Duo de trois!! (Danjas)

Elle est passée ou ma petite vie tranquille ? Entre Ruusu, le boulot et Daniel, oui notre duo est devenu un trio depuis cette fameuse soirée découverte, j’ai de moins en moins de temps à consacrer à ma vie de tous les jours. Moins de vagues, mois de flirte, moins d’un peu de tout. Le sable me manque, les vagues et ma planche de surf encore plus. Je n’ai jamais été bien exigeant dans la vie, je me contente de peu, et ce, même si l’argent s’accumule dans mon compte de banque. Peu à peu nait en moi l’envie de me faire une vie douillette avec une femme, ma femme, dans une maison en banlieue. Je vois la balançoire sur la véranda, la petite clôture blanche et les enfants qui courent un peu partout. Le problème est qu’aucune femme saine d’esprit n’acceptera mon mode de vie, mon boulot. Ruusu a déjà donné de ce côté et même si je l’aime beaucoup, notre relation n’ira jamais plus loin que ce qu’elle est en ce moment. Je m’en contente, me plaindre ne sert à rien puisque j’aime lui plaire, j’aime être à sa disposition et j’aime par-dessus tout ce lien privilégié qui nous unit. Elle m’a choisi moi parmi tous les hommes qui lui tourne autour, je me trouve chanceux. En fait… Je devrais plutôt dire qu’elle nous a choisis, moi et Daniel. Daniel… Les souvenirs de son corps sous le mien… Pfiou, juste cela me fait durcir d’envie. Je dois penser à autre chose. Le repas de ce soir ? Le ménage qui doit être fait ? Le foutu sable que Ruusu m’a demandé de ramasser dans l’entrée de chez elle hier ? À chaque fois que je reviens de la plage, je fais exprès de laisser ma trace, question de la voir perdre patience. Ne lui dites pas, mais elle est sexy quand elle est en colère, elle a cette aura qui me plait. Ruusu…  

TOC TOC TOC

Hetken Ruusu, puin paidan päälleni.  (Un moment Ruusu, j’enfile une chemise.)

Je sors de la douche, donc aller ouvrir la porte en short et torse nu risque de déraper plus vite que prévu. Déraper n’est pas mal en soi, au contraire, mais je ne voudrais pas lui forcer la main en m’affichant devant elle à moitié nu non plus. Chemise blanche… noire… bleue… Allons-y avec la blanche. C’est donc la chemise ouverte, les cheveux encore mouillés et pieds nus que j’ouvre la porte, un sourire coquin sur les lèvres.

Ruu… Daniel ?

Surpris ? Oui, mais c’est une surprise agréable, il faut l’avouer. Je peux même ajouter qu’avoir su, la chemise n’aurait jamais enveloppé mes épaules.

Kissa, quelle belle surprise ! Entre, je t’en prie !

Je m’efface un peu pour le laisser entrer, la main sur la poignée de porte. Si me toucher l’angoisse, il devra se contorsionner pour y arriver. Disons que je fais peut-être un peu beaucoup exprès, je cherche son contact tout en ayant l’air de ne pas le chercher jusqu’au moment où il est passé parce que c’est exactement là que je lui claque le cul de ma main libre.

Tu permets ? J’avais enfilé cette chemise pour épargner les beaux yeux de notre belle Ruusu…

Je la retire en souriant, question d’échauffer ces sens comme j’ai moi-même échauffé les miens. Une fois fait, je marche dans son sillage, laissant assez d’espace entre lui et moi pour ne pas lui marcher les pieds, mais pas assez pour qu’il m’échappe. Avant qu’il ne prenne place assise ou qu’il se décide a se retourner, j’enroule mes bras autour de ces épaules avec douceur.

Que puis-je faire pour toi Kissa ?

Espérons qu’il n’est pas venu me demander une tasse de farine parce que je vais la lui faire bouffer par le nez.

J’ai découvert un couple bien plus chaud que je ne pouvais l’espérer et je suis devenu leur jouet en quelque sorte. Je sors avec ce couple et je peux dire que j’en tombe légèrement amoureux. Un trouple avec ces deux personnes ne serait pas de refus s’ils acceptent. Je suis le plus jeune des trois et je n’ai certainement pas leurs attentes mais avec un peu de chances nous nous entendrons là-dessus. Je sors beaucoup moins qu’avant, je me consacre plus à mes études, à mon avenir. J’ai beaucoup de choses à leur offrir, à leur satisfaire. Je ne veux pas vivre à leurs crochets, ni même habiter avec eux pour le moment mais les voir autant que possible ensemble ou séparément. J’ai envie de les peindre pour célébrer notre rencontre pour améliorer mon art et pourquoi pas garnir un lieu qui pourrait être notre nid d’amour, un endroit où l’on se retrouverait et qui nous appartiendrait à nous trois. Un endroit où l’on pourrait se construire des souvenirs sans aller chez l’un ou l’autre. Depuis mon appartement d’Océan Beach, je ne cesse de penser à Roselyn et à Eljas. J’ai tellement aimé baiser avec eux, Eljas m’a pris comme on ne l’avait jamais fait auparavant. C’était à la fois tendre et bourrin, il avait une façon de me dominer qui me refait bander à chaque fois que j’y pense. Je suis décidé, je vais aller le trouver, j’ai envie de le sentir en moi, d’aller en lui et lui offrir des choses que Dame De Leon ne pourrait pas faire. J’enfile un jeans, des basket blanches, une chemise type hawaïenne aux motifs jaunes et bleus avant de prendre les clés de ma voiture pour me rendre chez le bellâtre en espérant qu’il soit chez lui. Je me gare en face, claque la portière et la ferme pour mettre la sécurité. Une si vieille voiture ne sera sans doute pas volée mais il y a toujours un risque. J’arrive devant sa porte, je frappe par trois coups sans m’annoncer, je veux lui faire la surprise s’il est là.

Par chance, je souris en entend sa voix, il croit que c’est Roselyn, je ne dis toujours rien pour voir son visage quand il va réaliser. Il vient ouvrir en short et avec une chemise totalement ouverte sur son torse, je remarque que ses cheveux sont mouillés, il est craquant à souhait et totalement surpris de me voir. Le simple fait qu’il prononce mon prénom me fait sourire.

« Pulcino ! »

Rapidement, il emploie le surnom qu’il m’a trouvé et trouve que je suis une belle surprise avant de me demander d’entrer.

« Je suis heureux que la surprise te plaise. Merci ! »

Je ne me prive pas pour le toucher en passant à côté de lui et frôle ses abdos avec mes doigts. Je ne sais pas s’il l’a fait exprès ou non mais cela pimente encore plus ma venue. Il claque mon cul d’une main libre et me fait pousser une petite exclamation de surprise qui pourrait être une invitation à ce qu’il recommence s’il le comprend. Le salop retire sa chemise trop rapidement à mon gout après avoir fermé sa porte et ne me laisse pas le soin de lui ôter moi-même ou de jouer avec …

« La vue n’en sera plus qu’agréable mais donc tu t’en fous de ma vue à moi si je comprends bien … »

Je mime une moue déçue, qu’il ne peut pas voir mais en réalité, je suis amusé car je sais dans quelle tenue il va finir, dans laquelle nous allons finir. Il me prend dans ses bras en douceur et me demande ce qu’il peut faire pour moi. J’ai envie de savoir si notre rose favorite va bien mais je ne suis pas là pour elle, je ne suis là que pour lui et je compte bien lui en faire profiter.

« Un tas de chose Pulcino … tu peux réellement faire un tas de chose pour moi … »

Doucement, je me défais de son étreinte et me retourner rapidement, nous nous faisons face désormais et j’en profite pour prendre ses mains et venir les placer sur mon cul. Il peut me tripoter par-dessus ou venir vérifier si je porte un boxer …

« Commence par m’embrasser et je pourrais aller voir ce qu’est cette bosse dans ton short … »

S’il croit que je ne l’ai pas sentie, il se trompe et cela me fait bander de le savoir dans cet état.

« Pulcino ! »

Je n’ai aucune idée de ce que ce mot peut bien signifier, mais je trouverai bien. J’ai le temps, non ? Oui, je pourrai le lui demander, mais ou serait le plaisir je me le demande. Puis si c’est une insulte, je préfère ne pas le savoir et s’il s’agit d’un petit mot gentil, l’imaginaire sera mon allié. Un imaginaire qui peut, pour le moment, ma flatter de ces petits mots doux autant qu’il le souhaite. Je le fais donc entrer, referme et m’imagine déjà dans des positions toutes plus sexy les unes que les autres. La petite caresse ne passe pas inaperçue, au contraire, le bout de ces doigts réussit à me soutirer un frisson de plaisir. Je ne me fais pas supplier pour lui claquer le cul et encore moins pur retirer ma chemise. J’étais bien moi torse nu, non ? Puis, je, non, nous allons probablement finir nu de toute façon, alors si je prends de l’avance personne ne devrait s’en plaindre. Sa moue ne me fait ni chaud ni froid, je sais qu’il essaie de me soutirer une réaction et au lieu de tomber dans le piège, je l’enlace par-derrière.

« Un tas de chose Pulcino… »

Un tas de choses hum ? Pourrait-il lire dans mes pensées ? Je dis ça parce que, sérieusement, j’ai une imagination qui part dans tous les sens.

Non !

Je riposte verbalement à sa tentative de se défaire de mon emprise, mais je ne le retiens pas, ce qui me permet de me réjouir de le sentir tout contre moi. Je ne me débats pas non plus lorsqu’il place mes mains sur son cul ni ne dis quoi que ce soit quand ces premières demandes tombent. C’est qu’il a pris de l’assurance le petit Kissa. Est-ce pour le mieux ?

Je ne peux rien te cacher, je vois…

Mes mains, jusque là immobiles, se sont glissées dans son pantalon sans aucune gêne. Si mes pouces caressent sa peau, mes doigts viennent écarter ces fesses pour laisser mes index se faufiler entre les deux. Ils descendent en prenant soin de venir titiller sa petite étoile avant de remonter avec douceur.  

Mes baisers se méritent, Kissa…

Foutaise !! Il le sait et je sais qu’il le sait, mais je ne peux pas me transformer en homme facile dans un claquement de doigts non plus. Kissa n’est pas Ruusu et même elle je ne lui donne pas tout ce qu’elle demande. Enfin si, mais je la fais souvent travailler pour l’obtenir sinon ou serait le plaisir ? Toutefois, ce n’est pas parce que je lui refuse mes lèvres que mon bassin ne se presse pas contre le sien avec envie.

Peut-être devrais-tu mettre ta bouche au travail au lieu de quémander tu ne crois pas ? Mais avant…

Je retire mes mains de son pantalon et me recule, le regardant avec envie avant de tourner les talons pour me diriger vers ma chambre. J’ai promis a Ruusu de tester l’un de ces nouveaux jouets et qui de mieux pour le porter ? À moins que je ne le porte à sa place ? Peu importe, voyons tout d’abord sa réaction. Je retourne donc au salon armer d’un anneau pénien tout neuf, prototype qui, au lieu de vibrer, change de chaud à froid et de froid à chaud. Merci Amy… Une jeune femme aux multiples facettes que j’aime comme une sœur. Enfin, outre la remercier demain, je reviens vers ma petite chose avec l’objet en main et la télécommande qui va avec. Mes pas cessent devant lui, alors que ma main se tend dans sa direction, un sourire aux lèvres.

Je te laisse choisir qui le portera Kissa… Il est à tester, demande de Ruusu, j’imagine que tu ne veux pas la décevoir en refusant n’est-ce pas ?

Bien sûr qu’il ne va pas refuser, je le connais assez pour l’affirmer avec certitude. Toutefois, je n’ai aucune idée s’il choisit de le porter ou s’il me demandera de me sacrifier… L’une ou l’autre des options me va. Si j’aime le dominer, je ne me suis jamais posé la question s’il préférait être ma chose ou si prendre les commandes était dans ces préférences. Je vais bientôt le savoir, je pense.

Je l’ai surnommé poussin dans la langue de mes ancêtres, il va falloir que j’en trouve un pour Rosie qui ne semble pas être présente vu qu’il semblait l’attendre. Je ne m’occupe pas de ça pour le moment, j’ai le temps de trouver et mon imagination sera assez active pour lui trouver un truc qui collera bien. Je profite qu’il me laisse entrer chez lui pour le toucher du bout des doigts avant qu’il ne me claque le cul, je sursaute un peu de plaisir en poussant une petite expression de surprise mais aussi de plaisir, il sait déjà que mon cul n’attend que cela. Il a retiré sa chemise sans que je ne puisse l’admirer. Je me retrouve rapidement dans ses bras en lui disant qu’il pouvait faire un tas de chose pour moi et en le nommant à nouveau poussin. Eljas va finir par me demander ce que cela veut dire non ? Ben non finalement, il n’est pas aussi curieux que je ne le pensais. Il refuse que je me déface de son emprise sur moi mais me laisse tout de même faire. Je remarque qu’il ne se plaint pas ou ne refuse pas ses mains sur mon cul lorsque je me retourne pour lui faire face. Je suis toujours aussi dominé mais, je prends de l’assurance pour lui montrer ce que je veux et je le veux lui !

Un sourire s’étire sur mes lèvres alors que je l’entends me dire qu’il ne peut rien me cacher, il glisse directement ses mains dans mon pantalon, je sens ses pouces caresser ma peau et ses autres doigts écarter mes fesses pour laisser ses index se faufiler et commencer à titiller mon étoile avant qu’il ne remonte en douceur.

« Surtout pas ça poussin ! »

Voilà, il a la traduction désormais. Il affirme que ses baisers se méritent, oh le coquin mais il pourrait au moins m’en offrir un pour ma présence non ? Il presse son bassin contre le mien avec une envie certaine, laissant encore plus mon imagination travailler. Enfin, il m’annonce avec d’autres mots que je peux l’embrasser mais il se recule en me regardant, je ne sais pas ce qu’il me prépare encore … il part dans une autre pièce mais en revient très vite avec un anneau pénien. Je ne connais pas encore ce modèle et me demande d’où il vient. Il tient en plus de l’objet, une télécommande, il me tend le tout avec un large sourire avant de me dire qu’il me laisse le choix de qui va le porter et que c’est à tester. Il joue en plus sur les sentiments en me disant qu’il s’agit d’une demande de Roselyn que je ne veux certainement pas décevoir. Je me mords la lèvre en le regardant, j’ai bien compris son intention et prend l’anneau en lui laissant la télécommande dans la main.

« Il va falloir tout lui raconter ! »

J’ai l’œil qui doit pétiller, je pense que cela pourrait donner un truc coquin par la suite.

« Dans le moindre détail… »

Je me suis rapproché de lui pour lui souffler cette dernière partie au creux de l’oreille et de manière très sensuelle. J’en profite pour lui embrasser la base de la mâchoire à quelques reprises avant de me reculer. Je dépose l’anneau sur le meuble à côté de moi pour retirer mes baskets avant d’ouvrir le bouton de mon jeans, baisser doucement ma braguette tout en regardant mon poussin. Mes mains passent légèrement sur chaque côté de mon jeans et l’abaissent légèrement, il peut apercevoir ma zone pelvienne et le début de mon sexe encore mou. J’empoigne ce dernier pour le sortir totalement et venir placer le coiffer de notre nouveau jouet. Je me rapproche du beau suédois pour l’embrasser à pleine bouche avant de lui glisser quelques nouveaux mots très coquins.

« Je te laisse prendre les directives car je ne connais pas encore ce modèle ! mais je compte bien te sucer après ! »

Voilà qui a le mérite d’être clair sur mes envies et sans doute sur les siennes aussi car après tout, c’est lui qui vient de me donner le sextoy.

« Surtout pas ça poussin ! »

Poussin ? Il est le chat et moi le poussin ? Cette fois j’ai bien peur le que c’est le prédateur qui va devenir la proie. Je ne suis une proie que sous les caresses de ma Ruusu et seulement elle. Oui, je pourrais faire une exception, mais il devra le mériter. N’est-ce pas contre nature de voir un chat se faire bouffer par un petit poussin ? Non seulement je vais le bouffer, mais je vais lui donner envie de découvrir plus, de tester, de dépasser ces limites. Puis, quoi de mieux que d’y aller avec férocité au début ? Non je ne parle pas des sangles, du fouet ou de je ne sais quoi, non, je parle d’un anneau. Le pire dans cette histoire c’est qu’il me surprend. Si, je ne le croyais pas capable d’enfiler le jouet. Enfin si, il est capable de l’enfiler, je veux dire que je ne le croyais pas assez courageux pour le tester. Serait-il plus soumis que je ne le croyais au départ ? Moi qui croyais devoir utiliser quelques subterfuges en voilà une agréable surprise.

Tout lui raconter… hmmm !!

C’est moi ou ce détail a allumé une petite flamme de plaisir ? J’ai vu une petite étincelle briller au fond de ces prunelles, une envie de plaire à Ruusu ou l’excitation de l’inconnu ? Voyeur ? Exhibitionniste ? Je pourrais faire une pierre deux coups et tester cela aussi.

« Dans le moindre détail… »

Avide de plaire Kissa ?

Son impatience me fait sourire alors que ces lèvres me font frissonner. Putain, sois je suis en manque ou ce mec me fait un effet monstre. Je peux voir sa virilité encore en mode < je me réveille > alors que je suis déjà dure et à l’étroit. Et encore un baiser langoureux. Fuck, je ne vais pas tenir a ce rythme.

Assis toi sur la table du salon et fais durcir ma friandise.

Pourquoi je ne le fais pas moi-même ? Simple, parce que je veux tester sa confiance en moi ainsi que sa capacité a oublié qui il est. Quelques coups de langue auraient probablement convaincu Kissa de se jeter corps et âme dans notre échange. Le corps est faible et je sais de quoi je parle puisque je dois me retenir pour ne pas lui baiser le cul comme il le mérite. Donc, si le corps est faible, il me faut casser l’âme, non ? Je recule donc et termine de retirer tous mes vêtements de manière sensuelle. J’ai l’habitude… puis, sans lui demander la permission, je place mon téléphone sur le meuble de la télé et l’allume avant de revenir vers lui. Ruusu aura un vu sur mon popotin durant quelques secondes et elle ne devra pas trop s’en plaindre.

Ruusu aime les films, non ?

Je me suis assuré que l’on ne voyait pas son visage au cas où, mais je garde ce détail pour moi pour le moment.

Elle ne manquera aucun détail avec ce petit cadeau…

Un petit sourire en coin, mes genoux touchent le sol devant lui.

Si je veux ta bouche autour de ma queue… j’imagine que je dois te donner envie de le faire ? Ruusu aime m’entendre supplier… montre-lui que tu es un gentil petit Kissa !!!

Je choisis la chaleur, niveau 1 pour commencer en toute légèreté. Le but n’est pas de bruler, mais de rendre fou. Enfin non, le niveau 2 sera plus contradictoire avec le même niveau de l’autre côté du spectre. Je place ensuite la commande à côté de l’une de ces cuisses avant de venir faire glisser son membre dans ma bouche. Pas de préliminaire, pas de fla fla, sa bite glisse entre mes lèvres un court moment avant que je ne me décide à le faire refroidir un peu.

Je crois que Ruusu aura du mal à t’entendre Kissa. Elle veut savoir si c’est le chaud ou le froid que tu préfères, ne me force pas à te laisser te branler seul.

Ma langue prend la relève, glisse le long de son pieu avant de venir tourner autour de son gland tel une affamée.

J’aime déjà être la proie de cet homme, de cet incube ou dieu du sexe ! Oui tout compte fait c’est mieux ça dieu du sexe et Roselyne est la déesse ! C’est parfait, j’ai trouvé mon dieu et ma déesse, ils me convertissent et je leur offre mon corps en offrande quand ils veulent ! En ce moment c’est Eljas qui va abuser de moi avec mon accord car, je lui ai fait la surprise de le retrouver dans son appartement. Il vient d’apprendre la traduction du surnom que je viens de lui donner, je trouve ça mignon, légèrement attendrissant. Il m’a mis au défi avec cet anneau à passer autour de mon pénis. Je pense le surprendre en lui prenant des mains et jouant avec le fait qu’il faudrait tout raconter à sa chérie. J’ai envie qu’elle joue les voyeuses, qu’elle nous regarde coucher ensemble, qu’elle se caresse et qu’elle désire nous inviter pour qu’on remette cela en sa présence. Pas de doutes la flamme du plaisir s’est agrandie. Il a dû voir que cela me plaisait tout autant que lui. Il me demande si je suis avide de plaire, cela me parait évident non ?

« Très avide même Pulcino ! »

J’ai envie de lui plaire et il me fait un effet monstre. Je l’embrasse avec une passion certaine, ma langue voulant contrôler la sienne. Je veux le contrôler l’espace d’un instant. Il va me posséder dans un instant et je sais déjà que je vais prendre un pied d’enfer. Il me demande de m’asseoir sur la table du salon et de faire durcir sa friandise. Il sait très bien qu’il aurait pu me faire bander en quelques coups de langue et avec quelques doigts dans la prostate. Il veut continuer de jouer, très bien, on va jouer et j’ai envie de me branler pour lui. Je prends place en ne cessant de le regarder car il se déshabille pour moi, cet homme est un apollon et je suis fier d’être son amant. Ma tige commence à enfler un peu plus, je me caresse les couilles puis laisse la paume de ma main glisser le long de mon membre avant de l’empoigner du bout des doigts et commencer à le secouer timidement. Je matte son engin alors qu’il revient vers moi après avoir placé son téléphone sur le meuble de la télé. Il filme et elle va nous voir en direct ? Mon sourire s’élargit réellement encore plus ! Il pense à tout !

« Je suppose oui ! »

Il m’affirme qu’elle ne ratera aucun détail avec ce petit cadeau ! Il me sourit, se place à genoux devant moi. Il imagine bien oui car même si j’ai très envie de lui faire cette gâterie, il va devoir l’ordonner, je lui en ferai bien plus librement plus tard, car je ne me gênerai pas pour le prendre dans ma bouche lorsque j’en aurai envie ! J’écarterai les cuisses de la belle aussi quand j’en aurai envie lorsque nous serons encore plus intimes ! Notre relation va virer au trouble ! Il me fait connaitre les exigences de madame De Leon qui aime le faire supplier ! Soumis du soumis ? Encore mieux que je ne l’espérais ! Je dois montrer que je suis un gentil garçon !

« J’ai envie de ta queue pulcino ! Ta belle et grosse queue dans ma bouche ! Puis-je te sucer ? »

Le timbre est doux et presque suppliant tout en sentant légèrement la chaleur de l’anneau. Il place la commande à côté de l’une de mes cuisses et s’empare de mon sexe avec sa bouche ! Il m’arrache un soupir. Il commence à me pomper comme un dieu. Il me lâche et me frustre … je l’entends me dire que Roselyne aura du mal de m’entendre car elle veut savoir si ma préférence va au chaud ou au froid et je ne dois pas le forcer à me laisser me branler seul. Je ne sais pas encore mais je dois me décider et vite !

« Eljas ! »

Je le supplie déjà un peu plus fort alors que sa langue se promène sur le long de mon braquemart avant de tourner autour de mon gland.

« J’aime le chaud tout ce qui est chaud comme toi ! Comme sa langue sur ma queue ! »

Je passe mes mains dans ses cheveux souhaitant profiter un maximum de cette fellation qu’il m’offre !

« Offrons-lui le plus beau et le plus torride des films amateurs ! »

Il me réveille réellement, je me sens durcir à en avoir mal cette fois !

« Tu me fais bander ! »

Je n’hésite pas à être cru avec lui et je le serai avec elle !

Pervers, affamé et provocant, ce petit cocktail me plait. S’il est venu me voir c’est-ce la lui plait aussi non ? Quel idiot irait se jeter dans la gueule du loup de son plein gré si c’est pour ensuite crier à l’injustice ? Quand tu n’as pas envie, tu restes chez toi, basta, pas plus compliqué. Maintenant qu’il est là… je compte bien en profiter. Profiter de quoi ? Mais de tout voyons, ne suis-je pas à genoux devant lui, entre ces jambes, ma bouche tout près de son membre ? Il faut bien que je lui donne quelques consignes avant de commencer non?  Je veux qu’il supplie et qu’il supplie assez fort pour faire sourire Ruusu. Sourire et mouiller ? Quelque chose me dit que sa culotte sera trempée une fois ce petit joyau terminé.

« Eljas ! »

Je grogne, sa queue dans ma bouche, alors que ma main fait basculer la température vers le froid. Je ne sas pas à quoi m’attendre de ce changement en fait. Va-t-il dégonfler ? J’essaie de lui donner le plus de chaleur possible en le gardant en bouche, mais j’avoue que le lécher est également tentant. Putain, si je pouvais le dévorer tout entier, je crois que je le ferai.

« Offrons-lui le plus beau et le plus torride des films amateurs ! »

Il s’échauffe lui-même, c’est presque mignon.

Je vois bien que tout cela te fait bander Kissa, mais je crois que tu as menti. Tu bandes comme un cheval que depuis le froid et pourtant tu prétends préférer le chaud?  Vraiment ?

À genou devant lui, je peux plus ou moins facilement pousser la table du salon vers le canapé. Quelques centimètres tout au plus ce n’est rien, mais ça lui permettra de s’allonger et a au lieu de lui demander de la faire, je le pousse rudement d’une main sur le torse. Je prends la télécommande et recule, recule et tourne les talons pour retourner dans la chambre. Je m’amuse pendant un moment à le faire chauffer, puis refroidir, encore et encore, et quand je reviens vers lui c’est avec un large sourire aux lèvres. En silence je lui retire l’anneau, vive le petit déclic, puis je lui enfonce un gode vibrant à froid dans son petit cul.

Tourne-toi.  

Je lui fais signe également de la main de pivoter afin que sa tête soit sur la table et son cul sur le canapé. Pas confortable ? Pas mon problème. J’attends qu’il s’exécute et une fois en place je fais vibrer le gode au minimum, puis tiens sa mâchoire avec assez de force pour lui faire entrouvrir la bouche. Je ne perds pas de temps et je fait glisser ma bite su sa langue, quelques va et vient à l’entrée de sa bouche avant de relâcher sa mâchoire.

Ouvre et supplie-moi pour que je te fasse jouir en te prenant comme une petite pute Daniel.

Je ne parle pas souvent de cette façon, mais cela est pourtant facile avec mon petit chaton. Mes paroles me donnent même avant de rigoler puisque, entre vous et moi, ce sera plutôt difficile de supplier la bouche pleine non ?

Tu crois que la culotte de Ruusu est mouillée?  Elle ne t’entend pas grogner et gémir Daniel…

J’empoigne sa queue et la serre pour lui soutirer un cri de douleur. Pendant e temps là je lui baise la bouche, restant même quelques secondes au fond de sa gorge ici et là pur mon propre plaisir. Ma queue pulse déjà, menaçant de déverser mon plaisir entre ces lèvres à tout moment. Je dois me retirer une première fois, question de ne pas céder tout de suite, mais aussi pour lui laisser tout le loisir de supplier puis je reprendre encore.

FUCK !!!

Ma tête se reverse alors que je me retire une deuxième fois de sa bouche, près a lui baiser le cul si ces suppliques sont satisfaisantes.

Une pute, une véritable petite catin voilà ce que je suis devenu depuis leur rencontre et le pire de tout c’est que je n’en ai même pas honte. Je n’étais pas déjà bien pudique avant de les connaitre mais aujourd’hui, c’est encore pire. Ils m’ont rendu fou de leur corps et je ne cesse d’en redemander comme un véritable drogué. Un vampire face au sang, un chien face à un os …

Il est à genoux face à moi, je sens son souffle chaud sur mon membre, j’attends sagement ses consignes comme un bon petit soumis. Je le supplie de vive voix et il me libère en enfonçant mon pieu dans sa bouche, il joue avec la molette et oh putain, j’ai la sensation qu’il vient de passer sous le froid. Il me procure une fellation des plus divines, je prends un pied inégalable. J’émets des sons caverneux, alors qu’il me garde dans sa bouche pour me faire tourner la tête. La proposition d’offrir le plus sulfureux des spectacles à Roselyn est lancée. Toutefois, Il croit que je lui ai menti car je bande comme un cheval depuis le froid et je lui ai dit que je préfère le chaud.

« C’est le contraste entre la chaleur de ta bouche et le froid du jouet qui me rend ainsi. J’affirme avec certitude que c’est ta bouche que je préfère. »

Je suis convaincu de ce que je viens de lui dire, il y a longtemps que je ne cache plus ma bisexualité et aujourd’hui avec cet homme et prochainement cette femme, je peux la vivre pleinement. Je veux être leur jouet exclusif. Il est toujours à genoux devant et commence pousser la table vers le canapé, ensuite, c’est moi qu’il pousse fermement avec une main sur mon torse. Docilement, je m’allonge entre la table et le canapé tout en le regardant dans les yeux. Que me mijote-t-il en reculant et en s’en allant de la sorte ? Je l’apprends bien vite car, le bougre de sa cachette se met à varier la température du jouet comme bon lui semble. Cela passe du chaud au froid sans ménagement. Je grogne de plaisir, lâchant autant d’onomatopée qu’il peut en exister mais toujours avec les mêmes voyelles. Je crois que je ne connais que deux sons finalement : [A] et [O] ! Il revient, fier de lui et dans un silence de cathédrale, il retire l’anneau avant de m’enfoncer un gode vibrant dans mon anus. J’obéis à son ordre de me tourner et regarde sa main me montrer dans quel sens, il veut que je sois.

« Comme ça ? »

J’ai désormais ma gueule sur la table et le cul sur le canapé. Le confort n’y est pas spécialement mais l’excitation n’est pas très loin de son paroxysme. J’ai envie de l’enculer et qu’il m’encule aussi. Peu importe qui l’aura dans son fondement en premier. Il fait vibrer le jouet placé en moi, il me fait ouvrir la bouche en me tenant la mâchoire et vient faire glisser son engin sur ma langue avant de me l’enfoncer dans la gorge. Il me demande de le supplier pour qu’il me fasse jouir en me prenant comme la petite pute que je suis. Il me demande ensuite si je crois que la culotte de Ruusu est mouillée ou non. Elle ne m’entend pas assez grogner ou gémir. Pour ce faire, il tire sur ma queue, la serre et m’arrache un cri de douleur que j’exagère.

« Argh ! Aie ! Oh Putain oui ! Elle doit bien mouiller maintenant … »

J’ai à peine le temps de terminer qu’il vient me fourrer la bouche avec son gros mandrin. Il me baise la gorge comme un malade me laissant le temps de lui faire une gorge profonde en le gardant bien au fond durant un court laps de temps. Je le sens pulser, il va venir, il se retire me laissant reprendre une grande bouffée d’air comme si j’étouffais, en fait non, j’étouffais réellement à la longue.

« Prends moi pulcino ! »

Je relève légèrement les yeux comme un chien battu

« S’il te plait défonce moi le cul ! »

Il se remet dans ma cavité buccale le temps que je lui prodigue, je fais deux ou trois mouvements de tête pour le pomper, trace des cercles avec ma langue autour de sa circonférence avant de prendre appui juste un de mes bras pour que mon autre main vienne soupeser ses couilles. Je le libère légèrement et le regarde avec un petit sourire joueur et narquois.

« Elles sont lourdes et pleines Pulcino, il faudrait que tu les vides dans mon petit cul … »

Il est tout prêt pour lui … je me passe la langue sur mes lèvres et reviens téter légèrement son gland avant qu’il ne se décide à enfin me l’enfoncer dans le fondement.

Si on m’avait dit qu’un jour le gigolo en moi allait devenir celui qui dévergonde, celui qui contrôle, je ne vous aurais pas cru. Daniel est à nous et pour la première fois depuis des lustres je peux donner mon titre de pute à une autre personne. Ce terme est péjoratif ? Rabaissant ? Méchant ? Pas du tout, enfin, pas quand il sort de ma bouche ou de mon esprit puisque j’assume totalement ce que je suis et je n’ai aucun mal à partager ce petit titre avec lui. De plus, c’est plutôt rafraichissant, étrange, mais rafraichissant. Le pire c’est que je suis persuadé qu’il en sera fier. Quelque chose me dit qu’au moment où le couperet tombera, que ce petit mot affectueux le fera bander comme un étalon. Pourquoi j’en suis persuadé ? Simple, lui et moi on se ressemble sur un point… on aime plaire et on aime le sexe. Il y aura s’autre point en commun qui vont se dessiner plus tard, au fil du temps, mais pour le moment se sera suffisant. Enfin… revenons à nos moutons… Le spectacle est grandiose et son chant, une mélodie des plus aphrodisiaque. J’aime ces grognements autant que ces petits cris, mais ce qui me plait le plus est sa capacité à garder la vulgarité hors de sa bouche. L’olle moi je me laisse aller, lui, reste sobre. Il s’agit là d’un contraste, d’une différence qui me plait.

« Comme ça ? »

Bon OK, il se fout de ma gueule ? Lui remplir le cul et la bouche devrait le faire réfléchir un peu non ? Non… il aime le petit con. Il aime se faire remplir les trous. Je ne peux pas le blâmer puisque je ne dis que rarement non à une bonne sodomie bien solide, mais je dois avouer que je suis un peu surpris de le voir se soumettre à tout cela s’en ronchonner. Il joue même le jeu et laisse un cri passer ces lèvres lorsque je lui tire la queue sans trop de ménagement.

« Prends moi pulcino ! »

N’est-ce pas ce que je fais en ce moment même ? Ne suis-je pas en train de lui baiser la bouche comme la petite pute qu’il est devenu ? Oui, je sais ce qu’il veut, je ne suis pas con, mais j’attends qu’il utilise des mots plus précis, des mots qui repoussent toute ambigüité au loin.

Le cul hum ?

Bah oui, mais pas pour le moment parce que je n’ai pas terminé de me faire bouffer avec appétit. Toutefois, l’affirmation qui suit me soutire un rire franc.

Tu as mon bien être à cœur à ce que je vois hum ? Alors… pourquoi pas ? Tu as raison, elles commencent à être lourdes.

Je délaisse donc sa bouche sans perde de temps, le retourne et lui retire le gode avant de m’enfoncer sans retenu. Bien planté dans son cul, je m’immobilise un court moment afin de le laisser reprendre sa respiration.

Lent ? Rapide ? Avec douceur ou pas ?

Pas besoin d’attendre sa réponse puisque dans le fond je m’en moque. Je vis faire ce qui me plait et il va subir sans broncher. C’est donc avec une lenteur exagérée que je bouge les hanches, poussant ma bite en lui le plus profondément possible avant de recommencer le même manège.

T’es une belle petite pute obéissante hum ?

Ouuuuuuuuuuuui, vive la vulgarité. Bah, c’est facile de parler avec des termes de ce genre quand notre extase est tout près. C’est d’ailleurs après cette petite pique que j’accélère et que je le pilonne sans me retenir, finissant pas me vider en lui, laissant mes soubresauts guider mes derniers coups de hanche, m’alimentant de mes propres grognements de plaisir.

Fuuuuuck…

Je me retire lentement et le plus rapidement possible, je vais chercher la caméra afin de filmer mon foutre qui dégouline de son cul.

Je me demande si elle aimerait avoir une image de mon cul aussi…

Je connais la réponse et c’est oui, évidemment. J’aide donc Daniel à se relever avant de me positionner pour qu’il puisse m’enculer à son tour. La caméra encadrant nos deux visages plus ou moins parfaitement. Je ne suis pas un spécialiste des images, mais ce petit film devrait lui plaire.