WebName : Hortek Date d'inscription : 19/05/2023 Messages : 31 Avatar & crédits : Thomas Doherty - By me Date de naissance : 21/04/1995 Age : 29 Statut civil : Célibataire Occupation : ça dépends des moments Habitation : Somewhere over the rainbow ?
| Sujet: Emrys Powell "si tu es attentif c'est que tu ne vois rien" Ven 19 Mai - 22:45 | |
| | Powell, Emrys 28 ans 21 Avril 1995 Newport au Pays de Galles Neutral |
Origine(s) & nationalité(s) Gallois Statut civil & orientation sexuelle Célibataire et Hétérosexuel Situation familiale J'ai quitté le Pays de Galles, après un évènement navrant de cliché vaudevillien, j'ai décidé de virer de bord. Ma famille se résume à ma mère, une femme soumise au possible à l'odieux connard frivole et puant qui est mon géniteur, un militaire brutal et stupide qui a fait pleurer ma mère et qui maintenant qu'il est vieux et moche trouve pratique d'avoir bobonne à la maison qui le vénère comme le dieu qu'il était et qui joue les femmes parfaites. Bref ma famille se résume à ma mère que j'ai de temps en temps en au téléphone et que je vais rarement voir au Pays de Galles quand elle accepte de traverser un bout du Pays pour me voir car je ne remet plus les pieds à Newport. Mon père a pris soin de couper le lien avec toute la famille, donc je n'ai que ma mère et le connard qui vit avec elle. Occupations, études & statut financier Je suis joueur de poker professionnel. J'ai de l'argent, je gagne beaucoup. Je suis également prestidigitateur c'est une passion et il m'arrive de faire un peu le show et de gagner des pièces ou des billets. Les rivalités Je n'ai aucun lien ni aucune connaissance des rivalités. Cette ville doit évidemment avoir son lot de connards et voyous en tout genre mais je suis incapable de vous en citer. Je suis plutôt à tourner dans le monde des casinos et je me tiens loin des embrouilles. Je joue pour le plaisir et le frisson que ça me procure. Lien vers l'annexe des rivalités Irrévérencieux, Rancunier, Malin, Colérique, Adaptable, Refoule certaines émotions, futé, Se cache derrière son personnage souriant. | Quelle est ta chanson ? "My Way" Elvis Presley au concert d'Hawaï Quel est ton film ou quelle est ta série ? "In the mood for Love" Quelle est ta voiture ? En général un taxi suffit Quelle est ta pire manie ? Faire enrager les cons Quelle est ta personne favorite ? L'inventeur du Ginger Ale c'est mon idole. Plutôt dormir ou non ? Non Un mot sur ta dernière relation ? Connasse. |
Emrys Powell c’est mon nom,
Je suis le fils de Shirley Hopkins et de Ryan Powell, né à Newport, une des six plus grandes villes du Pays de Galles, je grandis élevé par une mère qui se veut femme modèle, mais totalement effacée et soumise à un abruti de mari qui est un militaire de carrière et qui va et viens de par le monde et qui va la tromper encore et encore et qui considère que c’est normal. Mon père est un indélicat petit connard qui a mis ma mère enceinte et qui l’a épousée pour faire bonne figure face à la belle famille très conservatrice qui refusait toute idée d’avortement ou que le monsieur n’assume pas ses galipettes. C’est ainsi que ma mère se maria en noir puisqu’elle n’était plus vierge. Vous comprenez le délire ? Évidemment à cette époque, nous vivions à Cardiff, mais mon géniteur s’est empressé de nous évacuer vers Newport, afin de couper avec la belle famille. Il était souvent absent et quand il rentrait, il tringlait ma mère et repartait ou la disputait et la faisait pleurer. Moi, j'étais trop… Faible, petit, maigre. Pas sportif. J’étais silencieux et réservé, j’aimais lire, dessiner, écouter de la musique. Une fiotte si j’en crois les mots de mon père. Lui aimait le foot, la boxe et le sport. Moi, je faisais du Piano, je lisais et j’aimais coudre avec ma mère ou cuisiner. Je n’avais qu’un parent et donc je m’arrangeais pour passer du temps avec elle en faisant des activités à elle. Mais j’ai toujours aimé faire des choses avec mes doigts.
Comme j’expliquais, mon père n’avait pas d’affection pour moi ni pour la vie de famille ni même pour ma mère. Elle était sa femme et ne devait pas bouger une oreille, mais lui était libre de se taper la terre entière et de la laisser pleurer pendant qu’il s’enfilait des voisines. Bref, j'ai rapidement détesté mon père. Ce fut assez vite compensé par la présence de Sarah. La voisine d’en face. Sa mère était très bonne cuisinière et s’était prise d’amitié avec ma mère. Elle était divorcée et tellement heureuse loin de son mari violent. Du coup les deux femmes passaient du temps ensemble et moi avec Sarah. Nous allions à l’école ensemble. Nous étions inséparables et on essayait tout ensemble. Une vraie fusion. Vers 15 ans, je découvrais la magie. Un spectacle de rue avait suffi à me faire succomber. Je m’achetais un simple jeu de carte et j’essayais de faire des tours. Je regardais à la télé quand je voyais des choses et je m’essayais. Je réussis même une fois à faire céder un magicien de rue qui accepta de m’enseigner des tours contre de l’argent. Mon père évidemment dénigra mes talents. Lui aimait les cartes et il m’apprit quoi faire avec elles. Poker, contrée, tarot… Étrangement, j'appréciais ces jeux et j’utilisais mes talents pour le bluffer, j’apprenais à lire son jeu ou ses stratégies simplement dans les réactions de ses yeux ou de son visage. C’est à ce moment que je réalisais que les gens avaient un langage corporel et des micro expressions qui les trahissaient. Je venais de trouver un moyen de savoir ce que pensent les autres sans souci.
L’amour des cartes me fit donc créer un peu de lien avec mon père. C’était sans compter sur le jour où il se rendit compte que je jouais du fric avec d’autres élèves de mon Lycée et que j’avais pour habitude de les plumer. Il m’a passé à tabac ce soir-là et a gardé le fric. Soi-disant pour le rendre, mais je crois qu’il l’a bu et qu’il a dû se payer une bonne baise avec une des putes de la rue de Mellon Street… Cette nuit-là Sarah grimpa dans ma chambre et se mit à faire des bisous sur mes blessures. Au bout d’une heure de caresses et de petits bisous, nous avons fait l’amour. Le reste de ma vie est d’une banalité affligeante. Sarah et moi pensions à l’avenir. À peine sorti du Lycée, elle trouva un job dans une boutique de fringue et moi dans un bureau ou je rentrais des données clients dans des logiciels. Je continuais de jouer avec des collègues aux cartes et je m’exerçais par passion à la magie. Je faisais un peu de piano de temps en temps et j’aimais ma vie. Parce que nous venions de nous trouver une petite maison à Sarah et moi et tout allait pour le mieux. Mon père finit retraité de l’armée et ma mère était toute heureuse de le retrouver à la maison, passant encore une fois l’éponge sur ses nombreuses infidélités. Elle finissait par m’horripiler avec son attitude de femme parfaitement soumise et mon père devenait de plus en plus con, critiquant tout ce que je faisais. Je m’éloignais d’eux peu à peu alors que la vie allait de mieux en mieux, je me faisais des amis, je vivais tendrement avec Sarah et l’année de nos 23 ans, je lui demandais de m’épouser. Elle accepta et nous décidions de nous marier dans six mois puis de tout plaquer et de faire le tour du monde juste elle et moi et de nous arrêter là où nous serions les plus heureux. Mais un mois avant le mariage, je rentrais plus tôt que prévu. Je devais finir tard, mais mon collègue avait dû rentrer plus tôt à cause de ses enfants et je rentrais chez moi. J’avais pris le diner pour Sarah et moi et quand je rentrais je la trouvais au lit avec mon ami Liam, celui qui devait être mon témoin de mariage. Cette vision dégueulasse me transperça de dégout. Je quittais la maison sans un mot. Je m’en allais sans dire un mot à qui que ce soit. Je me rendis dans un parc ou je restais un moment assis sur un banc finissant par me faire agresser par deux mecs qui me piquèrent tout ce que j’avais. Heureusement, habile magicien que je suis, je leur soutirais un portefeuille bien à eux et avec l’argent qu’il contenait, je me décidais à prendre un billet d’avion pour Las Vegas. Je ne voulais plus d’une vie rangée. Je ne voulais rien du tout à vrai dire. Je venais de me prendre un coup de massue énorme et toute ma vie venait de se briser en mille éclats.
L’avantage de Vegas, c'est que rien ne coute cher, car ainsi, vous pouvez jouer de l’argent sans crainte. Je me trouve un pauvre motel à la con et un burger de merde, mais qui a le mérite de me caler le ventre. Les mains dans les poches, je hère sans but agressé par les lumières omniprésentes de cette ville. Les heures passent et je trouve un magicien de rue. Il fait des tours aux passants et je roule des yeux le trouvant terriblement lent. Il me regarde et me provoque pour savoir si je peux faire mieux. Je lui demande une pièce de 1 Dollars. Je le laisse la poser dans ma main ouverte. Je ferme la main et en l’ouvrant la pièce a disparu. Je le regarde médusé et les gens autour acclament et m’en demandent d’autres. Je fais deux trois bricoles assez simples; A vrai dire, je suis assez rapide. Le mec se fait 700 dollars grâce à moi et m’en file la moitié avant de me proposer de venir rejoindre un casino ou il divertit des gens entre deux spectacles avec ses tours de carte qu’il fait à table. Ça ou autre chose… Je me présente, le patron me demande un tour. Je le mets tellement à la rue qu’il m’embauche tout de suite. J’accepte, préférant ne pas penser que je viens de quitter mon pays, ma famille, mes proches sur un coup de tête à quelques jours du mariage… J’ai la nausée. Je bosse toute la soirée et je suis lessivé, on dirait un zombie. Le patron me file 120 $ en guise de salaire et me dit à demain et de dormir un peu.
Les jours passent peut-être trois. L’ennuie avec cette ville étouffante, c'est qu’on ne mesure plus les jours et les nuits. Ce soir-là, j'ai pris le temps de calculer le décalage horaire et j’ai eu ma mère au téléphone. Elle a appris ce qu’il s’était passé et j’ai dit que je n’en avais plus rien à foutre. Que j’étais parti. Elle me parla alors de responsabilité et pire encore, elle voulait me culpabiliser. J’ai dit que Sarah pouvait tout garder, que je ne voulais rien du tout et que j’allais me démerder. J’ai fini par un salut et j’ai raccroché. Deux semaines après avoir rappelé ma mère, c'est mon père qui a eu la délicate idée de me jouer l’autorité en lui arrachant le téléphone pour me gueuler dessus. J’ai raccroché direct et j’ai reproduit ça à chaque fois qu’il a tenté. Finalement ma mère a compris que je ne parlerai qu’à elle et je raccrochais dès qu’elle me parlait de Sarah. J’avais tourné cette page et je refusais de relire le livre.
Le temps passait et je m’amusais de moins en moins à épater des cons avec mes tours. C’est un jour où je décidais de faire une partie de poker avec les gars que je commençais à y prendre plaisir. Joueur et un peu con, je tentais une partie d’entrée au casino. C’est 500 $ d’entrée pour sept joueurs et le gagnant repart avec la moitié des gains de tous les participants. Ce genre de partie est connue pour être le repaire de petits cons qui s’amusent à vous faire croire que vous êtes bon sympathisent et vous entrainent ensuite dans des parties « entre amis » qui font que vous vous endettez salement. Et évidemment j’ai fait ça. Sauf que contrairement à ce qu’ils pensaient, j’ai rapidement pu les déjouer en captant immédiatement les tics et les stratégies de chacun. Une fois cernés, c’était un jeu d’enfant. J’ai plumé ces mecs et comme l’un d’eux devenait agressif, je le délestais de sa ceinture, laissant tomber son pantalon au sol. L’art et la manière d’être un habile magicien… Je lançais au pif un tiers de la somme gagnée en disant que comme ça on resterait bons amis…
Je quittais la pièce et me rendais chez moi. Je réalisais que j’avais aimé jouer. Mais j’avais eu de la chance ? Le soir suivant, je tentais au casino en allant sur une table plus chère. Je gagnais encore. Les jeux étaient si faciles à lire et j’avais cette capacité à deviner statistiquement quelle carte allait sortir et quels jeux avaient les gens. Je me suis alors dit que c’était parce que j’arrivais à lire les visages et comprendre. Le soir suivant, après le boulot de « magicien de table » je me mettais sur internet et je gagnais. L’idée finie par faire son chemin et je me lançais. Il faut 3 ans de jeu pour devenir professionnel du poker, alors j’écumais les concours, je me faisais parfois un bonus de salaire quand les casinos ouvraient des tables, et parfois, je perdais, mais dans ce cas, j'apprenais et j’élargissais ma palette de savoir. L’année de mes 26 ans, j'étais enfin joueur pro. Je ne suis pas rentré au Pays de Galles depuis mon départ et ma mère ne veut pas faire le voyage. Alors, je l’appelle et ça s’arrête là. Mais du coup, je commence à bien décoller comme joueur et c’est l’année de mes 27 ans que je suis en finale du championnat du monde. Je suis face à un type excellent, un virtuose, il me pose autant de soucis qu’il parvient à me laisser entrevoir des choses. Finalement, il parvient à remporter le match et je récolte une excellente leçon de poker. Le pot m’échappe, mais ce n’est que partie remise.
Je suis donc joueur de poker professionnel et vice-champion du monde. C’est assez honorable. Ma place est faite et en parallèle, je continue de faire de la magie. Pas des trucs énormes à la Copperfield où je scie des femmes en deux. Non, je fais des tours de cartes, des disparitions d’objets et des choses comme ça. Rien de spectaculaire, mais très divertissant, je dois l’avouer. Bref, je m’amuse beaucoup et ma vie est légère. J’ai accepté de revenir au Pays de Galles pour voir ma mère. Mon père lui a refusé de venir à mon hôtel, mais je ne voulais pas retourner chez eux. Je me suis appliqué à me tenir loin de tout ce que je connaissais de là-bas. J’ai d’ailleurs dit à ma mère au moment où nous allions passer à table que je m’en irais directement si elle parlait de Sarah. Du coup, elle évita, mais elle était furieuse après moi et je l’envoyais chier de ne pas venir elle me voir plutôt que de jouer à l’épouse parfaite avec ce con qui me sert de père. Qu’importe de toute façon. Je suis étranger à ce pays et à tout ce qui s’y trouve, on dirait. De retour à Las Vegas, je réalise que j’ai besoin de changer d’air. Vegas m’étouffe et le retour au Pays de Galles a eu cette vertu de faire renaitre en moi le désir de proximité de la mer. Je me décide donc à partir pour la côté. Délaisser le désert pour un peu d’eau, c'est pas mal, je trouve. Las Vegas, c'était étouffant et Los Angeles me dérange par son effervescence, mais San Francisco est trop calme pour moi, ce sera donc San Diego. En plus, un casino réputé s’y trouve. Je vais y faire mon temps et je vais de toute façon retourner à Las Vegas pour d’autres concours donc tout va bien en fin de compte…
C’est ainsi que j’arrive à San Diego. Bien décidé à poursuivre ici en Californie ma carrière de joueur de poker et accessoirement de magicien. Quand j’ai dit à ma mère où je déménageais, elle m’a juste dit que je m’éloigne encore un peu plus de mes racines. C’est l’idée, on dirait. Mais le pire, c'est que j’en viens à ne même plus le faire exprès…
pseudo/prénom Hortek/Seb. âge 36 anspays & présence France Quotidiennement ou quand, comment ? The fantastic Her : Lex (avec son célébreprojet de double friendzone) prélien ? inventé ? Inventé Commentaires D'énormes bisous à toi qui lit ceci. Trigger Warning Nope | |
Dernière édition par Emrys Powell le Ven 19 Mai - 23:11, édité 1 fois |
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WebName : Lex Date d'inscription : 15/10/2022 Messages : 72 Avatar & crédits : Eva Green & Tumblr Date de naissance : 13/10/1985 Age : 39 Statut civil : Célibataire Occupation : Responsable de la sécurité dans un casino. Le Seven Miles Habitation : Entre San Diego et Tijuana, non loin du casino, dans une villa.
| “Il y a trois façons de faire les choses dans ce casino : la bonne façon, la mauvaise façon et ma façon.”
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WebName : Hortek Date d'inscription : 19/05/2023 Messages : 31 Avatar & crédits : Thomas Doherty - By me Date de naissance : 21/04/1995 Age : 29 Statut civil : Célibataire Occupation : ça dépends des moments Habitation : Somewhere over the rainbow ?
| Sujet: Re: Emrys Powell "si tu es attentif c'est que tu ne vois rien" Ven 19 Mai - 23:12 | |
| Bonsoir Mademoiselle et monsieur merci de votre accueil et l'histoire est lisible :D je viens de finir |
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WebName : Lex Date d'inscription : 15/10/2022 Messages : 72 Avatar & crédits : Eva Green & Tumblr Date de naissance : 13/10/1985 Age : 39 Statut civil : Célibataire Occupation : Responsable de la sécurité dans un casino. Le Seven Miles Habitation : Entre San Diego et Tijuana, non loin du casino, dans une villa.
| Sujet: Re: Emrys Powell "si tu es attentif c'est que tu ne vois rien" Ven 19 Mai - 23:24 | |
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“Il y a trois façons de faire les choses dans ce casino : la bonne façon, la mauvaise façon et ma façon.”
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| Sujet: Re: Emrys Powell "si tu es attentif c'est que tu ne vois rien" Ven 19 Mai - 23:34 | |
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| Sujet: Re: Emrys Powell "si tu es attentif c'est que tu ne vois rien" Ven 19 Mai - 23:56 | |
| Tu es validé.e Félicitations !Nouvelle page et nouvelles aventures... J'ai hâte ! Plein de bisous Bienvenue. Nous sommes ravis de te compter parmi nous. Pour fêter ça, dignement, tu peux dès à présent : Poster une fiche de liens Nous rejoindre sur discord, si ce n'est pas déjà fait. |
“Il y a trois façons de faire les choses dans ce casino : la bonne façon, la mauvaise façon et ma façon.”
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