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Ah ! San Diego ! Cette ville emblématique de la Californie et de sa douceur de vivre. Un climat chaud, des plages sublimes à perte de vue qui bordent l'océan Pacifique. Difficile de ne pas succomber à son charme de carte postale, et pourtant ... Avouons-le, la belle photo sur papier glacé dissimule dans l'ombre de nombreuses rivalités. Au coeur de la ville un dilemme rode, Pick a Side or don't ! En découvrir plus
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 Taygo 1 // C'est pas vraiment de ma faute.

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Hugo Castelli
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MessageSujet: Taygo 1 // C'est pas vraiment de ma faute.   Taygo 1 // C'est pas vraiment de ma faute. EmptyDim 4 Juin - 18:21

C'est pas vraiment de ma faute.

--Outfit-- Je n'aime pas ça du tout... c'est en train de me monter à la tête, je sens clairement mon sang bouillonner sous mon crâne et je résiste de plus en plus péniblement à mon envie d'envoyer valser quelques objets contre les murs.  "Sans déconner? Tu trouves ça valable comme excuse? J'ai oublié? J'AI OUBLIE ! Mais bordel de merde à cul t'es conne ou quoi?" Elle a l'air sur le point de se mettre à sangloter alors je m'oblige à l'immobilité. "ça arrive à tout le monde Hugo... " Okay, c'est définitif, je déteste cette connasse. Je prends une longue inspiration et je la regarde avec trois fois plus de rage. "Dégage. Je monte voir Lopez et je veux que tu aies déguerpi à mon retour, est ce que c'est clair?" J'attends pas de réponse, pour mettre les voiles, de toute manière c'est non négociable. Que petite conne soit la nièce du président des états-unis ou la putain de débile de stagiaire qu'on m'a collé dans les pattes, c'est pareil. On fout pas la merde dans MES archives.

Je marche à toute allure dans les couloirs du tribunal et grimpe à l'étage pour approcher du bureau de la proc. Qui va s'en prendre plein la gueule? A cause des erreurs de cette conne? Bah bibi bien sur... et ça... oh putain que ça me fait chier. Parce que l'autre con devrait pas être loin en plus, pour se repaitre du fait que je me suis planté. Oh putain ! Je dois me calmer. Je peux pas me pointer dans son bureau poings serrés et machoires carrées par la rage. Alors je prends trois grosses inspirations, que je bloque le temps de ressentir un peu d'apaisement. On se calme playboy, tu vas gérer ça tranquillement. Mais merde, j'ai pas envie de passer pour un con moi ! Pas quand j'y suis pour rien ! Pas devant une femme torride... pas alors que tête de cul est dans le bureau d'à côté. Et merde... je remonte dans les tours. Archiviste, ça paraît être un boulot pépère pour rat de bibliothèque bien tranquille et détendu du cul. Raté, je suis tout le contraire. Sportif comme un grand malade, et surtout véritable boule d'énergie brute. Généralement ça surprend de prime abord, mais mon boulot est fait à la perfection, alors les gens s'y font.

Je frappe et j'attends signe de vie avant d'entrer. Je lève les mains, comme un petit dealer face aux poulets et je me lance. "Je suis vraiment désolé de débarquer comme ça. Et bonjour d'ailleurs ça va bien?" Même pas foutu d'attendre une réponse que je continue. "Je sais pas à qui je dois la stagiaire découverte que je me cogne aux archives, mais je... je venais te dire que... je l'ai virée." Maintenant que j'y pense, j'étais surement sensé en référer à quelqu'un avant... de faire ça. "Cette débile a laissé les archives ouvertes, je suis arrivé ce matin, des dossiers ont été consulté, sans qu'on sache par qui. Evidemment elle avait pas activé le système de sécurité non plus. Alors j'ai rien contre les étudiants, mais là... barbie qui sourit comme une gourde et papillonne des yeux ça va trois secondes." Tout ceci à la vitesse de trois missiles lancés depuis la terre vers une menace extraterrestre. "Je vais tout ranger, y'a pas de souci, mais je sais que tu as quelques dossiers sensibles dans le moment, donc je voulais que tu sois au courant et que tu... que tu m'en colles plus dans les pattes, s'il te plait." Ces derniers mots en fixant mes yeux sombres dans les siens et en lui faisant mon sourire le plus craquant possible. Je pourrais tenter les yeux de chat potté, mais c'est un peu la merde, j'ai pas la carrure pour jouer les petites choses fragiles. 
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MessageSujet: Re: Taygo 1 // C'est pas vraiment de ma faute.   Taygo 1 // C'est pas vraiment de ma faute. EmptyMar 6 Juin - 10:37





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-- OutFit-- Encore une affaire délicate sur les bras, et en ce moment tu as l’impression que c’est un thème qui ne te lâche pas. Si devenir procureur c’était à la fois ton rêve de gosse et la meilleure chose qui pouvait t’arriver, ce job n’est clairement pas de tout repos. Actuellement tu dors peu, très peu, tu as dû quitter le bureau hier soir à l’alentour de 23h et tu étais sur place à 5h du matin. L’un de tes dossiers juridiques est un sac de nœud, et si ton jugement est bâclé ou mal mené tu sais déjà que le gouvernement finira par te tomber dessus et il est hors de question que tu deviennes la risée de ton pays. Tu es connue pour être un redoutable requin dans le milieu, la rumeur dit que tu es capable de faire boucler n’importe qui si tu as la preuve. Tu es l’une des plus jeunes procureures de ta génération et tu entends bien restée l’une des plus droites et justes. Te hisser à cette place en tant que femme était déjà un exploit alors tenir tête face à des mâles désireux de tout donner pour prendre ta place, n’est qu’un challenge de plus à relever.  Tu es donc descendue très tôt aux archives pour tenter toi-même de mettre la main sur des documents que tu étais pourtant certaines de trouver. Pourtant, tu as été forcé de constater qu’il était impossible de mettre la main dessus. Ces derniers temps, tes nerfs sont mis à rude épreuve et ta colère n’est pas simple à canaliser. Alors histoire de te calmer tu as été faire un footing sur les coups de 6h30.


Il est 9h30 et tu t’es remise au boulot, en ayant réussi à reprendre un peu de contrôle sur tes états de nerfs, tu scrutes avec attention le dossier que tu as sous les yeux. Un capitaine de police accusé d’avoir violé une jeune femme. L’histoire est assez glauque, une jeune femme connue des services de police pour prostitution et consommations de stupéfiants accuse un capitaine de brigades de l’avoir violentée et violée au cours d’une nuit où elle réalisait une prestation. Le capitaine à démentie naturellement, et tous ces collègues sont unanimes la jeune femme est une manipulatrice qui n’en est pas à son coup d’essai. Le récit peut paraître assez évocateur une prostituée qui se fait violée, ça doit en faire rire pas mal, mais pour toi qui cherche sans cesse la petite bête, c’est hors de question que le véritable fautif s’en sorte sans sanction. Au cursus de la jeune femme un dossier médical, dont tu ne trouves pas la moindre trace. Et faut avouer que ça te rend assez irritable.


On toque à ta porte et tu n’as clairement pas de temps à consacrer à la personne qui vient gentiment t’emmerder. Tu inspires, sans décoller ton nez de ce dossier et autorise ton visiteur à entrer. A peine la porte ouverte, tu entends la voix d’Hugo raisonner. Hugo travaille avec toi depuis plusieurs années maintenant, tu le connaissais déjà en tant qu’avocate et faut avouer qu’il est assez plaisant à regarder. Sauf qu’à cet instant tu n’as pas le temps de le regarder, parce que si tu le fais tu seras distraite. Et si tu l’es, tu n’avanceras pas. Si tu entends parfaitement ce qu’il raconte tu ne décolles pas tes iris du rapport fait par l’un des policiers au sujet de cette fille. Hugo se plaint de la stagiaire qu’il a dans les pattes. Bordel « Hugo tu n’es pas en train de m’emmerder pour des histoires de baby sitting là si ? »  Il annonce qu’il l’a virée. Attends quoi ? Cette fille était là pour le soutenir et l’aider et il la renvoie ? Il parle du système de sécurité qui n’était pas enclenché et de dossiers consultés et alors tu lui coupe la parole à l’instant où il semble reprendre son souffle.


- C’était moi.


Tu relèves ton visage du dossier que tu étais en train de consulter. Oui la fille à gravement merdé, mais elle est étudiante. Tes prunelles sombres se posent sur lui alors que tu t’enfonces contre le dossier de ton siège en le regardant droit dans les yeux. Tu visualises d’un seul coup d’œil qu’il est dans un état de nerf tout aussi difficile à contenir. Hugo est une magnifique fouine, le genre de gars capable de trouver cette foutue aiguille dans la botte de foin. Mais il a un tempérament véritablement explosif malgré ce métier qu’il fait et qui pourrait le prétendre calme.


- C’était moi l’intru dans les archives ce matin, j’avais besoin d’un document c’était urgent.


Tu l’observes et appose ton index contre tes lèvres en le regardant. Il est tellement énervé contre cette gamine que ça en devient distrayant. Tu inspires et te délecte de ce sourire qu’il t’offre et qu’il pense capable de te séduire. Si tu le trouves magnifique, cela n’empêche pas qu’il vient de surpasser ces fonctions en virant cette fille.


- Cette fille, l’étudiante que tu as sous ta responsabilité, elle reste. Elle a été recrutée pour t’aider et elle a fait une erreur. Ce sont des choses qui ne devraient pas arrivée mais c’est fait. Alors sanctionne là mais qu’elle apprenne de ces erreurs. Quelle soit une Barbie qui papillonne, ne devrait pas te déranger tant que ça… si ?


Hugo à un sang bouillonnant, tu le sais parfaitement mais cette gamine n’a fait qu’une erreur de débutante. Elle en pince également pour son maitre de stage, eh bien quoi ? Il a de quoi en perturber plus d’une, non ? Alors que la demoiselle papillonne est-ce si grave ? L’ex d’Hugo papillonnait pourtant deux fois plus et il ne s’en plaignait pas, si ?


- Soit gentil, tu l’impressionnes peut être tout simplement qu’elle en oublie les procédures… Viens t'asseoir, cinq minutes j'ai besoin de tes lumières...


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MessageSujet: Re: Taygo 1 // C'est pas vraiment de ma faute.   Taygo 1 // C'est pas vraiment de ma faute. EmptyJeu 15 Juin - 20:37

C'est pas vraiment de ma faute.

--Outfit-- Je me retrouve face à la procureure Taylor, mon cœur battant encore rapidement suite à ma confrontation avec la stagiaire, je suis un colérique, un pur instinctif et quand ça monte, c'est compliqué de redescendre. Je sais bien que je dois garder mon calme, mais la tension est palpable, en moi, dans le ton de ma voix, comme dans l'agitation perceptible de mon corps. Taylor me cloue le bec, annonçant tout tranquillement que c'est elle qui a foutu le dawa dans mes archives et je souffle longuement par le nez. Pire encore, elle refuse catégoriquement que je vire la stagiaire, arguant à demi mot qu'elle a un petit crush sur moi et que ses erreurs peuvent être pardonnées. Quelle absurdité ! Comme si cela changeait quoi que ce soit à la situation. Je m'en fous qu'elle crush cette dinde.

Je prends une profonde inspiration pour me calmer, mais ma colère bouillonne toujours en moi. Je ne peux pas m'empêcher de lui dire ce que je pense, de lui exprimer mon ressenti... Parce que ça déborde, alors même qu'elle m'invite à m'assoir, ce que je fais tout en parlant. " "Sans déconner ? C'est trop tard Taylor, je l'ai déjà virée. Et tu sous entends quoi sur les Barbies papillonnantes? C'est pas vraiment mon style tu sais? Je préfère les femmes avec moins de nichons et plus de cervelle, navré de te décevoir. " Pas comme ton connard d'assistant. Pourquoi je le tacle en pensée ce con ? Le simple fait de penser à lui va me refoutre en vrac... Je la fixe, les yeux tranquillement posés dans les siens, notant au passage la longueur de ses cils.

Elle a l'air sur le point de se mettre à parler, alors je lève la main pour la stopper dans son élan " Si je dois subir quelqu'un aux archives laisse moi au moins choisir qui. Et ..." Je me force à rester immobile et tente de prendre un ton un peu moins tranchant pour ajouter " Je sais que techniquement tu es le grand manitou et que tout le monde te mange dans la main, mais là... ça dépasse mes capacités d'entendement." Sourire pour masquer un peu de mon apreté et je me penche en avant pour mieux plonger dans ses yeux. " Personne ne fout la zone dans mes archives, tu sais combien de temps je vais mettre à réparer tes conneries?" Ça arrive à tout le monde, Hugo. Pourquoi je m'attend à ce genre de réplique? C'est faux... ça ne m'arrive pas. Je ne fous pas le bordel, tout est millimétré, c'est ainsi que je me sens bien au travail.  Si elle essaie de minimiser la gravité de la situation, de défendre cette inepte stagiaire, je sais d'avance que ça va me saouler.

Faut dire que ma patience est du style à rapidement atteindre ses limites. Mais ça, j'ai renoncé à essayer de le changer. C'est ainsi que je suis fait. Aigu, tout en émotions brutes et puissantes. Alors évidemment je me prends régulièrement des portes, mais qu'importe. Je prends une inspiration, penche la tête sur le côté une seconde et me décide enfin à percuter qu'au delà de la situation qui me préoccupe, elle a dit avoir besoin de mes lumières. " Maintenant qu'on est d'accord, sur le fait que tu me demandes quand tu as besoin d'un truc. Quitte à m'appeler si je suis pas là, tu sais? Je peux me rendre disponible si c'est important." Pourquoi cette phrase sonne complètement indécente maintenant que je la sors? Surement parce que je viens de songer à plein d'activités excessivement "importantes" nécessitant d'autres talents que mes capacités d'archiviste. Va vraiment falloir que je m'envoie en l'air... je deviens tendu. "Dis moi de quoi tu as besoin, je fais tout ce que tu veux, juste pour me faire pardonner." D'avoir viré cette connasse et de clairement refuser de négocier quoi que ce soit à ce putain de sujet. Et peut être un peu aussi d'avoir gueulé parce qu'elle a mis le wild dans mes dossiers. Mais elle aura pas un long discours non plus, faut pas rêver, ma mauvaise foi ne s'en remettrait pas.

 
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MessageSujet: Re: Taygo 1 // C'est pas vraiment de ma faute.   Taygo 1 // C'est pas vraiment de ma faute. EmptySam 17 Juin - 14:43






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-- OutFit-- A quoi cela servirait-il de lui mentir ? Tu es la nana qui a foutue les pieds dans ces archives ce matin. Tu avais besoin d’un document et il était bien trop tôt, il n’y avait personne pour le donner alors tu as fait en sorte de le trouver toi-même. Une chance finalement que cette étudiante ai oublié d’enclencher le système de sécurité, cela t’a fait gagné bien des heures d’impatience et de contrariété. En l’entendant, tu constates qu’Hugo doit prendre clairement sur lui pour ne pas exploser. Ouais… Tu as pénétré ses archives. Pas de quoi non plus en faire tout un plat. Peut-être que tu aurais dû le prévenir, ton collaborateur est tout sauf réputé pour son calme. Tu as les yeux fixes sur lui lorsqu’il expire par le nez. Pour autant calmer ces états de nerfs n’est pas la priorité à l’heure actuelle. Il fait cependant son possible pour rester le plus impassible possible et tes mains se joigne sous ton menton en l’écoutant tenter de te raisonner face à cette stagiaire dont il a la responsabilité. Techniquement, tu es sa supérieure, pour autant tu n’as jamais véritablement été ce genre de nana, qui dirige son monde telle une armée fidèle et qui s’exécute sur la seconde. Tu es un requin dans un tribunal, le genre de nana qui une fois avoir gouté la peur ou le sang ne lâche plus sa victime, mais avec tes collaborateurs tu es une femme honnête et respectueuse. Tu estimes qu’ils n’ont pas à souffrir de la pression que tu as sur les épaules et leurs aides t’es précieuse. Tu es autoritaire mais ton équipe est intelligente et réactive, alors il est très rare que tu te mettes en rogne contre eux.


Hugo finit par se lancer et donner sa façon de pensée face aux négligences de sa stagiaire. Il prend place face à toi en disant que c’est trop tard il l’a virée. Tu plisses tes iris ambrées sur lui et le détail, Hugo est séduisant, un attrait colérique constant qui lui donne un charme fou. Il faudrait être une écervelée doublée d’une déficience visuelle pour ne pas s’en rendre compte. Cependant… Tu apprécies moyennement qu’il dise t’avoir prise de vitesse en virant cette nana. Ce n’est qu’un détail, et cette fille a fait une faute cependant tu es celle qui décide dans ton équipe. « Ne fait pas ça Hugo, jouer à celui qui a la plus grande avec moi n’est clairement pas une bonne idée. » Il te demande ce que tu sous entends avec les barbies et tu soupires en désapprouvant l’entendant au passage mettre un tacle à ton assistant. Cette guéguerre continuel… Tu sais que les deux hommes qui accompagne ton paysage le plus proche se connaissent depuis bien longtemps, ce que tu ignores cependant c’est pourtant ils se vouent une haine sans filtre. Tu aimerais bien en savoir plus mais tu n’as pas de temps pour connaître les dates des dernières règles de tes partenaires. Tu déposes tes iris sur ton dossier, soupirant en voyant sa main se lever comme pour t’empêcher de répondre. Il plaide le désir de choisir la personne qui l’accompagnera aux archives et tu lèves un sourcil. Il précise qu’il sait que tu es la patronne et tu étires malgré toi un sourire en coin. Dans la situation actuelle tu n’as pas l’impression qu’il soit d’accord pour t’octroyer ce pouvoir. Tu reposes tes prunelles sur Hugo et penche doucement ton minois sur le côté avant de répondre.


- Je sous-entends simplement que tu es un homme charismatique et qui potentiellement pourrait faire perdre ces moyens à une demoiselle. Surtout quand tu te mets en rogne.


Qu’il soit constamment dans une autre pièce du bâtiment ne veut pas dire que tu ne connais pas ton partenaire de boulot. Tu sais parfaitement comment Hugo peut être sanguin et impulsif, même si aucun dérapage n’a jamais été constaté. Il te sourit et tu ne peux t’empêcher de penser qu’il a un sourire très plaisant avant de te concentrer de nouveau. Il te dit que personne ne fout le bordel dans sa salle d’archive, que cela va lui prendre un temps monstre pour tout ranger, et tu soupires en le regardant. Tu l’écoutes dire qu’il est « heureux » que vous soyez d’accord et articule que tu peux l’appeler quand tu le souhaites si c’est urgent et tu articules.


- Tu as fini, ou faut que je t’achète une sucette pour calmer tes nerfs ? Je suis désolée d’avoir foutu « le bordel » dans tes archives, c’est bon ? J’avais besoin de prendre de l’avance pour mon dossier en cours… Et je promets que je ne le referais plus… Ou alors j’appellerais au secours.


Ton visage prend une teinte totalement innocente avec un air exagérément enfantine comme un enfant se faisant disputer et promettant de ne plus faire, tu lèves la main droite et sourit. Tu te moques un peu de lui mais quoi ? Tu ne vas pas réellement te prendre la tête avec l’un de tes meilleurs éléments, à cause d’un document que tu avais besoin, si ? Non ! Cependant, même si tu es du genre à être assez accessible, ton regard reprend après cette petite moquerie son air le plus stricte et autoritaire. Des nuances de prédatrice s’immiscent dans tes yeux et tu le fixes d’une intensité animale.


- Avant qu’on enchaîne cependant sur mon dossier, un petit conseil Hugo. Ne tente plus jamais de jouer à celui qui a la plus grosse avec moi… Tu as jusqu’à demain matin pour trouver une remplaçante à cette fille avec les mêmes qualifications qu’elle, si pas d’alternative elle reviendra et tu seras avec elle irréprochable.


Ta menace est évoquée. Et tu le scrutes droit dans les yeux pendant cet instant. Tu apprécies beaucoup Hugo mais il reste un homme, et en tant que tel des dizaines ont déjà essayée de te dociliser. C’est hors de question que tu laisses quelqu’un d’autre décider pour toi. Tu reviens à ton dossier, et retrouve une humeur égale. Tu es ainsi, quand quelque chose ne va pas tu perces l’abcès radicalement puis tu enchaines.


- J’ai fais demander une enquête auprès du commissariat Est de San Diego mais leur avocat m’oppose des affaires confidentielles dont malgré mon statut sont considérés comme secrètes. Tu as une idée pour contourner ce détail ?




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MessageSujet: Re: Taygo 1 // C'est pas vraiment de ma faute.   Taygo 1 // C'est pas vraiment de ma faute. EmptySam 17 Juin - 20:21

C'est pas vraiment de ma faute.

--Outfit-- La procureure fixe un instant mes yeux, absorbant mes paroles, ou s'en amusant, je ne sais pas trop. Je sens mon pouls s'accélérer, mon esprit tourbillonner avec une combinaison de nombreuses émotions contradictoires. Pourquoi est-ce que tout cela doit être si compliqué ? Pourquoi ne peut-on pas simplement reconnaître l'importance de mon travail et le fait que je gère ça comme le grand garçon que je suis ? Je souris en l'entendant me complimenter. Un petit sourire, en coin, assuré et amusé à la fois. J'ignorais être au goût de la dame et j'apprécie fièrement l'information.

Pourtant je ne désarme pas. En lutte pour maintenir mon calme apparent et masquer les tourments qui bouillonnent en moi, j'explique pourquoi ça ne peut pas se passer ainsi et elle se fout très clairement et délibérément de ma gueule. Me tirant un petit rire au passage. " Une sucette hein? C'est tout ce que tu as envie de me glisser dans la bouche?" Clairement je ne suis pas le dernier quand il s'agit de provocations, donc si elle va sur ce terrain, il faut qu'elle s'attende à ce que je réplique. De toute manière j'ai jamais vraiment su la fermer, quand j'ai un truc à dire.

Elle reprend la parole, l'instant d'après et son regard brille de lueurs métalliques particulièrement sexy. Elle incarne la puissance et je m'amuse de son choix de formulation. Qui a la plus grosse? Oh chérie... c'est clairement pas la taille de ma bite qui définit ce que je vaux et je n'ai jamais considéré que le fait d'avoir un pénis me donnait plus d'importance. En revanche... pas moins non plus. Je me demande si je devrais vraiment céder sur cette histoire de stagiaire, réalisant qu'elle ne va pas me lâcher. Est-ce qu'elle comprend réellement à quel point les erreurs dans les archives sont préjudiciables ? Est-ce que je peux vraiment faire confiance à sa supervision sur cette thématique ? Pas sur... parce que dans ce cas précis je ne fais confiance qu'à moi.

Mon regard se détourne légèrement, je fixe les dossiers éparpillés sur son bureau, avant de revenir à ses yeux. " J'aurais trouvé mieux, ce sera facile." Peut être pas... mais clairement je vais y arriver. " Et je suis toujours... irréprochable." Ma voix vient de s'abaisser dans les graves, alors que mon regard s'arrime au sien. Je flirte, clairement, mais les sous entendus, ont un certain pouvoir sur moi. Encore plus quand ils sont émis par une femme au tempérament de feu. Comment je pourrais avoir envie d'une Barbie papillonnante, quand il y a des femmes comme ça... dans le monde.

Mais alors que j'ai envie de surenchérir elle reprend la parole, pour me parler d'une affaire qu'elle a en cours et qui lui pose quelques soucis."Il t'oppose une classification confidentielle sur l'ensemble des dossiers dont tu as besoin, ou seulement concernant un service?" Esprit repassé en mode travail, même si mes yeux fixent sa bouche avec une certaine gourmandise. "Tu cherches quoi ? Si on part de là, je peux forcément te le trouver." Débordant d'assurance, jouant du double sens, je crois que ma journée est en train de prendre un tournant bien plus chouette que prévu. "Corruption? Abus de pouvoir ? Tu as flairé quoi ? Parce que je peux toujours rédiger une réquisition vers les affaires internes. J'ai un contact là-bas, qui se fera une joie d'aller secouer qui tu voudras." Après, est ce qu'elle veut les informations, par n'importe quel biais, ou est ce qu'elle a besoin d'avoir les preuves entre les mains pour les utiliser au tribunal? Parce que consulter un dossier... même confidentiel, ça se fait, quand on a les bonnes entrées, en revanche l'obtenir légalement... c'est nettement plus chaud et nettement moins mes cordes.



 
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MessageSujet: Re: Taygo 1 // C'est pas vraiment de ma faute.   Taygo 1 // C'est pas vraiment de ma faute. EmptyDim 18 Juin - 14:33



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-- OutFit-- Ce regard qu’il possède est d’une intensité véritablement très sensuelle. Est-ce la nuance de ces yeux qui est plaisante à regarder ou juste la touche colérique qui lui donne constamment cet air d’homme bien trop sérieux ? Tu l’ignores mais quoi qu’il en soit, tu n’avais jamais remarqué avant aujourd’hui à quel point un homme contrarié pouvait être séduisant. Quoi qu’il en soit, ce n’est pas son charisme qui t’empêchera de spécifier à ton collaborateur aussi attrayant soit-il, que tu comptes l’écraser comme une merde s’il tente de nouveau de jouer au boss. Bordel… tu es sur les nerfs. Ce dossier te rend irritable il faut que tu te calmes… Tu manques de sommeil, d’amusement, de sexe aussi. Hugo est dans ton équipe pas contre toi… Et s’il y a bien une personne en mesure de te dénicher une issue auquel tu n’avais pas pensé c’est bien lui.


Hugo sourit de son plus sourire charmeur alors que tu te moques de lui et de son état de nerf. Quoi ? Il est tout de même entré dans ton bureau pour t’emmerder au sujet d’une pauvre stagiaire alors que tu as un commissariat à foutre à poil afin de savoir si son gérant est oui ou non coupable de faits plus que réprimandables. On parle d’un capitaine de police que tu vas décortiquer à la pince à épiler. Hugo demande si tu n’as qu’une sucette à lui mettre dans la bouche et, sa phrase met en pause chacun de tes pensées. Attends… C’est toi où il joue des sous-entendus ? Ton regard se charge instantanément d’un petit air mutin en fixant sa bouche. Oh non, il y a bien d’autre chose que tu poserais contre une bouche pareille… Mais la question n’est pas là. Non ! Tu te gifles mentalement. Tu marques une répartie sans faille en susurrant alors d’une voix innocente.


- Un os à mâcher peut-être ?


Ok, c’est un coup bas. Mais quoi ? Hugo est ton collaborateur et tu aimes à le charrier, d’ailleurs si tu n’étais pas aussi tendue, tu aurais même poussé la vanne bien plus loin. Mais tu ne vas tout de même pas commencer à rentrer dans ce jeu-là avec lui ? Tu reviens à la question de la stagiaire en lui spécifiant qu’il n’aura que jusque demain pour la remplacer, sinon elle reviendra. Tu articules également que c’est la dernière fois qu’il passe par-dessus ton autorité. Il approuve et indique qu’il aura mieux pour demain et tu inspires pour reprendre ton comportement habituel, donc plutôt concentrée et bosseuse. Tu écoutes Hugo ajouter cependant qu’il est toujours irréprochable, et dans son dernier mot, tu perçois une connotation sensuelle. Ton regard revient sur lui et tu plisses doucement ton regard, alors que jamais il n’abaisse les yeux. Cette attirance qu’il a dans le regard, tu sens un petit picotement s’éveiller dans ton ventre et tu déglutis avant de murmurer. Tu ne peux pas le laisser te déstabiliser. Tu guettes alors ces iris, l’observant avec curiosité.


- Vraiment ? Je devrais peut-être me renseigner sur ce sujet alors ?


Tay’ tu n’as pas de temps pour cela ! Tu forces tes iris à revenir sur le dossier et fait preuve d’une volonté de fer pour revenir au dossier et à ce que tu as besoin pour démontrer si oui ou non tu as raison de te méfier de cet homme qui n’a que des éloges dans ces états de service. Tu exposes la situation à Hugo. Tu n’omets aucun détail, le mettant dans la confidence de cette affaire et la complexité de t’en prendre à un représentant des forces de l’ordre. Certes tu appartiens à une sphère bien plus haute que ce capitaine mais tu t’attaques quoi qu’il en soit à une discipline qui se veut solidaire entre elle. En enquêtant tu ne te feras pas que des amis.


- Les dossiers de cette demoiselle sont classifiés pour des faits de renseignements. Donc non juste une partie des dossiers. Elle aurait été proche d’une personnalité publique qu’on cherchait à coincer, et par conséquent on me refuse l’accès à son casier, en tout cas pas en entier. Je suis sûre que ce capitaine est louche, je suis certaine que malgré l’oie blanche qu’il semble être, ce mec a commis des délits, et je veux le coincer, de la manière la plus légale possible.


Tu t’enfonces dans ton siège en regardant tout tes documents éparpillés sur le bureau. Hugo et sa manie du rangement doit être horrifié mais toi tu y vois un bordel tout à fait organisé. Tu fatigues et tu sais que tu ne lâcheras pas tant que tu auras une issue favorable à ton avis. Hugo dit avoir un contact aux affaires internes et immédiatement il bénéficie de toute ton attention. Tu déposes sur lui un regard plein de gratitude en articulant.


- Tu ferais ça ? Faut que tu sois discret je suis sur que ce type à ces entrées là bas aussi. Mais si tu penses que ça peut le faire alors tu as mon aval !





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MessageSujet: Re: Taygo 1 // C'est pas vraiment de ma faute.   Taygo 1 // C'est pas vraiment de ma faute. EmptyDim 25 Juin - 17:39

C'est pas vraiment de ma faute.

--Outfit-- Elle m'observe avec un mélange d'amusement et d'intérêt pendant que je lui adresse ma réplique pleine d'assurance. Et la sienne fuse. Mon sourire en coin s'accentue légèrement, révélant une pointe de défi dans mes yeux. Je ne reculerai pas facilement devant elle, surtout si elle veut jouer sur le terrain des sous-entendus. " Un os? Mmm je ne suis pas si hargneux." Sourire de branleur et j'ajoute en un soupir. " Je préfère quand c'est délicatement charnu." Ok je pousse, mais elle me cherche aussi. Elle a un côté working girls ultra sexy, surtout quand elle prend ses grands airs en espérant que ça me fasse fermer ma gueule. Ma réputation me précède pourtant, dans les couloirs du tribunal. C'est souvent amusant, parce que les gens pensent que si je suis devenu archiviste, c'est que je n'avais pas la verve nécessaire pour plaider. C'est tellement se foutre le doigt dans l'oeil jusqu'au coude que ça occasionne parfois quelques jolies joutes. Avec des blaireaux qui pensaient avoir gagné d'avance face à un gentil petit mec impressionnable et facile à intimider. Mal me connaître... et je prends un tel plaisir dans ces moments là, pfiou. "Tu peux te renseigner oui... ou te faire ta propre opinion." Mes yeux brillent, mon sourire s'étire et je viens doucement humecter ma lèvre inférieure, sans quitter sa bouche des yeux.

Elle reprend la parole, me parlant d'une affaire délicate qu'elle traite actuellement. Je détourne mon regard pour le poser sur les dossiers éparpillés sur son bureau pour me concentrer à nouveau sur ses yeux, plutôt que sur le ourlé indécent de sa bouche. Basculer instantanément en mode travail, n'est pas tout à fait aussi simple que d'habitudes et mes pensées se mêlent encore à une attirance trouble, surtout quand je songe à sa bouche... Cette idée aussi de me mettre des sucettes dans le bec... Mais je suis un professionnel, et un bon, alors on se calme... Je sais comment séparer les affaires personnelles des affaires officielles. Sinon je pourrais plus bosser ici, pas avec ce connard d'Andrew dans les murs.

Son regard intense ne quitte pas le mien, tandis que nous échangeons des sous-entendus qui électrisent l'atmosphère, autant que nous parlons boulot. Je sens une connexion intrigante se développer entre nous, mêlant l'attraction et l'adrénaline du travail, en tout cas me concernant... Mais je ne peux pas me laisser distraire, pas maintenant. Je reprends mon sérieux, ma voix reprenant une tonalité résolue. "Oui ma source... est fiable. C'est une amie." Une ex en fait, mais on s'en fout non ? Je me penche légèrement en avant, m'appuyant sur son bureau, rapprochant mon visage du sien tout en maintenant une distance professionnelle. "Je suis prêt à donner de ma personne, mais il est important que nous trouvions le bon équilibre entre efficacité et légalité, j'ai saisi boss." souligné-je d'un ton joueur. Je dois agir avec prudence et intelligence pour atteindre ses objectifs sans compromettre l'intégrité de son travail. J'aime bien cette idée, sortir un peu de mes archives pour aller jouer à l'enquêteur de terrain.

Mon regard plonge dans le sien, cherchant à déceler sa réaction à mes paroles. Mais aussi sans doute à jauger sa sensibilité à mes provocations. Parce que maintenant que je suis lancé, je peine à m'en détacher. Nous sommes tous deux des professionnels dévoués, mais je n'en suis pas moins homme... Je suis prêt à faire tout ce qui est en mon pouvoir pour l'aider à résoudre cette affaire délicate, et j'ai dans l'idée que sa reconnaissance pourrait avoir un gout particulièrement agréable.

"Si tu peux me donner plus de détails sur cette affaire, les personnes impliquées ou les indices que tu as, ça m'aidera clairement en terme d'approche stratégique", ce qu'il faut pas dire... alors que je compte juste inviter Diaz à boire un verre et lui expliquer pourquoi elle m'en doit une. Je me redresse légèrement, mon regard toujours ancré dans le sien. Ma colère est oubliée, mais la tension dans mon corps, clairement pas... putain.



 
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MessageSujet: Re: Taygo 1 // C'est pas vraiment de ma faute.   Taygo 1 // C'est pas vraiment de ma faute. EmptyJeu 29 Juin - 14:05




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-- OutFit-- Ce petit jeu de provocation interpelle ton envie de t’amuser. « Tay’ tu n’as pas le temps pour cela tu as un putain de flic à coincer, tu n’as pas le temps de commencer à jouer à touche touche avec Hugo ». Pourtant… il commence à te répondre, à jouer lui aussi des sous-entendus et de la répartie et, au-delà du fait de te provoquer, c’est aussi un jeu qui t’amuse. Tu l’écoutes dire qu’il préfère des zones délicatement charnues à un os, et tu retiens un sourire en coin difficilement lorsque tu déposes sur lui un regard plus observateur, plus envisageable aussi. Il sourit et tu te rends compte du potentiel de ton collègue de travail en matière de séduction. Il n’est pas juste séduisant… Il le sait. Et il sait ouvertement comment venir à bout d’une femme tu en es certaine. Cependant est ce qu’il serait en mesure de venir à bout d’une femme telle que toi ?


Tu tentes de cesser ce jeu mais rapidement Hugo revient à la charge disant que tu peux te renseigner ou te faire ta propre opinion, tu coules sur lui un regard des plus sensuels, comme si tu l’envisageais, et tu pourrais… Te penchant légèrement en avant comme pour lui confier un secret et tu chuchotes alors sur un ton des plus suaves.


- Faudrait-il encore que j’en ai envie…


Tu observes sa bouche comme il le fait sur toi depuis tout à l’heure. Tu quittes doucement ton air de charmeuse pour en prendre un autre plus malicieux en susurrant du bout des lèvres.


- De me faire une opinion.


Tu recules avec un sourire en coin montrant que tu t’amuses comme une petite folle de te jouer des apparences. Mais passons au sujet qui vous a attirez dans ton bureau là tout de suite. Et tu ne parles de l’atmosphère soudainement bien plus chaud. Ce flic que tu as besoin de foutre en cage, et qui tu en es convaincue à fait du mal à cette demoiselle mentalement perturbée. Il y a de la noirceur dans une colombe tu en es convaincue et malgré les antécédents de cette fille, tu doutes de la sagesse de cet homme. D’autant qu’en plus on te met des bâtons dans les roues dans ton enquête de terrain. Mettez des bâtons à n’importe lequel des procureurs, peut être que certains se diront que ça n’en vaut pas la peine. Te concernant ? Ça te fait creuser encore plus loin. Tu es ce genre de femme, le genre fouine qui veut toute l’histoire avec les sous titres et la description des pensées de l’ensemble des figurants. Hugo dit avoir un contact et instantanément il a toute l’attention qu’il mérite. Une amie à lui dans les affaires internes. Ce mec serait il potentiellement l’homme qui déterrera les cadavres pour toi ? Tu l’écoutes dire qu’il est en mesure de donner de sa personne pour toi et tu amènes l’un de tes doigts sous ton menton, en appuis sur le bureau, tu effleures lentement ta peau en réfléchissant à ces paroles. C’est toi où il continue de jouer des sous-entendus. Tu ne peux pas te louper sur cette affaire et Hugo a beau être très séduisant avec ce sourire charmeur sur les lèvres, tu ne peux pas mettre ta carrière en péril. Ce poste c’est tout ce que tu as. Il te demande a avoir plus d’infos sur l’affaire et il se pourrait que tu sois en mesure de tout lui confier. Hugo bosse pour ce bureau depuis des années, il est irréprochable et tu as envie de lui faire confiance. Au-delà du fait que tes iris commencent à descendre sur la repousse de son cou, puis sur son col et enfin sur son torse ; tu sais qu’il est un bosseur et qu’il ne renonce jamais… peut être un peu comme toi. Tu inspires et entrouvres les lèvres un instant troublé par la manière sensuelle qu’il a de te regarder. Puis la seconde suivante, tu te redresses rassemble les documents que tu as en ta possession et tourne ton bureau pour approcher de ton collaborateur et lui donner ce dossier.


- Je joue ma carrière sur cette affaire, Hugo.


Tu n’aurais peut-être pas du contourner ce bureau pour te retrouver face à lui. Parce que maintenant tu sens son parfum, tu effleures ces doigts aussi lorsque tu lui donnes le dossier et qu’en toi des violentes pulsions se réveillent. Putain… tu ne baises clairement pas assez souvent. Voilà ce qui arrive quand on se prive trop souvent, on se met à avoir des envies avec des mecs du boulot.


- Si je me plante... je perdrais mon poste et tout ce que j'adore dans ce boulot


Ta voix n'est plus qu'un chuchotement. Pourquoi tu chuchotes d'ailleurs ?



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MessageSujet: Re: Taygo 1 // C'est pas vraiment de ma faute.   Taygo 1 // C'est pas vraiment de ma faute. EmptyVen 30 Juin - 20:25

C'est pas vraiment de ma faute.

--Outfit-- Ce petit jeu de provocation entre Taylor et moi semble s'intensifier de plus en plus. Son regard sensuel et son sourire en coin font naître en moi une irrésistible envie de jouer avec le feu et je dois bien l'avouer de lui dévorer la bouche. Je suis conscient de mon caractère impertinent, volcanique et rebelle, et je sais que piquer ma curiosité d'une manière inattendue, c'est clairement me préparer à lâcher les convenances pour n'en faire qu'à ma tête...

Lorsqu'elle me murmure à voix basse, ses mots suaves font frissonner tout mon être. Son côté charmeur et espiègle m'attire irrémédiablement. Je lui rends son sourire malicieux, conscient de l'effet qu'il peut avoir sur elle. Mais on ne peut pas se laisser distraire par nos désirs naissants. L'affaire en cours est bien trop importante. Taylor se redresse, réaffirmant sa détermination et l'importance cruciale de cette affaire. Je sens son regard déterminé mêlé à une pointe de curiosité, et je comprends qu'elle voit en moi un potentiel allié. Elle me tend le dossier, nos doigts se frôlent brièvement, créant une électricité entre nous et c'est sans doute là que se réveille mon côté imprévisible et passionné, et j'admets que si cette enquête m'intrigue au plus haut point, la procureure le fait d'autant plus.

D'une voix à peine audible, elle chuchote comme pour partager un secret avec moi. Sa voix troublée révèle ses doutes et ses craintes. Je la fixe intensément, captivé par cette femme déterminée et obstinée. Son poste est en jeu, tout comme sa passion pour son travail. Je ne peux pas la laisser tomber.

"Ne t'en fais pas, Taylor. Je suis prêt à donner de ma personne pour que tu réussisses. Je serai là à chaque étape de cette affaire, prêt à mettre ce flic en cage" Affirmation d'une voix assurée, il faut qu'elle ait confiance en moi, et cela me motive encore davantage. Son regard plongé dans le mien, je peine à me rappeler que nous avons une mission à accomplir. Je veux apporter une nouvelle perspective à cette enquête, pour ça Diaz me sera utile.

Alors qu'elle me fixe intensément, je remarque ses yeux descendre lentement dans mon cou, puis sur mon col et enfin sur mon torse. Une vague de désir m'envahit, et je ne peux plus seulement rester concentré sur notre mission. Mes pulsions sont trop puissantes pour être totalement balayées, d'autant plus quand elle est aussi près. "On va le faire tomber." Un clin d'oeil et je fixe de nouveau sa bouche. "Maintenant on est une équipe."

Je prends le dossier qu'elle me tend, conscient que nos destins sont désormais liés. Je suis prêt à affronter les obstacles qui se dressent sur notre chemin et à mettre mes compétences de bosseur et mon esprit intrépide au service de cette enquête. Elle est là, toute proche... Trop proche. Son parfum suave, le ton de sa voix, cette façon de murmurer comme si c'était un secret qu'on partageait. Je laisse tomber le dossier, sur le sol, à côté de mon siège et je me lève. Plutôt vivement, assez pour qu'elle n'ait pas le temps de s'esquiver quand je m'impose dans sa bulle. Je la coince entre moi et le bureau, m'avance, juste pour l'effleurer, sans que mes mains ne la touchent. Je les pose sur le bois vernis et je viens prendre une grosse inspiration dans son cou. Nous avons une affaire à résoudre, et rien ne pourra nous arrêter. Mais bordel... je crois que rien ne pourra... m'arrêter. J'ai encaissé les provocations, pour la laisser développer son argumentaire... mais là bordel ! "Et si..." Ma voix ne tremble pas, elle gronde, rauque, tout contre la peau de sa gorge. "Si tu me laissais te donner envie d'avoir une opinion?" Je murmure et ma bouche effleure sa peau une seconde avant que je me redresse pour planter les yeux dans les siens. Je n'impose pas mon bassin contre le sien, sans doute un peu trop réactif en cet instant pour que ce ne soit pas du harcèlement sexuel. Je ne suis qu'un homme, je ne suis pas fait de bois et bordel ma boss est torride. "Il vaudrait mieux m'arrêter madame le procureur." Parce que clairement je ne le ferais pas tout seul... pas quand j'ai envie de l'allonger sur ce bureau, afin de voir comment son corps se cambre à l'encontre du mien... Exit la raison... je suis passé dans un autre mode !





 
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MessageSujet: Re: Taygo 1 // C'est pas vraiment de ma faute.   Taygo 1 // C'est pas vraiment de ma faute. EmptyLun 3 Juil - 9:36




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-- OutFit-- Ce petit jeu n’est pas bon. Tu le sais pertinemment. Tu es ce genre de femmes, de celles qui consomment sans trop se poser de questions et qui jettent, tout simplement parce que l’attachement n’est pas pour toi. Le rêve de vie de famille, avec enfants, chien et la jolie maison… disons que ça n’a jamais été un idéal. Est-ce de par ton passé ? Tu avais une famille aimante, des parents qui s’aimaient dans une vie modeste mais sans manquer de rien. Des parents ne comptant pas leurs heures mais toujours présents pour que leurs enfants ne manquent de rien. Ouais… une jolie petite vie, avant qu’il ne finisse massacrés aux mains d’un gang qui n’étaient foutu d’assassiner les bonnes personnes. Un petit groupe doté d’un QI tellement médiocre que leurs fins te laissent encore un goût amer dans la bouche. Assassiné par leur concurrent direct quelques mois plus tard… Tu ne pourras pas revenir en arrière, mais simplement ton choix de vie est sans doute lié à ton passé. Et ton job de proc’ ne facilite aucunement les relations de longue durée. Alors tu chasses, tu prends et tu t’en vas. Pas de prises de tête.


Chasser sur ton lieu de travail cependant ce n’est pas réellement dans ton habitude. Les relations entre collègues c’est très sexy, très passionnel, le goût de l’interdit peut en émoustiller plus d’un. Mais qu’en sera-t-il ensuite ? Tu n’es pourtant pas le genre à analyser les choses quand tu as envie d’un type mais… celui face à toi, qui t’offre des regards à t’en faire frissonner c’est Hugo. C’est ton archiviste, un mec que tu as toujours beaucoup apprécié et même si, beau garçon, il est de la maison. Ça suffisait à ce que ton esprit ne le prenne même pas en considération. Jusqu’à ce que ce petit jeu se mettent en place en tout cas. Cette affaire que tu lui déposes dans les mains est cruciale, en résumé t’attaquer aux forces de l’ordre, c’est le meilleur moyen de te mettre sur un siège éjectable. Tu es du genre tenace pourtant, et ton intuition te dit que quelque chose est louche dans ce dossier. Une oie blanche ne l’est jamais totalement. Tu confies pourtant une majeure partie de ton destin à Hugo. S’il obtient des infos, des failles dans ce dossier, alors tu coffreras une pourriture de plus qui se pensait protéger par son grade et son insigne.


Au contact de ces doigts, tu sens pourtant la pulsion s’éveillait. Un infime petit contact qui pourtant se propage sinueusement en toi comme un lent poison qui affecterait tes sens. Hugo promet de ne pas te laisser tomber, il promet aussi des sous-entendus concernant sa personne qui ne te laisse pas de marbre. Tu contournes ce bureau en acceptant de lui confier un dossier qui pourrait provoquer ta chute. Mais une part de toi persiste et signe en disant que tu peux avoir confiance en lui. Tu l’observes te dire que vous le ferez tomber et que vous êtes une équipe à présent, et détailler sa bouche en train de te le dire, a quelque chose d’effroyablement attirant. Tu dois respirer, tu dois reprendre ta position de proc’ et chasser l’archiviste, avant que tes doigts ne l’approchent et commence à vouloir découvrir comment la peau de son torse se tend sur ces muscles. Tu t’apprêtes à reculer, trouvant le peu de raison qu’il y a en toi pour résister à tes pulsions, lorsqu’il se relève vivement après avoir fait tomber le dossier. Tu sens ta bouche s’asséchée, ton corps devenir plus sensible, ta peau se faire plus avide d’être touchée. Woh ! Depuis quand tu es en manque comme ça ? Tu recules contre le rebord de ton bureau en inspirant, tes iris captivent des siennes. Tu restes silencieuse alors qu’Hugo t’approche et que tes mains viennent doucement se tenir au bureau qui souligne ton fessier à présent. Il ne te touche pas vraiment pourtant, le fait qu’il rentre dans ton espace vital, est en mesure de te mettre le feu. Ces mains se posent non loin des tiennes, et sa proximité t’offre une découverte de son parfum, de sa chaleur aussi. Tu fermes un instant les yeux, en sentant son souffle se déposait contre ta mâchoire et ton cou. De quoi te provoquer un frémissement juste de part sa proximité. Il est doué… nul doute qu’Hugo est un aussi bon chasseur que tu puisses l’être. Tu entends sa voix, rauque et suave qui te demande de le laisser te donner envie de porter une opinion sur lui et tu serres la mâchoire comme tes doigts sur le bois de ton bureau.


- Vous devriez faire attention à ce que vous souhaitez Mr Castelli…


Tu te donnes les moyens de lui résister, comme souvent, la provocation est ta meilleure alliée, mais tu ignores pour combien de temps à ce rythme-là. D’autant que ça a l’air de plaire un peu trop à ton interlocuteur. Volontairement ou par inadvertance sa bouche frôle la chaire sensible de ton cou et tu soupires, en sentant une décharge électrique le long de ton cou jusqu’à sur ton abdomen. Il revient face à toi, et ta bouche s’entrouvre en le regardant, son visage si proche de toi. Il te dit qu’il vaudrait mieux l’arrêter et tu sais qu’il a raison. Sauf que les mots qui sortent de ta bouche ne sont pas totalement ce qui spécifie une demande d’arrêt.


- Vous arrêtez ? Pour cela il faudrait un motif…  Vous avez une idée du motif d’inculpation ?


Ton tempérament causera un jour ta perte. Et ton comportement provoquera les enfers. Qu’est ce qui te prend d’aller ouvertement lui demander ce qu’il préconise de faire ? Hugo est tel un animal prêt à bondir, tu le lis sans mal dans ces iris que tu fixes sans jamais baisser le regard. Pire tu le tentes, lorsque le bout de ton nez effleure le sien, et que volontairement tu effleures sa bouche de la tienne en susurrant comme si tu lui confiais un secret de plus.


- Alors Hugo… Quel motif ?


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MessageSujet: Re: Taygo 1 // C'est pas vraiment de ma faute.   Taygo 1 // C'est pas vraiment de ma faute. EmptyMer 26 Juil - 21:41

C'est pas vraiment de ma faute.

Cette tension entre nous atteint un niveau insoutenable. Mon cœur bat la chamade, et je sens le désir brûler dans mon ventre. Je devrais surement me reprendre, garder le contrôle, et faire de cette enquête notre priorité. Mais comment m'y résoudre quand Taylor me fixe aussi intensément, son souffle légèrement saccadé. Elle ne recule pas, ne fuit pas, comme si elle savait que ce jeu de séduction était inévitable. Pire, elle souffle sur les braises en me demandant pour quel motif elle m'arrêterait. Elle pousse encore le curseur et son nez trouve le mien, avant que ses lèvres n'effleurent les miennes. Un gémissement rauque se fraye un chemin entre mes lippes et je serre les mains sur le bois.

Je devrais m'éloigner d'elle, reculer de quelques pas pour me donner de l'espace et recommencer à réfléchir. Mais au lieu de ça, mes yeux restent rivés aux siens, cherchant à percer les mystères qui se cachent derrière son regard. Mes mains se referment sur son cul parfait et je la soulève comme si elle ne pesait rien pour l'assoir sur ce bureau, m'imposant entre ses cuisses, mon corps tendu de désir parfaitement perceptible sous mon pantalon. "Que penses tu d'attentat à la pudeur?" Un sourire et je viens agripper sa nuque, la cambrant délicieusement et l'abaissant contre le bois. Son dos en épouse la fermeté, ma main libre se posant en travers de sa gorge, se plaquant sur elle, descendant ensuite lentement entre ses seins. Je taquine une pointe en passant. "A moins que je n'ai pas à me retenir? " dis-je d'une voix plus calme, bien que chargée d'une électricité sensuelle. "Que tu n'aies aucune envie de me voir arrêter?" Mon bassin se plaque, plus près, pour ponctuer mes mots.

Tandis que je souris d'un air provocateur. Je réalise graduellement qu'elle aime surement prendre des risques au moins autant que moi. Mon côté rebelle est enivré par le défi, que constitue le fait de la faire gémir de plaisir dans son propre bureau. Ma raison oubliant de me rappeler que je devrais rester concentré sur l'enquête. Cette femme incarne la tentation et j'y résiste très mal... Mais ne dit on pas que le meilleur moyen pour résister c'est de céder?

Je respire profondément pour calmer mon esprit embrasé, mais c'est peine perdue, je vibre d'envie. Ce jeu de séduction est loin d'être terminé, il ne peut s'arrêter là. Je sens que ce n'est que le début, que cette attirance est trop puissante pour être ignorée. Le silence est pesant, seulement troublé par mon souffle et l'électricité dans l'air est palpable. Je m'approche doucement d'elle, cette fois sans brusquerie, descendant lentement pour poser les lèvres dans le creux de son cou, juste sous son oreille. Je prends mon temps, qu'elle puisse échapper à cette étreinte si elle n'en a pas envie, mon désir pressé contre le creux pulsant de sa féminité. Bordel elle me monte à la tête.

Le désir brûle en moi, vibrant tel un incendie ardent qui consume tout sur son passage. Chaque regard échangé, chaque effleurement, chaque sourire complice attise les flammes de cette passion dévorante. Je suis clairement pris dans un tourbillon de sensations, m'abandonnant sans retenue à cette attirance magnétique qu'elle dégage. J'attends un signe... un seul... pour l'enivrer autant que je le suis. Cette fois, il n'y a plus de jeu, plus de défi, juste une connexion que je ressens et qui me pousse à agir. Le désir qui m'enveloppe, rendant chaque caresse plus électrique, chaque effleurement plus brûlant. Mon corps s'embrase, cherchant instinctivement à s'unir au sien dans une étreinte fiévreuse. Chaque souffle que j'exhale est empreint d'une urgence presque désespérée.

Chaque sensation est exacerbée, chaque détail venant se graver dans ma mémoire. La douceur de sa peau sous mes doigts, la chaleur de son souffle, le frisson qui parcourt son échine quand je la touche, tout cela devient une symphonie enivrante. Le temps semble se distendre autant que s'être arrêté, nous laissant seuls dans cette bulle d'intimité ardente. "J'ai diablement envie de toi." Juste un souffle.

 
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MessageSujet: Re: Taygo 1 // C'est pas vraiment de ma faute.   Taygo 1 // C'est pas vraiment de ma faute. EmptyDim 6 Aoû - 11:03



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-- OutFit-- Ton cerveau vient d’oublier chacun de tes principes. L’alchimie que ton collaborateur fait naître dans ton corps est bien trop difficile à ignorer. Chaque regard, chaque phrase aussi arrogante soit elle, entraine une envie chez toi de le faire taire. De le rendre utile à te faire frissonner. Tu détestes ce que tu deviens lorsque tu désires quelque chose. Si la plupart du temps tu es une femme droite, juste et raisonnable, du moins tu tends à l’être ; tout cela n’a plus aucune espèce d’importance quand tu désires quelqu’un. Toute bonne manière s’évapore, tu deviens une sorte de félin qui veut sa proie et en oublie la partie relationnelle de la chose. Tu devrais garder un minimum de contrôle, te raisonner, Hugo est un membre important de tes enquêtes, sans lui la moitié ne pourrait être résolue par manque d’informations, ou manque de preuves. Un coup d’une fois pourrait ouvertement mettre en péril la bonne entente et le bon fonctionnement des enquêtes que tu instruits. Et pourtant une partie de toi semble s’en cogner pleinement. Pire, une partie de toi se joue de lui, l’effleure de ton nez, s’amuse à ressentir son parfum. Putain ce qu’il sent bon d’ailleurs… Tu vois bien que tu le pousses un peu trop à bout, lorsque tu effleures ses lippes, tu sens l’avertissement. Ce gémissement rauque qui s’extirpe de sa gorge et qui silencieusement te dit que tu franchis les limites. Mais dans ta poitrine ça amorce aussi une tout autre envie, quel son émet-il lorsqu’il s’abandonne ? Est-ce qu’il aime dominer ou qu’une femme sache prendre les choses en main ? Putain tu dois te calmer…


Mais comment faire ça alors que ton regard est aussi captif que le sien dans tes iris ? Comment tu es sensé faire ça alors que ni toi, ni lui ne semble avoir la moindre envie de reculer et d’accepter de fuir la bataille qui se dessine ? Sans attendre de permission les mains fortes et assurées d’Hugo se pose sur tes fesses, et t’invite à t’asseoir à même le bureau. Sa prise déchaine chez toi une montée d’adrénaline qui ne demande qu’à s’exprimer, alors qu’il s’invite entre tes jambes et tu carres les épaules pour te redresser face à lui. Ton regard pétille de défis à chaque seconde face à lui. Et c’est pire en sentant que contre ton entrejambe, Hugo n’est clairement pas insensible à ce qui se passe. Tu abaisses ton regard sur le point de contact de vos bassins et tu entrouvres la bouche un instant, alors qu’il parle d’attentat à la pudeur. Tu expires un peu trop vite l’air que contenait tes poumons. Revenant à ces yeux, tu sens l’envie de te jeter ouvertement sur lui courir tes fibres nerveuses, mais Hugo semble décidé à s’imposer. Tu sens sa main venir contre ta nuque, inclinant ton corps sous ses yeux et tu soupires d’excitation en susurrant.


- Ça pourrait être un abus de confiance…


Tu te laisses allonger, sentant ta bouche devenir plus sèche, ton sang prend sans nul doute un degré de plus alors que la main d’Hugo dévale ton corps, qui s’agite de lui-même sous ces caresses. Tu devrais depuis longtemps lui avoir dit d’arrêter, de sortir. Sauf que tu veux connaître la fin de cette histoire, tu veux savoir ce qu’il est prêt à faire pour se satisfaire. Tu veux découvrir comment s’y prend-t-il ? Il te demande s’il doit se retenir, caressant d’un effleurement de son pouce la pointe d’un de tes seins couverts. Tu sens la décharge s’épanouir dans tout ton buste. Tu restes impénétrable, si on oublie ton souffle qui lui ne laisse aucun doute au fait qu’il te fait grimper. Hugo est méthodique, calme, impassible. Il semble d’une maîtrise tellement rodée que sans avoir la vision de la situation il serait impossible de deviner ce qu’il se passe. Sauf que toi, tu as la vision. Tu distingues la manière dont ces yeux te regardent, tu sens comme ses mains se contiennent en te touchant, tu perçois comme son érection est vive et dure contre ton entre jambe. Et tout son petit manège, t’inspire une envie de chaos sensuel sans nom. Il te demande si tu as envie qu’il s’arrête mais tu es incapable de répondre. Ces caresses sont maîtresses de toute ton attention. Ces regards font de toi une lapine prise devant des phares de voiture. Tu te raisonnes constamment : je vais lui dire d’arrêter. Je vais me redresser, lui sourire et le remercier pour ces services… Mais à chacun de ces gestes tu veux savoir ce que ça va te procurer. Tu sens le buste de ton collaborateur se pencher sur toi, pressant plus fort contre bassin contre le tien, à même ce bureau. Sa bouche se glisse contre la peau sensible et parfumée de ton cou. C’est un jeu encore et toujours. Un jeu où la tentation et l’attirance entre vous est d’une puissance que tu as encore rarement expérimentée. Mais tu es une joueuse, et c’est ton tour de le mettre à l’épreuve. Le signal vient de t’être donné lorsqu’il dit avoir diablement envie de toi. Il l’ignore, ou peut être pas finalement, mais sa phrase te donne les pleins pouvoirs sur lui. Ta joue se frotte à sa mâchoire doucement penchée en direction de ton cou. Tu dardes ton bassin contre le sien, exerçant un mouvement de tension entre vous deux. Tes mains viennent doucement et avec agilité rejoindre la ceinture de ton archiviste que tu dénoues sans mal. Ton souffle se répercute contre son cou et tu fais effleurer ta bouche contre sa peau. C’est à toi de mêlé le geste à la parole.


- A quel point en as-tu envie Castelli ?


Tu pousses de nouveau tes hanches en direction de son bassin. Tu sens la compression qui ne te laisse pas indemne non plus. Dans le jeu de la séduction, tous les coups peuvent être fatal même ceux que vous donnez. L’art de la manœuvre est de ne pas se laisser piéger. Tu respires de nouveau l’odeur de son parfum et la chaleur de sa peau réchauffe tes lèvres quand tu chuchotes de nouveau.


- Voudrais-tu que ça s’arrête ?


La ceinture est ouverte et ce sont à présent ces boutons de chemise qui commence à se dénouer. Tes doigts effleurent volontairement la peau de son ventre, découvrant une fine pilosité sur le bas de ces abdominaux. De tes doigts venant attraper l’élastique de son boxer, le faisant claquer contre son épiderme.


- Demande-le-moi…



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MessageSujet: Re: Taygo 1 // C'est pas vraiment de ma faute.   Taygo 1 // C'est pas vraiment de ma faute. EmptyMar 8 Aoû - 21:24

C'est pas vraiment de ma faute.

La tension dans la pièce est palpable, presque suffocante, comme de l'électricité chargée d'une énergie brûlante qui vient s'accumuler en moi. Taylor et moi, nous nous mesurons du regard, nos émotions à fleur de peau, une danse dangereusement séduisante. C'est comme si nous jouions au chat et à la souris, chaque mouvement, chaque sourire complice, est une tentative pour prendre l'ascendant. Quoique... non. Pas de souris ici, mais deux fauves qui s'affrontent.

Et bordel, ce jeu est à la fois exaspérant et incroyablement excitant. Mon cœur bat à tout rompre, un rythme effréné que j'attribue en grande partie à la tension entre nous. Je ne peux m'empêcher de me demander combien de temps elle peut maintenir cette distance tout en paraissant totalement insensible à cette attraction brûlante. J'adore cette fausse indifférence, justement parce que je la sais fausse. Pas un geste de recul, au contraire, son bassin ondule doucement à l'encontre de cette bosse qui déforme mon pantalon.

Je suis là, la fixant intensément, un sourire taquin flottant sur mes lèvres. Ses paroles chargées de provocation me font lever un sourcil, et je lui rends son sourire d'un air faussement innocent. "Abus de confiance, hein?" Je répète, le ton légèrement moqueur. -"Mais voyons, ma chère Taylor, tu n'as pas encore vu le meilleur de mes talents."

Je la laisse me guider, m'installer entre ses cuisses, et un frisson d'anticipation parcourt mon échine. J'ai un avantage, ou du moins je le crois, c'est que je peux me montrer irrésistiblement taquin quand je le veux. Sa question sur l'attentat à la pudeur ne me prend pas au dépourvu, et je me penche légèrement, nos nez presque touchant, un sourire malicieux jouant sur mes lèvres. -"Tu sais, Taylor, il paraît que je suis un expert en ce genre d'infractions."

Mes doigts, avec une précision calculée, se glissent le long de son cou, descendent doucement entre ses seins, taquinant sa peau en passant et agrippant les pans de son haut alors qu'elle s'attaque très franchement à ma ceinture. Chaque contact électrise l'air entre nous, faisant naître une tension presque insoutenable. Je me rapproche, mon souffle frôlant sa peau alors que je murmure d'une voix chargée de désir : -"Ou peut-être que je ne devrais pas me retenir du tout. Peut-être que ce jeu de séduction pourrait continuer sans aucune entrave."

Elle résiste, d'une manière ou d'une autre, son attitude défiant toute logique, tout en étant d'une sensualité déroutante. Je sens son corps réagir, tout comme le mien, à chaque contact, à chaque effleurement. Cette tension me fait sourire davantage, ce sourire qui ne semble pas vouloir quitter mes lèvres. Elle veut jouer au jeu du "hard to get," alors soit.

Je l'observe attentivement, chaque mouvement, chaque respiration, chaque soupir et la pression de mes doigts se raffermit avant que je tire brusquement pour découvrir son buste enserré dans sa lingerie. J'ai l'impression d'avoir percé à jour son désir de chaos contrôlé, son besoin de savoir jusqu'où je suis prêt à aller. Les rôles sont inversés, et j'accepte ce défi avec une détermination non feinte. Sa bouche à présent à portée de mes lèvres, je dépose un baiser à peine effleuré dans le creux de son cou, sentant son souffle s'accélérer.

L'attraction entre nous est indéniable, impossible à ignorer. Chaque fois que nos corps se rapprochent, c'est comme si une explosion silencieuse se produisait, faisant monter la chaleur dans mes veines. Je décide de jouer, de laisser tomber toute retenue, de laisser cette tension s'épanouir en toute liberté.

Mes doigts s'attaquent à la pointe délicate de son sein droit, mes dents se plantant dans sa gorge avant que je ne me redresse pour dévorer sa bouche d'un baiser furieux. Libérant brusquement mon désir tout juste contenu. J'observe chaque réaction, chaque souffle haletant, avec un amusement qui ne faiblit pas. Elle a demandé si j'ai envie que ça s'arrête, et je souris de manière taquine quand je libère sa bouche.-"Pourquoi donc, Taylor, arrêterait-on quelque chose d'aussi... délicieusement tentant?"

La lutte entre la retenue et le désir atteint son apogée, et je suis plus qu'heureux de jouer le jeu. Elle découvre ma peau, sa main glissant contre mon ventre, et je ne peux m'empêcher de laisser échapper un souffle rauque. Sa voix chuchote, me demande de lui demander d'arrêter. Je la regarde droit dans les yeux, un sourire espiègle étirant mes lèvres. "Je suis désolé, Taylor, mais je n'ai pas l'intention de mettre fin à ce jeu aussi facilement. Tu as peur de quoi? Que je tombe amoureux? "    Mon plus beau sourire de petit con et je défais le bouton de son pantalon avant de tirer doucement. Si elle veut me laisser du champ elle soulèvera les fesses, que je l'en libère, sinon elle m'arrêtera, dans les deux cas je crois que j'aurais gagné quelque chose.

 
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MessageSujet: Re: Taygo 1 // C'est pas vraiment de ma faute.   Taygo 1 // C'est pas vraiment de ma faute. EmptyVen 11 Aoû - 14:11




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-- OutFit-- Cet homme te plait. Ça ne devrait pas mais c’est le cas, depuis qu’il a ramassé ce putain de dossier au sol et que son regard s’est chargé d’une lueur bien différente. Tu déconnes plein pot et tu en as ouvertement conscience mais tu es tout bonnement incapable de mettre fin à ce jeu qui vient de prendre vie entre toi et ton archiviste. L’allure si détaché en temps ordinaire de ton collaborateur, sa manière arrogante mais discrète qu’il possède au quotidien… Tout ça est ouvertement éclipsé à présent par une lueur carnassière dans ses iris, une attitude sur de lui qui te pose sous le charme et une façon bien à lui de prendre ce qu’il désire sans demander son reste. Typiquement le genre d’hommes que tu adores tourner en ridicule en temps ordinaire mais qui, à ce moment précis, te tient fermement en alerte et désireuse de plus. Hugo sait ce qu’il fait, et tu ne fais strictement rien pour lui spécifier d’arrêter. Tu ne fais rien parce que l’archiviste vient d’éveiller en toi des désirs que tu ne maîtrises absolument pas. Sa main s’applique à se saisir de ta nuque, et ton regard fixe ces lèvres qui répond à ton incrimination en tant qu’abus de confiance. Tu obéis aux ordres silencieux de ces mains à t’allonger et tu l’écoutes, dire que tu n’as pas encore pu voir le meilleur de son talent. Ton sourire s’élargit en coin alors qu’il s’insère entre tes jambes et que tu observes vos corps qui s’imbrique tout en susurrant.


- Un talent ? Et ça nécessite à ce que je le découvre ?


Tu lèves ton regard sur lui, tu as beau être couchée sur cette plateforme dure et froide, ton regard n’en reste pas moins aussi défiant que possible. Tu n’es pas la seule à prendre sur toi, à tenter de garder un pseudo contrôle, tu lis parfaitement ce qui se passe dans le regard de ton partenaire. Ces mains te caressent, alors que son corps vient surplomber le tien, et que vos nez s’effleurent dans un mouvement taquin. Tu sens son souffle contre tes lèvres et les tiennes tremblent un peu instant, le temps qu’il te dise qu’il est un expert en atteinte à la pudeur. Tes yeux font semblant de s’insurger avant que tu ne susurres d’un ton plus que suave.


- Et ça devrait me faire peur alors ? Je devrais surement te dire avec un ton outrément autoritaire de sortir de ce bureau et de t’éloigner de moi.


Tes doigts le déshabille déjà alors que sa main te caresse par-dessus tes vêtements et que chacune de ces caresses provoquent le feu sur ton épiderme encore couvert. Tu l’écoutes te dire qu’il ne devrait peut-être pas du tout se retenir et tu glisses doucement deux de tes doigts contre l’élastique de son boxer. Suspendant ton geste évocateur d’aller bien plus loin qu’une caresse séductrice.


- Faut-il vraiment qu’on arrête Mr Castelli ?


Tu élargis un sourire presque contre sa bouche, avant de remonter les doigts qui s’apprêtait à l’effraction pour dénouer sa chemise de chaque bouton qui la compose. Tu le détailles à la fois séductrice et défiante dans chacun de tes regards. Tu ouvres les portes à la découverte de son torse et tu marques un temps d’arrêt en sentant sa peau sous tes doigts, et la chaleur de celui-ci. Ces doigts se saisissent de ton chemisier et celui-ci s’ouvre à son tour sur ta lingerie qui semble drôlement plaire à ton partenaire. Putain qu’est ce que tu es en train de foutre ? Si une lueur de raison s’amuse à pointer dans ton esprit, elle est immédiatement réduite au néant face aux lèvres d’Hugo qui s’abattent alors brutalement sur ta gorge. Sa chaleur t’enveloppe et tes doigts courent de nouveau à rejoindre son pantalon pour le descendre totalement et ainsi réduire le nombre de barrière entre vous. Sa bouche vient alors subitement prendre la tienne et tu abandonnes un soupire contre celle-ci. Découvrant la chaleur de sa cavité, le goût de celle-ci et la saveur euphorisante que ça entraîne sur toi et ton corps. Ton corps s’arque sous le sien, ta main se glisse dans le boxer de ton collaborateur et tu souris en sentant avec quel désir son membre est gonflé. Revenir en arrière parait d’une déraison et d’une impossibilité folle. Le baiser d’Hugo se termine par ta morsure sur sa lèvre inférieure, qui gonfle de chaleur sous ton geste. Il te demande pourquoi il arrêterait quelque chose d’aussi délicieux et c’est à toi d’afficher un regard taquin. Ta main s’enroule contre son pieu de chair et tes iris s’amusent à le découvrir en sentant l’ardeur prendre possession de lui. Tu te délectes de ces soupires rauques qu’il abandonne et tu sens le désir monté à ces réactions. Il te dit qu’il n’a aucune intention de te demander d’arrêter. Il te demande de quoi tu as peur ? Que tu as peur qu’il tombe amoureux et tu pouffes doucement de rire. Tomber amoureux ? Tu ne crois absolument pas à ce genre de connerie. On peut ressentir de l’affection pour certaines personnes c’est vrai mais tout sacrifier pour quelqu’un d’autre, jamais. Pour toi la vie se résume à prendre soins d’une seule et unique personne, toi. Parce que personne ne le fera jamais pour toi, ça tu en as la certitude. Tu fixes Hugo, te remettant de ton éclat de rire en murmurant.


- Ça n’existe pas toutes ces conneries. Tout ce qui existe c’est ce qu’on ressent là maintenant…


Tu entrouvres la bouche et vient reprendre la sienne, mouvant ta bouche contre la sienne avec une lenteur destinée tout simplement à le rendre fiévreux. Ta main encercle un peu plus fort le membre de ton partenaire et tu mouves ta main en conséquence afin qu’il grimpe un peu plus.


- C’est aussi simple que ça…


Vos sourires s’échangent alors qu’il commence à te dévêtir et tu soulèves lentement les hanches afin qu’il puisse faire de toi, tout ce que vos hormones envisagent.



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MessageSujet: Re: Taygo 1 // C'est pas vraiment de ma faute.   Taygo 1 // C'est pas vraiment de ma faute. EmptyDim 24 Sep - 16:29

C'est pas vraiment de ma faute.

Ce qui n'était qu'un jeu de provocation est devenu graduellement beaucoup plus que ça. Une montée graduelle de la température qui est venue nous étreindre tous les deux.   "Tu mimes si mal l'indifférence, j'espère que tu es meilleure à la barre. "   Ma voix s'abaisse et je ris doucement, alors qu'elle fait la détachée en demandant si elle a vraiment besoin de découvrir mon talent. Si elle joue sur la gamme du détachement, son corps vibre à la rencontre du mien et ça ne passe pas inaperçu. Forcément puisque j'ai une faim dévorante de ce corps plaqué contre le mien.  

"Han oui... vas y fais moi ce petit ton autoritaire... je suis sur que je vais adorer ça."    Le ton espiègle de ma voix, montre bien que ça ne m'impressionne pas le moins du monde. En revanche ça pourrait surement être de nature à rajouter un peu d'essence sur les flammes de mon désir. Je ne suis pas forcément dominateur, enfin pas dans la vie de tous les jours, je ne crois pas... par contre au lit? Là c'est un peu différent. La chaleur monte, nos corps se trouvent, se cajolent, mes mains, les siennes, la force du désir.

Quand elle referme les doigts sur mon sexe, j'ai un grognement étouffé, d'envie, de plaisir aussi et je repars à l'assaut de sa bouche. Elle rit à mes provocations et ce son me plait, beaucoup. Elle a un rire sensuel, d'une féminité assumée qui me donne encore plus envie d'elle. Je pars à l'assaut de sa tenue et la façon qu'elle a de m'aider à la dévêtir achève totalement de me mettre le feu. Je ne m'arrête pas au pantalon, sa lingerie subissant le même sort. Je la défie du regard avant de laisser tomber cette pièce de tissu sur le sol. Je ne mets pas longtemps à me battre avec mes chaussures pour virer réellement mon pantalon et mon boxer. Ne portant plus que ma chemise je la fais glisser lentement, pour me retrouver nu devant elle alors que je recule en la contemplant.

Je savoure la beauté de cette scène en reculant vers la porte que je verrouille, les yeux toujours plantés dans les siens. "Le monde a cessé d'exister."   Un sourire et je reviens vers elle, lentement, d'une démarche assurée et tranquille. "Il n'y a plus que toi, et même si tu cries de plaisir, je refuse qu'on puisse venir nous déranger."   Quelques mots que je susurre cette fois tout contre sa bouche. Ma main droite a capté sa nuque pour la tirer à moi, alors que la gauche dégrafe son soutien-gorge dans son dos. "Ta nudité est d'une perfection étourdissante."   Guère plus qu'un chuchotement, dans le creux de son cou, que j'embrasse et mordille. Mes mains caressent sa peau, l'entrainent à s'allonger sur le bureau alors que je glisse à genoux. Ma bouche trouve sa cheville gauche, la parcoure de baisers délicats, je remonte doucement, le long de son mollet, que je mordille un peu, la cuisse ensuite, sur laquelle le velouté de sa peau me fait presque trembler d'envie.

J'arrive à son mont de venus, je souffle dessus doucement, y pose les lèvres en un baiser étonnamment doux et presque... chaste? Et avant que l'envie ne me déborde, je pars découvrir son autre jambe. Ma bouche cajole, alors que mes doigts suivent. Ils remontent eux aussi, pour délicatement rencontrer le creux de sa féminité. Ils y cherchent l'humidité divine de son désir, une phalange curieuse se glisse en elle et je me redresse, juste pour lui adresser mon plus beau sourire et plonger entre ses cuisses, pour un baiser furieux. J'embrasse, je lèche, ma langue virevolte et je gronde d'envie d'elle alors même que je la dévore, cherchant à la rendre folle.
 
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MessageSujet: Re: Taygo 1 // C'est pas vraiment de ma faute.   Taygo 1 // C'est pas vraiment de ma faute. EmptyDim 1 Oct - 11:02



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-- OutFit-- Il y a quelque chose de foutrement sexy dans ce qu’il génère face à toi. Son regard, son attitude, ces gestes tout chez lui est d’une assurance folle. Comme si, il savait parfaitement ce que tu pouvais vouloir ou désirer et à quel moment. C’est inhabituel pour toi, en général lorsque tu veux quelque chose tu te charges toi-même de prendre ou tu formules tes demandes, il est relativement rare qu’on soit en mesure de te deviner. Il articule que tu mimes très mal l’indifférence et tes iris plongeaient d’une manière ardente dans ces yeux le dévore. Un air sur ton visage parle pour toi, comme pour lui répondre sans un mot qu’il n’a pas à se soucier de ta manière de plaider. La pique est jolie mais tu n’y répondras pas préférant te concentrer sur autre chose. Si tu es où tu es aujourd’hui, c’est en apprenant aussi à gérer ce qui se dit et ce qui se tait.


Ton sourire s’élargit pourtant, ton visage tout proche du sien, assez pour que tu sentes son souffle contre tes lippes. Il te supplie de faire ton ton autoritaire et tu descends tes iris sur sa bouche. Son sourire t’attire. Tu es un contraste. Ta vie de tout le jour est un enchainement d’ordres et de volonté qui te sont propres. Avoir un document urgemment, plaider une affaire sans préparation ou presque, jouer de l’improvisation, palier à l’imprévu. Ça te demande beaucoup d’énergie et de faux semblants que tu caches derrière ton masque autoritaire. Pourtant dans l’intimité… C’est purement et simplement différent. Tu es tout l’opposé. Tu le dévêtis, admirant chaque courbure de son corps divin qui s’affiche sous ton regard. Qui aurait pu croire qu’Hugo avait des atouts aussi ardents sous sa petite étiquette d’archiviste ? Tu attrapes ces flancs, sentant la virilité d’Hugo pleine de vitalité et tu t’amuses à l’effeuiller avec grande attention. Obéissant à ces ordres silencieux qui s’active à toi aussi te déshabiller. Il possède un physique à en faire pâlir bien des hommes, et tu n’es pas indifférente à ce que tu peux voir. Bien au contraire. Tes mains s’aventurent à le découvrir, à explorer chaque muscle qu’il possède. Puis tes paumes deviennent plus aventurières, souhaitant plus que simplement son torse. Tes doigts descendent sur son bassin, découvrant son anatomie et la dureté de celle-ci. Sa bouche kidnappe la tienne, dans une pulsion qui t’arrache un soupire surprise et sensuel. La chaleur de sa bouche, te fait frémir. Tes doigts l’encerclent plus fort, alors qu’il te retire chaque parcelle de tissus que ton corps possède. Ta peau totalement a nue, tu souris en découvrant son regard sur toi, détaillant son corps qui s’impose totalement dénuder sous ton regard.


- Laisse le monde faire ce qu’il désire…


Tu ne caches pas la chaleur qu’il réveille en toi, tes dents s’enfonçant contre ta lèvre inférieure. Il recule verrouille la porte, et vos iris ne se quittent pas d’une semelle. Se cherchant, se découvrant d’une manière outrément plus sauvage que d’ordinaire. Tu l’écoutes poursuivre, dire qu’il n’y a plus que toi et lui, et qu’il refuse que l’on vous dérange. Tu es affreusement du même avis, il revient à toi attrape ta nuque, et le bout de ton nez effleure le sien. Il te décrit comme parfaite, et tu rougis. Pas de son compliment de la manière dont il te regarde. Ta lèvre inférieure tremble sous l’effet qu’il produit, alors que ton regard le fixe par en dessous. Puis sa bouche te mord le cou un instant avant qu’il ne t’indique de t’allonger sur le bureau, il disparait entre tes jambes, s’agenouillant. Ces baisers se parsèment lentement, tellement lentement. Il alterne entre morsures sur ta peau et baisers, son contact est électrisant, saisissant et fait arquer ton dos juste par ce simple contact. Tu fixes le plafond, parfaitement attentive aux sensations qu’il te procure. Tu es en train de merder. Tu le sais, tu le sais ouvertement mais comment tu es sensée résister à sa manière de te séduire ? Tu le sens rejoindre ton entre jambe, vos regards s’échangent le temps qu’il souffle sur ton intimité, t’embrasse dans un baiser bien trop sage, sans t’en donner plus. Un soupire plaintif t’échappe, alors qu’il cajole la deuxième jambe. C’est trop lent, trop doux, trop long de patienter. Tu le désires, jusqu’au plus profond de tes entrailles. Tes mains rejoint ta chevelure que tu malmènes alors qu’il remonte enfin et que tu bloques ta respiration alors qu’il refait face à ton entre jambe. Tu es a deux doigts de le supplier, vraiment ? Si ta bouche n’articulera pas tes mots, tes yeux eux le feront. Son sourire s’élargit alors que ces doigts te découvrent. Tu soupires fort, ton intimité vivement contractée par ces stimulations précédentes. Tu te sens outrément étroite. A l’insertion de ces doigts la sensation est grisante. Tu halètes, susurrant du bout des lèvres un mot un seul. « S’il te plait »


Ton timbre de voix à la fois enroué de désir et rauque te surprend toi-même. Il te regarde et seconde suivante plonge, t’arrachant un cri tellement tu l’attendais. Ta main s’abat brusquement sur son crâne, tes doigts s’enlisant dans ces cheveux, que tu tritures de tes doigts. Bordel, tu le veux. Tu en as tellement envie. Tu te redresses sur ton coude, l’observant lui et ces yeux de démon, lui et sa bouche divine qui te fait défaillir à chaque mouvement. Tes iris se gorgent de plaisir, tu convoites cet homme, non tu le dévore, et ce n’est qu’une question de temps avant que tes pensées ne passent en action.



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MessageSujet: Re: Taygo 1 // C'est pas vraiment de ma faute.   Taygo 1 // C'est pas vraiment de ma faute. EmptyMer 25 Oct - 19:37

C'est pas vraiment de ma faute.

Mon travail consiste à documenter les procédures judiciaires, à gérer les dossiers et à être le gardien des détails de chaque affaire, ça dénote d'un tempérament calme et organisé. Pourtant, derrière ce rôle en apparence tranquille, se cache un caractère brûlant et volcanique que je ne peux réprimer en cet instant. Elle a mis le feu aux poudres, de part la félinité sensuelle de son attitude et je brule désormais.

Taylor, avec sa détermination féroce et son charisme puissant, occupe une place de pouvoir dans le monde de la justice. Sa présence dans la salle d'audience est incontestable, et son éloquence, inégalée. C'est une femme qui incarne la loi, une figure d'autorité à laquelle il est difficile de résister. Et elle est encore plus divine ainsi alanguie sous le feu de mes caresses.

Chaque jour, alors que je m'efforce de rester professionnel, de remplir mes devoirs en toute objectivité, je sens le tumulte de mes émotions qui menace de tout emporter. La manière dont elle commande la salle d'audience, dont elle mène chaque interrogatoire avec assurance, tout cela m'électrise. Chaque mot qu'elle prononce résonne en moi comme une mélodie enivrante. Je ne me suis jamais laissé aller à cette envie... parce que c'est ma boss, mais... là... c'était trop.

La faute à ce sourire, ce genre de sourire qui peut éclairer une journée sombre, et qui fait naître des frissons le long de ma colonne vertébrale. Lorsque nos regards se croisent, j'ai l'impression que mon corps se met à bouillir et je ne tarde pas à verrouiller la porte. Je suis un homme de loi, un greffier du tribunal, et elle est la proc' générale. Mélanger les affaires personnelles avec le monde impitoyable de la justice est une folie et pourtant je plonge bordel. Essayer de garder mes émotions en laisse, de résister à cette passion interdite qui me dévore de l'intérieur, est un défi que j'ai perdu. Agenouillé entre ses jambes je perds la notion du bien et du mal aussi aisément que celle du temps. Sa voix rauque... qui me supplie ? Je ne peux plus résister et je plonge en un baiser délicieux contre sa fleur intime alors que mes doigts plaident mon envie avec ardeur.

Les barrières qui nous séparent s'effondrent, il n'y a plus que les flammes dévorantes du désir et ma bouche qui l'honore, la cajole, la dévore, encore et encore. Des fantasmes qui hantent mes nuits, me tourmentent, me font questionner ma propre intégrité, je fais une réalité. Le désir est une bête indomptable qui rugit en moi, menaçant de tout submerger. Je gémis contre son sexe, suçote son clitoris et recourbe les doigts. Je veux l'entendre encore me supplier... j'aime bordel ! Ce que j'aime quand elle fait ça.

Alors je m'arrache à cette caresse pour la regarder, et murmurer "Redis le ! Supplie moi encore."   Bouffi d'arrogance? Oui sans doute, mais qui puis je ? Elle me rend ivre, à chacun de ses soupirs. Je me redresse et agrippe sa gorge pour la redresser et dévorer sa bouche. Un baiser furieux, impérieux, qui traduit la profondeur abyssale du désir qui me brule le ventre. "Taylor... supplie moi encore."   Je réitère, alors que mes doigts viennent torturer son clitoris. J'aime sentir les contractions de son corps, je me sens puissant et désiré... cocktail qui anime légèrement mon bassin. Je souris en réalisant que je commence clairement à peiner à me contrôler. Décidemment la délicieuse procureure me fait... beaucoup d'effets. "J'en peux plus... d'envie de toi."   Un aveu dans un souffle, la bouche perdue dans le creux délicieux de sa gorge, avant de venir happer la pointe dressée de son sein.


 
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MessageSujet: Re: Taygo 1 // C'est pas vraiment de ma faute.   Taygo 1 // C'est pas vraiment de ma faute. EmptyVen 27 Oct - 13:55




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-- OutFit-- Tu n’as jamais envisagé que tes collaborateurs puissent fantasmer sur toi. Jamais imaginé que tu puisses éveiller en eux des désirs de par ton attitude, ton comportement ou ton autorité. Un tribunal pour toi, c’est un terrain de jeu certes, mais c’est un terrain de jeu où se joue des avenirs, des carrières, des décisions. Lorsque tu rentres à la cour, tu statues et oriente une décision en fonction des informations qu’on te donne. Et la sanction en cas de certitudes de l’inculpation d’un accusé est chez toi en générale sans demi-mesure. Pas vraiment réputé pour être gentille, tu es relativement crainte dans une salle d’audience, et devinez quoi, tu adores ça. Tu es le genre de femme minutieuse et assez butée pour aller au bout des choses. Tu chercheras toujours à être certaine de ta décision, tu ne prononces strictement jamais une peine sans être véritablement convaincue que c’est ce que la personne mérite. Et quand elle le mérite tu es impitoyable.  


Hugo t’a-t-il déjà envisagée avant aujourd’hui. Avant que son foutu dossier tombe au sol et que vous vous retrouviez nez à nez à sentir tout à coup une alchimie folle demandant l’assouvissement entre vous ? Tu t’es toujours mise des œillères concernant ton entourage professionnel, si bien des hommes sont attirants et délicieux dans ce monde de justice, beaucoup d’entres eux sont aussi de royaux connards. Quitte à ruiner des carrières et des vies, autant le faire sans avoir eu leur queue entre tes jambes.


S’agissant d’Hugo de ce que tu en sais il est discret, ne faisant aucune vague au sein de ton cabinet. Mais sa manière de te regarder là maintenant. Sa façon dont ces yeux te regarde, te dévore serait plus exacte, la façon dont ses mains te touche, te convoite. Sa vigueur t’attire, son charme t’hypnotise et sa détermination te réduit en miette. Vos vêtements s’évaporent, ton corps s’effeuille sous ces iris, le sien t’apparait. Tu frémis de tout ton être alors que sa bouche prend possession de la tienne, et sa manière de te dominer, te rend ouvertement sensible. Il prend son temps en s’agenouillant devant toi, en parsemant ton épiderme de baiser qui t’électrise maintenant que la surface de ton bureau se voit recouverte de ton corps étendu. Tu ondules, te retenant pour patienter mais ta supplique franchit tes lèvres sèches et envieuses de lui. Sa réaction ne se fait pas attendre. Et son grognement lorsque sa bouche s’écrase contre ton intimité fragile t’arrache un couinement. Ton corps se soulève à sa rencontre, et la chaleur de tes lèvres euphorise chaque fibre nerveuse de ton organisme. Son baiser te met le feu, ces doigts s’ajoute à la danse, ta peau devient incendiaire sous ces caresses. Tu te tends plus fort, te laissant ensorceler par cette passion qu’il provoque en toi. Contre ta fleur intime tu entends son gémissement et ta bouche articule son prénom dans un murmure lourds de passion.  Hugo… Il s’arrache soudainement à ton intimité. T’attrape, t’oblige à revenir à lui en pressant sensuellement ta gorge, et son empressement nourrit ta dévotion pour lui, t’extirpant un couinement contre sa bouche. Il te demande de le redire, et ta bouche s’élargis dans un sourire amusé. Ton souffle manquant d’air, tu halètes en perçant ces iris. Tes yeux descendent sur ces lèvres et tu susurres dans un souffle erratique.


- S’il te plait Hugo.


Tu vois sa bouche s’écraser vivement contre la tienne, tu ne maîtrises, il est seul aux commandes et tu adores ça. Tu adores qu’à cet instant tu ne sois rien d’autre que l’objet de toute son attention et de tout son désir. Son baiser est exigeant et fou de passion, tu en trembles tellement il te renverse d’intensité. Il relâche tes lèvres, te fixe pourtant avec dureté en te demandant de le redire. Tu sens les doigts de ton partenaire s’incurver et te rendre fébrile. Tes lèvres s’entrouvrent plus fort et un souffle chaud s’évapore de tes lippes, ton regard ne le quitte pas pourtant. Tu sens les contractures de ton corps s’accentuer.


- Hugo…

Tu vois l’impact de tes mots sur lui. Il ne perd pas le nord mais pourtant tes mots le renverse. Il adore que tu supplies, il adore l’effet et le pouvoir qu’il vient d’obtenir sur toi. Et tu frémis à l’idée de lui donner encore. Le pouvoir est à lui, mais sa perte est à toi. Il sourit et tu tentes d’obtenir de nouveau sa bouche. Tu en seras privé pour que ton cou soit convoité. Tu sens la chaleur émanant dans ton corps, alors que ta main se crée un passage pour rejoindre son entre jambe et tes fins doigts s’enroule contre le pieu de chaire de ton archiviste. Tu pourrais être douce et délicate mais ta prise est relativement ferme et pressante sur son doux épiderme. Tu veux qu’il sache que même soumise, tu es le feu, et il est la combustion. Ces mots contre ton oreille te font prendre du pouvoir. Il dit qu’il a envie de plus, de plus de toi. Sa bouche descend sur la pointe de l’un de tes seins et tu cambres à sa venue. Lui donnant tout l’accès qu’il désire alors que ton corps s’embrase de plus en plus. Tu glisses ta main plus bas contre son anatomie. Effleurant de tes doigts ces bourses, avant de remonter cette ligne tendue qui alimente fort son membre.


- Et moi je te veux. Avidement et entièrement.


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MessageSujet: Re: Taygo 1 // C'est pas vraiment de ma faute.   Taygo 1 // C'est pas vraiment de ma faute. EmptyJeu 16 Nov - 14:59

C'est pas vraiment de ma faute.

La pousser à me supplier est sans doute complètement fou mais qu'importe ? L'entendre chuchoter mon nom, de cette voix noyée d'envie, ça me renverse. J'ai l'impression qu'elle me rend à la fois vulnérable et plus fort ! Complètement antinomique et diablement entêtant. Je me penche, pour happer la pointe de son sein et la sentir se cambrer en réponse achève de m'enflammer. "Bordel..."    Un mot qui filtre, alors que ses doigts se font fermes sur ma virilité. Elle est le plus puissant de tous les alcools, humer sa peau, suffisant à me rendre ivre.

Les caresses de ses doigts se précisent et n'y tenant plus, je referme les mains sur ses fesses pour la tirer à moi. Son bassin près du mien, ses fesses au bord du meuble et les yeux dans les siens je me plante en elle. Brutalement, jusqu'à la garde, frissonnant de me sentir ainsi enserrée par la perfection veloutée de sa féminité. "Tu m'as ensorcelé."   Des mots pour traduire la passion qui cascade dans mes veines et je me mets lentement à aller et venir en elle. Des mouvements lents mais puissants, mes lèvres venant retrouver les siennes pour un baiser enflammé.

Je n'ai même pas songé à enfiler une protection, ce qui est surement une connerie... mais là ? Dans cet état ? Comment aurais je pu bénéficier d'une once de réflexion ? J'ai clairement dépassé ce stade. Ses yeux, éclats de braises dans l'obscurité relative de son bureau, me transpercent. C'est un regard qui enflamme chaque parcelle de mon être et je tremble alors même que les mouvements de mon bassin se font plus durs. Les courbes de son sourire dansent dans ma mémoire, un charme envoûtant qui me hante, éveillant une passion dévorante. Je la redresse, pour l'entourer de mes bras et mon sexe solidement ancré en elle je la soulève. Ainsi plantée sur moi, je peux sentir chaque contraction de son intimité.

À chaque effleurement de sa peau, c'est comme si le temps s'arrêtait. Ses mains, douces et insatiables, créent un feu qui se propage à travers mes veines. Les murmures de son souffle caressent mon esprit, éveillant des émotions que je n'avais jamais osé explorer. Je tangue dans la pièce, trouve le mur, l'y appuie et mon bassin s'anime de nouveau, plus fort, plus vite, me tirant quelques râles de plaisir.

Chaque baiser est une éruption, une fusion de désir et de langueur. Les limites entre nos corps s'estompent, et je me perds dans le labyrinthe de sa sensualité. La passion, telle une marée montante, nous emporte, nous submerge ! Son parfum, une symphonie enivrante, imprègne mes sens. Chaque note résonne comme une promesse, une invitation à plonger plus profondément dans le tourbillon des sensations dingues que son corps inflige au mien.

Le désir, insatiable et vorace, me guide à travers les méandres de la passion. Les frontières entre l'ici et l'ailleurs s'effacent, et nous devenons les architectes de notre propre univers charnel. Je la décolle du mur en la regardant en souriant, heureux d'être ainsi plongé dans son corps. Je contemple son bureau et avise un sofa suffisamment moelleux pour nous accueillir tous les deux. Quelques pas, sans le moins du monde désunir nos corps, la portant comme si elle ne pesait rien.

Les flammes de la passion dansent dans mes prunelles, reflétant le brasier qui brûle en moi. Alchimie mystique qui transcende le quotidien, bouleverse les limites, qui me pousse à l'allonger sur ce meuble et à me glisser contre elle. Dans cet élan brûlant, je me sens comme une étoile filante, tracé lumineux dans le ciel du désir éperdu. Les lignes de mon corps se plaquent aux courbes divines de celle que je ne pourrais plus jamais voir autrement que comme une amante ardente. "C'est tellement bon."   Clairement, son corps semble fait pour accueillir le mien. Il se dégage une perfection insensée de ce moment qu'on partage et j'en veux encore... encore et encore. Ce pourquoi je détache mes lèvres des siennes pour prendre appui sur mes mains et me redresser sur mes avant-bras, afin de la prendre sèchement, faisant claquer nos corps dans un bruit aqueux d'une indécence presque onirique tant elle est parfaite.


 
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MessageSujet: Re: Taygo 1 // C'est pas vraiment de ma faute.   Taygo 1 // C'est pas vraiment de ma faute. EmptySam 25 Nov - 16:17





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-- OutFit-- Il y a quelque chose d’une sensualité folle à l’entendre peiner à se contenir. Dans l’intonation à la fois veloutée et rauque de sa voix, qui semble oublier son latin à ton contact. A chaque souffle qu’il dépose sur ton buste, c’est un peu plus de ton épiderme qui se met à s’embraser. Chaque parcelle qu’il touche ou attentionne semble d’une émotivité particulière, d’une chaleur plus palpable. Tu sens comme il durcit entre tes doigts, comme la tension semble s’emparait de lui, comme elle vibre en toi. Comment as-tu pu te mettre autant d’œillère à son égard. La moindre attention de cet homme te semble le plus fou des euphorisants, le plus démoniaque des alcools.


Tu sens comme vos respirations se raccourcissent à mesure que, là sur ce bureau, vos corps s’abreuvent l’un de l’autre. Tu sens ces mains se saisir de ta croupe, t’approchant du bord, alors que ton regard se plant dans le sien et qu’à la seconde suivant, son bassin agilement pressé, il s’enfonce en toi. L’étroitesse de ton intimité est forcée de lui laisser la place et la friction de vos deux corps est d’une puissance telle que tu te voutes, la bouche entrouverte en abandonnant un gémissement. Il dit avoir été ensorcelé, et activement tu te redresses, ta main attrapant sa mâchoire, ton pouce contre sa lèvre, tu grognes en te saisissant de sa bouche, et en y enfonçant ta langue afin que la sienne s’occupe d’elle. Tu te sens fiévreuse, sauvage et en même temps d’une soumission folle face à lui. Tu es l’animal et la proie, à la fois envieuse de le chasser et terriblement tourmentée d’être traquée. Tu sens son corps se mettre en action et le fait de le sentir en toi sans aucune barrière provoque encore plus de décharges qu’habituellement dans ton corps. Tu grognes contre sa bouche, ce n’est pas rapide, non mais c’est d’une profondeur et d’une intensité à t’en arracher la tignasse. Tu rouvres les yeux détaillant les siens, ton souffle heurtant le sien. Tu ne le lâche pas du regard lorsqu’il te soulève, comme si tu ne pesais rien pour lui.


- Ta façon de me dire que je suis une sorcière ?


Tu étires un sourire, tes bras s’enroulent autour de son cou, ta bouche venait mordiller la surface rugueuse de sa mâchoire, ta langue cajolant les morsures alors qu’abruptement ton dos cogne contre le mur et que tu abandonnes un cri. Celui-ci sera succédé par un rire, alors que ton corps se met à onduler. Enroulées autour de son dos, tes jambes s’activent à te donner l’impulsion pour bouger et lui faire ressentir cette passion dont tu es composée. La cadence s’accélère et tes lèvres viennent de nouveau l’étouffer alors que tu tentes de dissimuler tes ponctuations de plaisir dans sa bouche. Ta peau devient du papier de verre, comme si la chaleur la mettait au supplice, tu le veux partout, plus fort, plus vite, plus intense. Tes doigts s’engouffrent contre son cuir chevelu que tu malmènes. Puis soudainement le mur s’échappe et ta prise se resserre sur lui, il te rend folle. Folle de lui, de sa peau, de son corps et de cette bouche qui te fait perdre la tête. Tu retrouves le bureau, mais le corps de ton amant vient s’y installer aussi, le plat de ce meuble n’a jamais été aussi divin. Tu sens les allers et venus de ton partenaire comme une impulsion à chaque fois plus électrique dans ton corps. La pulpe de tes doigts dévale son corps, son dos, jusqu’au creux de ces reins que tu griffes sensuellement en surface. Il est d’un charme à t’en damner. Ton corps succombe à chacune de ces caresses, de ces baisers qui t’enflamme un peu plus. Il te rend vulnérable, accro, impatiente de chacune de ces attentions. Tu ferais probablement n’importe quoi à cet instant pour qu’il ne s’arrête jamais. Tu entrouvres les lèvres contre sa bouche, le détaillant en susurrant.


- Tu as conscience que je vais avoir envie de retourner aux archives très souvent… ?


Un éclat malicieux teinte doucement tes prunelles avant que ton souffle ne se coupe sous une impulsion plus vive. Tu gémis face à l’intensité qui te submerge. Il se redresse, là planant au-dessus ton corps, son bassin se mettant à claquer plus fort contre ton entrejambe. Les bruits d’entrechoquement n’ont jamais été aussi plaisants, aussi divin à ressentir. Ton corps se saccade contre la surface plane du bureau, agitant ta poitrine alors que tu tentes de te cramponner au corps athlétique d’Hugo. Hugo articule que c’est bon, tu l’observes à bout de souffle, rassemblant un instant ton énergie pour venir mordre sa gorge avant de retomber lourdement et gémir plus fort.


- C’est plus que ça… C’est… Hum… enivrant.



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MessageSujet: Re: Taygo 1 // C'est pas vraiment de ma faute.   Taygo 1 // C'est pas vraiment de ma faute. EmptyLun 27 Nov - 12:23

C'est pas vraiment de ma faute.

Jamais je n'aurais imaginé ce qui est en train de se dérouler sous les or de ce bureau. Jamais je n'aurais pu croire qu'une nature aussi dévorement brulante se dissimulait sous le professionnalisme forcené de miss Lopez... Pourtant, les caresses de ses doigts sont comme des pinceaux qui esquissent des arabesques de plaisir sur la toile de nos peaux entrelacées. La saisir à pleines mains, la rapprocher du bord de ce meuble et me planter en elle jusqu'à la fusion de nos corps, c'est comme sculpter une œuvre érotique dans la matière du désir. Je vibre à sa rencontre, mon corps se tend, mon bassin percute les courbes délicieuses de son corps et je me retrouve haletant l'esprit embrumé par cette nymphe ardente.

Sans protection, c'est plonger tête baissée dans un océan de sensations inconnues, un risque dont je me fous totalement dans le tourbillon de l'instant présent. Ses yeux, éclats de braises, sont des étoiles qui guident ma folle navigation, illuminant chaque vague de plaisir qui déferle. Elle est d'une beauté à couper le souffle, abandonnée à mes assauts. Les mouvements de nos corps deviennent des vagues déferlantes, des pulsations synchronisées par la passion qui pulse dans nos veines. La soulever, la maintenir suspendue entre ciel et terre, simplement retenue par ce pieu de chair planté en elle, comme par la force de mes bras, c'est comme une danse aérienne, une chorégraphie céleste où nos deux corps fusionnent en une étreinte gravitationnelle. Je suffoque de plaisir, mais j'en veux plus, encore plus, je veux avoir le champ libre pour déchainer toute la passion qu'elle m'inspire.

Chaque effleurement de sa peau est une caresse divine, une douce pluie d'étoiles sur la toile de cette intimité partagée. Les baisers échangés sont des éruptions stellaires, des constellations de plaisirs qui illuminent le firmament de notre connexion charnelle. Je me sens ivre, d'une ivresse insondable à l'étrange douceur, je touche entre ses bras à un petit coin de paradis, foutrement insoupçonné. La passion me submerge, m'engloutit, et je la contemple avec un émerveillement digne d'un explorateur découvrant un continent secret. Elle est tellement plus que ça...  J'ai la divine impression d'être le cartographe de son propre univers sensuel, dessinant des constellations érotiques sur sa peau, pour découvrir ce qu'elle aime et lui en donner plus encore.

La porter, sans me retirer d'elle, vers ce sofa moelleux est comme dériver sur un nuage, une descente douce vers un horizon de plaisirs inexplorés et fougueux. Les flammes de la passion dansent dans mes yeux, une lumière que je dois à l'ardeur avec laquelle son corps réponds au mien. Dans cet élan brûlant, je me sens tel une étoile filante, un éclat fugace qui traverse le ciel du désir avec une intensité éblouissante. Je souris en l'entendant me signifier que cette étoile pourrait bien briller fort et longtemps, puisqu'elle signifie à sa façon son envie de revivre ça, avec moi. Les courbes de nos corps s'entrelacent, une fresque sensuelle de l'amour déchaîné, et je me perds avec délice dans cette toile incandescente que nous tissons ensemble. "Viens foutre le bordel dans mes archives quand tu voudras."    Chaque mot est ponctué d'un coup de bassin lascif et j'achève ma tirade en dévorant ardemment sa bouche. Je peux m'appuyer sur mes avant bras et j'ai toute la puissance nécessaire pour la faire mienne avec l'intensité que mon corps exige.

Je me plante inlassablement en elle, mes yeux se gorgeant de l'image de son buste, de ses traits déformés par le plaisir, de la façon délicieuse dont ses seins bougent sous mes assauts. Cette femme est étourdissante de perfection et je sens mon plaisir qui menace de plus en plus d'éclore. "C'est toi... toi qui est enivrante. Putain !"   Le rythme de mon bassin devient presque insensé, fort, vite, puissamment, je me perds en elle, espérant l'entraîner avec moi dans les affres d'un plaisir qui est en train de gagner du terrain. Je ne sais par quel miracle je tiens encore, mais déjà cette pulsation qui s'empare de mon être au rythme des battements erratiques de mon coeur... et puis... l'explosion. !
Dans cet instant suspendu, mon souffle s'accélère, chaque battement de mon cœur résonne dans tout mon être. Un frisson électrique parcourt ma colonne vertébrale, annonciateur d'une déferlante imminente. Mes sens s'aiguisent, capturant chaque nuance de plaisir qui monte en crescendo. Puis, l'extase éclate, une onde délicieuse qui submerge chaque fibre de mon être, me laissant bercé dans le doux écho d'une émotion indescriptible, éphémère et sublime. Passion faite femme, orgasme tonitruant, je flotte dans un monde qui n'a aucun autre sens que celui qui me relie à elle. Mes yeux noyés s'arrêtent dans les siens et je lui souris avec une douceur rare, tout en me mouvant très lentement en elle, comme bercé par les échos d'un plaisir plus grand que moi.


 
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MessageSujet: Re: Taygo 1 // C'est pas vraiment de ma faute.   Taygo 1 // C'est pas vraiment de ma faute. EmptyMar 5 Déc - 15:04




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-- OutFit-- Tu as véritablement perdu la tête en te laissant charmer par Hugo. En général, tu es totalement capable de garder le contrôle sur tes envies, sur tes pulsions. Tu es une femme ayant appris la maîtrise, que ce soit dans un tribunal ou dans un interrogatoire. Te maitriser face à l’attirance d’un homme ne devrait pas être aussi difficile. Et pourtant, il a fallu un seul de ces regards. Il a simplement fallu que tu découvres l’odeur de sa peau, la proximité de son corps pour que tu comprennes que tu allais provoquer cet homme. Oui le provoquer mais pas seulement. Tu allais véritablement le traquer, le pousser à te désirer, à te convoiter assez fort qu’il soit incapable de penser à autre chose. Parce que c’était ton cas, en l’espace d’une petite seconde tu as oublié qui il était et tu l’as désiré avec tellement d’ardeur que ta morale s’est jetée toute seule aux oubliettes.


L’envie est impossible à réprimer maintenant que ces doigts sont sur ta peau, maintenant que vos vêtements jonchent le sol et que tu connais la manière sauvage dont ces lèvres te dévorent. Ton corps s’est embrasé à chaque fois que ces phalanges ont pressées ta peau, à chaque fois que ces baisers se sont plus volcaniques. Et tu as prise véritablement feu lorsque brusquement il s’est enfonçait au fond de toi, te coupant entièrement du monde pour que ton attention ne soit que sur une seule et uniquement personne, lui. La manière dont son corps bouge contre le tien te fait l’effet d’une drogue dont tu ne peux te passer. Chaque ondulation de son bassin rend le tien plus sensible, il fait grandir en toi un brasier que tu ne maîtrises absolument pas. La manière dont ces yeux sombres et brillants, te regardent pendant que vos corps s’assouvissent te fait frémir de la tête aux pieds, sans que tu ne saches identifier pourquoi. Au creux de ces bras qui s’emparent de toi comme si tu ne représentais aucun effort, tu te sens vivante, vibrante. C’est difficile à expliquer mais son contact enflamme tout bonnement chacun de tes sens. Ta bouche réclame la sienne et lorsqu’il te dépose sur ce sofa ton corps s’incline encore plus en sa direction. Comme si l’aimant qui avait attiré vos deux corps refusaient de vous rendre de la liberté. Tu le préviens de tes envies à renouveler tes passages dans ces archives et tu abandonnes petit rire étouffé sous les coups de butoir, lorsqu’il te dit que tu peux y foutre le bordel lorsqu’il te plaira. Ton souffle devient difficile à canaliser alors tes mains passent de ces flancs à son dos, pour le griffer sensuellement. Sa bouche s’écrase contre la tienne t’arrachant un doux gémissement qui se meurt dans sa gorge.


- Me tenter pourrait bien vous… Han ! Vous créer des problème Mr Castelli…


Les coups de bassin deviennent de plus en plus énergiques, de plus en plus profond aussi. Tu sens le nœud dans ton ventre se chargeait à chaque poussé de son corps au travers du tien. Il semble savoir parfaitement comment te faire venir à lui, et sa capacité à lire en toi t’effraie quelque peu. L’une de tes mains attrapent sa nuque s’y agrippe alors que ta bouche vient cajoler sa mâchoire puis sa nuque, jusqu’à ce que tu accèdes à son oreille. Tu gémis sensuellement contre celle-ci, avant de sentir ton corps s’arquait de plus en plus sous l’effort. Il articule que tu es enivrante et alors tu grognes contre cette oreille que tu viens doucement mordiller avec toute la délicatesse nécessaire.


- Hugo… Je vais… Hum… Je vais jouir.


Si tes mots sont totalement vrais, tu fais aussi en sorte de les placer au moment propice. Tu sais que tu es sur le rebord d’une chute qui promet d’être totalement sensationnel. Hugo vient de faire grimper ton corps avec une facilité qui t’a totalement décontenancée. Ton intimité amorce de se contracter et brusquement ton cri retenti, court mais aigus, tout ton être se met à trembler sous l’impact que son corps vient de propulser dans le tien. Ton corps s’agite, ta peau frémis alors que l’orgasme dévale tes fibres nerveuses de la tête aux pieds. Durant un demi second, tu es projeté dans un chaos fou où seul règne le plaisir et la déchéance de ton orgasme. C’est violent, explosif et tu as adore ça. Ton regard s’est chargé de vide pendant cet instant, et peu à peu tu reviens à toi, à lui et l’intensité de ces yeux qui t’observent. Son sourire revient sur son visage et ta bouche entrouverte est tremblante par l’émotion qui vient de te transpercer. Ton souffle revient peu à peu, tu ne l’avais pas remarqué mais durant un instant en le regardant tu as oublié que l’air t’était nécessaire. Tu abandonnes un éclat de rire en revenant à toi, et ton index rejoint doucement la courbure de ces lèvres charnues et rougis de part tes morsures. Il est toujours en toi, et ces mouvements perdurent comme pour faire durer cette sensation délicate de plénitude. Vous avez omis de vous protéger et tu n’arrives pas à te dire que c’est grave là tout de suite. La sensation est tellement forte que tu n’as absolument pas envie que cela s’arrête. Tu fermes un instant les yeux, susurrant du bout des lèvres.


- On devrait être en désaccord à propos de ta stagiaire plus souvent…


Tu rouvres tes iris pétillantes sur lui et délicatement ta bouche revient s’emparait avec sensualité de la sienne. Tu sais que l’instant va se briser d’ici peu et une part de toi se révulse à cet idée.


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MessageSujet: Re: Taygo 1 // C'est pas vraiment de ma faute.   Taygo 1 // C'est pas vraiment de ma faute. EmptyJeu 21 Déc - 22:40

C'est pas vraiment de ma faute.

Dans la violence cadence de notre étreinte, chaque caresse que je prodigue devient une poésie sensuelle, une symphonie de désir entrelacée avec la dévotion obsessionnelle qui caractérise ce moment. Cette femme me rend ivre, de passion mais surtout et avant tout... d'elle. Mes lèvres parcourent des territoires inconnus, traçant des cartographies de plaisirs encore inexplorés. Les soupirs qui s'échappent de moi résonnent comme des poèmes, des vers à la délicatesse érotique qui emplit l'espace de l'indécence la plus douce qu'il puisse être donnée de contempler.

Chaque mouvement est une offrande, chaque gémissement une prière murmurée dans l'enceinte sacrée d'un eden enflammé. Les sensations, riches et nuancées, se tordent et se plient, créant une symphonie de plaisirs qui culmine dans une explosion d'étoiles. Les frontières de l'extase se diluent, nous nous perdons dans l'éther du plaisir, emportés par la marée de nos émotions mêlées. Elle annonce sa jouissance et je crois que c'est ce qui m'emporte. Je jouis en elle... sans la moindre once de retenue, les traits brulants de mon extase venant exprimer la puissance des sensations qui assaillent tout mon corps.

Les battements de nos cœurs résonnent en harmonie, une mélodie captivante qui marque la conclusion de cette danse envoûtante. Les étreintes passionnées laissent place à une quiétude apaisante, une pause bien méritée après l'apogée tumultueux de nos désirs. Les regards complices échangés sont des promesses tacites de lendemains ardents, où chaque rendez-vous serait une nouvelle exploration, une aventure presque infinie à vivre. Je souris en l'entendant rire, son corps se resserrant sur le mien et me tirant un intense frisson.

Nos corps, encore frémissants, trouvent refuge l'un contre l'autre, une étreinte qui transcende le simple acte charnel pour devenir une fusion d'âmes éperdues dans les délices de l'amour partagé. Dans ce moment de quiétude, l'écho de nos émotions persiste, laissant dans son sillage une trace indélébile de cette nuit qui a changé la trajectoire de nos existences. Et tandis que nos souffles se calment, son bureau chargé de l'arôme enivrant de nos ébats, une promesse silencieuse semble flotter dans l'air. Une promesse qu'elle traduit en mot et qui me tire un rire à mon tour. Ma main remonte le long de sa colonne vertébrale et je l'attire tout contre moi, je caresse sa peau, vient jusqu'à sa nuque que je cajole du bout de mes doigts. "Ce programme me va à la perfection."    Comment pourrait il en être autrement ? Elle est d'une beauté à couper le souffle, ardente comme la plus enfiévrée des flammes... d'une sensualité qui rappelle ces contes que j'ai pu lire sur les muses des poètes. Cette femme est une déesse de passion et je sens déjà le manque s'infiltrer sous ma peau, alors même que je n'ai pas quitté le havre accueillant de son antre.

Je l'embrasse avec une forme de douceur qui contraste avec la passion précédente, longuement, avec délicatesse, les doigts courant contre le velouté incroyable de sa peau. Quand je recule la tête c'est pour plonger dans son regard. "Je crois qu'on va devoir aller chez moi."   C'est dit avec une petite moue qui vient ourler mes lèvres. "J'ai très envie de voir ce que donne cette chevelure d'ange étalée sur mon oreiller."   Je le dis posément, comme si je ne doutais pas le moins du monde d'obtenir une réponse positive, alors que c'est un peu moins clair sous mon crâne. L'arrogance comme armure, ça me connait. "La bonne réponse c'est oui, tout de suite, ou à la rigueur, oui, mais plus tard ce soir Hugo."   Petit rire et clin d'œil avant de reprendre sa bouche d'assaut. Tant qu'à faire autant lui donner un argument de plus en ma faveur, non ? Je trouverais horriblement frustrant de ne pas prolonger l'instant, c'est finalement ce que je viens de lui livrer, à ma manière. Rien de ce qui vient de se passer n'était prémédité et c'est parfait ainsi. J'aime me laisser porter par la vie, par l'envie. Je crois que tirer des plans sur la comète, j'en suis guéri...


 
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MessageSujet: Re: Taygo 1 // C'est pas vraiment de ma faute.   Taygo 1 // C'est pas vraiment de ma faute. EmptyLun 25 Déc - 23:43



❝ C'est vraiment pas ma faute ❞
- Taylor Lopez &  @Hugo Castelli   -
Rien n'est plus sexy qu'un homme en colère
   
-- OutFit-- Tu n’expliques pas ce tu vis sur l’instant, ni concernant l’intensité du moment, ni face à la déroute qu’il a déchainé des le premier contact entre sa peau et la tienne. Ce rapprochement n’était pas sensé se produire, il n’était venu que pour se plaindre de sa petite stagiaire incompétente après tout. Hugo est telle une mer calme d’apparence, tu as toujours cru qu’il était le genre d’archiviste sympa, et relativement mignon quand tu y repenses, mais sans feu à l’intérieur de lui. Tu ne voyais en lui qu’un homme brillant mais honnêtement, loin d’être en mesure de t’attirer dans ces filets. Et pourtant…


Tu ne pourras clairement plus jamais croiser ces yeux, ce regard captivant et finalement des plus mystérieux, cachant une fougue totalement démesurée, sans penser à ce qui vient de se passer. Tu ne pourras clairement plus envisager le croiser dans ces couloirs, sans repenser à la déchéance de votre passion l’un pour l’autre dans ce bureau. Il vient de te faire vivre un moment purement et simplement fou. Un instant irraisonné et dingue qui t’a fait atteindre des cimes de plaisir absolument inimaginable. Sa manière d’atteindre son propre plaisir, t’a emporté dans un tourment qui toi-même t’a déstabilisée. La tension dans son corps lorsqu’il a basculé, l’avidité avec laquelle il a repoussé ces limites pour succomber à toi, la folie qui a animé son regard alors qu’en simultanée vos corps ont abandonnés toute défense, tout ça est une litanie dont qui a soudainement empreint ton sang jusqu’au frisson ultime.  


Vos corps redescendent d’une trans sans équivoque, et l’adrénaline pulsante dans tes veines, s’efface délicatement pour laisser la place à la plénitude succédant à l’effort. C’est l’instant où tu vas tout gâcher, l’instant où comme à ton habitude tu vas dire à ton partenaire que c’était chouette mais qu’il est temps qu’il disparaisse. Aucune raison personnelle à cela, tu es juste ce genre de femmes, indépendante et sans attache qui préfère être vu comme une salope qu’une entichée pitoyable. Les hommes sont à tes yeux interchangeables, tu ne comprendras jamais comment certaines se retrouve aux abois pour l’un d’eux, dévasté de leurs tromperies, trahisons. Non… En réalité tu agis comme ils le font avec les femmes et tu l’assumes.


Ton corps frémis encore alors que tu croises ces iris, et que les mots qui s’apprêtent à briser l’instant reste stagnants dans le fond de ta gorge. Il rit à ta remarque à propos de sa stagiaire, et ces doigts remontent le long de ta colonne vertébrale. Un frisson parcourt ton échine et se diffuse au travers de ton épiderme. Il te répond, qu’il est parfaitement d’accord avec ce programme. Ton sourcil se soulève sous la curiosité. Pourquoi tente-t-il encore de te séduire alors qu’il vient d’être assouvi ? Pourquoi son regard continue de te contempler avec une intensité folle alors que vous venez d’atteindre le plus haut de tous les sommets ? Tu entrouvres les lèvres mais à l’instant où tu le fais sa bouche couvre la tienne, comme s’il savait. Tu inspires et fond devant cette manière qu’il a de te clouer le bec à chaque instant où ton esprit et ton aura cherche à le faire s’en aller. Tes doigts se posent sur sa joue durant son baiser, ton intention initiale est le faire reculer et pourtant, tu le caresses. Bordel Tay’ tu vas lui dire de remballer son bordel et foutre le camp ! Ouais… Mais ces iris qui flambent de milles brasiers te réduit à la captivité. Il finit par te dire qu’il pense que vous devriez aller chez lui, qu’il voudrait voir tes cheveux d’ange sur son oreiller. Et une part de toi frisonne brusquement à cette éventualité. Putain pourquoi quand il expose les choses aussi sensuellement tu as juste envie de tout lâcher et de l’emmener toi-même jusqu’à chez lui ? Tu ne réponds pas, tu en es incapable. Tu sens sa bouche revenir à l’assaut de la tienne et tu as terriblement envie qu’il recommence. Qu’il te fasse à nouveau l’amour comme là tout de suite. Quoi ? Non ! Il est quelle heure ? 10h du matin ? Tu as des dizaines d’affaire sur le feu. Ton regard se tourne accidentellement vers l’horloge design trônant au-dessus de ton bureau, assez pour voir qu’en réalité il est 11h passé et soudainement la panique prend vie dans tout ton être. Ce n’est pas possible ! Ca fait combien de temps que toi et lui vous êtes en train de succomber ? Tu as une affaire au tribunal qui doit débuter dans 10 minutes.


- Oh bordel… Non ! Ce n’est pas possible !


Tu te dégages instantanément de son corps. Quittant l’aura délicieuse de ces bras et la tendresse de cette communion avec son corps. Ton punch est tel, que le corps d’Hugo s’écroule du canapé au sol dans le mouvement. Tu détales vers tes vêtements que tu renfiles avec une rapidité folle. Il semble grogner un instant, articulant une réponse que tu devrais dire, alors que tu viens d’enfiler ton sous vêtement et que tes seins regagnent leurs cocons de dentelle. Ton regard s’aventure sur lui, tes iris croisent les siennes, et tu inspires regardant le corps de cet homme dans son plus simple appareille, qui reste d’une attirance divine malgré la passion dissolue. Sans ce merdier qu’il vient de foutre en venant te raconter ces déboires avec son assistante, tu n’aurais jamais su à quel point il pouvait être additif.


- Je suis sensée plaidé dans 10 minutes… Je devrais déjà être au tribunal… Au lieu de…


Tu vois son corps se mouvait et tu manques un battement. Putain ce n’est qu’un corps bordel de merde. Tu inspires, tente de refroidir tes pensées avant de susurrer.


- Au lieu de te regarder comme je le fais.


Tu détaches ton regard de lui, cherchant sans vraiment y parvenir ta foutue jupe qui devrait être pourtant à cet endroit.


- Putain et elle est ou cette jupe ?



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MessageSujet: Re: Taygo 1 // C'est pas vraiment de ma faute.   Taygo 1 // C'est pas vraiment de ma faute. EmptyVen 19 Jan - 17:59

C'est pas vraiment de ma faute.

Y a un truc qui ne loupe jamais ! Plus tu vis un joli moment, plus la bulle est belle et douce et plus ça fait bizarre quand elle explose ! C'est exactement la sensation que j'ai quand au lieu d'entrer dans mon jeu elle s'agite et m'échappe. Elle tourne comme un putain de derviche tourneur dans son bureau pendant que je me déplace tranquillement dans toute la gloire de ma nudité pour m'installer finalement sur son fauteuil. "D'accord Hugo, plus tard."   Je ris tout bas et appuie ma joue dans ma main alors que je la regarde chercher ses fringues partout. "Tu es vraiment parfaite sans, mais ça risque de leur faire bizarre à la barre."   Nouveau petit rire avant que je n'avise le vêtement et que je me lève pour le récupérer avant elle.

Je fais tourner la jupe autour de mon index et lui fait signe d'approcher de l'autre. "Je crois que tu vas devoir me la demander vraiment très gentiment."   Petit con dans l'âme et devant l'éternel je m'amuse de la situation et me moque totalement que ce soit inconvenant ou qu'elle soit réellement pressée, ni que ce soit important d'ailleurs. J'ai ma façon de concevoir les priorités et clairement tirer d'autres soupirs de plaisir à sa gorge est monté directement dans le top 5 ! "J'aime bien quand tu me regardes en plus, on dirait que tu vas me bouffer."   J'abuse, mais c'est tellement agréable de la voir me foudroyer de toute son arrogance.

Je n'ai jamais été très sensible à l'intimidation et clairement désormais ces yeux noirs auront je le crains toujours tendance à m'exciter. J'attends qu'elle approche pour plaquer la main contre ses reins et la cambrer contre moi. Je suis toujours nu et toujours disons... en forme. Quand j'écrase la bouche sur la sienne pour faire virevolter ma langue contre sa jumelle. Je lui abandonne le vêtement entre les mains et je reste planté devant elle, m'amusant à creuser le ventre pour faire ressortir ma musculature. "Je t'attend ici dans cette tenue ou ça ferait mauvais genre madame la procureure?"  

Je joue avec le feu et je risque à tout moment de me prendre un skud ou un gros stop, mais alors ça aussi c'est le cadet de mes soucis. Je m'amuse et ça me suffit. Je n'ai pas vraiment d'ego sur ce genre de chose, enfin si... c'est plutôt que je sais faire en sorte que ça ne m'affecte pas et de me contenter de faire mon petit bonhomme de chemin. J'attends qu'elle soit parfaitement habillée pour venir dans son dos et passer mes doigts dans ses cheveux. Je les relève avec un soin particulier et une immense douceur, tout en embrassant doucement sa gorge. On ne dirait pas mais je suis parfaitement attentif et je parviens à créer un chignon du plus bel effet. Peut être pas aussi strict qu'à l'accoutumée, mais j'imagine qu'elle ne fait pas l'amour à chaque fois qu'elle doit plaider? En tout cas j'espère, parce que je crois que je serais un peu vexé. Je fais en sorte de ne pas imposer mon sexe contre ses fesses, me montrant doux, et faisant basculer un bracelet noir que j'ai au poignet en guise d'élastique pour parachever sa coiffure. Je me recule, me décale et me place devant elle pour lui faire un clin d'oeil. "Maintenant je vais rêver de te l'enlever et toi... tu as un bracelet à me ramener."   Sourire et je me détourne pour rapidement récupérer mes fringues. Exit le boxer, j'm'en tape, je passe au pantalon, ajoute le haut, fait en sorte de ne pas être trop débraillé et je la rejoins pour l'embrasser doucement. "Tu vas tout déchirer et on fête ça ce soir, chez moi ok ?"   Si c'est non, tanpis, mais on pourra pas me reprocher de pas avoir essayé. Logique en même temps, j'en crève d'envie !


 
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