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Finn Wilson
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MessageSujet: back to reality - ALbinn    back to reality - ALbinn  EmptyJeu 5 Oct - 22:26

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Je l’ai déposé sur le pas de sa porte après cette soirée complètement hors norme. J’en reviens d’ailleurs toujours pas. Comment ai-je pu ne serais ce qu’accepter la partager ? C’est complètement surréaliste. Moi le petit con à la jalousie possessive, j’ai cédé ma lumière, ma Reine à un autre homme. J’ai participé et j’ai regardé un autre la faire gémir de plaisir. La soirée était d'une intensité inimaginable, remplie de mystère et de désirs interdits. Chaque instant était chargé d'une tension électrique, mélangeant le plaisir et la culpabilité. Je me suis retrouvé confronté à mes propres démons, remettant en question mes principes et mes limites. Je n'aurais jamais pensé être capable de partager l'être aimé, de voir quelqu'un d'autre lui procurer du plaisir. Pourtant, cette expérience a ouvert une porte que je n'aurais jamais cru possible. J'ai découvert une part de moi-même que je ne connaissais pas, une part capable de transcender la jalousie et d’en retirer un plaisir étrange certes mais pas moins intense. Cette soirée a changé ma vision des choses, elle m’a ouvert des horizons que je n’aurais jamais pensés possible.  Elle m'a fait comprendre que les limites que nous nous imposons sont souvent celles que nous avons créées nous-mêmes.

Au moment précis où la porte s'est refermée sur le visage angélique d'Albane, mon cœur s'est serré, pris dans un étau. J'ai eu l'impression d'étouffer, comme si l'air autour de moi devenait de plus en plus rare. Bien sûr, j'ai ressenti le désir irrésistible de défoncer cette porte pour la retrouver et la serrer contre moi. Cependant, je suis resté immobile pendant un long moment, fixant cette porte restée fermée, avant de faire demi-tour en emportant avec moi cette inquiétude qui ne m'a jamais quitté depuis que j'ai remarqué ces marques sur sa peau de porcelaine. Je rentre chez moi, me remémorant chaque instant de cette soirée, me torturant l’esprit sans cesse en repassant à ce qui aurait pu se passer si Jahad n’avait pas été là. ELLE était en danger et ce n’est pas moi qui étais là pour l’aider. Putain ça me rend fou je vous jure, je retourne ça dans mon esprit dans tous les sens et j’en reviens toujours à la même chose : ce fils de pute doit cracher toutes ses dents les unes après les autres. Je déraisonne ? Toujours quand il s’agit d’elle.

J’ai pris une longue douche froide pour tenter de retrouver la raison, puis je me couche, laissant mon regard errer sur cette place vide à côté de moi. Elle devrait être là avec moi, mon coeur manque un battement et mon estomac se tord. Je me tourne et me retourne dans le lit, agité, cherchant désespérément le sommeil qui ne vient pas. Les pensées se bousculent dans ma tête. La solitude de la nuit devient écrasante, chaque minute qui passe semble interminable. Je pense à elle, son visage ne quitte pas mon esprit tourmenté et torturé.  Les questions sans réponse tourmentent mon esprit, et l'absence de sa présence me pèse de plus en plus. Il est pas loin de trois heures du mat quand je me redresse brutalement avec une nouvelle détermination.

J’attrape un T-shirt sombre, un jean, mon blouson et je suis déjà dehors. Putain mais je fou quoi là ? Je traverse la ville avec cette pensé lancinante qui me torture l’esprit, elle a été blessée et j’étais pas là. Je supporterais pas que ça puisse arriver à nouveau. Est-ce pour ça que je me retrouve à nouveau planté devant sa porte ? Je n'en sais rien, j’epprouve ce besoin viscéral d’être auprès d’elle, c’est tout ce que je sais. Je me mets à taper à sa porte comme un forcené. Je suis bruyant, le discrétion là tout de suite je m’en tamponne. Il est plus de trois heures et si j’ameute tout le quartier c’est pas mon problème.

« Albane, ouvre-moi cette putain de porte »

Je tambourine encore et encore, même si elle dormait profondément comme un bébé elle ne peut pas ne pas m’entendre. Ne pas m’ouvrir pour me provoquer par contre ça serait tout à fait son genre. Ma voix grondante est teintée d’une inquiétude et d’une rage étroitement mêlé, j’ai jamais été ainsi, il n’y qu’elle qui puisse me foutre dans cet état-là. L'amour que je ressens pour elle est indescriptible. C'est un feu ardent qui brûle en moi, me consumant de l'intérieur. Chaque fibre de mon être lui appartient, et je lui appartiens en retour.

« Ouvre avant que je défonce ta porte. »

Est ce que je le ferais réellement ? Bien sur et elle me connait suffisament pour savoir que je le ferais sans l’ombre d’une hésitation. Bien sur, elle n’est pas en danger immédiat, une part de moi le sait parfaitement, mais j’aurais du rester, j’aurais pas du la ramener et rentrer sagement de mon côté. Pas après cette soirée… pas après cette bombe qui m’a explosé à la figure, celle qui m’a fais me sentir comme une merde, comme le gamin que j’étais : incapable de la protéger. Cette sensation me tords l’estomac, ça me rend fou. Je veux être auprès d’elle, je veux comprendre et tout savoir sur ce type qui n’en a pas finit avec les emmerdes.
Pando
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MessageSujet: Re: back to reality - ALbinn    back to reality - ALbinn  EmptyDim 8 Oct - 16:14



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Chaque seconde sans lui semble être une éternité à vivre, et en son absence tu doutes que ça vaille le coup d'être vécu. 
   
-- Tenue -- Il y a eu quelque chose d’absolument déroutant dans cette soirée que tu viens de vivre. La présence de Jahad aux urgences d’abord, puis l’émotion que tu as ressentie a cause de ce gamin qui allait repartir avec son père violent, ta père qu’il arrive quelque chose à Finn en lien avec la présence de son homme de main. Tu as même cru un instant que cette nuit ne se finirait plus jamais comme les autres. Que tu allais mourir, de la main de ton ordre, ou de celle d’un père ignoblement lâche qui cherchait à te faire payer ton envie de protéger ce gosse. Puis il y a eu la suite… Ton désir pour Jahad, cette retenue en toi qui t’interdisait de faire quoi que ce soit sans que Finn ne puisse cautionner… Tu lis encore la nuance de ces yeux lorsque tu lui as demandé de te partager. Lorsque tu lui as émis la possibilité que tu puisses avoir des envies mais pas sans lui. Si ta première intuition avait été qu’il puisse s’en énerver, sa manière de te regarder à la fois interpeller et curieux ta bouleversé. Finn est un homme possessif jaloux, tu te demandes encore dans quelle mesure ce que tu as fais à pu l’atteindre. Tu ignores même si de ton côté tu aurais pu supporter… Et pourtant…  Il l’a fait. Toi qui te demandes à chaque instant dans quelle mesure Finn pourrait te rejoindre, être l’homme de ta vie tout en épousant une responsabilité de Templier. Ce soir tu as découvert à quel point, pour toi, ton roi était capable de réfréner chacune de ces limites. Et tu as dévoré chaque instant de cette soirée avec un délice qui court encore sur ton épiderme.


Il t’a raccompagné chez toi, durant le trajet t’avait besoin de son contact, ta main a refusé de lui rendre la sienne tant qu’il était à tes côtés. Tu as besoin de lui dans ta vie, et chaque instant de plus que tu passes à ces côtés te le prouve un peu plus. Sa présence c’est comme un soleil dans ta vie là où, même si elle est jolie et plaisante, rien n’est totalement parfait en son absence. Quant il est loin, il te manque jusqu’au plus profond de toi. Sur le pas de la porte, ton envie qu’il reste prêt de toi était encore plus terrassante. Et pourtant tu n’as rien dit. Tu as attrapé sa bouche, tu as gouté sa bouche une dernière fois en pressant ton corps contre le sien avec une nécessité de ressentir son affection, de savoir que tout va bien entre vous. Tu as percé son âme de tes prunelles juste pour être totalement sur qu’il aille bien, et qu’aucune ombre ne traîne dans votre relation. Puis tu es rentrée et tu as instantanément su que les heures sans lui serait longues. Tu t’es convaincue de te raisonner, que durant dix années tu avais su avancer sans qu’il ne te tienne la main, sauf qu’à présent ça te semble d’une épreuve insurmontable. Un petit passage par la douche pour laver de ton corps de tout tes excès tu as rejoins ton lit, qui t’a semblait d’une froideur terrifiante. Serrant ton coussin contre ta poitrine, tu as repensé à votre soirée et c’est après un temps assez long que le sommeil t’a happé de son aura.


Il est là. Finn. Tu as le visage rempli de larmes ça rend ta vision totalement floue dans un premier instant. Il est assis, il gémit, là à quelques mètres de toi. Tu tentes de te défaire de quelque chose, mais on t’a attaché ? Tu es incapable de pouvoir avancer, de tendre les bras, de libérer ton corps de sa contention. Tu t’agites, tu cris. Lui aussi… Son cri est déchirant, il te transperce l’âme. Leur écho te provoque une telle douleur dans la poitrine que tes larmes redoublent. Puis il y a des pas qui pénètre ton champ de vision, des chaussures lustrés d’un cuir sombre qui se pose sur le sol, et qui tourne autour de Finn. Tu tentes de remonter la silhouette, d’en voir le visage mais c’est comme si un voile était devant tes yeux. Des coups sont abattus, le corps de Finn vibre sous l’impact et la douleur. Il y a bruit tellement fort… comme si on tapait contre une porte. Il crache des filets de sang qui s’accumule contre ces lèvres. Non… Tu supplies qu’on le laisse, qu’on ne lui fasse plus aucun mal. Tu tires de nouveau sur les liens qui t’entaille les poignets. Tu veux le rejoindre, et de nouveau des coups pleuvent sur son corps meurtri. Tu t’agites, tu articules des « non » cherchant à voir le visage de celui qui est l’auteur et qui fait tend de mal à l’homme que tu aimes. Puis soudainement les traits d’un visage qui ont été à l’origine de ta naissance apparaisse. Ton corps tremble d’effroi et tu désapprouves en pleurant de plus belle. « Ne fait pas ça… Je t’en supplie… » Il te répond que c’est nécessaire, que ta vie est loin de la sienne, qu’un jour tu comprendras. Ton corps sanglote et tu tentes encore et encore de te libérer alors que ton père passe derrière Finn, qui te regarde et perce tes iris. Il murmure ton prénom et soudainement le coup fatal est frappé et c’est dans un hurlement que tu ne maîtrises pas que ton corps se soulève et tu te retrouves assise au beau milieu de ton lit. Ton regard est apeuré, tu cherches ton fantôme dans la pièce, ton esprit mettant un petit temps à se reconnecter avec le réel. Ta main se dépose dans tes cheveux alors que des coups retentissent dans l’entrée. Tu fronces les sourcils, regardant ton téléphone pour en connaître l’heure. 3h passé. Puis sa voix te parvient. Finn. Tu sors de tes draps en quatrième vitesse, tu cours presque jusqu’à l’entrée dans ta petite nuisette qui ne cache que peut de parcelle de ton corps. Tu déverrouilles la porte, entendant ces menaces. C’est pressant, tu veux le voir, le sentir, le toucher, au point que tes doigts peine à être efficace et à déverrouiller cette porte avec habilité. Tu ouvres enfin et en le voyant c’est comme si l’air revenait dans une pièce totalement dénuée de vie. Tu plonges dans ces iris, il est nerveux tu peux le savoir d’un seul coup d’œil. Pourquoi ? Tu t’en moques, là tout de suite, tu as besoin de quelque chose. Tu attrapes les pants de sa veste, l’attirant à toi dans un mouvement brusque. Ces vêtements sont gelés sur ton petit corps qui sort de son lit, tu attrapes ces lèvres et l’embrasse comme si cela faisait des années qu’il avait disparu, et non quelques heures. Tu l’as vu mort dans ton cauchemar, alors tu as besoin de le sentir en vie. Tu refermes la porte sans quitter sa bouche, ayant besoin de ce temps pour te reconnecter à lui et à sa présence. Tu t’appuies contre la porte d’entrée l’amener contre toi et ralentis doucement ta vague d’émotion en ouvrant ton regard bleuté sur lui. Ta main vient contre sa joue comme pour vérifier encore qu’il soit réel.


- On va devoir reparler de notre planning de nuit, Wilson.


Tu tentes une petite blague, même si là tout de suite tu n’es pas convaincue d’être la femme la plus drôle du monde. Tu étais ouvertement terrorisée lorsque tu as ouvert la porte. Tu reprends sa bouche pour un baiser chaste, et lui prends la main pour l’attirer dans ta chambre. Eden doit dormir, tu ne tiens pas à le réveiller. Tu fermes la porte de ta chambre derrière toi, et l’observe. Il est toujours sous tension tu le vois bien, tu rejoins ton lit t’assois en tailleur et susurre.


- Eh… Est-ce que tout va bien ?




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MessageSujet: Re: back to reality - ALbinn    back to reality - ALbinn  EmptyLun 16 Oct - 16:14

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Cette nuit a été incroyablement intense, nous avons exploré de nouveaux horizons ensemble et repoussé nos limites. La sensation de la partager avec un autre homme était au-delà de mes attentes. Je pensais que ma jalousie serait un obstacle insurmontable, mais grâce à Albane, nous avons réussi à surmonter cette difficulté. Je suis émerveillé par la profondeur de notre lien : solide et indestructible. Chaque instant passé avec elle me rappelle à quel point notre connexion est extraordinaire, qu’elle et moi nous sommes fait l’un pour l’autre, que quoi qu’il arrive, quoi qu’il advienne, nous deux c’est écrit dans les étoiles. Pour elle, je suis prêt à affronter tous les dangers, et commettre toutes les folies et je crois que ce soir elle vient de comprendre à quel point je suis sérieux quand j’affirme haut et fort être prêt à tout pour elle, et c’est parce qu’elle me rend dingue que je me repointe chez elle comme un fou furieux au milieu de la nuit. Parce que je ne supporte pas l’idée de la laisser quand un sombre connard a tenté de l’agresser quelques heures plus tôt. Je ne supporte pas l’idée d’avoir été absent alors qu’elle a été en danger. Ça fiche une trouille que je préférerais ignorer… mais c’est impossible. La seule chose que je sais, c’est que je veux être là pour elle. Que je veux la serrer contre moi et sentir son odeur.

Je suis devant sa porte, je tape dessus comme un fou, comme si une part de moi craignait qu’elle soit réellement en danger derrière cette porte. Je la menace de la défoncer si elle ne m’ouvre pas, et je crois qu’elle me connait assez pour savoir que je suis sérieux et que je ne balance pas cette menace en l’air. Un bruit de pas précipité se fait entendre, suivi du cliquetis de la clé dans la serrure, ce qui me laisse penser qu’elle est là, qu’elle s'apprête à m'ouvrir. Mon cœur bat la chamade d'excitation à l'idée de la voir, de la toucher et de tout ce qui compte le plus pour moi en cet instant précis. La porte s’ouvre sur son visage d’ange mes lèvres s’étire instantanément en un sourire de branleur satisfait. C’est plus fort que moi, quand je la vois mon sourire est quasi instantané. Ses doigts m’agrippe pour m’attirer contre elle, ses lèvres captent les miennes dans un baiser sauvage et passionné. La retrouver me donne l’impression de retrouver une bouffé d’air après une apnée prolongé. On s’est quitté y a quoi pourtant ? Une poignée d’heures ? Albane c’est ma drogue, j’ai besoin de cette femme pour me sentir bien… non, enfaite j’ai besoin d’elle pour me sentir vivant tout simplement.

Sans que nos lèvres ne se détachent l’une de l’autre un seul instant, je pénètre à l’intérieur. La porte claque derrière nous, nous enfermant dans cette bulle d’intimité si précieuse. Mes bras s’enroulent autour d’elle, la pressant contre moi comme je venais d’avoir cru la perdre à jamais. Je sais, c’est démesuré, mais je peux pas lutter contre ça. Je l’appuis contre la porte avant de rompre ce baiser, ancrant mes iris dans les siens. Sa beauté me frappe comme ça dès que mon regard croise le sien. Cette femme est d’une beauté étourdissante, elle possède la douceur et la grâce d’un ange… et la fougue souvent sauvage d’une lionne. Je viens appuyer mon front contre le sien, ma large paume de main vient cueillir ce visage d’ange qui a le pouvoir de me faire fondre de manière quasi instantané.

« Quoi ? t’en a marre de me voir débouler chez toi les nuits ? »

Je tente de lui répondre sur le même ton qu’elle, ma main libre joue avec la bretelle fine de sa nuisette beaucoup trop légère et sexy pour une nuit solitaire. Je l’embrasse, un baiser plus sage et mesuré, comme si le fait de l’avoir retrouvé avait calmé ce lion en moi qui tournait en rond prêt à bondir et à dévorer tout ce qui pourrait menacer cette femme qui représente tout, absolument tout à mes yeux. Sa main agrippe la mienne pour m’emmener avec elle jusque dans sa chambre. Calmé certes, mais pas serein, non comment pourrais je l’être ? Elle se retourne vers moi et s’installe en tailleur sur son lit avant de me demander si tout va bien. Ma mâchoire se contracte, elle me connait trop bien.

« A merveille !! C’est pour ça que je te menace de défoncer ta porte à trois heure du mat…»

Je donne dans l’ironie moi maintenant ? Je m’avance vers elle après m’être délesté de ma veste pour venir la rejoindre. Je la prend contre moi, caresse sa joue avec douceur encore et encore comme si j’en avais besoin pour m’assurer qu’elle est là et qu’elle va bien… Puis mes doigts glissent sur ses marques foncé causé par son agresseur. La rage resurgit instantanément.

« Je supporte pas l’idée que l’on est put tenter de te faire du mal…»

Je ne laisse pas exploser ma colère, mais je lui confis mes craintes. Ca ne me ressemble pas, mais je ne veux rien lui cacher, je refuse de prétendre que je suis ici pour une autre raison. Je l’aime comme un fou et l’idée qu’elle puisse être en danger me ronge de l’intérieur. L’avoir partagé avec un autre homme n’a rien à voir avec ma présence ici, non, cet homme que je jalouse d’une certaine manière m’obsède oui, mais seulement parce que c’est lui qu’il l’a sauvé alors que j’aurais dû le faire. J’aurais dû être là pour elle. Mon regard est dur et froid quand mon esprit s’imagine ce qui aurait put se passer si personne n’avait arrêté ce type.

« Ne pas avoir été là pour toi… ça me rend fou putain…»

J’attrape son visage entre mes mains, et l’attire contre moi pour l’embrasser avec une douceur qui forme un contraste saisissant avec cette colère qui bouillon en moi et que seule elle peut éteindre.
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MessageSujet: Re: back to reality - ALbinn    back to reality - ALbinn  EmptyMar 17 Oct - 14:53



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Chaque seconde sans lui semble être une éternité à vivre, et en son absence tu doutes que ça vaille le coup d'être vécu. 
   
-- Tenue -- Depuis son accident l’amenant à ta charge au Scripps, ton attachement ne fait que grandir. Tu tentes par tous les moyens de ralentir la cadence, de mettre de la distance, de faire en sorte que votre histoire reprenne oui, tu n’es plus capable de faire semblant, mais avec plus de contrôle. Pourtant c’est impossible et malgré tout tes efforts. Avez-vous déjà essayé de retenir un train qui filerait à toute vitesse ? C’est ce que tu as l’impression de devoir faire en réfrénant tes envies pour lui. Dix ans… Dix putains d’années à le rayer de ta vie, à faire comme si tu arrivais à être heureuse sans lui, et même à continuer de vivre alors que tu n’étais qu’une âme en sursis n’attendant que le moment où il apparaitrait pour te redonner vie. Entièrement vie. Tu voudrais lui donner plus de temps, plus de possibilités de réflexion, qu’il puisse se rendre compte que tu n’es peut-être pas totalement faite pour lui à présent et pourtant… Tout te prouve le contraire.


Ce qui s’est passé en présence de Jahad ce soir, tu l’aurais cru impossible il y a encore quelques semaines. Finn et toi êtes des jaloux maladifs, des possessifs capables d’en venir à des choses illogiques et brutales pour simplement que l’autre ne vous abandonne jamais. Sauf qu’il fallait que tu tentes cette expérience ce soir avec lui. Outre le désir que Jahad a fait naître en toi, et outre l’attirance que tu pouvais avoir, tu voulais également savoir si Finn était en mesure de découvrir votre monde, celui dont Jahad et toi faites partie. Tu voulais voir si ces yeux, si ces magnifiques prunelles te jugeraient, te désapprouverait avec ce genre d’idées ? Ça n’a pas été le cas. Ton fantôme du passé est toujours bel et bien ton âme jumelle, envers et contre tout. Ce soir il t’a prouvé bien plus de choses qu’à n’importe quel autre moment. Ton âme toute entière n’y croyait pas, pourtant Finn s’est montré conquérant, assuré et d’une détermination qui fait encore vibrer ton corps à présent. Le laisser s’en aller lorsqu’il t’a raccompagné était un déchirement. Tu voulais qu’il reste, tu voulais sentir sa peau contre la tienne tout le temps où la lune continuerait son règne. Tu voulais que ça soit lui… Lui qui enveloppe ton corps et en prenne soin. En vérité il n’y a plus une seule nuit que tu supportes sans que ton roi ne soit contre toi. Tu es juste trop butée et réservée pour lui avouer la réalité.


Alors lorsque le bruit assourdissant des coups portés à ta porte d’entrée retentisse, tu sautes de ton lit. L’urgence qui émerge dans ces frappes contre le bois, est aussi vive que les battements de ton cœur s’affolant en entendant sa voix. Tu cours jusqu’à elle, la déverrouillant et t’empare de lui comme si tu pouvais en mourir si tu ne le faisais pas. Son sourire apparait et tu attrapes sa nuque avec une rapidité qui t’impressionne toi-même. Un gémissement surgit de ta gorge alors que vos corps pénètrent l’intérieur et que la porte se referme sur ton corps pressé contre celle-ci. Il est parti il y a à peine quelques heures et tu as l’impression d’avoir attendu son retour des jours entiers. Tu es tellement accro à lui… Ca t’en fait presque peur. Tu sens le corps de ton policier se pressait contre toi, même après un moment de débauche comme tout à l’heure, on dirait que l’agent Wilson est toujours pleins de ressources. Il met un terme à votre baiser et ces iris te regardent avec une profondeur tellement vertigineuse. Tu ne comprendras jamais comment il n’a pas pu refaire ta vie durant tout ce temps. Son charme, toi, il serait capable de littéralement te faire faire n’importe quoi. Le physique de ce mec a toujours été une faiblesse pour toi et ça n’a été qu’en empirant à partir du moment où tu l’as goûté où tu as l’as senti te vouloir rien qu’à lui, à partir de l’instant où son âme à emprisonner la tienne pour s’en assouvir encore et encore. Tu sens son front venir se déposer contre le tien et tes iris le regarde comme s’il était tout… c’est ce qu’il est en réalité. Il t’observe avec ce regard si sensuel, ce regard disant que tu lui appartiens. Ses mains s’emparent de ton visage et tu le laisses faire alors qu’il demande si tu en as marre de le voir débouler dans la nuit.


- Pas exactement… Je préférerais que tu sois là chaque nuit plutôt.


Aveu trop rapide ? Soit. Finn te connait, les gants et les phrases destinées à tâter le terrain ne sont pas vraiment ta spécialité. Et ce n’est qu’une évidence qu’il te manque, chaque nuit que vous ne passez pas ensemble. Toi qui voulais tellement prendre ton temps, éviter de retomber follement amoureuse trop vite. Encore aurait-il fallu qu’un jour ne l’est plus été. Son regard descend sur ta tenue et tu mordilles doucement ta lèvre inférieure, faussement intimidée qu’il te regarde ainsi. Il te reprend la bouche et tu inspires, luttant contre ton propre désir pour lui. Tu le vois jouer de ta bretelle avant de l’emmener dans ta chambre, afin que vous puissiez y être plus tranquille. Tu sais pertinemment que s’il est venu comme un fou furieux ce soir c’est que quelque chose le tracasse. D’ailleurs même sans cela tu pourrais lire ses yeux sans le moindre effort, et si l’éclipse de vous revoir à masquer un temps son énervement, tu sais que quelque chose le ronge. Est-ce que c’est votre soirée avec Jahad ? Est-ce qu’il regrette ? Que la réflexion lui a donné envie de ne plus jamais faire cela ? Tu t’assois en tailleur et le regarde défaire sa veste en disant qu’il va à merveille et que c’est la raison pour laquelle il se pointe à trois heures du mat’ chez toi. Tu soupires et susurre.


- C’est à propos de ce qu’on a fait ce soir ?


Il te rejoint sur le lit et instinctivement tu t’allonges pour lui faire face. Tu passes ta main dans ces cheveux et plonge dans ces yeux magnifiques. Ces mains caressent ta joue avant de descendre sur ta gorge et effleurait tes hématomes. Les flashs de ton début de soirée reviennent. Tu sens l’humidité naître dans ton regard. Sans Jahad tu aurais été violée, violentée. Tu en as aussi aux hanches, sur le bassin lorsqu’il t’a maintenu fermement contre ce mur de briques et qu’il a tirait fortement sur ton sous-vêtement pour le défaire en marquant ta peau au passage. Finn reprends la parole en disant qu’il ne supporte pas qu’on est pu te faire du mal. Tu lis son regard qui s’obscurcis violemment.


- Je vais bien…


C’est faux. Tu le sais mais tu ne veux pas lui faire de mal. Tu ne veux pas que Finn souffre. Pourtant tu tentes par tous les moyens de ne plus penser à cet évènement.


- Comment tu aurais pu savoir… J’étais au boulot, et toi tu faisais le tien.


Malgré toi une larme coule sur ta joue, s’échappant de ta paupière. Tu le vois redresser ton visage pour te regarder droit dans les yeux. Tu as peur quand tu repenses à ce qui s’est passé, pourtant à refaire tu ferais tout exactement pareil. Te sacrifiant pour ce gamin trop souvent frappé et sa mère lâche incapable de faire ce qu’il faut pour éloigner son mari. Tu baisses les yeux en susurrant.


- Ce gamin aurait pu recevoir le coup de trop… Je ne pouvais pas ne rien faire.


Tu pinces tes lèvres, resserre ton corps contre le sien et laisse ces lèvres t’embrassaient avec plus de douceur. Il devrait être nu, dans ton lit, il devrait être là tout le temps avec toi. Tu inspires te reprenant en murmurant.


- Ce qui me rend folle moi, c’est le fait que je ne supporte plus une seule nuit sans toi.




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MessageSujet: Re: back to reality - ALbinn    back to reality - ALbinn  EmptyVen 20 Oct - 16:55

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Vivre sans elle, c’est impossible. Ses dix longues années sans elle s’effritent, elles s’étiolent pour devenir insignifiantes, inexistantes maintenant qu’elle est là.  Elle est ma bouffé d’oxygène après une apnée trop longue, mon oasis au milieu du désert. J’ai besoin d’elle et j’ai regretté de l’avoir abandonnée sur le pas de sa porte à la seconde même ou j’ai tourné les talons. Me retrouver dans mon appartement vide ça m’a fait péter un câble. Il me manquait un truc essentiel : elle. Je suis là à tambouriner à sa porte comme un fou. Qu’un type est put s’en prendre à elle ça me rend fou, j’ai besoin de la voir, la toucher, la sentir et l’embrasser. Ce n’est pas de l’avoir partagée avec Jahad qui me fou dans cet état de rage primaire, non, aussi étrange que ça puisse paraître vu cet état de jalousie possessive qui me caractérise souvent. Non, je dirais même étrangement que d’une certaine manière ça nous à rapproché, ouvert des portes dont je ne soupçonnais pas même l’existance.

La voir m’ouvrir la porte, m’attraper comme si sa vie en dépendais me donne l’impression de respirer à nouveau. Je la serre contre moi, l’embrasse et respire son odeur comme si elle etait le seul être sur cette terre. Elle l’est à mes yeux. Rien ni personne d’autre qu’Albane Païs peut faire battre mon coeur de cette manière. Elle est mon âme soeur, ma reine… mon tout. La porte d’entré se referme derrière nous, nous isolant du reste du mon. Elle. Moi. Rien d’autre. Rompre se baiser plein de cette passion dévorante c’est la chose la plus difficile que j’ai à faire, pourtant il le faut. Je plonge mes iris dans les siens, je dois avoir l’air d’un véritable fou, mais je le suis : Fou d’elle. Mon front vient s’appuyer contre le sien et pendant quelques instant je me perds dans l’immensité de ses yeux, je la taquine, lui demandant si elle n’en a pas marre de me voir débouler chez elle au milieu de la nuit comme une animal fou. Sa réponse fait tressauter mon coeur… Passer toute les nuits avec elle, c’est tout ce à quoi j’aspire. Seulement elle était tellement sur la réserve, que je ne voulais pas la brusquer et brûler des étapes. Notre passion dévorante nous a déjà perdus par le passé et je refuse de la perdre une nouvelle fois. Je ne pourrais pas le tolérer.

” Vraiment…?”

Ma question est purement rhétorique. Mes lèvres viennent ceuillir les siens d’un baiser suave et langoureux. Ce baiser est une manière pour moi de m’exprimer quand les mots me manque, vivre ensemble été un rêve que nous avions à l’époque et qui est mort dans l’oeuf. C’est rapide ? Peut être, mais entre elle est moi ça à toujours été ainsi. Passion et précipitation. Ca nous a déjà joué des tours, mais c’est ainsi que nous nous aimons. C’est ainsi que nous fonctionnons. Je la dévore des yeux, la détail dans cette nuisette beaucoup trop sexy pour demeurer intact trop longtemps. Nous allons dans sa chambre ou elle se détache de moi pour s’installer sur son lit. Distante trop grande pour cette femme que je voudrais sentir à jamais contre moi. Je dépose mon blouson avant de venir la rejoindre. Un mal me ronge et elle me connait trop bien pour ne pas le voir. Elle lit mon âme comme un livre ouvert. Elle me demande si c’est à cause de ce que nous avons fait ce soir. Je caresse sa joue et plongent mes iris dans les siens. Ce que nous avons fait ce soir c’est fou et l’homme possessif que je suis aurait mille raisons de grogner, mais il ne s’agit pas de ça. J’ai étrangement accepter de la partager avec cet homme, j’y ai pris du plaisir et c’est dingue mais quelque part cette nouvelle expérience nous à rapproché encore.

” Non… et je crois que j’ai encore du mal à réalisé jusqu’ou nous sommes allé ce soir.”

Non je crois que je ne réalise pas totalement, que mon cerveau torturé ne réalise pas encore. Mes doigts glissent sur son corps, passant de sa joue à la naissance de sa gorge couvertes de marques. Ne pas avoir été capable de la protéger. Voilà ce qui me rends fou. C’est pire que ça même je suis dans une rage folle. Les larmes brillent dans son regards, la voir dans cet état ça ma flingue. Je donnerais n’importe quoi à cet instant pour la voir me réchauffer d’un de ses merveilleux sourire.

” Non, tu ne vas pas bien…”

Ma main glisse sur sa taille, puis au creu de ses reins, pressant son corps contre le mien, comme si celà pouvais gommer ce que ce type a put lui faire. J’aurais voulu être là et lui faire bouffer ses dents les unes après les autres. Je l’aurais certainement tué dans un excés de rage. La situation aurait peut être été pire si j’avais été là… oui, peut être, mais ça ne change rien à ce sentiment d’impuissance qui me broie de l’intérieur. Mon pouce cuille la larme roulant sur sa joue quand elle me confit que c’est ce gamin qui aurait put recevoir le coup de trop. Elle a raison. Elle a bien agit, je le sais que trop bien, mais ça n’amenuise pas ma colère.

” Tu as fais ce qui fallait… “

Elle a besoin d’être rassurée et pas de me voir fulminer de rage comme un taureau. J’inspire l’air qu’elle expire, me callant sur sa respiration presque aussi irrégulière et rapide que la mienne pour tenter de me calmer. Ses lèvres me volant un baiser me font décoller dans un tourbillon de passion et de désir violent. Mon coeur manque un battement quand elle m’avoue ne plus supporter passer une nuit sans moi.

” Tu sais que ce problème à une solution d’une extrême simplicité ? “

Je me moque un peut d’elle, lui répondant sur ce faux air de légèreté pour dissimuler le trouble qu’elle provoque en moi. Dire qu’il y a encore peu j’ai du me battre pour qu’elle accepte de boire ne serais ce qu’un verre chez moi… La vérité la rattrape. La passion nous rattrape et nous emporte avec elle.

” C’est bien… Tu t’ai enfin rendus compte que tu ne pourras plus te débarasser de moi…”

Je lui offre mon plus beau sourire de petit con prétentieux, faisant clairement allusion à son acharnement passé à vouloir m’éloigner d’elle. Mes deux mains se positionnent autour de sa taille avant de pivoter promptement, m’allongeant sur le dos, je l’invite à venir se positionner au dessus de moi. Je souris et la dévore des yeux, glissant mes doigts le longt de ses cuisses sous cette nuisette beaucoup trop sexy.

” T’as perdu le match Païs… Je pensais pas te voir rendre les armes aussi facilement. “

Je m’amuse, mais le sujet n’en reste pas moins sérieux. Je la taquine et la provoque pour gommer cette tristesse de ses traits de poupée de porcelaine. L’une de mes mains agrippe sa nuque pour l’attirer contre moi pendant que le seconde s’affaire à la torturer à travers son dessous de dentelle.

” Je te veux. Maintenant.”

Mon ton et autoritaire et ne souffre d’aucune protestation d’aucune sorte. Ma langue inquisitrice force le barrage de ses lèvres le temps d’un baiser d’une rare intensité. Je suis fou d’elle. Jamais rassasié.
Pando
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MessageSujet: Re: back to reality - ALbinn    back to reality - ALbinn  EmptyDim 22 Oct - 14:01




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Chaque seconde sans lui semble être une éternité à vivre, et en son absence tu doutes que ça vaille le coup d'être vécu. 
   
-- Tenue -- Tu sais pertinemment ce que tu as dit. Tu voulais du temps. Tu voulais que rien n’aille trop vite entre vous, que ce passé que vous aviez en commun ne détruise pas de nouveau tout sur son passage, en éclatant vos âmes de milles blessures. Vous n’avez que trop souffert de votre précédente union. Le déchirement que vous avez vécu en vous séparant étant d’une douleur tellement suffocante il avait fallut apprendre après cela, à respirer de nouveau sans l’autre. A avancer même si la plaie dans votre âme était tellement profonde que ça vous anéantissez à chaque bouffée d’air. Tu sais pertinemment que ça parait ironique de parler de cette manière alors que vous n’aviez que 17 ans. Mais les sentiments que vous aviez nourris, jamais vous n’auriez pu les nourrir pour quelqu’un d’autres même, après une vie entière loin de lui.


Tu peux prendre tout le temps que tu veux, tu l’aimes. Si tu n’es pas capable de le dire à haute voix, tu sais pourtant que c’est encore là, et que ça l’a toujours été. Finn est l’homme dont tu ne peux pas profiter avec modération. Aimer Finn c’est se noyer dans une passion qui vous dépasse, qui vous transperce de part en part sans vous laisser le choix de raisonner. Cet homme est dans ta peau, dans ton âme et dans ta tête. Et lutter contre ça c’est véritablement comme se priver d’eau en pensant qu’elle n’est pas essentielle à la survie.
Ce soir il est parti, tu avais envie qu’il reste. Tu en as de plus en plus envie malgré tes désirs de prendre votre temps et de ne pas forcer les étapes. Vos étapes ont été forcées depuis bien longtemps. Ton père est toujours une ombre au tableau à prendre en compte et le sous estimez seraient très clairement une erreur. Vous n’avez plus 17 ans mais, tu ne te pardonnerais jamais qu’on s’en prenne à Finn à cause de toi. Ton grand maître est au courant de ton histoire, Jahad a déjà probablement tout dit de ce qu’il a apprit à ton sujet. Mais tu serais morte si l’ordre, jugée la situation dangereuse ou menaçante pour votre organisation. Quoi qu’il en soit la porte tambourine et ton cœur tout autant lorsque tu reconnais sans mal la voix délicieuse de Wilson, t’ordonnant de lui ouvrir. Tes pas foncent pour l’amener à entrer, et des vos premiers contacts visuels, tactiles, gustatifs le feu te monte au corps. Tu avoues à demi-mot que tu aimerais qu’il passe chaque nuit à tes côtés et ça semble l’étonner. Tu le laisses reprendre ta bouche et ton soupire d’aise à son contact ne peut être dissimulé. Tu approuves lorsqu’il te demande si c’est vraiment ce que tu aimerais.


- Je peux te mentir si tu préfères.


Son baiser a tout dit de ce que tu avais besoin de savoir. Parfois avec Finn, les mots disparaissent remplacés par ces attitudes et ces attentions à ton égard et c’est probablement les meilleures réponses qui puissent exister. Son regard s’attarde rapidement sur ta nuisette et tu te saisie de sa main pour rejoindre la chambre avant qu’Eden n’est à te voir dans une union avec Finn des plus charnelles. Toi et lui n’êtes après tout pas très réputé pour être raisonnable. Tu rejoins le lit et t’inquiète de sa venue tardive. Tu es évidemment ravie de le voir et de le savoir là, mais pour qu’il vienne à 3h du matin en menaçant de tout détruire sur son passage c’est qu’il ne va pas bien. Il te rejoint dans le lit et sa chaleur te fait frissonner alors que tu déposes ton visage contre son bras et le fixe droit dans les yeux. Ta première idée est qu’il regrette ce moment avec Jahad, qu’il est venu t’en parler parce qu’il ne supporte pas l’idée. Tu pourrais comprendre après tout. Mais son regard plonge dans tes iris et il désapprouve ton idée. Il dit qu’il réalise encore difficilement ce qui s’est passé entre vous. Puis ces mains se déplacent sur ton cou puis tes hanches et tu baisses un instant les yeux. Les marques c’est ce qu’il pointe du doigts et imperceptiblement tu te tends. Tu tentes de le protéger de lui dire que tu vas bien mais il te corrige instantanément et tu reviens dans ces iris. Ces bras t’attirent plus fort contre lui et tu t’y loves avec tendresse. C’est là, exactement là que le meilleur endroit du monde est palpable. Il finit par te dire que tu as fais ce qu’il fallait.


- Si tu avais été là… tu ne te serais pas arrêté.


Tu enlaces son corps, tu le serres. Finn est un flic, un bon flic d’après ce que tu as pu entendre. Mais tu connais l’homme derrière l’insigne, et tu sais qu’il est capable de beaucoup de choses même des pires lorsqu’il s’agit de quelqu’un qu’il aime. Plus jeune il était capable de devenir une furie pour sa sœur, et c’était pire lorsqu’il s’agissait de toi. Il oblige ton visage à revenir face au sien et sa bouche expire contre la tienne. Tu attrape sa nuque, oblige son front à venir contre le tien. Tu embrasses sa bouche avec délicatesse et sent instantanément comme son corps commence à te désirer. Incorrigible. A ton envie il répond qu’une solution simple existe et tu soupires en tirant doucement sur ces cheveux face à cet air de merdeux prétentieux qu’il affiche. Il réplique également que c’est bien que tu te sois rendu compte que tu ne te débarrasseras pas de lui, et tu ris en articulant.


- Attends. Tu es prêt à briser le cœur de toutes ces femmes qui attendaient désespérément que tu leur proposes de venir chaque nuit les hanter ?


Tu approches et mord doucement la lèvre inférieure de ton magnifique flic qui cherche à te provoquer. Tu adores ce genre d’instant avec lui, presque autant que lorsque vos corps se font l’amour. Il n’y a qu’avec lui que tu as été capable de t’offrir totalement et sans la moindre barrière. Il te connait par cœur. Et tu le connais sur le bout des doigts. Il attrape ta taille t’oblige à venir t’installer à califourchon sur lui et tu penches doucement ton visage en le regardant. La pulpe de ces doigts parcourt ta peau, cette nuisette à l’air de vraiment beaucoup lui plaire. Il te critique disant que tu as perdu le match et tu pinces tes lèvres en te penchant et en venant prendre en otage ces lèvres, lui offrant un baiser des plus sensuels. Ton corps s’arque volontairement pour que ton bassin presse le sien.


- Je n’ai rien perdu du tout… Ou peut que si finalement… Mais si ça t’amène à te retrouver dans mon lit chaque nuit alors… d’accord. Je suis la perdante.


Tu le sens attraper ta nuque, et son autre main vient délicatement contre ton entrejambe pour te caresser et ta bouche s’entrouvre instantanément. Tu l’écoutes te dire qu’il te veut et tout de suite et soudainement ta respiration se vide totalement. La seconde suivante, tu te jettes sur lui, ta bouche le dévorant littéralement, tu agrippes ces vêtements et lui retire chacun d’eux avec des mouvements très rapide. Tu lui ôtes son jean, tirant dessus avec avidité. Tu as faim, faim de lui et de tout son corps. Tu veux le dévorer, et ne laisser aucune parcelle de son corps sans la trace de tes caresses sur lui.



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MessageSujet: Re: back to reality - ALbinn    back to reality - ALbinn  EmptySam 28 Oct - 17:35

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On devait prendre notre temps, ne pas brûler les étapes, et pourtant cette passion dévorante et brûlante nous y pousse à chaque instant. Ma battre pour elle est comme une seconde nature, j’ai tellement peur de la perdre une nouvelle fois. Cette peur est viscérale, clouée à moi, faisant trembler mon cœur à chaque instant. Mon corps, mon cœur et mon âme tout entière se souvient encore trop bien ce que ça fait de la perdre, de la voir s’éloigner, de devoir renoncer à elle. Je serais incapable de surmonter ça une seconde fois. Je connais que trop bien cette douleur et cette sensation de vide constant... que rien à part elle peut combler. Je la serre contre moi, j’inspire son odeur comme une camé en manque. J’ai besoin d’elle, de la voir, la sentir et la toucher.  

Je n’ai pas besoin de temps pour savoir que je veux passer le reste de mon existence avec elle, rien ni personne ne pourra altérer cette réalité. La seule idée de sentir son corps collé au mien toutes les nuits attisent en moi un désir brûlant. Dans sa chambre, je lui fais part de mes inquiétudes, des faits qui m’ont poussé à débouler chez elle comme un véritable fou. Ce que nous avons fait ce soir avec Jahad n’en est absolument pas la cause. Non, c’est plus profond et plus grave que ça, c’est ce qui s'est passé avant, cette impression insupportable de ne pas avoir été capable de la protéger. Je n’ai aucune prise là-dessus et je crois que c’est précisément ce qui me rends le plus fou. Elle était en danger, je n’étais pas là. Mes doigts effleurent les marques qu’à fait ce type... elle me dit qu’elle va bien, mais je la corrige instantanément. Faux. Elle ne va pas bien. Elle se love dans mes bras et je la serre doucement contre moi, comme si le simple fait d’être entre mes bras pouvait la protéger de la planète entière. Ma mâchoire se contracte durement quand elle me dit que si j'avais été là je ne me serais pas arrêté. Elle a raison. Le type serait probablement six pieds sous terre à l’heure qu’il est. Je suis un bon flic, je fais bien mon job, je suis d’ordinaire juste comme type, mais quand il s’agit d’elle je suis capable des pires dérapages. Je le sais. Elle le sait.  

« Probablement oui... »

Ma voix tire dans les graves et se meurt sur ses lèvres. Je pourrais tuer pour elle, ça j’en ai la certitude absolue, la droiture et les lois n’ont plus aucune valeur à mes yeux quand il s’agit d’elle.  Son front contre le mien, mes iris fixent les siens comme si je cherchais à sonder son âme. Nos souffles se mêlent et j’esquisse mon plus beau sourire de petit branleur lui susurrant qu’elle a enfin compris que je ne renoncerais jamais à elle, qu’elle a rendus les armes et que par conséquent d’une certaine manière j’ai gagné la bataille.  Je réprime un éclat de rire quand elle me demande si je suis prêt à briser le cœur de toutes ses femmes qui voudraient que je vienne hanter leurs nuits.  Je lui impose le silence, muselant ses lèvres provocatrices d’un baiser langoureux avant de souffler contre :  

« Les seules nuits que je veux hanter, ce sont les tiennes...» Lentement je l’embrasse, forçant le barrage de ses lèvres de ma langue taquine suspendant ce baiser que pour ajouter : « je veux t’entendre gémir de plaisir, te sentir trembler sous mes caresses... et t’entendre crier mon nom quand l’extase te prendra... » Mon visage reculé légèrement, je viens ancrer mes iris sombre dans les siens, la provoquant d’un de ses sourires espiègles dont j’ai le secret. « A moins que tu veuilles qu’une autre cris mon nom...» Je la provoque attise cette jalousie dont j’aime voir danser les flammes dans la clarté de ses iris.  

Mes doigts agrippent sa taille pour l’inciter à venir s’installer à califourchon sur moi. Je la caresse, je laisse mes doigts courir sur les courbes de ce corps que je connais par cœur et dont je ne me lasserais jamais. Je la taquine en lui disant qu’elle a perdu le match, qu’elle me cède bien plus qu’elle en avait l’intention. Mon acharnement a eu raison de ces dernières résistances. Elle le sait et je me plais à le lui faire remarquer.  Un sourire ettire mes lèvres quand elle accepte sa défaite, pressant son bassin contre le mien elle peut que constater l’effet qu’elle a sur moi. Je la veux. Ces mots déclenche en elle une passion dévorante qu’elle laisse s’exprimer en ce jetant sur moi, domptant mes lèvres d’un baiser sauvage avant de retirer mon jean avec une impatience qui me rend fou. Mes vêtements ne sont plus qu'un lointains souvenir, ils jonchent le sol de sa chambre dévoilant dans cette semi-pénombre une virilité pointant vers le ciel fièrement, affirmant un désir pressant que je n’ai même pas à verbaliser.

Je me redresse, et crochète sa nuque de mes doigts, l’attitrant contre moi pour l’embrasser sauvagement. Je romps ce baiser brûlant seulement lorsque le souffle commence à nous manquer, le terminant en mordant sa lèvre inférieure, la relâchant seulement lorsqu’elle lâche un couinement. « Tu es mienne...» Je prononce ces paroles avec une possessivité ferme, mes doigts effleure ses lèvres gonflées par l’intensité de notre baiser. « Ce corps est à moi... » J’affiche un sourire, raffermissant la prise de mon autre main dans sa chevelure, ma main libre part de ses chevilles, effleurant chaque parties de son anatomie en la citant, lentement... je suis possessif... et quand mes doigts effleurent ses lèvres, je déraille complètement. Ma poigne ferme et dominatrice la force à se baisser, plaquant ses lèvres contre mon sexe dressé. « tes lèvres putains... » Je la regarde comme un putain de prédateur prêt à la bouffer. Ma main libre attrape son sexe pour le guider et forcer le barrage de ses lèvres. Je la veux. Maintenant... « Suce moi...  » C’est davantage un ordre qu’une supplique... je la fixe le regard plein d’un désir violent et puissant. Quand il s’agit d’elle je perds le contrôle de mes actes, je suis incapable de résister. Albane Païs est incontestablement mon talon d'Achille. Ma plus grande faiblesse.  
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MessageSujet: Re: back to reality - ALbinn    back to reality - ALbinn  EmptyLun 30 Oct - 16:40





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Chaque seconde sans lui semble être une éternité à vivre, et en son absence tu doutes que ça vaille le coup d'être vécu. 
   
-- Tenue -- Peut être est ce un peu ta faute au fond si Finn est aussi tenace et déterminé te concernant ? Peut être que l’obsession que tu es pour lui, et qu’il est pour toi est le fruit de ton absence, le résultat d’une rupture affreusement brutale et qui vous a fait du mal à un point que peu de personne puissent comprendre. Tu ne pensais réellement pas avoir un jour une seconde chance avec lui. S’il hantait ton esprit depuis autant d’années c’était simplement le résultat de ta culpabilité et rien d’autres. Au fond de toi tu étais convaincu qu’il avait refait sa vie, qu’il avait demandée une femme qu’il aimait en mariage, qu’il avait sans doute des enfants, une famille, peut être même un putain de bouledogue dans le jardin s’attaquant au facteur des que celui-ci mettait trop de temps sur la propriété. Il avait la vie de la plupart des américains, celle tranquille dans un pavillon en périphérie de la ville et il était heureux. Et ne rêvé plus du tout de cette fille du lycée qui faisait ressortir sa noirceur, embrassant celle-ci et la cultivant parce que c’est ainsi qu’il est le plus libre.  


Comment aurait-il pu être ce type débarquant au beau milieu de la nuit chez toi dans un état de pure folie, en réclamant toute ton attention, toute tes caresses, le moindre souffle de tes lèvres. Comment aurait-il pu te traquer après autant d’années, n’oubliant strictement rien de votre passé, ni de ce que tu étais et aimé. Comment pourrait-il accepter de te partager avec un inconnu, d’embrasser le style de vie que tu mènes depuis votre rupture ? Finn ne devrait plus avoir à te courir après, c’est toi qui devrais le poursuivre, cessez de le repousser, de le fuir alors que tous ce que tu as toujours désiré au fond c’est l’avoir à toi, et le couvrir de tout l’amour qu’il mérite.


Tu es incapable de lutter contre la force des sentiments que tu nourris pour lui. Incapable de le tenir à distance comme tu l’as fait plus jeune, trop d’années de souffrance t’ont poursuivi ensuite. Tu ne peux que désirer cet homme qui se jette sur toi dès que l’occasion s’y prête, ou non en réalité. Tu as beau avoir vécu une expérience particulièrement sensuelle il y a quelques heures, ça ne change rien. Tu ne peux que vouloir le dévorer quand ces mains t’agrippent avec autant de passion, autant de possessivité. Tu gagnes ta chambre avec lui, voulant plus que tout être seule avec lui et surtout découvrir ce qui le tracasse autant à 3h du matin. Si ton idée de départ était Jahad, tu comprends rapidement que son angoisse n’est liée à rien d’autre qu’à ton agression. Tu tentes de le rassurer mais Finn n’est pas spécialement le genre d’homme qu’on berne facilement. Sans doute ces sens accrus de flics y jouent pour beaucoup. Il aurait voulu être là, il s’en veut de ne pas avoir été présent. Et au fond, tu sais que son absence était la meilleure des choses. Finn possède de l’obscurité en lui… Assez en tout cas pour te concernant en venir à des décisions lourdes de conséquences. Tu caresses sa joue, dépose ta bouche contre la sienne et embrasse avidement ces lèvres torturées qui s’en veulent de ne pas t’avoir défendue. Il te dit vouloir hanter tes nuits, après un baiser des plus langoureux qui met ton corps en état de brasier. Tu soupires contre sa bouche avant de le repousser fort de ta bouche, arrachant sa langue à la tienne en lui tiraillant les cheveux. Ton regard sur lui pétille de malice, de sincérité aussi, tu effleures son nez du tien en susurrant.


- Je voulais qu’on prenne notre temps… Je voulais qu’on reste discret… Et peut-être que je veux toujours tout ça mais…  Je veux plus que tu hantes mes nuits Finn. Ça fait 10 ans que tu le fais. Je veux te sentir contre moi quand je m’endors, te sentir me réveiller parce que la passion est trop forte, je veux savoir que tu vas bien, que tu es heureux. Je veux vivre tout ce dont je nous ai privé durant dix ans Monkey. Et je veux abuser de toi encore… et encore…


Tu détailles son regard qui s’obscurcis et écoute l’ordre qui s’en suit. Ta peau se couvre d’une chaire de poule alors que son air dominant transperce ton corps telle une allumette se jetant dans les braises. Tu entrouvres les lèvres lorsqu’il te dit vouloir que tu trembles, que tu gémisses et que tu dises son nom. Tu frisonnes en le regardant, tu adores qu’il prenne le contrôle sur ton corps, ton esprit. Et le temps que tu sembles mettre à lui sauter dessus, ne semble pas lui plaire au vu de la provocation qu’il te lance. Il parle d’autres femmes et soudainement ton corps se jette sur le sien, venant s’enfourcher sur son bassin, le pressant alors que ta bouche fait clore ses lèvres. La jalousie a toujours été le meilleure carburant entre vous. Avide, sauvage tu ondules ton bassin pour qu’il te sente malgré ces barrières de tissus encore présentes. Il est à toi… Rien qu’à toi. Ces mains sont partout sur toi et tu frisonnes, son sourire s’étire et tu l’obliges au silence en laissant ta langue venir à la rencontre de la sienne. Un balai sensuel s’y joue, tes dents venant le punir de te rendre aussi dingue de lui. Tu t’empresses de retirer ces vêtements, tu le veux contre toi, sans artifice. Tu balances ta nuisette alors que les doigts de Finn agrippe ta nuque pour t’obliger à revenir à lui. Un couinement s’évapore dans la chambre. A bout de souffle sans rien avoir fait, vous vous laissez aller aux flammes qui vous consume. Tu l’entends dire que tu es à lui, et ton cœur manque un battement. Tes iris dans les siennes, tu sens sa main venir contre ton entrejambe et ta bouche en tremble l’espace d’un instant alors qu’il t’oblige à rester en place. Il dit que ton corps lui appartient et tu couines doucement avant de murmurer.


- Depuis toujours.


Il a été ton premier, et ton corps ne l’a jamais oublié. Ta main se glisse contre son pieu de chaire fièrement dressé et tu souffles avidement contre ces lèvres. Tu aimes qu’il prenne le pouvoir, tu adores ça. Si sa main oblige ta nuque à rester contre lui, il touche et cite chaque parcelle de ton corps qu’il estime être à lui. Tu sens ta respiration prendre de la cadence face à l’attente et le désir qu’il fait naître en toi de part son attitude. Il t’oblige à te baisser jusqu’à ce que ta bouche approche de sa queue. Ton sourire s’élargit, alors que tu le prends en bouche. Il parle de tes lèvres et tu les laisses coulisser tout le long de son membre sensible, en le regardant droit dans les yeux. Ses yeux sont des éclairs, il est fou de passion de désir, et rien que cette vision pourrait te déclencher un orgasme tellement il est magnifique à regarder. Avec un peu plus d’autorité il oriente son sexe dans ta bouche et tu ouvres plus fort les lèvres, te soumettant à lui sans qu’il n’ai besoin de le demander. Il t’ordonne de le sucer et instantanément tu obéis. Tu prends possession de sa verge et la cajole, la caresse, la suce alternant douceur et passion, compression et effleurement. Tu veux sa folie, tu veux qu’il n’y ai que toi encore et toujours malgré les autres femmes. Alors tu prends plus de vitesse, tu ne comptes pas t’arrêter avant l’assouvissement avant qu’il ne comprenne qu’il donne les ordres mais que c’est toi qui l’assouviras, qui l’obligeras à rendre les armes, qui jouira avec puissance parce que tu l’as décidé. Sa main toujours sur tes cheveux, tu relâches un instant son pieu de chaire pour susurrer.


- Tu es magnifique…


Tu halètes, mords sa cuisse et le reprend en bouche et cette fois tu l’enfonces le plus loin possible dans ton arrière gorge. Centimètre par centimètre tu l’amènes au plus loin que ton anatomie te le permette.


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MessageSujet: Re: back to reality - ALbinn    back to reality - ALbinn  EmptyJeu 9 Nov - 22:15

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Peut-être que l'idée d'être ensemble ne serait pas une telle obsession si nous n'avions pas été séparés aussi longtemps par la force indomptable des circonstances. J’ai besoin de la retrouver, de la serrer contre moi, de sentir sa présence rassurante, elle est devenue aussi vitale et précieuse que l'air frais que je respire chaque jour. Son absence a créé un vide immense dans mon existence, me faisant réaliser à quel point elle est vitale pour moi, à quel point elle est indispensable à ma vie. Albane, avec sa beauté étincelante et son esprit brillant, est le plus précieux et rutilant des joyaux dans l'écrin de mon cœur. Je suis fermement convaincu que personne ne peut vraiment comprendre la profondeur et l'intensité de ce que nous vivons, elle et moi. C'est une expérience unique, quelque chose qui transcende l'ordinaire et qui est si intense qu'il est presque impossible de mettre des mots dessus. Il n'y a pas si longtemps, elle faisait partie de mon passé, un souvenir lointain mais toujours présent dans mon esprit. Elle était cette pensée à la fois douce et amère qui me hantait. Elle représentait le plus grand regret de mon existence, une nostalgie d'une époque révolue. Mais maintenant, les choses ont changé. Aujourd'hui, elle est là, dans ma vie, encore plus belle et passionnée que dans mes souvenirs.

Elle me rend fou, elle a ce putain de pouvoir étrange et envoûtant sur moi, celui de renverser et retourner mon esprit en un éclair, comme une tempête. Je déboule chez elle comme un véritable fou, dévoré par cette passion débordante et incontrôlable. Cette soirée a été folle, oui, un véritable tourbillon d'émotions et de sensations, mais ce n'est pas ce qui me préoccupe, ce n'est pas ce qui me mets dans cet état d'agitation et de confusion. Ce qui me préoccupe, c'est elle, son emprise sur moi, ce lien indéfinissable qui nous unit. Je pénètre chez elle, oui, mais pas seulement dans son espace physique, mais aussi dans sa vie, dans son existence. Je ne compte pas m'éloigner d'elle, ni maintenant ni jamais. Suis-je intrusif ? Possessif ? Peut-être, mais lorsque ses lèvres viennent s'écraser contre les miennes, je perds pied, je perds toute notion de réalité. Ses lèvres ensorcelantes accaparent mon esprit, me submergent et éveillent en moi un désir fou, sauvage et irrépressible. Je pousse un gémissement de frustration intense quand elle se détache brusquement de notre étreinte passionnée, laissant une sensation glaciale et presque douloureuse sur mes lèvres désormais abandonnées. Mes yeux, embués de désir intense, plongent profondément dans les siens, cherchant une réciprocité dans son regard. En réponse, mes lèvres s'étirent lentement en un sourire étrange, un mélange de surprise et de satisfaction. apparente que contre toute attente, elle a décidé de revenir sur ses plans initiaux. La discrétion, autrefois une priorité pour nous deux, ne semble plus qu'être un plan lointain, presque oublié. Ses mots, prononcés avec une assurance inébranlable, résonnent en moi avec une violence incroyable, comme un écho puissant dans une vallée silencieuse. Elle transperce mon cœur avec ses belles paroles, paroles qui semblent être des flèches d'amour lancées avec précision. Et ce n'est pas seulement mon cœur qui est touché, mais mon âme aussi est profondément marquée par ses mots.

« Et moi je veux simplement être à toi. »

Mes mots, doux et ardents, se meurent sur ses lèvres dans un souffle chaud et emprunt d'un désir fou, d'une passion dévorante qui me consume de l'intérieur. Je suis à elle, en effet... mais avant tout, elle est à moi. Elle est mienne. Une possessivité brûlante s'empare de moi, m'emportant dans un désir de domination auquel je n'essaie même pas de résister. Parce que cela fait vibrer chaque fibre de son être, parce que j'aime la sentir sous mon emprise, parce qu'entre elle et moi, c'est comme ça que les choses se passent. C'est intense. C'est violent. C'est sauvage. C'est une danse éperdue d'amour et de désir qui déchaîne les passions et enflamme nos cœurs.

Nos corps s'entrelacent et dansent l'un contre l'autre, exécutant une danse à la fois sensuelle et passionnée qui parle de désir et d'amour. Ses lèvres, avec un acharnement sauvage et une faim insatiable, dévorent les miennes, nous transformant en deux corps en fusion, deux âmes écorchées qui s'unissent dans un ballet silencieux pour panser les blessures que l'absence de l'autre a cruellement infligées au fil du temps. Je l'embrasse avec une intensité qui frôle la douce violence, la caresse inlassablement, chaque toucher est une affirmation de mon besoin d'elle, de la sentir là, tout contre moi, sa présence est mon salut. Mon désir de la posséder est une pulsion irrépressible, et je viens cueillir du bout de mes doigts la douce preuve de son abandon, une concession à notre amour qui transcende l'espace et le temps.

« Et à jamais…»

Je m'attarde sur chaque parcelle de son anatomie, la scrutant et l’admirant avec une extrême précision qui frôle l'obsession. Je suis complètement hypnotisé par ses lèvres ensorcelantes, ces lèvres qui exercent un pouvoir mystique sur moi. Malgré l'image que je renvoie, celle du mec directif et dominant, en réalité, c’est moi qui suis totalement sous son emprise. Dans un élan de désir pur, un désir brutal et sauvage, mon poing se referme sur sa chevelure éparpillée, imposant mon sexe durci d’envie contre ses lèvres délicates. Son regard, plein de provocation et de défi, m’attise bien au-delà de ce que les mots peuvent expliquer. C’est puissant et sauvage, ma main affirme sa prise dans sa chevelure, guidant les mouvements de ses lèvres le long de mon membre. Elle me dévore avec une avidité qui me désoriente, c’est puissant, c'est déroutant. Mon plaisir monte comme une vague, atteignant des cimes vertigineuses. Tout en elle éveille en moi une folie indescriptible. Ses lèvres, son sourire enchanté… et son regard plein de provocation silencieuse. A elle seule, elle a redéfini le mot passion dans mon vocabulaire. J’en viens à me demander comment j’ai pu vivre aussi longtemps sans sa présence, sans ce lien étroit qui nous unit. Cette connexion intense me rend fou, me consume de l'intérieur.

« Oh putain Albanne…»

Englouti par les flammes d'un amour passionné, l'obscurité de mes prunelles est animée d'une lueur ardente. Ma voix, basculant dans les graves, révèle mon déraillement total face à cette passion dévorante. Ma mâchoire se contracte avec une force inouïe tandis que, à chaque mouvement, mon gland frappe le fond de sa gorge. Chaque va-et-vient est plus puissant, plus violent que le précédent, jusqu'à ce que je la bloque, logée au plus profond de sa gorge, la privant momentanément de son souffle vital. Mes lèvres, tremblantes d'émotion, murmurent un « Je t'aime » grave, les mots mourant à la frontière de notre intimité. Au même instant, j'explose, crachant mon foutre chaud au fond de sa gorge, souillant sa langue provocatrice, ses lèvres envoûtantes et délicieusement tentatrices. Lentement, je relâche mon emprise, lui permettant de se retirer pour enfin respirer. Mon regard, intense et brûlant, n'a à aucun moment quitté le sien, et mes lèvres s'étirent dans un sourire ardent, reflet de mon amour incandescent.

Haletant et à bout de souffle, je lutte pour me reconnecter à la réalité de la perfection de cet instant. Je suis submergé par une vague d'émerveillement et d'appréciation pour sa présence. Mes doigts glissent le long de l’arrête de sa mâchoire, la caressant avec une tendresse infinie et profonde. C'est comme si je cherchais à lire en elle la perfection de son âme, à comprendre chaque secret qu'elle détient.

Lentement, mes iris dans les siens, je l’invite à se redresser. Je souhaite que les courbes de son corps viennent épouser les miennes, créant une intimité parfaite entre nous. Mon bassin ondule contre le sien, créant une tension qui ne fait que croître. Je l’attise, pendant que mes lèvres se perdent dans son cou, l’embrassant, la mordillant pour y apposer une marque de possession évidente.

Je l’attise, provoque son envie pour la voir craquer. Je trouve qu'elle est si belle quand l’envie la consume, quand elle atteint ce point de non retour. Il n'y a rien de plus magnifique que de la voir se perdre dans le plaisir et l'extase, de la voir succomber à nos désirs communs.  
Pando
Albane Païs
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MessageSujet: Re: back to reality - ALbinn    back to reality - ALbinn  EmptyLun 13 Nov - 15:15



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Chaque seconde sans lui semble être une éternité à vivre, et en son absence tu doutes que ça vaille le coup d'être vécu. 
   
-- Tenue -- Il serait encore un fantôme aujourd’hui si un putain de brancard n’était pas arrivé aux urgences en le portant inconscient jusqu’à toi. Et il l’aurait pour toujours, si quelqu’un d’autre que toi avait été son médecin ce soir-là. Ce n’est pas de la vantardise, ni de l’arrogance, mais tout autre médecin aurait attendu son titulaire en voyant les clichés de Finn. Aucun ne se serait aventuré à une procédure en solo, notamment au vu de la profondeur des lésions que possédé cet agent de police blessé en missions. Au fond même toi tu aurais respecté le protocole si ça avait été quelqu’un d’autre. Jamais tu n’aurais remis en question ton précieux droit d’exercer pour quelqu’un d’autre. Sauf qu’à l’instant où tu as vu son nom sur le dossier, à l’instant où tu as compris qui été sur cette table d’examen, toute rationalité s’est évaporée. Tu as senti ton cœur se mettre à battre plus vite, ta respiration devenir manquante alors que les clichés annoncés sa mort. Une part de toi trésaille encore à cette pensée. Dix années loin de lui n’avait pas suffit à te roder à l’éventualité de le recroiser. Dix années ne suffisaient pas à étouffer les sentiments, qu’à l’âge de 16 ans, tu avais commencé à nourrir pour lui.


Entre toi et lui c’est tellement difficile à expliquer. Ce n’est pas juste une attirance, pas simplement des sentiments lambda, pas juste de la chimie qui explique ton attachement. Non… C’est une connexion, une fusion qui défi toute logique. Tu as vu bon nombre de personne se disant amoureuse, se disant éprise d’une autre. Rien n’est représentatif de ce que toi tu vis lorsqu’il est là. Tu perçois avec précision ce qu’il peut penser, ce qu’il peut envisager. Ton esprit est comme relié au sien, d’une manière inexplicable. Tu es la première à te dire que ce genre de phénomène n’existe pas. Que scientifiquement parlant, ce genre de choses n’est pas réel. Pourtant tu pourrais parier, que ce soir-là, le soir où tu lui as sauvé la vie. Son mal était le tien, sa douleur était la tienne. Assez pour qu’aujourd’hui, tu ne sois plus du tout en capacité de chasser l’homme qui règne depuis bien longtemps sur ton existence. Assez pour que tu puisses bientôt orchestrer le pire. Assez pour que sa vie et la tienne ne soit plus jamais menacée d’être éloigné.


Il a débarqué ce soir. L’espace d’une seconde tu as eu peur que tes envies de la soirée, l’ai poussé à te dire qu’il ne voulait pas de ce genre de vie. Que tes travers étaient trop éloignés de sa conception des choses. Avec Jahad, c’était un moment délicieux, d’une passion folle et d’une énergie nouvelle. Pourtant, il t’était impossible de céder à une envie si Finn s’y opposait. C’est assez dingue de se dire cela au fond. Tu as baisé des hommes pendant des années. Des relations qui n’avait pas plus de durée que le temps d’un orgasme avant qu’il ne soit chassé de ta vie. Pourtant ce soir, lorsque tu as ressenti du désir pour Jahad c’était impossible pour toi de l’envisager ou d’y céder sans que Finn ne soit de la partie, ou d’accord. Ce cap dans votre relation était aussi en réalité un moyen de savoir si Finn pourrait épouser la vie qui est la tienne aujourd’hui. Tu es une templière, une femme dévouée à cette cause depuis ta naissance, et la seule personne qui pourrait ébranler cette conviction de vie c’est lui. Le maître envisage son intégration, et tu ne sais absolument pas comment amener cette facette de ta vie à la connaissance de l’homme de ta vie.


Sa bouche s’écrase contre la tienne, la voracité dont il fait preuve t’enflamme instantanément. Tu ne peux pas vivre sans lui, plus les secondes passent en sa présence et plus cette évidence prend par de toi. Il est la condition pour que tu puisses un jour être véritablement heureuse. Sa bouche est exigeante, ses mains possessives, tu adores qu’il le soit. Tu aimes sentir qu’il serait prêt véritablement à tout pour toi. Parce que tu l’es tout autant. Il dit vouloir simplement être à toi et tu sens ton cœur battre plus vite. C’est tout ce que tu veux toi aussi. Ne plus jamais, strictement jamais être privé de lui. Il s’empare de nouveau de ta bouche et rapidement les flammes se mettent à vous consumez. C’est urgent, empressé et rapide. Oubliant toute raison, tu sens ton corps le vouloir, et le sien te vouloir tout autant. Tu frisonnes, et ta bouche devient plus autoritaire alors qu’il t’amène à venir sur son corps. Que ces mains se font pressantes pour te défaire de ta nuisette et que tes mains le sont tout autant pour le dévêtir. Il n’y aucune douceur, juste de l’urgence, de l’animosité et du désir à vous consumer. L’une de ces mains vient te caresser et il ne peut que constater comme ta faim de lui, se fait sentir contre la pulpe de ces doigts. Tu es incapable de lui résister peut en importe l’enjeu. Il attrape tes cheveux et soudainement te dirige vers son membre. Tu ne te fais pas prier pour le prendre entre tes lèvres. Les yeux rivés dans les siens, tu t’appliques à une fellation qui le transcendera. Rien n’est trop beau pour le voir dérivé et prendre son pied. Tu l’attises de tes prunelles, suçant fort et sensuellement ce pieu de chaire qui ne demande que ton attention. Tu sais que c’est le pouvoir qu’il te donne malgré cette prise autoritaire dans tes cheveux. Son corps grimpe d’intensité et tes mains s’appose sur son bassin qui s’agite sous tes succions. Tu l’obliges à l’immobilité alors que tu pompes plus fort sa longue et divine verge. Tu l’aides à se perdre plus loin dans ta bouche jusqu’à ta gorge. Et dans ton regard, il y a toute l’envie de combler cet homme peut en importe les conséquences. Il geint, articule ton prénom dans un cri et tu souris contre sa queue. Ta langue vient le cajoler en se mêlant à la danse. Tu sens la pression dans tes cheveux devenir plus difficile et tu t’extasies à le voir si beau dans les tiraillements de son plaisir. Puis soudain il s’enfonce plus fort en toi et son regard dans le tien, tu sens le fruit de sa jouissance mourir dans ta gorge. Tu sens le manque d’air mais tu ne bougeras pas alors que sur sa bouche tu lis des mots qu’il t’a rarement dit. Ces mots brisent instantanément le peu de barrière qu’il te resté. Son orgasme descendant, tu grimpes alors avidement sur son corps. La poigne dans tes cheveux ne te ralentira pas. Tu te dresses devant lui, attrape à ton tour ces cheveux, l’obligeant à te regarder même si tu es certaine qu’il ne compte absolument regarder ailleurs.


- Redis le.


Tu le regardes d’un air fou de détresse, ton corps s’allonge sur le sien. Ton bassin se frottant à sa queue fraichement assouvie. Tu cambres, faisant en sorte que le frottement entre tes lèvres intimes et sa verge soit le plus sensuel possible. Ton souffle est rapide, comme agonique.


- Finn, redis le…


Tu en as besoin, comme tu n’en as jamais eu besoin. Ton corps s’arque, et ta bouche attrape sa bouche. Tu mords ses lèvres, descend contre sa mâchoire, son cou alors que tu approches de son oreille et susurre.


- Je veux encore l’entendre.  




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MessageSujet: Re: back to reality - ALbinn    back to reality - ALbinn  EmptyDim 26 Nov - 22:42

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Dix ans après notre séparation, le destin nous a réunis d'une manière inattendue et presque ironique. Un accident, effroyable et terrifiant, qui aurait pu facilement me coûter la vie. Si elle n'avait pas été là, si elle n'avait pas été présente à ce moment précis, je ne serais peut-être plus là pour raconter cette histoire aujourd'hui. C'est fascinant, presque incroyable, que la seule femme que j'ai aimée plus que ma propre vie ait été celle qui a sauvé la mienne. Un coup du destin capricieux, une intervention du hasard qui semble vouloir jouer avec nous, nous pousser à nos limites jusqu'à ce que nous acceptions l'évidence même : nous sommes inévitablement faits l'un pour l'autre. C'est un véritable tourbillon d'émotions.

La puissance de ce qui, nous unis, elle et moi, est inexplicable. La puissance de nos sentiments à toujours étaient quelques choses d’incroyablement puissant, quelque chose de viscérale que ni elle ni moi pouvions contrôler. Nous n’avons jamais été un couple lambda, dès le début ce qui nous unissait était hors norme. Une histoire d’une beauté rare, le genre de passion si intense qu’on se dit qu’elle ne peut pas être réelle. Et pourtant, c'est le cas. Jamais j’aurais pu imaginer être capable de la partager avec un autre homme et pourtant je l’ai fait. Pour elle, pour son plaisir… et elle n’a jamais été aussi belle qu’à cet instant, ce moment où notre amour et notre confiance l’un envers l’autre était plus forte, plus puissante que tout le reste. J’ai ce soir la certitude qu’elle et moi, c'est écrit dans les étoiles et que rien ni personne ne sera jamais en mesure de nous séparer. Je pourrais mettre à feu et à sang la terre entière pour elle s’il le fallait.

Demeurer loin d’elle, c’est douloureux, c’est même impossible, tant et si bien que je déboule chez elle comme un enragé, un fou en mal d’elle, en mal d’amour. Je l’exige et la revendique comme mienne. Albane était, est et sera mon seul véritable amour, aucune femme ne peut prendre cette place qu’est la sienne dans mon cœur. Nos âmes sont étroitement mêlées, liées l’une à l’autre.

Je l’embrasse avec passion, j’écrase brutalement mes lèvres contre les siennes. Je ne suis jamais rassasié d’elle, cette attraction entre elle et moi est juste folle. Elle m’est aussi vitale que l’air que je respire, mes doigts, mes baisers l’agrippent, la caresse, l’embrasse avec une pression écrasante. Son corps brûlant contre le mien est un appel à la luxure. Les étoffes de tissus volent à travers la pièce, laissant entre nous plus aucune barrière, rien ne pourra arrêter cette passion dévorante qui nous bouffe de l’intérieur. Mes doigts glissent entre ses cuisses, elle est trempée et brûlante, preuve d’un désir qu’elle ne peut pas nier, qu’elle ne tente pas de nier. Pourquoi est-ce qu’on le ferait ? L’un comme l’autre, nous avons besoin de cette connexion, de ce contact constant. C’est comme si nous essayions de rattraper tout ce temps que nous avons perdu, qu’on nous a volé pour des raisons qui m’échappent encore.

Albane fait resurgir en moi tout ce qu’il y a de plus bestial et sauvage, en sa présence je ne contrôle plus rien et certainement pas ce désir grondant en moi avec une rage folle. Ma respiration est courte et irrégulière, je la dévore des yeux et inspire profondément, poussant un râle rauque en attrapant sa tignasse, l’empoignant avec une fermeté dominatrice pour venir presser mon gland tendu et désireux contre ses lèvres ensorcelantes. La voir me prendre en bouche avec une telle dévotion, une telle gourmandise, c'est juste fou. Je suis directif et dominateur, mais nous savons tous les deux que dans cette disposition, c'est elle, et elle seule qui a le pouvoir. Celui de me rendre fou, complètement dingue d’elle, de cette langue inquisitrice qui à elle seule est capable de me faire mourir de plaisir.

Mes gémissements rauquent et sonore emplissent la pièce, je la fixe les yeux brillant d’un plaisir fou. Je reste cramponné à son crâne lui imposant mon rythme, me faisant plus violent et possessif, à chaque mouvement, je pousse mon sexe plus loin dans sa gorge, la privant d’air quelques instants, décuplant mon plaisir d’une manière indescriptible. Mon plaisir monte et atteint des cimes vertigineuse, j’explose d’un plaisir sans bornes, je pousse un râle de plaisir puissant, crachant mon foutre chaud au fond de sa gorge. Je la maintiens encore avec une trop grande fermeté, relâchant ma prise lentement pour la laisser remonter tout au long, corps couvert d’une fine pellicule de sueur.  

Je suis à bout de souffle, dans un état second lorsque je lui murmure que je lui appartiens. Que je suis sien depuis le premier jour, depuis notre premier baiser, que je le suis toujours et à jamais. Je souffle ces mots criant de difficulté avec difficulté. Ils sont d’une sincérité étourdissante, mais ça ne les rend pas plus faciles à articuler. Me livrer comme ça même à elle c’est difficile, je mets mon âme à nue et elle me connait suffisament pour savoir que je ne prononce pas ses paroles à la légère. Ses doigts agrippent ma tignasse me forçant à balancer la tête en arrière, elle plonge son regard dans le mien, me scrutant avec une intensité qui me transperce l’âme.

«Albane…» Mon souffle chaud se meurt sur ses lèvres, mon regard lui promet un amour infini, une dévotion et une passion inébranlable. Je peine encore à croire à cet instant, à cette réalité. La retrouver. Nous retrouver. Son basin ondule contre le mien, la chaleur de ses lèvres intimes glissent contre ma verge qui reprend lentement de la vigueur. Elle est une sirène à la beauté saisissante, aux charmes enivrant, et moi je suis le marin captif de cette attraction trop puissante. Elle me demande de me répéter, et à cet instant je lui décrocherai la Lune si elle me de demandais. « Je suis à toi…» Mes doigts remontent le long de son corps, l’effleurant, la caressant tendrement comme des promesses silencieuses, échangés entre nos corps soumis l’un à l’autre par une passion si grande qu’elle les dépasse. « Mon corps…» Chaque parole est soufflé contre ses lèvres que je mords avec une envie trop grande, la passion et l’amour transpire par chacun de pores de ma peau. « Mon âme… » Mes doigts glissent le long de sa colonne vertébrale, terminant leurs coursent sur sa croupe que je malmène d’une claque qui fait rougir sa peau laiteuse. «Mon coeur, tous t’appartiennent depuis notre premier baiser…» Mes lèvres glissent le long de l’arrête de sa mâchoire, pour venir capturer ses lèvres d’un baiser passionné, capturant celles qui ont signé cette passion sauvage qui nous unit depuis si longtemps.

Je romps le baiser, reculant légèrement pour ancrer mes iris brûlant dans les siens. Je crois que je n’ai jamais été aussi sérieux, mon âme et mon cœur sont à vif, ma vulnérabilité est sienne. L’homme fier et impulsif remet entre ses mains un pouvoir qui pourrait le détruire. Ma confiance est totale, aussi parfaite que l’amour que je lui voue. « Putain Païs… tu fais de moi un putain de romantique… » Je grogne comme si avouer ce que je ressens au plus profond de moi n’était pas acceptable. J’agrippe son corps, et la soulève avec une facilité déconcertante. Je la renverse et l’allonge sur les draps, mon regard est visé dans le sien quand je me plante en elle sans attendre une seconde de plus. Je me fige ainsi, profondément ancré en elle. « Tu devrais avoir honte…» Un fin sourire plein de provocation étire mes lèvres. Je ne lui offre pas le loisir de me répondre, lui coupant le souffle avec un coup de rein puissant et sauvage. Rien n’est plus satisfaisant que la mélodie de ses cris de plaisir… mon corps ondule contre le sien, lui offrant des mouvements lents, mais puissants, profitant de chaque seconde, de chaque sensation à la hauteur de sa valeur. 
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MessageSujet: Re: back to reality - ALbinn    back to reality - ALbinn  EmptyVen 8 Déc - 11:41





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Chaque seconde sans lui semble être une éternité à vivre, et en son absence tu doutes que ça vaille le coup d'être vécu. 
   
-- Tenue -- Tu ne peux pas vraiment te revendiquer comme une femme sensible ou émotive. Tu n’as jamais réellement été comme ces femmes qui s’émouvait devant une comédie romantique, pas de celle non plus qui verse des larmes en apprenant une mauvaise nouvelle, ou qui cède à la panique dès que la pression devient trop importante. Toi, tu es plutôt du genre à faire face, à fixer droit dans les yeux le chaos qui s’amène et à lui faire un sourire en coin comme pour lui dire que tu l’attendais. Tu es une femme qui tente de prendre à la vie ce qu’elle a de mieux et laisser les difficultés pour les autres, même si tu les surmontes quoi qu’il advienne. Bref tu n’es pas une femme transparente qui laisse entrevoir aux autres ce qu’elle est, ce qu’elle pense. Et pourtant… pour lui, tu n’as jamais cessé d’être un livre ouvert. Finn t’a connue jeune oui, et probablement étais tu moins complexe à l’époque, bien que… Tu étais loin du stéréotype de ces conquêtes de l’époque. Les jolis cheerleaders… Avec leurs couettes toutes mignonnes et leurs yeux papillonnant comme si elles étaient des miss monde en devenir. Oh il avait bon goût supposes-tu mais pour la matière grise ça devait être le grand désert.


Bref tu n’es pas réellement le genre de femme qu’on choisit si on veut de l’émotion et des sentiments éclatant au grand jour. Et pourtant il te suffit que le lieutenant le plus sexy de la crim’ te regarde pour que tu commences à défaillir. Il te suffit qu’il déboule comme une espèce de fou furieux pour que tu ressentes l’envie de te jeter sur lui avec toute la vigueur et la sensualité que tu possèdes. Alors maintenant imaginez ce qu’il est possible de ressentir lorsqu’il te dit qu’il t’aime. Il vient de l’articuler, sur sa bouche presque dans un murmure qui t’a fait frémir de la tête aux pieds alors que sa poigne te maintenait pour que sa jouissance puisse s’assouvir dans le fond de ta gorge. Bien des hommes le dirait après l’acte, une sorte de pseudo merci pour avoir vider la tension dans leurs corps. D’autres le ferait avant pour amadouer leurs conquêtes et obtenir d’elle ce qu’ils désirent. Pas lui… Lui, le dit au moment où son plaisir est à son paroxysme, où le paradis l’accueille et où il devrait se contrefoutre du reste du monde. Il y a dix ans tu as renoncé à la plus belle chose que la vie t’avait apporté. Aujourd’hui c’est terminé. Tu ne veux plus te cacher. Et si tu ne le veux plus c’est parce que tu sais que ton grand maître connait son existence. Qu’il l’accepte, sous certaines conditions bien entendu mais que ton père, ne sera plus une menace à votre vie ensemble. Pas sans s’opposer au grand maître actuel en tout cas, et peu de personnes aurait la prétention de le défier.


Finn est tout ce que tu as toujours voulu depuis toute jeune. Tu avais l’ambition pour une carrière, tu avais l’intelligence pour étudier, le charme pour obtenir tout ce que tu désirais et l’argent pour te donner les moyens d’y parvenir. Durant toute ta jeune vie, tu as obtenu tout ce que tu pouvais désirer et pourtant il manquait à l’appel, il a toujours manqué à l’appel dès l’instant où tu l’as obligé à sortir de ta vie. Et c’est ce que tu l’obliges à comprendre lorsque ta bouche le prend tout au fond de ta gorge, lorsque ton corps se soumet à ces désirs, que ton esprit se connecte au sein pour y réaliser chaque fantasme, y exploiter chaque recoin de noirceur. Avec toi, il n’a pas besoin d’être un homme différent, un homme se contenant ou se cachant pour conserver sa bonne image. Avec toi, il peut être lui, juste lui avec toute l’obscurité qui le caractérise et qui l’anime lors d’une pulsion. Et c’est sans doute pour la sécurité que tu lui offres qu’il t’avoue qu’il est à toi, qu’il dit ne vouloir que toi. L’un comme l’autre ne pourrait jamais vous confier avec autant de profondeur à un ou une autre. Ces mots engendrent chez toi, un appel à le dévorer. A panser chaque plaie dont tu es à l’origine, à gommer chaque douleur que tu as fait planer. Ton corps se frotte au sien avec avidité, l’entendre t’appeler, te convoiter de la sorte te fait véritablement planer. Tu en oublie tout le plaisir recu au cours de la soirée, tu le veux. Tu le veux encore et encore. Il répète qu’il est à toi et tu désapprouves en grognant contre ces lèvres.


- Ca je le savais déjà.


Ton regard espiègle s’empare du sien alors que tu lui souris, ton souffle chaud percutant le sien alors que tu courbes ton dos pour obliger ton bassin à se presser plus fort contre la verge de Finn. Il parle de son corps, de son âme alors que ces mains courent sur ton épiderme et tu gémis doucement, en sentant sa bouche reprendre de son contrôle en devenant exigeante. Et soudainement il fesse ta croupe, te faisant abandonner un cri que tu ne maîtrises pas.


- Finn…


Tes doigts tirent plus fort sur ces cheveux, alors qu’après avoir effleurer ton visage de ces lèvres il revient face à toi. Un tremblement t’échappe devant la profondeur de son regard. Tu aimes cet homme, tu l’aimes comme tu n’as jamais aimé personne. Il est ton talon d’Achille, ta faiblesse, la chose la plus précieuse de ton univers. Tu sais depuis longtemps que tu serais capable de tout pour lui. Même au pire. D’ailleurs le pire… est déjà en route. Il perd doucement de sa fierté l’espace d’un instant, de sa sauvagerie aussi pour pénétrer tes iris et leurs parler sans un mot. Vous faisiez souvent ça plus jeune. Vous dire des choses sans qu’un mot ne se laisse entendre. Tu cesses doucement de coulisser le long de sa verge lorsqu’il rit et t’accuse de le rendre romantique. Tu abandonnes un rire avant qu’il ne reprenne de sa fièvre et follement ne te retourne sur les draps sans que tu ne comprennes rien.


- Attends Finn…. Han !


Mais avant même que tu ne puisses dire quoi que ce soit le pieu de chair délicieux de ton amoureux vient buter vivement en toi. Tu vois son sourire fendre son visage et tu grognes en réponse alors qu’il se jette sur ta bouche et que tu ne peux que lui rendre son baiser fou de désir.


- Espèce de prédateur !


Ton sourire s'élargit, tu veux bien te faire violer à tout moment par lui. Tes mains dévalent son corps alors que tu reprends un peu d’air pour susurrer.


- Dit le moi encore…


Tu pénètres ces iris en le regardant droit dans les yeux. Tu veux réentendre son « je t’aime » tu sais que tu lui en demandes beaucoup, qu’il ne le dit que rarement et d’une manière presque cachée. Mais aujourd’hui tu as besoin de savoir que c’est le cas. Tu as besoin de savoir que ce qui va se passer par la suite, ne le feront jamais partir. Peu importe l’atrocité de ce que tu comptes faire. Tu le supplie donc de ton regard d’ange tout en léchant ces lèvres avec une douceur qui t’es peu connue.




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MessageSujet: Re: back to reality - ALbinn    back to reality - ALbinn  EmptyJeu 11 Jan - 21:16

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Albane n’est pas une femme douce et fragile, elle peut être tendre, mais j’aime davantage la tigresse qui sommeil en elle. Belle, sauvage, dangereuse et envoûtante à la fois. Je ne sais pas comment j’ai pus vivre tant d’années à me convaincre qu’elle était qu’un souvenir, un fantôme de mon passé. Ce soir elle est là, devant moi, contre moi, et je suis incapable d’imaginer ma vie sans elle maintenant que nous nous sommes retrouvés. Je ne suis pas un putain de mec romantique et mielleux pourtant. Je ne suis pas ainsi et elle le sait parfaitement, elle mesure alors parfaitement la valeur et la puissance des mots d’amour que je lui offre. Elle sait qu’ils sont rares et raisonne en moi d’une sincérité inébranlable.

La femme forte que j’aime éperdument et connait par cœur me laisse voir une facette d’elle plus vulnérable et fragile. Dans l’intimité de notre amour éperdue, sa carapace se fendille doucement. Elle a toujours été différente, d’une beauté rare et unique. Une perle de perfection qui m’appartient désormais. Est ce que je m’attends à présent à une belle histoire d’amour faite de mamour et d’eau fraîche ? Non, ce n’est pas franchement le genre de la maison. Nous ne sommes qu’au début d’une aventure aussi belle et intense, de compliquée et sinueuse. J’en ai parfaitement conscience et je suis prêt à m’enfoncer au cœur même des enfers si cela s’avérait nécessaire pour elle. En lui livrant ainsi mes sentiments, je suis là-devant elle plus vulnérable que jamais. Elle pourrait mettre mon cœur en miette pour la seconde fois en un rien de temps, mais je ne veux pas penser à cette éventualité. Pas maintenant, pas lorsque je l’ai là, pendue à ma queue la pompant de la plus délicieuse des manières. Mes doigts agrippent sa tignasse, la forçant à me prendre en bouche plus profondément à chaque mouvement. Mes iris sondent les siens, s’y noyant lorsque le désir embrase mon regard… et mon corps tout entier.

Je suis sien. Tel son les paroles exact que je prononce à sa seule intention. Mon corps, mon coeur, mon âme. Tout est à elle maintenant et pour l’éternité. C’est dingue, mais tant les émotions qui m’emportent sont puissantes, mais je ne peux pas lutter contre. Son regard espiègle et sa rétorque pleine de provocation m’amuse. Un rire éclat de rire m’échappe alors que je l’attire contre moi. Ma peau contre la sienne, je profite de la douceur et de la chaleur de sa peau.

Mes lèvres repartent à l’assaut des siennes, sauvagement, avec une passion dévorante. Je la veux. Ici maintenant et tout de suite. C’est d’une intensité telle que j’en oublie tout ce qui nous entour, tout ce qui pourrait entraver notre amour et notre passion. Il n’y a plus qu’elle… Nous. La paume de ma main s’abat avec violence sur sa croupe, mordant sa croupe dans une claque sonore qui lui arrache un couinement divin. Elle agrippe mes cheveux, me forçant à renverser la tête en arrière. Ses iris brillent comme un ciel aux mille étoiles, magnifique et envoûtant. En me perdant dans la profondeur de ses yeux, j’ai la certitude absolue qu’elle est tout pour moi, ma force et ma faiblesse à la fois, celle pour qui je pourrais soulever des montagnes et celle qui pourrait me réduire en miette comme elle l’a déjà fait par le passé.

Je me ressaisis, reprendre contenance en lui balançant qu’elle me rend romantique. Moi, romantique… sérieusement, c'est du jamais vu. Mon sourire de petit con anime les traits de mon visage lorsque je la soulève pour mieux m’enfoncer en elle. Brutalement. Sauvagement. Jusqu’à la garde. Un éclat de rire rauque échappe quand elle me traite de prédateur. Comme réponse, je lui assène un nouveau coup de rein sec et butoir.

« Tu préférerais que je m’arrête peut-être…? »

Non, bien sûr que non, j’en suis certain, mais c’est une pure provocation. Pendant que je prononce ces paroles, mes coups de rein ralentissent, mes lèvres glissent dans sa gorge que je mordille avec une envie colossale. Je joue le mec fort et fier, sûr de lui, mais elle a déjà fendillé ma carapace, elle a déjà vu la faiblesse derrière l’armure, et je ne veux plus jamais vivre loin d’elle. Alors quand elle me demande de le lui dire encore… mon coeur manque un battement. Je l’aime, je pourrais le crier, le hurler, mais là l’émotion noue ma gorge. Alors je plante mes iris dans les siens et fixe son regard comme si je cherchais à sonder son âme. Mes iris lui hurlent des milliers de “Je t’aime” pendant que mon bassin reprend de la vigueur, ondulant plus vite et plus sèchement, cherchant son plaisir avant le mien. Je veux la voir jouir, voir le plaisir déformer les traits fins et magnifique de son visage, je veux entendre ses gémissements de plaisir comme si par sa jouissance, elle me hurlait des millions de, je t’aime.

« Je t’aime…»

Ces mots qu’elle voulait avec tant d’ardeur sont soufflés entre deux baisés, à peine audible, mais bien réel. Mon corps est en ébullition, la plaisir monte et tends tout mon corps. Je suis aux bords de la jouissance, mais je refuse de venir avant elle. Nos corps exploseront ensemble.
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MessageSujet: Re: back to reality - ALbinn    back to reality - ALbinn  EmptyMer 24 Jan - 11:20



❝ Back to Réality ❞
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Chaque seconde sans lui semble être une éternité à vivre, et en son absence tu doutes que ça vaille le coup d'être vécu. 
   
-- Tenue -- Dans ces yeux, il y a tout ce dont tu as pu rêver un jour. Sans doute tout a-t-il avoir avec votre histoire, avec ces années de privation de l’un et l’autre. Sans doute est ce aussi fou et passionné entre vous parce que trop longtemps frustré et en recherche de petits bouts de vous dans d’autres relations. De ton côté c’est ce que tu as fait en tout cas. Abuser d’hommes, parfois même de femmes en quête de réactions, de gestes, mimiques ou même mots qui auraient pu être les siens. Si Finn avait été bannit de ta vie par nul autre que toi, ce n’est pas pour autant qu’il en était totalement sorti. Au fond de toi, tu sais pertinemment qu’il a fait perdurer son règne. Que c’est pour cette raison que tu n’as jamais pu tomber amoureuse d’un autre, que la perspective même de laisser quelqu’un d’autre entrer dans ta vie n’était tout simplement pas possible. Tu avais peut-être fait en sorte de le chasser de ta vie, mais quoi que tu avais pu décidé de faire, tu lui appartenais toujours. Durant dix années, tu as vécu chaque moment comme si son absence n’avait aucune importance. Chaque relation comme si tu n’avais rien à oublier, rien te rappelant que ça ne serait jamais lui. Et tout cela parce que tu étais tétanisé à l’idée qu’il puisse ne plus respirer le même air que toi. Ton père a fait plus que t’obliger à te séparer de lui, il t’a arraché une partie de l’âme, anéantie la meilleure et bafouée le seul amour de ta vie.


L’avoir contre toi comme à cet instant, sentir la brûlure de son regard sur ta peau, l’imposante domination de son corps sur le tien, la puissance des mots qu’il ne dit jamais, c’est tout bonnement un moment suspendu dans le temps, dans l’univers où tout pourrait prendre feu sans que tu n’en ai rien à foutre. Vos corps imbriqués l’un dans l’autre, la sensation électrisante que ton corps et le sien soit enfin unis et impossible à éloigner. Tu n’es pas la plus sensible des femmes, ni la plus délicate des âmes, mais face à lui tu es toujours cette adolescente rebelle réduite à l’état d’amoureuse transi. Avec lui tu as le droit d’être faible, vulnérable sans craindre qu’on te fasse du mal. Et si ton corps ondule follement contre le sien, tes yeux eux restent encrés dans les siens à dévorer son âme avec un appétit insatiable. Tout ne sera jamais simple entre vous, mais vous avez au moins la certitude que vos sentiments sont toujours aussi fous lorsque vous vous faites l’amour. Et tu sais que le roi de ton univers ne te laissera jamais t’éloigner de son territoire, encore moins maintenant qu’il a enfin le droit d’en conquérir les moindres recoins.


Ni toi ni lui n’avez jamais été sentimental, bien au contraire. Depuis tout jeune vous vous moquez de ce genre d’attitude. De ces cœurs à outrance, et échange de surnoms à la con que ces précédentes nanas pouvaient lui donner. Comment l’appeler cette poufiasse de cheerleader déjà ? Celle qu’il se taper un peu avant de te connaitre… « ma vie » ? Oh rien que d’y penser, tu pourrais éclater de rire. D’autant que « sa vie » a été raide dingue de ta bouche et de ton corps très peu de temps après. Que « sa vie » t’a plaqué méchamment contre des casiers car il n’était plus en état de se retenir et que tu peinais très sincèrement à lui résister. Le brasier de Finn est tel, qu’une fois après y avoir goûté il est impossible d’y résister. Et que le désirer aussi fort que lorsque tu la en bouche comme maintenant, est impossible à éclipser. C’est ça que tu ressens quand tu es avec lui. Une telle attraction, une telle puissance de désir que lutter se résume à s’arrêter de respirer lorsqu’on se noie. C’est contre nature.


Il oblige ton corps à revenir à lui et avant même de comprendre ce qui lui fait envie, il s’enfonce en toi. Fort et intensément sans attendre, t’arrachant un cri par sa main frappant tes fesses rondes. Suivant le cri, il y a un gémissement, celui de ta bouche se faisant captive de la sienne. Tes doigts s’encerclent fort au travers de ces cheveux, les tirant plus que d’ordinaire. La passion avec lui prends des degrés de chaleur qui sont stupéfiants. Il te dit devenir romantique à ton contact et tu pouffes de rire entre deux halètements prouvant ton plaisir. Tu mords doucement sa bouche pressant ton corps plus fort contre le sien, le sentant taper toujours plus profondément dans ton corps.


- Ouais, mais le romantique… Le plus… Han ! Le plus délicieux de cette putain de planète.


Tu te jettes de nouveau sur ces lèvres, gémissant fort ton plaisir de le sentir buter toujours avec plus de force dans ton intimité sensible. Il te fait atteindre des cimes qui te dépassent ouvertement. Et ces mots sont comme des coups de fouets sur ton être qui t’embrasserait encore plus fort. Il te demande si tu préfères qu’il s’arrête et tu abandonnes un cri, ta voix est essoufflée, éraillée et tu laisses un nouveau rire s’échappait. C’est simple, c’est cela que tu ne pourrais définitivement jamais trouver ailleurs, cette passion s’accouplant à merveilles avec l’amusement et la confiance. Finn n’est pas que l’homme à qui tu appartiens, il est aussi ton meilleur ami, ton confident, le meilleur coup que tu as pu tester, et l’amant le plus savoureux que tu ai pu goûter.


- Ne t’arrête jamais… Jamais, t’entend !


Tu amènes ton bassin à donner une impulsion plus avide contre son pieu de chair qui te pénètre et tu sens l’électricité dévalant ton corps devenir bien plus pesante. Finn va te faire jouir et ce n’est qu’une question de seconde, pourtant tu as besoin de l’entendre te le redire. Comme il l’a susurré du bout des lèvres il y a quelques secondes, tu veux qu’il te le redise, qu’il redise ces mots qu’il ne dit jamais. Tu te moques ouvertement du romantisme, de ces conneries de fleurs et de chocolat pour rendre une relation plus guimauve. Toi tu ne strictement rien changé de ce que vous êtes. Pourtant quand tu l’entends te dire qu’il t’aime, tu pourrais défaillir instantanément et lui acheter toi-même cette putain de bouquets de fleurs. Tu captes son regard, à bout de souffle et de force, tu pénètres plus fort son âme, suffoquant au creux de ces lèvres jusqu’à ce qu’il l’articule. Il te dit qu’il t’aime d’abord sans un mot, comme il te l’a déjà dit par le passé, et la nuance dans ces yeux à tout bonnement raison de toi. Tu retiens ta respiration en le regardant, les tremblements saccadent ton corps vivement et il l’articule. Il te murmure ces mots que tu n’as presque jamais entendu, et la chute se délivre avec une puissance monumentale. Tu t’arques, ton corps se raidissant face à ces assauts, il continue de buter en toi mais tu deviens simplement une poupée de chiffon qui s’accroche comme elle peut à la déferlante qu’il produit. Ce qui t’arrive n’a pas besoin de mot, tu succombes simplement à la passion ardente et sans limite que tu éprouves pour lui. Tu prends conscience qu’il t’aime, putain il t’aime et ça te fait jouir comme jamais. Tu sens son membre aller et venir avec plus de vitesse, il est en train de grimper et ne tardera pas à jouir lui non plus, tu rassembles le peu de conscience et de concentration que tu possèdes, pour l’embrasser, yeux clos absorbant fort les effluves orgasmiques qu’il produit. Tu sens l’instant qui va le mener à la descente et alors tes yeux s’ouvrent dans le sien. Tu es vulnérable, plus que jamais. Tes doigts deviennent doux dans ces cheveux, ton souffle une caresse contre ses lèvres alors que tu susurres tel un secret.


- J’ai un secret…


Tu dérives son oreille et articule ce que tu ne lui as jamais dit.


- Je t’aime Finn Wilson.


Tu ne lui dis pas parce qu’il l’a dit. Tu lui dis parce que c’est simplement la vérité, que tu es folle de lui depuis la nuit des temps et que tu t’apprêtes à prendre les pires décisions afin que plus jamais tu ne sois séparé de lui. Alors ça mérite probablement qu’il le sache. Tu l’aimes. De la déraison à la plus lucide des parts de toi, tu l’aimes.


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MessageSujet: Re: back to reality - ALbinn    back to reality - ALbinn  EmptySam 17 Fév - 14:53

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Je fixe cette femme, Albane, comme si j'étais en quête de la vérité profonde de son âme. Elle est la femme qui fait battre mon cœur, le rythme sous-jacent de mon existence. Pourtant, elle est aussi celle qui a réussi à le faire voler en éclats, à détruire tout ce que je pensais savoir sur l'amour. L'avoir retrouvée, c'est comme si la vie nous donnait une deuxième chance, une opportunité de rattraper ce qui a été perdu. C'est elle qui me donne l'impression de respirer à nouveau, de trouver mon second souffle. J'ai besoin d'elle, elle est devenue une partie essentielle de ma vie, une nécessité vitale. Cette prise de conscience me fait peur, me terrifie même. Que se passerait-il si elle décidait de partir à nouveau, pour une raison obscure et inconnue ? Serai-je capable d'y survivre une seconde fois ? Je ne suis pas sûr que je le pourrais. Et cette pensée me fait réaliser que cette fois-ci, je ne ferai pas l'erreur de la laisser partir. Je la poursuivrais jusqu'au bout du monde, jusque dans les flammes destructrices de l'enfer si c'était nécessaire. Je suis prêt à tout pour ne pas la perdre à nouveau.

Je suis pleinement conscient de la force destructrice et de l'intensité rare de notre attachement mutuel. Malgré sa nature potentiellement dévastatrice, nous sommes impuissants face à cette attraction, tout comme deux aimants qui ne peuvent résister à l'attraction mutuelle. En général, je ne suis pas le genre d'homme qui parle ouvertement de ses sentiments. Cependant, dans cet instant précis, nos corps étant étroitement enlacés, nos formes se fondant chaleureusement l'une dans l'autre, je ne peux m'empêcher d'exprimer l'ampleur infinie de mes sentiments pour elle. Mon regard est fermement planté dans le sien, offrant un aperçu de la profondeur de mes émotions. Je suis certain qu'elle comprend pleinement la gravité de mes paroles. À ce moment précis, nos deux âmes semblent fusionner pour ne former qu'une seule entité, débordante d'amour et de passion. Cette seconde d'unité est d'une beauté inégalée, une émotion d'une puissance inégalée qui ne peut être comparée à aucune autre. Il existe des moments dans la vie qui restent gravés à jamais dans nos esprits, et cet instant est certainement l'un d'entre eux.

Avec une volonté insatiable, je la tire vers moi, sa peau contre la mienne, créant une intimité qui dévore tout le reste. Je manque de défaillir lorsque je m'immerge en elle, m'implantant en elle avec une force qui est l'expression même de mon désir. Je la prends avec toute la passion qu'elle a su éveiller en moi, une passion qu'elle mérite sans l'ombre d'un doute. Nos corps se mêlent, se fondent l'un dans l'autre, notre amour s'unissant dans une danse de plaisir et de luxure. Nous ne formons plus qu'un, une seule entité bouillonnante, palpable, pleine d'une passion qui ne cesse de croître. Chaque battement de notre cœur, chaque souffle que nous partageons, chaque mouvement que nous faisons n'est qu'un reflet de cette passion intense qui nous consume. Mes iris plongent profondément dans les siens, créant un lien impénétrable entre nous deux, et je grogne de satisfaction profonde lorsqu’elle agrippe mes cheveux d'une manière presque sauvage, tirant ma tête en arrière dans une danse de passion. Je redouble d’ardeur, mon désir pour elle augmentant, pestant presque parce qu’elle éveil en moi un romantisme que je n’assume pas totalement, un sentiment presque étranger que je trouve à la fois effrayant et excitant. Je la besogne avec une force qui dépasse l’entendement, une force qui est à la fois primitive et passionnée. J’étouffe ses gémissements contre mes lèvres, les dévorant de baiser insatiable, chaque baiser est comme un serment silencieux entre nous. A son contact, mes instincts animal et primaire reprennent le dessus, je suis incapable de me contrôler, je la veux… je la veux de toutes les manières possibles. Son corps, son coeur est son âme, elle est mienne dans toutes les manières possibles et je ne laisserais plus rien ni personne me l’arracher. C’est comme si je la proclamais mienne à chaque coups de reins de que je lui assène avec violence, chaque coup est une proclamation silencieuse de mon désir pour elle.

Notre plaisir, étroitement entrelêlé, monte de manière exponentielle et atteint des sommets vertigineux. À travers ses gémissements étouffés, elle m'ordonne de ne jamais m'arrêter, une requête à laquelle je suis plus qu'heureux d'obtempérer. Un sourire plein de provocation étire mes lèvres, témoignant de la satisfaction mutuelle que nous ressentons. Je me retire presque, laissant un vide que l'on peut tous les deux sentir. C'est alors que je la surprends avec un coup de bassin puissant et violent. Mon mouvement est tellement intense que je suis obligé de figer mon bassin, me retrouvant au plus profond d'elle. Chaque fibre de mon être s'éveille alors que je me perds dans l'intensité de l'instant.

« Sinon ?»

Je la provoque délibérément, savourant chaque instant, chaque réaction. Je lui laisse à peine le temps de me répondre, savourant le jeu de pouvoir que je mène. Mes mouvements deviennent alors d’une extrême lenteur, presque tortueuse, créant une tension délicieuse. Je m’extirpe à nouveau presque complètement de son intimité, créant un vide qui appelle mon retour. Et alors, avec une violence contrastante, je m'enfonce à nouveau en elle, provoquant une vague de sensations. Je continue ce manège, cette danse de lenteur et de rapidité, de douceur et de force, encore et encore, créant une symphonie de plaisir qui ne cesse de monter en intensité.

C’est mon corps, puis mon regard et enfin mes lèvres qui lui avouent à quel point je l’aime, et puis c’est elle qui susurre ces mots que j’ai toujours rêvés de lui entendre me dire au creux de l’oreille. Son souffle, doux et chaleureux, caresse délicatement ma peau, faisant frisonner chaque parcelle de mon être. Chaque battement de mon coeur semble suspendu dans l'attente et l'anticipation de son prochain mouvement. Mes iris, profonds et intenses, se perdent dans les siens, reflétant une émotion brute et indéniable. Dans la profondeur de mon regard, elle ne peut qu'observer l'évidence de l'impact qu'elle a sur moi, comment elle bouleverse mon âme jusqu'à son noyau le plus profond.

Mon corps s’anime alors d’une danse frénétique. J’aspire plus qu’à une chose, son plaisir, je veux la sentir exploser, voir le plaisir animer ses yeux magnifiques. Je la prends avec une force folle, je suis sur le point de venir, mais je veux que nous explosions ensemble. Je grogne d’un plaisir intense qui menace de m’emporter. Mes doigts agrippent sa gorge, la comprimant pour rendre sa respiration laborieuse. À son contact, je deviens plus qu’un animal, animé par des instincts dominateur.

« Mienne…  Vous m’appartenez, miss Païs…» JJe m'adonne à la tâche avec une intensité accrue, grognant de plaisir, un sentiment si intense que je suis absolument incapable de le retenir plus longtemps. C'est un moment d'extase pure qui me submerge, ma virilité libérant son essence chaude au plus profond d'elle. Chaque fibre de mon être est inondée d'une satisfaction indicible, une vague de jouissance qui me renverse, laissant derrière elle une sensation de contentement et de plénitude. « Maintenant et à jamais… » Tout comme je suis sien… mais ma fierté virile m’empêche d’ajouter ce détail…  Elle est ma raison d'être, ma muse, mon inspiration. Elle est la femme qui a su toucher mon âme, éveiller en moi des sentiments que je ne pensais pas possibles. Et c'est avec elle, et seulement avec elle, que je veux passer le reste de ma vie. Je peux sentir son cœur battre contre le mien, un rythme qui semble parfaitement synchronisé avec le mien. Nos respirations se mélangent, nos corps se serrent encore plus fort l'un contre l'autre. Je sais qu'elle ressent la même chose que moi, je peux le voir dans ses yeux, le sentir dans son étreinte.
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MessageSujet: Re: back to reality - ALbinn    back to reality - ALbinn  EmptyMer 21 Fév - 10:57




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Chaque seconde sans lui semble être une éternité à vivre, et en son absence tu doutes que ça vaille le coup d'être vécu. 
   
-- Tenue -- Tu n’as jamais cru un jour être en mesure d’être aussi dépendante et résolu à quelqu’un. Si à tes yeux, tu as toujours trouvé purement ridicule les mots doux et les démonstrations affectives trop prononcés de ces couples transit d’une affection burlesque. Il te faut bien reconnaître qu’entre les lèvres de Finn cela prend tout bonnement une tournure inattendue, et déstabilisante. Vous ne faites pas partie de ces couples, de ces amants, qui débordait d’une affection mutuelle extravagante devant le regard du reste du monde. Tu n’es même pas certaine que d’autres personnes que vous deux, et évidemment ton père, ai pu être au courant de la passion qui vous consumez de la tête aux pieds à l’approche de l’autre. Aucune pom-pom-girl ne comprenait pourquoi soudainement le quarterback le plus populaire et séducteur de l’équipe, ne portait plus aucun intérêt à la gent féminine. Pourtant si le cerveau de ces dindes arrogantes s’était détaché de leur nombril deux petites secondes, elle n’aurait peut-être pas raté la puissance de vos regards échangés durant les entrainements, durant ces matchs. Pas une seule seconde, ces jolies écervelées n’étaient en mesure d’imaginer que la marginale la plus détestable du lycée, se retrouvait tel un lapin prit devant les phares d’une voiture à sa proximité. Que ton corps prenait littéralement feu lorsqu’il se tournait pour te regarder. Que l’air venait à manquer lorsqu’il retirait son tee shirt en fin de match, et que te retenir était comme agité une morceau de viande devant un fauve affamé. Personne n’a jamais su mais Finn était à la fois la plus divine de tes addictions et la plus secrète de tes passions. La déchéance de désir qui s’exprimait dans l’ombre du lycée entre vous, n’était absolument pas maîtrisable. Vous auriez pu mettre le feu à ces couloirs tellement entre vous votre envie l’un pour l’autre était volcanique.


Et dix années n’auront pas suffi à l’éteindre. Séparation, destruction, mutisme, absence totale de justifications, éloignement, douleurs ; et deux âmes totalement détruites par les flammes d’une combustion trop incandescente n’auront pas été une leçon valable à vous tenir loin de l’autre. Il n’y a qu’à voir l’instant présent. Le déchainement de vos corps qui se consument l’un contre l’autre, malgré l’orgie de sensualité que la soirée vous a procurez. Finn est comme une source intarissable de plaisir dont tu es incapable de te sevrer. Et pour la première fois de ta vie, tu réalises ce que c’est de l’entendre te dire ces trois petits mots qu’il t’a toujours épargné. C’est purement indescriptible, mais ce que tu sais c’est que cela te pousse à le vouloir plus fort, plus intensément, plus ardemment. Tu veux franchir chaque barrière qui pourrait t’empêcher de t’unir de toutes les façons possibles à lui. Tu n’as pas seulement Finn dans la peau, tu l’as au plus profond de ton âme. C’est bien plus qu’une alchimie physique, qu’une attirance forte, qu’une séduction mutuelle. Savez-vous seulement de combien de façon il est en mesure de séduire ? Cet homme possède l’ensemble des clefs te permettant d’atteindre un Olympe. Et avec lui tu comprends la notion si rarissime d’âmes sœurs.


Vos corps se mènent une lutte acharnée depuis déjà plusieurs minutes. Ton corps ondule avec une frénésie folle, cherchant à te transporter encore plus loin avec lui. A chaque coup de rein, tes fibres nerveuses tremblent, suffoque de l’intensité que sa peau, que ces bras véhiculent en toi. C’est sauvage, animal et pourtant tu n’as jamais été aussi sensible et amoureuse qu’à cet instant. Qu’en constatant dans ces prunelles magnifiques, l’effervescence pure de son attachement pour toi. Tu devines ce qu’il a envie de dire, comme tu l’as deviné depuis longtemps. La seule différence c’est que contrairement aux autres fois, aujourd’hui il t’articule ces mots que tu as toujours simplement lu dans ces yeux. Et c’est comme une électrocution sensuelle et divinatoire. Ton souffle s’arrête, ta bouche s’entrouvre, et tes iris s’encrent aux siennes, l’espace d’un instant, perdue et incapable de songer à autre chose qu’à la puissance de cet aveu. Un gémissement passe la barrière de tes lèvres avant qu’il ne s’active à jouer plus fort de tes sensations. Son pieu de chair s’enfonçant en toi avec une puissance telle que tout ton être en tremble. Tu lui demandes de ne pas s’arrête, tu es presque certaine que tu es en mesure de jouir rien que par ses mots. Tu le vois cependant prendre l’air que tu idolâtres le plus chez lui, ce regard pétillant de malice, ce sourire de merdeux de première et cette assurance qu’il possède malgré tout. Il ralentit le rythme, s’extirpant presque de ton intimité te faisant sentir la brûlure du manque. Tu t’agrippes plus fort à son corps, comme pour lui spécifier de ne pas te laisser et un vil sourire provocateur s’affiche alors qu’il revient en buter, t’arrachant un cri. Il te demande ce qu’il risque auquel cas. Mais la réponse qui se formule dans ta tête, s’efface sous l’effet d’une nouvelle onde de plaisir alors que le membre de Finn s’enfonce de nouveau au fond de toi. Tu grognes, il se joue de toi, et tes ongles s’enfonce dans sa chaire alors que tu cambres ton corps, ivre de lui, et des sensations qu’il te provoque. Il joue de la lenteur, rendant ton corps suppliant d’assouvissement. Tu te saisie de sa bouche, venant lui offre un baiser qui se veut d’une sensualité telle que tu espères bien lui rendre la monnaie de sa pièce. Ton corps n’est plus qu’un brasier menaçant d’explosion entre ces bras. Tu réalises à cet instant que ce nouveau pouvoir qu’il a sur toi depuis quelques petits instants au travers de ces mots, peut tout autant te servir. Tu t’enfonces dans ces yeux de nouveau, en relâchant sa bouche. Tu lui chuchote alors dans un murmure erratique que tu as un secret. Tu lis son étonnement malgré la puissance de l’instant. Tu lui dis que tu l’aimes et brusquement tout prend feu. Tu lis la combustion se faire au creux de son regard et ça te coupe tout bonnement le souffle, son esprit devient lave et son corps l’instrument d’un incendie fulminant. Il attrape ta gorge, la presse, et tes iris bleutées s’enfonce dans les siennes. Tu n’as pas peur, non, tu lui ai aussi soumise que jamais.


- Finn…


Son prénom murmurait comme une prière. Il te dit que tu lui appartiens avec une détermination te faisant frémir. Ton visage approuve et tu sens qu’il déraille. Alors que son corps prend en vitesse, incapable de se mesurer, le tien subit une violence de pulsions qui te submerge et qui te pousse instantanément au bord d’un précipice. Tu crispes les rides de ton visage sous la passion qui te dévore. Et brutalement le moment ultime vient, tu cris fort et à plein poumon alors que l’orgasme se déclenche et réduit tout sur son passage, t’obligeant à te cramponner à cet être que tu aimes plus que tout. Ton corps se contorsionne, tu te raidis avec une force telle que les tremblements émanent plus que jamais. Son grognement en simultané, la jouissance s’exécute en vous percutant ensemble. L’intensité est telle que l’instant suivant tu te sens réduite à l’état de léthargie. Les forces te quittent et visiblement tu n’es pas la seule à sentir cet état de plénitude absolue. Tu laisses le corps de Finn s’effondrer, et tu l’enlaces, le gardant contre toi, en toi. Tes bras se refusent de lui offrir le moindre espace de distance, tu as besoin de le sentir, de le respirer, de l’embrasser encore. Ta bouche à bout de souffle récupère la sienne afin que ta langue vienne retrouver la chaleur de sa jumelle. Tu restes ainsi un temps que tu définis difficilement. Mais lorsqu’il s’échappe finalement de ton carcan humide pour revenir se poser sur son dos, tu deviens un chaton refusant de se détacher de son corps, te lovant contre la largesse de son torse. Le calme revient après la déchéance et tu susurres dans le silence essoufflé de la pièce.


- Promets-moi qu’on ne se séparera plus jamais…


Des mots probablement fort solennels pour toi, mais pourtant tu sais que tu as besoin de l’entendre. Tu t’apprêtes à commettre la plus terrible des choses, les templiers de ton côté, tu imagines parfaitement ce qu’il adviendra de ta famille, de ton père si cela dégénère. Mais ton père n’est pas la seule tangente. Qu’adviendra-t-il de vous lorsque tu lui diras dans quel univers tu baignes et vit.


- Jure-moi que cette fois, aucun de nous deux ne sera détruit… Finn… ?


Tu remontes son corps, attrape délicatement ces mèches de cheveux en obligeant son visage à prendre ta bouche, que tu recouvres avec un empressement nécessaire. Tu l’embrasses, folle soudainement de détresse, la peur dans ton iris se lit. Tu ne lui caches rien du dramatique de la situation.


- Je ne pense pas pouvoir survivre une deuxième fois à ton absence. Tu es à moi, j’ai besoin de toi, je ne peux pas à nouveau envisager que tu me sois arraché. Promets moi !



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MessageSujet: Re: back to reality - ALbinn    back to reality - ALbinn  EmptyMar 27 Fév - 22:44

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Il y a des amours qui ne s'éteignent jamais, qui résistent aux épreuves du temps et de la distance. Notre amour est de cette trempe inaltérable. Pendant les dix longues années où nous avons été séparés, nous avons survécu loin l'un de l'autre, chacun portant en lui l'absence de l'autre comme une blessure ouverte. J'ai cherché, au travers de multiples conquêtes, à combler le vide qu’elle avais laissé en moi, sans jamais parvenir à l'apaiser. Car seule Albane, avec son sourire qui éclaire mon monde et sa tendresse qui apaise mes tourments, peut m'offrir ce que je désire tant. Sans elle, mon âme était déchirée, elle était incomplète, comme un puzzle auquel il manquerait la pièce maîtresse. Avec elle à mes côtés, j'ai enfin l'impression de retrouver ce que j'ai désespérément cherché pendant toutes ces années. Je ne ferai pas deux fois la même erreur, je ne laisserai pas cette femme, qui est mon tout, s'éloigner une seconde fois. Je crois que ni elle ni moi ne pourrions survivre à une autre séparation. Notre amour est trop fort, trop profond, trop vital.

Ces trois petits mots, ces courtes phrases qui sont d'une importance incommensurable, nous ne les avions jamais échangés auparavant jusqu'à cette nuit spécifique. Pas parce que ces sentiments n'existaient pas entre nous, ou qu'ils étaient négligés, mais plutôt parce que nous pensions que c'était inutile de les exprimer à haute voix. Les non-dits, les regards échangés et les gestes tendres en disaient suffisamment. Ils étaient nos messagers silencieux, exprimant plus que des mots pourraient jamais décrire. Mais ce soir, la situation est différente. Nous ressentons le besoin impérieux de plus, de quelque chose de tangible pour exprimer ce qui se cache dans nos cœurs. De poser des mots sur la profondeur sans fin de nos sentiments, de donner un son à ce qui a été muet pendant si longtemps.

Nous avons déjà partagé un moment éprouvant de corps à corps au Lips, et pourtant, malgré cette expérience, à nous voir en ce moment précis, notre ardeur, notre fougue ne trouve d'égal que dans notre passion colossale et infinie. Nos corps, ardents, ondulent l'un contre l'autre en une danse enivrante, une danse menée par une seule et unique aspiration : celle de ce plaisir étroit, intense et incommensurable qui lie non seulement nos corps en une étreinte passionnée, mais aussi nos cœurs et nos âmes dans leur entièreté. Nous sommes unis, connectés par un lien qui dépasse la simple promesse, un lien plus puissant que n'importe quel serment ou vœu prononcé. C'est un lien qui transcende toutes les frontières, qui survit à travers le temps et l'espace, un lien inébranlable qui est le reflet de notre amour profond et éternel. Je ne suis pas le genre de mec qui crois à l’âme soeur non, et pourtant il existe en cet univers une seule âme pouvant combler la mienne : la sienne.

C'est un moment où nos sentiments avoués sont scellés au fer rouge dans mon esprit, transformant chaque détail en une gravure indélébile. Chaque coup de rein puissant et sauvage que je lui assène n'est pas seulement un acte physique, mais un cri d'amour intense qui résonne dans l'écho silencieux de nos cœurs. Je ralentis délibérément mes mouvements, cherchant à savourer chaque sensation, chaque instant où elle m'entoure, chaque parcelle de son intimité qui me comprime et me retient. Mes yeux la dévorent, brillant d'admiration et de désir alors que je m'absorbe dans la contemplation de son visage déformé par un plaisir sans bornes. Je détaille les traits fins et magnifiques de son visage, m'efforçant de mémoriser chaque courbe, chaque contour, chaque détail pour pouvoir les graver profondément dans les coins les plus intimes de mon esprit.

Elle s’agrippe à moi de toutes ses forces, me cramponnant avec une intensité qui laisse croire que sa vie en dépendait. Le plaisir monte en nous comme une vague prête à déferler, se propageant dans chaque parcelle de nos corps, chaque cellule vibrante d'anticipation. Je suis certain d’une chose, mon autocontrôle s’effrite peu à peu et je ne vais pas tenir longtemps. Et quand elle me révèle son secret, cet amour incommensurable pour moi qui la transcende, la surcharge émotionnelle est trop intense. Mon corps s’anime d’instinct, d’une puissance rageuse, les vas et viens plus sauvages, plus désespérés, nous conduisant inévitablement vers l’explosion de nos sens. En atteignant le sommet du plaisir, un gémissement rauque m’échappe, je viens écraser mes lèvres contre les siennes avec une faim insatiable, dévorant ses lèvres férocement. Figé au fond d’elle, je dépose mon front contre le siens, nos souffles haletants se mêlent et ne forme plus qu’un seul et même rythme. Je suis sien, c’est fou mais c’est ce que je ressent au plus profond de moi, et quand je le dis à voix haute comme un murmure tendre se mourant sur ses lèvres tremblantes, je me rends compte à quel point c’est dingue. A quel point ELLE me rend dingue. Elle a ce pouvoir sur moi, cette emprise qui me consume et me dévore, et je ne veux rien de plus que de me perdre en elle.

Avec un soupir de contentement, je retire délicatement mon corps du sien, et je tombe à côté d'elle sur le matelas. Mes bras, comme guidés par une force irrésistible, s'enroulent doucement autour de son corps délicat pour l'attirer contre moi. Elle se niche confortablement contre moi, son corps se moulant parfaitement au mien. Cet instant, ce moment précis, est d'une perfection tellement étourdissante que cela en devient presque irréel. Lorsqu'elle me regarde dans les yeux, ses yeux étincelants, et me demande de lui promettre que nous ne nous séparerons plus jamais, je sens mon cœur s'accélérer. Je resserre instinctivement ma prise autour d'elle, comme si je pouvais l'emprisonner contre moi, matérialisant ainsi mon désir brûlant et indéniable de ne plus jamais me détacher d'elle, de ne plus jamais la laisser partir.

« Je ne le permettrais plus jamais. Je ne laisserais plus rien ni personne nous séparer Albane. J’ai l’impression d’enfin respirer à plein poumon depuis dix ans. Tu es mon oxygène Albane. J’ai besoin de toi. »

Je sent cette pointe de peur et de détresse dans sa voix et ça me déchire le coeur, je la serre contre moi mais je sais que ça ne suffira pas à la rassurer. Je peux la rassurer, lui promettre que nous serons heureux pour le reste de nos jours, je peux tout faire pour mais je ne peux rien promettre. La vie peut être chienne et cruel et nous le savons tous les deux.

« Je n’irai nulle part sans toi. » e pose délicatement mes lèvres sur son front, laissant ma main glisser le long de la ligne fine de sa mâchoire. Je soulève doucement sa tête, cherchant ses yeux avant de l'embrasser. C'est un baiser d'une tendresse incroyable, doux et plein d'une promesse non dite. Chaque seconde de ce baiser semble mesurer l'incroyable grandeur de la promesse que nous avons faite l'un à l'autre, une promesse qui transcende le temps et l'espace, qui est plus grande que nous deux et qui, pourtant, ne peut être portée que par nous. « Je te le promet. Jamais. »

Les doigts de ma seconde main glissent lentement et délicatement sur son dos, savourant chaque centimètre de la douceur infinie que dégage sa peau semblable à de la porcelaine. Pendant ces dix longues et interminables années, mon esprit a sans cesse divagué vers elle, vers cette réalité alternative où nous n'aurions jamais été séparés, où notre vie pourrait être diamétralement différente de celle que nous avons vécue. J'ai rêvé et repensé à cette possibilité à de nombreuses reprises, et maintenant, cette possibilité est à notre portée. L'avenir s'étend devant nous, sans limites, sans restrictions. Je suis résolu à ne plus laisser la peur nous paralyser, à ne plus laisser nos doutes et nos incertitudes nous empêcher de nous aimer. L’amour que nous partageons est trop précieux pour être laissé à l'abandon.

«Albane Païs, je te promets de t’aimer et de te protéger jusqu’à ce que la mort nous sépare. Je te promets d’être avec toi, à tes côtés dans chacune des épreuves que la vie décidera de nous infliger. » Ces mots presque solennel s’échappe de mes lèvres, un souffle sur ses lèvres qui demeurent à quelques centimètres des miennes. « Pour le meilleur et pour le pire.»
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MessageSujet: Re: back to reality - ALbinn    back to reality - ALbinn  EmptyLun 11 Mar - 13:27



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Chaque seconde sans lui semble être une éternité à vivre, et en son absence tu doutes que ça vaille le coup d'être vécu. 
   
-- Tenue -- Tu aurais sans doute du mal à décrire l’urgence de ce moment qui vient de s’éteindre entre vous. De l’instant où il a déboulé chez toi comme un fou furieux, à l’orgasme déchirant qui s’atténue dans ton corps comme un ras de marée laissant place à la quiétude de vagues plus douces. Il n’y a pas d’explications, de raisons logiques à tout cela. Lui comme toi êtes totalement illogiques de nature de toute manière lorsqu’il s’agit de l’un ou de l’autre. Quoi qu’il en soit Finn a ressentie l’urgence de te retrouver malgré votre soirée pleine de passions, et des le moment où tu as entendu ses coups sur la porte c’est devenu une urgence absolue pour toi aussi. Tu sais que ça pourrait paraitre ridicule à n’importe qui, une histoire de deux ados qui ne sont jamais oubliés malgré une décennie de séparation. L’homme devenant un policier des plus sexy, qui manque de mourir lors de l’exercice de sa fonction et se fait sauver par la femme qui l’a brisé durant son adolescence. Pitoyable non ? Digne des plus beaux scénarios mexicains… Pourtant c’est votre histoire. Histoire que tu n’as jamais su oublier, ni mettre de côté. Parce qu’il a toujours été la seule chose de toute ton existence que tu ne pourrais jamais effacer.


Ton corps est réduit à la plénitude, à l’état de pur abandon maintenant que l’orgasme t’a irradiée de toute part le corps. Ce corps qui a présent est tout simplement à bout de force, et de souffles. Le corps de ton amant te surplombe, vos souffles sensuellement mêlés alors que vos cris se calment à présent tout comme votre état d’agitation. C’est ainsi que tu te sens complète, comblée, intouchable lorsqu’il te regarde sans encore se détacher de toi. Cette sensation qu’il fait naître en toi, cette connexion profonde qui grandit entre vous, et qui ne semble pas connaître de limite. C’est plus fort que vous, c’est plus fort qu’une quelconque envie ou désir. Ça vous submerge, comme l’ouragan terrasse les villages. Si bien que malgré toute la bonne volonté du monde, tu es aujourd’hui incapable d’envisager ta vie sans lui. Tu es incapable d’y renoncer, de le repousser, de l’oublier… Même si le prix à payer est de l’emmener dans ton univers. Même si la conséquence de tout cela pourrait être la disparition de ton père. Comment Finn fera pour vivre aux creux des bras d’une femme qui a sacrifié son père pour vivre avec lui ? Comment pourrait il continuer à te vouloir après avoir compris que tu es assez folle pour éliminer la personne qui t’a donné la vie ? Mais il y a pire que cela au fond… Comment envisagera-t-il l’avenir en apprenant pour ton appartenance aux Templiers ? Et seras-tu en capacité de survivre en sachant que tu le mettras en danger s’il refuse de s’allier à votre cause ? Tu voues en cet homme une confiance démesurée, tu le sais capable de tout encaisser, de tout assumer mais… Sera-t-il capable d’aimer un monstre ?


Lorsque tu plonges dans ces iris, c’est cette question qui te bouffe littéralement de l’intérieur. Cette foutue incertitude qu’il ne se dise pas finalement que tu es trop gangrené pour lui, trop sombre. La simple idée qu’il puisse te repousser est insupportable, alors même que c’est toi qui l’a détruit 10 ans auparavant. Il te promet qu’il ne partira plus jamais, que rien ni personne ne sera en mesure de vous séparer. Là, profondément noyé dans les tréfonds de son âme, tu lis sa sincérité ce qu’il n’envisage pas pourtant c’est le fait que ça soit encore tes agissements qui pourraient causer votre perte. Il dit avoir besoin de toi, dit que tu es son oxygène et ta bouche se précipite à se presser contre la sienne comme pour respirer de nouveau. Ton geste est éperdu, vital et nécessaire, et tu sais pertinemment qu’il en comprendra le besoin sans en saisir le sens. Quoi qu’il en soit ces bras te resserre contre lui et sa protection crée une enveloppe de chaleur qui te contient, te rassure. Il répète qu’il n’ira nulle part et tu déposes ta main contre la sa joue. L’examinant comme si tu le découvrais pour la première fois depuis longtemps. Tu laisses le bout de ton nez effleurait le sien, réalisant comme il t’est précieux. A chaque seconde, il le devient plus encore. Tu sens sa bouche revenir contre la tienne et tu te laisses aller à la divine sensation d’être importante, unique pour lui aussi. Le baiser qu’il te donne est chargée de douceur et tu le complètes en le rendant encore plus doux, plus délicat. Il te promet de ne jamais partir et tu te presses plus fort contre lui. S’il a cru mourir la première fois, tu sais que tu pourrais véritablement mourir d’amour cette fois ci. Tu ne peux décemment pas imaginer ta vie sans lui, tu ne peux tout simplement pas imaginer qu’un autre soit à tes côtés. Il est la condition à ton bonheur, le maître de ton univers, le roi décidant de ton destin. Tes yeux sont incapables de se laisser distraire par quelque chose d’autre que lui et la délicatesse de ces caresses t’obligent à ne penser à rien d’autres que lui. Les secondes passent sous ces douces marques d’affection alors que soudainement d’autres mots se formulent sur sa bouche.  «Albane Païs, je te promets de t’aimer et de te protéger jusqu’à ce que la mort nous sépare. Je te promets d’être avec toi, à tes côtés dans chacune des épreuves que la vie décidera de nous infliger. Pour le meilleur et pour le pire… » Solennel et assumé, ton regard s’ouvre grand d’étonnement. Ton souffle s’arrête sous ses formulations, sous la promesse qu’il te fait à présent. Des mots ayant une consonnance de mariage, le genre de choses dont plus jeune vous vous moquiez éperdument. Sauf que sa manière de les dire, te séduise, te font palpiter plus fort le myocarde et te fait oublier d’en rire. Son souffle embrasant ton corps rien que par ces derniers. Tu te redresses, le surplombant légèrement sans quitter son regard, cherchant la vanne dans ces iris. Si tu ne la trouves pas, tu presses son torse en le secouant doucement.


- Tu n’as pas le droit de te foutre de moi ! Je te confie mes peurs et tu as me fait un cérémonial moqueur de mariage !


Tu fais mine de t’échapper mais son bras reste vif et préparé, obligeant ton corps à rester contre lui l’un de ces bras enroulés délicatement autour de ton cou pendant que l’autre se pose sur ton ventre et t’invite en cuillère contre sa musculature.


- Tu n’as pas le droit de te moquer ! Imagine si j’acceptais de porter ton nom ! Alors qu’en réalité ça n’était qu’une vanne ! Ça ne se fait pas Wilson !


Tu fais la farouche, manière aussi très simple de te protéger du fait que oui… S’il te le demandait même après tout cela tu serais capable de l’épouser. Parce qu’il n’y a qu’à lui, tu ne pourrais pas dire non !


- J’étais sérieuse quand je te disais que je voulais pas te perdre, Bêta !


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MessageSujet: Re: back to reality - ALbinn    back to reality - ALbinn  EmptyVen 5 Avr - 22:19

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Une part de moi a encore du mal à croire qu’elle est là. Avec moi. Contre moi. Encore tremblante d’un plaisir fou. J’ai pensé tant de fois à elle, à ce qu’aurait put être notre vie si elle ne m’avait pas quitté… La retrouver… Ça faisait des années que je ne caressais plus cet espoir du bout des doigts. Il aura fallu que je manque de mourir pour que nos chemins se croisent à nouveaux et que nos destins prennent enfin la même direction. Je serais du genre fleur bleu et romantique, je dirais que notre destinée était écrite dans les étoiles, mais ce genre de mièvrerie, j’en ris habituellement. Des conneries, dont elle et moi nous nous sommes souvent moqués par le passé.

Je ressens ce besoin impérieux et irrésistible de demeurer près d’elle en chaque instant, pour la protéger, pour m’assurer qu’elle aille bien en toutes circonstances, mais aussi pour l’aimer, l’aimer de toutes les forces infinies de mon âme. Notre histoire est folle, digne d’un véritable romain, mais elle n’en est pas moins magnifique et exceptionnelle. Elle est tout ce dont j’ai besoin pour vivre et pour exister. Je pourrais aisément tout abandonner pour elle et faire un pact avec le diable en personne si c’était nécessaire pour nous et notre bonheur avenir, car oui, je ne peux plus envisager un avenir dont elle ne fait pas partie.  

Mon corps surplombe le sien, je la dévore du regard, m’enivrant de sa beauté parfaite. La scrutant, l’observant, comme si je voulais graver les traits fins de son visage a jamais dans mon esprit. Cette connexion qui existe et grandit entre nous ne semble pas avoir de limites à sa grandeur. Face à elle, je perds mes moyens, je perds le contrôle de mon esprit et de mes paroles. Ce qu’elle fait naître en moi, c'est inédit, c’est tellement puissant que ça me flanque presque trouille. C’est tellement fou que je me livre à cœur ouvert, lui offrant des promesses  folles et d’un “romantisme” qui ne me ressemble absolument pas. Pourtant, je pense et assume totalement chaque mot que j’articule distinctement. Je la presse contre moi un peu plus fort mot après mot. J’ai besoin de la sentir tout contre moi, j’ai besoin de respirer son air, de sentir son parfum et goûter à ses lèvres envoûtantes.

Mes paroles la surprennent et je m’en amuse. Le sourire qui étire mes lèvres et taquin bien qu’il ne s’agisse pas d’une blague, je pensais chacun de mes mots, mais ça, elle le sait au fond d’elle. Elle me connait suffisamment pour voir cette lueur brillant au fond de mes iris. Elle fait mine de se braquer, et à l’instant où elle tente de se dérober, je la rattrape pour la presser contre moi. Plus jamais je ne la laisserai s’éloigner. Je la maintiens ainsi, son dos contre mon torse, mon visage trouve sa place au creux de son cou, m’enivrant de son odeur comme s’il s’agissait d’une dose de drogue.

« Me moquer ? Tu as besoin que te balance dans ma caisse direction,  L.A pour t’épouser immédiatement devant Elvis  ?  »

Oui, là pour le coup, je me fiche un peu d’elle, bien que si c’est ce qu’elle veut, je l’embarque pour sceller nos destins sur le champ. Je n’ai jamais été aussi sûr de moi, aussi certain de ce que je veux. Elle.

« Je n’ai jamais été aussi sûr de moi Miss Païs. Je te veux. Entièrement. Totalement… » Dans le même lapce de temps, mes doigts courent sur sa peau comme pour illustré mes dires. « Solennellement… »

Oui, je serais prêt à tout pour elle, je serais prêt à prêter serrement pour elle, à tout, aux pires folies. Mes lèvres courent dans sa gorge, l’embrassant sensuellement, avec un désir d’une puissance grandissante.

« Je ne veux pas une vie dont tu ne ferais pas partie… Je ne peux plus vivre sans toi, sans ton sourire, sans ton regard… Tu es ma vie, ma lumière,»

Je me déplace légèrement, laissant mon regard balayer son visage, comme s'il s'agissait d'un trésor précieux. Chaque détail, chaque ligne, chaque petite expression qu'elle fait, tout me fascine. Elle est tellement plus que ce que je mérite, et pourtant, elle est ici, avec moi.

« Chaque jour sans toi est comme une nuit sans étoiles… » Je murmure doucement, mon souffle chaud effleurant sa peau. Chaque mot que je prononce est une vérité que j'ai gardée pour moi pendant si longtemps. Mes doigts effleurent doucement sa joue, avant de glisser pour prendre sa main dans la mienne. Nos doigts s'entrelacent naturellement, comme s'ils avaient été conçus pour être ensemble.

« Je te promets de te chérir, de te respecter, de t'aimer... jusqu'à la fin de mes jours. » Je suis sincère, chaque mot est empreint d'une conviction profonde. Je reprends mes paroles solennelle et sincère comme si j’avais besoin de lui prouver, de lui démontrer à quel point je suis sérieux. Je m’offre à elle, je mets mon âme à nu devant elle comme je ne l’ai jamais fait. Un instant d’une rareté incroyable. Qu’elle en profite car je ne suis pas certain d’être capable de me livrer ainsi souvent…

Je me rapproche d'elle, nos corps collés l'un à l'autre. Je dépose un baiser doux et passionné sur ses lèvres, scellant ainsi notre destin commun. Ce baiser est une promesse, une affirmation de mon amour pour elle.

« Je t'aime, et je ne cesserai jamais de t'aimer. » Je murmure contre ses lèvres, mes yeux plongés dans les siens, exprimant toute l'intensité de mes sentiments pour elle.
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MessageSujet: Re: back to reality - ALbinn    back to reality - ALbinn  EmptyMar 9 Avr - 13:40




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Chaque seconde sans lui semble être une éternité à vivre, et en son absence tu doutes que ça vaille le coup d'être vécu. 
   
-- Tenue -- C’est au creux de ces bras que tu te sens vivante, contre son corps que tu te sais en sécurité. Egaré dans ces yeux, tu sais que ta vie ne sera jamais totalement heureuse s’il ne fait pas partie de l’équation. Bien sûr tu pourrais rencontrer des gens, te lier d’amitié, d’affection sans doute. Tu pourrais même baiser des hommes et des femmes encore et encore, des plus doués au moins habiles, strictement aucune âme ne serait en mesure de te faire cet effet que lui te procure. Chaque instant passé à ces côtés n’a de conclusion différente. Il est fait pour toi. Dans cet état de folie, de colère, de déchéance ou même de souffrances, tout chez lui est créer pour faire écho chez toi. Tu t’es trop longtemps cru immunisé contre tout ça mais… Exister dans un monde où il ne serait plus n’aurait aucun sens. Tu veux continuer à le regarder dans le plus profond des yeux, continuer à t’étendre contre sa peau chaude et délicate, étouffer chacune de ces respirations de tes baisers, sentir ces mains triturer ta peau jusqu’à la marquer. Et si tu veux continuer tout ça, tu sais qu’il doit pénétrer ton univers. Si tu veux rendre tous ces éclats de rire réels pour l’éternité, envisager un jour d’avoir un avenir en commun avec lui, il doit devenir un fidèle de ton maître.


Tu tentes de lui dire à quel point il est important pour toi, et naturellement monsieur ne peut s’empêcher de te citer des paroles des plus solennelles, qui te laisse évoquer qu’il ironise. Tu le détestes de te tourner en ridicule, toi qui détestes tout autant de livrer tes émotions, pire tes sentiments. Tu tentes de t’échapper du cocon que représente ces bras mais l’homme dont tu es amoureuse, fait de toi une véritable poupée de chiffon. Tu le réprimande de sa manière de se moquer de toi et tu pouffes de rire alors qu’il se redresse et te secoue légèrement ton petit corps en te demandant si l’idée c’est qu’il te foute sur son épaule pour que vous rejoigniez L.A. pour vous marier devant Elvis. Tu pouffes de rire et pénètre ses iris des tiennes, avec une intensité bien plus forte et sérieuse. Il te dit qu’il est sérieux, qu’il n’a jamais été aussi sûr de lui et tes lèvres s’entrouvrent. Chaque syllabe qu’il verbalise touche profondément ton cœur, et ta bouche recherche la sienne pour l’embrasser avec une douceur qui n’est spécialement ta qualité première. Il te répète qu’il se refuse à vivre sans toi et tu sens le poids de tes mensonges remonter. Tu sens comme la culpabilité te gagne à chaque folle déclaration qu’il te fait. Lui cacher ton identité réelle est une torture. Une larme silencieuse roule sur ta joue, alors qu’il enlace de sa main la tienne. Leurs manières de s’unir semblent être étudié pour se fondre parfaitement. Tu les observes à ton tour, pleine d’admiration pour la manière dont vos peaux s’unissent. Tu l’écoutes toute l’importance que tu as pour lui et tu prends possession de ces lèvres par parcimonie à chaque fois qu’il termine sa phrase. L’embrassant sans l’empêcher de continuer. Non ! Tu ne veux pas qu’il s’arrête. Il dit te promettre de te chérir, de t’aimer, te respecter et tu respires alors plus fort. Il poursuit et chaque mot est comme un pic de désir qui prend en grandeur à mesure qu’il les dicte. Ton corps se colle à lui et vient le moment où il te répète qu’il t’aime et t’aimera toujours. Sa douceur, sa tendresse et sa délicatesse, t’obligeront à le chevaucher de nouveau pour lui prouver à quel point, tu l’aimes toi aussi.


La nuit a disparue… Petit à petit, entrainant dans sa suite des rayons de soleil filtrant au travers des rideaux de ta chambre. Vous avez peu dormi, abusant l’un de l’autre avec bien trop d’indécence. Vous cajolant, vous donnant du plaisir, des éclats de rire et de l’affection, jusqu’à ce que le sommeil vous oblige à cesser. Tu es la première à reprendre connaissance, contre ton corps celui de ton policier inconscient et beau comme un diable. En l’observant tu constates son rythme respiratoire profond, il dort vraiment et ton cœur est toujours aussi lourds de culpabilité.


- Je vais faire des bêtises Finn. Des choses qui normalement devrait te conduire à me mettre derrière des barreaux. Mais tant que je ne ferais rien, tu continueras d’être en danger… Et je continuerais à avoir peur qu’on t’arrache à moi. Je ne suis plus assez forte pour m’éloigner de toi comme il y a dix ans…


Tu marques une pause, comme pour t’assurer qu’il dort toujours. Ca semble être le cas, quoi qu’il en soit tu as besoin de te livrer à la seule personne en mesure de posséder ta confiance ultime et sans concession.


- J’appartiens à un ordre, Monkey. Un ordre dont mes parents faisaient partis et dans lequel j’ai toujours baigné. Un ordre que je sers et en lequel je crois. Une famille, qui pourrait te protéger, si un jour tu… Si un jour tu acceptais de me faire confiance et épouser cette vie-là. Je t’aime tellement… Tellement que je suis prête à tout pour ne plus jamais m'éloigner de toi.


Tu inspires et désapprouve, persuadé qu'il dort profondément. Tu embrasses délicatement ces lèvres avant de t’échapper du lit. Enfilant son tee shirt trois fois trop grand pour toi, tu inspires le col portant son parfum avant de t’échapper et de rejoindre la cuisine pour lui préparer un petit déjeuné.


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