(+18 ) Màtal / Toute une découverte (Crystal)

(+18) Toute une découverte

C'est le week-end. Et qui dit le week-end, dit moment de détente. Ce soir, je vais faire la fête, m'éclater comme je sais si bien le faire. Et, pour me changer un peu de mes habitudes, je vais la passer au Lipstick. Oui, ce sera parfait. D'autant que si je me mets à boire à volonté, je n'aurais que quelques étages à monter et je serais dans mes quartiers pour me reposer. S'ajoute à cela la fatigue que j'accumule, je pense que c'est un choix judicieux. Pour une fois que je ne prends pas de risque, je vais pas m'en plaindre.

Le soir venu, je descends assez tôt au club. Dans le bâtiment, je ne croise aucun templier, ce qui est bien étonnant pour le nombre que nous sommes. Je me dirige jusqu'au Lipstick et entre à l'intérieur. Il est 21h30 et la foule ne se fait pas désirer pour autant. Je m'en fiche, après tout. Ce n'est pas mon club ni mon business, mais celui de Syrus. Mais étant donné qu'il est encore assez tôt, j'ai l'espoir qu'il y aura de quoi se mettre sous la dent d'ici peu et que l'ambiance ce destinera à un public qui aime faire la fête parce que là, le son qui résonne au club ne parvient pas à me satisfaire. Il devrait mieux choisir ses Disc-jockey. Je me trompais. La mauvaise langue que je suis. Je jette un regard derrière le comptoir et observe le serveur qui est penché sur le comptoir, le téléphone en main. Je m'approche de cet homme et lui commande une Vodka. Apparemment, c'est soirée Vodka. Il me tend un verre et viens prendre place à une table. Je m'assois et boit une première gorgée de mon contenu. Je continue à fixer le serveur qui soutient mon regard. Il arrête de jouer avec son téléphone et retourne à ses occupations. Je souris. Si seulement, il savait qui j'étais, je crois bien qu'il serait viré avant même la fin de son service. Mais je ne suis pas une garce au point de le faire sauter pour si peu. Je porte une nouvelle fois mon verre à mes lèvres et en boit une autre gorgée. Je le suis toujours du regard et le suis dans ses moindres faits et gestes. Je l'intimide fortement, on dirait. Je me déplace dans sa direction. Dos à moi, il est occupé à nettoyer des verres. Je me penche sur le comptoir, juste assez pour que mon décolleté sois visible et me racle la gorge pour lui faire savoir de ma présence. Il se retourne et son regard s'attarde sur ma poitrine et fait tomber le verre qu'il tient dans la main. Je m'en réjouis d'avance de le savoir perturbé à ce point. «Tout se passe bien, par ici ?» je lui demande pour encore plus le rendre mal à l'aise en ma présence. «Très bien, oui. Il vous faut quelque chose d'autre ?» Je lui lance un regard interrogateur. «Parce que tu penses que si je suis là, c'est uniquement pour commander des verres ? Je vois que tu es très sérieux dans ton travail.» je m'amuse en me penchant un peu plus sur le comptoir. «J'ai ce qu'il me faut, cela dit. Néanmoins, j'aimerais savoir une chose : penses-tu que nous pouvons nous amuser au cours de cette soirée ? Vois-tu, j'ai envie de danser, faire la fête, mais il n'y a pas grand monde pour le moment et...» «Ca devrait pas tarder à arriver, si c'est ce que vous voulez savoir.» il me coupe la parole. «Trop mignon !» Je me recule pour venir m'asseoir sur un tabouret. «Et sinon, tu travailles seul ce soir ? Tu n'as pas de collègues ?» je demande, intriguée. «Oh, si. Mais là, elle est en pause, elle ne revient que dans quelques minutes. Donc, pour le moment, j'assure le service tout seul, comme un grand !» Je lui souris. «Je vois. Donc, indisposé pour venir me tenir compagnie le temps d'une danse ou deux ? C'est dommage. Peut-être une prochaine fois, alors !» je lui fais un clin d’œil et me dirige sur la piste de danse. La musique commence à bien m'ambiancer. Je croise le regard de quelques autres membres et me mets à me déhancher sur la piste de danse, les yeux fermés, les bras en l'air. Par moment, j'ouvre les yeux et les dirige vers le barman qui s'occupe de ses clients.

Pendant près d'une vingtaine de minutes, le Lipstick se remplit assez rapidement et le rythme de la musique devient plus intéressant. Je ne quitte pas la piste de danse et attends patiemment de tomber sur une personne avec qui je pourrais faire connaissance. C'est dommage que ce beau serveur n'ait pas voulu se joindre à moi, il aurait pu être de bonne compagnie. Tant pis, c'est la vie. Se prendre un râteau de temps en temps n'a jamais tué personne.

Ce genre de soirée est ce qui me plaît le plus. Si je devais compter le nombre de fois auxquelles je me suis retrouvée dans une boîte de nuit ou une soirée de ce type-là, je m'y reprendrais à plusieurs fois avant de tomber sur le bon chiffre. Oublier son quotidien, c'est ce qu'il faut faire quand on est une templier et une technicienne de maintenance (un travail que je compte bientôt arrêter si je continue à être toujours aussi bien payé en tant qu'assistante personnelle de Syrus). C'est aussi le moyen de s'amuser, prendre son pied en faisant la connaissance de nouvelles qui peuvent parfois être des rencontres vraiment intéressantes. Ce soir, je compte bien faire tout ça et profiter de ma jeunesse pendant que je le peux encore.

Je me déchaîne sur la piste. Entre deux chansons, je me suis trouvé des partenaires de danses plutôt bien foutus. Mais malheureusement, ils sont comme moi, ils changent de partenaires comme de chemises et ne restent jamais sur place. Cette nuit, je veux me comporter normalement et pas comme une salope, comme à mon habitude. Je pense que c'est faisable de rester fidèle à une personne sans aller voir ailleurs. Au moins, le temps d'une soirée, d'une nuit. Si beaucoup le font, pourquoi pas moi ?

La musique se fait moins rythmée, mais reste tout de même un bon son sur lequel danser. Je poursuis mon déhanchement, plus lentement cette fois-ci (au rythme de la musique) et je peux sentir une main venir se poser sur l'une de mes fesses. J'apprécie déjà ce qui est en train de se passer. Puis, une voix vient me résonner dans mon oreille. Je m'arrête et me retourne pour faire face à la jeune femme qui s'adresse à moi. Je rigole en l'entendant parler de son pari dont le prix serait un repas au restaurant si elle ne parvient pas à relever ce défi. Tout en me parlant, elle continue à me peloter ma fesse, ce qui me séduit évidemment. De ce que j'ai compris, elle souhaiterais que je l'embrasse afin de faire baver son ami. Elle ajoute également le fait qu'elle soit hétéro, ce qui ne doit pas être évident pour elle de faire ce défi. Mais pour un repas au restaurant, je vais lui offrir ce moment pour qu'elle remporte le droit de se faire inviter. «Eh bien, Màiri, je crois qu'il est temps pour toi de procurer une belle robe assortie à ton teint parce que tu vas prouver que tu  n'es  pas une dégonflée.» Je pose ma main sur sa joue, me mets à la caresser et approche mon visage près du sien. Mes lèvres entrent en contact avec les siennes et pendant un instant, plus rien ne se passe. Juste un échange de baiser entre cette fille et moi. Je me détache de ses commissures, puis la regarde sans même retirer ma main de sa joue. «J'espère qu'il en a pris pour son grade, et toi aussi car tu vas pouvoir déguster ton plat sans la moindre inquiétude du prix que ça coûtera.»

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Je raffole de ce genre de soirée dans lesquelles je peux faire de nombreuses rencontres, m'amuser avec des inconnus et faire la fête comme bon me semble. J'apprécie aussi le fait d'être accostée par des individus dont je ne suis pas certaines de revoir ni même de me souvenir de leur avoir parlé. Je ne suis pas là pour me faire des amis. Je cherche juste à profiter de ma jeunesse pendant que je le peux et me vider la tête de mon quotidien, sans le moindre regret. Pour l'heure, je me trouve déjà à flirter avec une jolie rousse et à l'embrasser pour un pari qu'elle s'est lancé avec une de ses connaissances. J'aime assez ce qui pourrait bien se passer par la suite, si elle venait à recommencer. Je ne détache pas mon regard du sien et attends patiemment qu'elle s'éloigne pour aller rejoindre son partenaire de jeu mais j'ai comme l'impression qu'il est déjà au courant et qu'il est probablement en train de se mordre les doigts de devoir lui payer un restaurant. Après tout, il ignore qui je suis et de ce dont je suis capable de faire pour rendre les choses encore plus excitantes. Mais la réponse de Màiri me pousse à penser qu'elle voudrait aller plus loin pour un dessert. À son tour, elle vient plaquer une main sur ma joue, déposer ses lèvres sur les miennes et m'embrasser de façon inattendue. Ce qui devait ressembler à un baiser de pari se transforme en un baiser plus passionné et plus sensuel à la fois. Je me prête au jeu et viens rendre le moment encore plus chaud lorsque je fais descendre ma main le long de son dos jusqu'à atteindre son fessier que je commence à palper. Nos deux langues s'épousent et dansent ensemble. Elle me donne chaud de par sa façon d'avoir entreprit les devants. Mais après un petit moment de flirt, elle se retire de mon étreinte, les bras croisés, je la regarde prendre la fuite. Je suis abasourdie par sa réaction. Je l'observe avant de retourner à mon occupation précédente.

Quelques petites minutes plus tard, je la vois revenir vers moi. Je me retourne et lui souris bêtement. Oui, cette fille me fait bien rire et je pense bien qu'elle m'intéresse plus que je ne l'intéresse. Je remarque qu'elle retire ses chaussures, je la regarde faire en écarquillant des yeux. «Qu'est-ce que tu... ?» Elle prend place assise sur la table et me fais signe du doigt de l'approcher. Plutôt surprise par son agissement, je m'avance par curiosité et, elle se penche pour me parler au creux de mon oreille. Elle me répète une seconde fois qu'elle se prénomme Màiri et me remercie. Pour quoi ? Elle finit par monter sur la table et se met à se déhancher comme le ferait une strip-teaseuse. Je retrouve le rythme de la musique et à mon tour, je me balance sur la piste de danse, en ne la lâchant pas du regard. Seulement, au moment où elle commence à retirer son sous-vêtement et à le faire glisser le long de ses jambes, je m'arrête et veille à ce qu'elle ne se ridiculise pas à cause de l'alcool. Elle saute de la table et est rattrapée de justesse par un homme qui commence à l'attirer vers lui. Je m'approche à mon tour et prends le relais. «Elle est avec moi.» je réponds à l'homme avant de lui faire un bref signe de la tête pour le remercier. De son côté, Màiri semble rayonner de bonheur. Elle me remets en main propre son sous-vêtement. Je le regarde avant de plonger mon regard sur le sien. «Allons danser, Màiri !» Je lui prends la main et finis par l'attirer contre moi. «Tu as fait tout ça pour moi ?» je demande tandis que je la fais tournoyer sur elle-même. «C'est très flatteur et très... excitant. C'est encore un pari ?» Cette fille m'intéresse vraiment. Ce soir, ce n'est pas seulement une rencontre au-hasard que je me fais, mais une connaissance qui n'est clairement pas comme toutes les autres. Ce soir, j'ai l'âme d'une héroïne envers elle. Je me dois de la protéger et la sauver de ses mecs qui se seraient jetés sur elle avec des intentions non requises. Je me déhanche devant elle et la soutiens du regard, mon visage venant de temps à autre se frotter au sien. «J'ai soif. C'est moi qui offre.» Je nous conduis jusqu'à une table et je m'assieds à côté d'elle.

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Pour une personne non habituée à passer ses soirées au Lipstick, je dois reconnaître que ce soir j'y trouve un quelconque intérêt. L'ambiance est très satisfaisante et les clients semblent prendre leur pied malgré que ce soit encore assez tôt. Mais ce qui m'amuse surtout, c'est tout simplement cette fille, Màiri qui attise ma curiosité. Pourtant, c'est une fille banale au premier abord, mais elle cache un côté très divertissant, au point même que j'en viens à m'intéresser à elle. En même temps, je ne suis pas très difficile comme femme, je suis assez sociable et j'ai aucune difficulté à me lier d'amitié avec le monde extérieur. Puis, elle a cette personnalité qui me pousse à l'apprécier d'autant plus. Peut-être que c'est notre baiser qui me fait penser ça, j'en sais fichtrement rien. Tout ce que je sais, c'est qu'elle embrasse bien et que c'est le plus important dans une soirée de ce genre. Elle ne sait pas sur qui elle est tombée. Puis, dans l'état qu'elle est, la savoir à mes côtés me rassurerait beaucoup. Est-ce que j'en vois un profit pour ma part ?

Après lui avoir évité les gros lourds de la soirée, je me suis mis en quête de la garder pour moi toute seule. Pour ce faire, il n'y a rien de tel qu'une danse à deux. Pas de slow, juste de la musique sur laquelle nous nous mettons à danser frétillement. Puis la soif arrive et je finis par la conduire jusqu'à une table. Une des serveuses du Lipstick arrive, Màiri commande sa boisson non alcoolisé tandis que moi je me laisse tenté par un nouveau cocktail au choix. Au départ de la serveuse, je peux ressentir une sorte de malaise chez ma nouvelle connaissance. Je souris de façon à ce qu'elle ne s'en aperçoive pas et fixe les yeux en direction de la piste de danse. Là, sans même m'y attendre, la voix de Màiri parvient jusqu'à mes oreilles. Seulement, ce n'est pas pour me parler de la pluie et du beau temps qu'elle me parle mais pour se justifier de ses actes, ce qui me fait sourire davantage. Je la trouve vraiment très charmante dans sa manière de parler mais avec moi, elle n'a aucune raison de manifester la moindre gêne. Plutôt que de lui couper la parole ou bien même de réagir vocalement, j'attends qu'elle finisse. Je tourne ma tête dans sa direction et la regarde droit dans les yeux. Elle poursuit en me remerciant de l'avoir aidé un peu plus tôt. Égoïstement, je la voulais pour moi uniquement alors bon... Mais une chose est sûre : je suis peut-être la fille d'un tueur en série, je peux avoir des gènes de mon paternel, dans le fond, j'ai encore un peu d'humanité... pour certaines personnes. Une autre particularité que j'apprécie chez elle, c'est son manque de confiance en elle. Oui, elle est sa propre proie de manque de confiance et c'est ce qui fait que je commence à m'attacher à elle. D'autant que ce qu'elle me révèle est privé et je n'ai pas vraiment à connaître les moindres détails. Et en plus de me complimenter sur ma beauté, elle me fait comprendre qu'elle n'a encore jamais fait l'amour avec une femme. Je ne m'attendais pas à ce qu'elle se laisse autant porter par les paroles. Les effets de l'alcool, probablement. Je la sens de plus en plus mal à l'aise en ma compagnie. Et après l'avoir laissé me dire aussi ouvertement que possible vouloir passer la nuit avec moi, un large sourire apparaît sur mes lèvres. Afin de la mettre en confiance, j'attends que la serveuse – qui est revenue avec nos deux verres – s'en aille pour me tourner complètement vers Màiri. «Tout d'abord, détends-toi un coup. Respire.» je lui conseille avant de poursuivre. «Ensuite, dis-toi que pour un pari, ce baiser était très excitant et sensuelle. C'est comme ça que je l'ai considéré. De plus, je n'avais pas l'intention de laisser dans les mains de ses gros nazes. Tu penses tout de même pas que j'allais te laisser partir comme ça après ce baiser ?» j'ajoute en lui affichant l'un de mes plus sourires. «Je te connais depuis quoi ? quelques minutes maintenant et je t'apprécie vraiment beaucoup. On peut dire que ça vient du baiser, mais pas que...» Je lui saisi les mains. «Tu n'as jamais couché avec une femme et tu as peur d'être une risée ? Sérieusement, tu t'entends parler ? Ce n'est pas une honte, bien au contraire. Si tu préfères les bites aux chattes, tu n'as aucun reproche à te faire, Màiri. Moi-même, à une époque, je préférais uniquement les hommes, mais depuis que j'ai surpris un de mes ex en train de se taper notre voisine, j'ai été tenté par les femmes et aujourd'hui, j'aime tout autant prendre du plaisir avec les hommes qu'avec les femmes et j'y trouve mon compte.» Je bois une gorgée de mon cocktail avant de poursuivre. «Je vais te dire une chose : arrête de penser et fonce. Si tu veux quelque chose, obtiens-le. Si tu veux être heureuse, profite de la vie. C'est tout ce que j'ai à te conseiller.» Un nouveau sourire s'affiche sur mes lèvres. Puis, je lui tends sa culotte dans la plus grande intimité. «Je pense que tu en auras plus besoin que moi, donc on va dire que je vais te la rendre et que tu en feras bon usage. Et si tu le souhaites, tu peux m'accompagner jusqu'à mon appartement qui se trouve à quelques étages afin de passer cette partie de la nuit avec moi.» J'espère ne pas la faire fuir en lui proposant cela mais étant donné que c'est son souhait, j'estime que je suis celle qui aura fait le premier pas pour la suite...

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Ce qui est certain, c'est que je n'avais pas prévu tout ce qui vient de se passer avec Màiri. Elle est ivre, certes, et je n'ai pas l'intention de profiter de cette faiblesse pour en abuser. Mais la façon qu'elle a eu de me présenter la chose suivante, à savoir qu'elle aimerait bien passer la nuit avec moi, il m'est difficile de le lui refuser. Surtout que je suis en manque total de sexe ces derniers jours. Elle fera bien l'affaire, le temps d'une nuit et peut-être plus, si nous sommes amenées à nous revoir. Je ne suis pas compliquée pour ça. Je peux me faire des amis en un claquement de doigt comme je peux aussi me faire des ennemis en étant juste moi-même. Màiri c'est différent. Je pourrais jamais m'en faire une ennemie ni même me servir d'elle pour quoi que ce soit. Bien que là, j'en ai rien à foutre, je prends ce qui me tombe dessus. Et même si elle a des tâches de rousseur qui pourrait faire fuir plus d'un ou plus d'une, elle a ce côté qui me plaît, ce charme qui m'intéresse, d'autant que baiser avec une rousse, je n'ai jamais rien eu contre, mon premier fantasme ayant été ma meilleure amie rousse. «Je suis une femme, tu sais. Et nous sommes connues pour être très bavarde. Puis, il fallait que je t'explique un peu la vie. Je te sentais toute paniquée. Tu n'as aucune raison de l'être. Pas avec moi.» Elle me remet de nouveau sa culotte. Que veut-elle que j'en fasse de son sous-vêtement ? J'affiche un grand sourire lorsqu'elle mentionne le fait qu'elle n'en aura pas besoin avant demain. Vraiment très coquine cette fille. Doublement intéressant. Elle ajoute que si je lui montre le chemin de mon appartement, elle se porterait volontaire à retirer le surplus qu'elle a sur elle. Elle me donne un avant-goût de la prochaine étape et, sans plus tarder, je la saisis par la main et la traîne jusqu'à mon appartement. Une fois à l'étage, j'ouvre la porte de mon appartement et l'invite à y entrer. À sa suite, je referme la porte et la verrouille. Màiri complimente sur mon appartement et retire sa robe. Elle se retrouve en lingerie. Je la toise et affiche un sourire sur le coin des lèvres. Elle s'avance vers moi tandis que je reste silencieuse, à la mater. «Viens-là.» que je dis en saisissant à nouveau sa main. «Allons dans la salle de bain !» Je l'amène jusqu'à la pièce, m'assieds sur le rebord de la baignoire et commence à passer ma langue sur toute la longueur de son buste. Lorsqu'elle parvient au creux de son nombreux, je m'attarde sur celui-ci. Je lève les yeux et la fixe. Je me relève et dégrafe son soutien-gorge que je viens jeter sur l'évier. Aussitôt fait, je porte mes lèvres sur l'un de ses seins et commence à jouer avec son mamelon que je mordille, empoignant son autre sein. J'alterne au bout de quelques secondes et je répète cette action plusieurs fois avant de venir capturer ses lèvres.

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Je ne sais pas si ce que je fais ça en vaut le coup, mais emballer cette femme pour ensuite l'attirer dans mon appartement ça a un côté flippant, un peu comme dans les films d'horreurs dans lesquels on entraîne toujours des inconnus dans ses appartements pour les buter après coups. Heureusement, je ne suis pas l'un d'eux et que j'ai des projets bien spécifiques avec Màiri. Je dois vraiment être en manque pour choisir la première venue et l'embarquer comme ça dans mes quartiers. Mais il y a quelque chose en elle qui me plaît assez et j'aimerais bien la connaître au-delà de ce qui risque d'arriver entre nous. Seulement, l'heure n'est pas à la planification de projet mais à l'acte immédiat.

Maintenant qu'elle a officiellement mis les pieds dans mon appartement et que nous nous retrouvons dans ma salle de bain, je prends les choses en main pour la mettre à l'aise. Tout d'abord, je commence à m'occuper d'elle en faisant glisser l'extrémité de ma langue le long de son corps puis je m'attarde sur l'un de ses seins dont je viens suçoter le téton avant de porter mes lèvres contre les siennes. Je me relève pour me placer à sa hauteur, mes mains venant se perdre à l'intérieur de son sous-vêtement et s'agripper à ses fesses. De son côté, je la sens presque aussi pressée que moi à vouloir passer à l'étape suivante. Lorsqu'elle se met à rire, je peine à garder mon sérieux plus longtemps. Pourtant, ce n'est pas la première fois que je me trouve seule avec une femme dans ce genre de situation. Mais la voir nerveuse me fait sourire. Je lui lâche : «Ne sois pas aussi nerveuse, Màiri. Tout va bien se passer.» Mais pour le coup, moi aussi je me sens quelque peu nerveuse. Là, elle retrouve sa voix et me fait comprendre qu'elle aimerait bien prendre la main en me demandant de m'asseoir sur le bord de la baignoire. Je m'exécute et m'assieds. Bien que j'ai ma petite idée de ce qui peut bien se tramer dans sa tête, je suis curieuse de savoir ce qu'elle compte me faire. «Je te laisse faire.» je réponds simplement en la regardant.

Ce qui suit me fait légèrement sourire car elle tente de prendre un ton de de dominatrice. Je la regarde bien comme il faut et l'observe dans ses moindres faits et gestes. Elle se met à genou face à moi et je la soutiens de mon regard curieux. Mais son manque de confiance remonte à la surface. Je place un doigt devant sa bouche et lui dis : «Fais-toi confiance. Tu y arriveras, j'en suis persuadée. Je suis pas là pour te juger mais pour que tu passes du bon temps.» J'ai moi aussi été la première expérience d'une autre femme alors je sais ce qu'elle peut ressentir en ce moment. Et jusqu'à preuve du contraire, ça a plutôt bien fonctionné. Dans le cas contraire, je ne coucherais probablement plus avec des femmes. Ce soir, Màiri a sa première fois avec une femme et je compte bien la satisfaire. «Mais oui, je te guiderais si tu as du mal. Mais je sais que tu peux y arriver.»

Elle finit par se lancer. Mais contrairement à moi, elle plonge directement dans le vif du sujet en glissant sa langue dans ma féminité. Je penche la tête en arrière et ferme les yeux pendant que je m'agrippe à son épaule, jambe écartées pour la laisser savourer son moment.

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Pour Màiri ce doit être l'un des moments les plus importants de sa vie. Je mets parfaitement à sa place pour l'avoir déjà vécu par le passé. C'est son moment, pas le mien. Je suis juste là pour la guider au besoin tout en prenant du bon temps également. Après tout, j'aime le sexe et avoir l'opportunité de me faire lécher l'entrejambe, je ne dis pas non. Alors, et pendant les quelques minutes qui suivent le moment où je me caler sur le rebord de la baignoire, je la laisse s'occuper de moi de la meilleure des façons. Tout n'est pas parfait, certes, mais elle découvre un autre aspect du sexe, alors peut-on lui reprocher de pas toujours bien si prendre ? D'autant que, je ne la trouve pas si mauvaise que ça. J'aime assez qu'on s'occupe de moi avec beaucoup de délicatesse, ça me change de toutes les fois où je me fais baiser sauvagement. Un peu de douceur ne me déplaît pas plus que ça finalement. C'est même plus agréable que ce que je pensais. D'ordinaire, rare sont les fois où je me fais sauter avec douceur. Je suis du genre à vouloir me faire violemment défoncer, mais ce soir, j'apprécie grandement. Après, ce n'est que le début pour le moment.

Màiri poursuit ses mouvements de long en large, puis finit par pousser sa langue entre mes petites lèvres pour venir prendre congé sur mon bouton de plaisir. C'est toujours aussi bon de se faire titiller cette partie-là. Elle se met à jouer avec mon clito et commence peu à peu à serrer ma main sur son épaule, tant je prends réel plaisir à me faire goûter par ma nouvelle amie. «Putain, c'est si bon !» Non, je ne simule pas en rien ce que je ressens. Elle parvient à me faire du bien, ce qui lui donne un avantage pour la suite. Pour une première, elle s'en sort plutôt pas mal et c'est un exploit pour une femme n'ayant jamais eu d'expérience avec une personne du même sexe.

Màiri retrouve la parole après un long moment de silence. Dans ses propos, je comprends qu'elle parle certainement de l'effet que peuvent ressentir les hommes lorsqu'ils nous goûtent et se délectent de notre mouille. Je ne rajoute rien à cela et me contente simplement de la laisser continuer à découvrir le plaisir de son côté lesbien. Elle s'essaye maintenant à l'une des parties les plus importantes qui puisse exister dans les préliminaires : l'insertion de doigt dans mon féminité. Je commence à sourire, à l'idée d'être son premier sujet féminin et lui lance un petit : «Mets-toi à ton aise et n'hésite pas surtout pas à prendre du plaisir à le faire.» Mon rôle dans tout ça : lui laisser pleinement le libre arbitre comme on la fait avec moi. «Pour commencer, tu y vas doucement, puis quand tu te sens prête, tu accélères légèrement et ainsi de suite. Le but n'étant pas de faire mal à ta partenaire. Mais avec moi, tu peux y aller franco, sans problème, j'ai l'habitude qu'on me mette des doigts.» Autant lui dire la vérité immédiatement. Elle met en pratique ce que je lui dis et se met ensuite à augmenter la cadence de ses mouvements. Je garde la tête penchée en arrière tant la sensation qu'elle me procure n'est que satisfaisant. Je peux toutefois sentir de la timidité dans ses gestes. Mais ce n'est qu'un détail. Elle ralentit ses mouvements, alors je relève la tête et remarque qu'elle vient suçoter mon bouton de plaisir, puis de finalement retirer ses doigts en moi pour les porter entre ses lèvres. J'ai toujours adoré voir mes partenaires porter leur doigts à leur bouche pour savourer mon nectar. Putain, quand je la regarde faire, ça m'excite à un point qu'elle ne s'imagine pas. «Je sais. J'ai eu la même réaction la fois où je me suis goûté, ou que j'ai goûté la mouille de la femme qui m'a initiée au sexe entre femmes. Tu vas y prendre goût, ma belle.» Je suis fière de mon élève, c'est cas de le dire, tout comme je suis fière de lui enseigner tout ce que je sais.

Màiri se redresse et viens immédiatement se jeter à mes lèvres, manquant de me faire tomber dans la cuve de la baignoire. Nos langues s'épousent et dansent ensemble. Je ne sais pas ce qui la pousse vraiment à venir me rouler une pelle de ce genre, mais quelque chose me dit qu'elle a envie d'aller plus loin. Et cela se confirme par sa réaction, puis de son action à venir perdre sa main à l'intérieur de mon soutien-gorge et caresser mon sein droit et d'en pincer son téton. Là, elle me lance qu'elle a envie de moi. Mais elle perd aussitôt confiance en elle en me demandant ce qui ne va pas chez elle. Je lui souris tendrement et pose ma main sur la sienne et la caresse pour la détendre. «Hé, relax, Màiri, tout va bien se passer. Arrête de te poser des questions et laisse-toi guider par tes désirs, d'accord ? Tu es extraordinairement courageuse à vouloir te tester avec une autre femme, et tu arrives parfaitement à gérer tes mouvements.» je la rassure en la fixant dans les yeux. «Si tu veux y mettre un terme à notre petite expérience, je te le reprocherais pas. Mais si tu veux poursuivre notre aventure, tu dois avant tout te faire confiance et te laisser aller. Et si tu veux, je peux t'y aider.» Je me lève, dégrafe mon soutien-gorge et enlève mon sous-vêtement. Je me retrouve complètement nue face à Màiri. «Mon corps est tien, ma belle. Il est tout à toi. Donne-moi ta main.» Je lui prends sa main et la porte jusqu'à ma bouche et commence à suçoter son index, à le lécher de long en large. «Viens, suis-moi. On va poursuivre dans ma chambre.» Je lui prends à nouveau la main et la guide jusqu'à l'autre pièce. «Allonge-toi sur le lit et laisse-toi faire.»

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Si l'on m'avait annoncé que je finirais ma soirée à jouer les mentors pour une femme que je connais à peine, j'y aurais probablement jamais cru. Et pourtant, c'est bien ce qui est en train de se passer. Je suis chez moi, au Lipstick, complètement nue, prête à enseigner à la douce Màiri l'art de baiser une autre femme. Et j'ai dans l'espoir qu'elle va finir par aimer ça et en garder un très bon souvenir. C'est ce qui s'est passé pour moi. Il n'y a aucune raison qu'avec ma nouvelle partenaire ça ne soit pas pareil. Je vais lui apprendre exactement tout ce que l'on m'a enseigné et ça va passer comme une lettre à la poste. Jusque-là, tout s'est très bien déroulé et elle s'en sort extrêmement bien, il faut bien le reconnaître, malgré quelques imperfections de temps à autre. Mais qui serais-je pour lui reprocher ça ? Moi-même j'ai fait quelques petites erreurs à mes débuts, on en est toutes passé par là. Aujourd'hui, c'est mon expérience avec les femmes qui fait que je suis douée avec elles. Mais je ne suis pas à l'abri qu'un jour je m'y prenne mal et qu'on me le fasse savoir. Je suis humaine et l'erreur fait partie de la vie.

Mais dans le cas présent, Màiri se débrouille vachement bien et j'ai hâte de voir ce qu'elle a à me proposer. Je ressens de plus en plus un manque de confiance total en elle et je vais faire de mon mieux pour la mettre à l'aise. Avec moi, elle n'a pas à craindre de quoi que ce soit puisque je ferais tout mon possible pour qu'elle y arrive sans aucun obstacle. Pour commencer, je retire le dernier bout de tissu que je porte et lui prends la main afin de la conduire jusqu'à ma chambre où tout va réellement débuter. Je lui ordonne presque de s'allonger sur le lit, mais elle semble hésiter à le faire. Je souris quand je la vois faire. «Allez, ne sois pas timide, ma belle. Tu verras, tu vas aimer ce qui va suivre. Je t'en donne ma parole.» Je ne veux pas la brusquer ni la mettre encore plus mal à l'aise. Le tout c'est qu'elle se laisse guider par son désir et non par obligation. Elle finit par monter sur le lit à quatre pattes avant de se retourner pour me faire face. Puis, elle m'annonce qu'elle est très impatiente avant de s'excuser. Je la regarde avec un semblant envie de sourire, mais je me retiens et lui dis :«Ne le sois pas, Màiri. Avec moi, tu n'as pas à te retenir pour que ce soit, d'accord.» Je l'observe et la vois en train de commencer à se toucher toute seule. Ses mains remontent maintenant le long de son buste et viennent prendre congé sur ses seins qu'elle caresses avec plaisir ? On dirait bien au vu de ce que je suis en train de mater. À mon tour, je monte sur le lit et me place juste devant ses pieds et palpe le galbe de mes seins dans le but d'exciter un peu plus ma nouvelle partenaire de sexe. Puis, sans plus tarder, je porte mes doigts à ma bouche et les suçotes comme je le ferais avec une queue, puis je viens les insérer dans mon intimité et me mets à faire de petits va-et-vient pour faire monter encore plus la température. De ma main libre, j'en profite pour continuer à palper mes seins. Mais après ce petit moment de plaisir solo, je lèche à nouveau mes doigts pour me goûter, puis me place au-dessus de Màiri. «Passons aux choses sérieuses, maintenant.» Je me cambre sur elle et viens mordiller et titiller ses tétons, prenant bien soin de refermer mes mains sur ses seins. Je relève la tête et la regarde droit dans les yeux. «Le reste va te plaire.» je dis simplement avant de retourner à mes occupations. Après un dernier mordillement sur l'un de ses tétons, je fais glisser ma langue sur son buste et la remonte jusqu'à son cou, son menton puis ses lèvres que je viens capturer pour encore plus de sensations fortes. Je me détache de ses lèvres. Je lui souris, écarte mon visage du sien et recule légèrement. «Ne te retiens surtout pas, à partir de maintenant, Ok ? Je veux que tu profites à fond.» Jouer les mentors, j'aime assez. Je prends un réel plaisir à être la dominante, même si c'est pas trop mon point fort. Avec Màiri, c'est excitant.

Après lui avoir sourit une dernière fois, je recule encore un peu, replace mes cheveux correctement et me penche au niveau de son bas-ventre. Je passe ma langue sur son nombril, la descends un peu plus bas et arrive près de son entrejambe. De mes mains, j'écarte les cuisses de Màiri et dépose le bout de ma langue sur son bouton de plaisir que je commence tout doucement à stimuler.

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(+18) Toute une découverte

Depuis ma rencontre avec Màiri, j'ai cette impressionnante sensation d'être sa dominatrice, celle qui lui dicte quoi faire à tout moment selon mes convenances. Je n'aime pas trop me considérer supérieure à elle, car mon intention n'est pas de la braquer ou de la faire se sentir encore plus mal à l'aise qu'elle ne l'est déjà depuis que nous avons franchi la porte de mon appartement. Je ne suis pas experte en dominance et je ne suis pas certaine que c'est ce qui m'attire le plus dans le cul. Cela dit, je reconnais que ça donne un certain piment à la pratique, mais pour ma part, baiser c'est agir comme on le sent, n'avoir aucune contrainte et prendre avant tout du plaisir. Certes, beaucoup apprécient dominer et/où à l'inverse être soumis, ça peut être une bonne petite expérience à tenter au moins une fois dans sa vie, mais je ne me vois pas être les deux à longueur de temps. Quoi que, être soumise est une chose que j'aime assez mine de rien. J'aime parfois qu'on m'insulte et qu'on me considère comme une vraie petite salope, mais surtout qu'on me baise comme une chienne. J'ai toujours aimé être prise sauvagement quand j'y pense. Depuis toujours.

Mais ce soir, c'est très différent de ce que je fais d'habitude et ça me plaît assez, à vrai dire. Ça casse en quelque sorte ma routine. Ce soir, je domine (légèrement) une novice et c'est agréable de changer un peu les rôles. Màiri se trouve à ma place et j'ai bien l'intention de lui montrer les bienfaits de se faire baiser par une femme. Mais pour cela, notre petite escapade à la salle de bain touche à sa fin et je nous conduis dans ma chambre, où je l'invite à prendre place sur mon lit. Aussitôt dit, aussitôt fait, nous nous adonnons, toutes les deux, à une petite séquence caresse en solo – à vrai dire, je l'ai suivi dans son élan – avant de passer aux choses sérieuses. Car oui, se toucher en solo, nous pouvons le faire H24 alors là, nous avons l'occasion de le faire ensemble. Étant toujours aux commandes de notre virée sexuelle, je me lance dans de tout petits mordillement de tétons avant de poursuivre avec une continuité de coups de langue sur son buste jusqu'à sa bouche pour ensuite me retrouver à m'occuper plus sérieusement d'elle en m'attaquant à son entrejambe. Mon rôle est de la faire vivre un bon moment entre nana et ça, je suis quasiment certaine que je vais réussir à la faire mouiller, sinon je ne m'appelle plus Crystal Bell. Màiri vient d'entrer dans une cours où il est presque impossible d'en échapper. C'est à dire, après sa première expérience avec une femme, je suis sûre qu'elle voudra recommencer encore et encore. C'est ce qui s'est passé avec moi. Maintenant, je broute des chattes autant que je suce de bites. C'en est presque devenu mon passe-temps favoris, c'est dire.

Comme souvent, je débute les préliminaires en m'attaquant au bouton de plaisir que je stimule du bout de ma langue pour le faire grossir et faire monter l'excitation encore plus vite, même si j'aime assez prendre mon temps. Mais pour Màiri, j'ai envie qu'elle connaisse la femme que je suis. Je fais de rapides va-et-vient avec la langue puis je viens le saisir et le bloquer entre mes lèvres puis le relâche. Je m'attaque ensuite à son vagin que je commence à lécher lascivement. Je relève les yeux pour observer ma partenaire et tends mes bras jusqu'à atteindre sa poitrine. Mes mains se mettent alors à palper ses seins tandis que mes doigts pince chaque téton. Dans le même moment, Màiri attrape mes cheveux et tire dessus. Je me mets à rire dans mon cunnilingus. Ne me détachant pas pour autant de ma caresse buccale, je lui dis : «Je suis pas une Barbie, ma belle. Tu peux tirer plus fort, n'hésite pas.» Puis je me fais légèrement coulée de la salive dans son intimité et reprends de plus belles, enfonçant plus profondément la langue. Puis, Màiri prends la parole et demande à ce qu'on échange. J'accélère un peu plus mes mouvements de la langue et me retire d'elle. «Bien sûr que tu le peux, ma belle.» Je me redresse et l'aide à se relever. «Tu vas adorée ce qui va suivre, je peux te l'assurer.» Je me laisse tomber sur le lit, dos au matelas. Je m'installe confortablement, plis légèrement mes jambes et les écartes de façon à ce que je puisse avoir point de vue Màiri. «Tu y vas à ton rythme surtout, d'accord. Laisse-toi guider par ta conscience et surtout fait ce qui te convient le mieux. Je te jugerais pas.» En disant cela, je passe ma main sur mon intimité et me caresse vite fait. «Voilà, je suis prête. À toi de jouer.»

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Les choses commencent à devenir sérieuses entre Màiri et moi. Alors qu'elle me laisse entendre vouloir se retrouver dans la même position que moi, j'accepte de lui céder ma place en venant à mon tour m'allonger sur mon lit, le dos collé à mon matelas. Une fois nos deux places échangées, je lui recommande d'appliquer quelques consignes que je lui donne, rien de bien alarmant concret, mais uniquement dans le but de l'aider à ressentir de bonnes vibes pendant qu'elle s'occupera de mon intimité. Après quoi, je me tais et la laisse me goûter. Je me concentre sur ses tous premiers mouvements légèrement intimidés, je la regarde et attends patiemment qu'elle change de tactique afin de trouver les bons gestes. Elle parvient enfin à réussir son cunnilingus et je me laisse emporter par ses coups de langues. Je laisse échapper quelques petits gémissements lorsqu'elle atteint mon bouton de plaisir. J'ouvre les jambes encore plus grands avant de plaquer mes mains sur la tête de ma partenaire, savourant chaque instant qu'elle me procure. «C'est si bon. Tu as réussie, continue comme ça, ne lâche surtout rien.» Je sens que je mouille depuis déjà un petit moment – il ne me faut pas longtemps pour mouiller quand on s'occupe de mon entrejambe. Sa façon de s'occuper de mon bouton de plaisir m'excite de telle sorte que je n'arrive plus trop à tenir en place. Elle me demande si j'en veux plus. Bien sûr que j'en veux plus. Pourquoi diable n'en voudrais-je pas plus ? «Ne t'arrête pas.» Je ne peux pas être plus clair que ça.

Mais tandis que je la pense prête à poursuivre, je la vois s'arrêter, se redresser et se retourner de façon à ce que je ne vois que son dos et son cul. Mais à quoi joue t-elle ? Pourquoi arrêter en si bon chemin ? Mais j'ai ma réponse avant même de lui poser la question. Installée à califourchon sur moi, son intimité frôlant presque mon visage, je souris. «Màiri, tu caches ton jeu, on dirait.» Je plaque mes mains sur ses hanches, je la regarde se pencher pour reprendre de plus belles son cuni. Je coule un peu plus en la voyant prendre les choses en mains. Je m'arc-boute lorsqu'elle aspire mon nectar en train de s'écouler sur mon intimité. Puis, aussi inattendu que soit son désir de se mettre à cheval sur moi, elle m'insère un doigt, puis un deuxième en moi. Je couine de plaisir tandis que j'ai son bassin qui remue devant mon visage. Un appel pour que je m'occupe, moi aussi, de ma partenaire ? J'en ai bien l'intention. Quand je l'entends mentionner mon nom et me supplier, je comprends qu'elle est frustrée. Je relève la tête et commence à m'occuper de Màiri. Empoignant toujours son bassin, j'utilise mes deux pouces pour élargir la voie d'accès afin de pénétrer ma langue dans son entrejambe. Je la lèche, prenant un plaisir de jouer avec celui-ci.  Par moment, je bifurque ma langue, la promenant sur ses fesses et la remontant par moment en direction de son anus. Après un petit moment de léchage, j'insère à mon tour des doigts à l'intérieur de son intimité et entame une première succession de va-et-vient.  

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