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 After the storm comes the good weather - Reyvin

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Reyna Hazan
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MessageSujet: After the storm comes the good weather - Reyvin   After the storm comes the good weather - Reyvin EmptyLun 30 Oct - 2:29




❝ Reyvin ❞
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After the storm comes the good weather 
   
Tes pensées sont encore embrumées alors que tu es là, debout dans le salon baigné par l’obscurité que la nuit entretien dans le logement de Levin. Tu détailles l’homme profondément endormi, à peine couvert d’un plaid, dans ce canapé confortable de bien des manières mais pas pour y dormir nuit après nuit. Tu as déjà fait cela plusieurs fois depuis votre dispute. Te lever, le sommeil ne venant pas ou s’évaporant brusquement en son absence. Rejoindre la cuisine, y boire quelques gorgées d’eau avant que ton regard ne tombe sur lui, inconscient. Ton regard se fige comme souvent, face à sa beauté, à son aura, à lui tout simplement sans artifice. Tu as conscience que les jours passant ne lui sont pas agréables, tu lui as pourtant proposé de partir. Il a refusé. Pourtant, tu vois parfaitement les répercussions qu’ont les nuits qu’il passe dans ce canapé à son réveil le matin. Les tensions dans sa colonne vertébrale, la contracture de ces jambes verrouillées qui peine à se remettre en état de marche, la raideur de ces épaules, la rigidité de sa nuque. Tu as été danseuse durant des années et ce genre de détails se remarquent à des kilomètres pour toi dans une posture.


Plusieurs jours se sont passés depuis cette soirée chaotique où tes sentiments pour lui t’ont véritablement fait péter les plombs. Cette soirée, où tu as appris qu’il avait été marié, que sa voiture a volée en éclat, que tu as appris que son ex-femme était en réalité une couverture afin qu’il soit protégé, et que tes envies te conduisent à vouloir la taillader en pièces. Tu avais beaucoup bu ce soir-là, mais pas assez pour ne pas te rappeler la souffrance que tout cela t’a engendrée, ni avec quelle obscurité tes instincts voulaient s’en prémunir. Au départ de Zélie, tu as écouté les mots de Levin à son égard. Tu as observé sa manière de la toucher, de s’inquiéter pour elle, de vouloir s’excuser pour toi. La façon dont ses lèvres se sont posées sur elle, pour la consoler d’une certaine manière. Et la boule dans ta gorge s’est intensifiée. Tu n’étais absolument pas désolée, non. La seule raison qui expliquer qu’elle respirait encore, était le fait que c’était le corps de Levin qui t’avait arrêté. Sa main qui avait enveloppé la tienne, sa bouche qui t’avait susurré de t’arrêter. Ce soir-là, tu aurais pu tuer, et tu n’aurais rien regretté. Lorsqu’elle a franchi finalement la porte, tu te souviens avoir fini ton verre d’une traite. Tu as vu dans les magnifiques prunelles épuisées de l’homme dont tu es tombée amoureuse qu’il désirait que vous parliez mais tu n’as pas pu. Alors tu es partie dans la chambre, tu t’es déshabillé et tu as fais semblant de dormir pour éviter les questions, les discours, et la moralité. Contrairement à ce qu’il doit penser, tu n’as pas dormi ce soir-là. Tu as passé ta nuit à évacuer ta colère au travers de larmes. Le lendemain matin, tu l’as entendu se préparer mais là aussi, tu as fait en sorte qu’il croit que tu n’étais pas éveillée. A quoi bon ?


Depuis tu passes ton temps à l’éviter, à le fuir. Te murant dans un silence qui te ressemble peu au fond mais… qui est nécessaire. Tu l’aimes, tu pourrais démentir de milles et une façon mais au fond de toi, tu reconnais les signes. Et tu es en colère. En colère contre toi, d’être comme tu es, impulsive, violente, peu sure de toi, extrême. Contre elle. De t’avoir montré sous ce jour là à ces yeux, de t’avoir manqué de respect, de t’avoir ridiculisé d’une certaine manière. Contre lui. De t’avoir séduite et de t’avoir fait baisser l’armure. C’est à tout cela que tu penses la nuit… Tu t’apprêtes à retourner dans la chambre, ne sachant pas réellement combien de temps il te faudra pour apaiser ta folie. Puis dans ton dos, il y a sa voix qui raisonne, tu le crois réveillé sur l’instant mais un coup d’œil t’indiquera que non. Il murmure ton prénom, ces traits se froncent, il semble cauchemarder, il t’appelle et tu restes immobile. Quelque chose au fond, te dit que ça va lui passer et soudainement ses appels deviennent des suppliques et tu approches, c’est plus fort que toi. Ta main se dépose sur sa joue, effleure doucement sa peau, tu respires doucement mimant un « chut » délicat alors que tes lèvres se dépose contre son front, alors qu’il se calme. Son rêve semble s’éloigner mais pourtant tu resteras à ces côtés. Son parfum, sa chaleur, cette absence de façade lorsqu’il est juste lui… C’est là que tu resteras finalement pour terminer ta nuit-là, à même le sol.


Le jour se lève dans le luxueux appartement de Levin. Tu as pris possession de la cuisine, et tu as pris soin de lui offrir un vrai petit déjeuné. Café, thé, oranges pressées, muffins et même des pancakes qui ne seront probablement pas aussi bons que les siens. Tu lui dois bien ça… Sur un plateau tu déposes un peu de tout et l’amène lentement jusqu’à la table basse prêt du canapé. Son réveil sonne, pile dans les temps et lorsqu’il s’éveille, tu es là. Pas le temps de te changer, alors tu portes toujours ta nuisette. Agenouillée sur le sol, ton regard pénétrant le sien, tu laisses le silence nécessaire à son réveil avant de susurrer un petit :


- Salut.


Ok, il doit s’attendre à un peu plus depuis tout ce temps d’attente mais… pour la première fois depuis des jours, tu es prête à discuter s’il le souhaite.


- Tu as faim ? Je t'ai préparé un peu de tout...



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Levin Duvanel
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MessageSujet: Re: After the storm comes the good weather - Reyvin   After the storm comes the good weather - Reyvin EmptyVen 3 Nov - 13:37

**UN MATIN**

Je n’aime pas les tensions, la violence et les affrontements. Et encore moins quand ça touche Reyna. L’autre soir j’ai pu contempler sa face sombre et la dispute avec Zélie. Et ça m’inquiète car si je connais le professionnalisme de la jeune femme, je redoute qu’elle décide d’abandonner la sécurité de Reyna en représailles. D’ailleurs si à ce jour Reyna n’a pas été inquiétée par Kyrilo depuis un long moment, c’est aussi grâce au travail de cette femme… Et je redoute un peu la suite. Je décide sans doute pour cette raison de poser quelques jours de repos. Peut-être que je n’ai pas envie de la laisser seule et de réaliser qu’un soir en rentrant, elle sera partie. Elle se renferme derrière son mutisme depuis quelques jours. Moi je suis littéralement incapable de la réconforter. Niveau sentiments je suis un véritable touriste. J’ai jamais ressenti ce que je ressens. J’ai envie de faire et j’ai tellement peur de tout casser. La nuit je regarde vers la chambre et de mon canapé je soupire à l’envie d’aller me glisser près d’elle. Je ne prononcerai alors pas un mot et je viendrai simplement me lover contre son corps et me tenir contre elle. Heureusement j’ai pu, au plus fort de sa crise de rage, intervenir et la ramener à la raison. Je réalise a peine le bordel qui doit se passer dans sa tête. Et le pire c’est que je suis là à lui laisser de l’espace et rester présent sans être vraiment là alors que je crève à chaque instant de juste m’approcher et ressentir la chaleur de son corps, respirer l’odeur de ses cheveux, ressentir le velouté gracieux de son grain de peau sous mes doigts… Elle va mieux physiquement et moralement, j’ai l’impression qu’elle est dans la tempête et tout ce que je peux faire c’est me tenir comme un phare et attendre en lui éclairant le chemin vers moi mais sans assurance qu’elle viendra à moi…

Cette nuit encore je me suis retrouvé sur mon canapé et je me félicite d’avoir choisi un truc de très grand confort même si je vais probablement investir sur un truc qui se convertit en lit king size des enfers avec un matelas d’eau histoire que je passe de meilleures nuits… Non en fait mon lit est super et ça me fait chier ! J’en ai marre d’attendre. Je la veux. Je veux dormir dans mon lit avec elle. Je me lève et marche vers la porte et devant elle, je me fige. Ma main se retient d’agripper la poignée et je reste là. Pantelant et silencieux, je me ravise finalement et retourne m’étendre. Au matin je l’entends tourner et réalise qu’elle est dans la cuisine à bouger des choses. Odeur de café… Okay elle n’est pas en train de fuir. De toute manière si elle s’enfuie aucune chance que je l’entende. Rassuré je me remet à somnoler quand j’ouvre les yeux et tourne la tête. Dans la lumière du jour qui se lève, je la trouve à genoux près de moi en nuisette. Je me prépare à me pincer très fort pour vérifier que je suis bien réveillé parce que j’en ai fait beaucoup des rêves où elle venait me rejoindre sur le canapé. Elle me dit salut et me demande si j’ai faim car elle a préparé de tout. Je hoche la tête et doucement, je tends la main vers le jus d’orange. Je prends une rapidement gorgée et passe ma langue sur mes dents rapidement avant de poser le verre et de saisir l’arrière de sa tête pour lui donner un baiser fiévreux et passionné. Enfin elle brise le mutisme et moi ? Et bien j’ai simplement besoin de… La sentir. De la sentir vivante contre moi. Je l’agrippe et l’attire sur moi. Je ne lui laisse pas le choix et je la couche sur moi avant de pivoter et de la coincer entre le dossier du canapé et mon corps. Je quitte sa bouche et glisse contre elle enserrant sa taille de mes bras et posant ma tête contre sa poitrine en soupirant de plaisir et d’aise. Je suis bien là. J’avais tellement besoin de ça. Je reste contre elle quelques minutes à juste savourer son corps contre le mien, sa chaleur et son parfum.

« Juste… Quelques secondes… S’il te plait. »

Je veux juste rester un moment contre elle, on peut parler, mais avant toute chose j’ai besoin de juste sentir son corps épouser le mien et retrouver juste sa présence contre moi et pas comme un avatar diffus qu’on agiterait devant moi comme le toréador excite l’auroch avec son bout de tissus.
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MessageSujet: Re: After the storm comes the good weather - Reyvin   After the storm comes the good weather - Reyvin EmptyDim 5 Nov - 2:29





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Ce n’est pas toi le mutisme. De manière générale, tes émotions s’extériorisent de façon brutale. Tu es une femme impulsive, volcanique. La colère qui transpire dans ton corps a besoin de s’échapper et quelque puisse en être l’endroit, ou l’entourage présent. Quand tu es triste, le principe est le même tu détruis, élimine et fracasse toute chose à ta portée. Le bonheur, s’il a été éphémère, fugace tout au long de ta vie, n’en ai pas resté pour le moins expressif. Tu vis la passion sans barrières, sans limite. Quand tu aimes ce n’est jamais dans la demi-mesure, toujours dans la dévotion, dans un déchainement d’intensité. Tu es une tornade, et personne ne t’a jamais arrêtée quelque soit ton état. Pourtant… Lui, l’a fait.


Tu ne sais pas comment gérer ce que cet homme-là, face à toi t’appelant dans son sommeil, fait jaillir en toi. Après ta dernière histoire, tu t’étais pourtant promis que jamais plus aucun homme n’aurait de pouvoir sur toi. Jamais plus personne ne te ferait autant de mal. Et puis, il est arrivé lui. Lui et sa foutue arrogance, sa façon d’être aussi convaincu de son potentiel. Cette attitude séductrice qu’il a de vous faire comprendre qu’il est le maître du jeu, qu’il décide et le monde lui obéit. Face à lui tu t’es retrouvée la proie, là où tu pensais être la prédatrice. Cette habilité à la traque, cette intelligence à la stratégie, cette malice dans son regard, cette intensité dans son âme. Rien ne te préparer à affronter la ténacité de cet homme. Ni à l’affection qu’il éveillerait chez toi à son égard. En perdant Odessa, quelque chose à changer. Tu as tout perdu oui, de ton empire à ton corps… En saluant la mort de prêt. Tu n’oublieras jamais le regard qu’il a posé sur toi en te trouvant étendue dans le lit de Tom. Ce regard oubliant sa férocité, cette allure de requin qu’il affiche à qui veut le voir, pour finalement dévoiler du doute, de la crainte. Est-ce qu’il avait peur ? Oui, tu en es certaine, ce jour-là, c’était de la peur à l’état pur. Alors lorsque tu l’entends t’appeler dans son sommeil, que les traits de son visage se déforment pour manifester de l’inconfort, tu sens une boule dans ton thorax se former. Imposante, et virulente tu n’as aucun moyen de lutter, et rapidement ta respiration se modifie devenant plus profonde, plus difficile. Tu es contre lui avant même d’avoir pu y réfléchir. Ton attirance pour lui est impossible à réprimer, même quand tu aimerais te tenir loin de lui, ton être lui ne veut que lui. Sans doute le temps de lui parler est il venu, c’est ce que tu te dis en le regardant là, reprendre un sommeil tranquille sous les caresses de tes doigts dans ces cheveux.


Le soleil s’infiltre au travers des baies vitrées, tu le regardes alors qu’il reprend doucement conscience de la réalité. La profondeur de ces iris te désarçonne l’espace d’un instant. Il te manque… Tu as beau vivre dans le même logement que lui, tout chez lui te manque. Tu tentes de te reprendre de ta contemplation et lui demande s’il a faim. Il semble tenter de comprendre ce qu’il se passe, avant d’approuver et de prendre un jus d’orange. Tu lui souris et soudainement après avoir reposé son verre, sa main t’attrape la nuque sans prévenir. Il t’amène à ses lèvres, et une vive sensation d’électricité traverse ton corps. Son baiser est exigeant, langoureux. Comme si l’espace d’un instant c’était vital. D’une certaine manière ça l’était pour toi. Tes mains s’appliquent immédiatement contre ces joues, délicates et douces. Il t’attire contre lui et tu es incapable de lutter contre cet élan de tendresse qu’il te donne et dont tu as éperdument besoin toi aussi. Il t’allonge sur son corps, avant de finalement t’amener à glisser contre le dossier et lui, et ton regard plonge dans le sien l’espace d’une seconde. Le temps que tu retrouves la profondeur de ces iris océaniques. Il s’abaisse doucement enroule ta taille avant de déposer sa joue contre ta poitrine et tes bras s’enroule délicatement contre son visage. Tu glisses tes doigts dans ces cheveux, ton nez respirant le parfum de ces cheveux, alors qu’il te demande quelques secondes. Le silence sera ta réponse, alors que tes iris se ferment et que tes jambes s’enroulent aux siennes. Imperceptiblement, tes doigts le cajolent, ton corps se presse contre lui, tes lèvres se déposent contre son crâne et une évidence te frappe aussi violemment qu’une droite en pleine figure. Ton chez toi, c’est lui. Pas son appartement hors de prix ni cette ville. Pas son lit tout confort et drapé de soie. L’argent qu’il possède t’indiffère tout comme ses biens, ou la vie qu’il peut te promettre. Tout ça tu t’en contre fou. Tu ne t’es probablement jamais senti autant à ta place que là, lorsque tu respires son parfum enivrant au travers de tes narines. Lorsque ces doigts pressent ta peau, que son épiderme touche le tien, d’une manière si particulière. Lorsque ses yeux te regardent en t’offrant la vue de cette âme dont il est fait. Ce privilège qu’il t’offre en se montrant lui l’homme et plus le requin si redouté pour le restant du monde. Ta maison c’est quand il te prend dans ces bras… Cette pensée te foudroie simplement comme une évidence, tout en mêlant une boule d’angoisse à cette vérité.


Tes lèvres se pressent plus fort avant que tu ne le gardes contre toi, pour reprendre la parole. Tu inspires te focalisant sur sa présence contre toi, et sans doute que le fait que son regard ne te scrute pas t’aide à prendre la parole.


- Je sais que ce n’est pas ce que tu vas vouloir entendre mais… Je ne regrette pas. Je pourrais te trouver des excuses comme quoi j’avais trop bu, que j’ai vécu des trucs traumatisants ces dernières semaines, que ma vie est sens dessus-dessous, ou dieu sait quel autre mensonge mais… La vérité c’est que je ne suis pas désolée, Levin. Je devrais, c’est ce qu’une femme équilibrée et sensée ferait… Mais je ne suis ni l’une ni l’autre de toute évidence. C’était moi, juste moi. Et la noirceur qui me compose. Cette obscurité qui me caractérise et qui m’a fait perdre la tête. Cette fille que tu as détestée voir, c’était moi Levin. Et…


Tu sens les larmes te monter. Tu ne parles jamais vraiment de toi, de la vraie toi, ni de ce que tu as pu traverser auparavant. Il y a des choses qu’on tait et surtout à ceux à qui on tient. Pourtant...


- J’ai détesté que tu puisses me voir ainsi. Je hais cette fille, Zélie, de t’avoir montré ce que j’étais. Mais cette facette sombre de moi… c’est aussi celle qui m’a aidé à survivre durant tout ce temps.


Tu réalises cet aveu en sentant comme l’émotion te submerge. Pourtant, rien ne se fera ressentir hormis cette larme qui roule contre ta joue et descend jusqu’à ton menton.


- Quand j’étais enfant, j’étais toujours celle que personne ne désirait adopter. J’étais la fille que les autres craignaient, j’étais la petite amie qu’on abandonnée pour une autre, la danseuse qu’on réfutée, la femme qu’on décide de laisser derrière soi. Je suis profondément sombre Levin… je suis pleine de pulsions que je peine à maîtriser. Et pour une raison que je n’explique pas… Toi, tu as réussi à les contenir, à me ramener.


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Levin Duvanel
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MessageSujet: Re: After the storm comes the good weather - Reyvin   After the storm comes the good weather - Reyvin EmptyMar 28 Nov - 19:14

Je suis une sorte de robot qui ne connaît que ce qu’on a cherché à faire de lui. Depuis ma prime jeunesse j’ai hérité d’un nom, d’une histoire, et à ce jour, j’y suis rattaché malgré moi et je n’ai jamais remis ce modèle en question. J’ai compris que la fierté dans le regard de mes parents était tout ce qui pouvait compter pour moi et ce à quoi je pouvais me rattacher dans ce monde. A l’âge ou un enfant se construit, ces fondations là deviennent une normalité. Tout comme l’idée que ma mère ne m’a jamais serré dans ses bras mais était fière de me présenter fidèle à l’image qu’elle donnait de moi aux gens. J’étais le petit prodige. L’enfant trilingue a 4 ans, celui qui a étudié au delà de son niveau dès son plus jeune âge et qui a passé les étapes plus vite que les autres. Avocat, Banquier, Assureur. Ces trois casquettes je les portent et je n’ai jamais réfléchis à ce que je pouvais vouloir. Puis une fois ado j’ai réalisé que j’étais avec des jeunes adultes et que je n’avais rien expérimenté ni fait de cette jeunesse. J’ai pris du plaisir et de ma précocité j’ai fais une force et un moyen de m’extirper de ma famille. J’ai grandi et pourtant je suis bourré de lacunes émotionnelles. Mais depuis des jours je dors mal. Car je sursaute au moindre bruit à l’idée qu’elle tente de partir d’ici et que je ne l’entende pas sans comprendre pourquoi j’ai autant besoin de la toucher, de la serrer, de sentir son parfum et combien l’angoisse me saisit à l’idée qu’elle me laisse ?

Alors quand la dans lueur de ce matin solaire je la trouve près de moi a genoux dans cette nuisette ayant juste préparé un petit déjeuner pour moi et attendant mon réveil, je reste incapable de décrire l’émotion qui se saisit alors de moi et tout ce que je parviens à faire, c’est l’attirer contre moi pour me gorger de sa chaleur et de son parfum. Je ne veux rien d’autre qu’elle. Juste Elle. Dans toute sa démesure, sa complexité, ses travers, ses défauts, ses qualités. Juste elle et rien d’autre qu’elle et encore et toujours elle. Et alors que son corps épouse le mien et que son poids sur moi m’enfonce un peu plus dans le matelas du canapé, je ferme les bras sur elle et enfin j’ai l’impression de respirer de nouveau… Mais déjà elle se lance et me parle d’elle. De cette facette que j’ai vu d’elle. Oh je ne suis pas dupe, je l’avais déjà envisagée de par son histoire et son CV. Quand j’ai commencé a réaliser que je n’allais pas juste vouloir une nuit de temps en temps avec elle et que j’en voulais d’autres et régulièrement, j’ai fais du pur Duvanel. J’ai enquêté, j’ai compilé les données sur elle pour savoir, pour comprendre et je n’ai pas eu besoin de pousser beaucoup. Zélie a fait son travail et uniquement ça. Je sais a quoi m’attendre maintenant. Mais je sais également que j’ai été capable d’arrêter sa folie. Qu’elle a écouté ma voix. Qu’elle est encore là. Alors quand cette larme roule sur son visage, je caresse son chemin de mon pouce pour l’effacer et viens chercher sa bouche. Je l’embrasse quelques secondes et recule mon visage. Je la regarder derrière mes yeux de glace et je comprends qu’il est temps de faire un choix.

« Il va falloir décider Reyna Hazan. Décider de ce que tu veux pour toi. Pour nous. Je ne crois ni à la normalité, ni au destin, ni aucune de ces conneries métaphysiques pour hippie à la manque. Je sais que si tu ne me dis pas clairement que tu ne veux plus me voir je vais venir te chercher encore et encore. Et encore… Et toujours. Alors décide de ce que toi tu veux. Parce que je vais te courir après encore et encore. Qui que tu sois. Quoi que tu fasses je tenterai de retenir ta rage. Mais je refuse de te laisser partir. »

Je prends une inspiration et roule pour la coucher sous moi et me tenir au dessus d’elle mon bassin contre le sien, mes bras tendus de part et d’autre de son corps et mon regard glacial et perçant coulé dans le sien à la fixer.

« Parce que peu importe ce que tu as pu faire jusque là et qui tu peux être au plus sombre de ton âme, j’ai crevé de douleur de dormir à quelques mètres de toi sans te toucher au point que je vais probablement arracher et bruler cette porte de merde qui m’a coupé de toi »

C’était insupportable d’être si proche et si… Loin à la fois… Mes cernes doivent sans doute en témoigner, mais alors que la sensation d’angoisse reflue dans tout mon corps, je sens monter une colère. Fiévreuse et insidieuse… Je saisi sa nuisette et d’un geste ardent et fou, je la déchire sans aucune forme de retenue. Je fend le tissus dans un crissement glacial et libère sa poitrine sur laquelle je me jette avec avidité. Massant, suçant, léchant, embrassant, mordant ces seins dont je suis ivre et que j’ai envie brutaliser autant que de cajoler. Je me redresse et la défie d’un regard noir alors que je lui déchire le reste du tissus qu’elle porte m’extirpant de mes Propres habits déjà tout excité et tremblant de désir autant que de cette émotion de colère et de désir.

« Je suis furieux… Je suffoque en dedans. Tu me fais mal et tu me fais du bien… Alors maintenant tu va juste fermer ta gueule Reyna Hazan et tu va être mienne juste une fois. Une dernière fois. Et si tu veux partir après ça j’accepterai tout ce que tu décideras… Mais je te jure que je vais me battre de toutes mes forces ! »
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MessageSujet: Re: After the storm comes the good weather - Reyvin   After the storm comes the good weather - Reyvin EmptyMer 29 Nov - 16:38




❝ Reyvin ❞
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After the storm comes the good weather 
   
Tu aimerais être un modèle de femme qui lui ressemblerait. Quelqu’un dont il n’aurait pas honte de voir dérailler, quelqu’un qui serait être en mesure de se contenir, voir de se montrer imperméable à tout. Tu aimerais être une femme dont il pourrait être fier, dont il n’aurait pas besoin de nettoyer les dégâts qu’elle engendre sous le coup de l’impulsivité. Tu aimerais pour lui être quelqu’un d’apaisant, de bienveillant. Tu n’es strictement rien de tout cela. Tu sais qu’il y a quelque chose de fort qui grandit entre vous. Quelque chose de puissant, que tu n’expliques pas. Tu as tellement vécu de choses compliquées avec les hommes, de séparations douloureuses, de trahisons ou de déchirements affectifs que tu n’oses pas réellement te permettre de croire que Levin puisse être différent. Et pourtant… Outre ce contact entre ces lèvres et celles de Zélie, dont il n’est pas à l’initiative tu n’as strictement rien à lui reprocher. Tu le sais. Il a sillonné la ville pour te retrouver, il a attendu malgré tes injures, tes accusations que tu daignes accepter de le suivre. Il a supporté ta colère, tes accès de violence qui aurait pu couter la vie de cette fille Zélie. Et finalement il a patienté, dans son propre appartement en cédant son lit à tes besoins, il a attendu. Attendu que tu acceptes de lui parler, de le regarder, de le toucher. Et après des jours entiers à tenter d’en faire abstraction, tu ne veux plus lui faire endurer cela. Il aura fallu qu’il t’appelle dans son inconscient pour que tu ne puisses plus continuer de faire endurer cette torture qui au fond vous faisiez du mal à tout les deux.


Le matin s’est levé, la lueur de ces iris bleutées te fait frissonner des l’instant où vos prunelles se croisent et s’accrochent l’une à l’autre. Tu tentes de rompre la glace, ne sachant pas vraiment comment l’homme dont tu te sais éprise, acceptera tes changements d’humeur. Tu sais pertinemment que tu es loin d’être simple à suivre, ni facile à vivre. Alors ce petit déjeuné que tu lui apporte n’est qu’une excuse pour savoir s’il est en mesure de te pardonner. Et sa réaction est au-delà de ce que tu pouvais attendre. Son empressement à t’attraper et à étourdir tes lèvres, t’arrache un gémissement à la fois de surprise mais aussi de soulagement. Te tenir loin de lui, était un besoin mais aussi une torture bien complexe à tenir. Le temps de comprendre que ton passé n’était pas en train de se reproduire. Le ressentir à nouveau contre toi, avide de ton corps et d’une douceur surprenante simultanée, te fait comprendre à quel point lui aussi en a souffert. Tu as besoin de lui, besoin de son corps, de son regard sur toi. Tu lui avoues toute ta culpabilité au travers d’une larme cristalline qui roule sur ta joue. Tu tentes de lui donner une explication à tes comportements sans doute inexplicables, inexcusables. Sa bouche vient s’emparer de la tienne et brutalement il chasse chaque crainte de ton organisme de par ce simple geste. Comment fait-il ça ? Comment fait-il pour continuer de te vouloir après tout ça ? Après que tu lui ai dit que tu ne changerait pas, que tu serais toujours cette femme bancale aux penchants obscures tenaces.


Son regard impénétrable perce avidement le tien, et l’espace d’un instant tu es comme hypnotisé par lui. Il t’annonce que tu as un choix à faire pour toi. Tu fronces les sourcils, une part de toi est inquiète sur l’instant. Puis Levin fait du Levin et opte pour te parler de la manière que tu comprends le mieux. Celle où autorité se mêle à la passion, celle où il expose les choses sans détour. Il te charme, donnant son avis sur une romance idéalisée qui n’est pas vous, et qui semble pourtant être ce qu’il désire plus que tout, tout de même. Il te dit de faire un choix, de lui demander d’arrêter de te poursuivre parce qu’il ne s’arrêtera pas. L’espace d’un instant ta respiration devient beaucoup plus rapide, et ton regard se trouble sous la passion qui t’envahit. Il dit se moquer de qui tu es, de ce que tu fais. Cet homme va causer ta perte. Tes iris s’emplissent plus fort de larmes alors qu’il persiste en disant qu’il ne peut pas te laisser partir. Tu es totalement sous le choc lorsqu’il te glisse sous son corps, te surplombant de son corps sur ce canapé. Tu sens son bassin se presser contre le tien, éveillant tes sens avec intensité et pourtant tu es encore bouleversé par ces mots. Ton regard est incapable d’échapper à sa captivité. Tu ne le veux pas. Il exprime la douleur qu’il a connu en étant obligé à l’éloignement et tu sens ton souffle devenir plus fort. Il se charge de colère en disant qu’il compte arracher et brûler la porte qui vous séparez. Ton cœur bat la chamade. Tu veux cet homme. Et avec une brusquerie soudaine tu te redresses et étouffe sa bouche de la sienne. Comme si c’était profondément vital, tes lèvres s’écrasent contre les siennes avec une passion qui outre passe tout ce que tu as pu connaître auparavant. Tu as eu mal… lui tout autant et vous avez besoin que ces sentiments puissent s’exprimer.


Comme si cette même rage s’emparait de lui, tu le sens se redresser et ces mains s’emparent de ta nuisette qu’il arrache avec une vigueur que tu ne lui connaissais pas. Est-ce qu’elle te fait peur ? Non, c’est pire que ça. Tu gémis sous sa férocité et de ces gestes, arquant ton corps alors qu’il se geste sur ta poitrine. Délicat mélange de brusquerie et passion, tes seins se retrouvent malmenés, maltraités et tu ne tentes pas une seule seconde d’échapper à son déchainement.


- Levin…


Il se redresse de ton buste, son regard vient de prendre une teinte foudroyante, signe de la fureur qu’il contient en lui. Tu le détailles et soudainement, tu te reconnais en lui. Tu lis la noirceur qui t’a tant attiré des les premiers instants chez cet homme qu’on décrit comme un requin sanguinaire. Tu lis sa propre obscurité et tu en tombes encore plus sous le charme. Le reste de tes vêtements s’envolent, son corps se détache le temps qu’il se débarrasse de son boxer, et laisse à ta vue la force virile qui anime son bas ventre. Il reprend la parole, d’une voix rauque et furieuse. Il parle de sa douleur, mais aussi de son apaisement quand tu es là. Tu détailles ces traits, le souffle court, le corps en feu, l’esprit en plein chaos. Tu ne pourras décemment jamais décrire à quel point cet homme t’électrise, te percute et te gouverne. Pour la première fois, tu sais qu’on ne survie pas à un homme tel que lui. Tu attrapes brutalement sa nuque l’amène à toi alors qu’il te dit de la fermer et qu’il va te faire sienne une dernière fois. Qu’il va se battre et qu’ensuite tu décideras. La lueur dans tes iris devient l’espace d’un instant douce et délicate, avant de soudainement virer à celle du défi.


- Bien. Oblige-moi à me taire et à rester alors !


Tu te jette sur sa bouche consciente que tu ne maîtriseras plus rien de la suite des évènements. Tu veux le goûter juste un instant avant qu’il ne te fasse payer de l’avoir éloigner de toi durant tout ce temps. Quelque part une part de toi à besoin qu’il le fasse aussi, qu’il te punisse de t’être éloigné. Tu pousses ton bassin contre le sien, ondule ton corps, et mord ses lèvres. L’homme qui se dresse face à toi n’est pas celui qui t’affectionne… non celui que tu tentes de séduire là de suite, c’est celui qui t’a conquis l’âme des votre première rencontre.



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MessageSujet: Re: After the storm comes the good weather - Reyvin   After the storm comes the good weather - Reyvin EmptyDim 10 Déc - 21:09

J’en ai assez de ces faux semblants, assez de redouter qu’elle parte. J’en crève à petit feu d’avoir dormi toutes ces nuits sur ce canapé merdique alors qu’elle était là à une porte de moi. Je me suis maudit d’être aussi faible et alors que ce matin elle est là, magnifique et maladroite dans son approche, je comprends qu’elle fait un effort pour moi. Oui pour moi. Je crois que sa vie a été complexe et qu’elle ne sait pas venir vers moi et pourtant elle est en train d’essayer là où moi-même je suis incapable d’aller vers elle sans risquer de tout foirer. J’ai tant à apprendre mais je sais maintenant qu’elle cherchait le moyen de ramener du dialogue entre nous. Alors ma joie éclate, et je l’attire, et je me moque de ses excuses, et de ses paroles. Ce qui est fait est fait. C’est le passé, nous n’y pouvons rien. Mais je refuse qu’elle considère encore que je puisse ne pas la vouloir. Je ne supporte pas qu’elle ne comprenne pas que je vais crever à petit feu si elle me tient loin d’elle. Et que malgré les mises en garde de Zélie à son sujet, je ne compte pas un seul instant m’interdire de la voir parce que ce serait plus logique. Je suis totalement illogique quand il s’agit d’elle et ça me fascine autant que ça me fait peur. Alors dans un élan de passion je la couche sous moi et m’écrase sur elle la menaçant de mon regard alors que je lui vide mon sac en pleine gueule. Oui on y est, ça passe ou ça casse, mais elle doit savoir. Elle doit comprendre et elle doit enfin m’écouter. Alors que je m’approche de la fin de ma plaidoirie, elle se hisse et m’embrasse avidement. Ma langue danse avec la sienne avec fougue et passion. Je me déchaine contre elle avant de faire glisser ma bouche sur ses seins, déchirant sa tenue pour libérer ses siens sur lesquels je me jette avant de me redresser en retirant mon boxer pour afficher mon sexe empli de désir. Je lui balance alors mon intention. Je ne compte pas la laisser filer ni refuser le combat.

Elle me regarde et soudain accepte ma condition et me demande l’obliger à se taire et à rester. Elle revient agresser ma bouche de la sienne alors qu’elle ondule son corps contre le mien et que je saisis mon sexe déjà raide pour que chaque mouvement de son bassin fasse frotter impitoyablement mon sexe contre le sien, achevant par agacer son clitoris. Je remue ma verge sèchement à chaque fois que mon gland s’écrase sur son bouton de plaisir et laisse son corps enduire mon sexe de sa moiteur savoureuse. Je tremble de désir et je perds mes moyens et j’aime ça autant que ça me terrifie. Elle a un pouvoir sur moi et me fait prendre des décisions qui n’ont aucune putain de logique, mais j’ai une boule dans la gorge à l’idée qu’elle puisse disparaitre de ma vie… Je m’impose contre elle répondant à ses baisers sans pour autant lui laisser le loisir de me repousser ou de mener la danse. Je finis par trouver l’entrée de son sexe et je plonge en elle sans attendre, libérant un soupir d’extase au moment où mon sexe trouve sa place en elle. Je tremble et m’agrippe à elle et quitte sa bouche en posant mon front sur le sien pour la regarder dans les yeux alors que je me mets à la marteler sans ménagement, claquant mon bassin contre le sien la défiant du regard pour lui montrer que je suis en train de me battre pour qu’elle ne puisse pas vouloir me quitter. Ma main agrippe ses cheveux et tire pour qu’elle relève le menton. Ma bouche revient chercher la sienne et ma langue s’enroule à la sienne follement pendant que mon bassin se déchaine contre le sien. Je la pilonne et la frappe avant de m’arracher à elle et tirant ses cheveux, je la tourne pour qu’elle me tende ses fesses. Je lui écrase la tête sur le matelas du canapé, la joue contre le coussin. Je gratifie son cul d’une claque solide qui résonne dans l’appartement avant de me planter de nouveau en elle sèchement et de libérer ses cheveux pour saisir son bassin, je tiens en place pendant que mon bassin se déchaine et remplie la pièce des bruits de nos corps qui s’entrechoquent sans ménagement ni retenue. Je contemple cette femme qui encaisse ma rage et ma passion alors que j’ai le cœur qui tambourine follement de me contempler en train de faire l’amour à cette femme qui prendre une place incroyable dans ma vie…
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MessageSujet: Re: After the storm comes the good weather - Reyvin   After the storm comes the good weather - Reyvin EmptyVen 15 Déc - 10:52





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Tu n’es pas habitué à demander pardon. Dans ta garce de vie, tu ne l’as quasiment jamais fait, non. Tu ne l’as jamais fait ! Peut être parce que tu as toujours estimé que c’était aux autres de le faire ? Peut être parce que tu estimais en baver déjà assez pour accepter de reconnaître que certaines situations étaient uniquement de ta faute ? Tu n’as jamais ressenti le besoin de faire comprendre aux autres ta façon de penser, ni leur fournir les explications quant à tes comportements. Tu as rarement connu des gens qui en valaient la peine, en réalité. Puis aujourd’hui il y a lui… Evidemment que tu pourrais rester telle que tu es, et lui dire que s’il ne te comprend pas, ce n’est pas ton problème. Evidemment que tu aurais totalement pu t’enfuir depuis le temps, partir et ne jamais revenir. Profiter de son inconscient durant son sommeil pour te tirer de son nid douillet. Tu sais faire ça à la perfection… Fuir tout ce qui te dépasse. Mais cette fois, tu as pu.


Levin remet en cause tout ce que tu as toujours éprouvé. Il remet en cause ta manière d’être, ta façon de gérer les choses. Tu voudrais rester de marbre et te convaincre que tu n’as pas besoin de culpabiliser pour ce qu’il a vu, mais c’est faux. Son avis compte. Sa manière de te regarder vaut toutes les remises en question, toutes les heures d’insomnie et d’isolement. Tu as honte de ce que tu as fait, honte de lui avoir montrer ce que tu étais, la part la plus sombre de toi. Celle que Zélie à découverte sans même se fouler, parce que tu es incapable de gérer ce que tu peux ressentir pour lui. Alors ce matin après l’avoir entendu t’appeler dans son sommeil, tu as voulu tenter de te rattraper. Tu as voulu sauver ce qui pouvait l’être malgré ce que tu es. C’est pour ça que tu es aussi peu sûre de toi à cet instant, lorsqu’il s’éveille et te regarde comme si tu étais une hallucination. C’est pour cela que tu tentes de choisir les bons mots, les bonnes tournures de phrases pour lui expliquer.


Sa réaction est purement et simplement inattendue. Et tu adores profondément ça chez lui. T’attrapant pour te serrer contre lui dans un premier temps, tu retrouves la douceur de son corps contre le tien, sa chaleur qui t’enveloppe alors que tu avais si froid depuis des jours et des nuits. Puis il te bascule sous lui et son regard prend celui de la noirceur. Il te fascine autant que tu le redoutes. Tu détailles ces traits, encaissant ce que son âme a à te dire. Et sa détermination te fait perdre tout bonnement la tête. Tu ne sais strictement pas ce que tu as pu faire pour le mériter mais il est là… Et tu es bien incapable de cibler à quel moment il a réussi à t’avoir pour lui tout seul. Si… En réalité tu sais. Les dernières barrières érigeaient à te protéger des hommes tel que lui, ont sautés le jour où il s’est pointé chez Tom. Lorsque tu étais moribonde et qu’il est arrivé, t’offrant pour la première fois de ta vie le sentiment de réellement compté pour quelqu’un. Tu étais presque sûre au fond de toi que tu allais crevée, mais ça valait le coup d’avoir tenu jusque-là pour le voir te dire sans un mot qu’il tenait à toi. Alors oui, il peut tenter de se battre et de te faire payer l’éloignement que tu l’as obligé à subir. Il peut te punir et te faire regretter de l’avoir obligé à se tenir à distance. Mais il a déjà gagné ce qu’il tente d’obtenir en te déshabillant, en te dévorant la poitrine de sa bouche carnassière, en sortant sa queue pour la laisser glisser contre tes lèvres l’appelant déjà. Tu es incapable de partir. Incapable de le fuir, parce qu’il te possède déjà. Sans même s’en rendre compte cet éloignement sans départ, était tout bonnement la preuve que tu n’appartiens qu’à lui.


Alors oui tu acceptes ces conditions, tu ne dis plus un mot et te jette simplement sur sa bouche qui t’a manqué depuis la seconde où elle a cessé de se poser sur ta peau. Son bassin s’appuie contre le tien, son membre venant frotter contre tes lèvres intimes et tu oublies toute notion de raison. Tu veux le retrouver, tu veux qu’il fasse de toi tout ce qu’il désire tant qu’il te touche, te regarde, s’occupe de toi. Tu perds le contrôle, Levin prends le pouvoir et tu n’es plus la maîtresse de ce qui va se passer. Tu t’en cognes. Tu observes ces iris obscurcis à la fois par le désir et par sa rage. Il te fascine tellement. Sa bouche est conquérante, et soudainement son membre s’enfonce durement en toi. Ton corps se décolle du matelas du canapé et tu abandonnes un cri contre ses lèvres. Ton regard fixe le sien, tu es pleine de dévotion pour lui. Tu encaisses les coups de bassin qui s’enchainent et font naître dans ton corps un torrent de lave. Il est brutal et tu n’as pas la moindre envie qu’il en soit autrement. Tes gémissements l’encouragent à chaque attaque. Chaque coup de butoir est à la fois cinglant et délicieux. Tu en veux plus encore, et toujours. Ses yeux t’interdisent silencieusement de détourner le regard, malgré le fait que tu perds la raison de secondes en secondes. Sa main vient attraper tes cheveux, et lorsque sa bouche revient, tu te jettes de nouveau sur elle comme une affamée. Ta langue subissant la danse de la sienne avec bonheur. Tes mains rejoignant son dos, pour le marteler de griffures sensuelles. Tu es addicte à lui, d’une manière qu’il n’imagine pas. Pourtant il te repousse, s’extirpant de toi pour se redresser et créer de l’incompréhension dans ton regard. Vivement il te fait pivoter tirant tes cheveux pour t’indiquer la démarche à suivre. Un cri s’arrache de tes lèvres alors qu’il fesse ta croupe rebondie. A peine le temps de le réaliser qu’il se plante de nouveau en toi. Obligeant ton corps à se cambrer, la profondeur de sa pénétration est d’autant plus intense ainsi. Tu le sens plus fort et plus dure que jamais. Ton bassin ondulant à sa rencontre. Ta tête se tourne pour l’apercevoir, tu adores le voir perdre de sa maîtrise. Tes doigts s’agrippent au canapé, tentant de te cramponner alors que les mains larges et pressantes de Levin s’emparent de ta taille pour t’obliger à t’empaler plus fort. Tes cris pleuvent, ton corps se raidissant à chacune de ces manœuvres. Levin est un chef d’orchestre majestueux pour faire vibrer ton corps, tout comme ton âme. Et jamais tu ne seras en mesure d’échapper à l’emprise qu’il a gravé jusqu’au tréfond de tes entrailles.


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MessageSujet: Re: After the storm comes the good weather - Reyvin   After the storm comes the good weather - Reyvin EmptyJeu 21 Déc - 23:35

Je ne demande pas pardon, le pardon, je m’en tape. Je me moque du passé. J’ai juste peur. Peur qu’elle m’échappe. Peur qu’elle soit de nouveau distante ? Peur de devenir insignifiant pour elle, peur de perdre cette lueur dans son regard quand elle me fixe. Elle n’est pas seulement une femme avec qui j’aime faire l’amour ou dont j’apprécie la compagnie. C’est plus épidermique que cérébral. Je ne me l’explique pas car je n’ai jamais ressenti ça avant. Mais la seule idée de la perdre me terrifie et me fait suffoquer. Je n’en ai aucune envie et je vais déplacer les montagnes, mener des guerres mais je refuse de retourner au néant. Je refuse qu’elle se lasse et se passe de moi. Alors quand elle m’offre enfin l’ouverture dont je rêve depuis des jours, je me déchaine sur elle sans attendre. Elle a fui durant des jours, ma présence, le dialogue, les regards. Nous étions deux fantômes qui ne se parlaient pas et j’en ai souffert. J’ai encaissé pour elle, car sans comprendre pourquoi elle avait besoin de cette distance j’ai senti que le mieux à faire était de me tenir loin d’elle et de résister à l’envie de juste passer mes bras autour d’elle et la serrer très fort pour me gorger de son parfum et de sa chaleur. Enfin elle a fait un pas. Enfin elle me laisse la toucher et… Je pars en couille. Je me jette sur elle comme un sauvage. Comme un affamé. Je me déchaîne sur elle et lui fait l’amour avant de la forcer à changer de position. Je ne vais pas faire dans la dentelle. C’est comme si j’étais assoiffé d’elle et qu’enfin elle m’offrait une merveilleuse source d’eau.

Mon sexe glisse en elle et mon corps frappe contre le sien. Sa joue sur le canapé je la tiens fermement par les hanches. J’ai besoin de sentir son corps, j’ai besoin de l’entendre. Alors je l’agresse de toutes mes forces pour tenter de remplir le silence glaçant qui s’était installé dans cet appartement de gémissements lascifs et passionnés. Ses cris de plaisir sont un nectar dont je me délecte. Je contemple ma Reyna toute abandonnée et secouée par mes assauts puissants. Mon corps enfoncé dans le sien est un délice visuel. Voir mon sexe posséder celui de cette femme est une ode délicate qui m’enivre. C’est presque dingue que je ne sois pas lassé d’elle. En général ça me passe assez vite. Mais pas avec elle. J’ai toujours plus envie et je me frustre parce que je suis incapable de me contrôler et de la faire un peu ramper comme j’aime le faire. Là je m’impose comme si sa volonté n’avait aucun intérêt à mes yeux et que tout ce que je voulais, c'était me planter en elle encore et encore jusqu’à ce que je ne sois plus capable de marcher ou de respirer…

Je déteste ce que je suis. Je me sens faible et minable. Sans maitrise je ne suis plus moi et soudain je réalise que j’ai peur de la perdre. Ma jouissance arrive. Je la sens me prendre les tripes comme si on me lardait le ventre d’une lame brulante. C’est trop tôt… Je ne maitrise rien. Tout ce que j’ai fais depuis que j’ai ouvert les yeux est totalement dénué de maitrise et de contrôle. Je suis en train de faire n’importe quoi et je déteste ça parce que ce n’est pas moi ! Je me contrôle toujours. Je ne suis pas un animal. Ma tête est ma meilleure alliée et face à cette femme cette alliée fidèle me fait défaut. Je me cramponne à ses hanches pour lui interdire de me fuir ou de se soustraire à ce qui approche. Je craque. Je serre le temps et me contracte alors que mon ventre se crispe de plaisir et j’accélère de manière saccadée mes mouvements de bassin. Je peine à respirer ma gorge se serre et je bouge encore un peu. Juste un peu. Mon sexe se tend et le temps s’arrête. Cette seconde suspendu avant la jouissance est la plus démente et j’ai l’impression qu’elle dure et dilate le temps. Puis c’est la chute. Le temps reprend son cours et soudain je pousse un cri de plaisir. Mon sexe éclate et je me répands sans retenue dans le corps de Reyna suffoquant à chaque giclé de plaisir. Je me laisse aller et cramponné à ses hanches je tremble en me vidant sans retenue en elle. Abandonné et comblé. Mon dieu, est-ce que ça a déjà été si bon ? Si grandiose ? Je la regarde alors que je me tiens pantelant à elle n’osant pas encore parler pour le moment. Les minutes passent et je reste en elle sans bouger la regardant toujours avant de caresser ses fesses avec douceur. Je prends un instant pour assurer ma voix et murmure alors.


« Fuis aussi loin que tu désires Reyna Hazan mais je n’arrêterai pas te courir après… »
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MessageSujet: Re: After the storm comes the good weather - Reyvin   After the storm comes the good weather - Reyvin EmptySam 23 Déc - 13:40





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Le tenir à distance n’a rien eu de facile. En le maintenant à distance de toi, c’est toi-même que tu m’étais à l’épreuve. S’il est en mesure d’oublier le passé, de le rayer de la carte pour ne se focaliser que sur l’instant et le futur, ce n’est pas ton cas. C’est ton passé qui a fait de toi ce que tu es aujourd’hui. Celle qui lui a broyé sa caisse, celle qui voulait réellement le sang de Zélie se répandant sur le sol de cet appartement, celle qui tout simplement n’était pas en mesure d’accepter que lui puisse la trahir. Tu sais que l’affection que tu éprouves pour lui est difficilement canalisable. En quelques mois cet homme est devenu ton monde, quoi qu’on en dise ou en pense tu es bien obligé d’avouer qu’il est à ce jour, la personne a qui tu tiens le plus dans cet univers. Tu ne sais pas trop comment c’est arrivé, ni pourquoi mais tu tiens à lui… Et c’est bel et bien ton amour pour lui qui t’a conduit à véritablement déchainer le chaos par peur de le perdre.


Aujourd’hui, l’entendre t’appeler dans son subconscient te fait réaliser que tu ne faisais pas uniquement du mal à toi-même en l’écartant de toi. Lui aussi en souffrait et le savoir t’a vrillé l’estomac. Pour la première fois de ta vie, tu refuses que ça ne fonctionne pas. Tu refuses qu’il puisse envisager que tu t’en désintéresse, que tu puisses partir, ou que tu puisses oublier ce que tu ressentes lorsque ses lèvres sont sur toi, lorsque son souffle incendie ta peau, lorsque ton corps appelle le sien. Cet homme est impossible à chasser de ton esprit, ou de ton monde, pour la simple et bonne raison qu’il en régit la pluie et le beau temps aujourd’hui. Sans même le savoir en réalité. Alors lorsqu’il t’attrape, te touche, dépose sa bouche contre la tienne, tu en oublies chaque raison qui t’ont poussé à t’en écarter. La situation dérape, s’échappe. Tu es incapable de lui demander de s’arrêter, de t’écouter. Tu as parlé, il a entendu et maintenant la retenue que tu lui as imposée réclame son dû. Ces gestes n’ont rien de doux, son regard n’a rien de tendre, tout comme sa manière de prendre possession de toi. La bestialité qui règne dans son comportement t’avoue en silence à quel point tu lui as fait du mal. Et son animosité sensuelle te puni pour ça. Contrairement à ce que vous pouvez penser, tu as besoin de ça autant que lui. Tu as besoin qu’il te punisse, qu’il t’oblige à ressentir sa déchéance, son propre chaos qu’il a contenu juste pour toi. Parce que même sans mot, il s’exprime en faisant ça, et vos corps parlent la même langue. Alors tu t’abandonnes à ces désirs, tu cambres brusquement tes courbes à sa pénétration. Tu te laisses bercer à la force de ses impacts qui butent contre ton corps, à l’intensité de ces baisers qui t’obligent à ressentir que tu lui appartiens. Et tu savoures chaque marque de possessivité qu’il exprime, chaque baiser, chaque coup de bassin qui t’oblige à ouvrir la bouche, à gémir.  


Ton corps obligé de se détourner pour qu’il accède à ton fessier, tu sens la main de ton amant écrasé ton corps avant qu’il ne prenne possession de tes hanches et accélère le rythme. Il est dominant comme il ne l’a jamais été, il est en colère et tu es à lui. Les cris te sont arrachés, rien de désagréable bien au contraire. Tu es juste totalement incapable de contenir la puissance de ce que tu ressens lorsqu’il se passe de ton opinion. Lorsqu’il décide de se battre, et t’oblige à comprendre qu’il ne renoncera pas. Ta peau se voile d’humidité sous l’effort et la puissance de ce qu’il provoque. Tes lèvres tentent de murmurer son prénom, mais seul des cris de plaisir en sort. Avec une rapidité folle, ton corps emmagasine le plaisir, et tu sais déjà que tu ne résisteras absolument à rien. Tu trembles, tu tentes de toutes tes forces de retenir, de ralentir ce qu’il menace de déclencher en toi. Tes mains se compriment sur la surface du canapé alors que soudainement ta respiration se stoppe, et tu bascules, ton regard perdant de sa vivacité pour s’évanouir dans le vide. Ton cri plus aigu ne laisse aucun doute quant à ce qui t’arrive. L’orgasme se déchaine, vibrant d’un éclat lunaire au travers de ton corps. Un autre cri raisonne en écho au tien. Et c’est la première fois que tu l’entends. Tu es en train de planer, de vivre un orgasme dévastateur mais tu forces ton regard à trouver le sien, le temps de l’apercevoir, lui et la maîtrise échappant à tout contrôle. L’image que tes yeux capteront, ne sera pas en mesure d’être ignoré. Ce n’est pas que sa beauté qui t’éblouira, pas juste son charme, ou son physique… C’est l’éclat de son âme ainsi dévoilée, pleine de zones illuminées d’ombre et de complexité. Il est un paradoxe d’une affreuse beauté, d’une noirceur attirante, d’une attirance saisissante. Tu peines à reprendre ton souffle alors qu’il tremble contre l’arrondi de ton fessier. L’espace d’un instant, il ne possède plus son armure, il n’a plus ce regard qu’il offre au monde pour se protéger. Et il est encore plus attirant qu’il ne peut l’être le reste du temps. Tu ne l’as jamais contemplé aussi vulnérable et tu as du mal à décrire ce que ça provoque en toi. Tes forces te lâche, ton corps s’affaisse à plat sur le canapé, alors que Levin demeure toujours en toi. Tu fermes un instant les yeux, sentant la douceur de sa paume à présent contre la peau de tes fesses. Il reprend peu à peu de sa contenance et tu souris en l’entendant te dire que cette phrase, qui commence à simplement être la vôtre. « Fuis aussi loin que tu désires Reyna Hazan mais je n’arrêterai pas te courir après… » Tes doigts cherchent à l’attraper, tu te décales, lui laissant de la place afin que son corps s’étende de nouveau contre le tien dans ton dos. Tu guides ces bras à t’entourer, tu en as besoin, cruellement. Tu veux son souffle contre ton cou, tu veux son corps contre le tien, son âme en communion avec la tienne. Tes lèvres se déposent sur son biceps alors que tu susurres.


- Merci. 


Tu entrouvres les lèvres, décale doucement ton corps pour venir faire face au visage de Levin. Tu ne le remercie pas seulement pour le moment délicieux qui vient de se terminer. Non, tu le remercie d’être simplement ce qu’il est, d’être tout ce que tu as toujours voulu, de faire tous ces efforts pour que ça marche entre vous. Ta bouche vient capturer la sienne et tu lui offres un baiser chargé de douceur, de passion, de dévotion à son égard. Tu restes contre celles-ci alors que tu murmures avec une voix pleine de timidité.


- Même si je le voulais, je serais incapable de m’éloigner de toi.  


Ton regard cherche le sien, et tu reviens à sa bouche, tu t’en saisie de nouveau, glissant ta langue contre la sienne, cherchant la proximité de sa jumelle. Ta main vient contre le sexe récemment assouvi de ton partenaire. Impossible pour toi de t’arrêter là, pas après des jours à t’en priver.


- Prends ta journée… Reste avec moi aujourd’hui… J’ai besoin de me faire pardonner bien des choses.  



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MessageSujet: Re: After the storm comes the good weather - Reyvin   After the storm comes the good weather - Reyvin EmptyDim 7 Jan - 21:16

Je suis raisonnable. Calculateur, j’anticipe et je prévois. Je ne laisse rien au hasard car je déteste le hasard et pourtant je sais l’anticiper. La logique, la raison me hurle de ne pas plonger dans cette eau sombre devant moi et pourtant j’y plonge, fasciné et incapable d’y résister. Et pourquoi j’y résisterai ? Je vibre, je respire, je vis, je ressens les choses. Reyna c’est illogique, c’est le tumulte, le bordel, c’est le fracas et l’inconséquence. Et je n’en reviens pas d’en avoir envie. Je n’en reviens pas de suffoquer d’angoisse à l’idée qu’elle … Disparaisse. Est-il possible de ressentir autant de plaisir et de peur à la fois ? Est-ce possible de réaliser que cette femme abimée par la vie représente tant de choses pour moi ? Comment se nomme cette maladie qui m’infecte ? Cette chose ressemble à de la folie pure. Alors pourquoi quand mon cerveau me dit que je vais à l’encontre de la logique et de mon fonctionnement habituel je sens mon être tout entier se battre à contre-courant de toutes ses forces ? Pourquoi je suis brutal dans mes assauts, comme si j’espérais secrètement que je l’épuise si fort qu’elle ne trouve plus jamais la force de partir ? Pourquoi l’idée qu’elle parte me fait mal putain !!! La jouissance arrive et je me maudis en réalisant que je suis presque en train de partir. Mon contrôle s’est fait la malle. Je n’ai pas prévu ce moment, je n’arrive même pas à me masturber sous la douche tellement l’angoisse de ces derniers jours était forte et je peux m’assoir sur mon endurance. Je suis de nouveau puceau entre ses cuisses et étrangement j’adore la sensation de la jouissance qui galope dans mon ventre alors que je m’acharne sur elle suffoquant de délice tout le corps tendu alors que ses soupirs font écho aux miens. Je la dévore de mes yeux de glace alors que son corps s’écrase contre le matelas et que sa joue pressée contre lui permet de me voir au moment où je m’agrippe à ses hanches lui imposant d’encaisser alors le flot de semence qui explose en elle me faisant gémir toute l’intense douceur qui m’accable à cet instant. Mes mouvements sont douloureusement intense en elle. Mon sexe rendu sensible me fait sursauter à chaque effleurement et le sexe de Reyna palpite follement autour du mien. Accablé, enivré, je la regarde s’effondrer et la caresse avant de lui dire ce que je pense au fond de moi alors que je reprends du pouvoir sur moi-même…

Elle m’attire et je me retire, me retrouvant contre elle sur le canapé, elle se love et embrasse ma peau et je suis presque soulagé de la voir aussi désireuse de ressentir ma présence contre elle. Le merci qu’elle prononce me laisse hébété. Merci de quoi ? Mais déjà, elle grimpe sur moi et plante son visage face au mien me regardant dans les yeux et je reste interdit face à cette expression qu’elle affiche en écrasant son corps nu sur le mien. Elle m’embrasse et déclare qu’elle serait incapable de s’éloigner de moi-même si elle le voulait et j’ai immédiatement une sensation de calme et de douceur qui s’empare de moi. Et à la fois elle m’a tellement fait chier avec cette soirée, avec ma voiture et avec cette semaine de merde à faire chambre à part… Putain et pour couronner le tout j’ai joui en un temps record… Je la regarde me dire après un baiser étourdissant de prendre ma journée et de rester avec elle parce qu’elle doit se faire pardonner bien des choses. Mon regard se met à briller et je glisse mes doigts sur elle venant saisir sa fesse que je serre dans mes doigts avec fermeté.

« Tu ne crois pas si bien dire… »

J’ai bien envie de lui faire croire que je veux la « punir » alors qu’en fait je vais lui faire regretter de m’avoir privé d’elle tout ce temps alors qu’on était dans le même appartement et qu’en plus elle m’a fait le silence radio… En vérité, je crois que j’ai envie de rattraper ce temps-là et surtout de me satisfaire d’elle à m’en gorger au point d’étouffer de plaisir. Je viens chercher sa bouche et mordille sa lèvre inférieure avant de caresser de ma langue sa lèvre supérieure. Je la regarde et lui lance calmement.

« Ce soir je vais aller récupérer ma nouvelle voiture et tu viendras avec moi… D’ici là je vais attacher tes poignets dans ton dos et si tu es gentille et docile j’envisagerai peut-être de te laisser les mains libres… »

J’ai le regard qui brille. Je crois qu’elle ne connait pas cette facette de ma personnalité et il est temps qu’elle la découvre parce que cette femme me donne envie d’essayer des choses folles et d’une excentricité suave et malicieuse… Je la regarde dans les yeux, questionnant en silence son consentement ou non… Alors Reyna Hazan ? Te laisseras-tu tenter par l’aventure ?
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MessageSujet: Re: After the storm comes the good weather - Reyvin   After the storm comes the good weather - Reyvin EmptyMar 9 Jan - 14:23







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Tu es impulsive, sanguine, déterminée, et violente. Tu es l’archétype de ce que les hommes détestent en générale, une plastique assez agréable d’après ce que tu as pu comprendre, mais une férocité qui rebutent même les plus téméraires, tôt ou tard. Tu n’es pas le genre de femmes qui fait ce qu’on attend d’elle. Non, tu es même tout le contraire. Le « souris et tais toi » est une notion que tu as terriblement de mal à appliquer. Tu es irrationnelle, irraisonnable, incapable de te tenir maîtresse de tes émotions surtout lorsque celles-ci te font du mal. Tu es incapable de te mesurer, imprévisible et difficile à suivre. Tout ces défauts sont purement et simplement les tiens, quoi que tu désires, quoi que tu en penses. Levin lui, … Lui, semble tellement loin de ce qui te compose. Tout semble pour lui maîtrisable, encaissable, voir insignifiant. L’homme dont te retrouve éprise, est tout ce que tu n’es pas. Que fait-il encore là ? Il gère les plus grosses crises sans jamais montrer la moindre once de contrariété, tu as déployé un chaos sans nom sans qu’il n’exprime la moindre pointe d’énervement. Tu t’es montrée cruelle, sadique voir barbare sans que cela n’entraine son dégout. Tu as été puérile, jalouse et d’une acidité hors norme. Pourtant, il refuse que tu t’en ailles… Jusqu’où sera-t-il capable d’encaisser cette folie ?
Il est toujours là. Sans que tu puisses comprendre comment, à chaque épreuve que tes pulsions lui infligent, c’est comme s’il devenait plus résistant. Comme s’il t’obligeait à comprendre que tu n’arriveras pas à le faire plier. Tu n’arrives pas à le comprendre, tu n’arrives pas à savoir pourquoi… Comment, et jusque quand il supportera tout ça ? Et sa détermination te captive, t’amène à espérer, à croire, à rêver qu’il soit celui qu’il te faut. Celui qui n’abandonnera jamais.


Au creux de vos reins, de vos corps, la déchéance règne. Vos âmes se percutant avec une violence féroce. Un chaos vibrant, euphorisant et tumultueux menant vos êtres à des plaisirs à la fois libérateurs et addictifs. Un balai de gémissement, une enivrante beauté malgré les reproches que vos corps se font à avoir été privés l’un de l’autre. Il n’y a aucune tendresse dans ce moment, juste un frénétique besoin que vos êtres se retrouvent, que vos pulsions se déchainent, que toute cette amertume, cette solitude que tu as provoquée puisse disparaitre. Levin s’acharne sensuellement sur ton corps, obligeant à ton être à ressentir comme il avait mal, comme il t’a détesté de le tenir loin de toi. Tu sais parfaitement qu’il t’en veut de l’avoir fait. C’est ce que tout son corps te hurle en te pénétrant fort, et sans te laisser la moindre marge de manœuvre. C’est ce que sa main dicte en t’obligeant à rester courbé, face contre l’assise du canapé. C’est ce que sa domination te force à imprimer. C’est ce que disent les coups qui raisonnent en un son creux lorsque son bassin plaque tes fesses durement. Et ça jusqu’à ce que l’orgasme viennent vous percutez de plein fouet de sa folle intensité. Te rappelant à quel point tu ne pourras jamais te passer de ça. De sa peau, de son aura, de sa manière à lui de te faire comprendre les choses sans en dire un mot.


L’intensité est tellement folle que tu t’effondres, à bout de force, tu recherches sa présence, sa tendresse, sa douceur en te lovant et en fermant les yeux, t’enveloppant de ces membres comme s’ils étaient le rempart te protégeant du monde. Levin est plus qu’un homme à qui tu tiens, il est devenu un besoin vital à ton bonheur. C’est pour ça que tu le remercies, que tu lui fais face et que tu prends sa bouche comme si c’était la condition ultime à ta survie. Peut être qu’au fond ça y contribue. Tu détailles ces traits, cette beauté parfaite qu’il possède, qui te fascine, t’enivre, s’imprimant sous tes paupières comme sur ton épiderme. Tu lui demandes de rester avec toi, là, étendue sur son corps peau contre peau, afin de te permettre de te faire pardonner ton attitude, et une lueur que tu connais parfaitement vient prendre vie dans les siennes. Tu le sens venir comprimer ta fesse alors qu’il te confirme ce que tu viens d’avouer. Ton sourire s’élargit, tu aimes constater qu’il reste un incorrigible joueur. Il te dit qu’il va aller chercher une nouvelle voiture ce soir, et que tu viendras avec lui mais qu’avant, il aimerait que tes mains soient liées dans ton dos et qu’en fonction de ta gentillesse il te libérera. Ça devrait sans doute te faire peur, et pourtant tes iris se mettent à briller elles aussi, envieuse à l’idée de ce qu’il propose. Ton regard s’insinuant dans le sien, tu reviens prendre sa bouche avec une douceur qui t’es presque étrangère tellement elle est empreinte délicatesse et de gourmandise. Tu approches tes lèvres de son oreille et susurre alors doucement.


- Rejoins-moi dans la chambre dans exactement 90 secondes.


Tu te redresses de son corps, ta bouche descendant au passage sur son buste, parsemant sa peau de délicats baisers sur son torse, avant de te relever en le fixant droit dans les yeux. Tu t’éloignes de lui, ton corps dénudé se réchauffant aux rayons du soleil qui filtre dans son appartement, avant que tu ne disparaisses. Tu rejoins son dressing, le fouine, sourit en trouvant deux trois petites choses qui pourrait être amusante. Tu ne sais pas où Levin veut t’emmener mais tu es sûr d’à peu près une chose… Tu iras où il le désire, peut importe la destination, la ligne d’arrivée. Tu peux être vulnérable sans qu’il ne t’arrive quoi que ce soit. Tu reviens dans la chambre, déposant sur le lit tes trouvailles. Un sourire en coin t’échappe alors que tu t’agenouilles auprès d’eux. Te positionnant face à l’entrée de la chambre, tu inspires proie à une excitation soudaine qui te tiraille l’estomac. Tu gardes le regard bas alors que tu l’entends, il approche maintenant que le décompte s’est terminé. Ces pas t’indique qu’il entre dans la pièce, et tu t’interdis de le regarder et ceux même si tu as très envie de lire dans ces yeux ce qu’il peut éprouver. Il te trouve alors dans une position que tu n’as autorisé à aucun de tes partenaires. Nue, agenouillée devant des objets tel qu’une ceinture, une cravate à lui et des bas à toi. Tous pourraient être une contention, lui seul décidera de quoi faire. Ta peau s’électrise, tu sais qu’il te regarde, un frisson parcourt ton échine alors que tu tentes de réprimer la tension délicieuse qu’il fait naître juste en étant présent. Avec douceur, tu tends tes mains et sans un mot, tu relèves enfin tes iris sur lui. Tes prunelles sombres sont injectées d’envie, de désir et de folles envies. Tu dépasseras chacune de tes limites pour lui, chacune de ces foutues barrières qui t’empêcherait de l’avoir. Parce que ouais, c’est ce que tu veux… Lui. Alors Maître Duvanel, vous avez réellement cru que ça me ferait peur ?


- A toi de choisir l'objet de ma contention.  



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Dernière édition par Reyna Hazan le Lun 22 Jan - 13:43, édité 1 fois
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MessageSujet: Re: After the storm comes the good weather - Reyvin   After the storm comes the good weather - Reyvin EmptyDim 14 Jan - 20:56

Rien n’est logique quand ça la touche et je trouve ça aussi terrifiant que fascinant. C’est comme une immense coupe de glace recouverte de chocolat et de crème chantilly quand vous êtes en plein dans un putain de régime strict. C’est le truc qui vous fera du bien et qui va chier vos résolutions, et pourtant vous en avez envie et si on vous l’enlève vous allez faire un malheur et si on plonge une cuillère et qu’on se dit qu’on n’en gouttera pas plus et qu’on se trompe. Reyna est cette coupe de glace dans mon régime. C’est cette sensation que quoi qu’il se passe je m’en tape du moment qu’elle est là. C’est irrationnel et pourtant… Putain je veux plonger dans cette folie sans nom. Je viens d’ailleurs de calmer ma rage. Parce que vivre si près d’elle avec cette tension et cette distance alors que nous sommes si proches… Savoir qu’elle est à sans que je puisse la toucher c’est une torture que je fais passer à grand coup de bassin rageur et passionnés. Je me déchaine sur son corps de déesse jusqu’à la jouissance. Je lui inflige de me prendre jusqu’à la dernière goutte de plaisir. Je me vide dans son corps la faisant mienne le temps d’une jouissance. Je la change en ma possession. Juste cette fois, juste pour ce moment parce que j’ai besoin de ça pour chasser cette douleur qui m’accable depuis des jours. Étendu contre elle je réalise que je veux que le temps s’arrête et qu’on ne sorte jamais de cette bulle. Mais alors que j’ai calmé le feu, le sien s’éveille. Ses yeux brillent et elle quitte le canapé en me disant de la rejoindre dans la chambre dans 90 secondes.

« Tu veux mettre ma précision Suisse à l’épreuve ? »

Je joue le détachement mais j’ai compris qu’elle veut me sortir le grand jeu. Je la retrouve dans toute son excentricité… Elle rayonne d’un sourire à tomber et la regarder s’éloigner nue en toute hâte vers la chambre… Putain heureusement que j’ai du contrôle parce que j’aurais probablement couru derrière pour la baiser contre la porte de la chambre… Je l’entends faire du bordel et compte dans ma tête avant de me redresser. Je m’étire et marche avant de me regarder nu et encore raide dans le miroir me disant que, j’ai besoin de faire un peu de sport pour combler la petite perte de poids de ces derniers jours et que j’ai besoin de me raser. Je fais fatigué avec cette barbe. Je ramène mes cheveux en arrière. 75 secondes… Je suis devant la porte et j’attends. À 87 j’ai la main sur la poignée. 90 pile j’ouvre et entre. Elle a déposé des affaires sur le lit … À genoux devant le lit, nue et sans me regarder, elle me dit que c’est à moi de choisir l’objet de sa contention… Délicieux… Je reviens mon envie de plonger à genoux devant elle et de l’embrasser à pleine bouche pour la remercier… Je respire et m’avance vers elle. Me plaçant près d’elle mon sexe raide se tient contre sa joue gauche alors que je fais mine de ne pas la voir… Je regarde le lit avant de soupirer.

« C’est très mal de mettre du bazar sur mon lit… Et en plus tu me tutoies en me donnant des ordres ? »

Je tire ses cheveux et la force à lever le menton pour qu’elle me regarde, mon sexe se tenant au-dessus de son visage alors que je jette des yeux flamboyant de désir dans son regard. Je prends mon sexe et l’abat sans douceur sur sa joue en la fixant toujours.

« C’est maitre quand tu t’adresses à moi Reyna Hazan… »

Je la force à me tendre sa joue et continue de frapper mon sexe sur sa joue comme pour lui faire remarquer la raideur exquise et la solidité de mon désir pour elle. Je me recule en la fixant avec un sourire malicieux et amusé. Je regarde le lit et lui lance.

« La cravate… Met la autour de tes yeux. »
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MessageSujet: Re: After the storm comes the good weather - Reyvin   After the storm comes the good weather - Reyvin EmptyVen 26 Jan - 13:52





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Tout t’oppose dans cette histoire que tu vis depuis quelques semaines maintenant avec cet homme. Il est d’un monde certes, tout aussi combattif et acéré que le tien, mais il surtout quelqu’un de respectable et de droit. Tout ce que toi tu n’es pas. Il est réfléchi, patient et d’un calme à toute épreuve, là où toi, tu es d’une effervescence volcanique, d’une impulsivité féroce te poussant parfois à commettre des atrocités te ressemblant peu. Tu as une personnalité et un vécu qui t’es propre, qui t’a façonné une existence brute et parfois peut être incompréhensible pour les gens qui t’entourent. Tu aimerais être une âme plus douce, plus simple à comprendre mais les traumatismes de ton passé ont la vie dure. Levin persiste à vouloir de cette relation, que tu as dû mal à définir. Il semble pour une raison qui t’échappe encore souvent, continuer de te porter une affection dont tu as cruellement manqué durant longtemps. Et là encore, même quand tu détruis tout, il reste déterminé à se tenir auprès de toi. Tu ne le comprends souvent pas, mais cette détermination qu’il refuse de céder est l’essence même de l’attachement que tu lui portes. Plus il s’acharne à te garder et plus tu commences à faiblir à le repousser.


Après plusieurs jours de distance, physique comme émotionnelle, tu n’as finalement pas pu continuer faire perdurer ce silence. S’il pense que c’était simple pour toi, il se trompe. Tu étais en colère, follement et désespérément folle de rage à l’idée que Zélie ai pu lui divulguer à quel point tu es sombre de l’intérieur. Peut être parce qu’au fond, en le faisant, elle lui offrait le luxe de se rendre compte que cet attachement qu’il nourrit envers toi était néfaste, toxique. Tu as toujours cette fille après tout, celle dont on tombe sous le charme avant de se rendre compte à quel point elle est abimée. Levin accueille ton retour à lui, avec une douceur et une sensibilité qui t’éblouit tout simplement. Sa manière de t’embrasser, de te toucher, est simplement une bénédiction. Sa façon de te contempler comme si tu étais la seule chose qui pouvait réellement l’éblouir lui. Tu es sensible à sa délicatesse mais c’est décemment sa manière de s’exprimer sans le moindre mot qui a raison de toi. A l’instant où son contrôle s’échappe et ou ces instincts prennent le pas sur tout le reste. Il devient plus instable, plus brute, plus impatient. Et tu n’aurais jamais pu imaginer que ça te convienne aussi fort. Au travers de ces gestes, tu ne ressens aucune malaisance, aucune gêne. Pour une raison que tu ignores, sa manière de faire, t’aide même à éprouver comme ton attitude lui a été difficile. A chaque à-coup vigoureux de son bassin en toi, c’est une prise de conscience qui t’assaille. Il te prouve par un moyen qui semble peut-être dénué de douceur aux yeux d’autres qu’il tient à toi au point de s’y perdre. Que tu lui appartiens quoi que tu en dises. Et tu as besoin qu’il le fasse. Le premier orgasme qu’il t’arrache n’est que le premier round, et tu n'en demandes pas moins. Votre première étreinte s’estompe dans la mélodie délicatement de vos soupires assouvis pour quelques minutes. Ton corps veut le sien, encore. Et ta raison, elle, veut son apaisement.


Alors tu lui proposes de jouer à ce genre de jeu, que votre première rencontre avait légèrement mis en évidence. Très légèrement, puisque rapidement il a cessé de te considérer ainsi. Cependant tu aimes la sensation qu’il fait naître lorsqu’il n’est pas seulement l’homme respectable. Tu t’échappes de ces bras, lui demandant quelques secondes de patience, avant de t’éloigner dans cette chambre que tu as trop longtemps occupé seule. Tu t’installes et dépose plusieurs objets pouvant être des liens et des obstacles. A son approche, un frisson érectile parcourt ta peau, ton souffle s’accélère et ton cœur bat plus fort. L’excitation qu’il fait jaillir en toi est d’une intensité presque instantanément. Ton sourire en coin s’estompe à l’instant où il est tellement proche de toi que tu sens la chaleur de son érection tout contre ton visage. Tu pourrais presque la toucher de tes lèvres, si tu tournais la tête. Ton sourire se fend dans le coin de tes lèvres alors qu’il te dit qu’il déteste le bazar et qu’à présent tu n’as plus à le tutoyer, ni à lui donner d’ordre. Tu inspires, te retenant de lui attraper les hanches et de l’enfouir immédiatement dans le fond de ta bouche. Ce jeu c’est le sien, et tu sais que ça lui plait. Il est d’ailleurs fort probable, que ça te plaise beaucoup aussi, au vu de la pulsatilité de ton entrejambe maintenant qu’il te parle avec un détachement aussi sensuel. Sa main attrape ta chevelure sombre entre ces doigts et ta bouche s’entrouvre alors que ton regard perce le sien. Dans tes yeux il y a toujours de l’arrogance, mais il y a aussi énormément de dévotion pour lui. Il laisse son sexe s’approchait et s’abattre contre ton visage, et tu sens ta bouche s’asséchait, les pointes de tes seins s’étirer et l’ardeur de ton corps prendre en puissance. Il te dit qu’ici c’est Maitre pour toi, et ton sourire s’élargit avant que ta langue ne vienne humidifier ta lèvre inférieure sous son nez.


- Evidemment, Maître.


Il frappe encore ta joue de son sexe, avant de susurrer qu’il veut que tu t’empares de la cravate pour l’apposer sur tes yeux. Une manière de t’arracher ton arrogance ? Peut-être qui sait ? Tu obéis cependant, attrapant sa cravate et la déposant sur tes iris pour t’aveugler. Tu noues le tissu avec dextérité et des l’instant où il te prive de ce sens, les autres deviennent plus exacerbés. Tu frisonnes d’autant plus en tentant de le repérer dans la pièce. Tu mords doucement ta lèvre entre tes dents susurrant du bout des lèvres.


- Avez-vous idée de l’état dans lequel vous me mettez, Maitre ?




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MessageSujet: Re: After the storm comes the good weather - Reyvin   After the storm comes the good weather - Reyvin EmptyDim 4 Fév - 19:50

Elle a mangé quoi ce matin ? Après des jours de silence assourdissant, de retenue, d’esquives… Elle est à genoux devant moi et accepte de se donner à moi comme un jouet ? Elle veut jouer au maitre et à la soumise ? Mon sang bouillonne dans mes veines et si j’affiche un calme d’apparence, derrière mes yeux de glace, c'est le bouillonnement absolu. J’ai chaud, ma peau me tire tellement elle me met de la pression en dedans. Je suis nu, je viens de jouir et je suis plus raide que si elle s’était acharnée de longues minutes sur mon sexe avec sa bouche. On enterre la hache de guerre ? En fait de m’en tape de savoir si on remet les choses à plat, de savoir qui a fait quoi ? Qui est responsable, ce sont des conneries. J’ai faim d’elle et ça surpasse tout… Putain cette femme est dangereuse. Un danger absolu et total. Elle me fait valser toutes mes retenues et mes réflexions. Elle me force à agir en dépit du bon sens. C’est comme un courant d’air qui traverse l’appartement et qui fout en l’air tout ce qui est bancale et qui sans souffle d’air ne bougerait pas. J’oublie alors toutes notions de logique et de retenue et alors qu’elle m’attend nue à genoux face à un panel d’objets pour la dominer disposés sur mon lit, je m’avance et la désirant du regard je bifle son visage d’ange alors qu’elle me contemple de ses yeux pleins de vénération et de douceur. Merde… Elle réalise qu’elle est capable de me faire faire n’importe quoi cette femme ? Je tiens ses cheveux et renouvelle mes frappes sur ses joues avec mon sexe raide, la faisant encaisser ce geste presque barbare sans broncher avant de lui annoncer qu’elle doit m’appeler maitre et prendre la cravate pour la mettre sur ses yeux. Elle s’exécute et je m’écarte d’elle.

Ses yeux ont perdu la capacité de voir et tout son corps est vibrant et plus réceptif au reste de ses sens. Je me suis glissé derrière elle et agenouillé sans un bruit et quand elle me demande en me vouvoyant si j’ai une idée de l’état dans lequel je la mets, j’avance le bas de mon visage pour que ma bouche soit près de son oreille. Un murmure chaud et ardent s’en échappe et se glisse dans son oreille.

« Parfaitement oui… »

Ma main se pose sur sa nuque et je la bascule en avant la forçant à se retenir de ses mains pour finir à 4 pattes devant moi. Ma main libre se pose sur son dos et lentement mon index trace un chemin délicat le long de sa colonne vertébrale, la faisant se cambrer délicieusement sous le tracé brulant que je fais avant de venir sur ses reins. Je ralentis mais continue mon autre main toujours sur sa nuque. Mon index lui glisse encore et glisse plus bas avant de venir caresser sur son passage son anus avant de s’écarter. Elle se raidit sous la surprise et récolte une puissante claque qui explose contre sa fesse et résonne dans toute la chambre. La violence cuisante de cette frappe sur son cul me délecte alors que je dis d’une voix forte et autoritaire.

« Pose ta joue contre le sol, garde les fesses en l’air. Si tu pousses un cri je te forcerai à rester nue et les yeux bandés pour le reste de la journée… »

Je lâche sa nuque et colle une nouvelle claque sur la même fesse que je viens de frapper sans retenue. Je souris amusé avant de me pencher et de donner un tout petit coup de langue sur son anus histoire de contraster sauvagement avec la violence de mon cou. Je souris et lui murmure.

« Caresse-toi sans retenue. Massacre ton clitoris de tes doigts, fais-toi devenir folle. »
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MessageSujet: Re: After the storm comes the good weather - Reyvin   After the storm comes the good weather - Reyvin EmptyMer 14 Fév - 13:28





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Il te manque. Ton comportement ne l’ayant absolument pas exprimé durant ces jours de silence mais pourtant c’était le cas. Rien n’était plus facile pour toi. Il avait beau être dans le même logement que toi, tu n’as jamais été aussi éloigné de lui que durant ces quelques jours. Si ta colère était en mesure de tout submerger, tu t’es muré au silence pour simplement éviter de tout détruire, de tout mettre à feu comme tu le fais toujours. Si tu t’es contenue c’était pour simplement t’empêcher de fuir, et d’anéantir cette relation comptant déjà énormement pour toi. A présent, tu cherches à te faire pardonner et la manière dont Levin s’y prend pour te « punir » de ton silence est finalement tout ce dont tu as besoin. Que ce soit par des mots ou par son corps, tu n’as pas besoin d’explications. Tu reconnais le langage qu’il emploie. La manière dont il communique est limpide, il t’en veut de l’avoir obligé à s’éloigner, il t’en veut de ton silence et de ta manière de l’exclure de tes pensées, de ton corps et peut être aussi de son lit. Il n’en a pourtant pas dit un mot.


Alors oui, tu es prête à endurer lascivement chacun des caprices que Mr Duvanel décrétera nécessaire à l’assouvissement de ses sentiments. Tu lui voues une assez grande confiance pour savoir qu’il ne franchira aucune limite que tu ne sois pas capable de supporter. En as-tu en réalité ? Ton besoin de lui surplombe chaque crainte de toute manière. Tu as donc rejoint la chambre et proposé toi-même la suite du programme où il dirige et prend le contrôle. Un peu comme lors de votre rencontre, lorsque dans ces yeux une lueur étrange baigné ses iris et que tu as senti avec quelle facilité cet homme allait réussir à te dompter. C’est ce qu’il fait en te demandant de couvrir tes yeux, d’imposer le ton autoritaire d’un dominant sur sa soumise, et qu’à présent tout tes sens sont en alerte, sur le qui vive de le savoir si proche et si conquérant. Le jeu est finalement peut être ce qui vous réconciliera.


Aveuglée, ta peau se couvre d’une délicieuse érectilité prouvant l’état d’anticipation que Levin nourrit. Ta respiration se modifie, ton cœur bat plus fort alors qu’il se déplace. Tu repères sa position malgré sa discrétion, déformation de dizaines de mois pendant lesquels ton second, t’a formé aux techniques de combat et de riposte. Levin n’est pas une menace, en tout cas, pas une menace non désirée. A son contact tu vibres follement, tu oublies qui tu es, le passé, le présent, le futur, ça n’a plus aucune espèce d’importance. Tant qu’il reste là. Tu le sens dans ton dos et tu frisonnes sentant son souffle s’approcher alors que tes lèvres se pincent alors qu’il dit savoir exactement ce que tu ressens. Peut-être. Mais tu en doutes, lui n’a jamais ressenti ce que c’était d’être sous l’emprise totale de quelqu’un, d’être conditionné à ne penser qu’à ce que l’autre désire en s’oubliant au passage. La main qui rejoint ta nuque te pousse à te vouter en avant et te fait tomber maladroitement sur tes paumes de main. Tu entrouvres la bouche sentant la position devenir une invitation. Une décharge électrique émanant de ton dos se fait sentir au passage de son doigts sur ta colonne. Comment fait-il pour éveiller en toi des sensations aussi dingues ? En réponse ton corps se cambre, dressant un peu plus fièrement des rondeurs de fessiers à son égard. La destination de son index te fait quelque peu tressaillir à l’instant où une zone érogène est stimulée. Une inspiration courte mais intense se fait sentir et vivement une fessée t’est administrée t’arrachant un vif cri. Tu te reprends la surprise t’ayant égarée, alors que tu serres la mâchoire il ordonne te déposer ta joue au sol et tu obéis. Sagement et sans réprimande, tu veux lui faire ce cadeau. Tu n’as jamais laissé personne faire ça, avoir un contrôle entier et sans barrière sur toi. Tu t’es jurée il y a longtemps que personne n’aurait jamais ce pouvoir… Et aujourd’hui tu acceptes de tout lui céder. Tout jusqu’à ce qu’il ne reste plus rien, parce qu’au fond tu as beau te retenir, tu en demeures totalement éprise. Les ordres tombent il te veut silencieuse et tu abandonnes un sourire en coin qu’il ne peut que voir malgré ton visage plaqué au sol. Tu sens une nouvelle frappe sur ton fessier et malgré la surprise tu ne retiendras ce souffle portant un cri qui menace de s’échapper de tes lèvres. Ton entre jambe subit le double effet de sa domination. Tu sens la morsure rouge sur ta fesse, et pourtant tu sens ton intimité pulsée très fort. Sans prévenir un coup de langue passe entre tes fesses et tu mords brusquement tes lèvres. Tu as envie de murmurer son nom, tu as envie de lui dire de continuer, de le toucher mais il t’a privé de tout ça. Tu l’écoutes t’ordonner de te toucher et subitement tu comprends que toi aussi tu peux le rendre dingue sans même le toucher. Ta main droite se glisse entre tes jambes, tu rejoins l’endroit indiqué mais non sans te toucher la poitrine, le ventre et les cuisses au passage. Tu entrouvres la bouche, haletante peut être un peu plus démonstrative que d’ordinaire. Mr Duvanel a décidé de prendre le contrôle… Parfait, mais tu ne compte pas un seul instant lui mener la vie plus douce pour autant. Ta main glisse contre ton sexe humide et chaud de part sa faute. Tes doigts coulissent doucement en toi, attisant un feu qui ne lui est qu’uniquement destiné. Tes doigts se jouent de tes sensibilités et quelques spasmes d’anticipation te sont arrachés. Tu attrapes ta lèvre inférieure et la mord dans un pur geste d’arrogance. Tu soupires sensuellement en poussant tes caresses à se faire plus précises, et ton corps s’agite doucement contre ta main. S’étirant toujours plus en sa direction. Tu sais que te faire jouir ne sera pas compliqué vu ton état d’excitation mais, as-tu vraiment envie de le lui donner aussi facilement ?


- Vous devriez peut-être… hum. Me montrer Maître…


Comment pousser un homme à vous toucher ? En lui demandant de vous montrer, et en l’occurrence… Tu sais déjà que le moindre contact de Levin te poussera bien plus loin qu’un gémissement


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MessageSujet: Re: After the storm comes the good weather - Reyvin   After the storm comes the good weather - Reyvin EmptyVen 1 Mar - 23:12

Est-ce que je suis en train de rêver ? Est-ce que je suis vraiment en train de vivre ce que je vis ou vais-je me réveiller noyé dans mon vomi et l’alcool ? Non ce ne serait pas mon genre de me déglinguer la tronche avec de l’alcool pour oublier une douleur. Je contemple Reyna qui semble moins sombre et énervée que ces derniers jours. Mieux encore. Nous venons enfin de nous parler, enfin parler… On va dire échanger des mots. Car en général je parlais et elle hochait la tête et continuait sa vie. Si bien que j’ai fini par ne plus parler. Puis au réveil, elle était là, différente. Comme le soleil après la pluie. J’ai même fait l’amour avec elle et là… Elle… Est en train de me faire découvrir une toute nouvelle facette d’elle-même et je crois que j’adore ça… Et moi je préfère ne pas parler de cette sensation que Reyna est en train de mettre un pied dans mon monde. Car si j’avais été passionné et « soft » avec elle. Je suis du genre à aimer les jeux pervers et les relations « maitre et dominée » dans mon intimité… Je suis un homme puissant et de pouvoir même si je m’efforce de ne pas attirer l’attention sur moi pour qu’on me redoute et qu’on s' imagine des choses sur moi. Parfois mon portrait est bien pire que ce que je suis. Il suffit de voir Reyna m’appeler « le requin ».

Elle est à genoux au sol dans ma chambre et vient de se coller une cravate sur les yeux en guise de bandeau, saisie par la nuque je la met au sol la joue sur le parquet. Je caresse du doigt sa colonne vertébrale de ma main libre et penché sur elle je contemple mon sexe dressé face à ses fesses divines et je frissonne d’extase. Mon index passe sur son anus et ma main s’abat sur son cul. Les ordres que je prononce sont clairs et sans appels. Je libère sa nuque et frappe de nouveau son cul avant de venir me pencher et lécher son anus avant de lui ordonner de se caresser et de massacrer son clitoris à s'en rendre folle… Si je ne vois pas son regard, je constate les réactions de son corps qui en vibre déjà. Et rapidement elle fait venir sa main entre ses cuisses elle se caresse et j’alterne entre caresses sur son anus et claques puissantes sur ses fesses. Je veux qu’elle se donne du plaisir en se faisant malmener entre plaisir et douleur.

« Oh… La soumise conseille le maitre ? »

Ma main claque sur son cul sans ménagement suivi d’un second coup. Je la regarde sursauter et lui dit alors d’une voix forte après un dernier coup sur son cul.

« Alors mets tes mains sur tes fesses et tu les tiens bien écartées… »

Vilaine petite allumeuse qui refuse de suivre les recommandations et qui exige… Je vais la mater… Je me penche en avant et me cambre pour atteindre son intimité de ma bouche. Je passe ma langue sur ses lèvres intimes que je force avant de caresser la zone rosée et sensible de son sexe pendant que je pince délicatement son clitoris de mes doigts. Ma langue tourne et s’enfonce en elle avant de faire des va et viens et de sortir pour replonger en faisant des cercles caressant ses parfois intimes pour ressortir et glisser délicatement sur son anus que j’écrase et accable doucement avant de tendre ma langue et de venir jouer avec pour faire mine de l’enfoncer dans son cul par petits accoups sans jamais la rentrer vraiment. Je souris avant de me redresser et cette fois mon pouce masse son anus et pendant que ma main quitte son clitoris je viens me placer derrière elle et prenant mon sexe en main, je le lève sèchement vers le haut pour frapper son clitoris avec mon gland plusieurs fois avant de venir caresser son intimité en glissant contre sans jamais la pénétrer. Mon pouce joue avec son anus sans jamais le perforer… Je souris en regardant la scène amusé.

« Avec un peu d’entrainement un jour tu pourras faire sans bandeau… »

Histoire de la provoquer un peu alors que je souris de délice devant cette scène étourdissante pour moi…
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MessageSujet: Re: After the storm comes the good weather - Reyvin   After the storm comes the good weather - Reyvin EmptyLun 11 Mar - 15:00






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Tu te hais d’être ainsi. Tu détestes ce qu’il a pu voir de toi ce fameux soir où cette nana t’a provoquée. Si tu ne regrettes aucunement ton geste, non tu ne regrettes rien, il n’en reste pas moins que tu te méprises de t’être laissé aller sous ces yeux à lui. Tu aurais voulu être à la hauteur de l’homme qui t’inspire des sentiments qui te dépassent aujourd’hui. Tu aurais voulu te montrer moins impulsive, plus respectable. Mais tu ne l’es pas… Au lieu de cela, il a vu la part de toi la plus sombre, celle qui te domine, te donne des envies de meurtre, celle qui est difficilement maîtrisable et qui parfois te fait basculer vers une limite qui n’a rien d’acceptable. Tu ne comprends toujours pas pourquoi il a refusé que tu t’en ailles… Ta crise lui a couté, une voiture, des heures de disputes, une tentative d’homicide, et une frustration n’acceptant aucun mot durant des jours. Tu ne lui apporteras sans doute jamais que des ennuis, il s’obstine pour une raison qui t’échappe à te vouloir auprès de lui, mais un jour il se rendra compte de l’erreur qu’il a commise.


Si tu t’en veux d’être ce que tu es, tu réalises que le manque de lui se fait de plus en plus insupportable. Ton prénom sur ces lèvres inconscientes a signé le coup de grâce, il ne méritait rien de ce que tu lui as fait subir, et ceux même si c’était toi que tu cherchais à punir en le tenant à distance. Tu as eu besoin de te faire pardonner à présent, besoin de lui montrer que tu t’en voulais de l’avoir tenu à distance et qu’il te manquait. Il n’a pas été difficile à convaincre, il n’a même exigé aucune réponse, il s’est saisit de toi et sans un mot a repris ce qui lui appartenait. Levin a le pouvoir de vous rendre folle sans même demander quoi que ce soit. C’est pour cette raison que tu n’as posé aucune question et que tu as décidé de rejoindre cette chambre pour jouer à ce genre de jeu dont il t’a donné un aperçu lors de votre rencontre. Tu as toujours vu en lui un dominant, un homme de pouvoir qui prend ce qu’il estime de son droit. Si votre rencontre a été bercée par une empreinte légèrement autoritaire, votre attachement et tendresse mutuelle l’a rapidement étouffée. Soumis à des aléas qui ont bien faillit t’être fatal, aujourd’hui tu voulais lui offrir ce qu’il semblait grandement apprécié lors de votre rencontre. Cravate sur le visage, pas le moindre vêtement sur ton épiderme te protégeant de l’appétit de Mr Duvanel, tu lui ai totalement dévouée. Tu pinces tes lèvres en un sourire alors que son sexe vient se jouer de ta joue. Jusqu’à ce que son pouvoir finisse par prendre de l’ampleur, t’obligeant à une position te soumettant à lui. Ta bouche s’assèche instantanément en découvrant ces gestes, ces ordres. Tu fais de ton possible pour obéir mais ce n’est pas quelque chose qui est dans ta nature. Tu inspires fort en sentant ces caresses, la surprise de ces fessées t’oblige à te mordre la lèvre inférieure afin de ne pas devenir bruyante. Ta main rejoint ton entrejambe et la sensibilité que tu te découvres est d’une ferveur que tu ne t’imaginais pas. La bouche de Levin s’appose sur un endroit encore plus délicat de ton anatomie et tout en te massant, tes doigts s’enduisent du fruit de l’excitation dont il est responsable. Tu l’écoutes ironiser sur le fait que la soumise conseille son dominant et vicieusement tes doigts remontent entre tes cuisses et s’apposent contre ses lippes, les agitant afin de lui faire gouter ta propre excitation. Une frappe retentie et tu manques de gémir, une seconde s’abat et ton corps se tortille sous ces fessées qui n’ont pas pour seule effet une décharge piquante. Au fond de toi, un nœud foncièrement agréable se noue et t’oblige à rassembler toute ta volonté pour ne pas monter trop vite. Levin t’ordre de venir déposer les mains sur tes fesses et tu obéis en écartant lentement les deux globes rebondis qui te caractérise. Levin se penche et soudainement sa bouche se pose sur ton intimité offerte et surprise un lourd gémissement s’échappe de ta bouche. Tu ne l’attendais pas et la sensation provoque des tremblements dans tes jambes qui te soutienne.


- Levin…


Sa langue titille ton intimité mais s’aventure dans des baisers plus exotiques et ton esprit se perd sous ces caresses affriolantes. Ton corps s’arque, réclame son contact, il obtient ce qu’il désire de toi. Tu ne deviens que désireuse de son intérêt quoi qu’il soit, pourvu qu’il ne s’arrête jamais de te contempler, de te toucher, ainsi positionné et attentionné. Tu frisonnes alors que son doigt relaye sa langue aventureuse et que tu le sens se redresser pour venir taper de son membre ton sexe échauffé. Celui-ci s’amuse de toi, coulisse, tapote, frotte mais sans jamais te donner assouvissement.


- S’il te plait… Levin…


C’est plus fort que toi, tu supplies. Tu ne la probablement jamais véritablement fait mais à cet instant, il pourrait te demander n’importe quoi tu obéirais à condition qu’il continue de s’occuper de toi. Il doit grandement apprécier la scène, ton corps spastique prêt à tout pour l’avoir lui, ta bouche entrouverte, soufflant de expirations chaudes portant son prénom, ton être purement et simplement à sa merci. Tu l’entends dire qu’un jour tu pourras sans doute enlever le bandeau et un sourire se dessine sur ta bouche. Tu entends parfaitement la provocation, mais pour une fois tu n’y réponds pas, restant à ta place, susurrant du bout des lèvres dans un soupires chauds.


- Je suis prête à subir chaque entraînement que vous jugerez nécessaires Monsieur.

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MessageSujet: Re: After the storm comes the good weather - Reyvin   After the storm comes the good weather - Reyvin EmptyDim 7 Avr - 21:01

Suis-je fâché de ce qui est arrivé ce soir-là ? Je ne pense pas. J’ai eu peur. La voiture j’en joue car elle cristallise une peur bien plus grande qui crée une faille glaciale en moi. Perdre Reyna. J’ai cru mourir. J’ai beau baliser les choses, ce jour où j’ai appris par Zélie qu’un contrat avait été mis sur la tête de Reyna et que tout était déjà en cours je me suis senti seul et inutile. C’est le petit flic qui l’a sauvée et quand j’ai vu cette femme qui est la seule chose sur cette planète irremplaçable à mes yeux et sans qui ma vie n’aurait plus de sens dans cet état lamentable… C’était terrible. J’ai mis du temps à calmer cette angoisse de la perdre. Et cette soirée m’a fait prendre conscience que si la vie ou d’autres personnes pouvaient me l’ôter, elle pouvait également s’en aller. Je pouvais la perdre. Et même si elle était là… Cette distance entre nous. Ce regard qu’elle ne posait plus sur moi. L’absence de tendresse, l’absence de provocation. De vie… Tout ça m’a atteint et aurait pu me détruire. La trouver ce matin disposée à tirer un trait sur tout ça m’a soulevé le cœur hors de cette chape de plomb qui détruisait mon cœur. Je ne veux pas la perdre. Je crois que je serai incapable de la perdre. Je ne veux pas. Je refuse.

Je crois que je commence à savoir quel mal me ronge et j’en suffoque de plaisir et de peur à la fois alors que je contemple cette femme qui embarque dans un monde de délice et de contrôle que j’aime parcourir. Je la regarde en réalisant que j’ai le cœur qui s’affole… Qu’elle rend la moindre caresse plus douce à donner… Merde… Je souris en réalisant ce que je ressens pour elle et je décide de le garder pour moi en la gratifiant d’une claque sur le cul. Je joue avec elle et remet une fessée puissante quand elle m’appelle Levin de manière lascive. Elle gémit sous ma langue qui la caresse et la découvre avec sensualité. Je flirte avec des zones que nous n’avons pas encore exploré et je m’en amuse car ses réactions de plaisir m’indiquent que j’ai la possibilité de jouer à ces endroits… Je me redresse et joue alors avec mon sexe à frapper ses fesses et son intimité. Elle me supplie m’appelant par mon prénom et je la nargue de mots brulants et immédiatement elle se soumet dans son rôle et m’appelle monsieur… Je claque son cul une nouvelle fois et gémit d’une voix forte et grave

« Maitre… »

Elle s’amuse je le vois dans son sourire, mais j’aime son trouble et j’aime jouer avec son corps qu’elle m’offre en pâture. Joueur, je laisse couler un filet de salive de ma bouche sur son anus. Elle peut sentir le liquide chaud s’y déposer et lui faire sentir ce qui va venir. Mais mon pouce étale le liquide alors que mon sexe se place contre le sien. Lentement, tenant ma verge de ma main, je joue avec son intimité. Je la caresse et la menace de la pénétrer sans jamais le faire alors que mon pouce joue avec l’élasticité de son anus. Je joue et soudain, je pousse délicatement et perfore son anus. Mon pouce y est à peine enfoncé et joue très lentement alors que je frotte mon sexe contre son intimité pour la rendre folle…
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MessageSujet: Re: After the storm comes the good weather - Reyvin   After the storm comes the good weather - Reyvin EmptyMar 9 Avr - 14:14




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Enflammer un corps c’est facile. Avec l’expérience, il suffit de quelques caresses bien dosées, bien placées. Quelques brusqueries, ou au contraire doux effleurements. Un corps reste un corps, si chaque individu est différent, tous possèdent cependant un point faible. Un point tactile qui le fera dégoupiller si on le stimule correctement. Ajouté à cela, des baisers lascifs, mêlant sensualité, assurance et séduction, et vous mettrez feu à la moindre fibre nerveuse de votre partenaire. Enflammer un corps oui, c’est simple. Consumer une âme en revanche, demande bien plus d’investissement. Ça nécessite de percer une carapace, jalousement protégée. Ça demande de la patience et un accord mutuel de vos âmes à échanger dans un même dialogue, de se livrer. Entre toi et lui, les fibres nerveuses sont enduites de flammes. Un seul de ses regards et ton corps s’immole, comme si sans un mot il savait prendre ton contrôle et te faire oublier tout le reste. Tu ne t’explique pas le pouvoir qu’il a sur toi. Il y a encore quelques temps, tu l’aurais fui, tu te serais enfui loin de tout ce qu’il représente pour la simple et unique raison de garder ta liberté, de ne dépendre de personne. Tu en as eu envie lorsque vous vous êtes disputés. Tu as fixé plusieurs fois cette porte d’entrée, envisageant de tout détruire de la beauté de votre histoire. Ça n’aurait pas dû être aussi compliquée… Sauf que chaque fois que tu l’envisageais, l’air venait à se raréfier. Ta cage thoracique devenait oppressante et ta gorge se serrée. Renoncer à lui c’était comme renoncer à l’air nécessaire à ta survie. « Bien joué Duvanel… Ton poison est devenue le remède à ma survie »


Et son remède, ton corps en bénéficie enfin après un temps qui t’a semblait une éternité. Chacune de ces caresses sur ta peau te rendant plus sensible aux suivantes. Tu as décidé de jouer à ce jeu qu’il avait entrepris lors de votre rencontre. Un jeu où il prend les commandes et où tu lui octroies les pleins pouvoirs. Vulnérable, le fessier en évidence chaque mouvement de ton partenaire a le don d’affoler tes sens. Son prénom sort de tes lèvres en une litanie essoufflée chaque fois qu’il effleure tes zones sensibles. Sa langue contre ton orifice est une torture à la fois sensuelle et terriblement frustrante, tu veux plus. Plus de lui. Tu ne sais pas tout du sexe, tu sais ce que tu aimes mais tu ignores encore à quel point les contrés peuvent être lointaines. Tu pourrais avoir peur, mais ce n’est pas le cas, et c’est tout le problème. Levin Duvanel possède entièrement ta confiance et c’est bien ce qui te fait le plus peur. Une fessée t’es administré à l’instant où un filet chaud coule entre tes fesses. Tu gémis fort, ton intimité pulse fort, encouragée par le membre de Levin qui le tapote de manière particulièrement frustrante. Il te corrige, pour ne pas l’avoir appelé de la bonne manière. Un large sourire s’étire dans un souffle sensuel alors que tu murmures.


- Je vous veux, Maitre…


Ton fessier pousse vers son bassin, oui tu le veux. Tu sens le pouce de ton partenaire se presser contre l’entre de ton fessier et tu fronces doucement les sourcils sous l’inconnu et l’appréhension. Tu ne ressens toujours aucune peur, pire, tu pousses à nouveau afin de découvrir ces sensations. Son membre s’amuse contre ton intimité et t’y tente de t’y frotter. Chaque parcelle de ta peau l’appelle lui, rien que lui. Tu as envie de son corps, de ses lèvres sur ta peau, de son souffle. Tu veux l’entendre, prendre son plaisir sans attendre le moindre accord. Cette particularité dominante, n’a été qu’une facette qu’il t’a brièvement montrée. Tu veux découvrir son univers et le gouverner, en maîtrisant ce qu’il aime.


- Apprenez moi à gouverner votre univers… Maitre.


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MessageSujet: Re: After the storm comes the good weather - Reyvin   After the storm comes the good weather - Reyvin EmptyVen 26 Avr - 11:57

Je joue avec Reyna lui dévoilant enfin ce plaisir que j’ai à prendre le contrôle de certains échanges, ce plaisir ardent qui consiste à prendre le temps, à jouer sans retenue sur ses points faibles. J’aime les débusquer, trouver ce qui plait à mon amante et la faire crever d’envie. Si je m’écoutais, je chercherais à la faire jouir par des caresses si légères qu’elle aurait l’impression qu’un papillon l’effleure… Je continue de jouer avec mon pouce sur son anus sans le faire céder alors que mon sexe joue contre le sien. Il écrase et frotte son clitoris pousse contre l’entrée de son corps sans y entrer vraiment. Il écarte ses lèvres intimes et joue encore et encore. Il se fait oppressant et diffus. Je continue de me frotter contre elle avant de venir lécher doucement sa colonne vertébrale, faisant entrer le bout de mon sexe en elle et me retirant alors que ses hanches poussent vers moi pour pousser la pénétration. Je joue avec son corps. Je m’amuse de ses réactions et des supplications de son désir. Je veux la mettre au supplice pour que la libération soit douce. Soudain sa voix fend l’air « je vous veux maitre… » Je le sais parfaitement… Et pourtant, l’entendre est plus doux que le miel. Je la sens pousser et mon pouce s’invite dans ses fesses. Elle se crispe de plaisir et je sens un frisson délicieux la parcourir… Je fais lentement bouger mon doigt en elle alors que je me masturbe plus vivement pour que le bout de mon sexe frotte vivement le sien et la masturbe de concert. Je nous caresse ainsi simultanément alors qu’elle me demande de lui apprendre à gouverner mon univers… Je souris et doucement je laisse enfin coulisser mon sexe qui entre délicatement dans son corps. Juste à peine. Je lâche mon sexe et glisse ma main sur son dos agrippant ses cheveux pour tirer dessus et lui faire relever la tête, le menton, puis se redresser pour la tourner et la faire coucher sa tête sur le matelas. Le haut de son corps est couché sur le lit quand ses genoux écartés sont encore au sol et que je suis planté d’un tiers en elle mon pouce enfoncé d’une phalange dans ses fesses.

« C’est déjà le cas Reyna Hazan… Je suis totalement fou de toi. »

rougis de cet aveu sincère qui me fait bizarre dans le ventre au moment où je le prononce. Merde je me sens si angoissé d’avoir dit ça que j’ai subitement envie de m’enfuir. Je ne veux pas de réponse. Je ne veux rien entendre en réponse à ça. Je prends mon élan et mon bassin claque contre son cul poussant d’un coup sec toute la longueur de ma verge au fond de son corps. Je m’y plante sans ménagement et une fois en elle, tremblant de plaisir je recommence à la marteler sèchement. Je me couche presque sur elle et mon pouce s’enfonce de plus en plus. Vautré sur son corps la tenant prisonnière entre le lit et moi possédant ses deux orifices et ses yeux toujours bandés par la cravate je me déchaine sur elle venant la mordre au niveau de l’épaule quand pour ajouter à son odieux supplice je passe ma main qui tenant ses cheveux entre son corps et le matelas. Je trouve son bouton de plaisir et le pince entre mes doigts avant de chercher à le maltraiter pendant que je la besogne sans retenue mordant sa peau et poussant finalement tout mon pouce dans ses fesses alors que je grogne de plaisir à m’acharner sur elle comme ça… Putain cette femme me rend complètement fou… C’est vertigineux. Insensé. Terrifiant. Éprouvant… Et… Magnifique.
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Date de naissance : 15/05/1994
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Statut civil : Celibataire
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MessageSujet: Re: After the storm comes the good weather - Reyvin   After the storm comes the good weather - Reyvin EmptySam 4 Mai - 10:23






❝ Reyvin ❞
- Reyna Hazan & @Levin Duvanel  -
After the storm comes the good weather 
   
Confier le contrôle de ton corps à quelqu’un n’est pas réellement quelque chose de naturel chez toi. Tu as toujours été une femme indépendante, désirant contrôler ton destin comme tes envies en te moquant des règles. Ta vie, tu as désiré la créer envers et contre tout. Refusant cette condition que parce que tu n’avais aucune famille, tu n’aurais aucun avenir si ce n’est celui qu’on réserve aux trainées ou aux drogués. Tu avais accepté l’idée que tu ne serais jamais celle pour qui on se bat, celle avec qui on désire réellement construire quelque chose. Après tout, qui aurait souhaité cela ? Tu n’as rien eu à apporter si ce n’est ton lot de misère et de douleurs. Sans doute est ce cette explication qui ne t’a attiré que le béguin pour des connards ou pauvres merdes similaire à toi. En découvrant qui était ta véritable famille, tu as hérité d’un statut différent, d’un pouvoir. Odessa t’a permise de devenir quelqu’un d’autre, même si tu continues de penser que la noirceur que tu as nourrie depuis ta naissance sera toujours un frein, une laisse qui t’empêchera toujours d’être heureuse. Et pourtant, il y a ce mec. Levin qui apparait un jour dans tes sombres méandres et pour une raison qui ne s’explique absolument pas, décide que tu sembles en valoir la peine. Sans relâche il s’impose, cherche à s’imprégner dans ta vie… Pire, il désire se battre pour en faire pleinement parti. Il a la possibilité de se créer des millions de destin et il semble vouloir miser sur la femme la plus pitoyable de l’univers. Tu n’explique rien de ce qui se passe entre toi et lui, tu ne sais même pas vraiment ce que vous représentez l’un pour l’autre, mais tu es forcé de reconnaître que tu t’attaches à lui, qu’il compte.


L’orage s’est dissipé, les éclairs ont décidés de finalement s’évanouir tout comme le tonnerre. Vos corps se retrouve, fou de désir l’un pour l’autre. Comme si votre âme avait besoin de reprendre la dose nécessaire de poison que l’autre à offrir. Au travers de ses gestes, de ses caresses, de sa poigne et de ses baisers tu sens l’incendie dans ton corps se propageait. Ce contrôle que tu n’avais jamais voulu partager, il le possède. Sans avoir eu besoin de le négocier, sans avoir fourni le moindre effort pour y parvenir tu lui cèdes. Dans l’intimité de sa chambre, il prend le contrôle sur ton âme, ton esprit et tout ce qui te compose. Il fait irradier en toi des délices auquel tu n’avais jamais songé auparavant. S’il semble terriblement autoritaire, rien en toi ne souhaite le défier. Non, chaque parcelle de ta peau savoure l’intensité de l’instant cet ultime pouvoir qu’il a et qui t’enflamme. Cette litanie qu’il fait jouer en frottant constamment son membre contre ton entre, alliant cette tension à une autre contre ton orifice anal qu’il stimule de son pouce. Le brasier que son corps fait naître en toi est suffoquant. Tu peines à trouver l’air nécessaire alors qu’il se joue de toi, léchant la peau de ton dos qui s’arque plus fort sous ses baisers. Tu le veux, tu le veux avec une telle envie que ça en devient douloureux. Son membre qui ne cesse de caresser le tien, se retrouve enduit de ton envie. Tu lui avoue vouloir le gouverner et soudainement il s’infiltré en toi et arrache un gémissement que tu ne maîtrises absolument pas. Tu le sens se contrôler, il ne s’insère pas totalement provoquant ton corps qui pousse pour venir s’empaler plus fort. Tu le sens attraper tes cheveux et t’obliger à te redresser. Ton souffle est devenu haletant alors que tu le cherches de tes iris. Il t’installe sur le rebord de son lit et tu couines sensuellement en obéissant à chacune de ces demandes. Il te chuchote que c’est déjà le cas, qu’il est fou de toi et l’impacte de ces mots semble véritablement te consommer. Tu tentes d’apercevoir ces iris à l’aveu qu’il vient de te fournir, même si tes yeux sont bandés, d’y réagir mais brusquement il s’enfonce entièrement en toi, et t’arrache un cri sans équivoque. Tu tentes de trouver une force qui te permettrait de te raccrocher mais rien ne peut t’aider à te retenir lorsque Levin se déchaine alors sur toi. Son corps se met brutalement à l’œuvre, son pouce stimulant toujours ton orifice, tu ne tiendras pas longtemps. Tu le sais c’est trop rapide, trop brûlant, trop intense pour réussir à retenir quoi que ce soit. Il approche et mord ta peau, le piquant de son geste élançant une vague plus forte de plaisir.


- Maitre…. Han pitié…


Tu sais qu’il sourit, tu le connais le devine, et brusquement il ajoute à ta torture divine, les caresses de ces doigts contre ton bouton de plaisir. Tu ne possèdes plus rien, plus aucune maitrise et d’une vigueur sans pareille, il te fait jouir. C’est puissant, d’une intensité sans pareille lorsque tu cries vivement et que ton corps se raidit brusquement en sentant la vague électrique qui dévale ton corps. Le vertige te saisit et il semble d’une hauteur incroyable. Tu peux sans nul doute attester que c’est la première fois que tu es lâchée d’aussi haut. Tu t’abandonnes à lui, lui confiant absolument tout. Tes tremblements émanent violemment et dans un soupire son prénom raisonne. L’orgasme qui te transperce perdure durant de longues et divines secondes. Te rendant après son passage semblable à une médiocre poupée de chiffon. La pression redescend quelques temps après, te laissant pantelante sur un petit nuage alors qu’il te relâche. Toujours à demi couché sur toi, haletant. Tu attrapes ton bandeau l’envoi valsé, et cherche alors rapidement ces yeux. Et à l’instant où tu les perces, tu te souviens de ce qu’il a dit. « Je suis totalement fou de toi ». Tu te dégages de lui, sentant la sensation de son membre abandonnant le tien et plaque tes deux mains sur ces joues en te tournant pour te jeter sur sa bouche. Tu étais sensée te tenir bien, et être une bonne soumise mais à cet instant, tu t’en tapes. Il y a des choses qu’on n’explique pas, la violence d’une tempête, l’intensité d’un brasier, la dureté de la glace. Et il y a cette alchimie entre toi et lui. Ouais… Tu mettrais le feu à cette planète pour lui. Tu l’embrasses avec force oui, mais avec la volonté qu’il comprenne comme il compte, comme tu ne fais pas le poids contre lui. Tu l’attires sur le lit avec toi et te couche sur ton flanc, lui faisant face, tes lèvres ayant bien du mal à s’éloigner des siennes. Tes iris prennent la nuance de la malice, ton sourire revenant errait sur ton visage.


- Je veux d’autres entrainements…


Ouais tu veux recommencer ça, plus souvent. Tu presses à nouveau sa bouche et dépose ton front contre le sien, apaisée pour la première fois depuis des jours.


- Tu me manquais…  


Cet aveu s’échappe de tes lèvres sans que tu n’ai réellement compté lui dire.



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Levin Duvanel
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MessageSujet: Re: After the storm comes the good weather - Reyvin   After the storm comes the good weather - Reyvin EmptyHier à 14:52

Je crois que je voulais maitriser et contrôler et je crois qu’au final je ne contrôle et ne maitrise plus rien. Je viens de me planter en elle et je réalise combien cette femme me fait suffoquer. Je la caresse ajoutant des caresses intenses et passionnées par-dessus mes assauts mais je fonds totalement pour elle. Elle se débarrasse du bandeau alors que je la mords, que ma main joue avec son bouton de plaisir et que l’autre perce d’un doigt son anus pendant que mon sexe va et vient passionnément dans le sien. Je tremble et je suffoque alors que je suis dans une posture étrange appuyé sur mes genoux courbé sur elle à me déchainer. Elle se débat et elle jouit rapidement dans un orgasme puissant. J’avoue que je ne m’attendais pas à la voir déclencher si rapidement mais je crois qu’elle a été particulièrement sensible à ma manière de jouer avec elle et de faire monter son désir, surtout que je n’ai aucune envie de la ménager. Je veux qu’elle jouisse à s’en sentir totalement démunie… Mon corps tremble et se crispe et je ne la relâche pas. Je voudrais jouer avec ma jouissance, mais mon corps est aspiré par le sien et je n’éprouve aucun désire de le quitter. Alors je m’y plonge et m’y replonge encore et encore. Je la frappe sans retenue la stimulant quand son orgasme déclenche le mien. J’explose me noyant au fond d’elle en tremblant frénétiquement contre elle donnant l’impression que nos deux corps sont sur vibreur. Les minutes filent et nous restons ainsi. Je n’ai pas envie de bouger et je tremble alors qu’elle se dégage de moi avec une force et une aisance que je ne lui connais pas. Je réalise alors toute la complexité de sa musculature et de sa souplesse qui font d’elle une ancienne danseuse athlétique et aujourd’hui une voleuse de haut vol. Elle se dégage et mon sexe quittant le sien m’arrache un soupir de plaisir alors que je libère aussi ses orifices de mes doigts. Mais rapidement ses mains encadrent mon visage et sa bouche part à l’assaut de la mienne. Je l’embrasse avidement répondant à ses baisers furieux alors qu’elle me guide et qu’on se couche ensemble sur le flanc.

Coupant le baiser elle sourit avec malice me déclarant qu’elle désire d’autres entrainements et la revoilà à l’assaut de ma bouche avec cet air ravi et souriant. Putain que ça m’avait manqué. Que j’ai eu mal en dedans de la voir aussi froide et distante. Que c’est difficile de ressentir son détachement alors qu’elle est si proche et qu’elle est devenue mon oxygène. Je réponds à son baiser avant qu’elle n’avoue que je lui manquais, et cet aveu fait un boum délicieux dans mon ventre. Je roule sur elle venant la couvrir de mon corps et la regarde dans les yeux en caressant sa joue du revers de mes doigts mes yeux glacés plantés dans les siens.

« Je n’aime pas les conflits… Et je vais adorer jouer avec toi comme bon me semble… »

Je souris et l’embrasse délicatement enroulant ma langue à la sienne. Puis doucement détachant ma bouche de la sienne je me redresse en la regardant. J’aimerais passer la journée à la démonter dans chaque pièce de cette maison, mais j’ai un rendez-vous que je souhaite honorer.

« Allons à la douche et enfile des habits, j’ai un truc à faire et tu m’accompagnes… »

Je me relève et l’entraine avec moi prenant sa main pour l’emmener à la salle de bain. J’entre dans ma douche à l’italienne et l’eau commence à nous tomber dessus. Je la regarde et lui dit alors.

« Et avant que je continue de t’entrainer, j’aimerais que tu réfléchisses à l’idée de venir t’installer ici… Avec moi. »
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