Le Grand Patron [PV Syrus]

Rosie, ma chère Rosie fait partie des personnes qui me sont le plus proches. Non seulement par son statut au sein de l’Ordre mais aussi parce qu’on se connait désormais depuis des années et que nos échanges sexuels, le plaisir que l’on prend ensemble ne date pas d’aujourd’hui. Enfin quand elle était mariée à ce Thomas, elle n’a jamais voulu succomber à la tentation de finir avec moi au plumard ou ailleurs d’ailleurs. Mais une fois que son divorce a été prononcée, qu’elle a repris sa liberté, ce n’était plus le même refrain. Elle s’est lancée par le côté obscur et on a couché une première fois ensemble. Et je dois dire qu’avoir patienter avant de coucher avec elle était finalement très bon. Je crois que j’ai pris un de ces pieds cette nuit-là mais elle n’était pas en reste, de comment elle hurlait mon prénom et de son corps vibrant sous les accoups de mon sexe bien dur en elle, cela voulait tout dire. Et cette nuit n’a été que la première d’une longue liste de partie de baise plus intense et endiablée les unes que les autres.  

Rosie sait comment me satisfaire, elle sait ce que j’aime, ce que je déteste et elle s’applique toujours pour me faire grimper dans les tours du plaisir. Et inversement, je sais comment la rendre totalement folle de désirs, totalement folle de plaisirs. Quand je vois son corps nu devant moi, ce corps si parfait, cette peau si douce et d’une odeur qui joue avec mes narines, je ne peux qu’être en extase et en excitation. Il y a juste à voir mini Syrus (pas si petit que ça, hein je précise) qui est fièrement au garde à vous, prêt à jouer. La regardant se mettre à genoux devant moi, elle me tend ses poignets, symbole de sa confiance totale en moi. J’enfile autour de ses poignets les menottes sans la lâcher du regard et affichant un petit sourire de coin, un sourire de satisfaction, et un peu machiavélique. Je sens son regard sur moi, passant sur chacune de mes parties de mon corps, s’attardant même sur mon sexe encore enfermé dans des morceaux de tissus. Me redressant, je continue de sourire quand elle me dit qu’elle m’appartient, me nommant par mon prénom. Ce soir, cette nuit, c’est vraiment elle et moi… Ce n’est pas une baise entre le Grand Maitre et son chevalier, non non bien entre Syrus et Rosie. Je finis par me dessaper, me retrouvant totalement nu cette fois-ci et je peux constater sur son visage que ce spectacle lui plait totalement. Il faut dire qu’à l’inverse, j’aime aussi la voir à genoux sur le sol, mains menottées attendant que je m’occupe d’elle. Saisissant ma queue en main, je m’approche d’elle et lui donne les premières consignes. 

Doucement, elle ouvre la bouche tout en me fixant. Je m’avance d’un pas et entre dans sa bouche. Elle creuse les joues et durcit sa langue pour me donner les sensations que j’aime. Elle ne fait entrer que la moitié de mon sexe dans sa bouche lentement, m’avalant centimètres par centimètres. Je la regarde faire, nos regards ne se quittent pas, je mordille ma lèvre inférieure. C’est tellement bon, Rosie est vraiment une très bonne suceuse et je suis certain que ses conquêtes masculines sont très satisfaites de ce plaisir buccal. Secondes après secondes et efforts de sa part, je suis entièrement dans sa bouche, titillant le fond de sa gorge. Elle finit par reculer afin de reprendre son souffle et de me demander si cela me plaisait, si j’aimais comment sa bouche s’occupait de ma verga. Le sourire aux lèvres je lui réponds dans sa langue natale. - Realmente me gusta, cariño. Me gusta cuando cuidas mi polla así. Elle me sourit avant de se remettre à la tâche et reprendre ma queue en bouche. – Tu sais que tu as vraiment un don pour sucer et j’aime quand tu joues avec ta bouche. Occupes-toi de mes cojones aussi. Je sens sa langue passer en dessous, les gober, les titiller. – Hummm c’est tellement bon, Rosie. Continue comme ça …. Je ne jouirais pas maintenant dans sa bouche, c’est sur elle que je veux jouir mais pas encore maintenant.  

@Roselyn De Leon