WebName : Hortek Date d'inscription : 09/03/2024 Messages : 13 Avatar & crédits : Tom Cruise & Moi Date de naissance : 16/10/1982 Age : 42
| Sujet: Vincenzo Varelli "Il gatto nero" Sam 9 Mar - 16:17 | |
| | Varelli, Vincenzo 42 ans 16 Octobre 1982 Capri en Italie Troublewater |
Origine(s) & nationalité(s) Nationalité Italo Américaine Statut civil & orientation sexuelle Célibataire Hétéro Situation familialeJe n'ai pas de famille hormis mon allégeance à la famille Russo et aussi un frère et une soeur dont je suis le protecteur depuis la mort de leur père qui m'avait sauvé la vie et envers qui j'ai une dette de vie. Je m'en acquitte en protégeant Axel et Izia Torres. Occupations, études & statut financier Tueur de la Cosa Nostra, je gagne assez bien ma vie et j'ai aussi beaucoup de succès en tant que brocanteur donc je n'ai pas vraiment de soucis d'argent. Et puis tuer une personne ça demande souvent d'avoir pas mal de matériel suivant la manière dont on doit tuer. Le scénario a son importance. Donc 5$ Les rivalités Je suis un ou peut être le seul assassin de la Cosa Nostra. Je réponds au surnom de Gatto Nero, ou chat noir en italien dans le texte. ça fait de moi un prédateur urbain qui se cache dans l'ombre et qui se fait aussi discret que mortel. Je suis très au fait des rivalités présentes dans cette villes. Les plus importantes et les plus discrètes. Mateo Russo me fait régulièrement venir des informations et inversement. Le savoir étant le clef, je m'efforce d'ignorer le moins de choses possible justement pour éviter de me faire dépasser par les évènements. Lien vers l'annexe des rivalités Perfectionniste, Sans Morale, Fidèle, légèrement sociopathe, précautionneux, taiseux, efficace, dénué de pitié. | Quelle est ta chanson ? "I can't give you anything but love" Django Reinhardt Quel est ton film ou quelle est ta série ? "Taxi Driver" Martin Scorsese Quelle est ta voiture ? Une Honda Civic Quelle est ta pire manie ? toujours utiliser un dessous de verre. Quelle est ta personne favorite ? Izia et Axel Torres Plutôt dormir ou non ? Quand je serai mort Un mot sur ta dernière relation ? Je ne suis pas certain de comprendre la question. |
Mi chiamo… Pardon, je m’appelle Vincenzo Varelli,
Rares sont les personnes qui peuvent m’appeler Vince, et encore plus rare sont ceux qui m’appellent « Gatto Nero » chat noir en italien dans le texte. Je réponds à ce nom en de rares occasions et sous certaines conditions pour certaines personnes uniquement et ce n’est pas un nom à prononcer à la légère en ma présence.
Partons de la base. Je suis né à Capri en Italie. Oui, c’est le paradis. Sauf quand vous êtes enfant et que vous avez besoin de monter plusieurs fois par jour ces putains de 800 000 marches… J’étais comme tous les enfants, espiègle, joueur, j’allais à la plage et je jouais au foot avec les copains. Je pensais un jour pouvoir mener le jeu de la Squadra Azura avec le numéro 10 et gagner la coupe du monde pour faire mieux que Roberto Baggio et devenir le héros de la nation. C’est un beau conte celui de l’enfant des rues qui gagne l’amour de son pays par le sport. Mais j’étais le fils d’une travailleuse de la nuit. Et comme elle ne s’occupait pas trop de moi et qu’elle appartenait à la Cosa Nostra… Mon destin était déjà tracé et elle s’efforçait je crois de ne pas s’attacher à moi. J’étais souvent chez Nonna. La grand-mère du quartier qui passait ses journées à cuisiner. J’étais souvent avec elle et je l’aimais beaucoup. Elle m’appelait Vinny et c’est la seule personne qui ne m’aura jamais appelé ainsi. Je suis Vince pour quelques personnes et Vicenzo pour le reste. Vinny n’appartiendra jamais qu’à elle. J’ai grandi ainsi au gré des saisons, des jeux, de l’école et de l’insouciance. Je délaissais souvent ma mère pour aller chez Nonna. De toute manière je détestais entendre ces mecs la baiser et partir en me fixant gênés. Ma mère m’avait engueulé par ce que je ne donnais pas envie à ses clients de revenir… Donc aller chez Nonna me plaisait. Elle me disait qu’un jour je serais grand et fort et que je pourrai servir la cause. J’ai grandi dans cette idée. Et vers 17 ans ma vie a basculée
J’étais amoureux de Christina. Une magnifique jeune femme qui était au lycée avec moi. Elle était belle et douce et moi j’étais un petit voyou des rues. Je faisais le mariole et j’étais une petite frappe et je faisais quelques petits travaux pour la Cosa Nostra. Ce jour-là je venais de perdre ma virginité avec elle et son mec est entré dans la chambre très fâché. Il hurlait et m’a frappé. J’ai roulé au sol et prit une lame dans mon pantalon. Il s’est tourné vers moi et j’ai planté ma lame dans son ventre. Surpris, il m’a regardé, réalisant mon geste. J’ai crispé mon corps et frappé 7 fois encore. Christina a hurlé. Le mec a commencé à s’effondrer et il est tombé en se tenant le ventre. J’ai fui. Non pas parce que je regrettais mon geste ou que j’en étais horrifié. Je n’ai aucune émotion à ce moment. Je ne veux juste pas aller en prison. J’arrive chez Nonna qui se signe et me prépare un sac et m’embrasse sur le front. Un mec arrive. Il est grand. Il est flippant. Il me fait traverser la mer et je me retrouve en Sicile. Il m’explique que désormais j’avais une dette envers la Cosa Nostra et que la famille exigeait que je travaille pour elle. Pendant quelques mois, je me suis retrouvé en foyer. Les règles étaient atroces, les résidents nous frappaient et entre nous, c'était la guerre. Parfois juste pour bouffer, c’était la jungle. Alors rapidement j’ai observé et j’ai fais en sorte de ne taper qu’une fois. Parfois, ils venaient à 7 et me tapaient. Mais ensuite je les isolais tous et je m’occupais d’eux. Méthodiquement. Sans pitié. C’est pour ça qu’il me remarqua. Ennio Varelli, c’était un homme d’une cinquantaine d’années. Grisonnant, sec et le regard qui vous fait baisser les yeux en 4 secondes. Il me montra comment cacher un couteau et l’utiliser au bon moment et me tira hors du foyer.
Le jour de mes 18 ans j’avais traversé la mer et j’étais à Aubagne près de Marseille et je me tenais devant la caserne de la légion étrangère. Un mec très indélicat venait de me raser mes derniers cheveux et dans un treillis je fusillais du regard un mec avec un accent qui nous invectivait d’aller nous foutre en rang. Comme il était possible de changer de nom, j’ai pris celui de mon Mentor. Varelli m’allait très bien et tranchait avec mon nom de naissance que j’ai maintenant oublié. Sur son conseil je prenais alors la nationalité Américaine . Pendant ma formation, j’ai appris à fonctionner en groupe et à manipuler les armes. Les stratégies militaires, les tactiques, la survie. J’ai appris à me dépasser et à tirer mon épingle du jeu dans des circonstances à la con et rendu des situations extrêmes presque naturelle à gérer. J’ai passé 5 ans à la Légion et j’ai connu les conflits armés. Je ne suis jamais revenu en Italie, Ennio venait me voir et me faisait raconter. On allait parfois se promener. Observer. Comprendre, analyser une cible potentielle. Remarquer des habitudes et envisager des moyens de tuer. Efficaces et discret. Directs et indirects. Savoir avancer, prendre une arme tirer et quitter la pièce avant que quiconque réagisse. C’est possible si on le prévoit. Mais c’est plus dur et contient une immense part d’imprévues et un taux de réussite ridicule.
J’avais 23 ans quand je quittais la Légion. Ennio m’attendait et nous sommes allés en Sicile tous les deux. Il me présenta à celui qui deviendrait un jour mon chef. Il n’était encore qu’un gamin mais je crois que ce jour-là je me suis senti comme un chevalier qui offre sa vie à son seigneur. Glaçant ou Romanesque ? Je vous laisse juger. Pendant 3 ans j’ai travaillé avec Ennio. C’est durant cette période que je devins Gatto Nero… Chat noir. Assassin silencieux et fatal. Un prédateur des rues qu’on ne soupçonne pas. Quand on m’appelle de ce nom je sais que c’est pour tuer. Alors on l’utilise très peu et en dehors de Mateo Russo peu de gens connaissent mon visage et mon identité. Consciencieusement. Proprement et sans aucune pitié. Il m’enseigna ses techniques. Ses ruses. Ses règles. Malade depuis des années il me fit ses adieux un soir au restaurant et s’en alla. Je le revis plus jamais. Je me demande encore s’il est allé mettre fin à sa vie lui-même ou s’il s’est trouvé un coin pour y vivre ses derniers jours ? Pendant des années j’ai travaillé pour Mr Russo. Je me suis créer différentes identités et vies pour passer sans cesse pour conserver mon anonymat.
C’est vers mes 30 ans que j’ai rencontrés Luis Torres. Un homme bon. Il avait deux enfants : Axel et Izia. Il était totalement fou d’eux. Pourquoi j’en parle. Parce que j’ai fais une erreur. Parce que j’ai cru que j’étais bien plus fort que je ne l’imaginais et j’ai appris durement l’humilité. Je devais tuer une cible et j’ai été piégé. Une taupe dans l’entourage de Mr Russo avait fait en sorte de lui faire louer mes services pour me piéger et affaiblir mon commanditaire. J’allais mourir et c’est Luis Torres qui m’a sauvé. Il a tué l’homme qui me tenait en joue de son arme alors que mon ventre était percé de plusieurs balles. Il a tué pour me garder en vie. Très pieu il m’a sauvé et m’a parlé de ses enfants pendant des jours. Il était intelligent et apaisant et quand je me suis senti mieux, il ne m’a rien demandé et m’a souhaité de m’en sortir. Mateo a identifié la taupe et l’a salement tué.
Les années ont passé et Luis Torres est devenu mon ami. Mais il était malade. Un cancer. Il est mort en me faisant promettre de veiller sur ses enfants. J’ai juré. Ma dette de vie serait alors payée. Mateo Russo lui avait décidé de se rendre aux États-Unis à San Diego et je décidais de le suivre pour me rapprocher des enfants Torres. Ils me connaissent comme un ami de leur père et je vais souvent les voir. J’ai de bons rapports avec Axel et Izia qui cependant a l’air de me regarder d’une manière très peu appropriée au vu de notre différence d’âge. Mais j’avoue que ce n’est pas déplaisant de plaire à une jeune femme aussi belle.
À San Diego je tiens une boutique d’antiquité sur Ocean Beach sur la Newport Avenue. C’est une boutique calme où il est possible de trouver des tas d’antiquités. J’ai une passion pour les objets du passé et j’affectionne particulièrement cette boutique de bric-à-brac qui fait très caverne d’Ali Baba. J’ai un petit appartement au-dessus et je mène une vie calme et tranquille. J’ai un employé qui fait tourner la boutique ce qui me permet de m’absenter quand je le désire ou quand j’ai des expertises à faire pour cette couverture ou parfois des petites recherches. Je garde un œil sur les enfants Torres et je vois souvent Izia, mais quoique loin, je garde toujours un œil sur Axel et sur ses… Histoires… Personnelles comme professionnelles…
Mais déjà je dois mettre en pratique mon savoir faire, mon devoir et ma promesse. Si je m’interdis formellement de conseiller les enfants de Luis ou de les orienter dans leurs choix, je m’assure quoi qu’il se passe qu’ils ne risquent rien. Et Izia est en danger. J’ai du me faire discret car les flics à cette période sont sur les dents. Elle était tombé sur un connard du nom de Joss Warren… Un Capitaine à l’ancienne. Un stupide crétin imbu de lui-même qui pense que la force est la clé. Le genre de mec qui éduque d’une torgnole en se disant qu’il est un bon père… Je ne juge pas, mais je pense que si vous frappez régulièrement une personne elle finira par se défendre… Ainsi ce mec avait une emprise énorme sur Izia. Le souci ? Il était flic. S’il est compliqué de tuer une personne, tuer un flic est pire encore… Mais je peine à sourire et à ne pas lui broyer les phalanges quand on se serre la main. Oui, Izia nous a présenté et je crois que je préfère ce petit mec qu’il a infiltré chez les Hounds ce Dan Parker qui désormais se fait appeler Hayden. J’aurais adoré que Izia se tourne vers lui mais Joss a visiblement une emprise particulière sur elle.
Ce soir-là, Izia est chez elle et m’appelle d’une voix ténue. Joss l’a frappée et elle est presque inconsciente. Je vais la chercher et la ramène chez moi. Je la soigne et met en garde Joss qui me menace de tout cramer et de me faire tomber pour des conneries. Je souris et me retiens d’agripper ma lame pour le tuer. Mais Izia s’interpose et se sacrifie pour moi. Non. Interdit. Je la laisse filer avec lui et je m’organise. Il est 2h du matin quand j’enfile un sweat à capuche noir. J’enfile des gants de chirurgien noirs et couvre mon visage avec un masque chirurgical. Il est dans sa voiture il attend Hayden. Izia est là. Elle croise mon regard et me reconnait. Je m’avance et sans un mot je profite qu’il fume à l’arrêt dans sa voiture vitre ouverte. Ma lame glisse dans ma main gauche. La droite se pose sur sa gueule et mon pouce relève son menton. La pointe plonge en avant, se glisse dans les deux carotides, le tranchant vers l’extérieur. Je pousse à peine et la lame ressort. C’est mon premier meurtre personnel alors pendant qu’il réalise je murmure à son oreille « je t’avais dis de la laisser » que ces derniers mots hantent ses derniers instants… Je laisse la lame dans la voiture. Depuis son achat elle a été nettoyée et manipulée avec tant de soin et sans aucune empreinte qu’elle sera comme manipulée par l’air. Izia à tout vu et je m’en moque. Je l’entraine et appelle les flics avec une voix modifiée par une appli pour me donner une voix de femme. Je joue la surprise et la peur. J’emporte Izia mais à ce moment j’entends Hayden qui revient et qui essaye de sauver Warren… Le con. Il se bat pour tenter un truc et une patrouille arrive. Putain pauvre gosse… Mais l’avantage c’est que la chance vient de tourner le dos à ce gamin et j’ai pu sauver Izia de Warren. Elle sait. Elle a tout vu et ça la ronge. Mais ce qu’elle ne sait pas c’est que je ne dirai rien si elle décidait de me balancer et de sauver Hayden. Elle sait qui il est, elle connait son histoire et son secret. Et elle connait le mien aussi… pseudo/prénom Hortek/Seb. âge 37 ans pays & présence France quotidienneou quand, comment ? Juste and allways and forever Lex <3 prélien ? inventé ? InventéCommentaires "hey mec !!! Va chopper la Gonzesse Mec !!!" Trigger Warning Non. | |
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WebName : Lex Date d'inscription : 03/03/2024 Messages : 10 Avatar & crédits : Scarlett Simoneit & Moi Date de naissance : 13/05/1996 Age : 28
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WebName : Yoshi666 Date d'inscription : 16/10/2023 Messages : 43 Avatar & crédits : Andoni Garcia -hegekey Date de naissance : 20/09/1988 Age : 36 Statut civil : marié à Anna Occupation : bras droit de Mateo Russo
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WebName : Shana Date d'inscription : 11/10/2023 Messages : 67 Avatar & crédits : Chiara Scelsi Date de naissance : 10/03/1996 Age : 28 Statut civil : Mariée Occupation : Femme au foyer... même si elle DETESTE ce terme.
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WebName : Lex / Claï Date d'inscription : 07/11/2021 Messages : 233 Surnom : Lotus Avatar & crédits : Scarlett Leithold / Tumblr Date de naissance : 25/04/1998 Age : 26 Statut civil : Libre comme l'air. Occupation : Assistante ? Habitation : Loft dans urban side Rivalités : Non-participant
| Sujet: Re: Vincenzo Varelli "Il gatto nero" Mar 12 Mar - 23:20 | |
| Tu es validé.e Félicitations !Salut toi Ce personnage a toute la dureté d'une vie en solitaire, tout en étant doucement éclairé par sa loyauté. J'aime beaucoup ce grand écart. Clair obscur tout en nuances comme tu sais si bien le faire. Rebienvenue, chez toi. Bienvenue. Nous sommes ravis de te compter parmi nous. Pour fêter ça, dignement, tu peux dès à présent : Poster une fiche de liens Nous rejoindre sur discord, si ce n'est pas déjà fait. |
Le cœur d'une femme est aussi fuyant qu'une goutte d'eau sur une feuille de lotus. |
| Sujet: Re: Vincenzo Varelli "Il gatto nero" | |
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