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Ah ! San Diego ! Cette ville emblématique de la Californie et de sa douceur de vivre. Un climat chaud, des plages sublimes à perte de vue qui bordent l'océan Pacifique. Difficile de ne pas succomber à son charme de carte postale, et pourtant ... Avouons-le, la belle photo sur papier glacé dissimule dans l'ombre de nombreuses rivalités. Au coeur de la ville un dilemme rode, Pick a Side or don't ! En découvrir plus
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 C'est un peu parti en couille (Amaaron)

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Amalia Cavanna
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MessageSujet: Re: C'est un peu parti en couille (Amaaron)   C'est un peu parti en couille (Amaaron) - Page 2 EmptyMar 5 Déc - 15:28



❝ C'est un peu parti en couille ❞
- Reyna Hazan &   @Aaron Cooper  -

Entre le feu et la glace
 
   
--OutFit-- La chaleur que tu ressens avec lui est d’une intensité rare. Tu as déjà vécu pas mal de plan cul, plus que tu n’aimerais le dire en réalité, mais celui-ci est différent. Est-ce le fait de braver les interdits ? Sans doute qu’il y a de cela. Si Benjamin venait à apprendre que tu avais réquisitionner une chambre pour te faire un de ces clients, qui au passage à saccager avec son équipe de tournage une autre chambre… Tu es presque sûr que tu déchainerais le chaos. Est-ce que c’est le fait justement qu’il soit un client ? Que par cette qualification il devrait t’être intouchable ? Ou est ce le fait que ce type soit une star du porno et que par sa profession il sache pertinemment comment rendre une femme pleinement satisfaite ? Quelque soit la raison, ton corps s’enflamme, tes sens s’affolent et ton être tout entier ne désire qu’une seule et unique chose à cet instant précis. Lui, rien que lui. Ce corps à corps qu’il te délivre est intense, son membre d’une taille hallucinante est capable de prouesse à l’intérieur de toi. La manière dont son corps secoue le tien, la cadence soutenue et butoir qu’il applique en te pénétrant. C’est à t’en donnait la fièvre tellement c’est bon.


Aaron dit apprécier tes yeux et ton sourire s’élargit alors que sa contemplation te flatte. Tu n’es pas une femme très compliquée quand on y pense. Tu étais froide et distante parce que c’est le rôle qu’on attendait de toi en tant que seconde du PDG. Tu as été menaçante et imperméable à ces compliments pourtant des lors qu’il a tentait de te chasser tu l’as laissé faire. Et à cet instant précis, tu es très loin de le regretter. Ton corps se voute à chaque coup de bassin qu’il fait buter en toi, tu lui demandes de venir observer tes yeux de plus prêt et sa bouche te revient. Ton buste se voute, collant ta poitrine à son torse en créant de ta colonne vertébrale un pont quasiment parfait. Tu grognes ton plaisir contre ses lèvres. Tes mains venant contre ses mèches ondulaient qui s’agitent autour de son visage. Il te demande de ne pas tomber amoureuse de lui après ça et tu fronces les sourcils un instant alors qu’il se redresse et agrippe tes hanches pour te maintenir en place. Son bassin prend de la vitesse beaucoup de vitesse, si bien que tu as du mal à comprendre ce qui t’arrive. Ton corps se voute toujours plus et dans le fond de ton corps quelque chose se prépare avec une intensité des plus rares. Tes sens se bousculent tu ne sais plus ce qui t’arrive si ce n’est que l’orgasme qui pointe sous tes abdominaux est fort et arrive rapidement.


- Aaron… Aaron !! Je t'en.... HAN ! Je t'en supplie !


Son prénom est l’ultime supplique qui sortira de tes lèvres alors que tu sais que tu vas lui céder sans même avoir le temps d’y réfléchir. Sa main s’appose sur ton clitoris et signe ton arrêt. Il te dit de te laisser aller. L’énergie qui grandit dans ton ventre, se charge et brusquement explose. Ton corps est brusquement projeté dans une extase que tu maitrises plus. Tes iris se perdent dans les siennes mais tu te retrouves dans une pluie d’étincelle où le distinguer devient flou. Les coups de bassin d’Aaron sont brusques mais surtout d’une rapidité hors norme.


- Oh mon dieu !


Tu suffoques, manquant d’air alors que ton cri finit par exploser dans une intensité folle. Impossible que les clients de la chambre d’à côté n’est rien entendu. Ton corps vibre allégrement et c’est comme si tu n’arrivais pas à descendre tellement l’énergie et l’intensité est grande. Tu vis un orgasme d’une ampleur phénoménale sans comprendre comment il a pu te faire ça ?





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Aaron Cooper
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MessageSujet: Re: C'est un peu parti en couille (Amaaron)   C'est un peu parti en couille (Amaaron) - Page 2 EmptyDim 17 Déc - 18:37

Je sais que des gens ont des talents et ce serait étrange de dire que moi c’est le sex, mais on va dire que baiser des nanas c’est mon métier et à force, on commence à savoir un peu quand elles sont sur le point de décoller et je crois que Cruelle n’est ni en train de simuler ni de chercher à cacher son plaisir. Alors pendant que je m’emploie à la rendre complètement folle de plaisir, je lui susurre des mots bruants pour achever de lui assurer que je ne cherche à cet instant rien d’autre que de la voir exploser de plaisir pour moi sous mes assauts fiévreux et passionnés. Son corps se cambre et elle encaisse mieux mes assauts comme si elle s’offrait sans concession et pour qu’elle explose sans retenue. Elle m’offre son plaisir et c’est à moi de venir le chercher… Je me déchaine alors sur elle lui offrant soudainement ma figure favorite, celle qui fait ma légende, ma renommée et mon surnom. Je lui fais le marteau-piqueur alors qu’elle commence à suffoquer de plaisir et m’appelle pour l’achever et lui infliger cet orgasme qui la menace sans pitié. Le barrage cède et sans retenue, elle jouit incapable de contrôler son corps qui tremble et vibre alors que mes assauts ne faiblissent pas et qu’elle se retrouve prise dans un orgasme durant lequel la voici incapable de reprendre ses esprits…

C’est fini pour elle, la voici prise au cœur du cyclone qui la tourmente et qui lui interdit de revenir de son orgasme alors qu’elle se contracte et tente de me repousser presque machinalement. Je me cramponne à elle férocement et continue d’alimenter sauvagement sa jouissance. La mienne arrive et comme un animal rendu furieux par le désir je me cramponne à elle pour lui interdire de me repousser. Qu’elle tienne encore un peu alors que mon souffle devient fou. Je tremble et je continue. Mon sexe va éclater et Cruelle est déjà en train de tourner de l’œil ? Je n’en sais rien mais soudain c’est là. J’ai juste le temps de m’arracher à elle que déjà un trait de plaisir éclate sur elle. Je saisis mon sexe et alors qu’elle tremble en me fixant encore ravagée de son orgasme je vis le mien, explosant sur son corps en soupirant de plaisir l’aspergeant de sperme brulant en suffoquant de plaisir. Je me vide longuement avant de sourire en reprenant mon souffle. La vache c’était plus violent et intense que je l’aurais imaginé. Je la regarde amusé alors que son corps sursaute encore. Je me penche et l’embrasse sur la bouche buvant ses soupirs alors que je glisse de nouveau mon sexe dans le sien pour me lover contre elle me couvrant au passage de ma propre semence en souriant. Oui je sais, c’est une technique géniale pour emmener la dame sous la douche… Mais pour le moment je profite des crispations savoureuses de son corps pendant que je mêle chaudement ma langue à la sienne.
Amalia Cavanna
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MessageSujet: Re: C'est un peu parti en couille (Amaaron)   C'est un peu parti en couille (Amaaron) - Page 2 EmptyMer 20 Déc - 10:54





❝ C'est un peu parti en couille ❞
- Reyna Hazan &   @Aaron Cooper  -

Entre le feu et la glace
 
   
--OutFit-- Des moments totalement fous tu en vie pas mal depuis quelques temps. A une certaine époque, tu n’étais pas cette femme. Tu n’aurais jamais couché avec un inconnu parce que son arrogance te plaisait, tu n’aurais jamais risqué une amitié parce qu’un plan à trois se proposait et que soudainement l’idée de faire jouir Vic’ devenait purement et simplement la seule chose que tu veuilles. Tu n’aurais jamais dragué une cliente au risque de t’attirer les foudres de Benjamin et possiblement ton licenciement. Tu n’étais rien de tout cela. Tu étais tout le contraire de la femme que tu es aujourd’hui. Tu étais réservée, timide, tu croyais aux histoires d’amour, à celle qui faisait qu’on tombait sous le charme d’un homme et qu’un jour on décide de lui confier sa vie entière. Cet idéal t’a menée tellement bas…


Alors oui aujourd’hui, tu vis des choses folles. Des situations outrageuses, et d’une intensité à t’en faire frémir des jours entiers après. Tu prends ce qu’on t’offre sans penser aux conséquences, sans te poser de questions. En oubliant les bonnes manières et en faisant ce que tu désires. Et ce que tu veux là tout de suite c’est le corps d’Aaron qui manque de te faire t’évanouir tellement la puissance de ce qu’il fait naître en toi est fort. Il est doué, il n’y a strictement aucun doute là-dessus, qu’il soit acteur dans ce milieu n’y change à tes yeux, il connait les corps féminins et sait divinement les manier. Tu peux en témoigner au vu de la chaleur qui règne en toi à son égard. Il s’applique, se donne et en résultat ton corps s’offre à lui avec une déchéance que tu penses n’avoir connu auparavant. Tu t’abandonnes à un orgasme qui t’arrache un cri véritable. Tu tentes de te cramponner à lui mais la rapidité dont il se prémunit te saccade tellement fort l’être que tu perds toute notion de contrôle, et t’abandonne à être une véritable poupée de chiffon entre ces mains qui te propulse loin, très loin. Ton corps cambre, ta peau se perle d’humidité, et tes mains s’enfouissent dans tes cheveux les malmenant sous son regard. Tu t’attends à émerger mais ça ne vient pas, la chute perdure à la fois pleine de puissance et de vertiges. Tu trembles de tout ton être et la réalité ne semble pas vouloir revenir. Tes mains s’apposent sur le torse d’Aaron comme si tu voulais t’échapper à sa prise qui t’oblige à continuer de vivre cette extase qui ne s’arrête pas. Tes cris se succèdent, s’évanouissant en gémissements à la fois lascifs et suppliants. Aaron te refuse de t’écarter, et sa prise sur tes hanches laissera sans doute de jolies marques bleutées. Tu croises son regard devenu à la fois fou de plaisir mais aussi aussi sombre que les abysses. Il continue ce rythme de décadence qui manque de t’achever et brusquement se retire. Il abandonne ton corps qui tellement échauffer du contact de la sienne, a soudainement froid. Dressé face à toi il agite son membre plein de plaisir sur ton ventre et ta peau se retrouve éclaboussée de sa semence. Tu reprends ton souffle, peinant à ouvrir les yeux face à l’effort qu’il vient de te demander. Ce que tu peux distinguer c’est son visage, ces boucles folles autour de son sourire fou qui succède à l’euphorie de l’orgasme. Ce sourire de petit con qui le caractérise. Tu apportes ta main contre ton front, ton corps tremble encore, sursautant encore de l’énergie déployée.


- Je t’interdis de te moquer…


Articules-tu en gémissant encore. Tu sens sa bouche venir prendre la tienne gentiment, son sourire colle encore à son minois charmeur. Ce mec est un putain d’enfoiré et l’un des meilleurs coups que tu n’as jamais eu droit de goûter. Son corps s’étend sur toi, contre son propre plaisir et tu entrouvres les lèvres en sentant le liquide s’étaler sur toi, mais pas que… Son membre s’enfonce de nouveau en toi et tu cambres avec surprise.


- Aaron attend !... Je… Hum.


Tu lis l’amusement dans ces traits et tu trouves ces yeux pour fixer son amusement et désapprouver en riant malgré toi. Tu le ressens de nouveau, te comblant de nouveau, atténuant peu à peu le feu interne qui s’estompe en sa présence. C’est… étonnement très agréable. Tes jambes s’enroulent aux siennes tu es à bout de force, et sa langue vient doucement caresser la tienne. Tu abandonnes toute notion de raison et dépose ta main contre sa joue, tes doigts cajolant sa peau alors que tu lui rends son baiser avec douceur. Tu as bien du mal à reprendre de ta contenance et tu susurres.


- Ok, je suis finalement d’accord avec toi… Tu es un bordel ambulant.


Tu lui souris, un vrai sourire, celui qu’il voulait obtenir de toi à tout prix. Tu glisses ton index sur son visage, y contournant ces traits avant de murmurer.


- Et j’ai adoré ça…


Tu déposes un dernier baiser sur sa bouche, fait pivoter vos corps, le surplombant en te redressant. Il est toujours en toi et ça t’arrache un faible soupire. Tu t’extirpes de son corps et murmure.


- L’heure est passée. Et il me reste... 2h avant de devoir reprendre mon poste, on devrait se dépêcher à quitter cet endroit.


Tu étires un sourire en coin et prends la direction de la salle de bain. Te dandinant totalement nue jusqu'à la pièce annexe. Tu ne peux décemment pas sortir de cette chambre sans t’arranger un minimum, tu sentirais la débauche à des kilomètres. Tu ouvres le robinet de la douche et attrape tes cheveux pour les rassembler dans un chignon au dessus de ta tête.




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Aaron Cooper
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MessageSujet: Re: C'est un peu parti en couille (Amaaron)   C'est un peu parti en couille (Amaaron) - Page 2 EmptyDim 14 Jan - 20:41

Dans la vie, vous avez deux types d’acteurs porno. Ceux qui font de la muscu et qui se soignent pour être belles et désirables. Ils posent et ils font en sorte d’être aimé et souvent, ils finissent par vieillir et faire de la chirurgie esthétique ratée et se mettre une balle. Et vous avez ceux qui viennent pour seulement baiser des canons et prendre du fric pour ça. En général ils ont du mal à vieillir et ils finissent producteurs de porno glauques juste histoire de se taper encore des petites nanas magnifiques qui veulent un peu d’argent. Et vous avez moi. Le mec qui fait ça parce que baiser c’est cool et qui ne sait rien faire d’autre que ça. Je suis le genre de mec qui aime baiser et qui aime que sa partenaire jouisse vraiment et ne fasse pas semblant avant de prendre la pose et d’encaisser son chèque. Je suis un jouisseur, un homme qui aime prendre son pied et donner du plaisir. Dans cette industrie, les femmes souvent simulent et ce qui se passe hors caméra est un joyeux bordel qui en dégoûteraient souvent plusieurs. Moi je m’efforce de fendre l’armure des autres et de les forcer à prendre réellement leur pied. Certaines d’ailleurs refusent de tourner avec moi pour ça. Elles ouvrent les cuisses et veulent juste laisser faire en faisant semblant et je les tourmente trop. Amalia quand à elle n’est pas là pour faire joli. Elle est là pour prendre son pied et c’est d’autant plus savoureux qu’elle est réceptive à mes assauts et caresses. Je lui fais même alors qu’elle se tient au bord de l’orgasme, l’honneur de savourer ma figure personnelle, celle qui fait mon nom.

Si elle explose dans un orgasme dès les premiers coups de bassin, mes mouvements s’intensifient et le pilonnement ne ralentit pas. Je la défonce littéralement sans plus aucune forme de mesure comme si je cherchais à lui infliger un orgasme pendant son orgasme. Ce truc semble fou mais un jour je vais y arriver j’en suis sur ! Alors que cette dernière meure de délice j’ai juste le temps de m’arracher et de me répandre sur son corps. Bah quoi ? Elle baise un acteur porno, il faut bien que ça ressemble à ce qu’elle peut voir dans les films ? C’est sans doute trop tôt pour une faciale mais déjà la dame est bonne pour une douche… Je souris amusé en la regardant toute perdue entre son orgasme, le mien, l’état de son corps et les sensations qui la secouent encore. Elle m’attire et m’embrasse en m’interdisant de me moquer. Je l’embrasse en retour et me couche sur elle m’assurant que mon corps étale bien la semence sur nous. Elle me dit d’attendre mais trop tard mon sexe retrouve sa place en elle. Je la regarde dans les yeux avec mon air d’éternel petit con, un sourire charmeur et provocant accroché aux lèvres, mimant avec exagération une attention totale à ses propos. Mais elle fait tomber le masque et rit. Elle me serre et m’embrasse longuement avant d’avouer qu’elle est d’accord avec moi et que je suis un bordel ambulant. Puis elle ajoute qu’elle a adoré ça.

Mon bassin se crispe un peu et je pousse mon bassin en avant comme si mon corps lui répondait que lui aussi il adore ça… Je la regarde me repousser et tenter de revenir à la raison. Je suis souillé de sperme et elle aussi, elle donne des ordres et file dans la douche. Je roule des yeux amusé. Il est quoi ? 4h30 ? 5h ? Le soleil n’est pas encore levé… J’entends l’eau couler et j’avance. Je prends une serviette et essuie le sperme sur mon corps avant d’entrer derrière elle sans un mot. Je la vois attacher ses cheveux en un chignon et soudain sans prévenir je l’agrippe et tire dessus pour qu’elle se cambre et relève le menton pour regarder le plafond quand ma main s’abat violemment sur son cul d’un claquement sonore qui lui laisse une trace rouge. Elle pourrait croire que c’est une maladresse alors j’en remets une plus féroce encore. Alors je colle mon dos au sien plaçant mon sexe raide entre ses fesses pour venir passer mon bras libre autour d’elle et mordre son cou avec férocité. Et oui… J’en ai pas terminé avec son cul… Mais ça… Elle va à peine le découvrir… Il ne sera pas facile de faire dans le « normal » et le « raisonnable » avec moi…
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MessageSujet: Re: C'est un peu parti en couille (Amaaron)   C'est un peu parti en couille (Amaaron) - Page 2 EmptySam 20 Jan - 9:07



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Entre le feu et la glace
 
   
--OutFit-- Tu n’es plus que fatigue, plénitude et douce euphorie. Qui aurait pu croire que ce type aux allures provocatrices, aux mimiques arrogantes et à la langue bien trop pendue, soit une divinité aussi délicieuse au pieu. Tu as encore du mal à reprendre tes esprits, maintenant que tu as gémis à plein poumon cet orgasme fou et que ces crispations délicieuses recouvrent à présent ta peau hâlée et lisse. La puissance de son corps lorsqu’il est parti à la conquête de te faire plier, la rapidité, la force avec laquelle il a communié avec toi. Tout était d’une perfection étudiée, d’une effervescence sublime, d’un instant suspendu. Tu comprends clairement à présent pourquoi il était si sûr de lui lorsqu’il disait qu’il te ferait sourire, parce qu’à présent c’est tout bonnement impossible de garder ton sérieux, après les sommets qu’il vient de te faire atteindre. Cet homme gâté par la nature, sait totalement se servir de ce qu’il a entre les jambes, et tu en frisonnes encore tout bonnement. Sa manière de faire est étudié et scrupuleusement faite pour vous faire succomber.


Tu es rompue, que ça soit physiquement ou émotionnellement, et ça te fait un bien de dingue, comment fait-il pour être aussi doué ? Tu as connu des hommes, et certains était tout bonnement le succulent fantasme où tu étais certaine de ne jamais pouvoir vibrer plus fort, et Aaron se pointe, nique une chambre entière avec son équipe, te donne envie des envies de meurtre toute aussi forte que de lui faire fermer sa putain de bouche, et se révèle être un coup du diable. Entre deux sourires, sa bouche reprend la tienne et la surprise à la sensation de sa semence chaude dans laquelle il se moque de s’allonger tout en s’engouffrant dans ton entre au plus haut point sensible, est à s’en damner. Il revient à un corps à corps plus délicat et d’une certaine manière t’en avait aussi besoin sans savoir le reconnaître. L’éclat d’amusement dans son regard anime et enflamme le tien, oui il est un véritable bordel ambulant. Une véritable tempête que tu ne soupçonnais clairement pas et pourtant… Tu es presque certaine que tu ne chasseras pas cette soirée de suite de ta mémoire. Seulement la soirée va se terminer, tu vas devoir reprendre ton poste, et ceux sans avoir dormi. Ben a besoin de toi et tu n’es pas réellement le genre de femme à dire que tu es malade deux heures avant de commencer à bosser, ni d’inventer un mensonge pour rester au lit avec un acteur porno aussi amusant et distrayant soit-il. Alors après avoir embrassé de nouveau ces lèvres tu le repousses t’extirpant du cocon délicieux qui vous unissez, et redeviens tout simplement toi. Tu files dans la douche de la suite, et tente de te dépêcher de rendre cet endroit rapidement. La cascade d’eau efface avec elle la trace de la jouissance d’Aaron sur ton ventre, et tu fermes délicatement les yeux sous l’enveloppe chaude que crée l’eau sur ton corps. Aaron approche, tu aimerais ne pas le remarquer, mais disons que ton père a réussi à t’apprendre deux ou trois réflexes au cours de ton enfance. Tu inspires et te tranquillise, cet homme vient de te faire vivre un moment des plus plaisants, il n’est pas un danger. Son corps échauffe le tien juste en se tenant là, et ta bouche s’entrouvre dans un sourire lorsqu’il agrippe soudainement tes cheveux et te force à te cambrer. Tu soupires d’aise à son attitude, penchant la tête vers le plafond sous sa poigne. Tu abandonnes un sourire, tu n’as plus le temps pour t’amuser. Tu t’apprêtes à lui dire, même si tu as très envie de prolonger ce moment encore et toujours malgré toi et tes directives.


- Aaron, je… Hum !


Le mordant d’une gifle sur tes fesses se fait entendre et ressentir sur ta peau. Le soupire qui t’échappe et qui pourrait être pris comme un murmure de plaisir, n’en est pas un. Tes mains se plaquent durement contre la paroi carrelée face à toi, comme pour t’y retenir. Tu fixes toujours le plafond mais pourtant l’effluve délicieusement excitante qui parcourait tes veines se transforme peu à peu en frisson d’effroi. Tu fermes les yeux et serre la mâchoire. Tu sais ton rapport aux gestes brusques et à la pseudo violence totalement erroné. Ça aussi tu le dois à ton père et à des années de peur. Ce n’était qu’une petite tape Amy’, Aaron ne te veut aucun mal. Il ne veut que t’exciter un peu plus. Mais une seconde fessée retentit, plus forte, plus sonore et plus… tétanisante encore. Cette fois tu couines, et tremble. Tu détestes cette faiblesse qui fait parti de toi, tu détestes la phobie exacerbée que ton enfance t’a obligée à intégrer. Aujourd’hui tu n’es plus capable d’être trop proche de gens qui se battent sans ressentir le besoin de t’accroupir et encercler tes genoux. Tu n’es plus capable de respirer normalement, de rester impassible et impénétrable si des coups partent et que tu es proche. Tu n'es pas capable de sentir du plaisir lorsqu’un homme échauffe ta peau de ces mains. Des larmes s’échappent de tes yeux alors qu’Aaron se colle à ton dos. Tu sens pertinemment que ce qu’il désire ce n’est qu’un second round, qu’une seconde chance de vous abandonner tout les deux mais…


- S’il te plait, non…


Ta voix n’a rien d’une demande sensuelle, d’un « non » qui serait en réalité un « oui ». Elle est craintive, enfantine, suppliante. Voilà ce que ton père t’aura transmis de mieux, la capacité à redevenir cette petite fille malgré son âge adulte à la moindre brutalité. Ton corps se recroqueville, et tu trembles plus fort malgré l’eau sensé te réchauffer. Tes cicatrises de petite fille resurgissent et balayent tout sur leurs passages.


- Ne me fait pas de mal… je t’en supplie.


Et voilà… Bienvenue dans le monde d’Amalia, Aaron… Tu pensais sauté une jolie nana et en réalité tu te tapes une névrosée que tu regretteras sans doute d’avoir sauté un jour ou l’autre.



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Aaron Cooper
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MessageSujet: Re: C'est un peu parti en couille (Amaaron)   C'est un peu parti en couille (Amaaron) - Page 2 EmptyDim 4 Fév - 20:05

Pfiou… On va dire que Cruelle est particulièrement caliente. Et moi j’avoue que ce petit air sévère m’a beaucoup plu, mais pas autant que ce regard tout brillant qu’elle me plante dans le regard maintenant qu’elle est comblée et forcée de prendre une douche, il ne me reste plus qu’à tout faire pour que je puisse avoir un second round et profiter des charmes de la dame jusqu’à ce que le jour se lève. Alors on pourra aller manger un petit dej, pioncer et remettre ça au réveil ? Je vais la faire virer avec mes conneries, mais c’est beaucoup trop excitant pour rester sage. Puis au pire je m’arrange pour lui trouver un boulot de râleuse sur mes tournages ou au pire je l’embauche quelque temps comme assistante. J’ai au moins… 4 mails par jour à gérer… C’est beaucoup. Puis il parait que je ne mange pas assez de fibres… ça serait l’occasion… Bref Cruelle part à la douche et je compte quelques secondes avant de la rejoindre. Je la trouve sous l’eau à me tourner le dos et me voici embarquant derrière elle et je la saisis par les cheveux, tirant fort pour qu’elle se cambre et alors qu’elle prononce mon prénom elle récolte une claque cuisante sur le cul qui lui arrache un cri. Elle plaque ses mains au mur. Excité je me colle à elle et je la sens se raidir mais pas réagir. Son corps est comme solidifié. Je l’entends me dire non avec un s’il te plait mais le ton est glaçant et ne pousse pas à l’excentricité. Je reste interdit contre elle l’entourant de mes bras sous cette eau qui coule. Je reste en place et elle me demande de ne pas lui faire mal et m’en supplie. Je réalise soudainement qu’elle est en souffrance. Une souffrance profonde et douloureuse. Le genre qui vous fait vriller…

Le porno c’est un monde bizarre dans lequel des gens amochés par la vie et les autres se sentent comme des monstres hideux et on se rassemble souvent entre nous. Souvent, nous sommes des gens en souffrance qui n’avons pas pu être sauvés et baiser de manière délurée est un moyen comme un autre de ne plus y penser ou de se réconforter ou de se dire qu’on est entre nous. J’en suis la preuve vivante entre cette cicatrice héritée d’un coup de couteau d’un père qui venait de tuer ma mère et qui s’est défenestré trop vite, permettant à des gens de me sauver la vie. Je m’arrête là et je comprends qu’elle possède une cicatrice en elle. Profonde et béante et que je viens de taper dedans en lui mettant cette claque sur le cul. Je n’aurais pas cru et pourtant c’est souvent derrière les plus belle tapisserie que le mur est totalement ravagé et prêt à s’effondrer. Je serre délicatement ma prise autour d’elle pour la réchauffer de mes bras et embrasse doucement l’arrière de sa tête.

« Jamais… »

Je la berce délicatement la pressant contre moi alors que je comprends qu’elle est comme moi. Qu’elle cache cette souffrance qui vient de ressortir et je ne vais pas la plaindre, ni la soigner. Je vais juste être là et attendre que la douleur reflue et juste… être là.

« … Je ne te ferai jamais aucun mal… Ni maintenant, ni jamais. »

Je recommence à embrasser l’arrière de sa tête doucement avant de décaler sa tête en utilisant ma bouche et mon menton afin de venir poser des baisers sur sa joue et sa tempe.

« Je suis un petit con stupide et autodestructeur, mais pas un méchant. Je ne te ferai pas de mal, je veux juste te faire du bien… »

C’est la vérité. Je ne savais pas qu’elle aurait réagi ainsi. Mais je ne pouvais pas le deviner. Je le sais maintenant et je ne lui demande rien. Elle n’a pas à me raconter mais je veux l’assurer que je ne lui ferai aucun mal. Ni maintenant, ni jamais. Je continue de la border de douceur en la couvrant de baisers pour la rassurer et la détendre. Je dois lui montrer qu’elle n’a rien à craindre de moi.
Amalia Cavanna
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MessageSujet: Re: C'est un peu parti en couille (Amaaron)   C'est un peu parti en couille (Amaaron) - Page 2 EmptyVen 16 Fév - 10:21



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--OutFit-- Nul doute qu’Aaron doit avoir un succès fou dans ces relations intimes. Nul doute également qu’il doit contenter bien des femmes, peut être même des hommes à y penser ? Quoi qu’il en soit cet instant avec lui, aussi inattendu soit-il, a été aussi d’une intensité extrême. Tu ignores si c’est lui, toi, la fatigue, l’endroit, l’instant mais quoi qu’il en soit, tu viens de vivre l’un des plus savoureux coups de ta vie. Avec toi cependant ce n’est pas parce que tu as apprécié l’instant, que tu le renouvelles. Tu fais en sorte d’éviter de voir un homme de façon chronique, les aventures qui durent ne sont tout simplement pas pour toi. Il y a longtemps que le prince charmant ta montré son plus beau visage, te démolissant le cœur au passage, en faisant en sorte de te laisser comme une moins que rien. Quoi qu’il en soit, le passé ne compte pas ici, et l’instant c’est toi et Aaron faisant perdurer l’instant en glissant sous un jet d’eau chaude qui détend lentement chacun de tes muscles, dénoue chaque fibre de ton corps et te fait oublier le stress quotidien durant quelques minutes. Après l’alchimie que tu viens de vivre avec l’insupportable petit con qui se glisse devant toi, tu n’éprouves aucune gêne ou crainte à ce qu’il te rejoigne. Après l’instant que vous avez vécu tous les deux, ça serait idiot, non ? Son corps se glisse contre le tien, et sa peau électrise instantanément la tienne d’une façon délicieuse. Il t’oblige à cambrer le dos, imposant une position assez sensuelle à ton corps, et sa poigne t’amuse quelque peu… Du moins jusqu’à ce que raisonne la brûlure d’une frappe sur ton fessier. C’est instantané, saisissant, terrifiant. Ton être se gorge de terreur, celle-ci s’insinuant dans chaque pore de ton organisme, dans chaque vaisseau te parcourant, glaçant ton sang et t’imposant l’immobilité. C’était déjà ainsi que tu agissais lorsque ton alcoolique de père se décidait à faire morfler ces gosses. Lorsqu’il se levait de son canapé en trébuchant, foutant tout ce qu’il avait à proximité au sol dans un fracas terrorisant. Andrew, ton frère aîné se glisser toujours près de toi, mais la conséquence était toujours la même. Tu pleurais toutes les larmes de ton corps à voir ton frère se faire tabasser pour toi. Tu agonisais, suppliais qu’on le laisse sans que tes supplications ne puissent l’aider. Bien au contraire… Ce connard accentuait ses coups à chaque fois qu’il constatait ta peur. Et tu n’as jamais été douée pour la dissimuler.


Tu trembles, ta peau se couvre de chair de poule, malgré la température chaude de l’eau s’écoulant. Tu fermes les yeux tentant de reprendre du contrôle sur ton esprit qui revit les traumatismes d’une enfance, que personne ne devrait connaître. Tu tentes par tous les moyens de te raisonner mais tu sens les larmes abondantes derrière tes paupières, Aaron doit partir. Tu ne vas pas réussir à te contenir, Andrew n’est pas là et tu as besoin de retrouver tes esprits. Tu vas te retrouver noyer dans peu de temps, submergeait par la peur insaisissable d’un passé torturant. Tu supplies qu’on ne te fasse pas de mal et… Étonnement ce n’est ni de l’insistance, ni de l’absence que tu obtiens… Tu obtiens de l’affection. Les bras chauds d’Aaron s’enroulent autour de ta taille et son contact n’est plus une envie pressante mais un contact doux, intime. La terreur qui affluait sous ta peau, régresse étonnement au contact de sa contention. Tes mains sur le mur te donnent une connexion avec la réalité et Aaron en est le pilier. Il maintient une sorte de cocon autour de toi en disant que ça n’arrivera jamais. Tu sens l’air revenir doucement au travers de tes sanglots. Il parle d’une voix douce, lente, calme. Ses lèvres embrassent l’arrière de ton crâne et tu fermes doucement les yeux, son corps réchauffant le tien. Tes mains tremblantes viennent doucement se croiser sur ta poitrine et rejoindre ses bras, les attrapant doucement comme pour t’y maintenir. Il a l’attitude parfaite, pas de long discours, pas de questionnement, il te laisse reprendre tes esprits, retrouver un semblant de contrôle alors que tu t’obliges à te reprendre. Il répète qu’il ne te fera jamais de mal et tu trembles dans ces bras. Ta tête venant doucement se reposer sur son épaule, le laissant venir embrasser ta tempe, ta joue. Tu ne sais pas pourquoi mais tes yeux se closent alors que ta langue se délie.


- Quand j’étais petite j’appréhendais toujours le moment où il serait temps de rentrer. Mon père avait pour habitude de boire… De boire jusqu’à ce qu’il oublie qu’on soit des enfants, mon frère et moi…


Tu prends une inspiration tu ne sais absolument pas pourquoi tu lui déballes les traumatismes les plus enfouis de ta vie, ici maintenant, à poil dans cette douche alors que ce type tu ne le connaissais même pas il y a quelques heures. Tu dirais bien qu’il te faudrait un psy, mais qu’est ce que tu pourrais bien lui dire ? Que tu fais partie de ces gosses terrifiés durant des années. Que ta mère était trop apeurée pour vous venir en aide, parce qu’elle subissait avant vous et qu’il ne commençait à vous toucher qu’une fois qu’elle était fracassée au sol, plus en état de vous défendre.


- Notre mère se faisait battre, et quand il en avait fini avec elle c’était à notre tour. Mon frère s’interposait toujours pour prendre les coups à ma place. Il a subi des choses… épouvantables à cause de moi. Si les coups à proprement dit n’était jamais sur moi, j’ai gardé le traumatisme de les avoir vu trop de fois, infligés aux autres.


Tu es tout bonnement ridicule à lui parler de ça. Ce mec voulait simplement te sauter tranquille, animé par le défi de te faire fermer ton clapet qui n’était que trop autoritaire à ces yeux. Tu désapprouves, secouant doucement la tête.


- Je ne devrais pas être en train de te dire toutes ces conneries.


Tu tentes de te reprendre. Déglutissant, passant ton visage sous le jet d’eau avant de doucement pivoter dans les bras d’Aaron sans chercher à t’en défaire. Il doit amèrement regretter finalement sa soirée avec la « Cruelle » qu’il pensait baiser encore et encore.


- Tu devrais retourner dans ta suite… Je suis sure que tu manques à ton équipe.


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Aaron Cooper
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MessageSujet: Re: C'est un peu parti en couille (Amaaron)   C'est un peu parti en couille (Amaaron) - Page 2 EmptyDim 25 Fév - 21:45

Merde, on dirait que ce geste que je viens de faire était bien loin de l’exciter et à faire remonter des choses pas cool en elle. Alors c’est ça jolie petite cruelle ? Tu caches les cicatrices bien profondément sous ton armure ? C’est marrant, mais je n’aurais pas imaginé que ça puisse être le cas. Pourtant, je réalise que c’est bien ça. Elle est toute fragile et terrifiée et j’enroule mes bras autour d’elle afin de la réconforter. Je connais ce sentiment de douleur quand tout vous fait suffoquer et que personne ne vous donne ses bras pour vous dire que ça va aller… Parfois je me demande pourquoi mon géniteur n’a pas attendu plus longtemps avant de sauter par cette putain de fenêtre, avec un peu de chance, il aurait été impossible de me sauver et tout aurait fini là… Merde, la cicatrice sur mon torse me fait mal. Elle me brule. J’avais 4 ans et pourtant j’arrive encore à me souvenir de la sensation de la lame du couteau que tenait mon père qui rentre dans mon corps après qu’il ait tué ma mère avec cette arme. Oui je comprends sa souffrance. Je fais refouler la mienne, car elle n’a pas sa place ici. Je la serre tendrement comme si le contact physique allait aspirer le mal qui s’écoule d’elle. Comme si… Soyons clair. Je suis aussi utile qu’un pansement sur une jambe de bois.

Elle commence à me raconter son histoire, papa alcoolique et qui frappait son frère et elle… Elle respire et je continue de la caresser. L’eau nous coule dessus. Comment on est passé d’une baise passionnée et débridée à ce genre de situation ? J’embrasse l’arrière de sa tête la couvrant de douceur comme pour apaiser la sensation de douleur qui s’est emparée d’elle. Elle me fait le récit glaçant de son histoire et je ne l’interromps pas. Je fais comme Alice avait fait avec moi quand dans le noir la serrant contre moi j’ai raconté en pleurant ce que j’avais vécu. Elle et moi nous étions des survivants de ce que l’humanité possède de pire et depuis sa mort… Je ferme les yeux un instant et expire l’air de mes poumons pour chasser l’émotion galopante qui est en train de m’étreindre. Je refuse de m’épancher, de penser à Alice. Pas ici, pas comme ça. Pas maintenant. Cruelle termine son récit et me déclare qu’elle ne devrait pas être en train de me dire toutes ces conneries. Je souris et alors qu’elle glisse son visage sous le jet d’eau et pivote, elle vient me faire face et se serre dans mes bras. Je coupe le jet d’eau et la laisse reposer son visage contre mon torse. Elle me conseille de retourner dans ma suite et qu’elle est sûre que je manque à mon équipe.

« Je ne fais jamais ce qu’on attend de moi, c'est un… Principe. »

Ou plutôt une tare dans mon cas. Je suis adepte du 3eme choix. Donnez-moi le choix entre deux portes, je prendrais forcément le choix qu’on ne me propose pas. Je glisse une main sous son menton et lui fait relever le visage pour poser ma bouche un instant sur la sienne.

« Et si on profitait du grand lit ou on a baisé pour dormir sagement ? Ce serait super cruel sachant que t’es nue et très attirante… »

J’essaye de la faire rire un peu mais l’idée c’est qu’elle comprenne que je ne désire pas qu’elle parte ou que je ne désire pas la laisser. C’était un chouette moment puis ça serait un peu connard de la laisser alors qu’elle se sent vulnérable non ?

« Pitié m’oblige pas à supplier, j’ai horreur de ça… »
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MessageSujet: Re: C'est un peu parti en couille (Amaaron)   C'est un peu parti en couille (Amaaron) - Page 2 EmptyMar 12 Mar - 17:04




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--OutFit-- Tu te pensais bien plus forte aujourd’hui. Bien plus armée face à ton passé et aux traumatismes qu’il a pu te laisser. Tu dois bien reconnaitre que tu trompais. Ton père a laissé sur toi et sur ton frère des marques que même les années ont du mal à laver, à atténuer. Tu as eu le droit pourtant aux meilleurs psychologues, aux thérapeutes en tout genre t’assurant que tu irais mieux. La plupart du temps c’est vrai, mais une gifle sensuelle plus tard et te voilà à pleurer comme la dernière des idiotes, terrorisée à l’idée que ton père apparaisse en sortant de nulle part et t’oblige à nouveau à vivre le cauchemar qui berçait ton enfance. C’est pitoyable, et pourtant c’est plus fort que toi, tu es incapable de maitriser la peur qui t’envahit soudainement et te pousse à vouloir simplement envelopper tes bras autour de tes genoux dans un coin reculé de la pièce. Ce ne sont pas tes bras qui t’envelopperont cette fois, mais ceux d’un illustre inconnu que tu ne connaissais pas il y a encore quelques heures et qui pourtant viennent t’empêcher de déclencher ta crise. Les larmes dévalent tes joues, et au lieu de s’enfuir en courant en prétextant avoir une séance d’aquaponey urgente, il reste et te contient sans dire un mot. Ta cage thoracique se comprime, l’air manque et la sensation épidermique qu’un malheur va s’abattre te contamine. Tu trembles, terrifié à l’idée qu’on te fasse goûter à la cruauté à nouveau. Sa carrure a beau être parfaitement athlétique et en mesure de t’oppresser, ça n’a pas cet effet. Le petit con de la suite VIP, possède l’attitude la plus douce et adaptée qui soit pour contenir une crise de terreur comme la tienne. Et tu t’en veux profondément de lui montrer cette facette de toi. Les larmes dévalent tes joues, camouflée par l’eau chaude qui couvre ton corps et celui d’Aaron. Tu te détestes mais tu n’arrives pas à te reprendre. Pas sur l’instant en tout cas, et ses bras sont la seule chose à laquelle tu peux te permettre de te raccrocher. Comment un moment si sensuel peut être aussi détestablement détruit. Sa voix rassurante te permet de te reconnecter avec la réalité, avec le fait que tu sois en sécurité et non dans une maison terrifiante où chaque soir la sentence venait vous tombez dessus. Et alors tu finis par lui expliquer sous ses baisers ce qui t’arrivait lorsque tu étais jeune. Tu ne sais pas pourquoi, ni comment il fait, mais la confiance est telle que tu expliques, ce que tu as toujours eu temps de mal à accepter. Tu as été une enfant maltraitée. Et sans doute est il temps que tu l’acceptes.


Ton corps se tourne pour faire face à Aaron, il n’a pas bougé, n’a pas dénier t’abandonner là où bien d’autre serait partie pour soulager leurs propres envies et avec une autre au besoin. Etonnement pas lui. Tu détailles son visage, derrière ce sourire de branleur tu décèles une lueur compréhensive, douce. Il devrait continuer à s’amuser au lieu d’être là avec toi. Tu lui conseilles de regagner son équipe de tournage et sa réponse à le mérite d’éveiller un nouveau sourire sur ton visage. Si l’autorité te caractérise à la perfection, l’arrogance est sa caractérisation première. Sa main se glisse sous ton menton et t’oblige à le regarder de nouveau. Tes grands yeux bleus se perdent une seconde sur la lueur des siens, alors que tes mains caressent ces flancs. Tu le laisses s’emparer de ta bouche et la chaleur de ces lèvres t’enveloppent doucement, comme une ultime marque de réassurance. Depuis quand Aaron est aussi douée pour consoler une femme ? Il te propose de rejoindre à nouveau le lit que vous avez partagé et de dormir un peu. Dormir ? L’un de tes sourcils se soulèvent, attends il a vraiment dit dormir ? Alors qu’il y a à peine quelques minutes il était dans un état d’excitation folle, il aimerait à présent dormir avec toi ? Tu l’entends poursuivre en te disant que tu es nue et très excitante et tu rougis doucement. Mais bon sang, Amy reprends toi, où est passé ton autorité ? Ta provoc’ ? Tu pénètres ces iris, et murmure.


- Juste dormir ? Toi… Tu accepterais juste de me servir de doudou ?


Tu t’apprêtes à le renvoyer, pensant que c’est la meilleure chose à faire pour lui. Après tout il est jeune, et tu es sans doute bien moins désirable maintenant que tes yeux ont déversés leurs paniques et leurs larmes mais il te prit de ne pas l’obliger à te supplier. Tu marques un temps d’arrêt, retenant ta respiration avant de susurrer.


- D’accord.


Tu sors de la douche, attrape l’une des moelleuses serviette que tu enroules autour de ta taille, avant de t’en saisir d’une nouvelle et d’approcher d’Aaron, cette fois timidement. Tu appliques lentement le tissu sur le corps d’Aaron remarquant la marque de couteau sur son torse. L’espace d’un instant, tu approches ton index contre celle-ci, étrange tu ne l’avais pas remarqué un peu plus tôt. Tu relèves tes iris sur lui, mais tu ne poseras aucune question. Revenant contre sa bouche tes lèvres se pressent et ta main s’empare de la sienne, avant de l’emmener à rejoindre la chambre. Tes iris reprennent de leur nuance taquine en revenant sur le lit, l’amenant à te suivre.


- Approche Mr Petit con !


Ton sourire s'élargit et tu patientes le temps qu'il approche, ta bouche reprend la sienne et cette fois tu n'es pas certaine que le baiser que tu lui donnes est destiné à vous rendre dans un état propice au repos.


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MessageSujet: Re: C'est un peu parti en couille (Amaaron)   C'est un peu parti en couille (Amaaron) - Page 2 EmptyDim 31 Mar - 22:17

Le monde est un endroit étrange. La vie est tellement différente d’une personne à une autre et chacun mène ses propres combats, chacun fais face à ses propres défis. Chacun se bat contre ses propres démons. Et parfois le monde vous surprend. Quand aurais-je pu soupçonner que Cruelle soit aussi ébréchée ? Elle n’était que cette femme superbe et autoritaire que j’ai cherché a agacé et qui a été sensible à mon charme. J’ai adoré la baiser et je me disais que j’allais parvenir à la démonter toute la nuit sans aucune forme de retenue et qu’au matin elle me supplierait sans doute de la laisser dormir épuisée et je serais parti fier comme un coq traversant le couloir tout nu pour aller enfiler mes habits dans la suite ou on avait improvisé cette fête lubrique et rentrer chez moi. Mais une fois sous la douche j’ai ce geste qui se vouait ardent. J’avais bien manigancé pour l’emmener ici et maintenant que j’ai fais ce geste, je viens de switcher son désir. Elle s’éteint rattrapée par une souffrance que je connais bien. Et soudain je réalise cette connexion entre nous. La souffrance appelle la souffrance et je ressens la sienne. Je n’ai plus envie de la baiser sans réfléchir à quoi que ce soit qu’au plaisir immédiat que je ressens. Je réalise qu’elle a mal et qu’elle est moins profondément enfoncée dans les méandres de la douleur et de la souffrance et je ne veux pas qu’elle plonge plus loin dans les abysses…

Je parviens à la calmer et à la ramener dans un état un peu plus doux et calme. L’envie de sex est passé autant chez quelle que chez moi je crois, mais j’ai plongé malgré moi et malgré elle dans son mal et maintenant je refuse de l’abandonner. J’aurais pu quitter la douche me rhabiller et sortir mais non. Déjà parce que je n’ai pas d’habits ici ni même de serviette et que je dois donc partir à poil avant de retrouver mes habits. Mais surtout parce que je sais ce qu’on ressent quand on est agrippé par les ongles noirs de cette sensation étouffante et violente. Qu’on se sente aspiré au fond de l’abime et qu’on ne peut rien faire pour y résister et que la souffrance est absolument horrible. Je lui fais alors une proposition de juste dormir. Elle semble d’ailleurs totalement prise au dépourvu et j’avoue que ça me fait un peu plaisir même si on ne va pas se le cacher ça va être foutrement frustrant de dormir nu avec elle sans rien faire… Bref elle accepte et nous sortons de la douche. Elle est au bord des larmes et vulnérables. Je la suis alors qu’elle vient me sécher doucement et que je la laisse faire. Elle tique un instant face à la cicatrice blanche sur mon torse. Cette fine ligne qui ne bronze jamais… Je ne dis rien et chasse les images de souffrances de toute ma vie qui ont découlé de cette blessure… Elle m’embrasse et me prend par la main pour me guider vers le lit alors qu’elle semble plus détendue. Elle m’appelle Monsieur Petit con ce qui ne me déplait pas. Je devrais même songer à me faire faire des cartes de visite… Elle se remet à m’embrasser et j’accueille sa langue avec plaisir même si elle va commencer à me coller des érections de malade et que je vais être forcé de la défoncer salement si elle continue.

Doucement je la prends par la taille et la couche dans le lit et je viens contre elle. Je m’enroule à son corps que je presse contre le mien. Je continue d’accabler sa bouche de baisers brulants et je reste sage mais totalement raide contre elle et contre son ventre. Le baiser se calme doucement et sans que je m’en rende compte, je m’endors contre elle la serrant contre moi lui laissant la tête posée sur mon épaule, mes jambes enroulées aux siennes et je plonge dans un sommeil de plomb sans aucun rêve…
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MessageSujet: Re: C'est un peu parti en couille (Amaaron)   C'est un peu parti en couille (Amaaron) - Page 2 EmptyMar 2 Avr - 10:01




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--OutFit-- Tu ne sais pas bien ce qu’il lui prend. Pour être honnête tu ne sais pas trop ce qui te prend non plus. Tu n’aurais jamais dû craquer en sa présence, tu n’aurais jamais dû montrer comme tu étais abimée de l’intérieur, comme en réalité ton autorité et ton arrogance n’est qu’une carapace. Est-ce que ça a vraiment de l’importance au fond ? Lui repartira sans doute à d’autres horizons en oubliant totalement d’ici quelques heures, quelques jours qu’il t’a un jour rencontrée et baisée. Qu’il a rencontrée une nana qui a pleuré à la moindre petite fessée qu’il lui a mise. Qui sait il s’en moquera s’en doute aussi. Et sans doute que tu en feras de même, oubliant la honte de tes traumatismes que ton père a marqué au plus profond de ton âme. Ça ne devrait pas te provoquer plus de gêne que cela. Aaron a été un bon coup et l’histoire s’arrête là. D’ailleurs pourquoi reste-t-il là ? A te consoler sous le jet d’eau chaude et à insister ensuite pour rester avec toi ? Tu n’es pas une enfant, tu chouines peut-être comme l’une d’entre elles à cet instant mais tu es en mesure de te relever. Rien ne l’oblige à rester et s’emmerder avec une fille comme toi. Mais pourtant il le fait. Il demande à rester avec toi, à dormir avec toi et si sur l’instant tu as envie de lui dire de cesser de te moquer de toi, tu te rends compte dans ces iris que tu reconnais une nuance familière. Celle de la douleur. Celle qui hante encore très souvent ton âme. Alors tu sors de la douche, te sèche et prends soin de le faire sur lui également. Ensemble vous regagnez ce lit qui vous a vu prendre de jolies teintes orgasmiques. Et ta bouche recherche la sienne pour simplement se réchauffer. Vous vous étendez sur le lit et bizarrement, tu ne te sens pas gênée ou mal à l’aise en sa présence. Toi qui ne recherches plus rien que des moments fugaces et brefs, étonnement à son contact tu t’apaises. Vos lèvres se câlinent ainsi pendant quelques minutes, vos corps se couchant l’un contre l’autre, vos jambes enlaçaient les unes aux autres. C’est ainsi que tu t’évanouis dans la chaleur et la tendresse d’un moment que tu n’attendais pas.


L’inconscient te saisira durant un temps qui file et qui te fait perdre la notion du temps. Si bien qu’en ouvrant les yeux tu es toujours dans cette chambre et Aaron est toujours fermement endormi et agrippé à toi. Tu fronces les sourcils, cherche ton téléphone. 7h. Tu vas être en retard, Ben te tuera si c’est le cas. Pourtant, tes iris se reposent sur les boucles blondes parsemant le visage du petit con avec qui tu t’es envoyé en l’air la nuit se terminant. Tu observes ces traits paisibles, la manière dont se courbe ses lèvres et tu étires un petit sourire. Aussi connard peut-il être, il a été un amant et un ami cette nuit. Mordillant ta lèvre inférieure, tu glisses ta main entre vos corps et constate avec satisfaction que monsieur est déjà éveillé au niveau de certaine partie de son corps. Délicatement tu te détaches de lui, t’enfouissant sous le velouté d’un drap qui couvrait vos corps. Te glissant sous l’obscurité de ce lit, ta main s’enroule doucement sur le membre impressionnant de ton partenaire. C’est dingue ce qu’il est bien doté d’ailleurs. Tu t’en étonnes encore. Tes allers et venus lent te font obtenir l’effet escompté, Aaron est au garde à vous.


- Hum... bonjour toi !


Tu ignores s’il dort encore, ainsi dissimulé mais quoi qu’il en soit tes mains ne sont pas les seules à se joindre à la partie. Ta bouche vient prendre le relais laissant le bout de son membre découvrir ta cavité buccale chaude de bon matin. Appréciera-t-il son réveil ? Tu es presque certaine qu’il sera plus envieux d’un dernier round qu’une échappée en mode ni vu ni connu.




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MessageSujet: Re: C'est un peu parti en couille (Amaaron)   C'est un peu parti en couille (Amaaron) - Page 2 EmptyVen 26 Avr - 12:09

Quelle soirée… Qu’elle nuit surtout. Je n’en reviens pas de cette baise torride avec cette charmante Cruelle. Mais la tournure qui vient soudainement mettre fin à mes désirs d’ébats jusqu’au bout de la nuit me prend aux tripes. Sans m’en rendre compte j’ai fait ressurgir un profond traumatisme chez elle et je me sens étrangement mal de lui avoir fait remonter tout ça à la surface. C’est assez similaire à ce que je peux ressentir parfois quand j’ai le passé qui remonte à la surface par mes émotions. Mais je crois que naturellement j’arrive à lire ce dont elle a besoin et à le lui apporter. Je crois d’ailleurs qu’au moment où nous quittons la douche pour venir nous allonger nus, je pourrais lui donner envie d’ouvrir encore ses cuisses pour moi. Mais je me contente de l’enlacer et de lui faire sentir la chaleur de mon corps avant de sombrer littéralement en réalisant que rester blotti contre elle quelques secondes allongé dans le noir suffit à me faire sombrer en un temps records. Je dors d’un sommeil sans rêve et j’ai l’impression d’avoir juste fermé les yeux un instant quand je sens une douce sensation entre mes jambes. J’ouvre les yeux et les referment à cause de la lumière. Il fait jour ? J’ai dormi quelques heures donc… C’est marrant surtout que j’ai eu l’impression d’avoir juste fermé les yeux une seconde. Je baisse la tête et trouve Cruelle en train de me caresser tendrement relevant son regard de petit ange vers moi. Putain chérie, si tu voulais te rendre définitivement adorable c’est chose faite. Je suis prêt à t’adopter quand tu veux… Je la regarde quand elle me dit bonjour avant de glisser sa bouche sur mon sexe me tirant un soupir d’extase faisant contracter mon ventre de plaisir.

« Bonjour Cruelle… Si c’est ta manière de dire bonjour il faut absolument qu’on s’installe en collocation toi et moi… »

Je pouffe de rire à ma propre connerie et doucement je viens caresser son visage pour dégager ses cheveux de devant son visage voulant contempler son regard pendant qu’elle me suce. Je fonds de plaisir et me cale dans le lit en la regardant faire. J’ai encore sommeil, mais quel réveil… Si j’avais un peu plus de force je crois que je la remonterai sur moi pour qu’elle s’empale sur mon sexe mais j’ai peu de force et envie de jouer…

« … À mon tour de profiter de ton cadeau et de manière éhonté… »

Je souris et guide sa tête avec douceur pour qu’elle me baise le sexe de sa bouche, je pousse mes doigts dans sa bouche parfois pour sentir sa langue les sucer et les enduire de salive avant de tirer mon sexe hors de ses lèvres pour le branler et lui approcher le visage pour qu’elle lèche mes couilles. C’est presque une sorte de branlette matinale très très très bien améliorée… Je souris et me régale de m’octroyer sa bouche et son visage ainsi durant de longues et savoureuses minutes. Je joue avec elle et pendant qu’elle me lèche et que je me masturbe, je finis par sentir monter la jouissance. Juste le temps de lui faire reprendre mon sexe que déjà j’explose sur sa langue en soupirant. Je jouis férocement me noyant dans ses yeux pendant que je me vide dans sa bouche. Et alors que j’expulse la dernière goutte, je lui souris et m’endors de nouveau sans crier gare. Je suis vraiment lessivé… Et c’est ce qu’on appelle un « Coma technique ».
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