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| Wedding Day (Teagion) | |
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WebName : Caro' Date d'inscription : 21/06/2024 Messages : 21 Avatar & crédits : Ilona Arsentieva Date de naissance : 22/02/1994 Age : 30
| Sujet: Re: Wedding Day (Teagion) Mar 29 Oct - 14:58 | |
| C’est purement et totalement ridicule. Tu ne comprends pas ce que tu fous ici avec lui, dans un putain de vulgaire placard, sans le moindre glam ou la moindre mise en scène un temps soit peu romantique. Il représente tout ce que tu détestes dans un comportement masculin. Strictement rien de son attitude n’est en mesure de te charmer et pourtant… Tout ton corps frisonne lorsque son corps se précipite contre le tien contre ce mur. Lorsqu’il t’exprime ses envies profondes et qu’il ne te laisse aucun choix. Tes iris s’hypnotisent à le regarder te lécher là, avec une passion aussi assumée que le reste. Il semble vouloir le contrôle et pourtant en s’agenouillant ainsi, il te le donne. Il est l’instrument de ton plaisir et faut avouer que malgré cette agaçante manière prétentieuse qu’il se donne, lorsque vous êtes tout les deux, il est… un amant éblouissant.
Tu n’as jamais été une catho très avérée, même si l’homme qui partage ta vie l’est sans doute bien plus que toi. Disons simplement que dans les sphères où tu évolues croire en dieu est presque une mesure nécessaire pour s’intégrer. Une distinction qui fait que tu es des leurs. Sauf que lorsqu’on est élevé par des familles catholiques, on conditionne rapidement ses enfants à ne pas « fauter » avant le mariage. Chose que toi et Hermy n’avait pas vraiment appliquée à la règle depuis votre rencontre. Josh comprenait mal ton appétit pour lui au départ, dieu et ses recommandations de contenir sa crampe. Tu l’as fait céder mais… le naturel de ton mec est disons le respect et la bonne tenue en toute circonstance. Pas tout à fait le genre d’homme à t’amener dans un placard à balai pour te faire grimper au 7eme ciel.
Tu frisonnes de tout ton être, la bouche de Deion n’ayant aucun besoin d’aide pour comprendre ce que tu aimes et comment. Tu sens comme ses doigts son expert, comme sa langue effleure les bons endroits et comme ses mains ne se gêne pas pour t’imposer de continuer à le subir. Le cocktail parfait pour brutalement te faire monter à peine après quelques minutes. Ton corps se tend et lui cède avec une facilité déconcertante, te laissant à bout de souffle, la faiblesse coulant dans tes veines après une vague délicieuse. Sa bouche te quitte pour revenir à tes lèvres et tu grognes contre celles-ci alors qu’il sort une protection de sa poche et qu’il te demande de dire que tu n’aimes pas ça. Tes iris bleutées se noient dans les siennes, putain pourquoi il lui suffit de te regarder ainsi, de juste te susurrer sensuellement une question pour que tu ai envie de lui plus fort. Il te demande de dire que ça ne plait qu’à lui. Ses mains approchant les tiennes de son entrejambe qu’il sort de son pantalon pour te dire sans un mot qu’il s’apprête à te faire sienne une seconde fois. Il se saisit de ta bouche et un légère soupire s’extirpe suite à son baiser. Ta bouche s’entrouvre, tremblante sous le regard que tu jettes sur vos mains. Comment fait-il pour te mettre le feu comme ça ? Sa capote enfilée, son regard te défie alors qu’il relève ta jambe tout comme ta robe, et vient s’insérer en toi sans plus de cérémonie. Tu abandonnes un hocquet de surprise d’une saveur déroutante. Tes mains s’agrippent aux pants de sa veste que tu amènes plus proche de toi.
- Non, hum… Tu n’es pas le seul…
Tu sens tout ton corps se tendre alors que vivement le bassin de ton amant s’active en un rythme rapide. Ta jambe s’écarte cherchant à l’aider à avoir un meilleur accès. Son large pieu venant combler avec perfection ton étroitesse. Ta bouche vient chercher la sienne pour y gémir, ton souffle prenant en vitesse. Mais soudain un bruit se fait entendre et approche. La main de Deion revient couvrir ta bouche, alors que ses hanches persistent à te baiser. Puis la porte s’ouvre, il fige, sa queue fermement au fond de toi. Quelqu’un est là, tu le sais et pourtant ton regard le fixe pendant que tes dents viennent mordre ses doigts, attirant son attention. Tu attrapes son poignet, laisse deux de ses doigts glisser contre tes lèvres, les suçant. Tes hanches bougent contre lui, réclamant son attention malgré qu’un gars soit à un petit mètre de vous. Merde, tu as de plus en plus confiance en toi malgré l’endroit. Plus sure de toi que jamais "Non putain, c’est là-bas" tu vois la porte se refermer et un large sourire apparait lorsqu’il retire sa main.
- C’était moins une…
Tu abandonnes un petit éclat de rire, tes bras s’enroulent autour de sa nuque alors qu’il te soulève avec aisance et que rapidement il se remet à l’œuvre. Ton corps vient brusquement se faire plaquer au mur et son corps baise le tien avec une énergie soudainement redoublée. Est-ce que ça l’excite autant que toi ? Est-ce qu’il a pour habitude de faire ça ? Tu abandonnes un gémissement, son front vient contre le tien et tu laisses pour la première fois tes doigts cajoler sa nuque avec douceur. Ta bouche susurrante.
- Je veux que tu me fasses jouir encore Deion… |
| WebName : Hortek Date d'inscription : 20/06/2024 Messages : 33 Avatar & crédits : Stephen Amell Date de naissance : 08/05/1991 Age : 33
| Sujet: Re: Wedding Day (Teagion) Lun 11 Nov - 20:57 | |
| Putain de merde… C’est complètement dingue. Cette nana nous joue la meuf parfaite, la petite amie qui sait où elle va, propre sur elle. C’est une putain de tornade. Rien que sa manière de soupirer en ondulant son bassin pour m’aider à lui donner le plus de plaisir possible et de grogner de bonheur me fait dire que j’ai une lionne affamée et pas un petit chaton égaré sur le parvis d’une putain d’église ! Le pire, c'est que j’aurais pu me contenter de cette baise intense et torride dans les toilettes mais non. Je pousse ma chance. Je viens de l’attirer délibérément vers un endroit calme sous un prétexte de merde histoire de la bouffer salement. Et croyez-moi, quand je suis à genoux devant une femme ce n’est pas pour me faire dominer. Elle s’est mise dans la merde en me demandant de la cajoler de ma bouche et mon regard planté dans le sien est sans aucune équivoque, je ne vais pas lâcher son corps avant qu’elle ne suffoque de plaisir.
Les secondes défilent et enfin elle me fait remonter. Elle est en transe et je m’efforce de rassembler le peu de lucidité qu’il me reste encore pour dérouler une capote le long de ma queue. Je viens me placer marquant un temps pour lui faire bien réaliser ce que je m’apprête à faire et qui si on pouvait probablement parler »d’accident » la première fois… Cette fois c’est totalement volontaire et assumé… Je saisis sa jambe et je la provoque en lui demandant d’oser me dire que je suis celui qui pousse et qui fait tout. Qu’elle n’y prend pas totalement son pied elle aussi ? Elle m’avoue que non avant de laisser sa voix vriller car j’ai choisi de la pénétrer en plein milieu de sa phrase.
Debout dans le couloir, je la baise contre ce mur en grognant de plaisir quand j’entends des mecs de la maintenance approcher et manquer de nous voir. Je me cale contre elle cachant mon visage dans son cou et le sien dans le mien. Au pire s’ils entrent ils verront un couple en train de se tringler sauvagement sans parvenir à voir qui est qui. Mais la chance joue pour nous et ils repartent. Elle me dit que c’était moins une en riant et enroule ses bras autour de ma nuque pendant que je la soulève pour mieux la prendre. Je tape mon bassin contre le sien la tenant contre le mur ce qui a pour effet de l’empêcher d’amortir mes assauts et de les encaisser à pleine puissance. Je l’entends gémir et je pose mon front sur le sien alors que je crois que je viens de réveiller un truc en elle et que j’adore ça bordel. La copine chiante d’Hermione est en fait une putain de déesse… Et c’est là qu’elle m’avoue vouloir que je la fasse jouir encore. Je souris et la regarde dans les yeux donnant quelques coups de bassin sec et puissant. Je souris et libère une main pour venir poser mon pouce sur son clitoris et l’écraser doucement.
« Demande plus gentiment… »
Je souris amusé et continuant d’aller et venir j’ouvre les lèvres et bouches grandes ouvertes, je fais jouer ma langue pour inviter la sienne à venir s’entortiller à la mienne pour un baiser vulgaire et intense alors que je continue de maltraiter son clitoris sans relâche mon sexe faisant des mouvements très lents avant de finir par un petit choc bien sec en fin de course pour la faire tressauter de plaisir au moment où je frappe au fond d’elle.
« Mon Deion adoré… Mon Deion magnifique et parfait… »
Je la taquine parce que j’aime voir ce feu dévorant flamber dans son regard, parce que j’aime les putains d’ondulation de son corps quand je la baise et que je lui mets le feu. Cette nana c’est un ange de luxure et de passion… Son mec est un putain de bande mou, c’est à se demander comment ce peigne cul a pu la séduire ? Remarque c’est tendu, une femme comme elle c’est du genre à vivre nus tous les jours sans sortir de chez soi… Je dévie mes baisers dans son cou et mordille son oreille alors que je me mets à la baiser plus fort. J’aimerais prendre mon temps mais c’est impossible. Alors je la prends sans retenue en soupirant plus fort.
« Jouit avec moi… »
Je suis au bord et je me plante au fond d’elle aussi loin que je peux. Bordel j’aime tellement cette sensation galopante qui me cingle délicieusement les reins. Je pousse un cri contre son oreille et le cœur battant à tout rompre je jouis sans me retenir. Je me vide en elle giclée après giclée tremblant contre son corps que je tiens contre moi alors qu’épuisé et ravagé de plaisir je continue de donner des coups saccadés en elle pour alimenter notre jouissance réciproque… |
| WebName : Caro' Date d'inscription : 21/06/2024 Messages : 21 Avatar & crédits : Ilona Arsentieva Date de naissance : 22/02/1994 Age : 30
| Sujet: Re: Wedding Day (Teagion) Mer 13 Nov - 23:36 | |
| Ce qui te pousse à viscéralement tout envoyer valser ? Tu ne serais vraiment le dire. Ton petit ami t’a contrariée certes… Seulement depuis le début de votre histoire ce n’est pas la première fois et pourtant tu n’avais strictement jamais été jusque-là. Jusqu’à franchir cette limite, cette barrière qu’un couple dit idéal ne franchit jamais. Tu as été ce genre de femme, volage, indépendante et égoïste, cherchant le plaisir et la passion chez l’autre, sans jamais accepter qu’on t’enchaine. Seulement en rencontrant l’homme qui partage ta vie aujourd’hui, tu as rêvé d’un idéal. D’une vie que les autres enviraient, et qui serait la tienne, sans défaut, sans secret, sans entache. Cette vie que tu as avec Josh, t’offre le statut, le prestige, l’argent, la convoitise, et même l’amour. Mais pour que cela fonctionne il a fallu que tu changes. Que tes démons soient mis sous contrôle, que tes déviances et pulsions puissent être mis sous silence. L’infidélité ne faisant pas parti de ce qui serait acceptable si tu voulais de ta vie parfaite. Marie-Camille t’a provoquée… Là non plus ce n’était pas grande nouveauté, cette pintade n’a jamais été foutue d’être une réelle amie pour qui que ce soit, même pour Hermy, même pas quand son ex s’apprêtait à lui donner sa première danse. Alors pourquoi ce soir, tu joues à ce petit jeu avec son propre frère ? Pourquoi à chaque fois que Deion t’observe, tu sens ton sang prendre un degré de plus, une pulsion te saisir t’indiquant de relever les putains de défis qu’il te tend. Avoir cédé à la pulsion une fois, ça aurait dû suffire non ?
Pourtant, ça ne l’est pas. Tu y cèdes encore. Tu pourrais lui dire d’aller se taper sa queue en t’oubliant mais son regard est un appel au défi. La nuance de ses iris t’appelant à les relever, aussi nombreux soient ils. Ce premier round dans les commodités étaient divins, et il n’a aucun mal à te convaincre de recommencer. Des l’instant où vos corps se retrouvent dans l’ombre, c’est instinctif, passionnel, et irraisonnable. Sa passion appelle ta déchéance. Sa folie nourrit ton envie. Et son imprévisibilité affole tes sens. Ton corps le désire, son corps semble taillé pour te satisfaire, sa bouche semble à l’épreuve de tes pulsions, sans compter ses mains se moquant de ton accord pour savoir comment te dominer. Il ne te connait pas, mais il sait tout ce qu’il y a pourtant à savoir sur comment te faire perdre le nord. Et lorsqu’il revient prendre possession de toi, c’est instantanément le blackout. Ce qu’il advient de cette réception tu t’en cognes, tant que son corps continue de nourrir le tien comme ça. Que ses lèvres se chargent d’étouffer les grondements qui soulèvent ta poitrine à chaque fois qu’il bute fort tout au fond de toi. Tes bras enroulés autour de son cou, tes jambes se cramponnant à son bassin, vos vêtements se chiffonnant alors que la chaleur grimpe de plus en plus fort. On pourrait vous surprendre. À tout moment, et c’est ce qui menace de se passer alors que tu ondules et tente à chaque poussée de l’emmener plus loin. La porte s’ouvre et avec elle, le pic incisif de l’interdit, il fait en sorte de dissimuler vos visages, et tu crois que ça te charme. Putain, quoi ? Ouais… Il veille à vous dissimuler, sans que pourtant vous ne soyez finalement découvert. Tu crois que c’est ça qui te fait autant d’effets. Le risque. La peur de vous faire surprendre comme deux adolescents pris la main dans le sac. Tu aimes la lueur dans ses yeux face au danger qu’il vous fait prendre et, aussi lamentable tout cela soit… Tu en veux encore.
Ta bouche capture la sienne, avide, peut être encore plus affamée que tout à l’heure. Ton dos s’arque plus fort, encaissant chaque coup de butoir avec plus de dureté. Son front contre le sien tu lui demandes de t’offrir un nouvel orgasme et la malice vient rapidement teinter son visage. Tu lis sans mal le prochain défi qu’il envisage. Son pouce rejoint ton clitoris et instantanément un long soupire vient mourir contre sa bouche. Tes yeux se révulsent quelque peu alors qu’un son plaintif s’échappe de tes lèvres en l’écoutant te demander de le faire plus gentiment. Sa manière de se jouer de toi est purement agaçante, irritante et insupportable pourtant… Forcé de reconnaitre qu’il est intelligent. Ton regard se charge d’obscurité à sa moquerie, il vient se perdre contre ta bouche, affolant tes sens par la vigueur de son baiser. Tu te cramponnes à lui, sentant comme l’alliance de sa queue et de ses doigts te font de l’effet. Il réitère cependant ses insupportables moqueries, ses petits noms cucul alors que tu reviens dans ses yeux. Cet homme est à la fois un dieu de plaisir et un connard arrogant. Et putain tu n’as jamais autant aimé qu’il soit les deux. Seulement, tu n’as pas encore joué. Approchant ta bouche de la sienne, ta langue venant vulgairement presser sa lèvre inférieure avant de rejoindre sa mâchoire. Tu approches de son oreille et ta voix se feutre de sensualité en venant susurrer.
- Deion… Oblige moi à jouir, et à t’en redemander…
Un sourire étire le coin de ta bouche, alors que les coups s’intensifient. Il suffirait d’un rien pour que tu bascules là, sans prévenir. Pourtant tu tiens bon, et joue de tes manigances.
- Oblige mon corps à s’en souvenir, ma voix à se taire, et mes iris à se soumettre.
Tes dents viennent délicatement mordre la peau sensible sous son oreille avant de revenir lui faire face, l’intense chaleur dans ton corps prenant un degré insoutenable. Tu reviens face à lui, ta bouche tremblante, ton corps s’activant à ta rencontre alors que les couinements de ta voix se font de moins en moins maitrisables. Ton corps s’arque fort, il te demande de jouir avec lui avant de s’abandonner, un cri involontaire brisant tes soupires. Tu ne perds pas une miette de sa chute, ce temps infime durant lequel il ne se contrôles plus vraiment. Son regard se perd et ta bouche capture la sienne dans un geste empressé, le temps de soudainement toi aussi sombrer dans un orgasme dévorant et absolument électrisant. Tu te noies dans un putain de déluge qui fait vibrer chaque fibre de ton corps. Un long gémissement se noyant dans sa gorge. Son corps s’animant toujours pour vous éviter de descendre trop rapidement. L’intensité est telle que ton corps faiblit et que ton front se dépose contre son épaule. Vos souffles saccadés comme ultime signe de votre présence. Inconsciemment tu respires son parfum, tes doigts te trahissent même en effleurant la base de sa nuque doucement. Merde ! Dénouant tes jambes de sa taille pour lentement reprendre pieds dans une réalité toute autre, tu inspires et te retrouve face à son regard. La thèse de l’accident ne tient plus. Tu as récidivé… Et tu es incapable de pouvoir jurer que ça n’arrivera plus. Tes yeux le disent pour toi, lorsque tes prunelles indécises le fixe, tout aussi éreinté que toi. Tu pinces tes lèvres, baissant les yeux, qu’est ce que ça veut dire ? Qu’est ce que tout ça dit de toi… Bordel, tu ne vas pas commencer à te lancer dans une crise d’identité maintenant ? Tu réajustes tes vêtements, tu n’as plus de sous vêtement, ça complique les choses.
- Je suppose que si je te le demande tu ne vas pas me rendre ma culotte ?
Malgré toi, un sourire s’étire sur tes lèvres et tu tires sur sa chemise pour revenir contre ta bouche et échanger un dernier baiser sulfureux.
- Quand je pense qu’à cause de toi, je vais devoir faire un discours…
Tu approches ta main laisse ton index de nouveau courir sur son torse, ses abdominaux, ce corps parfaitement sculpté. Puis tu te dégages en te mordant la lèvre, renonçant à écouter de nouveau ce que tes pulsions te dictent. Tu réajustes tes cheveux, attrape la poignée de porte et lui adresse un dernier regard un sourire d’emmerdeuse au coin des lèvres.
- Ne t’approche plus de moi.
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| WebName : Hortek Date d'inscription : 20/06/2024 Messages : 33 Avatar & crédits : Stephen Amell Date de naissance : 08/05/1991 Age : 33
| Sujet: Re: Wedding Day (Teagion) Dim 17 Nov - 21:56 | |
| Bon j’avoue, je crois que je me serais probablement tapé une copine religieuse de ma sœur histoire de dire que j’ai été plus fort que Dieu en la détournant de lui. Mais bon les copines de ma sœur sont aussi attirantes d’une flaque de vomi sur le trottoir. Alors j’avoue que j’avais laissé tomber l’idée. Puis cette Teagan est arrivée et clairement, elle je l’aurais détourné de dieu et de tout ce qu’elle voulait. Le souci, c'est qu’elle se la joue miss perfection avec son job de rêve, son mec de rêve, sa relation de rêve, ses chaussures de rêves… Et c’est cette même femme qui est en train pour la seconde fois de la soirée de soupirer sous mes va et vient. Elle se fourvoie avec le frère crétin et déviant d’Hermione la sainte. Le pire, c'est que je déteste la majorité des filles autour d’Hermione parce qu’elles lui ont toutes conseillées de prier dieu pour dépasser ses « soucis de couple » un connard sans couille lui tapait dessus en quoi dieu va te sauver pintade ? Ma sœur a bien fait, c'est tout. Et cette Teagan… Elle a beau tout faire pour rejoindre le club très fermé des coincées du cul, c’est une putain de déesse bien trop qualifiée pour ce monde de tarés qui se met à genoux pour faire autre chose que des cochonneries avec leurs bouches !
Et puis merde, ce mariage j’y suis venu pour Hermione et je comptais me tirer vite dès que possible, je voulais juste faire acte de présence, mais là… Cette femme est visiblement déchainée et elle ne peut pas mettre son état sur le compte de l’alcool. Autant la première fois en levrette dans les toilettes je peux croire qu’elle pensait à un autre mec… Un moment d’égarement tout ça tout ça… Mais là, on remet ça les yeux dans les yeux sans aucun ménagement. Et pire encore, elle continue d’onduler plus férocement comme si elle m’obligeait à venir planter mon sexe en elle de la manière la plus douce pour elle. Elle ne subit pas mes assauts, elle les sublime et joue sincèrement avec moi. Elle ne se laisse pas baiser, elle s’envoie en l’air sans concession avec moi et bordel j’adore ce jeu qui s’est installé depuis le début de la soirée. Surtout qu’elle me fait l’aveu de désirer m’en redemander encore en souriant. Puis elle fait des phrases avec sa bouche mais j’avoue que je trouve ça juste très joli sortant de ses lèvres. Je suis un crétin terre à terre, j’ai rien de raffiné ou d’intelligent. Je suis un rustre mais j’aime entendre les jolies choses et je la serre plus fort frappant mon bassin contre le sien en la portant contre moi m’aidant du mur pour la défoncer avec passion. Je l’embrasse mais je dois me rendre à l’évidence, je dois m’arrêter pour ne pas suffoquer.
Car soudain je crois qu’on vient de comprendre où on se trouve elle et moi. Que c’est trop tard et que même si l’intégralité des membres du mariage entraient à cet instant rien ne pourrait arrêter de ce plaisir galopant qui tambourine et va nous submerger. Je la sens s'arquer contre moi et exploser au moment ou je me serre contre elle et jouit à mon tour. Je me déverse en tremblant alors qu’elle se tend et que nos corps convulsent à l’unisson l’orgasme de l’un nourrissant celui de l’autre. Je remplie la protection de ma semence alors que les palpitations de son sexe font écho aux saccades du mien à chaque fois que j’expulse mon plaisir. L’orgasme dure et dure et une fois que j’ai fondu entièrement je m’alanguis contre elle et incapable de l’embrasser, mon front légèrement humide de sueur trouve le sien qui est dans le même état… Je la regarde dans les yeux alors que j’aimerais avoir un lit. Un lit pour la basculer, arracher ces habits qui nous font suffoquer et recommencer. L’accaparer à moi encore et encore jusqu’à ce que je ne sois plus capable de bander.
Nous nous fixons longuement sans un mot. Toujours enlacés. Toujours unis. Je me noie dans ses yeux sans broncher alors que j’ai la sensation que le monde s’est arrêté. Ce n’est pas un accident cette fois et nous en sommes conscients. Est-ce que la grande princesse réalise que le paysan lui fait des choses plus savoureuses que son parfait prince ? Et pourquoi j’en ai quelque chose à foutre qu’elle vante son petit ami parfait ? Pourquoi j’ai envie de relever le défi et de penser que peut être mieux que lui ? C’est elle qui se met à parler et me dit qu’elle suppose que même si elle me la demande je vais pas lui rendre sa culotte. Je réalise que je l’ai encore dans la main et souris.
« Crois-moi… Ce sera plus pratique plus tard que de devoir te l’enlever encore. »
Elle sourit et tire ma chemise pour m’embrasser. Attends… Elle est clairement open à l’idée de remettre ça plus tard ? Elle me repousse et me reproche de devoir faire un discours.
« Désolé, mais pas désolé. En plus toi t’as pas à repousser les avances de Marie Connasse »
Je m’extirpe d’elle avant de retirer la protection souillée et de m’ajuster à la hâte alors qu’elle en fait aussi mais prends le temps de passer sa main sur mon torse musclé. On dirait que la dame apprécie ma marchandise… J’ai beaucoup son corps et j’avoue que si la robe lui va bien j’adorerai la voir sans… Elle s’éloigne et me jette un regard alors que j’ai encore sa culotte en main et elle me lance avec un petit sourire de ne plus m’approcher d’elle. Je soulève un sourcil alors qu’elle se tire et je reste coi un instant… Putain elle va vouloir en plus que je vienne la chercher ?
« Les femmes putain… »
Je réajuste mon costume et range la culotte de Teagan dans ma poche intérieur de costume. En sortant je fais un détour et je vois Teagan parler au DJ. Oh merde… Le discours va être magique. Alors que je m’avance, je vois un gamin qui court partout manquer de tomber et fort heureusement il portait des bretelles. Je le saisis par les bretelles et le retiens alors que son nez allait frapper le sol. Ce dindon éclate de rire alors que sa mère a manqué de nous faire un malaise cardiaque et que papa regarde ça mais n’a pas du réalisé vu son air éméché. Le gamin éclate de rire et repart en courant. Il est cool ce môme. Je surprends alors un regard tendre de ma sœur qui a tout vu. Je hausse les épaules et elle me sourit alors que je contourne la salle et esquive les remerciements des parents pour revenir m’installer. J’ai chaud alors je retire ma veste qui se retrouve sur le dossier de la chaise et que je retrousse mes manches sur mes avants bras et avale une gorgée de champagne. Tiens Marie Suceuse de gros cierges est en train de me fixer avec son banc de Merlu fan de dieu alors que la musique baisse et qu’on annonce le discours de Teagan. Je souris amusé et la regarde avancer avec le micro alors que je me retiens de rire et que j’ai des putains de frisson juste à la regarder. Putain de déesse qui s’oblige à frayer avec des raclures de bénitiers.
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| WebName : Caro' Date d'inscription : 21/06/2024 Messages : 21 Avatar & crédits : Ilona Arsentieva Date de naissance : 22/02/1994 Age : 30
| Sujet: Re: Wedding Day (Teagion) Mar 19 Nov - 9:30 | |
| Parfois, tes démons te reviennent. Tu ne peux pas vraiment dire que tu es cette femme parfaite sous tout rapport, celle que tu tentes éperdument d’être à chaque instant, en permanence. Ce soir c’est avec Deion que tu pètes littéralement un plomb, faisant regretter amèrement à Josh son absence et son manque d’attention à ton égard. Mais il y a eu d’autres moments comme ça où les bonnes manières, le pardon et confesse, ont été bien loin de tes priorités. Ton impulsivité est un problème et tu le sais mais en règle générale tu es en capacité de le maîtriser… Enfin parfois. Comme quand tu as affronté l’ex d’Hermy par exemple. Cette raclure lui mettait sur la tronche et tu ne pouvais strictement rien faire parce que ton amie l’aimait. Quelle brillante idée de s’attacher à un blaireau qui a la main facile. Hermione, était sans doute également beaucoup trop culpabilisée par ces filles, qu’elle appelle ses amies et qui cautionnent les déviances et brutalités conjugales comme des épreuves de dieu. Epreuves de dieu… Tu lui collerais bien ses épreuves où tu penses… Tu as fait preuve d’une patience inconsidérée pour ne pas donner à ce connard la fessée qu’il méritait avant qu’Hermy ne prenne la décision de le quitter. Tu sais que Deion s’en était mêlé, elle te l’avait confiée. Seulement à l’instant où elle t’a dit qu’elle le quitté mais qu’elle n’osait pas retourner prendre ses affaires, plus aucun de tes démons n’étaient en mesure de rester sagement assis. Non… Tu y es allée chez cette merde, avec des talons de 15, seule, au risque qu’il te brutalise toi aussi. Cependant tu étais tellement en colère que tu penses bien que sa moindre tentative t’aurait fait lui arracher un membre. Tu as dit à ce sac à merde ses quatre vérités, qu’il n’était qu’une pauvre merde qu’on se lamente d’avoir un jour touché, que sa place était et resterait sur un trottoir là où le monde entier pouvait le piétiner et à l’instant où il est devenu trop proche de toi, ton talon à jouer de l’orgue dans ses burnes, avant que ton talon ne s’exclame sur son pied. Tu as aimé l’entendre agoniser alors que sa seule réplique à été de te traiter de « salope ». Comme quoi les femmes peuvent aussi être sensible aux insultes…
Tu viens de jouir dans ses bras. Ça n’aurait pas dû arriver. Et pourtant c’est la deuxième fois que tu cèdes aux charmes agaçants du frère de ta meilleure amie. Contrairement à la première fois, vous vous êtes regardés droit dans les yeux, tu as savouré chaque putain d’instant où son regard te prouvait le pied qu’il prenait. Tout comme tu as adoré contempler dans son regard la folie et la dévotion. Tu t’es laissée envelopper par la solidité de son corps, par cette ferveur et cette manière d’assumer qu’il te veuille au risque de vous faire choper. Tu as aimé cette façon de conspirer, et de te protéger alors que la prise de risque était bien trop élevée. Tu as continué de le regarder longtemps alors que vos corps étaient exténués de l’instant, rassasié d’un orgasme parfait, essoufflé d’une baise qui vous n’auriez jamais dû goûter. Tu crois bien que tu pourrais plonger dans l’intensité de son regard pendant des heures durant, alors tu crées une diversion en lui demandant s’il compte te rendre ta culotte. Quelques mots afin de reprendre de ton contrôle, et commencer à effacer les marques de sa peau sur la tienne. Il dit ne pas être désolée pour le discours et ça lui vaut un regard noir de ta part. Tu l’écoutes dire que toi tu n’as pas à repousser les avances de Marie Camille et tu abandonnes un sourire malgré toi.
- Tu devrais tenter l’aventure… Je suis sure qu’elle te ferait atteindre les sphères de son dieu…
Tu te moques gentiment de lui avant de finalement l’abandonner dès que ton allure est revenue ce qu’elle était. Tu lui spécifie que tu ne veux plus qu’il s’approche de toi, mais tu doutes d’avoir été convaincante. Soyons honnête, tu as envie qu’il te défie encore. Tu rejoins la table de mix de ce foutu DJ, sachant à peut près ce que tu souhaites dire à ton amie. De toute façon tu es assez douée pour improviser, faut au moins ça pour réussir à tout faire gober aux clients. Tu prends le micro, patiente le temps que le volume sonore baisse, et scrute la salle avec un air des plus assuré, confiant.
- Bonsoir, loin de moi l’idée de monopoliser cette soirée mais si vous le voulez bien, je souhaiterais dire quelques mots aux mariés. Hermy… Waouh, ce que tu es belle. Je crois que c’est la première fois que je te voie aussi rayonnante, heureuse, comblée. Et cette robe on en parles de cette robe ? Tu voulais vraiment faire en sorte de mettre mal à l’aise l’ensemble de l’assemblée ? Regardez-moi ça…
Quelques éclats de rire plutôt masculin raisonnent. Ouais, les culs bénis acceptent moyen qu’on leur rappelle que c’est la mariée qui est la plus canon et non leur égo à la con. Ta touche d’humour s’arrête pourtant, et tu redeviens plus sérieuse.
- Toi et moi on a traversée des galères et j’avais besoin de te dire que tu es femme extraordinaire, pleine de courage et de gentillesse. Que j’ai énormément de chance de t’avoir dans ma vie, et que j’espère pouvoir siéger auprès de toi encore très longtemps. Quant à ton mari, je tiens à le remercier de faire de toi une femme aussi épanouie, et j’ose espérer qu’il soit en mesure de te faire briller durant le reste de votre vie.
Tu mimes de ton index et ton majeur un geste qui fait rire l’assemblée, alors que tu lui spécifie que tu l’as à l’œil.
- Hermy, je n’étais cependant pas la seule à vouloir t’adresser quelques mots alors je laisse la parole à ton frère…
Ton regard prend une teinte de malice, mais aussi d’arrogance alors que tu tournes ton regard sur lui. Tu l’as senti te regarder durant tout le discours et si tu as soigneusement évité de croiser ses yeux, à présent ils sont braqués sur lui. Tu élargis un sourire parfaitement satisfait de ta connerie, et à l’instant où tu le croises et lui offre le micro, tu viens susurrer à sa seule intention, contre son oreille.
- Hum… Je crois bien que tu bandes encore non ?
Tu regagnes ta place à table, en affichant ouvertement ton air satisfait.
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| Sujet: Re: Wedding Day (Teagion) | |
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| | Wedding Day (Teagion) | |
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