Jape // Keep your friends close, but your enemies closer. TW sexe hard

Cette petite nénette est complètement cinglée. C’est définitif, elle est totalement fuckée du cerveau comme on dit. Je claque son cul, je l’insulte, lui tire les cheveux et elle en redemande. Ce n'est pas ce qu’on appelle une chienne soumise ça ? Le pire, c'est qu’elle se met dans ce rôle toute seule et alors que je lui demande si elle a fini, elle me répond non qu’elle ne fait que commencer et m’appelle Daddy… Putain, elle a vraiment un soucis la blondinette… Et en même temps qu’est-ce que j’en ai foutu ? Si elle est assez conne pour baiser avec un vieux moche quand elle peut avoir n’importe quel mec à ses pieds, qui suis-je pour l’empêcher de faire des conneries ? Un flic oui, mais pas un bon samaritain. Je bande solide sous mon pantalon et la petite blonde toute nue se frotte sans pudeur contre cette bosse souillant délicatement mon pantalon. Elle réplique et joue l’effrontée et je libère ses cheveux de ma poigne solide en la regarde dans les yeux alors qu’elle m’annonce qu’elle commence à adorer ce petit jeu. Merde, je crois que moi aussi. J’adore qu’une minette cinglée belle comme un ange soit assez siphonné pour vouloir se taper un vieux moche comme moi… Elle se frotte et se colle à moi sans ménagement. Je la regarde nue et magnifique en train de me chauffer comme une garce et bordel, je dois dire que j’adore ça. Je la laisse parler et faire son show et la regarde. Je crois que plus, je vais rester de marbre et immobile, plus, elle va déchainer l’enfer. Elle se coule habilement entre mes jambes ouvertes, finissant à genoux au sol devant moi. Je la regarde alors qu’elle fait glisser ses mains sur mes cuisses. Putain de chienne blonde. J’ai de nouveau 25 ans, je suis au top de ma forme, je suis un dieu dans le cartel de Reccoba et je fais me faire sucer la queue par un ange après une victoire sur le ring… Mon esprit capte des effluves de tequila, de sueur et les basses font des échos dans mon corps. Ma fille vivait toujours. Je sens encore la marque du tatouage. À gauche sur mon cœur le plus beau jour de ma vie, sa naissance, à droite la date de sa mort en chiffres romain… Je chasse ces pensées et je contemple la blonde divine qui ouvre mon pantalon et devient sérieuse un instant me lançant alors que quoi qu’il arrive, je dois protéger Sloan.

« Tout dépends de cette nuit que tu me feras passer. »

Regard noir planté dans le sien. J’ai un intérêt à favoriser cette petite équipe là. Je fais monter les Outsiders et je fais tomber les gros. Je baise blondie comme une salope et je me fais ma renommée pendant que je protège mes informateurs… C'est gagnant gagnant ça… Elle me nargue d’une réplique dont elle a le secret. Décidément cette nana est impertinente jusqu’au bout des ongles. Elle commence à me plaire putain. Mon sexe jailli de sa prison de tissus. Droite et bien solide. Sans attendre, elle la prend et la tape sur sa langue en me fixant. Putain allumeuse n’est désormais plus assez fort pour décrire ce qu’elle est… Je me noie dans ses yeux et histoire de lui mettre le feu, je prends mon air las et détaché et lui lance alors.

« Tu comptes commencer un jour où tu attends que je sois vieux et impuissant ? »

Tout en parlant, j’ouvre ma chemise en l’écartant. Le tissu craque. Quelques boutons volent et je lui dévoile mon torse musclé. Ouais, je ne suis pas ce genre de sportif qui s’arrête après sa carrière et grossis comme un gros paquet de merde amorphe. Je suis du genre à continuer de m’entrainer pour foutre des branlées à des petits cons de 20 ans qui croient que papy est vieux. D’ailleurs ces connards de pompiers m’envoient toujours plus jeune et plus costaud et je gagne toujours à la 3eme reprise avec un K.O cinglant. Je boxe pour gagner, pas pour le plaisir. Je joue pour gagner, pas pour participer et je baise les jolies pétasses pour bien jouir, pas pour jouer. Je saisis ses cheveux de nouveau et sans attendre, je la force à me prendre directement en entier dans la gorge et lui impose de me sucer vivement quelques secondes avant de la libérer un peu et de la laisser continuer à sa manière avant de lui lâcher les cheveux. Je continue de la regarder d’un air menaçant. Ce regard que j’avais sur le ring. Ce regard qui lui promet que cette nuit, elle ne va pas dormir et qu’elle va devoir sortir en rampant quand j’en aurai terminé avec son petit cul serré…

Tout dépend de la nuit que je lui ferais passer? Je souris à cette remarque et agrippe mes cheveux pour les réunir en un chignon que j'enroule sur lui même, les coinçant d'une mèche. Mes yeux restent fixés sur lui tandis que je libère sa virilité, la taquinant simplement de petites provocations de la langue, tout en persistant à jouer du verbe pour allumer son désir autant que pour poursuivre ce petit jeu qui m'amuse follement.

Les battements de mon cœur s'accélèrent alors que je sens la tension monter entre nous. Chaque geste, chaque parole échangée est empreinte d'une sensualité électrisante. Je suis prête à explorer les limites de ma propre audace, à repousser les frontières du plaisir et aussi d'une certaine forme de soumission. Ma langue continue de jouer avec sa virilité, cherchant à le faire frémir d'anticipation. Je sens son désir grandir, mais je n'abandonne pas pour autant mon jeu de provocation, ce serait trop bête. Je relève les yeux vers lui, mon regard brûlant d'une lueur espiègle et défiante alors qu'il prend un air totalement détaché pour me demander si je compte m'y mettre un jour.

-"Oh, Daddy, tu es déjà si impatient ? " Je murmure ces mots d'une voix douce et suave, savourant chaque instant de notre jeu de pouvoir. Je continue de le caresser avec ma langue, alternant entre des mouvements lents et provocateurs, et des accélérations brèves et intenses. Sans pour autant refermer les lèvres sur cette verge érigée. Les sensations qui traversent mon corps me transportent comme dans une danse enivrante. Je me sens vivante, puissante, et le charisme de cet homme au regard noir en face de moi ne fait qu'intensifier cette sensation. Je sais que nous sommes engagés dans un chemin interdit, une aventure pleine de désirs inavoués et de plaisirs insoupçonnés, j'aime ça. -"Je m'en voudrais tout de même de décevoir un si grand capitaine." Est ce que j'ironise? Oh que oui. En même temps il est bien mignon à jouer le détaché, mais sa queue, je peux la sentir pulser contre la pointe de ma langue et elle me chante carrément une toute autre chanson.

Au fond de moi, je suis parfaite consciente que je suis en train de partir complètement en cacahuète, mais ce n'est pas de nature à me retenir. J'aime cette sensation sulfureuse d'être prise dans l'oeil du cyclone et je n'ai aucune envie de m'en défaire. Ma bouche se pose contre son extrémité, mes dents se posent, taquines, le défi dans mes prunelles avant que je ne remonte tout doucement, le plat de la langue épousant chaque veine turgescente avant que je ne referme la bouche en corolle autour de son extrémité. La délicatesse de mes mouvements cherche clairement à attiser la flamme de cette passion inédite, jusqu'à ce moment précis. Ma langue se fait furieuse, mes joues se creusent et les yeux dans les siens, je l'enfonce dans les profondeurs de ma gorge.

Mon regard plongé dans le sien. Je sens la fièvre de l'excitation brûler dans l'air, un équilibre fragile entre ma volonté farouche de garder le contrôle et la tentation de m'abandonner à lui. Je suis en train de devenir ivre de désir, là où je voulais m'en servir pour le rendre ivre de moi... Pas aussi facile à faire succomber finalement. Je lutte, contre le besoin de respirer et me redresse dans un bruit aqueux indécent.

-"Donne moi ce que je veux... et on pourra vraiment commencer à jouer... Tu pourras vraiment jouer..." Je chuchote ces mots avec une assurance feinte, prévoyant déjà que la réponse ne sera pas si facile. Notre jeu ne fait que commencer, et je suis déterminée à explorer les recoins les plus sombres de nos désirs mutuels. Dans cette pièce feutrée, au milieu de ce jeu de séduction intense, je vibre d'envie sans savoir le moins du monde où cette nuit tumultueuse nous mènera. Tant mieux, le mystère qui entoure ce type... ce caractère ombrageux... toutes ces résistances. Putain ce que j'aime ça. -"Me faire tout ce que tu veux?" Là clairement je ne peux pas aller plus loin en terme d'allumage... Je suis déjà sur de la température tropicale ! Vraiment chaude et ... humide. Moi qui adore voir les hommes ramper à mes pieds, voilà que je change étrangement de gamme.

Putain c’est vraiment dans ce genre de moment que j’aime ma vie. Quand une petite nénette bien trop belle pour moi est à genoux en train de parsemer ma queue raide de coups de langue. Cette petite garce me prend pour la plus délicieuse des glaces et j’avoue que ça donne un côté savoureux à cet instant. Dans son regard, je me vois beau, grand et fort. Tout ce que j’étais. Tout ce que je ne suis plus. Cette femme a vraiment un grain et pourtant ça fait parfaitement mes affaires. Je crois que j’ai rarement vu une nana aussi attirée par moi ou par ma queue… Bon c’est peut-être aussi une actrice totalement géniale, mais à ce moment, je suis juste en train de me dire que je suis le plus gros chanceux de l’univers. Je grogne un peu, car la dame semble trouver très amusant de jouer avec sa langue au lieu de me sucer un peu férocement. Évidemment avec ma patience d’abrutis impatient, je ne peux m’empêcher de grogner en lui faisant une remarque qu’elle envoie balader, m’appelant Daddy et me demandant si je suis impatient.

« Tu veux que j’te fasse une photo avec ton téléphone pour que tu te rendes mieux compte ? »

Putain de blondasse… Elle est là toute nue à me titiller sans y aller vraiment et en plus c’est moi l’impatient ? Mais suce putain, on ne va pas se regarder dans le blanc des yeux pendant 6 heures ? Le pire, c'est qu’elle se sait en position de force et qu’elle en joue. Est-ce que je lui fais l’affront de bâiller ou de m’endormir ? Non vu mon état, je vais être incapable de fermer l’œil avant d’avoir vider mes couilles. Elle me fixe et continue de me narguer allègrement. Je me cale dans mon fauteuil et décide de la laisser faire en me maudissant de ne pas être capable de jouir sur commande pour tout lui balancer dans la gueule et aller prendre une douche. Non en fait même si je pouvais le faire, j'éviterais… ça colle des réputations et tout après. Je m’agrippe aux accoudoirs et y enfonce mes doigts qui déforment le cuir du fauteuil. Je la laisse parcourir chaque recoin de mon sexe avec sa langue alors que je soutiens son regard comme si je la foudroyais pour l’intimider. Je veux voir si elle va se calmer. Mais plus je la défie, plus, elle continue. On dirait une flamme sur laquelle je souffle et tout ce que je parviens à faire c’est la rendre plus forte sans parvenir à l’éteindre. Elle se place au sommet de mon sexe et me regarde. Sans un mot et sans prévenir, elle s’empale et me prend en entier au fond de sa gorge. Putain ! Je contemple ses joues creusées. Ses yeux qui peinent à garder le contact avec les miens et cette pression qui monte alors qu’elle lutte contre l’inconfort et la douleur pour tenir son effet. Puis, elle se redresse et abandonne mon sexe qui jailli hors de sa bouche tout luisant de salive dans un savoureux bruit humide pendant qu’elle reprend son souffle. Putain, elle est cinglée la blondie… J’adore ça.

Mais soudain, elle me balance de lui donner ce qu’elle veut et qu’on pourra commencer à jouer. Que je pourrais alors vraiment jouer… Fuck. Moi qui allais me dire que c’était le Jackpot, on dirait que blondie ne perds pas le nord et que si elle me baise, c'est pour conclure une affaire et pas parce que je suis à son gout… Putain de femme vénale… Je ne sais pas pourquoi, mais ça me fait chier de me dire qu’elle baise juste parce qu’elle veut me soutirer un truc. J’avais sans doute fini par croire que ça la branchait un peu… Bah… Je suis con. Vieux et bien trop con. Je prends mon air le plus las et bâille à m'en faire décrocher la mâchoire avant de lui balancer.

« C’est quoi le délire ? On fait un contrat ? On appelle un notaire ? Un pacte de sang ? Un rituel vaudou amérindien à la pleine lune avec une statuette du dieu serpent enroulée dans du jambon ? Tu ne veux pas juste sucer ? »

Je grogne, mais je suis un peu agacé ouais. Et puis je m’en branle de protéger sa chef. J’ai dit que je marchais dans la combine. Alors puisque blondie veut visiblement transformer ce moment en réunion de travail, allons-y gaiement.

« Tu me balances tes concurrents, je les fais tomber sans pitié et petit à petit, vous récupérez toi et ta boss vos territoires et zone de trafic. Je vous couvre du moment que vous faites dans le discret et que vous me faites tomber les plus gros poissons »

C’est simple comme délire non ? Je laisse une petite entreprise grossir et je me fais ma réputation de bon flic compétent en faisant tomber les concurrents. Simple, efficace, outrageusement lucratif… Parfait. Je récupère mon verre de Bourbon que j’avais laissé au sol près du fauteuil et je me bois une grosse lampée histoire de me rafraîchir le gosier.

Plus il s'agace, plus je m'amuse. Vases communiquant absolument parfaits. -"Tu crains tellement d'être oubliable qu'il me faille une photo?" Froncement de nez taquin et je reprend mes provocations. Ma langue est agile, j'aime en jouer, c'est une caresse qui m'octroie tous les pouvoirs, sur lui et ça m'excite énormément. Pourtant je garde la tête assez froide pour exiger qu'il admette mon besoin de protection concernant Sloan. Evidemment il ne peut pas simplement me répondre oui... non ce serait trop simple. Il préfère m'envoyer chier et faire le bougon, ce qui me fait sourire de plus belle. Je le laisse terminer et viens grignoter sa cuisse. Ma bouche remonte pour trouver la base de son sexe, ma langue s'y étale, remonte et gifle à nouveau son sexe. -"En effet tu as l'air trop salement en manque pour avoir une conversation agréable."

Je me moque délibérément de ses ronchonneries, il m'a cédé, en tout cas c'est ainsi que je le vois. Il accepte de dealer avec nous, c'est tout ce dont j'avais besoin. Il fait tomber la concurrence et me rencarde ou en tout cas nous couvre. Parfait ! Mes lèvres se referment sur son gland et ma langue vient y tournoyer doucement avant que je ne le suce plutôt âprement quelques secondes en longs va et vient langoureux. Quand je le relâche c'est pour sourire et me redresser pour m'installer de nouveau sur lui à califourchon. -"Discrète? Mmm d'accord mais pas ce soir daddy hein?"

Provocation, mes yeux dans les siens, avant de fondre sur sa bouche. J'ai été assez taquine et provocatrice, il est maintenant temps de satisfaire nos désirs mutuels et d'explorer ensemble les plaisirs les plus indécents qui soient. J'ai envie de me perdre dans cette nuit tumultueuse avec lui, de découvrir les recoins les plus sombres de mes fantasmes et peut être des siens?

Je me redresse lentement, dévoilant mon corps de liane, me plantant debout devant lui. Mon regard brûlant est toujours fixé sur lui, le défiant d'aller plus loin. Mes mouvements sont empreints d'assurance, alors que je suis à la fois excitée et un peu nerveuse. Je veux qu'il me prenne, qu'il laisse tomber cette attitude détachée pour s'amuser avec moi. Après tout quand nos corps se rapprochent, le désir est palpable dans l'air. Je veux sentir ses mains glisser le long de ma colonne vertébrale, créant des frissons délicieux sur ma peau, je veux le sentir perdre le contrôle et se perdre en moi. Je me cambre légèrement, offrant implicitement mon corps à ses caresses, à ses envies. J'ai hâte que nos lèvres se rencontrent enfin dans un baiser passionné, nos langues s'entremêlant avec une ferveur sauvage. -"Alors dis moi comment tu veux que je me montre reconnaissante." J'ondule doucement du bassin et me tourne, lui présentant mes fesses. -"Mieux... montre moi... fort !"

Quand enfin je me retrouve contre lui, ma peau vibre, révélant à quel point mon corps est affamé. Chaque toucher, chaque contact électrise mes sens. Mes mains veulent explorer son torse musclé, mes ongles griffer sa peau, laissant une trace éphémère et ardente. La façon dont il me regarde ne fait qu'attiser davantage le feu qui brûle en moi. -"Baise moi." Un ordre? Oui clairement ! Sur un ton qui se veut convaincant. Mais je crois qu'il aime autant me faire tourner en bourrique que je peux m'amuser à le provoquer. Alors... cette nuit promet des surprises, non ? Qu'il m'agrippe les cheveux pour m'agenouiller de nouveau, ou qu'il me prenne sur la table ou ce fauteuil dans lequel il trônait... je m'en moque. J'abdique le contrôle, en tout cas pour l'instant.

Putain pourquoi il faut qu’elle parle autant cette sombre conne ? Elle ne peut pas enfoncer mon sexe dans sa bouche jusqu’à ce qu’elle vienne s’empaler sur moi et me chevaucher comme une garce jusqu’à épuisement ? Mais, non, elle parle, elle parle, elle parle… Putain plus de langue et moins de paroles bordel ! Cette connasse va me faire crever de vieillesse à force de prendre son temps. Elle décide finalement de passer sa langue le long de mon sexe, elle jubile et joue. Elle met alors une claque à ma queue et j’arque un sourcil l’air de lui demander ce qu’elle fout ? Elle me fait un constat dénué de toute pertinence. Sérieusement, c'est quoi le désire d’enfoncer des portes ouvertes ? En quoi je peux être agréable foutue blonde ? Je bande comme un âne devant ton putain de visage d’ange et toi, tu crois que c’est le moment de parler ? Change pas de couleur blondie, c'est parfaitement raccord putain… je bois un verre et continue de bougonner dans mon coin. Elle entoure mon gland de ses lèvres et roule sa langue dessus. Je la regarde faire et soudain, elle s’y met.

« Putain pas trop tôt… »

Je la regarde me sucer sans ménagement durant quelques secondes et je me dis qu’enfin, on y est, mais revoilà qu’elle se dégage et remonte sur moi venant se placer nue à califourchon sur moi. Je la regarde grimper sur mon corps avec, je dois l’avouer un certain plaisir à la voir faire… Mais, putain qu’elle prend son temps, c'est vraiment inhumain… Je lui fais le détail de ma participation avec sa connasse de patronne qui visiblement est bien plus importante que ma queue raide et ce qu’on fait en ce moment puisqu’elle n’arrête pas d’en parler de sa foutue patronne… Putain et si c’est moi qui la bute ta patronne pour que t’arrête de m’en parler encore et encore ça te fera taire ou pas ?

Mon regard se plante dans le sien alors qu’elle se tient au-dessus de moi. C’est moi ou ses yeux brillent à la folie ? Dans 5 minutes, elle va me dire quoi ? Qu’elle n’a jamais été aussi excitée que maintenant ? Mais non, alors que la dame peut s’empaler sur moi, elle recommence et se lève pour s’exhiber à ma vue. Putain blondie, on le sait que t’es bonne, pas besoin d’en rajouter… Elle continue son jeu et me tourne le dos en me tendant ses fesses en me demandant comment je veux qu’elle se montre reconnaissante ou mieux que je lui montre et que je lui montre fort. Putain de foutue chieuse ! Son bassin ondule et elle recule pour venir se lover contre moi et se frotte en m’ordonnant de la baiser. Je fulmine et ma rage éclate. Je saisis les cheveux de cette garce en une poigne solide. Je tire dessus sèchement, lui faisant remonter le menton vers le plafond. Mon autre bras s’enroule autour de sa taille et je me lève en l’entraînant dans mon geste.

Je la penche et elle se retrouve penchée sur la table basse du salon. Je tire ses cheveux toujours et lui flanque une claque violente sur son cul. Je veux qu’elle regrette de m’avoir mis le feu, que la douleur cuisante qui irradie son cul lui rappelle qu’elle a trop poussé le bouchon. Je devrais mettre une capote, mais plus rien à foutre de rien à cet instant. Mon sexe trouve le sien et s’y enfonce sans aucune cérémonie ni douceur. À peine en elle, je plonge de toute ma force au fond d’elle, lui plaquant sans retenue toute la longueur de ma queue au fond de son intimité. Je pousse un grognement de délice et me met à la troncher comme si elle n’était qu’un bout de viande sans intérêt uniquement là pour me rassasier. Putain… Elle est canon quand elle ferme un peu sa gueule mine de rien…

Dans la pénombre enivrante de la nuit, nos corps s'entrelacent tels des lianes sauvages cherchant à découvrir chaque recoin de désir qui nous habite. La tension palpable entre nous vibre tel un écho sauvage et je prends un plaisir fou à pousser toujours plus loin le curseur de mes provocations. Sans doute trop loin? Je couine doucement quand sa poigne se referme dans mes cheveux et je me cambre encore plus.

Tel un feu qui s'embrase, il me fait basculer en avant sur la table basse. Je me réceptionne sur les mains, mais ne parvient pas vraiment à me retenir. Je n'aime pas vraiment manquer ainsi de grâce, mais je n'ai pas vraiment le temps de réaliser. Sa main s'abat sur ma fesse et je pousse un cri de surprise plus que de douleur. Cri qui se meut presque en ronronnement quand nos corps se rapprochent, éveillant en moi une passion insatiable, alors qu'il se glisse enfin en moi. Glisse? Je devrais dire... plante ! Il n'y a pas la moindre douceur dans sa démarche. Les mots se taisent, et dans le silence, nos gestes deviennent les narrateurs de cette histoire. Le désir danse sur ma peau comme les étoiles dansent dans le ciel, lumineuses et mystérieuses. Je gémis de plaisir alors qu'il me prend sans retenue, produisant d'indécents bruits aqueux tant je me tenais prête à l'accueillir.

Ses caresses n'ont rien de poèmes silencieux, écrits avec tendresse et ferveur sur la toile de nos corps, non ! Ses mains, ne m'effleurent pas comme des plumes légères, effleurent ma peau, laissant des empreintes douces et délicates. Pas du tout ! Il me prend, me baise, me fait taire... me punit ? Sans doute ! Mes lèvres, telles des pétales de rosée, s'entrouvrent sur une symphonie suave et passionnée de gémissements et de petits cris comblés.

Dans cette nuit étoilée, je m'abandonne délicieusement aux vagues de plaisir qui me submergent. Je finis par réussir à me redresser assez pour poser les mains bien à plat sur la table, assez pour bénéficier d'un appui qui me permet de venir claquer le galbe de mon cul à son bassin quand il vient à ma rencontre, augmentant la dureté de l'impact. Je couine et plante les dents dans ma lèvre inférieure le temps d'encaisser la violence de l'éruption qui se diffuse dans mon ventre.

Je suis un papillon séduit par la lueur de la lune, complètement subjuguée, pourtant ma voix s'élève une nouvelle fois, provocante. -"Mmm oui... vraiment impatient." Un sourire et j'ajoute -"Mais un peu trop délicat !" Ceci dit alors même qu'il me pilonne violemment. On le sait tous les deux et c'est d'autant plus délectable. -"Tu... haaan... tu te décides Daddy !"

Les bruits saccadés de nos souffles se mélangent, loin des brises douces dans un jardin secret, mais plutôt en un fracas d'orage. Chaque frisson est une promesse, chaque contact est une décharge d'ardeur, une étincelle enflammée. Le désir grandit en moi comme une putain de fleur s'épanouissant après l'ondée. Dans cette danse enchanteresse, je me laisse emporter par les courants de la passion. Mon plaisir s'élève comme une mélodie céleste, mon corps vibrant au rythme hypnotique des claquements du sien. Dans cette nuit de tous les possibles, auteurs de notre propre histoire, écrivant chaque chapitre avec audace et absence totale d'égard on se découvre dans cette fusion intime. Etrangement il en nait une harmonie délectable qui me tire des frissons de plus en plus incontrôlables. Il me traite littéralement comme un objet, ce qui étrangement me fait prendre un pied d'enfer. A croire que me trouver jetée à bas de mon piédestal, m'excite diablement.

Petite pétasse blonde insupportable. C’est pas humain d’être à la fois aussi chiante et insupportable et à la fois aussi parfaite et sexy. Putain cette garce est une déesse. J’ai l’impression d’avoir de nouveau 30 balais. Je suis ce boxeur vedette du Cartel Reccoba, j’enchaîne les victoires, les mecs qui m’affrontent font des nuits blanches avant mes combats parce que je suis « El Loco » parce que même en sang je continue à narguer et encaisser et je ne tombais jamais. Même quand il m’arrivait de perdre j’étais adulé et aimé et les pétasses toutes aussi chaudes que cette merdeuse blonde s’enchainaient toute la nuit durant sur ma queue et parfois même le matin je retrouvais dans mon lit des filles que je ne me souvenais pas avoir baisé… Bordel que la vie était simple, douce et belle. Qu’est-ce que je ne suis pas fait pour être flic mais pour être de l’autre côté à jouir de la vie et mourir jeune en pleine gloire lâchement buté par une fils de pute aux dents longues. Une vie courte et intense pleine de violence et de plaisir c’est ce qui m’aurait fallut. Mes pensées glissent alors vers une femme. Une jeune femme qui ne deviendra jamais adulte et qui me manque à en crever. Bordel je ne veux pas penser à ça. La blonde me nargue et je me redresse avant de la prendre sans retenue. J’oublie la capote, j’oublie la réserve, la retenue. Cette garce m’allume qu’elle assume.

Je la tiens fermement et la baise comme si je passais ma rage sur un sac de frappe. Mon corps claque contre le sien alors qu’elle ondule de plaisir. Cette garce aime se faire bousculer. Putain elle est parfaite miss monde… Et sa foutue chatte est dans mon top 10 des plus accueillante… Non, top 5… Putain top 3… Je l’écoute gémir sous mes assauts. Elle se pousse vers moi comme pour me narguer. Pire encore, elle me nargue en parole. Elle me dit que je suis un peu trop délicat. Bordel blondie à un grain… Elle me nargue pour se faire complètement défoncer ? Bordel je crois que je l’adore… Je tire ses cheveux pour qu’elle se cambre et libère ses soupirs grâce à son menton relevé. Je retrouve mes 30 ans, ma vigueur et ma fougue. Je lève mon bras et de toute ma puissance je met une claque sur son cul que j’ai l’impression de sentir résonner dans tout son corps.

« Ferme… »

Nouvelle claque suivie d’un coup de butoir solide et puissant. La claque la fait se cambrer et mon sexe plonge en elle fort et loin pour qu’elle se sente empalée et complètement défoncée. Je renouvelle l’opération à chaque mot que je prononce.

« Ta… Putain… De gueule… Blondie… »

Je la pilonne si fort et si intensément en la tenant par les cheveux que je finis par lui coller la joue contre la table basse, ma main toujours sur ses cheveux, je la tiens en place et la force à coller ses genoux sur le bord. La joue en place, son cul bien haut encaisse mes frappes de bassin sèches et violentes. Je grogne de plaisir et ramène ma main sur son cou pour la tenir en place. Je la baise comme on tabasse un sac de frappe pour passer sa rage. Putain blondie m’excite. Je fourre une main entre ses cuisses et massacre de mes doigts puissant son clitoris. Je veux qu’elle ferme sa gueule pour n’entendre que ses gémissements de plaisir. Je ne serais satisfait que lorsqu’elle demandera une pause cette petite merdeuse bien trop bonne pour que je me calme…

Je provoque, de chaque cellule de mon être je l'aiguillonne et j'en ronronne de plaisir quand ça porte si bien ses fruits. Sa poigne se fait plus sauvage et il me cambre démesurément avant d'abattre une fessée qui efface jusqu'au souvenir de la précédente en une brulure cuisante. Je couine et mes paupières s'abaissent quelques secondes, ça peut paraître dingue, je n'en doute pas et pourtant c'est vrai, je savoure. Ses mouvements deviennent une cadence sauvage, nos respirations saccadées se mêlant dans l'obscurité. Chaque frôlement est une promesse, chaque contact une étincelle enflammée, transformant notre connexion en une expérience envoûtante. Excitant chaque parcelle de ma peau et me tirant bientôt de petits cris d'extase.

Il veut me faire taire? Ce n'est clairement pas la meilleure méthode. Mais peut être que mes cris sont plus agréables à ses oreilles que mes multiples provocations? Je n'en sais rien, je ne pense plus vraiment. Son bassin qui claque contre mes fesses, cette façon qu'il a de refermer les doigts autour de ma gorge... Chaque mot ponctué d'un coup de butoir plus sec et brutal que le précédent. Je pousse de petits râles, des cris de plaisir et mes doigts griffent le sol sous la table basse, alors que ma joue s'y écrase.

Le son de sa respiration, rauque et rythmique, crée une toile de fond intense, évoquant davantage un orage en pleine effervescence qu'une douce nuit d'été. Je prends un pied d'enfer à être ainsi baisée. J'obtiens exactement ce que je voulais, plus le moindre égard, plus la moindre retenue mais l'absolue passion. La tension monte, chaque collision de nos corps réveillant un feu ardent en moi et quand ses doigts se joignent à la danse je pousse un long gémissement, me tortillant doucement sous ce nouveau feu, avant qu'un cri ne me libère.

Un orgasme violent... dévastateur, qui me fait trembler, autant que me resserrer autour de lui. -"Encorrrrre" Le mot s'étire en un gémissement alors que je tente de basculer la tête en arrière pour lui tendre mes lèvres. L'ardeur de cette baise est en train de me faire basculer dans une sorte de folie insatiable. Je pousse surement inconsciemment les limites de ce jeu qui s'est noué entre nous. Chaque provocation envoyant des étincelles brûlantes dans l'air, c'est clairement un jeu dangereux où le plaisir et la tentation dansent main dans la main. Et putain je danse au centre, au creux du brasier, prenant un pied d'enfer alors même qu'il me traite comme une moins que rien.

Est ce que ça signe une part de folie en moi ? Peut être, et alors ? Je suis jeune, mais j'ai déjà un peu vécu et je sais que je veux que ma vie soit vibrante, qu'elle me donne envie. Je ne veux pas survivre ou vivoter, je veux des frissons, de l'adrénaline, des shoots d'endorphine. Un tel orgasme... on peut tout donner pour le vivre à nouveau. Je me tortille encore, parviens à poser les mains sur la table et à me redresser, ses doigts toujours en collier autour de mon cou gracile. Je viens basculer la tête sur son épaule et agrippe sa main. Pas pour m'en libérer, juste pour glisser le menton dans sa paume, pour trouver son pouce et le lécher doucement, avant d'en mordiller la pulpe. -"Han oui... fais moi taire encore... et encore." Moins de provocation, plus de désir, ma voix trahit mon plaisir, au moins autant que mon bassin qui ondule doucement pour continuer à ressentir l'intensité de son érection. -"Et en...core."

Putain de tarée… Je l’adore bordel. Cette petite dinde blonde est juste parfaite. Elle a un physique à damner un saint et dans le même temps elle est juste totalement folle et déchainée. L’absence de protection ne l’inquiète pas. Elle se laisse pilonner, ravager et elle encaisse en demandant toujours plus. Je sens son sexe palpiter autour du mien et si elle simule et bien c’est une actrice qu’il faut absolument oscariser parce que croyez moi j’ai l’impression d’être le coup du siècle à l’écouter gémir. Elle se laisse baiser comme une poupée à qui on ne pourrait pas couper le son. Ses provocations me font chier je dois l’avouer, mais pour l’heure je dois avouer qu’elle me séduit outrageusement. Alors quand elle explose dans un orgasme ravageur, je dois avouer que je soupire avec elle sous les contractions savoureuses de son intimité qui vibre autour de mon sexe… Putain blondie… T’es quand même pas en train de rentrer en quelques minutes dans mon putain de top 5 ? Elle gémit un « encore » lascif et profond en se redressant. Son dos colle mon torse et sa tête se tourne. Elle saisit mon pouce entre ses lèvres et le suce lascivement avant de me supplier de la faire taire encore et encore. Elle ondule son bassin contre moi et me murmure « et encore »… Bon cette nénétte est complètement givrée… Je tourne sa tête et l’embrasse à pleine bouche avant de la repousser en avant pour me retirer d’elle et lui foutre une énorme claque sur le cul. J’agrippe alors ses cheveux et la ramène vers moi pour lui enfoncer mon sexe dans la bouche.

« Interdiction de tourner le regard blondie. Tu me regarde moi et rien d’autre »

Je tiens sa tête et la force à se laisser baiser la bouche et petit à petit la gorge. Je me déchaine sur elle lui interdisant de me résister et m’abandonnant sa bouche sans retenue ni ménagement. Merde c’est comme Tijuana… Mais en mieux… Cette nana n’est pas juste là pour faire mumuse elle me donne l’impression que de tous les mecs de la terre je suis le seul qu’elle veut. C’est probablement faux mais rien à foutre, l’illusion fonctionne sur moi et pendant qu’elle encaisser ma queue et que ses yeux se remplissent de larmes sans qu’elle les détourne, je m’enfonce en entier dans sa gorge et y reste de longues secondes avant de me retirer. Je ramasse la salive qui coule de sa bouche et m’en tartine la queue qui dégouline. Je me penche et l’embrasse avant de la pousser en arrière. Elle se retrouve assise sur la table basse cuisses ouvertes.

Sans un mot, je viens me place entre ses cuisses ouvertes et l’attire près de moi. A genoux devant la table basse mon sexe à la hauteur du sien s’enfonce dans son corps alors que je la regarde dans les yeux. Je me met à la tringler de puissant et profonds coups de bassin. Putain elle a les yeux brillants et ce sourire… Elle aime ce que je lui fais. Putain cette connasse blonde me rends mes 20 ans… Je me met à la démonter sèchement la regardant dans les yeux comme si j’attendais d’y contempler le moment ou elle sera littéralement foudroyée de plaisir.

Le corps vibrant de soubresauts savoureux je le supplie de me faire taire encore et couine de frustration quand il se retire. Je me sens vide, j'aimais la sensation de plénitude de son sexe enfoncé dans le mien. Mais il m'embrasse et j'oublie de penser, le laissant enrouler sa langue à la mienne puis m'attirer à lui d'une prise dans mes cheveux. J'avance sur les genoux la tête tendue vers lui, un fin sourire aux lèvres. L'ordre tombe et je n'ai pas le temps de répondre par autre chose qu'un petit hochement de tête, sa queue déjà entre mes lèvres.

Mes yeux clairs ne quittent pas les siens, même quand mes paupières menacent de s'abaisser, même quand ils se remplissent de larmes et que je suis totalement assujettie à la puissance de son désir. Il me coupe le souffle, force l'indécence de son passage, jusque dans ma gorge et je couine sous ses assauts. Je ne sais pas trop ce que ça provoque en moi, mais je suis complètement transcendée par cette prise de contrôle totale. Il me traite comme un jouet et alors que j'ai l'habitude de jouer les princesses, ça me rend totalement ivre de lui. Ma langue le cajole autant que je le peux, ma tête vient à sa rencontre et il n'a bientôt plus à forcer le passage puisque je m'offre instinctivement à ses assauts.

Quand il me repousse, je peine à reprendre mon souffle, mais je me laisse installer sur la table basse, relevant les jambes, me servant de mes bras pour les caler contre mon buste alors qu'il vient s'agenouiller devant moi et qu'il se plante en moi sans un mot, sans le moindre égard. Mes dents se plantent violemment dans ma lèvre inférieure et je me retrouve vite avec le souffle suspendu à la puissance de ses coups de reins. Il a envie de me foudroyer de plaisir? Je l'ignore, je m'en fous, je vis... en cet instant je vis ! Vraiment ! Pleinement ! Sans demain, sans hier, juste plantée dans un maintenant qui me rend ivre de sensations exquises.

Je gémis et mes bras laissent échapper mes genoux, parce que j'ondule à sa rencontre de façon légèrement désordonnée. Mes gémissements ne sont plus que des souffles et des cris, je perds complètement le contrôle et je me cambre à sa rencontre pour encore mieux le sentir se planter en moi. L'ivresse absolue de mes sens me transcende et il peut voir progresser le plaisir sur mes traits. Une crispation, mes sourcils qui se froncent et mes yeux qui s'écarquillent. L'étonnement complet qui prend possession de mon expression alors que la vague enfle, qu'elle arrive à cette crête folle qui fait déferler sur moi un flot insensé. Je jouis, violemment, les lèvres entrouvertes sur un cri silencieux et mon corps s'amollit tout d'un coup. Je n'ai plus le moindre tonus musculaire, comme si je m'étais évanouie. Ce qui est drôle d'ailleurs, parce que c'est tout sauf ça. L'inconscience c'est se retrouver tout à coup, coupée de tout, là c'est une forme aigue de pleine conscience. Je suis connectée à chaque cellule de mon corps, d'une façon tellement violente que ça me coupe de toute possibilité de mouvements. Je me sens connectée à plus grand... c'est juste une seconde de magie, d'éternité, peut être que c'est ça le nirvana? L'absolue perfection d'un instant de plaisir dévastateur? Je reprends mon souffle sur une inspiration bruyante et me redresse pour m'arrimer à lui et planter les dents dans la peau de son cou.

Cette petite conne m’a allumé toute la soirée et moi, j'ai cru qu’elle voulait simplement obtenir un truc de moi. C’est une petite merdeuse de trafiquante qui voue un culte presque sacré à sa patronne, une sorte de dealeuse de bas étage, mais à laquelle elle voue une fidélité sans limites. Mais malgré mes coups de folies et mes conneries pour lui faire avouer une saloperie qu’elle n’a jamais faite, le résultat est là, blondie est nue devant moi et à genoux devant moi elle engloutit mon sexe sans sourciller me fixant de ses yeux brillants. Je ne suis pas doux. Elle m’a promis de la folie, elle veut que ce soit violent alors non, je ne vais pas la ménager. Mon sexe transperce sa bouche, s’enfonce dans sa gorge et la tourmente en la faisant suffoquer. Je la repousse et bien décidé à lui faire voir ce que celui qu’elle appelle « Daddy » en me faisant passer pour un vieux va lui faire manger à la merdeuse. Si y’a un truc que je déteste dans la vie, c'est vieillir. J’étais au sommet, j’ai été un roi, un Dieu et des minettes comme elle, je me les enfilais deux par deux après un combat de boxe… Bon ça va bordel, je me concentre sur elle parce que même si ça m’arrache la gueule de me le dire, cette putain de dinde blonde vaut largement deux ou trois pintades du Mexique… Quand je la repousse, elle se tait et se montre docile en se laissant placer. J’oublie toute notion de capote, car je n'ai pas le temps d’aller en chercher et si madame pense que je suis un puceau incapable de supporter trois coups de bassin sans protection, elle va vite déchanter…

La suite n’est que déchainement de violence et passion sauvage. Je la tamponne comme un malade. Agrippant son corps que je tire vers moi quand je pousse le mien. Le rythme est frénétique, haletant et je ne veux pas la laisser respirer un seul instant. Je me donne à trois cents pour cent et me surprends à baisser les yeux juste pour le plaisir de contempler mon sexe glissant dans le sien. Je suis déchainé et ravagé de plaisir. Bordel cette nana blonde c’est… Une putain de déesse. Pourquoi je n'ai pas 20 ans de moins bordel ? Ou elle 20 de plus ? Elle nargue avec la fougue de sa jeunesse, mais elle va devenir une véritable déesse… Malheur à qui se retrouvera entre ses cuisses expertes… Cette pensée m’amuse, mais soudain, c'est son cri de jouissance qui me ramène à la réalité. J’agrémente son orgasme de quelques coups de butoirs bien senti, histoire de ponctuer la fin de cette jouissance pour elle. Je souris, car je n’ai pas encore joui. Bien décidé à lui montrer ce qu’un « Daddy » peut faire, je réalise que j’ai surtout envie de la rendre folle.

Je tire ses cheveux et me retire d’elle, la forçant à m’embrasser tout en l’attirant vers moi. Mon cul se pose dans le fauteuil et alors que je l’embrasse en tenant ses cheveux, je la recule et la regarde dans les yeux. Je me délecte de ce que j’y lis et la fais descendre pour engloutir mon sexe dans sa bouche. Je la force à sucer mon sexe couvert de son plaisir et la regarde avant de sourire.

« Déjà fatiguée Blondie ? »

Je tire ses cheveux et la remonte vers moi. Je l’attire à califourchon sur moi et l’empale sur ma queue raide. Noyé dans son regard cette fois, je vais prendre mon pied en la regardant dans les yeux pendant qu’elle prend le sien. Je fous une claque sur son cul et lui lance alors.

« T’attends quoi ? Pâques ? Montre-moi que tu n'es pas juste une étoile de mer »

Okay c’est méchant… Mais bordel je vais lui dire « putain t’es divine, je suis dingue de toi espèce de petite conne baise-moi comme si j’allais mourir demain ? » après elle va plus se sentir… Mais j’avoue que là, c'est moi qui adore l’idée de me faire baiser vivement par elle en la regardant dans les yeux.

Mon corps ravagé de sensations dicte ma conduite. Je ne réfléchis plus, ne pense plus, je me contente de ressentir. C'est puissant, violent, délicieux et d'une ardeur qui me transperce. Il me pilonne avec la même rage qu'il me parle, mais son corps trahit la même passion que le mien. Je me perds et je m'en fous. Mon corps vibre d'un orgasme ravageur et c'est tout ce qui compte. Il se retire et me guide pour recommencer à prendre ma bouche. A croire qu'il se plait entre mes lèvres? Ou qu'il adore me faire fermer un peu ma gueule? Probablement les deux?

Cette pensée me fait sourire intérieurement alors que je tire un peu en arrière suffocante. Il me libère et je prends une inspiration bruyante en toussant légèrement alors qu'il joue encore et toujours de provocation. Fatiguée ? Moi ? Quand bien même je serais épuisée, ce n'est pas de nature à m'arrêter. Il m'attire à lui, me remontant à califourchon sur ses cuisses et se guide directement en moi. Il se plante au creux de mon corps et je me cambre en réponse en gémissant de plaisir. Ses yeux trouvent les miens et je crois que j'y lis des émotions un peu différente. Je n'ai pas le temps de faire le point ou d'y réfléchir qu'il claque mon cul sans le moindre ménagement. Je couine et le foudroie d'un regard noir. Une étoile de mer hein ?

Mes dents se serrent sous l'insulte, mon menton se redresse fièrement et mes yeux se plissent légèrement. Je reste parfaitement immobile, quelques secondes. Avant de me redresser à la limite de le faire quitter mon antre, comme si je m'apprêtais à me barrer, vexée. Mais là je pointe le bout de la langue et je me laisse retomber sur sa hampe. Un mouvement brutal qui vient le faire buter au creux de moi et me tire un gémissement ravi. -"Mmm bordel." J'ondule, très lentement, en petits huit qui me font vibrer de plaisir, tant il est bien planté en moi. Un sourire sur les lèvres que je viens écraser contre les siennes. Baiser furieux, langue envieuse, exigeante, j'y mets fin en lui mordant la lèvre inférieure alors que je m'agite désormais bien plus rapidement.

Mon bassin va et vient, danse à sa rencontre, le plante en moi à un rythme frénétique dans lequel j'impulse quelques contre temps. Qu'il ne s'attende pas aux sensations, qu'il se laisse lui aussi emporté. -"Il va en falloir plus pour me fatiguer." Petit froncement de nez taquin, avant de basculer un peu plus en arrière, mes mains trouvant ses genoux pour s'y appuyer. Je lui offre une jolie vue sur mon corps qui se tord à sa rencontre et cet appui me permet de bouger avec plus d'ardeur encore. -"Haaan oui beaucoup plus." Les mots visent à provoquer, le ton et la voix éraillée trahissent le plaisir intense que je prends en cette seconde.

Dans le brasier ardent de mon ventre, la passion s'élève en moi, en flammes insensées. Mes désirs brûlants, secrets et affamés, s'éveillent dans l'ombre, impatients, animés. -"Baise moi encore !" Nos corps s'entrelacent, fusionnent comme dans un rituel païen. Mon souffle est court, mes sens en ébullition, le désir s'embrase, ravageant tout sur son passage. J'ai les seins agités par la cavalcade de mon bassin à la rencontre du sien. -"Daddy ! Putaiiiiiiiin Jake !"

Je me suis redressée, mes doigts parcourent les courbes et les vallées, de son ventre et je tremble à sa rencontre. Ma peau devient le parchemin accueillant les émois des poèmes, écrits avec mes soupirs, en lettres d'extase suprême. Je virevolte sur le sommet de la vague, mes yeux se perdent dans les siens, y lisant l'océan des désirs, y trouvant des reflets de flammes, aux lueurs de plaisir. Nos lèvres s'unissent, avides et affamées, goûtant à l'ivresse de la passion déchainée.

Le feu de la passion, la brûlure du désir, me consume, me transporte, fait jaillir une tempête à laquelle je me livre. Dans cette danse charnelle, cette folie enfiévrée, je trouve l'extase absolue et complète. La nuit s'étend, complice silencieuse de nos étreintes, et dans l'intimité de l'obscurité, nos corps s'atteignent. J'ai fini de jouer... trop transcendée.

Je crois qu’elle est parfaite. Elle est parfaite pour moi. Parfaitement cinglée et délurée. Complètement siphonné et stupide à plus d’un égard se foutant en danger délibérément sans pour autant la mesure. Sans doute qu’elle pense qu’elle ne peut pas mourir comme elle est jeune… Mais bordel que cette nana me convient. Elle me chevauche comme une damnée et encaisse les répliques, les coups, les caresses, les morsures et toute l’étendue de ma férocité. Elle s’en nourrit et s’en amuse. Elle prend son pied et ne montre aucune retenue. On baise comme si on allait crever juste après et putain ça fait du bien. J’adore sa manière de faire comme si demain n’existerait pas. Son regard cramponné au mien, elle bouge son corps et se déchaîne sur moi alors que je l’aide à s’empaler toujours plus fort sur moi. Elle veut voir ce qu’un vieux sait faire, elle ne va pas être déçue. Je préfère crever à me donner à fond que de la laisser partir déçue… Putain c’est quoi cette pensée de merde ? Je sens ma queue nue en elle qui la tamponne sans relâche alors que je la foudroie du regard attendant le mon fatidique et divin ou elle va céder et exprimer son plaisir sans pouvoir faire autrement. Je l’embrasse et elle coupe le baiser en me mordant la lèvre. Je la regarde alors que son bassin s’anime follement d’avant en arrière, si fort qu’on dirait que c’est elle qui me baise. Elle me défie du regard et déclare qu’il va en falloir plus pour la fatiguer. On dirait que la provocation marche bien sur elle… Elle tente de me renvoyer provocation mais on dirait que la jolie demoiselle est en train de succomber… Son corps la trahie… Pas de chance blondie, l’endurance et la résistance c’est ça mon style de boxe !

Elle vibre et tremble, elle se tend sur moi et me demande de la baiser encore. Je serre mes bras autour d’elle et la soulève assez pour que le bout de mon sexe uniquement reste en elle. Je me mets à la pilonner sèchement pour l’obliger à jouir sans ménager mes efforts. Je me déchaine sur elle ravageant son corps à coup de bassin quand elle pousse un cri m’appelant Daddy puis Jake. Elle prend son pied et moi, je me déchaine contre elle la serrant contre moi de force. Je lui interdis de se soutirer alors que ma jouissance arrive. Merde c’est vraiment trop bon. Je la déglingue plus fort et dans un ultime coup de bassin je l’empale sur moi et la retient en place, explosant en elle en jouissant sans retenue, soupirant contre son cou que je mord pendant que je me répands en elle sans aucune foutue protection… Bordel… Bah, on s’en tape, elle ne va pas me faire croire qu’elle prend pas de contraception… Puis rien à foutre c’était bien trop bon pour pas y aller à fond. Je finis de la remplir en tremblant et retombe contre le dossier du fauteuil, l’attirant avec moi.

« Okay j’avoue, t’es sans doute dans mon top trois Blondie… Pour une petite conne t’es sacrément douée… »

Je tends le bras et ramasse mon bourbon dont j’avale une gorgée. Je ne fume pas après l’amour je bois. Je le tends mon verre au cas où elle en voudrait. Mais je prends soin de bien la garder empalée sur moi. Elle est torride et je dois avouer que j’adore me l’envoyer et … Son parfum aussi. Il est agréable… Sa peau est douce et… Bref ça va elle tient la route la merdeuse…

Mon être, complètement exalté par la violence de notre étreinte, flotte dans l'univers de la passion déchaînée. Mes sens sont en éveil, chaque effleurement, chaque souffle résonne comme une symphonie sensuelle. Chaque geste de cet homme me tire des frissons. Un frisson me parcourt, une émotion pure qui danse au sommet des vagues de plaisir. Quand il referme ses bras autour de moi, je me sens étrangement petite et surtout... à l'abri. Sensation étonnante qui me coupe le souffle, alors qu'il se déchaine en moi.

Les sons qui s'échappent de mes lèvres dans un mélange de soupirs et de gémissements, n'ont plus rien de cohérents. Les sensations me submergent, chaque mouvement de nos corps enlacés est plus puissant que le précédent, une étreinte brûlante et clairement bestiale.

Les flammes de la passion dansent en moi, bouleversent mon ventre, le ravagent. Il est en train de me rendre totalement folle et ivre de lui, envieuse d'encore. La fatigue physique ne peut rivaliser avec l'énergie brûlante qui pulse à travers moi alors qu'il me tient serrée contre lui. Il me fait jouir, violemment, sans que je n'ai plus le moindre contrôle sur la puissance de cette vague divine. Et il me suit, de près, se déversant en moi, son souffle rauque contre la peau de ma gorge, avant que ses dents ne me tirent un nouveau cri.

Quand sa voix résonne dans l'air électrifié, j'ai un petit sourire et je ferme les yeux, inspire fortement et secoue doucement la tête. Nos corps entrelacés, fusionnés, nous sommes les protagonistes d'une épopée charnelle complètement dingue et improbable. Ce détachement... cette façon qu'il a de parler, sans me prendre en compte, c'est étrange mais ça le pare d'une forme d'aura érotique.

La tempête a atteint son paroxysme, une explosion de sensations qui me consume encore. Chaque fibre de mon être est électrisée, chaque pensée dissoute dans la mer tumultueuse du plaisir. Il est toujours fermement planté en moi, buvant une gorgée de bourbon avant de me le tendre. Je souris et glisse la langue contre ses lèvres. -"Je préfère le boire comme ça."

Le souffle court, le cœur battant à tout rompre, je flotte dans l'immensité sidérante de l'après. La fatigue n'est qu'un écho lointain, étouffé par l'intensité de ce moment partagé. La nuit, complice de notre étreinte ne fait que commencer. Je me redresse un peu et frotte mon nez contre le sien. -"Ça ne fait que deux places à gravir. Et encore, au pire seulement." Mon sourire taquin retrouve sa place sur mes lèvres, avant que je ne vienne les perdre dans son cou. Je mordille, embrasse avec douceur, glisse les mains sur ses épaules puis sa nuque. Je ne le réalise pas vraiment sur l'instant, mais je suis clairement en train de le papouiller, avec une douceur qui contraste autant avec la violence de nos ébats, qu'avec les joyeusetés qu'on s'envoie à la tronche depuis le début de cette soirée. J'ai je crois... envie de retrouver un peu de cette sensation... celle qui est venue m'étreindre quand il m'a serrée dans ses bras. Alors j'embrasse, mordille doucement, frotte mon nez contre sa peau. J'aime son parfum, presque autant que la sensation cuisante de ses mains s'abattant sur le galbe de mes fesses. Cocktail savoureux, autant que dangereux, sans doute... Parce qu'il a clairement laissé entendre qu'il s'en bat les couilles. Ceci dit c'est peut être pour ça que je ne me sens pas en danger? Je ne sais pas... ça demanderait des capacités d'analyse bien trop élevées par rapport à l'état de béatitude dans lequel je suis plongée.

Jackpot Absolu ou vrai nid à emmerdes ? Sérieusement, à quel moment je suis capable moi le vieux machin de faire mouiller une petite garce comme elle qui peut avoir n’importe qui en battant des cils ? Pas étonnant que je sois méfiant, c’est compliqué de croire au père Noël à mon âge… Bordel c’était quoi la possibilité que cette nénette complètement cintrée soit en mode furie Berserk sur moi ? En tout cas, elle est assez siphonnée pour se faire malmener et baiser quand même avec moi sans aucune forme de retenue ou de protection. Putain, j’en viens à me dire qu’après une baise pareille je peux crever tranquille… Je suis cramponné à son corps alors que je perds lamentablement pied. Elle se déchaine sur moi prise dans un orgasme surpuissant et la voilà qui devient sauvage et incontrôlable et moi… Putain je me prends au jeu de cette merdeuse insupportable et foutrement trop parfaite. Je la baise comme si c’était soudainement devenu la seule et unique chose que je désire en ce monde. Je tamponne son corps avec le mien comme si je voulais qu’elle me repousse dans un sursaut de lucidité mais elle ne cède pas et encaisse ma rage et ma fougue avec l’appétit d’une ogresse. Qui est cette putain de déesse trop parfaite pour ce vieux machin que je suis ?

Bordel, les secondes filent et les deux derniers neurones qui me restent son en train de foutre le camp. Son corps aspire le mien et mon sexe est ravagé par le sien et j’adore ça. C’est un appel à l’abandon et je jouis avec elle. Longuement. Sans m’échapper d’elle. Je me répands dans son corps en tremblant la serrant contre moi comme si j’avais peur qu’elle m’échappe. Je jouis en elle et quand l’orgasme passe je reste pantelant et surpris par le pied monumental que j’ai pris. Je me laisse reposer sur le fauteuil en la gardant avec moi pour prendre mon verre et boire sans me retirer d’elle en lui disant un compliment… De merde parce que c’est mon mode de communication et que si elle veut de la douceur et des mamours, qu’elle prenne un caniche pas un Jake Harris… Mais dans mon langage à moi ça veut dire que j’ai absolument adoré ça. Elle ne s’offusque pas et quand je bois, elle lèche mes lèvres et déclare préférer le déguster ainsi avant de finalement réagir à ma phrase en se redressant et frottant son nez contre le mien. Elle réponds avec humour et vient se lover contre moi et me cajole de caresses douces alors qu’elle ne cherche pas à filer sous la douche. Elle reste, elle profite, elle savoure les restes de nos ébats délicieux. Et moi, je réalise que je suis encore raide et solidement planté en elle et que j’y reste avec délice en sirotant mon verre pendant qu’elle me cajole. Putain c’est presque idyllique comme sensation ça… Je reste un moment comme ça sans bouger à juste me détendre avec elle contre moi. Les minutes passent et j’en viens à caresser son dos du bout de mes doigts. Je termine enfin mon verre et je contemple les quelques gouttes au fond avant de redresser la jeune femme sur moi. Je prends alors le temps de la regarder et de réaliser qu’elle divine et encore empalée sur moi. Je la regarde et la repousse doucement pour m’extraire d’elle. J’ai encore 20 ans ou quoi ? Je suis toujours solidement raide. En même temps avec un canon pareil… Compliqué de débander… Je secoue mon verre sur mon sexe et les dernières gouttes du liquide ambré tombent sur le plat de mon sexe qui repose sur mon ventre.

« Termine mon verre et j’te fais visiter la chambre… »

Bah quoi ? Je suis con mais pas au point de me contenter d’un coup magistral… Si elle veut partir d’ici ce sera en rampant ou en fauteuil roulant. Mais un coup pareil et une nana aussi magistrale moi je la séquestre encore un peu. Je la fixe avec un sourire malicieux attendant que la dame me réponde sur son désir de rester ou non cette nuit ?

Les battements de mon cœurs s'apaisent lentement, laissant dans l'air une rémanence électrique de notre étreinte déchaînée. Mes membres sont lourds, mais chaque centimètre de mon être est imprégné de la sensation vibrante de cette communion charnelle. Sa voix résonne dans le silence électrifié, et j'ouvre les yeux, un sourire complice naissant sur mes lèvres. J'abandonne la danse de mes lèvres dans son cou, savourant la douceur de ses caresses sur mon dos. Il me désunit de son corps et j'ai un petit gémissement frustré. Je me dis qu'il va m'envoyer chier... me dire de me rhabiller et sans bien savoir pourquoi, ça me fait chier.

Pourtant les mots qu'il prononce, distants mais empreints d'une aura érotique, réveillent en moi une passion que je croyais devoir faire taire. Je glisse mes doigts le long de son torse, caressant la peau qui porte encore les stigmates de notre passion dévorante. L'éclat malicieux dans ses yeux me confirme que la tempête charnelle qui vient de nous emporter ne fait que commencer. Je me lève, avec une grâce que je veux féline et me laisse couler à genoux entre ses jambes, de nouveau. Ma langue s'étale à plat et je lèche consciencieusement chaque goutte tombée sur son sexe, le dévorant des yeux.

Dans cet après, nos regards complices, je ressens la douceur de l'instant et je crois que j'adore cette sensation. Je me redresse et lui tend la main pour qu'il me guide dans sa chambre ou ailleurs, je m'en fous. Mon corps a faim de lui, de cette dureté, de cette façon qu'il a de me traiter. Je m'abandonne à ces envie, à la douceur étrange qui nait en moi en écho à la violence de nos ébats, trouvant une sensation folle de bien-être dans ses bras. Mon être oscille entre le feu ardent de notre désir et la caresse apaisante de ces gestes tendres, leur rareté les rends bizarrement précieux et je crois que j'aime ça. Je m'avance et l'embrasse, mordille doucement sa lèvre inférieure, frottant mon nez contre sa peau, comme pour graver cet instant dans ma mémoire sensorielle. J'ai envie d'en garder toute l'acuité, toute la puissance.

Le murmure de la nuit accompagne nos pas silencieux, créant une toile d'obscurité dans laquelle nos silhouettes se découpent. La tension sensuelle qui persiste entre nous fait vibrer l'air, et j'accepte sans hésitation sa proposition de le suivre dans sa chambre, je n'ai pas envie de partir, pas envie que ça s'arrête. Chaque pas, chaque instant, est chargé d'une promesse tacite qui me fait vibrer la peau.

Le trajet vers sa chambre se transforme en une danse subtile de caresses fugaces. Mes doigts glissent avec tendresse le long de son bras, dévoilant une connivence nouvelle, une complicité tissée dans la passion partagée. Mon souffle chaud frôle délibérément son cou, une invitation implicite à se perdre davantage dans cette étreinte à venir. À mesure que nous approchons de la porte, mes gestes deviennent plus audacieux. Mes mains s'aventurent sur son torse, traçant des chemins suggestifs, capturant chaque battement de son cœur. Mon regard ne le quitte pas, empreint d'une intensité qui transcende toute retenue.

Arrivés à destination, la porte se referme derrière nous dans un doux grincement. La pièce est plongée dans une semi obscurité, éclairée seulement par la lueur des étoiles filtrant à travers les rideaux. Mes doigts se délient des siens, mais seulement pour mieux explorer les contours de son corps. Je m'approche lentement, mes lèvres déposant des baisers légers sur son cou, sur sa mâchoire. Mes caresses deviennent un langage silencieux, une invitation muette à poursuivre le récit passionné de la nuit. -"Je te veux encore."

» Tiens donc... (JAPE take 2)

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