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Sujet: Le Grand Patron [PV Syrus] Ven 5 Aoû - 22:29
Le Grand Patron
Divorcer pour pouvoir travailler… Certains pourraient trouver cela complètement fou, mais quand on commence à broyer du noir et à se sentir inutile, cela devient une solution envisageable. Et c’est l’avenue que j’avais choisie. J’avais monté les échelons de l’Ordre depuis les six dernières années; j’étais quelqu’un désormais. Pas simplement la femme de untel. À la tête de la section libertine du cabaret Lipstick, je m’épanouissais. Et j’aimais mes employés autant que mon travail. Je n’avais pas eu la chance d’être mère, mais je les voyais un peu comme tels. Vous direz peut-être que les mères n’envoient pas leurs enfants danser nus ou sucer des étrangers, mais il faut remettre les choses en contexte. Je les protégeais des abus et m’assurais qu’ils puissent être en sécurité.
J’aimais observer les soirées en douce, parfois assise dans le cabaret à regarder les spectacles ou encore dans un coin d’une pièce pour m’assurer qu’on ne manquait de rien. Sinon, on me trouvait dans mon bureau, à faire ma comptabilité ou passer des commandes. La porte était toujours ouverte et il n’était pas rare qu’un ou un employé vienne trouver une oreille attentive dans mes quartiers. Ils trouvaient une Roselyn disposée à les écouter, mais aussi les conseiller. Ils en profitaient presque tous pour donner des caresses à Dulce qui ne se faisait pas prier.
Le soir qui nous intéresse se passait comme tous les autres. La musique était forte, les éclairages mettaient en valeur les corps parfaits des danseurs et de tous les autres employés. L’alcool coulait à flots au comptoir du bar et la clientèle était de bonne humeur. J’étais descendue par curiosité, parce que j’entendais la rumeur festive des conversations jusqu’à mon bureau. Je me dirigeais donc sans attendre, vêtue d’une petite robe Versace noire avec des talons aiguilles noirs. Je n’attirais pas trop l’attention, me confondant bien avec la clientèle plutôt bien habillée de notre cabaret. J’observais avec un sourire radieux, fière que l’on s’amuse autant sous ma gouverne. Les petits salons privés semblaient tous occupés par la clientèle qui profitait de la discrétion qu’ils offraient pour céder à leurs vices. C’est en faisant un deuxième tour d’horizon que je remarquais une ombre au tableau. Un client dans la cinquantaine, une espèce de vieux pervers qui était tellement riche qu’il suait des billets de 100$. Il se croyait tout permis parce qu’il était fortuné et avait essayé plusieurs fois de payer des filles pour bien plus que ce qu’elles voulaient. Sexe et torture physique à l’extrême, nous avions reconduit cet homme à la porte du Lipstick plusieurs fois. Pour le moment, il se comportait bien, observant l’effeuillage burlesque sur scène avec un cognac à la main. Cependant, le frisson qui me parcourait l’échine me disait de me méfier.
Et j’avais raison. Deux minutes plus tard, il accrochait une fille et insistait pour un service. Alors qu’elle refusait catégoriquement, il l’empoignait par le bras. Je me dirigeais vers eux avec résolution en marmonnant de jurons en espagnol à voix basse. J’aurais voulu lui arracher les yeux et les faire mariner dans du vinaigre.
« Monsieur, je vais devoir vous demander de lâcher cette jeune femme, elle n’offre pas ce que vous désirez. D’ailleurs, nous n’offrons pas ce genre de service ici. »
Personne dans mon établissement ne se laisserait marquer au fer rouge ou planter des crochets directement sous la peau pour être suspendu. L’homme se mettait à parler plus fort et je voyais la sécurité se rapprocher.
« Monsieur, baissez le ton ou nous devrons vous faire sortir de force. »
Rien à faire. Il se mettait à hurler, insultait la jeune employée, me traitait de tous les noms. Une telle scène n’avait rien de bon pour l’image de l’établissement. Je faisais signe à la sécurité qui l’empoignait et le faisait passer dans le couloir administratif. Je me tournais vers mes employés et traçais un cercle au-dessus de ma tête avec mon index, les intimant de poursuivre la soirée. Je m’adressais à la pauvre jeune femme.
« Prends ta pause et un verre au comptoir, c’est ma tournée, muñequita. »
Je suivais l’équipe de sécurité avec le cinquantenaire qui injuriait tous les gens qui croisaient son chemin et je les dépassais pour prendre directement le chemin du bureau de Syrus. J’avais rarement besoin du grand patron pour gérer ma partie du Liptstick, mais cette fois, je voulais régler la situation une fois pour toutes. Je me tournais vers les deux gardes de sécurité.
« Vous attendez ici. »
Je cognais à la porte fermée et entrais en entendant l’invitation positive.
« Jefe, bonsoir. »
Le petit sobriquet que je lui attribuais en était un affectueux, mais qui restait professionnel. Je lui souriais malgré toute la tension qui m’habitait.
« Nous avons un client… turbulent ce soir. Et c’est une récidive… Je venais pour que vous m’aidiez à régler cette situation de manière définitive. »
J’étais incapable de m’assoir, les mains sur ma taille. Je fermais la porte un instant pour me retourner vivement vers mon patron et me permettais de passer à un répertoire plus personnel maintenant que la porte était fermée.
« Bon sang, Syrus, il veut marquer les filles au fer rouge… Les suspendre par la peau! C’est un vrai malade… ¡Madre! Il est peut-être riche, mais il ne fait qu’attirer des ennuis. Je veux son nom sur la liste noire. »
Je prenais une grande inspiration et reprenais un air professionnel.
WebName : Geitgets Date d'inscription : 11/02/2022 Messages : 682Avatar & crédits : Tom Ellis (Geitgets) Date de naissance : 20/08/1982 Age : 42Statut civil : Célimarié au plaisir charnel Occupation : Patron du club "Lipstick" / Grand Maître Habitation : Villa au Pacific Beach Rivalités : Black Templar (Secte)
Sujet: Re: Le Grand Patron [PV Syrus] Sam 6 Aoû - 20:58
Le Grand Patron
Sysie
- AU LIPSTICK, VENDREDI 05 AOUT 2022, 23H07 - Nouveau spectacle ce soir au Lipstick, spectacle qu’on a commencé à produire il y a quelques jours et qui attire les foules comme chaque soir depuis des mois. Les gens de San Diego aiment qu’on leur illumine leurs vies, qu’on illumine leurs yeux. Moi ils illuminent mes fonds de caisse et je n’ai vraiment pas à me plaindre. Alors qu’en bas, la musique bat son plein entre le son, les lumières et les applaudissements de mes clients, je suis assis à mon bureau, face à l’écran de mon ordinateur en Visio avec mon chimiste. Il vient m’annoncer que la nouvelle formule du Devil est opérationnelle et que nous avons plus qu’à la produire. Un sourire sur les lèvres, je ne peux qu’être satisfait de sa réponse. La Devil ? Vous allez me demander ce que c’est. C’est la drogue qui va bientôt circuler dans les rues de San Diego. Je compte bien prendre le pas sur la Halloween, l’espèce de drogue de mes chers chiens galeux de Hellhounds. Je vous l’ai dit que les Templiers Noirs allaient tout prendre, tout prendre aux clébards et aux Russes. – Humm … Et bien cela est vraiment parfait et je suis satisfait de cette bonne nouvelle … Quand penses-tu que la production peut commencer ?– Le plus tôt possible, maintenant que la formule est ajustée et opérationnelle, il me faut juste votre accord et on lance. – Bien, bien, bien alors tu peux la lancer, lance la production. Une fois que l’on aura du stock, informe nos dealers et commence la distribution. Bien entendu, comme d’habitude, fais ce qu’il faut pour que ça ne remonte pas à nous. Nous devons encore rester un peu dans l’ombre, le temps que j’abaisse ma prochaine carte. Nos chers amis sont entrain de se remettre du carnage d’il y a quelques mois.
Alors que je continue de lui donner les ordres, on frappe à la porte de mon bureau. Je réponds d’entrer et je vois ma chère Rosie passer le seuil de la porte. Elle me dit bonsoir avec le petit surnom qu’elle me donne, je fais un signe à mon chimiste de patienter et coupe le micro de l’ordinateur. – Que puis-je pour toi, ma chère ? Me regardant dans les yeux, prenant son air sérieux et professionnel, elle m’annonce que nous avons un client turbulent ce soir, qui est aussi un récidiviste. Elle ajoute qu’elle est venue pour que je lui apporte mon aide à régler cette situation de manière définitive. Elle ferme alors la porte un instant et tout en se retournant vers moi, elle change immédiatement d’attitude, plus personnel. Elle me dit qu’il veut marquer les filles au fer rouge, les suspendre par la peau. Un vrai malade bien qu’il soit riche, il ne fait qu’attirer des ennuis et une mauvaise image au cabaret. Elle souhaite qu’il soit sur la liste noire. Je l’écoute, je la regarde quand elle reprend son air professionnel.
Elle me demande si je le fais entrer. D’un signe de la tête et de la main, je lui indique qu’elle le peut. Ouvrant la porte, elle fait signe à la sécurité de faire entrer notre trouble-fête. Ils le font entrer alors que celui-ci continue de vociférer comme un putois. Je le regarde de la tête aux pieds, la cinquantaine, une espèce de vieux pervers riche qui se croit tout permis à vouloir marquer mes filles comme si elles lui appartenaient. Je ne tolère pas cela, pas dans mon établissement et encore moins quand il y a des clients qui ne connaissent rien de l’envers du décor. Alors que je le regarde, insistant sur celui-ci, il semble fermer sa gueule face à moi. Ma présence semble lui faire arrêter d’insulter, d’hurler comme une grosse merde. – Installez-vous … dis-je alors en lui montrant d’un signe de la main un des fauteuils à côté de lui. Alors comme ça, vous dites que vous voulez marquer mes filles et les suspendre par la peau ? Je continue de le regarder tout en jetant un œil à Rosie qui est derrière lui.
WebName : barbotine Date d'inscription : 02/06/2022 Messages : 237Surnom : Rosie Avatar & crédits : Alessandra Ambrosio Date de naissance : 05/05/1982 Age : 42Statut civil : Divorcée Occupation : Responsable de la partie libertine du Lipstick, réalisatrice de films pour adultes
Sujet: Re: Le Grand Patron [PV Syrus] Dim 7 Aoû - 23:41
Le Grand Patron
Je connaissais Syrus depuis mes années de débutante à Los Angeles auprès des Templiers, alors que je faisais les courses pour eux, distribuant le whiskey de mon mari… Désormais, ex-mari. À l’époque, Syrus n’était pas encore au sommet des rangs, mais il était déjà important. Son charisme et son implication laissaient présager qu’il prendrait éventuellement une place importante au sein de l’Ordre. Je l’admirais déjà beaucoup à l’époque. Aujourd’hui, j’étais heureuse d’être chevalier sous ses ordres et travailler à ses côtés était un réel bonheur. Sauf, bien sûr, quand des abrutis cinquantenaires venaient troubler l’ambiance du Lipstick.
Je tentais de me calmer alors que mon Maître et patron me permettait d’ouvrir la porte et faire entrer l’homme fautif. Il pestait toujours aussi fort et les gardes de sécurité le poussaient à l’intérieur de la pièce puis restaient en retrait pour nous laisser nous entretenir. En bon propriétaire de club, Syrus l’invitait à s’assoir, ce qu’il faisait. J’avais toujours les mains sur les hanches et le fait que l’homme se calme devant mon patron alors qu’il m’avait envoyé les pires insultes plus tôt m’agaçait plus que cela ne me calmait. Patriarcat de merde! J’avais envie de l’étrangler, mais Syrus croisait son regard avec le mien et j’attendais la suite.
Aux questionnements de Syrus, l’homme balbutiait de manière incompréhensible d’abord, puis se ressaisissait. Il prenait une teinte de rouge, une veine dans son cou devenait plus apparente.
« Je pensais qu’ici les clients avaient droit de profiter du corps des femmes mises à leur disposition! »
Je levais les yeux au ciel, irritée.
« ¡Qué idiota! ¿Lo oyes? ¿Se cree el ombligo del mundo o qué? » (Non, mais quel idiot! Il se prend pour le nombril du monde ou quoi?)
L’homme fixait Syrus droit dans les yeux et m’ignorait.
« Vous pouvez dire à votre immigrante de parler dans notre langue?! »
J’étais hors de moi. Je me penchais sur le dossier de la chaise. De ma paume, je le plaquais dans son assise.
« D’abord, je suis née ici. Ensuite, si vous n’aimez pas notre façon de travailler, il y a d’autres clubs dans les environs. Et puis, si vous tenez vraiment à me manquer de respect encore une fois, c’est votre charmant épiderme, cher monsieur, que je vais suspendre par des crochets. »
C’était des menaces que je ne mettrais jamais à exécution, mais il n’avait pas à le savoir. La violence, je laissais cela aux autres membres de mon Ordre. Je m’adonnais seulement à l’aspect luxure. De ma main libre, je fouillais dans la poche de son veston et en sortais le portefeuille que je lançais sur le bureau de mon patron.
« Son identité s’y trouve assurément… Et peut-être pourrions-nous saisir un petit montant en coupure pour les désagréments causés par son attitude? Qu’en pensez-vous, patron? »
J’insistais sur le mot patron, au lieu de Jefe, troquant mon sobriquet espagnol habituel pour narguer le client. Il voulait que je parle sa langue, je le ferais. Il pourrait ainsi comprendre que nous n’étions pas du genre à se faire marcher sur les pieds au Lipstick et ce, dans sa propre langue. Je relâchais enfin mon emprise et revenais à ma position initiale, les mains sur les hanches, le visage un peu tendu.
« Nous n’en sommes pas à la première offense, comme je vous expliquais. Monsieur ne semble pas comprendre les politiques de notre cabaret. Peut-être devrions-nous lui dire d’aller voir ailleurs s’il trouve son bonheur? »
J’aurais besoin d’un bon verre de scotch après cet entretien. Je ne buvais pratiquement plus de whiskey américain depuis mon divorce avec Tommy, mais un bon whisky écossais me ferait le plus grand bien. Je marchais pour passer du côté de Syrus, élégante malgré mon énervement. Je fouillais le portefeuille et trouvais son identité que je lisais tout en parlant:
« Les clients ne sont plus des rois… Ils sont des seigneurs et quand ils dépassent les bornes, ils perdent leurs droits… Ou la tête. Qu’en pensez-vous, monsieur… Peters? Les droits? Ou la tête?»
Cet homme me répugnait et son attitude me mettait hors de moi. Son petit teint violacé par la colère ne m’impressionnait pas. Je voulais avoir gain de cause et j’espérais que Syrus appuierait mes propos des siens.
WebName : Geitgets Date d'inscription : 11/02/2022 Messages : 682Avatar & crédits : Tom Ellis (Geitgets) Date de naissance : 20/08/1982 Age : 42Statut civil : Célimarié au plaisir charnel Occupation : Patron du club "Lipstick" / Grand Maître Habitation : Villa au Pacific Beach Rivalités : Black Templar (Secte)
Sujet: Re: Le Grand Patron [PV Syrus] Mer 10 Aoû - 16:30
Le Grand Patron
Sysie
- AU LIPSTICK, VENDREDI 05 AOUT 2022, 23H15 - Roselyn et moi, ça ne date pas d’aujourd’hui. Cela fait plusieurs années que l’on se connait maintenant et c’est pour ça aussi que je lui ai donné une place au sein de mes Chevaliers. Je sais qu’elle a toujours eu une admiration à mon égard et je sais que je peux lui faire confiance. Il y a très peu de personnes à qui j’accorde ma confiance ou en qui j’ai moi-même confiance. Et je la connais tellement par cœur, contrairement à moi ou à d’autres de mes Templiers, ce n’est pas elle qui donnera le châtiment, elle est plutôt celle qui donne du plaisir que de la souffrance. Je sais quand elle est contrariée et ce soir elle est quand elle fait irruption dans mon bureau après avoir cogner à la porte. M’expliquant la situation, je lui dis de faire entrer ce cher monsieur qui ose semer la zizanie dans mon établissement.
Je le regarde entrer, enfin pousser par mes gardes de sécurité et tout en continuant de pestiférer ses propos, je l’invite à s’assoir. Il le fit, s’installant dans un des fauteuils face à mon bureau et peu à peu, alors que le silence vient de s’installer dans la pièce, il semble se calmer. Jetant un œil à Rosie, je sais que sous ses apparences, elle est entrain de bouillonner. Un simple regard, elle comprend que je vais prendre les choses en main. Alors que je commence à énumérer les choses qu’il a pu dire et vouloir faire, celui-ci commence à bafouiller de manière incompréhensible avant de se ressaisir. Il devient tout rouge, je sens qu’il commence à comprendre ses erreurs. Il me le confirme quand il m’annonce qu’il pensait qu’ici les clients avaient le droit de profiter du corps des femmes mises à leurs dispositions. Un sourire s’affiche sur mes lèvres en entendant Rosie parler en espagnol. Celui-ci me regardant dans les yeux, il me demande de dire à mon immigrante de parler dans notre langue. Regardant Rosie, je souris avant de lui parler - Sí, realmente es un idiota infinito este cuerno. El ombligo, no sé... Pero el pendejo del mundo, eso te lo confirmo... (Oui, c'est vraiment un abruti infini ce guignol. Le nombril, je ne sais pas... Mais le trou du cul du monde, ça je confirme...)
Je savais qu’elle allait exploser à cette remarque et ce fut le cas. Rosie lui annonce qu’elle est née ici et que s’il n'aime pas notre façon de travailler, il y a d’autres clubs dans les environs. Elle lui ajoute que s’il tient vraiment à lui manquer de respect encore une fois, c’est son charmant épiderme qui sera suspendu par des crochets. Je vois sur son visage un changement avec les menaces de ma lieutenante. Je la regarde fouiller dans sa poche de son veston et en sortir le portefeuille qu’elle me lance sur mon bureau. Le prenant alors qu’elle me dit que son identité devrait s’y trouver, elle annonce que nous pourrions saisir un petit montant en coupure pour les désagréments causés par son attitude. Elle me regarde dans le blanc des yeux et me demande ce que j’en pense. – Et bien, il me semble que cela serait la moindre des choses de la part de ce cher monsieur … Alors qu’il allait parler, Rosie le prend de cours en évoquant qu’il n’est pas à sa première offense, comme elle avait pu me le dire quelques minutes plus tôt. Elle ajoute qu’il ne semble pas comprendre les politiques de notre cabaret et que peut-être, devrions-nous lui dire d’aller voir ailleurs s’il ne trouve pas son bonheur ici. Un nouveau silence s’installe, un silence pesant pour celui qui vient de fauter une nouvelle fois. Je regarde Rosie se déplacer dans le bureau et se diriger vers le bar. Elle a besoin d’un verre et je ne peux que comprendre. Elle saisit le portefeuille au passage et cherche son identité. Je souris à ses mots, elle avait totalement raison, j’offre des services à mes clients, certains plus que d’autres mais là, ce qu’il vient de faire une fois de plus, je ne supporte pas. Il y a peu de temps, un petit connard a perdu ses mains et la vie après s’être vidé de son sang ici même pour avoir tenté de violer Selma. Une erreur qu’il ne recommencera plus.
Je le regarde alors qu’elle révèle son nom et lui demande s’il préfère ses droits ou sa tête. Je sens qu’il se sent agacé, qu’il essaie de montrer qu’il est en colère de subir ça. Tournant la tête vers Rosie, je lui demande qu’elle me serve un verre et qu’elle lui en serve un. Si c’est son dernier verre, autant qu’il boive quelque chose de très bon. Versant du whisky dans les verres, elle les pose devant moi. Me levant et quittant mon siège, je saisis les deux verres et passant de l’autre côté de mon bureau, je m’assois sur le bord de celui-ci et lui tend le sien. Hésitant, il finit par le saisir et me remercie. – Alors quelle sera votre décision, monsieur Peters, demandais-je tout en buvant une gorgée. Je le laisse porter son verre à ses lèvres et boire une gorgée. Quelques secondes passent et je vois son visage changer, son expression faciale passe du petit vieux colérique à un visage de peur. – ça ne va pas, monsieur Peters ? Vous ne vous vous sentez pas bien ? Un nouveau sourire sur mes lèvres, je le regarde alors que son corps est entrain de se paralyser. Ce qu’il n’a pas vu, c’est que j’ai laissé tomber une goutte de la drogue contenue dans ma bague dans son verre quand je l’ai pris sur mon bureau. – Maintenant que vous êtes prêt à écouter ce que je vais vous dire ou redire … Mon établissement n’est pas une maison close, mes filles ne sont pas des putes mises à disposition pour vider vos couilles très cher… J’offre des services mais pas ce à quoi vous pensez … Ce n’est donc pas votre premier avertissement alors dites-moi … Quelle décision je dois prendre ? Dois-je vous interdire l’accès définitif de mon cabaret ? Ou bien appliquer vos désirs ? Ou encore vous coupez la langue … ou votre tête … ou vos mains … Dites-moi, je vous écoute ? Buvant une nouvelle gorgée, je me tourne vers Rosie. – Et toi ma chère, que penses-tu que je devrais faire ? Que dois-je faire de ce cher monsieur ?
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Sujet: Re: Le Grand Patron [PV Syrus] Lun 22 Aoû - 22:02
Le Grand Patron
Le client désagréable me faisait crisper les muscles, serrer les dents. J’avais presque un mal de tête, il finirait par me vriller les tempes. J’aurais besoin de mon yoga et ma méditation pour me détendre ensuite. Mais je savais que Syrus prendrait mon côté de l’argumentation, me permettant de garder un niveau de calme relatif. C’était rassurant d’avoir quelqu’un sur qui compter. J’espérais voir ce malpoli de cinquantenaire les fesses sur le trottoir devant le Lipstick le plus rapidement possible. Je pouvais compter sur mon patron pour sévir, j’en avais la certitude. Aussi, quand je le voyais prendre les devants de cet entretien, je me calmais… Jusqu’à ce que l’idiot assis en face du bureau m’insulte.
Syrus semblait s’amuser de mes réponses, m’arrachant un sourire presque carnassier, ce qui n’était pas dans mes habitudes, mais le client venait chercher le pire de moi-même. La réponse en espagnol de Syrus me fit rire un peu. Je savais dorénavant que je n’avais pas à m’inquiéter de son opinion sur cet homme qui se croyait tout permis. Le pauvre type alternait son regard entre Syrus et moi, ne comprenant visiblement pas un traitre mot d’espagnol.
Quelques remarques bien lancées, puis le silence. L’homme devait mariner dans un mélange de ses propres réflexions et d’anticipation alors que je me dirigeais vers le petit bar derrière mon Jefe. Syrus me demandait de leur servir des verres et j’obtempérais au Maître. J’aurais pu être outrée d’une si aimable attention, mais je soupçonnais fortement qu’il avait quelque chose en tête. Je versais le whisky dans les verres appropriés que je déposais devant mon patron, restant ensuite debout près de sa chaise, dans un silence pesant alors que me yeux jetaient des couteaux au client pendant que Syrus se plaçait devant son bureau. À quoi jouait-il? Je tentais de ne pas me montrer impatiente, mais j’avais bien hâte de voir l’homme à l’extérieur du cabaret. Le Maître lui reposait à nouveau la question que je lui avais posée; soit ses droits ou sa tête? Que se passait-il dans l’esprit de Syrus? Je le connaissais trop bien pour ignorer qu’un plan était probablement déjà en branle.
Et je voyais soudainement le corps de monsieur Peters changer, son visage aussi. Il avait l’air… paralysé? Je prenais alors conscience que Syrus avait probablement versé de la drogue dans le verre de l’homme. Mon visage se radoucissait; j'étais satisfaite de la décision de mon patron. Cet homme ne reviendrait jamais dans le club. Je m’approchais donc et m’assoyais sur le bord du bureau à mon tour, les jambes allongées devant moi, toujours les pieds bien au sol. Je me penchais pour saisir le verre de monsieur Peters et le portais à mon nez, sifflant d’admiration. Aucune odeur, aucun changement de couleur. Syrus me demandait mon avis et je me tournais un peu vers mon patron.
« Je pense que M. Peters est bouche bée… Peut-être cela veut-il dire qu’il nous laisse carte blanche? »
Je faisais une pause, puis m’adressais directement à Syrus comme si l’autre homme n’était pas là.
« C’est remarquable, la rapidité d’action de ce produit… »
Je posais ma main sur la cuisse de Syrus pour me redresser et passais derrière le siège de monsieur Peters. Lentement, je versais la gorgée qu’il restait dans son verre sur son entrejambe, un sourire moqueur sur les lèvres.
« Je ne voudrais pas que quelqu’un boive ce whisky par inadvertance… »
Je faisais une pause, posais ma main à plat sur la tête du cinquantenaire.
« Pour ma part, je veux juste ne jamais revoir ce visage violacé de colère dans le cabaret… La punition m’importe peu. Tu me connais, Syrus, je ne suis pas quelqu’un qui aime la violence… Même si celui-là pourrait me pousser à devenir cruelle. »
Je tapotais vigoureusement sa joue à plusieurs reprises, assez pour que cette dernière prenne une teinte rouge vif. Je retournais chercher le portefeuille, retirais quelques billets. Je rangeais le portefeuille dans le veston de monsieur Peters puis revenais devant Syrus pour glisser l’argent dans son veston à lui, minaudant théâtralement.
« Je ne suis qu’une pauvre et innocente gérante de cabaret après tout. »
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Sujet: Re: Le Grand Patron [PV Syrus] Dim 28 Aoû - 16:34
Le Grand Patron
Sysie
- AU LIPSTICK, VENDREDI 05 AOUT 2022, 23H21 - J’observe la scène devant moi. Ce client se croit vraiment tous permis. Tu leur donnes ta main, ils te prennent le bras et ça, je ne tolère pas ça. Ceci est un manque de respect pour ma personne, pour mes filles, et pour mon établissement. Je ne peux pas laisser passer ça, je suis peut-être le pire enculé que cette Terre ait porté. Je suis peut-être le vilain de l’histoire mais j’ai mes principes et je ne les trahis jamais. Je peux ressentir la colère de Roselyn et il est vrai qu’elle n’aime pas torturer, préférant laisser cela à mes experts mais de temps en temps, ça ne lui ferait pas de mal. Elle a une autre méthode pour apaiser toute colère et il est certain qu’elle va l’utiliser après pour redevenir plus calme. La réaction de ma lieutenante m’amusait beaucoup, elle avait une rage au fond d’elle qu’elle n'exprimait jamais et cela pourrait être tellement une force pour elle.
Ce cher monsieur n’aimait pas quand elle s’exprimait en espagnol. Bien, très bien. A mon tour, c’est prenant un accent hispanique que je lui répondais et je pouvais autant voir sur le visage de Rosie un petit rire, autant l’autre ne semblait pas apprécié. Certainement qu’il ne comprenait pas ce que je pouvais exprimer et j’avoue que cela était encore plus amusant. Un silence se fit ressentir quelques minutes plus tard tandis que Rosie se dirigea vers le petit bar. Lui demandant de nous servir des verres, elle s’exécuta et posa les verres devant moi. Me levant, je pris les deux verres et faisant le tour de mon bureau, je vins me poser contre celui-ci et lui tendis, sourire sur les lèvres, son verre. Il le prit et tout en portant mon verre à mes lèvres, buvant une gorgée, je le regarde avant de lui poser la question : ses droits ou sa tête. Je le regardais, sans le lâcher du regard attendant sa réaction, une petite réaction. Il y avait bel et bien une réaction de sa part mais pas celle que l’on pouvait attendre. Sans qu’il ne capte rien, j’avais versé une goutte de la drogue contenue dans ma bague et fabriqué par Thomas, mon chimiste. Une drogue exclusivement conçue à ma demande. Lui demandant si ça ne va pas, s’il se sent mal, je peux sentir le sourire sur le visage de Rosie. Continuant de m’exprimer, je commence à lui expliquer ce qu’il va se passer maintenant, dans les minutes qui vont suivre. Calme, serein, ma voix posée, je lui demande quelle décision je dois prendre à son égard. Dois-je lui interdire l’accès définitif de mon cabaret ? Ou bien appliquer ses désirs ? Ou encore lui coupait sa putain de langue … ou sa tête de con … ou ses mains … j’ai une lame d’épée particulièrement aiguisée pour cela.
Me tournant vers ma chère amie, je lui demande ce que je devrais faire. Je souris à ses dires quand elle me dit qu’elle pense que M. Peters semble bouche bée, cela pourrait signifier qu’il nous laisse carte blanche. Elle fait une pause avant de me regarder et me dire que la rapidité de ma drogue est remarquable et d’une rapidité d’action plus que satisfaisante. – Il est vrai que Thomas a géré sur cette formule… Je souris en sentant sa main soudainement se poser sur ma cuisse alors qu’elle se redresse et vient se placer derrière le fauteuil de notre invité. Je la regarde alors verser le restant du contenu de son verre entre ses jambes, je sais qu’elle s’amuse, je peux le lire sur son visage. Elle ajoute qu’elle ne voudrait pas que quelqu’un boit ce whisky par inadvertance. Effectivement, il valait mieux éviter un incident. Elle avoue qu’elle ne veut plus le voir, plus voir ce visage violacé de colère dans le cabaret et que peu importe la punition, elle me rappelle que je sais qu’elle est loin d’être quelqu’un qui aime la violence bien que celui-ci pourrait faire changer la donne. Je la regarde faire, elle tapote sur la joue du monsieur à plusieurs reprises. Prenant une grande inspiration, je le regarde. – Bien bien, alors mon verdict va tomber… Cher monsieur Peters, vous êtes banni à tout jamais de mon cabaret. Si vous osez mettre un seul pied, un seul orteil dans mon établissement, croyez-moi que plus jamais vous retenterez de le faire. Roselyn qui vient de prendre les billets dans la porte feuille de Peters, les glisse dans mon veston. Je souris à ses mots.
M’approchant de l’homme, je saisis au passage sur mon bureau le coupe-cigare qui y est posé. Prenant un de ses doigts, le sourire aux lèvres, je prends la parole. – Et pour vous prouver que mes dires ne sont pas des paroles en l’air … Je referme le coupe cigare sur son doigt qui le coupe, net et tombe sur le sol. Je peux voir les larmes couler le long de ses joues tandis qu’aucun son, enfin presque ne sort de sa bouche. Ramassant le doigt, je viens le mettre dans sa poche et lui murmure au creux de l’oreille. – Tu as bien compris le message, espèce de sale merde. Remet les pieds chez moi, et ce n’est pas un doigt que je vais te couper, mais bien ta tête de grosse raclure. Et nous savons où tu habites, ouvre ta gueule sur ce qu’il vient de se passer et crois-moi tu vivras le pire moment de ta vie. Tu m’as bien compris ? Sans attendre de réponse, je me redresse et me tourne vers Rosie. – Et bien, je crois que notre ami a compris les choses. Dis aux gars de la foutre dehors mais par la porte de derrière, je ne veux pas que nos clients assistent à ça. La laissant faire, je nettoie mon coupe cigare et le repose à sa place. Une fois seul avec Rosie, je me tourne vers elle, le sourire aux lèvres. – Comment te sens-tu maintenant ? Nous ne serons plus emmerdés par cet individu maintenant. Installé sur le bord de mon bureau, je la regarde droit dans les yeux.
WebName : barbotine Date d'inscription : 02/06/2022 Messages : 237Surnom : Rosie Avatar & crédits : Alessandra Ambrosio Date de naissance : 05/05/1982 Age : 42Statut civil : Divorcée Occupation : Responsable de la partie libertine du Lipstick, réalisatrice de films pour adultes
Sujet: Re: Le Grand Patron [PV Syrus] Mer 31 Aoû - 18:01
Le Grand Patron
L’homme était figé dans sa chaise. Il avait presque l’air d’une statue de cire. Son visage violacé n’exprimait presque plus d’émotions, figé par la drogue dans son verre. Je ne suis pas très violente, mais cette fois, j'étais heureuse de voir la peur dans les yeux de Peters. Il le méritait. Il avait fait peur à mon personnel, il dérangeait les autres clients aussi.
Je frémissais brièvement en entendant le prénom du chimiste de Syrus. Thomas… J’avais l’impression que mes oreilles sifflaient. J’entendais ce satané prénom partout. Je pourrais en faire une collection! Il était inutile de me mettre dans tous mes états plus que je ne l’étais déjà, alors je me concentrais sur notre petit homme immobile, versant son verre sur son pantalon. Je lui tapotais le visage également et revenais vers mon patron avec l’argent du portefeuille que je glissais dans son veston.
Tombait alors la sentence de monsieur Peters. Bannissement. S’il remettait les pieds au Lipstick, les conséquences seraient graves. J’étais satisfaite. Je ne verrais plus cet homme affreux près des employés du cabaret et j’en étais rassurée. Bien sûr, il avait toutes sortes de services qui s’offraient dans l’établissement, mais ce qu’il demandait allait au-delà du bien-être des employés. J’avais failli demander à Syrus de lui prendre ses organes, mais j’étais bien trop douce pour cela. Et puis, son état de chair ne laissait pas penser qu’il était en bonne santé. Je me flagellais mentalement de toutes ses pensées absolument cruelles. Ce n’était pas moi, mais la colère qui me créait de telles idées.
J’observais Syrus s’emparer de son coupe-cigare, me disant qu’il devrait attendre que les gardes de sécurité quittaient avec le cinquantenaire pour fumer le cigare. Je poussais un petit « Oh! » de surprise en voyant le doigt tomber par terre. Bon sang, Syrus! L’effet de surprise était pratiquement pire que le geste en soi. Le visage figé de Peters ne pouvait pas camoufler les larmes qui roulaient sur ses joues sans le moindre bruit. Mon patron lui plaçait son doit détaché dans sa poche et me demandait de disposer de notre invité. Je me ressaisissais, un peu blême.
J’ouvrais la porte du bureau et m’adressais aux deux molosses qui attendaient toujours.
« Sortez-le par la porte de service à l’arrière, messieurs. Et si vous pouviez emballer sa main sanguinolente, ce serait dommage de tacher le sol. »
J’étais peu violente, mais j’étais d’abord et avant tout maniaque de propreté. Chez moi comme au boulot. Je les suivais un peu dans le corridor alors qu’ils traînaient le petit homme immobile. J’inscrivais une adresse sur la main valide du petit homme et le regardais droit dans les yeux.
« Cet hôpital ne pose jamais de questions, si vous faites vite, ils pourront peut-être recoudre votre doigt… Enfin, si vous arrivez à bouger à temps. »
Gentillesse? Oui, un peu. En même temps, je ne pensais pas qu’il pourrait se lever à temps. Je n’étais pas assez gentille pour lui mettre son extrémité dans un petit sac avec de la glace.
« Merci messieurs. »
Je tapotais l’épaule d’un des gorilles et regagnais le bureau de Syrus, fermant la porte derrière moi. Il me demandait comme je me sentais et son regard semblait sonder mon âme au plus profond de moi-même. J’adorais l’intensité du regard de mon patron. Irrésistible. Pourtant, je savais rester franche. Nous nous connaissions assez pour cela.
« La prochaine fois que tu sectionneras des morceaux humains, préviens-moi, c’est absolument dégoûtant. Mais je suis heureuse de ne plus jamais avoir à revoir cette ordure.»
J’avais pourtant un petit sourire en coin. Je n’étais pas sotte, je savais ce qui se passait dans l’organisation. Me salir les mains? Non merci. Je préférais m’assurer que les membres de notre Ordre soient amplement satisfaits et qu’ils trouvent du plaisir au Lipstick. À une autre époque, j’aurais été tenancière de maison close. Madame Roselyn… Ça sonne drôlement bien, non?
Je me rapprochais finalement de Syrus. Mon corps effleurait ses genoux alors que mes doigts jouaient avec les pans du col de son veston.
« Comme je suis un peu bousculée par la vue horrible que tu m’as causée… Tu as sûrement une solution pour me réconforter? »
Un petit moment privilégié avec le Grand Maître, ce serait complètement fou de ne pas en profiter, non?
WebName : Geitgets Date d'inscription : 11/02/2022 Messages : 682Avatar & crédits : Tom Ellis (Geitgets) Date de naissance : 20/08/1982 Age : 42Statut civil : Célimarié au plaisir charnel Occupation : Patron du club "Lipstick" / Grand Maître Habitation : Villa au Pacific Beach Rivalités : Black Templar (Secte)
Sujet: Re: Le Grand Patron [PV Syrus] Ven 2 Sep - 14:52
Le Grand Patron
Sysie
- AU LIPSTICK, VENDREDI 05 AOUT 2022, 23H29 - Si ce cher monsieur pensait s’en sortir juste avec un avertissement, il se mettait un doigt dans l’œil. Du moins pas celui que je lui ai coupé. Je savais que la sanction allait plaire à ma chère Roselyn mais je pense que le fait que je lui coupe le doigt, ça elle ne l’avait pas vu venir. Elle m’avait regardé prendre le coupe-cigare sans se douter de ce que j’allais en faire. J’aurais pu fumer un bon cigare mais non j’avais une autre pensée qui m’avait traversé l’esprit. Je souris en entendant son petit OH de surprises. Je pouvais voir sur le visage de Peters les larmes couler sans qu’il puisse émettre le moindre de son, il hurlait de l’intérieur. Ramassant le doigt, je vins le mettre dans la poche de son veston. Me tournant vers Rosie, je lui indiquais qu’elle pouvait dire aux gardes de le foutre hors de mon établissement mais bien sur par la porte de service arrière. Nos clients du cabaret n’avaient pas besoin de voir cela.
Rosie s’exécute et ouvrant la porte du bureau, elle s’adresse aux deux molosses qui attendaient dans le couloir. Alors que je l’entends leur dire de le sortir par la porte de service à l’arrière, elle demande de lui emballer sa main sanguinolente afin d’éviter de tacher le sol. Tout en nettoyant mon coupe-cigare, je ne peux que sourire en l’entendant. Elle aime la propreté, que tout soit bien nettoyer et à sa place. Plusieurs minutes passent quand elle revint finalement, refermant la porte derrière elle. La regardant, je lui demande son ressentie tout en sondant son comportement. - Comment te sens-tu maintenant ? Nous ne serons plus emmerdés par cet individu maintenant. Installé sur le bord de mon bureau, je la regarde droit dans les yeux. Je souris quand elle me dit que la prochaine fois que je sectionne des morceaux humains que je la prévienne. Elle ajoute que c’est absolument dégoutant mais qu’elle est heureuse de ne plus jamais voir cette ordure. – Mais où serait l’effet de surprise si je t’avais dit ce que j’allais faire, ma chère. Mais c’est sur que là, il ne foutera plus les pieds ici parce que la prochaine fois ce n’est pas son doigt que je couperai mais bien sa tête de merde.
Elle se rapproche de moi, sans me quitter du regard, je la sens effleurer mes genoux de son corps alors que ses doigts jouent avec les pans du col de mon veston. Sourire en coin quand elle me dit qu’elle est un peu bousculée par la vue horrible que je lui ai causée et me demande si j’ai surement une solution pour la réconforter. Mon sourire s’élargit encore plus à sa demande. – Humm … Effectivement, j’ai bien une solution, dis-je en la prenant par la taille, passant ma main dans le bas de ses reins et venant la coller contre moi. Doucement, je viens déposer un baiser, puis un autre sur son épaule dénudée. Mes lèvres remontent son cou lentement, je mordille le lobe de son oreille avant de venir chercher ses lèvres. Ma main qui est posée dans le bas de son dos, descends de quelques centimètres pour se poser sur ses fesses, de belles fesses comme j’apprécie. Je me détache quelques secondes, la regardant dans les yeux. – Une bonne solution pour toi ?
WebName : barbotine Date d'inscription : 02/06/2022 Messages : 237Surnom : Rosie Avatar & crédits : Alessandra Ambrosio Date de naissance : 05/05/1982 Age : 42Statut civil : Divorcée Occupation : Responsable de la partie libertine du Lipstick, réalisatrice de films pour adultes
Sujet: Re: Le Grand Patron [PV Syrus] Mar 6 Sep - 22:10
Le Grand Patron
La violence était parfois un mal nécessaire. Je le comprenais, mais je détestais être mise à partie dans ces cas de figure. Je n’aimais pas me salir les mains. En tous les cas, pas de cette façon. Le sang, ça tache et moi j’aime quand tout est en ordre. Certains pourraient dire que les ébats sexuels que je filme peuvent aussi créer le désordre, sauf que c’est beaucoup plus facile à ranger.
« En effet, je ne pense pas qu’il veuille un jour remettre les pieds ici. »
C’était le point positif de cet entretien avec Syrus. M. Peters ne serait plus un problème. Les employés du cabaret seraient en sécurité et c’est tout ce qui m’importait. Je me sentais responsable d’eux. Mon côté maternel, je suppose. Je parlais de mon dédain pour la section du doigt et le Grand Maître semblait s’en amuser un peu. Il me parlait d’effet de surprise. Il me disait aussi que si l’homme osait revenir, ce serait sa tête qui serait coupée et je me faisais bougonne.
« Mouais… Alors s’il te plaît, si cela devait être le cas, tu pourrais mettre un plastique au sol? Ça éviterait de ruiner le plancher… C’est un magnifique plancher, Syrus. »
Je ferais une piètre tueuse en série. Il me faudrait tout nettoyer à la perfection… Ou peut-être qu’au contraire je serais une fantastique tueuse en série?! Aucune trace de mon crime… Bref, je m’égarais dans mes propres pensées alors que Syrus semblait exaucer ma demande et voulait me changer les idées.
Sa main dans le creux de mon dos me faisait frissonner. Je le laissais me rapprocher de lui tout en admirant le visage de mon patron. Ce n’était pas le genre de comportement qu’un responsable aux ressources humaines préconiserait, mais c’était ainsi dans l’Ordre des Templiers Noirs. Après tout, le plaisir primait sur tout. Et on ne pouvait nier que Syrus Payns était un plaisant personnage. Mes paumes caressaient son torse par-dessus son veston, appréciant son corps bien fait.
Ses lèvres épousaient mon épaule et mon cou, puis mon lobe d’oreille. Instinctivement, une de main glissait de son torse à son épaule et finalement à la naissance de ses cheveux pour lui signifier mon plaisir. Et quand il se décidait enfin à embrasser ma bouche, je grondais d’un plaisir sourd. Je répondais à son baiser avec chaleur et sensualité. Je me laissais porter par les sensations afin de réellement oublier ce que je venais de voir comme barbarie dans le bureau. Il me demandait si j’aimais sa solution et j’esquissais une moue comique, comme une enfant boudeuse, mais je ne me prenais pas au sérieux.
« En fait, je trouve que c’est un bon début de solution… Mais, ne me crois pas satisfaite de si peu, Jefe. »
Je posais mes yeux bruns dans les siens, le mettant au défi de réellement me faire oublier mon début de soirée plutôt frustrant. Je savais qu’il ne résisterait pas à l’invitation. Et je savais aussi que je ne serais pas déçue. Un nouveau baiser que j’initiais cette fois, laissant ma langue chercher la sienne pour le provoquer un peu. Pendant ce temps, mes doigts retiraient le veston, puis trouvaient les premiers boutons de sa chemise et les détachaient. Sa main qui était sur mes fesses m’électrisait. J’avais bien plus besoin de cet échange que je ne l’aurais cru. Je me demandais pourquoi. Après tout, n’avais-je pas le meilleur des Finlandais pour me satisfaire quand j’en avais besoin? Peut-être était-ce vraiment lié à cette situation qui m’avait mis les nerfs en boule? L’important était que mon corps en entier appelait le sien et que je ne résisterais pas. Et j’allais en faire profiter mes sens comme les siens.
Je me tournais pour coller mon dos contre lui et l’incitais à entourer mon corps de ses bras alors que je prenais ses mains en otage. Je lui faisais parcourir mon corps par-dessus ma robe alors que mon derrière se frottait de façon provocante sur son entrejambe. Je guidais ses paumes vers ma poitrine, puis remontais une des deux vers ma gorge alors que je sentais le désir grimper en flèche. Je dirigeais l’autre vers mes cuisses, puis sous ma robe.
« Ça faisait un moment, non? »
Oui bon, parce que ce n’était pas la première fois que je couchais avec le patron… Mais cela faisait un moment parce que je travaillais et prenais mon travail très au sérieux. Une petite pensée furtive et intrusive venait me susurrer à l’oreille que mon ex-mari aurait vécu cela avec une jalousie profonde et que nous avions bien fait, au fond, de divorcer. Parce que quand le maître offrait une partie de jambes en l’air, il était difficile de la lui refuser.
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Sujet: Re: Le Grand Patron [PV Syrus] Ven 30 Sep - 16:10
Le Grand Patron
Sysie
TW : sexe
- AU LIPSTICK, VENDREDI 05 AOUT 2022 - Je n’aime vraiment pas quand on tente quoi que ce soit contre mes filles, ou encore qu’on se foute de ma gueule sous mon propre toit. Ce cher monsieur a tenté de jouer mais malheureusement, il a perdu et je pense que là il a bien compris que je ne suis pas quelqu’un qu’on tente d’enculer comme ça. Tu joues, je joue. Tu perds, je gagne et je me régale. Rosie a été surprise, même si elle s’attendait à une réaction de ma part, ce n’est peut-être pas à celle-là. J’aime l’ordre, j’aime apporter la sécurité à mon empire et celui qui essaie de s’opposer à ça, en paie le prix. Je souris quand elle me répond que je pourrais mettre un plastique au sol la prochaine fois, cela évitera de ruiner ce magnifique plancher. Bon dans un sens elle n’avait pas tort mais il n’y aurait plus de surprise si le plastique se trouvait déjà au sol, non ? « Lui changer les idées ? j’ai bien une petite idée qui devrait nous convenir à tous les deux je pense ». Ma main vient se poser dans le creux de son dos alors que je la rapproche contre moi. Je sens ses mains venir sur mon torse par-dessus mon veston, elle ne me lâche pas du regard. Le sourire aux lèvres, je viens déposer mes lèvres sur son épaule dénudée. Sa peau est si douce, si parfumée. Mes lèvres remontent dans son cou, puis je vais m’amuser avec le lobe de son oreille. Je sens alors sa main venir dans mes cheveux et je sais que quand elle fait ça, elle me montre le plaisir, son plaisir qu’elle ressent à mes gestes.
Je finis par venir l’embrasser à pleine bouche, je la sens répondre à mon baiser endiablé et langoureux. Plusieurs minutes passent, et toujours le sourire aux lèvres, je lui demande si elle aime cette solution que je lui apporte. J’éclate de rire à sa réponse, pour elle c’est un bon début mais il ne faut pas que je croie qu’elle est satisfaite, loin de là. A son tour, elle vient échanger un autre baiser, sa langue jouant avec la mienne pour commencer un ballet langoureux. Après cet échange bucal, c’est avec un sourire malicieux que je lui réponds. – Oh mais je ne crois rien, on ne peut même pas appeler ça des préliminaires alors non, on ne va pas s’arrêter là. Je la sens retirer mon veston, puis elle défait les boutons un à un de ma chemise. Se tournant dos à moi, elle entoure son corps de mes bras, capturant mes mains, les faisant parcourir son corps par-dessus sa robe. La sentant se frotter contre mon sexe a la réponse escompter, je commence à durcir et bientôt je risque d’être à l’étroit dans mon pantalon. Une de mes mains se retrouvent sur sa poitrine avant d’entourer sa gorge, mon autre main disparait entre ses cuisses, sous sa robe. – Humm très humide ma chère, j’aime cela et oui cela faisait un long moment, je trouve aussi. Je joue avec son intimité pendant plusieurs minutes, faisant monter encore plus son désir.
Inversant nos places, je lui murmure aux creux de l’oreille. - J’ai très faim, si tu vois ce que je veux dire. Posant mon autre main libre sur sa poitrine, je l’allonge sur le bureau tout en lui écartant les jambes. Doucement, je viens lui déposer des baisers sur sa cuisse gauche, remontant lentement sur chaque centimètre de sa peau, remontant sur son entre-cuisse. Mes doigts passent sur sa petite culotte, je joue par-dessus le tissu, la laissant émettre de petits gémissements. Mes mains de chaque côté de ses hanches, je glisse délicatement sa petite culotte jusqu’à la lui retirer, me donnant une belle vue sur son intimité. Ma langue passe sur la peau de son entre-jambe, et venant jouer avec son bouton du plaisir. Ma langue la titille, elle est tellement délicieuse, un gout exquis pour mes papilles. Je viens entre ses lèvres, jouant avec, je viens doucement lui glisser deux doigts. Ce qui me sert de langue ne me sert pas qu’à m’exprimer, je suis aussi très doué pour faire monter le plaisir de ces dames.
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Sujet: Re: Le Grand Patron [PV Syrus] Sam 8 Oct - 17:57
Le Grand Patron
**TW: sexe**
Syrus était de ces hommes qui ne boudaient pas leur plaisir. Séducteur, il aurait pu quand même ne pas être à la hauteur de mes attentes. Beaucoup de beaux parleurs dans le monde de la séduction. Sauf que je savais que Jefe était un bon amant. J’allais donc m’accorder le droit de succomber au plaisir moi aussi, sachant que j’allais être satisfaite. Il me confirmait que notre tête-à-tête ne serait pas vite fait, identifiant nos rapprochements comme ne faisant même pas encore partie des préliminaires, ce qui étirait mes lèvres dans un sourire félin.
J’étais contre lui, bien appuyée contre son torse et ses caresses m’arrachaient une multitude de soupirs. Je sentais son souffle près de mon oreille et dans mon cou. Son entrejambe semblait s’intéresser à la situation, durcissant d’envie. Victorieuse, je continuais à bouger lentement contre lui. Comme c’était bon de ressentir cette proximité. L’envie ne faisait que grandir, mais je ne brusquais pas les étapes. J’avais envie de savourer ce moment.
Qu’arriverait-il si quelqu’un venait à entrer dans le bureau du patron? J’aimais montrer un côté de moi très professionnel au travail. Ce serait raté si un témoin venait à me surprendre avec Syrus. Pourtant, je ne l’arrêtais pas, même quand il me disait avoir faim, vouloir plus. Qu’ils nous surprennent! Je ne fais que me soumettre aux désirs du Grand Maître. Aux miens aussi… Mais personne n’avait à savoir.
Syrus nous faisait changer de place et je ne résistais pas. Je posais mon regard dans le sien, mes yeux brillants de désir. Je le laissais user de sa créativité et prendre les rênes. Après tout, j’avais l’habitude de diriger et d’avoir des idées, c’était donc rafraîchissant de me laisser guider. Il m’allongeait sur le bureau. Ma robe remontait un peu sur mon corps alors que les mains curieuses de Syrus taquinaient mon épiderme. Il s’amusait de mes réactions, je le comprenais à sa manière de me toucher et cela était loin de me déplaire. Qu’il se régale de mes réactions! Par-dessus ma lingerie, il me touchait dans le seul but de me frustrer et de me faire gémir. Il réussissait évidemment, car je commençais à vouloir plus : plus de touchers, plus de contacts directs sur ma peau… Je voulais tout.
Il faisait glisser mon sous-vêtement et je redressais un peu la tête pour l’observer. Séduisant et habile, le voir prendre le temps de dévorer mon intimité était un plaisir pour les yeux. Sa langue explorait mon corps et, instinctivement, l’une de mes mains venait caresser ses cheveux. Quand il ajoutait ses doigts à sa langue, je gémissais plus fortement. Mon bassin basculait pour aller à sa rencontre. Mon corps décidait pour moi.
C’était agréable de ne pas avoir à diriger ou guider. Syrus semblait savoir ce qui me plaisait sans que j’aie à parler. Mes doigts se serraient dans ses cheveux après un moment, pour l’empêcher d’arrêter, car je sentais qu’il me ferait jouir. Je murmurais son prénom à quelques reprises, entre deux souffles. Et je me laissais submerger par le plaisir, mon corps entier tremblant d’un premier orgasme qui me donnait encore plus envie qu’il ne me délivrait réellement. Après avoir repris mon souffle, je lui rendais sa liberté et lui lançais, essoufflée :
« Tu sais que je suis insatiable quand ça commence… J’ai du mal à arrêter. »
Mes pieds retrouvaient le sol et je le fixais, tout près de lui.
« Déshabille-moi, Syrus. Cette robe entrave mes mouvements. »
C’était faux. La robe était si courte qu’elle n’obstruait pas mes mouvements. J’avais simplement envie de ses mains sur moi, de le voir m’effeuiller. Et quand ce fut fait, je m’agenouillais devant lui, les paumes sur le devant de ses cuisses après avoir détaché le bouton de son pantalon. De ma langue et mes dents, je descendais la fermeture éclair. Ma langue léchait la bosse qui s’était cachée dans son vêtement, toujours prisonnière de son sous-vêtement. Je lui rendais la monnaie de sa pièce, en quelque sorte. D’une main, je descendais son sous-vêtement et je lui faisais terminer sa course, accompagné de son pantalon, qu’une fois à ses chevilles. Ma bouche s’ouvrait doucement pour accueillir son sexe gonflé et ma langue jouait sur toute sa longueur. Je prenais mon temps, pour découvrir ce qui lui plaisait ce soir. Quelles zones lui plaisaient davantage? Est-ce que je verrais son visage se crisper sous mes bons soins? J’en faisais une mission.
Après quelques minutes, je relevais mes yeux sur son visage, coincée entre lui et le bureau.
« Tu as envie d’imposer le rythme, Syrus? »
Je l’invitais tout bonnement à baiser ma bouche, alors qu’une fois ma question posée, je laissais sa verge glisser le plus loin possible sur ma langue, puis dans ma bouche et au fond de ma gorge. J’imaginais que ça ferait son petit effet.
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Sujet: Re: Le Grand Patron [PV Syrus] Dim 20 Nov - 14:02
Le Grand Patron
Sysie
TW :sexe
- AU LIPSTICK, VENDREDI 05 AOUT 2022 - Elle et moi ce n’était pas la première fois, ni la dernière d’ailleurs. Elle voulait que je me fasse pardonner ? Et bien, je ne vais pas me faire prier pour ça. Très vite, mes mains parcourent son corps, ce corps que je connais très bien et qui a le don de m’exciter et de bien me faire bander. En parlant de bander, mon super soldat est aux aguets et prêt à tirer. Tout contre mon torse, mes caresses lui arrachent de nombreux soupirs. La sentant bouger contre moi eut rapidement la réaction escomptée. Très vite, nous échangeons nos places, l’allongeant sur le bureau, lentement je remonte sa robe le long de son corps. Je sens sa peau frissonner de plus belles sous mes mains. Mes doigts viennent jouer sur son intimité par-dessus le tissu de sa petite culotte. Je sais comment rapidement la faire grimper et cela m’amuse car je sais qu’il ne va pas lui falloir longtemps pour qu’elle m’en demande plus. Mains de chaque côté de ses hanches, je fais glisser son sous-vêtement tout en la regardant dans le blanc des yeux. Je me mordille la lèvre inférieure en voyant son intimité que je vais me faire un plaisir de lécher avec passion. Je viens me glisser dans son entre jambe et commence mon opération. Quelques minutes passent avant que je ne sente sa main venir glisser dans mes cheveux. Ses gémissements commencent à se faire entendre, heureusement que mon bureau est parfaitement insonorisé. Mes doigts viennent s’ajouter à ma langue experte qui la fait frémir et gémir de plus belle. Je sens son bassin basculer pour aller à mon encontre.
Je ne peux sourire quand elle gémit à plusieurs reprises mon prénom, me prouvant que je suis entrain de faire un très bon boulot. Après tout avec le perfect combo doigt/langue, cela ne peut que fonctionner. Quoi que certains connaissent l’astuce et arrivent à merder quand même. Son corps tremble de plus en plus, je lui donne un premier orgasme, sentant sa cyprine coulait, je n’en perds pas une seule goutte et continue encore quelques secondes. Celle-ci finit par me libérer et je me lèche les lèvres, savourant son gout. Je la regarde le sourire aux lèvres quand elle me dit qu’elle est insatiable quand ça commence, qu’elle a du mal à s’arrêter. Je viens l’embrasser tendrement et viens lui murmurer au creux de l’oreille. – Je sais, chérie et ce n’est que le début … Alors que ses pieds retrouvent le sol, elle me demande de la déshabiller, cette robe entravant ses mouvements. Sans perdre une seconde de plus, je m’exécute et je viens faire tomber cette robe qui se retrouve sur le sol. – Tu es vraiment magnifique, Rosie. Ce serait mentir de dire le contraire, elle avait un corps parfait, une silhouette parfaite.
Je vois son regard, je connais ce regard, ce regard de petite coquine qui s’apprête à s’occuper de moi. La laissant faire, je la regarde s’agenouiller devant moi, les paumes de ses mains sur le devant de mes cuisses, elle détache le bouton de mon pantalon. Un nouveau sourire apparait aux coins de mes lippes, quand je la vois avec ses dents et sa langue descendre la fermeture éclair. Sa langue lèche la bosse qui est enfermé dans mon boxer et qui ne demande qu’à être libérée. Sa main vient descendre mon pantalon et boxer en même temps, libérant mon sexe bien dur. Il finit quelques secondes après par disparaitre entre ses lèvres, sa bouche engloutit ma verge. Je sens sa langue jouer sur toute la longueur, qui me fait frissonner. Rosie est une des meilleures qui a eu la chance de s’occuper de ma queue. Elle prend son temps, je sais qu’elle veut faire les choses parfaitement et je ne suis jamais déçu avec elle. Je savoure cette gâterie qu’elle me fait, qu’elle me fait si bien, son regard vient se plonger dans le mien avant qu’elle ne me demande si je veux imposer le rythme. Un nouveau sourire sur les lèvres, je comprends très bien ce qu’elle veut, que je lui baise sa bouche et sans attendre, je m’exécute, m’enfonçant encore plus loin dans sa gorge, appuyant derrière sa tête. Je lime sa bouche encore et encore sans pour autant l’étouffer. – Oh putainnnn que c’est… hummm … si bonnnn, dis-je en lâchant un long gémissement.
WebName : barbotine Date d'inscription : 02/06/2022 Messages : 237Surnom : Rosie Avatar & crédits : Alessandra Ambrosio Date de naissance : 05/05/1982 Age : 42Statut civil : Divorcée Occupation : Responsable de la partie libertine du Lipstick, réalisatrice de films pour adultes
Sujet: Re: Le Grand Patron [PV Syrus] Dim 27 Nov - 19:07
Le Grand Patron
**TW: sexe**
Allongée sur le bureau, je ne pouvais que me laisser transporter par les attentions habiles de Syrus. Pour se rattraper, de m’avoir fait voir la torture du client, mon patron savait quoi faire. En fait, je lui aurais probablement tout bonnement demandé de me prendre contre son bureau, sans aucun contexte, qu’il l’aurait fait. J’étais peut-être la responsable du libertinage au Lipstick, mais il était le roi des excès, luxure incluse. Nous étions drôlement bien assortis.
Syrus parvenait à empêcher mon esprit de vagabonder trop loin. Un amant de choix, il allait sans dire. Sa bouche ou ses doigts ou les deux, il ancrait mon esprit bien solidement dans mon corps et je ne pouvais que subir ses attentions divines. Il ne devait pas être surpris de me voir jouir si rapidement, puisqu’il connaissait désormais très bien mon corps. Je ne le laissais toutefois pas continuer longtemps, voulant lui rendre la monnaie de sa pièce.
Debout contre lui, je lui demandais de me dévêtir et il obéissait, admirant ce que je cachais sous ma robe. Le soutien-gorge qui mettait mon corps en valeur était sombre, le tissu léger qui laissait entrevoir ce qu’il voulait cacher. Syrus me complimentait et je lui offrais un sourire plutôt confiant et séducteur. Les hommes semblaient toujours sous le charme de ma silhouette et je ne m’en plaindrais jamais.
Je me mettais à genoux et j’entreprenais de le débarrasser de son pantalon et sous-vêtement. Ma langue partait à la découverte de son membre tendu. Ma bouche dévorait, explorait et enregistrait ce qui lui faisait plus plaisir. Mes yeux se posaient sur son visage avant que je ne lui propose d’installer le rythme. Le maître ne se faisait pas prier. Ses mains trouvaient ma tête, son bassin s’activait à ma plus grande joie. Mes doigts s’agrippaient à ses fesses et mes yeux ne quittaient pas son visage. Je voulais voir le plaisir s’imprimer sur lui et il l’articulait en plus. Quelques mots étaient suffisants. Je gémissais contre sa verge, laissant les vibrations de mes cordes vocales ajouter de l’huile sur le feu.
Je le laissais baiser ma bouche un moment, assez pour le voir près de la jouissance, puis je l’interrompais, jouant les innocentes. Le toisant, je retirais lentement mon soutien-gorge, confiante. Puis, je jetais mon dévolu sur lui. Bouton après boutons, je détachais sa veste, puis sa chemise. Je voulais le voir nu comme moi. Mes yeux caressaient sa peau tout comme mes doigts. Je lui prenais la main et l’attirais vers son fauteuil où je le forçais à s’assoir. Je me glissais sur lui, lui faisant dos, les pieds au sol. Je trouvais ses mains et les posais sur ma taille alors que je descendais sur son sexe en gémissant fortement. Déjà bien excitée, il n’était pas difficile de continuer ma descente jusqu’à ce qu’il soit entièrement en moi. Je restais immobile un moment, reprenant mon souffle et appréciant la sensation. Puis je commençais à bouger contre lui. De bas en haut, lentement, mais toujours le plus profondément possible. Mon corps frissonnait de plaisir.
« Caresse mon corps Syrus, j’ai besoin de ça. »
Je n’avais pas l’habitude de me gêner pour demander ce qui me plaisait et je ne ferais pas exception avec mon patron. Il était peut-être le roi des excès, mais j’étais la reine de la luxure et je demandais satisfaction.
lumos maxima
Syrus Payns
WebName : Geitgets Date d'inscription : 11/02/2022 Messages : 682Avatar & crédits : Tom Ellis (Geitgets) Date de naissance : 20/08/1982 Age : 42Statut civil : Célimarié au plaisir charnel Occupation : Patron du club "Lipstick" / Grand Maître Habitation : Villa au Pacific Beach Rivalités : Black Templar (Secte)
Sujet: Re: Le Grand Patron [PV Syrus] Mer 22 Mar - 11:58
Le Grand Patron
Sysie
**TW : Sexe*
- AU LIPSTICK, VENDREDI 05 AOUT 2022 - La voilà allongée sur le bureau, m’occupant d’elle comme je sais tant le faire. Le corps féminin renferme tellement de secrets mais j’en connais une bonne partie et je sais comme la faire réagir, je sais comment lui faire atteindre rapidement une multitudes de sensations, de plaisir. Me glissant entre ses jambes, je m’occupe de son fruit défendu pour son plus grand plaisir et le mien. Pendant plusieurs minutes, j’entends ses gémissements de plus en plus fort, sentant même son corps vibré de plus belles sous ma langue joueuse et talentueuse. Très vite, nos places sont échangées et je souris quand je me retrouve debout, Rosie à quatre pattes, devant ma queue bien dressée, fièrement dressée prête à être dévorée entièrement. Un frisson me parcourt le corps quand je sens sa langue partir à la découverte de mon sexe. Très vite, elle engloutit, la dévorant à pleine bouche, mon regard vient plonger dans le sien. Il n’y a pas à dire, elle est vraiment experte et elle fait partie des meilleures femmes qui ont eu la chance de me sucer. Elle prend vite le rythme et sait très bien comment j’aime qu’on me fasse plaisir. Mes mains viennent se poser derrière sa tête, je lui donne des coups de reins, baisant sa bouche. Je sens ses mains agrippé mes fesses.
Le plaisir monte très vite et s’en apercevant, elle se stoppe tout en faisant un air de pure innocence. Un sourire malicieux s’affiche aux coins de mes lèvres, je la regarde retirer son soutien-gorge, lentement, doucement, elle retire bouton après bouton de ma veste, puis ma chemise. Très vite, nous sommes sur un pied d’égalité dans nos tenues d’Adam & Eve. Sentir sa main caresser ma peau me fait encore plus bander, je la dévore des yeux tout comme elle me dévore des yeux. Sa main glissant dans la mienne, elle m’attire vers le fauteuil et me pousse pour que j’y prenne place. Elle se glisse sur moi, me faisant dos, elle saisit mes mains, les posant sur sa taille, elle descend sur mon sexe tout en gémissant. Dur comme un roc, elle glisse facilement, faisant disparaitre mon bâton du Diable totalement en elle. Elle commence à bouger sur moi, de bas en haut, le plaisir monte à nouveau. Elle me demande de la caresser, elle en a besoin. Sans perdre une seconde de plus, je m’exécute. Je caresse son corps, prenant un sein en main, mon autre main vient sur sa gorge, je viens l’embrasser à pleine bouche, jouant avec sa langue. Elle sait ce qu’elle veut et même si je suis le boss, j’aime lui donner le plaisir qu’elle souhaite tout comme elle aime me donner celui que je veux. Elle glisse sur ma verge, s’enfonçant de plus en plus, elle accélère, ses gémissements se faisant de plus en plus entendre. Je sens sa peau frissonnée de plus belle, je n’ai pas lâché sa gorge, j’aime comment elle me dit qu’elle en veut plus, et comment elle cite mon nom dans une excitation des plus hot.
WebName : barbotine Date d'inscription : 02/06/2022 Messages : 237Surnom : Rosie Avatar & crédits : Alessandra Ambrosio Date de naissance : 05/05/1982 Age : 42Statut civil : Divorcée Occupation : Responsable de la partie libertine du Lipstick, réalisatrice de films pour adultes
Sujet: Re: Le Grand Patron [PV Syrus] Lun 1 Mai - 19:17
Le Grand Patron
**TW: sexe**
Le corps de Syrus en était un que je connaissais bien. Nous n’en étions pas aux premiers rapprochements, même si je lui avais refusé d’abord, l’ayant connu à l’époque où j’étais mariée à Tommy. Ce dernier n’aurait jamais accepté que je sois volage et je le comprenais. Le plus difficile dans tout cela pour Thomas était surtout le monde criminalisé dans lequel je baignais. Après mon divorce, j’acceptais donc de laisser Syrus découvrir mon corps. Et moi, d’explorer le sien.
C’était une vision délectable. Il était beau et son regard sombre et intense créait une série infinie de frissons chez moi. Je le laissais prendre les rênes un moment, ses mains contre ma tête et j’en frémissais de plaisir. Retrouver le corps du patron avait quelque chose de divin. Comme si en posant ces gestes, nous étions en parfait accord avec nos croyances. Le plaisir des sens, l’abandon du corps… La Grâce nous tombait dessus comme sur une sculpture de la Renaissance.
Je le repoussais doucement quand je sentais qu’il allait peut-être perdre pied, le plaisir atteignant des sommets sans retour. Pas question de terminer cela ainsi et j’avais envie de lui montrer mon petit côté directif. Histoire de lui montrer de quoi j’étais capable. Je le faisais s’assoir et descendais sur lui. Je lui donnais des directives, lui demandais de me caresser alors que je nous unissais encore et encore, vibrant de désir.
Ses mains sur mon corps m’électrisaient. Une main sur un de mes seins, l’autre sur ma gorge. J’aurais voulu fusionner avec son corps et qu’il ne cesse jamais de me toucher. Le baiser qu’il venait chercher me faisait gémir sourdement et je me contorsionnais pour poser une main sur lui. Il ignorait à quel point c’était bon pour moi. Je soupirais son prénom dès qu’il rendait la liberté à mes lèvres, dans un souffle court, à voix basse, comme si quelqu’un pouvait nous surprendre. Il y avait quelque chose de très intime à cet échange. Peut-être l’ambiance feutrée de son bureau… Ou de comment nous nous dévorions du regard?
Il n’avait de cesse de me toucher, maintenant ma gorge dans sa paume alors que j’étirais mon cou comme pour m'y lover davantage. Mon corps se crispait, emporté par une vague de plaisir sans équivoque; je jouissais pour lui, grâce à lui. Glorieuse vision, en tous cas, c’est ce que j’imaginais. L’extase de… définitivement pas la Sainte Vierge. Disons l’extase de la déesse mexicaine du plaisir? C’était plus crédible.
Je restais empalée sur lui, mais j’avais stoppé mes mouvements un moment pour reprendre mon souffle que j’étouffais ensuite dans un baiser langoureux.
« Prends-moi sur le bureau, je veux voir le plaisir sur ton visage. »
Mon front s’appuyait sur le sien, mon corps était tremblant, je me sentais alourdie par les sensations de bien-être qui m’envahissaient. Je prenais la main qu’il ne posait pas sur ma gorge et lui faisait caresser mon ventre lentement, langoureusement. La chair de poule parcourait mon corps. Cette intensité qui nous habitait venait-elle de ce qui s’était passé juste avant? Ou était-ce parce que nous aimions nous retrouver ainsi?
lumos maxima
Syrus Payns
WebName : Geitgets Date d'inscription : 11/02/2022 Messages : 682Avatar & crédits : Tom Ellis (Geitgets) Date de naissance : 20/08/1982 Age : 42Statut civil : Célimarié au plaisir charnel Occupation : Patron du club "Lipstick" / Grand Maître Habitation : Villa au Pacific Beach Rivalités : Black Templar (Secte)
Sujet: Re: Le Grand Patron [PV Syrus] Mer 2 Aoû - 19:02
Le Grand Patron
Sysie
- AU LIPSTICK, VENDREDI 05 AOUT 2022 - Son corps est tellement divin. Nombreuses sont passées par mes coups de reins mais Rosie, elle fait partie des meilleures. Elle n’a pas succombé tout de suite à l’époque où j’ai fait sa connaissance, elle était mariée à ce Thomas, un petit propriétaire d’une distillerie de whiskey. Mais une fois le divorce prononcé, elle n’a pas entendu longtemps pour passer entre mes draps de soie. Au final, l’attente a valu le coup. J’aime prendre les rênes mais parfois je laisse ma partenaire les prendre, tout dépend la situation. Je sens sa peau frémir sous mes mains. Doucement, elle finit par me repousser et je comprends très vite qu’elle veut diriger, c’est le sourire aux lèvres que je la laisse faire. Elle me fait donc m’assoir et descends sur moi, tout en me donnant les directives. On sent qu’elle est plus souvent derrière la caméra que devant. Je la caresse à sa demande alors qu’on s’unit à nouveau encore et encore. Je sens son désir dans tout son corps, une main sur son sein, l’autre à sa gorge, je viens lui chercher un baiser endiablé. L’entendre soupirais mon prénom m’excite encore plus et me donne envie d’y aller encore plus fort.
Je sens sa peau frissonner de plus belle à chaque fois que je la touche, sa gorge toujours dans la paume de ma main, elle s’y love davantage. Je sens son corps se crispait à chaque glisse, je sens qu’elle se resserre autour de son sexe, elle jouit une première fois, sentant sa cyprine coulait le long de mon membre. Elle reste sur moi, empalé sur mon pieu du Diable, récupérant son souffle, elle vient m’embrasser langoureusement. Un large sourire apparait sur mes lippes quand elle me demande de la prendre sur le bureau, voulant voir le plaisir sur mon visage. Son front contre le mien, je sentais son corps encore tout tremblant par le plaisir, elle prend ma main et la pose sur son ventre, le caressant lentement. Sa peau continue de frissonner de plus belle. Quittant le siège où nous sommes, je l’allonge dos sur le bureau et lui écarte les jambes tout en la caressant. Prenant ma queue qui n’a pas faiblit en main, je viens jouer à l’entrée de son intimité avant de m’y enfoncer à nouveau. Commençant les vas et viens, je l’entends gémir à nouveau doucement. Je ne la quitte pas du regard, plongé dans ses yeux. C’est tellement bon de se retrouver là. Cela faisait un moment qu’on n’avait pas couché ensemble mais le plaisir intense, l’intensité de nos rapports sont toujours des plus hots. Ma langue vient jouer avec son téton que je mordille tandis que je continue mes coups de reins sous ses gémissements qu’elle retient comme si elle avait peur qu’on l’entende à l’extérieur du bureau.
WebName : barbotine Date d'inscription : 02/06/2022 Messages : 237Surnom : Rosie Avatar & crédits : Alessandra Ambrosio Date de naissance : 05/05/1982 Age : 42Statut civil : Divorcée Occupation : Responsable de la partie libertine du Lipstick, réalisatrice de films pour adultes
Sujet: Re: Le Grand Patron [PV Syrus] Mer 23 Aoû - 17:18
Le Grand Patron
**TW: sexe**
Faire partie des Templiers Noirs était un tournant important dans ma vie. J’y avais trouvé ma voie professionnelle, mais aussi une dévotion certaine à nos croyances. J’avais vu Syrus grimper en haut de l’échelle de notre groupe. Et quel honneur m’avait-il fait en me nommant chevalier par la suite! C’était plus que je n’avais espéré dans tous les scénarios qui se déroulaient dans ma tête. C’était un signe de respect et de confiance.
Comment expliquer quel privilège cela était de partager un moment charnel avec le Grand Maître! C’était une preuve de ma ferveur envers notre organisation et nos croyances. C’était toucher au divin. Une marée d’euphorie. Il n’allait pas sans dire que Syrus était, en plus de son rang, un homme séduisant et attirant pour lequel je vouais une affection au-delà de son rang. Nous avions trouvé notre place parce que nous l’avions mérité. Je l’avais vu devenir puissant. J’étais heureuse d’avoir pu être témoin de cette ascension.
Intérieurement, je souhaitais que Syrus idolâtre mon corps et qu’il cède à mes charmes le plus souvent possibles. Une façon de souder notre confiance mutuelle, en quelque sorte. Et des sensations à faire crisper mes orteils étaient un heureux point bonus. Je voyais le sourire de Syrus s’étirer alors que j’étais toujours bien empalée sur lui, mais que je lui demandais de m’allonger sur le bureau. Je voulais voir son visage. Il était vraiment que j’aurais pu tout simplement exiger qu’il se couche sur le dos sur le plancher de son bureau afin de le chevaucher et d’admirer son corps se tendre de plaisir, mais c’était moins glorieux pour un Grand Maître. Je lui laissais donc le loisir de reprendre un peu les rênes. Je me retrouvais donc le dos allongé sur le bureau, mon corps allant à la rencontre de ses mains qui me caressaient. Chaque millimètre de mon corps semblait en feu et si sensible à son contact. Nous rendions hommage aux préceptes de notre Ordre en succombant au plaisir.
Syrus jouait de mon désir et de ma patience en me faisant languir. Je poussais un gémissement un peu frustré, mais il s’enfonçait finalement en moi, transformant ma vocalise en soulagement. Mon corps s’arquait sous ses assauts, la chair de poule parcourait ma peau en entier. Il se penchait sur moi pour malmener ma poitrine de ses dents et sa langue, me faisant gémir de plus en plus, toujours dans un certain degré de discrétion. Comme si je souhaitais que lui seul puisse être témoin de mon plaisir. Encore une offrande au Grand Maître.
Je poussais un peu sur son épaule pour le faire reculer un peu. Une de mes mains venait ensuite caresser son visage au-dessus de moi, l’admirant clairement pendant qu’il continuait de me prendre vigoureusement. Mon autre main glissait sur son abdomen, laissant mes ongles tracer de fines lignes sur sa peau. Le plaisir était difficile à contenir, alors je ne m’y forçais pas. Je me redressais, accoudée sur l’un de mes bras, passant l’autre autour de ses épaules et son cou et le forcer à m’embrasser alors que je poussais une série de petits cris de plaisir.
« Quelle belle idée d’être venue dans ton bureau ce soir. » Lui disais-je avec un sourire en coin déformé par l’extase de nos ébats.
lumos maxima
Syrus Payns
WebName : Geitgets Date d'inscription : 11/02/2022 Messages : 682Avatar & crédits : Tom Ellis (Geitgets) Date de naissance : 20/08/1982 Age : 42Statut civil : Célimarié au plaisir charnel Occupation : Patron du club "Lipstick" / Grand Maître Habitation : Villa au Pacific Beach Rivalités : Black Templar (Secte)
Sujet: Re: Le Grand Patron [PV Syrus] Sam 2 Sep - 11:54
Le Grand Patron
Sysie
- AU LIPSTICK, VENDREDI 05 AOUT 2022 - Je me souviendrais toujours de notre première rencontre, quand je n’étais encore qu’un templier. Je l’ai vu évoluer comme elle m’a vu évolué, grimpant les échelons, de Chevalier à Grand Maitre. Alors quand j’ai dû choisir mes cinq Chevaliers, il était certain qu’elle devait avoir sa place parmi eux. Je vois encore son visage quand je lui ai proposé de monter en grade. C’était un honneur pour elle de faire parti de mes Chevaliers. La faisant monter à ce stade, elle comprend que j’ai un grand respect pour elle et une grande confiance. J’ai confiance en mes chevaliers de toute manière sinon je ne les aurais pas choisis. Nos rapports ont vite évolué, nous avons commencés à coucher ensemble toujours dans le respect que je n’ai pas forcément avec une pute qui me sert à me vider mes couilles. Je n’irai pas jusqu’à qualifier Rosie de divine déesse (du moins pas devant elle, je ne veux pas qu’elle prenne la grosse tête) mais elle a des atouts qui ne la laisse pas sur le banc de touche bien au contraire. Il est difficile de ne pas lui céder, de ne pas céder à ses charmes, à sa beauté, à ce corps qui ferait bander même un impuissant.
Lui donner du plaisir quand on couche ensemble est une chose essentielle et je sais qu’elle aime quand je lui fais l’amour mais aussi quand je suis plus bestiale. La sentir sur ma verge bien dressé, la regardait prendre du plaisir, gémir de plus en plus fort, une chance que le bureau soit insonorisé, sinon je pense que tous les employés nous entendraient même si ce n’est pas un souci notoire pour moi. A sa demande, je l’allonge sur le bureau, je la fais languir un petit peu puis reprends les rênes en venant m’enfoncer à nouveau en elle, reprenant mes vas et vient. J’entends le son de sa voix changer, transformant sa vocalise en soulagement. Je lui donne des bons coups de reins, accélérant, ralentissant pour la faire grimper encore plus. Me penchant, je viens jouer avec ma langue sur ses tétons bien durs. Elle gémit de plus en plus, je sais ce qu’elle aime alors je ne me fais pas prier pour la satisfaire. Je sens qu’elle me pousse légèrement de sa main, son autre main vient caresser mon visage, je continue de la prendre bien fort. Je la sens se redresser, un bras accoudé sur le bureau, l’autre autour de mon cou, elle m’embrasse langoureusement, elle étouffe ses petits cris de plaisirs. Je souris quand elle me dit que c’est une bonne idée d’être venue dans mon bureau ce soir. – Je confirme et puis cela faisait un petit moment, nos rapports m’ont manqué, je dois bien l’avouer mais chut. Je lui fais un clin d’œil tout en souriant. Je continue encore plus fort, je sais qu’elle va bientôt venir, je sens son corps en sueur et tremblant par l’extase. « Ce que j’aime cette vie, ce que j’aime être un Grand Maitre. Profitez du corps de toutes ces femmes qui sont sous ma coupe, je crois qu’une vie monotone ne me comblerait pas. Je suis fier d’être un Black Templar, un sang pur. »
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Sujet: Re: Le Grand Patron [PV Syrus] Lun 16 Oct - 23:57
Le Grand Patron
**TW: sexe**
Étendue sur un bureau peut sembler une position inconfortable, mais cela est un détail bien mineur quand il s’agit du bureau de son patron. Surtout quand le patron est sexy en diable. Peut-être était-ce le syndrome de la bonne élève, mais j’aimais m’accaparer l’attention du patron. Me prendre pour sa favorite l’histoire d’un instant, d’un soir ou d’une nuit. Je voulais le voir céder au désir et se repaître de mon corps bouillant pour lui.
Il s’agissait aussi d’une fusion presque divine. Le plus près possible de la perfection selon les préceptes de notre Ordre. Pouvais-je être plus près du ciel qu’à ce moment? Le Grand Maître au-dessus de moi, en moi, sur moi… Cette pensée étourdissait mes sens et me plongeait dans un état de béatitude difficile à décrire pour un non-initié. Je n’aimais peut-être pas la violence dans notre Ordre, mais j’adorais comment notre regroupement encourageait le plaisir.
Allongée sous Syrus, j’ondulais doucement sous ses coups de bassin, tendue, sensible et parcourue de chair de poule. Il savait comment me toucher, comment bouger, afin de me faire perdre la tête. Ses mouvements se faisaient de plus en plus forts et puissants et je le forçais à se pencher sur moi. J’avais besoin de ses lèvres.
J’arquais mon dos, envahie par les sensations de plus en plus intenses. Je collais mon front contre le sien. Une pensée furtive traversait mon esprit. De femme au foyer, j’étais devenue une vraie déesse de luxure. Mon pauvre ex-mari ne savait pas ce qu’il manquait. Je ne restais jamais sur ma faim, toujours satisfaite par un homme quand j’en ressentais le besoin ou l’envie. Thomas détestait Syrus à l’époque et me retrouver dans ce bureau lui donnait raison. Il m’avait reproché jadis d’être trop proche de ce templier… Que penserait-il désormais?
Les mots de Syrus peignaient un sourire sur mes lèvres. Nos ébats lui avaient manqué. En guise de réponse, je mordillais doucement sa lèvre inférieure. Comment ne pas s’ennuyer d’un tel homme dans un échange aussi sensuel?
« Alors, ne me laisse pas quitter ce bureau avant le petit matin, Syrus. »
Je serrais mes cuisses contre lui, m’alanguissant un instant avant de me redresser subitement, pris d’un orgasme délicieux et fulgurant. Mon corps tremblait de plaisir et je haletais pratiquement tellement j’en avais perdu le souffle. Je murmurais son prénom entre deux expirations, cherchant l’une de ses mains à tâtons pour saisir ses doigts et les apporter à ma bouche pour les embrasser doucement.
« Comment te remercier de me faire toucher le ciel à chaque fois? »
Je ne libérais pas ses doigts et les promenais plutôt le long de mon corps, sur mon cou, entre mes seins, sur mon ventre, mais stoppais leur course avant de tomber entre mes cuisses avec un sourire charmeur à son égard. Je le fixais, les yeux probablement brillants de fatigue et de plaisir.
« Je trouve que tu te contrôles beaucoup trop… Où est le plaisir, la déchéance, Grand Maître? »
Je libérais ses doigts et de ma main de nouveau vide, je laissais courir mes ongles pour parcourir son torse et y laisser de fines traces rouges. Il était à moi ce soir, comme j’étais à lui.
lumos maxima
Syrus Payns
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Sujet: Re: Le Grand Patron [PV Syrus] Ven 1 Déc - 16:16
Le Grand Patron
Sysie
- AU LIPSTICK, VENDREDI 05 AOUT 2022 - Je ne compte plus le nombre de conquêtes depuis que j’ai couché la première fois et perdu mon pucelage. J’ai eu des bons coups, des mauvais, quelques-unes qui sont sorties du lot et qui m’ont fait des choses que je ne pouvais pas imaginer possible. Non je ne vous ferai pas de dessin, ne demandez pas. Rosie fait partie de ce lot exceptionnel qui ont su sortir leur épingle du jeu et qui le font bien. Ce n’est pas la première fois ni la dernière que je vais m’envoyer en l’air avec elle et c’est toujours aussi bon, voir meilleur à chaque fois. C’est là que je me dis que son ex-mari a vraiment perdu gros dans l’affaire, une femme comme elle à ses côtés, il ne faut surtout pas la perdre. Il est rare de trouver une divine créature comme elle aux multiples talents.
Allongé sur le bureau, Rosie me dévore des yeux entre ses gémissements de plaisirs et mes coups de reins intenses. Je la sens onduler sous mes coups de reins, je peux sentir sa peau être parcourue de frissons, de la chair de poule. Depuis le temps qu’on couche ensemble, je sais ce qu’elle aime, je sais comment la faire vibrer, la faire jouir et la rendre folle de désirs pour ma personne. Je continue de la limer, venant capturer ses lèvres dans un baiser des plus chauds et torrides quand celle-ci m’attire vers elle. Je sens qu’elle arque son dos, envahi par le plaisir que je lui procure qui sont de plus en plus intenses à chaque coup de reins. Elle colle son front contre le mien. Je la vois sourire quand je lui confie que nos ébats m’avaient manqué. Il est vrai que cela faisait un moment qu’on ne s’était pas fait plaisir ensemble et qu’il était temps d’y remédier et c’est exactement ce qu’on était entrain de faire. Elle mordille alors ma lèvre inférieure avant de répondre de ne pas la laisser quitter ce bureau avant le petit matin. Je souris en la regardant droit dans les yeux. – Marché conclu, ma douce Rosie. Ça va être toi et moi tout la nuit dans mon bureau. Et le bureau n’est que le début… Il y a d’autres coins et meubles, ajoutais-je en lui faisant un clin d’œil. Je viens reprendre ses lèvres tout en reprenant mes vas et vient en elle. Mes lèvres glissent dans son cou peu à peu, je la mordille laissant ma marque de dents sur sa peau.
Je sens ses cuisses se resserrer contre moi, elle se redresse subitement, je comprends qu’elle a un premier orgasme, son corps en tremble de plaisir, le souffle haletant. Elle cherche ma main à tâtons pour saisir mes doigts, l’apportant à sa bouche pour les embrasser doucement. Je souris alors qu’elle me demande comment elle peut me remercier de lui faire toucher le ciel à chaque fois comme je le fais. – En restant toi-même ma douce Rosie et t’occupant de moi quand je le souhaite ou quand tu le désires. Elle ne lâche pas mes doigts, les faisant se promener sur son magnifique corps, sur son cou, entre ses seins, sur son ventre mais stoppe à ce niveau. Elle me fixe avec son sourire charmeur dont aucun homme ne peut résister. Elle m’avoue que je me contrôle beaucoup trop et me demande où est le plaisir, la déchéance, Grand Maitre. Un large sourire sur mes lèvres avant que je prenne la parole. – Elle arrive ma belle, et tu sais que la nuit est loin d’être terminée. Libérant mes doigts, je sens ses ongles parcourir mon torse, et je sens qu’elle laisse de fines traces sur ma peau.
WebName : barbotine Date d'inscription : 02/06/2022 Messages : 237Surnom : Rosie Avatar & crédits : Alessandra Ambrosio Date de naissance : 05/05/1982 Age : 42Statut civil : Divorcée Occupation : Responsable de la partie libertine du Lipstick, réalisatrice de films pour adultes
Sujet: Re: Le Grand Patron [PV Syrus] Dim 14 Jan - 21:26
Le Grand Patron
**TW: sexe**
Il me confirmait que nous pouvions continuer toute la nuit, m’arrachant un petit rire. J’aurais presque voulu qu’il fusionne avec moi afin de sentir le feu qui brûlait dans tout mon corps. Est-ce qu’un brasier lui torturait le ventre lui aussi? Il aurait été inutile de mentionner la nécessité de continuer jusqu’au lever du jour s’il avait pu ressentir à quel combien j’avais besoin de lui en ce moment. Ses yeux se posant sur moi avaient une lueur qui me plaisait beaucoup.
Un orgasme délicieux et un Grand Maître qui ne semble pas prêt de se fatiguer. Je laissais mes marques sur son torse à l’aide de mes ongles. Je pouvais bien jouer les possessives pour une nuit, non? Il n’avait pas trop l’air de s’en plaindre non plus! Le bureau semblait soudainement trop dur et froid. Il me disait que la déchéance arriverait, mais j’étais impatiente.
Je me redressais complètement, l’embrassais fougueusement avant de me relever et lui faire quitter le brûlant étau qui protestait entre mes cuisses.
« Allons la chercher cette déchéance, Syrus. Je la veux maintenant. »
Je lui lançais sa chemise et son pantalon avant de renfiler que ma lingerie, puis son veston par-dessus, lui décochant un regard provocant et amusé. Le Lipstick était plus calme à cette heure de la nuit, même s’il n’était pas fermé. Nous pourrions passer dans la partie libertine du Lipstick sans problème et trouver une petite chambre bien plus confortable qu’un bureau lisse et dur. Je m’approchais du Grand Maître, passais ma main dans son pantalon pour placer sa verge raide contre son ventre avant d’attacher son bouton sans même regarder puisque j’étais bien trop occupée à mordiller l’ourlée de sa lèvre inférieure. Je prenais ensuite sa main pour le tirer dans la direction de mon choix.
« Suis-moi, Syrus. »
J’ouvrais la porte du bureau et passais devant les gardes alors que l’un d’eux semblait prendre un temps d’arrêt sur mes jambes nues. Il se ravisait, tentant de rester professionnel. Après tout, le Grand Maître faisait bien ce qu’il voulait. Je tirais encore un peu sur la main de Syrus, le collant contre mes fesses, frottant son érection qui devait être bien à l’étroit sur ma croupe.
Il restait encore du monde dans le Cabaret et la partie libertine du club, bien sûr, mais nous ne nous attardions pas. Je savais comment naviguer dans ma section du Lipstick pour éviter un maximum de regard et me rendre dans l’une des pièces privées. Je poussais une porte et nous faisais entrer avant de me retourner pour verrouiller derrière nous.
« Ce qui est bien de changer d’endroit comme ça, c’est le plaisir de pouvoir te déshabiller une seconde fois. »
Lentement, je détachais sa chemise, bouton par bouton en plantant mon regard dans le sien. Je laissais une de mes cuisses s’appuyer contre sa verge à travers son pantalon, m’assurant de garder tout son désir sur moi.
Les salons privés étaient tous équipés d’un canapé ou d’un fauteuil ainsi que d’un luxueux lit. Une armoire avec des accessoires était disponible ainsi qu’un petit chariot avec de l’alcool, des verres et tout le nécessaire pour se faire des cocktails. Je n’avais nul besoin de boire pour le moment, aussi je me dirigeais donc immédiatement vers l’armoire et ouvrais les portes. Il ne me fallait pas beaucoup de temps pour saisir l’objet que j’avais en tête. Je me retournais, faisant balancer une paire de menottes en équilibre sur mon index.
« Ma question est la suivante, Syrus : qui de nous deux portera cette paire de menottes en premier? »
lumos maxima
Syrus Payns
WebName : Geitgets Date d'inscription : 11/02/2022 Messages : 682Avatar & crédits : Tom Ellis (Geitgets) Date de naissance : 20/08/1982 Age : 42Statut civil : Célimarié au plaisir charnel Occupation : Patron du club "Lipstick" / Grand Maître Habitation : Villa au Pacific Beach Rivalités : Black Templar (Secte)
Sujet: Re: Le Grand Patron [PV Syrus] Dim 21 Jan - 22:12
Le Grand Patron
Sysie
M’envoyer en l’air avec Rosie est quelque chose de dingue quand même. Depuis qu’elle a divorcée, elle s’est totalement ouverte, et non il n’y aucun titre dans ma phrase. C’est comme si toutes ses inhibitions s’étaient envolées et qu’elle s’était libérée d’un poids. Ce poids était surement ce Thomas. Aujourd’hui, elle est plus épanouie car elle écoute ses envies et plus sa tête comme avant. Elle a gagné en expérience, j’ai pu le constater au fil de nos parties de jambes en l’air. Puis je sais aussi ce qu’elle aime, ce qui la fait vibrer et inversement. Lui indiquant que la nuit est loin d’être terminée, cela lui arrache un petit rire car je sais qu’elle est très gourmande. Je lui donne un premier orgasme, tout en sentant ses ongles entrer dans ma peau de mon torse. Elle aime me marquer, et je trouve ça excitant. De toute manière dans tout les cas, Rosie est bandante et elle peut le constater de ses propres yeux. Elle se redresse complètement, m’embrasse fougueusement avant qu’elle ne se relève. Elle me propose d’aller chercher cette déchéance et elle la veut maintenant. - Oh toi, tu as une idée précise en tête, je me trompe ?
Elle me lance ma chemise et mon pantalon avant de renfiler sa lingerie, puis mon veston qu’elle met par-dessus, elle me regarde avec ce regard provocant et amusé. Je sais qu’elle a une idée derrière la tête et ça va me plaire à coup sûr. J’enfile mon pantalon et ma chemise que je reboutonne vite fait. S’approchant de moi, je sens sa main glissée dans mon pantalon placer mon sexe bien dur encore contre mon ventre avant d’attacher le bouton. Je sens que le bouton ne va pas tenir longtemps. Elle mordille ma lèvre inférieure, elle finit par prendre ma main et m’attire à sa suite tout en me disant de la suivre. Je m’exécute, elle ouvre la porte de mon bureau, passant devant les gardes qui nous regarde. Rosie me tire par la main et je viens me coller contre elle, lui faisant bien sentir que ma queue est toujours bien raide et prête pour la suite. Elle connait vraiment les lieux par cœur et très vite, on se retrouve dans une des pièces privées. Poussant la porte, elle nous fait entrer et la verrouille derrière nous afin que personne n’entre et nous dérange. Je souris quand elle m’avoue que ce qui est bien de changer d’endroit comme ça, c’est qu’elle va avoir le plaisir de me déshabiller une nouvelle fois. – Humm effectivement, et nous sommes deux dans ce cas, ma beauté. Je la laisse déboutonner ma chemise, bouton par bouton tout en plongeant son regard dans le mien. Je sens sa cuisse venir s’appuyer contre mon sexe qui a du mal à rester enfermé et qui va devoir sortir tôt ou tard. J’ai envie de la prendre là maintenant encore et plus fort mais comme je l’ai dit, je sens qu’elle a une idée en tête. Je la regarde s’avancer vers l’armoire, l’ouvrir et y prendre un objet. Se retournant vers moi, elle me pose une question : qui de nous deux portera cette paire de menottes. Je laisse apparaitre un sourire machiavélique au coin de mes lèvres. – Hummm … Je m’avance vers elle et vient lui murmurer tout en lui les prenant. Je dirais toi, chérie … Tu es mienne … Ah moins que je me laisse attaché et que je sois ta chose de plaisir … Je viens mordiller son cou avant de venir l’embrasser à pleine bouche.
WebName : barbotine Date d'inscription : 02/06/2022 Messages : 237Surnom : Rosie Avatar & crédits : Alessandra Ambrosio Date de naissance : 05/05/1982 Age : 42Statut civil : Divorcée Occupation : Responsable de la partie libertine du Lipstick, réalisatrice de films pour adultes
Sujet: Re: Le Grand Patron [PV Syrus] Dim 3 Mar - 15:03
Le Grand Patron
**TW: sexe**
Si Syrus était le Grand Maître de notre organisation et mon patron au Lipstick, je demeurais quand même la reine de la partie libertine du cabaret. Les salons privés étaient donc un territoire familier pour moi. Je m’y sentais bien. Le club allait fermer bientôt, mais je savais qu’on ne nous dérangerait pas : personne ne dérange le Grand Maître, même pour procéder à la fermeture de l’établissement. Après tout, il devait bien posséder un trousseau de clés pour fermer derrière lui.
J’en étais à détacher la chemise de mon patron bouton par bouton quand l’idée d’intégrer un accessoire à notre petit jeu se concrétisait dans ma tête. Je lui posais la question : qui de nous deux se retrouverait entravé en premier? Il me prenait les menottes des mains avant de m’embrasser et je ronronnais sourdement, animée par l’anticipation et le désir que je portais au Grand Maître. Mes mains le délestaient complètement de sa chemise et je caressais son torse de mes paumes, appréciant son corps qui n’était que pour moi cette nuit.
C’est presque à regret que je rompais le baiser, mais je devais m’y soustraire si nous voulions continuer nos ébats. Je me reculais en le toisant, un sourire coquin sur les lèvres, les yeux pétillants. Il voulait que je porte les menottes en premier? Parfait, j’étais donc sa petite proie pour le moment. J’allais l’appâter et lui donner envie de profiter de mon entière dévotion. J’ondulais doucement sur une musique inaudible, conservant un rythme sensuel alors que j’abandonnais lentement le veston qui m’avait protégée sommairement de l’indécence sur le chemin entre son bureau et ce petit salon.
Je me retournais, lui laissant admirer mon dos et mon fessier, le temps de laisser glisser les bretelles de mon soutien-gorge de mes épaules, puis je revenais face à lui, d’une main, je dégrafais la pièce de lingerie, l’autre retenait les bonnets contre ma poitrine pour le faire languir encore un peu. Il devait mourir d’envie de me faire cesser cette vilaine torture, mais je voulais faire grimper sa frustration, histoire qu’il se déchaîne ensuite sur moi. J’abandonnais finalement mon soutien-gorge en lançant le morceau de tissu délicat sur le canapé avec le veston.
Puis je revenais contre lui pour détacher son pantalon. Je restais à sa hauteur, mais je ne l’embrassais pas, laissant mon nez frôler le sien, attisant davantage ce désir et cette tension palpables. Je faisais glisser la fermeture éclair, mais je m’arrêtais ensuite pour m’agenouiller et lui présenter mes poignets placés l’un contre l’autre.
« Peut-être serait-il temps de faire de moi ta petite chose Syrus… Menotte-moi. »
Je lui souriais. Comment faire autrement quand le Grand Patron passait du temps avec moi?
lumos maxima
Syrus Payns
WebName : Geitgets Date d'inscription : 11/02/2022 Messages : 682Avatar & crédits : Tom Ellis (Geitgets) Date de naissance : 20/08/1982 Age : 42Statut civil : Célimarié au plaisir charnel Occupation : Patron du club "Lipstick" / Grand Maître Habitation : Villa au Pacific Beach Rivalités : Black Templar (Secte)
Sujet: Re: Le Grand Patron [PV Syrus] Ven 15 Mar - 13:30
Le Grand Patron
Sysie
Coucher avec Rosie est un réel plaisir. C’est un mélange entre faire l’amour et baiser quand la température entre nous monte. Nos petites retrouvailles sont plaisantes à souhait et bien que cela est commencer assez soft comme toujours dans mon bureau, en changeant de lieu il est certain que nos câlins vont prendre une autre tournure un peu beaucoup plus hot. L’avantage d’être le Grand Maitre c’est que je peux avoir qui je veux quand je veux et cette nuit c’est elle. Mais à la vue de ses gémissements, elle ne semble pas être contre bien au contraire et je sais l’appétit qu’elle a, je sais aussi comment la rassasié. Quittant mon bureau, on se retrouve rapidement dans une des chambres. Ma bouche retrouve vite la sienne alors qu’elle déboutonne à nouveau ma chemise, bouton par bouton. Elle me pose une question alors qu’elle sort des menottes. Souriant, je lui prends l’objet de son fantasme et je l’embrasse de nouveau. Elle me retire complétement ma chemise, tout en caressant mon torse, puis mes abdos. Plusieurs minutes passent entre caresses et baisers langoureux, elle finit par le rompre, elle recule de quelques pas, tout en me regardant avec désirs et envies, le sourire coquin sur le coin de ses lèvres. Je sens ma queue reprendre en vigueur, prête à sortir à nouveau et qu’elle s’amuse avec.
Doucement, elle ondule sur la musique en fond qui est diffusé dans la chambre, je la regarde faire, elle est vraiment belle, séduisante, attirante, bandante. Elle fait tomber mon veston qu’elle avait sur les épaules le temps de traverser le couloir. Elle continue cette petite danse sensuelle puis se retourner, me laissant admirer son dos et son petit cul que j’aime et qui me donne envie. Elle fais lentement glisser les bretelles de son soutien-gorge avant de se retourner une nouvelle fois face à moi. Elle finit par le faire tomber après plusieurs secondes à me faire languir d’envie et d’excitation. Je peux le dire là je suis super excité et ce n’est pas l’amour que je vais lui faire, ça sera bien plus bestiale. Son soutien-gorge retiré et jeter à côté de mon veston, elle s’avance vers moi, je sens ses mains venir détacher mon pantalon. J’ai envie d’elle là maintenant mais je sais qu’elle fait exprès de faire monter mon envie et mon désir pour elle, elle sait vraiment comment faire et cela fonctionne.
Son nez frôle le mien, je sens sa main faire glisser la fermeture éclair puis elle se stoppe, s’agenouillant à mes pieds, elle me présente ses poignées tout en me disant qu’il serait peut-être tant de faire d’elle sa petite chose et me demande de la menotter. Le sourire aux lèvres, je la menotte, passant les bracelets de chaque côté de ses poignées. – Effectivement il est temps que tu sois tout à moi, que tu sois ma chose. M’abaissant et venant au creux de son oreille, je murmure à l’oreille en prenant une voix des plus sensuelles. – Prépares toi ma belle, je vais te baiser jusqu’à ce que tu n’en puisses plus. Je vais te faire crier toute la nuit. Tu m’appartiens … Ma main vient se poser autour de sa gorge et je viens mordiller sa lèvre inférieure. Me redressant, je quitte mon pantalon, me retrouvant nu à nouveau, ma queue fièrement dressée sous son nez. La prenant bien en main, j’approche mon gland devant ses lèvres, je le passe sur celles-ci doucement à plusieurs reprises. – Suce-moi, lui dis-je en lui donner l’ordre. Je glisse ma queue dans sa bouche, la laissant me sucer comme elle sait si bien le faire. Je sens sa langue me titiller, je me mords la lèvre tellement c’est bon.
WebName : barbotine Date d'inscription : 02/06/2022 Messages : 237Surnom : Rosie Avatar & crédits : Alessandra Ambrosio Date de naissance : 05/05/1982 Age : 42Statut civil : Divorcée Occupation : Responsable de la partie libertine du Lipstick, réalisatrice de films pour adultes
Sujet: Re: Le Grand Patron [PV Syrus] Sam 27 Juil - 21:46
Le Grand Patron
Théoriquement, je pense qu’il est facile de dire que les Templiers Noirs de San Diego appartiennent à Syrus Payns. Nous avons juré dévotion. Nous servons les intentions de l’Ordre. Donc, dis-je, nous nous plions à la volonté du Grand Maître.
Danser pour lui, m’effeuiller… Était-ce un acte de dévotion? Est-ce que je ne faisais pas que mon devoir? En lui livrant mon corps pour son bon plaisir, n’étais-je pas tout simplement en train de célébrer nos préceptes? Pratiquement nue devant la Grand Maître, n’était-ce pas une façon de montrer ma servitude? J’étais Chevalier de l’Ordre, je devais lui montrer que, encore plus que tous les autres, je lui étais fidèle. Dévouée.
Cependant, c’était bien plus que cela entre Syrus et moi. Avant le Grand Maître, j’avais connu Syrus. Nous avions confiance entre nous. Nous nous désirions depuis un moment. J’avais résisté. Par amour pour Thomas. Puis, divorcée, j’avais cédé. J’étais attirée par lui. Pas que pour la puissance du Grand Maître. J’aimais l’homme derrière. Ses yeux, son intellect… Son derrière à croquer.
J’avais eu envie de me soumettre à Syrus, pas juste au Grand Maître. À genoux devant lui, je lui avais tendu mes poignets. Symbole de ma confiance envers lui. Je savais que je ne craignais rien et qu’en échange je n’aurais que du bon temps. Il s’exécutait et me menottait sans se faire prier. Je sentais la fébrilité me gagner. Le métal froid contrastait avec la chaleur de ma peau.
Je l’observais se pencher sur moi, j’admirais Syrus sans m’en cacher. Il m’excitait simplement par sa façon de me parler, de se mouvoir. Je frémissais déjà, plongée dans l’anticipation. Je m’abandonnais à sa volonté facilement. Une confiance aveugle, à n’en point douter. Il voulait que je sois sa chose? J’en étais très capable.
« Je t’appartiens, Syrus. »
Oui, pas Grand Maître. J’y allais sur le plan personnel. Il voulait me faire crier toute la nuit? J’aimais beaucoup son projet. Sa main sur ma gorge, la morsure de ma lèvre inférieure… Il commençait les hostilités de la meilleure de façon. Je jubilais déjà, dios mio… Il abandonnait tout vêtement, nu et splendide. Une belle vision pour me régaler.
Il approchait son membre de ma bouche et faisait tomber sa première consigne. Je souriais. J’ouvrais doucement la bouche en le fixant. Je voulais qu’il ne perde rien de mes expressions. De mon plaisir et de mes efforts pour le satisfaire. Sa queue dans ma bouche, je creusais un peu les joues et durcissais ma langue pour lui donner des sensations divines. D’abord lentement, je ne faisais entrer que la moitié de son membre. Ma salive glissait sur son sexe et je continuais d’aller de plus en plus loin. Mes mains entravées étaient posées sagement sur mes cuisses. Je battais un peu des cils, très à l’aise dans ce rôle de docile poupée de plaisir.
Plus je progressais, plus je devais fournir d’efforts, mais cela ne me déplaisait pas. Son membre entrait désormais presqu’entièrement dans ma bouche, titillait ma gorge. Mon nez se frottait contre son pubis et mes yeux se remplissaient de larmes sous les efforts. J’émettais quelques gémissements bien sentis, lui laissant comprendre que j’aimais réellement lui donner du plaisir. Je me reculais un instant pour reprendre mon souffle.
« Ça te plaît, Syrus? Tu aimes comment ma bouche s’occupe de ta verga, Jefe? »
Petit sourire en coin et je me remettais à la tâche, prête à recevoir ses ordres ou à subir ses fantaisies le plus perverses.