C'est un peu parti en couille (Amaaron)

--OutFit-- Tu as passé une journée éreintante, il est presque trois heures du matin et en temps normal il y a déjà quelques heures que tu serais rentré chez toi, pas sûr que ce soit entre tes quatre murs, peut être que Vic et toi aurait profité de votre duo pour prendre un verre ou faire un peu la fête. Sauf que ce soir tu as quelques gestions de finance à gérer en vu que la compta prenne le relais et surtout que Mr Murphy puisse avoir les épaules un peu moins lourdes. Tu adores ton boulot, tu adores te rendre utile, tu adores anticiper les choses et savoir que ton boss est fier de toi. C’est peut-être en lien avec ton traumatisme d’enfance, un connard de père incapable de voir de la valeur en sa famille. Incapable de voir que ces enfants avaient un potentiel extraordinaire malgré l’incompétence souveraine de ce type à être tout simplement un père. Tu secoues lentement la tête en rejetant cette pensée nocive, et te remet au boulot sur les chiffres sous tes yeux, lorsque le téléphone de ton bureau se met à sonner. Tu fronces les sourcils, il est relativement rare que le personnel du palace compose ce numéro pour réclamer l’attention de la direction. En général, ils règlent les problèmes avec une efficacité et une diplomatie parfaite.


- Melle Cavanna.
« Melle, je suis désolée de vous déranger à une heure aussi tardive. »
- Miranda, j’ai parfaitement conscience que si vous m’appelez à cette heure ce n’est pas pour une raison quelconque, que se passe-t-il ?
« Un souci dans la suite présidentiel au dernier étage. Une production cinématographique a loué la chambre cela fait presque 3h quelle devrait être libre mais, il semblerait qu’ils ne daignent pas disposer. »
- Vous avez appelé la sécurité ?
« Bien sur mais la porte est verrouillée et nous n’arrivons pas à y accéder. Les chambres voisines se plaignent dont Mr Keenwolf. »


L’un de vos meilleurs clients et presque ami du palace. Tu inspires et annonce à la gouvernante que tu seras à l’étage dans quelques minutes, demandant à la sécurité de t’y attendre. Tu quittes ton bureau et rejoint l’étage accueillant les suites prestigieuses. Là-bas, t’attends la gouvernante qui continue de se confondre en excuse, et la sécurité reconnaissable dans leurs costumes noirs. Depuis le bout du couloir des ta sortie de l’ascenseur tu entends le vacarme à l’intérieur, la musique raisonnante dans un volume assourdissant, une odeur de cigarette palpable. Tu tentes de toquer, cherchant à attirer l’attention mais aucune réponse si ce n’est des éclats de rire de femmes. Tu inspires et te tourne vers l’un des hommes de sécurité.


- Demandez au PC sécurité de couper l’alimentation de la chambre 552.


L’homme incline la tête, et se saisit de talkie-walkie pour donner l’ordre. Tu continues de toquer alors que finalement un jeune homme aux mèches ondulés blondes t’ouvre. Tu hausses un sourcil en faisant couler ton regard sur lui. Totalement nu si on oublie cette serviette nouée autour de sa taille. Un corps magnifiquement taillé pour une bouille d’emmerdeur assuré. Une bouteille de champagne à derrière lui se casse la figure dans un bruit de fracas, il semble déjà bien amoché par l’alcool ingéré. Il demande si c’est pour gronder ou baiser et un sourire en coin s’élargit sur ton minois de marbre alors que tu articules.


- On est plutôt là pour évacuer.


L’électricité de la suite se coupe. La musique s’arrête, sous les réclamations des clients de la chambre plongé dans le noir. Tu tournes ton regard vers l’un des vigiles et il demande l’allumage des éclairages uniquement pendant que ton index se pose sur le torse du jeune homme en travers de ton chemin pour l’éclater de ton passage. Tu pénètres les lieux, enjambant les objets brisés, et découvre avec sidération que tout est sans dessus dessous, le mobilier est saccagé, des dizaines de corps enlacés sont en train de baiser ouvertement, d’autres tentent de se cacher par ce qu’ils trouvent, d’autres sont tellement ivres qu’ils dorment à même le sol. Tu inspires et te tourne vers la gouvernante qui t’a suivie.


- Miranda, nous avons bien une carte de crédit renseignée ?
« Oui madame. »
- Je crois qu’il y a des comptes à régler. Chers Clients, nous avons le regret de vous annoncer que vos… activités sont terminées. Merci de vous dirigez vers le couloir afin d’évacuer.


Des soupires et des cris de déception te perçoive mais tu t’en cognes. Tu tournes ton regard vers le nudiste qui t’a ouvert et plisse le regard en articulant.


- Vous ! On peut savoir ce qui s’est passé ici ?

--OutFit-- Tu observes la scène avec une expression plus ou moins neutre, difficile pour toi de totalement caché ton exaspération à ce qui se déroule sous tes iris. La magnifique suite, ressemble littéralement à une orgie où fesses et queue s’impose à ta vue avec une provocation outrageuse. Sérieusement, une équipe de prod dans le porno ? Et ces gens sont quoi exactement ? Des animaux incapables de se contenir à l’idée de baiser alors qu’ils ne font déjà que ça de leur vie ? Il faudra sans doute être un peu plus curieux sur les prochaines réservations avec ce genre de motif. Bordel, si tu ne nettoies pas ce merdier rapidement, et que Benjamin l’apprend, il va prendre un malin plaisir à enfoncer des têtes dans des derrières. Si le palace n’est clairement pas contre empoché de l’argent venant d’un milieu plus érotique, ou sulfureux tu doutes qu’une suite de cette valeur, saccagée par manque de discernement ne soit acceptable.


Tu inspires en gonflant tes poumons face au petit con qui vient de t’ouvrir et qui ouvertement ne se gêne pas pour faire couler son regard sur toi, telle une traînée de lave sur ton épiderme. Que tu sois regardée n’est pas un problème, tu n’es pas intimidée par les regards des autres, il y a longtemps que tu as compris que savoir défier et soutenir le regard des gens est une qualité indispensable pour montrer qui tu es et pas uniquement une plastique sympathique à envisager. Ton regard le scrute à ton annonce d’évacuer, il se fourvoie d’une mine attristée à l’entente de ton intention de les faire dégager. Oh pauvre bichon ! Il répond avec une arrogance spontanée qu’il est déçu de ne pas savoir que tu viens te jeter sur lui, te catégorisant de cruelle. Ton sourcil se soulève en une interrogation silencieuse, alors que l’espace d’un instant c’est ton regard qui glisse sur le corps du blondinet arrogant. Joliment sculpté, sexy, doté de charme ouvertement plaisant et un regard à en frémir bien des femmes. Oui… Tu pénètres les lieux en contournant le jeune homme et en susurrant au passage au creux de son oreille, un petit échange de regard par en dessous.


- Cruelle est mon deuxième prénom.


Tu enjambes de tes talons les débris et les constats de délabrement te saute aux yeux à chaque endroit que tu observes. OK… Finalement Benjamin va peut-être réellement casser des têtes. Tu as fait couper l’électricité et la musique pour rétablir l’allumage des pleines lumières, mais ça ne fait pourtant pas arrêter l’orgie qui a lieu. Si tu veux sauver la vie de ces dépravés vaudrait mieux qu’ils apprennent à saisir la porte de sortie pendant qu’elle est encore ouverte. Quelques nanas viennent en approche de ton service de sécurité alors que le petit blondinet, reprend la parole pour expliquer que Paul se tape Jacques, et dans ton crâne tu te fous totalement de son histoire de merde qu’il te compte avec son sourire de merdeux. Tu serres la mâchoire devant son récit à la con et avance vers lui, ton regard a parfaitement visualisé la nana qui vient de s’agenouiller devant l’un de tes gars, et une autre tend son fessier tellement fort que tu espère qu’un bon petit lumbago la condamnera à rester ainsi quelques heures. Ton regard sur les deux mecs est d’une nuance parfaitement étudiée, autoritaire et défiant. Tu pourrais appeler les flics mais ce genre de publicités tu t’en passes. Le petit connard précise qu’il comptait payer la moitié et la nana agenouillée la deuxième partie. Il précise que si on laisse encore une heure les choses se faire, tout le monde partira d’eux même. Il te propose un verre, ou d’autres activités diverses, son culot te rend nerveuse. Tu t’avances vers lui passant devant tes gars, pour revenir face à lui, proche… très proche, en soutenant son regard.


- Bien alors il vous reste une heure. Et autant vous dire que le tarif ne sera pas le même. Simple… question d’organisation pour le personnel qui patiente depuis bien trop longtemps. Un petit conseil, hum Monsieur ?


Tu perces son regard sans la moindre gêne malgré la proximité entre vous. Tu glisses ton regard plus bas sur sa bouche en mimant à la perfection un pseudo jeu de séduction que tu ne fais que jouer.


- Nous sommes très soucieux du bienêtre de nos clients, mais on apprécie moyennement que ces derniers se payent notre tête. Ne m’obliger pas à revenir avec d’autres personnes.


Sans reculer, ni bouger de la proximité que tu as avec le blondinet, tu remarques que tes hommes relâchent leur attention. Articulant d’une manière un peu plus autoritaire n’étant plus destiné à l’interlocuteur sous ton regard.


- N’y pensez même pas. Si vous voulez garder votre job je vous recommande ouvertement de garder vos pantalons et de reprendre immédiatement votre poste.

--OutFit-- Tu caches parfaitement ton jeu derrière tes airs autoritaires. Tu aimes jouer, tu aimes qu’on ne sache de toi que ce que tu veux laisser paraître. Ça t’amuse de lire dans un regard qu’on ne soit pas en capacité de te cerner, tu aimes à ce qu’on doute, est-elle sérieuse ou une ouverture est-elle envisageable ? Ça n’a pas toujours été ta manière de faire, bien sûr, il y avait une époque où tu étais toi et tu n’avais aucune honte à te dévoiler. Tu étais une jeune femme ouvertement sensible, douce, bienveillante, ne souhaitant rien d’autres qu’être un jour heureuse et aimée. Tu étais une grande rêveuse, convaincue que tu aurais une vie sans vagues. La vague est pourtant arrivé et à tout bouleversé dans ta vie jusqu’à ta propre vision des choses.


Cette chambre est un déluge et si Benjamin en a vent, il risque de casser le restant du mobilier et les têtes restantes dans la pièce. Tu vas devoir régler ça rapidement et faire chauffer les cartes de ces types afin que les réparations soient rapidement faites et que la suite soit de nouveau réservable dans un temps record. La température de la pièce est étouffante, ça sent la dopamine aux quatre coins de l’endroit et si tu es parfaitement capable de te contenir, ça devient plus complexe pour tes deux abrutis de vigiles qui se laisse égarer par deux paires de fesses aguicheuses ne demandant qu’à être honorées. Qu’il le fasse, mais ils iront sans mal expliquer à leurs femmes ensuite le pourquoi du licenciement ainsi que le motif noté en gras sur le papier recommandé qu’ils recevront au domicile. C’est garce ? Oui. Tu n’as jamais dit que tu étais aujourd’hui quelqu’un de bien. Tu vis pour toi aujourd’hui, pour les intérêts de Benjamin et le reste du monde peut très bien tourner sans que tu n’es besoin de t’y intéresser. Tu mets en garde tes agents de sécurité alors que tu fais face au jeune homme vous ayant ouvert. Celui-ci indique qu’il aurait juré que ton deuxième prénom était « canon ». Joliment joué Mr… La proximité du blondinet, t’attire un demi sourire en coin. Le culot de cet homme à au moins l’avantage de t’amuser. Tu l’écoute se présenter comme Aaron. Et ton regard prend malgré toi une lueur plus attentionnée soudainement. Aaron… as-tu coché la case des A ? Non. C’est la lettre que vous devriez cocher avec Vic’, ta meilleure amie à la prochaine soirée. Elle ne pourra clairement pas t’en vouloir d’avoir pris un peu d’avance ? Si ?


Le doigts du client insupportable, passe sous ton menton pour capter ton attention et tu entrouvres la bouche, rivant tes yeux aux siens, alors qu’il sourit et qu’il propose à ce que tu restes pour les gronder et empêcher un bordel plus important. Son pouce te caresse la joue et tu détailles son visage autrement que comme la second de ce palace. Ok, ce mec va être le A. Il précise en être un lui-même de bordel, et sa menace a peine voilée, n’est absolument pas pour te repousser. Il demande à te faire sourire juste pour te trouver plus jolie et ton regard perce le sien avec l’espace d’un instant une lueur d’amusement. Tu fais mine de réfléchir une seconde et revient à toi.


- Messieurs, dehors, immédiatement.


N’en déplaise à ces dames en chaleur qui se meurt dans leurs positions subjectives. Tu tournes la tête et d’un seul regard, indique que tu ne plaisantes pas. Tu les voient se ressaisir et sortir sous ton regard des plus déterminé. Tu reviens au petit con blond face à toi, lorsque ton personnel s’est éclipsé. La lueur dans tes yeux change et se fait plus séductrice. Tu approches de sa mâchoire, rejoignant lentement son oreille où tu susurres.


- Une heure. Pas une seconde de plus…


Tu inspires son parfum, prête à le repousser et à l’emmener dans cette salle de bain à a peine deux mètres, histoire de pouvoir cocher cette foutue case sur ton alphafesse. Tu sais qu’il doit penser s’être raté mais avant de reculer ton visage l’une de tes mains effleure son torse, en descendant jusqu’à la serviette qu’il a autour de la taille.


- Au bout du couloir, chambre 521, dans 5 minutes. On verra si vous êtes aussi fort que vous le prétendez pour me faire sourire.


Tu lui lances un regard des plus sensuels en reculant de son corps et en sortant sans même te tourner pour le voir une dernière fois. Tu traverses le couloir, dérobant au passage l’un des badges d’une ménagère pour pouvoir accéder à l’une des chambres du palace le plus en retrait qui soit.

--OutFit-- Le culot de ce mec est monumental. Sa manière de te convoiter avec un amusement visible à des kilomètres. Tu es habitué à ce que l’hôtel accueille des gens un peu déluré, nombreux sont les gens aux attitudes ou manies excentriques lorsque l’argent coule à flot. Mais celui-ci, est d’une arrogance toute particulière. Tu l’affrontes dans cette chambre où personne ne semble vouloir appliquer la moindre règle et ou l’orgie bat son plein. Pendant que tes yeux se plongent dans ceux de cet abruti à frisettes, des gémissements retentissent sous le bruit rythmé d’une musique de fond. Tu affrontes du regard Aaron, l’envisage maintenant qu’il porte la lettre A et détaille les atouts visibles de l’homme en imaginant déjà la tête de Vic’ lorsqu’elle comprendra que tu es en tête de votre quête de votre alphabet. Il aventure des caresses sur ton visage et tu sais déjà que tu veux voir ce mec jouir.


Tu reprends tes derniers airs de femme de pouvoir pour chasser tes vigiles, et dans ta tête, les options s’offrent à toi. Le faire monter dans ton bureau ? Non, Benjamin ne supporterait pas que tu oses amener des clients dans votre terrain de travail. Te reste une option, piquer le badge de Gabriella et t’envoyer en l’air dans une chambre libre. La 521 est l’une des plus prestigieuse et elle est inoccupée jusqu’à le lendemain. Tu quittes Aaron en lui donnant 5 minutes mais tu entends sans mal la démarche détendue qui poursuit ton passage dans le couloir menant à la chambre en question. Tu pinces tes lèvres en sentant le souffle du jeune homme dans ton cou alors que tu manipules les cartes entre tes mains. Le bras d’Aaron fermement posé proche de toi contre l’encadrement de la porte, tu distingue la serviette qui s’est étalée au sol. Tu sens ta bouche s’assécher et un sourire pointer au coin de tes lèvres. Sa proximité entraine une décharge électrique en surface de ta peau. Ok, monsieur est doué. Le surnom qu’il te donne et que tu lui as toi-même offert sur un plateau te plait. Tu l’écoutes te dire de te dépêcher, qu’il ne sait pas s’il sera se tenir et tu souris cette fois. Pourtant tu es bien loin d’être déstabilisée contrairement à ce qu’il croit. Tu sens la dureté qui pointe contre l’arrondi de ton fessier et tu tournes la tête à demi vers son visage en susurrant.


- Vraiment… Je ne sais pas ce qui se passe je ne trouve pas le badge…


Tu ne fais aucunement des efforts, la carte magnétique est déjà dans tes mains depuis un instant. Ton sourire reste malicieux, alors qu’il commence à décompter. Tu mordilles ta lèvre inférieure, en l’écoutant. Ta voix devient un souffle sensuel lorsque tu termines le décompte toi-même.


- 3.2.1…


La porte s’ouvre rapidement, tu pénètres l’endroit, attrapant la nuque de ton partenaire, et referme la porte derrière vous, plaquant monsieur contre celle-ci, alors que tu verrouilles la suite. Ton corps s’applique lentement à peser contre l’homme totalement nu contre toi. Tu foudroies ces yeux du regard, avant de descendre ces derniers sur son corps.


- Zéro !


Tu entrouvres la bouche alors que tu marques une pause silencieuse en le regardant, le temps que vos yeux se chargent de faire monter la tension entre vous, puis soudainement tu t’attaques à sa bouche. Avide, ferme dans les doigts que tu appliques contre sa nuque afin de t’y agripper. Ta langue passe la barrière de ces lèvres et vient le gouter. Cet homme est peut-être celui qui a commencé mais tu comptes bien te défendre durant ce round inopiné. Tu presses ton corps contre le sien, t’appliquant à l’onduler presque. Tes dents entrent dans le jeu sensuel, alors que tu relâches sa bouche pour décaler ta bouche sur sa mâchoire, déviant vers son cou, jusqu’à son oreille.


- Etes vous sur d’être en mesure d’assurer Mr l’arrogant ?

--OutFit-- Monsieur sait parfaitement faire monter la température, et spécifier ce qu’il peut désirer. C’est le moins qu’on puisse dire et, faut avouer que ça a un certain charme. Ok, tu l’entraînes dans cette chambre pour une seule et unique raison son prénom, et le fait que ton « A » sera validé. Cependant, Aaron a bien d’autres atouts. Des yeux malicieux, un corps athlétique, un minois provocateur et une foutue ténacité qui a bizarrement un effet assez plaisant. Son attitude désobéissante n’est pas pour te déplaire non plus, à la réflexion. Ok, bon ce client est très beau garçon et tu es loin d’être tombé sur quelqu’un de repoussant. Raison pour laquelle tu rentres dans le jeu sensuel qu’il te propose. Il te menace d’atteinte à la pudeur en te prenant en plein couloir, et loin de te choquer, c’est quelque chose qui boost ton envie déjà grimpante. Tu réalises alors le décompte comprenant parfaitement que ce cher client de l’hôtel n’a pas attendu d’être isolé pour manifester la présence de ces atouts sans la moindre barrière visuelle. Encore et toujours cette foutue arrogance. Tu aimes ça.


La porte s’ouvre et ton comportement change du tout au tout. Tu n’es pas une femme prude, ou froide. Non, tu sais être très chaleureuse si tu le désires et tu comptes bien l’être durant la prochaine heure avec Aaron. Le planquant contre cette porte d’entrée dès que vous y ayez pénétré, tu ne tardes pas à saluer de ta bouche celle de ton partenaire. Tu fais en sorte que ce baiser le fasse frémir, tu veux qu’il te désire, qu’il s’imprègne de la férocité avec laquelle tu as soudainement envie de le submerger. La main d’Aaron s’empare de la tienne qu’il dirige sur son… Oh ! Ton regard descend sur son membre qui retient instantanément ton attention. Entrouvrant la bouche, tu inspires l’entourant de tes fins doigts. Son membre est d’une dureté impressionnante et faire coulisser sa peau sensible semble le rendre plus envieux encore. Tu mordilles ta lèvre inférieure, en revenant dans ces iris. Monsieur Aaron vient ouvertement de faire céder les moindres réticences que tu pouvais encore avoir.


- Tu as l’air cruellement en forme pour quelqu’un qui vient de tourner un film.


Tu te moques gentiment et ta voix à pris soudainement un timbre beaucoup plus sensuel. Les lèvres d’Aaron reviennent au contact des tiennes avant de retirer ton haut. La dentelle blanche sous tes vêtements se fait apparentes. A ta remarque le décrivant comme arrogant, il dit s’appelait Aaron et tu souris. Tu ne lui as toujours pas donné ton nom, et au fond qu’il t’appelle « Cruelle » te va parfaitement. Tu ne cherches pas à revoir les hommes que tu baises, tu ne cherches aucunement de relations durant plus qu’une nuit. En générale tu es même celle qui dégage au petit matin. Tu mords doucement la lèvre inférieure d’Aaron coulissant plus fort ta main sur son membre alors qu’il se saisit de tes joues et te donne un baiser qui fait instantanément grimper ta température. Tu soupires contre sa bouche alors qu’il t’indique de rapidement trouver le lit, son corps ondulant pour que sa verge glisse plus fort entre tes doigts.


- Cesse de me distraire dans ce cas.


Tu élargis ton sourire, tes iris se voulant joueuse dans les siennes, alors que tu le relâches, et attrape ces poignets pour les détacher de ton visage. Tu recules, retirant tes talons un à un avant de rejoindre la spacieuse pièce de vie. Là, tu te détournes de lui ouvrant la fermeture de ta jupe crayon pour qu’elle chute au sol et que les seuls vêtements te restant soit ta lingerie. D’une main tu retires l’élastique qui nouait tes cheveux, pour qu’il descend en cascade dans ton dos, et avance vers la chambre. Tu connais parfaitement chaque suite de cet hôtel en tant qu’assistante du PDG c’est presque une nécessité. Tu jettes un regard derrière toi, et franchis le seuil de la chambre. Tu attrapes la main d’Aaron et l’amène jusqu’au lit, échangeant en chemin quelques baisers, sur sa gorge, son torse. Tu l’invites à prendre place sur le bord de lit et tout en captant son regard, tu retires doucement ta lingerie. Le sourire que tu as sur le visage s’illumine lorsque ces yeux te découvrent. Là où certaines femmes se sentent gênée d’être regardée, toi tu adores ça. Tu adores surprendre, lire une réaction, une expression face à ton corps. Peut être que c’est un peu prétentieux de faire cela, mais quoi qu’il en soit, ça rend ton intimité tout de suite bien plus avenante. Ta lingerie rejoint le sol, et vous êtes enfin sur le même pied d’égalité, tu t’avances entre les jambes d’Aaron, ta main attrapant son menton alors que tu attrapes de nouveau sa bouche.


- C’est maintenant que tu commences à m’obliger à te supplier ?


Tu es joueuse, moqueuse et tu n’as aucunement peur de découvrir ce que ce mec a à te proposer pour t’obliger à supplier. Y parviendra-t-il ? Rien n’est sur.

--OutFit-- La manière dont ces yeux se posent sur toi t’enflamme, te fait perdre les pédales. Son arrogance précédemment agaçante, devient sensuelle, et ça a le mérite de capter toute ton attention. Il est assez rare qu’un homme t’intéresse assez pour te forcer à trouver une solution rapide où, tu seras en capacité de pouvoir gémir et faire gémir ton partenaire. Aaron semble savoir parfaitement comment doser sa provocation et sa sensualité. Même si des la porte de la suite fermée, c’est sa sensualité que tu as décidée d’embraser de tes lèvres afin d’étouffer ces mots. Sa bouche est délicieuse, son contact à la fois assuré et doux. Il sait y faire et tu doutes que cela ne soit qu’uniquement ces heures de tournage qui lui permettent ce genre de passion dans ces gestes.


Tu avances dans la suite, découvrant également à quel point Aaron est bien dessiné. Comme son corps semble fait pour procurer du plaisir à une femme. Une pointe d’excitation se contracte au sein de tes abdominaux. Vic’ ne te croira jamais lorsque tu lui raconteras la chance que tu as eu ce soir. Tu le détailles alors que tu le fais asseoir sur le bord de ce lit, terminant d’ôter la lingerie de ton corps.  Son regard continue de t’observer et tu ne le quittes pas un seul instant. S’il cherche à t’incendier de sa posture, de sa raideur ou juste de ces iris. Tu comptes bien en faire de même avec lui et voir le désir noyer ses iris. Tes mains caressent lentement ta peau dans tes mouvements, avant d’approcher, glissant ton corps entre ces jambes pour revenir prendre ses lèvres en otage des tiennes. Ta langue vient à la découverte de la sienne, le goutant. Puis en relâchant sa bouche, ton regard l’observe et ses iris prennent une lueur toute différente. Son regard devient suppliant, et il faut avouer qu’il te surprend. Là où d’autres mâles t’auraient déjà agrippé, et couché sur ce lit pour mieux te soumettre, lui te regarde et te supplie de le laisser t’offrir du plaisir. Tu l’examines, tes yeux pénétrant plus fort les siens. Pourquoi soudainement tu ressens l’envie qu’il continue ? Qu’il continue de te regarder comme il le fait, qu’il continue de te vénérer de cette manière qu’il lui est propre. Ces mains entourent tes hanches pour te maintenir à lui, pendant que sa bouche remonte ton cou, suçant sensuellement ta chaire. Des frissons se font ressentir, courant le long de ton épiderme et t’enivrant de sensation. Ta main se glisse dans les boucles blondes de ton partenaire, s’y agrippe d’une intensité que tu ne te connais pas. Tu sens la morsure de ces dents se faire piquante, mais légère. Ce mec est doué, ces actions ayant directement une répercussion sur ton entrejambe, et tout ton corps. Sa bouche descend le long de ton corps rejoignant ta poitrine qui s’étire à lui, tes tétons pointant douloureusement. De façon bien maligne, il prend contrôle de tout ton corps. Si son regard est innocent et angélique, rien n’est plus faux. Il sait parfaitement ce qu’il fait. Il t’indique de le chevaucher et tu obéis. Rapidement ton buste se cambre à sa venue, et tu te mordilles les lèvres alors qu’il supplie de nouveau. Tes iris reviennent aux siennes. Ta main libre se glissant entre vous et entourant son pieu de chaire considérablement conséquent pour lui donner toute l’attention nécessaire. Tu pénètres fort ces yeux alors que sa langue passe sur ton téton entrainant ton halètement malgré toi. Tirant plus fort ces cheveux pour l’obliger à reculer une seconde, tu baisses ton regard sur sa bouche, te jetant sur elle pour la sucer de ta bouche. Tu laisses la tienne se nouer à elle, avant de repousser Aaron à plat contre le lit, dos contre le matelas et remonter sur son corps à quatre pattes d’une manière féline. Ta bouche s’abaisse sur son ventre, ton regard ne lâchant pas le sien d’une seconde. Tu laisses ta langue gouter sa peau, sur ces abdominaux, sur la ligne séparant ces deux pectoraux. L’un d’eux bénéficiant de ta morsure avant que tu ne reviennes à son visage.


- Montre-moi.


Tes lèvres approchent les siennes, et tes dents mordent lentement sa lèvre inférieure, alors que ton bassin s’affaisse au niveau du sien. Sensuellement ton entrejambe rencontre son membre et t’y frotte un instant, tes yeux scrutant les réactions de ton partenaire. Tu souffles doucement contre ces lèvres, susurrant sensuellement.


- Montre-moi, ce que tu sais faire Aaron…


Tu souris en coin avant de te redresser et de remonter son corps jusqu’à ce que ton entrejambe soit face à son visage, et que tu n’attends que son accord pour descendre sur son visage et découvrir ce qu’il se dit capable de te faire. Dans cette position, ton entre jambe palpite, tu en as foutrement envie, Aaron a réussit à ouvertement te mettre le feu, et tu es incapable de te savoir vraiment comment.

--OutFit-- Qui aurait pu croire que le comédien face à toi soit aussi bon séducteur. Quoi ? Ça semble évident ? Non. Tu as connu bien des hommes à l’apparence charmante mais qui avait l’aura séductrice d’une moule sortie de l’eau. Le genre de mec possédant une allure folle mais qui dès qu’il ouvre la bouche ruine toute la poésie. Aaron a beau joué au petit con de service, en se moquant des conséquences, il a parfaitement saisie comment te conquérir, et éveillait en toi tes instincts de chasseuse. Tu as pourtant la parfaite façade de femme froide et insensible, prête à raser la ville pour ces désirs. Mais une chose est plus intense encore que ta froideur, ta passion. Il a décidé d’opter pour la carte de la soumission et c’est assez flatteur à savourer. Ses mains sur toi sont assurés, sa bouche qui te découvre est tendre, et exigeante en même temps. Un parfait dosage de tendresse et en même temps de mystère quant à ce qu’il aime, lui. T’ignores comment il fait, mais ton corps se laisse émouvoir, ta peau s’échauffe à ces caresses et si ta tête elle mesurait, ton corps lui le veut déjà.


C’est pour cela que tu l’obliges à s’allonger, que ta langue goûte son épiderme, et que malgré ton apparence glaciale, tu es prête à tout pour donner très chaud à ce petit con qui a refusé de t’obéir. Tu remontes son corps, gratifiant sa bouche au passage de tes baisers. Le goût de sa bouche est sensuel, appétissant et épicé. De quoi faire monter un peu plus encore la température. Tu te redresses finalement sur les genoux et vient offrir ton sexe à sa bouche comme il te la suppliait quelques secondes auparavant. Des son premier contact, tu bloques ta respiration sentant que l’homme qui est entre tes jambes n’est clairement pas un novice. Tu inspires, et sent le passage brûlant de sa langue a quelques endroits sensibles, éveillant en toi des frissons qui te transperce de toute part. Tu baisses les yeux, trouvant ces iris qui ne perdent pas une miette du spectacle que tu sembles être. La moitié de son visage s’efface par la présence de ton corps mais tu devines parfaitement le sourire de merdeux qu’il affiche en voyant l’effet qu’il te procure. Tu entrouvres la bouche, ton souffle se saccadant au fur et à mesure de ses caresses. Puis comme s’il voulait te faire prendre un cran de plus, sa soumission s’estompe légèrement. Sa langue est toujours en action, récoltant le fruit de ton excitation, mais ces mains deviennent plus possessives sur la rondeur de ton fessier et sa prise te fait frémir. Ton regard se voile l’espace d’un court instant d’une envie plus grande encore de lui. Tu abandonnes plusieurs soupires, sentant comme l’impact de ces caresses prennent de l’ampleur. Expert, il bascule très légèrement ton bassin, atteignant de sa bouche ton clitoris et les stimulations qui en découle te font ouvertement pousser tes premiers soupires. Tu fermes un instant les yeux en commençant à bouger involontairement le bassin contre les lèvres parfaites de ton amant. La sensation est exquise et ça se voit sur ton visage. Ton regard devient chaud, ton sourire plus franc alors que tes souffles se font plus saccadés. Il semble être partout de ces mains qui agrippent ton fessier à sa bouche qui se délecte de l’ensemble de ton intimité. Tu vas défaillir et tu le sens, tu le sais. Tu bascules d’avant en arrière, sensuellement alors que ta poitrine s’étire vers là, jusqu’à ce que la pointe de tes tétons soient plus tendues. Tes soupires deviennent des gémissements plus explicites sous ces frôlements. Bon sang, il est véritablement très doué de sa bouche. L’un des meilleurs que tu as pu connaître pour le coup. Ton corps ondule sensuellement sur la bouche d’Aaron qui ne fait qu’attendrir tes sens, et augmenter ton désir à son égard. Tes muscles se tendent imperceptiblement à chaque lapée qu’il engage contre ton intimité. Tu gémis, émerveillée d’une certaine façon par sa manière d’entretenir le plaisir. Tes hanches vont et viennent un peu anarchiquement à mesure que les secondes filent, la pression de ses mains sur tes muscles fessiers est délicieuse. Tes mains s’agrippent à la tête de lui, tu serres la mâchoire alors que l’intensité grimpe crescendo. Tu abandonnes un couinement coupable alors que ton intimité divinement stimulée ne demande qu’à fait décharger cette boule de plaisir résidant au creux de ton ventre. Ta chevelure ébène bascule sur le côté et soudainement ton corps se tend. Majestueusement tu sens la vague te transpercer, le point de départ étant la bouche d’Aaron. Tes yeux le cherche, s’évanouisse en repérant ces yeux braqués sur toi. Tu devines sans mal son petit sourire triomphant, et tu le comprends. Après tout tu lui octroies tout pouvoir sur toi pendant une heure. Tu redescends lentement de ton extase, soulevant lentement ton entrejambe de son visage. Tu redécouvres les lèvres légèrement gonflées de ton amant, descendant sur son corps, oui en flatter sa bouche qui s’est si bien occupé de toi jusqu’à présent. Tes lèvres s’appliquent sur les siennes, ta langue venant à la rencontre de la sienne, qui porte ton goût. Tu relâches doucement sa bouche, en souriant. L’une de tes mains descendant sur son membre toujours plein de désir mais incroyablement délaissé. Tu entrouvres la bouche en redécouvrant la taille de sa verge et loin d’avoir peur au contraire, tu susurres.


- Tic tac, tic tac…


Comme pour expressément rappeler à ton amant que tu ne lui as donné qu’une seule et unique heure et en général tu te tiens à ce que tu dis. Tu reprends sa bouche un court instant le temps de déposer un baiser chaste sur sa bouche puis dévale son corps jusqu’à ce que ton visage soit face à son ventre. Tu mords un instant sa peau, avant de susurrer.


- A moi d’être à ton service. Dis moi ce que tu veux Aaron…


Ton regard vert le fixe avec la plus grande attention, attendant ces consignes. Ton sourire malicieux éclairant ton visage.

--OutFit-- Aaron est taquin, amusant et notablement très habile de sa langue. Assez en tout cas pour réellement te propulser dans un état de sensualité qui est assez remarquable. Tu as parfaitement conscience que cet homme t’a traqué à sa manière, et tu le lis bien distinctement dans les yeux qu’il t’adresse lorsqu’il te fait grimper et possiblement atteindre un point de non-retour. La tactique du jeune homme est sensuellement rodé, pas de jeux de domination apparent. Bien au contraire, il utilise la soumission, l’amusement et la douceur à son avantage et ça a un certain charme. Même toi et tes airs supérieurs sont bien obligés de l’admettre. Sa bouche te compte une histoire délicieuse, exploitant chaque recoin de ton intimité sensible à ses caresses, où il t’amène à divaguer et à prendre plus de hauteur pour finalement éclater dans un orgasme coupable qui te fera couiner involontairement. Ton corps tremblant, soumis à un plaisir qui dévale veines et afflux nerveux dans un frisson délicat, se délecte du moment avant de te faire revenir à la réalité. La prise d’Aaron sur ton corps se fait plus délicate, et son sourire vient accueillir ton baiser que tu veux chaste contre ses lèvres avant de dévaler son corps. Tu lui rappelles que le temps court contre lui et que votre moment ne sera plus qu’un souvenir d’ici quelques temps. Tu n’es plus vraiment le genre de femme à te soucier des conséquences des moments fugaces et intenses. Tu dois probablement remercier ton ex pour cela. Tu n’as pas toujours été ce genre de femmes. Non… Avant tu étais une de celle qui croyait à la pureté des sentiments et qui jamais n’aurait cédé à une pulsion sans y avoir réfléchis.


Quoi qu’il en soit en cet instant, tu lui appartiens et tu lui demandes ce qu’il désire que tu fasses. Tu lèves ton regard pétillant sur lui attendant ces consignes avant qu’il ne te dicte de faire un grand écart ? Bordel ! Quoi ? C’est quoi ce type ? Il a vraiment le fantasme de se faire une gymnaste ? Peut-être même une funambule qui sait ? Ton visage doit exprimer ton étonnement car son rire cueille ton attention et d’une poigne ferme, il approche ton visage de ses lèvres. Tu abandonnes un soupire contre ces lèvres et exprime sensuellement le plaisir que tu prends à le gouter. Cette bouche est capable de choses folles. Il en a conscience ? Bien sur que oui. Il te goûte de sa langue avant de finalement te pousser à refaire face à son membre, sa prise dans tes cheveux ébènes toujours très marqués. Ton sourire trône toujours sur ton visage, et plus encore devant cette pointe d’autorité. Il dit vouloir savoir ton prénom et tu t’humectes les lèvres comme si tu y réfléchissais. Il veut jouer donc… tu es prête à relever le défi.


- Cruelle me semble le prénom, idéale pourtant.


Son gland vient tapoter doucement ta joue et tu perces son regard, sentant par ce geste son amusement à te soumettre et à faire de toi son jouet. C’est ce qu’il aime ? Soit, tu le détailles, ta langue s’approchant malgré sa poigne de sa cuisse pour la lécher du bout de ta langue, avant de murmurer.


- Pourquoi je ferais ça ?


Tu l’écoutes dire qu’il veut savoir le nom de la déesse qu’il fera jouir et ton sourire s’élargit doucement alors que tu le sens te forcer à le regarder alors qu’il applique son gland contre ta bouche en de petites tapes. Tu le défie de tes iris émeraudes, ne cachant pas le fait que tu le trouves très doué pour te séduire. Ton corps s’enflamme à ces remarques, à sa manière de te toucher, de te mener. Ton corps s’incline sous ces yeux, dociles à l’extrême tel un chat, ton buste s’écrase à l’avant pour laisser ton fessier se tendre plus en arrière, et exposé ton corps nu à des positions disons plus sensuelles. Tes lèvres se joignent et embrasse en de petits baisers chastes sa queue qui tapote ta bouche. Ton regard crie son amusement à le provoquer. Tu abandonnes un soupire plaintif quant à sa verge que tu n’as pas encore goutée, et susurre finalement.


- Oublie mon prénom… laisse moi imprimer simplement la marque de Cruelle sur ta peau.

--OutFit-- Tu étais loin de te douter que ça te plairait autant de jouer avec Aaron. Si à la base tu comptais le baiser et sans la moindre pause, histoire de simplement prendre ton plaisir et te moquer du reste. Il faut reconnaître qu’il est d’un divertissement très plaisant. Toi qui subis sans cesse la pression, qui affiche cette stature toujours droite et impeccable, tu avais cruellement besoin de souffler. Et tu avais une « case » à remplir dans ton alphabite, qui plus est. A l’abris des regards dans cette chambre, la température est vivement montée sans prévenir. Aaron est doué, outre le fait que ça soit son métier, et sans doute que cela y contribue ouvertement, il a une sensualité et une approche toute à lui. Une approche qui te fait mourir d’envie d’aller toujours et encore plus loin.


Il désire ton prénom, et tu n’as absolument pas envie de le lui donner. Pourquoi ? Peut être simplement pour maintenir la distance par la suite. S’il est divin là tout de suite, que sa queue te donne des envies folles d’assouvissement, tu sais pourtant qu’ensuite tu ne le reverras pas. Inutile par conséquent de s’encombrer de détails encombrants. Aaron taquine tes lèvres de son gland, ton regard perçant ne le quitte pas d’un seul instant alors que ta langue s’amuse à l’embrasser, à le toucher, à le câliner. C’est gentillet et c’est sensuel. Son pouce vient doucement ouvrir plus fort ta bouche et tu te laisse faire. Tu ne devrais peut-être pas mais tu éprouves l’envie de lui faire confiance pour ton plaisir. Son gland s’enfonce entre tes lèvres et tu n’opposes aucune résistance, savourant la rudesse de son pieu, découvrant sa dureté, sa douceur. Sa main maintient ton crâne en place et tu gémis doucement face à la longueur de sa queue. Es-tu capable de le prendre entièrement ? Tu n’en sais strictement rien et en réalité… tu es curieuse. Il caresse ta joue et demande si tu veux toujours savoir ce qu’il désire. Tu as la bouche prise, alors tu approuves simplement d’un signe de tête, tes iris le regardant avec une dévotion soudaine qu’il ne doit pas connaître. Il dit enfin ce qu’il désire, annonçant ces ordres, désirant ton contrôle, que tu sois sienne le temps de cet instant. Ton regard perce le sien, si tu pouvais le dévorer tout de suite tu le ferais. Tu oublies toute retenue, toute réserve. Tu ne lui donneras aucun accord oral, cela serait compliqué. Lentement tu amènes tes bras dans ton dos et tes mains se lient l’une à l’autre en le regardant toujours sans défaillir. Il avance sa verge avant de la reculer, et tu inspires en entrouvrant plus fort les lèvres signe que tu acceptes ces conditions. Tu lui laisses les rênes et progressivement il va et vient au travers de tes lèvres, prenant de plus en plus de terrain, commençant à effleurer l’antre de ta gorge. Tu ne le quittes pas d’une seule seconde, ton regard est verrouillé sur lui. C’est la première fois que tu oses être aussi soumise à un homme. Tu l’observes se mordre la bouche et tu ressens l’effarante envie de la mordre toi-même. Tu accentues l’ouverture de ta bouche, cherchant l’air quand sa verge te le permet. Ta langue en profite pour le câliner à chaque aller et venu, et même si sa présence est imposante entre tes lèvres, tu aimes ça. Tu aimes voir sur son visage ces traits s’étirer, se déformer sous l’acte, sous le plaisir aussi peut être qu’il éprouve en te faisant ça. Tu étires un peu ton visage comme pour lui faciliter l’accès et doucement tu abandonnes un soupire d’aise. Tu as parfois envie de cligner des paupières, de fermer les yeux mais les ordres sont ce qu’ils sont. Et tu sens comme son autorité te donne de l’envie à ton entre jambe bien trop délaissé.

--OutFit-- C’est l’un des contrastes de ta personnalité, tu es une femme très audacieuse, autoritaire et planifiant tout sur un timing précis. Dans la vie quotidienne, tu laisses très peu de places à l’imprévue, tu t’affirmes, refusant qu’on te dicte ta conduite. Dans l’intimité… C’est une tout autre affaire. Tu es docile, délicate et douce. Ton côté rebelle s’éclipse pour refaire surface à certains instants mais sans jamais dominer le moment entièrement. C’est exactement ce qui se passe avec Aaron, alors que vous n’êtes que tout les deux dans cette chambre hors de prix, que ton corps s’incline à genoux devant lui pour glisser tes lèvres autour de sa queue dure et délicieuse. Tes yeux s’imprègnent des siens et tu deviens attentive à ces souhaits. Tu analyses chaque geste, chaque mimique de son regard pour en décrypter ce qu’il aime, de ce qui l’indiffère. Il a donné des ordres simples et ce sont tes yeux qui ont donnés leur accord concernant la suite. Tu glisses tes mains dans ton dos et reste dans son regard comme il te l’a demandé. Tu as beau être une femme douce dans l’intimité tu n’es pas dupe sur le fait que tu puisses arrêter ce jeu dès qu’il ne te conviendra plus. En attendant tu es avide de lui, l’échange que tu lis dans ces iris percute directement ton entre jambe, tu veux le satisfaire, tu veux le sentir au bord du gouffre. Alors tu restes sage lorsqu’il commence à prendre réellement possession de ta bouche et non seulement pour une succion classique. Tu inspires doucement l’accueillant chaque fois que sa peau lisse s’impose contre ta langue. Gagnant à chaque petites poussées quelques millimètres. A mesure qu’il s’engouffre entre tes lèvres, tes iris lisent les marques du plaisir sur son visage et ça te captive. La manière dont cet homme ressent les choses est divine à regarder. Son sourire se déforme comme si prendre son temps lui demandant bien des efforts. Ses pommettes se teintent légèrement sous l’effort et alors ça pulse fort contre ton entre jambe de le voir prendre du plaisir. Ces souffles t’encouragent à te montrer plus forte, plus endurante, alors que son membre vient de plus en plus loin contre ta langue. Un aller, un autre, puis un encore et malgré l’inconfort que cela te crée au niveau respiratoire et anatomique, tu halètes et ne désire pas arrêter. Tu entrouvres plus fort la bouche, restant fixé à ces iris en gémissant doucement. Tes iris se remplissent de larmes, ton corps lutte d’une certaine manière au corps étranger qui s’insère à l’aura de ton arrière gorge.


Tu ne tiendras pas très longtemps pourtant, tu te déplaces légèrement comme pour faciliter l’angle de pénétration et lorsqu’il prend un rythme tu l’accueilles. Oui Aaron… donne moi tout ce que tu veux. Ton regard bleuté ne le quitte pas, tu veux tout voir jusqu’à sa libération, jusqu’à ce qu’il se rende compte que tu ne te déroberas pas. Il atteint un point final, et lorsqu’il se retire tu suffoques, baissant la tête pour déglutir, retrouvant l’air qui pénétré ta bouche à petite dose. Tu toussotes, mais pas le temps de te focaliser là-dessus que tes cheveux sont agrippés et qu’Aaron t’oblige à remonter et que tu obéis en oubliant les douleurs dans ta mâchoire. Ton corps se fracasse sur le lit, et soudainement tu sens sa présence derrière toi. Tu souris en coin en le sentant te mordre, son souffle chaud se répercutant contre ton cou. Ton corps s’arque, ton fessier poussant contre son bassin, ta peau veut la sienne, tu veux qu’il t’emmène plus loin encore. Tu veux que durant cette heure que tu lui as donnée, il fasse en sorte que tu n’oublies rien. Il dit que maintenant vous passez aux choses sérieuses et tu chuchotes en te frottant à lui.


- Montre moi Aaron…


Il s’enfonce sans attendre en toi, et la largeur de son membre écarte sensuellement ton orifice pour s’y loger. C’est dingue des milliers de frissons te parcourt de toute part, ton cri s’échappe dans un souffle sans que tu ne puisses le contrôler lorsqu’il est entièrement en toi. C’est étrange, tu as connu bien des hommes mais difficile d’imaginer qu’on puisse te combler aussi fort. Tes doigts s’enroulent aux draps, et tu marques un temps pour t’habituer à lui. Tu sens tout en plus fort sans protection. Tu devrais sans doute paniquer au vu du pédigré de cet homme mais là tout de suite, tout ce que tu désires c’est qu’il s’occupe de toi. Son baiser se pose sur ta joue et tu gémis doucement en poussant ton fessier en sa direction. Tu tournes la tête en sa direction, attrapant sa bouche de tes lèvres pour les épouser avec passion, tu susurres de nouveau.


- Je te veux…


Tu t’étonnes toi-même de tes mots mais il avait raison. Tu es prête à le supplier pour qu’il aille jusqu’au bout et assouvisse ton corps jusqu’à l’épuisement. Reviendras-tu sur ta condition d’heure ? Tu n’en sais strictement rien mais ce qui est certain c’est que le moment fait trembler ton corps entièrement. Tu sens les allers et venus s’entreprendre et mon membre t’obligeait à lui faire de la place à chaque pénétration. Tu as presque l’impression qu’il pourrait tout déchirer en toi. Pourtant là encore tu t’empêches de réfléchir. Tes bras s’allongent en avant de ton corps et tu arque boute ta colonne vertébrale de sorte que ton fessier pointe en sa direction.

--OutFit-- Deux facettes c’est bien ce que tu possèdes. L’une s’est construite suite à plusieurs évènements de la vie bien particulier. Te faisant devenir autoritaire, capable de maîtriser une multinationale si on t’en donnait la mission. Tu es une femme organisée, minutieuse, envieuse de faire le meilleur dans tout ce que tu entreprends. Indépendante et effroyablement solitaire, tout en possédant bien des contacts. Puis il y a l’autre. Celle que tu es depuis l’enfance. Celle fragile, ne supportant pas la moindre violence physique pour l’avoir bien trop côtoyée plus jeune. Celle qui a été brisée un jour par un homme qui possédait toute sa confiance, toute sa dévotion et son amour. Celle qui se soumet lorsque la sensualité est au rendez-vous. Celle qui aime la fête et être insouciante. Celle que tu es à ce moment précis.


Ton regard ne l’a pas quitté un seul instant durant cette fellation. Tu souhaitais être à la hauteur de cet arrogant enfoiré qui t’a amené à le désirer, à le séduire, et à t’envoyer en l’air dans une suite sur ton propre lieu de travail. Vous voulez savoir le pire dans tout ça ? Tu adores ça. Tu l’as regardé droit dans les yeux, alors qu’il s’enfonçait de plus en plus intensément entre tes lèvres. Ce n’était pas quelque chose de simple mais tu es presque sûr d’avoir lu dans ces iris qu’il en a été agréablement surpris. C’est ce que son baiser ensuite t’a fait penser en tout cas. La chaleur de ces lèvres fut sur l’instant étourdissante, avant qu’il ne te bascule sur l’un des coins du lit et ne s’insère derrière toi pour prendre possession de ton intimité. Des sa pénétration, tu sens comme il est imposant, et comme l’étroitesse de ton entre jambe s’élargit à son passage. La sensation est délicieuse, il sait parfaitement comment s’y prendre et c’est d’une saveur délicieuse. Il s’insère lentement et centimètres par centimètres tu comprends bien pourquoi. Ton corps se pousse vers lui, tes doigts triturent les draps, alors que ta joue s’appose sur le tissu. Ton regard se ferme, ton soupire se fait sonore alors que son bassin rencontre le tien. La paume d’Aaron agrippe ta nuque afin que tu restes en place et tu abandonnes un autre soupire sur tes lèvres souriantes. Tu entends son gémissement à la fois de plaisir et de désir, et tu tentes de trouver ces yeux en susurrant.


- Ouais… Je n’aurais pas dit mieux.


Tu affiches une moue amusée alors que tu critiques son gémissement qui n’est autre que significatif du plaisir que vous attends. Son visage s’approche et ça te donne l’occasion de te saisir de sa bouche. Cette bouche que tu rêves de faire taire depuis la première seconde où tu as pénétré ces yeux. Cet individu arrogant et agaçant qui s’avère être un coup majestueux. Tu avoues le vouloir, et tu n’as pas honte de l’avoir fait même si tes joues rosissent à ton aveu. Aaron débute ces allers et venus et si c’est délicat au début, tu sens ton corps l’accepter. Il sait comment préparer une femme nul doute là-dessus. Et pour une raison inconnue tu sembles lui faire confiance. En tout cas pour te donner du plaisir et un moment mémorable. Sa main se glisse entre le matelas et toi et soudainement il atteint ton entrejambe. Ta respiration s’arrête à la divine sensation de la pulpe de ces doigts contre ta fente sensible. Tu couines en sentant allier les deux mouvements sur toi. Tu sens son souffle chaud dans ta nuque marquée ta peau avant que la morsure ne se fasse sentir. Tu gémis doucement contre le matelas, alors qu’il susurre qu’il compte te rendre folle. Ton rire s’échappe au travers de soupires haletants et sensuels.


- Et je crois que j’ai très envie que tu continues de faire ça.


Tu sens son bassin se plaquait plus durement contre ta croupe. Et pourtant tu pousses à la rencontre, tu le veux, vraiment comme rarement tu as eu envie d’un autre. Tu sens l’impact raisonner dans ton corps, tout comme ton intimité se gonfler contre les doigts délicats d’Aaron. Tu marques une pause dans ta respiration alors que tu peines à garder du contrôle.


- Aaron…


Son prénom s’échappe de tes lèvres d’une manière lascive. Il synchronise ses mouvements à la perfection car soudainement tu sens l’aura se pointait. Comme ça, brusquement l’extase commence à naître et tu fais frotter ton corps plus fort contre sa main. Tu répètes son prénom alors que tu sens la sensation prendre du terrain du creux de tes reins jusqu’à dans ton ventre et se propageait dans tout ton corps. Il reste doux, soucieux de toi, mais ce n’est pas ce que tu veux. Tu trouves ces yeux et pousse plus fort contre son bassin. Tu vas atteindre ton point culminant celui qui va provoquer l’orgasme.


- Aaron… s’il te plait… Plus fort.  


L’accélèration se produit, plus vite, plus sec, et soudainement ton corps s’arque. Ton cri raisonne alors que tout ton être frisonne en se tendant. Ta nuque cherche à se relever mais la pression d’Aaron te maintien délicieusement. C’est fort, dévastateur et… tu as une certitude… Tu vas en vouloir encore.

--OutFit-- Rien n’aurait pu t’indiquer que cette altercation avec la suite réservée par cette équipe de tournage, t’embarquerait dans une situation aussi intense et sensuelle. C’est la première fois que tu fais ça, la première fois que tu oublies ta fonction pour céder à tes pulsions et amenait un client dans une autre chambre pour le baiser. Enfin théoriquement c’est lui qui te baise, et il faut reconnaître qu’il est une expérience très agréable à découvrir. Si Benjamin savait ce que tu faisais tu crois bien que pas un seul des murs de ce palace ne serait assez résistant pour rendre hermétique ces cris. Il n’y a pas quarante règles à respecter, et pourtant la plus primordiale d’entre elle est en train de te faire prendre un pied de fou, sous les traits d’un homme d’une vigueur impressionnante, et d’une arrogance affolante. Un véritable petit con… Mais un petit con qui sait parfaitement comme venir à bout de toi. Tu as rarement autant aimé ça qu’aujourd’hui. Tu sens les contractures de ton corps, la manière dont sa verge maintenant en toi te comble, rendant ton corps ivre de lui, ivre de ces gestes et assauts. Tu sens la main d’Aaron allié parfaitement son bassin à ces doigts et la fièvre te monte. Son prénom emplissant la pièce, tu pousses en sa direction. L’un de ces bras s’enroule autour de ta gorge et l’espace d’un instant, tu te fais moins participative. Une sensation de crainte te prend, malgré le plaisir fou qu’il arbore. Durant quelques secondes, tu t’imagines qu’il soit en réalité de ces hommes… ceux qui brutalisent, ceux qui frappent le corps de leurs maîtresses et un frisson d’effroi passe sur ta peau. Pourtant sa bouche soupire doucement contre ton oreille, il mordille ta peau et lentement c’est comme une nouvelle dose de drogue qui passe en toi. Tu te détends alors qu’il exerce une pression pour t’encourager à te redresser. Tu sens l’effluve de plaisir parcourir tes lèvres, tes souffles sensuels que tu n’es plus en capacité de retenir. Puis soudainement l’assaut qui avait pris une vitesse divine s’arrête, et ton corps et brusquement invité à se tourner. Ton regard plein de surprise retrouve le visage d’Aaron. Un sourire apparait sur ton visage en découvrant ses yeux, non… Cet homme ne te fera absolument aucun mal. Ces doigts glissent doucement sur tes cuisses alors qu’il se repositionne et laisse outrément tes jambes très écartées. Ton regard descend sur ton corps ardent qu’il repénètre, en faisant arquer le tien. Tu fermes un instant les yeux sous la sensation avant de revenir à lui. Tu l’écoutes dire que tes yeux sont magnifiques, tes joues en rougissent avant que tu ne susurres.


- Tu devrais les contempler de plus prêt.


Tu mordilles doucement ta lèvre inférieure en continuant de soupirer d’aise à ces coups de bassin. Tu te sens bien, peut être trop. Ta main attrape la nuque de ton amant, et des qu’elles sont à ta portée, tes dents viennent mordre ses lèvres inférieures. Tu lui voles plusieurs secondes de baiser, avant qu’il ne se redresse et presse ton ventre pour te maintenir en place. Puis soudain ce sont des assauts purement et simplement irrésistibles qui te sont administré. Tu perds toute raison, abandonne toute retenue. Ton corps se cambre et ta tête s’étire en arrière. Tu glisses la pulpe de tes doigts contre ta chevelure et soudainement tu perces son regard à l’instant où brutalement l’orgasme vient exploser en toi. Ton corps se met à trembler, ton cri est plus évocateur que tout. Tu sens l’abondance divine d’endomorphine qui circule dans ton corps pour apaiser ton corps.