Orage et terreurs nocturnes (Masheo)

Je suis un être immonde et infâme. Je réalise que ça ne tourne pas du tout rond dans mon cerveau et que c’est la merde. Je roule des pelles à Masha, sous la douche, elle a caressé mon corps jusqu’à me donner une jouissance intense. Et ensuite j’ai… Embrassé et j’ai caressé et j’ai même jouit sur le corps de Gemma. Je ne comprends pas ce que je fais. Je vais tout faire foirer alors que je suis clairement tombé dans la meilleure colocation de l’univers et moi pauvre con aux hormones en feu je me comporte comme le dernier des trous du cul. Non c’est décidé je dois me calmer. Alors en ce moment je fais des heures supp à l’entrainement. Mais ce soir alors que je suis à la bibliothèque je vois le temps de merde et le coach annule l’entrainement. Je vais à la salle de sport de l’université pour m’entrainer histoire de ne pas avoir tout perdu. Je m’efforce de me mettre dans le rouge, de pousser la machine et de renforcer mon corps au mieux, les chocs et les coups c’est plus facile à supporter quand les muscles sont bien travaillés. Je croise des gars et on rigole un peu. Puis arrive l’heure de la douche et du retour à la maison. Je ne me presse pas essayant de ne pas débarquer trop tôt et croiser les filles. C’est délirant de me dire que je comporte comme un connard avec deux filles géniales et que je vais leur faire de la peine et qu’elles vont me détester. Le pire c’est que je sais que je vais dans le mur et le pire du pire c’est que je ne fais rien pour résister ou éviter le crash. Non non je continue comme un vrai gros con de merde.

Quand j’arrive, Masha est déjà couchée je pense et Gemma m’a laissé un petit mot en me disant que j’ai un plat à me réchauffer dans le frigo. J’écris merci dessus pour qu’elle le voie demain matin. Je crois qu’elle se lève tôt. Je n’ai pas faim et je file me coucher. Il fait un temps de merde. La pluie intense fait un brouhaha qui n’est brisé que par un flash intense suivi d’un grondement terrible. L’orage à beau être loin, il est très impressionnant. Je me mets en caleçon et me glisse sous les draps pour me pelotonner doucement. J’aime beaucoup dormir avec l’orage et j’écoute tomber la pluie avant de m’endormir sans demander mon reste au bout d’un moment bercé par cette atmosphère ambiante qui me détend et me donne l’impression d’être dans un délicieux cocon. Oui, j’aime les nuits d’orage et encore plus quand je suis à moitié nu enroulé dans ma couette.

Tu dois te résoudre à arrêter ça. Tu as fauté avec Gemma, incapable de résister à l’attraction qu’elle a fait naître en toi et qui a présent te rend d’une fièvre sans nom dès que tu y songes. Cette fille est parfaite, d’une douceur sans nom, d’une beauté indescriptible, et elle est trop bien pour la fille volage que tu es. Le pire dans tout ça c’est que tu le sais pertinemment, tu n’es pas assez bien pour elle, tu lui feras sans doute du mal et tu détruiras ce qui semble être la colocation la plus magnifique qui soit. Et dans tout ce merdier, tu n’as pas que fragiliser la colocation que part elle. Tu l’as aussi fragilisée en succombant à Théo. Ok, tu n’as pas couché avec lui, mais tu connais à présent le goût de sa bouche, cette manière bien à lui d’embrasser qui t’a purement et simple fait disjoncter. Tu sais à quel point il est sexy lorsqu’il désire, et tu sais comment il jouit lorsque tu la fais jouir de ta main. Tu as sans doute gagné un aller sans retour aux enfers. Et ce qui est encore plus dingue, c’est que tu es presque certaine que malgré ta bonne volonté, tu vas recommencer.

Tu as excessivement abusé de tes performances physiques aujourd’hui. Tu as bossé pendant plus de 4h des enchainements qui nécessite normalement bien plus de temps d’apprentissage. Tu avais besoin de dépenser cette énergie, cette torture que ta morale ne fait que te dicter depuis quelques jours. Bordel, tu vas dérailler et cette fois tu mériteras le fait d’être seule. C’est à deux doigts de la blessure que tu te décides d’arrêter. Il est tard, il y a déjà longtemps que tu aurais dû rendre les clefs du studio de répète au concierge. Tu soupires, et te décide à rentrer espérant secrètement que tu n’auras pas à croiser le regard de braise de l’un de tes deux colocataires. Tu ne croiseras personne, tu te contenteras de prendre ta douche et enfiler un long tee shirt en appréhendant ce que présage le temps à l’extérieur pour les heures à venir. Merde… Des nuages sombres semblent commencer à manger la ville… L’orage semble inévitable. Et brusquement tu sais que te reposer ne sera sans doute pas une option envisageable. Tu files au lit, te couvrant le corps et la tête sous la couette en essayant de renoncer au conscient. Et tu crois y parvenir, jusqu’à ce qu’un très gros grondement vient t’arracher au monde de Morphée. Instantanément tu te recroquevilles, les genoux contre la poitrine en respirant fort. Ta peur de l’orage remonte à l’enfance. Lorsque dans cette grande maison vide, où aucune âme à part celle de ta gouvernante était éveillée, tu te retrouvée seule sans personne pour affronter cette peur panique que représente l’orage. Tout t’effraie dans ce phénomène, le grondement inquiétant, l’éclair vif et surprenant, tout comme la dangerosité qu’il représente de part son imprévisibilité. Un nouveau grondement puissant raisonne et tu couines en boule dans ta chambre. Tu ne peux pas continuer à rester là. Tu vas faire une crise, pleurer et crier de panique. Il faut que tu trouves quelque chose… n’importe quoi. Et brusquement tu te rappelles que tu ne vis pas seule. Un éclair et cette fois le grondement fait vibrer les murs, tu te lèves presque en courant et rejoint la première chambre sur ton passage, celle de Théo. Tu y pénètres et referme derrière toi en hyperventilant. Ton cœur bat vite et dans la pénombre tu remarque sa silhouette étendue dans son lit, paisiblement endormi. Tu ne devrais pas faire ça, mais pourtant l’orage t’y encourage de nouveau en raisonnant et c’est d’un pas rapide que tu glisses dans le lit de Théo en frissonnant de peur, et en te collant à lui. Son odeur virile et addictive te parvient, la chaleur et la douceur de son grain de peau te parvient sous tes doigts glacés de terreur. Tel un chaton tu te loves contre lui, quitte à le voir s’éveiller. Son visage est tranquille, ses paupières closent lui donne un air terriblement craquant. Tu soupires le regardant avec fascination durant un instant. Soudainement tu as du mal à te détacher de son visage. Tu le détailles, et à croire qu’il finit par se rendre compte du fait qu’il ne soit plus seul, ses traits se froncent et il finit par entrouvrir les yeux. Tu le regardes hébétée devant tant de charme.

- Je…

Tu dois lui expliquer ce que tu fous là. Tu n’as pas le choix que de dire quelque chose. Pourtant, rien ne te vient. Tu gardes les yeux rivés sur lui te colle plus fort contre son corps alors que l’éclair vient illuminer la chambre et te fait trembler. Tu ne masques aucunement la détresse dans tes yeux et susurre.

- Laisse-moi rester, tu veux bien ?

Je viens de m’endormir entre deux grondements de tonnerre. Moi perso la fureur des cieux j’adore ça. Mon père avait installé à la ferme différents paratonnerres super efficaces qui protégeaient la ferme, mais on se tapait la foudre à quelques kilomètres de la maison c’était extraordinaire. On avait même des mecs qui venaient prendre des photos. Donc dormir dans ces conditions pour moi ce n’est pas un souci, mais soudain je sens un truc contre moi. Je sens qu’on se serre contre moi et instinctivement je me réveille et m’apprête à grogner le prénom de ma petite sœur qui adore venir dormir avec moi avant de réaliser que je suis à San Diego. Oh merde non pas encore Calista bourrée qui… J’ouvre les yeux et je vois que Masha est là. Je le regarde incrédule me demandant si je rêve ou si c’est bien réel ? Elle ne serait pas venue comme ça hein ? Je dois rêver… En fait non. Un éclair illumine la chambre et je la vois en pyjama et elle se colle à moi en tremblant avant de me dire de la laisser rester. Mes bras se ferment autour d’elle. Elle est terrifiée et me demande de rester. Je hoche la tête et lui embrasse le front.

« Je te protège tout va bien. »

Durant quelques minutes je la serre contre moi. Je suis torse nu contre elle et la chaleur et la douceur de sa peau c’est juste… Divin. Mais la sentir terrifiée et sursauter à chaque grondement de tonnerre c’est terrible. Je l’enveloppe dans ma couette avec moi et me tiens lové à elle pour qu’elle oublie la terreur. Mais l’orage continue de faire rage et nous sommes en plein dedans. En général en comptant on peut savoir a peu près ou il se trouve et là il est tout proche et il fait trembler les vitres. C’est intense. Je réalise que je n’ai pas trente-six mille solutions pour la détendre et en plus, j’ai son parfum qui m’enivre. Je viens chercher sa bouche et délicatement j’applique mes lèvres sur les siennes. Elles s’entrouvrent et ma langue part à la recherche de la sienne et déjà pendant qu’elle me donne ce baiser elle semble moins ressentir les effets de l’orage. Je coupe le baiser maintenant que j’ai son attention et lui dit doucement.

« Il me semble que j’ai une dette envers toi depuis la douche… Retourne-toi, appuie-toi contre mon torse je vais… M’occuper de te faire oublier l’orage. »

Je replonge sur sa bouche comme pour lui interdire de refuser ma demande. Je l’embrasse aussi parce que lorsque je commence à embrasser cette femme je suis incapable de m’arrêter. Je fourre doucement ma langue dans sa bouche et guidant ses hanches je lui fais tourner le bassin puis je coupe le baiser pour qu’elle puisse se retourner et coller son dos à mon ventre et ses fesses à mon bassin. Je glisse ma main sur elle et caresse le bas de son ventre par-dessus le tissu de sa culotte annonçant clairement dans ce geste ce que je compte faire. Je mordille son oreille et lui murmure.

« Laisse-toi porter l’orage va couvrir le bruit que tu feras… »

L’angoisse qui s’empare de toi lorsque le tonnerre déchaine sa colère, est pour toi extrêmement difficile à canaliser. Tu es une femme joviale, dynamique, fêtarde qui semble de prime abord bien dans son corps, bien dans sa tête. Tu possèdes un caractère bien à toi, un tempérament sanguin, une punch line acérée, et pourtant… La réalité est légèrement différente, le fait d’avoir été élevée dans une famille soudée et aimante, ultra présente a pour conséquence que le jour où tu te retrouves seule, ou découvre la solitude c’est un monde plein de terreurs qui s’ouvre. C’est ce qui t’est arrivé. Tu as grandis, tes frères sont partis, tes parents se sont ouverts à des carrières de plus en plus prenantes et toi… Eh bien tu as du apprendre que tu étais assez grande pour te gérer. Les cauchemars ont commencé à cette période, tout comme ta peur panique de l’orage dans une grande résidence vide.

Tu ne sais pas trop comment tu te retrouves dans le lit de Théo mais tout ce que tu sais c’est que le grondement de l’orage te paralyse, tu as froid, tu trembles et en glissant dans son lit, en trouvant la chaleur de sa peau, tu tentes de garder un pied dans la réalité. Cette réalité où les autres réside et qui consiste à simplement accepter qu’un orage fait de la lumière et du bruit et que cela n’a pas plus d’incidence si on est à l’abri. Tu es morte de peur et Théo se réveille en constatant que tu es dans son lit. Tu le supplie de ne pas te faire sortir, et ses bras viennent t’entourer, tu te serres plus fort contre lui, ton bras venant s’agripper à ses abdominaux parfaitement dessinés. Il te dit qu’il te protège et tu approuves en gémissant alors qu’un éclair apparait brusquement. Théo semble d’une patience sans égale, enveloppant ton corps et le sien plus fort dans la couette, tu t’agrippes à lui comme si ta vie en dépendait. Nul doute que tu seras d’une extrême honte après tout ça. Mais en attendant, il est la bouée de sauvetage que tu as trouvée. Le souffle de Théo contre ton front, tu soulèves doucement ton visage et lorsque tes yeux font face aux siens, tu sens soudainement comme tes émotions changent. Son visage te captive, et lentement il vient prendre ta bouche. Tu trembles énormément mais te raccroche à lui, ou en tout cas tu essayes. La langue de Théo se glisse contre la tienne, et soudainement tu sens l’alchimie se diffuser, la chaleur se répandre et ton attention se portait au bien qu’il te fait ressentir. Ta main rejoint sa joue et que tu caresses du bout des doigts. Il dit avoir une dette et tu fronces les sourcils avant qu’il n’évoque la douche. Il t’indique de te tourner et tu désapprouves, non il ne te doit rien du tout.

- Non, j’ai pas fait ça pour…

Mais sa bouche revient se saisir de la tienne et tu soupires délicatement contre celle-ci. D’accord ok, tu es prête à lui donner tout ce qu’il désire à partir du principe qu’il n’arrête pas. Il guide tes mouvements et te fait tourner pour que tu sois dos à lui et à la fenêtre accessoirement. Son corps réchauffe le tien, et tu inspires alors que ses mains commencent à te toucher et que chaque caresse semble t’électriser sensuellement. Tu le laisses faire, tu as envie qu’il continue. Tu sens sa main descendre le bas de ton ventre, et tu sens ta respiration se modifier. Tu sens son souffle contre ton oreille et la morsure qu’il te donne alors que sa main se glisse délicatement sous le tissu de ta culotte de dentelle. Instinctivement tes jambes s’écartent pour lui donner un meilleur accès et ton fessier se presse plus fort contre son bassin. Son bassin qui semble commencer à se durcir. Le tonnerre raisonne de nouveau très fort, et tu couines en fermant les yeux. Ta main rejoint la sienne, et dans une caresse tu lui indiques de descendre. Tu veux qu’il te touche oui, tu veux abolir la peur par le plaisir. Pire, tu veux jouir à la place de frémir.

- Touche moi Théo…

Masha dans mon lit. J’ai les sens en feu et si elle n’était pas complètement terrifiée par cet orage, je crois que je serais déjà en train de me faufiler sur elle et… Non… Du calme Théo Barnett ! Masha t’as déjà fait jouir avec sa main sous la douche et tu as… Trop poussé les caresses avec Gemma. Tu vas foutre en l’air la meilleure chose qui te soit jamais arrivée dans la vie parce que tu es incapable de contrôler sa queue depuis que tu as découvert que deux femmes magnifiques et trop bien pour toi avaient tendance à te trouver un peu attirant ! Mais alors que ma bouche trouve la sienne et que nos langues se retrouvent, je vibre de délice alors que je la sens s’agripper à moi et je perds toute notion de volonté. Je tremble contre elle alors que ma langue danse contre la sienne et que la pluie tombe fort couvrant nos soupirs endiablés. Je la sens peu à peu se laisser emporter par l’instant et oublier toute notion de logique ou de retenue. Elle s’agrippe à moi. J’ai envie de lui faire du bien, d’absorber sa peur et on dirait que lui donner du plaisir, l’aide. Je lui annonce que j’ai une dette envers elle depuis la douche et je décide qu’il est temps de la payer. Masha tente de me retenir mais je la fais taire d’un baiser quand ma main se glisse sous son sous-vêtement qui lui sert de Pyjama. Je m’y glisse et de mes doigts trouve son sexe.

Je rougis dans le noir à l’idée de ce que je m’apprête à faire et à cet instant je repense aux conseils d’une ex de Caly qui voyant au matin après avoir couché avec elle que j’étais un peu dégouté qu’elle soit lesbienne et qu’elle ait choisi ma sœur m’a donné le secret pour être habile avec mes doigts et ma langue même si pour l’heure, ce sera surtout avec mes doigts. Je trouve son intimité et joue à délaisser volontairement son clitoris. Je l’esquive ou le touche à peine me contentant de jouer les novices en massant sa fente sans trop écarter ses lèvres intimes. Je joue un instant puis lorsque mon index trouve la délicate moiteur de son entrejambe, je pose un peu ma main contre le clitoris de Masha au moment ou je passe ses lèvres pour caresser la partie douce et trempée de son sexe. Je joue un instant et mes doigts lubrifiés de son désir viennent masser tendrement son clitoris pour l’enflammer légèrement. Elle ouvre ses jambes et me laisse l’accès en se tournant pour coller ses fesses contre mon bassin. Ma main du coté contre lequel je suis couché passe sous elle et l’enlace pour la tenir contre moi. Je suis raide et l’éclair frappe. Elle sursaute et me murmure après un petit cri de la toucher. J’embrasse son épaule doucement et lèche son cou venant mordiller son oreille.

« Reste concentrée sur moi… Oublie le reste… »

Je glisse alors deux doigts en elle et effectue de doux va et viens en elle que j’accompagne de mon bassin qui presse contre ses fesses accordant mes gestes de sorte que mon bassin pousse vers elle quand mes doigts s’y glissent et inversement. Je veux lui donner une illusion délicate alors que ma main autour de sa taille s’enroule de sorte que le bout de mes doigts viennent lui masser le clitoris. Je tremble contre elle soupirant à son oreille quand un 3eme doigt s’enfonce en elle et que je pince son clitoris de ma main libre serrant cette femme contre moi pendant que l’orage se déchaine et couvre nos soupirs. Je tremble de désir et de plaisir de la sentir frémir sous mes caresses passionnées qui ne cherchent rien d’autre qu’une jouissance aussi intense que celle qu’elle m’a donné sous la douche.

L’électricité c’est inquiétant. Cet afflux de lumière avant que finalement le tonnerre ne rend presque sourd, tu trouves cela terriblement terrifiant. Tu ne sais pas vraiment d’où cela te vient mais ça a toujours été, petite déjà tu recherchais la présence de quelqu’un pour te rassurer. Parfois c’était tes frères, la bonne à tout faire, rarement tes parents qui souvent été absents. Tes frères t’envoyaient souvent chier s’ils se rendaient compte de ta présence, la bonne elle ne te remarquait même pas. Aujourd’hui aucun d’eux n’était présent et à défaut, tu as accouru vers la première âme qui pouvait t’apporter de l’apaisement. Tu as cru l’espace d’un instant que Théo te chasserait lui aussi mais étonnement ce n’est pas le cas du tout. Il choisit de te distraire de ta peur, en appliquant ses délicieuses lèvres contre les tiennes. Sa bouche te fait vivre un ascenseur émotionnel dont il semble avoir le secret. T’empêchant de contester sa dette, il t’amène à lui tourner le dos, et rapidement la pulpe de ses doigts te parcourt pour faire pointer dans ta tête ce qu’il s’apprête à faire, en venant effleurer la lisière de ta dentelle. Tu inspires plus fort et délicatement sans opposition de ta part, il s’aventure contre ton intimité. La pulpe de ses doigts se baladant avec assurance contre la sensibilité accrue de ton entrejambe. Son bassin parfaitement emboité contre le tien, tu sens qu’il n’est pas indifférent à ce qu’il se passe. Tu le laisses te caresser, alors que son contact te fait rapidement oublier comme tu as peur de ce qui se passe à l’extérieur. Il te dit de restée concentrée et tu l’écoutes, lui obéit en ne pensant qu’à son toucher sur ta peau. Tu le sens caresser, les lèvres, la fente, mais jamais l’endroit le plus avide de lui. Ton fessier ondule contre lui et amène sa deuxième main sou ton tee shirt, en direction de ta poitrine. Le bout de ses doigts est en capacité de toucher la courbe ronde de ton sein et tu l’encourages à monter encore.

- Touche-moi…

Ce qu’il fait déjà, mais es-tu en mesure de te satisfaire de cela ? Putain tu dois garder à l’esprit qu’il est ton coloc’ et accessoirement un garçon qui te plait beaucoup et pas seulement physiquement. Il est doux, gentil, protecteur et adorable. Sans compter que tu joues déjà à un jeu dangereux avec Gemma. Et que tout ce merdier est susceptible de te faire perdre cette super coloc… Le tonnerre gronde de nouveau et tu ondules plus fort, Théo glissant deux doigts à l’entrée de ton antre. Tu gémis doucement mais clairement pas de peur cette fois. Tu l’aides à presser plus fort ta poitrine, ton autre main recouvrant celle qui te touche intimement. Sa manière de le faire te rend folle, te donne chaud, très chaud alors que tu susurres le souffle éraillé par le plaisir.

- Théo… Tu me donnes envie de te faire tellement de choses… Tellement de choses qui nous attirerait des problèmes à coup sûr…

Tu grognes, en tentant de faire attention de ne pas te faire remarquer. Tu remontes sa main, celle qui masser ta poitrine et la fait se poser contre ta bouche, le guettant du coin de l’œil tu laisses son index venir entre tes lèvres. Tu le lèche un instant avant de le sucer puis faire ressentir une petite pression de tes dents contre. Ses doigts te font frémir alors que tu gémis de nouveau à l’insertion d’un doigt de plus.

- Oh Théo…

Ton souffle porte son prénom alors que tu perds peu à peu de ta raison et de ta contenance, sous le plaisir qu’il te donne. Il pousse son bassin contre toi et l’illusion est assez bonne même si maintenant c’est cette bosse raide et appétissante qui obtient ton attention. La main qui recouvrait celle qui te masturber se glisse derrière toi, entre ton corps et le sien et vient doucement recouvrir sa délicieuse érection. Tu la masse comme tu le peux au-dessus du tissu qui la recouvre et susurre.

- Hum… Tu as besoin de ça toi aussi… Tu me donnes tellement envie de toi...

J’ai toujours aimé ça, la pluie violente, l’orage. J’ai grandi dans la nature et j’ai toujours aimé ses spectacles les plus époustouflants. Et puis vivre avec autant de sœurs, c'est assez bruyant et bordélique et j’aimais l’orage parce que ça couvrait aussi pas mal de bordel. Mais ce soir je ne m’attendais pas à la visite de Masha, sauf qu’il a suffi que je me rende compte qu’elle était là pour avoir terriblement envie de la toucher et de la caresser. Les flashs de cette douche en sa compagnie me reviennent encore en mémoire et enflamment mon imaginaire. Les doigts de Masha sous cette douche chaude qui glissent le long de mon pieu de chair qui fini par céder à ses caresses alors que son corps nu se presse contre le mien et que sa voix m’enivre… Je réalise que je n’ai aucun désir de rester sage en sa présence. Son dos collé à mon torse je l’enveloppe délicatement contre moi et ma main entre ses cuisses l’accable délicatement de caresses ardentes. Elle m’encourage à la toucher et j’embrasse et mords son cou. Je bande comme un taureau contre ses fesses et pourtant je ne veux que percer son intimité de mes doigts cherchant à me concentrer sur les réactions de son corps et ses soupirs pour venir chercher les caresses les plus ardentes et plaisantes qui soient pour elle.

Une main sur sa poitrine et l’autre entre ses cuisses je m’applique à la rendre folle de plaisir alors que mon désir grimpe en flèche. Je tremble contre elle et me frotte malgré moi. Mon sexe raide sous mon boxer est en train de le déformer ardemment… Je suis un gros débile putain. Je fais des choses inappropriées avec Gemma et Masha… Je suis un foutu connard qui abuse de la douceur et de la gentillesse de ces deux femmes qui vont me détester lorsqu’elles vont savoir. Je sais que je devrais choisir l’une et rejeter l’autre, mais choisir c’est renoncer et renoncer à l’une c’est juste terrible comme sensation. Je suis coincé alors que je repousse le moment où je sais parfaitement que tout va me péter à la gueule et que je perdrai tout… Je suis tiré de ma réflexion par Masha qui me murmure que je lui donne envie de faire tellement de choses. Des choses qui pourraient nous attirer des problèmes à coup sur… Elle a raison… Et pourtant je crois que je m’en tape totalement à cet instant… En fait je suis tellement excité que je pense que je ne réalise pas du tout. Masha prend alors ma main et la remonte sur sa bouche avant de venir sucer mon index pour finalement me mordiller pendant qu’elle gémit de plaisir sous l’insertion d’un doigt supplémentaire en elle.

C’est alors qu’elle quitte la main qui la caresse et vient derrière la placer entre nous agrippant par-dessus le tissu mon sexe raide pour le caresser. J’étouffe un gémissement de surprise et de plaisir en mordillant son épaule. Je tourne sa tête et l’embrasse avidement avant de murmurer contre sa bouche alors que mon front se pose contre le sien.

« On… Ne peut… Pas… Je… »

Pourtant, mon bassin ondule contre sa main. Je suis comme fou, comme possédé. Je tremble contre elle, j’ai tellement envie… Je dois lutter mais j’en suis incapable… Je libère son sexe de mes doigts et lui retire son bas de pyjama. Dans le même élan je baisse mon boxer et libère mon sexe raide de sa prison de tissus…

« Pas de… Pénétration… Juste… Laisse-moi faire… »

Je viens contre elle et glisse mon sexe contre le sien. La courbure épousant celle du renflement de son intimité et son clitoris. Je suis pris entre son sexe et ses cuisses serrés. Je bouge mon bassin alors que son sexe trempé lubrifie mes ondulations petit à petit. Ce fourreau serré et glissant m’accueille et me permet de nos masturber sans aucune pénétration.

« Enlève ton haut… Je veux masser tes seins… »

Tes tremblements de terreur prennent doucement une forme différente sous les émotions changeantes qui te submergent. Les éclairs vifs et imprévisibles qui te font si peur deviennent soudainement dérisoires, alors que la chaleur irradie dans ton corps. Tu as conscience d’être toujours dans une angoisse profonde, et pourtant… ton corps ne réagit plus de la même manière. La terreur qui torturait ton ventre, devient peu à peu une douce coulée de lave qui réchauffe ton corps. Ta respiration erratique change et se mute en une cadence plus essoufflée, plus échauffée. Et toute ses réactions sont le fruit d’une seule et unique personne, Théo. En arrivant dans sa chambre, tu ne recherchais rien d’autre qu’un refuge, un endroit où tu pourrais te cacher de la violence d’un ciel qui décide de se déchainer.

Son corps t’enveloppe, et tu sembles soudainement minuscule au creux de ses derniers. Ses mains sur ton corps te réchauffent entièrement et tu sens graduellement à chaque seconde passante tes envies pour lui prendre de l’intensité. Tu tentes de te rappeler à chaque seconde qu’il est ton coloc, qu’il est un garçon chouette, que tu as déjà abreuvé ton désir avec Gemma et, qu’en faisant ce que tu fais tu mets toute cette belle entende en péril. Seulement… Sa main rejoint tes cuisses, et l’adrénaline de la peur se mutant en désir semble être une essence puissante. Tu frisonnes à son contact, à la pulpe de ses doigts qui caresse ton sexe humide, à la pression de sa bouche contre ton cou, de ses dents sur ta chair. Merde… Tu aimes qu’il fasse cela. Vos corps s’échauffent l’un pour l’autre, et tu sens tes premiers soupires quitter ta bouche. Tu rouvres les yeux, inquiète qu’on puisse t’entendre mais l’orage tonne et tu couines doucement. Te poussant plus fort contre un Théo tremblant mais pas de peur. L’aura de son sexe tendu est perceptible contre ton fessier et tu n’y es pas insensible. Tu abandonnes d’autres gémissements alors que ton malgré l’interdit ton corps se mouve contre sa main, contre son érection et finalement contre lui. Tu aimes son toucher, tu aimes la manière qu’il a de vouloir te rassurer, parce qu’il y parvient avec brio. Tu sens ta peau devenir lave, ton corps s’incendie tu sais qu’il parvient à mettre chaque pulsion contenue en action et tu peines à te garder sous contrôle. Ta main suçote son index avant de le mordre et ta main rejoint son érection proéminente pour la caresser par-dessus le tissu. Il dit que vous ne pouvez pas et tu grognes douloureusement en répondant.

- Je sais…

Pourtant, votre retenue ne sera que de courte durée. Ta peau commence à devenir humide sous l’effort, tu te sens montée mais pas assez pour jouir, il t’en faut plus, il te faut plus de lui. Et visiblement c’est le cas de ton colocataire aussi. Il fait valser ton bas et le sien, son corps tremble en revenant avec plus de conviction contre le tien. Ton intimité est en feu, l’absence de ses doigts alors qu’il vous déshabille te brule tellement fort. Il annonce qu’il n’y aura pas de pénétration alors que tu étais à deux doigts de te tourner pour le chevaucher et l’amener à buter tout au fond de ton âme. Tes reins te consumme alors qu’il amène sa queue à se glisser entre tes cuisses.

- Je… Théo… Je ne suis pas… Putain je ne suis pas certaine d’être aussi sage que toi…

Il va et vient et ton intimité coulisse contre lui. Bordel, comment il fait pour te faire un effet pareil. Il te demande d’enlever ton haut, et tu lui obéis rapidement. Te soulevant sur un coude pour faire passer ton tissu alors que tu ondules plus fort pour donner un effet de rythme plus rapide. C’est bon, très bon… Mais tu n’es pas capable de te contenter de cela. Tu tournes ton visage, toujours en appui sur ton coude tu l’observes bougeant contre toi à la lueur du déchainement de l’orage. Ton souffle s’accélère sous la vision érotique de son corps, sous l’ouverture de sa bouche qui suffoque autant que toi, et brusquement ta maîtrise se fait la malle. Tu pivotes, ton corps venant s’allonger sur le sien, ta poitrine s’imprimant contre son torse, alors que ta bouche vient se jeter sur la sienne. Tu veux sentir sa cavité, faire danser ta langue contre la sienne, boire ses souffles et avaler ses manifestations. Ton bassin vient s’emboiter au sien et tu grognes en murmurant.

- Pas de pénétration, c’est bien ça ?

Tu recules doucement ton visage du sien histoire de lire son regard à la lueur des éclairs lorsque tes lèvres humides viennent s’imbriquer et coulisser le long de son membre. Tu observes son regard, ses réactions alors que ce simple contact sous une excitation aussi forte pourrait clairement te faire basculer. Tu avances, recules, faisant en sorte de vous masturber d’une manière plus appuyée. Tu attrapes sa main, l’amène à ta poitrine alors que ta bouche revient reprendre du souffle contre la sienne. Le tonnerre raisonne et tu frisonnes alors que tu murmures.

- Je devrais pas te vouloir… Mais je peux pas m’en empêcher.

Pourquoi je suis aussi… Irrécupérable. Aussi malfaisant ? Elles vont finir par griller que je fais des trucs avec l’une et l’autre et ça va me jouer des tours. Elles vont le découvrir et vont me griller et je vais perdre tout ce qui est merveilleux dans ma vie actuellement. Et pourtant que ce soit Masha ou Gemma quand l’une ou l’autre s’approche de moi, je déconnecte totalement et je deviens complètement dingue d’elles. Et là c’est Masha qui a toute mon attention. Je voulais la rassurer avec l’orage mais en quelques secondes et avec sa proximité j’ai complètement vrillé et je me suis jeté sur elle sans retenue. Je me mets à la caresser, l’embrasser, la toucher. Mes doigts trouvent son sexe et tentent de l’accabler comme elle a fait sous la douche. Mais le plaisir et le désir me dévorent et sont immenses. Masha à ce pouvoir sur moi qui est identique à celui de Gemma. Que ce soit l’une ou l’autre, je suis totalement incapable de résister à quoi que ce soit qui les concernent. Je suis ivre de désir en leur présence et Masha m’encourage. M’en demande plus. Nous avons envie de franchir la ligne rouge et pourtant nous savons que ça pourrait mettre fin à cette merveilleuse collocation et… Je crois que j’ai peur que les deux se rendent compte que je suis le connard qui abuse d’elles et qui va tout foutre en l’air.

Mais pris de désir je suis incapable de me contenir et je viens placer mon sexe raide entre ses cuisses de sorte que je puisse me faire un fourreau de plaisir avec ses cuisses et son intimité. Je glisse contre elle massant sa vulve et son clitoris à chaque va-et-vient de mon sexe qui enduit ma verge de sa mouille et frotte son corps. Je tremble de plaisir en soupirant alors que je lui demande de retirer son haut et qu’elle m’avoue qu’elle ne pas être certaine d’être aussi sage que moi. Elle retire son haut et je prends ses seins dans mes mains et les massent avec délice en mordillant son cou pendant que mon bassin cogne contre ses fesses et qu’elle me laisse glisser mon sexe contre son intimité. Je tremble alors qu’elle tourne la tête et vient chercher ma bouche pour finalement me demander si c’est bien sans pénétration ? Je hoche la tête et murmure un petit oui et déjà, elle s’écarte de moi et se retrouve à califourchon sur moi. Son sexe épouse le mien et je la sens onduler le long de mon sexe. À pénombre me laisse entrevoir son corps nu qui se tient au-dessus de moi. Je la dévore de mes yeux ardents alors que je voudrais oublier le reste et ne penser qu’à ce moment merveilleux. Puis ses ondulations savoureuses écrasent mon sexe qui épouse le sien sans le pénétrer. Je suffoque de plaisir en me cramponnant à ses hanches avec délice. Un éclair l’illumine soudain et je contemple sa nudité parfaite et soupire contre ses ondulations quand elle me demande de la laisser rester. Je me redresse et l’embrasse en me tenant sur mes bras tendus en arrière et la regarde dans les yeux.

« Oui… Reste… Ohhhhh c’est si bon Masha… »

Coincé sous elle je tremble en ondulant à sa rencontre alors que je me redresse et viens dévorer sa bouche ardemment. Je saisis ses fesses et ondule contre elle plus fort cherchant à intensifier la sensation de frottement et de va et viens que l’on s’inflige. Mais soudain alors qu’elle remonte contre moi, je sens mon sexe se placer et son retour manque de m’enfoncer en elle. Je la retiens et souris en la regardant avant de m’allonger en souriant plus fort.

« Je te laisse faire… Fais nous jouir Masha… »

Il ne devrait pas te faire cet effet-là. Il ne devrait pas, pour la simple et bonne raison que Gemma t’en fait tout autant, que tu as succombée à son charme et que tu l’as baisée. Te l’avouer de cette manière te dérange, non tu ne l’as pas juste baisé. Tu as voulu la charmer, la séduire, et lui offrir une marque sur la peau qu’elle n’oublierait pas le lendemain. A l’instant où tu l’as entendu murmurer ton prénom devant cette télé alors qu’elle se caressait, tu savais que tu la voudrais. Et finalement, c’est elle qui a finit par te vouloir, et tu crois qu’à présent tu serais totalement incapable de lui refuser quoi que ce soit. La fragilité que tu lis en elle, la chaleur que possède son corps, l’odeur de sa peau, tout chez elle est vouée à t’appeler à renouveler l’état de passion qu’elle a fait naître en toi. Et pourtant…

Et pourtant ton corps est incapable de s’arrêter maintenant que le corps fort et chaud de Théo est contre le tien. Il émane de lui une sécurité, une attirance et un charme qui te rend folle. Chaque parcelle de sa peau met en effervescence la tienne, son aura fait chanter ton âme. Tu es loin d’être une nana sentimentale, t’aime croquer la vie à pleine dent sans en avoir quelque chose à foutre des conséquences. Cependant à cet instant précis, tu sais également que tu serais bien incapable de refuser quoi que ce soit à l’homme que tu embrasses et effleure de tes doigts. Son regard t’appelle, son souffle réclamant le tien et tu te sais condamner. Les envies qu’il t’invoque seront la ruine de ce cocon si délicieux que tu as pu rejoindre. Tu t’en veux… Mais tes remords se noient dans l’excitation et la passion que tu lis dans son regard. Oui, tu veux qu’il regarde encore de cette manière. Tu veux continuer à lire cette manière sensuelle qu’il a de te vouloir. Tu lui demandes s’il accepte que tu restes et il accepte, ses mains venant s’agripper à toi alors qu’il se redresse et que votre corps à corps soit encore plus étroit. Tu ne t’ai jamais sentie autant en sécurité qu’à cet instant, entouré de ses bras, vos corps ondulant l’un contre l’autre. Tes mains se frayent un chemin dans ses cheveux, la pulpe de tes doigts le caressant alors que ta bouche se retrouve avide de la sienne. Ton avidité manque de vous faire commettre une connerie et alors que Théo te retient à la dernière seconde, avant qu’une pénétration se fasse, tu pouffes de rire. Tu crois bien que c’est la première fois de ta vie que tu ris lors d’un orage. Il se rallonge et tu te redresse sur son corps, alors qu’il te demande de vous faire jouir. Rapidement un éclat d’obscurité traverse ton regard et ton corps ondule plus fort. L’une de tes mains se posent sur son torse et tu presses ton bassin contre le sien, encore et encore tu prends du rythme, ne quittant pas ses yeux une seule seconde. Une part de toi ne peut s’empêcher de remarquer comme il est beau. Tu te sens monter, et tu réfutes le fait de t’arrêter, tu accélères encore et encore, alors que la chaleur dans ton bas ventre et dans tes reins s’accentue. Tu couines, sentant comme ton corps se fait plus tendu.

- Sais-tu à quel point, tu es magnifique ?

Tu serres la mâchoire, à la fois prête à exploser et frustrée de ne pas avoir plus. Pourtant, tu plonges dans son regard et alors tu te laisses aller à l’explosion. Ton corps se raidit, ton bas ventre se charge d’une électricité délicieuse qui brutalement se diffuse alors qu’un cri plus aigu t’échappe et que la jouissance vient prendre possession de chaque fibre de ton être.

- Montre moi, Théo. Je veux te voir jouir…

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