l’aimais. Je l’aimais tant! Mais il m’étouffait, me privait d’une partie de moi. Pourtant, sa proximité m’étourdissait et me donnait des envies d’oublier le pourquoi de notre rupture. Je me sentais faible, égarée.

« Je suis contente de pouvoir compter sur toi. »

Oui bon, ce n’était pas une confidence aussi personnelle, mais je ne pouvais dire que le voir me faisait du bien. Il me montrait ses stocks et mes yeux observaient sans vraiment prendre en note. Je connaissais les produits sur les images, mais j’avais l’impression que cette période était si loin de moi que j’avais tout oublié.

« Hum… Tommy… Thomas… »

Je me corrigeais, ma voix était douce et distante.

« J’ai besoin de… 3 caisses pour ce soir. Ça fait si longtemps que je n’ai pas mis mon nez dans les commandes d’alcool que je ne m’y retrouve pas… J’aurais besoin de goûter ou de te faire confiance. »

Je sentais son regard sur moi et je tournais lentement ma tête dans sa direction, me demandant de quelle manière il m’observait. C’était moins négatif que je croyais. Alors que j’anticipais voir la haine dans son regard, j’y voyais plutôt un regard un peu embué, perdu dans ses pensées.

« Que me proposes-tu? »
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MessageSujet: Re: A pleasant or unpleasant visit ? -Rosie-   A pleasant or unpleasant visit ? -Rosie- EmptyDim 30 Oct - 23:25

Son patron, ce Syrus est un bel enculé pour l’avoir choisie elle afin d’avoir ce qu’il désirait. Il savait que je ne lui refuserais rien après avoir eu un malaise entre nous et effectivement c’est ce qui est arrivé. Il y a un malaise effectif et cela transforme en torture. Nous avons de nombreux souvenirs ici, des bons comme de plus sombres qui peuvent s’appréhender à des cauchemars. Il nous est impossible de ne pas converser comme des adultes raisonnables étant donné la situation. Je dois rester professionnel et oublier l’espace d’un moment ce que nous avons été l’un pour l’autre. Elle m’explique tout en détail, je ne peux m’empêcher une pique envers le fournisseur du club qui la source responsable de tout ce ramdam. Elle esquive un sourire amusé presque complice pour me donner raison. J’expire de manière bruyante pour exprimer mon mécontentement et elle me donne raison.

« Heureusement que ton superman est là. »

Voilà qui confirme que je vais l’aider comme un parfait gentleman. Je le lui fais savoir avec d’autres mots en proposant tout mon stock bien que certains styles soient moins fournis que d’autres au niveau des quantités. Elle me demande ce que j’ai de dispo dès aujourd’hui car elle ne veut pas rentrer les mains vides et avouons-le ce n’est pas mon but non plus. Un client satisfait est un client qui devient fidèle enfin je peux dire ça de Rosie …

« A coup sûr, j’ai du pur malt, du single malt et du bourbon. »

Je me gratte le menton en la regardant. Que va-t-elle choisir ? Je réalise qu’elle est toujours aussi belle, qu’elle me plait toujours autant qu’au premier jour. La passion qui nous animait était intense, nous ne pouvions nous passer l’un de l’autre et tout prétexte était bon pour nous enlacer ou nous embrasser. J’aimais la dévorer du regard le matin en me réveillant, endormie telle une princesse de conte de fée. J’essaie de placer mon dernier nouveau-né, un mélange que je teste pour la première fois. Elle en veut bien mais me signale qu’elle besoin d’une valeur sûre pour des clients qui aiment la routine et les classiques. Je les comprends, il n’y a rien de meilleur qu’un classique. Nous nous adoucissons en nous complimentant mutuellement.

Nous avons pris place sur le canapé pour regarder ensemble les stocks exacts que je possède car tout est retranscrit sur mon pc et c’est en temps réel. Je connais la moindre vente dès qu’elle se réalise. Un aveu, une vérité, un regret viennent d’être fait. Notre divorce a eu beau être houleux, compliqué, je tiens toujours à elle. Sa présence me donne envie d’essayer de nous rabibocher. Pourquoi pas après tout … elle me déclare être contente de pouvoir compter sur moi.

« Je suis content de te sortir de ce merdier. »

J’espère bien insister sur le fait que cela soit elle que j’aide et pas son organisation de merde. Celle qui a foutu notre mariage en l’air. Elle observe l’écran en silence. Elle commence par le surnom qu’elle m’a toujours donné avant de se reprendre avec une voix douce mais distante pour me dire qu’elle a besoin de trois caisses pour ce soir. Cela fait longtemps qu’elle n’a pas mis son nez dans les commandes d’alcool qu’elle ne s’y retrouve pas. Selon elle, elle aurait besoin de gouter ou de me faire confiance.

« Pour toi cela sera toujours Tommy … Rosie … »

Ma gorge se serre légèrement et j’évite de lui faire entendre que j’ai des trémolos dans la gorge.

« Je peux te fournir ça sans aucun souci avec une quatrième en guise de dégustation pour que les clients goutent le dernier né. Sais-tu lequel est le plus consommé là-bas ? »

Par là-bas, je parle du Lipstick mais je ne veux pas le dénigrer devant elle. Je me relève pour aller chercher une bouteille posée sur l’armoire en face de nous. J’attrape deux verres, les pose sur un micro comptoir de marbre noir et débouchonne le contenant pour verser la nouvelle création. Il est plus sec et plus fruité qu’un bourbon. Les effluves qu’il dégage sont celles de vanille, mûres et caramel avec des notes boisées. Je le trouve assez envoutant et espère qu’il pourrait plaire à une certaine catégorie sans qu’on me catalogue de macho. Je pose mon regard sur elle et la dévore des prunelles en revenant vers elle. Elle anticipe une pensée alors que je lui tends un verre.

« Rye whiskey ! Le dernier né dont je t’ai parlé et dont j’aimerais connaitre ton avis dessus. »

Je rapproche mon verre de celui qu’elle vient de prendre et les fait discrètement tinter.

« A ta beauté ! »

Je me refais romantique avec elle, je suis pris entre deux feux car le personnel vient de refaire surface sur le professionnel d’un seul et unique coup. Mon cœur se met à battre des plus rapidement, mon estomac se noue et mes lèvres deviennent sèches. Je m’assieds à nouveau à ses côtés tout en ne cessant de la regarder et porte finalement mon breuvage à mes lèvres pour en laper une légère gorgée.
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MessageSujet: Re: A pleasant or unpleasant visit ? -Rosie-   A pleasant or unpleasant visit ? -Rosie- EmptyDim 20 Nov - 3:00

A pleasant or unpleasant visit?

Il était complexe de faire abstraction de notre passé. Et quand je posais les yeux sur Tommy, je sentais mon cœur faire un tour sur lui-même, ma respiration devenir plus courte. Comment ne pas tomber sous le charme de cet homme? Même après les écueils de notre divorce, je le trouvais beau, séduisant. Par fierté, peut-être, je tentais de rester de marbre. Quand il se disait être mon superman j’eus un sourire un peu mal à l’aise. Malheureusement, Thomas Colton Sutherland n’était plus mon superhéros. Avais-je même un superhéros dans ma vie, à part moi-même?

Restait-il que je comprenais qu’il allait me venir en aide et je poussais un soupir de soulagement, les mains sur la taille. Il me sauvait du pétrin. Il me donnait des choix et les notions que j’avais apprises après toutes ces années à ses côtés me semblaient lointaines. Pourtant, je faisais un choix.

« Single malt, assurément. »

Cette confiance semblait sortir de nulle part, mais allait de pair avec ce que je tentais de dégager. Je voulais avoir l’air forte, lui montrer la professionnelle que j’étais devenue. Celle qu’il n’avait pas voulu que je devienne quand j’étais avec lui. Désormais assise sur le canapé, je tentais de ne pas le toucher, même d’un effleurement. Je sentais qu’il me serait facile de flancher.

« Merci. »

Il se disait être content de m’aider et je pouvais sentir sa sincérité. Je calais une mèche derrière mon oreille pour tenter d’occuper mes mains. Pourquoi me sentais-je si nerveuse? Ma volonté faiblissait quand je le voyais et je luttais contre l’envie de le supplier de me tenir dans ses bras. Il me faisait ses suggestions, puis m’assurait que je pouvais continuer de l’appeler par ce surnom que je lui avais toujours donné, en utilisant le mien par-dessus le marché.

« Tommy… »

Je sentais ma lèvre inférieure trembloter en prononçant de nouveau son surnom. Mon estomac vrillait, se tordait pendant que ma tête me hurlait de rester forte. Céder ne nous apporterait que du malheur à tous les deux. Il me posait une question et je sautais sur l’occasion pour occuper mon esprit.

« Du bourbon, surtout. Du Scotch Whisky Single Malt également. Syrus… Mon patron, je veux dire, aime beaucoup la dernière option. »

Pourquoi me sentais-je si mal de parler de Syrus devant lui? Peut-être parce que ma tête me projetait en rafale des images de Syrus et moi dans son bureau? Je savais que Tommy le détestait. Il devait lui mettre un peu la faute sur le dos. Après tout, c’est Syrus qui m’avait encouragé à emprunter le chemin plus officiel des Templiers. Que dirait mon ex-mari s’il savait que j’étais désormais un Chevalier de l’Ordre? J’observais Tommy verser le liquide dans les verres et je ne pouvais m’empêcher de le trouver sexy, la tête penchée sur ce qu’il était en train de faire. Je devais me ressaisir. Il me présentait son produit en revenant vers moi et j’attrapais le verre en frôlant malencontreusement sa main. J’émettais un petit rire gêné et reportais mon attention sur son produit dont j’observais la couleur. Il tintait son verre sur le mien et je prenais une gorgée que je gardais un moment en bouche pour révéler les arômes variés. J’étais un peu déboussolée par son toast qui était plus que flatteur, mais me concentrait sur le produit.

« Vanille. »

Je réfléchissais encore en prenant une autre petite gorgée.

« C’est très boisé… Masculin… Mais tu sais que j’aime ce genre de goût. »

Les cocktails sucrés avec un petit parasol et une cerise au marasquin, très peu pour moi. Je buvais comme mon père buvait. Simplicité, richesse.

« C’est très bon, je vais me faire un plaisir de faire découvrir à la clientèle du Lipstick. »

Je déposais la main qui tenait le verre sur ma cuisse et l’autre se posait sur le canapé… En fait c’est ce que je pensais, sauf que je prenais vite conscience que ma main avait touché sa cuisse.

« Oh pardon… je ne voulais pas… »

Je camouflais mon malaise en buvant dans mon verre. Une petite pause pour reprendre en le regardant dans les yeux, un petit air taquin qui y brillait.

« Je ne t’ai pas souvent vu porter des jeans en travaillant… C’est la crise de la quarantaine qui te fait te relâcher? »

Il était aussi beau en jeans qu’en complet, il n’y avait pas de doute. Mais je n’allais pas manquer un moment pour le taquiner. Sauf que plus je fixais ses iris bleus… avec cette petite tache marron dans l’un d’eux… plus je me sentais flancher. C’était mal.
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MessageSujet: Re: A pleasant or unpleasant visit ? -Rosie-   A pleasant or unpleasant visit ? -Rosie- EmptyMar 31 Jan - 19:33

La situation est complexe, notre relation l’est encore plus … comment ce connard a-t-il osé lui demander de venir ici pour accomplir ses basses besognes ? Ne vaut-elle pas mieux que cela ? Je le hais autant que j’aime Rosie et c’est peut dire car de notre divorce, je n’en voulais pas. Je dois me contrôler, je sens que mon cœur s’emballe, que mon souffle se fait plus court. Mes traits se sont fermés, je dois me montrer fier mais professionnel. Il faut que je me fasse une raison, elle n’est pas là pour moi. Je lui propose des choix afin de lui apporter mon aide. Honnêtement, je ne pensais pas que mon ex choisirait le single malt qui est légèrement moins connu que le bourbon qui est typiquement américain et dieu sait à quel point nous aimons mettre en avant ce qui concerne notre pays.

« Je t’en mets de côté. »

Je pianote légèrement sur mon pc pour lui mettre quelques bouteilles de côté. On regardera les quantités après, contentons-nous de faire une sélection dans un premier temps. Nous sommes assis juste à côté l’un de l’autre, je rive mon regard sur mon écran pour ne pas flancher en enlaçant ses doigts avec les miens, en laissant mes lèvres se souder avec les siennes. Elle me remercie de l’aider et pour toute réponse, j’étire un petit sourire. Merde, j’ai remarqué son petit geste, sa mèche qu’elle vient de replacer derrière son oreille. Je suis entrain de fondre, de revenir faible … j’ai envie de la prendre dans mes bras, de l’embrasser, de passer ma main dans ses cheveux et de lui dire en espagnol que je l’aime comme un fou. Je lui signifie qu’elle peut toujours me nommer par le surnom qu’elle seule m’a toujours donné, ce qu’elle fait directement. Que c’est bon au point d’en frissonner … j’ai l’impression de revivre d’un coup. Une parole suffit pour tout gâcher. Enfin non le prénom d’une personne mais putain qu’il aille se faire foutre lui ! C’est de sa faute si Roselyn et moi avons divorcé.

« Nous disons donc Single Malt, Scotch et Bourbon … ce qui nous fait trois sortes … »

Je jette un regard rapide à celle qui est devenue réalisatrice de film porno avant de reprendre :

« Un carton faisant six bouteilles cela vous ferait dix-huit si cela te va mais on peut augmenter le nombre de carton si tu le souhaites. »

Je ne préfère pas mettre la barre très haut tout de suite. Je n’ai pas relevé non plus sur l’autre connard, ce mec étant le diable incarné à mes yeux. Je préfère me lever et verser un verre du nouveau produit pour le lui faire gouter. Nos mains se frôlent et une décharge électrique se fait automatiquement, la vitesse de mon palpitant enclenche la vitesse supérieure, elle est si belle … je fais tinter nos verres avec un léger sourire avant de porter mon regard sur le breuvage, de le lui décrire comme je sais le faire avec passion. Elle trouve rapidement l’une des saveurs et continue de le détailler comme une pro. Est-ce un clin d’œil à ses gout personnel ? Peut-être …

« Tu as tout deviné comme une professionnelle ! »

Je ne me moque pas d’elle au contraire même.

« Je te remercie. C’est le plus beau compliment que l’on m’ait fait sur mon travail. »

Une fois de plus, je suis sincère.

« J’espère qu’ils aimeront. Pourras-tu me faire un retour des clients aussi s’il te plait ? »

Histoire de voir si le business serait rentable. Je sens sa main venir sur ma cuisse, elle s’excuse rapidement, gênée par la situation. Etat dans lequel, elle ne devrait pas être vu ce qu’elle a déjà pu voir. Ce n’est pas comme si nous n’avions pas été intimes durant de longues années.

« Ne t’inquiète pas c’est pas grave. »

Je la cherche et la séduit clairement désormais. Il semblerait qu’elle aussi soit dans la séduction vu le regard qu’elle me lance. Il est vrai qu’elle ne m’a presque jamais vu travailler en jeans et elle me demande si c’est de la faute de la crise de la quarantaine que je porte ce genre de pantalon. Cela me fait rire mais je la sens sincère.


« C’est vrai que c’est assez nouveau. On m’a dit que cela me donnait un côté patron cool mais aussi que cela m’allait bien. »

Sans m’en rendre compte j’ai rapproché mon visage du sien pour l’embrasser. Je suis amusé par la fin de ma phrase et je ne veux absolument pas qu’elle sache de qui cela vient car l’instant est trop beau.

« Est-ce que cela te plait à toi ? »

Lui demandais-je avant de laisser frôler nos lèvres une première fois et d’entrer en contact avec les siennes. Instinctivement mon bras vient s’enrouler autour de sa taille pour l’attirer au-dessus de moi. Elle peut venir se placer à califourchon pour qu’on continue à s’embrasser comme ce n’est pas permis.

« Vient sur moi … »

L’implorais-je à bout de souffle et déjà en manque de ses baisers. Je sais que ce que je fais est mal mais n’en avons pas tous les deux envie là tout de suite ? Serait-ce moi le diable ? Un démon de la luxure oui mais pour notre bien à tous les deux.
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MessageSujet: Re: A pleasant or unpleasant visit ? -Rosie-   A pleasant or unpleasant visit ? -Rosie- EmptyDim 5 Fév - 18:30

A pleasant or unpleasant visit?

J’avais l’impression de marcher sur des œufs. Mon côté professionnel venait me sauver la peau, me permettant de rester en maîtrise de mes émotions devant mon ex-mari. Pourtant, j’étais tiraillée par mon retour dans cette demeure, par la présence de cet homme qui faisait chavirer mon cœur autant qu’il générait de colère dans tout mon être. Il avait voulu faire de moi une femme-trophée. Il voulait réussir, au détriment de mes propres ambitions. Il n’avait pas accepté mes choix. Et malgré cela, je me retrouvais devant lui à admirer sa prestance, sa beauté, sa tendresse. Étais-je si faible?

Je passais commande comme s’il s’agissait d’un fournisseur habituel. Je connaissais la qualité des produits distillés ici. Aucun doute que la clientèle apprécierait, Syrus aussi. Mais quand j’évoquais ce nom, le malaise était palpable. Il était difficile pour moi de ne pas imaginer la rancœur de Tommy à l’égard du Grand Maître. Je m’étais élevée aux côtés de Syrus… Et bien que je n’avais jamais trompé mon ex-mari quand nous étions ensemble, je peinais à parler de Syrus devant lui quand je savais ce que nous faisions ensemble désormais. S’il savait comment j’avais changé, combien j’étais émancipée! Sauf qu’une partie de moi se disait qu’il ne serait pas ravi pour moi. Préoccupée par toutes ces pensées qui entraient en collision dans mon cerveau, je me contentais d’accepter les dix-huit bouteilles.

« Dix-huit bouteilles seront amplement suffisantes. Merci, Tommy. »

Je lui offrais un sourire sincère, faiblissant seconde après seconde. Il me faisait goûter son produit et je décelais les différentes nuances comme je l’avais fait de nombreuses fois quand nous étions ensemble. Il me complimentait sur ma précision, prétendant que j’avais fait cela comme une professionnelle. J’émettais un petit rire gêné en agitant la main dans les airs. J’étais loin de m’y connaître au point d’être une pro. Quel vilain flatteur! À mon compliment, il répondait sincèrement et je baissais la tête pour éviter de lui montrer que ses mots me touchaient. De quel droit osait-il user pour mettre mon cœur à si rude épreuve?

« Bien sûr, je te tiendrai au courant du succès de tes produits avec plaisir. J’ai très peu de doute sur leur succès, nos clients adorent le scotch et le bourbon. »

Et Syrus aussi. Mais j’omettais volontairement ce détail. Je pensais rapidement que je préfèrerais que les produits de Tommy n’aient pas la cote au Lipstick, car je craignais devoir assurer les affaires avec lui par la suite. Et mon cœur n’avait jamais guéri de notre relation. L’entaille était profonde. Je touchais accidentellement sa cuisse et je me confondais en excuses. J’aurais voulu disparaître entre les coussins du canapé.

Mon regard s’était perdu sur lui, je sentais que ma volonté s’était envolée loin, très loin. Impossible de la récupérer. Tommy ne faisait rien pour m’aider à garder mon sang-froid. Loin d’être mal à l’aise du malencontreux contact, il était désormais si près de moi que son souffle chatouillait mon épiderme. Je tentais une diversion en parlant de ses jeans, mais j’avais l’impression que j’étais une cause perdue. Son commentaire me faisait rire, mais sa question qui suivait me faisait déglutir de travers. Il n’y avait plus d’échappatoire.

« Oui. Oui ça me plaît… Mais tu sais combien j’aime un homme en costume… »

Le nombre de fois où nous avions été en retard parce que je lui avais sauté dessus parce qu’il était habillé pour un rendez-vous d’affaires! J’avais froissé ses chemises et j’avais espéré que personne ne remarquerait… Ou que quelqu’un remarque, en fait.

Ses lèvres frôlaient les miennes et je me sentais tressaillir. Mon corps répondait même si ma tête me hurlait de sortir de son bureau. J’envoyais promener Syrus dans ma tête. M’envoyer ici était une idée merdique. Le coup de grâce fut son bras entourant ma taille. Je m’étais sentie fondre à ce simple contact. Il connaissait trop bien mon corps. J’étais vaincue. Je répondais à son baiser en poussant une faible plainte. Mes mains osaient le toucher. Son torse d’abord, puis ses épaules. Je frissonnais déjà et cela me mettait en colère contre moi-même. Allons, Rosie, tu es plus forte que cela! Ton Tesoro te comble déjà. Sans compter Syrus, Jahad...

Sauf que je n’arrivais pas à me détacher de ses lèvres. J’inspirais et son odeur me plongeait dans une fièvre et un désir puissant. Tommy avait lui-même le souffle court, je pouvais presque toucher la fébrilité entre nous. Il voulait que je m’installe sur lui et j’hésitais un moment avant d’obéir. À califourchon sur ses cuisses, je le fixais un moment, silencieuse. Ma main caressait son cou alors que je faisais un effort herculéen pour ne pas onduler mon bassin.

« Je devrais partir, Tommy… »

Pourtant je ne bougeais pas. Il était si beau, mon cœur battait toujours pour lui et mon corps implorait le sien pour obtenir satisfaction. Mes doigts trituraient doucement sa chemise alors que je me penchais pour retrouver ses lèvres, mordillant sa lèvre inférieure au passage.
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MessageSujet: Re: A pleasant or unpleasant visit ? -Rosie-   A pleasant or unpleasant visit ? -Rosie- EmptyDim 5 Mar - 16:31

Nous nous trouvons dans une drôle de situation. Il est certain qu’aucun de nous deux ne l’aurait souhaité si on nous l’avait demandé, si on avait eu le choix mais ce dernier ne s’est pas présenté. Il faut faire avec et rester professionnel. Comment faire car, il est clair que nous marchons tous deux sur des œufs. Rosy est toujours aussi belle et désirable mais, elle n’est plus mon épouse. Une femme merveilleuse qui a été un atout certain lors de négociation même si les autres ne l’ont pas touché lors de notre union. Aujourd’hui tout cela a bien changé, Roselyne est devenue une célèbre réalisatrice de film porno et même si elle n’est jamais apparue dans un tournage, elle est reconnue et possède de nombreux fans. Je suis fier d’avoir été son mari et jaloux car je ne peux plus la toucher comme je le souhaiterais.

La commande est presque passée et il est souhaité que la nouveauté soit appréciée à sa juste valeur. Je me refroidis rapidement, le prénom interdit vient d’être prononcé alors que je ne voulais pas l’entendre. Je savais que cela me contrarierait et que je me fermerais comme une huitre. Elle me ramène comme par magie à la réalité, je peux cliquer pour finaliser le panier pour le club qu’elle représente.

« De rien, c’est naturel de t’aider … »

Dis-je machinalement en lançant l’impression de la facture et du détail. Elle va pouvoir voir que je ne cherche pas à l’arnaquer. L’idée de le faire ne serait pas pour me déplaire, cela ne prendrait pas avec Rosy qui connait la combine aussi bien que moi. Elle commente mon dernier né le détail telle une professionnelle, ce que j’hésite à remarquer. Elle rit gênée de ce que je viens de lui dire alors que c’est vrai et qu’il est rare qu’une personne arrive à si bien détailler un nouveau produit : un non-professionnel cela s’entend, un nez aurait aussi bien réussi mais la réalisatrice a su sublimer la chose. Elle est d’accord et me donnera des nouvelles du produit et rajoute qu’elle a peu de doute sur le succès des produits.

« Je te remercie … »

Cette fois, c’est moi qui suis touché, je baisse les yeux et souri délicatement. Tout producteur aime savoir que son produit plait. Cela lui donne des ailes pour continuer à développer de la qualité et à étendre sa gamme. J’ai d’autres projets sur papier et dans mon ordinateur mais tout viendra en temps voulu. Je suis partagé entre le bonheur de la revoir et la tristesse de la laisser repartir. Les sentiments pour sa personne sont présents, mon cœur n’a jamais guéri et ne le fera sans doute jamais. J’ai beau me taper des gamines pour me sentir vivat, c’est de Rosy dont, je suis toujours amoureux. L’accident de la cuisse touchée n’a rien fait pour me sortir de cet inconfort dans le lequel nous nous sommes glissés. Je lui réponds à propos des jeans et chercher à savoir si cela lui plait à elle aussi. Elle aime mais, elle préfère les hommes en costumes. Je sais qu’il s’agit de l’une de ses faiblesses.

« Je m’en souviens très bien oui. Je n’ai pas oublié le nombre de fois où nous sommes arrivés en retard car nous avons fait l’amour après que l’on se soit préparé. »

Je dois avoir les yeux qui pétillent car cela toujours été passionné avec elle. Nos ébats sexuels ont été bien plus que sulfureux. Je lui appartenais et elle n’hésitait pas à le faire remarquer en laissant mes chemises froissées ou en les portant le matin même pour recevoir de la visite. Une chance inouïe qu’elle réponde au baiser que je lui offre et qu’elle accepte l’invitation après hésitation à venir se placer sur moi. Une plainte de sa part se laisse entendre, un soupir de la mienne car elle se met à toucher mon torse et mes épaules. Nous sommes en osmose, je me permets d’enrouler mes bras autour de son dos pour ne pas qu’elle s’enfuit. Au diable la colère, la rancœur et l’envie de vengeance envers Syrus. Il est l’homme qui a envoyé mon ange me retrouver et je ne compte pas la lâcher. Ma main gauche est venue sur l’arrière de sa nuque alors que nos langues continuent de valser en toute liberté.

Elle m’annonce qu’elle devrait partir mais ne le fait pas. Un sentiment de tristesse m’envahit mais disparait très vite car elle se met à jouer avec ma chemise, mes mains glissent le long de son dos pour retrouver ses fesses comme à chaque fois que nous cherchions à nous séduire. J’agrippe fermement son popotin et me mets à grogner de plaisir en la sentant mordiller ma lèvre inférieure.

« Tu es si belle … »

Et je n’en reste pas là évidemment car il serait cruel pour nous deux qu’elle s’en aille.

« Quédate por favor, mi corazón ! » ( reste s’il te plait mon cœur)

Le lui dire en espagnol m’a manqué car elle est la seule avec qui je pratique cette langue. Mes mains l’invite à onduler alors que je me sens excité et que j’ai envie de la dévorer entièrement. J’en profite aussi pour glisser une main sous son bas pour palper ses fesses et sentir sa chaleur.

« Soy todo tuyo ... » ( je suis à toi …)

Une manière de plus de la faire rester avec moi pour que l’on passe un bon moment ensemble. Elle doit sentir la naissance d’une érection qui ne doit qu’à elle d’être soulagée pour retrouver une flamme qui ne s’est jamais éteinte et la raviver de plus belle. Faire l’amour dans mon bureau ne nous a jamais gêné et cette fois ne sera pas étrangère même si nous sommes séparés.
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MessageSujet: Re: A pleasant or unpleasant visit ? -Rosie-   A pleasant or unpleasant visit ? -Rosie- EmptyLun 3 Avr - 2:58

A pleasant or unpleasant visit?

C’était un soulagement de savoir que nous n’allions pas manquer de liqueur pour nos clients ce soir au Lipstick. Bien que j’en voulais un peu à Syrus de m’avoir envoyée à mon ex-mari, je ne pouvais que reconnaître qu’il avait eu raison de la faire, puisque j’avais réussi la transaction. Je devrais transporter les caisses de bouteilles jusqu’à ma voiture, mais j’espérais bien avoir de l’aide une fois de retour au club. Et quelques félicitations de la part de mon patron, je l’espérais.

Malgré la commande terminée, nous nous retrouvions, Tommy et moi, sur le canapé. Je ne partais pas. Pourquoi? J’avais bien des choses à faire. Une section du Lipstick au complet à préparer. Pourtant, nous étions là, à parler de ma préférence pour ses tenues. Je n’avais pas eu à lui rafraîchir la mémoire; Tommy mentionnait nos moments torrides où nous arrivions à peine à sortir de la maison.

Comment ne pas flancher devant un homme aussi séduisant que Thomas Colton Sutherland? En complet? C’était perdu d’avance. J’aimais détacher chaque bouton de chemise, parfois lentement, d’autre fois avec empressement. Parfois, le besoin de voir son corps était trop fort. Ses chemises propres et luxueuses finissaient par atterrir au sol, complètement froissées. Même chose pour mes robes. Il fallait recommencer à se préparer ou porter nos vêtements un peu en désordre. Au fond, cela me plaisait encore plus. Quand je le voyais partir pour un rendez-vous d’affaires avec sa chemise moins lisse qu’à l’habitude, par ma faute. Certains diraient que c’était parce que je le réclamais comme m’appartenant, mais c’était surtout parce qu’il avait préféré être moins bien mis qu’à l’habitude et passer un moment de passion et de tendresse avec moi.

Malgré toutes nos querelles à la fin, notre relation en avait été une d’amour. Le vrai amour. C’était du gâchis. Ce divorce parce que nous n’avions pas les mêmes ambitions, parce que je voulais devenir quelqu’un. J’espérais secrètement qu’il s’en mordait les doigts de me voir ainsi réussir et de resplendir de bonheur parce que j’étais une pro de mon domaine.

Le baiser que nous nous offrions était comme un retour dans le passé. La passion revenait aussi vite que sa main qui se posait contre ma nuque, électrisant mes sens. Ses soupirs m’étourdissaient, le bruit sourd de ses cordes vocales qui vibraient comme un ronronnement profond me donnait des frissons. Il allait même jusqu’à trouver ma langue de la sienne et je me sentais presque fondre sur place. J’étais faible, si faible. Ma volonté semblait s’être volatilisée.

Je tentais malgré tout une évasion, prétextant devoir partir, mais je n’arrivais pas à bouger. Prise d’une vulnérabilité soudaine, j’avais besoin de ses bras, de son corps contre le mien. Sa présence était si familière et rassurante que j’en oubliais à quel point il m’avait empêché de devenir ce que je désirais. Je voulais me noyer dans ses yeux, je voulais que sa bouche parcoure mon corps en entier. Alors que je cédais lâchement, je sentais ma tête me hurler que je faisais une erreur. Je souffrirais ensuite. Parce qu’aucun de nous ne plierait, nous n’allions pas changer. En tous cas, pas pour une partie de jambes en l’air. Nous nous sentons toujours prêts à souffrir plus tard, pour un peu de passion et de réconfort. L’humain n’apprend-il jamais?

Tommy me complimentait et me demandait de rester en utilisant ma propre langue par-dessus le marché. Il jouait très bien de mes émotions. Savait-il à quel point j’aimais quand il parlait espagnol? Son accent fort me faisait rire autant qu’il me séduisait. Ses mains exploraient mes courbes, allant même à passer sous mes vêtements. Mon pantalon de tailleur ne résistait pas à son exploration. Je le toisais, restant tout de même indécise, malgré le désir évident qui m’habitait. Il frottait son entre-jambes contre moi, me faisant clairement sentir la bosse prisonnière de son propre pantalon.

Je restais là un moment sans bouger, mais je finissais par me pencher sur lui et poser mes mains sur sa mâchoire avant de l’embrasser avec beaucoup de passion. Je ne lui laissais pas une seconde pour reprendre son souffle, enfin pas tout de suite. Mon corps dansait contre le sien, je voulais qu’il ne cesse jamais de me toucher. Je jurais en espagnol.

« Joder… Nous faisons peut-être une erreur Tommy. »

Sauf que je venais de prendre ses mains et les glisser sous mon haut en satin. Sa peau était chaude et ses doigts atteignaient rapidement le tissu délicat de mon soutien-gorge. La dentelle délicate qui bougeait sous son toucher caressait mon corps et je soupirais pratiquement de soulagement. Comment se faisait-il que je sois si désireuse de son corps? J’étais sexuellement satisfaite! Mais Tommy avait ce don de me renverser complètement.
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MessageSujet: Re: A pleasant or unpleasant visit ? -Rosie-   A pleasant or unpleasant visit ? -Rosie- EmptyDim 2 Juil - 21:35

Pour une fois ce connard de Syrus a été bénéfique dans ma relation avec Rosie. C’est tout de même grâce à lui et à sa boite de merde qu’elle est présente avec moi. Bon ok, c’est pour une transaction de spiritueux mais tout de même nous sommes entrain de nous parler sans nous bouffer la gueule. La commande est en cours de préparation, il faut dire que tout est fait à la dernière minute et je ne lésine pas sur la protection des produits d’autant plus que cela sera plus que cela transporté en voiture.

Nous nous sommes retrouvés sur le canapé. Elle évoque ses préférences pour mes tenues, nous évoquons légèrement notre passé en nous en amusant. Cela toujours été très torride entre nous et chaque occasion était bonne pour prendre notre pied. Nous étions tellement chauds qu’il nous était difficile de sortir de chez nous. J’avais tout avec Rosie et je l’ai laissée partir, je l’emprisonnais et elle avait des rêves. Depuis notre séparation, elle a réussi à en réaliser pas mal et j’avoue être fier d’elle mais le lui avouer serait donner raison à Syrus et ça, je ne le ferai jamais. Je me souviens qu’elle aimait jouer avec les boutons de mes chemises, tantôt elle était très lente à les défaire pour augmenter le désir et d’autres fois, elle était tellement en feu qu’elle était prête à me les arracher pour me dénuder. J’aimais faire voler ses robes ou les soulever légèrement pour une gourmandise en me trouvant à genoux devant elle. Je ne cacherai jamais que je préférais toujours être moins bien habillé et en retard à mes rendez-vous car nous avions passé un excellent moment très intime avec mon épouse.

Ce divorce est un véritable gâchis, j’ai été con et je le regrette aujourd’hui. Nous étions réellement amoureux, mais il a fallu que je l’enferme dans cette prison dorée. Elle me manque et je le lui prouve en l’embrassant de cette manière. Il est un véritable retour dans le passé, une passion qui renait tel le phoenix. Ma main se place naturellement sur sa nuque, je soupire, ronronne et prend tout mon temps en laissant ma langue aller chercher la sienne. Je la sens vouloir s’échapper en prétextant devoir partir mais j’arrive à la retenir. Je lui parle espagnol pour ce faire. Nous n’avons pas envie de nous quitter tout de suite, nos corps s’attirent comme des aimants, nous sommes des âmes sœurs qu’on le veuille ou non. Je la désire comme je l’ai toujours désirée, elle me fait toujours un effet de malade. J’ai envie de la retrouver, qu’elle me dévore du regard, qu’elle me goute comme si s’était la première fois au risque de souffrir à nouveau car nous savons que nous ne changerons pas d’avis, que nous camperons sur nos positions. J’adore explorer ses courbes, la sentir frissonner sous mes caresses alors que mes paumes frôlent sa peau. Ses fesses me font toujours craquer, je les empoigne plus fermement. Elle plante son regard dans le mien, me toise alors que je lui fais sentir que je commence avoir une érection pour sa personne. Elle se penche sur moi et vient m’embrasser avec passion, je ne reste pas indifférent et pétri ses fesses de plus belle, ma langue joue avec la sienne un acte endiablé, fiévreux. Elle se met à jurer en espagnol alors que nos corps se mouvent dans une parade érotique à souhait.

« No lo quieres? »

Je viens de lui demander si elle n’en a pas envie. Pour réponse, elle amène mes mains sous son haut en satin, je souffle de plaisir en sentant sa poitrine généreuse encore cachée sous son soutien-gorge à la dentelle fine. Cela ne fait plus aucun doute, nous nous désirons mutuellement. Je n’en peux plus, j’ai trop envie d’elle et tout de suite. Je défais son haut et l’envois valdinguer non loin du canapé. Je viens embrasser le haut de ses seins en laissant mes mains venir se placer dans son dos et commencer à jouer avec l’agrafe de son sous-vêtement que je défais en un tour de main. Je laisse les bretelles glisser le long de ses bras et la fait écarter pour le lui ôter définitivement. Sa poitrine est toujours aussi appétissante, ses seins m’ont énormément manqué. Je commence à les embrasser en les prenant en main, je lance des regards à mon ex-épouse alors que je commence à suçoter l’une de ses pointes légèrement dressées. Je souris presque, je délaisse l’un de ses seins pour venir faufiler ma main libre sous son pantalon. Je caresse ses fesses avec une poigne ferme, je veux que son désir augmente à la vitesse de l’éclair.

« Por favor, enderézate ! »

Je souffle sur sa poitrine en lui demandant de se redresser. Une fois qu’elle est sur ses jolis pieds, je m’attelle à défaire son pantalon tout en embrassant son nombril. Elle me dévoile une lingerie encore plus fine, plus sexy que je ne l’aurais pensé. Mon dieu … je vais plus vouloir qu’elle me quitte.

« Giro de vuelta. »

Mes mains sur son bassin accompagnent ma demande, je la fais légèrement pivoter pour avoir ses fesses en face de moi. L’élastique de son bas glisse légèrement, il passe en dessous de son cul que je commence à mordiller. J’alterne les mordillements avec les bisous plus tendre alors que mes mains ont déjà retrouvé ses seins. Je soupire légèrement en la regardant et d’un geste légèrement autoritaire, je la fais revenir sur mes genoux pour de nouveau l’embrasser comme si ma vie en dépendait. Ma langue va de nouveau rechercher la sienne et les caresses reprennent de plus belle. Une main est sur l’un de ses seins alors que l’autre s’aventure entre ses cuisses, je veux la doigter avant de lui donner ce plaisir buccal qui nous plait tant enfin qui nous plaisait car je ne sais pas ce va toujours lui plaire.
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MessageSujet: Re: A pleasant or unpleasant visit ? -Rosie-   A pleasant or unpleasant visit ? -Rosie- EmptyJeu 27 Juil - 4:30

A pleasant or unpleasant visit?

J’avais l’impression que mon corps vibrait de désir. Retrouver cette bouche, toucher les poils courts de sa barbe naissante, deviner les muscles sous ses vêtements et respirer son odeur si familière… C’était comme rentrer à la maison. Il n’avait pas vraiment changé. À part cette paire de jeans qui n’était pas chose habituelle pour lui. Ses mains se promenaient sur mon corps, exploraient ce qui avait déjà été à lui. Parce que je m’étais complètement offerte à lui, exclusivement, sans exception. Il avait été le seul que je désirais pendant si longtemps. Je n’avais eu besoin de personne d’autre. C’était du passé, mais ce dernier nous rattrapait et me foudroyait d’une grande mélancolie, un trop plein de déception… Mêlé au désir et à tout l’amour que je portais à Tommy.

Peut-être cela se traduisait-il dans mon empressement, dans la fébrilité avec laquelle ma langue cherchait la sienne. Je lui disais que nous faisions peut-être une erreur et il me demandait si c’était par manque d’envie. Je ne pensais pas avoir besoin de répondre, il avait des yeux pour voir, ses mains qui se promenaient sur mon corps pouvaient déceler cette tension érotique qui m’habitait. Je le repoussais un peu, afin de le caler dans le canapé pour l’admirer, mes paumes poussant sur ses épaules, comme pour lui laisser le temps d’accumuler un peu de frustration à force de ne pas pouvoir m’embrasser.

« D’après toi? »

Une esquisse de sourire taquin. Il n’était pas idiot. Il me connaissait par cœur après toutes ces années. Je n’étais que désir pour lui, ainsi assise sur ses cuisses. J’avais guidé ses mains sous mon haut pour qu’il puisse découvrir ma poitrine enfermée dans de la lingerie. Il me retirait mon haut avec cet empressement que j’aimais tant. Il avait dans le regard ce feu qui embrasait mes sens. Ses lèvres caressaient la partie découverte de ma poitrine alors qu’il s’affairait à détacher mon soutien-gorge. Mes doigts exploraient sa chevelure et je soupirais encore, complètement happée par les sensations si familières.

Mes seins enfin libérés de leur carcan de douce dentelle, je ne pouvais m’empêcher de pousser un long soupir alors que Tommy s’empressait de poser sa bouche sur l’une des pointes. Mes doigts agrippaient le tissu de sa chemise, tirant un peu dessus comme pour lui montrer combien j’avais hâte de la lui enlever. J’aimais sa voix rauque et grave quand il me demandait de me lever, ce que je faisais avec une grâce calculée. Mon ex-mari ne demandait aucune aide et se chargeait de détacher mon pantalon. Ses baisers sur mon ventre et mon nombril chatouillaient mon épiderme qui se couvrait de chair de poule.

Il me retournait tout en me demandant de le faire et j’obéissais beaucoup sagement, prise dans ce désir qui ne cédait pas sa place jusqu’à ce qu’il soit contenté. Tommy semblait pris d’un appétit soudain pour la peau de mon derrière. Ses dents traçaient des sillons dans la chair, puis sa bouche venait embrasser sans retenue. Il semblait vouloir posséder mon corps entier et me ramenait d’un seul geste sur ses genoux. Je me sentais soudainement comme au moment où nous nous étions rencontrés à l’université. Son intensité me plaisait, sa façon de réclamer ce qu’il désirait également.

Je poussais un gémissement étouffé quand il m’embrassait. L’urgence de ses gestes montrait combien nous avions passé le point de non-retour. Je sentais ses doigts trouver le chemin de mon intimité et je basculais le bassin pour lui donner un meilleur accès. Je l’obligeais à continuer de m’embrasser, une main toujours sur sa mâchoire. Inutile de parler. Il savait comment mon corps aimait son contact et quels gestes il devait poser pour me faire gémir.

Je le repoussais quand même, à contre-cœur.

« Desnudo, Tommy. Je veux voir ton corps. »

Mes doigts erraient sur les boutons de sa chemise, mais je ne les détachais pas. Plutôt, je guidais ses mains sur le vêtement en me mordillant la lèvre. Je voulais le voir se déboutonner lui-même. J’avais envie de le voir s’effeuiller pour moi. Je restais assise sur lui pour le moment, mon regard enflammé rivé sur lui.
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MessageSujet: Re: A pleasant or unpleasant visit ? -Rosie-   A pleasant or unpleasant visit ? -Rosie- EmptyLun 2 Oct - 22:41

Nos bouches se retrouvent naturellement, comme au premier jour lors de notre rencontre à l’université. Nous avons toujours le feu qui nous a animé durant toutes ses années. La toucher, respirer son odeur et la sentir frissonner tout cela a un sens pour moi. Je veux lui prouver que je n’ai pas changé, que je suis toujours celui qu’elle a aimé et qui l’aimé. Le passé nous rattrape à une vitesse fulgurante, un passé que je ne regrette nullement car nous avons été heureux. La déception que j’ai aujourd’hui c’est d’avoir été trop têtu et d’avoir fermé la porte à ce qu’elle trouve un travail. Ce temps est révolu, Rosy a pris son envol et est devenue une femme d’affaire importante.

J’ai posé une question très conne, alors que je sens son corps trembler d’érotisme, que je vois ses yeux me dévorer, elle me frustre en me repoussant dans le canapé et en m’empêchant de l’embrasser. Un sourire s’est dessiné avec sa question répondant à ma bêtise. Je connais la réponse tout comme elle la connait elle aussi. Nous faisons peut-être une erreur mais nous l’assumerons si tel est le cas. Je ne suis que désir pour elle et elle le sait.

« Comme tu en as toujours eu envie ! »

Elle est assise sur mes cuisses et je peux la dénuder, elle me permet de dévoiler une lingerie fine et ses seins parfait. Je me plais à embrasser sa poitrine, ses doigts se faufilent dans mes cheveux me gardant encore plus contre elle. Mes mains sont dans son dos caressant chaque parcelle que je peux de son épiderme en lui tétant le sein. Elle tire sur ma chemise me faisant pousser un long soupir rauque, j’ai envie de ses caresses, de sentir ses lèvres sur mon torse, sur ma virilité sur mes lèvres. Je viens de lui demander de se lever pour profiter de ses fesses, pas besoin de son aide pour défaire son pantalon, c’est une chose très facile pour moi. Je laisse glisser ma barbe sur son ventre et sur son nombril pour la chatouiller et lui donner la chair de poule, chose aisée en soit. Mon ex-épouse est parfaite comme avant et se retourne lorsque je lui demande et je l’y invite par le geste. Rapidement, je veux gouter ses fesses comme autrefois et je ne me fais pas prier pour le faire, j’ai laissé des marques sur ses fesses avant de les adoucir par des baisers. D’un geste assuré, je la ramène sur mes genoux pour l’embrasser avec intensité. Je rêve toujours d’elle la nuit et je cherche toujours sa présence lorsque je suis moins bien. Je me fais dominant avec l’envie de lui démontrer que je la désire réellement. Je cherche son graal d’une main alors que l’autre s’est posée sur l’une de ses deux mamelles. Son bassin vient de basculer pour me laisser un meilleur chemin, sa main sur ma mâchoire me quémande de continuer de l’embrasser, ce que je fais avec un plaisir évident. Nous ne parlons plus, nos corps s’expriment à la place de nos bouches qui sont fusionnées. Sans que je comprenne pourquoi, elle me repousse et l’explication arrive assez vite car elle me demande de me dénuder. Elle joint le geste à la parole en laissant trainer ses doigts sur les boutons de ma chemise sans les détacher, elle se mord la lèvre en guidant mes mains sur mon vêtement, pas besoin de mot pour comprendre ses attentes. En me mordant la lèvre, j’attrape le bouton le plus proche de ma gorge pour le défaire. Je continue le manège pour arriver aux boutons ou je vais devoir bouger afin de ne pas lui faire mal.

« Cariña tienes que moverte para que pueda quitar el resto. »


J’attends d’être certain d’elle ne se prenne pas de coups pour me relever et me placer devant elle, j’esquive un ou deux légers mouvements pour augmenter son désir et tenter de la faire rire vu mon niveau de danse. Les derniers boutons sautent assez vite et elle reçoit ma chemise en guise de cadeau avant que je ne me rapproche d’elle pour qu’elle puisse toucher selon ses envies et la connaissant, elle doit être intense.
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MessageSujet: Re: A pleasant or unpleasant visit ? -Rosie-   A pleasant or unpleasant visit ? -Rosie- EmptyMar 14 Nov - 4:58

A pleasant or unpleasant visit?

Tommy pouvait me faire perdre la raison en un clignement de paupière. Quand je le repoussais et qu’il se mettait à sourire, je sentais immédiatement mon cœur sauter quelques battements. Je le revoyais comme au premier jour. Il n’avait pratiquement pas vieilli. Et les quelques petits changements le rendaient encore plus beau. Malgré mon excitation évidente, je prenais le temps de l’admirer dans les moindres détails.

Mon ex-mari m’encourageait à revenir sur mes jambes. Ses touchers sur mon corps étaient un délice et je ne pouvais m’empêcher de soupirer et de gémir. Il voulait laisser sa marque. Il avait toujours été un bon amant et ce petit côté possessif me faisait encore perdre pied. Pourtant, je ne lui appartenais pas. J’étais maîtresse de mon corps et de mes décisions. J’allais m’en vouloir en rentrant au Lipstick. Où étais cachée la femme indépendante et sûre d’elle?

Mes désirs étaient tout autres avec lui. Je voulais qu’il décide de mon sort, qu’il retrouve ses marques sur mon corps, parce qu’il me connaissait par cœur. Inutile de lui mentionner que les poils de sa barbe naissante sur mon épiderme généraient une cascade de frissons incontrôlables. Il aurait pu me demander de rester ainsi plantée sur mes deux jambes et je n’aurais pas bronché, mais Tommy me ramenait contre lui. Je n’en étais que plus transportée. Il était aussi doux que passionné. Je peinais à penser correctement. Ses lèvres contre les miennes forçaient des soupirs de plus en plus lascifs. J’avais l’impression de ne jamais arriver à satiété.

Les doigts de Tommy se mettaient à défaire les boutons de sa chemise et mes yeux étaient rivés à ce qu’ils faisaient. Même si je connaissais son corps par cœur, l’anticipation était à son comble. Mes doigts suivaient les siens, frôlant la peau découverte sans me gêner. Je retrouvais la chaleur de son épiderme, la texture familière de son grain de peau. Puis il me demandait de lui laisser de l’espace pour qu’il puisse retirer sa chemise. Étonnamment obéissante, je changeais de place et le laissais se placer devant moi. Je me calais dans le canapé pour l’admirer. Ses mouvements n’étaient pas ceux d’un danseur exotique… Et je pouvais parler en connaissance de cause puisque je vivais avec Eljas, mais Tommy avait quelque chose d’aussi excitant. Sa confiance, sa beauté… Le naturel avec lequel il me tirait un rire mêlé au désir. Il n’avait pas besoin d’être un effeuilleur hors pair. Il n’avait qu’à me regarder dans les yeux.

La chemise glissait de son torse et il me la donnait. J’en profitais pour laisser le tissu effleurer la peau de ma poitrine en le fixant du regard. Thomas Sutherland était le plus bel homme de San Diego, à n’en point douter. J’admirais sa silhouette, le désir brûlant mes entrailles. Quand il se rapprochait, il ne me fallut aucune invitation pour que je pose les mains à plat sur son abdomen.

« ¡Madre de dios! »

Lentement, je les laissais glisser, comme si c’était la première fois que je le touchais. Puis j’attrapais la taille de son jean pour le coller encore plus à moi, de façon autoritaire. Je laissais le bouton céder à la volonté de mes doigts et abaissais la fermeture éclair. Toujours assise sur le canapé, j’étais à la bonne hauteur pour découvrir ce que son pantalon me cachait. Il n’y avait pas de surprise, mais il me tardait de l’entendre grogner de plaisir. Aussi, je laissais ma main trouver son érection pour l’extirper du vêtement. J’en avais eu assez des caresses, c’était son tour de subir mes volontés. Ma langue glissait sur son membre érigé et mes doigts frôlaient la chair chaude et tendue. Je levais les yeux vers lui, espérant déceler dans son visage une petite faiblesse ou un plaisir oublié.
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MessageSujet: Re: A pleasant or unpleasant visit ? -Rosie-   A pleasant or unpleasant visit ? -Rosie- EmptyVen 2 Fév - 22:50

Malgré notre divorce, je dois dire que je possède toujours moults sentiments pour Roselyn. Je peux très bien haïr la femme qu’elle est devenue mais je suis toujours attiré par la femme que j’ai connue. Nous avons passé une bonne partie de notre jeunesse ensemble avant de nous unir pour le meilleur et pour le pire. Toutefois à cause de cet enfoiré de Syrus Payne, ce gourou de merde, nous nous sommes séparés.

Le feu sacré ne s’éteint jamais, la preuve en est ces baisers que nous venons d’échanger. Je remets doucement sur ses jambes en la faisant soupirer et gémir. J’essaye de lui faire oublier ce cabaret, cette nouvelle vie qu’elle a adopté pour lui ouvrir les yeux et lui faire remarquer que sa vie avec moi était beaucoup mieux, que je vaux mieux que tous ces connards qui veulent la sauter et qui bavent sur les films qu’elle produit. Je peux lui offrir une vie de rêve et l’associer à mon entreprise si elle le veut mais à condition qu’elle oublie sa carrière dans l’érotisme. Je la trouve toujours aussi belle, aussi désirable. Sa peau m’a manqué, il a fallu que je la ramène contre moi pour de nouveau pouvoir la toucher, l’embrasser, la caresser. Je suis encouragé par ses soupirs qui sont de plus en plus lascifs, érotiques. Les boutons de ma chemise se défont doucement, un par un comme elle me l’a demandé. Elle a accepté d’échanger nos places pour que je puisse me placer devant elle et commencer à bouger comme je le peux. Je ne serai jamais stripteaseur c’est un fait que je dois assumer. En tout cas, je fais rire ma belle mexicaine avec ma maladresse. Je glisse mes iris vers les siennes, j’adore ces flirts avec nos yeux. La voilà avec ma chemise entre les mains et ce qu’elle en fait, elle effleure sa poitrine avec mon tissu en me fixant d’une manière aguicheuse. Je me rapproche de mon ex-épouse qui sans se faire inviter pose ses mains sur mes abdos en jurant. Cela m’arrache un rire franc mais aussi un énorme frisson.

« Tout est à toi ! »

Elle doit s’en douter mais c’est toujours bon de lui rappeler. Elle se fait un peu plus autoritaire en m’attrapant par le jeans et en me rapprochant encore plus d’elle. Sous ses doigts tout saute et s’abaisse rapidement. Me voilà devenir un pantin avec lequel, elle peut s’amuser et je dois dire qu’être à sa merci est plaisant en plus que je n’aurais pu l’imaginer. Rosie connait très bien mon excroissance, elle ne va pas être trop surprise de son ampleur. Le monstre est sorti de sa cachette avec soin et délicatesse avant qu’une langue habille vienne s’aventurer dessus pour rejoindre son sommet avant d’être accompagnée dans l’aventure par des doigts experts dans le plaisir. J’abaisse mon regard et croise le sien qui au contraire se relève alors qu’elle débute une délicieuse fellation et que je me mets à grimacer de plaisir. J’ai toujours été fan de ses gâteries buccales et je retrouve ce plaisir en quelques secondes. Roselyn a toujours réussi à me faire monter en pression uniquement avec sa bouche.

« Me lo perdi ! »

Oui cela m’a réellement manqué ! Je suis honnête en lui avouant !

«¡Sigue siendo tan bueno! »

Oh oui c’est toujours aussi bon ! Je pose mes mains sur l’arrière de son crâne pour le lui prouver et l’inciter à continuer comme elle pourrait l’avoir en tête. Je suis sa chose et je me donne à elle pour cette fois à moins que je ne prenne le contrôle sans réellement le savoir et que les rôles soient inversés au final. Machinalement, je serais celui qui contrôle tout et qui dicte la marche à suivre. Après tout, je m’en fous du rôle tant que nous nous retrouvons au moins pour cette nuit.
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MessageSujet: Re: A pleasant or unpleasant visit ? -Rosie-   A pleasant or unpleasant visit ? -Rosie- EmptyMar 9 Juil - 0:03

C’était durant mes années universitaires que j’avais fait la connaissance de Thomas Sutherland. Déjà à cette époque, ses yeux bleus avec cette tache marron dans l’un de ses iris et son sourire confiant avaient eu tôt fait de me faire chavirer. Il était grand, fort, mais surtout drôle et attentionné. Gentleman aussi. Galant et cultivé. Je voyais en lui quelqu’un qui irait loin dans la vie et qui allait me respecter. J’avais eu raison sur bien des points, il allait sans dire.

Nous faisions partie de la plupart des fêtes. Nous entrions ensemble, j’étais accrochée à son bras, fière de l’accompagner alors qu’il saluait tout le monde avec une chaleur impressionnante. Puis nous nous séparions bien souvent une fois à l’intérieur. Il conversait avec ses amis et moi avec les miens. Je finissais souvent dans un canapé à écouter les malheurs de la vie romantique ou sexuelle de certains convives dans un état avancé d’ivresse.

Nous croisions régulièrement nos regards. On se dévorait des yeux. Je sentais toujours une sensation brûlante dans mon ventre quand il me fixait, le regard gourmand. On continuait notre soirée. Thomas venait frôler mon corps du sien près du frigo à boissons et repartait. C’était un petit jeu qui finissait toujours de la même façon, mais nous adorions cela.

Quand la soirée était bien avancée, je trouvais une pièce vide, à l’étage habituellement, et j’attendais patiemment l’arrivée de Tommy. Parfois, je n’arrivais même pas à refermer la porte qu’il était sur mes talons et me plaquait contre le mur pour m’embrasser avec une passion furieuse et déferlante. D’autres fois, il me faisait languir. Les deux me plaisaient, pour être honnête.

L’excitation d’autrefois semblait me revenir rapidement alors que je redécouvrais le sexe de mon ancien mari. Je reprenais son membre en bouche et dans mes mains comme si nous avions eu des rapports la veille. Je reconnaissais chaque grimace de plaisir, chaque oscillation désireuse de sa verge. J’étais submergée par mes envies de l’entendre grogner de plaisir.

Difficile à croire que nous avions divorcé dans un climat peu cordial. Nous étions là à nous toucher et nous embrasser comme si nous avions oublié tous nos problèmes. Ils étaient pourtant bien réels, mais nous nous imposions une parenthèse, vraisemblablement.

Les mains de Tommy se posaient sur ma tête et il commençait à imprimer des mouvements exprimant sa volonté. Je le laissais prendre possession de mon corps pour faire régner sa volonté. Son membre s’insinuait jusqu’à ma gorge et je tenais bon, gémissant de temps à autre, les yeux humides sous les efforts que je déployais.

Mes ongles traçaient d’infimes lignes sur la peau de ses fesses alors que j’appuyais dessus. Je souhaitais le voir me baiser la bouche avec une plus grande ferveur. Je n’étais pas faible, loin de là. Je voulais qu’il me possède toute entière, encore une fois. Comme un écho du passé.

« Soy todo tuyo, mi dulce. » (Je suis complètement à toi.)

C’était tout ce qu’il fallait pour l’autoriser à se déchaîner. Je le laissais prendre le dessus, décider de ce que nous ferions. Il pouvait faire de moi ce qu’il voulait pour le moment. Il devait en profiter, ça n’arrivait pas très souvent.
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MessageSujet: Re: A pleasant or unpleasant visit ? -Rosie-   A pleasant or unpleasant visit ? -Rosie- EmptyVen 9 Aoû - 23:21

Les années universitaires resteront gravées dans ma mémoire à jamais. Elles sont les meilleures années de ma vie ou ont lancé la meilleure partie de ma vie. C’est en effet durant cette période que j’ai rencontré Roselyn : une bomba latina à la tête bien pleine. Elle avait tout pour me plaire : un regard envoutant, une bouche sensuelle et des courbes bien plus qu’affriolantes. Comme toute fille du sud, elle est dotée d’un sacré caractère et je crois que c’est surtout ce dernier qui m’a fait craquer mais aussi devenir un homme meilleur. Dès que je l’ai vue, j’ai su que nous allions terminer ensemble, que je l’épouserais. Nous faisons pas mal de fêtes ensemble, nous sommes les stars, la reine et le roi. Je sais que pas mal de mecs m’envient, elle est considérée comme étant la plus belle femme du campus loin devant l’une de nos professeurs qui est pourtant une assez belle femme et qui aurait posé pour une célèbre marque de maillot de bain selon les rumeurs. Perso, je m’en moquais, j’avais Rosie à mon bras, dans mes bras. Au début nous jouions au chat à la souris, des petits regards, des sourires, des corps qui se frôlaient près d’un frigo, des regards qui se faisaient des plus gourmands près des chips et autres petits-amuses gueule. Cela se terminait toujours de la même manière, c’est elle qui prenait la poudre d’escampette, trouvait une pièce isolée et je la retrouvais quand je ne la suivais pas directement. La porte était à peine fermée que je fonçais sur elle pour prendre possession de ses lèvres après l’avoir plaquée contre un mur pour encore plus de passion.

Cette flamme, ses attentions que nous avions, il semblerait que nous ne l’avons pas perdue malgré notre divorce. Houleux, immonde à cracher un venin que beaucoup n’aurait jamais cru voir de notre part. J’en voulais terriblement à Rosie de vouloir vivre de ses propres ailes et aujourd’hui encore, je le regrette. Je m’en veux de l’avoir perdue, d’avoir voulu la mettre dans une cage certes dorée mais quand-même. Il est vrai que je n’ai jamais compris cette envie de vouloir travailler alors que je pouvais lui apporter tout ce qu’elle désirait sur un plateau doré, sans me forcer car ma femme comptait plus que tout au monde. Je ressens les sensations que j’ai jadis connu alors qu’elle reprend une douce fellation et de douces caresses avec ses mains. Elle me fait grogner, frissonner de plaisir. Je me laisse aller à imprimer ma volonté, elle en arrive à gémir, tenir bon en ayant mon colosse de chair au fond de sa gorge, je sais qu’elle a les yeux humides mais, je n’en ai cure. Elle fait des efforts, je le reconnais et j’admire cela réellement mais dans un sens, il s’agit d’une douce vengeance car j’ai toujours une certaine rancœur. Celle d’avoir été abandonné pour un autre homme pour ce trou du cul de Syrus … je sais qu’ils sont amants. Je ne peux et ne dois plus rien dire car le divorce a été prononcé mais dans un sens, j’ai la sensation de lui piquer celle pour qui j’ai toujours des sentiments … je récupère celle qui a été à moi. Nous avons découvert un tas de choses ensemble et ça, il ne pourra me le retirer.


En parfaite tigresse, elle me griffe, laisse des rougeurs sur mon cuir pâle car trop caché du soleil. Les échos d’un passé pas si lointain remontent à la surface, je la connais et sais qu’elle le fait de sa propre volonté, que je ne la force pas. Elle me le confirme d’une simple phrase en espagnol comme toujours : notre manière de communiquer lorsque nous voulions nous faire comprendre. C’est elle qui m’avait tout appris de cette langue, son dialecte natal que j’avais perfectionné avec sa famille, avec des voyages dans les pays hispaniques pour le travail universitaire puis professionnel mais pour le plaisir aussi. Je sors mon membre de sa bouche venir en prendre possession avec la mienne en me baissant légèrement.

« Levantarse (Relève-toi) »

Un mur n’est guère loin de nous, je nous y emmène comme un souvenir du passé, tout en l’embrassant goutant ainsi mon propre gout intime. Son dos vient se coller contre le placo alors que j’attrape ses délicieuses fesses pour la soulever légèrement. Naturellement, ses cuisses s’entrouvrent laissant mon gland se coller contre son intimité alors que nous continuons de nous embrasser fiévreusement. Je retrouve ma femme, ferme les yeux pour profiter de cet instant, comme un arrêt dans le temps comme si rien ne s’était passé, comme si nous n’avions pas divorcés ! Je retrouve ma Roselyn, alors que mon membre commence à s’incruster en elle ! Doucement, centimètre par centimètre !

« tu eres la mas hermosa (Tu es la plus belle) »

Une manière comme une autre de lui dire que j’ai toujours des sentiments pour elle sans lui dire la phrase fatidique ! Ma queue commence à coulisser doucement en elle alors que je me promets de la lécher pour l’acte final alors qu’elle va rester avec moi aussi longtemps que nous le souhaiterons.
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