Vacances en amoureux (Zokas)

Retour de la plage et quelques jours pleins d’amour. Après son agression, Zoey redevient peu à peu elle-même. Rayonnante, souriante, merveilleuse et parfaite. Elle n’en porte aucune séquelle morale ou physique. Nous sommes allés en Playoffs cette année. Mais le résultat n’était pas bon. Personne n’y croyait. Commentateurs, supporters, coach, joueurs. Tout le monde était dans l’après. Cette sensation m’a fait mal. Je me revoyais sur mon lit d’hôpital à peiner à respirer. Je n’en voulais pas. Je suis rentré sur ce terrain j’ai joué comme si chaque action était la dernière de toute mon existence. Quand on est sportif, on sait que ces moments ne dureront pas. Et dans ce sport, on sait que chaque action peut déboucher sur une blessure qui sera la fin de carrière. Alors quand je rentre sur le terrain j’ai le feu au corps. Je charge et je me déchaine. Les minutes passent, je fais l’effort pour l’équipe. Je tente de les emporter avec moi. Je réalise coups d’éclats, coups de force et je marque deux fois. Mais je ne fais que sauver l’honneur. Au début du 4eme quart-temps, je sais que c’est fini. Notre défense est écroulée, je suis surveillé comme le lait sur le feu, c’est fini. Et pourtant un regard en tribune vers ma Zoey et je réalise que je n’ai pas prévu de baisser de régime. J’y retourne. J’enflamme le stade à ma manière, je ne lâche rien. Rien du tout ! Je passe malgré la défense et à la hargne de leur arrache un touchdown. C’est inutile et ça ne changera rien, mais quitte à tomber, je veux me battre, je veux continuer et ne rien céder. Dans un ultime coup d’éclat, je mets un 4eme touchdown qui n’est pas converti. Nous nous inclinons 45 à 27. Le coup est rude et Philip Rivers fait ses adieux. Je suis lessivé. Courbaturé et malgré ma performance de malade l’équipe a sombré. Je rentre tête basse quand soudain j’entends dans tout le stade hurler Zoey qui crie mon nom « Lukas » repris en cadence et ponctué de deux coups de main en rythme et de plus en plus fort. Tout le stade s’y met, les supporters adverses aussi. Je lève le bras en guise de remerciement et remarque que l’équipe adverse me fait une haie d’honneur. J’ai perdu, mais on dirait que je n’ai pas été lamentable.

Cette défaite a un gout moins amer après ma performance, mais je reste piqué au vif. Ce soir-là Zoey a gardé mon maillot pour faire l’amour avec moi. Elle a refusé qu’il quitte son corps et je l’ai aimé encore plus fort. La saison est finie et nous partons pour nos vacances. J’ai encore la tête dans les matchs et le corps un peu tendu encore mais ça va. Quand nous arrivons à cette petite cabane dans les bois je sens un poids s’enlever de mes épaules et je crois que je peux enfin profiter d’un moment de calme et de plaisir avec Zoey. Aller vacances. Je pose le sac et je retire mon t-shirt que je balance au pif en souriant.

« Aller vacances, je remets un t-shirt à la rentrée »

Bon c’est faux parce qu’il va y avoir un moment où je vais avoir froid, mais qu’importe, je suis bien comme ça et j’ai besoin de repos et de vacances.

Ce match... j'ai l'impression de le voir courir dans un décor qui s'effondre derrière lui, pourtant il ne lâche rien. Il donne tout, tout ce qu'il a et il se transcende littéralement. Alors on peut considérer que ça n'a pas de valeur, puisque son équipe perd ! Mais je ne pense pas pareil, loin de là. Il s'est démené et il a encore une fois prouvé qu'il mérite son surnom, vantant sa vitesse. Mon homme vient de faire un match d'anthologie et dans les tribunes, son maillot sur le dos, je crie. D'abord -"Campbell !" En claquant dans mes mains. Puis -"LU KAS !" et je tape encore plus fort. Autour de moi, les gens se retournent, un peu triste de la défaite je crois et puis deux jeunes reprennent avec moi, puis dix puis trente et ça se répand comme une trainée de poudre.

Bientôt c'est tout un stade qui crie avec moi, qui scande son prénom et qui l'applaudit. Même les supporters adverses reconnaissent le match qu'il vient de faire et ça crie tout aussi fort. Je hurle à m'en érailler la voix, mais je m'en fous. C'est beau, c'est grand et le voir lever la main pour remercier tout le monde me touche aux larmes. Quand l'équipe adverse se place en haie d'honneur je crois que le stade entier peut m'entendre crier de joie -"WOUHOUUUUUUU !" Il le mérite indéniablement et je suis heureuse de ne pas être la seule à le voir.

On rentre, tous les deux et je sais qu'il a mal, physiquement, moralement, c'est forcément difficile. Mais je suis là, avec lui, le bordant de douceur, de mots d'amour, de tendresse et quand on fait l'amour je garde son maillot, susurrant à son oreille que j'ai la chance d'être l'amoureuse d'un joueur vedette et que je ne vais pas me priver d'en profiter outrageusement. Je veux le faire sourire et quand j'y arrive je me sens bien. Son bonheur est le mien, c'est aussi simple que ça.

Quelques jours plus tard, les parents prévenus de notre départ on prend la route. Un voyage empli de rires et de mots d'amour, jusqu'à cette cabane au fond des bois. Sitôt la porte passée il retire son tee-shirt, le balance et me dit qu'il ne se rhabille qu'à la fin des vacances. Je contemple son torse, couine tout doucement en me mordillant la lèvre avant de faire passer mon haut par dessus ma tête à mon tour. -"Très bien, j'accepte cette règle." Pas de soutien gorge pendant le voyage et je révèle donc à mon tour mon buste nu. -"J'espère que tu n'as pas prévu de beaucoup sortir dans ce cas." Je pouffe et dégrafe aussi mon short en jean, pour le laisser tomber par terre. Un petit string noir pour seul vêtement je fais un tour sur moi même. Mes chaussures ont valsé à droite et à gauche, j'ai lâché mon sac à main qui a répandu une partie de son contenu sur le sol. Pas de doute moi et mon bordel sommes déjà bien installés. -"Viens on visiteeeee !" Ceci dit en étant presque sautillante, avant de partir devant à la découverte de notre bulle. Après tout on a une terrasse panoramique avec un jacuzzi non ?

La saison est derrière nous et je me sens un peu triste malgré tout, mais j’ai une petite amie fabuleuse qui rend tout magique. J’ai entendu qu’elle avait lancé la foule et le soir, j'ai pu avoir droit à une jeune femme pleine d’amour et de tendresse pour moi. Et j’avoue que j’ai glissé mon maillot en douce dans son sac. Parce que j’adore qu’elle porte mon nom sur elle. Je crois que j’adore la voir avec un maillot marqué « Campbell » sur elle. Zoey Campbell… Je dois me calmer… À peine arrivé, je décide que je laisse tout derrière moi et que c’est parti pour la détente et les vacances. Je marque le changement en virant mon t-shirt que je balance en prétextant que je ne vais en remettre un que lorsqu’on rentrera même si je sais que c’est faux, mais j’ai besoin d’un acte pour changer de mood et là… Mon cerveau bloque littéralement de délice. Zoey déclare accepter la règle et se met à commenter avant de faire tomber son short et son haut. Elle se retrouve en string noir et laissant chaussure et sac en bordel, elle déclare qu’on va visiter.

Elle détale et il me faut quelques instants pour réaliser ce qu’il vient de se passer. Je viens de voir la plus belle femme du monde se déshabiller devant moi et filer en string pour visiter la baraque… Des vacances parfaites… Oh mon Dieu non… J’ai déjà une érection solide et si ça part comme ça on ne va pas arrêter de s’envoyer en l’air encore et encore… Et d’un côté, j'aime beaucoup l’idée. Et l’avantage de ne pas être au chalet, c'est que nos parents ne vont pas débarquer par surprise en monde « surprise !!!! » Je pars dans sa direction et soudain, nous débouchons sur le salon et une terrasse panoramique avec un jacuzzi… Aucun vis-à-vis. Personne aux alentours… Et une jeune femme magnifique ne portant qu’un string se tient devant moi. Je fonds totalement et la regarde avant de venir me coller à elle, passant mes mains sur son corps pour la caresser et l’enlacer tendrement, embrassant son cou doucement.

« Merci pour ces belles vacances mademoiselle Edison… On va voir le reste ou on essaye directement les bulles du jacuzzi ? »

On ne mettra pas en chauffe, il fait assez chaud, je crois, mais les bulles ça peut être vraiment rigolo. Je souris en penchant ma tête sur le côté pour qu’elle puisse me regarder si elle tourne sa tête dans ma direction.

Je cavale dans cette cabane, heureuse comme une gamine. C'est magnifique ici et surtout c'est pour nous, juste nous... une bulle d'amour loin des gens, loin du monde et des obligations. Seulement lui et moi. Je souris à cette pensée, tandis que je débouche sur la terrasse qui me coupe le souffle. J'adore ce lieu c'est définitif. Lukas ne tarde pas à arriver à son tour.

Il me rejoint, je le regarde en souriant pendant qu'il s'avance et me laisse couler contre lui quand il m'enlace. Ses mains caressent ma peau, me tirent des frissons et un petit gémissement envieux que je ne cherche pas à retenir. -"Merci à toi mon amour." Je pose la tête en arrière sur son épaule et cherche ainsi ses yeux, alors que mon bassin ondule outrageusement. Je plaque clairement mes fesses contre lui, attisant un feu auquel j'aspire à me bruler encore et encore. -"Ce serait un sacrilège de ne pas essayer le jacuzzi." Phrase sur le ton du murmure, levant les bras pour les nouer un instant à sa nuque. Je me retrouve cambrée, offerte et surtout provocante.

Quand je relâche les mains c'est pour me décoller assez pour faire glisser ma lingerie le long de mes jambes. Il ne me restait qu'une petite pièce de tissu mais elle est désormais de trop. Je me retourne, le regarde de haut en bas et lui adresse un sourire amusé, l'air de dire "encore habillé?" Je me retourne pour faire les quelques pas me séparant du bassin et je l'enjambe. Je me place face à lui, les mains sur le rebord, me cambrant de manière suggestive avant d'entrer dans l'eau en un mouvement que je veux sensuel. Je me glisse vers l'avant, me plaquant contre le bord tout en le dévorant des yeux, poussant un gémissement ravi. -"Haaan mais c'est brulant... c'est le pied !" Mon amoureux frileux ne pourra qu'apprécier. Cette pensée me fait sourire et j'appuie sur tous les boutons à ma portée, sans me soucier le moins du monde du fonctionnement logique. Ça allume les jets d'eau, les bulles sur les banquettes et ça se met à clignoter comme un soir de fête des lanternes. -"Viens vite ! Je manque de toi !" Petite voix plaintive, exigeante ? Peut être... mais surtout emplie de tendresse.

Je crois que je suis bien ici avec ma Zoey juste coupés du monde. J’ai regretté que nous n’allions pas plus loin cette année mais c’est ainsi. Maintenant je peux profiter avec mon amoureuse de ce temps juste entre nous et ça va nous faire du bien. Je sais que c’est elle qui a lancé le mouvement pour m’acclamer et si au final j’ai été un des joueurs les plus prolifiques de la saison ça reste un sacré échec et c’est un peu dur mais je suis heureux ici avec elle. Je vais me gorger d’amour et d’énergie et quand viendra la reprise je serai plus fort que jamais. Alors que je l’enlace, elle pose la tête en arrière et la pose sur mon épaule avant de me murmurer que ce serait un sacrilège de ne pas essayer le jacuzzi et elle cambre et écrase ses fesses sur mon bassin. Elle lève les bras et les enroulent autour de ma nuque. Je souris et caresse son ventre et sa poitrine doucement en la regardant dans les yeux. Finalement alors que j’embrasse sa joue et continue de la caresser, elle se détache un peu de moi et retire son dernier morceau de tissus de son corps se mettant nue et me foutant alors des frissons dans tout le corps. Elle s’écarte presque trop vite et va vers le jacuzzi. Elle entre dans l’eau et déclare que c’est brulant et que c’est le pied. Je la regarde toute nue se pencher en avant et alors que je rougis de délice elle me dit qu’elle manque de moi et de venir vite. Je souris en rougissant et regardant par principe autour de moi, je baisse mon short et mon boxer pour finir nu et légèrement déjà bien excité.

Je m’avance nu vers elle et me penche sans attendre vers son visage et l’embrasse doucement enroulant ma langue à la sienne avant de rentrer dans le bain avec elle. C’est vraiment chaud et il fait chaud dehors mais j’avoue que c’est sympa même si on l’appréciera sans doute plus ce soir quand les températures vont tomber. Je glisse doucement mes mains sur elle et la caresse délicatement savourant la douceur de sa peau et passant dans son dos avec un sourire pour venir déposer des myriades de baisers sur sa peau que je parsème de baisers tendres tout en la serrant contre moi et la caressant délicatement de mes doigts en me collant délicatement à elle.

« Tu as la peau tellement douce… »

Je souris et remonte vers sa nuque l’embrassant et la mordillant alors que je colle doucement sans m’en rendre compte mon bassin excité contre ses fesses avant d’enrouler mes bras autour d’elle et de me glisser dans l’eau en m’asseyant au fond pour l’entrainer avec moi de sorte qu’il ne reste que nos têtes hors de l’eau.

Observer chaque contraction de ses muscles alors qu'il se déshabille, voilà un spectacle dont je suis sure de ne jamais me lasser. Je pointe doucement la langue entre mes lèvres et j'ai même un petit soupir quand il se redresse et que je le découvre déjà... presque en forme. Un soupir qui se termine en large sourire, parce qu'il approche déjà pour me rejoindre. Sa bouche sur la mienne et nos langues qui dansent, continuité délicieuse de l'amour qui vibre entre nous.

De l'amour, de la tendresse, une passion incommensurable... C'est fou mais cet homme m'inspire des émotions d'une variété et d'une complexité folle. Tout ça alors que je n'ai jamais rien vécu d'aussi simple et facile. Il est mon meilleur ami, le meilleur des amants, mon âme sœur. Il se glisse dans le jacuzzi et ses mains viennent rapidement couvrir mon corps de caresses délicates. Je me laisse complètement porter par ses attentions et il m'attire même dans ses bras pour nous installer au fond, de sorte que seuls nos têtes dépassent encore.

Le faisant, il écrase aussi sa virilité contre mon corps et je ne peux me retenir de gémir. Instantanément je le désire tellement fort... que ça en est presque douloureux. Une idée traverse mon esprit et je fronce le nez, en me mordant la lèvre inférieure. Affichant clairement ce que ma mère appelle ma tête à connerie. -"La brulure de l'eau n'est rien à côté de celle de ta peau." Simple constatation avant de me frotter délibérément contre lui. -"Il parait que... c'est moins douloureux en étant parfaitement détendue et... l'eau chaude ça détend mmm?" Va t'il seulement comprendre à quoi je suis en train de faire référence? Au pire, je n'ai rien contre l'idée de lui faire une démonstration...

Je suis totalement sous le charme de zoey et ce n’est pas nouveau, cette femme est un ange et elle rends chaque seconde de mon existence absolument divine et fabuleuse. Je l’aime comme un fou et quand enfin je la rejoins dans le bain et vient enrouler mes bras autour d’elle et l’enlacer tendrement. Mon corps serré contre le sien, je caresse sa peau et l’embrasse avec douceur me délectant du velouté intense du grain de sa peau. J’aime son parfum et ce rire que devine accroche à ses lèvres quand elle me parle de chaleur et d’eau et d’avoir moins mal. Surpris je ne réagis pas ne comprenant pas ce qu’elle est en train de me raconter mais avec zoey j’ai souvent l’habitude. Je continue de la caresser délicatement et mordille son cou tendrement en frottant mon sexe excité contre ses fesses de deesse. Je ne comprends pas vraiment de quoi elle parlait ça me va très bien.

« Jamais je ne voudrais te faire du mal ma zoey »

Un peu candide sans doute car je ne vois jamais les chemins détournés que ses phrases souvent alambiquées me font vivre par la suite. Je me met à intensifier mes baisers sur son cou pour essayer de lui donner envie de moi. Je viens délicatement masser ses seins et savoure doucement les premiers frissons de plaisir et la tension merveilleuse de ses tétons qui prennent leur forme dressé juste sous mes doigts délicats et agiles. Mon bassin se frotte contre ses fesses de manière de plus en plus lascive et je me redresse et tourne zoey pour qu’elle me fasse face et l’embrasse avidement en la serrant contre moi avec tendresse et une passion vive et ardente

Le contempler alors qu'il me rejoint, allume dans mon ventre un brasier digne de l'enfer. Le sentir se plaquer contre moi, l'intensité de son désir collée contre mes fesses, achève de me donner envie de lui. Que dis-je ? J'ai envie de lui en permanence. Ça me met dans tous mes états ça me transcende, ça me foudroie.

Mes fesses plaques contre lui, j'essaye de lui faire entendre cette idée qui surgit dans mon esprit, mais il me répond avec toute sa candeur. Il annonce ne pas vouloir me faire mal et j'ai un petit rire alors que je guide ses mains pour englober mes seins et me frotter plus fort à lui.

Il bouge se décale me tourne me prendre dans ses bras m'embrasse tendrement et je me recule pour mordiller sa lèvre inférieure le défiant d'un regard coquin, joueur. Je prends une toute petite voix pour lui murmurer -" Même si c'est moi qui réclame ? Même si j'ai envie d'une fessée ? Et même si j'ai envie que..."

Maman s'est glissé entre nous caresse son membre dresser et les yeux dans les siens le regard brillant d'envie je glisse la fin de cette phrase. "- que tu essayes de la glisser dans mes fesses ?" Je crois que je pressens le coup de panique, ce pourquoi je viens dévorer ses lèvres lançant ma langue à la rencontre de la sienne lui laissant par la même le temps de réfléchir autant que de brûler comme moi de désir. -"J'ai très envie d'essayer et... Et ensuite on pourrait mmm filmer ? " Dans quoi je l'embarque une fois de plus ? Je souris et parsème son visage de bisous, ma main faisant de tendres va et vient, mon pouce caressant la peau veloutée de son extrémité.

J’adore ressentir le doux plaisir du corps de zoey qui prends vie doucement, quand je la caresse son corps réagit au mien et elle se love et de tends contre moi. Elle semble raffoler de mes caresses qui l’accablent délicatement. Je l’aime du bout de ses cheveux à la pointe de ses orteils et sentir ses soupirs augmenter me rend complètement dingue. J’adore ça. Alors quand elle se tourne et m'embrasse je sens le feu prendre vie en moi. Je me serre contre elle alors que je me dis que le seul endroit au monde où je suis bien et où j’ai envie d’être ce sont ses bras. Cette femme est mon monde. Mon point d’appuie dans l’univers. A peine cette pensée formulée déjà zoey prends son petit sourire et son regard pétille délicatement ce qui signifie que je suis foutu. Elle va encore m’inventer un truc de fou et soudain elle me balance carrément qu’elle veut me sentir dans ses fesses.

Je bloque et fige un instant sans réaliser ce qu’elle est réellement en train de me dire. Ses fesses ? La sodomiser ? Quand ? quoi ? Comment ? Ici ? Je vais paniquer mais déjà elle me calme d’un baiser savoureux tendre et sulfureux. Je rougis de plaisir avant qu’elle le coupe pour rajouter qu’elle a très envie d’essayer et qu’une fois à l’aise on pourrait filmer ?

“Non mais il va aller jusqu’à ou ce pervers d’internet ?!”

Bah oui c’est forcément lui non ? Le mec qui paye des sommes folles pour la voir se faire sauter ou jouer avec mon sexe… c’est comme ça qu’on a débuté non ? Je rougis à l’idée de ce qu’elle veut me faire et pourtant l’idée m’excite terriblement… Mais non je ne vais pas rentrer mon sexe là dedans je vais la déchirer de douleur ! Mon petit doigt rentrerait à peine là dedans alors mon sexe tout excité c’est non c’est bien trop ! Rougissant comme un fou je bégaie avant de lui lancer en rougissant toujours plus

“Zoey je refuse de te faire mal !”

Je souris et me frotte contre lui lascivement, tout en continuant à agacer sa virilité de petites attentions. -"Je crois qu'il n'a pas la moindre limite." A moins que ce soit moi ? Oui ce serait sans doute plus réaliste, mais il se laisserait surement moins aller ? Je ne sais pas trop, mais je crois que c'est plus facile par ce biais. Je n'ai pas envie de renoncer à ces petites folies qui nous ont finalement rapprochées au démarrage... C'est ce qui m'a poussée à réaliser à quel point cet homme est mon essentiel et je n'ai vraiment pas envie d'y renoncer.

Il rougit et bégaye et rougit de plus belle, alors que j'embrasse son cou en ondulant contre lui. -"Tu ne me feras pas mal." Je l'embrasse et caresse son nez du mien. -"Pas en étant très doux." Ce qu'il est indubitablement. Je viens reprendre possession de ses lèvres et dans le même temps mon bassin vient se plaquer contre son ventre, pour que son sexe se retrouve à aller et venir entre mes fesses. Je frissonne quand il se retrouve à frôler l'orifice sensible et je viens guider ses doigts contre mon intimité. -"Tu sens comme j'ai envie?" Sans doute pas, avec le brulure du jacuzzi, mais mes frissons et mon regard dévorant me trahissent. -"Mon Lulu... s'il te plait?" Cette petite voix, ce regard, je sais pertinemment qu'il peine à y résister. -"Si j'ai mal... on arrête?" Je pars déjà du principe qu'on va s'y essayer et je viens clairement de bouger de façon à enfoncer ses doigts en moi. Je gémis, l'intimité palpitante, les yeux dans les siens. -"Ça ne te fait pas envie mon cœur? D'être tout serré en moi?" Vilaine petite tentatrice, gémissante et déjà terriblement excitée par l'idée de cette transgression, je suis bien décidée à le convaincre.

Zoey se frotte contre moi et pousse le jeu avec délice. Elle me chauffe sans aucune retenue et enflamme mon corps avec le sien tout en me glissant dans l’oreille des paroles suaves et sulfureuse qui enflamment mes désirs les plus ardents. Je frissonne de délice et d’extase puis elle colle son bassin à mon ventre et fais des ondulations qui caressent mon sexe avec ses fesses divines alors qu’elle tente de me rassurer augmentant la tentation chez moi. Évidement que j’ai envie de ça j’ai envie de plein de choses avec elle et des choses que je n’ose pas assumer car j’ai peur qu’elle me juge mal si elle découvre toute l’étendue des idées perverses que j’ai envers elle. Zoey je crois que je pourrais passer un an nu avec elle à faire l’amour chaque instant et trouver encore du désir et des choses à faire… c’est incompréhensible combien je peux l’aimer et la désirer. Je tente de résister mais elle me répète qu’elle a envie. Très envie et qu’elle sait que je ne lui ferais pas mal… oh mon dieu elle insiste et moi je vais me laisser tenter si ça continue…

Elle supplie et place les doigts pour s’enfoncer dessus et se met à onduler pendant que je suffoque de désir. Il fait chaud dans ce jacuzzi de merde et ça monte encore. J’embrasse zoey incapable de me contenir de désir et alors qu’elle me dit que si ça fait mal on arrête elle ajoute qu’elle a vraiment très envie et moi aussi. Mais je rougie en repoussent l’idée si je franchis le cas… après je vais vouloir faire tellement plus… puis l’idée de prendre ses fesses me séduit follement.

“Non Zoey je ne veux même pas que tu ressente la moindre douleur on peut faire autrement non ?”

Et voilà que malgré mes mots je me frotte contre elle augmentant la friction de nos corps et voici que ma main libre glisse sur ses fesses et vient trouver son anus me faisant rougir. Merde elle va prendre ça pour un appel

“Je te jure que ce n’est pas ce que tu crois”

Oui bien sûr je viens juste alors qu’on parle de sodomie de toucher son anus de mon doigt mais évidement elle ne va pas croire à un accident et déjà son sourire s’agrandit et moi je PAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAANIQUE!!

Cambrée, ses doigts en moi, la pointe de mes seins se frottant à son torse, je me tord de plaisir et d'une excitation que plus rien ne retient. Je vibre d'envie et rien ne peut la contenir, encore moins quand il frôle de ses doigts ce plissement sensible. -"Luuuu j'ai trop envie." Un autre baiser sulfureux et j'ondule plus fort sur ses doigts. Je me redresse pour le regarder dans les yeux et je frotte une nouvelle fois mon nez au sien . -"Tu... Ne me feras pas mal. Je te veux et.. j'ai besoin ?" Justification la plus what the Fuck de l'univers, mais ça, je m'en balance.

Je bouge contre lui et cherche ses doigts de nouveau, mais pas de mon intimité, non... De cet autre orifice. Encore vierge. Rampant contre son torse je viens glisser son sexe érigé au creux du mien, faisant ainsi monter son envie... En tout cas je l'espère. -"Ton doigt... S'il te plaît re.. refait le." je veux qu'il me caresse, qu'il s'instille en moi. Je veux que ses peurs fondent et s'envolent, qu'il ose me pénétrer ainsi. Je rêve qu'il voit mon plaisir à transgresser ce tabou et qu'il y plonge avec moi. Je veux le sentir au creux de mon corps, me sentir assujettie à toute la puissance du sien. Je ne cherche pas à le brusquer, simplement à l'entraîner avec moi dans l'envie et le plaisir. Ma bouche couvre la sienne de délicates attentions, de mordillements comme de petits suçotements. -"Mon amour... Prend moi." Un murmure contre sa bouche alors que je laisse pourtant échapper son sexe du mien. Mon envie est claire et assumée. Assez pour le contaminer ? Je l'espère... Le souffle court, serrée contre lui.

Non mais non je ne peux pas faire ça je ne peux pas entrer mon sexe dans ses fesses alors que même mon index est déjà largement trop gros non je refuse je vais lui faire mal. Pris dans le plaisir je vais sans douter oublier de la prendre en compte et elle va avoir mal, me haïr, me détester, ne plus vouloir que je la touche et je vais être malheureux !!! PAAAAAAAAAAAAANIQUE!!!!!! J’aimerais respirer mais je suffoque et malgré tout sa douceur et ses baisers m’enflamment. Et malgré ses suppliques enflammées je garde le peu de contrôle que j’ai même si je n’arrive pas à parler pour le moment. Elle se frotte contre mon index sur son anus et elle retient doucement ma main dessus. Je tremble quand lentement elle m’enfonce en elle délicatement. La chaleur de son intimité alors qu’elle ondule et m’excite. Je la fais danser sur moi et savoure alors que mon index la caresse et que soudain je sens mon index plonger dans ses fesses me faisant rougir alors que mon sexe palpite dans le sien. Elle se crispe sur moi. Elle a mal ? Non elle aime ça. Bordel pourquoi ça m’excite ? Pourquoi alors que je sais qu’elle va avoir mal et détester ça me tente et m’excite de me dire que mon sexe va devoir forcer pour entrer dans cet orifice bien trop étroit pour mon sexe ? Elle me serre et me demande de la prendre tout en se retirant de moi. Ivre de désir je l’embrasse et la relève. Je la tourne et la place les mains contre le bord. Je contemple du regard son corps de déesse et cet orifice que je crève d’envie de forcer… j’ai chaud je suffoque et je deviens fou. J’approche mon sexe et touche son anus de mon gland avant de me raviser et de plonger dans son intimité la prenant doucement et vivement en jouant sur son anus de mon doigt encore.

« Pardon zoey… je… je ne peux pas !!! »

L’idée de lui faire ça est soudain trop intense et dévorante que je suffoque de plaisir et tremble à la seule idée d’y fourrer mon sexe… alors pour faire taire son envie de sex anal je me met à la marteler sèchement en massant son anus de mon doigt sans même le rentrer.

« Pardon je… je ne peux pas… te faire ça… pardon… »

Ainsi planté en moi, son doigt qui me pénètre me fait pousser un ronronnement de plaisir. Je peux presque sentir tous les questionnements qui se bousculent en lui et je tente de le rassurer en ondulant plus fort, plus langoureusement sur lui. Je ne sais pas d'où part cette lubie et je crois qu'on s'en moque. Je le veux ! De toutes les façons possibles, dans toutes les positions, à chaque instant ! Le simple fait de le voir me met en ébullition, quand il tombe le haut ça m'assèche instantanément la bouche... et l'idée qu'on soit ici tous les deux pour des jours de plaisir et de découverte achève de me rendre totalement ivre d'envie.

Je le supplie et je crois avoir vaincu ses inhibitions quand après m'avoir embrassé il me tourne face à la paroi. J'y appuies les mains et me cambre pour mieux lui offrir l'accès à cet orifice dévoré d'envie de lui. Je n'ai jamais sauté ce cap et voilà que c'est une forme d'obsession ? J'aime l'idée de cette virginité qui serait à lui, comme j'aime celle de lui appartenir pleinement. Il se présente, se guidant de sa main et je couine d'envie quand je le sens y apposer son gland. Mais il change d'idée et se plante en moi, me faisant pousser un gémissement de plaisir. -"Oh si mon amour... tu peux... tu ... tu dois." Les mots se bousculent, sous le feu du désir et sentir son doigt, qui m'effleure ainsi, est presque une torture tant j'ai envie de l'éprouver au creux de moi ! -"Lukas. Haan ce que... ce que j'ai envie... tu.. tu... je te veux Lu !" Je me tords pour le contempler au dessus de mon épaule, sourire mutin aux lèvres, mes yeux brillants de mille feux, exactement le petit minois auquel il a toujours peiné à résister ! En même temps, je n'ai pas envie que sa peur de me faire mal le retienne. J'ai envie qu'il se laisse aller et qu'on goute ensemble à ce plaisir indécent !

Oh mon dieu la simple idée de la prendre par derrière ici dans ce jacuzzi et de lui glisser mon doigt dans les fesses est juste en train de me retourner le bide de plaisir et de me rendre fou. Zoey est parfaite et j'adore quand je peux voir mon sexe aller et venir dans le sien mais contempler ses fesses divines qui se font doucement perforer par mon index c’est dément et cette sensation étroite et ardente autour de mon doigt est juste intenable de délice. Sous ses soupirs et ses encouragements fiévreux et passer le cap de mes craintes je réalises que glisser mon sexe ici sera délicat mais probablement savoureux à ressentir et puis le côté un peu fou de sa demande me fait suffoquer de Délice. J’ai tellement envie que ma gorge se serre, que je peine à respirer et que je gemis lourdement à désirer ça si fort que mon coeur tambourine en moi et me donne la sensation qu’il résonne dans tout mon être et qu’il va s’arracher de ma poitrine. Je tremble et c’est décidé.

« entendu je vais … »

Je retire mon doigt de ses fesses et alors que je me retire d’elle pour aller essayer cette nouvelle pratique je replonge en elle parce que le simple de fait de me retirer pour faire autre chose me donne tellement d’excitation que je sens venir ma jouissance.

« Merde pardon mon amour je… haaaaaaaan je… je t’aime !!!! »

La seconde suivant j’ai agrippé ses hanches et sous mon incapacité à venir essayer autre chose je me met à la pilonner et explose en elle en suffoquant de plaisir remplissant son sexe de mon sperme en magrippant a elle comme le fou succombant que je suis et qui ne peux aller au bout de son envie bien trop excité par la perspective pour seulement la mettre en œuvre…

L'entendre me dire... qu'il va... me prendre comme ça? L'effet que ça me fait ? C'est juste complètement fou, presque inimaginable, tant je vibre en réponse, me tendant vers lui, le souffle suspendu. Il retire son doigt, puis quitte mon antre et je me mords la lèvre, attendant de le sentir venir apposer son extrémité sur ce petit trou qui n'attend que ça. Sauf que... rien ne se passe tout à fait comme prévu.

Il se plante en moi, oui, mais en suffoquant presque et en me faisant des excuses sous forme de déclaration d'amour, de la façon la plus adorable et mignonne qui soit. Il se met à me pilonner comme un fou, arrimé à mes hanches et je gémis de plaisir, le buste agité par la fièvre avec laquelle il se déchaine. -"Je... t'aime." Des mots arrachés à mon corps et à l'intensité de sa prise. Je gémis de délice en le sentant se répandre en moi, avant de me cambrer plus encore, pour lui tendre mes lèvres. -"Mais de quoi tu t'excuses mon amour?" Je l'embrasse avec une tendresse infinie, avant de laisser échapper son sexe, pour me retourner et me blottir contre lui. Mes doigts flattent son sexe, ma bouche dans son cou. -"Ne t'excuse jamais... de me désirer." C'est ainsi que je vois cette explosion de son plaisir, une simple expression d'un désir si intense qu'il en a débordé. Alors comment pourrais je mal le prendre? Au contraire, je me sens désirable, désirée, tout comme je me sens délicieusement aimée, dans le creux de ses bras. -"C'est... c'est l'idée de me... enfin... de me prendre comme ça?" Parce que clairement si c'est ce qui l'excite à ce point ! Je ne vais pas me priver de le réclamer encore !

Je n’ai rien pu contrôler. La vague de plaisir a été si forte qu’elle m’a emporté sans aucune pitié. J’ai suffoqué de délice à l’idée de faire subir à mon sexe ce que mon doigt savourait et quand j’ai cédé à mon désir de le faire enfin j’ai tout simplement et lamentablement craqué. Je crois que c’était pour moi bien trop excitant et puissant que je n’ai pas pu me contenir plus longtemps. J’ai littéralement sombré dans les méandres du plaisir et j’ai explosé dans le sexe de zoey me tenant encore à elle alors qu’elle me rassure et se tord pour m'embrasser et me rassurer avant de reprendre sa position en me demandant si c’est l’idée de lui faire ce qu’elle demandait qui m’a fait craquer si soudainement. Je rougis de tout mon corps et des orteils à la pointe de mes oreilles. Je la regarde alors mon sexe dans le sien mais c’est cet orifice plus haut qui attire mon regard et me retourne de plaisir. Je la contemple en réalisant que mon sexe est bien trop gros pour y rentrer et pourtant l’idée me donne des bouffées de chaleur folles.

« Heu je… oui je crois… je sais pas… »

Bon c’est pas la paaaaaanique mais on en est pas loin. Je suis en train de peiner à garder un peu de cohérence et lentement je me retire d’elle et m’enfonce dans l’eau pour tenter de cacher mon trouble.

« Non mais le mec d’internet il demande des trucs bizarres aussi ! Il va payer combien pour ça ? »

Est-ce que j’y crois vraiment que le type ait commandé ça ? D’ailleurs est-ce qu’il a déjà existé ? J’en sais rien mais au moins ça me permet de noyer le poisson à l’idée que je fantasme je crois un peu trop l’idée de sodomiser zoey… oh mon dieu juste la phrase me fait rougir comme un fou…

Lovée dans ses bras, embrassant sa peau, je le questionne avec toute la délicatesse du monde. Je ne veux pas qu'il se sente mal, certainement pas d'avoir explosé d'envie et de plaisir. Sa réponse me fait sourire et je viens embrasser doucement ses lèvres. -"En même temps... il demande ce qui l'excite et... je... ça m'excite moi aussi et... ça paie mon loyer." Techniquement pas du tout, puisque dans ce cas précis c'est bien mon envie qui a pris le pas sur une quelconque commande, mais je crois que ça le rassure un peu que ça puisse venir d'un tiers, alors je me contente de ne pas le détromper. -"Tu sais il en propose plein des idées et je crois qu'on pourrait lui proposer les tiennes ?" Sourire malicieux avant de mordiller sa lèvre inférieure. -"Quel fantasme on pourrait explorer mon amour ?" Clairement provocante je me colle à lui et mes mains errent sur sa peau. -"J'ai envie de toi, sans retenue Lukas. J'ai envie que tu te serves de moi pour exaucer tous tes fantasmes." Je murmure à son oreille, mon souffle chaud tout contre sa peau et puis je ne résiste pas à mordiller délicatement son lobe. Je cherche à l'exciter et évidemment je me brule les ailes au passage. Parce que le simple contact de cet homme me rend folle, parce que la saveur délicate de sa peau et l'aphrodisiaque le plus puissant que je connaisse, avec le gout de ses baisers. Pensée qui me pousse à venir écraser furieusement mes lèvres aux siennes et à darder ma langue pour chercher sa jumelle. Je suis ivre, ivre de lui, ivre d'envie, gémissante contre sa bouche. Je l'aime tellement que sa fait vaciller mon âme comme une flamme enchantée par le maléfice le plus doux du monde. Je suis sienne, y a t'il plus doux à ressentir ?

Ça paye le loyer… bah non !!! On a un appartement ridicule quand on compare avec la villa de luxe que j’avais à Boston et j’ai de quoi payer le loyer pendant 800 ans sans le sentir passer sur le porte monnaie… mais je sais qu’elle tient à payer sa part malgré tout et je sais qu’elle tient à cette activité et je dois avouer que… ça offre plein de possibilités étouffantes de délice et à la fois particulièrement voraces pour mes entrailles. Je suffoque à chaque fois d’émotion car j’aime zoey a en crever et je la désire au delà de la raison. La voir nue pourrait me faire jouir en quelques secondes alors la simple idée de faire des choses toujours plus chaudes et merveilleuses me fait l’effet d’une lame chauffée à blanc qui viendrait s’enfoncer dans mon corps et ravager mes désirs au point de me rendre bestial.

C’est alors qu’elle me parle de proposer mes propres idées et soudain des milliards d’images inavouables jaillissent dans mon esprit. Elles sont toutes plus perverses et dingues les unes que les autres non c’est trop je rougis et je vais passer pour un malade sexuel je vais lui faire peur elle va me quitter et je vais mourir de peine !!! Et elle continue elle me dit vouloir explorer mes désirs et me colle, me parle de sa voix chaude colle son corps au mien et m’embrasse enroulant sa langue à la mienne. Je vois des images brûlantes. Zoey et moi dans des pratiques folles, des lieux, des choses… non c’est trop chaud trop intense. Je rougis je brûle je tremble je la repousse un peu pour ne pas suffoquer et libérer l’animal ivre de luxure et de perversité que je cache au fond de moi car si je libère cette chose Zoey va avoir l’impression de n’être qu’une source de sex sauvage et débridé alors que je suffoque d’amour pour elle en permanence… je rougis et la regarde essayent d’articuler des choses.

« heu non heu… toi … toi d’abord ! Dis moi un truc on… essaye de voir si… il est possible de … peut être tenter … d’imaginer qu’il serait … probable de trouver …
Comment on pourrait faire… puis ensuite moi heu on verra… heu… plus tard… »

PAAAAAAAAAAAAAAAANIQUE!!!! Mon cerveau se barre en couilles et je peine à rester calme entre elle toute nue qui me colle et mes désirs qui s’emballent sans retenue

Je ne peux que sourire quand je sens les mots se bousculer entre ses lèvres. Cette façon qu'il a de monter en tension et de parler... quand il est survolté... J'adore ça. Je le trouve à la fois diablement sexy et totalement mignon. C'est étrange à ressentir, parce que la gamme d'émotion n'est pas du tout la même, et pourtant c'est ainsi. Il y'a une immense douceur au creux de mon corps dès que je le regarde, qui côtoie la passion la plus brulante et dévorante du monde. Peut être que ça signe une part de ma folie, ou simplement toute la magie de mes sentiments à l'égard de mon homme.

Collée à lui, je l'écoute me dire qu'il préfère qu'on explore mes fantasmes... avant de peut être glisser vers les siens. Je me décale, pour planter mon regard mutin dans le sien. -"Tu es certain de préférer me laisser le lead?" Petite grimace amusée et sourire en coin. Clairement je ne suis pas l'élément le plus posé de notre duo, ça a toujours été comme ça d'ailleurs. Il est le calme, le pilier, moi je suis l'élément perturbateur qui gravite autour de lui. Quand il est parti, c'était tellement dur... C'est là que j'ai mesuré ce que ça coute la vie sans lui. J'ai eu l'impression de m'éteindre, comme une bougie qu'on aurait soufflé. Alors... je suis pas sure que mes parents diraient la même chose ! Parce que m'éteindre ça a surtout été enchainer les conneries et me couper d'un peu tout le monde. J'allais mal, je refusais de le reconnaitre, je refusais même que ça puisse se remarquer... Et puis il a été blessé et j'ai cru mourir. Ce choc, en direct, il m'a coupé le souffle, à moi aussi. J'ai recommencé à respirer quand je l'ai retrouvé ! De toute façon rien à faire, je suis partie comme une furie et rien n'aurait pu m'arrêter. Alors que je le contemple, nue dans ses bras, je souris en me disant à quel point j'ai bien fait. Je me penche, butine sa bouche, mes doigts venant doucement enserrer son sexe et je me redresse pour susurrer. -"Tu pourrais filmer... et venir exploser sur ma langue?" Clairement une vidéo pareille... ça exploserait mes compteurs, mais ce n'est plus vraiment ce qui me motive. Je me laisse glisser dans l'eau, pour le regarder par en dessous, avec seulement le menton levé vers lui et je tire doucement la langue en agitant délicatement la pointe dans sa direction.

Pourquoi je m’embarque toujours dans ce genre de… Discussion que je suis incapable de tenir ? Le pire, c'est que je veux et que ça m’excite et que je veux tout faire avec elle, que je vais passer toute mon existence à lui faire l’amour sans discontinuer et le souci, c'est que je suis persuadé qu’elle va me trouver pervers et effrayant et je vais la perdre et je panique. Zoey est géniale, merveilleuse et parfaite et j’ai peur de lui montrer cette facette perverse de moi et qu’elle prenne peur ou en vienne à me juger, à me redouter, à me trouver louche et bizarre. J’aime Zoey plus que ma vie et je la trouve divine et parfaite et merveilleuse et magnifique et drôle et belle et torride et je n’ai pas envie de lui déplaire. Mais elle me colle toute nue avec son regard brillant accroché au mien et se frotte contre moi. Elle me demande alors si je suis certain de préférer lui laisser le Lead et mon cœur loupe un battement alors que je rougis en la regardant.

« Heu oui… Non … Enfin oui… Mais non heu peut-être… »

Waow plus ça va moins j’arrive à parler, je crois que dans 20 secondes mon cerveau va lentement me couler par les oreilles… Je crois que j’ai réaliser qu’elle était tout mon monde, mon oxygène, ma raison de sourire et que sans elle la vie serait fade et triste et que ça ne serait plus vraiment la vie en fin de compte. Sans elle je m’éteins, je meurs… Alors qu’elle approche encore, elle m’agrippe le sexe et le serre sous l’eau avant de me dire que je pourrais filmer et venir exploser sur sa langue… Oh mon dieu l’image me frappe en pleine gueule. Moi, faire… Sur… Avec… Pendant que… Oh putain PAAAAAAAAAAAAAAAANIQUE. Je rougis deux fois plus en la fixant, le corps soudainement parcouru de petits tremblements de plaisir et de désir, mais soudain elle se glisse dans l’eau et prends la pose et voilà qu’elle me regarde, tends la langue et l’agite avec un sourire rieur. Je rougis et soudain je lance un :

« Oui. »

Puis soudain je réalise et elle aussi. Son regard change non ? Elle n’imaginait pas ça ? Oh putain je l’ai choquée ? C’était un test !!! Oui voilà un test et je l’ai loupé. Maintenant elle sait que je suis un pervers.

« Enfin non ! »

Son regard change encore et je panique en rougissant un peu plus.

« Enfin si mais non ! Mais si et… Non et heu… Heu… »

Je pars en live et je me relève et mon sexe tape sous le menton de Zoey. Je m’écarte avec une mine toute désolée alors que je rougis et que je panique de plus en plus.

« Pardon je… Je ne …Oh mon dieu !!! »

Je sors en hâte et je vais quelque part sur la terrasse sans trop savoir où ni comment et je reviens et repars. Je veux lui parler et j’arrête et je panique et soudain je m’arrête et la regarde et désigne l’intérieur de l’index et m’arrête, me ravise et lui demande en essayant d’être naturel.

« Heu… Tu veux manger un truc ? »

Il n'est clairement pas convaincu que me laisser le lead soit une bonne idée et je fonds littéralement d'amour à le voir hésiter comme ça. Je me serre contre lui, le caresse doucement et lui annonce l'envie qui prend le contrôle de mon esprit. Je peux sentir son corps se contracter, son sexe dans ma main pulser plus vite et plus fort... Je crois que l'idée lui plait et mes yeux brillent de délices quand il me dit oui. Je n'étais pas sure qu'il accepte et je plante les dents dans ma lèvre inférieure, avant que mon regard ne se ternisse un peu quand il refuse finalement.

Il s'agite et panique, me disant oui puis non et oui encore, pour finalement se lever précipitamment. La solidité de l'érection qu'il cogne dans mon visage me fait frissonner et j'ai un petit couinement. Mais je n'ai pas le temps de le retenir, pour le rassurer. Il enjambe le bassin et s'agite sur la terrasse. Je me gorge de la beauté de son corps, des lignes de sa musculature qui dansent sous sa peau. Il fait des allers retours, se plante devant moi, repart et reviens. Je lui laisse le temps d'organiser ses pensées et il revient finalement pour me demander si je veux manger quelque chose, tout en me désignant l'intérieur.

Je hoche doucement la tête et je souris, me levant lentement, les yeux dans les siens. -"Oh oui." Je me mordille l'intérieur de la joue et j'approche pour enjamber le bord du jacuzzi et m'approcher de lui. Ma main droite se pose sur son torse, ma bouche vient lentement la rejoindre. Je l'embrasse avec douceur et ma main gauche s'enroule à son sexe au moment où je me redresse pour lui murmurer. -"Toi." Je me recule, sourire radieux aux lèvres, regard clairement incendiaire et je glisse la main dans la sienne pour l'attirer vers l'intérieur. Si je m'écoutais, je me laisser glisser lentement contre lui pour me retrouver à genoux. Mais je crois qu'il serait un peu intimidé, sur la terrasse comme ça... Alors je retourne d'où on vient et une fois à l'intérieur je me serre contre lui, pour reprendre la lente progression des baisers sur son torse, puis son ventre, et une fois à genoux je mordille doucement sa cuisse. -"J'ai très envie de toi Lukas." Je relève la tête pour lui sourire presque innocemment avant de venir lécher la longueur de son sexe de la pointe de ma langue.

Je suis totalement convaincu putain. Si je m’écoutais, on ferait les pires trucs hors et face caméra. Comment je peux dire à la femme que j’aime et sans qui je ne pourrais pas vivre ni même respirer, que j’ai envie de la baiser comme une vulgaire chienne, que je veux lui faire tous les pires trucs sexuels de la terre, que je veux la rétamer de fatigue à force de la baiser et lui dire combien je l’aime et la protéger et l’aimer plus fort que tout ? C’est une ambivalence avec laquelle je peine à composer et je panique. Parce que quand elle me pousse trop loin, je perds les pédales et je ne me reconnais plus. J’ai regardé la vidéo de la douche à Boston et je me revois lui claquer le cul et la faire gémir et j’ai adoré ça. Tout comme ce moment où j’ai arraché mon sexe au sien pour lui exploser sur les fesses et le dos… C’était torride et j’adore ça mais… Je deviens une bête. Je n’ai aucune douceur pour elle dans ces moments-là et je ne veux pas qu’elle se voit comme un objet que je baise sans relâche juste pour me soulager les couilles du feu qu’elle met par sa seule présence. Je suis ivre d’elle, dingue du moindre de ses gestes, de ses paroles. Tout en elle m’excite et crée un désir fou et incontrôlable et je l’aime plus que tout. Comment on peut avoir envie de faire des choses aussi sales à la femme qu’on aime. Je dois avoir un souci. Je dois aller consulter, je pense.

Du coup, je fuis en rougissant d’avoir frappé son visage avec mon sexe. Putain en plus, elle a eu mal, elle a gémis. Je m’éloigne, mais elle me rattrape et m’embrasse. Je rougis et me laisse charmer en la serrant contre moi. On est nus dehors et je trouve ça bizarre mais on est seul alors c’est étrangement excitant. Je me laisse calmer par son baiser quand je me raidis, gémissant contre sa bouche quand elle agrippe mon sexe de ses doigts. Elle se recule et coupe le baiser gardant mon sexe raide dans sa main. Elle veut me manger moi ? Oh putain !!! Elle veut me manger moi !!!! PAAAAAAANIQUE !!!!!! Elle m’attire dedans et se tourne avant de glisser à genoux devant moi. Elle m’embrasse le ventre et le torse puis mordille ma cuisse me faisant gémir de surpris alors que je serre les poings pour supporter la douce pression dans mon ventre alors que mon sexe bande à s’en arracher de mon corps. Elle me dit avoir très envie de moi et m’appelle Lukas et non Lulu… Elle me fixe de ses yeux d’ange et lèche tout mon sexe lentement de sa langue. Je tremble et suffoque déjà de plaisir. Ma volonté ne tient qu'à un fil. Comment on peut résister à une femme aussi attirante, merveilleuse qui vous supplie de lui faire des choses ?

« Je t’aime Zoey… J’ai envie de toi aussi… Tout le temps… »

Je libère cet aveu qui pour moi est honteux. Je ne peux pas avoir constamment envie de faire des choses sexuelles avec elle ? J’ai un problème, je ne suis pas normal… Mais je n’ai plus aucune volonté. Je saisis mon sexe doucement et la regardant, je le tapote légèrement contre ses lèvres en rougissant. Je vais craquer… Je vais faire ce qu’elle m’a demandé. Sur son visage… Je saisis ses cheveux et l’attire en lui faisant prendre mon sexe dans la bouche en rougissant de ma prise de contrôle.

« Je t’aime de tout mon cœur arrête-moi si je… Fais des choses mal… »

J’ai peur de la perdre. Une peur panique qu’elle déteste ce pervers que je suis parce que je suis sûr qu’il va la faire fuir. Je saisis ses cheveux et me met à lui faire aller et venir la tête sur mon sexe pour me sucer en la regardant dans les yeux, le corps tendu de désir…

Je ne sais pas trop ce qu'il me prend, mais j'ai des idées de plus en plus folles en tête, c'est comme si le fait d'en avoir une en libérait dix autres tout aussi ardentes et me donnant tout autant envie. Le guidant à l'intérieur c'est un festival sous mon crâne et je ne tarde pas à me laisser tomber à ses pieds. La façon qu'à son sexe de se tendre d'envie sous les attentions de ma langue est en train de me monter à la tête et quand il confie avoir envie de moi tout le temps j'ai un sourire radieux qui fleurit à mes lèvres.

La suite ? C'est complètement dévorant. J'ai l'impression d'une chute libre au coeur de mes fantasmes. Cette façon qu'il a de timidement tapoter son sexe contre mes lèvres, avant d'agripper ma tête et de s'octroyer ma bouche. Il me déclare son amour et la suite est tellement mignonne que je me recule le temps de murmurer -"Tu ne me fais que du bien ! Toujours." Avant de revenir fermer les lèvres contre son sexe bandé en le laissant utiliser ma tête à sa guise. J'abandonne tout contrôle entre ses mains, me contentant de faire glisser ma langue et de l'enrouler quand cela m'est possible. J'en gémis d'envie et mon sexe s'inonde à mesure que cette fellation se fait plus profonde et plus libre dans sa prise de contrôle. Se rend il compte de l'état dans lequel il me plonge? De l'envie qui vibre dans mon corps? J'essaie de le lui transmettre, par l'intensité du regard que je pose dans le sien et les petits bruits satisfaits qui filtrent dans ma gorge. Je m'offre, autant que je prends une forme d'ascendant, c'est enivrant et j'ai très envie de voir s'il va se laisser aller à me marquer ainsi... si il va embarquer dans mon envie et dans ma folie. C'est toujours magique quand il le fait, j'ai l'impression que ça me fait pousser des ailes et j'adore cette sensation. Lulu... mon Lukas... mon amour. Mon regard crie ce que mes lèvres doivent taire sous le feu du bâillon le plus merveilleux possible. J'en veux, plus, j'en veux encore et toujours plus, je veux le contempler dans ce moment intime et fou, je veux le voix exhaler son plaisir à long traits et m'en barrer le visage. Je veux ! Je veux tellement fort que mon ventre se tord et que mes doigts peinent à résister à l'envie de plonger aprement dans le creux de mon corps. Je ne veux pas que mes sensations me coupent de l'acuité de ce moment, je veux le contempler, telle la merveille qu'il est, de toute mon envie autant que de tout mon amour.

Je ne lui fais que du bien ? J’aimerais le croire, si je glisse mon sexe dans ses fesses comme j’ai failli le faire plus tôt, je vais la déchirer en deux ou alors je vais lui déplaire et lui faire mal. Mais le pire, c'est que je sais que je vais tellement aimer l’idée et la sensation d’être en elle que je risque d’oublier ma retenue et que je vais me montre animal et bestial et je vais la faire souffrir et elle va me détester parce qu’elle va m’associer à de la souffrance. Pire, elle va me trouver pervers et je vais la faire paniquer avec mes désirs. Elle va croire que je n’ai qu’une envie, c'est la baiser encore et encore, partout et tout le temps… Et le pire c’est que oui !!! Mais je n'arrive pas à dealer avec le fait de la désirer aussi fort et de l’aimer à la fois. Je ne peux pas avoir autant d’idée perverse sur la femme que j’aime non ? Ce n'est pas possible de vouloir à ce point lui faire de folles choses perverses et de l’aimer à la fois non ? Mais elle est à genoux devant moi toute nue et j’ai ses cheveux dans ma main. Je tremble alors qu’elle repart à l’assaut de mon sexe sans utiliser ses mains. Elle me regarde de ses yeux rieurs alors que je soupire de délice, mon ventre se soulevant au rythme de ma respiration saccadée. Je la regarde alors qu’elle me suce le sexe et que plus sa bouche coulisse avec amour le long de mon sexe et que sa langue me cajole moins j’ai envie de me calmer… Elle réveille tellement de folie et de passion en moi… Je réalise que je pousse et que j’aime les bruits qu’elle fait et qu’elle a les yeux brillants de plaisir et d’amour alors que je pousse toujours plus dans sa gorge. Oh mon Dieu non… Elle avance quand je pousse et cherche à me prendre en entier. Je suis sûr qu’elle fait ça parce que les mecs on adore…

« Je… Je t’aime… »

Ouais voilà rajoutes en une couche… Voilà que ma main dans ses cheveux se crispe et que je tiens sa tête que je rapproche alors que je pousse mon bassin. Elle fait un bruit de gorge salace et encaisse. Ses yeux sont humides de larmes et pourtant elle sourit et son regard brille plus encore. Je rougis et recommence. Cette fois je reste plus longtemps et me retire avant de refaire encore. Merde les secondes passent et je réalise que je suis en train de baiser sa bouche et qu’elle me prend jusqu’au fond de sa gorge brulante. Je tremble en la regardant alors que je suffoque de plaisir. Mon dieu je suis en train de la malmener et elle aime ça… Oh putain elle a l’air d’aimer ça et rougissant alors que je la vois en train de suffoquer de délice je tremble et lui murmure.

« Touche-toi… Touche-toi Zoey ! »

Merde je lui ordonne carrément de se donner du plaisir alors que je m’octroie sa bouche sans ménagement me retenant encore un peu pour ne pas baiser totalement sa gorge sans aucun égard pour elle. C’est un pur délice et je prends un pied de malade c’est trop pervers et j’adore ça…Oh mon dieu Zoey mon amour ne me déteste pas après ça, je suis en train de perdre le peu de raison qu’il me reste…

Vacances en amoureux (Zokas)

Zoey Edison

Espérez pour le meilleur. Préparez-vous au pire. La vie est un jeu. Nous n'avons pas répété.

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