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Ah ! San Diego ! Cette ville emblématique de la Californie et de sa douceur de vivre. Un climat chaud, des plages sublimes à perte de vue qui bordent l'océan Pacifique. Difficile de ne pas succomber à son charme de carte postale, et pourtant ... Avouons-le, la belle photo sur papier glacé dissimule dans l'ombre de nombreuses rivalités. Au coeur de la ville un dilemme rode, Pick a Side or don't !En découvrir plus
Les températures moyennes fluctuent de 19 ° (février) à 27 ° (août).
03/04/2024 : V5 forum entièrement recodé par Koalavolant, Header par Geits. Lex pour les petites mains.19/11/2023 : La temporalité s'adapte au rythme RP, nous restons sur le printemps-été 2023.03/02/2023 : V4 par Geitgets, Lex à l'harmonisation des couleurs.11/02/2022 : V3 par Geitgets.10/09/2021 : V2 par Andie.26/06/2021 : Bienvenue sur Pick a Side, un forum city évolutif. ☁ Sur lequel se déroulent plusieurs intrigues au long cours, que vous pouvez vous-même alimenter et faire évoluer. ☁ Propriété complète de son équipe : Lëx (Claï).
Une journée tranquille qui débute par un réveil quelque peu tardif. Je ne sais pas trop ce qui m'arrive ces jours ci, mais j'ai encore plus envie de me cocooner que d'habitude. Je me lève dans notre appartement, calme et vide. Theo et Masha doivent déjà vaquer à leurs occupations. Je dois télétravailler, mais le gros avantage de ce poste que j'ai dégoté, c'est que je suis très libre vis à vis de mes horaires. Tant que mes dossiers sont bouclés en fin de journée, personne n'y voit rien à redire et je m'avère de plus en plus efficace. J'enfile un tee-shirt informe et trois fois trop grand pour moi, me prépare un thé et je mets de la musique. Un moment de plaisir à écouter un morceau que j'affectionne tout en dégustant un thé vert aromatisé à la vanille. C'est une sorte de madeleine de Proust pour moi, sans que je m'explique bien pourquoi. Je me suis installée sur la terrasse, profitant du soleil du matin. Il ne fait pas très chaud, mais les rayons sont agréables sur la peau nue de mes jambes.
Je laisse mes pensées vagabonder, lentement et mon esprit erre d'une idée à une autre. Mes neveux d'amour, mon frère que je dois voir demain, ma carrière brisée... et je tente désespérément de bloquer cette pente, avant de me souvenir de ce qu'à dit cette thérapeute que j'ai accepté de rencontrer, une fois. Vouloir bloquer le cours de mes pensées, c'est le renforcer, ce qu'il faut c'est essayer de le détourner. Alors je m'y emploie et mes pensées se tournent vers mes colocataires. L'appartement me semble vide sans eux et je réalise à quel point ils me sont devenus essentiels. On ne se connait pas depuis très longtemps, mais je prends plaisir à partager leur compagnie. J'envie l'assurance de Masha et... je me rends de plus en plus compte que je suis également très sensible à la façon qu'elle a de bouger. Il y'a dans ses mouvements une grâce qu'on ne voit que chez les danseuses, mais il y'a aussi chez elle une sensualité qui a tendance à m'assécher la bouche. Surtout quand je la regarde alors qu'elle ne le sait pas. Pensée qui m'échauffe les joues et mes pensées s'égarent un peu plus loin.
Je me surprends à imaginer quel goût à sa peau, comment son corps chante quand il se cambre de plaisir, plutôt que pour la danse. Mon souffle se raccourcit et je suis prise d'une impulsion. J'ai envie de retrouver l'odeur de son parfum, de sa chevelure... Je l'ai sentie hier, tout connement dans le canap' alors qu'on regardait un film tous les trois et ça m'a fait un drôle d'effet. La proximité de son corps, la chaleur de celui de Theo, tout ça s'entremêle et je me retrouve toute ardente, bien qu'intimidée. Je regagne l'appartement et gagne le canapé, je m'allonge sur l'oreiller qui était le sien, j'y retrouve ce parfum entêtant. Comment fait elle pour sentir aussi bon ? C'est ténu et en même temps complètement enivrant... Un petit soupir et je ferme les yeux. Je laisse mes mains glisser le long de ce tee-shirt et je le relève doucement. Mes mains caressent mon ventre, remontent pour empoigner mes seins, mon visage tourné sur le côté, j'inspire son parfum et je me perds en imaginant ses mains courant sur moi. Un gémissement et je laisse glisser ma main droite, plus au sud, trouvant le creux de ma féminité pour explorer un plaisir qui étrangement n'a rien de solitaire. Je rouvre les yeux, pour oser attraper mon téléphone et balancer sur la télé et la sono qui va avec un porno lesbien. Une recherche de quelques secondes et des soupirs lourds résonnent dans l'appartement, faisant écho aux miens. Mes doigts s'agitent et mon esprit se trouve très loin des contingences de ce monde, dans un eden de plaisir qui me coupe de tout. -"Hmmm Masha."
-- Tenue -- Tu devrais déjà être parti de la colocation depuis plusieurs heures. Tu avais réservé la salle de danse pour t’y entrainer en vu de ce casting que tu dois passer au cours de la semaine suivante. Sauf que tu n’as pas réussi à fermer l’œil de la nuit, tu avais peur de commettre une crise et que tes colocataires découvrent que tu sois une pauvre gamine qui chouine la nuit. Tu as finit par sombrer au alentour de 5h du matin et finalement tu n’ouvres les yeux que maintenant, éveillée par un son de mélodie venant de la cuisine. A parier tu es certaine que c’est l’œuvre de la divine Gemma. Tu t’en veux que sa petite soirée de bienvenue ai tourné au fiasco. Tu aurais voulu qu’elle soit heureuse et surtout que ces amis soient moins cons. Tu te souviens de la peine dans ces yeux qui avait l’espace d’un instant contrarié fortement ta cage thoracique. Vous avez cependant réussi à vous faire une fin de soirée sympa tous les trois dans ce canapé. Tu te souviens avoir posé délicatement ta tête contre l’épaule de Gemma, ta main avait aussi finit par couvrir son ventre tout en étant attentive à l’histoire du film. Son parfum était dément, sécurisant, doux.
Tu inspires et désapprouve en secouant la tête. Il est temps de te doucher, tu files sous la douche sans croiser ta colocataire, d’après l’air que tu sens, elle doit être sur la terrasse extérieure. Tu te glisses sous une bonne douche chaude durant quelques minutes, savonnant ton corps, et tes cheveux. Tu restes dans cette pièce quelques minutes, le temps de te sécher et d’enfiler tes sous-vêtements, et remarquer que tu n’as pris aucune affaire. Merde ! Tu n’es pas franchement le genre pudique mais tu sais que ton attitude pourrait être mal perçue. Tant pis pour cette fois. Tu sors de la pièce et soudainement tu perçois des gémissements venant de la pièce de vie. Tu fronces les sourcils, avançant à pas de loups en direction de la pièce de vie. Tu passes la tête discrètement, et ta surprise est telle que sur l’instant tu t’attendais à voir Théo mais c’est les cheveux de Gemma que tu découvres dépassant du dossier de son canapé. Tu entrouvres la bouche, la couvrant même au passage pour éviter de rire. Tu découvres des images de femmes à la télé se faisant l’amour et tu souris en mordillant ta lèvre. Tu recules d’un pas, prête à laisser ta colocataire face à ces désirs jusqu’à soudainement l’entendre gémir ton prénom. Tu inspires et t’arrête immédiatement. Attends c’est à toi qu’elle pense ? Tu approches doucement, tes pas feutrés pour voir un peu mieux ce qu’elle fait. Tu découvres une main enfouie sous un tee shirt trop grand, son autre cherchant sa poitrine et tu sens ton ventre se comprimait chaleureusement. Tu la regardes, tentant de mesurer ta respiration en voyant ces mouvements. Est-ce qu’elle aurait envie que tu la touches ? Tu patientes l’observe, ces réactions t’humidifiant sérieusement entre les cuisses. Tu déglutis et avec la plus grande des douceurs tu t’approches de derrière le canapé. Lentement ta main se pose sur sa joue du bout des doigts, elle sursautes et tu viens susurrer tout contre son oreille.
- Tu m'as appelée ?
Tu sais qu'elle va tenter de se reprendre alors rapidement, tu gardes ta voix calme et l'empêche de se relever sur l'instant. Gardant l'ensemble de tes gestes doux et plein de délicatesse.
-Non… Continue de regarder. S’il te plait.
Tu ne veux pas qu’elle te regarde tu veux qu’elle continue de fixer son écran. Tu déposes ta bouche contre sa joue, d’un baiser bien plus sensuel que d’ordinaire. Ta main descendant doucement sur son cou que tu effleures, contourne de tes doigts comme pour l’étrangler mais sans pression aucune. Tu glisses doucement sur son corps, ses seins que tu viens presser par-dessus le tissu avec douceur. Tu souffles contre sa mâchoire, descendant ta bouche contre son cou, tu suçotes sa peau, la lèche.
- Tu n’as pas idée comme tu es belle.
Tu descends ta main contre la sienne, tu veux qu’elle se touche, qu’elle continue. Tu veux voir jusqu’où elle pense à toi. Tu mords doucement sa peau, ta deuxième main descendant sur son corps. Se glissant sous son tee shirt pour venir titiller la pointe de son sein.
Mon cœur s'emballe à chaque rencontre de nos regards, dans la lueur complice du soleil matinal je me laisse aller à l'intensité de mes envies. Le désir, ce feu ardent qui brûle en moi, se mêle à la douceur de son parfum et m'enivre. Mes mains effleurent, frôlent ma peau, mes doigts s'instillant au creux de mon corps. Chaque contact enflamme davantage ce sentiment profond de désir que je ressens pour elle... Pour lui.... Je sens la passion monter en moi, telle une mélodie en crescendo, résonnant dans mon âme. Le contact de mes doigts est un doux tourbillon, un voyage enivrant vers l'extase où le romantisme danse au rythme des battements enfiévrés de mon cœur. Un soupir délicat et son prénom qui éclot à mes lèvres avant que je ne sursaute et rougisse en essayant de me redresser.
Je ne rêve pas... Elle est là. Sa bouche à mon oreille. Pas pour me reprocher l'indécence de mon désir, mais pour m'encourager à me laisser aller. À garder les yeux fixés sur cette scène sur l'écran. Je ferme les yeux une seconde, me mordille la lèvre inférieure et exhale un gémissement quand sa bouche rampe contre ma peau.
Je ne saurais dire ce qu'il se passe en moi, j'ai l'impression que nos âmes se cherchent, se frôlant telles des étoiles éperdues d'un désir caché, désormais dévoilé. Mon cœur, comme un albatros dans le ciel des passions, plane au-dessus des eaux tumultueuses du désir, porté par le souffle délicieux de cette femme sur ma peau. Elle me rend folle et je couine en sentant ses mains sur mes seins. Ils sont si sensibles, les pointes se tendant vers elle, jusqu'à ce qu'elle libère un peu de cette pression infernale en relevant le tissu. La douceur de ses mains est affolante et me tire un nouveau gémissement. -"Han Masha... Encore !" Ma voix si douce en temps normal, s'affirme sur mes désirs.
Je ne devrais pas me laisser aller ainsi, pas avec ma colocataire, pas quand je le désire lui aussi... Je brûle, ardente étoile polaire qui guide mon plaisir, une lumière mystérieuse, douce et enivrante, telle une poésie indécente. Elle ne caresse pas seulement mon corps, elle le foudroie, le libère, le sature de sensations délicieuses. Elle me couvre d'ombres sensuelles et des lueurs prometteuses d'un plaisir qui grimpe sous le feu de ses doigts.
Chaque pensée pour elle est un vers enflammé, une rime interdite que je ne peux pourtant pas contenir, c'est trop ça me dévore. La passion qui me consume est une fleur rare, un nectar sucré qui éclot dans un jardin auparavant trop arride. Elle s'épanouit lentement, ses pétales délicats dévoilant un parfum envoûtant, et mon âme s'y abreuve, assoiffé de sensations trop longtemps oubliées. Je devrais arrêter ? Y mettre fin et m'excuser ? Je n'en ai pas envie, je n'en ai pas la force et je tends la main pour attraper ses cheveux et guider sa bouche de ma gorge à la mienne. Mes lèvres se posent sur les siennes, mes lèvres s'entrouvrent sur un gémissement tiré par le feu commun de nos doigts. Ma langue à sa rencontre et mon corps en déroute.
-- Tenue -- Tu dois être en pleine hallucination, en plein rêve c’est sans doute impossible que ce qui se passe sous tes yeux est possible. Tu y es peut-être allait un peu fort sur l’alcool hier soir, après tout tu es habitué à faire la fête mais pas à boire plus que cela. La soirée s’est déroulée à la maison la veille mais pour autant vous avez bu, ris, partagées des anecdotes, des fous rires ensemble et c’était aussi bon qu’une soirée bondée de monde à tes yeux, voir même mieux. Gemma t’a fait des papouilles à un moment donné durant le film, tu ne sais même pas si elle s’en ai rendu compte mais tu as adoré ça. Quant à Théo, involontairement ta main à effleurer sa jambe à un moment et comme il n’a rien manifesté lors de ce contact tu n’as pas songé à retirer tes doigts. Tu te sens bien avec eux. Et pour une fois tu as l’impression qu’eux aussi se sentent bien avec toi aussi incroyable que ça puisse être.
Quoi qu’il en soit tu te réveilles à présent dans votre coloc’ et après ta douche tu es loin de penser que tu découvrirais Gemma dans une intimité aussi torride. Tu ignorais déjà qu’elle pouvait avoir des envies concernant les femmes. Aussi étrange que ça soit, au vu du comportement d’Adam tu étais pourtant certaine qu’elle aimait les hommes. Pourtant c’est bien des images de femmes se faisant l’amour qu’elle regarde sur cet écran. Et tes doutes se font instantanément volatiles des l’instant où, t’apprêtant à disparaitre pour la laisser se faire du bien, elle articule ton prénom. Tu entends les soupires qui suivent ton prénom et tu as beau tenté de faire comme si cet appel n’en était pas un, tu approches. Si tu avais dans l’idée de simplement la regarder à la base, tu oublies toute résolution en la voyant se toucher. Elle est belle, même dans ce tee shirt 4 fois trop grand pour elle, elle est divine avec ce tissu qui remonte ces cuisses pour lui donner accès à son intimité.
Alors c’est plus fort que toi, tu t’agenouilles, tu lui manifestes ta présence et lui demande de continuer à regarder cet écran comme si tu n’étais pas réelle, comme si tu n’étais qu’une illusion. Après tout, c’est son fantasme. Elle mord sa lèvre après que tu lui a demandé de ne pas te regarder et tu souris contre sa mâchoire. C’est comme un petit jeu, un petit jeu où ta colocataire exploite son fantasme et où tu lui promets de lui faire du bien. Tu sens son parfum, et ça ne fait que contracter plus fort ton entre jambe à l’idée que c’est bien toi qui enflammes ce corps de déesse. Tu ne devrais pas la toucher mais c’est plus fort que toi, tu veux sentir la pointe de ces seins sous la pulpe de tes doigts. Tu vois son corps te désirer plus fort. Ta bouche embrasse sa peau, la lèche avant de la mordiller entre tes dents. Tu vois la contracture de son ventre, et observe l’ondulation de son corps. Putain ce qu’elle est sexy. Tu t’apprêtes à te détacher une seconde mais soudainement sa main aggripe tes cheveux et t’oblige à déposer ta bouche contre la sienne. Putain, tu étouffes un gémissement à l’unisson avec elle. Tu ne seras pas capable de laisser tranquille. C’est impossible, pas quand sa langue viole ta bouche de cette manière en t’appelant à lui faire plus de bien. Tu grognes contre sa bouche et approfondit le baiser attrapant de ta main libre sa tignasse doré pour qu’elle incline plus fort la tête. Tu échanges avec elle tellement de sensations. Tu en frisonnes de la tête au pieds, baigné par la vision de son plaisir si charnel et délicat. Tu finis pourtant par t’en écarter. Ton baiser se termine par un petit baiser chaste sur sa bouche alors que tu susurres.
- Garde les yeux fermés… Ne bouge pas.
Tu t’écartes d’elle, le temps d’un instant. Quelques secondes le temps de te saisir d’un tissu et de revenir pour le déposer sur ces yeux et le nouer doucement autour de sa tête. Tu inspires de nouveau son parfum dans son cou avant de susurrer sensuellement au creux de son oreille.
- Dis moi stop si tu veux que ça s’arrête, tu entends ?
Tu mords de façon soudaine son lobe, et contournes le canapé. Tu viens doucement t’agenouiller devant ces jambes les écartant doucement de tes doigts. Tu observes son corps ainsi soumis à tes envies, et tu trembles d’anticipation à la vouloir avec aucun de désir. Tu déposes ta bouches contre son genou, puis sa cuisse remontant doucement. Arrivant à son pli de l’aine tu sens sa respiration devenir plus rapidement mais tu portes ton attention à son autre genou.
Je ne sais plus où commence mon désir et où le sien s'achève. Le plaisir danse entre nous comme une flamme capricieuse, et nos bouches s'entremêlent dans une valse effrénée. Ce baiser que je lui impose est une promesse de folie, chaque caresse une déclaration silencieuse. La pièce, témoin de notre étreinte passionnée, est imprégnée de l'odeur enivrante du désir.
Le murmure de mes soupirs s'unit à la mélodie sensuelle de la scène à l'écran. Les images érotiques, autrefois éloignées de ma réalité, prennent vie dans cette pièce chargée d'une tension électrique. Les mains de Masha explorent chaque centimètre de ma peau, déclenchant des frissons qui se propagent comme une onde de plaisir.
Soudain, elle se retire, me laissant pantelante et assoiffée de plus. Ce gémissement rauque qui s'est mêlé au mien en même temps que son souffle me fait trembler d'envie. Je veux en entendre d'autres, je veux les lui soutirer, en être la source et la maitresse. Le désir, maintenant palpable, éclate en moi comme un feu d'artifice éblouissant. Nos regards se croisent, des étoiles dans les yeux, et elle peut lire dans les miens l'abandon quasi complet dans lequel je m'égare. Elle m'embrasse à nouveau, presque chastement et m'invite à fermer les yeux, à ne pas bouger. J'obéis, abaisse les paupières et attend. C'est un tissu qui glisse sur mon visage et me rend aveugle. Elle murmure que je peux lui dire stop quand je le souhaite avant de me mordre, me tirant un petit cri ravi.
-"Ne t'arrête pas," un murmure, une supplique, de ma voix dans un souffle rauque, un écho du tumulte qui gronde en moi. Elle répond à ma supplication avec une intensité renouvelée, caressant ma peau, écartant mes cuisses et y posant les lèvres dans une étreinte vorace. Le monde extérieur s'estompe, ne laissant place qu'à l'écho de mes soupirs enfiévrés. Les barrières de la raison s'effondrent, emportées par la marée irrésistible d'un désir trop puissant. Mon corps, guidé par l'élan de l'instant, danse au rythme d'une passion insatiable. Les vagues d'envie m'engloutissent, et je m'abandonne à cette étreinte délicieuse. Mon corps vibre, se tend, tremble quand elle se trouve si près de mon intimité.
Le temps semble suspendu, chaque seconde s'étire dans une étreinte infinie. La pièce, jadis empreinte de silence, résonne désormais des échos de mes soupirs envieux. Mon esprit est une toile tissée de sensations, chaque contact, chaque caresse se gravant dans ma mémoire comme une œuvre d'art éphémère.
La réalité se tord, effaçant ma conscience de l'interdit, de la résonance de nos actes. Une lueur de doute traverse mon esprit, mais la flamme de la passion ne s'éteint pas. Elle continue de brûler, une étoile fugace qui m'entraine dans son sillage. -"Je... je suis ivre de... de toi." Clairement. Le corps transcendé d'envies folles et indécentes, j'ai envie de la gouter, envie de sentir sa bouche apaiser le feu qui brule entre mes cuisses. Je me sens totalement ivre de passion, vibrante d'envies qui me donnent envie de posséder son corps autant que de lui livrer le mien. -"Encore..." Voilà que je recommence à la supplier, mon bassin animé de délicates reptations.
-- Tenue -- A quel moment exactement tu t’es permise de franchir cette limite ? Bordel, cette fille que tu es en train de toucher, d’embrasser, de séduire est ta proprio, celle qui accepte de te loger, celle qui cohabite même avec toi, qui t’a choisie pour vivre avec elle en duo avec Théo. Certes c’est elle qui s’est isolée, a pris du temps pour elle en regardant un film sensuel dans un cocon d’intimité, tu n’aurais pas dû la surprendre. Mais… C’est bel et bien ton nom qu’elle a murmuré… C’est ton image qu’elle a dans sa tête à présent, malgré le fait que tu lui refuses de te voir, de t’apercevoir comme pour rendre ce moment plus irréel, moins officiel, et peut être aussi moins culpabilisant.
Sa bouche est un appel à la luxure, tout comme son corps, peut en importe ce qui l’habille une robe divine ou son simple tee shirt la recouvrant. Elle est d’une sensualité sans appel, un mélange doux et délicat entre timidité et charme. Cette fille n’a absolument pas conscience de l’attirance qu’elle dégage, de la beauté qu’elle possède. Son parfum t’appelle, difficile d’en être autrement. Tu goûtes à ces lèvres et la manière qu’elle a d’embrasser n’a rien de réservée. Tu as bien du mal à rester calme et douce dans tes gestes contre sa peau. Elle est un appel à la débauche et elle n’est pas capable de le réaliser. Tu inspires, tentant de rester maîtresse des élans d’émotions qu’elle procure. L’espace d’un instant vos prunelles se croisent et tu élargis un sourire plein de malice avant de la priver de son sens le plus important, la vue. Tu en profites pour augmenter légèrement le son de son film, mordillant la peau de son divin cou en lui arrachant un petit cri. Tu veux sa confiance, tu veux qu’elle pose les limites que tu ne devras pas franchir. Et pour le moment elle n’en dispose aucune. Tu contournes le fauteuil pour t’installer à genoux face à elle. Elle est d’une beauté à en damner les âmes. Qu’est ce que tu es en train de faire ? Impossible de te raisonner, ta bouche veut découvrir encore son épiderme. Alors tu les déposes sur ces jambes, sur ces cuisses, remontant toujours plus proches de son entre jambe. Destination finale qui sera l’objet de toute ton attention, jusqu’à ce qu’elle t’arrête en tout cas. En toi la chaleur monte, tu sens ta lingerie s’empourprer de désir. Tu sens ton corps se tendre à l’idée qu’elle puisse te toucher, te caresser. Ces souffles sont une motivation te poussant à te surpasser alors lorsque ton baiser se pose tout contre sa lingerie, ton regard fixe le sien couvert d’une bande de tissus. Elle dit être ivre de toi et tu soupires un rire contre son intimité couverte
- C’est vrai, ça ?
Par-dessus sa petite culotte, ta bouche réalise des mouvements d’ondulation, frottant sensuellement ses lèvres. Tu ouvres plus fort la bouche comme pour lui faire sentir ton souffle au travers du tissus. Avec douceur, deux de tes doigts écartent son tissu. Tu y vas lentement comme pour attendre la moindre objection de sa part, qui ne viendra pas. Alors tes doigts s’immiscent plus loin, jusqu’à sa fente que tu caresses doucement de ton pouce. Tu sens ta propre entre jambe pulsé fort, bon sang cette fille te donne tellement chaud. De ton autre main, tu remontes son corps, passant sur son ventre, son sein que tu masses un instant puis sa gorge, son menton. Tu presses ton doigt contre sa lèvre et à l’instant où elle ouvre la bouche ce sont tes doigts contre son intimité qui la pénètre. Attentive à toutes ces réactions, tu gémis presque en la regardant. Tu écoutes ces réactions avec une vigilance extrême. Ta bouche se dépose sur son ventre l’embrasse avant de grogner.
- Ce que tu es belle… Te regarder est… tellement excitant.
Elle réclame et doucement tu te saisie de son bassin le soulève et la débarrasser de sa protection. Tu reviens de tes doigts contre son intimité et l’observe durant quelques secondes encore. Souriant en voyant comme son visage semble trituré. Puis lentement tu viens contre son intimité. Ton souffle se pose d’abord lentement puis ta langue, la parcourant de toute sa longueur. Tu frisonnes de plus belle.
- Putain Gemma… Tu es divine.
Ta bouche s'écrase plus fort contre son entrejambe, ta main libre l'agrippant comme si tu en avais besoin de lui donner plus de saveurs, plus de désirs. Son corps est une toile et tu rêves d'en peindre chaque parcelle.
Elle répond à mon appel à continuer avec une maestria dévorante, ses gestes devenant une étreinte de plus en plus passionnée. La façon dont son souffle caresse ma peau, dont elle vient dompter ma féminité tout en douceur... c'est fou et je ne sais plus du tout où donner de la tête. Le tissu sur mon visage éveille mes autres sens, amplifiant le contraste entre l'obscurité et la lumière de mes sensations. Chaque effleurement de ses doigts sur ma peau est une caresse électrique, chaque contact avec son souffle provoque une bouffée de plaisir qui me tire un gémissement puissant. Mes soupirs, se mélangent à ceux qui accompagnent notre danse charnelle, à la bande son de ce film érotique... La pièce, autrefois silencieuse, résonne maintenant de mes envies les plus furieuses.
Sa main remonte sur mon corps, son doigt atteint mes lèvres et alors que je les ouvre à sa rencontre, ses doigts viennent me perforer, me tirant un cri de plaisir, tandis que je me cambre d'autant plus. Ainsi privée de la vue, tout est plus fort, plus puissant.
Les vagues du plaisir montent en crescendo, chaque mouvement de ses doigts intensifiant la symphonie de sensations qui m'envahit. Mon corps, une lyre entre ses mains expertes, vibre au rythme d'une mélodie qui transcende l'entendement. Chaque caresse devient une note précieuse, gravée dans mon esprit en lettres d'or. Je suffoque et elle m'exauce retirant la dernière barrière de tissu entre moi et l'avidité parfaite de sa bouche sensuelle. Sa langue, lente, enivrante me fait littéralement vibrer. Mon corps s'arque et je m'agrippe à côté de moi au sofa, avec l'impression que je suis au bord d'un gouffre souverain.
Les frontières de la réalité s'estompent, me laissant flotter dans un océan de plaisirs. Je perds la notion du temps, capturée dans l'étreinte envoûtante de cette passion débordante. Mes murmures deviennent des supplications, des échos de désirs inassouvis qui se répercutent dans l'atmosphère éthérée de la pièce. -"Mon dieu... mon dieu... Masha... hmmmm Maaasha." Mon souffle est saccadé, mon corps pulsant de fièvre, je suis totalement sidérée par l'intensité de la caresse qu'elle m'octroie.
Elle semble sentir à quel point je vrille, parce que j'ai l'impression qu'elle me caresse avec une intensité redoublée, explorant chaque recoin de ma féminité avec une voracité délicieuse. Mes cuisses s'écartent instinctivement, encore plus, les frontières entre la raison et le plaisir s'effritent, emportées par la marée irrésistible de cette étreinte. -"Toi... c'est toi qui .... qui est divine ! Oh OH !"
Le plaisir monte et elle est en train de laisser en moi l'empreinte indélébile de sa passion. Mon bassin, animé par des convulsions impérieuses, danse contre ses lèvres et mes mains viennent finalement se refermer sur mes seins gorgés par le plaisir qu'elle me donne. -"Haaan je... je t'en prie... je vais... je vais jouir." Je la supplie de continuer et mon corps n'est plus que contractions éperdues tirées de ma déroute, plus une seule once de retenue ne peut me couper de la violence complète de mes envies. La retenue non, mais le réel ? Il se manifeste violemment par un appui prolongé sur la sonnette de l'appartement. Un bruit long et strident qui me fait me figer, arracher le bandeau de mes yeux et me redresser dans le sofa. -"Pardon.. oh mon dieu pardon." Je suis soudainement rattrappée par mes peurs, ma honte aussi de l'avoir poussée à me découvrir ainsi et à me rejoindre. Je me lève précipitamment et au lieu d'aller ouvrir la porte je me précipite dans ma chambre, pour m'adosser à la porte haletante, une main couvrant mes lèvres, l'autre essayant d'apaiser les palpitations violentes qui agitent mon ventre frustré de l'ultime plaisir. Si Masha décide d'aller ouvrir elle découvrira un livreur qui m'apporte des dossiers qui attendent d'être entrés informatiquement... j'ai clairement oublié le travail, trop envieuse d'elle. Comment vais je pouvoir la regarder en face désormais ? Alors que je rêve de la faire mienne ? Si seulement je pouvais turn off mon cerveau... Comment puis je la désirer elle? Et lui... Je suis en train de devenir totalement dingue ?
-- Tenue -- Le temps semble totalement s’arrêtait, plus rien n’a d’importance si ce n’est le goût de sa peau, le parfum de son épiderme et le fait que cette fille n’est plus du tout à présent ta propriétaire mais celle dont tu as envie. En la découvrant ainsi, aussi dénudée devant un film d’adulte à se donner du plaisir, tu as d’abord trouvé cela drôle. Qu’elle se donne du plaisir en solo est totalement son droit après tout, mais à l’instant où sa bouche à susurrer ton prénom, à la minute où tu as compris que c’est à toi qu’elle pouvait penser, tu as senti l’impact que ça provoquait dans ton corps. Ta bouche s’est asséchée, ton regard s’est tourné sur elle, et la vision érotique de ce corps fantasmant sur toi était trop aguicheuse pour que tu puisses y résister. A présent ta peau brûle pour elle, tu veux qu’elle te touche, tu veux qu’elle te sente. Tu veux être l’origine de chaque spasme dans son organisme, tu veux graver son esprit, son être de ta marque.
Sa bouche possède un goût et une chaleur à t’en damner. Tu sens comme tu l’émoustilles, ce qu’elle ignore c’est à quel point ton corps s’éveille et s’agite à sa proximité. Tu contournes ce canapé, mettant ces iris à l’abri de l’image que vous renvoyez. Tout ces sens s’accentuent et la vision de ses lèvres se mordant, et de son corps s’agitant est d’une divinité absolue. Tu t’agenouilles entre ces jambes et alors tu entraines la température à prendre en chaleur. Tu te délectes de sa peau, découvre sa féminité de tes doigts et les réactions que tes caresses lui provoquent. Ton corps est en train de s’incendiait pour elle, et pourtant tu tiens la torture pour elle. Bordel, cette fille est en train de te consumer ouvertement et elle n’en a même pas la notion. Ton sous vêtement prenant déjà l’humidité à cause de l’atmosphère qui règne dans cet appartement. Tu la dévêtis de son sous vêtement avide d’en découvrir la chaleur et son excitation. Ta bouche vient sensuellement la conquérir, la chérir. Embrassant les recoins de son antre, titillant les tissus sensibles, et gémissant contre cette délicieuse fente gorgée de plaisir. Son bassin ondule contre tes lèvres et un sourire né sur ton visage en regardant comme elle semble réceptive à tes mouvements. Tu ne sais pas ce que tu ferais à cet instant précis pour lire ces yeux. Sa bouche abandonne ton nom, des exclamations et ça ne fait que t’excitait encore plus pour te pousser à l’amener plus haut, plus loin. Tu la désires d’une façon des plus ardentes. Tes doigts se mêle à la danse sensuelle que tu lui offres, et les vagues de plaisir se succède d’une façon magnifique. Elle te décrit comme divine et tu couines contre son intimité.
- Putain Gemma, tu me rends folle…
Elle se touche les seins sous ton nez et tu soupires contre son antre, redoublant de fièvre pour la faire défaillir. Elle n’est pas loin de la jouissance, tu reconnais les signes, et tu t’acharnes à caresser les plus sensibles de son intimité pour l’obliger à la chute. Mais soudainement la sonnette de l’entrée retentit, de ton côté qui que ce soit il peut sonner durant des heures, tu veux continuer à dévorer avec la plus électrique des ardeurs cette femme. Mais elle ? D’une rapidité qui te laisse pantelante, Gemma se redresse et arrache le bandeau sur ces yeux. Vos iris se croisent l’espace d’un instant, les siennes sont soudainement folle de détresse avant qu’elle ne s’excuse et blâme ce que vous faisiez. Non ! Elle tente de s’échapper.
- Non, Gemma attends.
Malheureusement elle sera plus rapide que toi. Tu serres les dents en restant à genoux au sol alors que le film érotique continue d’envoyer des soupires qui ne sont plus partagés. Tu te dois de prendre quelques inspirations pour te calmer, obliger la télé au silence et la sonnette continue de retentir en prouvant une présence toujours impatiente. Tu te relèves en entendant la porte de la chambre de Gemma se fermer et tu soupires de frustration en allant ouvrir en sous vêtements.
- Putain c’est pour quoi bordel ?
Tu découvres un livreur qui entrouvre la bouche sans un mot en te voyant ainsi dénudé. Tu déposes ton regard contrarié sur lui et c’est avec stupéfaction qu’il te tend nerveusement un paquet que tu récupères avant de lui coller la porte au nez avec fracas. Tu vois le nom de Gemma sur le paquet et le dépose dans la pièce de vie avant de repartir en direction de ta chambre. Putain tu es en train de déconner salement. Tu passes devant sa porte et malgré toi tu te stoppes. Tu toques doucement du bout de tes doigts.
- Gemma ?
Ta voix est douce, malgré la frustration qui irradie chaque fibre de ton corps.
- Gemma, il y a un paquet qui a été livré pour toi, je l’ai déposé dans le salon… Je… Je suis désolée Gemma, je me suis… Je me suis laissé aller, j’ai arrêté de réfléchir tu me rendais folle, je voulais pas… Je voulais pas t’obliger à quoi que ce soit.
Tu attends une réponse mais le silence semble régner et tu baisses les yeux en t’apprêtant à reculer pour reprendre ton chemin avant de murmurer finalement.
- Si tu veux que je parte je le ferais. Je suis désolée.
Folle ? Je la rend folle ? Ne se rend elle pas compte de l'état de transe dans lequel elle me fait basculer ? Son étreinte m'électrise, me rend envieuse de plus encore et je gémis bientôt mon envie et ma jouissance toute proche. Mes sens, surmenés par l'extase sont pourtant mis à mal, ils s'ajustent violemment à la réalité qui me revient en pleine face. La sonnette prolongée et stridente, signalant la présence du livreur, semble résonner comme un rappel brutal au quotidien. Paniquée, je m'enfuis, ni plus ni moins, prise dans l'étau de mes peurs et de ma propre confusion, je m'éclipse précipitamment dans ma chambre, me heurtant à la porte comme si elle pouvait me protéger de la réalité qui me rattrape. Une main sur les lèvres, l'autre essayant vainement d'apaiser les palpitations violentes qui agitent mon ventre frustré de l'ultime plaisir, j'entends Masha se diriger vers la porte d'entrée.
Elle a tenté de me retenir... et je... mon dieu je me suis enfuie comme la dernière des garces. Mes pensées se bousculent, englouties par le tourbillon de mes émotions contradictoires. Comment ai-je pu me laisser emporter à ce point ? Mon désir irrépressible, ma quête effrénée de plaisir, tout cela me semble à la fois étranger et inévitable. Elle me rend ivre... la façon dont elle bouge, cette assurance qu'elle dégage... je ne suis pas capable de me sortir la douceur de sa peau de la tête. J'ai l'impression qu'elle s'instille sous ma peau, qu'elle s'y dépose, me rendant plus dépendante d'heure en heure.
Assaillie par le doute, je me demande comment je pourrai affronter Masha après cette expérience partagée... après ma fuite surtout. Comment pourrais-je la regarder en face, alors que mes fantasmes et mes envies débordent du domaine de l'intime ? Et que je désire aussi Theo ? Cette autre facette de mes désirs que je ne peux ignorer. Perdue dans mes pensées, je sursaute en l'entendant de l'autre côté de la porte. Mon esprit, débordé par une confusion grandissante, semble incapable de démêler les fils de mes sentiments. Alors que je tente de calmer mon esprit tourmenté, une question persiste : comment vais-je gérer les répercussions de mes actes et de ce moment de grâce qui a pris une tournure inattendue et déroutante ? Derrière la porte de ma chambre, j'essaie de calmer la tempête qui fait rage en moi. Mes mains tremblent légèrement, signe de l'effervescence qui persiste dans mon être.
Elle reprend la parole et j'ouvre de grands yeux paniqués en l'entendant. Mais... comment peut elle s'excuser? Alors que c'est moi qui fait tout de travers ? Je me tiens là, maudissant ma propre impulsivité, ma propre faiblesse qui m'a poussée à laisser mes désirs s'emparer de moi de manière aussi débridée. L'excitation, la peur, la honte, tout se mélange dans un tourbillon d'émotions contradictoires. J'entends Masha reprendre la parole et ce murmure que je perçois à peine me brise le coeur.
Je m'éloigne de la porte, consciente que je ne peux pas rester cachée indéfiniment. Puis je fais demi tour et je la rouvre à la volée. Mes yeux croisent ceux de Masha et je fais non de la tête. -"Pardon." Je prends une profonde inspiration, cherchant la force nécessaire pour faire ce qui me dévore d'envie. Un pas, un autre et mon corps se fond contre le sien. Ma main droite remonte se loger contre sa joue, relevant son menton. Mes jambes viennent se mêler aux siennes avant que ma bouche ne retrouve le velouté délicat de ses lèvres. Au diable ! Au diable la raison et mes doutes. Ma langue vient chercher sa jumelle, doucement, comme en s'excusant pour mon comportement. Je me détache et viens dévorer ardemment sa gorge de baisers furieux. -"Tu n'as rien fait... rien du tout que je n'ai pas désiré. Appelé de tout mon corps, au point d'en être totalement ivre." Je continue à l'embrasser et un petit gémissement envieux m'échappe tandis que mon ventre se remet à pulser furieusement. -"Je ne veux pas... que... que tu te sentes obligée..." Est ce que c'est ce que je suis ? Une odieuse marchande de sommeil ? Je ne sais pas d'où me vient cette idée, mais elle me terrifie. Ceci dit... pas assez pour retenir mon corps de se presser au sien pour la coller au mur. -"J'ai envie de toi Masha... ça me dévore de l'intérieur." Mes yeux viennent de replonger dans les siens et mon souffle est court, je panique de ne pas me reconnaître, de l'avoir peut être heurtée... je ne sais plus. Tout ce qui surnage c'est l'envie dévorante que j'ai de la faire gémir à mon tour.
-- Tenue -- Les braises incandescentes qui avaient pris vit en toi, se sont soudainement coupées. Comme si les flammes d’une plaque de gaz s’était soudainement retrouvée sans combustible. Tu as été propulsée dans une boucle pleine de sensualité en la voyant là, fébrile devant ce film érotique, et a y réfléchir il n’a fallut que ton prénom articulée par ces lèvres pour t’envoyer au cœur de cette scène que tu aurais abandonnée si elle ne t’avait pas appelée. Alors tu t’es approchée, tu la touchais, et tu n’as pas pu t’arrêter en instaurant ce petit jeu où elle ne pouvait te voir mais où tu étais déterminée à tout lui faire ressentir jusqu’au plus profond de son âme. Tu t’es laissé enivrer par ces gémissements, par la volupté de ces mouvements désordonnés par le plaisir dont tu étais la responsable. Il y a une certaine addiction qui est née à l’avoir vu aussi déchirée de désir. A l’avoir entendu te supplier, gémir ton prénom. Tu t’es laissée emportée par un désir qui t’a désarçonné et que tu étais incapable de contrôler, lorsque tu as eu sa peau sous tes lèvres, son sein sous ta paume, son goût contre ta langue. Bon sang, et comment tu aurais été sensée le faire alors qu’elle était là sous tes yeux, divine comme une créature venant d’un autre monde ? Elle l’a fait pour toi. Il aura suffi d’une sonnette de merde d’un livreur à la con, d’un retour trop brutal à la réaliser, et ces pas t’ont fui avec une rapidité et, une décontenance qui t’a toi-même surprise.
Puis te voila à récupérer ce paquet de merde, déambulant à sa vue en sous vêtement, sans cacher le fait que tu sois nerveuse, maintenant que Gemma s’est enfuie loin de toi dans sa chambre. Qu’il aille se faire foutre putain… Est-ce que tu as merdée ? Est-ce que… Est-ce que tu aurais mal interprétée un signal, franchis un « non » dissimulée ? Tu passes ta main nerveusement dans tes longs cheveux noires, frustrée comme jamais et inquiète des limites que tu aurais pu franchir sans t’en être réellement rendue compte. Ça aurait sans doute été plus simple, si… Si elle n’était pas aussi attirante, si son parfum n’était pas aussi délicieux, et si… Putain si tu n’avais pas tenté de la faire jouir de tes lèvres. Tu vas te retrouvée dehors, pire… Tu devras faire appelle à l’un de tes couillons de frères pour éviter de retourner chez tes parents. Tout ça parce que tu es incapable de te retenir lorsque tu te retrouves seule avec tes colocataires.
Tu passes devant la chambre de Gemma, fermant un instant les yeux avant de décider de tout de même savoir si elle va bien. Elle n’a rien dit juste qu’elle s’excusait avant de se barrer. Et si elle était en colère ? Et si elle n’allait pas bien… Tu toques à sa porte, tu ne sais pas vraiment comment lui expliquer les choses, alors tu te contentes de t’excuser, de lui avouer que tu n’aurais pas dû te laisser aller comme ça et que si elle le souhaite tu partiras. Tu entends simplement le silence avant que finalement elle n’ouvre la porte à l’instant où tu avais reculé d’un pas. Son regard capte le tien et tu sens comme un frisson à la fois glacial et plein de chaleur te transperçait. La chaleur d’être regardée par elle, la glace à cause de la peine dans ses yeux. Tu entrouvres la bouche alors qu’elle s’excuse et soudainement son corps revient percuté le tien te faisant reculer jusqu’au mur derrière toi. Tu sens la bouche de Gemma venir recouvrir la tienne et soudainement tu ne sais plus du tout où tu es, ce que tu dois faire, penser. Putain ces douces jambes se mouvent contre les tiennes et tes mains se font aventureuses en se déposant contre le flanc de son fessier. Tu sens sa langue venir contre la tienne et tu manques ouvertement d’air, tu trembles, tu te retiens autant que tu le peux mais elle ne t’aide clairement pas. Sa bouche relâche la tienne, et soudainement elle s’applique contre ta gorge et tu frisonnes de tout ton corps en la sentant t’embrasser comme si sa vie en dépendait.
- Gemma…
Tu susurres son prénom comme une ultime lutte, voir supplication alors que ces baisers sur ta peau te font devenir de plus en plus ivre d’elle. Elle dit que tu n’as rien fait qu’elle n’a pas désiré et tu soupires yeux clos, en entendant sa bouche gémir. Tu sens ton corps venir se presser plus fort contre le sien, putain l’effet que cette femme te produit est justement euphorisant. Tu sens ton entre jambe s’éveiller de nouveau avec ardeur, alors qu’elle a peur que tu te sentes obliger. Tu souris abandonnant un petit rire, alors que tu mords ta lèvre avant de trouver son regard et prendre l’une de ces mains que tu descends le long de ton corps. La faisant effleurer ton épiderme, avant de l’amener contre ton entrejambe, lui faisant sentir comme ton sous vêtement est indélicatement humide. Tu regardes en direction de la chambe de Théo, ayant peur de te faire surprendre avec Gemma avant de susurrer.
- Crois-tu que tu me forces à quoi que ce soit là ?
Tu pénètres ces iris, l’observe avec une malice à peine contenue alors qu’elle te dit qu’elle a envie de toi. Tu sens ton cœur prendre un rythme plus rapide, ta respiration être en apnée, putain elle est si sensuelle en te le disant. Tu sens son bassin devenir plus pressant et tu attrapes sa bouche lui donnant de nouveau un nouveau baiser empli de passion et de désir jusqu’à ce qu’elle en ai le vertige. Délicatement, tu ralentis avant de susurrer.
Quand je quitte le refuge de ma chambre je me pense capable d'être raisonnable. Je crois réellement avoir repris le contrôle... mais ça.... c'est avant que je croise le feu ardent de ses prunelles. Elle est d'une beauté à couper le souffle dans le clair obscur de ce couloir et je pourrais presque geindre tant sa sensualité allume un brasier dans le creux de mon corps. Alors je m'avance et mon corps traduit en gestes ce que mon esprit peine à formuler. Mes mains sur sa peau, ma langue contre la sienne et mes murmures essayant de traduire un peu de mon trouble. Je ne veux pas qu'elle se sente obligée et cette idée la fait rire.
Y a t'il au monde son plus délicieux que cette gracieuse mélopée ? J'en doute... Mais mon esprit cède et cesse toute tentative de reflexion quand elle guide ma main contre sa lingerie. L'humidité que j'y caresse de la pulpe de mes doigts est un coup de poignard dans tous mes principes. Je crois que je couine et je reviens furieusement l'embrasser, ma main libre agrippant sa chevelure pour l'attirer plus près alors que mes doigts dansent contre le tissu velouté. Je suis à bout, d'envie, de résistance et je lui murmure mon envie d'elle. Sa réponse me tire un gémissement ravi et je recule pour ouvrir maladroitement ma porte alors que je l'embrasse toujours. J'entre dans ma chambre en tanguant et ma main capte sa hanche pour l'attirer plus près, plus fort, plus intensément. -"Masha... divine Masha." Un chuchotement alors que je l'attire près de mon lit pour l'y faire basculer.
Je viens m'allonger sur elle, retirant le haut devenu inutile dévoilant le galbe de mes seins, qui se frottent à son ventre quand je remonte pour reprendre possession de sa bouche. Je l'embrasse voluptueusement, prenant le temps de savourer le feu liquide qui parcoure désormais mes veines. Les battements de mon cœur résonnent dans mes oreilles, amplifiés par la proximité brûlante de Masha. Nos lèvres se séparent doucement, créant un fil invisible de désir entre nous. Son regard intense plonge dans le mien, et dans le silence qui suit, une question silencieuse flotte entre nous.
Mon esprit, encore étourdi par la passion partagée, clignote comme un feu d'alerte. Mes pensées tourbillonnent, partagées entre l'impulsion de la passion et la conscience des conséquences, mais reviennent intensément à elle, à sa beauté fatale, au feu inextinguible du désir qui me fouaille le ventre. Mes lèvres s'étirent légèrement, dessinant un sourire teinté de cette audace nouvellement découverte. -"La mienne," je murmure, mes doigts glissant contre son ventre, trouvant sa lingerie pour l'en libérer.
Les barrières semblent s'effriter, isolant nos émois partagés, me confrontant à la brutalité de mes envies. Les rideaux dansants avec la brise laissent filtrer une lumière douce dans la pièce, créant une atmosphère intime. Nos regards se croisent à nouveau, et le désir me monte à la tête. -"J'ai tellement envie... de toi." Un chuchotement tout contre sa bouche alors que mon bassin vient chercher le sien et que ma lingerie m'encombre. -"Aime moi." Une supplique, un murmure et ma bouche se joint à la sienne alors que je ne peux plus résister à l'envie de me frotter lascivement à elle. -"Quoi qu'il arrive ne... ne t'arrête pas... je t'en supplie." Ma voix se fait rauque, alors que je l'enjoins à dépasser mes peurs et à m'entrainer avec elle dans la plus douce des folies.
-- Tenue -- Tu sais que c’est mal, tu sais que le dérapage que tu viens de commettre peut sensiblement te couter ta place, ici même, dans cette colocation que tu aimes déjà profondément tout comme ces occupants. Tu n’aurais jamais dû t’approcher d’elle, mais sa voix était tellement suppliante, son intonation sensuelle un appel portant ton nom, et t’invitant à commettre cette atteinte à sa pudeur, à son intimité que tu étais incapable de réprimer. Sa peau était douce, son souffle enivrant et ne parlons pas du parfum de son corps lorsque tu l’as découvert. Tu étais prête à lui arracher un orgasme, sans doute le premier d’une longue liste, avant qu’elle ne revienne à elle, et te repousse. Rappeler à une réalité, où toi et elle vous n’avez pas ce genre de relations.
C’est peu fier de toi que tu récupères ce colis, et vient tout de même t’excuser devant sa porte. D’ici la fin de la journée elle devrait te dire que tes bagages sont à faire, et tu pourras te vanter d’avoir été la colocataire la plus illusoire de l’histoire. Mais qu’est ce que tu peux bien y faire qu’elle te soit aussi attirante ? Elle a susurré ton nom, c’est de toi qu’elle avait envie et soudainement ça a réveillé ton envie pour elle. Est-ce que tu es vraiment à blâmer pour cela ? Est-ce qu’on peut vraiment te reprocher d’avoir été assez faible pour succomber à l’une des plus belles créatures de l’univers ? Tu exprimes alors tes excuses face à la froideur de cette porte, convaincue qu’elle ne l’ouvrira pas, que votre instant magique s’est terminé avec ces pas empressés te fuyant. Mais elle t’étonne, et l’ouvre… Lorsque tu croises ces iris, l’espace d’un instant tu te sens transit d’une sensation aussi paralysante qu’enivrante. Tu es comme un marin qui entend une sirène, un lapin devant des phares de caisse, un bateau attiré par la lumière d’un phare en mer. Et lorsqu’elle fonce sur toi, c’est tout ton corps qui spasme fort à son toucher, te faisant trembler de la tête au pieds. Elle a peur de te forcer la main, et tu fais en sorte de lui faire sentir au plus intime endroit de ton corps qu’elle se trompe effrontément. Tu meurs d’envie pour elle. Et sa manière de te pousser contre ce mur, de t’agripper n’a rien d’innocent ou de timide. A l’instant où son corps se frotte au tien, bon sang tu es certaine qu’une part de ton âme vient de se prosterner à ces pieds. La douce petite Gemma sait être très directive lorsqu’elle vous loue sa passion. Elle te décrit comme divine, et ta main attrape sa joue pour approfondir les baisers qu’elle te donne. Elle couine contre ta bouche et tu te rappelles que dans cet appartement vous n’êtes pas seules. Tu l’invites à choisir où continuer cet échange divin où sa bouche est en mesure de décider les instants où tu respires ou non. Ca sera sa chambre.
Elle t’emmène avec elle dans cette chambre qui est la sienne, ton corps est incapable de se détacher du sien, sauf peut-être lorsqu’elle te pousse sur son lit. Tu la détailles alors qu’elle retire son tee shirt, et que tu abandonnes un petit rire en te dandinant pour remonter doucement contre ses draps. Gemma est d’une splendeur qu’elle ne soupçonne absolument pas. Elle est véritablement envoutante et tu pourrais mourir de désir pour elle là tout de suite, si elle ne revenait pas à ton contact la seconde suivante. Tu sens les frissons courir ta peau chaque fois qu’elle te touche, que sa bouche t’embrasse. Tes doigts viennent s’emparer de quelques mèches en s’agrippant à son cuir chevelu alors que tu l’obliges à remonter. Tu lis ces iris de nouveau face à toi et la lave audacieuse que tu peux y lire te fait perdre toute notion de raison. En plus d’être magnifique, elle a ce feu dans les yeux qui t’hypnotise et te pousse à la désirer avec plus de force. Ton corps ondule sous le sien qui vient de te recouvrir. Tu sens sa main descendre ta peau, et lorsqu’elle rejoint ton entre jambe qu’elle libère, ta bouche s’ouvre grand comme devant une trop grande attente, lorsque ces doigts s’y appose enfin vraiment. Elle murmure avoir envie de toi et tu gémis contre sa bouche avec une timidité qui te ressemble peu. Si mademoiselle Gemma devient la lave lorsqu’elle désire une personne, toi c’est le contraire, ton feu s’effrite lorsque tu es passionné, et tu deviens aussi soumise qu’un chaton. Un chaton qui reste un félin cependant. Elle te demande de l’aimer et ta bouche tremble l’espace d’une seconde, ces doigts s’agitent contre ton intimité et soudainement tu reprends du poil de la bête. Ta bouche se saisit de la sienne, tu la fais basculer, ton corps devenant celui qui la domine. Tu l’aides à retirer ces derniers bouts de tissus qui entacher la beauté de son corps.
- Je vais t’aimer… Et je te promets que je n’arrêterais pas avant que tu ne puisses tout simplement plus tenir éveillée.
Tu lui souris, un sourire malicieux au coin des lèvres avant que tu n’emboites ton corps au sien et que tu t’empares de nouveau de sa bouche. Ton intimité vient se frotter à la sienne, mêlant leur chaleur et leur humidité sensuellement. Son contact est fou, sa peau et son odeur te donne envie de plonger toujours plus loin et fort dans les méandres du désir. Elle te dit de ne pas t’arrêter quoi qu’il advienne et tu mords sa lèvre inférieure alors que l’une de tes mains vient envelopper son galbe et glisse la pointe de son sein entre tes doigts. L’étirant lentement tout en pressant ton bassin afin qu’elle soit stimulée à plusieurs endroit en simultané. Elle semble délicieusement à l’aise mais tu as besoin de savoir.
- As-tu déjà fait ça, Gemma ?
Tu parles d'un instant comme celui là, avec une femme. Ton regard plonge dans le sien et ses yeux te répondent avant sa bouche. Tu étires un sourire en coin et reprend alors de ta plus belle voix rauque.
- Bien, alors marquons ton esprit de mon empreinte afin que jamais tu n’arrives à me sortir de ta tête.
Je ne me reconnais pas, abandonnée entre ses bras, mes inhibitions sautent, les unes après les autres, au point que je la supplie bientôt de m'aimer, sans s'arrêter, quoi qu'il puisse bien arriver. Sa réponse me tire des frissons. M'aimer jusqu'à ce que je ne puisse plus tenir éveillée ? Promesse divine, que je viens remercier d'un baiser ardent. Nos caresses se précisent, nos corps se cherchent et s'accordent avec une perfection à faire rougir les anges.
Elle me fait basculer et son corps vient sensuellement se frotter au mien. Je suffoque, happant l'air avec difficulté et je souris à sa question. Elle semble me prendre pour une oie blanche et je crois que ça m'amuse énormément. Je me frotte lascivement à elle, mon sexe brulant contre le sien. Nos désirs se mêlent et je tremble délicieusement. -"Oui.. mais jamais en étant aussi dévorée d'envie." Je mordille sa peau, me frotte encore plus contre elle, le corps tremblant. J'agrippe ses fesses, pour la guider contre mon intimité, pour y prendre encore plus de plaisir.
Sa voix rauque jaillit de nouveau pour me faire une promesse qui me fait monter le rouge au joue. -"Han oui je t'en supplie." Nos caresses se font plus audacieuses, explorant chaque parcelle de nos êtres avec une sensualité qui est en train de me déborder. Je me laisse emporter par ses gestes, ses baisers ardents, laissant le plaisir m'envahir tout entière. Elle me rend totalement folle.
Et dans ce moment de pure passion, je m'offre à elle, dans un élan de désir qui me fait refermer les lèvres contre la pointe dardée de son sein. C'est la première fois, avec elle, mais ce n'est pas juste un acte charnel. C'est une connexion profonde, un abandon total, où nos âmes se mêlent dans un tourbillon d'émotions indescriptibles. Notre relation prend une nouvelle dimension, empreinte de complicité et de passion. Ensemble, nous découvrons les plaisirs du désir, explorant chaque recoin de notre sexualité avec curiosité et tendresse. C'est tellement ardent que je sens mon corps pulser à la rencontre du sien. -"Putaiiiin Masha !" Je me cambre, ma main se glisse entre nos corps et deux doigts plongent en elle, presque brutalement. J'ai envie de l'entendre couiner de plaisir, envie de la voir abandonnée, délirante d'extase ! Je me sens dévorée par des forces supérieures, portée aux nues, transcendée d'envie et d'une passion rare. Cette femme m'inspire des désirs que je ne cherche même plus à contenir.
Je me tortille d'ailleurs sous son corps, pour glisser le long de ses courbes sublimes et m'arrêter uniquement quand elle se trouve à califourchon au dessus de mon visage. -"Danse pour moi !" Un murmure presque rageur, avant que ma langue ne vienne se perdre dans le creux de son intimité, je lape, j'écrase mon langue à son clitoris, je l'en pénètre même, désireuse de trouver ce qui la fera onduler plus fort. Je crois que j'ai envie d'entendre sa gorge s'étrangler sous des cris d'extase et je donne tout... pour.
-- Tenue -- A quel moment exact, tu as totalement enterré ta raison et décidé de suivre tes propres règles ? Pas évident à définir, mais le fait d’entendre la bouche de Gemma susurrer ton prénom d’une voix aussi sensuelle à sans doute contribuer à tout bonnement te faire défaillir. Gemma a beau être par définition un interdit, de par son statut dans cette colocation, tu n’arrives pas à te reprendre. En elle, il y a quelque chose qui t’appelle, qui t’oblige à ne pas détourner les yeux, à ne pas résister, à vouloir sa peau plus que n’importe laquelle. Pour que cette union entre les membres de ce logement se passe bien, tu ne devrais avoir de telles envies, pourtant… Tu en éprouves des envies, des pulsions folles à leurs égards. Et durant un cours instant tu en prends conscience lorsque Gemma se sauve de tes caresses pour se réfugier dans sa chambre. L’avertissement était sans doute limpide mais là encore, tu n’as pas été en mesure de prendre en compte l’alarme interne qui t’indiquer de ne pas pousser le curseur trop haut.
Le curseur tu l’as totalement explosé, parce qu’en sortant de cette putain de chambre sous tes excuses, elle est revenue à toi. Et avec elle, ce parfum, cette chaleur qui a foutu le feu à ton âme jusqu’à la combustion. Impossible pour toi de résister à la saveur de sa peau, à la douceur de ces courbes, vous vous êtes isolés dans sa chambre, couvrant à l’abri des regards cette divine connexion, cet ultime désir qui fait vibrer vos épidermes. Vous mettant à nu, ton regard coule sur elle, admirant la perfection de son corps, la finesse de son grain de peau sous tes doigts alors que ta bouche elle est incapable de se faire douce maintenant qu’elle a éveillée cette prédatrice affamée en toi. La poussant sur ce lit, tu ne te fais pas prier pour la recouvrir de ton corps. Dévorant sa bouche, jusqu’à lui ôter le moindre souffle. Ces mains se crispent sur ta croupe et rapidement tu lui attrape les phalanges des tiennes. Ton regard prend celui de la malice. Tes mains se nouent aux siennes, l’obligent à les maintenir au-dessus de son visage, alors que ta bouche rejoint son cou, l’embrasse, le suce délicatement avant de le mordre. Ton corps est en feu et chaque ondulation de son être contre le tien t’échauffe plus fort, faisant monter une frustration dingue. Tu promets de l’aimer jusqu’à ce qu’elle ne tienne plus éveiller et tu vois la rougeur de ces joues prendre plus de vie. Mordant ta lèvre inférieure, tu relâches ces mains, descendant tes lèvres contre sa poitrine que tu aspires délicatement entre tes lèvres tout en gardant un regard chaud sur elle. Ton corps s’agite toujours contre le tien, intimité contre l’autre, l’une de tes mains se glisse contre son bouton de plaisir pour accompagner vos mouvements à la faire grimper plus fort. Ce moment pourrait être vu comme une expérience purement sexuelle mais quelque chose en toi te dicte que ce n’est pas le cas. Il n’y a qu’à voir la manière dont vos iris s’accrochent l’une à l’autre. La façon dont vos corps se veulent de manière purement déraisonnée. Tu es certaine que tu n’auras jamais assez d’un moment avec elle pour être rassasiée. Elle supplie et ta gorge émet un grognement à ces supplications. Ta main se saisissant vivement de sa jambe que tu soulèves histoire de mieux t’emboiter et facilité le frottement entre vos deux corps. La décharge électrique qui dévale te corps t’oblige à contenir un cri. Ce qu’elle provoque de toi n’a pas d’équivalent, c’est sensuel, unique, fou et dévorant. Ta main libre vient contre sa poitrine et tu halètes en glissant la pointe de son sein contre tes doigts. Elle cri ton nom et ça te file une chair de poule sur l’ensemble du corps. Bordel ce que c’est bon…
- C’est ça, Gemma. Continue de me regarder… Montre moi comme tu es belle quand tu me veux…
Tu prends plus de rythme, encourageant son corps à aller plus loin, plus vite. Tes iris la regardent et continue de lui vouer une admiration inexplicable. La main de Gemma rejoint vos intimités et tu lui relèves plus encore la jambe. Sentant la finesse de ces doigts te stimuler plus fort. Tu couines, attrapant la peau de sa jambe contre ta bouche, la mordant sensuellement sur le mollet. Mais soudainement elle s’enfuit, délicatement son corps réclame de sa liberté et coulisse sous le tien. L’espace d’un instant tu te retrouves quelque peu égarée, et soudainement tu sens la moiteur de ton intimité être recouverte par ses délicates lèvres. Ta tête se penche en arrière en susurrant du bout de tes lèvres son prénom.
Dans l'intimité feutrée et douce de ma chambre, le temps s'est abolli, le réel a été effacé, soufflé par la puissance des baisers de cette femme. Nos corps se caressent et je m'offre à Masha, captivée par sa présence magnétique, par la lueur de désir dans ses yeux, par le son délicat et ardent de chacun de ses soupirs. Un frisson parcourt mon échine à mesure que je me frotte contre elle, mes doigts effleurant sa peau douce et satinée avec une tendresse fébrile, alors que mon corps s'échauffe à m'en faire perdre la tête. Chaque contact est une promesse de plaisir plus aigu encore que le précédent, comme une invitation à plonger plus profond dans l'océan tumultueux de mon désir pour elle.
Je m'attarde sur ses lèvres, goûtant à leur douceur sucrée avec une avidité insatiable. Mes baisers sont empreints de passion dévorante, de la faim brûlante qui consume mon être tout entier. Je veux la faire fondre sous mes caresses, laisser mon empreinte ardente sur chaque centimètre de sa peau délicate. Mes mains explorent son corps avec une délicatesse infinie, découvrant chaque courbe, chaque creux avec une fascination émerveillée. Je veux la connaître dans sa totalité, me perdre dans les méandres de son être jusqu'à ce que nos âmes ne fassent plus qu'une.
Et quand enfin nos corps s'unissent dans une étreinte passionnée, je sens l'univers entier s'effacer autour de nous. Il n'y a plus que le rythme effréné de nos souffles, le martèlement de nos cœurs battant à l'unisson. Nous sommes deux étoiles filantes, se lançant dans le firmament du désir avec une intensité inouïe. Chaque mouvement est une symphonie de plaisir, une danse envoûtante où nos corps s'entrelacent dans une communion parfaite. Je me laisse emporter par la tempête de sensations, par la déferlante d'émotions qui me submerge, m'envahissant jusqu'au plus profond de mon être. Et je glisse contre la perfection absolue de ses courbes pour me jeter avidement à l'assaut de son sexe, que j'embrasse passionnément, comme si c'était sa bouche. Je la fouaille d'une langue aventureuse passionnée, ardente autant que fébrile. Je veux la faire exploser l'emporter dans un tourbillon d'extase, qu'elle sente son être exploser en une pluie de météores, illuminant l'obscurité de ma chambre. Je désire de toutes mes forces qu'elle ne puisse plus entendre mon nom sans rougir d'envie et de plaisir. Dans cet instant de pure félicité, je suis une étoile au firmament du désir, brûlant de la flamme éternelle d'un désir insatiable. Allongée, sur le dos, entre les cuisses de Masha, je trouve une plénitude presque surnaturelle, une oasis de bonheur dans un monde tourmenté par le doute et la peur. Je me sens bien, douce, belle, désirée. Je me sens aussi puissante et sensuelle autant qu'ardente et sexy. Ce mélange d'émotions me rend ivre, me fait pousser des ailes et mes doigts se glissent doucement en elle pour achever de la faire exploser sur le bout de ma langue. Je veux son plaisir, je veux son extase, je la veux mienne !
Je m'attarde sur ses zones les plus sensibles, caressant, effleurant, explorant avec une délicatesse exquise autant qu'avec ardeur et une quasi bestialité. Chaque soupir qui s'échappe de ses lèvres est une musique enivrante à mes oreilles, un écho de son plaisir qui me pousse à redoubler d'efforts et d'attentions. Je me perds dans la douceur suave de sa peau, dans la chaleur de son souffle, dans la perfection de son être. Je veux la faire fondre sous mes baisers, la faire gémir de plaisir, la voir se tordre sous mes caresses jusqu'à ce qu'elle atteigne les sommets de l'extase et qu'elle le crie au monde entier. Quand je la sens vibrer sous la caresse conjointe de mes lèvres et de mes doigts, quand je la vois se cambrer de plaisir, c'est comme si toutes les étoiles de l'univers s'alignaient à ma seule intention. Je suis une artiste de l'orgasme, une maîtresse de l'extase, et Masha est mon œuvre d'art la plus précieuse. Je me sens tellement puissante que j'ai l'impression folle que je m'apprête à exploser, débordée par des émotions que je ne saurais contenir.
-- Tenue -- La connexion qui s’établie entre vous est purement et affolement difficile à expliquer. Cette femme te captive, de part son regard, ses mimiques, ses caresses ou encore son corps. Ce n’est pas juste l’euphorie de l’instant qui te tiens prisonnière et captive de cette femme, mais aussi sa manière d’être, sa douceur et sa tendresse dans chaque instant du quotidien. Lorsque tu as visité cette coloc’ avant même d’être charmée par l’endroit, tu as été charmée par la personne. Cette jeune femme à la fois fragile et forte, une danseuse comme toi, une battante comme tu l’es. Tu as déjà connu de belles femmes ou des hommes très attirants, mais aucun n’avait le cran de cette fille. Il y a quelque chose en elle qui t’attire comme le papillon devant la lumière, ta lumière depuis que tu vis ici ça semble tout simplement être, elle. Vous trouvez ça ridicule ? Ouais tu te le dis aussi mais pourtant tu n’arrives pas à la voir autrement. Et c’est devenu bien pire depuis l’instant où tu l’as surprise en train de se caresser en articulant ton prénom.
Sa chambre accueille à présent, le résultat d’une passion dévorante, de douceurs sensuelles et d’instant de doux soupires. Contre ses lèvres, ta bouche est assoiffée comme si tu buvais pour la première fois depuis bien trop longtemps. Son contact t’affole et en même temps te rend envieuse de pulsions encore plus inavouables. Chaque gémissement que tu lui arrache te fait un peu plus sombrer dans cette douce irréalité, où toi et elle vivait votre désir en secret. Une irréalité où rien ne compte, hormis vos sensations, son grain de peau, sa chaleur et sa tendresse. Dans ce méandre de plaisir, vos corps ondulent l’un contre l’autre, s’aimant, se frottant et s’activant à donner du plaisir à l’autre. Son toucher te rend tellement fébrile, que tes mains s’agrippent à elle avec ardeur, comme si tu craignais qu’à tout instant elle ne s’échappe de nouveau, qu’elle ne décide de reprendre la voix de la raison et te demande de partir. Tu crois que si elle le faisait là tout de suite, tu en mourrais tellement tu la veux. Tu refuses d’arrêter ou de la voir t’échapper. Tu veux cette jeune femme du plus profond de ton âme. Ton corps contre le sien fait des étincelles, vos intimités se glissant l’une contre l’autre avec une vigueur folle. Tu l’as sens reprendre du contrôle, elle se déhanche, se dandine pour s’enfuir entre tes jambes. Tu te redresses, cherchant à sa savoir ce qu’elle fait, avant de sentir la chaleur savoureuse de ses lèvres sur ton entre jambe plus que sensible. Dès son contact, un soupire t’échappe et tu penches la tête fort vers le plafond en susurrant son prénom. La perfection qu’elle représente n’a pas d’égal. Sa bouche est d’une délicatesse et d’une expertise folle, elle ne découvre pas cela pour la première fois c’est tout bonnement impossible au vu de l’intensité qui te saisit. L’une de tes mains en appuis sur le mur tu plies un peu plus les genoux, descendant ton bassin légèrement plus bas pour t’appuyer plus fort contre son visage. Ton autre main rejoint ces cheveux, tes doigts s’enroulant sensuellement contre ces mèches alors que tu gémis sous ces baisers. Tes yeux croisent les siens alors que tu te sens monté de part sa manière de faire. Ces iris sont joueuses et les tiennes à deux doigts du firmament.
- Plus fort Gemma… plus fort, je t’en supplie !
Tu peux deviner son sourire entre tes cuisses, et soudain elle ajoute à sa bouche le contacte aventureux de ces doigts. Tu te sais tout simplement perdu en sentant la sensation de ces phalanges en toi. Cette femme est tout bonnement une étincelle au-dessus d’un brasier. Et tu veux flamber pour elle jusqu’à l’enfer si c’est nécessaire. Tu te frottes plus fort et soudainement ton corps sent la raideur l’envahir. Cette brusque décharge électrique qui part de ton bassin et qui fait trembler tout ton corps. Ton souffle t’abandonne, et un cri en résulte. Tu agrippes plus fort ces cheveux, ta vision devenant trouble sous l’impact, et tu t’abandonnes à un orgasme qui te transcende de part en part. Bordel, personne ne t’avait dit que ta propriétaire était une déesse de la baise féminine. Tu reprends doucement connexion avec la Terre alors qu’elle t’observe doucement continuant à te caresser durant cette descente. Tu reprends ton souffle en te décalant d’elle et en venant prendre sa bouche telle une affamée. Ton baiser est à la fois un remerciement et une promesse de la vénérée plus fort.
- Soit tu es une déesse de l’anatomie féminine, soit je ne suis pas la première à découvrir tes talents…
Ton corps se rallonge sur elle, l’une de tes mains venant caresser sa poitrine pendant que l’autre rejoint son intimité divinement humide pour toi. Ta bouche reprend possession de la sienne et tu deviens alors plus féline, ta langue plus joueuse, tu comptes faire de cette déesse, ta déesse et lui donner toute l'attention qu'elle mérite à ce titre.
Les lumières tamisées de ma chambre créent une ambiance feutrée, intime. Masha et moi sommes seules, et la tension qui s'est accumulée entre nous atteint son paroxysme. J'ai vite su qu'il y avait quelque chose de spécial entre nous, mais ce matin, tout devient plus clair, plus ardent. Nos corps se rejoignent, s'entrelacent avec une fluidité naturelle, comme si nous étions faites pour cela. Mes mains parcourent chaque courbe de son corps avec une avidité presque désespérée, dévorant chaque centimètre de sa peau douce. Ses soupirs et ses gémissements sont une mélodie enivrante, une musique qui guide mes mouvements, amplifiant chaque sensation.
Je sens sa chaleur contre moi, une chaleur qui semble se diffuser directement dans mes veines, transformant mon corps en une lave en fusion. Masha est partout : ses mains, ses lèvres, son souffle contre ma peau, même quand c'est moi qui la dévore. Chaque caresse, chaque baiser enflamme un peu plus le désir qui me consume. Cette femme me rend ivre, de désir, d'envie, de plaisir. Elle jouit sur mes lèvres et revient ensuite conquérir ma bouche d'un baiser furieux. J'en couine de plaisir. -"Pas la première mais la plus.... ardente... dévorante... celle qui me rend folle." Quand ses doigts glissent en moi, c'est comme si une décharge électrique traversait mon être. Un gémissement m'échappe, et je me cambre sous la vague de plaisir intense qui déferle en moi. Masha m'embrasse, ses lèvres douces contre les miennes, et c'est un feu d'artifice de sensations qui explose dans mon corps. Mes doigts s'agrippent à ses épaules, mes ongles s'enfonçant légèrement dans sa chair, cherchant à ancrer cette sensation, à la rendre éternelle.
Nous bougeons en synchronie, une danse sensuelle où chaque mouvement est une promesse, chaque soupir une déclaration de passion et de désir. Je dévore chaque instant, savourant la douceur et la passion de Masha. Ses mains explorent mon corps avec une tendresse possessive, et je me perds dans la profondeur de son regard, dans la chaleur de ses caresses. Le monde extérieur cesse d'exister. Il n'y a plus que nous, nos corps enchevêtrés, notre souffle partagé. Chaque mouvement de ses doigts en moi est une onde de plaisir qui se propage, atteignant chaque fibre de mon être. Je suis submergée par l'intensité de mes sensations, et un cri étouffé de plaisir s'échappe de mes lèvres.
-"Masha," un murmure de ma voix tremblante d'extase et de passion. -"Continue, s'il te plaît... ne t'arrête pas." Je sens mon corps atteindre son point de rupture, un crescendo de plaisir qui ne demande qu'à éclater. Et puis, cela arrive : une vague de plaisir pur, dévastateur, qui m'emporte complètement. Je me laisse aller, mon corps convulsant sous l'intensité de l'orgasme. Masha continue de me caresser, prolongeant ce moment de bonheur absolu, m'emmenant encore plus haut. Mes mains agrippent ses hanches, la tirant plus près, cherchant à fusionner avec elle dans cette étreinte passionnée. Enfin, les vagues de plaisir commencent à se calmer, me laissant pantelante, épuisée et comblée. Je la regarde, mes yeux brillants d'une douceur infinie, et je l'embrasse tendrement. Je me blottis contre elle, mon corps encore tremblant de l'intensité de notre étreinte, savourant la chaleur et le réconfort de son étreinte. Nous sommes deux âmes fusionnées par le désir, par une connivence profonde et je me laisse porter par cette certitude, prête à affronter tout ce que l'avenir nous réserve, tant que je suis à ses côtés.
-- Tenue -- Tu ne sais pas trop à quel moment ça s’est produit ? A quel moment tu as su qu’elle te plaisait vraiment ? Peut être que tu l’as tout de suite su en réalité, dès que tu as visitée cette colocation et que tu t’es mise à espérer quelle te garderait. C’est pitoyable non ? Toi la nana qui peut se taper le monde entier, tu fantasmes et tu fais en sorte finalement de coucher avec la seule fille qui moralement parlant devrait t’être interdite. De toutes les mignonettes que tu côtoies au quotidien, pourquoi fallait-il que ça soit elle ? Sans compter qu’il y a Théo aussi… Merde, tu te rends bien compte que tu es en train de te foutre dans une situation qui risque clairement de te dépasser. Et au fond c’est déjà le cas. Il n’y a qu’à regarder avec quelle beauté vos corps sont en capacité de s’harmoniser. A quel point sa peau est douce sous tes caresses, comme elle est belle lorsqu’elle est affamée de toi. Sa manière de te toucher, dont sa bouche s’ouvre lorsque tu la dégustes, la douceur de ces gémissements au creux de tes oreilles. Elle est d’une beauté ouais, mais sans avoir quoi que ce soit à voir avec les autres femmes que tu as pu foulée. Chaque soupire qu’elle abandonne est une mélodie qui fait accélérer ton rythme cardiaque sans que tu ne puisses y faire quelque chose. Cette fille te rend folle, elle t’arrache un orgasme avec une facilité déconcertante, impossible après ça quelle te fasse croire que tu es sa première expérience féminine. Non… Cette fille est une déesse.
Et dès que la descente de ton nuage te rend tes capacités, c’est furieusement que tu t’empares de sa bouche. Ton être prends des teintes plus sauvages lorsque tu escalades son corps, presse sa poitrine entre tes doigts, et invite ta main libre à venir caresser son entre jambe. Elle avoue ne pas en être à son coup d’essai et ça fait malgré toi vibrer ta gorge en un grondement sourd. Ta main fait rouler la pointe de ses seins entre tes doigts le pinçant un instant avant que brusquement tu viennes agripper sa chevelure et lui offre un baiser plus féroce. Ta main s’active, bien décidé à lui faire prendre un plaisir qui la marquera autant qu’elle vient de te marquer. Et voir son corps s’électriser de cette manière lorsque tu la touche a le mérite de te couper le souffle. Tu veux qu’elle continue de frissonner, qu’elle continue d’érafler ta peau de ses ongles, qu’elle te marque tu t’en cognes tant qu’elle continue de te regarder en montant encore et encore plus haut. Elle murmure ton nom et tu étouffes ses lèvres des tiennes, en laissant ta langue venir rencontrer sa jumelle. Elle te demande de ne pas t’arrêter et tu souris contre sa bouche, prenant la teinte de la malice en rejoignant son cou puis son oreille que tu pinces de tes dents.
- Vraiment ? Tu es sur ? Je pourrais… Sans doute ralentir un peu…
Son corps s’arque et tu souris en coin en accélérant contrairement à tes dires. Tes doigts s’inclinent contre son anatomie, ta pulpe la câlinant avec plus de ferveur, alors que tu te redresses et perce ses yeux pour la regarder droit dans les yeux à l’instant même où elle va défaillir. Et le spectacle est d’une beauté à t’en faire jouir une deuxième fois. Elle t’amène à venir plus fort contre elle et ton corps frictionne contre elle sans que tu puisses réellement t’en empêcher. Gemma grimpe encore et encore et à l’instar où elle jouit contre tes doigts, tu entrouvres la bouche en la regardant. Retrouvant ton sourire en embrassant sa poitrine, aspirant délicatement sa peau. Elle convulse, tremble, et se laisse submerger par les sensations délicieuses qui la transperce. Elle est sublime et la pulpe de tes doigts se calment délicatement contre l’intimité de Gemma. Elle revient doucement à un état plus calme et tes baisers se calment contre le feu de sa peau. Tu lui souris plus tendrement contemplant son état d’épuisement maintenant que la tempête se calme. Elle revient prendre possession de ta bouche et tu soupires délicatement en sentant le corps de Gemma se blottir contre toi. Tes mains viennent l’enlacer, et tu déposes ton visage contre ses cheveux que tu respires. C’est dingue comme elle t’attire même tes désirs assouvis. Tu es pensive, tu aurais dû faire attention. Théo aurait pu vous voir et qu’est ce qu’il en aurait pensé ?
- Tu crois que Théo nous a entendue ? Je veux dire… Si c'est le cas, tu veux faire quoi ?
WebName : Lex Date d'inscription : 01/06/2023 Messages : 50Surnom : Gem' Avatar & crédits : Josephine Skriver & Tumblr Date de naissance : 14/04/1998 Age : 26Statut civil : Célibataire Occupation : En reconversion Habitation : La meilleure coloc de la terre. Rivalités : Non-participant
Sujet: Re: Gemmasha ∞ Je me croyais seule. Mar 11 Juin - 14:36
Dans ma chambre, les murs semblent résonner de notre passion. Masha et moi, c'est un feu ardent, une danse folle et effrénée de désir. Chaque mouvement est un déluge de sensations, et je me perds dans la douceur de ses caresses, dans l'intensité de ses baisers. Mon corps répond à chaque pression, chaque geste, et je sens une vague d'extase monter en moi, incontrôlable. Je la supplie de continuer, le corps tendu à l'extrême, l'orgasme menaçant. Elle me taquine, féroce, me menaçant de ralentir et j'ai un râle rauque tout en me cambrant de plus en plus démesurément.
Masha me fait exploser, l'orgasme est dévastateur, une onde de choc qui parcourt chaque fibre de mon être. Je gémis son nom, incapable de contenir la puissance de ce plaisir. Puis, épuisée, je me love contre elle, nos corps encore tremblants de notre union. Je trace doucement des arabesques sur son ventre, mes doigts effleurent sa peau, tandis que mes dents mordillent délicatement la pointe de ses seins. Elle gémit doucement, et je souris contre sa peau.
Soudain, rompant le silence de la pièce, elle me demande si je pense que Theo a pu nous entendre et le cas échéant ce que je voudrais faire. Je deviens pivoine instantanément. La simple mention de Theo me fait trembler, mal à l'aise. Je me redresse, me mordant la lèvre.
-"Tu... tu voudrais lui dire ?" La question sort dans un souffle, alors que je n'ai pas la moindre idée de ce que moi je souhaite. L'idée de Theo sachant ce qui vient de se passer me rend nerveuse, mais je dois bien m'avouer que je ne suis pas insensible non plus à ses charmes et que c'est un véritable foutoir sous mon crâne. Je me rappelle plus tôt, quand je me caressais en pensant à Masha. Que se serait-il passé si, dans le feu de l'action, j'avais murmuré le prénom de Theo au lieu de celui de Masha ? Mon esprit vagabonde, explorant des scénarios que j'ose à peine m'avouer. C'est excitant... mais c'est mal ! Il me prend quoi ?
Je toussotte doucement, me redresse, plonge dans ses yeux, mais le malaise persiste. Une part de moi est terrifiée à l'idée que Theo découvre notre liaison, une autre part ne peut s'empêcher d'imaginer ce que cela pourrait signifier. Je sens mon cœur battre plus fort à chaque pensée. Est ce qu'elle en a envie ? Est ce que c'était un moment de folie ou elle souhaite que ça débouche sur plus ?
Me serrant contre elle, je souris. Sa chaleur me réconforte, et je ferme les yeux, essayant de chasser ces pensées conflictuelles. Mais quelque chose a changé. Une nouvelle tension s'est installée, et je sais que nous ne pourrons pas l'ignorer indéfiniment. -"Je n'ai pensé à rien.... je me suis laissée emporter par l'envie. Toi qu'est ce que tu souhaites? " Je parle dans son cou, contre sa peau, comme si j'avais besoin d'éviter son regard. -"Ce qui est sur... c'est que cette coloc' compte beaucoup pour moi... je ne veux rien faire qui puisse la mettre en péril."
Masha Myers
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Sujet: Re: Gemmasha ∞ Je me croyais seule. Mer 19 Juin - 16:29
-- Tenue -- La déchéance de passion que tu ressens à son côté, dans ce moment feutré à ses côtés, possède une saveur unique. Entre elle et toi, ça fait des étincelles. Tu ne l’expliques pas, tu ne l’as même pas voulu ni envisagé, ça s’est imposé à toi en l’entendant appeler ton nom durant l’un de ses moments intimes. Ce moment que tu partages avec elle est totalement inouïe, fou d’une intensité que tu n’as jamais connu avec une autre femme et que tu caches bien de dire. Gemma te fait éprouver une émotion toute particulière lorsqu’elle se perd sous ton toucher, qu’elle lâche prise sous ta caresse, et s’abandonne sous tes baisers. Cette femme est d’une beauté qui t’envoute, d’une sensualité qui t’émeus et tu es bien incapable de dévier les yeux d’elle lorsqu’elle te livre son plus beau spectacle. Tout chez elle t’attire, son parfum, sa saveur, son grain de peau, en passant par son goût. Il n’y a qu’à voir à quel point elle t’a fait intensément jouir.
L’extaze éprouvée, te voilà plus calme à présent. Te laissant cajoler bras et jambes enroulées contre les siennes, alors que ces lèvres piquantes viennent pincer ton sein en te faisant couiner. Gemma est un concentré de douceur qui se révèle extrêmement éblouissante dans l’intimité. Le bout de ton nez rivé dans ses cheveux comme une droguée prenant sa dose, tu lui demandes ce que vous ferez si Théo vous avez entendu et instantanément Gemma semble se tendre. C’est presque imperceptible mais quand on est une observatrice telle que tu l’es, ce genre de chose se remarque. Tu caresses délicatement le grain de sa peau en l’écoutant te demander si tu voudrais qu’il sache. Tu inspires tranquillement son parfum, pensive à cette idée. Non… L’idée de lui dire que tu partages une intimité avec Gemma serait une mauvaise idée. Théo a quitté son logement étudiant à cause du sexe, tu aimerais éviter qu’il prenne la fuite à nouveau à cause de cela. Et puis, votre union à tous les trois pourrait en pâtir. Gemma se soulève et vient plonger dans tes yeux, tu n’es pas dupe, elle n’a aucune envie elle non plus que votre histoire se sache. Ton regard pénètre le sien plus profondément et un petit sourire s’éveille sur ton minois en la regardant. Tu amènes l’une de tes mains à replacer une mèche de ses cheveux. Et comme si tu n’avais pas besoin de parler, tu as l’impression que vous vous comprenez car elle répond à ton sourire et se love de nouveau contre toi. Tu finis par soupirer d’aise en murmurant tout doucement.
- Je crois que ça pourrait être notre secret. Que ça pourrait même être assez… Sexy de garder ça pour nous. T’en dit quoi ?
Est-ce qu’elle pense que c’est un moment d’égarement ? Est-ce qu’elle a simplement cédé à une pulsion quelle ne désirera plus ensuite ? Et pourquoi tu te mets à penser à des trucs pareils alors que tu as juste partagé un putain d’orgasme et rien de plus ? Gemma te plait c’est indéniable mais ce n’est pas toi que de faire des plans sur la comète des un instant intime. Elle reprend en disant qu’elle n’a pensée à rien et qu’elle s’est laissée porter et tu élargis un sourire en coin alors qu’elle se glisse dans ton cou. Elle te chatouille par ce contact et tu te montres pensive à ses propos au sujet du fait qu’elle ne souhaite rien ébranler dans votre coloc’.
- Alors on ne lui dit rien. On en a eu envie, et ça s’est produit, on ne va pas s’excuser de ça… Si ?
Tu roules doucement et vient à ton tour la surplomber pour en observer ses traits, tes cheveux nettement moins disciplinés que les siens. Tu perces ses iris en chuchotant.
- Tu veux savoir le pire dans tout ça ? C’est que je suis incapable de te promettre que j’en aurais pas envie de nouveau…
Ta bouche descend délicatement sur la courbure de son sein, en un O alors que tu aspires doucement sa peau de manière douce et sensuelle.
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Sujet: Re: Gemmasha ∞ Je me croyais seule. Dim 8 Sep - 23:46
Je souris, un peu soulagée je crois que ce moment de pur délice reste entre nous. Je ne saurais trop expliquer pourquoi, mais je crois que j’ai besoin que ça reste de l’ordre de notre intimité. A moins que mon cerveau malade n’envisage la discrétion comme un champ des possibles ? Ce serait déviant et honteux… et c’est sans doute ce qui me pousse à rejeter ça dans le champ de l’inconscient… mais se mentir à soi-même est sans doute le pire de tout. Masha glisse ses doigts sur moi, ses caresses tendres comme des murmures divins. Son souffle est chaud contre ma peau, et je sens son regard se poser sur moi, scrutant les moindres hésitations qui traversent mon esprit. Sa main descend le long de mon dos, chaque mouvement une promesse silencieuse, une tentative de dissiper mes angoisses et elle me livre son point de vue. Je l’écoute et mordille sa peau, attrapant son téton entre mes lèvres. -”Tout est sexy quand ça te touche de près ou de loin.” Le pire c’est que je ne cherche même pas la flagornerie, je suis sincère. Elle a un charme incandescent, évident, naturel, mais surtout sauvage. Je ne sais pas comment l’expliquer, mais elle respire la sensualité et ça en est presque suffocant. Elle revient se placer au-dessus de mon corps et je l’écoute en rougissant.
-”Pourquoi se priver de vivre ce qui nous fait vibrer ?” Sourire presque charmeur aux lèvres, je réalise qu’elle réveille la part la plus sauvage de mon tempérament. Elle me rend ivre, de désir, d’envies, d’une envie dingue et bien précise, celle de vivre. C’est tellement doux et entêtant à la fois. Elle est la plus douce des drogues et je suis déjà addict. Captive volontaire de cette nymphe aux allures de déesse. A moins qu’elle ne soit simplement l’écho ardent de mes désirs secrets ?
Je frissonne et une vague de chaleur envahit ma poitrine. La vie est trop courte pour se perdre dans des “et si” et des “peut-être”. Pourtant, le poids de la réalité plane sur nous, comme une ombre insidieuse, et je ne peux m’empêcher de me demander si cet instant volé, aussi doux et enivrant soit-il, ne finira pas par nous coûter plus cher que prévu. Qu’importe me souffle la passion, attention chuchote la raison. Mais, perdue dans ses yeux incendiaires il est d’évidence que la passion a gagné d’avance.
Je me redresse légèrement, prenant son visage entre mes mains, mon regard ancré dans le sien. Je me perds dans ses yeux, ces abysses profonds où brillent encore les braises de notre étreinte. Masha est un feu, un tourbillon de passion qui m’aspire et me laisse à bout de souffle. Elle est tout ce que je désire et tout ce que je crains. Je suis un papillon pris dans une tempête qui porte son nom. Le visage de Theo s'impose à moi, ses sourires complices, ses regards qui semblent tout deviner sans qu’on ait besoin de parler. L'idée de partager cet espace intime, de l'inviter dans cette danse délicate entre Masha et moi, est à la fois troublante et étrangement excitante. Une part de moi se révolte contre cette audace, tandis qu'une autre s'allume, curieuse et avide de nouvelles sensations. Je crois que je vrille, tout bonnement. -”Tu peux me faire une promesse?”
Je souris, un sourire mystérieux, presque rêveur, comme si je voyais déjà les contours de cet horizon que je n’ose pourtant imaginer. Mes mains glissent le long de son corps, traçant des chemins de feu sur sa peau encore sensible. Je ferme les yeux, essayant de me concentrer sur le présent, sur la douceur de ses lèvres, sur le poids réconfortant de son corps contre le mien. Mais mon esprit dérive, pris dans un océan de possibles où les lignes entre amitié et désir se brouillent, se redéfinissent. -”Promets moi de ne jamais te retenir… pas avec moi.”
Echo lointain, promesse d’un monde plus vaste, plus audacieux. Et le malaise de ma timidité s’adoucit, remplacé par une douce acceptation, une envie timide mais grandissante d’explorer ce que nous sommes, ce que nous pourrions devenir. Je me blottis un peu plus contre elle, sentant le rythme régulier de son cœur contre ma poitrine. Peut-être que tout ce qui compte, c’est de ne rien regretter, de suivre ce courant qui nous emporte, tant que nous restons honnêtes, tant que nous restons nous-mêmes.
Masha Myers
WebName : Caro' Date d'inscription : 01/06/2023 Messages : 75Surnom : Mash' Avatar & crédits : Cindy Mello Date de naissance : 15/05/2000 Age : 24
Sujet: Re: Gemmasha ∞ Je me croyais seule. Mer 23 Oct - 16:35
-- Tenue -- Que votre histoire soit un secret n’est pas un problème à tes yeux. Toi et Gemma ce n’était pas prévu, si on t’avait dit que tu déraperais avec ta propriétaire tu ne l’aurais jamais imaginé. Et pourtant, à présent tu serais bien incapable de faire comme si ça n’avait pas eu lieu. Regardez là… Cet éclat dans ses iris, son sourire délicieux sur son minois, ce corps fou d’indécence qui t’a enfiévré les sens. Tu n’as jamais imaginé que tu pourrais être ce qu’elle envié. Ça t’interpelle tellement que tu sondes son regard pour être certaine ne pas y lire de l’amertume ou du regret. Tu n’as jamais vraiment été du genre à te prendre la tête, ni à douter de toi, mais pour une raison que tu t’expliques difficilement tu n’as pas envie de considérer cet instant comme un moment d’égarement et rien d’autre. Surprenant hein ? Ouais, quand on te connait c’est surprenant.
Tu cajoles son corps qui t’a clairement fait ressentir des vertiges il y a quelques instants. La pulpe de tes doigts jouant contre son épiderme. Elle attrape ton téton entre ses lèvres et tu souris en gigottant doucement, elle dit que tu es sexy lorsqu’il s’agit de toi et tu abandonnes un petit rire avant de lui attraper le menton et lui choper les lèvres, en venant lui chevaucher le corps, la faisant pivoter sur le dos. Elle te demande pourquoi vous devriez vous priver de quelque chose qui vous a fait vibrer toutes les deux.
- Melle Stevenson vous cherchez à me séduire ?
Tu te penches sur elle, venant attraper sa lèvre inférieure entre tes dents pour tirer doucement dessus alors que tes doigts s’enroulent contre les siens que tu amènes au-dessus de sa tête. Un éclat de félinité née dans son regard, elle est d’une beauté ravissante. Surtout lorsqu’elle prend confiance en elle comme à cet instant et joue de ses atouts.
- Non, parce que ça pourrait me provoquer des envies d’abuser de toi, ça…
Tu viens embrasser sa joue, sa mâchoire puis son cou et rejoint son oreille dans laquelle ton souffle s’échoue lentement. Tu pourrais mettre en péril cette colocation, si tout ça venait à mal se passer. Si elle ou toi venait à franchir des limites non consentie ou trop lointaine. Tu libères ses mains et à l’instant où la liberté leur est offerte, elle se saisit de ton visage et tu couines lentement contre sa bouche. Ta langue venant rejoindre sa jumelle à la seconde où elle t’en donne la permission. Tu l’as laisse s’asseoir, t’installant sur son bassin, enroulant tes bras autour de sa nuque alors que vos yeux s’enchainent et se contemple. L’une de tes mains repositionnent une mèche de sa chevelure à présent ébouriffée. Elle te demande de lui faire une promesse et tu élargis un sourire en posant ton front contre le sien.
- Ça dépend…
Elle fait briller son regard et son charme sensuel reprend son éclat sans même qu’elle semble en prendre conscience. Elle te demande de ne pas te retenir avec elle. Tu inspires en la regardant droit dans les yeux et tu viens sceller à nouveau un baiser sur sa bouche.
- Je te promets de te faire subir chacun de mes désirs… A une seule condition.
Tu déposes ta main contre sa joue, obligeant son regard à rester dans le sien alors que tu la contemple comme la beauté irréelle qu’elle représente.
- Je veux que tu oublies ta retenue toi aussi… Je ne veux pas de brides, pas de barrières. Je veux que chacun de nos moments soient le fruit de nos plus profondes envies ? Je veux que tu connaisses ce que c’est que d’être voulu plus fort qu’une inspiration.