Que les jeux commencent !! -- Amy & Vic

OUtfit -- Entre Amalia et moi, c'est une amitié très forte et indestructible, du moins c'est ainsi que je la considère. Lorsque nous nous sommes rencontrées à l'université de San Diego, nous avons immédiatement ressenti une complicité et une entente quasi-instantanées. Comme pour l'amour, il y a des amitiés qui sont destinées à durer et d'autres non. Heureusement, nous sommes de celles qui sont faites pour durer. Nous avons même décidé de vivre ensemble dès la fin de nos études. Parfois, je me demande si nous ne sommes pas devenues deux éternelles étudiantes. Bien sûr, nous avons tous les deux des emplois qui nous permettent de subvenir à nos besoins et de rythmer nos journées, mais à côté de cela, nous n'avons jamais cessé de profiter de la vie. Nous aimons nous amuser, jouer et être insouciantes. Après tout, pourquoi ne pas en profiter à notre âge ?

Nous sommes le genre de copines qui ont une relation si forte que nous pouvons nous comprendre avec un simple regard. Nous avons notre propre mode de communication, qui peut agacer les autres, mais nous nous en fichons. Ensemble, nous passons du bon temps à nous amuser et à nous lancer des défis, et la vie avec elle est carrément amusante. Avec les hommes, nous sommes  des garces, nous jouons avec eux, les utilisons puis les jetons comme des mouchoirs usagés. Cependant, cela n'a pas toujours été le cas. Amalia a beaucoup changé après avoir été victime de ce fils de pute, cet Hugo. Il s'est servi d'elle et mon amie a été profondément blessée. Je crois que c'est à ce moment-là que tout a changé. J'ai été là pour elle pour l'aider à se remettre, mais les cicatrices laissées par ce traumatisme sont profondes et durables. Je connais seulement le prénom de cet homme, j'ai refusé de regarder la vidéo qu'il a tournée avec mon amie. Je me place aujourd’hui comme sa protectrice. Depuis, nous avons appris à nous protéger mutuellement et à nous soutenir face aux difficultés de la vie.

Sur le canapé, je suis déjà prête et j’attend qu’Amy finisse de se préparer. Ce soir on sort, le duo de garces que nous sommes va encore frapper. Je m’en réjouis d’avance. J’attrape le petit carnet qui trône sur la table basse. Le récit de nos péripéties ? Presque. On y note les défis qu’on se lance, nos expérinces, on y note le nom des mecs qui passent entre nos cuisses, à côté de certains y a des annotations et des notes. Le numéros de certains… s’ils sortent du lot et se démarque des autres mais c’est rare. On a gardé par exemple le numéro de Dylan, le n°22 de l’équipe de football américain de l’université. Il savait divinement bien se servir de sa langue… Ca remonte à cette folie qui nous avais prit de vouloir nous taper tout les membres de l’équipe et pour pimenter le truc on avait voulu se les taper dans l’ordre croissant des numéros de leurs maillots. Ca avait pas été simple je vous assure !! Mais rien n’est impossible quand on s’en donne la peine.  Plus récemment on a voulu se redonner un défis de grand envergure à relever. Cette fois on s’attaque à l’alphabet. Le principe est simple, chaque sortis en se cherche un amant chacune dont le prénom commence par une lettre bien précise qu’on a désigné en amont. après on débrief le lendemain, on note et on se raconte les détails croustillant.  Il y a des lettres plus simples que d’autres croyez moi. Ce soir c’est le “H” autant vous dire qu’on va en chier.

Je repose le carnet quand mon amie sort de la salle de bain. Je lâche un sifflement admiratif avant de me lever. ” Oh putain Amy !! Un seul mot : BOMBE, tu es une BOMBE “ On est prête toutes les deux, alors c’est partis. Dans le taxi, je sort de mon sac un petit miroir pour me remettre une pointe de rouge à lèvres, puis je me tourne vers mon amie. ” Le “H” ce soir alors ? T’es sure ? On peut la sauter tu sais…” Je ne dis pas ça parce que la difficulté m’effraie mais parce qu’en plus d’être une lettre pas si courante que ça, ça risque de lui rappeler ses démons… ” Parce qu’on a quo… Hubert…  Hector ? Ca pus le vieux ça non ?  “ Je fronce mon nez, réfléchissant encore tout en évitant avec soin de pronom SON prénom. Un hugo ça doit se trouver mais c’est exclus !!! Je me tourne subitement vers le chauffeur du taxis ” hé tu t’appel comment ? “ puis je me tourne vers Amy ” On sait jamais ça vaut le coup de demander non ?  “ Bon vu sa tête pas sur, il vend pas du rêve le chauffeur. Il me regarde via le retro comme si j’étais folle. Il a pas tord ceci dit. ” Bruce “ Il me répond en grognant. ” Ah merde !! B on a déjà fais tant pis” Je le balaie de mon esprit immédiatement reportant toute mon attention sur mon amie. Putain elle est sublime je vois déjà d’ici tous les regards désireux se braquer sur elle. Le taxi s’arrête, nous sommes arrivées devant la boite on j’entend déjà les basses raisonner, donnant déjà à mon corps envie de danser. ” Prête ? “ Je la regarde un sourire rayonnant illumine mon visage quand j’ouvre la portière comme si c’était un signal de départ.

@Amalia Cavanna

Pando

❝ Que les jeux commencent ❞ - Reyna Hazan &   @Victoria Parks  - Avec elle, et sans négociation. Ca sera toujours elle et toi contre le monde

   

--OutFit-- Victoria Parks. Amie en or que tu côtoies depuis maintenant plusieurs années. Assez en tout cas pour ne plus savoir te passer d’elle depuis un bon petit bout de temps. Elle est du genre pétillante, amusante, fêtarde, folle. Si tu avais un jour voulu une sœur c’est elle que tu aurais choisie. Détail à ne pas oublier également, en plus d’être une âme presque sœur avec la tienne, c’est une véritable bombe atomique. Tu avoues en avoir vu des têtes tournées juste parce qu’elle avait décidé d’amener son cul dans la pièce. A l’université tu te rappelles qu’elle avait au moins fait 5 cœurs brisés et bon nombre de queue se lever sans avoir la moindre attention. Ouais la vie est cruelle ! Mais Vic’ c’est ton rayon de soleil, c’est elle que tu embrasses en premier le matin et c’est elle que tu câlines en dernière le soir. Celle que tu sais comprendre juste en un regard, et ceux même quand elle tente de faire son adulte responsable et intouchable. Ensemble vous formez un duo totalement barré et c’est ce que tu aimes chez elle. La vie n’a pas toujours été délicate avec vous deux, tu as eu ton lot de blessures, et la jolie blonde n’était jamais loin pour t’épauler. Surtout quand un homme que tu avais toujours connu à décider de te réduire en miette et bonne à rien. Vic’ en a passé des heures à te caresser les cheveux en tentant de calmer tes larmes. Alors tu as tenté d’en faire autant pour elle. Aujourd’hui, c’est ta colocataire, et j’ignore si le sort est totalement d’accord avec l’idée d’associer deux tornades ensemble dans le même logement. En tout cas vous, vous vous y éclatez. Chaque jour est une fête ou presque et quand ce n’est pas le cas, le calme d’une soirée entres filles est toujours très plaisant. Concernant le programme de la soirée, ce soir vous allez être de sorties. Et autant dire que vos désirs en matière de soirée sont assez stricts. Il vous faut de l’alcool, de beaux vêtements, un endroit plein d’ambiance, et des mâles… des mâles séduisants et qui savent pratiquer le genre de femmes que vous êtes devenues. Vous avez de manière générale les mêmes goûts et l’attachement et la fidélité n’est pas vraiment des engagements que vous avez envie de prendre prochainement. Ce soir donc sortie, tu as fait en sorte de te munir d’une robe qui fasse en sorte qu’on te remarque et qu’on a envie de te chasser. Peu de tissus, beaucoup de peau et tes cheveux noirs de geais tombant en cascade. Tu sors de la salle de bain avec déjà beaucoup trop de retard, ton regard se pose sur Vic qui te siffle en voyant ton allure. Tu baisses ton regard sur ta robe avant de désapprouver en riant. - Arrête, tu t’es regardée chaudasse ? Ta blonde d’acolyte n’a clairement rien en reste, elle pourrait sortir avec un sac poubelle autour d’elle que tous les regards seraient sur elle. Pas le temps de vraiment débattre de ce sujet, vous devez embarquer dans le taxi qui s’impatiente déjà en bas. Ta sacoche dans la main, tu en sors ton miroir en simultané avec ton amie, ça te vaut un éclat de rire avant de te regarder pour réajuster les boucles de tes mèches. Vic’ te demande si vous êtes d’accord pour le « H » ce soir ? Un nouveau jeu débile dans lequel vous vous êtes lancés, en voulant choper des mecs en cochant les cases de l’alphabet. Vic’ sait parfaitement que le H est évocateur chez toi et tu pinces tes lèvres. Tu as déjà raté une soirée avec le « A » il y a quelques semaines, quelle honte ! Hors de question que tu renonces ce soir. Tu tournes ton visage vers elle, tentant de dissimuler le fait que le fantôme d’Hugo te cause encore beaucoup de douleurs. - En faite tu as peur de perdre ! J’hallucine ! Ecoute moi bien je gagnerais la manche de ce soir même si je dois me taper un Hercule ! Tu voiles ton passé dans de l’humour mais tu sais qu’elle n’est clairement pas de ces gens dupes. Tu déposes ta main dans la sienne et tu lui souris. Un geste qui lui spécifie que ça va, que tu avances et que tu passes au-dessus. Un mode de communication à vous. Vic’ se tourne alors vers le chauffeur, attends quoi ? Elle demande son prénom et tu pouffes de rire. Même pas en rêve tu écartes les cuisses pour un type pareil. Mais Vic’ est du genre à aller au bout des choses pour amuser la galerie. Une chance le gars ne correspond pas aux critères. Il dit s’appelait Bruce. Tu joues le jeu de ton amie. - Rho putain c’est dommage, si tu avais un « W » on t’aurait prise toutes les deux… Le taxi s’arrête devant votre lieu de soirée, et tu poses tes doigts sur tes lèvres pour mimer le geste d’un bisou vers Bruce, avant de t’extirper de la voiture au « prête » de ton amie. - Go ! Bye Bruce ! Tu sors du véhicule en compagnie de ta meilleure amie pouffant déjà de rire à votre connerie, ton bras se glisse sous le sien et c’est automatique, vos regards cherchent déjà sans même que vous en ayez conscience… La soirée promet… Tu trouves déjà des choses bien appétissantes.

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OUtfit -- Amy et moi, nous sommes amies depuis longtemps. Nous avons une amitié indestructible et une complicité sans faille. Bien que je donne souvent l'impression de prendre tout à la légère et de ne jamais me prendre la tête, cela ne reflète pas toujours la réalité. En fait, ma bonne humeur apparente est souvent communicative et cela aide à remonter le moral d'Amy. Il y a peut, Amy a eu un moment difficile à cause de l’autre fils de pute. Heureusement, je suis là pour elle et je fais de mon mieux pour l'aider à garder le sourire, même lorsque tout semble sombre et difficile. Quand on s’occupe l’esprit on a pas le temps de déprimer non ? C’est ce que je crois en tout les cas, et je redouble toujours d’imagination pour nous trouver des défis à la hauteur de nos cerveaux délurés. On est belle, ont est jeunes et on s’éclate !! C’est aussi simple que un et un font deux. Son frère ne m’apprécie pas franchement, il trouve que j’ai une mauvaise influence sur elle… Il voudrait retrouver sa petite soeur telle qu’elle était avant, mais ce n’est moi qui l’est brisée, moi, je l’aide seulement à se reconstruire.

Ce soir c’est le H. Non non pas pour héros, mais nous devons trouver un amant dont le prénom commence par cette lettre. Pas facile hein ? espérons ne pas revenir avec un zéro pointé. Je plaisante je plaisante mais je sais que cette lettre doit lui rappeler des souvenirs guère plaisant alors je suis encore plus fofolle que d’habitude pour compenser.  Si si c’est possible je vous assure !! Ma partenaire de chasse à finit de se préparer et quand elle apparait dans mon champs de vision je la siffle. C’est une bombe. Elle me répond sur le même ton et j’éclate de rire avant de l’attraper par le bras.

“ Putain on va faire des ravages ce soir chérie !! “ Je claque son cul pour l’inviter à se bouger le taxi s’impatiente. ” Allez ! Hop hop hop on est la bourre “

On file dans le taxi qui soupire d’impatience. Quoi on a tant de retard que ça ? Cinq dix minutes ? en réalité on se rapproche plus de l demi heure voir plus… mais olala c’est son taff non ? Le client est roi, et les clients là, c’est nous. Une retouche maquillage et je me tourne vers Amy pour finir de nous mettre d’accord. Si elle veut on peut sauter cette lettre de merde, je ne veux pas raviver ses démons et voir la colère et la tristesse ternir la beauté de son regard. Mes lèvres forment un O outré quand elle s’imagine que j’ai la trouille de perdre. Je sais que c’est que de la provocation, mais je ne peux pas m’empêcher de réagir.

” Peur ? Tu rigoles ou quoi !! J’ai peur de rien moi tu devrais le savoir… “

C’est pas le genre de provocation qu’il faut me lanser je serais capable de faire n’importe quoi juste pou lui prouver qu’elle se trompe. Mon regard brille d’une malice qu’elle me connais que trop bien quand je me tourne subitement vers le chauffeur pour lui demander son prénom. Non j’ai pas perdue l’esprit, je ne m’intéresse pas à lui non plus, je suis seulement en mode la chasse est ouverte. Imagine !! Imagine il se serait appelé Hector ou Harry ou même Hubert… hein ? Je lui calais un game over avant même le début de la soirée… bon vu la gueule du type c’était pas jolie jolie… mais j’en ai vue d’autre. La question se pose pas Bruce est pas locasse et il n’a pas le bon prénom. Amy renchérie après moi et le type nus regarde comme deux folles. Il n’a pas tout à fait tords celà dit. Ceci dit ce taper deux canons comme nous c’est pas un truc qui doit arriver tout les jours, bon ok, il n’avait pas le ticket de loterie gagnante, MAIS ça aurait put. Il  a les boules ? Allez il a peut être un second prénom intéressant. Non ? On a plus le temps, le taxi s’arrête et on se casse toutes les deux comme si il n’avait jamais existé. Pour nous elle existe plus.

Bras dessus dessous en avance dans la boite ou la fête bas déjà son plein. Conrad le videur nous souris est nous laisse entrer.  Lui je crois qu’il se souvient très bien de moi… c’est ma lettre C et on a passé un bon petit moment lui et moi. Pas sur qu’il apprécierait d’être qu’une case  à cocher dans notre petit jeu, mais ce qu’il ignore ne peut le vexer non ? et puis il est pas à plaindre vu comme je me suis bien occupée de lui. Ma main se pose sur son avant bras, je me penche vers lui.

“ Oh tu tombe bien toi. T’as pas vu euh… Hector ? Il m’a promis un verre la dernière fois ce con mais il c’es tiré avant…” Il fronce les sourcils voyant visiblement pas de qui je parle. ” Merde non c’est pas ça son nom… Harry ?” Toujours rien…”Hercule ?” Il secoue la tête, merde j’aurais essayé. Il va me prendre pour une folle, mais bien qu’il soit un bon coup je ne comptais pas réitérer l’expérience avec lui, alors autant tenter non ? Je me tourne vers Amy qui dois déjà se foutre de moi.

” Quoi ??? J’a tenté le coup on sait jamais !! “

La musique assourdissante bas son plein, les lumières dansent dans tous les sens rythmant une soirée déjà bien entamée. Je me tourne vers la piste de danse observant les corps dansant les uns contre les autres. La chaleur monte d’un cran, l’excitation de cette soirée décadente aussi.

” Que la meilleure gagne.”

Je dandine mon petit cul, la gratifiant au passage d’un petit coup de hanche pour lui faire perdre l’équilibre avant de foncer vers la piste de danse, mon terrain de chasse de prédilection. Je suis dans mon élément, je m’amuse et je coule néanmoins des regards sur mon amie à plusieurs reprise, pour voir si elle s’en sort mieux que moi d’une part, mais aussi parce qu’une part de moi ne cesse de s’inquiéter pour elle. Elle me dit que ça oui, mais je n’en suis pas certaine. Je suis prête à tout planter si elle a besoin de moi, elle le sait, un regard et la tornade blonde déboule avec autant de finesse qu’un éléphant dans un magasin de porcelaine. Alors que je cherche mon amie du regard je tends l’oreille malgré le fond sonore bruyant. Hailey ? j’ai bien entendue ? C’est une nana ? Et alors on a pas précisé que c’était costume trois pièces obligatoire. Je me tourne et détail ma cible, Une petite blonde, elle a l’air un peut paumée la pauvre, pas franchement dans son élément, c’est pas mon type de manière général, mais je ne suis pas sure de pouvoir faire la difficile… Allez j’entame une approche, on verra bien.

@Amalia Cavanna  

Pando

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--OutFit-- Votre taxi file au travers des rues de la ville, et tu as déjà hâte de remporter ta partie de ce soir. Vous vous dites que ces jeux sont totalement puérils n’est-ce pas ? Pariez sur une lettre de l’alphabet et tenter de coucher avec un mec qui porte la bonne initiale afin de compléter votre liste. Ouais au fond ça l’est et alors ? Victoria te protège depuis des années maintenant. Si elle a toujours été une amie proche, elle est surtout devenue ton bouclier et l’épée menaçante à ta rupture avec… Tu comprimes ta mâchoire. Elle était là dans les pires moments, ceux où tu étais certaines de ne pas pouvoir te relever parce que oui c’est totalement bête mais ce garçon tu en étais éperdument amoureuse. Tu as mis des semaines avant de reprendre le contrôle, avant de te reforger une carapace qui te permette d’être assez forte face aux critiques, face aux autres tout simplement et à leurs regards scrutateurs. Tu ironises aujourd’hui, détournant l’attention afin que Vic’ ne se change pas le programme pour toi. Vic’ sait parfaitement que même si tu fais ta nana forte et indépendante, il y a encore en toi une plaie qui refuse de cicatriser quand il s’agit de ton ami d’enfance. Elle te dit n’avoir peur de rien et tu lui souris en prenant sa main. C’est vrai, Vic’ est la nana la plus barrée que tu connaisses après toi. Alors niveau terreur, c’est loin d’être une faible compétitrice. Vicky se lance dans la drague du chauffeur et rapidement tu poursuis son jeu. Tu n’as jamais été du genre à avoir froid aux yeux et ce Bruce a l’air d’être un mélange de gêne et de lassitude. Ce qui ne fait qu’encourager votre envie de l’emmerder. Alors le reste du trajet est destiné à le mettre à mal, et ta blondinette de copine s’en fait une joie. Heureusement pour lui la boite apparait, et vous descendez pour suivre le plan parfait d’une soirée réussie. Victoria connait presque chaque vigile ici, elle fréquente assez souvent l’endroit. Le vigile sourit à ton ami d’une manière tellement intense, qu’il est noté sur son front que Vic’ la sauter et qu’il en aimerait de nouveau. Tu as bien peur que sa crampe ne passe pas de suite. Si tu te souviens bien ce type a déjà eu son tour. D’ailleurs sa mine se fane lorsqu’elle demande si la présence d’un autre homme à la fête est là. Si elle avait pu se souvenir de son prénom cela aurait sans doute aidé mais au lieu de cela elle les énumère tous. - Tu comptais lui énumérer l’alphabet ou on va pouvoir rentrer. Bonne soirée Conrad. Vous avancez enfin dans le club alors que tu prends le bras de ton amie, et examine les proies potentielles. La musique bat son plein, des corps se trémoussant dans tous les sens, certains dénudés d’autres ne demandant qu’à l’être. Tu as vraiment hâte de le faire toi-même s’il le faut. Les lumières tamisées rendent l’ambiance sensuelle. Une belle brochette à une table VIP rentre dans ton champ de visions, pas de nanas avec eux, parfait, celle-là est pour toi. Sont-ils célibataires ? Tu t’en cognes tu ne comptes épouser aucun d’eux, juste faire jouir le mec qui portera un H comme initial. Vic’ te souhaite bonne chance, et tu fermes ton poing pour qu’elle cogne du sien, avant de vous séparer. Vous vous retrouverez dans quelques minutes, c’est ainsi que vous chassez en solo. Vic’ prend la piste comme otage et elle ne met que très peu de temps à être accosté. Ta technique est plus fine, tu passes devant la table VIP qui surplombe légèrement la piste et t’arrête devant celle-ci, de dos. Tu sais qu’on te mate, tu as déjà entendu les voix derrière toi s’arrêtait. Tu comptes dans ta tête 3.2.1… avant que ça ne finisse par des « mademoiselle » auquel tu as l’habitude. Tu inspires, jouant de ton plus beau rôle en faisant semblant que tu ignores de qui parles ces hommes. Ils sont au nombre de cinq et avec un peu de chance tu vas trouver l’homme contenant le H. Un coup d’œil sur Vic’ sur la piste, t’indique quelle cherche elle aussi. Mais vous veillez sur l’autre de manière assez régulière histoire de toujours savoir où se trouve l’autre. Tu rejoins la table VIP et accepte qu’on t’offre à boire, alors que respectivement, tu entends les noms de David, Allan, Vince, Nolan et avec un peu plus de retard le dernier s’avérera être un Tony. Tu fais fis des circonstances, passant un bon petit moment avec eux, mais ils ne seront pas capables de te combler ce soir. Alors tu rejoins finalement bar en prétextant avoir besoin de faire un petit tour aux toilettes et rejoindre Victoria. Tu passes derrière ta magnifique blonde et dépose ton menton contre son épaule en murmurant. - Cinq gars en une fois et un échec cuisant. Dis-moi que ton malheur est le mien ? Tu lèves ton bras pour héler le barman. Tu attends qu’il se tourne pour découvrir, Sacha, ton S. Hum, très savoureuse soirée que t’avait proposé ce mec. Tu as tremblé en repensant à lui durant les deux ou trois jours suivants. Monsieur semble te reconnaitre et approche son plus beau sourire aux lèvres en articulant qu’il attendait que tu le rappelles. A son regard pétillant il ne t’en veut pas de ne pas l’avoir fait. Tu hausses doucement les épaules en susurrant. - Je sais… Je suis vraiment désolée, mais je serais tombé amoureuse de toi, deux mois plus tard j’aurais imaginé le mariage, deux gosses, la maison et le chien courant derrière. Bref, je t’ai finalement épargné une sacrée épine. D’ailleurs tu pourrais nous offrir un verre pour la fleur que je t’ai faite. Tu lui souris en coin, mordillant doucement ta lèvre inférieure, mimant un faux hier innocent sur le visage en le regardant. Il finit par rire et approuve avant de prendre vos consos et démarrer la préparation en s’éloignant. Tu soupires en le regardant, parlant tout bas uniquement pour Vic. - Il fait de ces choses lui avec sa bouche… Hum… Bordel, ça vaut le détour.

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OUtfit -- Notre petit jeu, bien qu'il puisse paraître puéril, est en réalité une façon pour nous de prendre le contrôle total de notre existence et d'en profiter pleinement. Nous aimons jouer avec les hommes, les manipuler et les faire tourner en rond, car cela nous permet de prendre notre revanche sur le passé. Nous ne laissons personne nous dicter notre conduite. La vie est trop courte pour ne pas la vivre pleinement et profiter de chaque instant, même si cela implique de jouer à des jeux que certains pourraient considérer comme dangereux. En fin de compte, ce qui importe, c'est qu’on s’éclate. Nous sommes deux tornades qui sèment le chaos et la décadence sur leurs passage. Andrew n’aime pas l’influence que j’ai sur sa soeur ? Je peux presque le comprendre bien que ce soit grâce à notre amitié sans faille qu’Amy a repris du poil de la bête. Je nous emmène peut être au coeur d’un jeu dangereux, mais l’une comme l’autre c’est grâce à ce genre de soirée qu’on se sent vivante et débordante d’une vivacité dont on a besoin l’une et l’autre.

Arrivée sur place je tente de trouver notre cible en interrogeant le videur que je me suis déjà envoyé. Bon c’est un échec, mais ça valait le coup d’essayer. On sait jamais… Amy se moque de moi et je lui répond en lui tirant la langue comme une gamine, puis je me tourne vers Conrad qui nous souhaite une bonne soirée. Ma  langue je suis sure qu’il s’en souvient… au moins de sa dextérité. Je balais le souvenir de nos ébats brûlant d’un revers de la mains. J’ai autre chose à penser ce soir, si je veux gagner notre petit jeu ce soir, je vais devoir rester un minimum concentrée. Amy semble déterminée à m’arracher la victoire ce soir.

Au coeur de la fête, Amy se dirige vers les salons VIP pendant que moi je fais de la piste de danse mon terrain de chasse. En trémoussant mon petit cul mes cibles ne font qu’un plis. Je connais mes atouts et je sais en jouer. Malgré mon objectif je garde un oeil sur mon amis, par pour voior son avancement, mais pour m’assurer qu’elle aille bien. A la moindre difficulté je débarque et je botte le cul du moindre sombre con qui l’importune. Ma pote c’est ma life, elle est tout pour moi et je n’exagère même pas en affirmant cela.

Je passe à l’attaque, dansant avec un, deux trois, quatre types, je suis littéralement encerclée et je passe de l’un à l’autre. Aucun n’a de quoi m’intéresser ce soir. Pas plus que quelques pas de danse du moins. Qu’ils soient déçus ou qu’ils restent sur leur faim c’est pas mon problème, ils trouveront sans forcer une petite minette qui a forcé sur la bouteille à ramener dans leur lit. La seule chose dont j’ai la certitude c’est que ça ne sera pas moi. Je lorgne du coin de l’oeil sur la petite Hailey, elle à l’air paumée mais mignonne, cela dit mes plans s’écroule comme un château de carte quand je vois son mec l’enlacer et l’emmener avec lui. Et merde !!

C’est bredouille que je retourne au bar, je suis entrain de boire un cocktail fluo quand je sent la présence de mon amie derrière moi. Elle pose son beau petit minois sur mon épaule, elle est bredouille. Moi aussi.

« Échec total pour moi aussi… cette lettre est maudite chérie.

Je me retourne avec un sourire, mon verre à la main, je la regarde avec ce regard espiègle qu’elle me connais si bien.

« En revanche, il faut que tu me goûte ça, ton S m’a servikt cette merveille, ce cocktail est à tomber.»

Sans même attendre qu’elle me réponde, je porte à ses lèvres mon propre verre pour quelle goûte. Elle se tourne vers le barman qui la reconnait et elle lui serre un refrain qui manque de me faire étouffer de rire.

« Oui mon chou, serre-nous deux autres de ces merveilles. T’appel ça comment déjà ? Un Blue Laggon c’est ça ? Allez en souvenir de ta nuit avec la belle Amy… »  

Amy est encore contre moi pendant qu’elle l’allume pendant qu’il s’éloigne elle me souffle que le monsieur est doué avec sa bouche.  

« Ca c’est parce que t’as pas goutté la mienne…»

Je suis dans le jeu et la provocation, et dans le feu de l’action je me rends mes pas compte de ma porté des mots sortant de ma bouche. Sam nous serre nos verres, mes doigts s’enroulent au pieds en verre fin, pour le porter à mes lèvres non sans avoir trinqué avec elle.  L’un des hommes du carré VIP qu’elle a allumé peu de temps avant nous rejoint au bar, il attrape Amy par la taille, lui faisant remarqué qu’elle les a abandonnés. Je le regard et plante mes yeux dans les siens. J’attire mon amie contre moi, effleurant la peau fine de sa nuque du bout de mes lèvres pour y susurrer suffisament fort pour que ce cher monsieur entende :

« Alors c’est lui ? Tu le pense de taille pour s’occuper de deux femmes comme nous ? Permets-moi d’en douter Trésor.»

Joueuse, je provoque le monsieur d’une manière totalement délibérer. J’aime jouer avec le feu, c’est plus fort que moi. Puis, je me tourne vers lui un sourire plein de provocation étire mes lèvres :

« Prends le pas mal chaton, mais nous sommes du genre exigeantes… et pour satisfaire Amy il faut avoir une certaine… dextérité. »

Mon regard passe de lui à elle, mes iris sont taquins et semble l’inviter à entrer dans mon jeu. Nous n’avons pas trouvé de H ce soir, mais nous pouvons faire tourner ce monsieur en bourrique et cette idée m’amuse, sur ces pensées, j’attrape le visage de mon amie entre mes mains et je lui roule une pelle des enfers. Peut être que mon geste la surprend autant que le regard médusé du mecs qui semble pas savoir s’il peut nous rejoindre ou pas. Deux nanas aussi canons qui s’embrassent devant lui y a de quoi bander comme un taureau non ?

@Amalia Cavanna  

Pando

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--OutFit-- Andrew n’a jamais trop aimé Victoria. Si tu ne vois pas trop là où est le problème, à ces yeux il voit ton amie comme une femme bien trop libérée. C’est dingue comme la liberté est péjorative chez une femme des que celle-ci s’assume, alors que lorsque c’est un homme le sujet, eh bien c’est simplement un homme. Oui, Vic’ est une nana qui s’éclate, qui ne s’attache pas et qui se moque des conséquences. Et même si Andrew est l’homme le plus important de ta vie, et qu’il désapprouve tu t’en moques. Tu n’en as strictement jamais voulu à ton frère, mais finalement si tu as été brisé en milles morceaux en étant la source d’attention toute particulière d’Hugo c’est bien parce que lui s’est moqué de se taper la nana de son meilleur ami. Son attitude a été ce qui a conditionné ta perte. Quoi qu’il en soit c’est grâce à la bonne humeur et la folie de Vic’ qu’aujourd’hui tu vas bien. Qu’aujourd’hui tu oublies ton connard d’ex et que tu tentes de remplir cette foutue liste d’Alphafesse avant elle. Tu as toujours un œil sur Vic’ lorsque vous sortez. Ce n’est pas de la curiosité ou de la surveillance mais tu t’assures qu’elle aille bien, toujours et qu’aucune personne ne l’importune. Personne ne s’approche de ta meilleure amie sans qu’elle ne l’ai décidé. Ton tirage dans les coins VIP ne fonctionnera pas, et visiblement la piste de danse n’est pas plus fructueuse. Bordel, il y a forcément un connard dans la salle qui a un prénom commençant par un H non ? Tu rejoins Vic’ au bar et ne montre pas ta déception à ne pas avoir réussi à trouver le bon prétendant. Elle confirme son échec le plus total également et affirme que cette lettre est maudite. - Oh, eh bien j’en étais déjà convaincue. Tu l’écoutes dire qu’elle a goûté une chose délicieuse que ton « S » t’a préparé, et avant même que tu ne puisses dire quoi que ce soit le froid délicat de son verre est pressé sur ta lèvre inférieure. Tu abandonnes un gémissement en sentant le parfait dosage que Sasha a réalisé pour ce cocktail. Ton regard se repose sur lui, finalement il est doué dans diverses domaines ce jeune homme. Tu écoutes Vic’ se moquait gentiment de lui et du fait qu’il t’offre un verre en souvenir de ta nuit avec lui. Tu enfonces doucement ton doigt dans l’une des côtes de ta meilleure amie en grognant contre sa mâchoire. - Ne soit pas cruelle ! Tu embrasses sa joue et rejoint le tabouret juste à ces côtés pour t’installer. Tu lui précise que ce jeune homme est très doué avec sa langue et naturellement Vic’ en profite pour dire que c’est parce que tu ne connais pas encore la sienne. Tu pouffes doucement de rire, en désapprouvant. Si tu t’es déjà faite des femmes, tu sais que ce n’est pas forcément ce que tu préfères. Tu apprécies un peu plus la compagnie des hommes. Cependant tu es toujours très enclin à découvrir de nouvelles choses. Pour le peu que ça te fasse oublier tes erreurs passées. Vos consommations arrivent et ton regard se rive à celui du barman. L’espace d’un instant vos regards font naître un nouveau petit brasier et tu susurres un « merci » ouvertement destiné à le mettre en émoi. Ce qui fonctionne, avant qu’il ne se fasse interpeller par d’autres clients et s’excuse en disparaissant. Tu t’apprêtes à trinquer dans le verre de ton ami lorsque des bras doux et viriles viennent enlacer ta taille sans prévenir. Si tu te laisses faire, tu jettes cependant un coup d’œil dans le miroir pour voir lequel des mecs vient de tenter une approche. Il est loin d’être vilain, mais son prénom n’est pas un H. Il te reproche d’avoir filé et tu souris en susurrant. - Je suis navrée, mais on m’attendait et je ne pouvais décemment pas laisser mon amie seule. Un regard sur Vic et tu vois son plus air de défis se matérialisait. Vicky va faire son speech tu peux le voir à des kilomètres. Tu la laisses alors se relever, et venir prendre ta nuque, tes iris plantés dans les siennes alors qu’elle fait son numéro de charme en demandant si c’est lui le mec capable de vous satisfaire toutes les deux. Elle dit qu’elle en doute et commence à le vanner, exprimant ouvertement le fait qu’elle le pense incapable de vous satisfaire. Elle n’a probablement pas tort. En générale, toi et ton ami êtes souvent en accord sur le potentiel d’un homme. Elle finit par dire que vous êtes exigeantes, et soudainement les mains de Vic se pose sur tes joues. Sérieusement ? Tu la regardes, tes iris bleutées pénétrant les siennes, alors qu’elle approche et que ton regard tombe sur sa bouche. Tu l’as laisse t’embrasser, inspirant doucement son parfum, attend ça ne serait pas le tien ? Tu sens sa langue venir à la rencontre de la tienne et ta main vient doucement prendre sa hanche pour l’approcher plus fort de toi. Tu relâches doucement sa bouche en tournant les yeux vers le jeune homme qui vous regarde, les iris à la fois émerveillé et indécis. - Il va falloir que tu saches ce que tu veux et ce que tu vaux chéri… Sinon c’est toutes les deux et seulement toutes les deux qu’on rentrera. Ce qui techniquement sera vraie dans tous les cas. Tu vois alors le gars s’approchait, l’une de ces mains se saisit de ta joue et incline ton visage pour prendre ta bouche et te goûter. Tu soupires doucement en découvrant le goût de sa bouche et sa manière de faire. Vic’ n’est pas en reste, la main libre du jeune homme s’est posé dans son dos et descend lentement en effleurant sa peau. Tu romps lentement le baiser, alors qu’il fait fasse à Vic’, reluquant ces lèvres avec envie. Se laissera-t-elle faire ? Rien n’est moins sûr.

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OUtfit -- Amy c’est ma meilleure amie, ma confidente, celle qui est capable de me redonner le sourire quand j’ai le bourdon. Je l’aime et je ferais tant de choses pour elle si j’ai la certitude que ça peut lui rendre son beau sourire. Son frère trouve que j’ai une mauvaise influence sur elle, qu’à mon contact Amy deviens inconsciente, moi je dirais que c’est l’association de deux tornades comme nous qui est dangereuse, à nous deux c’est ouragan assuré. Bonne ou mauvaise chose… je suppose que c’est discutable, mais une chose est certaine c’est que nous veillons l’une sur l’autre, et ce, en toutes circonstances. On drague oui, mais sans jamais cesser de surveiller l’autre du coin de l’oeil pour s’assurer qu’elle va bien et que personne l’importune.

La lettre H est MAUDITE. Maudite je vous dis !! Nous revenons l’une vers l’autre bredouille, et au fond je ne suis pas certaine qu’il faille insister sur cette lettre qui évoque tant de démons et de souffrance chez mon amie. Ce fils de pute l’à détruite et je veillerais personnellement que plus personne ne puisse lui faire autant de mal. Je suis très, - peut être trop - protectrice vis-à-vis d’elle. Je m’empresse de changer de sujet, il est hors de question que de mauvais souvenir viennent ternir son si joli sourire. Je lui parle de son S qui est derrière le bar, il lé dévore des yeux, c’est clair qu’il voudrait remettre le couvert avec elle, mais pas ce soir. Je suis cruelle en lui demandant avec mon plus beau sourire de nous offrir un verre en souvenir de cette nuit avec la belle brune ? Oui, je le suis, probablement, et quand Amy me le fais remarquer je lui adresse ma plus belle moue.

« Cruelle ? Moi ? Mais enfin chérie, je fais que lui remémorer ces plus beaux souvenirs.»

Je suis de mauvaise foi, c'est vrai, et je m'en moque. Amy ne m'en tiendra pas rigueur, elle me connaît trop bien et je sais qu'elle m'aime avec mes qualités et mes défauts. C'est ça, une vraie amie. Je souris malicieusement quand elle vante les talents linguistiques de son partenaire. Ma réponse ne se fait pas attendre, et elle éclate de rire comme si elle en doutait. Même si je peux trouver du plaisir avec des femmes, comme Amy, ma préférence va et ira toujours vers des corps plus masculins et puissants. J'apprécie la force et la virilité. Cependant, je ne peux nier avoir imaginé plusieurs fois ce que ça pourrait faire de passer cette “ligne rouge” avec mon amie. Est-ce que cette connexion particulière qui nous unit changerait quelques choses, est ce que ça rendrait tout plus intense ? Ou est ce que notre amitié trop forte ferait tout tourné au fiasco ? J’en sais rien, mais oui je me suis posé la question, et plus encore quand elle est là devant moi, divine et d’une sensualité écrasante.

Des bras viril viennent encercler la taille d’Amy, je les laisse échanger un peut et je comprend rapidement que c’est un des hommes qu’elle a rencontré un peu plus tôt et qu’elle a éconduits à cause d’une mauvaise Lettre. Je me redresse les flammes du défis et de la connerie aussi peut être danse dans mes yeux. Je suis d’humeur joueuse et provocante. Quand le suis je pas d’ailleurs ? J’adresse un fantastique sourire provocant à son prétendant avant de la chopper par la nuque et lui offrir un baiser qui pourrait enflammer un iceberg de part son intensité. Ca l’excite ? C’est ce que j’espère en tout cas en enfonçant ma langue entre mes lèvres ensorcelante d’Amy. Nos langues brûlantes dansent d’une contre l’autre un balais fiévreux et brûlant. Je mentirais si je disais que ce baiser ne m’avais fait aucun effet, il m’a enflammé les reins et fait naître en moi un désir d’une incroyable intensité. Je dissimule tout ça derrière un sourire satisfait et plein de provocation avant de balancer au type qu’il a intérêt à être à la hauteur pour deux tempêtes comme nous. Amy le regarde amusée, lui faisant comprendre que c’est toutes les deux ou rien, elle compte probablement sur sa fierté de mâle pour se surpasser et ne pas laisser passer une occasion pareille. Je suppose qu’il ne manquera pas de raconter lundi au bureau comment il a su contenter deux canons comme nous. Est ce qu’on lui laisse sa chance ? Le défis peut être amusant à relever, et coincer un homme neutre nous deux serait une première, un défis intéressant à relever. Je souris en le voyant attraper mon amie pour l’embrasser avec une dextérité indéniable. Amy est en quelque sorte coincée entre lui et moi, la chaleur douce et envoutante de son corps forme une sorte de lien entre nous. Il rompt le baiser, et je peux que constater à quel point ça ma belle amie en désir davantage. Les doigts inquisiteur du mec glissent dans mon dos, le long de ma colonne vertébrale. Il semble enclin à relever le défis et son assurance m’amuse et me plais. Le baiser avec Amy rompu, il se tourne vers moi, posant son regard sur mes lèvres qui s’entrouvrent légèrement. Il se penche sur moi et je sais pas encore si je vais le laisser m’embrasser ou non… je coule un regard sur mon amie, il semble lui plaire, et je crois que je suis curieuse de voir ce que pourrais donner cette nouvelle expérience. Elle et moi on partage beaucoup de chose, mais on est jamais allé jusqu’à se partager un mec. Coucher l’une et l’autre avec le même gas, si… mais pas en même temps. Plan à trois… Cette idée m’enflamme le corps. Je le laisse m’embrasser, je le laisse dompter mes lèvres d’un baiser fiévreux pendant que mes doigts crochettent ceux de mon amie pour que nous venions ensemble attiser la virilité de monsieur… constatant à quel point nous lui faisons de l’effet. Lentement je viens rompre ce baiser, et les regarde l’un et l’autre, un sourire mutin étire mes lèvres.

« Tu paies le taxi et tu passes la nuit chez nous ?»

L’invitation est lansée et vu cette envie qui déforme son pantalon, formant une bosse laissant qu’imaginer une virilité d’une taille conséquente. Quoi c’est pas prudent d’inviter un inconnu à la maison ? Ensemble on ne risque rien. Enfin je crois. Mon regard coule sur Amy, sondant son regard pour être certaine que nous sommes sur la même longueur d’onde. Je lui décoche un sourire avant de me pencher vers elle pour l’embrasser à nouveau, un baiser bref mais tout aussi chaud et emprunt d’un désir que je suis incapable de dissimuler.

« A moins que tu es d’autres envies ma belle. C’est toi la Reine de cette soirée.»  

Mon souffle chaud se meurt sur ses lèvres. J’inspire l’air qu’elle expire et je crois que je suis entrain de perdre la tête. J’ai bu quelques verres, mais pas de quoi excuser de perdre le contrôle de mes envies.

« Mais le monsieur semble avoir très envie de nous… Et j’ai très envie de toi…»

Mes joues s’empourprent presque d’oser avouer ce désir charnel qui me brûle les entrailles. Je souffle ses mots quand mes lèvres ont dérivé dans sa nuque que je dévore d’envie. Je ne sais pas s’il m’a entendu, peut être… peut être pas et au fond je m’en fiche. Mon regard plein de désir croisent celui du mec que j’invite à venir dévorer le cou d’Amy de l’autre côté.

@Amalia Cavanna  

Pando

❝ Que les jeux commencent ❞ - Reyna Hazan &   @Victoria Parks  - Avec elle, et sans négociation. Ca sera toujours elle et toi contre le monde

   

--OutFit-- Tu te moques de ce que le monde pourrait penser de Vic’. Elle est à tes yeux, la fille la plus précieuse qui soit. Elle est la sœur que tu n’as pas eue et, sans elle tu ne sais pas comment tu aurais remonté la pente après… Après qu’Hugo qu’est brisé le cœur en milles morceaux. Peut être que tu serais remonté aussi bien sans elle, mais une partie de toi sait que ça aurait été bien plus long, bien plus dévastateur et difficile. Grace à ta magnifique blonde dans ta vie, tu t’es reconstruite et tu as appris à oublier de donner la possibilité à un homme de te faire du mal. Victoria c’est d’une certaine manière ton ange gardien et celle qui te protège avec une férocité qui lui ai propre de toute la méchanceté du monde. Tu serais capable de folie pour elle, et plus encore. Si Andrew la voit d’un mauvais œil tu refuses qu’il interfère dans ton amitié avec elle. Pas après ce qu’il a pu faire de la sienne avec Hugo. Si tu l’aimes et le fera toujours passer avant tout autre être sur cette terre, tu sais aussi que sa passion à conduit à la destruction de son lien avec son frère de cœur. Et ensuite à la tienne. Le H semble aussi foireux que ton ex. Ce soir, aucune touche ne porte la lettre vous intéressant. Autour du bar de Sasha, tu évoques ton passé avec lui à Amy. Et rapidement ton amie, en profite pour grapiller des consos. Sasha est un homme très gentil, en tout cas il l’a été durant la nuit que tu as passé avec lui à le faire jouir encore et encore. Tu te souviens parfaitement de ces talents et de l’intensité de vos rapports ce soir-là. Raison pour laquelle tu tentes de ne pas lui envoyer la tornade blonde en pleine face. Vic’ fait semblant de s’offusquer que tu la caractérises comme cruelle et tu désapprouves en riant. - C’est ça… Je devrais t’appeler Mère Thérèsa pour toute ta bienveillance. Tu lui tires délicatement la langue, avant de remercier d’un sourire Sasha qui te dépose les consommations. Cependant vous ne restez pas seule très longuement. Un prétendant tente de se démarquer et de faire de toi sa prochaine cible. Tu mentirais si tu disais qu’il n’est pas séduisant, un corps parfaitement battit dont tu devines les heures de sport en salle. Un regard hypnotique aux reflets émeraude, une mâchoire carrée recouverte d’une virile barbe parfaitement entretenue. Il est à tombé à bien des égards. Mais c’est sans compter Vic’ et sa manière bien à elle de te marquer, et d’empêcher qu’on te substitue à elle. Si sa connerie brille dans ces yeux, tu n’étais clairement pas au fait d’où elle comptait t’emmener. Sa main glisse sur ta nuque, et sa bouche vient s’emparer de la tienne. Tu goutes son parfum, sucrée, féminin et sensuel. Si son baiser te surprend, tu t’étonnes ouvertement d’y prendre goût. Sa langue vient rencontrer la tienne et tu sens instinctivement ton entre jambe s’échauffer. Putain stop ! C’est Vic’ qui te fait cet effet là ou juste la présence de ce mec que vous allumez en faisant ça ? Tu as déjà cédé à des plaisirs féminins. Tu as aimé ça mais tu es assez similaire à Victoria pour beaucoup de choses, dont les aventures. Tu sais que si l’excitation avec une femme est intense, tu ne pourrais décemment pas t’enticher de l’une d’entres elles. Tu aimes un peu la virilité des hommes pour t’en passer. Mais avouons clairement que le baiser que ta meilleure amie vient de t’adresser t’a ouvertement donné envie de plus. Tu as même ressenti l’envie de toucher bien plus que sa hanche à un instant. Votre baiser s’estompe et tu reportes ton attention sur le divin jeune homme. Tu sais ouvertement qu’il est incapable de contenter deux nanas comme toi et elle. Il se saisit de ta bouche et sa passion te donne un peu plus de frissons, même si ta main elle, toujours sur la hanche de Vic’ descend doucement jusqu’au bord de sa robe pour en effleurer sa peau à elle. Il tourne la tête va aux lèvres de Vic et tu souris en les regardant s’embrasser. Tu sens la main de Vic’ amenait ta main contre la virilité du jeune homme, et l’enflement de sa verge semble prometteur. Oui… Mais sera-t-il vraiment géré ? Tu fixes Vic’ la questionnant elle aussi et ça à l’air de la brancher de se faire ce type. Elle donne ces indications quant au paiement du taxi et au fait que ça se passe chez vous. Tu penches ton visage et le regarde interrogative, alors que ta main se saisit déjà de celle de ton amie pour enrouler tes doigts au sien. Vic’ revient à ta bouche pour un baiser sage, comme pour tenter un peu plus l’homme vous accompagnant et tu mordilles doucement sa lèvre inférieure. - Tu sais qu’on dérape là… Elle sourit et te dit que c’est toi la reine de la soirée. Putain tu en as envie. Et pas que de lui. Sa respiration chaude t’appelle, tu descends tes yeux un instant sur sa bouche et tu susurres juste pour elle. - On n’a pas assez bu pour dire que c’est l’alcool qui nous fait faire ça Vic’. Elle précise que monsieur à envie de vous deux, et elle qu’elle a envie de toi. Tu serres la machoire et sa phrase te fait oublier toute raison subitement. Tu adresses tour à tour ton regard sur eux, et boit ton verre avant de te relever et glisser tes doigts contre la ceinture de l’homme. - Ok alors on y va maintenant. D’un pas rapide, tu t’extrais vers l’extérieur de la boite, appelant un taxi de ta main. Par chance, l’un d’eux se gare rapidement devant toi et vous vous glissez tout les trois dans l’habitacle, le jeune homme coinçait au milieu de vous deux. Tu donnes l’adresse au taxi, avant de tourner la tête vers le jeune homme que vous comptez vous partager ce soir. - Et si tu nous montrer déjà un avant-goût de tes capacités… Il émet une objection en regardant le taxi et tu soulèves un sourcil, en susurrant. - Détends-toi, il ne nous regardera pas hein ? N’est ce pas monsieur que vous ne regarderez pas ? Ca serait dommage que je vous poursuive pour non-respect de l’intimité de vos clients ?   Victoria n’est pas la seule folle dans ce duo, tu es aussi barrée qu’elle. Et tu adores ça.

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OUtfit -- Amy c’est pour moi aujourd’hui, c’est ce qui se rapproche le plus d’une famille. Soeur de coeur, amie, confidente. Si je devais décréter qu’une seule âme me sois vitale sur cette terre ce serait la sienne, ça ne fais pas l’ombre d’un doute. On se comprends sans se parler, notre complicité est incroyable. C’est le genre d’amitié forte et inébranlable, unique et peut être même plus rare que le véritable et grand amour. On veille l’une sur l’autre, et ensemble nous n’avons besoin de personne pour avancer. Son frère n’est peut être pas de cet avis, mais très honnêtement l’avis d’Andrew je m’en tamponne. Amy n’a pas besoin de moi d’après lui, avis non partagé, j’ai réparé ses fautes. J’ai ramassé Amy à la petite cuillère je lui ais redonné goût à la vie parce que LUI avait chié dans la colle. Mes actes ( et mes conneries aussi probablement ) lui redonne le sourire alors que quand elle voit son frère elle repense à Hugo. Je lui redonne le sourire et lui-même si elle ne le lui avouera peut être jamais en ces termes l’efface.

Le H ne nous portera pas chance ce soir, c’est même je crois tout le contraire, mais nous rebondissons, oui, c’est toujours le cas. Je taquine son S derrière le bar qui semble tout retourné de revoir mon amie. Oh je peux le comprendre, Amy est exceptionnelle c’est s’il l’avait regardé avec indifférence que j’aurais halluciné. Je profite de la situation pour nous grapiller des consos gratuites. Amy me fais les gros yeux ? Quoi ? Je fais rien de mal, je profite seulement un tout petit peu du souvenir brûlant qu’elle lui a laissé. Elle me dit cruelle et je fais mine d’être touchée en plein coeur.

Nous ne parlementerons pas d'avantages sur ma bienveillance connue et reconnue de tous. Une victime de la canonitude d’Amy débarque et l’enlace. Oh mais c’est qu’il est canon le monsieur. Une victime spontané, n'est-ce pas beau ? Je n’irais pas dire que je suis jalouse de lui, mais le regard qu’elle pose sur lui me tords le ventre plus que je veux bien l’admettre. On me pique pas MON Amalia sous le nez, pas aussi facilement. C’est MA pote, MA complice. Ouais je sais dis comme ça, ça fait près possessif, et limite crise de jalousie, mais ça n’en est pas une, ou du moins pas réellement. Mes iris s’anime de cette folie qu’elle me connais trop bien. J’agrippe sa nuque pour l’embrasser. Pas le petit bisou sage, oh non, ce baiser-là et digne d’un grand moment de cinéma, emprunt d’une passion dévorante et d’un désir qui anime mon corps tout entier. Nos langues se trouvent et dansent un balais étrangement sensuel et passionné. L’envie qui né en moi à l’instant où mes lèvres rencontrent les siennes me donne terriblement chaud. Je ne m’imaginais pas que ce baiser donné d’abords par jeu puisse me faire cet effet-là. J’en veux plus, terriblement plus mais le regard du jeune homme posé sur nous lorsque nos lèvres se séparent enfin me reconnecte immédiatement à la réalité. Ce spectacle semble lui avoir plus autant qu’il m’a donné chaud. Deux femmes comme nous ça ne semble pas lui déplaire. Il embrasse Amy un long baiser passionné qui fais que me donner davantage envie d’elle, de lui aussi, puis ses mes lèvres qu’il viens capturer. Il embrasser bien. trés bien, et nos mains jointes contre sa virilité nous laisse comprendre qu’il va devoir relâcher la pression… et sans tarder. Il est terriblement dur. Avec Amy nos regards se croisent et on se comprends sans avoir besoin d’échanger le moindre mot. On s’apprête à dérailler oui… mais j’ai envie de dire : Et alors ? On a qu’une seule vie non ?

Les doigts d’Amy agrippent les miens, les serrant comme si elle avait besoin d’être rassurée, guidée vers cette folie vers laquelle nous nous dirigeons ensemble de manière inévitable. Elle se penche vers moi, m’embrassant de manière plus légère. On dérape oui, et je ne vais pas prétendre le contraire. Mes lèvres s’étirent en un sourire rassurant quand j’inspire l’air chaud qu’elle expire.

« Et …? On dérapera qu’une fois de plus…» C’est pas la première fois qu’on se laisse complètement happer par la folie, et ça ne sera certainement pas la dernière non plus. Elle ajoute qu’on ne pourra pas mettre ça sur le dos de l’alcool, que ni elle ni moi avons assez bu pour prétendre celà. « Je n’ai pas besoin d’être saoule pour te désirer.» Non, elle est sublime, et je crois que je n’ai pour ma part surtout pas envie que l’alcool vienne altérer cet instant, celui ou elle fondra de plaisir et que j’en serais l’auteur. « Mais si tu as besoin de courage liquide avant de partir… » Je claque son petit cul parfaitement rebondit avant de rajouter pour sa seule attention : « Sinon, lui et moi on peut te rendre ivre de plaisir chérie…» Je la veux, je déraille, peut être ( certainement même ) que je vais trop loin, beaucoup trop loin, mais je suis déjà partie.

Amy se lève, sonnant le top départ après avoir vidé son verre. Mon sourire en dis très long sur mes intentions. Je la veux. Je le veux. Et lui, il nous veut. Sur le trajet jusqu’à l’extérieur, ni ma main, ni celle de notre invité ne quitte la cul parfait de la brune. Un taxi s’arrête sans tarder et nous pénétrons à l’intérieur tous les trois. Allan est coincé entre nous, mais le regard du taxi au tarver du rétro viseur semble le gêner quand Amy lui demande de nous offrir un avant-goût de ses capacités. Je ris quand Amy menace le chauffeur. Je me redresse, me penche en avant non sans frotter mon cul sur les genoux d’Allan pour attraper le rétro du taxi et le tourner vers le haut. Voilà !! Comme ça on est tranquilles. Enfin pour ce qui est de l’aspect visuel, pour le côté sonore là on pourra pas faire grand-chose à part peut être monter le son de sa radio… Hum oui mais non, ça couvrira nos gémissements et c’est dommage non ?

« Maintenant tu n’as plus d’excuses chaton.» Je me penche vers lui, capte ses lèvres pour l’embrasser quand ma main se pose sur la cuisses d’Amy, remontant sa robe pour la trousser jusqu’à sa taille sans éprouver la moindre gêne. Je la caresse doucement, non sans une certaine tendresse pendant que mes iris eux plonge dans ceux d’Allan qui est clairement excité. « Alors, soit tu t’occupes de nous, sois je demande à notre ami le chauffeur de te déposer… et… J’attrape sa tête, le forçant à poser son regard sur elle et sur ma main qui entre les cuisses d’Amy est entrain de caresser son intimité brûlante à travers son dernier rempart de tissus. « Je m’occupe d’elle sans ton aide.» Mon visage attaque son cou que je mordille avec une férocité constrastant nettement avec les caresses pleines de douceur que j’offre à mon ami. « Mais ça serait dommage non ? » Je souris en le voyant réagir, sa main viens chasser la mienne pour venir jouer avec l’intimité de mon amie, ses gestes sont emprunt d’un certain désir de possession que je me ravis de voir.  J’adresse un clin d’oeil à Amy, qui se retrouve prise par les assaut d’Allan qui semble se réveiller enfin. Mes doigts viennent déboucler la ceinture de son pantalon, il gigotte pour me libérer l’accès que je convoite jusqu’à sa virilité que je libère. Un sourire étire mes lèvres quand elle est belle et dressée sous mon nez. « Oh Amy, je crois qu’on a tiré le gros lot avec le monsieur ici présent…» Mes termes le renvois presque au rang d’objet, de jouet pour nous satisfaire, mais vu ce qu’on lui offre il ne semble pas vouloir s’en peindre, et mes termes font que flatter son égo de mâle non. Mes doigts se referment sur sa hampe de chaire que je branle avec envie avant de l’embrasser… refermant mes lèvres sur elle, le suçant pendant qu’il embrasse et s’occupe d’elle.

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--OutFit-- Ta vie sans elle serait incroyablement difficile. Vic’ c’est celle qui est toujours là, tu ne savais tellement pas envisager de vivre sans elle qu’après vos études, tu as été la première à lui demander de te suivre. Tu ne te voyais tout simplement pas vivre sans elle, du jour au lendemain. Ne la voir qu’une fois de temps à autre ça n’aurait clairement jamais suffit. Elle a été d’accord et au fond heureusement. Elle compte d’une manière que tu peinerais à expliquer, tellement cette amitié entre vous est forte et fusionnelle. Et qu’Andrew puisse le cautionner ou non, elle fait partie de ta vie. Elle est celle dont tu as besoin très souvent et à n’importe quelle heure. Et pour ça, tu ne peux que lui vouer toute ton adoration. Ce soir le H est porteur de poisse, et tu as bien envie de dire que ça ne sera qu’une fois de plus. En revanche, l’un des gars que tu as rencontré un peu plus tôt et qui n’avait pas spécialement retenue ton intérêt se donne bien du mal à présent pour rentrer dans le jeu et être l’un des joueurs de la soirée. Ces mains ont la capacité de t’émoustiller, tout comme la manière qu’à son corps de se coller au tien mais sera-t-il à la hauteur de Victoria Parks ? Rien n’est encore sur. Si tu es très exigeante en matière de moment de plaisir, Vic’ te dépasse de bien plus loin. Le jeune homme se donne bien du mal pour obtenir toute ton attention, mais pourtant ton regard examine toujours à un rythme régulier Victoria. C’est toi où elle semble l’espace d’un instant un peu jalouse ? Il semblerait que oui, vu comme elle se saisit de ta nuque et t’embrasse pour certes emmerder ton invité mais surtout d’une certaine manière marquée aussi son territoire. Si toi et Vicky n’êtes que des amies, vous êtes aussi souvent très possessive l’une envers l’autre. Vous avez d’autres amies naturellement mais aucune n’est en capacité de devancer ce que vous ressentez pour l’autre. Ensemble vous chauffer votre proie, et rapidement sa main accompagnée de la tienne se rendent compte de la tension que monsieur contient. Oh… il est sans doute temps de le soulager sans attendre. Tu mordilles tes lèvres en voyant la manière dont il dévore la bouche de ton amie et tu sens ton entrejambe s’agitait sous cette vision. Tu sais que votre folie mutuelle est capable de vous faire aller loin, mais jusqu’à présent elle ne t’a jamais poussé à partager le même homme, ni à envisager de la désirer elle. Tu lui confie tes doutes et naturellement ton amie ne voit pas le problème. Pire, elle dit ouvertement ce que tu penses tout bas. Elle a envie de toi, et tu as subitement très envie qu’elle oublie ces vêtements au sol. Elle n’a aucun mal à te convaincre et rapidement tu emmènes tes comparses à rejoindre votre logement. Tes consignes données au taxi, Vic’ fait en sorte de remonter son rétroviseur pour rassurer votre monsieur de la soirée. Tu ris en la voyant faire, ses fesses tendues vers le visage d’Allan coincé entre vous. Tu t’approches sous son nez et vient mordre doucement son fessier par-dessus ces vêtements, tout en fixant les yeux magnifiques de votre proie. - Vic’ est une tornade, j’espère que tu seras géré. Victoria s’installe et tu la regardes reprendre la bouche de votre partenaire alors que sa main vient à la base de ta cuisse pour rejoindre avec douceur ta hanche, soulevant ta robe jusqu’à la taille. Tu devrais être gênée ça n’est pas le cas. Tu inspires à son geste, et tourne la tête vers le cou du jeune homme. Venant doucement l’embrasser à la base de sa nuque. Ta bouche s’ouvre, tu aspires délicatement sa peau contre tes lippes. Sentant son parfum dans tes narines, son goût contre ta langue. Tu entends Allan jurait plusieurs fois de vos attouchements, alors que l’une de tes mains se lève et vient rejoindre le haut de la robe de Vic’. Délicatement tu extirpes de son décolleté l’un de ces seins et découvre la douceur de sa peau contre tes doigts. Tu souffles contre la peau d’Allan alors que les doigts de ton amie te masturbent par-dessus ta dentelle. Vic’ chauffe votre hôte sans pitié. Tu souris en la voyant tourner son regard pour qu’il te regarde toi, droit dans les yeux. Tu élargis un sourire charmeur, alors que ta meilleure amie continue de te toucher avec douceur. Ta main fait rouler doucement la pointe de son sein entre tes doigts et tu souris en la voyant manqué un couinement. La provocation de Vic au sujet de la retenue d’Allan fonctionne, rapidement la main de ton amie est chassée pour être remplacé par celle plus chaude et large d’Allan. Tu entrouvre la bouche et t’empare de sa bouche, ta langue venant sensuellement danser contre la sienne. Tu entends Vic’ commençait à déshabiller votre homme de la soirée, et son commentaire sur sa queue t’oblige à t’arrêter pour regarder l’équipement du jeune homme. Tu souris avec une envie non dissimulée sur le visage en voyant son membre fier et envieux. Tu échanges un regard avec la blonde, et susurre lentement. - Tu vas devoir choisir Allan… Laquelle de nous tu veux posséder en premier, la brune ou la blonde… Tu sens sa main devenir plus possessive avec ton entrejambe et soudainement tu attrapes la nuque de Victoria, et l’oblige à venir contenir ton soupire qui brusquement s’échappe de tes lèvres. Ton amie s’empare de sa queue entre ces doigts et tu enfonces délicatement ta langue dans sa bouche, avant de la laisser descendre sur le pieu de l’homme qui vous accompagne. Un sourire aux lèvres, tu le regarde ouvrir grand la bouche en voyant une chevelure dorée caché toute ton entrejambe. Tu te pourlèche les lèvres, revenant contre la bouche d’Allan. - Tu la sens ? Tu sens à quel point elle sait y faire ? sa langue qui te touche, sa bouche qui t'aspire, ces doigts qui te veulent... Tu glisses ta main contre la chevelure de ton amie, et y enroule lentement les doigts, la caressant avec une avidité qui ne te caractérise habituellement pas du tout.

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OUtfit -- La vie en coloc avec Amy c’est le rêve. Franchement, je pouvais pas espérer mieux, au delà d’une amie, c’est une partenaire… une soeur… Je ne sais même pas comment la définir tant elle est importante à mes yeux. Elle est celle qui me donne le sourire chaque matin ? Oui c’est totalement ça. Ma vie serait tellement ennuyeuse sans elle, tellement fade. Nous sommes deux tornades qui s’unissent à la perfection, et peu importe ce que peut bien penser son frère. Amy et moi c’est FOREVER. Tout le monde n’est pas comme lui, capable de flinguer une amitié solide par connerie. Aucun mec sur terre peut valoir le coup au point de briser notre amitié.

La soirée H tombe visiblement à l’eau. Pas grave, nous connaissant on trouvera autre chose pour nous occuper. La fameuse “chose” s’offre même carrément à nous, le bel âtre vient enlacer ma brune, une tentative d’approche relativement réussi je dois dire. Il semble savoir s’y prendre et quand il nous embrasse l’une après l’autre, je dois avouer être preeeeeesque convaincu par cet homme-là. Je dois mettre entre parenthèse cet élan de possessivité envers mon amie, je la veux, je la désire d’une manière dont je ne le devrais probablement pas. Le fait est que pendant que je l’ai embrassé j’ai eut l’impression que le plaisir et l’envie étaient partagées. Mon intuition me trompe rarement… mais on a jamais dérapé à ce point elle et moi. C’est dangereux non ? Non, on sait faire la part des choses, ce n'est que du jeu, du plaisir et de l’amusement. On le partage et c’est tout ce qu’il y a de nouveau.

Amy et moi on chauffe notre proie. Oui parce c’est à peu près tout ce qu’il représente à mes yeux. Son nom déjà ? J’en sais rien, et je crois ne même pas vouloir le savoir, tout ce qui compte c’est elle et moi, et cette partie de jambes en l’air brûlante qui va venir donner à cette nuit un genre inédit et brûlant. Amy tente une dernière fois de faire appel à notre raison, pour ma part je suis déjà partie trop loin pour faire machine arrière. Je lui dis la désirer et j’aime ce que je lis dans son regard quand je lui fais cet aveu. Je me penche vers elle pour l’embrasser une dernière fois avant de nous tirer en direction du taxi. Je la veux et je ne tente même pas de le dissimuler. C’est normal après tout, elle est canon, plus que canon même et elle est la personne me connaissant le mieux sur cette planète, cette réaction me semble alors normale sur le moment du moins. Demain… demain on verra, je vis ma vie au moment présent, demain est un autre jour et nous aviserons à ce moment-là. Pour l’instant… je veux l’étourdir de plaisir, l’embrasser, la caresser et la sentir trembler de plaisir, et monsieur ici présent, sera un jouet pour nous unir et nous satisfaire. Ça craint probablement mais là tout de suite c’est ainsi que je le vois, et dans le taxi, en le voyant hésiter à cause de la présence du chauffeur il ne marque clairement pas des points. Un peu d’audace enfin !!! Je me penche en avant laissant danser mon fessier sous son nez le temps de tourner le rétro du chauffeur. Je couine en sentant les dents d’Amy se refermer sur mes fesses. Outch… Je me retourne en riant, la regardant avec un faux air de reproche.

«Qu’il sache me gérer ? Aucune chance. Je crois qu’il y a que toi qui soit capable de me… gérer. et encore pas toujours.»

Je ris et lui adresse un clin d’oeil. Oui quand je suis lancée rien ne m’arrête, cette soirée en est la preuve. Nous trois, la maison… c’est mon idée et je suis pas certaine que sans mes encouragements Amy se serait laissé embarquer dans ce plan à trois. Bon, c’est pas tout ça, mais maintenant que monsieur est rassuré on va pouvoir passer au choses sérieuse ? Je remonte la robe de mon amie jusqu’à sa taille pendant que j’embrasse Allan pour l’aider à se détendre. Je dévore ses lèvres et elle viens dévorer son cou, hum, je crois qu’il n’en reviens pas d’avoir autant d’attention. En même temps se faire dévorer par deux beautés comme nous ça dois pas lui arriver tout les jours. J’espère qu’il saura apprécier… et être à la hauteur. Si j’en juge par cette bosse énorme au niveau de son pantalon je le crois parfaitement outillé pour en tous les cas.

Mes doigts s’activent contre l’intimité d’Amy, je la sent mouiller à travers la dentelle de son dessous et j’aime cette sensation, la sentir fébrile, son plaisir à la porté de mes doigts. Loin de rester inactive elle vient extirper de ma robe mes seins, le contact doux de ses doigts contre ma poitrine m’arrache des gémissements d’aise que je ne cherche pas à retenir un seul instant. Je la regarde les iris brûlant d’un désir dont elle est l’auteur. Bon sang ce que je la désir à cet instant précis… c’est dingue, c’est sauvage. Je m’adresse ensuite à notre jouet pour lui faire comprendre que s’il reste passif on se passera de lui plus vite qu’il le croit. Ma menace semble porter ses fruits puisqu’il vient chasser ma main d’entre les cuisses de ma belle brune. Son geste éveil en moi une forme de jalousie que je m’efforce de faire taire instantanément. C’est pas le moment.

La poigne ferme d’Allan fait craquer les fibres du tissus de son dessous. Impatient le monsieur. J’ai réveillé la bête ? Un sourire nait sur mon visage quand je le vois commencer à la doigter, les gémissements d’Amy raisonne dans l’habitacle du véhicule. Il nous reste quoi jusqu’à la maison une bonne dizaine de minutes ? C’est assez pour faire bien des choses. Je les regarde faire, sentant l’excitation grandir en moi. Je les veux… J’ai envie de lui oui, et d’elle aussi… Je la voir défaillir de plaisir parce qu’ensemble nous l’aurons amené à bout. Je le libère son pieu de chair, et whoua il est sacrément bien monté le bougre. S’il s’en sert aussi bien qu’il semble savoir se servir de ses doigts ça promet. La brune lui susurre qu’il devra choisir laquelle il possédera en premier, et pendant que mes doigts se referment autour de son pieu de chair je lâche comme si je voulais le soulager ou lui donner un coup de main : « On sait toutes les deux que c’était toi son premier choix ma belle. » J’adresse à Allan un clin d’oeil complice. La tornade ne le bouffera pas… ou enfin si mais d’une manière dont je doute qu’il se plaigne. Les doigts de ma brune se referme derrière ma nuque, elle m’attire contre elle pour m’embrasser avec une passion que je ne lui connaissait pas. Elle est divine. Nos langues se trouvent et danse chaleureusement l’une avec l’autre. La chaleur que je sent poindre en moi est la matérialisation d’un désir brûlant. Je ne suis pas certaine qu’elle ait conscience de l’effet qu’elle à sur moi. « Tu es divine… » Je souffle ces paroles pour la seule intention de mon amie, soufflé au creux de son cou. J’embrasse sa gorge, en mordillant la peau fine jusqu’à l’entendre couiner pour y laisser ma marque avant de descendre pour venir capturer entre mes lèvres le sexe bandé d’Allan. Je commence à la pomper avec passion. Il lâche des “oh putain” et autre joyeuseté qui me laisse comprendre que je suis particulièrement habile avec ma bouche.

Je m’applique et le pompe comme une véritable affamée. Le sentir se durcir davantage entre mes lèvres est particulièrement agréable. J’entend Amy lui demander s’il me sentais bien, elle sait y faire… Au fur et a mesure qu’elle parle je le pompe de plus en plus rapidement, je l’avale toujours plus jusqu’à ce que mon nez se retrouve contre la peau de son ventre. J’y vais trop fort ? On lui avait promis une soirée inoubliable non ? Je frisonne en sentant les doigts de mon ami dans ma chevelure, elle l’empoigne lentement avec une fermeté que je ne lui connaissais pas. Je la laisse me guider, m’imposer le rythme qu’elle aura décidé. La voir s’épanouir de la sorte dans ce plan à trois inhabituel me rend plus ardente encore. Si j’avais pas la bouche à ce point occupé je crois que je lui dirais à quel point elle m’excite et à quel point je la désire. Une bombe pareille ça ne devrais même pas exister. Pendant que je continu de pomper monsieur, mes doigts délaisse sa queue pour venir courir sur le corps de mon amie. Je remonte le long de ses cuisses, je sens les doigts d’Allan aller et venir en elle, les miens remontent alors très légèrement pour venir jouer avec son clitoris pendant qu’il insère en elle un troisième doigts. La faire gémir avec lui me procure un plaisir incroyable et inédit, et cette fois il ne chasse pas mes doigts. Non, il m’encourage à continuer tout en ondulant son bassin pour que son gland tape on fond de ma gorge. Je crois qu’il mesure à peine l'étendue des possibles avec nous… Je crois qu’à cet instant il est le plus heureux des hommes. Une jolie blonde qui s’occupe de son sexe avec ardeur, pendant qu’il embrasse la jolie brune jusqu’à en perdre haleine pendant que ses doigts jouent en elle.

@Amalia Cavanna  

Pando

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--OutFit-- Un binôme comme elle ne se trouve pas chez n’importe qui. Tu as eu de nombreuses amies au cours de ta vie, de nombreuses confidentes quand tu étais plus jeune et pourtant aucunes d’elles n’a jamais su pour ton enfance à toi et Andrew. Aucune d’elle n’a jamais su pour les coups sur votre mère qu’aujourd’hui vous avez plus ou moins chassée de votre vie, ils n’ont jamais su pour les heures entières de terreur quand votre paternel atteignait sa cuite et commençait à vous reprocher jusqu’au score du baseball du soir. Elles n’ont jamais soupçonné que ton frère prenait les coups pour toi, que les hématomes sur son corps n’étaient pas simplement des séquelles sexy du sport. Elles n’ont jamais compris que derrière tes sourires, tes envies de fête et qu’heure de révisions à la bibliothèque se cachait la terreur de rentrer à la maison. Andrew t’a fait du mal en trahissant Hugo, et Hugo t’a brisé le cœur en voulant lui faire regretter ces erreurs. Mais jamais tu ne pourrais en vouloir un jour à ton frère pour ces égarements. Plus jeune, il a pris des centaines de raclées qui auraient dû être les tiennes, alors si aujourd’hui il fait des erreurs, tu ne pourras jamais lui en tenir rigueur. Victoria connait les grandes lignes de ton passé, du moins quasiment tous les détails sauf peut-être les plus sordides. Elle est devenue avec les années, les mois encore plus protectrices en apprenant d’où vous veniez. Et même si elle et Andrew ne s’entendront probablement jamais… Tu sais qu’elle a conscience que tout n’était pas facile pour vous. Tu sors ces pensées de ta tête pour revenir au présent. En attendant vous voila dans ce taxi, et la température ne tarde pas à monter. Le chauffeur n’a pas vraiment son mot à dire, tout comme votre jouet de la soirée. Si tu es en règle générale plus délicate que Vic’ lorsque tu te laisses aller à un homme, tu n’en restes pas moins exigeante sur tes envies et tu comptes bien à ce qu’il fasse ces preuves avant de pouvoir monter dans votre appartement. Vic s’exprime sur le fait qu’il n’y a que toi qui sache la gérer et tu entrouvres la bouche en la regardant. Et encore… Tu savais jusqu’à aujourd’hui. Tu as bien l’impression que tu ne gères plus rien depuis quelques minutes. Tu te mets à avoir des pensées la concernant qui ne sont clairement pas les pensées qu’une amie est sensée ressentir face à sa sœur. Des l’instant où Vic commence à te dévêtir et surtout à te toucher, ton esprit s’embrume et tu en oublies qui elle est pour toi. Tu sens ton bassin s’humidifier, ton entre jambe pulsée à son contact et la chaleur se diffusait dans ton corps. Bordel… Tes mains aident sa poitrine à venir à l’air libre et en les découvrant tu sens l’eau te venir à la bouche. Tes mains la touchent mais rapidement le jeune homme finit par reprendre de son courage. Chassant les mains de ta best, il entreprend à te donner du plaisir et il s’en sort très bien. Ta bouche cherche la sienne et en la trouvant tu lui indique qu’il devra choisir qui il baisera en premier. Tu sens sa bouche s’accentuer sur la tienne et ses doigts se courbait sensuellement contre ton intimité. Putain son crochet est délicieux, tu glisses l’une de tes mains sur ces abdominaux alors que ta divine blonde est en train de vous regarder en le branlant. Tes yeux l’observent le temps d’un instant et tu sens ton ventre se contracter plus fort à la vue de ce qu’elle lui fait. Elle dit que toutes les deux vous savez qui été son premier choix et tu susurres contre la bouche d’Allan. - Oui… mais c’était avant que tu te mettes à le branler… Tes doigts s’emparent de la nuque de Victoria, tu veux sa bouche autant que celle du gars qui te doigte. Tu étouffe un long gémissement contre sa bouche, putain ce qu’elle est douce. Sa langue roule contre la tienne et tu l’attires plus fort pour t’enfoncer plus fort dans sa bouche, mêlant chaleur et passion dans tes mouvements. Ta main libre vient contre son entrejambe l’espace d’un instant, soulevant sa jupe pour y découvrir l’état d’excitation de ton amie, pendant qu’elle mord ta gorge et l’espace d’un instant tu grognes. Elle te dit que tu es divine et tu amènes doucement tes doigts contre ta bouche, ceux possédant son gout à elle. Tu la fixe droit dans les yeux lui offrant un sourire machiavélique, et revient à la bouche d’Allan qui s’extasie de vous voir ainsi et vous décrivant de « bonnasses ». Hum… tu doutes que ce soit un compliment à dire à une femme. Vic s’abaisse et rejoint le membre d’Allan et tu l’observes en train de le prendre au fond de sa bouche. Les doigts d’Allan toujours entre tes jambes ton corps ondule contre eux, tu les veux. Tu veux leurs corps, tu veux que ce trio s’emboite, que vous baisiez à vous en perdre. De tes mots tu obliges Allan a bien pensé à ce que ton amie lui fait. Tu veux qu’il sente chaque courbe de la langue de Vic contre son pieu de chaire. Les doigts de ta blonde se repose sur toi, tu prends la place de la main de Vic sur le pieu d’Allan et la laisse pomper de plus en plus fort. D’ailleurs au vu des grognements de monsieur tu penses qu’elle en vient presque à bout. Tu espères qu’il est capable de recharger vite. Les doigts de Victoria se pose juste au-dessus de ton entrejambe et soudainement elle adapte des caresses aux mouvement du jeune homme. Ton corps s’arque, ta tête se penche en arrière et tu couines doucement. - Vic’… C’est plus fort que toi, tu gémis son prénom. Tu pousses un autre soupire et articule. - Vic… Vient ici. Tu presses sa chevelure, tu la retires de la queue d’Allan. Tu la fais venir à tes lèvres, la faisant monter sur le jeune homme à califourchon alors que tu glisses de nouveau tes doigts contre son antre, en kidnappant sa bouche, tu mords violemment sa lèvre inférieure et susurre dans un soupire - J’ai envie de toi.

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OUtfit -- Amy et moi on forme un putain de tandem de choc, elle et moi on forme un duo indissociable. Notre amitié c’est clairement ce que j’ai de plus précieux dans mon existence. C’est mon amie, ma sœur de cœur, ma confidente, bref elle est tout. Nos âmes et nos cœurs sont comme étroitement connectés. C’est à la fois dingue et puissant. Les amitiés comme la nôtre sont rares et précieuse. A aucun moment je m’imagine que se que nous sommes en train de faire pourrait altérer notre amitié parfaite. Non, je ne peux pas croire qu’un mec, ou un moment d’égarement charnel puisse altérer ce qu’il y a entre elle et moi.  

Dans l’habitacle du véhicule la chaleur monte d’un crant. L’air et chaud, ou alors c’est mon corps qui s’embrase d’un désir puissant. Oui, c’est peut-être ça, très certainement même.  Je brûle littéralement d'un désir puissant pour elle, mais aussi pour lui, ou plus précisément pour ce moment intime que nous partageons tous les trois. Je ne pense pas que je serais dans le même état si elle n’était pas là, si c’est gémissement ne raisonnaient pas à mes oreilles comme du miel sirupeux. C’est sûr que non même, le monsieur à beau être bien fait de sa personne et sait y faire avec les femmes, seul il serait bien incapable de m’embraser le corps et l’âme de la sorte. Ce coup de maître c'est son œuvre à elle.  

Sentir son corps se tendre et son intimité s’humidifier sous le touché agile et précis de mes doigts est une sensation divine. Ses gémissements qui passent la frontière de ses lèvres sont mon œuvre. Mon regard croise le sien et notre cher ami devient l’instrument de notre plaisir. Il nous caresse, nous embrasse pendant qu’Amy libère ma poitrine de son carcan de tissus. Je couine et gémis d’envie. Son touché est électrisant. Je réprime surement un couinement de frustration quand le monsieur chasse ma main entre ses cuisses. Je crois que sans le vouloir mes yeux lui lasent des éclairs. Je contiens cet instinct possessif qui m’anime à l’instant. Se sont mes instincts protecteurs vis-à-vis d’elle qui s’activent malgré moi. J’inspire profondément et vient sortir de son logement sa verge qui pointe à présent fièrement vers le ciel. Je pousse un sifflement admiratif. Sacrément bien équipé le type. Mes doigts se referment autour de son pieu de chaire, l’empoignant non sans une certaine fermenté pour le branler.  

« Comme s’il était possible de se détourner de toi... de tes lèvres ensorcelantes... de ton intimité brûlante... et de ce corps à se damner. »

Je prononce chacun de ses mots avec une lenteur calculé, mes iris plantés dans les siens. Je m’adresse à elle comme la déesse qu’elle est à mes yeux. Amy est parfaite. Ses doigts agrippent ma nuque pour m’embrasser avec une ferveur qui m’étourdit un instant. Ma langue vient danser contre la sienne sensuellement. Elle me plonge dans tous mes états et me trouble au-delà de ce que je suis capable d’avouer.  Cette douce et chaude passion est étourdissante. Je gémis à son oreille à quel point elle est divine. Ses doigts sous ma jupe dansent contre mon intimité dégoulinante de désir. Ma respiration s’accélère, rapide et irrégulière mon cœur manque un battement quand elle vient déposer ses doigts dégoulinants de mon propre plaisir contre mes lèvres entrouvertes. Je viens sucer ses doigts tout en la fixant droit dans les yeux dans un simulacre de fellation parfaitement brûlante. Je les suce lentement, sous le regard médusé et brillant d’excitation d’Allan. J’adresse un clin d’oeil à mon amie, délaissant ses doigts pour venir glisser entre mes lèvres brûlante le membre vigoureux et épais de notre ami. Je le suce alors avec une ferveur sauvage. Je me concentre sur les gémissements rauque qu’il étouffe contre les lèvres de la brune. Il dévore ses lèvres et la doigts avec une intensité folle. Il la veut sa crève les yeux... et il veut me veut aussi. Son bassin ondule pour m’investir plus profondément, son gland gonflé bute au fond de ma gorge à chaque mouvement. Je ne résiste pas. J’ai besoin de la toucher de maintenir avec elle un contact constant. Mes doigts glissent sur ses cuisses. Sa peau est douce, et la sentir se réchauffer sous mes caresses est étourdissant. J’accélère mes mouvements buccaux quand ses gémissements grave se font de plus en plus pressant. Il est sur le point d’exploser. Je réprime un sourire de satisfaction quand il explose de plaisir, souillant ma langue de son foutre chaud. Mes doigts jouent conjointement avec ceux d’Allan contre son intimité. Je relève la tête quand elle gémit mon nom comme une supplique. Je me redresse et vient plaquer mes lèvres contre les siennes, je partage le goût d'Allan avec elle. C'est chaud. Putain je la veux avec une telle force que c’est indécent. Je monte à califourchon sur Allan qui laisse ses doigts courrir sur mon corps il remonte ma robe et malmène ma poitrine, capturant mes pointes entre ses lèvres pendant qu’Amy agitent ses doigts contre mon intimité. Putain. Quand ses dents relâchent ma lèvre inférieure, je gémis et inspire son odeur délicieuse.  

« Putain moi aussi... Tu n’as pas idée à quel point. »

Je perds complètement le contrôle de la situation je m'abandonne totalement à l'assaut d'Amy et à Allan qui malmène divinement bien ma poitrine. Mon corps est brûlant, mes lèvres n’ont de cesse que de posséder celle de mon amie. Mes doigts agrippent sa poitrine que je malaxe doucement, Je les caresse, les cajolent, les pincent. Je perds la notion du temps et de l’espace. Une part de moi est pressée d’arriver chez nous pour être plus à l'aise quand la seconde veut pas que cet instant d'une perfection absolue s'arrête.  

« Oh putain Amy... »

Notre baiser se rompt et je plonge mes iris dans les siens comme si je cherchais à sonder son âme. Je la regarde comme un trésor d’une valeur inimaginable, cette facette d’elle que je découvre ce soir me laisse sans voix. Mes lèvres glissent dans sa gorge que j’embrasse et mordille, remontant pour m’attaquer au lobe de son oreille pour y susurrer :  

« Je veux t’entendre hurler de plaisir... je veux sentir ton corps défaillir...»

Non je n’ai pas oublié Allan et se dernier fait d’ailleurs des merveilles avec ma poitrine tendue. Le chauffeur se racle la gorge, pour attirer notre attention, je suis dans un tel état que je ne l’entends même pas. Le véhicule vient de s’arrêter. Je crois qu’on est arrivés... mais moi j’ai d’yeux que pour elle, pour lui aussi et ce plaisir sauvage que nous partageons.  

@Amalia Cavanna  

Pando

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--OutFit-- Dans l’habitacle de cette voiture, l’air se raréfie, la température monte mais pourtant tu frisonnes comme une feuille s’animant au contact du vent. Tu as l’impression de n’être que sensation, d’oublier tout le reste pour le peu que ce mec continue de te toucher, que ta meilleure amie continue de te regarder sans détacher ton regard de toi. Tu as faim d’elle, ça n’était jamais arrivé. Tu as déjà rencontré des nanas, tu en as goutée, et si tu as aimé ces aventures avec elles tu sais pourtant que ça n’aurait jamais pu être autre chose que du sexe. Tu n'as jamais réussi à tomber amoureuse d’une femme. Vic elle c’est différent. C’est un coup de cœur oui, peut être un coup de foudre mais amical. Elle est comme une sœur, et pourtant là tout de suite, tu n’as jamais autant eu envie de la voir soumise à des émotions divines dont tu serais l’auteur. Tu n’as jamais eu autant envie de la toucher, de voir sa peau frissonner, sa bouche trembler, son corps s’arquer sous la passion. D’ailleurs à l’instant où elle commence à te toucher, au moment où ces doigts reprennent le contrôle de tes sens, tu manques de défaillir. De jouir là comme ça la première, comme si tu étais la moins endurante de ce trio brulant se formant. Tes gémissements prouvent à quel point c’est bon, a quel point tu grimpes et même si le jeune homme te fait bien ressentir des sensations, l’ensorcèlement vient d’elle et de personne d’autre. D’ailleurs elle n’apprécie pas vraiment se faire mettre à l’écart de ton entrejambe lorsque monsieur impose sa présence de ces doigts. Tu lis son regard, et l’aura meurtrière qui passe dans ces prunelles, pourrait t’achever de nouveau. Cette connexion que tu as avec elle de nature, cette fusion dans votre relation, c’est comme si en cet instant elle s’exacerbait. Comme si son intensité s’amplifiait au rythme que le désir entre vous s’accroit. Tu vois le pieu de chair de votre partenaire du soir se découvrir, et au sifflement de Vic tu ris, la regardant faire du grand Victoria. Elle ponctue l’histoire de qui il désirera prendre en premier en disant qu’il est impossible de détourner les yeux de toi et tu inspires pour éviter de l’empoigner fermement par les cheveux et l’amener à ne prendre ta bouche et rien d’autre en bouche. Toi aussi tu deviens soudainement exclusive avec elle. Elle te décrit et tu gémis, attrapant la bouche de votre compagnon pour étouffer tes gémissements. Tu en oublies le chauffeur qui étonnement ne dit rien mais tu comprends en voyant son regard tenté de se tourner pour regarder le fessier de ton amie. Un grognement t’échappe alors que tu susurres. - Gardez vos yeux sur la route ! Elle n’est même pas envisageable ! Ta possessivité s’accentue, alors que le jeune homme enfonce plus fort ces doigts comme pour te rappeler ton attention à lui. Tu couines et finalement attrape la nuque de Vicky sans pouvoir t’en empêcher cette fois, tu reprends sa bouche, que tu mords, lèche et dévore. Personne ne te l’enlèvera trop longtemps, tu la veux, autant que la verge de ce don juan qui mettra les voiles une fois la nuit évanouit. Tes doigts se glissent contre son entrejambe, tu veux la mettre autant en ébullition que tu l’es. C’est pour cette raison qu’après l’avoir chauffé tu lèches tes doigts, riant en la voyant prendre ta main pour les gouter à son tour. Le jeune homme à vos côtés gémit, vous décrivant comme démoniaque et tu affiches une mine malicieuse. C’est Victoria qui te rend aussi folle de désir. Allan semble en perdition devant la fellation qu’elle exécute contre tes doigts et qui t’affole au fond encore plus. Tu mords lentement tes lèvres en la regardant finalement s’éloigner pour prendre possession de la queue de votre ami. Il lui faudra finalement peu de temps avant que la fellation de Vic ne vienne à bout de lui. Brusquement sa main libre attrape ta nuque, il t’embrasse la fièvre au corps alors que son bassin ondule et qu’il jouit vivement dans la bouche de ta meilleure amie. Ta langue se joue de lui, léchant ces lèvres alors qu’il perd l’espace d’un instant en énergie. Vic touche tes cuisses et ta main reste dans ses cheveux, devenant douce et délicate, cajolant son crane pendant qu’elle termine de soulager votre partenaire. Putain tu mouilles tellement devant son spectacle. Ta bouche gémit le nom de Vic alors qu’elle se dépêche de rejoindre Allan pour te masturber. Tes iris pénètrent les siennes, et elle s’empresse de reprendre tes lèvres. Elle n’a plus que son goût à elle, mais le sien légèrement salé. Tu t’en moques, tu veux avidement qu’elle prenne le contrôle de ton corps et tout de suite. Son corps grimpe sur Allan, qui en redemande et étonnement recharge semble-t-il parfaitement ces batteries. Tu ne vas pas tarder à venir, tu le sens, notamment quand Vic se déshabille, offrant sa poitrine à Allan, qui les attrape goulument pour les sucer. Tu reviens contre l’intimité de ton amie, appliquant la pulpe de tes doigts contre sa fente humide à souhait. Tu la vois frémir et ça te donne tellement envie de plus. Ta bouche ne lâche pas ton amie continuant de la malmener, de ta langue contre la sienne, de tes dents qui la morde, de tes doigts qui oriente son visage alors que tu migres vers sa gorge que tu mordilles. Tu frémis en l’entendant gémir. Bordel, votre trio semble fait pour s’accoupler. Elle te susurre à l’oreille quelle veut t’entendre hurler, alors tu trouves son regard, sonde son âme à ton tour et chuchote. - Alors vient sur moi et oblige moi.   Tu étires un sourire au coin des lèvres, les doigts d’Allan sont toujours là, mais tu veux Victoria. Tu l’aides à abandonner son jouet, et l’amène divine à venir sur toi. Allan s’arrache à sa poitrine, et tu prends le relais, arquant ton corps lorsque la main de ton amie touche ta propre poitrine. Tu es plus délicate, plus attentionnée, lorsque ta bouche vient s’emparer de la pointe de ces seins. Tu es différente d’Allan tu ne la dévore pas de la même manière, non toi, tu prends le temps de vénérer ce corps que tu veux fort. La regardant par en dessous tu ouvres la bouche et prend la pointe de son sein entre tes lèvres. Tu joues d’elle avec ta langue, la suçotant légèrement alors que ton autre main presse son galbe. Tu veux la voir réagir, voir ce que tu provoques en elle. Le taxi toussote et tu grognes d’être interrompu, tu veux la voir jouir et tu ne sortiras pas de cette voiture sans être assouvie. - Refaite un tour, on a besoin de quelques minutes. Tout de suite !

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OUtfit -- Ce plan à trois prends un tournant délicieux, une saveur ardente qui étourdie mes sens autant que ceux de ma délicieuse amie. Notre partenaire, coincée entre les deux feux ardents de nos plaisir semble prendre son pied, et dire que la nuit ne fait que commencer. Encore dans le taxi nous ne sommes qu’à dis pourcent de nos capacités. Cette nuit promet d'être une exploration de plaisir et de passion, une aventure à laquelle nous nous abandonnons avec anticipation et excitation. J’ai faim d’elle, faim de lui… faim de nous. Chaque baiser, chaque caresses, chaque regards brûlant me déconnecte un peu plus de la réalité. Je ne vois plus qu’eux et l'étendu semblant infini de notre abandon. Cette nuit avec Amy nous franchissons des limites que nous n’avions jamais explorées ensemble, pourtant je n’éprouve pas la moindre appréhension à m’enfoncer dans cette direction avec elle. Je sais que rien ne pourra ébranler la perfection de notre amitié, je sais qu’elle comme moi nous sommes capables de faire la part des choses entre l’amitié et le plaisir. Deux choses différentes, mais quand on nous voit en cet instant, pas impossible.

Cette connexion profonde et inexplicable qui a toujours existé entre elle et moi semble s’intensifier par le désir ardent qui nous consume. C’est incroyablement puissant, une communication non-verbale qui transcende les mots, nous nous comprenons sans même avoir à échanger un seul mot, c’est comme si instinctivement, nous savions ce que l’autre veut et ressent à chaque instant. Résigné mais acceptant, je cède notre ami du soir le territoire de son intimité… à contre coeur oui, mais je la lui cède pour venir m’attaquer à son sexe avec une faim insatiable. Monsieur est sacrément bien membré, au point que je ne peux m’empêcher de lâcher un sifflement admiratif. S’il est endurant, c’est le jackpot !! Je le prends en bouche, le cajole de ma langue brûlante, le savoure comme un mets délicat. Sa respiration se fait plus courte, plus rapide, et les gémissements rauques qu’il lâche m’émoustillent, me rendent plus déterminée. Ce qui me rend plus folle encore, c’est la poigne ferme et dominatrice d’Amy qui m’impose son rythme. Elle prends le contrôle de cette fellation, la rendant plus intense, plus profonde et brûlante encore avant de me forcer à me détourner de ma cible pour venir capturer mes lèvres des siennes. Je la dévore des yeux, aimant particulièrement cet élan de possessivité qui l’anime. Elle grogne sur le chauffeur et sa réaction m’amuse beaucoup. Mes lèvres agrippent les siennes, la dévorant avec une avidité folle, finissant ce baiser en mordillant sa lèvres inférieur pour susurrer à son unique attention : « Tu es divine que l’envie te torture…»

Les flammes ardentes du désir dansant dans ses iris profonds m'hypnotisent, capturant toute mon attention et mon admiration. À cet instant précis, elle est d'une beauté divine, attisant en moi un feu ardent qui brûle sans retenue. Ses doigts, habiles et taquins, jouent contre mon intimité. Ils m'arrachent des gémissements qui traduisent un plaisir brûlant, sauvage et irrépressible. Chaque toucher, chaque geste, alimente ce brasier infernal de désir, me submergeant dans un océan de sensations indescriptibles. Elle me rend complètement folle, putain. Chaque geste, chaque mouvement qu'elle fait me fait perdre la tête. Je prends ses doigts et les lèche dans une imitation de fellation, savourant ainsi le goût de mon propre abandon, de ma propre perte de contrôle. C'est une saveur intense, une saveur d'audace et de désir incontrôlé. Allan, de son côté, semble totalement stupéfait. Je peux voir dans ses yeux qu'il n'arrivait pas à croire à l'intensité de ce qui se déroulait devant lui. Je pense qu'il ne s'attendait pas à une telle passion, à une telle ferveur. Mais, oh, il n'est pas encore au bout de ses surprises. Il reste encore tant à découvrir, tant à vivre dans cette nuit de folie et de désir.

Je commence à m'éloigner d'elle, abandonnant lentement ses lèvres ensorcelantes qui exhalent un parfum d'envoûtement, pour venir me consacrer à l'anatomie masculine d'Allan. Il se trouve au bord de l'implosion, le pauvre, et je sens qu'il est de mon devoir de lui apporter du soulagement! Je le dévore avec une passion insatiable, m'acharnant avec une détermination féroce pour lui arracher cette explosion ultime de plaisir. Et alors, il explose, déversant son foutre chaud au fond de ma gorge. Le goût est délicieux, presque addictif. Je me redresse, léchant mes lèvres avec une gourmandise provocatrice, savourant le goût qui y persiste. Mes doigts glissent alors entre les cuisses d’Amy, je lui adresse un sourire malicieux, écartant d'un geste possessif Allan pour pouvoir l’embrasser. Ses lèvres, douces et tentantes, sont désormais miennes. Mon désir pour elle est trop intense, trop ardent pour que je puisse rester en retrait.

Je grimpe avec une anticipation excitée sur Allan, me positionnant de manière stratégique sur lui pour lui offrir le spectacle alléchant de ma poitrine en pâture. Pendant ce temps, je me concentre intensément sur les lèvres divinement douces d'Amy. Il semble que, à travers nos baisers langoureux et passionnés, nous partageons bien plus que de simples sentiments; c'est une passion brûlante qui nous unit. Mon corps est assailli de toutes parts, la langue audacieusement dominatrice d'Allan dévore mes seins avec une violence délibérée qui m'électrise, pendant que les doigts habiles et experts d'Amy jouent avec une dextérité étourdissante entre mes cuisses. Chaque fibre de mon être est en totale fusion, mon corps est une fournaise de désir. Les gémissements que je pousse, puissants et gutturaux, témoignent de l'ampleur de ma folie enivrante. Avec une voix grave, chargée d'un désir sauvage incontrôlable, je lui murmure mon envie de l'entendre hurler dans l'écho de notre passion partagée. Sa réponse, d'une exquise provocation, fait monter la tension d'un cran. C'est une provocation à laquelle il m'est absolument impossible de ne pas répondre, et je suis emportée dans l'ouragan de notre désir mutuel.

Je me libère subitement de l'étreinte d'Allan, me précipitant pour m'installer à califourchon sur elle. Je lui offre un baiser langoureux, empreint d'une passion dévorante qui consume mon âme, avant de la laisser parcourir ma poitrine de sa langue exploratrice. Sa tendresse et sa douceur provoquent une réaction instinctive dans mon corps, qui se cambre en quête d'encore plus d'attention de sa part.Mes doigts glissent délicatement le long de la peau de son corps, s'attardant sur chaque courbe, chaque recoin, comme si je parcourais un trésor inestimable. Car c'est bien ce qu'elle est pour moi, un trésor précieux et inestimable. Mes doigts se frayent un chemin jusqu'à l'endroit le plus intime entre ses cuisses, jouant avec son bouton de chair que je pince délicatement de temps à autre. Attentive au moindre frisson qui traverse son corps, je suis guidée par un seul objectif : déclencher une explosion de plaisir en elle. Je la veux éblouissante de désir, tremblante de plaisir, et je veux être témoin de cette extase qui la parcourt de la tête aux pieds, la bouleversant dans sa totalité.

Le chauffeur de taxi toussote et la voix d’Amy raisonne dans l’habitacle. Son ton ne laisse pas place à la discussion. Le voir aussi autoritaire me mets dans tous mes états. Mes doigts redouble d’intensités, cherchant à la rendre folle. Allan observe le spectacle sans en perdre une miette, nous laissant partager cet instant ou nous sommes aussi étroitement connectées l’une à l’autre.  « Je veux te voir exploser de plaisir…» Les doigts de ma main libre glisse le long de l’arrête de sa mâchoire, la forçant à relever la tête, mes lèvres inquisitrices domptent les siennes dans un baiser sauvage. Mes lèvres glissent dans son cou, que je mordille avant d’enfoncer deux de mes doigts en elle, la doigtant avec véhémence pendant que mon pouce lui masse son bouton de chair. « Joui Amy… Joui pour moi…»

@Amalia Cavanna  

Pando

❝ Que les jeux commencent ❞ - Reyna Hazan &   @Victoria Parks  - Avec elle, et sans négociation. Ca sera toujours elle et toi contre le monde

   

--OutFit-- Rien. Strictement rien ne vaut la peine d’être vécu en comparaison à cet instant dans cet habitacle. Des moments de pures folies tu en as déjà vécu. Des moments que malgré toute ta bonne volonté tu aimerais oubliée mais qui reste gravé dans ta tête comme une sculpture sur du marbre, tu en as. Mais pourtant aucun n’aura été aussi bouillant que celui-ci. La température dans ce taxi ne cesse de grimper, ton corps s’embrasse à chacune des caresses que tu reçois, ardente et volcanique à chaque effleurement tu as peur de prendre feu. Tu as oublié qui il est, tu as même oublié qui est la divine blonde en face de toi pour ainsi dire. Du moins une partie d’elle. Sinon comment expliquer à quel point tu as envie d’elle là tout de suite ? Comment expliquer que soudainement ta meilleure amie et colocataire de vie depuis bien des années, soit à cet instant l’objet de chacun de tes désirs ? Que tu veuilles la voir autant agoniser que de te désirer, que tu veuilles l’avoir à la fois pour toi et qu’elle fasse perdre la tête à ce mec ? La réalité devient flou, sans importance. Tout ce que tu veux c’est qu’ils continuent tout les deux de te vouloir, de te toucher, de t’embrasser et que tout le reste s’efface. Tu t’en mordras les doigts plus tard, si c’est nécessaire. Vic est d’une perfection presque difficile à détailler tellement elle est parfaite. Tu ne dis pas cela parce qu’elle est d’une importance capitale dans ta vie, mais il n’y a qu’à la regarder. Sa manière d’être, ces iris pétillantes, sa bouche délicieuse, son corps de déesse et son caractère de meneuse. Victoria est véritablement la femme qui pourrait te demander de faire n’importe quoi. Vous savez celle qui est susceptible de vous appeler à 4h du matin pour cacher un cadavre ? Tu irais. Sans la moindre once d’hésitation. Tout comme tu vas jusqu’à vouloir la pousser au bout de vos déviances ce soir. Désirant qu’elle jouisse ici et maintenant. Tu sens la poigne de la main d’Allan attrapait ton menton pour réclamer ta bouche, alors que ton regard se perds sur le visage de Vicky qui pompe fort le membre dressé de votre compagnon. Il est d’une taille très impressionnante, espérons qu’il soit doué avec l’équipement. Allan peine à respirer normalement, ces gémissements se perdent contre ta bouche alors qu’il te doigte avec une vigueur qui nécessite à ce que tu gardes un minimum de contrôle pour ne pas défaillir. Ton intimité pulse fort pourtant, salivant de tout cette débauche sexuelle qui affole tes sens. Te rattachant à ce que tu trouves, ce sont les cheveux de Vic que tu agrippes pour focaliser ton attention. Gémissante contre la bouche d’Allan, tu la regardes sucer avec avidité votre partenaire, prenant du contrôle en lui indiquant le rythme à suivre. Elle est d’une beauté telle que tu pourrais lui attraper durement les cheveux et la forcer à venir sur toi immédiatement. Son regard revient sur toi et tu sens une vague électrique dévaler ta peau. Elle possède un pouvoir sur toi qui est totalement fou. Elle te décrit comme divine et tu susurres du bout de la bouche avant qu’Allan ne l’attrape de nouveau. - Je te veux Vic’. Ta bouche ne pourra pas l’avoir de suite alors ce sont tes doigts qui viennent se frayer un chemin contre sa délicieuse fente et en la découvrant, tu constates que tu n’es pas la seule à beaucoup aimer ce qui se passe. Tu sens le fluide chaud qui empreint son string et la frénésie n’est pas loin de te prendre. Délicatement tes doigts s’agitent, glissant sensuellement contre ces lèvres intimes jusqu’à trouver son entre et la pénétrer. Un puis deux doigts pour commencer à la caresser. Ton bassin s’agite contre les doigts d’Allan, du moins est ce bien les siens ? Tu ne sais plus. Quoi qu’il en soit ta respiration peine à être optimum, tu couines, gémis, tu voudrais plus moins tout s’emmêle. Et c’est pire lorsqu’elle retire tes doigts pour les prendre dans sa bouche. Bordel tu veux que sa bouche soit contre la sienne. Alors quand elles sont à ta portée tu n’es qu’en capacité de la dévorer. A son contact, tu trembles et glisse ta langue contre la sienne. Absorbant son goût, son souffle et sa manière de bouger. Mais l’instant est trop bref avant qu’elle ne retourne s’occuper d’Allan pour le soulager de son plaisir contenu. Si tu trouvais que Vic était affamé quelques secondes auparavant elle l’est encore bien plus maintenant que votre baiser s’est terminé. Bon sang la regardait terminer cette fellation te donne tellement envie de jouir. Allan s’agite prêt à jouir et cette fois c’est toi qui vient te saisir de sa bouche pour étouffer son cri rauque alors qu’il explose dans la bouche de ta colocataire. L’habitacle de cette voiture ne va pas tarder à prendre feu tu pourrais le jurer. Elle grimpe sur Allan et ce dernier attaque la poitrine de ton amie avec une vigueur folle, ton regard passe dans celui de Vic. Sa bouche revient à toi et là tout de suite, tu l’as veut rien qu’à toi. Alors lorsqu’elle te demande d’hurler de plaisir tu la provoques et lui demande de le faire elle-même. Tu lis sans mal le défi qui vient s’insinuer dans son âme et en l’espace d’une seconde, son corps se jette sur le tien. Tu étouffes un soupire de soulagement lorsque ces doigts viennent contre ton intimité et que sa bouche t’étouffe littéralement. Tes mains se glissent contre son corps, l’une d’elle sur son sein que tu masses avec envie, triturant ces pointes de tes doigts. Tu ne mettras que peu de temps à rejoindre ces derniers avec ta langue. Avidement tu veux l’entendre, tu veux qu’elle dise elle aussi que la folie est en train de vous faire perdre le Nord. Les doigts de ton amie sont une merveille à ressentir et ton bassin s’agite plus fort. Ton regard cherche le sien alors qu’elle dit vouloir te voir exploser. Tu halètes contre elle, en oubliant presque Allan juste à côté qui vous regarde en se touchant à présent seul. Tu te perds dans le bleu de ces iris et susurre. - Victoria… Son prénom est dicté d’une manière sensuelle comme un chuchotement, un secret inavouable. Le sera-t-il à l’avenir ? Tu sens ces doigts prendre de la vitesse et brusquement tu sens ton corps se tendre, avidement tu sens la décharge prendre vie et tu enfouis ton visage contre sa gorge que tu mords lèche et absorbe de tes dents. Tu abandonnes finalement un cri au moment le plus fou celui qui voit ton orgasme défaillir. Ta vision devient floue, ton corps tremble alors qu’elle y est arrivée, elle vient de te soumettre à son pouvoir. Quelques secondes te seront nécessaire pour revenir à toi et soudainement tes yeux s’empreinte de noirceur lorsque tu attrapes sa nuque et l’amène contre ta bouche. - Maintenant je vais m’occuper de toi ma belle… Le taxi se gare et tu le règles, te dépêchant de sortir tu attrapes la main de ton amie et de ton amant pour les amener à grimper dans votre logement. Durant le temps où tu déverouilles les portes, tu peux les voir se fondre de désir l’un pour l’autre. Il faut rapidement que vous regagniez ce studio. Quelques minutes plus tard, la porte est ouverte, vos corps désireux s’y enfonce avant que tu ne fermes tout à clef. Tu retires tes talons, Allan vient de presser le corps de ton amie contre le mur. Doucement tu approches, et vient embrasser les lippes de monsieur avant de revenir contre celle de Vic. Un échange presque chaste et tu t’agenouilles, te glissant entre leurs jambes, Vic est en jupe c’est relativement facile pour toi de glisser ton visage par-dessous et venir alors lentement laper l’endroit le plus sensible de tout son corps.

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OUtfit -- La température ambiante dans l’habitacle de ce taxi est tout bonnement brûlante, aussi ardente et explosive et que le cœur en fusion d’un volcan. Notre amitié est hors du commun, si puissante et si inébranlable que cette passion qui nous anime est à l’image de notre affection mutuelle : incroyable. Plus rien d’autre ne compte, il n’y a plus qu’elle et lui. Nous et nos corps se mouvant les uns contre les autres. Chaque contact, chaque caresse, chaque baiser est une promesse d’un plaisir étourdissant. Je n’ai plus aucune de notion du temps ou de l’espace, tout semble figé autour de nous, comme si plus rien ne pouvais nous atteindre ou nous arrêter.

Je ne peux pas expliquer ce qui se passe ici et maintenant, non, et le pourquoi du comment en fait je m’en tape. Mon corps tout entier est en ébullition, il boue d’un désir monstrueux. Mêler le sexe et l’amitié n’est pas une bonne idée en théorie, mais nous sommes l’exception à la règle. Notre complicité et notre cohésion est parfaite et totale. Un véritable bijou de perfection. Ce mec entre nous deux est un petit veinard, et je crois qu’il en a parfaitement conscience. Il donne tout, fait tout pour nous satisfaire l’une comme l’autre et je dois reconnaître que le hasard nous a été favorable, monsieur semble être un bon numéro. En proie au désir, Amy est somptueuse, ses gémissements raisonnent à mes oreilles comme du miel délicieux, ses lèvres entrouvertes un appel aux baisers. Ce soir, cette nuit, nous dépassons mille limites, nous allons bien au-delà de ce qu’une amitié traditionnelle peut accepter, mais je suis incapable de résister et il semblerait qu’elle soit dans le même état que moi. Nous cassons les codes et c’est tellement excitant.

Sous l'emprise d'un désir insatiable, mes lèvres se déplacent avec une passion vorace sur le sexe d'Allan, le savourant avec la faim d'une femme en manque de passion. Pendant ce temps, il embrasse avec fougue et doigte avec vigueur ma délicieuse colocataire, l'entraînant dans un tourbillon de sensations intenses. Chaque palpitation de plaisir sous ma langue est un témoin silencieux de l'intensité de son désir, une flamme qui monte en lui et ne demande qu'à exploser. Les mots d’Amy raisonnent dans les oreilles, cinglent l’air avec une violence rare. «Je te veux» Se sont ses mots. Mon coeur manque un battement quand c’est au fond tout ce que je voulais entendre, ils sont le déclic qui me manquait pour m’abandonner totalement. A Elle. A Lui. A Eux.

Les doigts délicats d'Amy, qui dansent entre mes cuisses, sont des caresses divines, éveillant en moi un plaisir d'une intensité étourdissante. Son toucher apporte une énergie qui rayonne à travers moi, créant une vague de sensations inoubliables. Chaque mouvement, chaque frôlement, éveille un frisson qui parcourt mon corps, rendant chaque moment indissociable de l'autre. Nos corps, enlacés dans une danse de passion, ne forment plus qu'un, reliés et animés par un désir assourdissant qui résonne entre nous comme un écho. Prise dans cette étreinte passionnée, je finis par délaisser le sexe bandé de notre ami pour venir dévorer ses lèvres ensorcelantes. Son goût me consume, éveillant en moi une faim insatiable. Je la veux, je la désire avec une ardeur folle, un besoin viscéral qui se manifeste par un désir brûlant.

Nos langues se mêlent et dansent passionnément l'une contre l'autre, créant une intimité palpable qui remplit l'air. Allan, témoin de cette danse sensuelle, ne perd pas une seconde du spectacle que nous lui offrons. La vision que nous lui présentons semble avoir un impact considérable sur lui, comme en témoignent ses expressions et ses réactions.Ils nous caressent avec une tendresse qui contraste avec la façon dont ils agrippent ma tignasse, une fois le baiser passionné rompu. Ils m'incitent à reprendre mon travail en cours avec une évidente autorité. Hum, monsieur est décidément très directif. J'aime cette audace, ce côté commandant qui me fait frissonner d'anticipation. Je le suce avec dévotion, le pompe avec un appétit insatiable, agissant comme une véritable chienne en chaleur qui n'a qu'un seul objectif en tête : le satisfaire jusqu'à l'ultime seconde. Je continue jusqu'à ce qu'il atteigne le sommet du plaisir, jusqu'à ce qu'il jouisse avec une intensité palpable et déverse son foutre chaud et enivrant au fond de ma gorge.

Je lèche mes lèvres avec soin et délectation, ne voulant pas gaspiller une seule goutte de ce nectar divin, aussi doux et précieux que l'ambroisie des dieux. En un mouvement fluide et délibéré, je me positionne à califourchon sur ses genoux. Lui offrant ma poitrine en pâture, une invitation silencieuse et sensuelle, tout en laissant mon dévolu déferler sans retenue sur Amy, avec une passion débordante et un désir insatiable. Ses doigts puis sa langue malmène mes pointes, m’arrachant une farandole de gémissements sonores. Oh putain !! C’est tellement bon. Incroyable…. étourdissant… c’est tellement… tellement… merde j’en perds mes mots. Elle me rend folle. Bon ok, je suis folle de base, mais là, c'est carrément une autre dimension. Mes doigts entre ses cuisses cherchent à lui procurer autant de plaisir qu’elle m’en donne. Plus. Je veux lui en donner plus. Non, en faite je veux tout lui donner, lui offrir des sensations uniques et inédites, je veux l’entendre gémir et crier mon non. Putain oui, c'est ça que je veux. La manière dont elle susurre doucement mon prénom dans l'air, de cette façon si particulière qui ne lui appartient qu'à elle, me donne des frissons qui traversent mon corps comme une vague. Je plonge mes iris dans les siens, me perdant dans le mystère de ses yeux, la dévorant d’une passion sauvage et intense qui consume chaque fibre de mon être. Je la fixe, les yeux brillants d’un désir sauvage et incontournable, un feu qui brûle avec une intensité insoutenable alors que mes doigts redoublent d’ardeur. Ils dansent et jouent contre son bouton de plaisir, cherchant à la pousser au sommet de l'extase, à la faire exploser dans un crescendo de sensation. Son visage déformé par son plaisir, chaque trait amplifié par l'intensité de son expérience, est magnifique. C'est une perle rare et unique, un tableau d'une beauté exquise.

« Tu me rends folle putain !! Je crois que tu n’a pas idée à quel point je te veux là tout de suite… »

Un baiser, pas juste un simple baiser, mais un baiser plein de passion qui consume tout sur son passage, accompagné d'un sourire ravageur qui pourrait faire fondre le cœur le plus froid. Elle veut s'occuper de moi ? L'idée seule fait naître en moi une impatience et une envie tellement intenses qu'elles semblent bouillonner, comme une lave en ébullition, sous chaque pore de ma peau. L'anticipation de ce qui pourrait arriver rend chaque seconde qui passe plus excitante que la précédente.

Le taxi s'arrête avec une précision admirable au pied de l’immeuble. La nuit est paisible, silencieuse, et semble retenir son souffle en nous observant. On paie le tarif affiché, et, sans même prendre le temps de faire un signe de tête en guise de remerciement, nous nous précipitons hors de la voiture. L’impatience et l’envie sont plus que palpable entre nous, elles sont une force irrésistible qui nous pousse les uns vers les autres. Pendant qu’Amy, tremblante d'excitation, déverrouille notre porte avec des mains légèrement tremblantes, Allan m’a plaquée contre le mur de l'entrée. En une seconde, sa langue a envahi ma bouche, explorant chaque recoin avec une ferveur sauvage. Il bouillonne d'envie, son désir est évident dans la façon dont son corps réagit . Il est déjà aussi dur que la pierre, un témoignage silencieux de l'attraction magnétique qui existe entre nous trois.

Nous nous engouffrons à l’intérieur. Je ne pense pas que mon corps ait quitté celui d'Allan, même pour un instant. Il m'embrasse toujours avec la même passion, la même ferveur, comme si chaque baiser était notre premier et notre dernier. Dans un mouvement presque rageur, je me débarrasse de mes talons, les envoyant voler à travers la pièce. Allan, toujours attentif, délaisse momentanément mes lèvres pour embrasser Amy avec une affection égale. Il revient ensuite à moi, me faisant frissonner de désir. Mon cœur manque un battement, presque comme si le temps lui-même avait cessé, quand Amy tombe à genoux entre mes cuisses. Oh merde !!Instinctivement, dans un élan d'abandon total, j'écarte les cuisses pour laisser sa langue experte faire son oeuvre. Chaque mouvement exquis m'arrache des gémissements qui sont étouffés par les baisers passionnés et dévorants de notre ami. Je me sens fondre, fondre de plaisir intense, fondre d’un désir brûlant qui me consume. Ils me transportent, comme sur un nuage, dans les brumes d’un plaisir incroyable, inimaginable. Je me laisse aller, je me laisse porter par la vague de sensations qui déferle sur moi. Tout en embrassant l’un avec une passion débordante, je caresse doucement les cheveux et la peau soyeuse de mon amie, savourant chaque instant de cette expérience enivrante.

« Oh Amy… »

Je gémis son nom contre les lèvres de notre amant du soir. Mon plaisir monte crescendo, une symphonie de sensations qui s'intensifie à chaque battement de mon cœur. Mon corps brûlant tremble, une danse de passion et de désir, et mon bassin ondule rythmiquement contre ses lippes, cherchant plus de ce doux contact. Je m’offre à elle, à lui, sans retenue, sans hésitation, m'abandonnant complètement à cet instant de pur abandon. Je laisse les vagues du plaisir me consumer, chaque frisson, chaque soupir, chaque toucher attisant le feu qui me dévore de l'intérieur. Allan a fait voler mon haut, extirpant ma poitrine de son carcan de tissus pour la malaxer et la dévorer. L’une de mes mains caresses la tête de ma délicieuse coloc pendant que la seconde défait le pantalon d’Allan pour le caresser.

@Amalia Cavanna  

Pando

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--OutFit-- L’habitacle de ce taxi est bien trop étroit, bien trop chargé de votre désir. Il pourrait s’embraser avec son conducteur n’y comprenant strictement rien. Victoria a toujours été un pilier de ta vie, une femme sans qui tu ne te serais probablement jamais relevé, malgré l’affection que tu possèdes pour ton frère, ton courage à te relever de tes erreurs passées c’est Vic’ qui te l’a insufflé. Cette fille est indispensable à ta vie, à ton équilibre. Et pourtant ce soir, tu es en train de la consumer, de la dévorer comme tu le ferais à n’importe laquelle de tes conquêtes. N’importe laquelle ? Non ! Tu la dévores avec bien plus d’appétit, bien plus de sensualité et de puissance. Quelque chose en toi est fou d’elle et refuse qu’elle puisse y être indifférente ou résistante. Allan l’homme qui vous accompagne ce soir n’est que la cerise sur le gâteau, et la queue que vous permettra d’en jouir plus fort. Allan subit la fellation la plus divine semble-t-il de sa vie. Il semble saisit d’une excitation folle et regardait avec quelle autorité il commande le rythme de ton ami sur son pieu te rend encore plus enthousiaste quant à la suite. Qui aurait cru qu’il était le parfait dominant pour deux tigresses comme vous l’êtes ? Tu sens la pression de ces doigts contre ton entre, contre ton clitoris qui pulse à les regarder faire. Le voir jouir à cause de la bouche de ton amie, te fait manquer un battement. Tu attrapes la bouche de votre compagnon de baise pour étouffer ces cris et assouvir son besoin ultime d’attention pendant son extase. Ok… Avouons qu’il est doué. Les doigts de ton amie rejoignent ceux d’Allan alors que Vic son travail accomplie vient de le chevaucher pour qu’il s’applique à lui dévorer le buste. La vision érotique qu’ils produisent est sans nul doute ce que tu as connu de plus divin. Ton sexe pulse plus fort et ton regard ne fixe l’espace d’un instant qu’elle. Bordel, tu veux la gouter, tu veux la dévorer, la faire succomber aussi salement que tes pulsions l’exigent. Tes traits se déforment tu es à l’agonie contre ces doigts qui te masturbent avec expertise. Tu veux la sentir contre toi, tu veux sentir son corps, tout son corps contre le tien. Alors ce prélude s’arrête lorsque le taxi se gare. Tu règles le taxi et accompagne rapidement tes partenaires à la maison. A l’instant précis, tu te moques de ce qui est bien ou mal, que tu envisages de te taper deux personnes à la fois. Qui n’en voudrait pas ? Tu déverrouilles maladroitement la porte, tremblante à les voir se jeter l’un sur l’autre. Rapidement vous pénétrez votre appartement et tu verrouilles la porte alors qu’Allan attrape ta nuque brusquement pour t’embrasser avec une chaleur et une vigueur folle. Tu gémis contre sa bouche, caressant son corps avant qu’il ne revienne à Vic et que tu retires tes talons. Tu te mets à l’aise retirant une partie de tes vêtements avant de glisser à genoux entre les corps de tes partenaires. Allan s’est empressé de se recouvrir mais rien n’a été refermé alors tu t’occupes de lui dénouer le reste de son pantalon avant de te tourner vers Vic et te glisser sous sa jupe en attrapant ces cuisses à pleine main. Vic n’a besoin d’aucune préparation elle a mouiller son sous vêtement depuis bien trop longtemps sans que son intimité n’est tout bonnement l’attention qu’elle mérite. Alors le plat de ta langue vient se plaquer contre ces lèvres ouvertes et tu aspires sensuellement son bouton de chaire. Son goût est succulent, son intimité douce à souhait. Tu t’en délectes, laissant ta langue la découvrir, l’effeuiller, la dévorer. Tu entends ces gémissements, ressent ces crispations et tu serres plus fort ta prise sur sa taille. Elle gémit ton prénom et tu te sens reprendre en vigueur. Son bassin cherche à onduler et tu grognes en mouvant ta bouche plus fort contre elle. Elle est à deux doigts de gémir pour toi et tu veux l’entendre, fort et intensément. Allan dénude ton amie et tu souris en levant les yeux vers elle pour la regarder alors que l’orgasme se pointe et tire ses pointes sensibles vers votre partenaire. Elle est divine à regarder et tu sens ton entre jambe pulser fort à ce spectacle. Tu termines de l’embrasser avec douceur une fois la tempête passée, et te relève, venant prendre la bouche d’Allan alors que tes doigts s’enroulent autour de ceux de Vic. Tu laisses Allan gouter le parfum de ton amie sur ta bouche alors que tu diriges de nouveau la main de Victoria contre ton entre jambe. Tu l’as laisse deviner à quel point tu es en feu. Tu as envie d’eux tellement fort. Tu te recules doucement, vous êtes toujours dans le hall de l’appartement et il est temps que vous regagnez un endroit plus cossy. Tu glisses tes mains dans ton dos, retirant la fermeture maintenant ta robe et la laisse tomber au sol sous leurs yeux. D’un geste de ton index tu leurs indique de te suivre avant que tu ne disparaisses dans la pièce principale et rejoigne le fauteuil. T’y asseyant en les regardant tout les deux, tu écartes doucement tes cuisses encore couvertes de ta petite culotte de dentelle. Tu leurs souris en t’affaissant un peu et en venant te toucher à même leurs regards cherchant à les rendre tout bonnement fou de désir pour toi. - Vous n’avez pas idée comme j’ai envie de vous deux.

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OUtfit -- Une chaleur intense a commencé à monter dans l'habitacle du taxi, rendant l'atmosphère ardente et presque suffocante. C’est comme si un feu invisible été allumé, alimenté par les émotions brutes et le désir palpitant qui m’envahissent de toutes parts, me laissant étourdi. C’est une sensation si intense, si déroutante, que cela en devient presque insoutenable. C'était comme si je perdais tout contrôle sur la situation, et pourtant, c’est d'une manière étrange, tout à fait extraordinaire. Est-ce à cause d'elle ou de lui ? Non, ce n’est pas simplement une question de qui, mais plutôt la complexité de l'interaction entre nous tous qui rends cette situation incroyablement excitante. C’est elle qui me caresse, dont la douceur de la touche enflamme ma peau, et lui qui semble perdu, tiraillé entre Amy et moi, ne sachant réellement ou donner de la tête.

Perdue dans un océan de tension, naviguant entre leurs corps harmonieux, la douceur de leurs caresses évoquant la plus fine des soies, et la chaleur voluptueuse de leurs baisers, je me perds dans un dédale de sensations et m’abandonne totalement à cette marée de désir. Une seule certitude s’impose à mon esprit, claire comme une étoile dans la nuit : Je la veux. Ici. Maintenant. Immédiatement. Je veux être témoin de ses gémissements, ces douces mélodies de plaisir, et sentir la chaleur brûlante de son corps trembler contre le mien dans une danse primitive. Soudain, le taxi s’arrête nettement, comme un acteur oubliant son texte, nous ramenant tous les trois brutalement à la réalité. Momentanément du moins, car après avoir réglé le chauffeur, nous montons à vive allure dans notre refuge pour poursuivre cette symphonie de passion que nous avons si bien commencée. Dans ce nouvel espace, plus grand et plus intime, tout est parfaitement aligné pour une nuit ardente et sauvage, une nuit où toutes les règles sont brisées et tous les désirs satisfaits.

La porte se referme derrière nous avec un claquement ferme et résonnant, un son qui semble annoncer le début d'un nouveau round dans cette danse de séduction. Nous sommes à peine entrés, que je me débarrasse à la hâte de mes talons, ces instruments de torture élégante. Pendant ce temps, Allan, pris dans une faim de passion, dévore les lèvres de ma douce et belle amie. Alors que cette scène se déroule devant moi, je prends le temps de dézipper lentement ma robe. La chute délicate du tissu sur le sol dévoile les courbes harmonieuses de mon corps, qui n'est vêtu que d'une fine dentelle claire. L'excitation qui me traverse est indescriptible, comme si chaque fibre de mon être vibrait d'une énergie sans précédent. Quand Amy, cette déesse des sensations, se déplace avec un mélange de douceur et de détermination pour se positionner entre mes cuisses, mon cœur bat la chamade. Elle vient flatter mon intimité avec sa langue, un geste aussi audacieux que passionné. A ce moment, je sens une vague de plaisir si intense que je manque presque de défaillir, submergée par cette expérience à la fois délicieusement écrasante et incroyablement libératrice. Mes doigts, avides et désireux, s'enroulent dans sa chevelure brune, lisse comme de la soie, la guidant instinctivement dans ses mouvements intrépides. Pendant ce temps, Allan, avec une passion sans pareille, vient dompter ma langue avec la sienne, dans un ballet sensuel et enivrant. Ses baisers, tendres et ardents, étouffent habilement mes gémissements de plaisir, transformant chaque son en un murmure silencieux qui se perd dans l'air. Il me cloue ainsi délicieusement au silence.

Entre deux baisers passionnés, c'est son prénom que je susurre doucement, comme une prière qui se perd dans l'écho de la nuit. Mon bassin ondule contre ses lèvres, cherchant toujours davantage, toujours plus... plus d'elle, plus de cette intimité partagée. Allan, avec une délicatesse infinie, me débarrasse de la dernière barrière de tissus qui emprisonnait ma poitrine. Ainsi, je suis à présent entièrement nue, vulnérable et ouverte, livrée à ses deux âmes brûlantes et sauvages. Prise entre ces deux feux ardents, je prends un plaisir inégalé, un plaisir que je n'ai jamais connu auparavant. Mon entrejambe pulse d'anticipation contre sa langue exploratrice, chaque mouvement envoyant des ondes de plaisir à travers tout mon corps. Je grogne lorsque la langue chaude et persistante de mon amie finit par me délaisser, laissant une impression de fraîcheur qui est à la fois frustrante et exaltante. Alors qu'elle se relève, uen envie folle me domine. Sans perdre une seconde, je viens l’embrasser à pleine bouche, savourant mon propre plaisir qui se mélange à son goût unique, à même ses lèvres douces et accueillantes.

Lorsqu'elle défait lentement sa robe, révélant chaque centimètre de son corps magnifiquement dessiné et ses courbes ensorcelantes, je suis hypnotisé. Elle nous guide, avec un charme irrésistible, jusque dans la pièce principale. La voir assise sur ce fauteuil antique, éclairée par la lueur tamisée de la pièce, en train de se caresser avec une telle sensualité, c'est une vision qui embrase mon corps instantanément. Mes lèvres s'entrouvrent légèrement, comme si elles cherchaient l'air qui semble soudainement manquer dans la pièce, et mon cœur se met à battre à une vitesse affolante, martelant la cadence de mon désir. Je la veux. Je la veux tellement. Hypnotisé par son corps de déesse, je m'approche lentement d'elle, chaque pas amplifiant mon anticipation. Mes doigts, tremblants mais déterminés, agrippent ma culotte en dentelle délicate et la laissent glisser le long de mes cuisses. Je suis maintenant totalement nue, et je tombe à quatre pattes devant elle. Mes doigts agrippent alors le tissu de son dessous, et je m'empresse de l'en débarrasser, désireuse de révéler la beauté qui se cache en dessous.

Mon petit cul, tendu et prêt, reste orienté vers Allan qui se positionne délicatement derrière moi. Pendant ce temps, ma langue, curieuse et audacieuse, commence à explorer l'intimité de mon amie, une intimité qui brille d'envie et de désir non dissimulé. Un couinement surprise me surprend, m'échappant presque involontairement, quand Allan, dans un geste emprunt d’une certaine domination, vient claquer mon cul. La sensation est vive, presque brûlante, faisant rougir ma peau pâle d'un rouge éclatant qui contraste avec sa blancheur habituelle.

« Cris pour moi… pour nous…»

Je souffle doucement ses paroles contre son intimité, qui bat d'un désir irrépressible. Ma langue, devenant de plus en plus inquisitrice et audacieuse, explore ses profondeurs les plus secrètes. Consumé par un désir sauvage, je veux la dévorer complètement et sentir son jouissance contre ma langue. Je veux me délecter de son plaisir, m’en abreuver jusqu'à ce que je sois complètement rassasié.

Un couinement à peine audible m’échappe quand Allan s’enfonce en moi, me prenant avec une force et une vigueur qui défie toute description. Chaque poussée me fait frissonner de plaisir, alors que je continue à la dévorer avec une passion virulente. Mes gémissements étouffés résonnent contre son intimité, tandis que ma langue vient jouer, cajoler son bouton de plaisir, explorant chaque recoin de sa douceur.

Mes doigts la pénètrent, la prenant avec la même intensité, la même fougue que celle que notre amant de la nuit m'offre. Chaque poussée de mes doigts la fait frémir de plaisir, et je peux sentir son corps répondre à chaque mouvement, chaque toucher. Cette nuit, nous ne sommes que pur plaisir, pure passion, et je n'aurais pas voulu qu'il en soit autrement.

@Amalia Cavanna  

Pando

❝ Que les jeux commencent ❞ - Reyna Hazan &   @Victoria Parks  - Avec elle, et sans négociation. Ca sera toujours elle et toi contre le monde

   

--OutFit-- Tu n’as jamais tenté quelque chose d’aussi dingue. Victoria c’est ton amie, ta sœur dans bien des circonstances. Celle que tu ne pourrais clairement abandonner sous aucun prétexte, celle que tu ne peux définitivement pas perdre. Entre vous, un lien indéfectible, un lien unique et impossible à briser. Pourtant ce soir vous passez un cap. Votre complicité s’exprime via une émotion que vous n’avez strictement jamais partagée, celle de la passion, de la sensualité et du désir. Victoria est d’une beauté incroyable, d’un tempérament volcaniquement séduisant, et d’un charme fou, mais tu ne t’es strictement jamais aventuré à penser à des désirs aussi intenses avec elle, avant ce soir. Bordel, en imaginant ce plan à trois tu n’as jamais pensé que ça serait aussi chaud, que voir ta meilleure amie sucer la queue d’un mec t’allumerait autant. Que ton envie de la toucher te dévorerait jusqu’à la moelle. Tu t’es dis que ta folie atteindrait sans doute à un instant la limite où tu reviendrais à toi, mais ça n’est jamais venu. A chaque fois que Vic’ soupire, te touche, t’embrasse où te caresse ton esprit se met à vriller. Pire quand tu vois avec quelle excitation vous nourrissez Allan, à quel point il bande pour vous deux, et comme son regard semble fou de désir, tu signes ta déraison. Tu as cessé de réfléchir, ces deux personnes sont les seules choses à laquelle tu es en mesure de penser. Tu veux les voir se perdre, ne plus savoir qui touche qui, ne plus être en capacité de réfléchir à autre chose que le plaisir que chacun prend en étant tous les trois. Vous regagnez l’appartement, après un trajet des plus bouillonnants dans ce taxi. Si la température avait méchamment grimpé, ce n’est rien comparé à la vibration de vos âmes en pénétrant l’appartement. Incapable de te détacher du spectacle qu’Allan et Victoria te donne, tu les regardes s’embrasser, se presser l’un contre l’autre avec une intensité qui te fait frémir à chaque souffle de leurs bouches l’une contre l’autre. C’est exactement ce qui te pousse à rejoindre le corps de Vic’, de t’agenouiller et de venir l’embrasser à l’endroit le plus sensible de son anatomie. Tu l’abandonnes parfois, pour venir goûter la verge d’Allan qui te réclame elle aussi, et qui le fait au travers une rigidité très attrayante. Lorsque tu abandonnes l’un, tes doigts viennent prendre le relais de tes lèvres sur l’autre. Tu veux être présente pour eux deux, tu veux les dévorer, faire en sorte que leurs esprits ne peuvent plus penser à rien d’autre qu’à cet instant totalement fou. Faut voir avec quelle sensualité les gémissements de Vic sont étouffés par les lèvres d’Allan. Ensemble, ils forment une harmonie parfaite où grognements et gémissements dessinent à tes oreilles la plus belle composition musicale. Ta langue vient couvrir de tout son plat, l’intimité de Victoria et tu lis l’annonce d’un orgasme qui s’apprête à éclore. Ton sourire s’élargit contre son entre jambe alors que tes yeux la regarde elle, essoufflée, à bout de souffle. Ta main libre vient s’agripper à sa fesse, tu la presse d’une force sensuelle pour que son bassin se colle plus fort à toi. Ta langue fouille lentement son anatomie jusqu’à trouver le point qui la fera perdre toute notion de retenue. Et brusquement quelques petits mouvements suffiront à la voir chuter. La vision de ton amie qui s’abandonne a quelque chose de tellement fou et tellement intense que tu te sens obligée de te toucher, de ne plus rester là les genoux écartés et l’intimité tellement sensible qu’elle te fait mal. Tu lui frappes doucement la croupe, t’apprêtant à t’écarter alors que Victoria t’attrape et vient se saisir de ta bouche, t’arrachant un gémissement incontrôlé à l’instant même où elle prend le pouvoir. Tu te déshabilles à la hâte mais tout en restant sensuelle, te reculant du couple qui te regarde et que tu désires continuellement charmer. Rejoignant le petit fauteuil cosy de votre salon, tu continues de déposer ton regard sur l’homme et la femme qui font naître des envies de folles sensations en toi, tout en te caressant de tes doigts. Tu vois Allan serrer la mâchoire, se retenant de te sauter dessus si tu en crois la noirceur de ses iris, quant à Vic, elle semble avoir du mal à retrouver l’air dans ces poumons. Tu laisses sensuellement ta tête partir vers l’arrière en touchant des zones plus sensibles de ton corps et en voyant Vic’ s’approcher. Tu inspires fort alors qu’elle vient te retirer ta culotte de dentelle, à quatre pattes là devant toi. Allan approche se positionne derrière le fessier de Vic et soudainement tu sens la bouche chaude de ton amie venir à la place de tes doigts pour échauffer et consumer la tension qui règne entre tes jambes. - Oh bordel Vic… Ton corps se tend instantanément et tu sens ta peau victime d’une chaire de poule folle. Tes doigts viennent s’enrouler au travers de quelques mèches folles que tu tritures de tes phalanges. Une fessée s’abat sur la croupe de Vic la faisant couiner contre ton intimité alors que tu regardes Allan et que tu abandonnes un soupire amuser à son geste. Victoria te demande de crier pour nous avant de mettre bien plus d’ardeur dans sa manière de t’embrasser. Tu abandonnes un soupire plus bruyant alors que ton dos s’arque à ces caresses. Tes yeux sont rivés dans ceux d’Allan alors qu’il vient s’enfoncer fort dans l’intimité de Vic. Tu abandonnes un cri comme si c’était lui qui venait de te prendre. Il te regarde droit dans les yeux alors que ton amie qu’il baise. Tu sens la bouche de Vic te faire monter encore et encore et tes doigts raffermissent leurs prises dans ces cheveux. Elle te demande de jouir et tu es à deux doigts de lui obéir sur le champ. Les doigts de Vic entrent en jeu et soudainement tu ne sais plus tout où se trouve le Nord, qui tu es, et ce que tu veux. Tu te mets à supplier, à sentir ton contrôle t’échapper et brusquement tu bascules, ton intimité envoyant une décharge électrique au travers de chacune de tes cellules, obligeant ton corps à se contorsionner et à spasmer fort de l’excitation qui t’anime. Le moment est tout simplement fou, intense et d’une beauté inqualifiable. Tu sens la bouche de Victoria continuer ces caresses de manière plus douces, alors que lentement tu te redresses et vient chercher la bouche d’Allan, tes dents venant mordre sa lèvre inférieure avec vigueur pendant que son bassin claque celui de ton amie.

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OUtfit -- Avec Amy nous franchissons une limite ce soir, décalant les frontières de notre grande et belle amitié. C’est dingue oui, mais je n’imagine pas un seul instant que ça puisse changer quelque chose entre nous. Nous nous connaissons l’une l’autre par cœur, nous nous comprenons en un seul regard et dans des sphères plus intimes cette symbiose est magnifique. Ce soir, nous nous découvrons sous un nouveau jour, celui de la passion et d’un désir colossal. Amy est une femme magnifique, mais c’est pourtant la première fois que je dépose sur elle ce regard plein d’un désir sans bornes. Jamais j’aurais imaginé avoir à ce point envie d’elle, de la toucher, la caresser, l’embrasser, et ses gémissements… mon Dieu qu’ils sont mélodieux, je pourrais m’en abreuver des nuits entières.

Allan a tiré le ticket gagnant, coincé entre nous il passe sans aucun doute une des meilleures nuits de sa vie. À condition qu’il tienne la distance, mais pour l’instant je dirais qu’il s’en sort parfaitement bien. Après un trajet ardent dans le taxi, nous poursuivons l’expérience chez nous, dans l’intimité tamisée de l’appartement.À peine la porte se referme-t-elle dans un écho doux que je me retrouve capturée entre les lèvres dévorantes d’Allan et celle d’Amy, qui manœuvre avec une dextérité experte contre mon intimité. C'est une sensation si intense, si incroyablement délicieuse... j'ai l'impression que chacune de mes cellules, chaque fibre de mon être s'enflamme en réponse à leur toucher. Les lèvres d'Allan, persistantes et affamées, étouffent chaque gémissement qui menace de franchir la frontière de mes lèvres, transformant chaque son en un murmure silencieux de pur plaisir. Sa manière de me clouer au silence, de s'abreuver si avidement du plaisir que Amy me procure avec ses doigts experts, est étourdissante, me faisant perdre tout sens de la réalité. Sa langue habile me conduit à la jouissance, l’explosion de mes sens est spectaculaire, d’une intensité folle. Mon intimité s’anime et palpite contre sa langue qui me torture encore. Je coule sur elle un regard plein de passion, d’une promesse silencieuse pour une nuit ardente à venir.

Ma main se referme fermement sur sa chevelure brune, dense et soyeuse, l’empêchant de s’éloigner, créant un lien physique entre nous avant que je puisse goûter à mon plaisir intense à même ses lèvres tentantes. Je la dévore sans retenue, l’embrasse avec une passion dévorante, laissant ma langue audacieuse forcer le barrage de ses lèvres délicates pour danser fougueusement avec sa jumelle. Un ballet intime et passionné. Puis, dans un souffle, je la libère, mais sans pour autant la lâcher des yeux, je suis totalement hypnotisée par la finesse, la grâce et la volupté de sa silhouette parfaitement dessinée.

Je la regarde se caresser doucement dans le fauteuil confortable et cosy du salon, son corps se mouvant avec une sensualité naturelle. Sa gestuelle sensuelle est comme une invitation silencieuse, une danse muette qui me charme et m'attire. Je m’avance vers elle comme hypnotisée, attirée par cette allure sensuelle qui me fascine tant. Allan, s’avance dans mon sillage, observant avec intérêt mon comportement, me regardant m’agenouiller devant elle avec une évidente envie et lui enlever délicatement la dernière barrière de tissu me séparant de l'objet de mon désir.

A quatre pattes devant elle, je m'agenouille doucement, écartant délicatement ses cuisses pour avoir un accès complet à son intimité. Je me penche pour venir embrasser son intimité, la dévorer de baisers insatiables qui ne demandent qu'à la satisfaire. Avec une passion inégalée, je cajole, suce et aspire son clitoris, chaque mouvement précis et délibéré avec comme seul et unique but de la sentir défaillir sous la vague de plaisir. Pendant ce temps, Allan se plante en moi, me prenant avec une vigueur folle qui ne fait qu'augmenter mon propre désir. Chacun de mes gémissements, mes cris de plaisir, se répercutent et se meurent contre l’intimité d’Amy, créant une symphonie de sensations qui nous submergent tous les trois.

Les doigts délicats de mon amie se serrent fermement autour de ma chevelure, m'incitant à me livrer entièrement à elle. Aucune forme de retenue n'existe plus entre nous, nous nous abandonnons les uns aux autres, guidés uniquement par le plaisir mutuel qui nous unit pour une nuit. Cette liaison est si étroite, si intense, qu'elle semble à peine réelle. Mon souffle, chaleureux et haletant, se meurt contre son intimité, lorsque je lui murmure, dans un souffle presque inaudible, de crier pour nous. Je veux la sentir atteindre le sommet du plaisir sous les attentions délicates et expertes de ma langue, je veux sentir son intimité palpiter et frissonner contre mes lèvres.

Lorsque je relève mon regard pour l'observer, je suis enchanté par l'intensité émouvante avec laquelle elle fixe Allan. Allan, qui me possède avec une vigueur et une passion débridées. Mes doigts se joignent à ma langue dans une danse érotique, cherchant à provoquer en elle un plaisir ultime. Mon seul objectif, ma seule pensée, est sa jouissance. Je sens ma propre extase monter en moi, alimentée par les coups de rein puissants et libérateurs de notre amant commun. Allan laisse échapper des grognements de satisfaction, ponctuant par moment notre étreinte d'une claque sur ma croupe qui me fait pousser un cri de surprise. Une chaleur délicieuse rayonne de mon centre et se propage dans chacune des fibres de mon être, me laissant pantelant et désorienté. Je perds la notion du temps et de l'espace, emporté par le tumulte de nos passions enchevêtrées. Ma respiration devient plus courte, plus laborieuse, alors que je lutte pour garder une prise sur la réalité face à l'intensité de notre plaisir partagé. Et puis, c'est comme un feu d'artifice dans tous mes sens, une onde de plaisir intense m'envahit, secouant mon corps dans des spasmes de délice pur. Je lève les yeux vers elle, mon regard brûlant d'intensité, et voir son plaisir exploser à son tour, sous l'assaut de ma langue, est un spectacle délicieux. Je renforce mon emprise sur elle, enroulant fermement mes bras autour de ses cuisses délicates, la fouillant de ma langue avec une passion sans retenue jusqu'à ce que l'intensité devienne trop grande pour elle. C'est un moment d'intimité partagée, un échange de sensations et d'émotions qui nous unissent dans l'épaisseur de la nuit.

Le rythme effréné des coups de rein d'Allan commence à ralentir, chaque mouvement devenant plus délibéré, plus mesuré, jusqu'à ce qu'il s'arrête complètement. Il agrippe délicatement le visage d'Amy avec une intensité silencieuse, l'attirant avec assurance contre lui. Ses lèvres trouvent les siennes dans une danse passionnée, un baiser dévorant qui l'oblige à se relever. Pendant ce temps, je me redresse à mon tour, me positionnant délicatement derrière elle. Mes lèvres trouvent le doux creux de sa nuque, déposant des baisers légers comme des plumes. Mon regard, à la dérive, croise celui d'Allan. Son expression est celle d'un homme dévoré par l'envie, un désir palpable qui semble irradier de lui.

« Je crois qu’il a très envie de te goûter à son tour… et te dévorer. »

Un sourire amusé se dessine sur mes lèvres, éclatant dans la pièce, lorsque je donne une petite tape sur les fesses d'Amy. Le son délicieux de sa voix résonne dans tout l'appartement, faisant vibrer les murs de notre sanctuaire privé. Mes doigts tracent un chemin langoureux sur le plat de son ventre, remontant lentement jusqu'à sa poitrine. Là, je prends le temps d'apprécier chaque courbe, massant délicieusement chaque millimètre de sa peau douce et soyeuse.

« Quoi de plus normal… tu es tellement délicieuse Amy…»

Je saisis doucement la nuque d'Allan avec une passion débordante, l'attirant vers moi pour l'embrasser. Un baiser, comme une promesse silencieuse échangée entre nous. Dans ce moment d'intimité, je partage avec lui le goût délicieux et enivrant de ma belle brune, une saveur qui, j'en suis sûr fais qu’attiser sa gourmandise.

@Amalia Cavanna  

Pando

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--OutFit-- Tu aurais bien du mal à décrire ce qui se passe ce soir dans ta tête, ou dans celle de Vic’. La seule certitude que tu possèdes c’est qu’en vous quelque chose s’est éveillée, quelque chose de fulgurant et de spontanée, une envie irrépressible et d’une puissance telle qu’elle n’est pas canalisable. Entre les bras d’un jeune homme qui vous accompagne à merveille comme le veinard le plus chanceux du monde, c’est un perpétuel jeu de séduction qui se déroule au gré des minutes passantes. Un moment suspendu dans le temps et en dehors de toute raison, où l’alchimie de ce trio prend vie. Victoria est certes ta meilleure amie, celle sans qui tu doutes t’être relevé un jour de ta plus précieuse histoire d’amour. Mais c’est également une femme d’une beauté divine, une créature affichant des formes depuis toujours d’une perfection unique. En vivant avec elle, tu n’as pourtant jamais fantasmé sur son être, malgré les nombreuses fois où l’une ou l’autre vous avez pu être dénudée. Elle a toujours été plus proche d’une sœur pour toi que d’une amie en réalité, et être nue devant elle ne semblait absolument pas déplacée. A l’instant présent tu te demandes comment tu as pu faire pour ne pas la désirer bien avant. Outre son enveloppe charnelle sans défaut, il y a aussi son regard, son goût, son parfum. Chaque signal émanant d’elle te semble être un appel à céder à tes pulsions. Mais il y a pire à présent. Tu connais le goût de l’interdit avec elle, l’adrénaline de la pousser dans ces retranchements et la satisfaction de la faire jouir. Un joli mélange de substances addictives pour t’amener à vouloir cruellement que ce genre de choses se renouvellent. Après un moment très sensuel dans le taxi, et des préliminaires on ne peut plus savoureux, c’est le hall de votre logement qui vous accueille tous les trois dans des caresses et baisers ardents. Tu fais plier ton amie pour la première fois à son extase et c’est avec l’envie de rendre aussi fou l’homme que la femme que tu rejoins ce canapé, et t’y dévêti pour t’y masturber sous leurs yeux. Il y a quelque chose de terriblement sensuelle à les voir aussi affamé l’un que l’autre de ton corps. Vic est la première à te rejoindre, en se glissant à quatre pattes entre tes jambes pour venir goûter elle aussi à ce qui n’est ouvertement pas sensé se faire dans une amitié classique. Et le moins que l’on puisse dire c’est que sa bouche est une parfaite arme pour te faire grimper. Des le premier contact ton corps s’électrise et ta tête se penche en arrière, yeux clos pour tenter de te contrôler. Allan vous rejoint et caresse délicatement le dos de ta chere meilleure amie, tout en s’installant derrière son magnifique fessier rebondi. Il croise ton regard et vos iris s’accrochent, ce qu’il peut être excitant à regarder. Il se place devant entre jambe de ton amie et s’y plante durement en ne te quittant pas des yeux et tu es presque certaine d’avoir abandonner un gémissement en même temps que Vic entre tes cuisses. Apposant ta main dans sa crinière blonde, tu presses son visage plus fort contre ton intimité en sentant parfaitement comme le corps de ta déesse blonde est secouée par les assauts du jeune homme. Tu fixes Allan et sent ta bouche devenir plus sèche alors que les doigts de Vic viennent rejoindre sa langue entre tes cuisses, elle tente de t’achever et tu le sais. Ta poigne se serre plus fort dans ces cheveux alors que tu susurres. - Plus fort… Prend là avec plus de force. Tu sais que ton amie peut encaisser plus que ça et qu’après un orgasme elle a besoin de plus pour grimper et tu as très envie de jouir contre sa bouche alors qu’elle perdra elle aussi de nouveau pieds. La bouche d’Allan s’ouvre et il grogne en agrippant plus fort la peau des hanches de ta blonde. « Tu as entendu ton amie ma beauté ? » Ces coups deviennent alors bien plus sauvages, ses hanches ondulant avec une dextérité pourtant toujours aussi rigoureuse. Ce mec sait comment baiser une femme et ça te rend palpitante. Sa main vient doucement fesser sa croupe et tu frisonnes de le voir faire. Vic continue de crier contre ton intimité et tu gémis plus fort à ces caresses. Bordel ce qu’ils peuvent te rendre folle tous les deux. Puis soudain le corps de Vic se raidit et le tien prend le même chemin. Vivement ton corps se cambre contre sa bouche, les mains de Vic t’immobilises, et tu grognes fort alors que brutalement l’orgasme explose sur une lapée de ton amie. L’électricité se diffuse à travers tout ton corps en des spasmes délicieusement libérateurs. Allan tient rudement bien l’attaque, et ralenti son rythme sans toujours t’avoir quitté des yeux. Vic’ dit qu’il a l’air de cruellement avoir envie de te goûter et un sourire en coin s’élargit alors que tu susurres d’une voix sensuelle. - Ca tombe bien… Parce que j’ai très envie de le dévorer moi aussi. Allan s’avance et se saisit de tes joues pour te bouffer véritablement les lèvres et ça a le don de te mettre totalement en apnée. Il est divin, et tu ne regrettes absolument pas l’idée de Victoria à l’amener chez vous. D’ailleurs cette dernière se glisse dans ton dos et tu sens son souffle sur ta nuque alors que tu explores chaque courbe de la bouche d’Allan. Tes mains l’agrippent, et descende jusqu’à son pieu de chair toujours au sommet de sa forme. Tu le branles avec vigueur alors que les mains de ton amie dévalent ton corps pour te toucher le ventre, la poitrine, tu gémis contre les lèvres de ton invité en susurrant. - Je vous veux… tout les deux. Victoria attrape délicatement la bouche d’Allan et pendant ce temps tu écartes un peu tes cuisses, guidant toi-même le membre du jeune homme alors qu’il semble apprécier le mouvement au vu de son grognement contre la bouche de ton amie. Délicatement tu l’insères et en une poussée de sa part il te pénètre avec une vigueur déchirante qui t’arrâche un cri de pur désir.

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OUtfit -- Ce n’est pas la première fois qu’Amy et moi nous faisons les quatre cents coups ensemble, mais c’est la première fois que nous franchissons cette limite ensemble. Nous sommes cette fois allé bien au delà de ses défis peut être un peu ridicule que nous nous lançons pour nous amuser. On a ramener ce mec chez nous pour le déguster ensemble et je ne crois pas, c’est une certitude j’ai autant envie de la dévorer elle que lui. Me retrouver entre eux c’est tout bonnement incroyable, mon corps est en feu, animé par un désir d’une ardeur aussi rare que violente.  

Ni elle ni moi cherchons à calmer le jeu ou à nous canaliser. Nous nous connaissons trop bien pour savoir avec certitude que ce n’est tout simplement pas possible. Ca reviendrait à tenter d’arrêter l lave en fusion d’un volcan en éruption. Impossible, notre désir explosera ou détruira tout sur son passage. Nous avons l’habitude de parler de nos expériences, de nos ébats charnelles mais les vivres ensemble, de cette manière c’est aussi nouveau qu’affolant de sensation. Amy c’est ma meilleure amie, c’est celle qui sait tout de moi, celle a qui je partage tous mes secrets, c’est celle qui connait les détails les plus honteux et insignifiant de mon existence. Elle est cette soeur que je n’ai jamais eut. Sans conteste la personne la plus importante de mon existence. Jamais j’avais pensé avec ce soir à la désirer de la sorte, c’est comme si cette soirée était une sorte de révélation. Comme si je la voyais sous un nouvel angle. Pour l’instant ni elle ni moi n’en avons réellement conscience mais nous nous verrons plus jamais de la même manière, il y aura toujours entre nous le souvenir de cette soirée brûlante… Je ne pourrais plus ignorer qu’elle amante remarquable elle peut être.

C’est dans l’intimité de notre appart que nous reprenons nos ébats. L’impatience transpire par absolument tous les pores de ma peau. Je la veux. Je le veux. C’est puissant, sauvage et viscérale. Je dévore avec délice l’intimité de mon amie pendant que notre bel amant me pilonne avec force. Chaque coup de rein m’arrache un couinement que j’étouffe contre les lèvres intimes de cette belle brune à la beauté ensorcelante. Je me laisse aller, je me laisse emporter par la virulence de ses assauts, je me laisse guider par cette main ferme qui m’insite à amplifier mes mouvements. Je laisse cette douce et chaleureuse sensation d’ivresse m’emporter jusqu’à l’orgasme. J’explose en concert avec ma soeur de coeur. Nos cris se mêle et s’emmêlent, criant d’une seule voix notre plaisir partagé. Je suis a bout de souffle quand je laisse mes iris e relever pour plonger dans les siens. Elle est sublime, elle est divine encore sous l’emprise de son propre plaisir.

La verge encore palpitante d’envie d’Allan s’extirpe de son fourreau brulant et palpitant. Il a décidément une belle endurance, il n’a pas encore eut le plaisir de cracher son foutre et maintenant c’est en elle qui veut se fondre. C’est elle qu’il veut posséder jusqu’à la sentir défaillir et je le comprends, j’ai encore le goût de son plaisir sur les lèvres, mais ça ne me suffis pas. J’ai encore faim d’elle. Insatiable… Impatiente… je ne sais clairement pas ou j’en sais. La seule chose dont je suis certaine c’est que ce nous sommes loin d’en avoir terminé. Cette nuit brûlante fait que commencer. Lentement je me redresse, je viens embrasser Amy langoureusement avant de venir me glisser dans son dos, laissant mes doigts courrir sur son corps aux courbes affolantes. Je la caresse, l’attise, mon regard vissé dans celui d’Allan qui approche et se glisse en elle.

Il la prends avec force, se penchant en avant pour l’embrasser elle, puis moi tour à tour, nous offrant un peu plus de lui. Nous aurons raisons de lui, il est endurent certes mais avec nous il finira sur les rotules. L’un de mes mains s’amuse de sa poitrine faisant délicieusement rouler ses tétons entre mon pouce et mon index pendant que la seconde plonge entre ses cuisses se jouant son clitoris pendant qu’il la pilonne de plus en plus sauvagement. Mes lèvres dans sa nuque, je l’embrasse, la mordille plus ou moins intensément. Je m’imprègne de la moindre de ses réactions, le moindre gémissements, cris… frisson.

« Tu es absolument divine… » Je relève ma main se trouvant entre ses cuisses, et viens déposer mes doigts dégoulinant de son propre plaisir contre ses lèvres tremblantes. « Et terriblement…. délicieuse… » Je pousse mes doigts entre ses lèvres, la forçant à se goûter, à sucer mes doigts dans un simulacre brûlant de fellation.

@Amalia Cavanna  

Pando

❝ Que les jeux commencent ❞ - Reyna Hazan &   @Victoria Parks  - Avec elle, et sans négociation. Ca sera toujours elle et toi contre le monde

   

--OutFit-- Il y a de forte chance pour que tu regrettes ce qui se passe à cet instant. Pas parce que tu n’y prends pas plaisir ou que les personnes ici présentes ne soient pas alléchantes bien au contraire. Ce que tu risques de regretter en revanche c’est le fait de franchir des limites avec Vic’. Le fait de potentiellement être capable de mettre en danger votre amitié si fusionnelle. Faire des trucs totalement barrés avec elle, c’est l’histoire même de ta vie. Seulement couchée avec elle, veut dire de prendre le risque que cela puisse changer quelque chose entre vous. Pour le moment, tu es bien trop baignée dans l’instant, dans la puissance d’un désir qui te happe et qui te consume de part en part, mais la descente pourrait être assez vertigineuse. Le moment présent est d’une chaleur indescriptible, chaque geste qu’effectue Victoria te met dans un état inflammable. Chaque prise de votre partenaire de la soirée sur toi, te met au supplice. Tu voues pour ces deux personnes là tout de suite, toute la dévotion dont tu pourrais être capable. Tu sais tous des expériences de Vic’, tu sais ce qu’elle aime qu’on lui fasse, et tu sais ce qu’elle apprécie moins. Tu sais que les roses et le chocolat ont tendance à lui filer de l’urticaire, mais qu’en revanche qu’on la baise avec brusquerie accapare toute son attention. Tout comme toi, Vic’ sait tout ce que tu peux désirer et tout ce que tu détestes. Te concernant c’est un sujet un peu litigieux. Tu aimes qu’on te brutalise oui, mais avec parcimonie. Les traumatismes de ton enfance ont la vie dure et une fessée un peu trop rigoureuse sur la croupe, pourrait tout bonnement pour toi, anéantir toute sensation plaisante.   Le cocon de votre appartement, devient le gardien de cette déchéance de corps dont vous êtes les instigatrices. La bouche de Vic’ te procure des sensations absolument folles, elle s’applique avec tellement de force alors que votre partenaire se charge de l’empaler avec vigueur sur son pieu de chaire. L’érotisme de cette scène est tout simplement à t’en faire rougir de plaisir. A chaque coup, sa bouche répercute un souffle chaud sur ton intimité qui t’amène à te resserrer plus fort d’envie. Bordel tu as envie de jouir, contre sa bouche en l’étouffant contre tes cuisses. Ta tête bascule en arrière sous tes envies de te perdre. Et soudainement tu ne tiens plus tu cris et abandonne le contrôle à l’orgasme qui te dévaste contre les lèvres de Vic’ qui visiblement n’a pas su se contenir non plus des assauts de Luis, Henry ? Non t’en sais plus foutre rien. Peu importe son nom, il baise comme un dieu. Tes yeux s’aventurent à retrouver ceux de ta sœur de cœur, et tu abandonnes un éclat de rire en voyant avec quelle puissance elle aussi ça l’a secoué. Tu tentes de te redresser, attrapant de ta bouche celle de Vic qui vient à la rencontre de tes lèvres. Un baiser doux mais aussi fiévreux pour la remercier de cet instant, elle porte ton parfum et ça a quelque chose de particulièrement sexy. Elle se glisse derrière toi alors que ton regard vient à celui d’Allan. Oui… Ca te revient, c’est comme ça qu’il s’appelle. Il approche écarte tes cuisses alors que les mains de Vic’ te parcourt déjà. Tu te sens déjà prête à recommencer. Tu te saisie avec vigueur de la raideur de la nuque d’Allan, l’amenant à couvrir ta bouche alors que son bassin vient se claquer contre le tien, orientant sa queue pour te pénétrer, il s’enfonce sans demander la moindre permission et bute vigoureusement des la première poussée en toi. Tu grognes contre sa bouche, ce type est doué, tes jambes se nouent autour de lui, ton bassin venant à sa rencontre malgré la brutalité avec laquelle il te pénètre. C’est ce que tu aimes, exactement ce que tu aimes. Ces mains viennent se saisir de tes hanches qu’il agrippe et oblige à tenir en place et tu couines en sentant comme son autorité à de l’effet sur toi. Il abandonne ta bouche allant chercher celle de Vic’. Tu t’aventures à regarder ton corps secoué par les assauts, les mains de Vic’ enroulant la poitrine de tes seins quelle malaxe de ces doigts. Tes fesses se bombent sentant juste derrière les cuisses ouvertes de Vic’ humide de son plaisir récemment ressentie. Tu recherches le frottement contre celle-ci histoire de ne pas la laisser en reste. Allan revient à toi, et le gout de sa bouche mêlée à celle de victoria à de quoi t’envouter. Tu couines contre sa bouche ondulant malgré la violence des pénétrations qu’il te donne. La main de Vic se détache de ton sein parcourt ton corps et tu halètes plus fort alors qu’elle rejoint ton clitoris et que cela arrache un cri qui s’étouffe dans la bouche d’Allan. Elle te masturbe sous les yeux de votre partenaire et amène ses doigts à tes lèvres en te décrivant comme délicieuse, tu goûtes et sent comme l’acte est érotique. - Bordel Vic’… Tu attrapes sa main et l’amène aux lèvres d’Allan l’obligeant à les goûter lui aussi et un grognement fou s’échappe de sa cage thoracique. Brusquement il prend de la vitesse et ton corps s’embrasse prenant des décharges électriques de tous les côtés. C’est trop, beaucoup trop et l’intensité te bouleverse et sans attendre un hurlement t’échappe, ton corps se raidit et s’électrise en des spasmes fort contre tes deux amants foutrement doués. La contracture de votre homme pilonnant ton bassin semble trop ardente à tenir et dans une ultime poussée il gronde fort et se jette sur ta bouche dans un geste ultime où finalement lui aussi cède à l’appel de l’orgasme. - Hum... Divin à regarder tu trouves pas, ma belle ?

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OUtfit -- Amy et moi avons franchi des limites que je nous imaginais par franchir, nous avons mêlé à notre si belle amitié, si forte et complice une nuance insoupçonnée, celle du plaisir charnel. Je n’imagine pas que ça puisse entacher notre si belle amitié, je ne le permettrais pas, galvaniser par le plaisir, je vois cet étroit rapprochement comme une valeur ajoutée à notre relation déjà si belle. Nous sommes comme les deux faces d’une même pièce. Nous sommes complémentaires. Est-ce que nous allons regretter cet instant ? Cette parenthèse de folie passionnée ? Peut-être, nous verrons cela lorsque nous aurons l’une et l’autre retrouvé la pleine possession de nos moyens, car soyons honnête un instant, nos deux cerveaux sont embrumés par les vapeurs de la passion, ne nous aide pas à raisonner convenablement.

Cette soirée est placée sous le signe du plaisir et d’une passion sans bornes. Cet homme que nous avons ramené et dont je ne suis même plus certaine du prénom s’affaire entre nous, plaçant notre plaisir à l’une puis à l’autre au sommet de ses priorités. L’une comme l’autre, nous sommes très exigeante en matière de partenaire, et trouver un homme capable non pas de satisfaire l’une de nous, mais les deux tiens presque du miracle. Ce plan à trois devient de plus en plus brûlant, je dévore son intimité pendant qu’il ma baise sauvagement. Prise entre eux, je n’en reviens pas de l’intensité érotique de cette scène. Nous nous trouvons comme dans une bulle hors du temps et de l’espace ou seul le plaisir semble avoir de l’importance. Sentir mon plaisir monter au fur et à mesure que je vais grimper le sien, c'est juste fou, étourdissant.

La voir exploser de plaisir en même temps que moi est incroyable, nous sommes connectés d’une manière aussi inattendue qu’étourdissante. Nous échangeons ensuite nos rôles, un moment délicieux où c’est désormais en elle qu’Allan vient se glisser avec passion. Observer le plaisir qui se lit sur les traits fins et parfaitement dessinés de son visage est une expérience d'une valeur inestimable. Ses expressions varient entre des sourires ravis et des soupirs d’extase. Glissée dans son dos, je sens la chaleur de son corps qui réchauffe mes mains. Mes doigts se déplacent doucement sur sa peau douce, caressant avec délicatesse sa poitrine, qui se soulève et se secoue au rythme des coups de reins vifs et sauvages de notre bel ami. L'intensité de ces moments partagé nous enveloppe dans une atmosphère électrique où chaque geste, chaque frisson, semble infiniment amplifié.

Je me perds dans cette danse sensuelle, le cœur battant en harmonie avec la cadence de nos corps. L'ombre des lumières tamisées joue sur nos peaux en émoi, accentuant chaque contour, chaque mouvement. J'échange des regards complices avec elle, ses yeux pétillants de désir me répondent, brillants d'une lueur insatiable. Je la sens se contorsionner avec plaisir, son souffle court se mêlant aux murmures de notre complicité. Chaque frôlement, chaque caresse traverse notre peau comme un courant chaud, une promesse de volupté à découvrir. Sa nuque, si délicate, invite mes lèvres à s'y poser tendrement, un baiser effleurant qui la fait frissonner pendant qu’il la besogne avec de plus en plus de vivacité. Les battements de nos cœurs résonnent comme une mélodie envoûtante, rythmant chacune de nos respirations, synchronisant notre passion aveugle en une symphonie de désirs inassouvis.

L’odeur de sa peau me saoule, un mélange subtil de musc et de chaleur, un parfum qui me rend ivre à chaque inhalation. Je réalise alors, à cet instant magique, que notre amitié est hors norme et dépasse les limites conventionnelles ; c’est une fusion de nos âmes, une exploration sans fin des plaisirs carnés et des émotions profondes que cette connexion unique peut éveiller. Je ne la perdrai pas et elle ne me perdra pas, cette exploration de nos corps, de nos désirs incendiaires ne changera notre relation unique et exceptionnelle. Je sens son corps brûlant se raidir contre le mien avant de finalement exploser de plaisir. Le visage niché dans sa nuque que je dévore, je souris en relevant les yeux pour voir notre amant céder à l’explosion de plaisir à son tour.

« À couper le souffle … » Je murmure ces mots au creux de son cou, attrapant son visage pour lui faire légèrement tourner la tête et l’embrasser tendrement. « Mes pas autant que toi. » Je ponctue ce doux baiser en mordant sa lèvre inférieur. Puis, je me tourne vers notre ami dont je crois n’être plus vraiment certaine du prénom : « Merci pour ce beau moment mon chou. C’était sympa. Laisse-nous ton numéro sur le meuble dans l’entrée en partant, qui sait peut-être qu’on aura envie de remettre ça. » Comment ça je le fou gentiment dehors ? C’est garce ? Peut-être bien, mais j’assume. Il est bien gentil et nous nous sommes foutrement bien amusé tous les trois, mais hors de question qu’il s’imagine avoir tiré le gros lot avec nous deux.

Allan ne semble pas s’en offusquer, je crois même qu’il sourit avant de nous embrasser chacune notre tour avant de récupérer ses affaires et partir. Je n’éprouve aucun mal aise après ce qu’il vient de se passer, c’est même, je crois tout le contraire. Je suis bien, heureuse de pouvoir compter sur elle, sur cette amie qui me connait peut-être mieux que je me connais moi-même. Mes doigts enlacés aux siens, je l’attire à ma suite dans ma chambre. Je m’écroule sur le lit l’attirant avec moi en riant de bon coeur.

« On a un peu déconné ce soir non ? » Mon regard malicieux cherche le sien, je cherche cette connexion qui nous a toujours unis toutes les deux. « Ne m’en veut pas Amy, mais j’ai adoré ça. » Un sourire magnifique étire mes lèvres. On a pris notre pied ce soir, ensemble, et c’est autant incroyable que plaisant. « Et je crois qu’Allan c’est ça ? Se souviendra de cette soirée pendant loooongtemps. Demain, nous deviendrons le fantasme de tous ses potes qui seront morts de jalousie. » Oui ça m’éclate de me jouer des mecs, c’est tellement facile et amusant.

@Amalia Cavanna  

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