Caolan Kennedy ∞ “La violence a coutume d'engendrer la violence.”

► Mon père Irlandais d'origine se nomme Eamon Kennedy, ma mère Ekatarina Sokolova. Ils se sont rencontrés aux états unis. Lui est issu de Winter Hill Gang la mafia Irlandaise basée à Boston. Ma mère est une fille de la grande Bratva. Un mariage a été organisé, réunissant deux familles, offrant un soutient inconditionnel à la branche de la Bratva du Massachusetts. Un mariage qui est une vraie union d'amour.

► Ma vie a débuté dans les rues effervescentes de Boston, avant que mon père soit envoyé à San Diego pour renforcer l'équipe en place. Le coup d'état de Tchernikov avait laissé des traces, il fallait rétablir l'ordre et la rigidité paternelle était d'une efficacité capitale. Ma mère a rejoint la petite cour autour de son épouse, la légitime tout d'abord, l'illégitime quand elle a compris la place occupée par Svetlana dans sa vie.

► Mon existence était une toile complexe tissée entre deux mondes distincts. Les soirées familiales étaient une danse délicate entre les secrets du côté irlandais de mon père et les mystères du monde russe de ma mère. J'ai grandi en jonglant avec ces dualités, apprenant à naviguer dans les méandres des relations familiales compliquées.

► À l'adolescence, quand notre famille a pris un tournant radical en déménageant à San Diego. Les vagues apaisantes du Pacifique semblaient offrir une nouvelle perspective, une évasion bienvenue. C'est là que j'ai décidé de tracer ma propre voie, enfin pas tout à fait. Je ne sortirais jamais de l'ombre de la Bratva, je ne le désire d'ailleurs pas. Je suis fidèle et loyal à la cause. En revanche j'ai décidé d'apporter ma touche personnelle et de ne pas seulement être "ryzhaya" ce surnom que j'entends encore et encore. Le rouquin... c'est soit ça, soit "irlandskiy", L'irlandais. Je suis un étranger dans ma propre famille, même si je parle russe couramment. Ne parle t'on pas après tout de "langue maternelle".

► Alors, j'ai plongé dans mes études avec détermination. J'ai développé un amour pour l'écriture et l'investigation, et j'ai décidé de poursuivre une carrière de journaliste. Les mots sont devenus mes alliés, me permettant de dévoiler des vérités cachées ou de manipuler celles qui pouvaient ne pas nous arranger. Je me suis fait un nom, une notoriété indéniable en ville. Journaliste, belle gueule, fortuné, forcément ça a des avantages.

► Mon parcours m'a finalement conduit à devenir le présentateur vedette du journal télévisé de la chaîne locale. Derrière l'écran, je mène une double vie. D'un côté, je suis Caolan Kennedy, le journaliste respecté qui met en lumière les événements de San Diego, toujours souriant, doux et à l'écoute. De l'autre, je suis un membre de la Bratva, sa voix officieuse, naviguant habilement entre les deux mondes. Le visage privé est bien moins tendre que celui que j'offre au public. J'ai la violence disons... assez facile. Pas forcément avec mes poings, c'est d'un vulgaire assez inintéressant sauf extrêmes limites. Non, mon arme favorite c'est sans doute la violence acérée de ma langue.

► J'aime les femmes, quand elles savent où se trouve leur place. Mais ce que j'aime par dessus tout ? C'est leur apprendre à la trouver. C'est à cause de cette délicieuse manie que j'ai rencontré celle qui va devenir mon épouse. Mon père grince des dents, ma mère est carrément outrée... J'épouse un jouet. C'est de la folie à leurs yeux, mais l'intempérance de cette petite tornade blonde, alors que je faisais mumuse avec sa pute de soeur... ça m'a clairement électrisé. Je me suis découvert une toute nouvelle passion ce soir là. Quand mes yeux ont croisé les siens et que je me suis dis que ce dressage serait aussi complexe que savoureux.

► J'aime : L'investigation , j'apprécie le défi de déterrer la vérité et d'explorer les complexités des histoires locales ou nationales en tant que journaliste. Je prends aussi un pied d'enfer à orienter l'opinion bien loin de la sainte mère Russie. La Technologie : Passionné par l'informatique depuis mon adolescence, j'aime découvrir de nouvelles technologies et les utiliser pour rester en avance dans mon domaine. J'ai des tas de gadgets et je ne me prive de rien bien au contraire. L'océan : Les vagues apaisantes du Pacifique à San Diego sont mon refuge, offrant un échappatoire calme et méditatif. J'aime nager, surfer, j'adore le jet-ski et j'ai un bateau, petit, de pêche. La Culture Russe :au delà de mon implication dans la Bratva j'ai une profonde affection pour la culture russe héritée de ma mère. Peut être aussi pour prouver quelque chose à tout ceux qui m'appelle l'irlandais ? Je ne sais pas. En tout cas je connais l'histoire de la Russie sur le bout des doigts. Le Café Fort : Accro à la caféine. Le Bdsm: le sexe vanille est d'un ennui sidéral, sauf quand on l'utilise pour aller grignoter le coeur d'une dame, avant de lui apprendre ce qu'est vraiment l'union de deux corps. Capturer un coeur, torturer un corps, posséder une âme... voilà un vaste programme, non ?

►Je n'aime pas : Les Mensonges : J'ai une aversion profonde pour les mensonges, qui ne sont pas les miens. Faites ce que je dis, mais pas ce que je fais... ça ne me pose aucun problème. Les Matins Précipités : En dépit de mon amour pour le café, je déteste les matins où tout s'enchaine sans que je n'ai un temps tranquille. J'aime contempler l'océan avec ma première tasse d'or noir. Les Stéréotypes : Je préfère être jugé sur mes actions et mon utilité plutôt que sur mon nom de famille. Et j'adore casser les standards, ne pas être là où l'on m'attend.

► En raison de mes origines familiales complexes, ma maîtrise de plusieurs langues est devenue une compétence indispensable dans ma vie. L'héritage irlandais de mon père m'a enseigné l'art de manier l'anglais avec aisance, tandis que ma mère m'a immergé dans les subtilités de la langue russe. Le besoin constant de naviguer entre les deux mondes distincts de ma famille a aiguisé mes compétences linguistiques, me permettant de comprendre et de m'exprimer avec confiance dans l'argot irlandais de mon père tout en discutant stratégies avec les membres de la Bratva en russe. Cette polyvalence linguistique s'est avérée être un atout précieux dans ma carrière journalistique, me permettant d'interagir avec diverses communautés de San Diego et d'approfondir mes investigations avec une perspective unique. Ma maîtrise de plusieurs langues est devenue une clé qui ouvre des portes vers des vérités souvent dissimulées dans les replis de la diversité culturelle de cette ville. Je parle également espagnol couramment, j'ai des notions de français, quelques bases d'allemand. J'apprends vite, parce que quand je veux quelque chose, rien ne me détourne de mon but.