(HOT et VULGARTÉ) Un petit extra? (Mélo)

J’ai entendu certains des gars, après l’une de mes séances d’entrainement, parler d’un studio d’un massage avec extra qui serait, selon eux, le top du top. Les femmes seraient d’une grande beauté et avec des corps assez bien roulés pour prendre le risque de se faire taper dessus par un rouleau a tarte si leurs femmes en venaient qu’à l’apprendre. Je n’ai pas de femme c’est malheureux non ? Je suis libre comme l’air et même si j’en avais une, elle n’aurait pas son mot à dire en ce qui concerne ma liste de maitresse. Dans ma famille les femmes ferment leurs gueules et les hommes font ce qui leur plait. Je ne serai pas le premier Belov à changer la tradition, croyez-moi. Donc, si je reviens à ce salon de massage avec extra, je me suis dit que ce serait bien de l’essayer aussi. Pourquoi se priver n’est-ce pas ? En revanche, puisqu’il est impensable pour moi de me rendre là-bas, soit de me mettre en position vulnérable, j’ai demandé que l’une de leur employé vienne à la maison. Le propriétaire a été réticent au départ, les politiques de la maison et bla bla bla, le genre de truc dont je n’ai rien à foutre quoi. Je lui ai offert de le payer le tarif habituel à multiplier par 10, pour lui, puis le même montant pour la fille. Je sais que c’est cher pour se faire tripoter par une belle femme et je sais aussi que j’aurais pu demander à l’une de nos putes de me faire le même traitement pour rien, j’ai les moyens de me l’offrir et surtout, j’en ai l’envie. Puis mon offre est plutôt généreuse, non ? Il a accepté, bien sûr, et le rendez-vous a été prévu pour le vendredi après suivant vers 14 h. Selon ces dires, cela lui laissera assez de temps pour me faire un massage en profondeur. J’ai omis de lui dire qu’elle resterait aussi pour la soirée, que je ne comptais pas la laisser partir sans profiter de l’extra au maximum, mais là encore ça ne le regarde pas. Elle va recevoir un montant supplémentaire assez substantiel pour la remercier, il serait dommage d’apprendre que son patron a pris une part de ces gains à moins que le mec soit en fait son pimp bien sûr. Je m’en fous en fait. Moi, tout ce que je veux c’est le massage et la baise, elle fera ce qu’elle veut par la suite.

La journée venue, je me suis assuré que le loft était propre, que les draps avaient été changés, au cas où, puis que des petits encas étaient dans le frigo si la faim nous prenait entre deux baises. Vêtu d’un simple jean, torse nu, je me suis permis de lire un peu au lieu de laisser l’attente me mettre les nerfs en boule. Elle vient m’aider à relaxer, ça ne veut pas dire que je doive lui en donner plus pour son argent que ce qui est prévu. Hum… j’aurais dû prévoir le rendez-vous pour 13 h…

TOC TOC TOC

Il était temps…

Mes yeux se tournent vers ma montre et je me réjouis de voir qu’elle a deux minutes d’avance. Elle gagne des points. Mes pas me mènent donc à la porte, que j’ouvre en silence avant de poser mes yeux sur… PUTAIN, mais quelle beauté…

Entre et installe-toi.


Je recule pour lui laisser toute la place nécessaire avant de refermer et de tirer le verrou derrière elle.

Dans le salon.

Pas besoin de lui faire un dessin. L’aire est ouverte et j’ai poussé le canapé pour nous laisser de la place. Elle peut voir une cuisine avec un grand ilot, une table à manger de 8 places, un coin lecture, un grand canapé en elle et la chambre qui est à l’étage. On la voit en entrant, tout est ouvert, je vis seul alors pourquoi cacher tout ça hum ?

Il y a un pichet d’eau et de jus de fruits sur la table du salon si tu as soif.

Je la regarde s’installer sans lui tendre la main. C’est sa table, ces outils, je n’ai rien à voir là-dedans. Puis, une fois presque prête, enfin quand je la crois presque prête, je retire mes vêtements et mon sous-vêtement. C’est donc nu comme un ver que j’attends le signal de m’allonger.

Habillée de l’uniforme officiel de la Catrina, une jolie blouse beige qui arrive à mi-cuisses, Melody se rend à l’adresse qu’on lui a donner pour un massage à domicile. Pour toute information, on lui a dit qu’il avait payer une grosse somme d’argent pour un massage de qualité et qu’il avait entendu parler de la Catrina par des connaissances et que si elle ne se loupe pas, il pourrait devenir un client régulier et donc de gros revenus et pour elle de bon pourboire. C’est tout ce qui lui importe, même si elle a déjà connu des clients pervers qui ne lui ont pas fait que du bien,  elle est obnubilée par son rêve et rien ne pourrait lui faire changer d’avis même vendre son âme au diable.

Armée de sa table et de son sac, elle part en direction de ce fameux client qui a payé une petite fortune pour un massage et plus si affinités comme elle a tendance à le dire à ses copines de cours. Elle s’arrête devant une belle et grande maison moderne, elle monte les 2 marches et sonne à la porte, au bout de quelques secondes, la porte s’ouvre et Melody écarquille les yeux devant l’homme enfin elle devrait dire le colosse qui se présente devant elle, mais c’est un géant pense-t-elle en le dévisageant, elle n’ai jamais autant regardé un homme que celui qui lui a ouvert la porte, il fait 2 têtes de plus qu’elle, il a des bras impressionnants, un large de torse et des abdos sculptés  dans la pierre. Soudain, elle a quelques appréhenstions à entrer, ses faibles connaissances en self-défense n’auront aucun effet sur lui vu la taille des ses mains et elle ne pourra pas appeler le service de sécurité, mais elle n’as guère le temps de penser à ça car il l’invite à entrer de sa voix grave,  elle passe le pas de la porte, il referme la porte derrière elle et lui  dit d’aller dans le salon qui est droit devant. Elle fait quelques pas et regarde autour d’elle, c’est une très belle pièce baignée de lumière ou les meubles et la décoration ont y été choisis avec goût. La voix du géant résonne et lui indique qu’il y a de l’eau et des jus de fruit un peu plus loin.

- Merci monsieur, peut-être plus tard dit-elle en souriant, elle installe sa table ainsi que ses produits, quand cela fut fait, elle va dans la cuisine pour se laver les mains, l’hygiène est importante et quand elle revient, elle le voit nu comme un ver. Depuis qu’elle travaille à la Catrina, elle a vu des hommes nus mais lui c’est un colosse musclé dans tout les sens du terme que pendant deux secondes, elle reste immobile les yeux rivés sur le corps de son client. La suite risques d’être intense qu’elle se mordille la lèvre.

- Euh… allongez vous sur le ventre s’il vous plaît dit-elle en s’éclaircissant la voix et en esquissant un sourire, il s’exécute, elle déglutit en voyant son dos qui est pire que le devant. Elle met un peu d’huile sur ses mains et se les frottent pour pas que le contact ne soit trop froid et les posent sur les épaules du colosse et commence à parcourir son large dos

Bon sang, ses muscles sont de la pierre et sincèrement elle ne sait pas s’il va sentir quelque chose mais sa peau est douce, elle pense à une technique de massage qui consiste à marcher sur le dos de la personne, elle pourrait le tester avec lui elle est prête à parier qu’il ne sentirait rien.

- Je m’appelle Melody et n’hésitez pas à me dire si quelque chose vous dérange ou si il y a une zone   que vous désirez que je m’y attarde. Généralement cette phrase est sans équivoque pour ce qui va se passer par la suite mais elle préfère le dire. Ses mains descendent vers le bas de son dos et elle appuie sur des endroits stratégiques pour le détendre. Même si cela fait quelques minutes, elle se penche vers son oreille et lui glisse un «Tout vas bien Monsieur ?» très suave

@Uriel Belov

Attention vulgarité et sexe + 18




L’impatience de tester la réputation des filles de la Catrina me ronge de l’intérieur. Sont-elles aussi belles qu’ils le prétendent ? Aussi dociles ? Aussi habiles à dénouer les nœuds, tous les nœuds ? Belle, habile et docile, exactement ce dont j’ai besoin pour me détendre complètement aujourd’hui. Une détente qui promet d’être complètement quand j’ouvre la porte et que mon regard se pose sur elle. Elle est la promesse d’une bonne baise sur deux jambes et des jambes de déesse en plus. Ces gestes sont précis quand elle s’installe et sa voix m’hypnotise quand elle refuse mon offre de boisson. Sans parler de ce < non monsieur > qui me fait durcir un peu.

– Euh… allongez-vous sur le ventre s’il vous plaît

Je m’exécute en silence, me place pour être le plus confortable possible et soupire quand ces mains se posent sur moi. Elles sont douces et légères, loin du massage en profondeur à laquelle je m’attendais, mais tout reste divin. Ma respiration est guidée par les mouvements de ces mains, des caresses pour une musculature comme la mienne. Ce n’est pas important et je la laisse me berce de sa douceur, me languis de voir si elle prendra, ou non, les devant ou si je vais moi-même devoir exiger plus de sa part. Heureusement je ne suis pas déçu. C’est moi ou cette femme est parfaite ?

Monte sur moi, ta chatte collée sur mes fesses et masse avec plus de vigueur. Nue.

Sinon tout va bien oui, mais ça, elle n’a pas à le savoir. J’attends donc qu’elle grimpe sur moi, quelques kilos de plus ou de moins la table devrait tenir, avant de laisser tomber l’ordre suivant. La chaleur de son entrejambe… PUTAIN. J’aurais dû regarder la marchandise avant qu’elle ne s’installe sur moi, mais quel con. Enfin, pas grave, j’ai tout le temps devant moi pour parce que pour le moment je veux la rendre chèvre. Comment cela je ne sais pas comment faire ? Ce n’est pas parce que je baise de temps en temps sans demander la permission que je ne peux pas changer une petite flamme en brasier.

Montre-moi à quel point tu souhaites obtenir un bon pourboire.

Ça veut dire quoi ça ? Je lui laisse le soin de le découvrir, se serait idiot de lui donner des indices quand même. Pendant qu’elle réfléchit pèsent les options dans sa tête, mes mains glissent doucement le long de ces cuisses et dessinent le galbe de ces fesses quand elle se penche vers l’avant pour masser le haut de mes épaules.

Tu mouilles comme une petite pute Melody ? Joui sur moi, comme ça et tu seras récompensé…

Je m’étais pourtant promis de ne pas lui donner le moindre indice, mais bon, l’entendre gémir alors que je ne peux pas voir son visage plisser sous le plaisir est tout de même aphrodisiaque.

N’oublie pas de masser.

Bah quoi ? Elle est ici pourquoi de prime abord ? Est-ce que ces caresses vont se transformer en griffures avant ou après que je l’ai possédé pour la première fois ? Tant de question qui se bousculent et que seul le temps pourrait permettre de répondre. Elle a quand même de la chance que je ne me sois pas retourné pour la baiser direct. Sec ou pas, quand j’ai envie de me glisser dans un trou, je m’y glisse. Elle me remerciera plus tard, elle mer remerciera et me suppliera aussi, un ne va pas sans l’autre. Hum… maintenant j’ai cette image de petite pute qui me chevauche. Ah merde… une chose à la fois.

Hum...

Elle mérites un petit encouragement.

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Pour la petite provinciale qu’elle est quand elle est arrivée à San Diego, découvrir une si grande ville et ses codes n’as pas été une chose facile. Elle pensait naïvement que sa jolie frimousse pourrait la sortir de toutes les galères. Ses rêves de cinéma et de télévision s’éloignaient de plus en plus et avec ça l’argent aussi, ses économies fondaient comme neige au soleil et son travail de serveuse ne couvrait pas tout. Heureusement que son studio chez Wilma Schiller était accueillant et elle payait un loyer dérisoire pour un si joli appartement.

Accepter d’être masseuse avec extra a été compliqué mais quand elle a vu ses pourboires, ca lui faisait tout oublier et puis les clients étaient des hommes fortunés qui étaient soient avocats, politiciens,  star des réseaux ou présentateur télé, si elle s’y prenait bien, elle pourrait se faire remarquer et arrêter définitivement ce job.

Chez ce client ou elle se rend, c’est un nouveau client et on lui a dit qu’il payait très bien et qu’il pourrait devenir un client régulier, c’est tout ce qu’il fallait à Melody pour se donner de la peine à le satisfaire.

Arrivée devant l’immense maison, la surprise fut de taille quand son client lui ouvrit la porte un géant y a pas d’autre mot, elle a un léger mouvement de recul face à sa carrure, heureusement il n’as pas l’air de l’avoir remarqué et le suit jusqu’à son salon qui est aussi immense que lui. La table fut installée, ses produits aussi, il peut s’installer sur la table qui elle l’espère tiendra le coup il doit bien peser 100 kg mais de muscle, elle se demande même s’il va sentir quelque chose. Au bout de quelques minutes, Melody lui dit qu’il faut qu’il dise si quelque chose lui déplaît ou s’il a envie qu’elle lui masse une zone en particulier et fini par lui glisser à l’oreille un «Tout vas bien Monsieur» d’une voix suave et chaude. Il faut croire que oui, la respiration du géant se cale sur les mouvements des mains de Melody sur son corps. Son premier ordre tombe de sa voix grave et il ne prend pas de gants, ca n’est pas d’importance, il paie, elle exécute.

Elle se met devant lui et même s’il ne peut pas la voir, elle se déshabille en prenant soin de laisser ses sous-vêtements sexy à ses pieds vu que c’est la seule chose qui peut voir. Une fois nue, elle grimpe sur le colosse et se positionne comme il le lui a demandé et se met à bouger au rythme de ses mains sur son dos

- Comme ça Monsieur ? Puis elle se penche pour que la pointe de ses seins qui commencent à durcir se frotte sur son dos musclé. Les mains de son client se posent sur ses cuisses et remontent doucement, ce geste couplée avec les mouvements de bassin commencent à l’émoustiller et sa chatte s’humidifie, il faut dire qu’il a beau être un géant et qu’il peut la casser en 2… son corps est une ode à la luxure. Elle vient en mettre une couche en faisant glisser sa langue  sur son dos, elle est quand même obligée de se caresser pour satisfaire la demande du géant car la perspective qu’il la possède nourrit grandement son excitation, ca ne fait pas tout, au bout de longues minutes, elle se laisse envahir par sa jouissance d’un cri qui emplit la pièce, elle sent son miel couler sur les reins du géant, qu’elle étale un peu sur sa peau blanche. Elle reprend ses esprits et s’allonge sur son large dos et lui glisse à l’oreille.

- Cela a satisfait Monsieur que je jouisse sur lui ? Retournez vous, il est temps que vous puissiez profiter de mon corps dans tous les sens du terme. Elle ponctua sa phrase par un mordillement sur son épaule.

- Comme ça Monsieur ?

J’ai cette envie de la traiter de petite chienne obéissante, mais je ne le fais pas. La pointe de ces seins me fait durcir et je commence sérieusement à ne plus être confortable et couché sur le ventre. Chaque mouvement, chaque gémissement et chaque cri me fait durcir un peu plus encore. J’ai envie de lui dire de se dépêcher à jouir pour que je puisse la posséder comme elle mérite de l’être, mais ce serait idiot. En se frottant à moi et en jouissant, elle sera déjà prête à s’enfiler sur ma queue. Pas besoin de préliminaires puisque le chemin sera déjà humide et glissant. Ma peau aussi sera humide et glissante… Je me permets même de fermer les yeux pour savourer toute la luxure qu’elle se permet de prendre et je souris quand elle m’ordonne de me retourner. Parce que c’est bien ce qu’elle a fait, on est d’accord ? Je ne me souviens pas d’avoir entendu de < s’il vous plait > ou de < je vous en prie > n’est-ce pas ? Voilà… Je me tourne donc sans la faire tomber, ce qui est plutôt difficile, mais une fois sur le dos je ne fais rien. Il serait trop facile d’emprisonner son bassin entre mes mains pour la faire glisser sur moi, non, je la laisse faire les premiers pas.  

Quand elle se décide à ne faire qu’un avec moi je soupire de plaisir, mais ne bouge pas. Pendant un temps qui lui paraitra probablement trop long, je la laisse se démerder. Elle peut tourner son bassin, imprégner des va et viens lents ou rapides, amples ou non, je ne fais rien, ne dis rien. Elle se débrouille plutôt bien, elle est même douée, mais je continue à rester passif par choix jusqu’au moment ou je sens une pointe d’incertitude se frayer un chemin en elle. Croit-elle que ces coups de reins ne soient pas à la hauteur ? Croit-elle que ces talents ne me font pas l’effet escompté ? Pense-t-elle que son corps ne réveille pas la bête en moi ? Je ne peux lire dans ces pensées, mais baiser quelqu’un qui ne réagit pas, ou très peu, peu vite démolir notre confiance en soi. Je me délecte donc de cette lueur naissante un court moment avant de venir emprisonner ces hanches entre mes mains.

Mon tour !

Entre ma carrure et la sienne, j’arrive sans trop de mal à me mettre en position assise sur la table. Je profite de cette position pour pousse ma queue en elle profondément en l’attirant vers moi, puis sans un mot je me lève et me dirige vers le mur le plus proche pour lui écraser le dos solidement.

Je ne fais pas l’amour Mélody… je baise…

Le dos écrasé entre moi et le mur, elle ne pourra pas tomber, mais je glisse tout de même mes mains sous ces cuisses pour qu’elle n’a pas à serrer les jambes pour se retenir. Tout ce qu’elle peut faire c’est utiliser ces bras et se laisser pilonner. Elle peut aussi gémir, grogner ou crier de plaisir bien sûr, je ne suis pas à ce point sadique.

Donne-moi un chiffre entre 1 et 10.

Pendant qu’elle réfléchit, je la pilonne férocement. Chaque coup s’enfonce, se retire et s’enfonce à nouveau. Je suis la bête qui dévore la proie, insensible à la douleur provoquée par mes morsures. En parlant de morsure… mes dents aimeraient bien venir grignoter cette peau douce et divine. Je vais garder ce petit en-cas pour plus tard.

Puis un chiffre entre 1… 2 ou 3… Choisi bien, car il n’y aura pas de retour possible. Un pour un trou. Deux2 pour deux trous. Trois pour les trois trous.

Le premier sera pour le nombre d’orgasmes reçu, mais elle n’a pas besoin de connaitre ce détail, elle n’a qu’à subir. Je laisse donc ma proie choisir combien de trous je vais visiter ce soir. Je n’ai pas dit que j’allais la laisser choisir lequel, enfin si elle choisit 1 seul trou il est trop tard, mais si elle choisit le nombre 2, ce choix devient le mien. Si elle choisit trois… Elle aura droit à la total. Un, deux ou peut-être même les trois en même temps qui sait…

Melody avait ses clients réguliers mais il n’était pas rare qu’on lui donne des nouveaux clients en vu de les fidéliser. Bien que quand elle a commencé son boulot de masseuse, elle n’y connaissait rien  elle s’est avérée être une bonne élève et elle n’avait pas froid aux yeux contrairement à ses collègues qui n’aimaient pas certaines pratiques.

Quand elle arrive chez ce nouveau client et qu’il lui ouvre la porte, elle voit tout de suite sa carrure et comprend rapidement que ca sera bestial bien qu’elle peut se tromper mais elle arrive assez bien à cerner les gens. Quand elle installe sa table et ses produits, son client se déshabille entièrement, elle pose son regard sur lui il est … wahouh sacrément baraqué et ca, ca lui plaît. Il s’installe et commence son massage elle appréhende un peu qu’il ne sente rien, comparé à lui, elle est bien frêle mais elle fera tout pour le contenter. Après de longues minutes, son client lui ordonne de monter sur elle, de coller sa chatte sur lui. Les choses sérieuses vont commencer. Melody se déshabille devant lui et jette ses vêtements sous sa tête vu qu’il est couché, elle monte sur le colosse et prend appuis sur son large dos et se met à bouger et à onduler, elle vient frotter ses seins sur son large dos pour faire grimper l’excitation autant chez lui que chez elle, elle s’aide de ses doigts tout en imaginant la suite de la séance, elle pense à son membre s’introduire en elle, ses bras la serrer et ses lèvres embrasser sa peau et la mordiller ca la fait frémir et un orgasme prend possession de son corps qui tremble. Elle récolte un peu de sa jouissance qu’elle étale sur les reins du géant puis elle se penche vers lui et lui murmure à l’oreille d’une voix haletante s’il est satisfait qu’elle a joui sur lui et qu’il pourrait se retourner histoire de profiter de son corps. Avec un craquement de table, le géant se retourne et elle a tout le loisir de le regarder et quand ses yeux regarde son membre grossir, un frisson traverse son corps, elle se met à califourchon sur lui et glisse sa queue dans son antre brûlante. Elle se mordille la lèvre, bascule la tête en arrière en le sentant prendre de la place. Melody ondule son corps tout en se plantant ses doigts sur ses large biceps. Son client ne bouge pas et la laisse faire et ca la déstabilise un peu. Elle a peur tout d’un coup qu’elle ne soit pas à la hauteur. Son visage doit le refléter car il se redresse et l’enserre dans ses bras et lui dit « mon tour» il la plaque contre lui, cela fait se contracter autour de lui et en quelques secondes, il s’est levé et l’as plaqué contre le mur. Elle pousse un cri de surprise quand il colle son corps robuste contre le sien elle ressent toute sa virilité et sa puissance.

- Comme il vous plaira monsieur sa voix est saccadée car son souffle est court, ses jambes se serrent autour de ses hanches et elle crochètent ses bras à son cou.

- 8 souffle-t-elle. Elle ne sait pas pourquoi il lui demande ça et ca disparaît vite de son esprit car il la pilonne avec force, c’est indescriptible ce qu’elle ressent… c’est si intense, si démesuré qu’elle gémit sous ses coups de butoir. Elle plante son regard dans celui du géant, ses yeux bleus acier la transpercent

- 3 Monsieur elle doit satisfaire son client c’est ce qu’on lui a appris dès qu’elle est arrivée, s’il désire la posséder par tout les trous, elle se doit de répondre à ses désirs, ce n’est pas pour lui déplaire, elle aimerait bien qu’il figure dans son carnet de clients réguliers.

Cette première rencontre est intéressante et je peux affirmer dès maintenant que ce ne sera pas la dernière. Entre payer une pute de luxe ou payer une masseuse de luxe, pour moi, il n’y a aucune différence. Je pourrais aussi flirter et trainer une petite gazelle sans mon sillage dans une chambre d’hôtel minable afin de la baiser avant de la jeter. Une ou l’autre des options j’affirme sans honte les avoir déjà essayés, plusieurs fois même. Parfois je paie, parfois non, mais aucune ne peut se vanter de s’être levée à mes côtés le lendemain matin. Mélody ne fera pas exception à cette règle. Je vais la baiser, la paie et bon débarras ou, dans son cas, à bientôt. Pourquoi ? Parce que cette première rencontre est intéressante, je me répète, mais aussi parce que j’aime les lueurs qui brillent dans le fond de son regard. Elle aime ce qu’elle voit, il ne peut pas le nier et j’aime savoir que je fais saliver. C’est bon pour l’égo. Je sais aussi que ma queue en elle la comble. Assis, debout contre le mur, a genou derrière elle… Plus tard.

Gourmande, hum ?

Huit orgasmes ? Elle va tenir le coup ?

Gourmande et très vilaine ?

Je continue de la baiser avec férocité, enchainant les coups de reins, me délectant de la sentir remonter le long du mur à chaque fois que mon gland la défonce. Encore et encore, la poussant a bout sans ralentir, savourant ces gémissements et les battements effrénés de son cœur comme s’ils étaient une drogue et que j’étais en manque de dose. Je dois même me concentrer pour ne pas jouir, ce qui en dit long sur l’intensité de cet échange et je ne suis pas fâché quand enfin elle laisse le torrent la prendre d’assaut. Son corps tremble, impatient, je lui laisse à peine le temps de savourer avant de la soulever pour la laisser tomber sur le lit.

Deux !

Cette fois ce sont trois doigts qui plongent en elle. Encore une fois je ne ménage pas mes efforts, enfin un peu, soit juste assez pour qu’elle finisse par quémander en ondulant ces hanches. Je prends soin de ralentir juste avant le déluge, puis reprends, jouant ainsi deux ou trois fois avant de courber deux doigts vers le haut. Je ne lui ai pas vraiment laissé le temps de redescendre de son orgasme deux, le suivant est un jeu d’enfants.

Trois !

Si elle n’a pas compris à quoi je relie les nombres, c’est qu’elle est franchement bête non?

Suce-moi !

Quoi ? Je n’allais tout de même pas lui demander de me lécher la bite comme elle le ferait avec une friandise ? Nope, je ne joue pas dans la dentelle et afin qu’elle puisse obéir, je fais un pas vers l’arrière, lui tend la main pour « aider à s’asseoir et attends. Attendre qu’elle ouvre la bouche pour y faire glisser ma queue ? Qu’elle tire la langue pour me lécher ? Je la laisse décider de la danse pour le moment, elle choisit les pas et le tempo. En revanche, il se pourrait que je finisse par lui baiser la bouche tout simplement. De si jolies lèvres… mes mains agrippées à ces cheveux… Combien de temps elle peut sucer sans respirer ? Aurais-je droit à des haut-le-cœur ? Cracher dans sa gorge ou laisser ma semence dégouliner sur son menton ? Il y a tellement d’options possibles, tellement d’idées et d’envies.

Tu peux utiliser tes jolies mains.

Pour me branler ? Bien sûr que non, amis ça elle ne le sait pas encore et elle sera puni le cas échéant. Non, ces mains elles peuvent les glisser sur moi, me caresser, mais elle peut aussi se caresser elle. Tellement de possibilités n’est-ce pas ? Avec ma queue au garde-à-vous, j’espère qu’elle saura me démontrer son talent avant que de perdre patience et ma bite fasse naitre la peur en elle. J’aime bien voir mes proies trembler de peur quand elles comprennent que je peux les tuer avec ma queue bien au fond de leur gorge. Il suffit de tenir leur mâchoire ouverte et de pousser bien au fond.

Quand il a ouvert la porte, Melody a été plus que surprise en voyant la taille de cet homme. Elle aime les hommes mais les hommes baraqué et musclé ont sa préférence et là ce client est très appétissant et l’imagine déjà en client fidèle car il a payé cash et elle sait quand elle est arrivée mais pas quand elle va repartir, comme c’est un client spécial et qu’il la reçoit chez elle, si elle se débrouille bien elle peut en avoir pour toute la nuit et elle sera payée en conséquence si c’est pas la cas, il la congédira sans un dollar de plus.

Chaque massage est différend il y a les hommes timides qui n’osent pas demander ceux pour quoi ils ont payés et il y a de ceux qui désirent qu’elle aille droit au but sans mauvais jeu de mots. Avec ce client, elle comprend très vite qu’il n’est pas la pour faire dans la dentelle qu’il va la baiser de manière bestial, elle en est toute excitée par avance. Plaquée contre le mur, elle s’accroche à son cou et subit avec délice ses coups de butoir, son souffle est haletant et ses gémissement emplissent la pièce.

Ses coups de bassin sont puissants, elle met ses mains sur ses fesses qu’elle sent se creuser à chaque coups, sa queue est épaisse et dur qu’elle prend toute la place dans son intimité.

- Très vilaine et très gourmande sa voix est saccadée, il lui a demandé un numéro entre 1 et 10 et elle a répondu 8 sans savoir à quoi cela correspondait et elle ne vas pas être déçue vu qu’elle a demandé 8 orgasmes… la journée va être intense et elle ne sait pas si elle arrivera à supporter autant d’orgasmes mais cette pensée est vite chassée parce qu’un orgasme est en train prendre possession de son corps, elle s’accroche à son cou, enfoui sa tête contre son épaule et lui mordille le cou quand la jouissance la traverse, son corps est secouée de tremblements, il ne lui laisse pas le temps de reprendre son souffle, il l’emmène sur son lit et l’y dépose. 3 doigts s’introduisent dans son antre brûlante, elle ondule son corps, serre les draps, elle croise le regard de son client, elle y voit des flammes de désir et insatiabilité que sa chatte se contracte et mouille encore un peu plus et quelques minutes plus tard un autre orgasme la fait crier et son corps se cambre. Il retire ses doigts et d’une voix guttural lui demande de le sucer. Melody se redresse, la tête lui tourne un peu, elle a une bonne condition physique mais 3 orgasmes quasi de suite, ca la fait chanceler. Elle se met à genoux et écarquille les yeux. Bordel, elle est immense et épaisse. Elle en as vu de toutes sortes et de toutes taille mais là .. c’est ouais. Elle s’approche de lui et s’humidifie les lèvres, elle a conscience qu’il ne veut pas du doux mais elle va y aller doucement pour s’habituer. Ses lèvres l’avalent, la langue l’entoure et caresse son gland et plus elle l’avale plus elle se demande si elle va y arriver. Ses mains se posent sur ses hanches puis elles passent sur ses fesses qu’elles serrent, elle remonte le long de son dos, passent sur ses abdos qu’elle caressent un instant avant de descendre jusqu’à ses larges cuisses pour enfin atterrir vers ses bourses qu’elles flattent.

Tout en faisant cela, son regard se plante dans le sien, même si elle doit être à son service, elle aime voir un homme succomber à ses caresses et elle a bien envie de le voir fléchir.