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 HOT // Un souvenir à partager (Volkan)

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Mattia Mancini
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MessageSujet: HOT // Un souvenir à partager (Volkan)   HOT // Un souvenir à partager (Volkan) EmptyJeu 9 Mar - 23:51

+ 18

Depuis que j’ai mis les pieds à San Diego, je vis ma vie comme je l’entends. Mes parents adoptifs ne m’ont jamais vraiment bridé, mais ici je peux faire tout ce que je veux, avec qui je veux et quand je le veux. J’ai une colocataire, une étudiante comme moi, je dois donc faire un minimum attention pour ne pas la déranger lors des fins de session ou moment critique du genre. Sinon ? Elle me ressemble un peu, elle a un petit côté sauvage, ce qui nous permet de nous comprendre à la quasi-perfection. Puis, entre vous et moi, si j’ai envie de me donner à fond, je peux toujours me rendre chez mon partenaire ou louer une chambre d’hôtel non ? J’ai quelques partenaires, aucun n’est très sérieux et un seul ne me donne rien en échange de mon corps. Non je ne suis pas une pute, mais je ne dis jamais non aux cadeaux que mes sugar daddys m’offrent parce que ce serait idiot de le faire. Le mec dont je parle, celui avec qui je passe du bon temps pour le seul plaisir de le faire est un collègue à moi. Un collègue ou, si vous préférez, un étudiant. Il est beau comme un dieu et, ben, je ne suis pas insensible à ses charmes.

Il y a quelques semaines une à moi m’a mise au défi de participer a un truc de ouf dans un établissement que je dirais… Pour adultes très consentants seulement ? Elle m’a dit que jamais je ne serai assez courageuse de me transformer en suceuse de bite. Oui, je sais, c’est un peu vulgaire, mais en fait le truc c’est qu’on se place d’un côté d’un mur ou il y a des trous et on attend que des mecs poussent leur queue dans les trous pour être sucé. Je vais vous épargner les détails du premier cobaye et me limiter au fait que le deuxième avec une très très très petite chose. Déçue ? Oui, je l’étais, qui ne le serait pas ? J’ai failli abandonner après deux-là, mais je ne l’ai pas fait et je ne l’ai pas regretter parce que j’ai eu droit a une gâterie de taille. Une belle longueur… Un diamètre ouf… Ces grognements ont fait glisser plusieurs frissons de plaisir sur ma peau… Selon ce que j’ai compris de toute cette mascarade, c’est qu’en principe, le mur est là pour une bonne raison, soit l’anonymat. Celui des hommes ou celui des femmes ? Aucune idée… les deux ? Je n’avais donc pas le droit de savoir qui était cet homme. Pas le droit… Cela ne m’a pas empêché de jeter un œil par le trou une fois sa semence avalée et son membre bien au chaud dans son pantalon. Ce que j’ai vu m’a plus presque autant que son pieu. Grand, beau comme un dieu, musclé et… fin trentaine ? Mi-trentaine peut-être ? Je les aime un peu plus vieux que cela, mais faire une petite encoche à mes limites ne fera pas de mal à personne n’est-ce pas ? Dommage que son nom soit resté dans l’ombre de mes envies. Je ne sais pas qui il est, ni où je peux le retrouver et tout ce qu’il me reste de lui c’est un souvenir très agréable.


C’est-ce que je croyais et le revoir a été non seulement un choc, mais le début d’une envie. Les chances que ma route le recroise étaient aussi petites que d’un sur un milliard et pourtant, mon regard l’a immédiatement reconnu dans cette librairie toute spéciale dans laquelle je suis entré il n’y a pas 15 minutes. J’y suis entré pour trouver un ouvrage bien précis. Un professeur m’a transmis cette librairie en sachant que j’y trouverais mon bonheur… s’il savait à quel point il avait raison, ces joues rougiraient de plaisir aussi. Le problème maintenant c’est que je n’ai plus aucune envie de trouver ce bouquin. Quelle femme, saine d’esprit, penserait à chercher un livre dans une librairie quand elle a retrouvé son héros ? J’exagère à peine, on est d’accord ? J’ai donc dû attendre d’être seule avec lui pour m’avancer vers le comptoir, endroit où j’ai pu lire qu’il cherchait une employée sur une affiche près de la caisse. Je pourrais prendre cette excuse pour faire les premiers pas non ? C’est mieux que de lui dire… Pardon monsieur, mais j’aimerais bien gouter à votre queue de nouveau.

Bonjour à vous… J’ai vu que vous cherchiez de l’aide ? Je n’ai pas beaucoup d’heures à donner, mais je suis étudiante en restauration d’œuvre d’art et je ne dirais pas non pour faire un peu de terrain. Je peux faire de la caisse, conseiller la clientèle ou… me salir un peu ?

Je ne peux pas m’empêcher de me mordiller la lèvre avant de poursuivre.

Je suis plutôt doué dans les endroits… exigus ?

Je pourrais aussi ajouter que je travaille très bien à genoux, mais je vais me garder cette réplique pour plus tard.


Dernière édition par Mattia Mancini le Mar 29 Aoû - 23:47, édité 2 fois
Volkan Ambrose
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MessageSujet: Re: HOT // Un souvenir à partager (Volkan)   HOT // Un souvenir à partager (Volkan) EmptyVen 10 Mar - 8:57

Un souvenir à partager

We do not remember days, we remember moments.

Ma mâchoire faillit se disloquer devant mon bâillement. Machinalement, je prends entre mes doigts ma tasse et me prends une gorgée de café, devenue ma nouvelle drogue depuis un mois et cette foutue réflexion d’un ami lors d’une soirée, rétrospectivement, je le hais et en même temps le remercie, un conflit d’émotions palpables sur mon visage, mais pour être honnête, je vivais ma meilleure vie.

Lors d’une soirée, il m’avait fait remarquer que je ne sortais pas beaucoup et je lui avais rétorqué que c’était tout l’inverse, je faisais mon footing, mes petites balades, j’étais sûr de moi, mais en voyant les petits sourires de ma bande d’amis, j’ai compris que j’étais sur une pente dangereuse d'oisiveté.

Depuis un mois, j’avais donc décidé de vivre à fond, enfin, tout de même, pas à ce point, mais disons que j’avais laissé mes envies et ma curiosité prendre le dessus et pour le coup, j’étais totalement déphasée entre mes nuits et mes jours, au point que j’avais laissé les clés de la boutique plus que de raison, mais au moins, j’avais le sourire, car oui, je me sentais revivre.


Comme cette soirée digne des orgies romaines, mon Dieu que ça été plaisant, rien que ce glory hole, mon Dieu, les souvenirs du plaisir que j’ai eu reviennent et je souris bêtement, mais il faut dire que cette bouche qui avait sucé ma queue jusqu’à ce que je vienne, une inconnue à la bouche magique avec qui j’aurais bien vu plus, mais il y avait des règles à respecter, mais en y repensant, j’aurais dû lui glisser mon numéro.
Lorsqu’il s’agit de sexe, je vrille complètement, l’image de l’ancien professeur s’efface pour laisser place à un monstre, oui, c’est peut-être égocentrique, mais c’est la réalité, chacun possède un masque et des secrets, les miens, je les garde précieusement, mais il ne faut pas grand-chose pour que mon appétit vienne vriller mon ventre et gonfle mon sexe d’envie. Oui, une soirée comme j’aimait qu’elle se déroule et pourtant, je n’avais pas été plus intéressé que ça au début jusqu’à ce que je glisse mon sexe tendu dans ce trou, en fermant les yeux, je pouvais imaginer cette langue venir s’enrouler tel un serpent de luxure autour de ma queue, cette chaleur humide qui l’englobe… Putain Volkan calme toi. C’était éphémère rien de plus, un bon petit plaisir, mais qui me trottait dans la tête avec une seule envie, retrouver cette bouche.

Mais bon, cette soirée était du passée, je secoue la tête comme pour chasser les derniers souvenirs avant de me concentrer sur ce que je lisais, derrière le comptoir de ma boutique, plutôt calme aujourd’hui ce qui m’allait parfaitement.
Dans mes pensées, j’en suis tiré par une voix féminine qui me fait relever les yeux et je tombe sous le charme des deux iris.
C’était comme sortir d’une grotte sous-marine et de tomber nez à nez face à un iceberg culminant comme le Mont Everest et où les rayons de soleil venaient le darder pour en relever l’éclat glacial. Oui, une paire d’yeux qui vous magnétise directement, elle pouvait bien tout me demander, pour peu que je puisse encore plonger mon regard dans le sien.
Je lui souris doucement alors que cette jeune fille, elle semble intéressée par le poste que je propose, une aide bienvenue et si elle est réellement ce qu’elle prétend être, c’est un avantage non ? Mais alors que je me dis que bingo, j’avais trouvé enfin une étudiante qui allait pouvoir m’aider, quelque chose dans ses mots me font sourire, mais loin d’être un sourire amusé, il est plus animal, prédateur, est-ce qu’elle à conscience du sous-entendu que mon esprit pervers fait lorsqu’elle se propose même de se salir ?
Je mettrais ma main à couper que oui, car je vois, de façon presque fugace, ses dents venant mordiller ses lèvres. Bon dieu, Volkan calme toi, tu sais ce qui c’est passé à Harvard avec les étudiantes, mais malheureusement mon esprit pervers semble totalement enfermer ma raison, car je me penche sur le comptoir pour la regarder avec encore plus d’intérêt lorsqu’elle me parle d’endroits exigus… Attendez ? Elle me fait du rentre-dedans non ? Non, calme toi, respire.

“Bonjour, je me demandais quand une magnifique étudiante allait se proposer pour réaliser ma demande la plus folle.”

Mon index tapote l’annonce, bien sûr, il ne s’agit que de ça, bien sûr il y a un sous-entendu, mais je me garde de lui faire comprendre, voyons voir si elle est maligne. Je me redresse et fais le tour pour me poster face à elle, lui tendant ma main avant de serrer la sienne, une poigne ferme, mais pas écrasante et lorsque nos doigts se lâchent, je ne peux m’empêcher de caresser discrètement sa paume, simple erreur, enfin, c’est ce qu’elle s’imagine peut-être.

“Je suis Volkan, Volkan Ambrose. Enchanté. Voulez-vous aller dans un endroit plus tranquille pour parler comme bon nous semble ? Promis, je ne vous ferai pas encore passer dans des endroits exigus pour vous tester. Mais je ne doute pas de vos capacités.”

Je lui lance un petit clin d’œil avant de l’inviter à me suivre dans les rayonnages de livres. Essayant de rester sérieux, mais je ne sais pas pour quoi, mais j’avais très envie de jouer avec elle, de lancer des sous-entendus pour voir sa réaction, mais je devais me calmer, elle cherchait un job étudiant, je me faisais sûrement des films à cause de mon moi totalement débridé.

“Est-ce que vous connaissez un peu l’historique de la librairie ? Où vais-je devoir m’occuper sérieusement de votre cas et vous enfoncer à coup de livres ce que représente cette librairie ?”

Je lui souris et attends sa réponse, les murmures des gens dans la boutique résonnent dans la vaste pièce. Nous étions seuls et pourtant, pas vraiment, cette sensation était si plaisante.


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Dernière édition par Volkan Ambrose le Lun 3 Avr - 13:21, édité 1 fois
Mattia Mancini
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MessageSujet: Re: HOT // Un souvenir à partager (Volkan)   HOT // Un souvenir à partager (Volkan) EmptyJeu 30 Mar - 18:27

Qui, entre lui et moi, possède le niveau de malaise le plus élevé en ce moment ? Probablement moi-même si, habituellement, approcher les hommes ne me gêne pas. Toutefois, vous en conviendrez qu’il y a une différence entre flirter et tenter de mettre un visage sur une bouche n’est-ce pas ? Enfin… Même ma bouche lui est inconnue, ce qui signifie que je devrais plutôt dire que c’est gênant d’essayer de mettre un visage sur des bruits de succion. Je ne vais tout de même pas jouer une scène de fellation pour le plaisir de voir une étincelle de compréhension briller dans le fond de son regard, il ne faut pas exagérer. C’est bien ce que je pensais… Je poursuis donc dans ce chemin sinueux avec des mots, des tentations. Je laisse la succube en moi souffler sur cette petite étincelle d’envie et de désir que je viens tout juste d’allumer en lui. Comment je sais ? Il s’est penché vers moi avec une lueur plus sombre dans le fond de son regard, ce qui en dit long sur les pensées perverses qui ont pris ou qui prendront d’assaut son esprit. Je dois même retenir un sourire vainqueur de se glisser sur mes lèvres quand je le sais pris dans mes filets. Cependant, si je joue dure, il ne me donne aucun répit lui non plus. Une étudiante qui se propose pour réaliser sa demande la plus folle hum ? En voilà une phrase subtile sans l’être complètement. Si je joue bien mes cartes, il sera à moi… je serai à lui… Ou pas? Ou alors pour une fois seulement ?

Mais je ne doute pas de vos capacités.

Cette petite phrase me fait sourire davantage, comme si cela était possible. Déjà que de lui serrer la main a fait monter ma température de quelques degrés, si en plus il décide de ne pas jouer selon les règles, j’ai perdu d’avance. Je sais… qui a dit que nous étions obligés de jouer dans les règles?

M. Ambrose, sachez que je donne toujours mon maximum dans tout ce que j’entreprends, mais encore plus quand le travail me plait.

Son clin d’œil m’a soutiré un autre sourire mielleux avant de le suivre à travers la librairie. Pour aller où ? Aucune idée, mais suivre son petit cul là ou il voudra bien me mener, je veux bien. Si le reste de son corps est aussi ferme que son popotin, j’accepte de le lécher de haut en bas et de bas en haut. Lécher et me faire défoncer ? Je me croyais capable de jouer à qui fera flancher l’autre le premier encore longtemps, mais à ce rythme je vais être celle qui va déclarer forfait.

Ce serait mentir que de prétendre être une piètre élève, monsieur Ambrose, mais n’est-ce pas le rôle du professeur de décider de quelle façon son enseignement doit être dispensé ? Si vous devez enfoncer quoi que ce soit en moi…

Heureusement que nous sommes entrés dans ce que je crois être un bureau sinon je crois que ma main aurait perdu patience et elle aurait caressé les muscles de son dos sans retenu. Je veux bien flirter, faire des sous-entendus, mais je ne serai pas celle qui fera les premiers pas. Je ne serai pas celle qui se fera repousser du revers de la main, ma fierté me l’interdit.

Dites-moi, monsieur Ambrose, quel seront mes taches si j’accepte ce travail? Outre travailler dans des endroits exigus bien sûr?

Je suis déjà assise sur l’un des fauteuils, je ne peux donc pas me relever pour choisir un autre endroit ou poser mes fesses.  Dommage puisque prendre place sur le bureau aurait été plus, comment dire… plus invitant?  Se serait probablement trop direct non? Sans parler que j’ai besoin de ce job et que je ne peux pas me permettre de jeter un emploi du genre par la fenêtre. Si mes avances ne mènent à rien j’aurai au moins gagné un petit boulot non? Si mes avances ne mènent à rien… j’ai vraiment envie de gouter d’autre partie de son corps…

J’ai toujours apprécié les gens et les objets ayant une histoire, du vécu. Touché, palper et restaurer l’histoire est tout simplement divin et orgasmique... Alors dites-moi Volkan, pourquoi avoir choisi la voie des vieux bouquins dites-moi?

J’y suis peut-être aller un peu fort là non?
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MessageSujet: Re: HOT // Un souvenir à partager (Volkan)   HOT // Un souvenir à partager (Volkan) EmptyJeu 27 Avr - 14:14

Un souvenir à partager

We do not remember days, we remember moments.

Je ne sais plus vraiment comment réagir, cette fille m’envoûte et je dois le dire, m’excite, oui, chacun de ses mots me donne envie d’elle, j’ai des images qui me viennent, obscènes, mon dieu Volkan essaye de rester un peu professionnel… Mais en même temps, ce petit jeu m’amuse, j’ai l’impression d’être un poulet devant KFC, une invitation interdite, une provocation qui ne mène à rien de bon… Enfin, en voyant le corps de cette fille j’ai bien envie d’y plonger.
D’ailleurs, je me demande comment elle s’appelle, non vraiment, toute cette conversation ne rimait à rien et c’était ce qui était si intéressant. J’avais cette impression de la connaître, mais sans vraiment pouvoir me la remettre.

Notre petite conversation m’intéressait, elle semblait très à l’aise, elle serait parfaite pour parler aux clients, c’était une bonne chose et puis, il y avait ce petit quelque chose chez elle, ce sentiment d’interdit que l’on pouvait effleurer avec elle, l’envie de plus. Je hoche distraitement de la tête lorsqu’elle me parle, je pense qu’il y a vraiment quelque chose chez cette fille qui m’oblige presque à accepter sans retenue sa demande.


“C’est bon à entendre, rien que le ton de votre voix me fait dire que vous êtes le genre de femme à cravacher dans votre boulot, un bon point c’est une évidence.” Je rigole doucement, mais mon esprit quelque peu tordu me fait dire que plus que la voix, c’est sa bouche que j’aimerais goûter, car je suis sûr qu’elle se donne également à fond pour le sexe… Non mais stop ! Volkan, calme toi, ne laisse pas ton esprit trop divagué.

Alors que nous sommes presque arrivés à mon bureau, une dernière phrase de la jeune femme fait mouche dans mon esprit alors que j’ouvre la porte et m’écarte pour la laisser passer. Elle joue sur mes mots, j’adore ça, mais c’est un petit jeu dangereux. Alors qu’elle passe devant moi pour entrer dans la pièce, je ne peux pas m’empêcher de dire d’une façon presque anodine quelque chose.

“Oh si je dois en arriver à enfoncer quoi que ce soit en vous, ne doutez pas que je le fasse avec rigueur…”

Putain, mais merde Volkan, limite, sort ta queue de ton pantalon et culbute son cul sur ton bureau, c’est limite moins choquant que ce que tu viens de dire, je ne flirt même plus avec le harcèlement, j’ai carrément tendu la perche pour me faire pincer… Mais cette succube me donne envie de pousser le vice des mots jusqu’à en tirer de délicieuses tentations.

Heureusement, le bureau permet de souffler, je ferme un instant les yeux pour essayer de rester concentré avant de fermer la porte. Je la laisse s’installer dans un des fauteuils avant de prendre place derrière mon bureau que certains jugeraient arrogant et hautement hautain vu que c’est dans la plus pure des style victorien, un lourd bureau qui me permet de mettre suffisamment de distance entre elle et moi. Pratique, avec ça, je serais peut-être plus focus sur l’entretien. Mais bien sûr, chacune de ses phrases est pour moi un sous-entendu, j’ai bien envie de lui dire que travailler dans un endroit exigu risque de bien-être souvent le cas et qu’elle devra faire preuve de souplesse… Et forcément, j’imagine sa croupe divine, nue, offerte à moi et ressentir sa chaleur et son étroitesse. Mais bordel, même si je sais que je suis un brin pervers avec les femmes, je n’arrive pas à me sortir de la tête que cette femme, je la connais, je ne sais pas, quelque chose en moi, de fort et profond, mais impossible de mettre le doigt dessus.

Sa dernière question me permet de faire mine de réfléchir en levant les yeux au ciel, m’évitant de croiser son regard.

“Pourquoi ? Et bien, j’aime l’odeur d’un vieux bouquin… J’aime caresser les pages comme si c’était une amante. En vérité, je vais vous l’avouer, je trouve qu’un bon livre est aussi excitant que le corps d’une femme.” Je la regarde droit dans les yeux avant d’éclater de rire. “Pardon, trop tentant… Rien n’égal le corps d’une femme et ses envies, même un bon livre.”

Je me penche légèrement en avant, comme pour la mettre dans la confidence.

“J’étais prof… Disons que j’ai eu des petits soucis, assez pour me mettre sur la touche et comme j’étais un prof de lettre, je me suis lancé dans cette librairie… Rien de bien incroyable, je le crains. Ce que j’attends de vous c’est de m’assister, vous semblez connaître votre sujet et j’ai besoin de quelqu’un pour m’aider au sous-sol dans la restauration de livres. Vu que vous êtes étudiante, nous pouvons aménager des horaires qui vous conviennent. Bien sûr, si vous acceptez, il y aura un mois de test pour voir si vous êtes capable… Je serais dur avec vous, mon établissement propose à une élite, je me dois d’avoir les meilleurs, mais je ne doute pas que vous soyez capable de vous plier à mes demandes… Mademoiselle ? Je n’ai même pas encore demandé votre nom tellement vous m’intriguez…”

Je lui offre mon sourire le plus énigmatique et à la fois charmeur. Bon dieu que j’ai envie de plus. Heureusement, les mots ne sont que des mots, je pense pouvoir gérer ça… Et au pire, je peux toujours fermer la porte à clef non ?


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MessageSujet: Re: HOT // Un souvenir à partager (Volkan)   HOT // Un souvenir à partager (Volkan) EmptyVen 30 Juin - 13:57

Le jeu devient glissant. Lui comme moi parlons à demi-mot, choisissant des double sens qui, lors d’un entretien d’embauche, ne devrait pas avoir lieu. Des exemples ? Endroits exigus, divin et orgasmique puis celui qui a commencé le jeu, continuer le jeu je devrais dire, le seul et unique  ? Je ne sais pas pour vous, mais moi, ce mot, il me fait serrer les cuisses d’envie. Je veux bien le laisser me cravacher ailleurs qu’au boulot. Il est sexy, bien découpé et il a cet homme de bad boy que j’aime tant. Je ne serais pas la première à baiser son patron, on est d’accord non ? J’ai poursuivi le jeu, regrettant de ne pas m’être installé sur le bureau. Faux, je regrette de ne pas m’être installé à califourchon sur ces cuisses. S’il doit en arriver à enfoncer quoi que ce soit en moi ? À cheval sur lui il aurait tout le loisir de le faire non ? Il fait chaud ici ou quoi ? Je me concentre donc un peu et tente de ramener la conversation dans un chemin moins chaleureux. Encore là c’est raté. S’il trouve qu’un bon livre est aussi excitant que le corps d’une femme, c’est qu’il n’a pas encore joué avec le mien. Toutefois, la réponse qu’il donne à ma dernière question me fait lever un sourcil. Prof hum ? Petits soucis hum ? Petits soucis basés sur de la vérité ou pour une envie de vengeance ? Est-ce que l’une ou l’autre des réponses me ferait tourner les talons ?

Mattia Mancini !

J’ai vraiment envie de m’approcher, de la provoquer, de briser cette retenue qu’il semble mal maitriser.

Je vous remercie pour les horaires, c’est grandement apprécié, croyez-moi.

Si je fais les premiers pas il va croire que j’essaie de le séduire pur avoir un meilleur salaire ? De meilleures conditions ?

M. Ambrose ?

Ne fais pas ça Mattia, tu as besoin de ce boulot…

Professeur…

Mon sourire est aguicheur et les mouvements de mon bassin, quand je contourne le bureau pour venir poser mes fesses dessus, devant lui, invitent à la luxure.

Un mois de test me convient et je promets de redonner vie aux livres les plus abimés sans me plaindre. Libre à vous de rester fidèle à vous-même, la dureté ne m’a jamais fait plier les genoux.

Euuuuh merde, c’est moi ou cette phrase ne sort pas tout à fait comme je l’aurais voulu ?

Je vais caresser ces livres et leur redonner vie, réveiller leur passé pour l’élite que vous côtoyez. Toutefois, M. Ambrose, puisque nous sommes dans les confidences, j’ai moi aussi une confession à vous faire. J’ai triché il y a quelques semaines. Il nous était interdit de regarder par le petit trou, mais je n’ai pas pu résister et…

Je me lève, le contourne pour venir me poster derrière lui, mes mains se posent sur ses épaules et descendent vers son torse, l’enlacer pour mieux diriger le prochain jeu. Je penche le haut de mon corps vers l’avant afin de pouvoir murmurer au creux de son oreille.

Votre queue a bon gout, M. Ambrose ! Endroit exigu… Cravacher… Enfoncer quoi que ce soit en moi en vigueur… Caresser… un jeu de rôle… Avant ou après les heures de boulot… Pendant…

Tout en disant tout cela, mes mains se baladent au gré de mes fantaisies sans jamais passer du haut vers le bas du corps. Mes lèvres titillent la peau de son cou un moment avant que ma bouche envoie le coup fatal.

Je peux commencer maintenant si vous me le demandez gentiment.

OK Mattia, maintenant serait le moment idéal pour prendre tes jambes à ton cou, sortir et ne plus jamais revenir. C’est quoi cette bulle au cerveau qui vient de me transformer en pute de luxe ? Ouais bon, on me paie pour faire la belle donc je suis bel et bien une pute de luxe. OK, pas besoin de fuir… enfin, je crois.


Dernière édition par Mattia Mancini le Sam 1 Juil - 11:25, édité 1 fois
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MessageSujet: Re: HOT // Un souvenir à partager (Volkan)   HOT // Un souvenir à partager (Volkan) EmptySam 1 Juil - 8:39

Un souvenir à partager

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Autant le dire, les allusions et les limites sont franchies depuis un petit moment, je dirais même, depuis le début. Les allusions sont presque grotesques tellement elles suintent l’érotisme, oui, c’est plus ça, on flirt avec un érotisme honteusement plaisant à insérer dans la moindre phrase et oui, je peux le dire, j’ai bien envie d’insérer cette jeune femme d’une tout autre manière mais je sais rester professionnel bien que je dois avouer que je me sens de plus en plus à l’étroit dans mon jean.
Comment diable on avait pu dévier à ce point ? Nan, car franchement, ce n’était plus un entretien d’embauche, nous étions en train de tester les limites de l’autre.
Mais il y a quelque chose chez elle qui me donne envie de plus, d’aller plus loin, trop loin ? Oui, certainement, oui, j’ai envie de la plaquer sur le bureau, oui, j’ai envie de la retrousser là, de suite maintenant, prendre mon putain de pied à lui écarter les cuisses. Mais c’est étrange, j’ai l’impression qu’elle me connaît, son regard m’hypnotise.
Sa voix percute mes oreilles, elle me parle et puis…. Professeur, dit d’une façon si langoureuse que cela me fait légèrement redresser dans ma chaise et arquer un sourcil. Mais c’est surtout ce corps qui me fit presque de suite vriller, elle se lève, contourne le bureau pour se poser en face de moi, elle me domine et je ne dis rien, je suis silencieux mais au lieu de la refroidir elle continue et elle a bien raison car ce n’est pas un silence pesant, choqué, plus attentif, oui, je veux voir jusqu’où elle va aller.


“Ne vous inquiétez pas mademoiselle Mancini, je suis dur mais juste… Cela dit, ne soyez pas prompt à dire que je ne vous ferais pas plier genoux…”

La phrase n’a plus de sens dans cet entretien qui n’en est plus un. Je crois bien que nous avons dépassé ce stade depuis longtemps. Mon regard se plante dans le sien avant de la dévorer entièrement, je l’imagine dans le plus simple appareil, j’imagine mes mains parcourir son corps, sentir la douceur de sa peau.
Mais elle n’en a pas terminé avec moi, loin d’être un agneau, elle semble plus louve, car elle continue dans ses propos, la fin de sa phrase me fait ouvrir un peu plus les yeux… Tricher ? Attendez une seconde, elle me parle de trou ? De ? Non, serait-ce ? Il y a peu, cette soirée, le glory hole ? Est-ce elle ? Bon dieu, je me suis fait sucer à mainte reprises dans ce lieu de perdition mais une, une fellation m’avait fait vriller, mon gland se rappel encore la douceur des lèvres, je me rappel de ce petit bruit lorsque cette bouche avait gober ma queue, un bruit non pas obscène mais terriblement érotique, un érotisme grotesque mais qui avait eu le don de me faire donner envie de plus que sa bouche, est-ce elle ? Le hasard est tout de même étrange, qui aurait imaginé retrouver une participante dans mon établissement ?

Elle se lève, me contourne, je ne fais rien, encore en train de faire le tri dans mes souvenirs, mais ce n’est pas vraiment mon cerveau qui commande en ce moment, mon bas-ventre par contre se gonfle, se charge d’envie en repensant à cette soirée.
Ses mains se posent sur mes épaules, caressent mon torse, au revoir le professionnalisme, je suis totalement ailleurs, mais je la laisse diriger, car j’avoue, je suis curieux, curieux de savoir jusqu’où nous allons aller, encore que, j’ai ma petite idée.
Et puis elle me termine, comme une experte dans un duel à l’épée, elle utilise sa botte fatale qui ne fait plus de moi son futur patron, mais son amant. Caresser, cravacher, ses mots me font vriller, elle ne le sait pas encore, mais les mots crus m’excite. Elle était bien à la soirée, elle était derrière cette cloison. Je sens ses lèvres se poser dans mon cou, je frissonne, grogne légèrement, mon corps se tend. Et pour le final, elle me demande d’être gentil ? Oh ma pauvre, tu viens de t’offrir à un loup également, je ne suis pas juste un agneau avec une grande gueule.

Je pose une main sur une des siennes, sans même la regarder.

“Gentil hm ? Mademoiselle Mancini, vous venez de me faire comprendre le potentiel de possibilités avec vous et croyez bien que j’ai une imagination débordante… Si vous êtes celle que je crois, votre bouche s’allie parfaitement à ma queue… Et j’ai bien envie d’explorer en profondeur toutes vos capacités….”

Sans trop bouger, je tends mon bras sur le bureau et fait glisser un stylo, il tombe dans un bruit qui semble faire écho à mes pieds.

“Pourriez vous s’il vous plaît récupérer mon stylo, je vous prie ?”

En disant cela, ma main sur la sienne se resserre, comme pour lui prouver toute la tension qui parcourt mon corps. Elle s’offre à moi, mais sait elle vraiment jusqu’où je suis capable d’aller dans le vice ? Ou justement, peut-être a-t-elle envie d’en savoir plus, dans ce cas, elle n’a qu’une chose à faire, c’est de récupérer le stylo, on va voir si elle est docile et curieuse ou alors rebelle et prête à la punition ? Je crois bien que l’entretien est terminé, passons déjà au mois de test… Et je veux bien tout tester… Cravacher, soumettre, luxure, tout se bouscule… Putain Mattia, tu ne le sais pas encore, mais j’ai de beaux projets pour nous.

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MessageSujet: Re: HOT // Un souvenir à partager (Volkan)   HOT // Un souvenir à partager (Volkan) EmptySam 22 Juil - 17:38

Certains hommes sont parfois offusqués de voir que c’est la jeune femme ayant attiré leur regard qui fait les premiers pas. Certains d’entre eux reculent au lieu de céder, même si jamais ils n’oseront avouer avoir fui devant leurs amis. Non, ce serait honteux de dire à son meilleur copain qu’une belle femme nous a fait prendre nos jambes à nos cous n’est-ce pas ? Les hommes ne m’intimident pas. Enfin si, les jeunes étalons fringuant qui ne pense qu’à tremper leur biscuit et rien d’autre, eux, ils me font fuir. J’ai essayé et non merci. Quelques coups de bassin, bing bang, ils jouissent et nous remercient avant de se rhabiller. Amusant, non ? Je préfère de loin les hommes plus âgés parce qu’ils ont de l’expérience, certes, mais aussi parce qu’ils n’ont rien à se prouver. Habituellement nous ne sommes pas seulement une coche de plus sur leur tableau de chasse. C’est agréable de se savoir apprécié non ? C’est encore mieux quand ces mêmes hommes nous comblent de cadeaux. Traiter moi de pute je n’en ai rien à foutre. Je suis bien baisé et en plus je reçois des présents alléchants, c’est du win win sur toute la ligne. Puis, si les cadeaux ne pleuvent pas, mais que le sexe est bon… pourquoi me priver ? Poser la question c’est également lui répondre.

« ne soyez pas prompt à dire que je ne vous ferais pas plier genoux… »

Il a soit une trop grande confiance en lui ou il a depuis longtemps deviner mon envie le plus primaire de le prendre, que dis-je, de le reprendre en bouche. Je continue à jeter les indices sur le pavé en me demandant quand il finira par relier tous les points. Je peux pratiquement entendre les rouages tourner à vive allure. Pour lui donner le coup de grâce je me lève, le contourne et lui offre la possibilité de jouer là ou peu osent aller, et ce, tout en lui demandant d’être gentil. Ironique, non ? Si le début de sa réponse me fait sourire, la suite me force à coller mes cuisses l’une contre l’autre. Imagination débordante… Envie d’explorer en profondeur…

« Pourriez-vous s’il vous plaît récupérer mon stylo, je vous prie ? »

Geste maladroit mon cul oui. Il l’a fait exprès et le ton utilisé pour me demander de le ramasser est plutôt joueur. L’obéissance n’a jamais été ma plus grande qualité, mais je veux bien cette fois. Toutefois, puisqu’il n’a pas précisé comment il souhaite me voir ramasser l’objet, je dois vite peser le pour et le contre de chaque possibilité.

Bien sûr !

Ma main, toujours dans la sienne, je tire légèrement dessus afin de me libérer de son emprise. Le regard rempli de promesses, cette même main glisser sur son torse, cherchant je ne sais quoi avant de venir se placer le long de mon corps. Lentement mes doigts glissent sous mon haut et le soulève vers afin de le faire passer par-dessus ma tête avant de rejoindre le plancher d’un coup de poignet. Puis, le plus innocemment du monde, je me penche pour ramasser le stylo. Quoi ? Il ne m’a pas dit comment le faire, on est d’accord ? Si le geste de la ramasser est innocent et sans arrière-pensée, tout le reste crie frisson et crie de plaisir.

Ensuite ?

Je ne laisse pas répondre, bien sûr, où serait le plaisir sinon? Au lieu de cela je me glisse entre lui et le bureau avant de poser mes fesses sur le rebord de celui-ci. En silence, je prends le stylo, l’ouvre et viens tracer une ligne au milieu de mon ventre, à la hauteur du nombril, avant de le lui tendre à nouveau.

Choisirez-vous ce qui est au-dessus ou ce qui est dessous ? À moins que vous ne réussissiez à me convaincre de vous offrir les deux, bien sûr.

Quoi?  Je peux le faire travailler un peu non? Si son esprit est légèrement aiguisé, il trouvera bien comment obtenir les deux. Je lui ai laissé quelques indices ici et là, s’il a un tantinet écouter la tache devrait être facile. Sinon? Je sortirai d’ici frustrée… Un bon dominant sait comment prendre sans demander la persmission.
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MessageSujet: Re: HOT // Un souvenir à partager (Volkan)   HOT // Un souvenir à partager (Volkan) EmptyDim 27 Aoû - 16:19

Un souvenir à partager

We do not remember days, we remember moments.

Étrange comme parfois, votre cerveau vous envoie qu’une série de choses en rapport à la situation, comme pour vous marteler que ce moment est important. Ici, en l’occurrence, mon cerveau me martelait d'obscénités, oui, pas de l’amour, des corps dansant l’un contre l’autre de façon sensuelle. Non, ici, il n’y avait rien d’autre que des bouches gourmandes et baveuse d’envies, de culs maltraités et j’en passe, oui, il n’y avait que ça qui me venait à l’esprit lorsque je regardais cette fille, son regard, bon dieu, même le plus pur des ange se sentirait souiller de luxure en plongeant son regard dans le sien, j’avais une envie, la luxure avec elle, jouer, profiter, encore une fois, en faire une sorte de trophée affectueux à mon bras, cédant à mes caprices de luxure comme aux siens.

Et elle ne se laisse pas prier pour un peu de luxure, non, bien au contraire, ma demande, elle l’accepte, mais loin d’être une fille docile, elle s’engouffre dans les brèches de l’ordre donné, voyez vous ça ? Une fille avec de l’esprit, même dans les situations les plus étranges comme un pervers demandant de ramasser un stylo. Bien joué, j’accepte ce défi, en vrai, un frisson d’excitation me parcourt tout le corps alors qu’elle se glisse, qu’elle laisse sa main me toucher, elle ramasse le stylo d’une façon presque innocente pour ce regard de succube. Et que dire lorsque son haut s’échappe d’entre ses mains, dévoilant une peau d'albâtre, une envie de vice… Putain, c’est le paradis et l’enfer en même temps, un délice. Elle est nue, ses seins comme des phares m’attirent, j’ai envie de venir mordiller ce téton arrogant.
Elle ose même me demander la suite tout en se glissant entre le bureau et moi, un serpent, voilà ce qu'elle est, pas Eve mais le serpent tentateur, elle est dangereuse pour un homme, elle peut en faire un petit chien, note le Volkan. Elle trace une ligne, presque parfaite et à ce moment, les rôles s’inversent, elle m’autorise une seule partie de son corps. J’arque un sourcil, vraiment ? Nous en sommes arrivées au point que je sois mis devant le fait accomplis que je dois me plier à ses caprices ? Je ris, je ne peux pas m’en empêcher, non pas pour me moquer d’elle, bien au contraire, elle me surprend. Je me lève alors et pose mes mains sur ses cuisses, avant de me pencher, front contre front, mes lèvres sont si proches des siennes, un simple mouvement et je pourrais faire danser ma langue avec la sienne.
Mais je n’ai pas dit mon dernier mot. Mon regard se plonge dans le sien, un instant totalement attiré par ses prunelles, j’ai envie de plonger, d’être son esclave, d'attacher mon âme à la sienne, mes désirs après les siens. Un fin sourire ouvre mes lèvres, mon souffle se mêlant au sien.

“Est-ce que ce choix est bien difficile ? Je me demande, j’ai encore la sensation de tes lèvres sur ma queue alors que ta chatte…” Ma voix est presque moqueuse alors que mes mains se posent sur ses hanches, caressant sa peau alors que je penche ma tête pour venir poser mes lèvres sur son cou, ma langue goûte sa peau avant que je ne me redresse pour venir lui murmurer dans le creux de son oreille.

“J’ai choisi…”

Sans même attendre, je la retourne sur le bureau de sorte qu’elle m’offre son dos, ses pieds faisant valser ce qui se trouve sur leurs chemins. Je la pousse dessus, son cul glisse, des papiers se froissent alors que je l’allonge, tête dans le vide alors que mes mains sont déjà sur ses cuisses, mes doigts courant jusqu’à déboutonner méthodiquement les boutons de son jean.

“Ma bouche choisit ta chatte, ma queue elle, ta bouche, je suis sûr que tu en crèves d’envie…”

Amusé, oui, je le suis, l’obscénité est la maîtresse de nos pulsions à cet instant. Je termine de la déboutonner, retroussant son jean, dévoilant sa lingerie alors que je la laisse faire ce qu’elle a envie.


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MessageSujet: Re: HOT // Un souvenir à partager (Volkan)   HOT // Un souvenir à partager (Volkan) EmptyMar 29 Aoû - 23:45

Une visite qui aurait dû se terminer en un achat de volume, une visite qui se termine en baise torride et en l’ajout d’un boulot prometteur. La vie nous réserve souvent des surprises, parfois agréables, parfois non. Il est sexy et son regard me captive. C’est moi ou il fait chaud ? Pourtant, mon corps frissonne. En voilà une réaction étrange n’est-ce pas. Alors ? Voilà ce que j’ai envie de lui demander, mais au lieu de cela je ne dis rien, le laisse me manipuler a sa guise.  

Il fait chaud, ma gorge ressemble au désert du Sahara, sec, assoiffé. J’ai devant l’oasis qui étanchera ma soif, mais je viens de lui demander de choisir. Quelle conne. Je veux qu’il m’abreuve, je crois avoir réussi à l’allumer assez pour qu’il cède à cette envie. J’ai essayé de réveiller le souvenir qu’il avait de ma bouche afin que ce soit un choix facile. J’ai tenté de séduire le diable. Je me suis brulée. Si je lui offre plus que ce que mes paroles lui ont permis de prendre, ce sera un signe de faiblesse, une fissure qui lui permettra de prendre tout le reste sans demander ? Oh, je n’ai contre le fait de m’abandonner totalement, au contraire, mais cette fois je voulais lui mettre quelques barrières, ne pas paraitre facile. Je me suis brulée. Allongé sur le bureau, les fesses bien collées sur le bois, nu, mes seins pointent d’envie alors que ma tête pendouille. Ces mains sur mes cuisses me manquent. Son front contre le mien, prêt, si prêt, me manque. Sa promesse, fausse promesse, de m’offrir ce que je veux. Je me suis brulée. Il a choisi !

« Ma bouche choisit ta chatte, ma queue elle, ta bouche, je suis sûr que tu en crèves d’envie… »

L’enfoiré ! Je peux deviner son amusement par le timbre de sa voix. Non seulement il sait ce qu’il fait, mais en plus il le fait bien, trop bien. Sans trop de mal, il termine de me déshabiller. Au diable les brulures, j’accueille le troisième degré. J’ai soif et je le veux, lui, tout entier. Mes mains imitent les siennes et viennent à leur tour le mettre nu. Pantalon ? Au sol… Sous-vêtements ? Au sol… Je me fous du haut puisque ce que je convoite se trouve devant mes yeux. Il a durci, bien, il pourra me baiser la bouche plus vite que prévu. Non se serait l’équivalent de manger un bol de crème glacée et de finir avec le cerveau gelé. Il me faut prendre le temps, le dévorer, mais commencer par le lécher. À moins que je le laisse nu sans rien faire de plus que de le regarder ? Avec ou sans les mains ?

Approche !

Je soupire déjà d’envie, mon corps est en feu, quémande, désire alors qu’il reçoive si peu, trop peu.

Hummmmm !

Je tire la langue pour lui lécher les bourses, courbe le bout de la langue pour tenter de les attirer plus près de ma bouche et finis par les sucer. Lécher, sucer, mordre sans pour autant blesser avant de remonter le long de sa verge. Je dois soulever la tête et la courber un peu plus vers l’arrière pour que son gland traverse mes lèvres, le reste est plus facile puisqu’il suffit de le faire glisser sur ma langue. Malheureusement mes mains finissent par se mettre au travail afin de lui indiquer le tempo. J’essaie de ne pas gémir de plaisir… Je ne dois pas tout lui donner tout de suite. Je me suis brulée encore une fois, une parmi tant d’autres. À ce rythme, il a probablement déjà compris qu’il peut faire ce qu’il veut avec moi, que je suis partante et même affamée de connaitre ces envies, ces préférences, envieuse de toutes les femmes avant moi. Mon bassin ondule, quémandant plus d’attention alors que ma poitrine se soulève. Il lui faut 20 mains pour satisfaire ma faim. Je préfère de loin les hommes plus murs, plus expérimentés, moins enclins à se servir de moi comme vide couille. Cette fois je n’en ai rien à foutre, je veux qu’il se vide, quitte à devoir me masturber devant lui pour être délivrée de mon trop-plein. Il est jeune… il est tout de même expérimenté… une bouffée de fraicheur.
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MessageSujet: Re: HOT // Un souvenir à partager (Volkan)   HOT // Un souvenir à partager (Volkan) EmptyDim 21 Jan - 17:05

Un souvenir à partager

We do not remember days, we remember moments.

Qui aurait imaginé en arriver là ? Si vite ? Pas moi, mais d’un autre côté, je ne suis pas mécontent, il suffit de voir ma queue, déjà dure d’une envie que les yeux gourmands de Mattia attisent. Sa demande, oui, me fait sourire, non pas fier ou un sentiment de supériorité par rapport à elle, non, je doute que dans notre duo, l’un l’emporte plus sur l’autre car après tout, je crois bien que nous avons les mêmes déviances, il n’y qu’à voir sa position sur le bureau, totalement offerte, elle sait certainement très bien ce que je peux faire de sa bouche à l’heure actuelle, d’ailleurs, un gémissement s’échappe de mes lèvres lorsque sa langue commence à pointer contre mes couilles.
Putain quel pied, je pourrais presque jouir de cette situation, mais ce serait gâché non ? Mon regard dominant la regarde s’appliquer, malgré sa position, je peux admirer son corps, ses courbes, succulentes, un véritable plaisir, elle me donne l’envie, l’envie de glisser ma main, sentir la courbure de ses seins, sentir entre mes doigts un téton gonflé de plaisir et de luxure, venir aussi savourer sa chatte, bref, je crois que je suis déjà accro mais inutile de trop lui faire remarquer, elle est joueuse, très joueuse même, lui donner totalement le contrôle serait amusant mais je doute que c’est ce qui la satisfasse en tout cas maintenant.

Mon bassin joue légèrement le jeu de ses mouvements et puis, un léger sourire illumine mon visage. Je me recule d’un pas, m'arrachant à ses caresses buccales et pose une de mes mains sur ma verge, commençant doucement à me masturber juste au-dessus de son nez.

“On va voir si tu sais encaisser ton futur patron…”


Un défi, facilement réalisable, j’imagine pour elle, mais, oui, j’ai envie de jouer, j’approche mon gland de ses lèvres, l’appuyant contre ses lèvres pulpeuses, quelques gouttes perlent, lui offrant un gloss de débauche. Tout en continuant de me masturber au-dessus de son visage et de jouer à glisser mon gland contre ses lèvres, je me penche plus que de raison pour aller venir embrasser sa poitrine nue, je veux venir lécher, sucer ses tétons, ma langue darde, pointe, exacerbe ses monts de Vénus.
Mon visage glisse alors plus loin, ma langue se met à explorer sa peau, descendant ses monts érotiques pour aller sur une plaine douce, mes dents venant mordiller le contour de son nombril. Je dois m’avancer, bientôt, sa tête se retrouve entre mes jambes, elle a le loisir de revenir cajoler mes bourses ou alors, si mademoiselle est plus gourmande, ma queue sera dans l’écrin de sa bouche et puis… Si elle est plus vicieuse… Et bien, elle pourrait m’offrir encore plus, mais pas sûr qu’elle y pense, ce genre de chose, on rechigne.

Moi en tout cas, je lui fait redresser les jambes afin d’avoir un appuie, mes mains se posant contre ses genoux relevés, je lui écarte les cuisses et plonge enfin, son pubis, parfaitement épilé, je le couvre de baisers et mon nez respire doucement le parfum qui s’échappe un petit peu plus bas et j’en frétille, j’ai hâte et finalement, ma langue vient longer sa fente. La position est plutôt confortable, mais je sais déjà que j’en voudrais plus, bien plus, je grogne d’envie, mon souffle contre son sexe brûlant, ma langue s’enfonce, récolte ce jus de luxure.
Mes mains glissent, de ses genoux, je les glisse dans le creux de ses cuisses jusqu’à arriver contre ses fesses écrasées sur le bureau avant de les glisser pour lui écarter ses lèvres afin de plonger plus profondément ma langue tandis que mes bourses se frottent contre son visage.

“Hmm…”

Ce sont les seuls sons qui sortent de ma bouche déjà pas mal occupée, la pièce devient plus lourde dans son atmosphère, j’aurais peut-être dû fermer le bureau non ? A peine cette pensée me vient qu’elle repart, non, vraiment, j’en ai rien à foutre, je veux juste profiter, je veux plus, je veux voir jusqu’à quel point nous sommes sur la même longueur d’onde.
Ma langue continue son exploration, mes doigts eux, l’aide, caresse les bordures de sa fente, dans un léger bruit humide qui m’excite de plus en plus. Bon dieu, je crois bien que j’ai dégoupillé une grenade et qu’elle va me sauter à la gueule.

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MessageSujet: Re: HOT // Un souvenir à partager (Volkan)   HOT // Un souvenir à partager (Volkan) EmptySam 2 Mar - 23:15

Pourquoi se retenir quand on peut prendre ? Je ne suis pas une sainte nitouche et cela fait un bon bout de temps que je n’ai plus de balai dans le cul. En fait, le balai a depuis longtemps été remplacé par autre chose, mais bon, je ne vais pas aller dans le vulgaire. Une envie qui ne serait pas de trop. Toutefois, quand il se recule pour se masturber, il est possible qu’une lueur d’incompréhension brille au fond de mon regard. Suis-je ça ce point pas à la hauteur ? Je dois faire taire ma fierté là ou pas ? Par chance il ne me fait languir et tue dans l’œuf mon insécurité. Voir si je peux encaisser mon futur patron? Ma seule réponse consiste à lui envoyer un sourire pervers. Il est assez intelligent pour en comprendre le sens, non ? Peut-être pas puisqu’il se penche au-dessus de moi pour venir gouter ma peau de ces lèvres. Tout en glissant son gland sur mes lèvres entrouvertes, sa langue glisse sur moi. Ma langue trouve le chemin vers son membre gonflé et sans honte j’en titille le bout. Il veut jouer à qui perdra patience le premier ? J’ai tout mon temps et au lieu d’essayer de remplacer ces mains avec les miennes, je les pose sur ces cuisses, pouces dans le creux et mes doigts cherchant à rejoindre le galbe de ces fesses. Il n’est fait que de muscle et nier que cela m’excite serait mentir.

Mhmm.

Plus il avance sur moi et plus mon corps ondule sous ces coups de langue. Il devra laver son bureau, je pense, parce que je peux pratiquement sentir le jus de mon excitation couler le long de mes fesses. J’exagère, je sais, mais d’ici la fin de notre partie de jambe en l’air son bureau n’aura plus du tout l’air d’un bureau j’en suis persuadée.

J’ai faim !!

Oui, non, mais putain il est tellement canon cet homme que je pourrais le bouffer en collation tous les jours. J’ai beau alterner entre lécher ces couilles et sa queue, mais aucun des sons produits ne me satisfait pleinement. J’ai une autre idée en tête, mais est-ce que succomber est permis ? Si je vais trop loin il va me foutre à la porte avant même que ne commence mon premier quart ou peut-être va-t-il me coller une étiquette de harceleuse ? Oui, bon, coté harcèlement on est deux hein alors disons que j’oublie cette possibilité. Certains hommes n’aiment pas ça… d’autres oui… a-t-il déjà essayé ? Je ne devrais pas me poser de questions, je sais et habituellement je ne m’en pose pas, mais là c’est différent. Enfin non, ce n’est pas différent du tout. Je le sais aventureux puisqu’il a déjà passé sa bite dans un trou… au pire il recule non ?

Baise-moi avec ta langue…

En disant cela j’empoigne ces cuisses de manière à pouvoir lui écarter les fesses le plus possible et sans lui demander la permission, je fais glisser ma langue à travers sa petite étoile. Les premiers coups de langue sont doux et lents, question de m’abreuver de sa réaction, puis ils deviennent plus rapides, plus gourmands et plus pervers. C’est plutôt difficile de se concentrer quand on se fait nous même dévorer, car entre mes gémissements, les siens et nos bassins qui ondulent pour aller chercher l’autre, le terrain de jeu devient peu à peu un champ de bataille.

Fuck oui !! Je ne vais pas tenir…

Je remplace ma langue par un doigt afin de laisser ma tête retomber sous l’extase. Mes vas et viens sont plus lents, certes, mais il devra vivre avec ce que je lui donne puisqu’il me rend complètement dingue. Mon doigt est remplacé par mon pouce…

Ouiiiii !

Je n’ai pas crié ma jouissance, mais cela n’empêche pas mon corps de frémir sous les assauts de puissant orgasme. Je n’ai pas encore fini de surfer sur la vague que d’une voix suppliante je lui demande de me baiser. Je veux sa queue en mou, je veux qu’il me pilonne et qu’il me refasse jouir encore et encore avant de s’abandonner à son tour.
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MessageSujet: Re: HOT // Un souvenir à partager (Volkan)   HOT // Un souvenir à partager (Volkan) EmptyVen 12 Avr - 17:57

Un souvenir à partager

We do not remember days, we remember moments.

Bienvenue dans ma boutique, un entretien d’embauche ? Bien sûr, écartez les cuisses merci ! C’est je crois ce que je pourrais mettre en fiche de recrutement ? Ce n'est pas possible d’être aussi dépravé, mais en même temps, cette fille, mon Dieu, cette langue vicieuse à souhait, cette façon qu’elle a de parler, c’est peut-être choquant pour certains, mais moi, moi ça me donne de sombres pulsions. Je grogne, ma langue savoure cette chatte offerte, son jus, je tente de tout savourer, mais je sens qu’il coule de façon paresseuse jusque sur mon bureau, ça va puer le sexe, je le sais, je sais qu’après ça, il faudra que j’ouvre la fenêtre, mais….. Mon côté pervers prendra forcément le dessus et bien évidemment que je ne vais pas le faire, je vais garder cette odeur pour me souvenir de ce que l’on a fait sur ce putain de bureau.
Ses mots résonnent dans ma tête, mais ils ne veulent plus rien dire sauf de continuer et je ne me prive pas jusqu’à ce que je sente quelque chose, ou alors avant ça elle a parlé ? Oui, je crois qu’elle voulait que je la baise avec ma langue… Hmm.

Mais non, c’est bien ce que je ressens qui est plus puissant que ses mots à ce moment présent, car elle empoigne mes cuisses et putain de merde. Un grognement bestial sort de ma bouche, s’écrasant contre sa fente que je dévore, putain elle est en train de le faire et ça m’excite encore plus, sa langue darde, goûte, joue avec mes fesses, et même bien plus, dans les replis et putain que c’est bon, au point que j'en oublirais presque de la lécher avec envie.
Nos corps font une danse étrange, mais à la fois attirante, je dirais, si quelqu’un devait arriver maintenant dans mon bureau, il lui serait, je pense difficile de trouver les mots et son regard serait complètement hypnotisé par les bassins qui jouent pour avoir le plus de plaisir possible.

J’entends qu’elle est prête, je redouble d’ardeur alors que ma queue en feu se cogne sur la chair brûlante de son corps alors qu’elle s’amuse toujours à me bouffer le cul jusqu’au moment où sa langue est remplacée, elle ne joue plus, son doigt me titille, puis son pouce, la salope, elle veut aussi me faire jouir ? Non, c’est elle qui succombe en première, son corps se convulse sur le bureau, elle me relâche de toute pression, je me redresse et je sens chacun de mes muscles aussi tendus que la corde d’un arc qu’on bande et je joins presque l’acte à la parole lorsqu’elle me demande d’une voix que je n’entends presque pas, tellement mes tympans vrilles à cause du battement de mon cœur, lorsqu’elle me demande de la baiser.



Sans rien dire, à part un grognement rauque, je la fais se relever du bureau avant de la retourner sans ménagement et de la pousser contre le bureau. Je me colle à elle alors, comme une bête, oui, j’ai envie de la baiser. Mon souffle contre sa nuque, j’ai déjà empoigné ma queue et mon gland déjà embrasse sa fente encore humide.

“Je ne comptais pas faire autre chose que de sceller ton contrat….”

Je donne un coup de rein, mon gland n’a pas besoin de forcer, j’entends le bruit humide de l’union, la chaleur qui m’enveloppe petit à petit et pris d’une sorte d’envie de dominante, j’empoigne ses cheveux et alors que ma verge dure se glisse entre ses cuisses, je commence à donner de grands coups de reins.
Le bureau gémit, mais il n’est pas le seul, je la prend contre le bureau sans même attendre, rien à foutre, je sais qu’elle va me prendre sans difficulté, mon bas ventre claque contre ses fesses, il n’y a qu’un bruit de baise sauvage qui s’échappe d’ici, un bruit qui doit s’entendre tellement, on se laisse aller, je grogne contre elle toujours plus alors que ma queue la pilonne durement, j’ai envie d’aller le plus profondément en elle, elle encaisse la frustration qu’elle m’a offerte avec ses coups de langues et son pouce, une promesse qui tinte à son oreille je l’espère, la prochaine fois qu’elle me fait ça, je lui offre sa plus belle sodomie, mais en attendant, c’est cette fente qui m’a offert son plaisir qui prend.


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