decadent night || Aaron & Anastasia

Aaron & Anastasia

@Aaron Cooper

M'amuser de manière insouciante, faire la fête comme n'importe quelle jeune femme de mon âge sans me soucier des Russes et de la pression pourtant constante qu'ils exercent sur moi. Je veux et je dois profiter de chaque moments qui m'est offert. Ma vie a beau être chaotique je sais profiter des bons moments quand ils se présentent à moi. Le fric est rapidement un frein dans mes loisirs... le peu que je gagne je l'économise pour nous sortir de là ma soeur et moi. Une chance pour moi... quand on est une jeune fille bien roulée c'est facile de rentrer dans les boites à l'oeil et plus encore pour se faire offrir des consommations. Un petit jeu de séduction qui peut ouvrir plus de porte qu'on pourrait le croire. Il suffit de savoir s'y prendre. C'est vêtu d'un mini short en jean au bord effiloché et d'un croc-top écarlate mettant parfaitement mon petit ventre plat à la peau blachounette. Une paire d'escarpins donner de l'allure à mes jambes fines et un blouson en cuir sombre pour parfaire ma tenue. Mes cheveux eux sont lâchés, cascadant dans mon dos. Je suis une jolie fille et j'en ai pleinement conscience.

C'est sans mal que j'arrive à entrer sans payer. C'est connu les filles attirent les mecs dans ce genre d'endroit et ce sont eux qui rincent, et je ne vais pas m'en plaindre. À l'intérieur la musique - trop fort peut être - raisonnent en moi, j'ai envie de m'amuser ce soir, de déconnecter ce cerveau qui pense trop. Prendre du bon temps. Point barre. Avant d'aller me trémousser sur la piste de danse j'abuse de mon sourire enjôleur pour me faire offrir quelques verres. Me foutre complètement la tête à l'envers n'est pas exclu ce soir. Il ne me faut pas beaucoup de verre pour que l'alcool commence à me monter à la tête  m'aidant ainsi à lâcher les dernières brides qui retenaient sagement ma raison. Un dernier shot et je me fraye un chemin au coeur de la foule pour aller danser. Je m'amuse et ça fais si longtemps que ça ne m'étais pas arrivé que je lâche tout. Mon regard accroche rapidement celui d'un bellâtre. Séductrice, mon corps ondule au rythme effréné de la musique, me trémoussant pour l'aguicher outrageusement. Rapidement nos corps se rapprochent pour danser comme s'ils formaient qu'une seule entité. Un jeu de regards délicieux comme alors, faisant indéniablement monter la température. Le temps défile et j'ai cette sensation délicieuse de perdre toutes notions de temps. C'est agréable et j'en profite sans me poser de question. Pas aujourd'hui. Pas ce soir. Mes doigts fins se referment autour des siens, un simple regard taquin et je l'entraîne avec moi pour nous trouver un coin un peu à l'écart de la foule. C'est un petit recoin tranquille, on entend la musique ambiante de la salle principale mais de manière très atténuée, ce qui rend des paroles plus audibles à présent, même si pour l’heure mon humeur n’est pas franchement à la causette. Tactile mes doigts courent sur sa peau et mon regard cherche à sonder le sien juste avant que mes lèvres effleurent les siennes pour finalement venir l’embrasser. Dos contre le mur, je l’attire contre moi, plaquant mon bassin contre le sien, cherchant pour l’instant qu’une chose : m’amuser, m’éclater.

BY .SOULMATES

Ce n’est pas le bon jour… Ce n’est pas le bon jour… Je déteste cette journée… Je la hais profondément. C’est l’anniversaire de la mort d’Alice. Depuis minuit, je suis incapable de dormir. Depuis minuit, je suis là allongé sur le lit à repasser le premier instant, les beaux et les mauvais moments. Les moments ensemble et la fin. La terrible fin. Cette boite qu’on ferme et qu’on fout dans la terre en se disant qu’on va passer à autre chose maintenant qu’on ne voit plus. Je ne sais pas non plus quel connard a bien pu dire que les souvenirs sont bien plus doux avec le temps est le pire des connards de l’univers. Depuis la mort d’Alice, je ne vois plus aucun intérêt à cette existence. Mais j’ai promis. J’ai promis de continuer parce qu’elle aurait adoré vivre et elle était désolée de ne pas continuer avec moi, mais elle était contente que je sois allé au bout de son chemin avec elle et d’avoir été un bout du mien. Cette phrase me tord le ventre et je suis obligé de cacher mes yeux derrière mon avant-bras pour sangloter comme une merde lamentable. Continuer à quoi ça sert quand on est mort à l’intérieur ? Que je ne suis que poussière et merde. Je tourne en rond. Je m’énerve au moindre truc. Je vais sur la place et je regarde les vagues. Rien n’y fais de toute façon et Alice ne veut pas de fleurs ni que j’aille sur sa tombe. Et j’aurais honte d’y aller et qu’elle me voit comme ça. Qu’elle voit ce que je suis. Que je ne suis plus Aaron, mais une sorte… D’épave qui roule tant bien que mal tant qu’il reste du carburant, mais qui de toute façon avance droit sur la falaise. Au diable le reste. Ce soir, je dois vivre pour elle. Je dois baiser, rire, danser, crier, hurler. Je dois… Faire ce qu’elle ne peut plus faire.

Je passe une chemise noire. Je garde le bouton du haut ouvert, manches retroussées sur mes avants bras, jean cintré et j’attache mes cheveux pour une allure plus soignée. Je vais en boîte et je tape un check au videur lui glissant un billet de 100$, il me laisse entrer et je me dirige à l’intérieur. Je commence par une Vodka tonique que j’avale en 10 secondes. L’ambiance est bonne et l’alcool va monter plus vite. Je vais danser. Je m’épuise à bouger au rythme de la musique les yeux fermés voulant rester dans une bulle. La soif revient et je retourne boire. 5 shots de tequila que j’enchaîne avant de repartir. Je bougeais, les gens se serrent autour de moi. Je sens des mains me toucher et pourtant, je ne bronche pas. Je danse et je me moque de ce qui est autour. J’ai le cerveau embrumé et quand j’ouvre les yeux, je remarque cette petite poupée parfaite et magnifiquement fixée sur moi. Son corps est diaboliquement attirant et sa manière de le faire onduler au rythme des basses me fait suffoquer de désir. Je m’approche d’elle et rapidement, je me retrouve à m’enivrer de son parfum exacerbé par la fine pellicule de sueur qui rend sa peau brillante et belle. Je me colle à elle et la danse deviens lascive. Elle a envie et moi aussi. Je bande contre elle sans me contenir ou craindre de l’offusquer. Je ne dirais pas non si elle voulait se faire démonter… Elle prend mes doigts et m’entraîne. Je me laisse faire et elle m’attire dans un recoin tranquille et me touche avant d’effleurer mes lèvres des siennes. L’esprit embrumé par l’alcool, je me colle et elle m’embrasse. Sa bouche trouve la mienne et je la plaque au mur contre moi alors qu’elle me tend son bassin. Putain, je suis à deux doigts de la baiser comme ça devant tout le monde. Je fais du porno la pudeur, ce n'est pas mon truc. Et j’ai bu… Beaucoup… Un videur approche et me tape sur l’épaule. Il me désigne des petites salles discrètes pour s’isoler, on y entend moins la musique et souvent, c’est là qu’on fait des choses un peu… Inavouable quand on a du fric ou qu’on répugne à faire ça dans les toilettes. J’entraîne la jolie blonde en lui prenant la main. Je ne connais même pas son nom. Je paye pour l’accès et le gars me dit que les consos sont comprise mais qu’il peut m’avoir un extra. Je double le tarif et lui prends 20 grammes de poudre blanche. Je range le sachet dans ma poche et rentre avec la jolie blonde et me tourne vers elle pour l’embrasser avant de dire.

« Dessape-toi, j’me fais une ligne et on s’y met… »

Aaron & Anastasia

@Aaron Cooper

La musique pulse et fait vibrer chaque parcelle de mon corps en rythme. Les premiers effets des verres d’alcool que je me suis déjà enfilé commence à faire effet, poussant le curseur de la raison sur off. Mon regard accroche celui de ce mec, le genre de beau gosse qui ne passe pas inaperçu. Quelques regards brûlants, ondulation de corps lassif et l’attraction physique fait le reste. Mon corps se retrouve plaqué contre le mien. Mes doigts fins glissent autour de sa nuque et mon regard accroche le sien. Mon bassin se balance au rythme des basses, je danse lascivement et pourtant ce n’est pas la musique qui accapare mon esprit à cet instant. Ce que je sent durcir contre ma croupe quand je danse contre lui ne m’offusque pas le moins du monde. Bien au contraire en faite. Je l’entraine à l’écart pour profiter de cet homme d’une tout autre manière, et il n’a pas l’air contre cette idée. Mes lèvres jouent avec les siennes avant qu’il me plaque au mur pour appuyer ce baiser. Mon bassin ondule instinctivement contre le sien. J’ai trop bu et mon esprit est incapable de faire la part des choses entre ce qui est convenable ou non et je l’aurais probablement laissé me baiser à même ce mur si le videur n’était pas venu lui taper sur l’épaule. J’affiche une moue presque boudeuse quand je suis contrariée que ce gorille soit venu nous interrompre.

Mon sourire retrouve de son éclat quand on s’aventure dans une petite salle à l’écart avec tout à notre disposition pour passer une soirée mémorable. Ou alors tout ce qu’on aura bu aura altéré notre mémoire demain matin… nous verrons bien, pour l’heure je songe qu’au moment présent. Mon partenaire d’un soir - dont je ne connais même pas encore le prénom soit dit en passant - paie pour cette petite salle boisson… et drogue compris aussi visiblement. Je ne fais pas faire l’offusqué quand je ne crache pas dessus moi non plus par moment.

**« Dessape-toi, j’me fais une ligne et on s’y met… »** J’ai encore le goût de ses lèvres sur les miennes et j’affiche un sourire amusé quand il est direct avec moi. Au quotidien je vend mon corps alors je n’ais plus de pudeur depuis bien longtemps. Je lui adresse qu’un clin d’oeil complice quand je me détache de lui pour monter sur la petite table. Je descend cul sec un shoot au passage avant de commencer à me déhancher devant lui. Lentement, je me débarrasse mon corps un à un de chaque morceaux de tissus. Pendant ce temps il se fait sa ligne, j’attend à peine qu’il est terminé pour le rejoindre. Est-ce que j’ai le feu aux fesses ? Disons qu’il me plais et je m’en cache pas. “Je te trouve beaucoup trop habillé… ” Je viens m’asseoir à califourchon sur ses genoux, jouant et abusant peut être de mes airs de poupée avec cette petite moue boudeuse. Je me mords la lèvre inférieur avant de me jeter sur les siennes pour le dévorer d’un baiser. Mes mains elles s’affèrent à déboutonner à l’a va vite les boutons de sa chemise, grognant de frustration quand certains me résiste. Je manque de patience et l’alcool embrumant mon esprit me rend pas la tâche facile. Suis je trop impatiente ? Trop entreprenante ? On s’en fiche au fond non ? Je m’attaque à sa ceinture que je déboucle en un rien de temps. Après tout nous ne sommes pas encore sur un pied d’égalité tous les deux.

BY .SOULMATES

Si la dame n’a pas de pudeur, ça me va bien. Je suis acteur de films pour adulte et je n’ai aucune gêne à montrer tout ce que je cache sous mes habits et plus encore.Si la dame n’a pas de pudeur, ça me va bien. Une très jolie femme, de quoi m’embrouiller la tête et pas de chichis… C’est parfait la nuit s’annonce bien. La fille ne s’est pas faite priée. Elle se déshabille sans attendre puis monte sur une petite table et prend un shot qu’elle s’enfile. Je pose quelques grammes de poudre blanche sur la table. J’en mets sans faire trop attention à combien ni comment. Je pose mon nez tout contre et j’inspire. La sensation désagréable de la poudre qui entre dans mon nez laisse place à celle qui donne ce crépitement qui me semble ramper jusque dans mon cerveau. J’ai l’impression un instant de voir le monde accélérer et ralentir. La sensation de calme et de chaleur se diffuse en moi. Je ne vois rien. Je ne pense plus à rien et ça me fait du bien. Je regarde alors la jolie blonde nue qui me fixe et j’approche avec un sourire excité et un peu vaseux. Merde, c’était bien fort ce truc… Elle me dit que je suis trop habillé et je me retrouve assis avec la fille nue sur moi. C’est arrivé quand ? Nue sur moi, elle m’embrasse et me mord la lèvre, je frissonne et envoie ma langue contre la sienne l’enroulant avec délice pour un baiser fiévreux alors que je saisis ses fesses nues et la rapproche de moi pour qu’elle sente cette grosse bosse sous mon jean. Elle déboutonne ma chemise en hâte. Une fois ouverte, elle glisse ses mains sur ma boucle de ceinture. Oh merde elle est chaude, je vais passer une belle nuit ! Je la repousser et trouve sa poitrine sur laquelle je plonge avec ma bouche venant déguster ses seins l’un après l’autre me délectant de leur forme et de leur grosseur. Ma ceinture s’ouvre et mon jean aussi. Elle peut sentir mon sexe qui veut s’arracher de sa prison de tissus. J’ai envie de lui dire que j’espère qu’elle aime les gros engins parce que je suis acteur de cul et que j’ai une énorme… Oula…. OULA… Ça tourne. Mon corps tremble comme pris de convulsion et tout le son se brouille autour de moi. Je me sens partir et mon nez se met à saigner. Je le vois en baissant les yeux des gouttes tombent sur mon torse. La regarde et BLACK OUT.

Aaron s’effondre sous le corps nu de la jeune femme à califourchon sur lui. À peine le temps pour elle de réaliser ce qu’il se passe que la porte s’ouvre et que deux hommes entrent avec leurs plaques de flic autour du cou tenues par une chaîne. « Police, madame rhabillez vous et… Putain Gomez ! Il ne va pas bien ? » Tout s’enchaîne. Une des flics écarte la petite blonde et lui demande ce qu’il se passe. Gomez lui va vérifier le pouls d’Aaron qu’il couche en PLS sur la banquette. Il appelle une ambulance et signale à son collègue la présence de drogue. Le gars regarde la jeune femme et lui demande ce qu’il s’est passé ? Ce qu’ils ont pris ? Qui elle est ? Et la noie de question alors qu'Aaron reste désespérément inconscient…

Aaron & Anastasia

@Aaron Cooper

Je ne sais pas ce qui peu souvent me conduire à avoir ce comportement insouciant me créant des emmerdes bien plus souvent que c’est acceptable. C’est comme si une part de moi voulait délibérément se foutre dans la merde. Pourquoi ? Dans ma vie il n’y a pas assez de chose qui dérapent ? Bien sur que si ma vie tout entière est faite de dérapages incontrôlable. Me laisser porter pas les évènements, mes envies c’est tout ce que je veux. Me changer les idées, ne pas penser aux conséquences. Ce comportement est peut être autodestructeur mais je m’en cogne.

Je connais même pas son nom et on se retrouve déjà dans un salon privé ensemble. Je ne cherche pas à en apprendre davantage sur ce bellâtre, on semble raccord sur nos intentions mutuelles et c’est bien là tout ce qui compte non ? Je me dessape devant lui, ma pudeur est mise au placard. L’alcool coulant dans mes veines plaque au sol ce qui pourrait me rester de bon sens et de retenue. Il se fait sa ligne de poudre. Pour ma part je ne touche pas à cette merde, mais l’alcool en revanche je ne crache pas dessus. Je me descends encore deux shoot avant de venir m’installer sur ses genoux.

Il est dans un état second mais je suis trop à l’ouest pour m’en apercevoir. Je l’embrasse, bouffe ses lèvres. Nos langues dansent l’une contre l’autre dans un baiser fiévreux qui fait immédiatement monter en moi la température. Ses mains malaxent mon petit cul et j’adore ce contact. Mon bassin plaqué contre le siens je peux que constater l’effet que je lui fais, et je ne le laisse pas indifférent. Je déboutonne sa chemise à la hâte et déboucle sa ceinture ne cherchant pas à dissimuler mon impatience évidente. Je ne prend pas de pincettes je me moque bien de passer pour une meuf qui à le feu au cul. Nous sommes de toute façon visiblement ni l’un ni l’autre capable d’analyser la situation correctement. Ses dents viennent malmener mes seins. Putain il sait y faire et m’arrache des couinements de plaisir. Mes seins pointent fièrement sous ses attentions. Mes doigts se faufilent au niveau de son entre jambe… pouvant qu’apprécier sa membrure imposante. Putain il est bien monté ce con. La nuit promet d’être mémorable. Oui… et je ne pensais pas si bien dire.

Tout dérape en une fraction de seconde. Ses convulsions soudaine me ramène bien vite à une réalité bien moche. Il fait une très mauvaise réaction. J’attrape son visage entre mes mains, prise de panique je le sent défaillir et s’effondrer. Putain bordel qu’est qui me fais là ? J’ai pas le temps de réagir, de le secouer inutilement davantage. La porte s’ouvre brusquement. Mon coeur manque un battement et je blêmis en voyant les flics débarquer. Bon sang la situation pouvait pas être pire. Je ne demande pas mon reste quand l’un d’eaux s’adresse à moi pour me demander de me couvrir. J’attrape mon mini short et mon haut pour me couvrir. Je pourrais profiter de la distraction offerte par l’état de mon ami d’un soir pour me faire la belle, mais je peux pas. Je peux pas le laisser comme ça. Putain je suis trop conne, si l’un d’eux me demande mes papiers c’est mort. Je suis pas sur le sol américain légalement. Je ne suis pas ici par choix non plus, mais si un lien est fait entre moi et la Bratva je suis morte. Je le sais. Ma vie ne vaut pas un clou et je serais morte avant même de retrouver ma terre natale. Ma vie ne tiens qu’à un fil.

Je sursaute quand un des flics attrape mon bras pour me demander ce qui c’est passé. Je sais qu’à la seconde ou je vais ouvrir la bouche, mon accent Russe va éveiller des soupçons dont je me passerais bien. Mon regard navigue entre mon ami du soir et le flic qui m’inonde de question. Je serre les poing si fort que mes ongles se plantent dans mes paumes jusqu’à ce que ça devienne douloureux.

“ Je…. j’en sais rien. Il c’est fait une ligne… tout allait bien et il c’est brusquement mis à convulser….” Je désigne d’un bref geste de la main ce qui reste du sachet de poudre. Le regard que darde les policiers sur moi me plais pas. ”Vous en avez prit ?” Je me contente de secouer la tête, tout en fixant Aaron toujours inconscient. Un de ses collègues annonce que l’ambulance devrais arriver d’un instant à l’autre. Je tremble comme une feuille, prise de panique je peux qu’observer la situation prendre une tournure inextricable. Tenter de me faire la belle me traverse bien sur l’esprit mais ca grouille de flics et il y a fort à parié que je serais rattrapée en moins de temps qu’il en faut pour dire ouf. Avec une diversion suffisante peut être pourrais je… putain j’aurais du me faire la mal quand ils étaient tous penché au dessus de lui. J’ai été encore une fois vraiment trop conne. “ Vos papiers mademoiselle … “ Ca devais arriver hein ? et je dis quoi moi ? J’ai pas de sac et c’est pas avec l’étroitesse de mes vêtements que j’aurais pus les glisser sur moi. Il insiste et s’approche de moi. Je bafouille que je les ai pas sur moi… je recule de plusieurs pas comme si maintenir une distance pouvais m’aider… Qu’elle conne. ” Vous allez devoir nous suivre au poste… ” je suis prise au piège, quand ils auront découvert que j’ai pas de papiers tout sera terminé pour moi… Putain merde. Mon regard ce pose sur Aaron, il a finalement presque de la chance là…

BY .SOULMATES

Je sombre après avoir tremblé. Putain, cette merde a dû être coupée avec un liquide à chiotte plutôt qu’avec les bons produits. Je souris néanmoins cette fois, je vais sans doute y rester. J’attends la lumière blanche et revoir ma vie passer devant mes yeux et peut être Alice qui m’attendra de l’autre côté souriant et baigné de Lumière. En plus, ce n'est pas comme si je m’étais explosé la tête jusqu’à l’overdose, c’est cette merde qui était mal coupée donc on ne peut pas parler de suicide, donc j’aurais tenu ma promesse et tout sera parfait. Alors pourquoi tout est noir et froid ? Pourquoi j’entends des voix ? Une pression sur mon cou me fait un mal de chien. Je réalise que ce sont deux doigts, on prend mon pouls ? On m’étouffe ouais ! Aucune douceur et tous ces sons… Des voix. Des hommes et une femme… Merde je ne vais pas crever, on dirait. Je peine à respirer comme si j’avais de l’eau dans le nez. J’ouvre les yeux. Tout est flou. Lumineux et vaporeux. Je n’arrive pas à respirer. J’ai du sang plein le torse à cause de ma chemise ouverte et de mon nez qui a saigné… Oh, c’est cool au moins, elle n’est pas sale ! Je vois la fille que j’allais sauter et qui est toute pas bien parce que les deux flics sont en train de vouloir la serrer. Allez à tous les coups, ils vont tenter de négocier une pipe pour la laisser filer… En-tout-cas dans mon esprit, il faut que je la sauve. Merde, j’ai encore l’impression que mon cerveau pétille sous mon crâne. Je prends mon élan et ramasse la bouteille de tequila et l’éclate sans pitié sur l’arrière de la tête du gars. Il s’effondre comme une poupée de chiffon et je prends le sachet de drogue de merde et l’éclate au visage du second flic qui l’inspire à plein poumon en grosse quantité. Je le pousse en arrière et il tape dans une table basse et tombe au sol en emportant tout son contenu. Il s’éclate au sol en poussant un gris toussant alors que la drogue pénètre par ses muqueuses. L’ouverture est belle et unique, on est foutu si on ne se bouge pas.

J’agrippe le poignet de la nana blonde et l’attire avec moi. On sort en courant et on bouscule des gens sur notre passage. Mais on s’éloigne. Je trouve une porte de sortie d’urgence. Je pousse la poignée et l’air de la rue entre dans la boite. Je me retrouve dans la rue et je trébuche en me retrouvant au sol. Ça tourne et ça remue, mais je me redresse alors que les videurs arrivent en criant de rester là et nous insultent. Je reprends la main de la petite blonde et nous courons pour filer de là au plus vite et mettre un max de distance entre nous et les videurs qui ne vont pas nous poursuivre sinon ils quitteraient leurs postes. Je finis par m’arrêter dans une ruelle pour reprendre mon souffle penché en avant les mains sur les genoux alors que la fille est près de moi. Je tremble de partout, la drogue ravage encore mon organisme, mais elle m’a permis ce boost d’énergie même si je le paye en ce moment.

« Laisse-moi… Respirer… Faut qu’on se planque…T’habites loin ? »

Je n’habite pas super loin remarque. On devrait pouvoir y être dans quoi ? 10 minutes, 7 si on court ? Je suis assez speed grâce à la cocaïne, mais la merde avec laquelle ils l’ont coupé a fait que je pourrais tomber, car mes jambes ne me portent pas bien. Je regarde la jolie blonde et alors que je panique, je suis encore totalement excité de la regarder. Mon Dieu, c’est quoi ce cocktail de dingue que j’ai pris.

« C’est quoi ton nom ? »

Aaron & Anastasia

@Aaron Cooper

Je me retrouve dans cette position inextricable. Je ne sais pas comment je vais m’en sortir vu le peut de marge de manœuvre que j’ai. Chercher un terrain d’entente ? Manœuvrer pour qu’ils n’aient pas envie de s’appesantir sur mon identité ? Certains de ses flics sont pourris et corrompus ça peut peut être fonctionner… c’est ma dernière carte de toute manière. La seule qu’il me reste à abattre avant la perdition. L’un des deux flics écarte une mèche blonde mon visage me forçant à affronter la lubricité de son regard. Je sais que trop bien ce qui pourrait lui faire oublier ma réelle identité. Il tente de profiter de la situation, dénuer de tout sens moral… tu m’étonnes que tout parte à volo dans cette ville.

Tout se passe ensuite très vite. Je n’ai pas réellement le temps de comprendre ce qui se passe. Mon ami d’un soir semble retrouver subitement ses esprits. Les deux flics autour de nous n’ont pas le temps de comprendre ce qui se passe, ou si justement ils le comprennent mais trop tard… Une bouteille éclaté sur la tête du premier, assommé sur le coup il tombe à terre dans un bruit sourd. Le second est aveuglé par une quantité de drogue non négligeable qui lui vole en pleine face. Déstabilisé il jure et nous insulte avant qu’Aaron l’envoie valser. Il s’assomme contre la table sur laquelle je dansais un peu plus tôt. Je le regarde avec deux grands yeux ronds. Surprise. J’avais pas pensé à cette option pour nous en tirer… mais ça marche aussi. S’il ne m’avait pas attrapé par la poignet pour m’entraîner avec lui dans sa fuite, je serais probablement encore la haut, planté comme une pauvre gourde.

On s’est frayé un chemin jusqu’à l’extérieur grâce à je ne sais quel miracle. Il trébuche, les videurs nous crient après. Je l’aide à se relever pour poursuivre notre course. On cours ensemble, mes jambes tremblent, je ne sais pas par quel miracles ces dernières me portent encore. J’ai trop bu et tout tourne, les voix derrières nous me parviennent comme un échos lointains. On s’éloigne et nous pouvons enfin ralentir la cadence. Je suis tout aussi essoufflée que lui. Ma cage thoracique est brûlante, chaque inspiration est douloureuse. Putain ma condition physique laisse à désirer, à moins que ce soit le cocktail événements explosif qui m’amoindrissent. Peu importe, on s’en tape.

On s’arrête quelques ruelles plus loin. Le silences nous enveloppant est pesant. Le bruit entêtant de mon coeur bondissant dans ma poitrine me donne l’impression de devenir dingue. Il me parle et je tourne la tête vers lui. Ouai on peu pas rester là ça je le sais tout aussi bien que lui. Si on nous coffre là on va prendre cher… Je m’efforce de prendre une profonde bouffé d’air frais avant de lui répondre. “ Ouais on peut pas rester là… ” Je suis paumée et lève les yeux pour tenter de me repérer dans ce dédale de rue qui à défilé beaucoup trop vite que je sache exactement où nous sommes. “ vingt minutes… peut être plus. ”

Une sirène de flics hurlante vient troubler le silence qui nous entourait. Ils vont peut être seulement donner un coups de mains à ceux dont on vient de filer entre les mains un peu plutôt, mais je n’ai pas envie de savoir s’ils nous cherche ou pas. Une petite blonde accompagné d’un type plein de sang… difficile de se tromper si on nous croise. On ne peux pas rester là au milieu de la ruelles sombre comme deux pauvre cons. J’attrape sa main et m’engouffre dans le premier recoins que je trouve. Un porche d’immeuble sombre, je pousse la porte déjà dans un sale état pour nous mettre à l’abris. Momentanément du moins. Je suis adossée contre le mur en pierre froide du hall insalubre, éclairé par la lueurs blafarde d’un lampadaire passant par une fenêtre minuscule. Mes iris cherchent les siens, ma main n’a pas lâché la sienne. “Appel moi Ana…” J’ignore si c’est l’alcool envahissant mes veines, l’adrénaline monté à cause de cette courses poursuite… Mais je ne suis pas tout à fait moi-même. Sans son intervention rocambolesque je sais pas ce qu’il adviendrait moi en ce moment même. Il me fixe et une vague de chaleur s’empare de moi. Merde comme si c’était le moment d’avoir ce genre de désir… J’abuse là… mais c’est plus fort que moi. Je me hisse sur la pointe des pieds agrippant sa nuque pour l’attirer contre moi. Mes lèvres s’écrasent contre les siennes, je l’embrasse sans me soucier de quoi que se soit d’autres. Irresponsable… irréfléchie… mais cette soirée ne semble vouloir se passer selon les conventions standards. Quand je rompt enfin ce baiser, je le regarde esquissant un fin sourire : “ Je crois pas t’avoir remercié… de nous avoir sorti de là… ” Comme si un baiser pouvais faire le poid face à ce qu’il m’a évité… mais c’est un bon début non ?

BY .SOULMATES

C’est ce qu’on appelle communément « un joyeux bordel » mon corps a agi tout seul et je viens de cogner un flic et d’en agresser un autre avec des substances interdites et contrefaites. Putain ! La fuite ravage mon corps. Mes muscles sont douloureux, mon souffle saccadé et j’ai l’impression qu’on verse du métal en fusion sur mon cœur qui tambourine à toute allure. Je tombe et ma partenaire de la soirée m’aide à me remettre debout et me pousse à courir. On échoue dans une ruelle qui sent bon l’urine et les égouts et nous reprenons notre souffle tant bien que mal. On fait un étrange duo pas forcément glamour vu mon état. Elle est toute échevelée par la course, les joues rosies par l’effort et la robe un peu mal ajustée. En même temps, on vient de s’échapper d’une boite moi à moitié drogué et elle bien pompette sans parler des videurs qui nous ont coursés. Elle confirme qu’on ne peut pas rester là, mais on a besoin de reprendre notre souffle. Moi en tout cas, il faut sinon je vais faire un arrêt cardiaque. Quand je lui demande si elle habite loin elle me réponds après une courte observation qu’elle est à 20 minutes peut être plus.

« Okay on va chez moi alors et… »

Je suis coupé par le bruit d’une bagnole de flic. Ma main trouve la sienne presque instinctivement. La peur de me faire choper est si grande que j’oublie mon état que l’adrénaline me donne la force de la suivre. Elle m’entraîne à sa suite et je lui emboîte le pas sans attendre. Elle me tire dans un recoin sombre. Un porche d’immeuble dans l’ombre de la nuit et ça sent moins mauvais que dans la ruelle. Elle se colle au mur et m’attire alors que le sol est particulièrement dégueulasse, mais ça va, ça ne pue pas. Je me concentre sur le visage d’ange de la jeune femme qui me dit de l’appeler Ana. Je hoche la tête alors que son regard perce le mien comme si elle se rappelait d’un truc et moi je me souviens qu’avant tout ça, on était en train de se chauffer et… Mon Dieu, je crois que j’ai le cerveau totalement ravagé parce que je suis en train d’avoir envie de m’envoyer en l’air tout de suite ? En revanche je suis surpris et rassuré quand c’est elle qui agrippe ma nuque et m’embrasse langoureusement me faisant oublier que c’est le bordel et qu’on est potentiellement dans la merde et… Merde, elle embrasse super bien. Ma langue s’enroule à la sienne avec force et me laisse complètement étourdit quand elle coupe le baiser pour me dire qu’elle ne croit pas m’avoir remercié pour l’avoir sorti de là… Heu… Je ne suis pas certain que mon action soit véritablement pertinente mais bon… Si la dame est d’humeur à me remercier… Je souris et lui remonte sa robe dévoilant son sexe nu et saisie sa jambe que je tiens sous le genou contre ma hanche. Je souris en la regardant et de ma main libre, je commence à sortir ma queue presque raide de mon pantalon.

« On va trouver non ? »

Je prends mon sexe et le tapote contre son ventre de manière à la provoquer. Je sais que je suis bien outillé et j’ai envie que la dame sente combien je suis gros et lourd entre les cuisses. Je guide mon sexe et me frotte contre elle. La dame est déjà brûlante. Je me plante en elle sans plus de cérémonie achevant de me raidir en la pénétrant et pousse un gémissement lascif avant de l’embrasser de nouveau en ondulant contre elle avant de lui baisser le haut de sa robe pour dévoiler ses seins sur lesquels je me jette avec ma bouche pour dévorer ses seins en la tenant pour continuer de la prendre avant de gémir d’un coup et de m’arrêter pour me retirer d’elle.

« Attends… »

Je plonge la main dans la poche et sort une capote. Je déchire l’emballage avec les dents et sort l’anneau de latex que je pose sur mon sexe et le déroule en souriant malicieusement avant de revenir me planter en elle tout protéger cette fois. Je souris en la regardant et lui dit.

« Ouais… Je n'ai pas envie de jouir trop vite… Ça va couper un peu les sensations… »

Ne me demandez pas d’être totalement logique, vu mon état avec ce que j’ai pris et sans parler de mon esprit embrumé par les substances, mais maintenant, je suis en train de lui agripper les fesses et de la porter en la baisant contre le mur en la martelant sèchement en grognant de plaisir.

Aaron & Anastasia

@Aaron Cooper

Même la plus prometteuse des soirées peut vriller en une fraction de seconde. Il ne faut rien, un grain de sable dans un engrenage et c’est le chaos. Cette image illustre tellement bien cette soirée. Tout avait si bien commencé… de l’alcool, de la musique… un beau mec avec lequel perdre notre temps. Cette soirée aurait put être mémorable, elle le sera mais pas de la manière dont je me l’étais imaginé au départ. Et encore dans notre mal chance nous nous en sortons peut être pas si mal finalement. Quand je pensais que tout prenais une tournure bien trop sombre, mon ami d’un soir change totalement la donne. Il redistribue les cartes.

Dans quel monde assommer un flic et agresser le second à coup de drogue volatile peut sembler être une bonne idée ? Nous semblons ni l’un ni l’autre apte à raisonner sur le sujet. Lui sous encore sous l’effet de la drogue qu’il a sniffé et moi sous l’effet d’un trop-plein d’alcool. Nos jugements sont altérés et c’est peut être notre chance finalement. Nous filons mains dans la mains dans la nuits, l’adrénaline, la peur de se faire rattraper par les flics suffit à nous donner des ailes. Nos états respectifs ne nous permets pas de courir comme il le faudrait. Il tombe, je l’aide à se relever pour gagner quelques mètres supplémentaire. À bout de souffle, je peine à reprendre mon souffle. Chaque respiration me donne cette sensation désagréable de brûlure. On doit se mettre à l’abris… chez lui. Parfait.

Nous serions déjà en route pour la sécurité et l’intimité de son appartement si une sirène de voiture de flic hurlante ne nous avait pas forcés à changer nos plans. Tout à l’heure la situation était craignos, mais maintenant après notre petit coup d’éclat c’est bien pire. Hors de question qu’on se fasse coffrer après tous nos efforts. J’attrape sa main, la pressant contre la mienne pour l’attirer dans un porche d’immeuble sombre. C’est peu être pas l’idée du siècle, mais nous sommes au moins cachés… on ne pourra probablement pas rester ici longtemps, mais ça nous permet au moins de réfléchir et de reprendre un peu nos esprits. L’étroitesse de notre cachette me pousse à demeurer contre un mur froid, son corps pressé contre le mien. Bon ok… c’est loin d’être désagréable. Reconnaissons-le.

Je sais pas si c’est la particularité de la situation, ou l’alcool coulant dans mes veines, mais à cet instant précis je suis bien loin de l’inquiétude concernant les forces de l’ordre. Mes iris accrochent les siens, et je me rappel la désir qu’il a fait naître en moi un peu plus tôt dans ma boite de nuit. C’est tout à fait le genre de mec avec lequel j’ai envie d’en oublier jusqu’à mon propre nom. Profiter et rien d’autres. J’agrippe sa nuque pour écraser ses lèvres contre les miennes. Je profites de l’effet de surprise lui faisant entrouvrir les lèvres pour glisser ma langue contre sa jumelle. C’est probablement pas le moment, mais je n'en ai rien à foutre et si j’en juge par sa langue répondant à la mienne et à ses mains troussant ma robe pour la remonter au niveau de ma taille il s’en fiche aussi. Il remonte ma jambes pour l’agripper à sa hanche avant de sortir son sexe de son pantalon. Je lui adresse un sourire complice tout en accrochant mes iris au sien. Ouah… bien membré. La vision de son chibre tapotant contre mon ventre propage instantanément en moi une douce chaleur. “J’en suis certaine… Ma voix n’est qu’un souffle s’échouant dans le creux de son cou. J’embrasse et mordille frénétiquement la peau fine de sa nuque. Je perds le fil de mes pensées, oublis que nous sommes sous un porche insalubre. Ma main glisse entre nous pour venir empoigner sa virilité. Je le branle lentement me délectant de se sentir durcir sous mes doigts.

Je suis déjà brûlante et gémissante. Son colosse glisse entre mes cuisses. Il s’enfonce en moi et je pousse un soupir d’aise. Oubliant où nous sommes, la discrétion n’est pas mon fort, surtout quand j’ai la chance de pouvoir jouir d’une pareille distraction. Il me cloue au silence en venant m’embrasser, capturant ainsi mes lèvres. Putain c’est si bon, je perds pied. Mon bassin ondule instinctivement et quémandant toujours davantage. Pantelante, je gémis sans aucune retenu lorsqu’il libère mes seins de leur carcan de tissu pour les malmener. Quand il se retire mes paupières papillonnent pour comprendre ce qu’il se passe, pourquoi il s’arrête… J’en grogne de frustration. L’accueillant qu’avec plus d’impatience quand il retrouve sa place au fin fond de mon intimité protégé cette fois. Galvanisée par ce désir sauvage qu’il provoque je n’ai pensé à aucun moment à une quelconque protection. Mal… Surtout quand on connait mon métier ou se protéger et d’une importance capital. Seulement là je suis à mille lieues de penser à mon activité… je baise pour le plaisir. Pour notre plaisir et ça fait toute la différence.

Ses mains agrippent mes fesses fermement, me soulevant avec facilité. Mes jambes viennent s’enrouler autour de sa taille. Mon corps s’arc et se voûte pour l’accueillir pleinement en moi. Mes doigts s’emmêlent dans ses cheveux tirant sa tête en arrière pour que je puisse venir dévorer sa gorge que je mordille et malmène-y laissant marques de mon passage, avant de revenir à l’assaut de ses lèvres. Je gémis, l’implore entre deux soupires de me prendre avec toujours plus de force. Le plaisir monte en moi… prends de la hauteur. Putain, ce type me rends dingue. Lui ou sa queue ? Les deux probablement. “ et a qui dois je un tel… plaisir ? ” Soufflais je quand je prend conscience que je voudrais gémir son nom… et que je ne le connais même pas. Oups… On fait décidément tout à l’envers.

Le plaisir monte… atteint des sommets vertigineux. Je me crispe m’agrippe à lui, m’apprêtant à crier de plaisir quand le bruit caractéristique d’un moteur s’attardent dans la rue. Putain merde !! J’enfouie mon visage dans son cou pour tenter de me contenir et d’étouffer mes cris. J’ancre mes dents dans sa peau, comme si ça pouvait m’aider. J’ai décidément pas les idées clair. Quand je sent que je reprends un contrôle infime sur mon être je redresse la tête, collant mon front contre le sien… Je suis encore tremblante et transpirante contre lui. Je l’embrasse, cherche encore le contact de ses lèvres contre les miennes.

BY .SOULMATES

Le bordel ambulant qui me sert de cerveau ne m’est d’aucune aide en général et sans parler de ce que je viens de prendre ce soir pour m’étourdir la gueule ne va certainement pas m’aider. Je suis complètement à côté de la plaque et c’est déjà un miracle que je ne sois pas mort dans cette boite de nuit vu la merde mal coupée que je me suis enfilé, mais pas encore, je ne sais pas comment j’ai fait pour assommer deux flics et filer à toute allure avec elle. Le plus fou dans cette histoire, c’est qu’on s’en soit tiré et qu’on en soit encore à nous demander où aller pour éviter de retomber sur les flics. Putain, je n'ai pas envie de finir en taule avec ma gueule de minet, je vais me retrouver à sucer un nombre incalculable de queues brrrrr non très peu pour moi. Par contre l'orange, c’est assez sexy et l’avantage, c’est que pourrai rapidement me prendre quelques bons gros coups de surin et y rester… Une voiture de police passe près de la ruelle où ‘on s’est réfugiés pour souffler avec Ana, visiblement ni elle ni moi de sommes des sportifs… Elle m’agrippe et m’attire dans un hall d’immeuble probablement abandonné. Je me retrouve collé à elle et la chaleur monte presque aussitôt… Je réalise alors que c’est effectivement ce pourquoi on s’était éloigné dans cette loge privée de la boite de nuit… Alors qu’elle me parle de me remercier pour ma profonde connerie d’agresser deux flics, je me colle à elle pendant qu’elle colle son dos au mur et la voici qui minaude en me plantant un regard brûlant dans les yeux. Elle m’assure qu’elle est certaine qu’on va trouver comment elle peut me remercier alors que je me déshabille sans attendre pour lui faire sentir combien je suis excité et idéalement équipé. Elle en rougit de plaisir alors que le bruit de mon sexe lourd et épais tape contre sa peau.

Les minutes filent et je viens de guider mon sexe nu dans le sien, mais après quelques va et viens, je m’arrache d’elle pour dérouler une capote sur mon sexe pour annoncer qu’ainsi les sensations seront coupées et je pourrai alors mieux m’occuper d’elle. Je vais devoir faire des tests après vu le boulot que je fais, mais à vrai dire, je n’en ai pas grand-chose à foutre. Que je meure n’a pas beaucoup d’intérêt. J’ai promis de ne pas me tuer, mais si à force de faire des trucs, je meurs bah, c’est la vie et quelque part, ça me va assez bien. Je retrouve la douceur et la chaleur du sexe d’Ana et je la tiens par les fesses la martelant sans retenue en soupirant à son oreille alors qu’elle se cambre contre moi et me laisse la posséder avec vigueur et passion. Je me laisse mordre le cou et la tringle avec plus de férocité. Pour le moment, je ne déchaîne pas ma technique personnelle qui m’a valu mon nom de scène, mais ça viendra sûrement… Alors que je la baise ici dans ce hall crasseux et abandonné en la portant par les fesses, je l’entends me demander à qui elle doit un tel plaisir. Merde, c’est vrai que je ne lui ai pas dit… Tu parles d’un con…

« Aaron. »

Je la baise plus fort et on dirait que la dame aime le traitement. Elle tremble et anime contre moi. Elle ondule et va jouir quand on entend une voiture dans la rue. Je me fige contre elle sans me retirer et attends en la portant le cœur battant à tout rompre alors qu’elle cache son visage dans mon cou pour s’empêcher de crier. Elle mord ma peau sans forcer trop et je bouge encore en elle très lentement. Si on est pris, il faut au moins que je jouisse sinon je vais regretter. Elle se redresse et colle son front sur le mien toute tremblant. Elle m’embrasse et comme je bois ses soupirs en enroulant ma langue à la sienne. J’attends le cœur battant et la bagnole repart. Je tremble et la repousse pour reprendre mes va et viens féroce et puissants pour la faire jouir. Cette fois, on est seuls et on peut y aller. Je vais déjà me vider les couilles ici puis on va chercher à aller chez moi rapidement. Mais la dame est particulièrement enivrante et je réalise que je me déchaîne toujours plus sur elle. Puis soudain ça me prends. Je fléchis mes jambes et alors qu’elle tient ma nuque, je lui agrippe les fesses à pleines mains et la tiens en place. Mon bassin s’active et voilà que mon surnom de « marteau-piqueur » prends tout son sens. Je me mets littéralement à la défoncer sans aucune retenue cherchant à lui arracher un orgasme ravageur et puissant alors que je tiens encore un peu, mais que je vais bientôt exploser…

Aaron & Anastasia

@Aaron Cooper

L’adrénaline couplé à l’abus d’alcool ne fait clairement pas de moi la femme la plus alerte et raisonnable qui soit. Je suis à côté des mes pompes, mes pensées de sont pas rationnelles mais je n'en ai rien à foutre. C’est déjà presque incroyable que nous nous sommes sortis de ce merdier ensemble sans nous retrouver plus inquiété que ça. Bien sur, nous sommes encore en fuite, mais je doute qu’ils perdent leurs temps à courir derrières deux jeunes complètement défoncé, ils ont probablement plus urgent à traiter, bien qu’Aaron en a quand même agressé deux… C’est bien à cause de cette trouille de se faire chopper qu’on se cache dans un hall d’immeuble visiblement abandonné à la seconde même ou une sirène de flics hurle dans la nuit.

La crainte laisse rapidement place à une tension nouvelle qui n’a strictement rien à voir. L’attirance et le désir réchauffe mon bas ventre. Mes paupières papillonnent quand j’abuse de mes airs de poupée trop innocente pour être crédible. Il me plait, je ne m’en cache pas et si j’en juge à la manière dont il me dévore des yeux lui aussi, je crois bien que c’est réciproque. Son bassin se colle contre le miens, je soupire d’aise, entrouvrant mes lèvres fines qui il me dévoile son sexe d’une taille relativement imposante. Dans mon métier j’en vois passer tous les jours, et rare sont ceux qui sont aussi gâtés par la nature que lui. Une fois la capote en place il revient trouver sa place au cœur de mon intimité brûlante. Je retient mon souffle quand il s’enfonce en moi jusqu’à la garde, je m’agrippe à lui, glissent mes doigts dans ses cheveux bouclés pour presser ses lèvres contre les miennes. Je l’embrasse jusqu’à en perdre haleine, ma langue partant à la conquête de sa jumelle. Il me tringle avec force, chaque coups de rein buttoirs m’arrache des gémissements qui se retrouvent étouffé par la pression de ses lèvres sur les miennes.

Même si ce n’est pas franchement le moment je veux connaître son nom… Je me suis aperçu qu’il me manquait ce léger petit détail quand je voulais gémir son nom tant il est bon de sentir sa queue me ravager. Aaron… Je gémis sont non, l’incitant à continuer. Plus fort… Plus vite… Mon plaisir monte s’insinuant lentement dans chaque parcelles de mon être. La jouissance est si proche… Je la sent sur le point de s’emparer de moi à cet instant ou nous entendons une voiture passer juste devant l’immeuble. C’est pas franchement le moment de nous faire repéré en criant son nom dans un élan de plaisir. Je me force au silence en venant enfouir mon visage au creux de son cou, l’embrassant, le mordillant, comme si celà pouvait m’aider à garder mon calme. C’est pire… je ne fais qu’attiser ce désir qui me consume de l’intérieur.

Front contre front, j’ignore si c’est l’adrénaline, l’alcool, le désir ou un mélange subtile des trois, mais il me fait fondre. Ses mains glissent sous mes fesses pour me maintenir bien en place, mes iris plongent dans les siens quand il commence à me pilonner avec une force et une rapidité à peine croyable. La voiture est partie et il n’est plus question de me retenir. Non, je n'en ai plus rien à foutre. Advienne que pourra comme on dit. Je sais que je ne vais pas tenir longtemps, que j’atteindrais bientôt les sommets d’un plaisir intense et sauvage. Putain ce mec est dingue et je prends mon pied. Je m’agrippe à lui, peut être même que dans la passion de l’instant mes ongles s’enfoncent un peu trop dans sa chair. J’atteint le nirvana, je laisse le plaisir me submerger et secouer mon corps dans des spasmes de plaisir incontrôlés. Mon Dieu… Il ne tarde pas à me rejoindre dans la jouissance. Il explose et s’immobilise enfin. Je tremble encore contre lui, le corps brûlant et transpirant de l’intensité de l’instant. Je reprends appuis sur mes jambes, j’ai l’impression que ces dernières peine à me porter. Je reprends peu à peu contenance, mes iris dans les siens, je lui adresse un sourire plein de malice. “ La voie est libre… On se tire chez toi …?” Pas de commentaire sur ce qui vient de ce passer ? J’ai pris mon pied… lui aussi et c’est suffisamment évident pour que tout commentaires soient inutiles. Je remets ma robe en place, replace une mèche blonde de ma chevelure derrière mon oreille. J’ai probablement l’air d’une écervelée, mais encore une fois, rien à foutre. Je me hisse sur la pointe des pieds pour l’embrasser avant de glisser ma main dans la sienne pour sortir du hall de cet immeuble qui a accueilli les échos de notre plaisir partagé. “Let’s go ? A moins que t’es changé d’avis ?” Je m’invite chez lui alors que maintenant qu’il a tiré son coup ça ne l’intéresse peut être plus… en ce qui me concerne je remettrais volontiers le couvert. Et lui ?

BY .SOULMATES

Mon cerveau n’est pas souvent là, mais en ce moment ça doit être un méli-mélo infâme de coton de mélasse et de purée de pois… Si je fais le compte de tout ce que j’ai fait ce soir jusqu’à maintenant, je dirai que ce serait tellement aberrant de stupidité et de bon sens que ça ne serait même pas crédible si on mettait ça dans un film. Je me demande d’ailleurs comment je tiens encore debout ? Oh peut-être qu’après la saloperie qu’ils ont utilisés pour couper ma came cette dernière fait enfin effet ? Merde, je n'ai pas regardé Breaking Bad pour le savoir et j’ai jamais écouté en cours de physique chimie… C’est là que je réalise que quoi je fais pu faire ce soir, je suis en train de baiser une jeune femme torride dans l’endroit le plus crasseux et repoussant qu’on pourrait imaginer. Le pire, c’est que ça me va très bien. La jeune femme… Merde comment elle s’appelle déjà ? Telma ? Lana ? Putain, c’est qui déjà cette nana… Ah, c’est ça… Ana. Bref, Ana est en train de gémir comme une damnée. L’alcool, l’adrénaline et probablement ce truc imposant enveloppé dans une capote que je lui fourre sèchement entre les cuisses y sont pour beaucoup. J’avais besoin de lâcher prise ce soir, de faire la fête, je pensais baiser, mais pas dans ces conditions, mais après tout… ça ou autre chose du moment que je baise. Et d’ailleurs, elle commence à particulièrement m’exciter de gémir comme ça et de chercher ma bouche et ma langue. Elle s’agrippe à moi comme pour se cramponner à un semblant de raison alors qu’elle ondule contre moi me donnant presque l’impression que c’est elle qui fait tout. Les minutes filent et je monte en intensité. Elle se crispe et alors qu’une voiture passe, elle jouit tout en silence contre moi le corps secoué de spasmes délicieux qui me font frissonner de plaisir. On dirait que la dame à son compte… Cette idée me fait sourire alors que son front est sur le mien. Je la saisis et décide de lui imposer ma « spécialité ».

Je tiens son corps en place le secouant juste assez pour permettre de maximiser mes mouvements secs et puissants. Je suis déchaîné sur elle et la martèle comme un gros sauvage en manque et j’appelle cette technique le marteau pilon… C’est ce qui m’a valu mon surnom dans le milieu du porno. C’est ce truc que j’ai fait naturellement à cette pétasse droguée et siliconée que j’ai baisée pour mon premier casting. Elle simulait et ça me gonflait alors je me suis déchaîné et l’assaut puissant et sauvage a eu raison d’elle après de longues minutes où j’avais l’impression de n’avoir pas eu d’effet. Bref, c’est devenu mon spécial tout en m’assurant que je le sorte au bon moment pour faire jouir ma partenaire. Et je crois que dans le cas d’Ana, c’est maintenant. Je m’active sur Ana et la force à encaisser cette bestialité qui à ce moment de son excitation est la méthode ultime. Elle s’agrippe à moi et surprise de ma force elle encaisse et se tortille. Son sexe écrase le mien et la cadence folle la faire céder la première. Ma queue se plante en elle et explose. Je remplie la capote giclée après giclée gémissant contre elle alors que son sexe pulse encore contre le mien. J’ai chaud et on transpire un peu. Je la regarde alors qu’elle demande sur un ton détaché que la voie est libre et demande si on se tire chez moi ? Je souris et hoche la tête. Pas de commentaires sur ce qu’on vient de faire, pas de baiser pour sceller la fin de l’étreinte. Elle se détache et je me dégage. De manière mécanique et dénuée de sentiments, nous nous remettons en place. Elle se rhabille et je vire la capote que je balance dans les merdes sur le sol. Je remets mon froc me tortillant pour placer l’engin encore raide dans le jean… Elle m’embrasse et me prend la main pour sortir. Je la dirige vers chez moi alors qu’elle demande si j’ai changé d’avis ? Je la regarde. C’est vrai que j’ai bien baisé et que je suis détendu, mais je lui remettrais bien un petit coup à la jolie blonde et puis on va être honnête dans un lit, on va plus s’amuser que dans ce hall crasseux.

« Non, j’ai encore envie de ton cul… »

Petit sourire et je cherche mes clopes… Merde… Je n'ai pas. Fais chier. Comme on marche à bonne allure, je contourne la boite pour revenir par le bord de mer. Je lui fais passer son bras autour de ma taille et plus grand, je passe mon bras autour de ses épaules ramenant ma main sur son sein que je palpe en marchant. Je ne sais pas quoi dire alors je ferme ma gueule sauf si elle veut parler ? Alors qu’on va arriver, je regarde un petit commerce ouvert toute la nuit. Je vais sûrement racheter des bières… Et un truc à manger ? Ouais !

« Tu veux qu’on prenne des trucs ? »

On est censé continuer la fête chez moi non ?

Aaron & Anastasia

@Aaron Cooper

Je suis à l’ouest, perturbée par ce flot d’alcool coulant encore dans mes veines, mais pas que. Aaron plonge mon esprit dans un nuage de luxure et de désir brûlant. Ce type c’est un coup d’enfer. Je ne sais pas si c’est l’adrénaline, ou seulement un désir que ni l’un ni l’autre sommes capable de contrôler, mais on c’est sauté dessus comme deux animaux. Il me prends avec force contre le mur, au coeur de ce hall d’immeuble insalubre. En temps normal, avec les idées claires je me serais probablement montré plus raisonnable… mais là… Non. Je n’ai d’yeux que pour ce mec captivant qui me fait prendre un pied d’enfer. Je m’agrippe à lui presque comme si ma vie en dépendait. Ses coups de rein sont brutaux et sauvage. Je fond de plaisir putain… Nous explosons de plaisir en concert, je m’agrippe à lui, venant écraser mes lèvres contre les siennes. Un baiser dénué de toutes douceur, main plein d’une brutalité presque animal. Haletante, je peine à reprendre mes esprits après cet instant d’une intensité folle.

Une fois nos esprits retrouvé après ce coit endiablé, nous nous détachons l’un deux l’autre d’un geste presque mécanique. Je me rhabille comme je pourrais le faire après une passe avec un client, sans sentiments… alors que ce mec suscite pourtant mon intérêt. Une habitude ancrée trop profondément, ou est ce la particularité de cette situation qui rends mes réactions purement mécanique ? Au cas où il veuille juste tirer son coup et chao bye bye, je lui offre une porte de sortie avant de prendre la route direction chez lui. Sa réponse m’arrache un sourire à la fois coquin et un brin provocateur.

« Intéressant… et puis après cette succession de frayeur, je crois que nous méritons bien une nuit de folie…»

Je dépose un baiser sur ses lèvres avant de sortir en sa compagnie, ma main autour de sa taille, son bras sur mes épaules et sa main retombant sur ma poitrine qu’il palpe sans la moindre gêne. En bord de mer, nous marchons tous les deux presque comme un petit couple. Le silence de la nuit nous enveloppe, ni l’un ni l’autre nous brisons ce silence. On se connait depuis quelques heures, et ce n’est nos esprits respectifs qui nous ont attirés l’un vers l’autre, c’est une attirance purement physique. Nous avons pas grand-chose à nous dire, je ne trouve pas ce silence pesant pour autant, je le trouve même plutôt… apaisant.

« Ouais, de quoi nous remettre de nos émotions… » Je lui adresse un sourire complice avant qu’on entre dans le petit commerce. Je n’ai pas d’idée précise quant à ce qu’on cherche. De quoi boire et manger pour poursuivre cette petite fête qui a commencé sur les chapeau de roux. Quelques bières, une bouteille de Vodka et de quoi grignoter. « Je suis affamée…» Soufflais-je à son unique attention alors qu’on paie nos articles, ma croupe plaquée contre son entrejambe… je ne parle pas de nourriture, mais je suppose qu’il est inutile que je précise ce détail.

Le sac de course à la main, on arrive enfin dans l’intimité de son appartement. La porte se referme derrière nous, je m’avance jusqu’à poser nos petites courses sur la table, lui offrant alors qu’il est derrière moi une vue parfaite sur mon petit cul qui se tortille juste sous son nez. Sans me retourner franchement, je tourne seulement la tête pour lui accorder un regard brûlant et plein de promesse par-dessus mon épaule. « Une petite faim…? » Encore une fois mes propos sont à double sens.

BY .SOULMATES

Oh merde on commence à peine à marche que j’ai le sentiment que je vais m’effondrer comme une merde. Mes jambes, c’est du coton et ma tronche, c’est une ruche. Ça bourdonne sec. Heureusement, la petite bombasse blonde me tient serré. C’est presque en petit couple qu’on marche dans la rue, mais j’avoue que mon bras autour de son épaule est un soutient de poids et aussi un moyen de faire chier les mecs qui nous regardent passer. Et ouais connards t’a beau bavé, c’est à mon bras qu’elle est la jolie blonde. Arrivés à un petit commerce de nuit, je prends quelques petits trucs pour boire surtout. La bouffe, je n'achète pas ici. Je me démerde pour prendre des trucs chouettes et plus naturels. Y’a deux trois hippies un peu perchés qui font des légumes et on s’arrange Ana entrée avec moi rajoute quelques trucs à manger et de la vodka. Pas mal en effet. Elle me dit qu’elle est affamée et ses yeux semblent être deux poignards qui veulent me transpercer. Nous payons et elle s’arrange pour coller son cul de déesse contre moi sans ménagement pour ma queue cachée sous mon pantalon. Elle est complètement chauffée à blanc la dame. Ça promet une chouette nuit en perspective. Une fois, dehors, on repart et je crois que j’arrive à mieux marcher. En-tout-cas, je n'ai pas besoin d’être à moitié porté par elle pour faire deux pas.

Nous voici finalement chez moi et elle entre et pose les courses sur la table. Elle se place et tortille son petit cul en me regardant par-dessus son épaule. En une seconde, elle ne vient pas de me mettre le feu au cul la dame ? Je souris avant de m’approcher et de balancer une claque sur son cul avant de venir coller mon bassin tout contre en lui faisant bien sentir ce qui est en train de pousser dessous… Je glisse mes mains sur ses hanches et remonte un peu son haut dévoilant une partie de sa peau avant de saisir ses hanches et de lui foutre un coup de bassin solide.

« Possible ouais… »

Je tend la main vers la Vodka en me couchant presque sur elle et la saisissant par le goulot, je la sort du sac. Je débouche le précieux liquide incolore et porte la bouteille à ma bouche. Une longue gorgée plus tard, je tire les cheveux d’Ana doucement et lui fait tourner le visage sur le côté avant de lui verser un filet d’alcool dans la bouche et sur la joue. Je me penche et lèche sa joue souillée par l’alcool avant de sourire amusé.

« Viens par là… »

Je vais vers mon lit et tenant la bouteille, je retire mon t-shirt d’une main et le balance au loin. Je me tourne vers elle et avale une gorgée avant d’en laisser échapper de mes lèvres et de m’en faire couler sur le torse. Je m’assois sur le lit en la regardant d’un air amusé. Je pense qu’elle a dû comprendre mon idée. Sinon au pire, je lui ferais un détail bien précis de ce que j’ai envie qu’elle me fasse là tout de suite…

Aaron & Anastasia

@Aaron Cooper

Le stresse intense du début de soirée semble définitivement envolé, remplacé par un désir charnel complètement incontrôlable en ce qui me concerne. Cette soirée est dingue depuis son commencement et s’il y a une chose de certaine c’est que je vais m’en souvenir un moment. Une personne sensée ne suivrais probablement pas un homme qu’elle connait que depuis une poignée d’heures chez lui, mais je ne suis pas du genre raisonnable et je m’engouffre dans son antre sans me poser la moindre question, sans la moindre hésitation.

La porte d’entré claque, signant ainsi notre tranquillité retrouvé. Plus besoin d’user de prudence, d’être sur le qui vive. Il est seulement question de profiter de cet instant. Rien de plus, mettre son cerveau sur off et écouter les désir les plus primaires de nos corps. Simple et plaisant comme programme non ? En ce qui me concerne cela me convient parfaitement, et à en juger par ce regard glissant sur ma croupe ça lui convient tout autant qu’à moi. Comment ça j’ai joué des hanches dans le seul but de l’allumer ? Bon oui ok… j’ai peut être fait ça. Est ce que ça fait de moi une salope ? Non… je préfère dire que je suis seulement une nana qui sait ce qu’elle veut et qui assume ses désirs. C’est plus joli dit ainsi non ? Je joue sur les mots mais peu importe.

Mes lèvres s’entrouvrent et je lâche un couinement quand la paume de sa main s’abat sur ma croupe. Instinctivement j’accentue la cambrure déjà prononcée de mon dos. Oui, je lui tend mon cul comme s’il s’agissait d’une invitation silencieuse à réitérer son geste. Son bassin vient se presser contre le mien, je sent son érection contre ma croupe. On dirait que je lui fais de l’effet au monsieur… un sourire faussement innocent étire mes lèvres quand je lui demande s’il n’a pas une petite faim. Sa réponse ne se fait pas attendre. Nous savons l’un comme l’autre qu’il n’est nullement question de nourriture. C’est tellement évident…

Son bassin pressé contre le mien, ses main maintenant mon bassin fermement, fait que d'avantage monter en moi un désir à présent totalement hors de contrôle. Il se penche au-dessus de moi, pressant mon buste contre la table pour qu’il puisse attraper la bouteille de vodka encore dans le sac. Son souffle chaud dans ma nuque me fait divinement frissonner. Ce que ce mec dégage est sauvage putain. Je sent sa main agripper fermement ma tignasse blonde pour me forcer à tourner la tête dans sa direction. Mon regard agrippe instantanément le sien. Oui, je le bouffe des yeux… et alors ? Il laisse couler un filet d’alcool sur me joue et mes lèvres, je retient mon souffle, fermant les yeux quelques instant quand il vient lécher ma peau pour en cueillir chaque gouttes. Il me fait un effet dingue putain.

Je lâche presque un petit couinement de frustration quand il se détache légèrement de moi. Mes paupière papillonnent et je me tourne vers lui répondant à son sourire taquin par un sourire lubrique totalement assumé. Je le suis jusqu’à son lit, l’observant se débarrasser de son haut. Putain ce mec est super bien gaulé, impossible de détacher mon regard de ce corps athlétique qui semble m’appeler pour faire plus… amplement connaissance. Il boit de la vodka à même la bouteille, en laissant couler sur son menton… son torse. Son regard est sans appel et raisonne en moi comme la plus brûlante des invitations. Je crois qu’il est inutile qu’il formule le moindre mot. C’est en le dévorant clairement des yeux que je fais glisser les bretelles de ma robe sur mes épaules pour la laisser choir sur le sol, me dévoilant devant lui avec mes seuls sous-vêtement. Je m’avance vers lui un sourire provocant étires mes lèvres. Ce mec je pourrais le dévorer ici et maintenant… Mes gestes sont délibérément lents et sensuelles, si précédemment dans ce hall d’immeuble nous nous sommes offerts un petit coup à l’arrache, ici, dans maintenant que nous sommes tranquilles, je compte bien mon temps pour profiter pleinement de cet Apollon. A présent mon visage est à quelques centimètre du sien, je lui adresse un sourire complice avant de laisser ma langue venir cueillir la vodka à même son torse, c’est avec une lenteur parfaitement calculé que je remonte, m’attardant le long de sa clavicule… poursuivant dans son cou, le long de sa mâchoire afin de venir cueillir les dernières goutte sur ses lèvres. Ma langue poursuit sa course en forçant le passage entre ses lèvres, partant à l’assaut de sa langue pour une danse fiévreuse.

Mon corps ondule contre le sien, et mes doigts se frayent un chemin entre nos deux corps venant défaire la bouclé métallique de sa ceinture. Je rompt ce baiser que pour reprendre ma respiration, mon front contre le sien, mes iris plonge dans son regard. « Hum… c’est délicieux, mais je n’en ai pas eut suffisamment.» Mes dents viennent agripper sa lèvres, que je mordille. Je suis gourmande… terriblement gourmande et je l’assume pleinement. J’attrape la bouteille avant de me détacher légèrement de lui, mon regard coule sur sa membrure qui doit se sentir bien à l’étroit dans son carcan de tissus. Je laisse à mon tour couler de l’alcool sur son corps, mais cette fois si, ma langue part de la naissance de son cou pour descendre lentement, courant après ses gouttes qui sous l’effet de la gravité gravitent inévitablement vers l’objet de ma convoitise. Pendant ma descente lente et calculée, mes doigts finissent de libérer son colosse de chair. Ma langue taquine et provocatrice arrive à la base de son sexe dressé. Je m’amuse laissant ma langue graviter autour sans pour autant remonter jusqu’à son sommet.

BY .SOULMATES

Bon, on dirait que cette soirée est en train de tourner à la perfection. Après un départ un brin chaotique et débridé, voilà que la dame n’éprouve aucune crainte ni aucun scrupule à venir chez moi et pas juste pour la qualité de ma décoration ni pour déguster un vin ou un plat des plus savoureux en bouche. On va dire que j’ai trouvé la parfaite personne pour une nuit de débauche et de conneries stupides et satisfaisantes à souhait. D’ailleurs, elle me le prouve à coups de sous-entendu pervers et orientés. Et lorsque je lui claque le cul, elle se cambre en bonne petite allumeuse avant de prendre la bouteille dans le sac en me collant bien à elle pour qu’elle sente contre ses fesses que je suis toujours partant et motivé pour partir dans les folies. Je chipe donc la Vodka et la débouche en buvant une gorgée au goulot avant de la faire boire à son tour lui versant le liquide dans la bouche avant de lui en mettre sur la joue pour la lécher. Puis je m’éloigne en me mettant torse nu, faisant couler de l’alcool sur moi en buvant avant de lui dire de venir par là tout en m’asseyant sur le lit. Elle me fixe avec des yeux de feu et se déshabille, s’affichant dans une tenue absolument divine qui montre que la dame s’était amplement préparée pour ce soir. J’aime le spectacle, on dirait que cette tenue est carrément cousue directement sur elle tellement elle lui va bien et la met en valeur. Je dévore le spectacle qu’elle m’offre de mon regard délibérément lubrique. Je la contemple avancer vers moi lentement. Sensuelle, elle joue alors que je vois son regard briller de désir. Elle se plante enfin devant moi et se penche pour lécher la vodka sur mon torse avec une sensualité savoureuse. Sa langue douce et brulante remonte sur moi et caresse ma clavicule puis mon oreille puis elle retrouve ma bouche et m’embrasse avant de forcer le passage pour venir glisser sa langue contre la mienne. Je réponds au baiser avant qu’elle vienne s’installer sur moi à califourchon et ondule son corps contre le mien. Ses doigts viennent glisser sur la boucle de ma ceinture qu’elle détache et coupe le baiser en posant son front sur le mien en me regardant dans les yeux.

« Tu parles de Vodka ou de ce que t’es en train de déballer ? »

Amis de la poésie bonsoir, je suis parti pour faire dans la finesse et la délicatesse, j'ai l’impression. Mais c’est vrai que la question peut se poser effectivement. Pourtant, je souris et reviens lui prendre la bouche sauvagement et enroule ma langue à la sienne avant de me reculer pour lui tendre la bouteille qu’elle porte à sa bouche avant de laisser couler du liquide sur mon corps et fourre sa langue sur mon cou avant de descendre. Je me retrouve nu et raide devant elle qui descend encore et encore et joue de sa langue autour de mon sexe sans vraiment le toucher de sa langue. Parfaite petite allumeuse. Je souris avant de prendre une gorgée de Vodka et de boucher une partie du goulot avec mon pouce avant d’agiter la bouteille au-dessus de ma queue dressée et dépose des gouttes par-ci par-là pour l’inviter à promener sa langue sur moi. Puis comme elle tarde, je renverse dans ma main un peu de ce liquide et m’en sert pour venir m’enduire le sexe avec avant de finir de m’essuyer la main sur le beau visage de la dame. Je souris et lui agrippe les cheveux.

Sans trop lui laisser le choix, je joue à promener sa bouche et ses lèvres sur mon sexe enduit de Vodka en jouant de la regarder dans les yeux alors que je la nargue. Je pose la bouteille et saisis doucement mon sexe à sa base pour le frapper doucement sur les joues de la jeune femme en la narguant du regard et d’un sourire de petit con dont j’ai le secret.

« Tu sais qu’à un moment va falloir arrêter de tourner autour du pot et sucer vraiment… »

Surtout qu’elle en meure d’envie. J’ai remarqué son regard gourmand quand j’ai sorti l’engin dans le hall d’immeuble crasseux où on a baisé rapidement. Je sais qu’elle lorgne dessus avec gourmandise. Maintenant il ne faut pas me laisser prendre froid ni me laisser déballer le matériel sans jouer avec, ce serait péché.

Aaron & Anastasia

@Aaron Cooper

Des soirées comme celle ci j’en veux plus souvent. Bon d’accord avec la descente des flics en moins… c’est mieux, mais pour le reste… je dois avouer que la compagnie d’Aaron m’est plus qu’agréable. Il est mignon, gentil et surtout il ne se prends pas la tête. Il semble aussi peu raisonnable que moi, ce qui pourrait faire un mélangé détonnant, mais depuis qu’on a échappé ensemble à la patrouille de flic, mes sens ne sont plus en alerte. Enfin si, mais pas de la même manière dirons nous. La peur et l’angoisse semble avoir laissé leur place qu’à un désir charnel pur.

Une personne raisonnable et pleine de bon sens ne suivrais pas un homme qu’elle connait depuis quelques heures chez lui, mais je ne suis pas ce genre de nana. Non, je suis de celles qui agissent selon leur propres envie à l’instant T. Ca fais probablement de moi une personne déraisonnable, mais là tout de suite, alors que la clarté de mes iris trouvent ceux de mon nouvel ami, j’en ai tout simplement rien à foutre. Je me comporte comme une bonne petite allumeuse, mais Aaron semble vouloir rentrer totalement dans mon jeu, et à en juger par ce je sent plaqué et durcit contre ma croupe, son désir et au moins égal au mien.

Il joue avec la vodka, en faisant dégouliner au fond de ma gorges, sa langue chaude et taquine vient cueillir les quelques gouttes s’échappant sur ma joue. Pour ce qui est d’éveiller le désir chez sa partenaire, il sait foutrement bien s’y prendre. Ce petit sourire de branleur qui étire ses lèvres alors qu’il m’attend allongé torse nue sur le lit, éveil en moi des envies fort peu recommandable. Je ne le regarde pas, non, je le bouffe des yeux lorsqu’il laisse de l’alcool couler sur ce torse au muscles si bien dessiné. Il est sacrément bien gaulé le monsieur, et je ne résiste d’ailleurs pas une seconde de plus à combler de quelques pas cette distance pour venir déguster une à une chacune des gouttes d’alcool. Le goût brûlant de l’alcool mêlé aux saveurs sucrée de sa peau forme un mélange délicieux. Chacun de mes gestes est parfaitement calculé, pensé pour faire monter doucement la température. Pendant que mes lèvres viennent se perdre sur les siennes, que ma langue part à l’assaut de sa jumelle, je viens m’installer à califourchon sur ses genoux. Loin d’être sage et passive, mes doigts staffèrent déjà à déboucler sa ceinture, libérant son colosse de chair qui doit se sentir bien à l’étroit dans son carcan de tissus.

Alors ? La Vodka ou cette verge bandée qui se dresse fièrement entre nous ? Un sourire plein de malice anime les traits délicat de mon visage de poupée. Pourquoi choisi quand on peut avoir les deux ? Comment ? ma gourmandise me perdre ? Peut être bien mais voyez vous je suis tout à fait prête à prendre ce risque. Un dernier baiser langoureux, empreint d’une chaleur qui pourrait faire fondre un iceberg avant de m’emparer de la bouteille pour jouer avec. J’en laisse s’échapper sur son corps une nouvelle fois, sauf que cette fois-ci mes lèvres partent du nord pour se diriger lentement plus au sud. Je m’amuse, l’allumant de manière totalement délibérée. Jouer avec le feu, distinguer les flammes du désir danser dans ses yeux, c’est particulièrement plaisant. Il s’empare de la bouteille pour en laisser couler cette fois-ci sur cette verge que je délaisse pour l’instant dans l’unique but de me jouer de sa frustration. Quand il vient essuyer sa main sur ma joue, je tourne la tête pour venir sucer son doigt dans un simulacre de fellation. Je le nargue, lui adressant un sourire malicieux. Ses doigts glissent jusque dans ma chevelure l’empoignant avant de m’infliger qu’elle biffle. Je relève les yeux, venant ancrer mes iris dans les siens. Son sourire de petit con, m’en arrache un des plus provocants. Ses mots sonnent comme une mise en garde, une menace peut être bien ? Non… il m’incite seulement à céder à cette envie qui me brûle les entrailles.

« Il serait indécent de délaisser ce jouet plus longtemps.»

Ma langue s’attarde sur son gland le suçotant avec envie envie avant de laisser mes lèvres coulisser sur sa verge tendue. A l’instant même ou mes lèvres ont commencé leur progression il n’est plus question pour moi de retenue, ou de le frustrer d’une quelconque manière. Je veux seulement le déguster avec une gourmandise grandissante. Je le prends en bouche plus profondément à chaque vas et viens, jusqu’à ce que mon petit nez mutin effleure son pubis et menton ses bourses. Mes yeux se relèvent sur lui, cherchant à le sonder, à faire monter à lui un plaisir sauvage, je l’aspire, torture son gland quand ma langue arrive à son sommet. Attentive à la moindre de ses réaction, mon seul objectif : son plaisir.

BY .SOULMATES

Drogue, alcool, sex et maintenant Vodka et jolie blonde visiblement très réceptive à mes désirs du soir, je suis aux anges. Enfin, on va plutôt dire que tout se déroule selon le plan. Ce soir, je comptais me faire sauter le caisson. J’étais prêt. J’avais envie que cesse cette douleur lancinante qui m’accable depuis qu’elle a cessé de respiré. J’ai réalisé que j’avais oublié sa voix. Son odeur. La douceur de sa peau. Que sa chaleur me manque et que j’étouffe sans elle. Que j’ai promis de vivre, mais que c’est chaque jour plus difficile et que je peine à trouver la force de continuer ma route. Alors ce soir, je voulais vivre fort. Je voulais sentir mon cœur battre, quitte à ce qu’il me lâche. J’ai besoin de me noyer dans une tempête de vie et ne plus penser à rien. Oublier le reste et me complaire dans les méandres de ce qui fait la vie. Cette femme est le jouet qui cette nuit va simplement me garder en vie. Je la regarde se déshabiller et s’afficher dans une tenue des plus érotique. Elle approche d’une démarche lascive et s’installe près de moi, jouant avec l’alcool et mon corps, cherchant à jouer avec mon désir pour faire monter la douce pression entre nous. J’apprécie le geste, car elle réussit cet exploit de me mettre dans un mood qui m’éloigne de ma souffrance. Je déguste ses caresses et la vue qu’elle m’offre sur elle. Je prends le contrôle, essayant de l’embêter en jouant les mâles stupides agrippant ses cheveux pour la bifler à plusieurs repris en la regardant. Elle soutient mon regard et mon audace. Je la nargue d’une phrase assassine à laquelle elle répond par l’affirmative. Elle tire sa langue de sa bouche et l’écrase sur mon gland. Ma main dans ses cheveux se crispe et mon bassin se soulève comme par réflexe. Merde… Je crois que je suis plus sensible que prévu.

Mais déjà, elle aspire mon sexe dans sa bouche et me fait gémir. Et soudain fini la tentation et le jeu. Elle me suce sans détours se mettant en action de la plus douce et divine des manières me faisant fondre de délice à chaque fois que sa bouche glisse sur mon sexe. Elle pousse plus loin et me prends finalement en entier dans sa gorge. Je déguste sa folie avant de la reculer pour la regarder dans les yeux pour finalement sentir sa langue accabler mon gland. Je grogne de plaisir et l’enfonce sur mon sexe, agrippant sa tête à deux mains pour baiser le fond de sa gorge sans ménagement en gémissant de passion en m’offrant sans retenue sa gorge comme jouet pour mon sexe… Je la bloque finalement quelques secondes une fois totalement prise par mon sexe qui bloque ses voies respiratoires et la tient en place sans broncher, la forçant à encaisser avant de la libérer dans un long râle de plaisir. Je souris en la regarde légèrement rougit de l’effort et les yeux larmoyants sous l’effet de la pression que je lui ai imposée. Je souris et masturbe mon sexe totalement enduit de salive et avale une gorgée de Vodka avant de l’embrasser pour lui en faire boire pendant notre baiser. Je souris en la regardant et glisse mes mains derrière elle et détache son soutient gorge qui tombe au sol, libérant ses seins.

« Je crois que j’ai soudainement un besoin fou de te baiser… »

J’ai les yeux qui brillent. Cette nénette blonde n’a pas froid aux yeux et elle n’est pas venue pour enfiler des perles. Alors, je crois que cette nuit va me faire du bien à la queue. Et c’est tout ce que je demande. Je l’embrasse et profite de tendre le bras pour venir lui mettre une claque sur son cul histoire de lui donner un peu d’entrain à cette dame avant de saisir son string que j’écarte presque maladroitement histoire de lui donner la sensation que je suis en train de crever de désir de lui retirer. Je vais peut-être même le déchirer si elle tarde…

Aaron & Anastasia

@Aaron Cooper

Voilà une soirée comme je les aimes, sans pression ni obligation, juste du plaisir et rien d'autre. Une simplicité qui me permet de 'débrancher' mon cerveau pour profiter de ce que la vie a à m'offrir. Sans réflexion d'aucune sorte. Je me laisse porter par cette vague de désir brûlant qui nous enveloppe et nous pousse à exciter l'autre, poussant peu à peu le curseur de l'attraction jusqu'à ce qu'elle atteigne des sommets vertigineux. Ne plus penser à rien, se forcer à vivre dans le moment présent ç'a du bon, rien de tel pour mettre ses démons du quotidien dans une parenthèse. Ce soir Aaron me sauve de mes démons en quelques sorte, il n'en a probablement pas conscience, mais pourtant, c'est bel et bien le cas d'une certaine manière.

Je joue avec lui, cherchant clairement à l'aguicher, à faire monter en lui un désir qui n'aurait probablement pas besoin d'être poussé à ce point, mais pour ce soir, pour cette nuit, je veux accaparer ses pensées. Demain sera un tout autre jour, nous retournerons l'un comme l'autre à notre quotidien, mais cette nuit il n'y a que ce désir ardent... brûlant qui compte. Un sourire à peine perceptible étire mes lèvres lorsque je sent sa poigne se raffermir sur ma tignasse blonde. Il me flanque qu'elle biffle bien senties, mes lèvres s'entrouvrent pour laisser ma langue humidifier mes lèvres dans un geste démontrant une gourmandise évidente. Quoi ? Je regarde son sexe tendue comme une glace ? Je suis gourmande et alors, j'assume totalement.

Après quelques petites provocations et sourire canaille, mes lèvres viennent prendre possession de l'objet de ma convoitise. Je sents ses doigts se crisper à l'arrière de mon crâne et je l'apperçoit soupirer d'aise, basculant sa tête légèrement en arrière pour profiter de la chaleur de ma langue torturant son pieu de chair. Le voir aussi réceptif à mes attentions est tout bonnement délicieux. Je le prends totalement en bouche, bien décidée à le voir complètement défaillir, céder à ses pulsions sauvages qui le torturent. Il gémit, et son visage déformé par le plaisir que je sussite est une spectacle dont je ne lasse pas. Je gémis, lâche un léger couinement de surprise quand il agrippe ma tête à l'aide de ses deux mains, prenant le contrôle total de cette fellation, il s'impose à moi, baisant mes lèvres avec force. J'ai du mal à encaisser et pourtant je prends mon pied. La violence, l'intensité pareille dans ce genre de rapport n'est absoluement pas nouveau pour moi, et déceller en lui ce désir de me posséder avec une telle violence fait que décupler mes envies. Putain merde, ce type est dingue et j'adore ça. Il se fige en moi, cet instant a probablement duré que quelques secondes, mais il m'a semblé duré bien plus. Il bloque mes voies respiratoires, l'air me manque, il se retire que lorsque je commence à suffoquer et à manquer d'air. Ce sourire en coin qu'il affiche en me voyant inspirer profondément pour retrouver un semblant de respiration convenable est diabolique.

Ses lèvres viennent se sceller contre les miennes, le feu de la Vodka passe de sa bouche à la mienne. Je pourrais m'habituer à déguster ce genre de nectar de la sorte, c'est follement plaisant. Mes doigts cèdent à mon impatience grandissante et s'enroulent autour de son pieu de chair pour le masturber pendant qu'il libère ma poitrine de son étroit carcan de tissus.

« Ah oui ? » Mon air faussement innocent ne trompe personne, mais je m'en amuse, jouant les ingénues par pur envie de jouer. Je couine quand il claque mon petit cul, avant d'écarter maladroitement mon string. Monsieur est impatient ? Ca tombe bien, moi aussi. Je meurt d'envie de regoûter à cette sauvage vivacité à laquelle il m'a déjà donné un bref aperçut dans ce hall insalubre. ici rien ni personne ne pourra m'empêcher de laisser mon plaisir s'exprimer. L'angoisse de se faire chopper par les force de l'ordre est bien loin à présent.« Sur une échelle de un a dix... ton impatience ce situe à quel niveau ? » Je minaude, joue de mes airs innocents de poupée de porcelaine. Mes doigts délaissent à contre coeur son sexe durcit pour faire glisser le long de mes cuisses mon string. Oups... il est trempé, je regarde le coupable d'un air amusé. La paume de ma main vient se plaquer sur son torse, pour le faire reculer pour qu'il s'allonge sur le dos. Mon sourire lubrique est clair quant à mes intention à venir. Je ne perds pas une seconde de plus, pour venir m'installer à califourchon sur lui, sa hampe de chair durcis coulisse contre mon intimité comme une promesse brûlante à venir. Je me penche en avant, venant plaquer mes lèvres contre les siennes pendant que je m'empâle sur lui lentement. Je gémis et frissonne en le sentant m'investir totalement. Putain j'en tremble tellement j'en avais envie. Je commence à onduler lentement, venant ancrer mes iris dans les siens.

BY .SOULMATES

Cette petite nénette blonde est sans doute aussi siphonnée que moi et c’est parfait pour ce que je compte faire ce soir. Je veux baiser à m’en étourdir et on dirait que j’ai trouvé la partenaire idéale pour faire ça. Cette petite nana a faim de moi et elle décuple tous ses charmes pour me donner envie d’elle. Elle joue avec moi sans complexe me faisant oublier pourquoi ce soir, je voulais me foutre en l’air et pourquoi c’est l’envie de baiser qui a permis d’éviter que j’aille provoquer un groupe de mecs pour qu’ils me passent à tabac et qu’avec un peu de chance, je finisse mort et enterré et que tout s’arrête enfin… Bref, on dirait qu’on va respirer de l’air un jour de plus en fin de compte. En tout cas y’en a une qui me garde parfaitement bien en vie à la voir ainsi s’activer sur mon sexe. On dirait qu’elle aime me faire mourir de désir parce que le simple fait qu’elle retire ce truc de ses seins suffit à me rendre plus solide qu’une matraque de CRS… Je la regarde, me demandant à quel moment elle va réaliser que je suis parfaitement en température ? Quand je lui annonce la couleur, la jolie blondinette souris et ironise avant de se prendre une claque sur le cul pendant que j’écarte habilement son string. C’est là qu’elle me demande sur une échelle de 1 à 10 où se situe mon impatience ? Elle minaude et j’ai presque envie de lui agripper le visage entre mes doigts pour creuser ses joues et lui dire d’arrêter de faire chier et d’y aller à fond, mais je me contente de la terrasser du regard en souriant.

« 25 je dirais… tu comptes faire un truc pour moi ou j’appelle un plan cul pour le relais ? »

Toujours très agréable dans ma manière de parler. Mais on va espérer que mon sourire de petit branleur absolu suffira à lui donner envie de ne pas m’en tenir rigueur ? Elle ne semble pas le faire, car elle retire son string et me dévisage doucement avant de réaliser qu’il est trempé… J’adore l’idée… Je la regarde avec toujours cette même expression et ne la quitte pas même lorsqu’elle m’allonge sur le dos. Plus entreprenante et directe, elle m’enjambe et vient guider mon sexe vers son entrejambe. Raide et solide, elle s’empale sur moi délicatement, me faisant entrer en elle sans attendre. Je souris en gémissant alors qu’elle s’approche et se penchant sur moi. On s’embrasse et je la sens gémir quand mon sexe continue son inlassable pénétration. J’ai presque envie de lui demander si elle en voit le bout ? Mais ce serait se la péter même si j’ai une taille des plus sympathique à exhiber… C’est mon délire, en tournage, j'adore me balader à poil la queue bien raide, ça donne des complexes à tous les mecs de l’équipe technique. Bah quoi ? C’est bon de leur rappeler pourquoi c’est moi qui baise les jolies nanas et eux qui filment… Je souris à Ana qui me fixe, haletante et gémissante à coulisser son bassin pour faire aller et venir mon sexe en elle.

« J’ai failli attendre… »

Petit reproche avant que je l’enlace. Mes mains agrippent ses fesses et je la soulève un peu, me mettant à onduler sous elle pour aller à la rencontre de son bassin. Vais-je encore lui faire ma spécialité d’acteur porno ? Celle qui m’a valu mon nom de scène ? Sans doute après… Je la regarde en bougeant sous elle, histoire de ne pas la laisser capable de maitriser la situation. Même sous elle, c’est moi qui lui impose mon rythme.

Aaron & Anastasia

@Aaron Cooper

Ce soir je ne suis clairement pas dans mon état normal, je ne suis pas raisonnable, je laisse parler une partie de mon être qui s’exprime que très rarement. Est-ce que c’est mal ? Non, pas vraiment, cette bouffé de liberté me fais un bien fou… Bon mise à part ce départ de soirée un peu foireux, je trouve que l’on s’est plutôt bien rattrapés. Mon esprit comme mon corps est engourdie par ce désir ardent qui me consume depuis le début de cette soirée mouvementée. Je veux baiser, je veux m’épuiser jusqu’à en perdre la raison. Mon partenaire semble partager avec moi ce désir brûlant, et j’aime ça. J’aime lire cette flamme animé par le désir danser dans ses iris.

Je joue avec le feu en l’attisant, en le frustrant jusqu’à ce qu’il perde patience et veuille s’imposer à moi. Je couine délicieusement quand il claque ma croupe pour me rappeler à l’autre. Le claquement de sa paume contre ma peau de porcelaine raisonne dans l’appartement, sonnant le début d’un nouveau round. Je minaude encore et fait mine de ne pas comprendre à quel point il est chaud et parfaitement à point. Il prend les chose en main agrippant mon visage avant de me faire comprendre que j’ai assez joué avec lui et que si je continue je risque de me prendre un retour de flamme. Il faut savoir quand s’arrêter pour ne par obtenir l’effet inverse que celui qu’on souhaite. Nous sommes à ce moment, et il est hors de question que quelqu’un d’autre profite de ce brasier que j’ai animé.

« Et que quelqu’un d’autre profite de ça ? « Mon regard est amusé et mes doigts s’enroule autour de son pieu de chair bandé à l’extrême. « Il en est hors de question…»

Non non mon chou, c’est bien moi que tu vas tringler jusqu’à l’épuisement… Je retire mon string, dévoilant mon intimité déjà trempée d’un désir que j’assume totalement. Je l’invite ensuite à s’allonger sur le dos afin que je puisse venir le chevaucher. C’est mes iris azurs planté dans les siens, brillants d’une excitation incroyable que je m’empale sur lui. Mes lèvres viennent capturer les siennes pendant que mon bassin commence à onduler pour le sentir aller et venir en moi, il est sacrément bien membré et le sentir aussi profondément ancré en moi c’est divin putain. Je vois parfaitement à son parfait sourire de petit con qu’il est satisfait de cet effet qu’il a sur moi.

« Et tu me diras si ça valais le coup d’attendre…»

Je souffle ces quelques mots contre ses lèvres avant que mes dents viennent malmener ses lipes en les mordillant tout en laissant mon bassin onduler au-dessus de lui. Je souris en le sentant m’enlacer, agrippant mes fesses pour guider mes mouvements. Je le sent onduler sous mon corps, il fait monter mon plaisir, atteindre des cimes vertigineuses. Je gémis, mes lèvres plaquées contre les siennes. Même dans cette position, il s’impose à moi, et putain ce que j’aime ça. Je me redresse laissant mes doigts courir sur son torse. Je m’agrippe à lui, ancrant mes ongles dans sa chair, redoublant d’ardeur, variant le rythme et les angles de pénétration pour lui offrir le plaisir qu’il mérite. Ce type est un coup d’enfer et je veux le rendre aussi fou de plaisir qu’il est capable de m’en offrir.

Je profite encore un moment de cette position avant de me retirer, venant me positionner à quatre patte devant lui. Je lui offre ma croupe, et je me contente de tourner la tête dans sa direction, un regard brûlant sonnant comme une invitation à venir s’inviter en moi… à me posséder comme il se doit. Ainsi, il pourra user de toute sa force et peut être même me rappeler à quel point j’ai été une bien vilaine fille un peu plus tôt.

BY .SOULMATES

Ce soir moi, j'ai clairement décidé d’être accommodant et charmant. J’ai besoin de baiser à m’en étourdir la tête. Je ne veux pas négocier, charmer, attendre. Je veux me lâcher avec une fille qui a envie de moi et qui ne veut pas discuter ou faire dans la dentelle. Je veux du sex, du cul, du fion, du sale. Je ne veux pas de fioriture. Juste sentir le plaisir m’étreindre et ne plus penser à rien. Je veux m’endormir en elle, épuisé en plein milieu de nos ébats. Je la regarde faire alors qu’elle joue en faisant monter la pression. Elle est canon et elle sait jouer de ses charmes. On dirait qu’elle pose pour m’exciter en plus de ses caresses étourdissantes… Je devrais peut être lui proposer de nous filmer, ça me fera quelques vues supplémentaires sur mon Only Fans… Ouais, je ne suis pas hyper branché réseaux sociaux, mais parfois ça permet d’exciter une fan en chaleur et si elle n’est pas trop cinglée et baisable, ça peut signifier que ma bite va passer un moment pas trop dégueulasse… Alors que je signifie à ma douce partenaire du soir mon désir de cesser de jouer et d’y aller franchement, elle enroule ses doigts autour de mon sexe et le caresse en jouant avec ma provocation avant de me signifier qu’il est hors de question qu’elle ne profite pas de mon sexe maintenant qu’elle m’a rendu aussi raide qu’un bout de bois…

Sans pudeur, elle retire son string légèrement humide à l’endroit de son sexe. Je suis content de voir que madame s’excitait comme une folle pendant qu’elle me raidissait. Non, je crois sérieusement que je vais lui proposer de venir bosser avec moi si ça continue… Je m’allonge sur le dos, repoussé par elle. Elle m’embrasse et s’empale sur moi, elle me lance une phrase assassine et me chevauche. Je saisis son cul et loin de rester sage et inactif, je soulève le bassin, claquant mon bassin au sien pour bien faire remonter mon sexe en elle et qu’elle se sente envahie par mon corps. J’aime ce regard vitreux qu’elle affiche en me regardant alors que ses seins ballotent dans une danse des plus perverse alors que mon corps claque sans retenue contre le sien. Elle pose ses mains sur mon torse et se stabilise ainsi avant de planter ses ongles dans mon corps, menaçant de pénétrer ma peau. Je guette le moment où cette dame va être au bord de l’orgasme pour lui envoyer ma spécialité, mais alors qu’elle commence à s’en approcher, elle s’arrête et se retire. Ohhhhh la garce… Elle veut vraiment jouer sur la longueur… Je souris alors qu’elle grimpe sur le lit et se met à 4 pattes devant moi, offrant ses orifices sans aucune pudeur à ma vue. Son regard s’accroche au mien par-dessus son épaule et je souris en venant doucement derrière elle.

Arrivé en position pour l’emmancher sans plus de cérémonie, je retiens ma pulsion et teste sa croupe de déesse en lui mettant une violente claque dessus. Le bruit de ma main sur son cul résonne dans la pièce avant que je ne me penche pour venir passer ma langue entre ses fesses divine massant son anus avec alors que deux doigts serrés font intrusion dans son sexe béant et trempé, se recourbant vers le haut pour masser son point G. Je la tourmente ainsi quelques secondes avant de mordre tendrement son cul.

« T’as jamais pensé au porno bébé ? On pourrait se faire pas mal de fric en baisant comme des cons… »

Je reviens agiter le bout de ma langue contre son anus la doigtant plus fort avant de remonter en léchant ses reins et une partie de sa colonne vertébrale avant de me redresser. Je veux jouer avec elle. Mes doigts se retirent d’elle et viennent s’essuyer sur mon sexe tout raide que j’enduis de sa mouille. J’insiste sur le bout, laissant même couler un filet de salive entre mes lèvres pour rajouter un peu. Je me redresse et présente mon gland contre son anus en poussant doucement.

« J’te conseille de mordre le coussin, je suis plutôt imposant… »

Joignant le geste à la parole, je commence à pousser doucement pour entrer dans cet orifice très serré et si elle veut m’arrêter c’est maintenant, car sinon je vais réellement aller au bout de mon délire…

Aaron & Anastasia

@Aaron Cooper

Le désir est bien présent et emplit la pièce dans laquelle nous sommes, étourdissant mes sens qu’il a su si bien mettre en éveil. L’heur n’est pas à la séduction mais au plaisir. Sauvage. Brutal. Impatient. J’aime ça et je ne m’en cache pas un seul instant. Je ne l’ai pas suivi jusqu’ici pour me faire payer un café, les choses ont étaient d’une clarté parfait dès l’instant ou son regard à croisé le mien dans l’obscurité de cette boite de nuit. Une attirance purement physique qui semble le ravir et l’exciter autant que moi. Jouer de mes charmes, attiser le désir de mon partenaire pour lui offrir pour finir une vague de plaisir destructeur, c’est mon job, et j’excelle dans ce domaine. La différence étant, qu’ici, dans le cas présent je le fais parce que j’en ai moi aussi intimement envie. Je ne me contente pas de répondre à la demande d’un client, mon plaisir n’est pas secondaire et il a sa place autant que le sien.

J’ai joué avec sa patience jusqu’au bout, jusqu’à ce qu’il me fasse clairement comprendre que je m’adonne un jeu dangereux. Il est tant ce passer aux choses sérieuse, je me débarrasse de mon string trempée de ma propre excitation avant de venir le chevaucher sans attendre plus longtemps. Si j’ai bien joué avec sa frustration en l’allumant outrageusement, j’ai aussi mit la mienne à rude épreuve. Je m’empale lentement sur son pieu de chaire, profitant de chaque millimètre s’enfonçant en moi. Putain il est bien membré le con !! Je mords férocement ma lèvres inférieur, mes iris demeurant ancrés dans les siens. Il empoigne avec force mon petit cul galbé, le malaxant tout en ondulant du bassin faisant claquer sa chaire contre la mienne. Je m’agrippe à lui, laissant toute cette envie, tout ce plaisir envahir la moindre particule de mon être. Depuis combien de temps n’avais-je pas pris mon pied comme ça ? Sans enjeux… sans conditions d’aucunes sorte ? Putain ça fais un de ces bien. C’est étourdissant. Je veux profiter de cet instant, le faire durer pour pas que tout vienne trop vite. Je suis au bord de l’orgasme et peut être que lui aussi quand je me retire subitement. Son regard est accusateur, mais je me contente de lui adresser un sourire canaille avant de me retourner, me positionnant à quatre patte comme une parfaite petite salope, lui offrant ma croupe au galbe harmonieux.

Je l’observe par dessus mon épaule, un petit peu comme si je le mettais silencieusement au défis. Délicieusement provocante, je l’observe approcher, se positionnant derrière moi pour m’investir. Je retiens mon souffle et mes lèvres s’entrouvrent pour lâcher un couinement quand le plat de sa main s’abat sur ma croupe pour faire rougir ma peau pâle. La douleur mords ma peau lui donnant cette couleur plus vive, attisant par la même occasion un désir sauvage et décadent. C’est à lui de me torturer et de jouer avec mon corps de poupée. Je couine en sentant sa langue brûlante glisser entre mes fesses pour finir par venir masser mon anus. Il enfonce deux doigts en moi, venant titiller mon point G, me tourmentant ainsi délicieusement. Instinctivement, mon corps se tortille, secoué par ce plaisir grandissant. Ma respiration est rapide et irrégulière quand il me fais cette proposition. Je ne m’y attendais pas et je dois dire que j’ignore s’il est sérieux ou non… et quand il est question de me faire du fric je dois avouer ne pas cracher dessus.

” Tu ne devrais pas me faire ce genre de proposition si tu n’es pas sérieux…”

Le plaisir est entêtant et embrume mon esprit qui semble avoir du mal à tenir un raisonnement convenable. Me faire du fric en baisant je le fais déjà… mais en prenant un pied pareille…. non, pas toujours du moins. L’idée est plus que tentante, même si là, soyons honnête je pourrais lui dire oui à n’importe quoi, juste parce que je veux le sentir me démonter comme un fou. Sa langue glisse le long de ma colonne vertébrale, haletante, mes poings viennent serrer durement le tissus des draps, comme si ça pouvais m’aider à encaisser ce qu’il prépare.

“ Parce que je pourrais te prendre au mot… “

et ainsi accepter cette proposition peu commune. Un grand nombre de femmes s’insurgeraient de se voir ainsi proposer de ce faire ainsi instrumentaliser. Moi non. Je vois que les avantages et les bénéfices d’un tel jeu. J’avoue que pour l’instant je suis bien incapable de penser à tout ça, pour l’heure je veux seulement baiser, étourdir mes sens jusqu’à perdre complètement la tête. Je retiens mon souffle quand je sent glan se presser contre mon anus. La suite des évènements est évidente et je suis davantage excitée, qu’anxieuse de la douleur qu’implique un tel outil en moi.

“ Je ne suis pas aussi fragile que j’en ai l’air…”

Je lui adresse un sourire amusé, à la limite de la provocation, avant de laisser mon visage s’enfouir dans le coussin quand je le sent pousser pour se frayer son chemin dans mon petit cul serré à souhait. J’ai l’air d’une poupée fragile, que l’on peut briser en la serrant trop fort, et pourtant il n’en ait rien. Je ne l’arrêterais pas, il en ais hors de question, je compte bien allez au bout de notre délire. Il semble aussi fou que moi et ça me plais putain. Je pousse un cris étouffé serrant les draps jusqu’en m’en faire blanchir les articulations de mes doigts. Je le sent m’investir lentement et c’est à la fois douloureux et tellement bon. La douleur fait partie du plaisir, j’en ai toujours eut conscience…. c’est étrange d’aimer avoir mal, d’accepter et d’embrasser cette douleur qui vous fait peu à peu sombrer dans un état second. Je gémis… cris, accentuant la cambrure de mon dos comme si je voulais que mieux l’accueillir. Je me redresse lentement, les lèvres tremblantes, je peine à retenir ses cris de douleur et de plaisir étroitement mêlé. J’espère que ses voisins ne sont pas chiants… parce qu’ils risquent de m’entendre cirer et je ne compte pas me contenir, et je pourrais mordre toute personne voulant déranger cette baise endiablée.

BY .SOULMATES

Si je pouvais résumer ma rencontre avec cette poupée blonde, je dirais un truc comme : Jackpot ! La nana est canon, totalement insane et aussi tarée que moi. Elle est ardente et sauvage, elle n’est pas venue pour se faire charmer ou pour le grand amour. Elle m’a choisi pour baiser et ne compte pas partir sans être comblée. Elle me chauffe depuis qu’on a passé la porte et je n’ai même pas à raconter tout ce qu’on a fait avant pour illustrer à quel point cette femme est une tornade. Elle me chauffe depuis tout à l’heure et joue de sa langue et de sa bouche sur mon sexe comme une pro. Elle a faim et on dirait qu’elle aime mon physique et que mon sexe est à la taille et à la forme qui lui convient. C’est agréable de se sentir au gout de la personne qui vous caresse… J’ai tourné beaucoup trop de scènes avec des pauvres connes qui avaient soient envie de se la jouer rebelle juste pour balancer à papa pendant un repas de famille « je fais du porno » mais qui est toute crispée et n’assume pas. Ou alors ces connasses fourrées de silicones qui ne veulent pas vieillir et qui ne ressemblent à rien en étant gonflées de partout… Brrrrr très peu pour moi. J’avoue que je suis très charmée par le véritable désir de cette femme. Elle me veut, je lui fais envie et elle ne s’en cache pas. Le moment où elle vient s’empaler sur moi et me chevaucher pour se mettre au bord du plaisir et s’arrêter me délecte. Cette femme connait son corps et le plaisir qu’elle lui inflige et je lui fais une indécente proposition qu’elle accepte avec habileté même si je la soupçonne d’être tellement excitée qu’elle pourrait me dire oui à n’importe quoi… Je vais d’ailleurs en profiter. Alors qu’elle me provoque de sa croupe superbe et me regarde par-dessus son épaule, je viens derrière elle, mais au lieu de m’empresser, je me présente contre ses fesses serrées… Je regarde les fesses toutes petites de cette femme magnifique et son orifice tout serré contre lequel mon sexe imposant se place. J’ai un rictus salace sur le visage au moment de pousser contre elle en lui conseillant de mordre le coussin, mais cette dernière me réponds qu’elle n’est pas aussi fragile qu’elle en a l’air… Je la regarde en souriant alors qu’elle me fixe toujours par-dessus son épaule et pousse. Le bout de mon sexe s’enfonce dans son corps et souris alors qu’elle plaque son visage dans le coussin.

Ses fesses étroites laissent passer mon sexe lentement. Elle se crise, mais ne résiste pas à la pénétration. Elle crie dans le coussin et serre les draps, mais ne se dégage pas et encaisse en me laissant prendre possession d’elle. Elle aime ça, ça se sent… Elle aime avoir mal. Je continue de me forcer un passage dans ses fesses, savourant chaque centimètre parcouru. Le souci c’est sans doute les proportions de ma verge, mais je la vois encaisser et savourer. Prise entre plaisir et souffrance, je pénètre ses fesses lentement. Ma petite bicoque en face de la plage est parfaitement insonorisée et en plus, Enfin, je me retrouve de moitié en elle. Elle se redresse et se cambre. Je saisis ses cheveux et tire dessus pour qu’elle se cambre plus encore. Je souris et donne un coup sec de mon bassin pour me planter en entier au fond de ses fesses la tourmentant de douleur alors que je glisse ma main libre entre ses cuisses et masse son clitoris me collant à elle en lui mordillant le cou.

« C’est bon… J’y suis… Tu es une bonne… Chienne… Bien serrée… »

Je suis odieux et je le sais. Mais cet instant, ce moment, cette baise est en train de devenir sauvage et violente et je sens que le langage cru et dominant peut la faire fondre de plaisir. Je me mets à bouger pour faire coulisser ma verge dans ses fesses toutes ravagées par ma présence. Je lèche sa joue avec délice en souriant, lui faisant tourner la tête pour lécher sa langue de manière perverse et salace pendant que j’ondule dans ses fesses avec ardeur. Je tremble de plaisir en massant son clitoris puis la relâche et m’agrippe à ses hanches à deux mains pour grogner en lui mettant maintenant de grands coups de bassin puissants, profonds et rapides. Je lui défonce littéralement le cul en haletant de plaisir.

Aaron & Anastasia

@Aaron Cooper

Déraper sans se soucier des conséquences, déconnecter son cerveau au profit du seul plaisir, ça à parfois du bon. Dans le cas présent avec Aaron, le dérapage est totale, il est violent et sauvage et c’est diablement excitant . Du plaisir et du sexe jusquà en perdre son latin, que demander de plus ? je ne soucis pas un seul instant quant au fait qu’il puisse me juger… je m’en fiche et honnêtement ça ne m’a même pas traversé l’esprit. Il semble aussi fou que moi, aussi insouciant également et ce genre de connexion, purement physique, purement sexuel et sauvage c’est tellement bon.

On ne s’embarrasse des introductions séductrices, non, c’est inutile. Je l’ai bien chauffé comme il faut avant d’aller droit au but en venant m’empaler sur cette érection qui me fait saliver depuis tout à l’heure. Monsieur est sacrément bien monté et le sentir me fourrer de la sorte putain c’est divin. Un dieu du sexe ? Cette pensée me fais sourire tant je pense que Dieu aurait beaucoup à dire de nos présents agissements. Penser au porno ? sa proposition m’amuse autant qu’elle me séduit, je ne sais pas s’il est sérieux cependant et mon esprit est présentement bien trop accaparé par le plaisir pour que j’y songe davantage. À cet instant précis je crois bien qu’il aurait put me demander n’importe quoi, j’aurais dit oui sans l’ombre d’une hésitation. D’ailleurs ce n’est pas des “oui” d’encouragement plaintifs que pousse ma bouche en coeur sous formes de gémissements brûlant ? Si si … je crois bien. Putain ce mec me ravage comme un putain de professionnel.

Je vais défaillir beaucoup trop vite, et je ne veux pas passer pour une débutante. Je n’en suis pas une. Je m’écarte d’un seul coup, m’amusant de ce regard qui me fusille. Quoi ? Je joue encore avec ces nerfs ? Non… enfin, si et j’en ai parfaitement conscience. S'il finit par péter un capable à cause de mon petit manège, je l’aurai bien cherché. Dans une ultime provocation je me tourne, à quatre pattes je lui offre une vue parfaite sur mon petit cul. Je crois que l’invitation est plus qu’évidente non ? Elle semble l’être pour lui en tout les cas puisqu’il vient presser son érection contre mon petit cul. Je retiens mon souffle, agrippant fermement les draps quand il pousse son sexe entre mes fesses. Je veux bien avoir l’air d’une poupée de porcelaine, mais je ne suis pas une petite chose fragile, il pourrait être surpris de tout ce que je suis capable d’encaisser. Mon corps s’arc et se tend, je sent chaque centimètre de sa verge imposante m’investir. Ce plaisir mêlé aussi étroitement à la douleur est absolument divin, ça décuple mes sens… et mon plaisir, c’est totalement étourdissant. Il empoigne ma chevelure, maintenant ainsi mon dos contre son buste exactement comme s’il me chevauchait, comme s’il tentait de dompter cette petite tornade blonde qui s'est invitée dans sa nuit.

Sa bite entre mes fesses… sa main libre jouant contre mon bouton de chair… ses lèvres contre la peau fine et sensible de mon cou forme un cocktail explosif. Je gémis, me tortille à la fois de plaisir et de douleur contre lui. Il finit par abattre toutes mes barrières, il me traite de bonnes chiennes, et je couine d’approbation, comme si ces termes pourtant odieux et rabaissant sonnaient à mes oreilles comme un compliment. Je suis fêlée ? Peut être bien un peu… et alors ? Je prends mon pied… lui aussi et à cet instant rien d’autre n’a de l’importance.

« Défonce moi putain…»

Je suis vulgaire, je suis tremblante et brûlante… je fond d’un désir qui me dépasse clairement. Ce plaisir sauvage et violent me consume de l’intérieur. Il se met alors à bouger, ondulant son bassin, je sent chaque centimètre de son colosse de chair qui coulisse en moi. Je couine, mes gémissements sont puissants et raisonne entre les murs de la pièce. Ses gémissements rauques semblent faire échos au mien, une unions parfaite. Ma langue vient cueillir la sienne, la domptant le temps d’un balais brûlant avant qu’il me repousse en avant, saisissant mes hanches pour me défoncer avec toute la puissance de frappe dont il est capable. Je perds complètement pieds à cet instant, il m’écartèle me possède avec une puissance que j’ai rarement connue. Mes gémissements deviennent des cris, je ne fais absolument aucun efforts pour les contenir. Je prends mon pieds et je veux qu’il l’entendent, qu’il puisse contempler ce plaisir violent dont il est l’investigateur. Je m’agrippe aux draps, les serrant de toute mes forces quand je sent le plaisir me terrasser, se propager dans chaque parcelle de mon être. Mon corps est alors secoué par des spasmes de plaisir aussi délicieux qu’incontrôlable, j’attrape alors une de ses mains pour la plaquer contre mon intimité qui pulse de plaisir. Je veux qu’il prenne pleinement conscience de ce feu qui me ravage. Mon coeur bat à tout rompre dans ma poitrine et ma respiration est complètement anarchique. Putain on peut crever d’un orgasme ? Avachit sur le matelas, je tourne légèrement la tête sur le côté pour que mon regard puisse accrocher le sien. Ma jouissance sera total que lorsque je le sentirais exploser de plaisir lui aussi.

« Tu… tu es complètement ravagé comme mec, tu le sais ça ? »

J’esquisse un sourire quand il s’agit clairement d’un compliment. Des soirées comme ça c’est juste exceptionnellement bon.

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