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 Laissons retomber la pression || Taylor Andrew

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Andrew Cavanna
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MessageSujet: Laissons retomber la pression || Taylor Andrew    Laissons retomber la pression || Taylor Andrew  EmptyMar 6 Juin - 20:39

Laissons retomber la pression
Outfit -- Il est très tard, la nuit est déjà tombée sur San Diego depuis déjà un sacré moment même. Je suis encore au travail, rester tard le soir pour bosser comme un forcené auprès de Taylor ce n’est pas quelque chose de rare. Je peux facilement dire que j’aime mon ce que je fais, les journées qui n’en finissent pas ne sont pas un problème pour moi, peut être devrais-je suggérer à Taylor de me faire installer un lit dans le bureau ? Ainsi, je serais plus opérationnel ? Bon, ok, ma petite blague me fais sourire, mais je ne suis pas certain qu’il en soit de même pour elle.

Cette semaine a été particulièrement longue et éprouvante d’abords d’un point de vue physique à cause de cette fatigue accumulée à cause de nuits raccourcis et également d’un point de vue mentale, les derniers dossiers étaient sensibles et plutôt délicats à traiter. Tout comme elle je ne supporte pas l’injustice, je prends notre mission très à cœur. Je travail à ses côtés depuis son investiture, j’ai dû faire mes preuves et lui prouver que j’étais une personne de confiance. Je suis comme une ombre, je l’assiste tout en restant dans son sillage, en retraits, discret mais toujours là. Si je n’avais pas dû arrêter mes études de droit en plein milieu j’aurais peut être put devenir avocat, viser plus haut qu’un poste d’assistant, mais les choses sont ce qu'elles sont et aujourd’hui j’aime ma vie et mon travail tels qu’ils sont. Je n’ai jamais regretté d’avoir mis mes rêves de côtés pour le bien de ma mère et de ma soeur. Je suis devenu l’homme de la famille le jour ou j’ai fichu mon père dehors à coups de poings, j’ai dû mûrir plus vite que la plupart des gamins de mon âge. Je ne suis pas certain d’avoir davantage la tête sur les épaules que qui que ce soit pour autant. Je ne tiens pas en place et si je parviens à ma ‘canaliser’ au travail c’est uniquement parce que je me dépense et évacue toute cette colère qui m’anime depuis trop longtemps à la salle de sport. C’est un moyen comme un autre de me canaliser.

Sur la table repose de la nourriture chinoise que l’on vient juste de se faire livrer. Je sais pas quel heure il est mais je meurt de faim et cette nourriture encore fumante me mets l’eau à la bouche. Je soupire, portant ma main au niveau du col de ma chemise pour en desserrer le nœud de ma cravate autour de mon cou. J’ai l’impression que toute la pression de cette semaine se terminant retombe d’un seul coup. C’est étrange comme sensation agréable et pesant à la fois.

« Ça fait du bien de terminer la semaine sur une note plus légère.»  

J’adresse à ma supérieur un sourire teinté d’une fatigue que je peux pas dissimuler. Le dernier dossier m’a retourné plus que je voudrais bien le reconnaître. Ce fils de pute qui est à l’ombre à présent pour un bon bout de temps me rappelais pour plusieurs raison mon père. Ce connards d’Italien qui nous cognaient dessus. Je ne sais pas si c’est le regard, la stature, ou cette violence naturelle qui émanait de lui, mais cette affaire m’a malgré moi rappelé des souvenirs que je m’efforce encore d’oublier. Taylor s’est peut être aperçus que j’étais plus tendue et taciturne que d’habitude. Je ne suis pas un type bavard, je parle peu de moi et encore moins de mon passé d’ailleurs. Je relève la tête, posant mes iris sombres sur elle. C’est ma supérieur et si elle est une femme magnifique je respect trop cette femme pour la regarder comme le font une beaucoup d’homme qui croisent sa route. Je peux parfaitement comprendre ce qu’ils voient, ce qui leur plait chez elle, mais c’est ma supérieur.

« Et ne me demande pas de manger avec ces saloperie de baguette… tes tapis n’y survivraient pas. »  

Je fais de l’humour pour détendre cette tension nous entourant encore, mais derrière ce sourire taquin se cache aussi une certaine dose de sérieux. Je suis pas fais pour manger avec ces putains bouts de bois… une fourchette !! voilà ce qui fait mon bonheur. Je suis un homme facile à satisfaire non ? J’attrape le sac, sortant les petites box en bois, grimaçant comme un gamin quand les fameuses baguettes, objet de mon angoisse tombes sur la table. Je la regarde, attendant de voir si elle compte se ficher de moi ou non. J’essais de détendre l’atmosphère comme je peux, mais ce n’est qu’une façade car dans mon esprit flotte encore les détails de ces affaires qui nous ont tant tourmenté ces derniers jours. On voient des truc moches, je le sais, c’est le job qui veut ça, mais on ne s’habitue jamais vraiment. Je m’inquiéterais le jour ou je serais imperméable à tout ça, parce que c’est que j’aurais perdu une part de mon humanité en route.
Pando
Taylor Lopez
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MessageSujet: Re: Laissons retomber la pression || Taylor Andrew    Laissons retomber la pression || Taylor Andrew  EmptyMer 7 Juin - 10:02



❝ Laissons retomber la pression ❞
- Taylor Lopez & Andrew Cavanna -
Une reine n'est jamais vraiment seule... Derrière chaque grande âme il y a son second.
   
Journée éreintante, pression à son maximum alors qu’un mec pensant être intouchable va dormir à l’ombre pendant quelques longues années. Tu as toujours une espèce d’euphorie qui te prend lorsque tu es la gagnante d’un bras de fer loin d’être facile à mener. Dans cette affaire, tout laissé présager que ce mec s’en sortirait. Il avait l’argent, le charisme, le bon avocat et surtout des alibis imparables. Ton sourire s’élargit à l’évocation de ce dernier élément. Imparable. Rien n’est jamais complètement imparable, la preuve. Grâce à ton équipe, parce que oui c’est un boulot d’équipe, vous avez trouvé le tout petit grain de sable qui pouvait clairement tout changer. Dans ce cabinet, tu es le visage mais la tête se compose de bon nombre de personnes d’une intelligence et d’un dévouement rare. Tu as de la chance d’avoir des partenaires aussi précieux dans tes instructions.


Et dans cette équipe, il y a notamment Andrew. Depuis plusieurs années, ton assistant est là, fidèle au poste. C’est le membre de ton équipe qui te connait le mieux, qui a assez subit tes sauts d’humeur pour les anticiper mais aussi les gérer. Lorsque tu as eu ce poste, tu n’avais confiance en personne, tu avais l’envie, non ! Le besoin de convaincre le monde, dont toi, que tu étais à ta place et que tu saurais gérée cette fonction mieux que n’importe qui. Tu as eu besoin d’un second, mais comment fait-on confiance en quelqu’un, lorsqu’on doute même de soi ? Il y eu des épisodes de pétage de plombs, de colère à l’état brut et de besoin de tout casser dans ce bureau. Il y a eu des crises de larmes, des moments où recroquevillée contre un mur, tu tremblais tellement la pression sur toi était forte. Personne n’a jamais vu ce genre de réactions chez toi. Personne n’a jamais su. Sauf Andrew. Lui était là pour faire barrage à tes rendez vous impromptu qui se présentait et que tu ne pouvais pas assurer. Lui était là pour te regarder droit dans les yeux en te disant que tu maîtriserais bientôt tout ça. Tout grand homme ou grande femme, si c’est ce que tu es, à sa personne de l’ombre veillant sur elle. Toi c’est Andrew. Ton charismatique et énigmatique assistant.


Pour ce soir l’humeur est à la détente en tout cas. Tu as fait en sorte que le traiteur chinois vienne à vous, et c’est dans ton bureau, dans le petit coin canapé que tu convis ton homme de l’ombre à venir partager un moment avec toi. Rassemblant tes jambes en tailleur confortablement blotti à l’une des extrémités de ton canapé. Tu as débouchonné pour l’occasion un vin de qualité, qui se mariera parfaitement avec le poisson que vous dégustez ce soir. Tu tends son verre à ton assistant et lui offre un délicieux sourire lorsqu’il dit appréciais que la fin de semaine soit plus légère.


- J’ai bien cru que cette enflure allait nous passer entre les doigts.


Tu prends possession de ta box, et enveloppe les baguettes de tes doigts. Tu n’es pas dupe, l’affaire que vous venez de traiter à eu semble-t-il une connotation particulière pour ton assistant. Tu sais Andrew acharné de travail et ayant la même volonté que justice soit faite que toi, mais… Il semblait bien plus acharné que d’habitude à te trouver ce dont tu avais besoin. Plus sombre également dans sa manière d’analyser les choses. Tu l’as rarement vu aussi déterminé à faire plonger quelqu’un. Tu ignores la raison de son comportement mais à coup sur cette histoire le touché plus qu’une autre. Il retourne le sachet d’accompagnement pour se rendre compte des baguettes l’attendant. Tu pouffes de rire en le voyant faire et en râlant du fait qu’il refuse de s’en servir.


- Ce n’est pourtant pas si compliqué. Regarde.


Tu te redresses sur tes genoux en posant ta boite, et t’approche de lui, rompant cette distance qu’il y a toujours entre vous. Souriant en plaçant ces doigts des tiens pour lui permettre une accroche sur les petits bâtons de bois. Tu éclates de rire alors que ton assistant peine à vouloir se laisser dompter. Mais après quelques secondes tu relèves ton regard charmeur et susurre.


- A toi de jouer.


Tu déposes sur lui un air amusé avant de finalement reculer, et élargir ton sourire en reprenant ta place. Trempant tes lèvres dans le vin ouvert pour cette occasion.




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Andrew Cavanna
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MessageSujet: Re: Laissons retomber la pression || Taylor Andrew    Laissons retomber la pression || Taylor Andrew  EmptyMar 20 Juin - 22:39

Laissons retomber la pression
Outfit -- Cette semaine se termine sur une victoire. Ce connard va dormir à l'ombre et pour un sacré moment. Je suis soulagé ça c'est clair, mais j'ai eut peur qu'il parvienne à nous filer entre les doigts. Nous avons dû remuer ciel et terre pour ébranler son alibi. Tout allait en son sens jusqu'au dernier moment, cet instant fatidique ou notre détermination acharnée à fait basculé son existence toute entière. Il a fallu trouver LE grain de sable qui allait enrailler toute la machine et nous y sommes arrivés. Un travail d'équipe qui a superbement fonctionné grâce à cette confiance mutuelle entre nous. Je suis son assistant depuis qu'elle a été nommée procureur, les premiers temps j'ai ramé pour faire mes preuves mais aujourd'hui je peux fièrement affirmer être digne de sa confiance.

Ce travail me prends énormément de temps et d'énergie, mais j'aime ça. Je passe tellement de temps au taff que je crois que Taylor est la personne avec qui je passe le plus de temps. Même si je ne suis pas quelqu'un de bavard et qui s'étend sur sa vie, elle me connait, parfois un regard suffit à nous comprendre et c'est très agréable. Je suis un homme qui ne tien pas en place, et quand je ne suis pas au travail, je suis généralement à la salle de sport pour me défouler et laisser s'exprimer toute cette colère qui gronde en moi depuis que mon meilleur ami... mon frère m'a trahi. Rien qu'en pensant à ce fils de pute d'Hugo, même quelques instants, je me crispe instantanément. Le seconder pour l'aider à envoyer les ordures en prison me procure une satisfaction indéfinissable. Je suis son ombre, celui qui se place toujours derrière elle pour l'aider à nous profiler jusqu'à notre but et je n'ai pas peur de remuer la merde si c'est pour la bonne cause.  Si nous voulions faire condamner toutes les ordures de sa juridiction nous n'aurions pas assez d'une vie pour ça, mais nous nous battons chaque jour pour la justice.

J'ai vu ma patronne passez par tous les états depuis que je bosse pour elle. Avec le stress contant et pesant il y a eut des hauts et des bas, des moments où je l'ai aperçut dans un état de vulnérabilité qu'elle n'a pas dû laisser entrevoir à beaucoup de monde. Je l'ai aidé. Je l'ai épaulé. Je l'ai vu grandir et devenir plus forte et redoutable chaque jour. Sa force de caractère force l'admiration.

Mais, ce soir, pas de stresse, pas de travail. Enfin... nous sommes encore au bureau mais l'humeur est clairement à la détente à ça fait un bien fou. La pression est retombée et laisse place à une ambiance bien plus légère et chaleureuse. Je rejoint ma supérieur sur le canapé, m'installant à côté d'elle après avoir déposé sur la table basse notre repas du soir. Elle me tend un verre de vin que j'attrape, la remerciant d'un de ces sourires charmant dont j'ai le secret. Je lève mon verre comme si dédiait cette première gorgé à cette enflure qui croupit en prison grâce à nous à l'heure qu'il est.

«  Moi aussi... ça c'est joué à si peu de chose. S'il s'en été sorti ça m'aurai rendu dingue, mais heureusement, il est à l'ombre pour un bout de temps. »

Je soupire profondément, basculant ma tête en arrière pour la poser sur l'appuis tête un instant avant de revenir à la réalité. Cette affaire m'a particulièrement touché, plus que je pourrais l'admettre à qui que ce soit. Les seules personnes qui pourraient comprendre son ma soeur et Hugo parce qu'il sait quelle enfance merdique j'ai vécu. Cette lueure supérieur et d'une violence sauvage qui brillait dans les yeux de cet homme était la même que dans le regard de mon père quand il nous battait ma mère et moi. Le bas de mon dos garde encore les cicatrices des brûlures de cigarette qu'il m'infligeait par plaisir. J'ai vu mon père en cet homme, c'est pour cette raison que cette affaire me tenait tant à coeur. J'ai rien put faire d'autre qui lui casser la gueule du haut de mes treizes ans... ce type j'ai put contribuer à son arrestation.

Je suis obligé de secouer très légèrement la tête pour me reconnecter au moment présent et chasser le fantôme de mon père de mon esprit. J'attrape le sac de nourriture et grimace en voyant tomber ses foutus baguettes. Je déteste manger avec ses outils du diable... j'adore la bouffe chinoise, mais pas leur manière de la manger. Je suis maladroit et je suis incapable de manger avec ces truc. Une fourchette et un couteau c'est trop demander ? Je soupire comme un gamin contrarié, et quand je relève mes iris sur elle je peux que constater son sourire un brin moqueur. Elle se fiche de moi, pouffant de rire. Je ris de bon coeur avec elle en la regardant s'approcher de moi pour me montrer.

« Oh ! ! Mais je vais avoir droit à un cours particulier. J'en ai de la chance, mais j'ai peur d'être un très mauvais élève. »

Je m'amuse de la situation, laisse couler sur elle un regard rieur. Son sourire est resplendissant et illumine la pièce entière. Elle vient m'aider et place mes doigts correctement sur les baguettes en bois. Je grogne de frustration tant je me sent ridicule et maladroit. Je vais quand même venir à bout de deux morceaux de bois non ? Son rire est communicatif. Elle est si proche de moi que son souffle caresse ma peau. En temps normal cette proximité soudaine aurait allumé des signaux d'alerte dans ma tête, c'est ma supérieur et bien qu'elle soit une femme magnifique jamais je me suis permis de songer à elle de cette manière. Mais là, à cet instant, avec ses iris hypnotiques qui me transpercent de part en part je ne fais rien pour replacer une distance convenable entre nous.

A moi de jouer ? Mon regard et rieur, plein d'un amusement évident. Elle n'a pas reculé elle est restée si proche de moi que je peux encore sentir son souffle caresser ma peau. J'attrape une des box de nourriture pour y plonger les baguettes. « Je ne suis pas sur de vouloir mettre en jeu la vie de ma chemise blanche...» J'arque un sourcil moqueur, attrapant maladroitement un morceau de nourriture non pas pour le porter à mes lèvres mes aux siennes. Le morceau de poisson parvient à ses lèvres sans encombre, je le pousse doucement à l'intérieur non pas sans la dévorer de mes grands yeux sombres. « et tu sembles avoir le goût du risque...» Je me moque gentiment d'elle, lui donnant la béquet comme à un petit oiseau. Sur le coup je ne me rend pas compte de mon geste, de la manière dont ce jeu pourtant bonne enfant pourrait être interprété. « Tu as raison... je ne m'en sors peut être pas si mal finalement...» Taquin, je viens replonger mes baguette dans la boite pour réitérer mon geste. Mes gestes sont maladroits et pourtant cette femme pourrait bien me redonner goût à manger avec ces trucs...
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MessageSujet: Re: Laissons retomber la pression || Taylor Andrew    Laissons retomber la pression || Taylor Andrew  EmptySam 24 Juin - 10:42




❝ Laissons retomber la pression ❞
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Une reine n'est jamais vraiment seule... Derrière chaque grande âme il y a son second.
   
Être procureur c’est un boulot donné à peu de gens. Et tu ne parles pas d’intelligence. Non des gens intelligents, stratège et outrément capable d’assumer ce rôle, il y en a partout. Si toi ça a toujours été ton rêve, ce n’est pourtant pas un job fait pour chaque mortel. Être proc’ ça veut dire enchainer des affaires complexes vous heurtant la plupart du temps, c’est accepter de ne pas rentrer chez soi à des heures décentes, c’est oublier qu’on a une vie autre que celle régit par le bureau. Peut être que pour toi c’était plus facile, tu n’avais aucune vie de famille, aucune famille tout court en réalité. Alors moins de possibilité de t’égarer ou de te freiner dans ton ascension à exercer ce métier. Ça n’a pas pour autant été plus simple. Nerveusement tu as craqué, un nombre incalculable de fois, prostré dans ce bureau qui parfois te faisait terriblement peur. Andrew était là… Dans ton souvenir tu ne là jamais remercié à ce sujet, pourtant tu te rappelles de lui. La façon dont ces iris te regardait, son timbre de voix autoritaire qui te dicté de le regarder droit dans les yeux et de ne te concentrer que sur cela. Tu Te souviens de sa bienveillance, de sa détermination à te faire entendre que tu y arriverais. Ce n’est en bossant seulement comme un dingue qu’il t’a convaincu de sa loyauté. C’est aussi dans ce genre d’instant qu’il a fait ces preuves.


Votre affaire est résolue et elle n’était clairement pas de tout repos. Des jours à plancher sur ce foutu grain de sable qui refusait de se montrer et d’enrailler les atouts de ce type. Tu as presque cru qu’il t’échapperait d’ailleurs. Ça t’aurait rendu folle à coup sûr, d’autant que tu étais certaine qu’il n’était pas aussi blanc qu’il voulait le laisser prétendre. Puis son arrogance lors de tes auditions, cette manière imbue de lui-même te faisant comprendre que tu ne serais jamais qu’une pétasse incapable de le mettre à l’ombre. A y repenser tu aurais pu en jouir de voir son visage en décomposition à l’instant où tu l’as piégé. Cette affaire à touché tout particulièrement ton partenaire. Andrew semblait bien plus nerveux qu’à son accoutumé, plus déterminé aussi. Comme si cette affaire ne pouvait clairement pas vous passer sous le nez. Tu as eu l’impression que ça le touché bien plus qu’une autre. Tu n’as pas eu besoin qu’il te le dise en réalité, tu l’as simplement vu dans ces yeux. Tu as souvent l’impression que chez lui, on peut y lire bien des choses. Et d’une certaine manière c’est ta façon à toi de le remercier et de le détendre que de lui avoir proposer ce petit repas au boulot. Bon on est loin du resto de luxe, mais ce n’est pas un date, juste un moment de décompression après une semaine folle. Tu l’écoutes dire qu’il a bien cru lui aussi que ce type allait s’en sortir et tu approuves en murmurant.


- Ouais. Sauf qu’il est tombé sur deux os qu’il ne risque pas d’oublier.


Tu lui offres ton plus beau sourire en levant à ton tour ton verre avant d’y tremper doucement tes lèvres. Tu soupires en te délectant du calme et de la tranquillité du moment. Du moins avant de voir, Andrew avoir bien du mal à s’en sortir avec ces baguettes japonaises. Pouffant de rire, tu t’approches de lui alors rompant les quelques centimètres vous séparant pour tenter de dompter les doigts réfractaires de ton partenaire de travail.


- Ah mais ! Non ! Pfff… Attends. Mais ! Laisse-moi faire.


Difficile pour toi de garder ton sérieux, ton rire s’échappe de tes lèvres malgré toi. Un vrai rire, un joueur et authentique. A genoux sur ce canapé, tu finis par réussir à faire coopérer les doigts de ton secrétaire non sans avoir bien des difficultés. Tu l’observes alors, l’aidant à plonger la main dans sa boite et lui montrant le geste afin qu’il attrape quelque chose. Tu l’entends grogner de frustration avant de finalement réussir, et ton regard croise le sien, le tien teinté de fierté et de malice. Andrew semble tout aussi amusé, si bien qu’aucun de vous ne constate cette proximité très rapprochée que la situation a initiée. Tu peux sentir son souffle chaud contre ta joue ou ton menton. Andrew dit ne pas être sûr de vouloir mettre en péril sa chemise blanche et tu pouffes doucement de rire.


- Si tu manipules bien tes baguettes, tu seras en mesure d’attraper tous ce que tu veux…


Tu n’as absolument pas conscience du timbre de voix bas et sensuel que tu viens d’employer, ni non plus du double sens que peut avoir ta phrase. Un sourcil moqueur se hausse sur le visage d’Andrew et avec une concentration qui force le respect il finit par attraper un morceau de poisson qui ne trouve pas ses lèvres mais les tiennes. Sur l’instant tu manques de pouffer de rire, mais la pression qu’il exerce sur ta bouche te force à entrouvrir doucement la bouche. Tu manges lentement l’aliment en l’observant. Waouh c’est toi, ou tu es vachement proche de lui ? Ces iris ont l’air de prendre une nuance que tu n’as encore jamais vu posé sur toi. Tu déglutis doucement à la fois troublée mais aussi juste par réflexe, mordillant ta bouche comme pour te retenir de rire. Tu attrapes tes baguettes et te saisie de ta box pour prendre à ton tour quelque chose dedans. Andrew prétexte que tu as plus le goût du risque que lui et tu élargis un sourire en approchant une bouchée de ses lèvres.


- J’ai le goût du risque parce que j’ai une équipe solide derrière moi… Qui n’a pas peur de se mouiller un peu.


Tu élargis un sourire alors que tu l’observes ouvrant la bouche et que tu déposes contre la pulpe de sa langue les aliments. Vous échangez ainsi plusieurs fois vos aliments, et malgré la proximité tu restes à penser que ce n’est qu’un petit moment de déconne. Sauf que ta peau commence à s’échauffer doucement en réaction aux siennes. Tu sens doucement des frémissements cutanés apparaitre, des regards devenant plus lourds de sens et ta bouche qui s’assèche. Il a des lèvres tout de même très jolies. Pourquoi commences tu à te demander s'il sait s'en servir ? Tu déglutis et tente de te concentrer sur l’alimentation. Non ! Tu ne peux pas couchée avec ton secrétaire. Andrew est ce qui ressemble le plus à un pilier, à un ami dans ta vie. Tu lui apportes un nouveau morceau de nourriture en retenant un sourire amusé. Tu ne peux décemment pas penser à autre chose avec lui… Ton trouble psychique se répercute sur ton agilité et soudainement l’aliment mariné chute de tes baguettes pour s’écrouler sur la chemise d’Andrew. Tes lèvres s’entrouvrent et tu marques un temps d’arrêt en regardant son torse. Tu inspires et te reprend immédiatement en murmurant.


- Merde, je suis désolée… Je… Attends.


Tu attrapes une bouteille d’eau rapidement et une serviette afin de tamponner et limiter les dégâts que tu viens de produire sur ces vêtements.




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MessageSujet: Re: Laissons retomber la pression || Taylor Andrew    Laissons retomber la pression || Taylor Andrew  EmptyLun 26 Juin - 21:18

Laissons retomber la pression
Outfit -- Ma vie est régit par mon travail, c’est un fait et c’est aussi un choix. J’aime mon taff, et heureusement en même temps vu le temps que j’y passe. Etre devenu l’assistant de Taylor à son investiture en tant que procureur, ce n’est pas se contenter de l’assister sur les affaires, de chercher des éléments contre les ordures que nous voulons enfermer via des moyens parfois peu conventionnels, mais n'est-ce pas le résultat qui compte ? Totalement. Etre l’assistant de la proc c’est aussi l’aider et l’épauler quand les choses ne vont pas. Lui redonner confiance quand elle doute et devenir sa béquille quand elle semble sur le point de flancher. Je l’ai vu dans des états de vulnérabilité que sans doute peu l’ont vue. Alors oui bien sur c’est ma boss, mais il y a entre elle et moi cette relation de confiance qui s'est forgé au fil du temps. Elle peut compter sur moi et elle le sait, et si je suis digne de sa confiance aujourd’hui c’est que j’ai fais ce qu’il fallait pour la mériter.

Cette affaire que nous venons de clore aujourd’hui même a été éprouvante. Une véritable épreuve pour mes nerfs tant elle m’a rappelé des fantômes de mon passé que je pensais enterré. Je crois que je serais devenu dingue si ce connard s’en était sorti. Il y a toujours des affaires qui nous touchent plus que d’autres, celle-ci est l’une d’elle. J’en ai parlé à personne, j’ai tout gardé pour moi, parce que c’est plus facile ainsi. Dissimuler ma vulnérabilité derrière une voile d’assurance feinte. Un exercice dans lequel j’excelle aujourd’hui. C’était le genre de type avec un trop-plein d’assurance, il se pensait intouchable, inébranlable, plus fort que le système tout entier et faire tomber ce genre de connard finit s’était carrément jouissif. Ce moment ou il a compris que c’était finit qu’on l’avait définitivement coincé c’était un moment d’anthologie.

Je suis probablement bien naïf de pense qu’elle n’a pas remarqué mon attitude particulière sur cette affaire. Même si je parle peu de ma vie hors de ces murs et encore moins de mon passé, elle me connais suffisamment bien pour voir que cette affaire m’a touché plus qu’une autre. Cette impression d’être à fleur de peau de manière quasi contente est une sensation désagréable… et cette soirée sur une note plus légère est diablement plaisante et attrayante. Cette manière de relâcher la pression me fais un bien sans commune mesure. En ouvrant le vin et nous servant deux verres généreux, nous partageons notre plaisir partagé à avoir fichu cette ordure à l’ombre pour un nombre d’années conséquent.

Ma petite crise de panique fasse au baguette chinoise semble l’amuser beaucoup. Je la regarde avec cette air faussement outré par sa réaction alors que mes iris brillent d’un amusement sincère. Elle se fiche de moi… et faut avouer, il y a de quoi. « La prochaine fois, c’est moi qui choisis le repas et je te préviens se sera pizza… avec mes doigts je n’ai aucun problème de dextérité pour manger…»   Je pouffe avec elle, cherchant tout de même à jouer le bon élève quand elle tente de m’apprendre à me servir des ces satanés baguettes. Sans déconner, ça n’existe plus les fourchettes ? Non mais ou vas le monde !!

Cette soudaine proximité avec Taylor me trouble plus que je le voudrais. Je ne laisse rien paraître, mais son souffle chaud que je sent venir caresser mon visage me fais frissonner. Ses doigts manipulent les miens pour les positionner de convenablement. Elle finit par vaincre et dompter ma mauvaise volonté à la tâche. Quand elle me met au défis de m’essayer à la tâche à présent j’ironise en disant ne pas vouloir risquer la vie de ma chemise, mais sa voix chaude et taquine me donne envie de la prendre au mot. Pas de la manière à laquelle elle songe certainement, moi aussi j’ai envie de me jouer d’elle, à cet instant je n’ai pas conscience que mon geste peut porter à confusion. A l’aide de mes baguettes, j’attrape un morceau de poisson pour le presser doucement contre ses lèvres entrouvertes. Mon geste la surprends, je le vois à l’instant ou mes onyx sombre viennent sonder la beauté de ses iris. Cette nouvelle proximité c’est crée d’elle-même, le plus naturellement du monde tant est si bien que je n’ai pas l’impression d’outrepasser les limites. Durant cet instant mon regard n’a pas lâché le sien, le regard que je pose sur elle est inédit, j’ai l’impression de découvrir et d’explorer encore une nouvelle facette de son être.

Taylor entre à pieds joints dans mon petit jeu de provocation, elle me donne à son tour la béquet. C’est amusant de voir comment un simple repas chinois partagé au bureau entre deux collègues peut prendre un tournant plus ambiguë. Parce qu’elle a beau être ma boss, avoir une aussi belle juste là… si proche… ça ne me laisse pas de marbre. Bien loin de là même. Nous échangeons ainsi plusieurs bouchés et quand j’évoque sous goût du risque sa réponse m’arrache un sourire franc. « Une équipe est efficace que si elle a un meneur digne de ce nom. » Taylor est une meneuse nait, son charisme et sa détermination force le respect de toute personne croisant son chemin.

Lentement, je sent que la situation est moins sage et légère qu’il y parait. Mon regard semble comme hypnotisé par ses lèvres que je vois ce soir d’une tout autre manière. C’est la femme que je vois et admire ce soir est plus ma supérieur. C’est dangereux ? Probablement oui, mais elle est trop proche de moi m’enivrant de son parfum délicat pour que j’entende ses sonnettes d’alarme hurlant dans ma tête. Je suis hâpé par mes pensés, luttant contre ces dernières quand un morceau de poissons marinés chute sur ma chemise. Elle semble paniquée et je pince mes lèvres durement pour réprimer un sourire taquin quand je la vois se confondre en excuse avant d’attraper une bouteille d’eau et une serviette pour limiter la casse. Vous savez ce que ça fait l’eau et un vêtement blanc ? Ca colle et ça devient transparent… le tissu mouillé colle à présent à ma peau et laisse apparaître mes abdominaux parfaitement sculptés par les heures de sport que je m’impose de manière quasi quotidienne. J’ai l’impression qu’elle fait plus de dégâts qu’autres choses, mais trés honnêtement à ce moment-là, l’état de ma chemise c’est le cadet de mes soucis. « C’est pas grave…» Ma voix est plus douce et suave qu’à l’accoutumée. Mes doigts viennent s’enrouler autour de ses poignets pour la forcer à abandonner sa tâche et à relever la tête. Dés l’instant où elle a baissé les yeux pour tenter de limiter la casse, j’aspire qu’à la voir relever la tête pour me noyer de la beauté de ses iris. Je me sens dérailler et m’aventurer sur un terrain miner. Je n’ai pas le droit de la voir de cette manière putain. Je le sais et pourtant quand je reprend pleinement conscience de l’instant présent, mes mains tiennent toujours captives chacun de ses poignets, et mon visage est dangereusement proche du sien. Ma respiration devient plus rapide et irrégulière, et son souffle chaud caressant mon épiderme ne m’aide absoluement pas à garder les idées claires. « Ce n'est qu’une chemise Taylor… Ce n'est rien. » Ma voix vibre dans les graves quand je cherche à présent davantage à la rassurer qu’à me moquer de sa maladresse. « Et je ne suis pas certain que ta tentative de sauvetage soit concluante…»   Mes yeux rieurs coulent sur tout le pans de la chemise me collant à présent à la peau. Je suis subitement taquin, un brin moqueur. Je lâche ses poignets quand j'aperçois que je les détiens captifs depuis trop longtemps déjà. Mes doigts commence à déboutonner les premiers boutons. « C’est bon… j’ai un Tee-Shirt propre dans mon sac, mais celui-là interdit de me le tartiner de sauce madame la procureur… parce que c’est ma dernière cartouche…»   Après faudra que je finisse torse nu ? Cette pensé m’arrache un sourire moqueur. Heureusement que j’ai toujours avec moi mon sac pour la salle de sport finalement… bon on est bien loin du standing de la belle chemise blanche, mais ça à le mérite de dépanner.
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MessageSujet: Re: Laissons retomber la pression || Taylor Andrew    Laissons retomber la pression || Taylor Andrew  EmptyJeu 29 Juin - 14:48



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Ça te fait du bien de cesser de bosser un peu. Rien n’est plus délectable que le fait de réussir à obtenir gain de cause. Être procureur c’est pour toi, ton moyen, de faire le bien dans ce monde. Tu ne te prends pas pour une super héroïne, loin de là, mais en ayant vécu l’injustice tu as toute ta vie, souhaiter devenir l’une des représentantes de la justice. Tu t’es promis en arrivant à ce poste que tu ferais appliquer les règles, que tu coffrerais les ordures qui passent sans cesser entre les mailles du filet et que leur peine serait la plus chère possible. Tu n’es pas réputée pour être une proc’ sympathique. Loin de là, et la rumeur commence à circuler comme quoi face à toi personne n’est à l’abri. Tu mentirais si tu disais que tu ne trouves pas une certaine satisfaction à inspirer de la peur. Aujourd’hui c’est toi qui fais appliquer la loi, et tu espères que sous ton autorité, plus aucune gamine ne rentrera un soir en retrouvant ces parents morts, et devant accepter quelques mois plus tard que le connard lié à ce meurtre ne purgera jamais sa peine. Tout le monde a des blessures, des cicatrices tenaces qui ne se sont jamais estompées et avec lequel il faut vivre quoi qu’il nous en coute. Ton secrétaire en possède aussi, tu le sais. Tu l’as assez observé en quatre ans pour comprendre que même si tu ignores ce qu’a été sa vie, elle a été douloureuse. Quand on a connu la douleur, il est facile de reconnaître un être l’ayant lui aussi côtoyé.


Ce soir, tu passes un moment relativement agréable au côté d’Andrew. Le rapport de jugement est bouclé, l’interpellé dort sagement derrière des barreaux, quant à toi tu dégustes un savoureux repas en tentant d’apprendre à ton secrétaire à se servir de baguette. Il n’est franchement pas doué c’est le moins que l’on puisse dire, mais ça te plait de lui apprendre quelque chose. Sa contrariété à manipuler les deux bouts de bois t’amuse, et t’amène à le taquiner. Il dit que la prochaine fois il choisira le menu et se contentera de pizza. Il précise qu’il n’a aucun problème de dextérité avec ces doigts pour manger et tu pouffes doucement de rire en murmurant.


- Juste pour manger ?


Tu le taquines, ne te rendant pas forcément compte que ta petite provocation possède un double sens, capable de passer pour, de la drague pure et dure. Tu ne te rends pas vraiment compte de la proximité qu’il y a entre vous, tu fais également abstraction du fait que tu puisses sentir le souffle chaud d’Andrew contre ta joue alors qu’il te glisse des aliments contre tes lèvres. Même si cela réveil ouvertement des choses en toi. Pas habile des doigts hein ? Pourtant tu as l’impression qu’il est assez doué pour alimenter des envies chez toi juste en utilisant maladroitement ces baguettes. Ces iris sont plantées sur toi avec une détermination qui l’espace d’un instant te fait battre des paupières, comme si le temps venait à se suspendre et qu’il te regardait plus intimement. Andrew répond à ta réplique sur le travail d’équipe en disant que c’est la force du meneur qui fait de l’équipe ce qu’elle est. Et soudainement tu sens ton regard vouloir descendre sur sa mâchoire, puis plus bas. Bordel. Tay’ tu commences ouvertement à déconner. Est-ce qui provoquera la chute de cet aliment sur sa chemise ? Tu l’ignores mais l’espace suivant tu es confuse et tente de rattraper ta bêtise en appliquant un peu d’eau sur le tissu. En tamponnant celui-ci tu découvres la dureté de son bas ventre, tu découvres aussi les courbures de ces abdominaux qui se dévoile au travers du tissu. Putain non… Tu ne vas pas devenir ce genre de femme qui fantasme débilement sur l’un de ces collègues de bureau. Tu te confonds en excuses, tu n’es strictement jamais maladroite. Non… ça ne t’arrive jamais pourtant, tu l’entends dire que ce n’est pas grave et tu désapprouves en chuchotant.


- Je… Je ne sais pas ce qui s’est passé il m’a échappé.


Tu t’acharnes à vouloir tenter d’effacer cette tâche mais lentement les mains d’Andrew viennent entourer tes poignets. Tu déglutis doucement en regardant l’endroit où sa peau touche la tienne. Tu inspires et remonte doucement ton regard sur le sien. Un nouveau nuage passe pendant lequel vos prunelles s’observent. Tu es incapable de trouver une répartie alors que c’est pourtant ce qui te caractérise habituellement. Le souffle de ton secrétaire semble être plus chaud encore que tout à l’heure contre ta peau. Il articule que ce n’est qu’une chemise et tu halètes sans être en mesure de répondre. Ta concentration est déjà totalement monopolisé à ne rien faire de stupide et à te maîtriser. Il met en doute tes capacités de ménagère et tu reviens au présent, te détachant de l’attraction qui soudainement avait fait irruption entre vous. Tu pinces tes lèvres en voyant le massacre qu’est devenu sa chemise et tu te retiens de pouffer de rire en murmurant.


- J’ai tenté…


Tu fais ton possible pour oublier ce que tu vois sous sa chemise. Parce que ce que tu vois te fait vraiment très envie. Notamment que celle-ci vole en éclat. Il finit par relâcher tes poignets et tu tentes de retrouver de la raison. Tu te recules dans le canapé, prenant un peu plus de distance avec lui, et possiblement au passage retrouver un ou deux degrés de moins. Tu attrapes ton verre de vin et en boit une bonne gorgée. Ecoutant Andrew dire qu’il a un tee shirt de rechange dans son sac.


- Promis je ne m’approche plus de toi.


Tu tentes de garder un ton léger, masquant tout ressenti. Tu le vois déboutonner sa chemise et tu serres la mâchoire. Non ! Ne fait pas ça Andrew. Tu fais alors tout ton possible pour détourner le regard, te glissant le plus possible contre l’accoudoir opposé.


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MessageSujet: Re: Laissons retomber la pression || Taylor Andrew    Laissons retomber la pression || Taylor Andrew  EmptyDim 2 Juil - 18:31

Laissons retomber la pression
Outfit -- Nous sommes certes encore au bureau, mais relâcher la pression ça à du bon. Taylor comme moi nous en avions besoin tant cette semaine a été éprouvante. Ensemble, nous nous sommes battus comme des acharnés pour trouver LE grain de sable qui allait enrailler toute la machine. Nous avons bien mérité ce repas autour d'une bonne bouteille de vin. Il est vrai que d'un point de vue extérieur la scène pourrait porter à confusion. Un homme et une femme seuls à la nuit tombée dans un bureau à la lumière tamisée autour d'une bouteille de vin. Des signaux d'alarmes devraient s'allumer dans nos esprits, mais en ce qui me concerne je n'en perçois aucun. Ma boss est sexy, ça c'est le moins que l'on puisse dire, elle est torride même mais je ne me suis jamais autorisé à la regarder de cette façon. Pourtant, quand elle se rapproche pour tenter de m'apprendre à me servir de mes baguettes chinoises le regard que je pose sur elle n'a rien d'innocent. Je me surprends à détailler les traits fins et gracieux de son visage. Je retiens mon souffle quand elle se trouve si proche que je peux sentir la chaleur de son souffle caresser mon visage. Putain merde, je suis bien entrain de penser à elle de cette manière ? Subitement, ce n'est pas le poisson que j'ai envie de porter à mes lèvres. Je retiens mon souffle avant d'inspirer profondément, une tentative veine pour tenter de retrouver mon calme. Me concentrer sur mes baguettes je dois. Tout de suite. Immédiatement. Je tente de détendre l'atmosphère avec un brin d'humour, lui promettant que la prochaine fois nous mangerons pizza car je n'ai aucun problème à dompter mes doigts. Ça remarque m'arrache un sourire malicieux qu'elle me connait surement que très peu.  C'est mon sourire spécial séduction, celui que je sors aux belles créatures qui attisent mon appétit. Un sourire que je devrais me dépêcher de ranger si je ne veux pas aller au-devant d'emmerde. Pourtant c'est plus fort que moi. Je crois que je ne serais pas raisonnable ce soir, c'est mal parti pour en tous les cas.

« Va savoir... Je ne veux pas révéler au grand jour mes atouts trop vite... Il faudra creuser madame la Procureur pour en savoir davantage. »

Sur un ton léger et joueur cette phrase pourrait passer. Peut être. Mais, prononcer sur son ton bas et suave ce que je laisse insinuer n'est pas franchement acceptable entre deux collègues de travail. Ma phrase sonne presque comme une invitation, je ne vais pas bien moi franchement. Je suis entrain de jouer avec le feu, et je suis probablement dingue de penser ça, mais qu'une fraction de seconde, mais j'ai envie de m'y laisser brûler. Ces pensées sont certainement du au surmenage et à cette trop grande proximité. Au vin aussi peut être ? J'en sais foutre rien... mais tout prend encore une tout autre dimension quand pour la provoquer je me met à lui donner la béquet. Je la nourris comme un petit oiseau, poussant entre ses lèvres tentatrices un peu de poisson - à défaut d'y fourrer ma langue -. S'en suis un échange presque surnaturel, elle se laisse prendre au jeu en faisant de même. Pourquoi maintenant ? Pourquoi est-ce ce que subitement le regard que je lui porter change ? Attention je l'ai toujours trouvé diablement attirante, mais il y avait des barrières érigés entre nous. Des barrières qui semblent avoir cédé d'un seul coup.  Je suis comme hypnotisée par le regard envoutant et charmeur de cette femme. C'est que lorsqu'elle laisse tomber un  morceau de nourriture sur ma chemise blanche que je semble revenir à la réalité. C'était inévitable non ?

Je le regarde se confondre en excuses, elle est si gênée qu'elle en est presque touchante. J'esquisse un sourire presque moqueur en la voyant tenter de réparer les dégâts en tamponnant le tissus avec une serviettes gorgée d'eau ? Le blanc de mon vêtement colle sur ma peau et laisse apparaitre mes abdominaux sculptes par le sport à outrance que je ptratique. C'est simple, si je ne suis pas ici, je suis à la salle... mon appart c'est juste un dortoir. Sentir les doigts de Taylor se presser contre mon ventre m'électrise. J'inspire profondément pour contenir ce frisson que me transperce se part en par. Non, non et non... je ne penserais pas à elle de cette manière. Je refuse d’imaginer ses doigts courir sur ma peau... sentir ses lèvres effleurer les miennes. Non ! ! Je déraille complètement. Je refuse cependant de lui laisser entrevoir ce malaise qui met à mal mon corps et mon esprit. J'attrape ses poignets pour la forcer à se redresser. Je tente de la rassurer en lui disant que ce n'est rien, mais je voulais avant toute chose cesser ce contact avant que je l'attrape pour dévorer ses lèvres comme un animal sauvage.

Voir Taylor perdre ses mots est une scène à laquelle je ne pensais pas assister un jour. Elle qui a toujours une rétorque parfaite, là, elle me regarde comme une petite fille prise en faute. Elle est magnifique, et même si je tente de rester de marbre, elle me connait peut être suffisament pour desceller ce nuage de plaisir qui flotte dans l'obscurité de mes iris. Je tente de détendre l'atmosphère et de garder la tête froide en me moquant de ses talent de ménagère.

« Aurais-je trouvé un défaut, une faille dans la perfection incarnée... ? »

Je me joue d'elle, la taquine mais au fond je pense ces mots. Taylor est le genre de femme que l'on regarde avec envie et je ne parle pas que de sa plastique à faire bander un mort, mais bien de ses qualités intellectuelles et professionnelles. Elle impose le respect de part son charisme et ses compétences qui ne sont plus à prouver. Ça fait des années que je travaille pour elle, et si je l'ai vu craquer mentalement quelques fois, elle a toujours été plus forte que tout. Une force de caractère qui impose le respect et l'admiration a quiconque poserait ses yeux sur elle.

Je finis par lâcher ses poignets mais je le regrette presque en la voyant se prostrer à l'autre bout du canapé. Si seulement cette distance retrouvée avait tuée dans l'oeuf cette attraction naissante. Ce n'est pas le cas. Ce serait préférable pourtant... mais le regard que je pose sur elle pendant que commence à déboutonner ma chemise n'est pas celui qu'un employé devrait poser sur sa supérieur. Je laisse échapper un soupir de déception quand elle me promet de ne plus s'approcher de moi. Merde j'ai vraiment fait ça ? Je laisse couler mon regard sur elle mais elle semble vouloir s'efforcer à fuir mon regard.

« Je ne me rappel pas t'avoir demander une telle chose. » Mes doigts continuent de défaire les boutons de ma chemise un à un sans pour autant la lâcher du regard. Je suis vraiment entrain de lui faire comprendre que je voudrais à nouveau la sentir si proche de moi que je pourrais en humer son parfum d'une seule inspiration. « J'aime vivre dangereusement... tu devrais le savoir depuis le temps.» Le ton de ma voix et suave et taquin. Je crois que je ne me rends pas vraiment compte de la porté de mes paroles. Je suis comme hypnotisé par le regard ensorceleur de cette femme, j'ai l'impression d'être comme dans une bulle hors du temps et de l'espace. La chemise ouverte mais encore sur mes épaules, je me penche en avant pour attraper la bouteille de vin. Elle vient de vider son verre et cette fois c'est moi qui m'approche vers elle pour remplir nos verres.  La femme forte que je connais m'apparais presque comme fragile et fébrile. Lentement le liquide carmin coule dans son verre, puis je relève mes onyx sur elle, esquissant un sourire avant d'ajouter :  « Je croyais que toi aussi, c'est amusant de constater que tu trembles devant du poisson en sauce alors que les pires crapules de la ville ne te font ni chaud ni froid...»   Je souris, me moquant presque d'elle alors que je suis sciemment entrain de jouer avec le feu.

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MessageSujet: Re: Laissons retomber la pression || Taylor Andrew    Laissons retomber la pression || Taylor Andrew  EmptyMar 4 Juil - 9:27




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La taquinerie a du bon. Andrew est l’un de tes collaborateurs depuis maintenant plusieurs années, et la confiance que tu lui voues est sans faille. Bon nombre de tes états d’âme ont été gommés par sa force de conviction, et son naturel bienveillant envers toi. Le travail d’équipe n’a jamais pris autant de sens qu’avec lui. Tu es du genre assez exigeant concernant le boulot et si un de tes collaborateurs est capable de se lever à des heures totalement indécentes parce qu’une piste vient de se profiler dans ta tête, c’est bien lui. Et si entre vous, tout à toujours été sans la moindre ambiguïté, là tout de suite tu n’es plus si sur de l’effet que ton second provoque chez toi. Tu ne peux pas dérailler, pas avec lui. Il est un pilier crucial dans ton job au quotidien, il est presque un ami au vu de sa bienveillance envers toi. Tu ne peux pas tout envoyer valser sous le prétexte que son souffle contre ta joue t’a fait frissonner. Ou que ces lèvres à l’ourlet parfait t’ont donné envie d’y gouter. Tu as déjà déconné sérieusement dans ce bureau il y a à peine semaine de cela, tes pulsions n’ont jamais dictés ta vie, alors tu es tout de même en mesure de contrôler tes chaleurs en présence de ton secrétaire.


Mais pourtant la force d’attraction qui soudainement va naître en toi et lui va te donner bien du fils à retordre. D’abord ces yeux te guettant ouvertement avec une étincelle t’indiquant que lui aussi est en train de t’envisager. Sa peau qui se profile sous cette putain de chemise tâchée qui montre à présent des atouts qui sont en mesure de te faire saliver. Puis ces mains fermes et douces qui emprisonnent tes poignets pour te rassurer en disant que tout va bien. « Non rien ne va, Abruti ! Je commence à te désirer, à vouloir que cette foutue chemise sois loin de ta peau. J’inspire plus lentement car ton putain de parfum me donne envie de te respirer et de goûter à ta bouche qui expire bien trop fort ce souffle chaud contre ma peau. Quant à ta peau je commence à avoir envie de la sentir sous la pression de mes dents, je me met à me demander aussi si ton corps est d’une approche douce ou passionnel, alors non ! Rien ne va ! » En quatre ans, tu n’as fauté avec aucun de tes collaborateurs, même si les visages dans ce tribunal sont loin d’être repoussant. Tu as toujours fait en sorte de tenir tes distances et de chercher ton plaisir loin des hommes de ton bureau. Tes résolutions ont volé en éclat il y a quelques jours alors que ton archiviste était là, et qu’un foutu jeu de séduction s’est mis en place au travers de vos provocations mutuelles. Et comme si tu n’en avais pas assez c’est maintenant auprès de ton secrétaire que l’alchimie est en train d’opérer. Non.


Andrew déboutonne sa chemise et alors tu t’éloignes le plus loin possible de lui, en restant sur le canapé mais à une distance plus convenable, prostrée contre l’accoudoir. Tu obliges tes yeux à regarder tout autre chose que le torse sculpté de ton collaborateur. La remarque ironique de ton partenaire te permet de rebondir, et oublier l’espace d’un instant l’attirance qu’il fait émaner. Tu souris en coin en l’écoutant dire qu’il y a finalement une faille en toi. Tu fixes la boite alimentaire en jouant de tes baguettes sur un morceau de nouille et murmure.


- Crois-moi je suis loin d’être parfaite.


Tu le penses. Tu es une femme obsédée par ces objectifs, têtue et déterminée. Tu es un peu comme un chien, lorsque tu mords dans quelque chose tu ne lâches plus tant que tes désirs ne soient assouvis. Tu es loin d’être une personne attachante ou qui s’attache aux personnes dans sa vie. Il n’y a qu’à regarder la relation que tu as avec le dernier membre existant de ta famille. Et effectivement tu es une piètre ménagère… Tu as une femme de ménage merveilleuse qui heureusement masque ce défaut dans ta vie quotidienne. Tu avales une petite bouchée de ta nourriture alors qu’Andrew revient à ton éloignement et au fait qu’il n’est pas demandé cela. Tu déglutis doucement, ne joue pas à son jeu Tay’. La provocation t’a déjà fait faire bien des choses. Pourtant malgré toi, ton regard s’aventure sur lui et tu lui offres un air de défis lorsque tu susurres.


- Tu n’as pas eu besoin de le faire.


Andrew rétorque qu’il aime vivre dangereusement. Tout change dans sa manière de s’adresser à toi. Andrew a toujours été le second parfait, sans la moindre déviance. Alors qu’à cet instant tout chez lui est un appel à la séduction. De son regard, à sa bouche, jusqu’à ces comportements ou paroles. « Ne fait pas ça ! ». Andrew réduit la distance entre vous en te servant un verre de vin et tu serres la mâchoire en détaillant ces gestes, à défaut de poser ton regard sur cette chemise à présent ouverte qui recouvre à peine les muscles magnifiques que possède cet homme. Il approche et ton imperméabilité s’effrite, comme il te le souligne en disant que c’est dingue comme ton assurance est forte face à la vermine en ville mais comme tu trempes devant ta nourriture. Il te sourit et tu inspires en tentant de reprendre un peu de raison et de courage. Tu désapprouves en prenant le verre qu’il te tend, et avale une gorgée, avant de relever tes magnifiques prunelles sur lui et murmurer.


- Ne joue pas à ce jeu avec moi, Andrew…


Malgré toi, ton timbre de voix n’a rien de convainquant. Au contraire, il est murmurait avec une sensualité que tu aurais préféré ne pas posséder.




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Andrew Cavanna
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MessageSujet: Re: Laissons retomber la pression || Taylor Andrew    Laissons retomber la pression || Taylor Andrew  EmptyDim 9 Juil - 9:57

Laissons retomber la pression
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Taylor est une femme forte et exigeante, mais elle ne demande pas davantage à ces collaborateurs que ce qu'elle exige d'elle-même. Elle est juste et  c'est parce que nous formons est réelle équipe soudée que nous sommes aussi efficaces. C'est amusant parfois de constater que l'on est capable de se comprendre d'un seul regard. Il n'y a jamais eu la moindre ambiguïté entre elle et moi. Jamais.... jusqu'à ce soir où nous nous adonnons à un petit jeu dangereux. Pourtant, je ne peux pas ignorer l'effet que Taylor à sur moi, la chaleur de son regard anime le feu d'un désir charnelle contre lequel je ne vois pas comment je pourrais lutter. Est-ce que j'ai essayé au moins ? Le fait qu'elle soit ma boss devrais allumer dans ma tête tous les signaux d'alarme, mais s'ils sonnent je les ignore superbement.

J'ai gardé ses poignets prisonnier de ma poigne trop longtemps, et je ne suis pas certain que d'être complètement captivé par son regard soit une excuse valable. Non, ça ne l'ait clairement pas et pourtant son souffle chaud s'écrasant contre mon visage me fais complètement vriller. Putain ma boss ! ! J'ai pas déjà apprit par le passé qu'il y a des femmes que l'on peut toucher et d'autres que c'est.... interdit ? Oh si et je l'ai payé cher. Taylor fait partie de ses femmes désirables à souhait que je devrais m'interdire, mais j'en suis visiblement incapable. Faible ? Petit con gouverné par ce qu'il a entre les jambes ? Un peu des deux peut être, et puis merde, je le regretterais demain, mais ce soir rien à foutre des convenances. Je libère ses poignets et je la regarde presque amusée se réfugier à l'autre bout du canapé, comme si elle avait peur de succomber à l'attrait de l'interdit. Ses iris fuit les miens pendant que je déboutonne ma chemise souillée de sauce. Je me joue de la situation pour la taquiner, mettant en évidence cette faille alors qu'elle apparait toujours aussi « parfaite » au quotidien.

« Personne ne l'est. Tu me dirais l'être je ne te croirais pas et je chercherais la faille dans cette enveloppe de perfection.»

Ma voix est chaude et joueuse alors que je me rapproche d'elle. J'appréciais cette soudaine proximité et je ne manque pas de le lui faire remarquer à ma façon. La facette de ma personnalité que je lui laisse entrevoir ce soir, elle ne la connait pas, vis-à-vis d'elle j'ai toujours était d'un professionnalisme parfait, mais ce soir... ce soir je sais pas qu'est-ce qui a disjoncté dans mon cerveau pour me montrer à ce point entreprenant. Ma voix chaude et ce petit jeu de provocation laisse bien peu de place au doute quant à mes objectif. Elle. Je prétexte de lui servir un verre de vin, et penser qu'elle ne me voit pas venir serait une insulte à son intelligence que je sais parfaitement aiguiser. Je le sens tendue et fébrile, ses iris qui me détaillent se demande probablement jusqu'où je vais aller pour la voir sombrer. C'est bien se que j'essaie de faire non ? Je pourrais être bien plus direct mais ce n'est pas ce que je veux, je veux la voir céder peu à peu du terrain face à mes manoeuvres visiblement parfaitement orchestré. Je n'avais jamais pensé en arriver là avec elle, je ne l'avais jamais envisagé de la sorte avant ce soir, mais c'est panneaux stop l'encadrant comme une mise en garde ne suffisent pas à m'arrêter. Pire que ça, le goût de l'interdit finit de me conforter dans ma démarche de séduction. Je me joue d'elle plaisantant sur sa peur d'un peu de sauce quand les pires criminels ne la font pas trembler d'un millimètre. Elle bois une gorgée de vin pourquoi ? S'éclaircir les idées ? Tenter de se reprendre en main ? Quand elle relève les yeux sur moi qui n'ai pas reculé d'un millimètre, la chaleur de son regard et la sensualité de sa voix n'a absoluement rien de convainquant.

« Et avec plus de conviction ça donne quoi Taylor ? »

Ses iris semblent me dire l'exact inverse de que ses lèvres articulent péniblement. Je ne suis pas certain qu'elle mesure la sensualité de son attitude là tout de suite. Elle tente de me raisonner alors que son regard est une invitation à céder la tentation. Je ne lui laisse guère l'opportunité de réellement se reprendre, les femmes ont parfois un tel esprit de contradiction qu'elle pourrait se faire violence juste pour le plaisir de me contredire. Ma main se pose sur l'une de ses jambes aux galbe parfait, et remonte doucement. Le contact de sa peau douce sous la rudesse de ma large peau finit de me galvaniser. Je désire cette femme avec ardeur et mes iris sombres brille de ce désir que je n'essais même plus de cacher.

« Si tu veux m'arrêter Taylor, c'est maintenant...»

Une dernière quoi... mise en garde ? Pas vraiment, puisque je ne lui laisse pas une seconde de plus pour réfléchir à ce qui va se passer maintenant. Ma main et remonté jusqu'à sa taille, glissant à présent dans son dos le long de sa colonne vertébrale. J'exerse une légère pression que ses lèvres déjà si proche des miennes les effleure. Je soupire, m'enivrant de son odeur divine et entêtante avant de céder et de capturer ses lèvres d'un baiser au goût de l'interdit. Je sais que je ne devrais pas que ç'aura forcément des répercussions sur notre relation qui demeuré sans heurts et sans ambiguïté jusqu'ici, mais c'est plus fort que moi. Ma langue est déjà entrain de forcer la barrière de ses lèvres pour venir danser sensuellement avec sa jumelle.

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MessageSujet: Re: Laissons retomber la pression || Taylor Andrew    Laissons retomber la pression || Taylor Andrew  EmptyJeu 13 Juil - 2:36



❝ Laissons retomber la pression ❞
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Une reine n'est jamais vraiment seule... Derrière chaque grande âme il y a son second.
   
A quel moment cette situation a-t-elle dérapée ? Tu es là, soudainement mal à l’aise, proie à l’envie et au désir de savoir comment ton partenaire de travail depuis bien des années, serait en mesure de se servir de son corps, de ces mains et de sa bouche contre ton corps ? Tu es sans doute bien plus névrosée que tu ne le soupçonnais. D’autant que le dérapage a déjà eu lieu avec un autre de tes collaborateurs de boulot. Un moment particulièrement plaisant qui te fait encore vriller et vibrer de par son intensité. Tu ne l’as pas encore recroisé… Et qu’est ce que ça donnera ensuite ? Tu as toujours été contre le fait de chasser sur ton lieu de travail, ce sont des hommes et femmes interdits à la moindre pointe option. Pourtant tu as déjà merdé… Tu ne peux pas recommencer à déconner. A moins de vouloir un jour être désigné comme le procureur le plus facile à baiser de ce foutu état.


Tu es pourtant une personne intelligente, capable de te contenir, de faire la distinction de ce qui se fait ou non. Et pourtant te voilà, à jouer de ton regard, de tes mots avec Andrew. A utiliser ton propre corps pour le séduire sans même t’en rendre compte. Qu’est ce qui ne tourne pas rond chez toi ? Tu es capable de foutre ta carrière en péril pour une histoire d’hormones puériles ? Putain Andrew en plus… Le mec le plus proche de toi au quotidien. Celui même témoin de tes failles, de tes difficultés parfois. Tu ne peux décidément pas te laisser aller à ce genre d’amusement. Mais ta raison commence à réellement avoir du mal à faire garder la tête froide lorsque sa poigne s’empare de tes mains pour les immobiliser. Que son visage est si proche, que des pensées loin d’être saines se dessinent dans ta tête. En toi, c’est un peu comme si, par ce geste, Andrew faisait courir des dizaines de petites décharges sensuelles le long de tes bras jusqu’au reste de ton corps, t’invitant à des idées de luxure. Tu voudrais y être totalement insensible, tu voudrais pouvoir faire comme si ça ne déclenchait rien en toi. Mais ouais… Madame la procureure n’est qu’une putain de femme sensible aux charmes masculins. Alors dès qu’il te relâche, tu fais en sorte de te reprendre, d’oublier son souffle contre ta joue et de t’éloigner le plus rapidement possible de ce corps et son chant. Andrew commente le fait que tu n’es pas parfaite et qu’il ne te croirait pas si c’était le cas, que cela l’obligerait à chercher la faille. Il joue. Tu n’es pas assez stupide pour ne pas le remarquer mais tu te contentes de regarder ta box de nouilles qui ne te fait plus ni chaud ni froid là tout de suite.


Si une part de toi pensait que la proximité rompue allait t’aider à t’échapper de cette situation délicate, ce n’est semble-t-il pas l’avis de ton collègue de travail, qui s’approche te versant de nouveau du vin. Tu fais de ton mieux pour échapper à son regard mais tu le reposes sur lui. Et la lueur qui se met à scintiller dans tes yeux n’a rien à voir avec de la crainte, non. Tu es un brasier qui n’attend qu’une toute petite étincelle pour s’embraser. Tu trempes tes lèvres dans le vin pour tenter de faire abstraction des hormones vives et tiraillantes qui commence à pulser sous ton épiderme. Mais quand tu fais preuve d’une arrogance étudiée en lui disant de ne pas jouer à ce jeu avec toi, tu es la première surprise de la lueur de défis qui né dans son regard. Non… Tu connais ce genre d’expression, si jamais tu n’as été la cible de ton second au bureau, tu comprends déjà ce qui l’excite dans une traque sensuelle. Pile ce que tu es… Un interdit arrogant. Le contact de sa main sur ta cuisse, tu fais inspirer vivement de l’air alors que tes iris envieuses descendent sur ce contact lorsqu’il te demande plus de convictions. Ton pouls s’accélère, son souffle et ces iris si proches de ton minois. Le parfum qui lui ai spécifique envahit de nouveau ton espace et tu serres doucement la mâchoire comme ultime geste de résistance. Tu remontes malgré toi, ton regard sur ces prunelles, sa bouche est prête à effleurer la tienne tellement, elle est proche. Il te demande l’arrêter maintenant, articulant ton prénom avec une chaleur que tu ne lui connaissais pas. Sa main dessinant un chemin de ta taille à ta colonne vertébrale y laissant une trainée douce et chaude.


- Ne fait pas ça Andrew…


Pourquoi ? Par manque de désir ? Non, tu sais déjà que cet homme allume en toi une sensation de désir folle. Tu aimerais lui dire plus pour le convaincre de s’arrêter. Mais tu n’as absolument pas le temps de savoir ce que tu as envie de faire que sa bouche capture brusquement la tienne. Dans un soupire lascif que tu abandonnes involontairement à son contact, tu découvres la sensation chaude de sa bouche à la fois autoritaire et sensuelle. Sa bouche ne sera pas la seule tangente pour te faire abdiquer. Déjà sa langue se glisse contre la tienne pour un baiser plus sauvage et enivrant. Qu’est ce que tu es en train de faire ? Ta main s'empare de sa nuque et tu l'attire plus fort dans ce baiser ardent. Tu te sens défaillir, perdre pieds, ton collaborateur te rend frémissante et envieuse de bien plus que ça. Pire il te pousse en y imaginer bien plus. Alors soudainement tu romps le baiser et te relève, t’échappant habillement de ce canapé, dont tu t’éloignes en rejoignant le pan de mur vitré qui surplombe une partie de la ville. Ta main contre ta bouche tu tentes de revenir à une raison. Repoussant ta chevelure en arrière alors que tu vois le reflet d’Andrew dans l’obscurité de la pièce au travers des vitraux. Tu vois sa chemise tâchée, son visage partagé entre deux émotions et une partie plus floutée qui est tout simplement sa chaire visible et parfaitement galbée. Tu te sens devenir plus fébrile et tu déglutis lentement.


- C’est une putain de connerie… Une putain de connerie.


Tu te répètes à deux reprises pour t’en imprégner. Pourtant l’impact de tes mots n’auront aucun poids et même pour toi. Tu te retournes, revenant face à lui alors que tu es toujours à distance. Ta main caresse toujours tes lèvres qui se sont mises à légèrement gonflée de ce baiser, qui porte encore son goût. Le regardant droit dans les yeux alors que tu restes indécise. Tu devrais lui dire de partir.





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Andrew Cavanna
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MessageSujet: Re: Laissons retomber la pression || Taylor Andrew    Laissons retomber la pression || Taylor Andrew  EmptyJeu 20 Juil - 21:47

Laissons retomber la pression
Outfit -- J'ai un sérieux problème moi avec les femmes, pourquoi suis je toujours attiré par celles qui ont ce petit goût d'interdit ? Taylor... non mais Taylor... je boss avec elle depuis des années, c'est ma boss et ce qui dans ma vie très occupé ce qui se rapproche le plus d'une amie. Alors à quoi je joue là au juste ?  Je suis dingue ou elle est réceptive ? Son regard brillant, sa respiration qui s'accélère, me semble être des signes d'encouragement, et pourtant j'ai peur de me tromper et de détruire une relation qui était parfaite telle qu'elle était. J'ai déjà ruiné une amitié - non, Hugo était plus qu'un ami, c'était mon frère mais ça c'est encore une autre histoire - parce que je n'ai pas su résister aux charmes d'une femme, mais est-ce que je peux ignorer le désir que cette femme aux courbes divine fait naître en moi ? Plus je la regarde plus je sais que je ne dispose pas de la détermination suffisante pour.

Un jeu de séduction s'installe entre elle et moi et c'est déjà allé trop loin. Elle le sait. Je le sais, mais la question est :  le point de non-retour-a-t-il était atteint ? Non, la cloche de le raison pourrait toujours retentir, mais pas si elle me regarde comme ça, pas si son souffle continu de caresser mon visage et si son odeur continu de me chatouiller les narines. Je ne pensais pas être un mec assez con pour mettre mon travail en péril à cause d'une femme, mais visiblement je le suis. Je l'envisage et soyons clair c'est déjà trop. Pourtant, je suis lancé, la raison n'est qu'un point loin derrière moi. Je joue avec elle, la taquine m'amusant de la voir se réfugier à l'autre bout du canapé comme si le contact de ma peau contre la sienne l'avait brûlé. C'est une erreur, je le sais mais je reviens à la charge en venant combler cette distance sous prétexte de lui servir un verre de vin. Si elle voulait que je m'écarte je pourrais pas percevoir cette lueure magnifique qui anime ses iris. Ce que j'y lis fait réagir que plus durement mon corps, soufflant sur les braises d'un désir qui a déjà prit que trop d'ampleur. Un gas bien reculerais et retrouverait un distance acceptable. Sauf que je ne suis qu'un petit con, un sale fils de pute comme dirait Hugo. Je fais que lui donner raison finalement. Au lieu de perdre en intensité mon animosité pour mon ancien ami, ma rage fait que croitre. J'ai merdé, mais ce qu'il a fait est mille fois pire, comment est-ce que je pourrais lui pardonner un jour ce qu'il a fait à ma soeur ? C'est juste pas pensable. Tout ça pour dire que malgré ce que je tente de faire croire, de laisser penser de part mes tenues nickel et mes airs de gas bien sous tout rapport je ne suis qu'un putain de connard. Ca va je le vis pas si mal que ça et ça me donne l'excuse pour me vautrer dans l'interdit... la pousser à craquer.

Mes lèvres effleure les siennes, son souffle chaud me fais frissonner. Mes doigts remontent le long de sa cuisse pour courir sur sa taille avant de remonter le long de sa colonne vertébrale. Je me nourris de ses frissons comme des encouragements à franchir la ligne rouge. Elle me demande de m'arrêter, mais la manière dont elle souffle mon prénom finis de me faire craquer. Je veux goûter ses lèvres, profiter de la douceur de sa peau et m'enivrer de son parfum. Je sesse alors de jouer avec ses effleurements interminables, je rompt cet douceur qui nous envelopper, l'embrassant avec une fougue que je peine à contenir. Aspiré dans cette spirale divine de l'interdit, je la presse contre moi. La sentir s'abandonner dans ce baiser, répond à la mienne dans une danse chaude et langoureuse. Elle abandonne ? Rends les armes ? Je jubile à cette pensée. Je connais la femme forte et vindicative, la femme vulnérable dans ses instants de doute et à présent je goûte à cet aspect plus passionné de sa personnalité. Ses doigts s'enroulent autour de ma nuque, appuyant ce baiser transformant cette étincelle en un brasier dévastateur. Je la veux. Je ne veux plus seulement jouer à la provoquer, je veux bien plus que ce baiser et la violence de ce désir qui m'étreint est violent.  Elle s'extirpe de ce tourbillon de passion dévorante avec une violence aussi prompt que celle qui m'a emporté. Je la regarde le souffle court et les yeux brillant d'un désir que je ne chercher même plus à amoindrir. Pourquoi ce soir ? Je n'en sais rien, en plusieurs années à son service je ne l'avais jamais regardé de cette manière, avant ce soir je n'avais même jamais imaginé que les choses pouvaient basculer, et pourtant, là maintenant j'aspire qu'à la baiser, emplir cette pièce où nous avons passé tant d'heures sérieuses et studieuses de ses gémissements, de ses cris de plaisir.

Elle part à l'autre bout de la pièce comme si mettre une distance raisonnable entre elle est moi pouvais étouffer le désir qui nous assaille l'un comme l'autre. Elle garde sa main contre sa bouche, comme si elle refusait de croire à ce qui venait de se passer, comme si elle réfutait ce dérapage. Je reste silencieux, lui laissant l'espace dont elle a besoin. Pour l'instant. Je le sent fébrile et en panique répétant que c'est une connerie comme si elle cherchait vainement à s'en convaincre. Dos à moi, je l'observe silencieusement avant de me lever lentement. Je laisse tomber ma chemise souillée sur le canapé. Elle se retourne et ses iris affolés semblent vouloir me sonder. Elle espère vraiment que se soit moi qui retrouve la raison ? Alors que ce baiser m'a carrément donné envie de la baiser contre ce mur vitré.

« peut être... et alors ? » Mon visage est sérieux, le sourire du petit con s'est effacé. Le goût de l'interdit crépite encore sur mes lèvres. Elle aurait déjà dû me dire de me partir sans demander mon reste, mais au lieu de ça elle me fixe et ses lèvres encore échaudées par notre baiser semble m'appeler pour un second round. J'avance lentement vers elle mes iris demeurant plantés dans les siens, si elle recule elle finira acculée contre le mur vitre derrière elle. Je m'appuis contre mes mains sont de part et d'autre de son visage. Debout, je la surplombe et je suis obligé d'incliner ma tête pour soutenir mon regard. « Dis-moi que t'en a pas envie Taylor... dis-moi que tu veux que je parte. Ma voix gronde quand mes onyx la sondent, cherche à deviner les émotions qui bouillonnent en elle.  Nous sommes déjà allés trop loin, que nous nous arrêtons là où non, ne rendra pas les choses plus faciles et plus fluides le lendemain. Une tension demeurera. Ma main droite quitte son appui contre la vitre pour glisser sur sa joues, un geste tendre glissant dans sa nuque, mon geste se raffermis, témoin d'un désir auquel je ne resiste pas. Qu'elle ne s'attende pas à faire raisonner en moi la corde de la raison, et je ne suis pas certain de vouloir la laisser réfléchir davantage et si elle ne m'a pas encore repoussé mes lèvres viendront capter les siennes dans un baiser sauvage et possessif et ma seconde main viendra se faire un chemin sous ce tissu dissimulant ce corps que je veux découvrir.
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MessageSujet: Re: Laissons retomber la pression || Taylor Andrew    Laissons retomber la pression || Taylor Andrew  EmptyDim 6 Aoû - 10:05




❝ Laissons retomber la pression ❞
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C’est lancinant sous chaque parcelle de ta peau. Ça se pulse fort dans tes veines, faisant propulser ton sang au travers de ton corps comme pour diffuser un peu plus la chaleur qui se propage, s’infiltre, se diffuse. Tout tes capteurs se mettent en alarme sonore, chaque pore de ta peau provoque une érection du duvet sur ta peau. Chaque souffle, chaque effleurement qui s’impose à ton épiderme te rend plus fiévreuse.« Andrew recule… » Tu ne peux déraper, pas quand tu sais qu’une petite semaine auparavant tu as fait la même chose avec un autre collègue et qu’aussi bon cela avait il pu être, tu mets en jeu ton poste en chassant sur ton lieu de travail. Pas que tu te sois poser véritablement des interdictions mais tout est toujours plus compliqué quand tu as baisé avec quelqu’un. Des enquêtes telles que les tiennes n’ont pas besoin d’être encombrées ensuite d’histoire de fesses sans lendemain. Tu inspires, tentant de reprendre un minimum de contrôle là où ta peau semble devenir un véritable brasier ne demandant qu’à prendre vie. Andrew est d’une attirance folle, un homme parfaitement calibré pour faire vibrer une femme sans aucun doute. Mais jusqu’à présent, il n’avait jamais émis le moindre sous-entendu, le moindre signal indiquant que tu étais en mesure de lui plaire. Et tu n’avais toi non, jamais penser que ça puisse s’échauffer entre vous. Pour autant ce soir, tout devient différent. Tu as déjà mangé avec lui dans ce bureau des dizaines de fois, vous avez au travers de ces moments, rient, partagés quelques discussions, quelques secrets même s’ils n’avaient aucune profondeur. Vous vous êtes souvent retrouvés tout les deux dans une pièce… et pourtant là tout de suite, tu ne peux pas le regarder dans les yeux sans avoir envie de sentir ce que son corps emboité contre le tien te ferait ressentir. Tu ne peux pas respirer son parfum sans ressentir le désir de planter tes dents contre sa chaire et voir les réactions qui en émanent. Ces mains viennent à la rencontre de ta cuisse, son visage te fait face dans ce coin de canapé que tu voudrais terriblement plus grand. Tu halètes en sentant sa bouche si proche de la tienne. Quelques centimètres et tu pourras y goûter, y plonger avidement. « Tu ne peux pas faire ça… c’est ton assistant. » Tes lèvres expriment le fait qu’il devrait s’arrêter mais tu n’as aucune réelle envie qu’il le fasse pourtant. Et ton assistant le saisit sans mal. La seconde suivante ces lèvres agrippent les tiennes avec une avidité que tu rêvais de découvrir. Tu te laisses étouffer par sa bouche, frissonnante de la tête de ce contact brusque et charnel. Son corps se redresse, te domine dans ce baiser et tu te surprends à en vouloir encore bien plus. Tes mains recherchent déjà à ce que tout cela dérape, s’enfonçant dans sa nuque afin de mieux le goûter, afin que ta langue danse plus fort contre la sienne. Le sucre de sa bouche, la chaleur de sa cavité, l’excitation qu’il fait grandir.


T’extirper de son étreinte est une chose que tu n’aurais pas cru possible. Pourtant, tu as renoncé. T’éloignant de lui avec une rapidité et une agilité que tu ne te connaissais pas. Ton souffle est cours, ta bouche échauffée et envieuse qu’on s’occupe de nouveau d’elle. Ton entrejambe pulse déjà sous l’envie d’avoir de l’attention. Et toutes ces sensations dans ton corps, te donne bien du mal à raisonner. Tu restes dos à lui, t’acharnant à vouloir remettre une quelconque logique en place, peut être cherchant aussi à asseoir un refus qui soit véritable. Dans ton dos, le bruit du canapé qui se retrouve sans plus personne à soutenir, se fait entendre, et ce simple mouvement te procure un frisson. Tu refais face à Andrew, sa chemise à quittée ces épaules pour s’échouer ailleurs, et tu caresses tes lèvres en répétant que c’est une bêtise. Bien sur que ça en est une, mais alors pourquoi tes iris le découvre et refuse de s’en détacher. T’en appelle à la raison d’Andrew, après tout dans ce duo professionnel c’est lui le plus paisible. Lui qui te conditionne, qui t’oriente sur les approches à entreprendre. Sauf qu’à cet instant tu découvres bien autre chose, de l’assurance, de l’animosité, de sauvagerie dans chacune de ces respirations. Toute une promesse de lente torture contre son corps. Il approuve le fait que ça soit une connerie et enchaine avec un « et alors ? ». Il avance vers toi et tu recules, jusqu’à sentir la froideur de la paroi vitrée contre ton chemisier. Cet homme est tout ce que tu vénères lors d’un rapprochement. Homme que tu jettes vulgairement ensuite pour éviter de t’encombrer de choses inutiles. Tu feras quoi après cet acte avec lui ? Il est tout proche de toi, un sourire narquois sur les lèvres, alors que ces mains se plaquent de part et d’autre de ta tête. Il s’incline si proche de ta bouche et demande de lui dire que tu ne veux pas ce qui arrive. Que tu veux qu’il quitte cette pièce. Sauf que tu en es incapable à l’instant. Tu sens sa main contre ta joue, douce d’abord plus ferme lorsqu’elle rejoint ta nuque. Tes iris glissent sur sa bouche et tu halètes en les regardant. Une pause semble se former l’espace d’une seconde avant que finalement tout ne dérape. Sa bouche s’empare de nouveau de la tienne. Tu attrapes ces flancs afin que ces derniers s’approchent de ton corps menu. Tu t’y presses, sentant contre ton bas ventre comme la tension est palpable pour lui aussi. Tes lèvres contre les siennes, est un brasier que tu attises de ta langue, tisonne de tes dents. Ça n’a rien de doux, c’est animal et primaire. Tes ongles glissent dans son dos que tu griffes doucement, avant que tu ne viennes défaire lentement les boutons de ton chemisier. Tu rompts le baiser, tes mains rejoignant les épaules de ton amant, poussant vers le bas pour qu’il s’agenouille. C’est Andrew devant toi, l’un des piliers de ton job mais là tout de suite, tu n’as qu’une seule et unique envie. Que ton assistant te montre comment il embrasse d’autres types de lèvres.


- Je pense toujours que c'est une bêtise...  



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MessageSujet: Re: Laissons retomber la pression || Taylor Andrew    Laissons retomber la pression || Taylor Andrew  EmptySam 12 Aoû - 13:08

Laissons retomber la pression
Outfit --Je ne devrais pas. Non, je le sais parfaitement et pourtant je crois qu’à présent rien ne pourrait m’arrêter. Le feu du désir coule dans mes veines, m’animant d’un désir sauvage que je ne peux pas… et ne veux pas non plus contrôler. Je ne saurais dire ce qui nous a amené à cet instant. Ca fait des années maintenant que je travail pour elle, et c’est la première fois que je pose ce regard là sur elle. L’intensité de notre affaire qui me rappel ma propre histoire ? La pression qui retombe d’un coup et nous rends plus sensibles à un rapprochement ?  Peut-être est-ce simplement le fait de se retrouver seuls dans cette pièce, loin de toute distraction et de tout regard extérieur. Peut-être est-ce juste l’alchimie entre nous qui s’est soudainement mise à opérer. Mais peu importe la raison, je ne peux plus résister à l’envie de la toucher, de la goûter, de la posséder.Je m'approche lentement d'elle, observant chaque mouvement de son corps qui semble s'accélérer à mesure que je m'approche. Sa respiration s'accélère, et je sens la chaleur de son souffle contre ma peau. Enfin, je suis à côté d'elle. Je la regarde dans les yeux, et je vois le désir brûlant dans son regard. Je suis submergé par cette envie impérieuse de l'embrasser, de la toucher, de la goûter. Alors, je prends son visage entre mes mains et je l'embrasse passionnément, mêlant lascivement ma langue à la sienne. Ce baiser, c'est un délice indescriptible qui traverse tout mon corps. Le moindre effleurement de nos peaux provoque une onde de frissonnement qui me laisse  à bout de souffle. Nous sommes complètement pris dans un tourbillon d'émotions, nous laissant emporter par notre désir l'un pour l'autre. Nous savons que ce que nous faisons est mal, que nous commettons une erreur en cédant à notre passion dévorante et interdite. Nous sommes conscients que notre collaboration ne pourra pas demeurer intacte suite à cela, mais nous ne pouvons pas nous empêcher de nous laisser emporter. C'est elle qui, finalement, met fin à notre étreinte passionnée et se détache de moi pour se réfugier à l'autre bout de la pièce, comme si elle venait de se brûler les ailes.

Deux heures du matin. La ville est plongée dans l'obscurité, mais je peux encore distinguer son corps grâce aux rares lumières mystiques qui l'éclairent. C'est un moment magique, empli d'une énergie mystérieuse qui attire mon regard vers elle. Je sais que je ne peux pas me contenter de ce baiser brûlant. Il y a quelque chose de puissant qui m’attire, une tension palpable qui ne peut être ignorée. Nous avons déjà cédé au mal et sommes allés trop loin dans l'attrait de l'interdit, mais cela ne fait que renforcer notre désir l'un pour l'autre. Je me sens captivé par sa présence et je sais que je ne pourrai pas résister à la tentation de m'approcher d'elle. Je prends le temps de retirer ma chemise avant de me lever et de m'approcher lentement d'elle. Le silence s'installe entre nous, créant une tension électrique qui ne fait qu'augmenter. Je peux paraître comme un prédateur fonçant sur sa proie, mais je ne peux pas m'en empêcher. Je suis captivé par elle, je la veux plus que tout. Mon désir de la toucher, de l'embrasser, de la caresser et de la posséder est presque insupportable. Mes yeux parcourent chaque centimètre de son corps, chaque courbe, chaque mouvement, jusqu'à ce que je sois tout près d'elle. C’est une connerie, je le lui accorde, mais c’est loin d’être suffisant pour me stopper dans ma course. Je manque peut être de discernement et la raison me fait clairement défaut, mais elle, elle manque de conviction quand elle tente de me raisonner. Si elle voulait vraiment que je quitte son bureau et que j'arrête ce petit jeu, je ne serais pas là, si près d'elle que je peux sentir son parfum enivrant m'envelopper comme un nuage de douceur. Elle est adossée contre la paroi vitrée, mes yeux plongés dans les siens, mes mains appuyées de chaque côté de son visage, comme si j'avais capturé ma proie. Je peux sentir son souffle chaud sur mon visage tandis que je me perds dans ses yeux, me laissant emporter par le moment. Je suis hypnotisé par son charme et je ne peux m'empêcher de la regarder fixement, comme si j'essayais de comprendre tous les secrets qu'elle garde en elle. La tension entre nous est palpable, et je ne peux m'empêcher de me penser à ce qui se passera ensuite.

Mes doigts viennent effleurer sa joue, caressant sa peau douce jusqu’à venir empoigner sa nuque avec fermeté. Je sens la chaleur de son souffle sur mon visage alors que je plonge mon regard dans le sien, cherchant une réponse. L'envie est palpable, mais je veux être sûr qu'elle est prête pour ce qui s'ensuit. J'attends patiemment qu'elle me réponde, mais ses yeux pétillants semblent ne vouloir rien dire. Je lui offre une nouvelle chance de tout arrêter, de mettre fin à cette situation délicate si elle le veut vraiment. Elle articule qu’elle pense que c’est une bêtise, mais elle ne me demande pas de m’en aller, et je sens mon désir monter en flèche.  Sa dernière chance est avortée et mon visage se fend d’un sourire provocateur. Je me penche lentement vers elle, mes lèvres presque effleurant les siennes, mais je m'arrête à nouveau. Le temps semble s'étirer, nous laissant seuls dans cette bulle de désir qui ne demande qu'à être assouvi.

« Je le pense aussi… mais ce n’est pas suffisent pour m’arrêter, pas maintenant que j’ai goûté au goût de tes lèvres. »

Mes bras passent autour de sa taille, et je sens son corps chaud contre le mien, fusionnant en une étreinte passionnée. Ses ongles griffent doucement mon dos, m'envoyant des frissons dans tout le corps. Je suis captivé par ses lèvres douces et sensuelles, explorant chaque recoin de ma bouche. Nous sommes tous deux emportés par cette passion brûlante, oubliant tout le reste autour de nous. Je ne suis plus Andrew, l'assistant, mais un homme gouverné par un désir irrépressible, prêt à tout pour prolonger ce moment inoubliable. Je pourrais la soulever pour la baiser à même son bureau avec toute la sauvagerie qu’elle m’évoque mais la belle semble aimer prendre les choses en mains. Ses mains se posent sur mes épaules, exerçant une pression douce mais ferme pour m'inciter à m'agenouiller devant elle. Mes doigts effleurent lentement ses cuisses, remontant sous sa jupe que je trousse jusqu’à sa taille. Je tire sur l'élastique de sa culotte, la faisant tomber à ses chevilles et découvrant sa peau douce et soyeuse. Je ne peux m'empêcher de la contempler, admirant chaque courbe de son corps parfait. Mes doigts glissent entre ses cuisses et je sens son excitation indécente qui ne fait que croître sous mes premières caresses. Je la contemple avec un sourire satisfait, heureux de l'effet que je lui fais. Elle ne semble pas vouloir que je m'arrête, et même si elle essayait, je doute qu'elle en aurait la force. Je l'encourage à écarter un peu plus les jambes, puis je viens déposer ma langue à l'intérieur de sa cuisse et remonter lentement jusqu'à son intimité, que je commence à dévorer avec passion et détermination. Chaque mouvement de ma langue lui procure une sensation de plaisir intense, et je suis heureux de lui offrir cette expérience si intense et satisfaisante. Je continue à explorer chaque recoin de son intimité avec ma langue, la faisant gémir de plaisir et de désir. Pendant que je la fais vibrer de plaisir, je ne peux m'empêcher de penser à toutes les autres choses que je pourrais lui faire. Taylor m’excite et m’inspire une luxure décadente. Une chose est certaine la nuit ne fais que commencer et chacun de nos gémissements imprégnera chaque parcelle de cet endroit.
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MessageSujet: Re: Laissons retomber la pression || Taylor Andrew    Laissons retomber la pression || Taylor Andrew  EmptySam 19 Aoû - 10:35





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Une reine n'est jamais vraiment seule... Derrière chaque grande âme il y a son second.
   
Pas un seul de tes rêves, même le plus fou n’aurait comporté que tu finisses par t’envoyer en l’air avec ton assistant. Jamais, à aucun moment tu n’as envisagé Andrew comme un amant potentiel, pire tu es du genre à penser que ce genre de comportement dans un tribunal ou en tout cas, dans les domaines de professions décisionnaires, c’est se tirer une balle dans le pied. Le sexe aussi bon soit il à être attisé avec un partenaire de boulot, ruine votre manière de penser, éclipse durant un laps de temps votre objectif, voile votre volonté, fausse votre ressentiment ensuite et même si tu es parfaitement consciente de tout cela tu n’arrives décemment pas à dire à Hugo, magnifiquement dénudé, qu’il doit prendre la porte. Non ton regard coule sur sa peau, sa manière délicieuse d’approcher de toi, de te regarder, de venir te sentir, te toucher, t’effleurer. Il est tout aussi envieux d’assouvir son envie de toi, et si tu as toujours connu cet homme droit et sans le moindre dérapage si ce n’est un tempérament palpablement sanguin, tu comptais sur lui pour la raison.


Mais à première vue, tu n’es pas la seule à manquer de détermination, à ne pas réussir à prôner votre lien professionnel à celui de la passion. Son corps revient contre le tien et dans ta tête plus aucune conviction ne tient la route. Pas même le fait que tu te sois aventuré à prendre du plaisir sur ton bureau juste derrière lui, il y a quelques jours avec un autre de tes partenaires de boulot. Putain tu es en train de littéralement péter les plombs et tu en as pleinement conscience mais… c’est plus fort que toi. D’autant qu’il est là, te surplombant, ces deux bras de part et d’autre de ton visage, en appuis sur la vitre, et tu sens ta cage thoracique se remplir et se vider plus que de raisons. Tu t’emballes, ton sang s’échauffe, tes sens aussi. Ces iris te sondent comme s’il cherchait quelque chose et, dans ton crâne c’est assez limpide. Inutile de te chercher, il t’a déjà trouvé. Ces doigts viennent caresser ta joue puis soudainement sa prise se fait plus ferme dans la base de ton cuir chevelu et tu entrouvres les lèvres dans un soupire légèrement audible. Avec une patience d’une extrême force, il patiente en insistant pour savoir si c’est ce que tu veux, et ton amusement à ne pas lui répondre semble le rendre un brun complètement fou. Sa bouche frôle la tienne, balançant une violente décharge de tes lèvres au reste de ton corps, alors qu’il chuchote en disant qu’il n’est pas capable de s’arrêter maintenant qu’il a gouté à ta bouche. Un inspire comme une ultime manière de te canaliser mais son parfum t’appelle, te donne plus envie encore de te laisser aller à des plaisirs charnels dont il serait l’auteur. Puis tu lâches prise, tu le sens t’attirer à lui et tu te jettes sur sa bouche. Tant pis qu’il soit ton assistant et que ta vie professionnelle dépende de ses compétences. Là tout de suite tu veux exploiter d’autres compétences plus physiques. Son large corps semble tellement taillé à ce genre d’activité, sa peau si douce ne demandant qu’à être tailladée par tes ongles, celle-ci rougissant suite à des frottements passionnés. Tu veux cet homme, tu veux le dévorer et voir à quel point tu trôneras dans son regard ensuite.


L’ordre silencieux tombe, tu lui indique ton envie de sentir comme sa bouche est capable de merveille sur un endroit tout particulièrement excité. Il obtempère, te regardant de ces iris pleines de désir, et ta bouche s’assèche avec rapidité. Il t’effleure comme si tu étais un joli cadeau avant de s’agenouiller et défaire ton sous vêtement de dentelle qui rejoint le sol. Ta jupe se soulève, ton fessier s’imprimant sur le froid de la vitre de ton bureau. Ces doigts remontent lentement ton entrejambe et tu inspires plus froid, ton regard rivé dans le sien alors qu’il atteint la jonction sensible de ton anatomie. Tu entrouvres la bouche, haletante alors que ces doigts découvrent le plaisir que ce moment provoque en toi. A en croire le sourire qui trône sur son visage, ton amant est ravi. Tu mordilles doucement ta lèvre inférieure, glissant ta main dans les cheveux parfaitement coiffé jusqu’à présent d’Andrew. Ton souffle se modifie alors que tu susurres.


- Vous êtes l’unique responsable de cela Mr Cavanna.


Ton souffle s’emballe à tes mots et Andrew approche alors son visage de ton entrejambe tu grognes l’espace d’un instant avant d’incliner ta tête en arrière au contact de sa bouche contre ton intimité. La chaleur enveloppe ton sexe qui demeuré frissonnant et envieux de contacts. Ecartant ta cuisse tu la déposes sur l’épaule parfaitement musclée de ton amant, afin que sa proximité soit la plus proche possible. Des le premier contact, tu te sens défaillir. Waouh tu avais sans nul doute, vraiment très envie de lui en réalité. Et ce n’est que le début. Tu presses plus fort son visage à l’instant où sa langue t’explore. Il est doué sans nul doute, ton corps subit déjà des décharges que tu ne maîtrises pas, qui t’électrise et qui te font tourbillonner. Ta poigne se saisit plus fermement dans ses cheveux, et ton bassin émet un mouvement d’ondulation contre sa bouche, tu te sens tellement forte en cet instant. Tellement… Convoitée. Ta main libre rejoint ton haut, sous le regard de ton assistant tu commences à déboutonner ton chemisier subissant les assauts délicieux de sa bouche en simultané qui te font gémir. Tu termines par ôter la chemise, l’un des boutons finissant par céder sous ta nervosité. Tu te retrouves simplement vêtu de dentelle et garde ton regard rivé sur celui de ton amant qui te suçote divinement. Un spasme te prend t’obligeant à rompre le contact en raidissant ton corps. Tu luttes pour céder trop facilement, pourtant tu en as terriblement envie. Tu ondules plus fort des hanches et arque ton corps dans une sensualité que tu possèdes naturellement. Tu pensais pouvoir te raisonner mais tu as envie de plus. Tu veux jouir contre sa bouche, voir l’effet que ça lui donne. Voir comment il se perds quand tu lui arracheras un orgasme. Tu bouges plus amplement et soudainement, sur une ultime pression de sa bouche, ton intimité éclot dans un gémissement plus évocateur. Il est tard et peu de chance qu’un témoin soit présent. Tu sens la vague te submerger pour un moment suspendu où l’orgasme règne en toi. Tu reviens doucement à toi, sous l’œil toujours carnassier d’Andrew. Tu reprends doucement ton souffle, tirant doucement ces cheveux afin qu’il se redresse. Tu retrouves sa bouche, la tienne est avide, sèche et envieuse de s’échauffer contre la sienne. Tu mords sa lèvre inférieure, tes mains s’attèlent déjà à lui retirer son pantalon tout en repoussant vers ton siège de bureau. L’obligeant à s’asseoir une fois son pantalon descendu, abrégeant le baiser pour l’observer, une bosse proéminente dans son boxer, tu te sens folle de désir. Tu t’agenouilles doucement, prenant tout ton temps en t’installant presque sous ton bureau, retirant son sous vêtement. Tu découvres son érection belle et au zénith. Tu ne le quittes pas des yeux lorsque tu approches ta bouche de sa cuisse, pour l’embrasser. Faisant volontairement monter sa frustration.


- Vous semblez avoir très envie, Mr l’assistant.


Tu approches de son membre, soufflant dessus juste pour le rendre dingue un peu plus. Orientant ta bouche sur le haut de ces hanches pour le mordre doucement.



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Andrew Cavanna
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MessageSujet: Re: Laissons retomber la pression || Taylor Andrew    Laissons retomber la pression || Taylor Andrew  EmptySam 2 Sep - 11:37

Laissons retomber la pression
Mélanger travail et plaisir n'est pas une bonne idée, c'est ce que tout le monde dit. Pourtant, je ne peux pas m'empêcher de ressentir un désir indéniable pour Taylor, ma collègue et supérieure hiérarchique. Nous avons travaillé ensemble pendant de nombreuses années, partageant des moments difficiles et stressants qui ont certainement renforcé notre lien. J'ai vu Taylor dans des états de stress et d'anxiété qu'elle ne montre pas souvent à d'autres. Malgré cela, notre collaboration étroite a toujours été professionnelle et respectueuse des limites professionnelles. C'est ce qui rend notre relation de travail si précieuse et si efficace. Alors pourquoi ce soir tout est différent ? Pourquoi est-ce que pour la première fois le regard que je pose sur elle c’est celui du désir ? Un désir irrépressible auquel toute résistance demeurera vaine. Je me perds dans ses yeux, ses courbes, son sourire. Je ne peux m'empêcher de penser à elle, à chaque instant. Mon désir pour elle est si fort qu'il muselle ma raison avec férocité. Elle ne semble pas vouloir être plus raisonnable que moi. Si elle me demandait de partir sur le champs, je le ferais, je lui en ai laissé l’opportunité mais malgré ses réticences elle n’a pas su formuler ces mots.

La pénombre environnante semble nous plonger dans une bulle hors du temps et de l'espace. Je la contemple avidement, cherchant à sonder son âme. Je  me penche vers elle et l'embrasse langoureusement, nos langues se cherchent et s'entrelacent pour une danse chaude et endiablée. Le temps semble s'arrêter, laissant place à nos désirs les plus profonds. L'obscurité nous enveloppe et nous laisse à notre passion dévorante.Je suis complètement subjugué par la saveur sucrée et addictive de ses lèvres et je ne peux pas m'empêcher de vouloir en profiter encore et encore. Elle ne résiste pas à mes avances et me laisse explorer son corps à coup de caresses et de baiser. Chaque caresses, chaque baiser semble la libérer davantage, jusqu'à ce qu'elle se livre entièrement à moi. Son corps est une source infinie de plaisir et je suis déterminé à l'honorer sous toutes ses formes. Je suis fasciné par cette femme envoûtante et délicieuse, et quand elle m’y invite je ne résiste pas à l’envie de venir découvrir une partie plus au sud de son anatomie. Je tombe alors à genoux devant elle, la délestant lentement de toutes ses barrières de tissus qui entrave mon désir.

Je suis immédiatement attiré par sa beauté renversante. Mes yeux se posent sur elle alors qu'elle se tient devant moi, élégante et gracieuse. Je m'agenouille doucement devant elle, prenant le temps de retirer chacune de ses couches de vêtements délicatement pour révéler sa peau douce et soyeuse. Mon désir pour elle ne cesse de croître alors que je la contemple dans toute sa splendeur. Chaque mouvement que je fais est empli d'une passion brûlante, et je ne peux m'empêcher de penser à toutes les manières dont je pourrais la satisfaire. Je me concentre sur l'importance de bien exciter son désir, en prenant le temps d'explorer chaque recoin de son corps. Mes lèvres parcourent lentement l'intérieur de sa cuisse, cherchant à la fois à stimuler son excitation et à intensifier ses sensations. Mes doigts suivent le même chemin, remontant doucement vers sa fente déjà humide de désir. J'essaie de trouver le rythme parfait pour la toucher, de manière à la faire gémir de plaisir. Je suis attentif à ses réactions, cherchant toujours à trouver de nouveaux moyens de la satisfaire. C'est une expérience sensuelle qui nécessite une grande attention aux détails, une patience infinie et une passion ardente. Ses doigts glissent dans ma tignasse brune, l’empoignant pour m’imposer son désir, pour m’imposer sa volonté d’être satisfaite. C’est à cet instant précis que ma bouche trouve son intimité, ma langue glisse entres ses lèvres intimes  venant finalement jouer avec son clitoris que je presse, pince… aspire. Aucune mélodie me semble plus belle que celle de ses gémissements causé par ma langue salvatrice. Sa cuisse vient reposer sur mon épaule pour me laisser plus d’aisance à la satisfaire. Elle presse mon visage contre son intimité, m’invitant, non, m’imposant de la dévorer avec encore plus d’ardeur. Mes mains viennent empoigner son fessier aux galbes tentateurs, le pressant avec passion pendant que ma langue brûlante glisse en elle. Je la dévore comme un homme assoiffé, ne souciant de rien d'autre que de son plaisir. Je la souhaite brûlante, tremblante et assoiffée d'un plaisir insoutenable. Mon désir pour elle ne peut être rassasié, et je continue de l'explorer, de la caresser, et de la toucher avec une passion sans fin. Chaque mouvement de mon corps est empli de désir, et j'explore tous les recoins de son corps, cherchant à la faire vibrer avec une intensité inoubliable.

Elle est à présent presque nue, son chemisier n’est qu’un souvenir lointain et sa jupe forme un boudin insignifiant autour de sa raille. Malgré la lutte interne qu'elle mène contre le plaisir qui la submerge, son visage déformé est un spectacle d'une beauté divine.  Chaque mouvement, chaque geste, est empreint de sensualité et de désir, et la tension sexuelle qui émane de la scène laisse présager d’un dénouement intense et décadent. Elle lutte, lutte contre ce plaisir que je veux sentir pulser contre ma langue. Mes doigts s’invitent en elle pendant que ma langue malmène son bouton de chair. Son bassin ondule contre mon visage, elle semble sur le point de défaillir, je lève sur elle mes iris sombres et brillants d’excitation.Je veux la voir exploser de plaisir, je veux qu'elle se sente vibrer de la tête aux pieds, qu'elle soit secouée par des spasmes incontrôlables. Je veux que le goût de sa cyprine inonde ma bouche alors que je la suce et l'aspire, la torturant jusqu'à ce qu'elle explose de plaisir. Quand la jouissance s'empare d'elle, elle tente de s'extirper de mon emprise, mais je la maintiens fermement, la dévorant jusqu'à ce que le dernier spasme de plaisir la soulève. Le regard satisfait et prédateur que je pose sur elle ne laisse aucun doute quant à mes intentions pour la nuit qui s'annonce. Je suis avide de la dévorer encore et encore, de la faire vibrer de plaisir jusqu'à l'épuisement. C'est le début d'une nuit intense et brûlante, et mon regard en dit long sur mes désirs les plus profonds. Je veux explorer chaque parcelle de son corps, découvrir chaque recoin de son âme, et la faire jouir encore et encore. Je suis prêt à la satisfaire jusqu'à ce qu'elle ne puisse plus tenir debout, jusqu'à ce qu'elle ne soit plus qu'un amas de chair épuisée mais comblée.

Je me redresse, alors qu’elle semble avec grand-peine à reprendre son souffle, tiraillant sur ma tignasse elle me clou au silence d’un baiser passionnée. Elle me mords, m’attise d’un désir passionné et irrépressible pendant qu’elle s’affaire à défaire mon pantalon. Je bande comme un fou, je me sentais terriblement à l’étroit. Je la dévore ses yeux, elle me rends fou, et elle peux que constater à quel point elle me rend fou. Alors qu'elle me fait asseoir sur sa chaise, je ne peux m'empêcher de dégrafer son soutien-gorge et d'admirer sa poitrine parfaite. Ses seins sont si bien galbés que je ne peux résister à l'envie de les toucher et de les caresser. Pendant ce temps, elle libère mon membre de son boxer, révélant une érection parfaite qui ne demande qu'à être satisfaite. Mon désir pour elle est si intense que je ressens une douleur lancinante dans tout mon corps. Mais je me retiens, sachant que je veux prendre mon temps pour la savourer pleinement. Je l'embrasse doucement sur les lèvres, avant de la laisser s’agenouiller devant moi. Elle souffle sur mon sexe, son souffle chaud me rends aussi fou qu’un taureau devant lequel on agite un drapeau rouge.

« Vous êtes encore bien loin de la réalité Madame la procureur…»

Je suis envoûté ? C'est un euphémisme. Je la contemple avec avidité, mon corps entier est animé d'un désir intense. Je ne suis plus son assistant, mais un homme brûlant de passion. Mes doigts s'agrippent à sa chevelure alors que la frustration menace de m'emporter. Je la force à pencher la tête en arrière et je me penche pour l'embrasser avec fougue, mes lèvres affamées impriment sur les siennes un désir de possession grandissant. Mon corps tout entier est en feu et je ne peux plus me contenir. Je reviens m’assoir dans le fauteuil sans lâcher ma prise, j’écarte les cuisses pour qu’elle se love entres elles, je viens presser mon gland contre ses lèvres encore gonflés par la passion de notre baiser. Je veux me sentir à l’étroit et comprimé entre ses lèvres, je veux sentir sa langue me cajoler comme si j’étais une friandise irrésistible. Je la veux et si elle me fais encore attendre, je crois que je pourrais forcer la barrière de ses lèvres pour m’imposer en elle.

« Et si vous me faite attendre un instant de plus… j’ai peur de ne plus être en mesure de répondre de mes actes…»
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MessageSujet: Re: Laissons retomber la pression || Taylor Andrew    Laissons retomber la pression || Taylor Andrew  EmptyMar 5 Sep - 17:55




❝ Laissons retomber la pression ❞
- Taylor Lopez & Andrew Cavanna -
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Qui aurait pu croire que tu en avais autant envie de ton assistant. Putain quatre années à bosser à ces côtés. Quatre putains d’années où les seuls moments de frivolités entre vous se résumait à passer un repas dans ces mêmes locaux pour tenter de résoudre des enquêtes judiciaires ou pénales méritant votre attention. Durant tout ce temps, il n’y a rien eu d’autres que de la déconnade, pas un seul geste déplacé, pas un seul regard évocateur de quelque chose et ce soir… Putain ce soir tu as la bouche d’Andrew contre ton entre jambe, à onduler comme une espèce de nymphomane incapable de se tenir. Il lui a fallut quoi pour te faire craquer, deux trois souffles sur ta peau, un baiser, et quoi un regard de merde pour t’enflammer. Tu es une proc’, une putain de femme dans un monde puant la testostérone et tu en as chié pour en arriver là où tu es. C’est tellement beau d’avoir une force de caractère comme la tienne et ne pas savoir dire non à une bouche sur une gueule un peu trop jolie, qui est à présent en train de faire la plus douce performance qui soit.


Est-ce la situation ? L’excitation de l’interdit ? Ou le fait que ça soit avec ton second que tu es en train de prendre ton pied qui fait que tu éclates véritablement dans un orgasme dingue contre sa langue. Tes yeux rivés dans ceux de ton partenaire qui te dévisage avec une telle intensité que sur l’instant l’idée de le violer et de marquer sa peau de tes ongles est une option bel et bien envisageable. Putain tu sens la chaleur ensevelir ton corps, et tu sais déjà qu’il va-t’en falloir plus. Beaucoup plus. Plus de lui, plus de son corps, de sa peau. La manière qu’il a de te convoiter, la flamme qui brille dans ces iris est tellement ardente, que tu veux t’y bruler… encore et encore. Alors tu reprends doucement tes esprits en retrouvant la bouche d’Andrew. Tu dévores celle-ci, la marquant de tes dents avant de le faire asseoir sur ton propre fauteuil, te cachant sous ton propre bureau. Ton regard ne le quitte pas, tu es une prédatrice en chasse et tu veux à présent voir cet homme succombait à ton charme. Tu déballes le point central de toute son envie, pendant qu’il s’empresse de vouloir ta poitrine la plus libre possible. Tu lui adresse un petit regard par-dessous, ton sourire amusé trônant sur ton visage alors que ta main s’empare délicatement de son pieu de chaire, très excité. Andrew réclame ta bouche contre la sienne et tu obéis pour le moment bien sagement. Compressant son membre entre tes doigts en débutant un va et vient doux. Ta bouche relâche la sienne, alors que tu te positionnes et affiche un air purement innocent sur le visage. Ton collaborateur est bien placé pour savoir que s’il y a bien un être qui est un carnassier ici c’est bien toi. Tu t’approches de son membre, souffle sur celui-ci doucement, observant scrupuleusement les réactions d’Andrew. Tu vois ces mains commençaient à s’agiter et ça t’amuse, ça t’amuse beaucoup. Tu l’interpelles sur le fait qu’il a l’air d’en avoir très envie et sa réponse te fait sourire plus fort. Tu approches de nouveau de son membre et fait doucement glisser ta langue sur son gland dans un premier temps alors que ta main s’occupe de caresser sa peau extrêmement tendue. Chacune de ces réactions t’amuse, te délecte d’un plaisir fou. Tu veux le pousser à bout, tu veux voir jusqu’où il est prêt à aller avec toi. Sa main prend possession de tes cheveux et tu lui découvres de l’autorité, une putain de manière féroce de décider que tu ne soupçonnais pas du tout. Tu entrouvres la bouche, pourléchant tes lèvres alors qu’il s’incline de toute sa stature pour te reprendre les lèvres t’imposer un baiser à t’en faire frémir l’âme. Tu le sens presser ta nuque en direction de son sexe, monsieur est pressé, tu le sens dans ces gestes. Il en a envie et n’a pas peur d’y mettre la force qu’il faut pour t’en convaincre. Tu le laisses alors t’y diriger en écoutant le fait qu’il atteint ces propres limites et qu’il a peur à présent de ne pas réussir à se retenir. Tu mordilles ta lèvre un instant, plongeant dans ces iris avec une ferveur sensuelle et enfin ta bouche s’entrouvre contre son gland. Tu le laisses pénétrer ta bouche et n’en perds pas une miette. Ta main se lie à ta danse que tu débutes, jouant de ta langue contre sa chaire sensible. Tu ne le quittes pas des yeux une seule seconde, voulant voir comment il savoure la chose, ce qu’il aime, ce qu’il désapprouve. Ta langue presse cette veine qui court le long de son membre et ta succion s’accentue. Andrew est magnifique, c’est un homme aux allures très sensuel et attirant. Tu te surprends à beaucoup t’exciter à le regarder. Lui qui t’a si longuement accompagné durant ces années, semble être torride lorsqu’on lui donne de l’affection. Tu accentues tes mouvements, devenant plus douces par moment, plus sauvage à d’autres. Ta main libre se positionne sur sa cuisse que tu presses entre tes doigts lentement. Tu sens son souffle prendre du rythme, ses abdominaux se comprimant face à tes attentions. Puis soudainement la porte de ton bureau s’ouvre, tu l’entends à défaut de pouvoir remarquer qui est là. Tu cesses un instant tout mouvement alors qu’une petite voix raisonne.


« Taylor j’ai le dossier que tu m’as deman… Woh Mr Cavanna ? Je… Je pensais voir Me Lopez… Elle m’a dit qu’elle bosserait tard ce soir. »


Tu souris sensuellement alors que ta bouche s’ouvre de nouveau sur le membre d’Andrew. Ta petite secrétaire doit être sous le choc, Mr Cavanna torse nu sur le siège de sa patronne. Des atouts parfaitement en valeur, tu es certaine qu’elle doit être rouge comme une pivoine. Tu le regardes de dessous et pompe fort, tu refuses de lui offrir la moindre échappatoire. Impossible pour ta secrétaire de savoir que tu es juste là sous ce bureau à sucer ton assistant avec une envie folle. Peut être que si en réalité, s’il lui venait l’idée d’avancer dans la pièce et remarquer que tes vêtements sont au sol mais tu en doutes.


« Je suis vraiment désolée. J’aurais dû frapper… Mais elle m’avait spécifiquement dit de ne pas partir sans avoir trouvé ces documents »



Tu mènes ta main contre les bourses d’Andrew, accentuant tes mouvements de bouche, ta langue n’abandonne aucune parcelle de son anatomie. Il durcit tellement fort contre ta bouche. Tes yeux restent braqués sur lui alors qu’Elena ta secrétaire a un vilain défaut, elle parle beaucoup. Beaucoup trop et n’arrive pas souvent à s’arrêter sans qu’on le lui ordonne.


« J’ignore sur quoi vous travaillez mais si vous avez besoin je peux peut être vous aider ? Je vous ai toujours vu très gentil avec tout le monde alors si vous le souhaitez… »


Tu souris en relâchant le membre d’Andrew et déplace doucement ta bouche vers sa cuisse le mordant. Ainsi Elena semble en pincer pour ton assistant. Intéressant. Tu masturbes toujours le pénis d’Andrew ta langue rejoignant les douces parties se trouvant juste en dessous. Tu ne lâcheras pas, tu as même très envie que quelques réactions lui échappent. Alors sans prévenir tu le reprends en bouche avec férocité, tu bouges fort et avec avidité sur la chaire de son membre. Tu examines avec quelle force ces mains sont crispées tout comme ces abdos. Hum… tu as tellement envie de l’entendre gémir là tout de suite.



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MessageSujet: Re: Laissons retomber la pression || Taylor Andrew    Laissons retomber la pression || Taylor Andrew  EmptySam 23 Sep - 16:53

Laissons retomber la pression
Taylor représente l’interdit. Elle est la femme que l’on sait sublime et séduisante mais qu’on se refuse de regarder comme tel parce qu’on en a pas le droit. C’est plus que ma collègue, c’est ma supérieure, et dans une certaine mesure mon amie. J’ai partagé avec elle au fil des années des émotions puissantes, souvent oppressantes. C’est le job qui veut ça, souvent difficile, mais nous offrant des victoires tellement gratifiantes. Ce soir, je désir, je convoite l’interdit. Je la regarde comme je l’ai jamais regardé. C’est presque comme si je la découvrais réellement pour la première fois. C’est le cas d’une certaine manière. Peut être qu’on commet une erreur, peut être pas… peut être qu’on regrettera cette nuit ou peut être pas. Le fait est que je suis incapable de me raisonner, de penser aux notions de bien et de mal à cet instant. Je la veux et ce désir sembla partager et c’est bien tout ce qui compte à l’instant T.

Dans l’intimité obscure de son bureau, nous semblons comme dans une bulle hors du temps et de l’espace. Rien ne semble pouvoir interrompre cet instant parfait lorsque ma langue danse et virevolte entre ses cuisses, explorant chaque recoin de son intimité avec passion. Ses gémissements, tel un envoûtant chant, résonnent à mes oreilles, faisant naître en moi une extase indescriptible. La manière dont elle me dévisage, avec ses yeux divins et saisissants, me fait me demander comment j'ai pu poser mes yeux sur elle sans m'enflammer plus tôt. Je me redresse, délaissant temporairement son intimité palpitante pour dévorer ses lèvres, partageant avec elle le goût de son propre plaisir et créant ainsi une union sensuelle et passionnée. Ma langue cherche la sienne dans une danse fiévreuse, explorant chaque centimètre de sa bouche avec une ardeur dévorante. J'aime sa passion débordante, j'aime cette impatience et ce désir brûlant qu'elle laisse s'exprimer sans aucune inhibition. Elle est le genre de femme forte, dont le charisme irradie naturellement autour d'elle, captivant mon attention et éveillant mes sens. Féline, presque prédatrice, elle me fait instinctivement reculer jusqu'à m'asseoir sur le fauteuil qu'elle occupe habituellement, me laissant observer chaque courbe de son corps délicieusement harmonieux. Mon sexe se dresse fièrement, témoin de mon désir pressant pour cette femme aux prunelles ardentes et brillantes de malice, prêt à la satisfaire avec une passion débordante.Un grognement de satisfaction m’échappe lorsque je la vois se glisser sous le bureau, trouvant sa place entre mes cuisses écartées pour lui offrir toute l’ampleur dont elle a besoin. La tension monte à son paroxysme, et mon regard reste captivé par ses lèvres que je désire ardemment presser contre ma raideur, ne pouvant plus attendre un instant de plus. Son effet sur moi est indescriptible, me rendant fou de désir, ivre d’une passion sauvage et incontrôlable. Chaque fibre de mon être appelle à son contact, à son étreinte enivrante qui promet d’embraser mon corps tout entier.

Elle m’excite joue avec moi, avec cette excitation qui deviens si pressante si impérieuse qu’elle en devient presque douloureuse. Me torturer ainsi l’amuse, ce sourire qui étire ses lèvres est plein de provocation, me donnant que d'avantage envie de raffermir ma prise déjà pressante dans ses cheveux, pressant, écrasant ses lèvres contre ma virilité désireuse d’attention linguale. Je suis peut être rustre et sauvage, mais la frustration qu’elle m’infligeais délibérément était celle de trop. Je peux résister, je peux me tempérer mais dans une certaine mesure. Une fois le point de retour atteint je ne peux plus répondre de rien. Taylor a amplement dépassé ce point, l’idée de violer ses lèvres, forcer la barrages divin de ses lippes tentatrices me semble subitement pas si insensé que ça. Je deviens fou, ivre d’un désir d’une intensité rarement atteint. Je sais pas si c’est elle, le contexte ou ce goût divin de l’interdit. Le fait est que je perds totalement le contrôle. Elle souffle sur mon sexe et ma poigne se raffermis encore. Ses airs innocents sont  absolument scandaleux, elle n’a rien de la biche fragile, Taylor est une prédatrice, une louve hypnotique et dangereuse. Dans un râle rauque, empreint d’une impatience palpable, je pousse mon sexe entre ses lèvres, forçant la barrière tremblante d’envie de ses lippes. Elle le presse entre ses lèvres, l’aspirant avec une gourmandise qui me rends fou. Elle flirte avec mes limites et on dirait que ça l’amuse. Mes deux onyx ne la lâche par un seul instant, la tension de cet instant est fabuleux. Je savoure ses lèvres comprimant mon sexe avec un plaisir fou. Peu à peu ma poigne la libère, la laissant disposer de moi comme bon lui semble. Je la laisse m’imposer son rythme et me déguster à sa convenance. Je m’agrippes au accoudoirs sur fauteuil, les serrant jusqu’à m’en faire blanchir la jointure de mes articulations. Mon souffle s’accélère, soulevant mon torse au rythme anarchique et pressant de ma respiration.

Je sursaute, mon cœur manquant un battement quand la porte du bureau s’ouvre brusquement, laissant apparaître le visage stupéfait d’Elena. Elle apporte des documents demandé expressément pas Taylor. Putain, elle ne pouvait pas plus mal tomber. « On frappe avant d’entrer !! » Ma voix est qu’un putain de grognement malpoli digne d’un ours rustre et grognon. Taylor demeure invisible pour le jeune femme qui pense me trouver seul et à moitié nu dans le bureau de sa patronne. Si moi je suis mal alaise, la situation semble beaucoup amuser Taylor qui continue de me sucer sous le bureau. Manquant de m’arracher des gémissements qu’il m’est de plus en plus difficile à contrôler.  Le rouge teinte les joues de la secrétaire qui visiblement apprécie la vue de mes pectoraux. Elle bredouille des excuses, disant qu’elle aurait du frapper auquel je ne peux m’empêcher de rétorquer un : « En effet.»  Je suis foutrement désagréable avec elle, mais là tout de suite je suis trop concentré à retenir mes gémissements de plaisir pour penser à ménager la sensibilité d’Elena. Je ne me cherche même pas d’excuse pour expliquer mon… absence de vêtement. Je n’ai pas à me justifier et ce qu’elle pense, là tout de suite je m’en tamponne. je coule un regard sur Taylor qui me suce non sans arborer un malin sourire. Cette femme est une putain de diablesse. Mon attention se reporte alors sur Elena qui se propose de m’aider ? Sérieusement ? Un sourire de branleur étire alors mes lèvres quand je constate avec quel facilité je pourrais mettre la demoiselle dans mon lit. Les dents de Taylor se refermant sur la peau de l’intérieur de ma cuisse me rappel immédiatement à l’ordre. Oh… j’aime cet élan de possessivité. « Je te remercie Elena, mais ça ira. Pose les documents, je les remettrait moi-même à Taylor demain.» Si elle fait quelques pas de plus elle pourrait apercevoir Taylor entrain de s’occuper de moi de la plus délicieuse des manières. Non pas que l’idée de la voir piquer un phare me déplaise, mais cette situation cocasse décuple mon excitation. Sentir Taylor s’occuper de moi, cajoler ma virilité pendant que l’on manque de nous surprendre. « Je te souhaite une bonne soirée Elena.» Mon ton est plus sec qu’il le devrait, mais je veux qu’elle se casse de là avant de briser cet instant de perfection absolue. Elle semble déçue, mais là je n’ais d’yeux que pour les lèvres ensorcelante et la langue tentatrice de Taylor. « Excusez moi Mr Cavana. Je vous souhaite une bonne soirée.» Aucun doute que je lui plais, et elle attendait probablement qu’une seule chose : que je l’invite de ce côté ci du bureau, mais il en est hors de question, pourquoi désirer un Casio quand on a une Rolex éclatante et divine  qui vous dévore comme si sa vie en dépendait ? Elena tourne les talons et dès qu’elle referme la porte derrière elle un soupire de soulagement sonore m’échappe. Je baisse les yeux sur Taylor. « C’était moins une diablesse…» Un fin sourire vient fendre mon visage quand ma poigne se raffermit dans sa chevelure d’ébène. Elle aime jouer avec le feu. Moi aussi, et bien que nous étions à deux doigts de nous faire surprendre, ce petit intermède m’a excité au plus haut point et la belle peut que le constater tant je suis dure entre ses lèvres. « Elle va pas me lâcher maintenant… et je risque d’avoir à expliquer pourquoi j’étais à moitié nu derrière ton bureau.»   Ca l’amuse peut être, probablement même, mais c’est bien moi qui risque de passer pour un pervers ou un gigolo.  A présent je ne retiens plus mes gémissements rauques et pressants, je suis sur le point d’exploser, et il est hors de question que la belle s’échappe à cet instant. Instinctivement ma poigne se raffermit, la maintenant avec une fermeté dominatrice alors que j’explose, crachant mon foutre chaud au fond de sa gorge. Je la regarde, non, la dévisage comme si elle était une divinité, un être hors norme m’offrant un plaisir d’une intensité magique. Mon membre est encore secoué par les soubresaut d’un plaisir brûlant quand je la relâche pour la laisser enfin s’écarter. Elle est belle les lèvres gonflés et les joues rougit par cet acte. Je me relève et l’invite à en faire de même, mes doigts courent sur son corps, je la retourne, plaquant son dos contre mon torse, sa croupe contre mon entrejambe me redonne subitement une nouvelle vigueur. Je me frotte, lui donne de petit coups de bassin pour me remettre en état… Je la pousse jusqu’à ce que ces cuisses butte contre le bords de son bureau, la forçant ensuite à se pencher en avant, écrasant sa poitrine sur les fameux documents apportés par Elena. Je me penche au dessus d’elle, mordant sa nuque pour la faire gémir avant de souffler tout contre son oreille : « Tu atteints d’autres… documents ? Parce que si Elena reviens dans ce bureau elle risque de ne pas s’en remettre…» Ma voix est chaude et suave, je ponctue cette interrogation en claquant ses fesses du plat de ma main. Je m’amuse de la situation mais je ne prendrais pas le risque que l’on nous découvre ainsi, pas après ce qui vient de se produire avec Elena. « Tu ne bouges pas.» Mon intonation est celle d’un ordre, autoritaire, je me détache d’elle pour traverser le bureau et fermer la porte à clé. Nous garantissant une intimité parfaite. Je reviens vers elle, pressant mon sexe qui à retrouvé toute sa vigueur contre ses fesses. Je me penche sur elle, embrassant son dos, son cou, comme si elle m’appartenait en cet instant. Je joue avec elle, écartant ses fesses pour venir presser mon gland contre ses lèvres intimes. Elle est brûlante d’un désir qui me plonge dans une impatience que bientôt je ne contrôlerais plus. A moins qu’elle m’en empêche, je le prendrais, d’un violent coup de bassin et la pilonnerait furieusement, la baisant contre ce bureau ou nous avons passé tant d’heures sages… et sérieuses.
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MessageSujet: Re: Laissons retomber la pression || Taylor Andrew    Laissons retomber la pression || Taylor Andrew  EmptyMar 26 Sep - 16:52




❝ Laissons retomber la pression ❞
- Taylor Lopez & Andrew Cavanna -
Une reine n'est jamais vraiment seule... Derrière chaque grande âme il y a son second.
   
Tu ne sais pas vraiment ce qui te prend. Ce qui te pousse à commettre des interdits comme tu le fais ce soir, mais ta raison s’est faite la male, tes principes se sont envolés et ton besoin d’assouvissement avec ton assistant dépasse toute bienséance. Tu pourrais tenter de commencer à faire la liste des excuses te poussant à faire ce que tu fais. Le désirer ardemment, vouloir le voir réduit à l’état de soumission face au désir que tu provoques dans tout son corps. Sauf que tu n’as besoin d’aucune excuse. Tu es toi, tu es une femme passionnée, décidée depuis longtemps à prendre ce qu’elle désire et à vivre au grès de ses envies. Et l’envie que tu as à cet instant précis, c’est de dévorer Andrew comme il ne l’a jamais été peut-être. Le savourer sous toutes les coutures, effleurer chaque parcelle de sa peau, explorer chacun de ces fantasmes, de ces vices. Savoir de quel bois un homme comme lui, toujours calme et si impossiblement retenu, se chauffe lorsqu’il lâche la pression. Peut être que c’est une royale connerie, mais il t’attire. Il est si séduisant lorsqu’il s’aventure à te regarder différemment. Il semble si différent maintenant qu’une étincelle s’est allumée dans son regard et qu’il te convoite. Parce que c’est bien ce qu’il fait maintenant, il te convoite, il joue au prédateur. Un petit jeu dans lequel tu excelles pour le pratiquer assez régulièrement. Et s’il pense être celui qui traque il se trompe. Rien de ce qui se passe dans cette pièce, n’est le fruit du hasard. Tu as commencé à le désirer à l’instant où tes baguettes ont pénétrés sa bouche à défaut que ça ne soit ta langue. Le reste… disons que ça a été du bonus.


Le résultat en attendant est prometteur. Le Andrew devant toi, dénudé et impatient, ne ressemble en rien à l’assistant paisible et soutenant qui t’accompagne au quotidien dans tes missions de procureure. Non l’homme face à toi à des attraits animal, ces yeux disent pour lui à quel point les flammes lui broient l’estomac, et comme ses pulsions sont en train de prendre possession de son corps. Et c’est délicieux à ressentir, surtout lorsqu’il t’arrache une première vague uniquement en te s’agenouillant et en utilisant sa langue. Tu n’as jamais imaginé cela. Jamais tu n’aurais pu croire que ton assistant avait cette aura divine lorsqu’il est excité. Votre moment d’égarement se déplace à ton bureau, là où désireuse de lui faire perdre la tête, tu décides de te dissimuler sous ton propre bureau, pour explorer l’anatomie d’Andrew et lui faire expérimenter tes propres talents. Tu lui donnes toute l’attention nécessaire, ta bouche comme ta main souhaite lui faire perdre raison. Il souhaitait jouer de ces charmes, tu es prête à lui montrer comme tu es douée à ce jeu. Tes lèvres se délecte à embrasser, sucer et lécher sa verge dure de tensions. Sa main dans tes cheveux t’excite, te fait prendre conscience d’une facette de lui, que tu ne connais absolument pas. Mais rapidement… Il doit te relâcher. Tu prends beaucoup de plaisir à le regarder tenter de garder de la contenance, notamment quand Elena, ta secrétaire arrive enfin avec les documents que tu lui avais demandé plusieurs heures auparavant. Si la discrétion est de rigueur, tu ne comptes cependant pas offrir de répit à ton binôme au travail. Ta bouche s’applique plus fort, plus passionnément à le posséder. Tu accentues chaque caresse, chaque succion de tes lèvres, voulant véritablement faire de cette entrevue, un supplice. Ton amusement est à peine contenu lorsque tu découvres à quel point sa voix est rauque pour lui répondre. A quel point il est tendu, et comme son autorité s’accentue. Tes iris le regardent ne perdant pas une miette de son malaise mais aussi de sa beauté. Comment as-tu pu ne rien remarqué de cela durant tout ce temps où il t’accompagnait ? Sa passion dépasse tout ce que tu aurais pu imaginer lorsqu’il marque un comportement plus que désagréable avec Elena. Si tu es certaine qu’elle en pincé pour lui, tu sais à présent que le thé et les petits mouchoirs rythmeront ces jours prochains. Mais pour le moment tu n’as ni l’envie, ni le temps de te préoccuper des états d’âme de ta secrétaire. Non… ce que tu veux c’est faire jouir ton assistant, le voir véritablement tout faire pour assouvir sa pulsion. Elena approche pour déposer les documents, tu peux entendre ces pas contre le sol de ton bureau. Tu agrippes plus fort Andrew, t’activant à le pousser au plus loin de ce fantasme que vous êtes en train de vivre. Tu pourrais te faire prendre, et pour une raison qui t’es purement folle ça t’excite. Oui… tu sens ton entre jambe réclamer de l’attention à nouveau, pulser fort à l’idée qu’Elena te voit. Pourtant Andrew réussira à garder votre acte secret, Elena s’éloignant en lui souhaitant une bonne soirée avant de refermer la porte. A la seconde suivante, tu croises de nouveau le regard de ton assistant. Son air dominateur est un délice à subir. Si tu as cette posture de femme forte et autoritaire dans la vie quotidienne, tu n’es pas ce genre de femme dans l’intimité. Et Andrew semble l’avoir compris, lorsqu’il se saisit de nouveau de ta nuque, et oblige ta bouche à le prendre plus profondément. Tes iris s’encrent aux siennes, il te dit que c’était moins une et tu sors lentement sa verge de tes lèvres.


- J’ignorais qu’Elena nourrissait des fantasmes sur toi…


Tu souris, pas le moins jalouse de cette constatation, après tout Andrew est un magnifique parti. Tu reprends sa verge entre tes lèvres, la léchant de toute sa longueur avant de reprendre tes succions. Andrew s’inquiète des intentions d’Elena et tu te contentes de sourire, il ferait mieux de se méfier de tes propres intentions là tout de suite. Sauf que ton assistant n’est pas l’homme doux à cet instant présent. Rapidement, il prend les choses en main et tu comprends que ton jeu atteint ces limites. Envieux tu sens son membre se durcir plus fort et sa main sur ta nuque refuser à ce que tu te recules. Tu n'en avais aucune intention. Alors tu accentues le rythme ainsi que l’intensité sur son membre et fait en sorte de soulager tout le désir qu’il possédait à ton égard. Sa bouche s’entrouvre, son thorax se gonfle et avec lui un liquide chaud se déverse contre ta bouche. Tu ne le quittes pas des yeux, avalant sagement le fruit de toute son excitation. Tu le laisses sortir de sa bouche une fois chaque parcelle de sa peau nettoyée, et sort de ta cachette avec son aide. Ces mains te touchent et tu l’observes à la fois fasciner et encore fou de passion. Ton corps est rapidement retourné face au bureau, et tu sens l’excitation que son caractère autoritaire fait naître chez toi. Son bassin se colle contre ton fessier, et tu peux le sentir encore dur et envieux. Ton visage se tourne à demi, tes lèvres brulent à l’idée de l’embrasser. Tu sens la pression de sa main sur ton dos, t’amener à te pencher et t’allonger le buste sur les documents d’Elena. Bon sang, Andrew fait naitre en toi beaucoup de choses. Sa main s’abat doucement sur tes fesses, et la pique engendre encore plus de désir dans ton corps. Tu le sens se détacher et restant sage, tu le regardes contourner le bureau pour en verrouiller la porte. Malicieuse, tu bouges volontairement ton fessier à sa vue, comme pour le narguer. Ton rire raisonne alors qu’il te demande si tu attends d’autres documents.


- J’ai beaucoup aimé te regarder tenter de te contenir. Hum… quelle voix autoritaire…


Ton souffle s’accélère alors qu’il revient, se penche contre ton fessier, alors que ces lèvres viennent déposer de délicieuses sensations sur ta peau. Tu as envie de lui, terriblement. Tu sens son membre se presser contre ta fente intime, et tu ne sais plus vraiment où tu es et ce que tu fais. Tous ce qui compte c’est qu’Andrew te soulage. Tu redresses doucement la tête, ton fessier se poussant vers l’arrière en se frottant à lui. Son gland est à deux petits doigts de te prendre totalement alors que tu susurres.


- Elena n’a aucune idée des pulsions que tu nourris lorsque tu es excité n’est-ce pas ? Toi qui donnes la parfaite illusion d’un gentil petit assistant sans once de noirceur. Le parfait gentleman…


Ton fessier se pousse plus fort en arrière, et ta fente se force à s’ouvrir pour le faire pénétrer en toi. Tu entrouvres la bouche, retenant ta respiration à la simple idée qu’il prenne toute la place.  


- Alors que moi j'adore voir ça...


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MessageSujet: Re: Laissons retomber la pression || Taylor Andrew    Laissons retomber la pression || Taylor Andrew  EmptyMar 3 Oct - 16:02

Laissons retomber la pression
Outfit -- Qu'est-ce qui nous a poussé à ce point à céder à la tentation, à l'attrait d'un corps à corps brûlant ? Je n'en ai absolument aucune idée, je ne sais pas comment nous en sommes arrivés là, comment il est possible que les vêtements de ma patronne jonchent le sol comme des chiffons. Elle est tellement plus belle sans eux. Taylor est d'une beauté ensorcelante et je n'arrive pas à croire qu'un tel pas ait pu être franchi entre elle et moi. À ce stade, ce n'est plus une simple marche, mais tout un étage que nous avons englouti dans cette soif de plaisir passionné. C'est incroyable de constater à quel point nos désirs se sont intensifiés. Je pourrais certainement me trouver mille et une excuse pour expliquer et excuser cet écart de conduite, mais je ne le ferais pas, le fait est que j’en ai absolument aucune envie. J’assume mes choix et j’assume de plaisir sauvage qui s’imprègne de chacune des fibre de mon être.

Ce soir, cette nuit, je lui dévoile une tout autre facette de ma personnalité, moi qui suis toujours si calme et contenu, je cède à la pression de la passion, j’explose et laisse mon désir guider mes pas. La raison n’a plus sa place entre nous, pas cette nuit du moins. Demain se sera certainement différent, mais je profite de cet instant tel qu’il se présente. Sauvage et passionné. Je redeviendrais “sage” demain… ou peut être pas j’en sais rien en faite. je vis instant après instant sans me soucier des conséquences et ça fait un bien que je ne parviens même pas à mesurer. Les pulsions qui m’anime sont presque animal, toute retenu est à présent complètement impensable, l’envie qu’elle a allumé en moi, qu’elle a attiser de ses charmes aiguisés ne peut pas être éteinte aisément. Quand je pense mener la danse elle me fait la superbe surprise de me prouver le contraire. La macho en moi ferme sa gueule et se laisse faire, captiver par son aura féline et presque dominatrice. Taylor m’a ensorcelé. J’ai encore le goût de son plaisir me chatouillant les papilles quand elle me force à m’installer sur sa chaise, elle se dissimule sous le bureau et glisse entre mes cuisses pour cajoler de sa langue tentatrice mon sexe bandé. Putain, elle me rends dingue. Est ce qu’elle s’apperçoit avec qu’elle force je me cramponne au accoudoirs pour résister à l’envie de prendre possession de ses lèvres avec une force brutale qu’elle me connais pas encore ?

L’arrivé d’Elena inopiné d’Elena dans le bureau me ramène à la réalité. Me contenir alors que pendant qu’elle gaspille sa salive, celle de Taylor dégouline le long de ma hampe est d’une difficulté à peine imaginable. Ma voix et rauque, presque soupirante quand je tente de me débarrasser de la petite intruse. Oui elle en pince pour moi, et ça ne date pas d’aujourd’hui, mais elle est trop sage, elle manque de cette audace que possède madame la procureur et qui me fais fondre. Je suis conscient que me voir dans cette tenue bien trop… décontracté soit surprenant pour elle, et si on ignore la présence de Taylor sous ce bureau pourrait sonner comme une invitation à venir jouer avec moi. Ce n’en ai pas une et je le lui fais comprendre trop durement peut être, moi qui suis quotidiennement plutôt du genre gentil et avenant, je me comporte là comme un véritable muffle. J’expulse un soupire de soulagement quand elle daigne enfin sortir d’ici, un pas de plus de sa part et je crois que je la choppais moi même pour la foutre dehors. Quoi que… je n’en aurais pas eut l’occasion, elle aurait capté la présence de Taylor et ça gène l’aurait certainement fait prendre ses jambes à son cou.

Seuls, Taylor semble s’amuser de l’attention que me porte Elena, je lui répond que d’un grognement de satisfaction en raffermissant ma prise sur elle pour occuper cette jaloie bouche qui à cet instant dit bien trop de betises.  Le sourire qui étire mes lèvres à cet instant et la preuve d’un plaisir incroyable et tourbillonnant qu’elle semble partager. Elle est superbe quand elle ne cherche pas un seul instant à dissimuler ce plaisir qu’elle a à s’occuper de moi. Maîtresse de mon plaisir elle est divine. Je reprend le contrôle en reffermissant ma prise sur sa nuque ? Dans les apparences seulement, car mon impatience évidente fait que lui davantage de pouvoir sur moi. Inconcient sont les hommes pensant dominer une femme lorsque cette dernière et pendue à leur queue, c’est elle qui mène la danse, c’est elle la maîtresse de votre plaisir et ça croyez moi j’en ai pleinement conscience. Rapidement, très rapidement la pression monte, mon plaisir grandit pour atteindre des cimes vertigineuses. Mes iris obscures ne parviennent pas à se détacher d’elle dans ce divin instant. J’explose entre ses lèvres, crachant mon foutre chaud au fond de sa gorge. Je la maintien mais elle ne tente pas de se dérober, ma poigne devient caresse plus tendre quand sa langue entreprend de me nettoyer comme une sucette délicieuse.

Je l’invite à se redresser, à venir lover son corps contre le mien qui est recouvert d’un voile de sueur à cause de cette épreuve délicieuse qu’elle m’a imposée. Mes doigts glissent au creux de ses reins, pressant sa poitrine contre mon torse, mes lèvres viennent capter les siens dans un baiser dominateur plein d’une passion dévorante avant que je la fasse pivoter d’un seul coup, lui laissant pas d’autres options que me céder. Je la presse contre le bureau, mon bassin collé à son fessier qui soit dit en passant est d’une perfection délectable. Ses iris cherchent les miens, me suppliant un baiser que je lui donne sans attendre un instant de plus. Je la veux. Ce désir est brûlant, il est incisif. Je claque son cul d’envie avant de l’inciter… presque la forcer à se pencher en avant écrasant sa poitrine sur les papiers qu’elle a réclamer à sa secrétaire. Ma voix grondante exige une chose : qu’elle me bouge pas. Je veux voir son petit cul pointer en arrière tout le temps ou je viens verrouiller cette porte. Cette autorité soudaine dont je fais preuve avec elle me surprends moi même. Elle réveille en moi des instincts que je ne me connaissais pas vraiment. Dos appuyé contre la porte je l’observe un instant dandiner son petit cul. Provocation délicieuse à laquelle je ne peux pas ne pas répondre. En quelques enjambés à peine je reviens me placer derrière elle.

” Et moi ta manière de me sucer comme si je t’appartenais pendant qu’elle me draguais ouvertement…

Je souffle ses paroles dans son cou, en mordillant la peau fine et sensible pendant que mes doigts inquisiteur caresse ses lèvres, en forçant le barrage pour qu’elle les suce, rappelant à ce corps musclé quel traitement délicieux elle lui a infligé un peu plus tôt. Je lui impose ainsi quelques mouvements de mes doigts avant de les retirer aussi promptement qu’ils s’y sont introduis. Mon sexe a repris toute vigeur, la chaleur de son intimité est une invitation à la posséder sans attendre. Pourtant je patiente, et m’amuse de ses soupires d’envie qu’elle lache quand mon sexe caresse son entré, s’y presse sans encore la posséder. Je souris amusé quand elle me dit qu’Elena n’a aucune idées des pulsions qui me traversent quand je suis excité. Non… ca c’est clairs, mais je ne lui confis pas que je ne suis pas toujours ainsi. Que c’est elle, son regard, ses baisers… ses caresses… sa peau sucrés qui nourris ses instincts de prédation. Je claque ses fesses comme seule réponse pour avoir le plaisir de l’entendre couiner. Divine Taylor à présent à ma merci. Lentement mes pieds viennent écarter les siens, lui imposant presque un grand écart ayant pour but que de me faciliter son accés et accentuer ce sentiment de possession. Ainsi, moins à l’aise dans sa posture elle pourra que me céder davantage.

” Vous devriez vous méfier de se que vous souhaitez madame la procureur.”

Phrase provoquant à souhait, que le vouvoiement et les égards sont tellement innaproprié entre nous vu sa situation et sa position. Je lui assène une nouvelle claque sur le cul, venant caresser ensuite sa croupe, mêlant douceur et douleur pour embrouiller son esprit et étourdir ses sens. Ma main libre la glisse entre elle et le bureau, lui imposant de tourner la tête sur le côté pour lire ce désir de possession animant mes iris sombre. La seconde vient malmener son bouton de chair pendant que je pousse avec une lenteur parfaitement calculé mon chibre en elle. Enfoncé en elle jusqu’à la garde un gémissement rauque d’un plaisir incroyable m’échappe.

” Parce qu’en ce qui vous concerne, je ne suis pas certains que mes instincts aient besoin d’être… provoqué.” D’un seul coup je m’anime en elle, lui assénant des coups de reins brutaux et sauvage. La posséder de cette manière me mets dans un état de transe incroyable. Le plaisir échauffe mes sens, échauffe mon corps tout entier. ” A moins que tu veuilles boiter demain …? “ Je suis présomptueux ? Trop sauvage ? Peut être, mais c’est l’effet Taylor. Elle me rend tellement fou que je ne perçois même pas que je suis entrain de perdre le contrôle. Chaque coups de reins est plus fort, plus puissant et vaindicatif que le précédent.
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MessageSujet: Re: Laissons retomber la pression || Taylor Andrew    Laissons retomber la pression || Taylor Andrew  EmptyMer 11 Oct - 12:54



❝ Laissons retomber la pression ❞
- Taylor Lopez & Andrew Cavanna -
Une reine n'est jamais vraiment seule... Derrière chaque grande âme il y a son second.
   
Cet homme n’a strictement rien de sage. C’est d’une tellement évidence à présent, que tu t’en giflerais bien d’avoir été aussi aveugle. Andrew travaille pour depuis des années, et si son physique à toujours été très plaisant, tu n’avais strictement jamais imaginé le potentiel qu’il pouvait avoir une fois la passion éclipsant tout le reste. Si tu avais su avant… à quel point son regard s’enflamme lorsqu’il veut quelque chose ? Si tu avais su comme la pression de ces doigts sur ta peau, sur tes cheveux peut être autoritaire, comme l’illusion est trompeuse le concernant. Savoir n’aurait rien changé au fond, tu aurais juste voulu l’obtenir bien avant, tu n’aurais pas attendu qu’il te soit indispensable et il aurait sans doute été viré quelques jours plus tard. Ton sage et très gentil assistant…  Le viré aujourd’hui serait totalement impensable, pas après toutes ces années. Et à l’instant T tu te moques totalement de l’avenir tant qu’il continue à s’occuper de toi de la sorte. Tu veux le séduire, le rendre absolument fou de toi, tu veux voir jusqu’ou il est capable d’aller, jusqu’ou l’alchimie entre vous peut vous portez. Ton attitude en présence de ta secrétaire le prouve, tu ne comptais pas t’arrêter dans cette fellation… Pas en voyant comme son membre devenait dure contre tes lèvres au passage éclair d’Elena dans ton bureau. Alors Andrew aime ça ? Se faire surprendre, jouer un rôle alors qu’il se fait avidement aspirer par la bouche de sa supérieure sous la table. La manière dont sa voix est devenue rauque à l’instar où Elena devenait un peu plus insistante, et que le plaisir de ton partenaire grandissait. Tu crois même avoir frissonné un instant en échangeant ton regard avec lui, et en découvrant comment le plaisir le faisait vriller. Inutile de dire à quel point il est sexy lorsqu’il tente de se contenir de cette manière sous les yeux d’une autre.


Elena s’éclipse, et avec elle toute la tension négative de ton partenaire qui a présent souhaite que tu l’assouvisses de cette douleur torturante qui déchire son ventre. Tu sens sa poigne prendre possession de ta chevelure sombre, et tu t’appliques à lui procurer le plus de bien possible. Ta bouche s’activant à sucer, pomper, lécher avec le plus de délicatesse possible, tes yeux enfonçaient telle une encre dans ces iris. Tu n’es pas vraiment le genre de femme à dévier, à te dérober, ou même à fuir au moment fatidique. Non, tu veux le sentir jusqu’au plus profond de ta gorge et voir avec quel ardeur le fruit de son plaisir s’échappe. Tu veux observer chaque mimique de son visage lorsqu’il abandonnera son orgasme. Et le spectacle est à la hauteur de tes espérances. Son extase provoque une vague d’excitation plus forte encore contre ton entre jambe. Tu le libères et Andrew t’aide à te redresser, pour t’offrir un baiser. Un baiser qui a tout de brûlant contre ta bouche. Tes mains se plaquent à ces joues, ton corps s’arquant sous ces caresses contre tes reins. Tu sens ton entre jambe réclamer de son attention, mais subitement ton corps pivote et dans une étreinte d’une sensualité tourmentée, Andrew t’indique de te pencher sur ton bureau. Tu sens l’émoi s’emparait de ton corps, de délicieux frissons courant sur ta peau pour rendre ton duvet érectile sur l’ensemble de ton épiderme. Son bassin presse le tien et tu entrouvres la bouche à la sensation que ça te provoque. Il te donne chaud, il te donne des envies folles de lui et le pire dans tout cela c’est qu’il le sait. Il n’y a plus de notions de proc’ et assistant. Non… tout se résume à cet instant à un homme et une femme se désirant dans un tourbillon charnel. Son autorité te foudroie, tu aimes qu’il le soit dans ce contexte. Une fessée te tombe sur la rondeur de ta fesse et tu sursautes en ne sachant sur l’instant si ça t’offusque ou te plait. Tu le sens se détacher, il contourne le bureau et tu l’observes dans son plus simple appareil, le membre qui se raidit de nouveau alors qu’il te regarde. Oh oui désire moi Andrew… Tu l’écoutes dire qu’il aime que tu l’ai revendiqué silencieusement de tes lèvres et tu souris en coin. Oh il n’y avait aucune revendication là-dedans, juste un désir fou qu’il reste avec toi.


- Je ne cherchais simplement qu’à maintenir toute ton attention. Tu aurais aimé m’appartenir ?


Tu le sens te mordre, et ces dents provoquent de doux frissons à nouveau sur ta peau. Ces doigts s’immiscent contre ta bouche, et tu gémis en les suçotant. Tu sens son membre se tendre, sa queue frottant délicatement contre ta fente humide qui n’attend qu’une chose qu’on s’occupe d’elle. Tu te mordilles les lèvres, ton assistant à un certain talent pour te mettre en émoi. A ta description de lui comme prédateur il t’assène une nouvelle fessée et tu serres la mâchoire pour ne pas gémir. La douleur engendre le plaisir et c’est la confusion totale dans ton esprit. Les pieds d’Andrew poussent les tiens en un ordre silencieux à ce qu’ils se décalent. La position est étrangement fascinante, tu abandonnes de ton contrôle en perdant tes appuis. Tes mains venant chercher le bord du bureau pour te cramponner. Tu gémis en le sentant continuellement se frotter contre ton entre jambe totalement offerte à son désir. Il te dit de te méfier de ce que tu souhaites et tu souris, la joue pressée contre ton propre bureau.


- Tu es l’un des mieux placés pour savoir que je ne fais jamais ce qu’on attend de moi.


Tu prends une nouvelle frappe sur ton fessier et tu couines enfin en tendant plus que nécessaire ton cul en sa direction. Tu le veux, tu le désires, tu en veux plus. Encore et encore. Ton regard capte le sien et tu entrouvres les lèvres en voyant toute son autorité et sa domination ainsi dévoilé. Sa main se glisse contre ta fente et tu entrouvres fort la bouche en sentant son membre venir se saisir de toi avec une lenteur agonisante. Tu abandonnes un long soupire de plaisir l’apercevant là contre toi, une fois ton amant enfoncé jusqu’à la garde. Il dit qu’avec toi il n’a pas besoin d’être provoqué pour que ces instincts soient présents, ton fessier se pousse plus fort contre lui.


- Je te veux… Sans la moindre barrière…


Tu le sens soudainement s’animait en toi et ton gémissement de surprise vient emplir la pièce. Tes doigts se cramponnent au rebord du bureau. Sentant comme la butée de sa verge en toi te fait fondre. L’impulsion fait frotter ton corps contre tes papiers en pagaille sur la surface plane. Il n’est pas doux, il est d’une brutalité palpable, et imposante. Tu sens ton souffle te manquait face à la violente décharge qui électrise ton corps. Il te demande si tu souhaites boiter le lendemain en conséquence de sa violence et tu susurres.


- Possède moi… Et oublie les conséquences.


Tu en veux plus. Même si les douleurs mêlent douleurs et plaisir tu veux être l’échappatoire de ton assistant. Tu veux découvrir jusqu’où il est capable d’aller et savoir si ça peut te plaire. Tu sens comme ton corps le désire aussi, fou de chaque geste qu’il a à ton égard. Tu sens la manière dont son bassin claque contre tes fesses et tu abandonnes des gémissements de plus en plus sonores au vu de sa sauvagerie.


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Andrew Cavanna
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MessageSujet: Re: Laissons retomber la pression || Taylor Andrew    Laissons retomber la pression || Taylor Andrew  EmptyMer 18 Oct - 12:27

Laissons retomber la pression
Outfit -- Mes airs d’homme calme et inébranlable sont qu’une face, une image que je renvois alors qu’en réalité il suffis d’une étincelle pour mettre le feu au poudre. Taylor a incendié le brasier, l’étincelle a allumé un feu d’une intensité étourdissante. Je ne suis pas certain qu’elle ait pleinement conscience de l'intensité dévorante du feu de désir qui me consume, ou peut-être qu'elle le sait parfaitement et qu'elle prend simplement plaisir à jouer avec les flammes. Un brasier qui n’aura de cesse de la posséder jusqu’à ce que la dernière braise soit éteinte. Elle est ma supérieur, oui, c’est un fait que je n’oublis pas, que je garde dans un recoin de mon esprit… mais là… là tout de suite elle n'est qu’une femme, une amante qui me rend complètement fou. Le respect dû à ma responsable est mis entre parenthèse, je la veux est pas de la manière la plus respectueuse qui soit.

La machine est lancée à pleine vitesse, aucune marche arrière est possible ou même seulement envisageable. Si je dois me faire virer après ça… ça m’emmerderais mais soit. J’assumerai les conséquences de cette nuit de folie. Pour l’heure j’ai plus qu’un seul objectif, la rendre folle et ivre d’un plaisir fou dont je serais l’auteur. Je désir cette femme avec une telle fougue que je me montre plus autoritaire et envieux que jamais avec elle. Mon comportement avec Elena la secrétaire en est la preuve, je me suis jamais montré aussi froid et expéditif avec mes collègues, mais à cet instant seule Taylor et sa langue ensorceleuse compte à mes yeux. Il est hors de question que cette femme quelconque puisse interrompre un moment d’une telle perfection. J’ai eus un mal fou à me contenir devant Elena, j’ai dû me cramponner à l’accoudoir du fauteuil pour m’empêcher d’empoigner Taylor cachée sous le bureau, pour la coincée mon sexe profondément enfoncé entre ses lèvres pour la sentir se débattre et suffoquer. Je m’égare un peu là…

Je cède à ce désir trop grand lorsque Elena nous laisse. J’empoigne sa chevelure avec une poigne féroce, je la veux avec une telle ardeur que j’en ai le vertige. Elle suce, me pompe comme si sa vie en dépendait, c’est divin. C’est absolument incroyable. Je lui impose mon rythme… ma longueur et l’angle d’attaque qui fera chavirer mon plaisir. C’est probablement bien égoïste de ma part, mais à cet instant elle est complètement soumise à MON plaisir, je m’impose à elle, me fais plus sauvage jusqu’à ce que j’explose de plaisir, crachant mon foutre chaud au fond de sa gorge. Je la dévore du regard, le détaillant comme un joyaux. Je la libère et l’attire contre moi pour l’embrasser avec une passion féroce. Contre moi, elle est brûlante et fébrile, pressée contre moi, mon désir pour cette femme semble sans fin. Je regagne de la vigueur, ce constat semble la ravir. Je le regretterais probablement au levé du soleil, mais ce qu’elle fait naître en moi est trop violent pour que j’y résiste. La chaleur de la nuit nous enveloppe et nous plonge dans un tourbillon fou et sauvage. Je me montre plus autoritaire que je le devrais, mais c’est plus fort que moi. Je la retourne et la force à allonger son buste sur le bureau, dans cette position son petit cul pointe vers moi… et cette image est une invitation à le faire rougir. La paume de ma main s’abat sur sa croupe, les couinements de douleurs qui lui échappent sont comme du miel à mes oreilles. Je l’abandonne le temps de fermer le bureau à clé, car vu ce que je compte lui faire à présent, la personne entrant aura une vision bien trop sulfureuse d’elle. Je préserve sa réputation ? Quelque part oui… je la protège, mais je la veux aussi à moi, désirant que se corps nu et en sueur puisse ravir que mes prunelles en cet instant. Possessif ? Hum, je ne sais pas si on peut dire ça comme ça, mais à cet instant précis oui, elle est mienne. Je reviens vers elle, penche mon corps chaud au-dessus du sien, lui soufflant à l’oreille que d’une certaine manière j’ai aimé cette manière qu’elle avait de me revendiquer gobant ma queue pendant que sa secrétaire me draguais ouvertement.

« Allez savoir madame la procureur…» Un sourire plein d’amusement étire mes lèvres, dessinant mes fossettes pendant que le dos de mes doigts remontent le long de sa colonne vertébrale avant d’empoigner sa chevelure, lui imposant une cambrure pas forcément des plus agréable. « Mes là tout de suite… je crois que c’est toi qui m’appartiens…»  Je souffle ses mots tout en pressant mon basin contre son fessier rebondit. Dire qu’elle est mienne me plonge dans un état fou, je le regarde comme un prédateur prêt à dévorer sa proie. Je la mords, marquant sa peau comme si une part de moi cherchais à la revendiquer comme mienne. Je la fesse une nouvelle fois me mordant la lèvre quand voir sa peau rougir me fais un effet fou. Putain, cette femme est brûlante. Mes pieds la force à écarter les jambes, la privant ainsi lentement de ses appuis, je m’impose à elle, lui laissant lentement aucune chance de m’échappe… bien que je ne suis pas certain qu’elle veuille m’échapper, mais la posséder de la sorte me rend ivre d’un désir sauvage et violent.

« Et j’aime particulièrement cet aspect de ta personnalité…» Je me frotte contre elle, laissant mon sexe coulisser contre son intimité trempée. J’attise son désir sans pour autant la posséder. Pas encore… bien que j’ignore encore combien de temps je vais résister à l’envie de me planter en elle avec force. « et te voir perdre le contrôle est divin… La vue d’ici est absolument…»   Je claque son cul au rebondit parfait avant d’ajouter : « Divine…»

Dans le même instant mes doigts inquisiteur glissent contre sa fente, venant se délecter de sa chaleur, je joue avec elle, échauffant ce corps déjà en fusion avant de m’enfoncer en elle avec une lenteur calculée. Elle se délecte de mes instinct sauvage et primaire, elle me veut sans barrière d’aucune sorte. Oh mon Dieu, si exhausse sa prière je ne suis pas certain qu’elle soit en mesure de marcher sans boiter demain. Une part de moi s’amuse de deviner qu’elle excuse elle usera dissimuler l’inavouable.

« Tu devrais te méfier de ce que tu souhaites Taylor…»

En prononçant ces paroles je m’anime en elle, la gratifiant d’un premier coup de rein puissant et sauvage. Ma brutalité est totalement assumée, je recommence, un nouveau coup de rein brutal, puis un autre… et encore un autre. La voir se tortiller de plaisir, m’implorant d’oublier les conséquences que pourraient avoir cette nuit hors du temps et de l’espace me galvanise. Mon corps s’anime et ondule à une cadence plus rapide… secouant son corps faisant trembler ce bureau ou nous avons passé ensemble des heures studieuse. Je crois que nous pourrons plus nous y installer sans penser à cet instant. Oups. Non en fait, je suis absoluement pas désolé, je suis seulement navré de ne pas l’avoir possédé plutôt. Elle est si délicieuse que j’en perds toute rationalité.

Mon bassin claquant contre sa croupe à chaque coup de rein raisonnent dans le bureau, mes doigts agrippent ses hanches pour la posséder plus fort, plus profondément… puis l’une de mes mains remonte dans son dos, pour une fois en haut, glisse contre sa gorge que j’empoigne non sans une certaine fermeté, la forçant à se redresser en planquant son dos contre mon torse. Sa nuque est offerte à mes lèvres fiévreuse qui l’embrasse, la mordille dans un élan de possession décadent. Son odeur m’enivre et me domine, me poussant à toujours plus de sauvagerie. Mon corps s’anime avec encore plus d’intensité contre le siens, nos corps ne formant plus qu’une seule entité gouverné par un plaisir sauvage. Ma main libre vient cueillir et malaxer sa poitrine ballotant au rythme puissant et cadencé de mes coups de rein.

« Divine tentatrice…»

Je souffle ses mots à l’oreille avant de la mordiller, comprimant un peu plus sa gorge que je maintenais déjà avec une certaine fermeté. La main jouant avec sa poitrine descend entre ses cuisses pour s’emparer de son bouton de chair que je malmène pendant que je la baise comme une bête sauvage. Je veux son plaisir, je veux la sentir exploser de plaisir tout contre moi… mes doigts pincent tirent sur son clitoris pendant que je m’activent avec cette ardeur sauvage. Je suis sur le point d’exploser… encore une fois, mais je résiste et refuse de céder avant elle. Je tremble et mes muscles sont luisants de sueur.

« Tu me rends fou putain…» .
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MessageSujet: Re: Laissons retomber la pression || Taylor Andrew    Laissons retomber la pression || Taylor Andrew  EmptyMar 24 Oct - 15:12




❝ Laissons retomber la pression ❞
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Une reine n'est jamais vraiment seule... Derrière chaque grande âme il y a son second.
   
Découvrir l’intensité dont cet homme est capable au fin fond de son âme lorsqu’il abandonne le contrôle est d’une électrisante surprise. Qui aurais pu croire que ton partenaire dans le travail, ton confident dans de nombreuses situations, ton ami même parfois, soit aussi torride lorsqu’il désire dévorer un corps ? Tu côtois cet homme depuis pourtant des années, il te suit depuis que tu as eu la charge de ce cabinet et pourtant absolument à aucun instant tu ne pouvais te douter du feu ardent qui se dissimulait en lui. A cet instant il n’est plus l’un de tes collaborateurs, quoi qu’il en soit. A présent que ces vêtements sont au sol, que ses yeux traquent les tiens, et que sa bouche taquine la tienne, tu sais pertinemment que tu n’arrêteras pas tant que tu ne l’auras pas goûté fiévreusement.


Tu sais mieux que quiconque que ce que tu fais avec Andrew est malsain. Tu t’apprêtes à coucher avec lui et à beaucoup aimé ça au passage. Mais tu es sa supérieure, tu pourrais être accusé d’harcèlement et tu sais mieux que quiconque que ta condition de femme ne te sauverait pas. Tu es l’une des principales inquisitrices lorsqu’il s’agit l’abus de pouvoir. Mais son corps est tellement délicieux, sa bouche un appel à la luxure, tout jusqu’à son odeur est étudiée pour t’enivrer. C’est un peu comme tenter de résister à l’appel de la nourriture après une période de régime ! Tu n’as jamais été une grande adepte des interdits. Raison pour laquelle sans doute tu as ouvertement dégusté son membre, agenouillée sous ton propre bureau pour lui arracher les plus délicieuses sensations. Tu mentirais si tu disais que la présence d’Elena n’avait pas parfaitement sublimer le tableau. Quoi de plus sexy que de voir un homme s’accrocher à tout ce qu’il peut pour éviter de se faire surprendre en train de prendre un plaisir de dingue contre tes lèvres. Hum, rien qu’à y repenser ça te mettrait l’eau à la bouche. Son autorité ensuite a été tellement sensuelle. Il semblait avoir tellement peur que tu te retires, alors qu’à l’instant critique il était d’une intensité tellement folle que tu aurais pu tuer si on t’avait empêché de le terminer.


La fellation terminée, il t’a embrassée avec une vigueur éblouissante avant de te forcer à t’allonger, poitrine contre ton bureau. La pression piquante de sa main contre ton fessier t’a fait gémir, si bien qu’à présent qu’il verrouille ton bureau tu n’as envie que d’une chose qu’il fasse de toi sienne. Tu t’amuses à le narguer, ondulant de ton fessier en le regardant lascivement pendant qu’il revient contre toi. Ces mots à ton oreille sont sensuels alors que tu susurres. Il dit que c’est toi qui lui appartiens à cet instant et tu souris en coin, mordant ta lèvre inférieure en sentant la pression ardente de ces doigts dans ta chevelure, t’obligeant à cambrer.


- Peut-être… Où est ce simplement moi qui te manipule afin que tu sois à moi… Allez savoir Mr l’assistant de la procureure.


Tes mots sont cruellement étudiés malgré l’étourdissement de désir le concernant qui t’assaille. Il peut te revendiquer autant qu’il le veut, là tout de suite, ces revendications s’éteindront bientôt dès qu’il t’aura baisé et que toi tu auras pris ton pied. C’est souvent de cette manière que les choses se font non ? Certains de tes amis diraient que tu manques cruellement de compassion. Vraiment ? Quoi pourtant c’est comme ça que cela fonctionne non ? Une morsure t’arrache à tes pensées et ton gémissement s’étend dans un soupire d’excitation. Son corps t’oblige à une position plus périlleuse, et plus soumise, tu le laisses te positionner et tu sens la longueur de son sexe se frotter à ton corps. Instantanément tu sens le plaisir qu’il te donne sans même être encore en toi. Ta peau frisonne, ton corps se tend imperceptiblement. Il répond à ta manière de ne jamais faire ce qu’on attend de toi qu’il aime particulièrement ce trait de caractère chez toi. En réponse tu te contentes de soupirer en te sentant mouiller un peu plus, anticipant sa venue. Une nouvelle frappe raisonne sur ton fessier t’essoufflant sur l’instant alors que tu tentes encore et toujours de l’attirer à prendre possession de toi. Il te décrit comme divine et tes joues s’empourprent un instant. Comme pour répondre à tes provocations ces doigts viennent coulisser contre ta fente et l’espace d’un moment tu retiens ta respiration. Bordel tu es bouillante, tu le veux. Tu n’en peux simplement plus de l’attendre.


- Andrew…


Son prénom est dicté de manière lascive contre tes lèvres. Puis soudainement il s’insère en toi et tu entrouvres fort la bouche en soupirant. Ton corps se cambrant ou du moins essayant, à sa venue. A ta demande de le sentir, il te répond que tu devrais te méfier de ce que tu demandes et tu entrouvres la bouche avec douceur.


- Oh… Auriez vous peur pour moi Mr Cavanna. Rassure-toi, tout ce que je risque c’est d’aimer ça.


Il se met en mouvement et soudainement tu manques d’air, tu manques de souffle et tout devient flou. Bordel, ces coups sont forts, impatients, intransigeants, et tu adores ça. Il est brutal et ton corps se secoue en se frottant à tes papiers qui resteront probablement chiffonnés après votre échange.
Tu lui demandes d’oublier qui il est, qui tu es et de simplement te donner ce que vous voulez tout les deux. Et tu es exaucée, son membre te pénètre avec une fièvre folle, obligeant ton intimité à lui laisser le passage devant ton étroitesse. Son bassin cogne le tien et tu abandonnes un cri involontaire tellement il te procure de délicieuses sensations. Ton corps spasme par moment sous les assauts sauvages que t’offre ton partenaire. Il s’agrippe à tes hanches, gagnant quelques millimètres de pénétration supplémentaire. A cette cadence il va te mettre au tapis bien plus vite que prévu. Sa main s’enroule contre ta gorge et tu obéis à ces directives de domination. Pire que ça, ça t’excite follement. Il t’oblige à te redresser contre lui et à subir ces assauts, l’une de tes mains s’enroulent contre son poignet sans lui demander d’arrêter de te tenir. Sa bouche vient couvrir ton cou et tu gémis plus fort il est partout, et tu adores ça. Il se saisit de ta poitrine et tu grognes, sentant comme sa large paume te couvre et te domine. Trop de stimulations simultanées, trop de plaisir sur tout ton corps.


- Tu… Han… Andrew… Tu me rend dingue.


Il te dit que tu es une divine tentatrice et honnêtement tu veux bien l’être autant qu’il le veut, du moment qu’il ne s’arrête jamais. Sa main contre tes seins descend contre ton entrejambe et tu te sais condamnée. Instantanément ton corps se cambre et ton souffle manque. Tu tentes de le ralentir mais sa main sur ta gorge se raffermit. Tu manques un battement peut être deux puis soudain tu abandonnes un cri. Violent et spontané, ton corps tremble et ton intimité se contracte sur sa verge allant et venant dans ton corps transi de désir pour lui.


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MessageSujet: Re: Laissons retomber la pression || Taylor Andrew    Laissons retomber la pression || Taylor Andrew  EmptyDim 29 Oct - 15:39

Laissons retomber la pression
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Céder à cette attraction naissante, c’est grisant, c’est excitant. Je laisse ce désir sauvage et pressant prendre possession de moi, réchauffer mes pensées et guider mes gestes. Je vais trop loin avec ma boss ? Certainement, mais à cet instant j’ai perdu tout rationalité. Je la veux. Je veux entendre ses gémissements raisonner entre ces murs, je veux que son souffle réchauffe l’air qui nous enveloppe. L'idée de succomber à cette tentation interdite me remplit d'excitation et d'envie. Je suis prêt à prendre tous les risques pour pouvoir goûter au fruit défendu de cette relation. Chaque moment passé avec elle est une aventure, une exploration de plaisirs inconnus et d'émotions intenses. Je ne peux pas résister à l'appel de cette passion enflammée, même si cela signifie franchir les limites de la décence et de la raison. Je suis prêt à me perdre dans ce tourbillon d'érotisme et de désir, à plonger tête la première dans cette mer de sensations enivrantes.

Il n’est plus question de deux collègues de travail, nous sommes plus que deux âmes en fusion s’abandonnant à un désir qui les dépasse et les consume. Peut être que demain nous regretterons notre folie, peut être qu'elle aura des répercutions que là tout de suite l’un comme l’autre nous nous refusons à envisager. Cette fusion de désir à un goût d'interdit et je suis intimement persuadé que c’est précisément ce qui nous pousse à céder l’un à l’autre. L’interdit. Le goût du danger.  

L’intrusion d’Elena dans le bureau a manqué de mettre un point final à ce jeu savoureux. J’ai eu toutes les peines du monde à garder mon calme afin qu’elle ne devine pas ce qui se passé là, juste sous son nez. Putain c’était chaud et je crois que cet intermède a fait qu’attiser ce désir déjà bouillant et dévastateur. Autoritaire, je ne laisse pas à Taylor l’opportunité de me résister, je suis directif et je me délecte de sentir son corps frissonner d’envie à chacune de mes caresses. J’empoigne sa chevelure fermement lui susurrant contre son oreille qu’elle m’appartient désormais. Sa réponse m’arrache un sourire amusé.  

« Oh, vous oseriez abusez de la sorte de votre employé Madame la procureure...?  »

Je ne lui laisse aucun répit, je mords la peau fine et sensible de sa gorge avant de lui imposer une position pas forcément confortable pour elle, mais m’offrant un angle d’attaque parfait... ainsi qu’une vue sur son corps brûlante. Ainsi, elle est totalement à ma merci, soumise et offerte... et voir ma boss comme ça, ça me rend complètement dingue. Ja claque sa croupe à plusieurs reprises pour voir sa peau rougir, la rendant plus sensible de manière à ce que lorsque je la pilonnerais sauvagement elle sente bon bassin claquer contre sa peau. Mes doigts glissent contre sa fente, la caressant, jouant avec elle pour attiser un feu sauvage en elle. Elle souffle mon prénom avec une chaleur qui provoque en moi un ras de marré de désir plus pressant encore. D’un seul coup, dans un geste à la fois brutal et impascient je me plante en elle, m’immobilisant un instant profondément ancré dans sa chair pour souffle chaudement au creux de son cou :  

« A partir de maintenant à chaque fois que tu prononceras mon nom, tu penseras à cet instant... à cette manière dont je t’ais mis le feu au corps... »  

Je souris, en imaginant ses joues rosirent et son intimité tremper ses dessous quand elle devra m’appeler pour l’informer d’un dossier. C’est mal, je ne devrais pas désirer tourmenter ma boss de la sorte, pourtant c’est plus fort que moi et je crois que de toute manière cette soirée changera notre vision du travail quotidien, réchauffera nos pensées et nos corps malgré nous. Il ne peut pas en être autrement. Je la mets en garde, lui soufflant à l’oreille qu’elle devrait se méfier de ce qu’elle demande, qu’une fois sortie de sa tanière le loup ne pourra plus y retourner. D’ailleurs je crois que c’est déjà trop tard. Elle me demande si je n’aurais pas peur d’elle. Je la cloue au silence en lui donner un coup de rein puissant et sauvage.  

« Peur de quoi ? De ce corps offert ? » Je me joue d’elle, raffermissant ma poigne sur sa chevelure, je la plaque contre moi et dévore son corps pour y apposer une marque qui ne disparaitre pas tout de suite. « Je crois que c’est vous qui devrez avoir peur madame la Procureure... » Je lui assène un nouveau coup de rein sec et brutale. Je crois qu’elle me rend complètement fou putain. Elle pourrait me renvoyer pour cette manière dont j’ose lui parler.  Puis, mon bassin s’anime, lui imposant des coups de reins puissant et rapide. Mon désir est trop grand pour que je tente de le canaliser, je suis à l’instant incapable de la moindre once de douceur et je crois pour affirmer que ce n‘est absolument pas ce qu’elle veut. Elle ne me provoquerait pas de la sorte après mes mises en garde si c’était le cas.  

Je la besogne avec une puissance folle. Ses cris de plaisir se mêle à mes gémissement rauque. Je m’agrippe à ses hanches, m’animant en elle avec la bestialité d’un animal en rut. Elle me rend fou et je perd complètement le contrôle de ce plaisir ardent. Ma main s’enroule autour de sa gorge pour la maintenir fermement contre moi. Je suis sans pitié et lui laisse aucune chance d’en réchapper. Je dévore la peau fine et sensible de sa gorge, inspirant son odeur comme une dose de drogue. Je suis en feu et je sais que je ne résisterais pas longtemps à ce corps ardent que je malmène avec virulence.  

Elle me dit que je la rends dingue et cette déclaration me cingle les reins. Ma main délaisse sa poitrine pour venir titiller son clitoris, afin de finir de la rendre folle. Je la veux tremblante contre moi, je veux sentir le plaisir s’engouffrer dans chaque parcelle de son être avec violence. Je ne lui laisse aucune chance. Le cris de plaisir qu’elle lâche alors est puissant et sonore. Il a raison de mes dernières résistances, c’est intense, c’est violent, son corps tout entier se contracte. J’ai l’impression que son intimité cherche à m’emprisonner, à m’engloutir. Putain c’est tellement bon. Je me retire au dernier moment, m’interdisant de gicler en elle quand je ne porte pas de capote. Putain j’ai merdé sévère sur le coup... J’en avais tellement envie que j’aie zappé cette étape. Ça craint !! Je me retire, l’attrape pour la retourner la forçant à courber l’échine, pour venir cracher mon foutre sur sa poitrine tendue par le plaisir. Putain je dépasse les bornes, mais là tout de suite je n’en ai rien à foutre. Je la regarde les prunelles brillante d’un plaisir dévorant. L’effet qu’elle a sur moi est juste dingue. Je ne verrais plus jamais cette femme de la même manière, je sais qu'à partir de cette nuit mon corps s'embrasera d'envie à chaque fois que je la verrais. Mes doigts viennent crocheter sa nuque pour qu’elle se relève. Je plaque ses lèvres contre les miennes l’embrassant avec une passion intense. Je suis en proie à un tourbillon de pensés qui me rende fou. Je crois qu’elle n’aurait jamais dû me laisser aller si loins avec elle, parce que je sais que je ne pourrais pas me contenter que de ça. Ce désir qui m’embrase encore les reins est puissant et il me consumera tant qu’elle ne l’aura pas éteint.  
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MessageSujet: Re: Laissons retomber la pression || Taylor Andrew    Laissons retomber la pression || Taylor Andrew  EmptyMar 31 Oct - 16:35





❝ Laissons retomber la pression ❞
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Une reine n'est jamais vraiment seule... Derrière chaque grande âme il y a son second.
   
La passion regorge dans chacun de vos souffles, chacune de vos caresses l’un pour l’autre, chaque baisers et morsures attisant la flamme brulante qui anime vos âmes en cette soirée. C’est irrépressible, c’est sanguin et brutal, tu veux la peau d’Andrew avec une vivacité qui te surprend toi-même. Tu en oublies qui il est pour toi, qu’il est l’un de tes piliers dans ton univers de boulot, ton confident sur chaque affaire, l’homme qui évolue dans ton ombre depuis des années. Là tout de suite il est juste celui qui t’arrache des sensations folles, il est un corps dont tu abuses et que tu souhaites assouvir jusqu’à l’épuisement. Il possède toute ton attention et plus encore. Tu veux qu’il ne pense strictement à rien d’autre que toi. Andrew tente de te mettre en garde contre lui, il te dit que tu devrais avoir peur, alors que ses dents mordent ta peau et que ton corps est dans une posture délicate mais soumis à des décharges folles dans l’ensemble de ton corps. Il est fort, doué, et tu sens à chacun de ces coups de bassin comme la fièvre te monte, comme il est capable de te satisfaire. Elena ou quiconque pourrait tenter de vous interrompre, tu serais incapable à cet instant précis de renoncer à lui, au plaisir qu’il te donne et à la passion qui vous unit. Plus le feu entre vous s’attise et plus ton partenaire devient exigeant, autoritaire et plus ton intimité s’excite à cette façon qu’il a de prendre le pouvoir. Tu abandonnes un éclat de rire lorsqu’il te dit que tu oserais faire ça à ton employé. Oh… à cet instant tu es prête à lui faire bien des choses.


La cadence prend en vitesse entre vous, et avec elle l’intensité grimpe. Tu sens ton corps s’embraser à chacune de ces caresses, à chacun de ces coups de bassin. A chaque poussée en toi ce sont des étincelles dans ton corps qui s’électrisent et s’animent. Tu gémis et ton être est à deux doigts du précipice lorsque la main d’Andrew rejoint ta fente intimité pour accentuer les caresses. Tu frisonnes et murmure son prénom. Il se plante en toi, avide et fou et son timbre de voix devient plus rauque lorsqu’il dit vouloir que tu te souviennes de cet instant. De la flamme et l’avidité de votre rapport à chaque fois que tu dis son prénom et tu abandonnes un soupire qui porte ton sourire. A bout de souffle, tu penches la tête en arrière comme si tu pouvais l’apercevoir. Ton corps est presque à bout lui aussi, tu poses ton crâne sur l’épaule d’Andrew et tu murmures du bout des lèvres.


- J’y penserais à chaque fois. Et moi je veux que tu te souviennes, à chaque fois que tu mettras un pied dans cette pièce de la manière dont mes lèvres se sont contractés lorsque je t’avais entre elles.


Tu es vicieuse, manipulatrice et tu adores ça. Tu sais instantanément qu’à l’instant où tu murmures ces mots il va penser à votre fellation récemment terminée. Et tu sais que tu signes ton arrêt de mort en y pensant toi-même. Les coups de bassin pleuvent, provoquant un bruit chaque fois que son bassin tape ton fessier. Un bruit délicieux qui pousse ton extase chaque fois plus proche de la chute. Il te dit qu’il n’a aucune peur et un sourire s’étire plus fort sur ta bouche lorsqu’il dit qu’il ne peut pas avoir peur d’un corps offert. S’il savait…


- Tu devrais pourtant…. Han, tu devrais tellement, Hum.


Il reprend en disant que c’est toi qui devrais le craindre. Mais c’est totalement impossible. Il devient plus brutal, mais pourtant ton corps s’enflamme, aveugle de la moindre once de brusquerie qui pourrait en offenser certaine. Tu encaisses coup après coup et ces doigts s’accordant à sa queue en toi te propulse au bord du précipice. Tu halètes son prénom toujours au bord de tes lèvres, lui disant qu’il te rend folle et c’est vrai. Tes doigts se compriment sur le bois de ton bureau, le griffant en superficie. Et soudainement tu plonges, ton corps lui cède. Un cri s’échappe de ta bouche, et des tremblements émanent de tout ton être. Tu frémis, sentant tes forces t’abandonnaient pour vivre la chute dans un plaisir fou. Tu deviens doucement une poupée de chiffon entre les bras puissants de l’homme qui donne ces dernières forces pour se retirer, te basculer face à lui et t’allonger sur ce bureau. Ton regard s’enfonce sur le sien, à bout de force lorsque le fluide chaud de son membre s’applique sur ta peau. Tu le vois perdre toute retenue et venir dans un grognement rauque qui te provoque un frisson de plus. Il sera bien difficile d’oublier à quel point il est ensorcelant lorsqu’il jouit. A bout de souffle tout les deux, tu étires un sourire alors qu’il attrape ta nuque et t’oblige à un baiser chaud. Tes mains s’appliquent contre ces joues alors que tu lui rends ce baiser langoureux où ta langue lui dit à sa manière ses au revoir. Tu le goûtes encore et encore avant de doucement mettre fin à votre échange. Ton regard descend sur le fluide chaud coulant doucement le long de ta peau.


- Je vais avoir besoin de prendre une douche de toute urgence, on dirait.  


Tu relèves des yeux amusés lorsque tu reviens prendre sa bouche, et que tu finis par descendre de ton bureau. Tu te diriges vers le dressing de ton bureau, là où tu possèdes quelques tenues de rechange et le nécessaire à quelques commodités. Tu te saisis d’un mouchoir t’essuie brièvement le corps en voyant vos vêtements jonchés le sol. Tu glisses ton regard vers Andrew et chuchote.


- On dirait qu’on a un peu dérapé… Tu comptes donner quoi comme excuse à Elena ?


Tu le regardes en coin tout en enfilant de nouveau sous-vêtements d’une dentelle blanc immaculé. Le blanc une couleur tout sauf prude te concernant.



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Andrew Cavanna
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MessageSujet: Re: Laissons retomber la pression || Taylor Andrew    Laissons retomber la pression || Taylor Andrew  EmptyMer 8 Nov - 18:29

Laissons retomber la pression
Outfit -- C’est un désir animal et brutal qui m’anime, un feu ardent qui consume mon être de l'intérieur. Je ne saurais l’expliquer avec des mots assez forts ou précis, mais j’ai envie d’elle, je veux la posséder. Je veux me gorger de ses gémissements de plaisir, me nourrir de ces sons jusqu’à ce que j’en oublie tout le reste, jusqu'à ce que la réalité se dissolve dans l'éther. C’est un désir irrépressible et violent qui semble nous animer l’un comme l’autre. Il semble que nous soyons pris dans une danse séculaire, perdus dans le tourbillon de nos désirs.Voir les flammes d’un plaisir puissant animer ses iris est un spectacle hypnotisant, une vision qui hante mes rêves éveillés. C'est un spectacle dont je ne saurais me lasser, la luxure lui colle à la peau comme une seconde peau, lui conférant une aura magnétique, un attrait inégalé. C'est au coeur de cette aura que je viens me noyer sans vergogne, me perdre dans l'océan de ses yeux. Nous sommes dans l’instant présent, plus rien d’autre ne compte que ce plaisir que nous partageons l’un avec l’autre. Je ne suis plus son assistant et elle n’est plus ma patronne, ces titres semblent insignifiants maintenant. Nous ne sommes plus que deux corps en fusion, deux âmes désireuses de se perdre dans les méandres d’un plaisir infini, de se découvrir dans le reflet de l'autre.

Peut-être devrait-elle envisager de se méfier du feu avec lequel elle semble prendre un plaisir insouciant à jouer. Lorsque le loup qu'elle taquine avec audace sort de sa tanière, il ne rentrera pas aussi facilement, ou du moins pas sans abuser de ce corps délicieux qui tremble contre le mien, vibrant d'anticipation et de désir. En cet instant, rien ne semble pouvoir entraver notre passion, notre fougue. Même si Elena devait débouler dans le bureau, cela n'aurait aucun effet sur la puissance des coups de reins que je lui assène avec force et détermination. Aucune distraction, aucun obstacle ne pourrait me faire renoncer à ce plaisir si intense, si palpable. Mon objectif est clair : je refuse d'atteindre l'extase avant elle. Je veux sentir son intimité se contracter autour de mon sexe, tenter de me retenir en elle. Je veux la sentir exploser d'un plaisir si intense, si débordant qu'elle sera incapable de le contenir. Mes doigts glissent entre ses cuisses, se mêlant à son bouton de chair tandis que je la pilonne avec une force égale. Je suis avide de plaisir, consumé par la folie du désir, gouverné par une seule chose : le plaisir. Son plaisir. Parce que oui, je ne suis pas un de ces égoïstes qui ne pense qu'à sa satisfaction personnelle. Mon plaisir ne peut être complet sans le plaisir de ma partenaire, sans ses gémissements qui résonnent au fond de moi, échos de notre passion partagée. Je veux qu'elle soit incapable de pénétrer dans ce bureau à l'avenir sans penser à cette soirée, à ces moments intenses. Je lui fais part de mon souhait, de mon égoïsme pur, et sa réponse m'arrache un sourire clairement amusé, une promesse silencieuse de plus de nuits comme celle-ci.

” Parce que tu penses sincèrement que je peux oublier l’effet de tes lèvres ensorceleuses…”

Avec une douceur calculée, je lui susurre ces paroles, mordant lentement sa nuque pour accentuer chaque mot, chaque syllabe. Les mots sont un souffle chaud contre sa peau, un murmure presque insaisissable qui enflamme son désir. Mes doigts, avec une agilité et une précision cruelles, remontent pour jouer entre ses lèvres. Je la contrains à les lécher, à participer à ce jeu de séduction intense, dans un simulacre parfait de fellation. Elle goute à son propre abandon, un mélange d'émotions et sensations, une saveur si intense et unique qu'elle n'aurait jamais imaginé.

Je reprends mes coups de rein, je la veux ici et maintenant. Tout de suite, sans perdre une seconde de plus. Elle me chuchote à l'oreille que je devrais avoir peur, peur de la vulnérabilité de ce corps offert et à ma merci. Devrais-je, vraiment ? Un sourire carnassier plein de désir, de provocation et de promesse silencieuse étire mes lèvres en guise de réponse. Je la pilonne plus fort si c’est encore possible, l’écrasant sous le poids de mon désir, la submergeant par la virulence de mes coups de rein. Chaque mouvement, chaque poussée, est comme une déclaration silencieuse de ma dominance, une affirmation de ce contrôle que j’ai sur ce corps offert, tremblant et vibrant sous l'intensité de mes attentions. Elle explose dans un déferlement de plaisir intense et irrépressible, ses gémissements doux et profonds résonnent à mes oreilles, telle une mélodie suave et envoûtante, semblable au miel le plus délicieux. Je la soulève avec une facilité surprenante, comme si elle était aussi légère que l'air, et la retourne avec précaution sur le bureau. Je me penche vers elle, dévorant ses lèvres avec une passion débordante, un désir insatiable que je n'arrive pas à contrôler. Et puis, c'est à mon tour d'exploser dans un élan de plaisir brûlant, répandant mon foutre chaud sur la douceur de sa peau, la marquant de la preuve irrefutable de notre intimité partagée. Ses lèvres collées contre les miennes je l’embrasse avec une douceur presque tendre créant un contraste net avec la virulence de notre corps à corps. Je pousse un grognement de frustration quand elle s’écarte de moi, la sensation de fraîcheur contre mes lèvres est insupportable.

” Tu as raison, c’est ta langue que j’aurais du souiller finalement…”

Je lui adresse un sourire plein de provocation, mes iris fixé sur sa silhouette ensorcelante brillent de malice. Elle s’éloigne et l’atmosphère nous entourant est subitement moins ardente. Mon corps tout entier retombe en pression revenant lentement à la réalité. Mon regard se pose sur notre repas écourté et nos vêtements qui jonche le sol ci et là. Je l’observe se changer du coin de l’oeil pendant que je remet mon boxer puis mon pantalon.

” On a franchit trop de limites ce soir pour que je puisse les compter Taylor. “

Je soupire lourdement, un sentiment indescriptible de nostalgie et de désir me submerge. Tenant mon tee-shirt à la main, je m’avance vers elle, comme si un aimant invisible m’attirait vers cette femme. C'est plus fort que moi, trop puissant pour être ignoré. Je suis attirée par son aura solaire, sa présence qui illumine même les coins les plus sombres. C'est ce corps que j’ai possédé il y a quelques instants à peine, un corps qui a partagé avec moi des moments de plaisir brut et sauvage. J’en ai pleinement conscience, si consciente que cela en est presque douloureux. Mais ce qui s’est passé ce soir a été d'une intensité trop dévastatrice pour qu’il n'y ait aucune répercussion. Je refuse de le voir, de l’admettre, de reconnaître cette vérité qui se présente à moi. Pourtant, cette vérité est d'une évidence effarante, aussi claire que le jour après une longue nuit, et aussi inévitable que le lever du soleil. Notre collaboration, notre regard que nous portons l’un sur l’autre ne peux être le même.

” Mais je mentirais si je te disais regretter…”

Mes doigts glissent le long de la bretelle d’un blanc pure de son soutien-gorge. Le blanc immaculé contraste avec sa peau légèrement bronzé. Elle me demande ce que je donnerais comme excuse à Elena… je soupire, le plaisir avait presque réussi à me la faire oublier. Elle voudra des explications, c’est presque certain et je sais pas comment je peux expliquer comme j’ai pu me retrouver torse nu derrière le bureau de ma chef…

” J’en sais rien… je trouverais bien une connerie à lui raconter et si je dois lui faire oublier l’incident en usant de mes charmes… je donnerais de ma personne. “

Elle en pince pour moi c’est aussi évident que le nez au milieu de la figure. Cependant, elle a l’air d’une gentille fille et me servir d’elle… ça me pose un problème de conscience, mais si je n’ai pas d’autres choix… Je relève mon regard rieur sur ma boss, mon regard sur elle ne sera plus jamais le même après ce soir, mais ça je crois que l’un comme l’autre on n'en a rien à foutre. La pression accumulée à cause de cette affaire difficile semble complètement retombée, il faut dire qu’on a fait ce qu’il fallait pour.
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