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 Taygo 1 // C'est pas vraiment de ma faute.

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Taylor Lopez
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MessageSujet: Re: Taygo 1 // C'est pas vraiment de ma faute.   Taygo 1 // C'est pas vraiment de ma faute. - Page 2 EmptyMer 24 Jan - 16:28




❝ C'est vraiment pas ma faute ❞
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Rien n'est plus sexy qu'un homme en colère
   
-- OutFit-- L’angoisse vient de s’emparer de toi maintenant que tu as eu un orgasme parfait et que tu te rends compte du retard que ton moment d’égarement avec ton archiviste vient de te causer. Bordel, tu n’es jamais en retard, tu hais profondément ceux qui peuvent l’être, trouvant cette attitude irrespectueux et absolument détestable. Le retard c’est comme un bon vieux doigt d’honneur qu’on assène à son rendez-vous, spécifiant un désintérêt complet. Tu n’es pas ainsi, dans chaque chose dans laquelle tu t’évertues tu te donnes à fond. A quoi bon s’embarquer dans une activité dont on ne désire rien ? Tu as assez trimé dans ta vie, pour aujourd’hui ne décider de faire que ce qui te botte vraiment. Alors ne pas te pointer à la barre sous prétexte que tu t’envoyais en l’air avec l’un de tes collaborateurs est une excuse purement et simplement inacceptable. Tu enfiles tes sous-vêtements, écoutant le dieu grec avec qui tu viens de diablement baiser, te dire que tu es parfaite sans vêtements. Tu retiens un sourire en coin en susurrant.


- Pas sur qu’on me prenne très au sérieux, si je venais dans ce genre de tenue.  


Tu l’entends rire, alors que ton stress ne fait que monter. Tu ne trouves plus cette saloperie de jupe, malgré le fait que ton regard cherche chaque recoin de ton bureau. Tu passes nerveusement ta main dans tes cheveux en bataille suite à ton moment de plaisir avec Hugo, et retrouve la trace du dit vêtement qui tourne autour de l’index de ton amant. Tu pinces tes lèvres en détournant le regard alors qu’il t’ordonne silencieusement de le rejoindre, t’arrachant un sourire malgré toi. Tu approches de lui, te rendant compte qu’il te surplombe nettement maintenant que tu n’as plus tes talons. Ton regard est obligé de le fixer par-dessous et ta main se lève pour en attraper ta jupe tailleur, qu’Hugo retire de ta portée en te disant que tu vas devoir être très gentille pour l’obtenir. Tu abandonnes un petit grognement, tes iris sombres fulminant en lui faisant face. Tu n’es pas en colère, juste agacé devant sa bouille de petit branleur qui te sourit et qui au fond te fait encore de l’effet. Tu le détailles et susurre sur un ton des plus sensuels.


- Rendez-moi ma jupe Mr Castelli.  


Ton regard sur lui se transforme sensuellement à l’évocation de son nom. Tes iris descendent sur sa bouche, bon sang ce que tu aimais qu’il l’utilise sur toi. Il te dit qu’il adore que tu le regardes, qu’il a l’impression que tu pourrais le dévorer et un sourire en coin vient s’élargir contre le coin de tes lèvres.


- Rien ne dit que ce n’est pas ce que j’ai envie de faire... Mais là tout de suite, j’ai plus urgent !


Tu l’affrontes encore de ton regard, sentant dans le creux de tes reins une envie de nouveau sous-jacente. Pourtant tu n’y cèderas pas, tu n’es pas comme lui. Lorsque tes priorités te rappellent tu les gère avant de planifier quoi que ce soit d’autre. Ce que tu n’avais pas vu arriver ce sont ces lèvres qui s’écrasent de nouveau sur toi, alors que son bras vient attraper ta taille pour t’obliger à te cambrer contre la raideur de son bassin. Sa chaleur t’envahit, son parfum s’infiltre dans tes narines, et tu laisses une espèce de grognement envieux s’échapper de ta gorge. Putain ce qu’il sait y faire. Sa queue est toujours très envieuse contre toi, et sa bouche approfondie l’intensité du moment. Il sait comment te donner chaud, il sait parfaitement comment capter ton attention et si tu n’étais pas aussi déterminée, et rigide à tes règles, tu pourrais te laisser facilement tenter. Tu lui rends son baiser, faisant bouger ta langue contre la sienne jusqu’à ce qu’il décide de te rendre ta jupe. Tu t’en saisie sans délicatesse et te dépêche de l’enfiler alors qu’il te demande s’il doit rester ainsi en t’attendant. Tu retiens un rire qui finit tout de même par se matérialiser sur ton visage et murmure.


- Même si l’idée est plaisante, j’ai besoin de toi habillé, et utilisant tes autres talents.  


Tes vêtements sont renfilés, et tu te dépêches de refermer ton chemisier, lorsque la chaleur de l’homme infernal qui t’a baisé vient réchauffer ton dos. Tu fermes un instant les yeux en frissonnant de son contact, ces doigts s’infiltrant contre tes cheveux et les manipulant sans la moindre brusquerie pour les, quoi ? Coiffer ? Sa bouche vient cajoler la peau de ton cou et tu dois te retenir de trembler à son contact. Tu fronces les sourcils, obligeant toute ta raison à reprendre de ta nature organisée et planifiant toujours tout. Il attache tes cheveux, assez divinement si tu en juges par ton reflet que tu vois dans l’un des miroirs de la pièce, et sent la présence d’un bracelet qui s’enroule autour de tes mèches. Tu le vois revenir face à toi en te disant qu’il va rêver de te l’enlever et que tu seras obligé de le lui rendre. Ok, tu devrais l’envoyer péter. Lui dire que c’était bien mais qu’à présent tu as eu ce que tu voulais et qu’on embraye. Pourtant… Ton sourire s’élargit, tu approches venant tout contre lui pour prendre sa bouche, ta langue vient avec une délicatesse particulière danser contre la sienne. Tu lui offres un baiser plein de lenteur et de douceur, avant de le mordre pour le terminer.


- On verra… Tu n’as qu’à faire en sorte de m’obliger à te le rendre.  


Ton sourire malicieux pointe sur ton visage alors que tu enfonces tes iris de nouveau au tréfond de son âme. Tu mordilles doucement ta lèvre sous son nez alors qu’il s’apprête à se reculer pour s’éloigner.


- Je suis comment ?  


Tu le fixes curieuse de sa réponse, alors qu’il se détache et va s’habiller rapidement avant de revenir pour te dire que tu déchireras tout, contre toi. Il te propose de continuer ce que vous faisiez chez lui ce soir et tu fais mine d’y réfléchir, sans lui donner de réponse. Jouant de ton regard mystérieux face à ces yeux. Tu ne lui donneras aucune réponse, même si l’idée de ne pas le rejoindre, est tout simplement une folie.



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Hugo Castelli
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MessageSujet: Re: Taygo 1 // C'est pas vraiment de ma faute.   Taygo 1 // C'est pas vraiment de ma faute. - Page 2 EmptyJeu 7 Mar - 19:38

Je pense au contraire qu'il est impossible de ne pas la prendre au sérieux. Qu'elle débarque en tailleur ou habillée comme un sac n'a pas la moindre espèce d'importance. Pourquoi ? Parce que sa prestance est clairement ailleurs. Dans le charme de son regard noisette, dans le port altier de ce petit menton frondeur et décidé... Dans la suavité d'un sourire carnassier qui signifie à son vis à vis qu'il s'avère être le prochain repas du fauve... Ne rêvons pas, si tout est parti en live aujourd'hui, c'est bien parce que cette femme a quelque chose de proprement étourdissant et qu'à ce petit jeu de séduction, je ne pouvais que me bruler les ailes.

J'élève sa jupe hors de sa portée, m'amuse de la voir me toiser et déclare que j'adore qu'elle me mate ainsi. Sa réponse me tire un nouveau rire. Je lui délivre son vêtement, bombe le torse, contracte les abdos, m'amuse à faire rouler les muscles de mes bras et je livre dans un nouvel éclat de rire. -"Plus urgent? Vraiment dommage..." Je viens ensuite dévorer sa bouche d'un baiser furieux, poussant un râle rauque en la sentant s'y abandonner pour me le rendre. Bordel ce qu'elle est torride. Je la contemple alors qu'elle se rhabille, m'amuse à la provoquer en lui demandant si je dois rester l'attendre dans le plus simple appareil. Sa réponse me tire un nouveau rire, alors que je fais un petit signe de garde à vous.

La suite ? Je crois que je me montre doux, nettement plus qu'à l'ordinaire. Je viens coiffer savamment ses cheveux et contemple mon œuvre en jouant de charme pour lui donner envie de venir me le rendre. Je me rhabille dans l'urgence, n'ayant pas particulièrement envie d'être nu quand elle ouvrira la porte pour reprendre le cours de sa journée. Quand elle revient, la façon qu'elle a de sourire, juste avant de partir en quête de mes lèvres, achève de me rendre de nouveau parfaitement raide et salement à l'étroit dans mon pantalon. Cette femme est démoniaque. Elle me mord la lèvre inférieure et se recule. -"Entre parfaite et sublime?" je souris en coin et approche, agrippe sa nuque, l'embrasse à mon tour avec fièvre, ma langue se faisant exigeante. Quand je la relâche j'ai le souffle court et la voix rauque de désir. -"Mmm je crois que je voulais dire divine." Je tire une pointe de langue entre mes lèvres et claque ses fesses avec une certaine brusquerie avant d'en pousser un petit gémissement ravi. -"Chez moi, ce soir, je cuisine, tu me rapportes ce bracelet, toujours dans tes cheveux... et à un moment donné je t'assure que tu ne porteras plus que ça." Je me penche sur son bureau, griffonne mon adresse sur la première feuille que je trouve et la pousse dans sa direction.

Mes yeux cherchent les siens, alors que je recule, vers la porte de son bureau. -"Vous êtes en train de vous mettre en retard madame la procureur." Sourire amusé. -"Non que je n'apprécie pas d'occuper votre esprit, mais je m'en voudrais que la perfection faillisse par ma faute." Tout du branleur et je le sais pertinemment, j'en joue, j'en rajoute et ça m'amuse. Un baiser envoyé du bout des lèvres, alors même que de l'autre main je positionne mon sexe de façon à ce qu'il soit un tant soit peu discret aux yeux de ceux et celles que je pourrais croisé. J'ouvre la porte et quitte son bureau en sifflotant. Mes archives sont toujours dans un bordel sans nom, mais étrangement je me sens nettement moins impacté... comme plus léger. L'idée me tire un rire joyeux alors que je m'oriente dans le couloir, laissant la porte ouverte derrière moi en bon branleur fini. Après tout elle était pressée non ? Nouveau rire en cascade et je reprends la route de mon domaine. Qu'elle vienne ou non... c'est elle que ça regarde. Mais j'en ai pas fini avec elle en tout cas.

La journée se passe dans un calme relatif, je remets les choses en ordre et commence à prendre les contacts nécessaire. Je ne dois pas oublier que j'ai promis mon aide et que je tiens toujours mes promesses. C'est sans doute ce qui me rend aussi intolérant quand on ne tient pas celles qu'on me fait. Bref, la journée se passe et je prend le chemin de la maison avec un sourire aux lèvres. Un détour pour faire quelques courses, histoire d'avoir de quoi cuisiner. Une douche, longue, savoureuse, mes mains venant très clairement soulager mon corps de toute la tension que l'idée de retrouvailles potentielles ont fait naitre en moi. Je me masturbe... sans vraiment me sentir rassasié. Quitte la touche et enfile une tenue casual. Ceci fait il ne me reste plus qu'à me mettre aux fourneaux. Simple, efficace, italien. Lasagnes. Gros avantage ça peut patienter gentiment que la dame de mes pensées daigne - ou non - se pointer. J'aimerais... évidemment. Mais quoi qu'il en soit, je ne suis pas de nature à renoncer.
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MessageSujet: Re: Taygo 1 // C'est pas vraiment de ma faute.   Taygo 1 // C'est pas vraiment de ma faute. - Page 2 EmptySam 16 Mar - 13:15



❝ C'est vraiment pas ma faute ❞
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-- Tenue du soir-- Peu de gens se doute du niveau d’audace qu’il faut pour occuper un poste tel que le tien. Outre la pression que représente le statut de procureur où il te revient de décider de ton envie de poursuivre ou non une personne et d’en faire changer radicalement le cours de sa vie, il y a aussi l’univers politique qui l’accompagne. Qu’on soit fort de rigueur ou de droiture comme tu peux l’être, ne change rien au fait qu’il faut apprendre à brosser, à manipuler bien des âmes plus ou moins importantes pour s’offrir la liberté d’exercer comme on l’entend. Un monde où les hommes sont maîtres et où une femme telle que toi pourrait rapidement devenir cible et victime. Bien des hommes ont déjà essayé de faire couler en ces quelques années, et si tu tiens bon c’est uniquement parce que tu as le soutient et l’unité dont tu as besoin au sein de ton équipe. Cette équipe que tu fragilises dangereusement via ton comportement. Comment tu veux qu’on t’apporte de l’intérêt si à présent tu baises avec les éléments les plus primordiaux de ton empire ? Cet écart ne doit plus se renouveler, et une part de toi le sait pertinemment. Qu’est ce qui t’a pris de te laisser séduire par Hugo ? Qu’est ce qui te prend encore de le regarder comme si tu n’avais pas été rassasiée, et que tu étais morte de faim depuis trop longtemps ? Tu dois reprendre de ta contenance, de ton assurance, de ta maîtrise et reprendre le contrôle de tes émotions. Ouais…


Et comment tu es sensée faire cela alors que ton excitation et ta nervosité à être en retard s’éclipse doucement sous la taquinerie d’Hugo à soulever ta jupe hors de ta portée. Il t’agace autant qu’il ne te divertit en réalité. Mais à jouer à ce petit jeu, tu vas perdre l’une de tes inculpations et il est hors de question que la louve des barreaux, relâche la pression de sa mâchoire sur la proie qu’elle a actuellement entre les dents. Il dit adorer ton regard de prédatrice en cet instant, et il ne se trompe nullement sur ton envie de lui faire payer son manque d’obéissance à tes ordres. Mais tu n’as pas le temps, vraiment pas. Sa réponse au fait que tu ai plus urgent te fait sourire, alors que tu enfiles le tissu de ta jupe autour de ta taille et remonte la fermeture éclair. Sa bouche capturant la tienne d’un baiser outrément exigeante te donne l’espace d’un instant le vertige. Tu crispes tes mains pour t’empêcher de t’agripper à lui et le pousser contre la paroi vitrée de ton bureau pour l’obliger à te subir de nouvelle vague de plaisir. Tu t’obliges à la discipline et lui indique que tu as besoin de ces autres compétences, notamment celles où il est habillé et utilisé son brillant cerveau pour te satisfaire. Mais soit, tes vêtements sont enfilés et il ne te reste plus qu’à te coiffer, là où Hugo te surprend pour s’occuper de discipliner tes mèches. Si ton premier réflexe est de le renvoyer, tu te surprends à laisser la dextérité de ces doigts te coiffer, et de façon clairement subtile. Tu t’observes via ce miroir dans ton bureau et constate qu’il maîtrise clairement la chose, te narguant pour t’obliger à lui rendre ce bracelet qu’il a nouée dans tes cheveux. Tu lui demandes à quoi tu ressembles et ces compliments on le pouvoir de te rendre de nouveau assez incendiaire. Son baiser de nouveau fébrile manquant de te faire oublier à quel point tu veux coincer le type qui t’attend au tribunal. Il réitère le fait qu’il t’attendra chez lui ce soir et griffonne son adresse sur ton bureau. Tu désapprouve de sa manière si certaine de lui que tu viendras.


- Rien ne garantit que je viendrais… Tu es au courant ?


Parce que tu es ainsi. Aussi fébrile voir incendiaire te rend ton archiviste, tu es totalement en mesure de le laisser avec une béquille de folie sans le moindre scrupule. Tu l’as déjà fait avec d’autres et tu n’aurais probablement aucun remord à le refaire. Sauf que tes yeux cherchent perpétuellement les tiens et ils n’ont rien d’ignorant en le faisant. Il dit que tu le mets en retard et son culot finit simplement par te faire abandonner un éclat de rire. Tu l’observes lui et son arrogance s’échapper de ton bureau en te laissant l’espace d’un instant pontoise. Tu attrapes finalement ton dossier, ainsi que ton téléphone et t’échappe du bureau en appelant rapidement ton chauffeur pour rejoindre le tribunal. Oubliant purement et simplement la manière charnelle dont Hugo a hanté ton corps de manière matinale.


Est-ce l’excès de sportivité du matin ou l’apaisement d’un moment charnel intense qui a précédé ton arrivée au tribunal, tu ne saurais dire mais quoi qu’il en soit tu as littéralement écrasé la défense de ce type riche que tu poursuis et qui n’avait clairement pas l’étoffe de t’échapper. Au cours de l’audience tu as démonté chaque putain d’argument que cet avocat prétentieux à tenter de soumettre aux jurés et au juge. Le pauvre a même fini par bégayer tellement tu lui as fermer son clapet à coup de violentes joutes. Si bien que ta journée a été un franc succès. Tu as rejoint le bureau tardivement, te laissant emporter par les obligations administratives qui te reviennent, avant que ton regard ne se pose de nouveau sur une adresse griffonnée sur un bout de papier de ton bureau. Hugo… Tu marques un temps d’arrêt avant de doucement glisser ta main dans tes cheveux encore noué par le bracelet de ton amant matinal. Tu t’humectes les lèvres, pensive au fait que non… Tu ne le rejoindras pas. Mais pourtant ton regard ne s’aventure nullement ailleurs que sur cette adresse. Tu inspires, te saisit de ton téléphone et pianote deux trois petites choses, avant de te lever. Il te faut passer chez toi, te changer, te doucher. L’heure est passée depuis plus d’une heure quand finalement tu te décides à envoyer un message à ton archiviste.


« SMS : J’espère ne pas t’avoir trop déçue… »


Tu souris en coin en envoyant ton message, une bouteille à la main en arrivant devant la porte d’entrée de ton amant. Tu pinces les lèvres ne sachant pas trop dans quel état d’humeur va se retrouver l’homme a qui tu n’as rien promis et qui ne t’attends sans doute plus au vu de ton retard. Tu toques à sa porte et patientes le temps de voir la porte s’ouvrir. Tu élargis un sourire en coin en croisant son regard. Soulevant doucement une bouteille de vin de grand cru que tu as sortie pour l’occasion.


- Tu ne m’attendais sans doute plus, je me trompe ?




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Hugo Castelli
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MessageSujet: Re: Taygo 1 // C'est pas vraiment de ma faute.   Taygo 1 // C'est pas vraiment de ma faute. - Page 2 EmptyDim 19 Mai - 16:18


La provoquer, des yeux et du verbe, ça a quelque chose d'aussi jouissif qu'instinctif et je ne m'en prive pas. J'aime la façon dont ça fait briller ses yeux et je ne les quitte pas, jusqu'à fermer la porte de son bureau. La journée est ensuite une longue attente, amusant ça ne me ressemble pas tellement. Même si je joue le détaché, je suis conscient que mon égo n'apprécierait pas qu'elle me plante après mon invitation à me rejoindre chez moi. Pourtant, je suis bien contraint de me faire une raison quand l'heure avance. Je vire mes pompes, ouvre ma chemise, attrape un verre de vin et je le lève à mes espoirs déçus.

Je ne suis pas habitué à être dans ce rôle, au contraire, je crois que je suis plutôt abonné à celui de l'inconséquent qu'on aimerait ferrer. Pris à mon propre jeu, mordu par mes propres travers, ça a quelque chose de karmiquement savoureux, je suppose. Enfin pour le fils de pute que ça amuse de me voir mordu comme un con à gueter l'heure sur ce putain de téléphone qui ne détourne pas du tout mon esprit du fait que je viens de me manger une veste. J'ai éteint le four, j'ai pas faim, enfin si... enfin merde ! Je me pose dans un fauteuil et c'est un sms qui me sort de ma torpeur, enfin y'en a eu d'autres, me proposant de sortir majoritairement et j'ai été salement généreux sur les "vu". Pourtant celui là m'assèche un peu la bouche. Je l'ouvre et me mets à ronchonner. Déçu ? Non je suis pas déçu... enfin si peut être, et après hein ? Qu'est ce que ça prouve bordel ! Je réponds rapidement.

Non, pas du tout t'inquiète. Au plaisir de remettre ça.

J'envoie, en trouvant la tournure de phrase complètement naze. J'aurais du réfléchir avant, non ? Trop tard de toute manière. Mais voilà qu'on frappe, je me lève en ronchonnant de plus belle et balance mon téléphone dans le canapé avant de m'orienter sur la porte tout en parlant fort de l'autre côté du battant. -"C'est ouf quand même j'ai dit non." Je suis assez persuadé de trouver l'un ou l'autre de mes potes derrière et quand j'ouvrela porte je me retrouve une seconde interdit, la bouche s'entrouvrant sous l'effet de la surprise. Bien joué... diablesse. Elle lève sa bouteille de vin, je laisse courir mes yeux sur sa silhouette et je pousse un petit soupir tout en m'effaçant pour lui permettre d'entrer. -"En effet, je noyais mon chagrin dans un verre de chianti." Mon sourire séducteur dément toute notion de tristesse mais qu'importe.

-"Je te déleste de ça, merci." Bouteille de vin agrippée et posée sur le meuble de l'entrée. Je lui adresse un petit sourire en penchant la tête sur le côté et m'avance à nouveau vers elle, plus franchement cette fois. Mes mains prennent doucement les siennes et j'avance pour l'entrainer à déposer son dos contre la porte. Je l'y plaque et remonte doucement de la pulpe de mes doigts sur la peau dorée de ses bras avant de venir nouer mes doigts aux siens et remonter brusquement ses bras au dessus de sa tête. Je plaque ses mains l'une contre l'autre et mes doigts enserrent sans peine ses deux poignets. -"Tu es horriblement en retard." Ma bouche mordille son cou, ma main libre a rampé dans son dos, pour saisir la fermeture éclair et doucement la faire glisser pour ouvrir la jolie robe qu'elle a enfilée. -"Je crois que je vais aussi te délester de ça." Un murmure contre la peau de sa gorge tout en faisant glisser le tissu pour dévoiler son buste tout en enserrant cette fois ses bras dans le tissu. Elle se retrouve délicatement coincée, les seins exposés à mon regard avide. Je viens taquiner ses pointes de la langue, l'une puis l'autre et me redresse ensuite pour la fixer avec mon plus beau sourire. -"Vais je réussir à te le pardonner?" Amusement teinté de défi. -"Peut être si on passe tout de suite au dessert." Un pas en avant et ma bouche qui s'écrase furieusement sur la sienne, un râle puissant faisant vibrer ma cage thoracique quand je la sens si près de moi.

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MessageSujet: Re: Taygo 1 // C'est pas vraiment de ma faute.   Taygo 1 // C'est pas vraiment de ma faute. - Page 2 EmptyLun 20 Mai - 11:41



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-- Tenue du soir---- Tenue du soir-- Ta vie c’est avant tout la liberté. Aucune attache, aucune espèce de contrainte. Après avoir vécu le calvaire de répondre à l’autorité d’un frère qui n’en était pas vraiment un, tu as décidé très jeune que plus personne ne prendrait de décision pour toi. Tu étais très jeune et pourtant tu as monté tes propres dossiers d’admission dans les écoles. Tu as bossé comme une forcenée pour atteindre l’université, là où les gosses de quartier comme toi n’ont d’ambition qu’à ouvrir éventuellement leur petit commerce dans les rues reculées de San Diego. Toi tu voulais la justice, le pouvoir, plus que cela tu voulais avoir l’influence d’être en capacité de faire bouger les choses. Tu es l’une des plus jeunes procureures de ta génération et tu entends bien conserver ce titre encore longtemps. Comme tout être humain, cependant tu as des défauts. Tu es froide, distante, prétentieuse parfois. Tu es un électron libre qui ne supporte pas qu’on la mette en cage. Une femme qui déteste le mensonge peut en importe la nature ou les conséquences. Une femme qui aime aussi cruellement les hommes… Et ses derniers temps ça te joue pas mal de tours.


L’adresse d’Hugo est dans ta main, cette foutue adresse que tu viens de lire à peu près six fois sans savoir quoi faire de cette information. Il te voulait chez lui à 20h et tu as dépassé cruellement le délai préconisé, même quand on est en retard comme tu l’es. Pourtant, tu n’as pas envie de passer cette soirée seule. Tu as envie de fêter ta victoire de la journée, tu as envie de te laisser aller à des plaisirs sensuels et pas en bouffant des popcorns devant une série à la con. Peut être aussi que les talents et atouts de ton archiviste ne t’ont pas totalement laissée éteinte. Alors tu as décidé de débarquer, une bouteille d’un très bon vin à la main et un message d’excuse pour ta non venue. Ta bouche se tord en une moue amusée, alors que tu toques et entend une voix typiquement masculine dire « qu’il a dit non ? ». Il ouvre la porte et l’un de tes sourcils se soulève délicatement alors que ton regard vient percer celui d’Hugo en des millions de lueurs électriques. Tu lui offres cette bouteille en guise d’excuse, tout en susurrant.


- Je tombe mal peut être ?


Les yeux rivés sur lui comme un félin devant une proie, tu élargis un sourire en coin devant sa mine prise au dépourvu de te voir là. Ton regard coule sur sa chemise ouverte, il s’était fait cruellement beau, mais peu importe la tenue, Hugo fait partie des hommes qui se déguste sans le moindre artifice. Il s’écarte pour te laisser entrer et tu mordilles doucement ta lèvre en avançant, lui confiant cette bouteille que tu as prévu pour ce soir. Un rapide coup d’œil sur l’appartement te fait dire qu’il a un bon goût pour la déco même si elle est purement masculine. Mais tes iris reviennent rapidement captives de la sensualité qui émane de son hôte. Il attrape délicatement tes mains, avançant pour t’amener à reculer contre cette porte qu’il vient de fermer, et tu adores la manière qu’il possède de n’avoir clairement pas froid aux yeux. Son visage proche du tien, tu sens les effluves d’un vin doux qui teinte sa bouche. Ses doigts viennent caresser avec délicatesse la peau de tes bras alors que brusquement il revient à tes mains et les invite de manière autoritaire à venir au-dessus de ta tête. Il te reproche d’être en retard, et tu penches doucement la tête en le regardant. Son air de dominant prend tout l’espace et met en émoi strictement chaque parcelle de ton corps, tes mains sont privés de leurs libertés, et ton bassin vient à la rencontre du sien s’y pressant, s’y frottant, se jouant tout simplement du sien, alors que tu susurres.


- Et tu as commencé à boire sans moi…


Il glisse contre ton cou et de vives décharges viennent transcender ton corps de l’endroit où il te goute jusqu’à la pointe de tes seins qui s’étire sous ses attentions. Sa main se glisse dans ton dos pour t’en dévêtir et tu souris déjà à la tenue de dentelle sombre dont ton corps est muni ce soir. Si tu as pour habitude d’être sexy même au bureau, la dentelle noire qui t’orne la peau ce soir risque de lui donner quelques suées. Il emprisonne tes bras dans le tissu de ta robe, alors que ta poitrine se dévoile et que ton regard savoure pleinement ses réactions. Tu entrouvres la bouche aux baisers qu’il dépose sur ta poitrine avant que tu ne l’écoutes dire qu’il n’est pas sûr de te pardonner. La lueur lubrique dans ses yeux fait élargir un sourire sur ton visage alors que tu reprends.


- Laisse-moi essayer, je suis assez certaine d’avoir un ou deux arguments qui t’aideront à m’excuser.


Tu aimes ce genre de jeu. Et le défi qui pétille dans le fond de ses iris peuvent se rassurer sur le fait qu’elles ne joueront pas ce petit jeu toutes seules très longtemps. Il te répond que si vous passez au dessert de suite peut être. Tes yeux se chargent d’une lueur plus affamée et furieusement sa bouche vient s’écraser contre la tienne, tu abandonnes un soupir instantané à son contact qui fait tournoyer ta tête. Hugo est déroutant, sûr de lui, assez doué pour séduire et ce n’est pas toi qui diras le contraire. Un râle profondément viril s’échappe de sa gorge alors que tes lèvres lui rendent ce baiser avec une ardeur tout aussi intense. Ta langue vient cueillir la sienne, avide, affamée mais toujours sensuelle. Tu t’abandonnes à ce baiser qui te réchauffe avec douceur durant quelques secondes, jusqu’à ce que l’air vienne à manquer. Ton regard se rouvre sur lui, plus ambitieux, et tu libères avec lenteur tes mains sans défier pour autant cette autorité que tu aimes assez chez lui. Tu attrapes ta robe et la laisse descendre le long de tes courbes, afin que la seule chose qui habille ton corps soit tes sous-vêtements. Tu souris en observant ses réactions et vient délicatement contre son oreille pour murmurer.


- Tu me fais visiter ? Je crois que j'aimerais beaucoup goûter ce vin en te dégustant...


Ta main s’empare de la sienne un sourire diaboliquement sexy sur le visage. N’allez pas croire, toi aussi tu veux cruellement envie de son corps mais il y a quelque chose de particulièrement succulent à pousser l’envie à son extrême limite. L’explosion est d’autant plus grande lorsque la frustration a fait son œuvre.



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Hugo Castelli
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MessageSujet: Re: Taygo 1 // C'est pas vraiment de ma faute.   Taygo 1 // C'est pas vraiment de ma faute. - Page 2 EmptyDim 8 Sep - 23:55

Elle a ce regard qui m’enflamme, ce sourire en coin qui promet bien plus qu’une simple soirée de plaisirs charnels, cette insolence naturelle qui me donne envie de la rendre folle encore et encore. De lui montrer que mon ego vaut bien le sien, qu’elle sache pourquoi son chemin l’a conduite jusqu’à moi, qu’elle ait envie de revenir… Sa main dans la mienne est douce, mais je sens la tension dans ses doigts, comme un écho de cette tension palpable entre nous. Elle veut jouer, elle veut se mesurer à moi, et je suis prêt à la prendre au jeu, tout autant qu’à me laisser prendre au jeu.

Je la guide au travers de la pièce, viens me coller contre son dos, caresse son ventre de la main. -”Je crois que la visite va attendre un peu Taylor.” Ma voix gronde, rauque de désir et je la soulève entre mes bras et pars à grand pas. Je lui lance un regard aux lueurs de défis et m’engage dans le couloir de l’autre côté pour ouvrir une porte du pied. Ma chambre s’ouvre devant nous, pénombre discrète éclairée par quelques lueurs urbaines qui filtrent à travers les rideaux. Pas besoin de mots, tout est déjà dit dans la façon dont je l’entraîne, dont je la guide, chaque geste empreint de cette assurance conquérante que je ne lâche pas une seconde.

Je la pose sur le lit, me tourne vers elle, mes doigts venant me départir de mon haut, mes yeux rivés aux siens. Je bazarde mes fringues, affiche les lignes de mon corps et le désir farouche qui me raidit orgueilleusement. Je m’approche, pour venir caresser doucement sa cheville, la porter à mes lèvres et lentement la rejoindre, effleurant chaque centimètre de sa peau dorée. Mes yeux ne quittent pas les siens, et je me nourris de ce lien, de ce fil invisible qui nous maintient l’un à l’autre. Je m’approche encore, jusqu’à sentir son souffle chaud contre mes lèvres, jusqu’à ce que l’espace entre nos corps disparaisse. Mes mains glissent sur ses hanches, fermes, possessives, traçant des cercles brûlants contre sa peau, tandis que je la plaque doucement entre mon corps et mes draps. C’est une caresse et une prise de pouvoir à la fois, une contradiction qui nous définit tous les deux.
-"Tu me rends fou," je murmure contre ses lèvres, mes mots s’effaçant presque dans le baiser qui s’ensuit. Je l’embrasse comme si ma vie en dépendait, comme si ce moment devait durer une éternité. Ma langue trouve la sienne, et c’est une danse, une lutte sensuelle où aucun de nous ne veut céder. Mes mains descendent, agrippant ses fesses, la soulevant légèrement pour mieux la plaquer contre moi et basculer avec elle, mon dos sur le matelas. Son corps épouse le mien, parfaitement, et c’est comme si chaque mouvement, chaque respiration était parfaitement accordée à la mienne.

Mes baisers sont de plus en plus pressants, de plus en plus avides. Je la sens frémir sous mes mains, mon corps vibrant de désir, de cette tension qui monte crescendo et menace de me faire perdre la tête. Je prends le temps de savourer chaque réaction, chaque soupir qui s’échappe de ses lèvres lorsque ma bouche explore la douceur de son cou, la rondeur de sa clavicule, la courbe tendre de sa poitrine. Mes doigts glissent sous la dentelle, caressant sa peau avec une lenteur calculée, jouant avec elle comme on joue une mélodie.

La fixant droit dans les yeux, mon souffle court, mon regard perçant. Je veux qu’elle voie, qu’elle sente, à quel point elle est désirée, à quel point elle est mienne, en cet instant. Mes mains continuent leur exploration, glissant plus bas, lentement, éveillant chaque parcelle de sa peau à la chaleur de mes caresses. Elle est tout contre moi, sa poitrine se soulevant au rythme de ses respirations rapides, ses lèvres rougies par nos baisers fiévreux. -"Ce soir, tu es à moi," je lui murmure à l’oreille, ma voix rauque, chargée de promesses. Je prends une de ses mains, guidant ses doigts sur mon torse, la laissant tracer les lignes de mes muscles tendus. Je sens ses doigts trembler légèrement, mais son regard ne vacille pas, brûlant de ce même feu qui m’anime. Je veux qu’elle perde pied, qu’elle s’abandonne totalement à moi, qu’elle se laisse emporter par ce désir qui nous consume tous les deux. Elle est belle, magnifique, offerte mais toujours en contrôle, et c’est ça qui me rend encore plus avide de la conquérir.

Je l’abaisse, mes lèvres retrouvant les siennes, mes mains glissant le long de son corps, prenant possession de chaque courbe, chaque creux. -Tu avais des arguments à faire valoir, je crois.” Je souris et m’humecte les lèvres avant d’ajouter. -”Sache juste que je n’arrêterai pas tant que ton corps n’aura pas cédé sous mes assauts, tant que tes lèvres ne murmureront pas mon nom dans un souffle de plaisir ultime.” Baiser passionné que je ponctue d’un petit rire et je viens tirer sur ses fesses pour la faire remonter et refermer les lèvres sur la pointe dardée de son sein. -”J’ai rien contre l’idée que tu cries… si tu préfères.” Branleur un jour…
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MessageSujet: Re: Taygo 1 // C'est pas vraiment de ma faute.   Taygo 1 // C'est pas vraiment de ma faute. - Page 2 EmptyMer 9 Oct - 16:39



❝ C'est vraiment pas ma faute ❞
- Taylor Lopez &  @Hugo Castelli   -
Rien n'est plus sexy qu'un homme en colère
   
-- Tenue du soir---- Tenue du soir-- Assumer tes choix comme tes ardeurs, est quelque chose de relativement habituelle pour toi. Personne ne te force à quoi que ce soit, ce que tu veux tu l’obtiens, ce que tu n’envies pas tu n’y touches pas. En privée, comme dans les relations professionnelles tu es considérée comme impossible à corrompre, et tu te lèves chaque jour en te faisant la promesse que celui qui te musèlera n’a pas encore poussé son tout premier cri. Le pouvoir à tes yeux c’est d’être en parfaite harmonie avec ce que tu penses, c’est pour cela qu’une victoire tu la célèbres et que les défaites, elles te tordent le ventre. Alors te pointer chez quelqu’un avec une heure de retard, ne te fera aucunement culpabiliser, pas plus que l’allumer et découvrir tes courbes sous son nez pour pousser le degré de provocation à un cran au-dessus. Même si Hugo est un de tes partenaires de travail, et que tu t’es toujours abstenu de réaliser tes fantasmes avec ceux qui t’aide à faire justice.


Tu proposes à Hugo de te faire visiter, de goûter le vin avant de le déguster lui, mais ta visite des lieux se révèlent rapidement écourtée. Un corps plein de fougue et des mains pleines d’autorité se saisissent rapidement de toi. La chaleur t’envoute instantanément, alors qu’il t’oblige à pivoter sur toi-même, une fois t’avoir dit que la visite serait écourtée. Sa manière d’être aussi sûr de lui est séduisante, l’ombre dans ses yeux qui danse en sachant ce qu’elle veut l’est tout autant. Il soulève ton corps et tes talons se pressent contre le bas de ses reins.


- Vous semblez d’humeur terriblement autoritaire Mr Castelli.


Tu sens son pied repoussait une porte, laissant vos corps s’engouffrer dans une pièce où la luminosité n’est présente que par les rayons lunaires. Il te dépose sur un lit de draps satinés et tu t’y allonges doucement en le regardant. Il retire son haut et tu viens lécher ta lèvre inférieure, attentive à ses mouvements, et à la manière brusque dont il enchaine ses gestes. Il dévoile sa virilité et tu ondules doucement ton corps que tes propres mains caressent. Il attrape ta cheville et le contact de sa poigne sur celle-ci te procure un frisson. Il prend son temps mais en même temps spécifie totalement ce qu’il désire de toi. Tu le laisses remonter ton corps, tes iris disant pour toi le niveau d’intensité qu’il te fait atteindre. Ton souffle s’accélère à mesure que son corps nu remonte le tien, conquérant et possessif. Ton être se charge d’une pulsion qui désire s’abreuver de sa peau. Il te dit que tu le rends fou et ton sourire s’élargit alors que tu attrapes sa nuque l’amenant en direction de ta bouche, sauf que tu ne lui autorise pas, l’obligeant à dévier, tu viens rejoindre son cou et lui mordille sa peau sensuellement. Ton bassin ondule contre le sien alors que tu reviens face à lui et que cette fois il se saisit de ta bouche, chaque ondulation de ses lèvres te donnant le vertige. Tu gémis contre sa langue qui recherche la tienne, lui offrant ton souffle chargé de chaleur. Vos corps basculent sous la force de ses bras et tes jambes viennent le chevaucher, ton entrejambe se pressant plus fort le long de sa divine érection. Ses lèvres te couvrent d’offrandes sensuelles créant de folles sensations, il t’observe continuant tel un félin. Il fait coulisser tes doigts le long de ses muscles abdominaux, cherchant à te déstabiliser. Ton souffle s’accélère ta main tremble légèrement mais pas ton regard. Tu lui repousses le torse et le cloue à ce foutu matelas. Il te dit que ce soir tu es à lui, et un sourire s’élargit sur ton visage.


- Oh… Vraiment ?


Ton entre jambe ondule doucement sur son membre, créant au passage une friction qui accentue tes envies. Bon sang ce qu’il te fait… Il est séduisant, autoritaire et dominant à souhait, même lorsque tu sors les griffes. Il attrape ta bouche t’oblige un instant à l’embrasser, comme une bouffée d’air en pleine apnée. Ta langue vient intrusive rechercher la sienne. Alors qu’il te relâche et que tu te redresses pour de nouveau échauffer sa virilité. Ses mains fermes sur ton corps, tu l’écoutes dire que tu avais un argumentaire.


- J’ai en effet des motifs de poursuite que j’aimerais explorer…


Ta main vient rejoindre ton dos, ton regard foncièrement gravé dans le sien, tu dégrafes ton soutien-gorge, avec une lenteur étudiée. Il te dit qu’il ne te laissera tranquille qu’une fois que ton corps aura cédé à ses assauts et que son nom ne sera pas sur tes lèvres. Tu élargis un sourire carnassier alors que tu retires de la dentelle de ton corps.


- Oh, vos exigences sont nombreuses… Je ne suis pas sûre de pouvoir y répondre positivement.


Tes seins se découvrent sous son nez et brusquement après une inspiration il se redresse en attirant ton fessier contre son membre, sa bouche se jetant sur ta poitrine. Sa bouche est chaude, et met en émoi instantanément tes tétons qui s’étirent pour lui. Tu abandonnes un grognement en penchant la tête en arrière, et dicte un mouvement de vas et vient de plus en plus appuyer à ton bassin. Tes doigts se glissent dans ses cheveux et tu l’obliges à embrasser ton sein droit avant de le diriger vers le droit. Il annonce qu’il n’a rien contre l’idée que tu cries et tu abandonnes un rire avant de gémir et susurrer.


- Alors fait en sorte que je n’ai aucun choix que d’abdiquer… En attendant…


Tu le repousses de nouveau te relève de lui, debout au-dessus de son corps pour retirer tes bas, ta culotte, et tout la dentelle qui t’habillait. Ton regard ne le quitte pas, tu veux lire chaque réaction que cet homme éprouvera à ton égard, là allongé ainsi. Tu te mets à nue, jouant les allumeuses sans devoir forcer le trait. Ton corps à nue, tu t’agenouilles de nouveau en murmurant.


- J’aimerais tester la solidité du corps qui va me baiser…


Tu viens apposer un chaste baiser sur les lèvres d’Hugo avant de descendre son corps. Tu le choie avec douceur puis sans qu’il ne s’y attend tu le mords d’une façon piquante, alors que ton regard le guette et que ton sourire s’élargit lors d’éventuels sursauts. Tu rejoins son bas ventre, la pointe de son gland et ta langue vient le saluer alors que ta main vient s’entourer autour de lui.


- Hum… Bonjour toi…


Tu abandonnes un rire, ta main inclinant son érection à la verticale, alternant coup de langue et mouvement d’allers et venus. Délicatement tu l’amènes à ta bouche et l’aspire, bien décidé à lui faire oublier toute trace d’un passé avant toi.



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