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 Pas coopératif (Lily)

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Aaron Cooper
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MessageSujet: Pas coopératif (Lily)   Pas coopératif (Lily) EmptyLun 7 Nov - 22:59

TW : sexe & langage cru & dépendance affective

Salope ! Salope ! Salope !!! Je me crache cette réplique à la gueule à chaque cri qu’elle pousse. Son corps de déesse légèrement luisant de transpiration encaisse mes assauts furieux et décousus. Cramponné à ses hanches, je tire son bassin en arrière pour engouffrer les 28cm de viande qui composent mon pénis au fond de son sexe lui arrachant des tremblements de plaisir. Elle se tient droite et cambrée, bras tendu sur le lit à chanter son plaisir sous mes grognements. Je contemple mon sexe qui n’en fini plus d’aller et venir en elle. La capote me coupe le plaisir et m’enserre trop la bite. Cette fille est trop belle, trop canon, trop câline… J’ai rencontré Lily à cette fête sur la plage. Elle avait les cheveux d’Alice et son sourire. J’ai craqué. J’avais besoin, j’ai fait. J’ai séduit cette petite nana toute belle, souriante, joyeuse et pimpante et je l’ai adorée cette nuit-là. Au matin, sa simple vue m’a fait horreur. Je l’ai foutue dehors. On s’est recroisé, elle était énervée. Je l’ai envoyé chier. Elle m’a crié dessus. Je ne sais plus comment j’ai fait, mais elle s’est mise à genoux et m’a sucé. Pendant plusieurs jours, elle m’a envoyé des messages. Rien, pas répondu. La flemme. Ce soir, elle est arrivée toute belle et parfaite. Je venais de me réveiller d’une gueule de bois. J’ai pris une douche. Me suis baladé à poil devant elle. Finalement, j’ai eu envie de la baiser parce qu’elle est jolie. Mais là… J’ai chaud, je me sent mal. Angoissé. Fatigué. Pas dans l’instant. J’me fais pas chier du tout. C’est même extra, mais j’ai pas envie de lui faire plaisir. J’ai pas envie de la faire jouir. Je n'ai pas envie de continuer. Elle me gonfle. Elle est là toute magnifique à quémander mes caresses. J’ai soif, j’ai envie de boire. J’en ai marre de transpirer à baiser cette conne par cette chaleur étouffante. Elle couine délicieusement et je m’arrache à elle et la repousse sèchement manquant de la faire tomber du lit.

« C’est bon, c’est chiant là. »

Toujours raide, j’arrache la capote et la balance dans la pièce. Je me lève et je vais au frigo pour me sortir une bière sans en prendre une pour elle. Lily est là sur le lit, interdite et partagé entre l’incompréhension et le plaisir qu’elle prenait visiblement. Je bois une gorgée de bière en la regardant m’asseyant à moitié sur la table pour la regarder alors que toujours nu je reste encore fièrement raide et transpirant. Tout me fait chier ce soir, rester enfermer me saoule, sortir m’emmerde, baiser, c’est crevant. La chaleur m’agresse, j’ai soif, cette capote me serre la bite. Je pose ma bière et agrippe mes clopes et revient me foutre sur le lit avant d’allumer le ventilo de plafond pour qu’il apaise mon corps en feu. Je m’allume une clope et regarde la jolie blonde qui me regarde comme un Alien.

« Quoi ? T’as pas quelqu’un à voir ce soir ? Tire-toi si ça te plaît pas… »

Je tire une longue latte et expulse la fumée qui me revient dans la gueule à cause du ventilo. Putain, c’est débile. Je pose ma clope dans le cendrier que j’ai posé près du lit sur un tabouret et… Merde putain j’ai laissé ma bière sur la table. Fais chier.

« … Tiens, lève ton cul et va me chercher ma bière steuplé »

Ah ouais tiens ce soir, j’ai les couilles à l’envers et ça me fait chier d’être charmant. Cette conne est trop belle et ressemble trop à Alice et depuis que j’ai remarqué des ressemblances, j’ai les nerfs et tout me fait chier et va mal dans mon cerveau de gros con mal léché. En plus, c’est faut elle lèche super bien cette fille… Je suis juste… Furieux. Et absolument con.
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MessageSujet: Re: Pas coopératif (Lily)   Pas coopératif (Lily) EmptySam 26 Nov - 15:07

Il est beau, découpé comme un dieu et il a un sourire si charmant qu’il pourrait sans aucun doute faire mouiller la culotte d’une sœur. Je suis accro à ces cheveux blonds en bataille et à son regard de braise. Il a été si prévenant et gentil ce soir-là sur la plage que j’ai eu envie de le revoir encore et encore et encore. J’ai appris à mes dépens qu’il n’est pas homme à être de bonne humeur le matin, mais ce n’est pas grave, je comprends. Se réveiller avec une inconnue peut faire peur. Je le sais parce que moi aussi je sursaute parfois quand je me réveille, Dieu seul sait où. Je lui pardonne donc de m’avoir jeté dehors comme une vieille chaussette. On ne peut pas tous être souriants le matin n’est-ce pas ? Je lui ai pardonné bien sûr parce qu’il est trop craquant et parce que durant notre première nuit a été magique sous tous les aspects. Bon OK, c’est vrai que je me suis énervée quand on s’est revu la première fois, mais ce n’est pas bien grave n’est-ce pas ? Tout le monde peut s’énerver de temps en temps, moi aussi, alors je lui ai pardonné ça aussi. Il ne mérite pas ma colère et, entre vous et moi, je crois qu’il a aimé la petite gâterie reçue ce jour-là. Je sais que je ne devrais pas m’attacher à lui, mais je suis l’abeille et il est le miel. Avec un peu de patience il cèdera j’en suis certaine. Je lui envoie des messages pour qu’il sache que je ne l’oublie pas et pour lui faire savoir que je suis là au besoin.

J’en fais trop ? Prenez hier soir par exemple… Après le boulot et après une bonne douche, j’ai enfilé une jolie robe et des bottes, je me suis coiffée et maquillée, puis je suis sortie pour aller le retrouver. Je me suis dit que le surprendre serait une bonne idée et… je ne me suis pas trompée. À part le fait qu’il semblait se réveiller d’un sommeil difficile, il m’a tout de même laissé entrer. Bon signe ? Il aurait pu me refermer la porte au nez, non ? Sa simple vue me donne des papillons. Une fois à l’intérieur j’ai pris place sur un fauteuil et pendant qu’il prenait une douche méritée, j’en ai profité pour replacer quelques mèches rebelles. J’ai dû serrer les jambes ensuite quand il a décidé de se promener nu devant moi. Serrer les jambes et penser à autre chose pour ne pas le suivre avec un regard affamé bien sûr. Heureusement me retirer ma robe n’a pris que quelques instants parce qu’une fois dans la chambre je me retrouver penché par-dessus le bout du lit, lui derrière moi… en moi. Mon corps ne s’attendait pas à se faire empaler aussi rudement, mais il a vite compris que ces coups de reins seraient divins. Il a pris un angle plus que satisfaisant pour me pilonner, il ne m’en faut pas beaucoup pour que des gémissements quittent mes lèvres. Il me tient fermement, glisse parfois ses doigts sur mes seins, alternant entre férocité et brutalité. Je suis un pantin entre ses mains, une marionnette ressemblant de plus en plus à une boule de plaisir. Mes cris résonnent…

« C’est bon, c’est chiant là. »

Je me suis presque ramassé en bas du lit tellement son geste a été soudain et rude. Je suis sans voix. Je suis là, la bouche probablement entrouverte, le regardant marcher vers le frigo pour se prendre une bière. Je dois dire un truc, n’importe quoi, mais quoi ? Le traiter de petit con ? M’approcher pour le frapper comme la merde qu’il est ? Pendant que j’essaie de reprendre le contrôle de mon cerveau, il a pris place sur la table, cigarette aux lèvres. Au moins j’ai eu l’intelligence de poser mes fesses sur le lit… au moins. J’essaie de ne pas le suivre des yeux quand il revient prendre place à mes côtés. Pas facile, hein… Il est encore au garde-à-vous et il m’est impossible de ne pas le regarder avec gourmandise.

Tire-toi si ça te plaît pas… »

Oh merde !!!!

Pardon ?

Genre quoi ? Il vient de me demander d’aller chercher sa bière ? J’ai l’air d’un chien ? Assis… couché… donne la patte… Il est peut-être beau comme un dieu, mais il a une âme plutôt sombre, je dirais même qu’elle est noire en ce moment. J’ai envie de l’envoyé se faire voir, mais même ça sa ne semble pas lui tenter puisqu’il vient de me repousser du revers de la main. Plus le temps passe et plus mes pensées et ma voix semblent avoir pris la poudre d’escampette. Mon courage aussi si je me fie au fait que je viens de me lever pour aller vers la table. Comme la bonne chienne que je suis, je reviens vers lui armer de sa bière, mais au lieu de la lui donner, je la garde fermement entre mes doigts, hésitante. Je la lui donne ? Je pourrais la verser sur moi et l’inviter à me lécher aussi non ? La première chose que j’aurais dû faire c’est de lui crier dessus, mais je ne l’ai pas fait. Le traiter d’enfoiré ne changera rien. Le questionner ?

Je ne suis pas assez jolie c’est ça ?

NE SOIS PAS PATHÉTIQUE LILLY !!!!!  Toujours avec sa bière dans la main, je m’avance encore un peu, me m’installe sur lui, les jambes de chaque côté des siennes, debout. Mon autre main venir prendre son membre dans ses filets, quelques mouvements…

Je ne suis pas ta pute !

Ma voix est glaciale, mais pas autant que sa bière quand je me décide à la faire couler sur lui, sur ces cheveux, son dos…
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MessageSujet: Re: Pas coopératif (Lily)   Pas coopératif (Lily) EmptyMer 30 Nov - 0:11

Je suis une merde. Je ne voulais pas baiser ce soir. Mais elle est venue. Elle était là. Magnifique dans sa petite robe qu’elle a dû mettre une plombe à choisir. Elle s’est pointée toute émue, son regard brillant de me revoir et moi je n’avais envie de voir personne. Je suis au plus sombre de mon âme et c’est le genre de soir où je vais sortir pour me faire éclater la tête par le plus gros débile qui croisera ma route. J’ai juré de vivre, mais parfois ça fait trop mal. Et puis ce n'est pas ma faute si un connard décide de m’ôter la vie non ? Ce n'est pas du suicide donc ce n'est pas grave ? Alors pourquoi j’ai couché avec elle ? Parce que ça avait été magnifique la première fois ? Parce qu’elle est divine dans cette robe. Parce qu’elle me regarde avec des yeux plein de désirs ? Parce qu’elle est là ? Parce que c’est mieux que de me branler ? Je ne sais même plus putain. Toujours est-il que je me suis retrouvé là. Cramponné à cette femme nue d’une beauté à couper le souffle. Sa silhouette gracile et ses fesses rondes, son corps couvert d’une fine pellicule de sueur qui fait briller sa peau. Et ses cheveux d’or… La ressemblance était bien trop intense. J’ai angoissé. J’ai senti un truc se former dans mon ventre. C’était trop. Je n’aurai pas dû la baiser, j’aurais dû la foutre à la porte. Putain elle va me haïr de toute son âme et pourtant, je la repousse et l’envoie littéralement chier.

Je suis en panique et du coup l’émotion me déborde, j’ai besoin de me calmer. J’arrache la capote et vais me taper une clope pour me calmer. Je reviens vers le lit toujours raide en fumant et lui ordonne de se tirer si ça ne lui plaît pas. Elle me demande pardon sur un ton qui laisse présager qu’elle va m’éclater les couilles ou la gueule. Putain oui vas y fais moi mal que j’oublie une autre douleur qui monte. T’as besoin d’aide espèce de bombe sexuelle trop parfaite pour le connard que je suis ? Alors on va pousser le curseur. Je lui demande d’aller bouger son cul et d’aller me chercher la bière que je me suis ouverte et laissée sur la table. Putain, cette conne se lève et le fait ? Elle est à poil et parfaitement magnifique. Putain, c’est possible d’avoir zéro défaut comme ça ? Putain, une bombe est venue chez moi pour baiser et moi j’ai juste envie de… Rien. Du vide absolu. Elle me demande alors si elle n’est pas assez jolie ? Sérieux ? Elle est complètement conne ou quoi ? Elle vient sur moi à califourchon et je vais la repousser quand elle saisit ma queue. Putain, j’ai plus envie, tu me fais quoi salope ?

C’est là qu’elle me balance qu’elle n’est pas ma pute et me verse la bière sur la tête. Ça coule froid sur moi et je ne bronche pas. J’encaisse en la fixant droit dans les yeux tout le long, me laissant souiller par la bière qui pétille sur ma peau. L’odeur du houblon est dégueulasse et ça va empoisser ma peau. Mais rien à foutre. Je la fixe alors qu’elle tient ma bite et continue de vider la bouteille. Avant que la dernière goutte ne tombe, je lève le menton et tire la langue pour recevoir sur la langue la dernière goutte qui tombe de la bouteille. Je reviens la regarder toujours avec cet air abominablement détaché. Je veux la faire fuir, pas la chauffer putain. Je tire une longue bouffée de ma cigarette et lui souffle la fumée au visage.


« Je sais, je ne comptais pas te payer. »

Aller putain éclate moi-là l’arcade sourcilière avec la bouteille que je m’effondre. Brise-moi l’arrête nasale avec le cul de ta bouteille que j’ai enfin une gueule de boxeur aussi dégueulasse que ce que je suis à l’intérieur. Je la provoque du regard. Je veux qu’elle me jette. Putain, je ne vais pas lui balancer qu'elle baise mal ? Cette femme ferait bander une statue. Mais alors pourquoi je fais le con bordel ? Même moi, j’en sais rien du tout. Je pose ma clope dans le cendrier sur le tabouret près du lit et rabat en arrière mes cheveux trempés de bière attendant qu’elle se décide à faire un truc.
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MessageSujet: Re: Pas coopératif (Lily)   Pas coopératif (Lily) EmptyVen 16 Déc - 14:12

Pourquoi il me fait ça ? Je crois que mon cerveau ne fonctionne pas comme il devrait fonctionner puisqu’au moment où il me dit de me tirer si ça ne fait pas mon à faire je ne réagis pas, mais le fait quand il me dit d’aller chercher sa bière. Ça ne devrait pas être le contraire ? Je ne sais pas, mais j’ai cru pendant un court moment avoir perdu mon courage, ce qui n’est pas le cas apparemment. La bière qui lui coule sur le corps en est la preuve vivante. Le pire c’est qu’il ne bronche pas, pas une réaction, le néant. Il est brisé ? C’est moi qui l’ai brisé en venant ici ? Je ne suis pourtant pas si difficile à vivre il me semble… n’est-ce pas ? Je ne devrais pas douter de moi-même, mais je le fais sans aucune possibilité de contrôle.

« Je sais, je ne comptais pas te payer. »

Ces quelques mots devraient me faire plaisir… ils devraient. Pourquoi n’est-ce pas le cas alors ? Mon vote va pour la fumée de cigarette qu’il m’a envoyée au visage juste avant, mais je peux me tromper bien sûr. Il agit ainsi pour une raison inconnue, une ombre qui s’est emparée de son corps, de sa vie, une ombre qui n’a pas encore trouvé sa lumière. Tout cela me fait soupirer bien malgré moi alors que je délaisse sa queue. Toujours assise sur ses cuisses, je lasse ma main se glisser dans ses cheveux doucement, lentement, avec une tendresse à laquelle il ne s’attend pas j’en ai bien peur. Sa peine et sa colère sont miennes, je peux pratiquement gouter à ses émotions du bout de la langue. Mon côté sensible finira par me tuer, je sais, mais cet homme me rend dingue. Il a un je ne sais quoi qui m’a accrochée, je suis accro à ces regards, ces caresses et même sa voix. En ce moment sa voix est froide et distante, mais il n’est pas toujours comme ça.

Ce n’est pas grave si tu n’as pas envie, je comprends. On a tous des moments plus difficiles dans la vie et je suis là si tu as envie de discuter.

En d’autres mots ? Si tu ne me parles pas, je ne peux savoir ce qui ne va pas. Le forcer est inutile, mais je peux lui démontrer que je suis là pour lui non ? Oui, voilà, je lui souris donc avant de me lever.

Tu devrais prendre une bonne douche et moi, pendant ce temps-là, je vais nous concocter un petit plat, tu es d’accord ?

Oui ? Non ? Bien sûr qu’il est d’accord, voilà pourquoi je n’attends pas de réponse et que je cherche ma robe du regard. Ma robe… ma robe… oh elle est sur la lampe ? Ohhh c’est un peu gênant ça, bon dieu. Juste marcher vers la lampe me fait rougir, soulever la robe et l’enfiler est encore pire, surtout que dans les faits, baiser semble hors de question. J’ai fait une folle de moi en me laissant ainsi repousser. J’ai chaaaaaaaaaaaaaaaaaud, je n’ose plus regarder nulle part. Partir, je dois, mais mon cœur refuse d’obéir. Il a besoin de moi, là, maintenant et l’aider a repoussé toutes les ombres, je peux.  

Préparer un truc à manger, ça va, tout va bien.

Quelques murmures pour me convaincre moi que tout va bien avant de me diriger vers la cuisine pour faire comme si j’étais chez moi. La porte du frigo s’ouvre lentement pendant que mon regard cherche de quoi faire. Ce n’est franchement pas la caverne d’Alibaba là-dedans, merde, la prochaine fois il me faudra apporter mes propres ingrédients, je pense. Il a au moins des œufs et du fromage… des légumes ? Oui, il y a une tomate… Ce sera omelette au fromage avec salsa, je pense, oui, voilà. Je sors tous les ingrédients dont j’ai besoin et une fois fait, me met à la recherche d’une plaque à couper, de bol et de tout ce dont j’ai besoin pour poursuivre. Qu’il le veuille ou non, je compte bien rester encore un moment. D’ailleurs… il est allé à la douche ou pas ? Nan, Lilly, ne relève pas la tête fille, fais semblant, oui voilà.
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MessageSujet: Re: Pas coopératif (Lily)   Pas coopératif (Lily) EmptyDim 18 Déc - 23:19

J’ai trop d’images. Je ne voulais pas baiser ce soir. Je ne voulais pas. Pendant que je m’occupais d’elle, j’ai vu les images d’Alice pendant que je baisais Lily. Pourquoi il fallait qu’elle vienne ce soir en étant absolument irrésistible putain ? Je la jette avec perte et fracas et je me comporte comme un connard. Mais non. Elle est encore là. Elle me verse la bouteille sur la tête quand je lui ordonnais d’aller me la chercher et je continue ma provocation de merde. Aller tire toi putain. Je ne veux plus te voir. Je fais tout, je lui crache la fumée de ma clope au visage pour qu’elle se tire, mais rien n’y fait. Elle est encore là. Je suis odieux et elle s’accroche encore ? Putain, c’est quoi son délire à elle ? Toujours assise nue sur mes cuisses, elle encaisse mes insultes. Pire, elle est encore plus douce et tendre me disant que ce n’est pas grave si je n’ai pas envie, qu’elle comprend et qu’on a tous des moments difficiles et qu’elle est là si je veux discuter. Putain, elle est sérieuse ? Je suis tellement surpris par sa réponse que j’oublie quoi dire où faire. Elle se fait traiter comme une merde et elle redouble de douceur ? Elle est tarée ou quoi ? Elle me sourit et se lève de sûr moi. Elle me conseille de prendre une bonne douche et pendant ce temps-là elle nous fait à manger ? Putain, elle est sérieuse ?

Je la regarde s’éloigner et je ne bouge pas. Je ramène ma clope à mes lèvres pour en aspirer de nouveau. Elle va chercher sa robe qui est sur une lampe. Je la regarde faire alors qu’elle semble agitée et pas forcément bien. Elle se met à cuisiner. Sérieux, c’est quoi cette nana ? Je termine ma clope alors qu’elle cuisine en s’efforçant de ne pas regarder vers moi. Je la fixe avant de me lever. Ma clope est terminée et je viens l’écraser dans le cendrier qui est près du lit sur un tabouret. J’approche derrière la jolie blonde avant de lui défaire la robe doucement pour la faire tomber au sol a ses pieds la remettant nue.

« Reste comme ça, je préfère… »

Je suis près d’elle, putain, elle est torride cette petite blonde. Elle m’excite beaucoup, mais tout à l’heure, j’ai… Pas pu. Pourtant, je n'ai pas envie d’une douche. À vrai dire, je ne sais pas de quoi j’ai envie là tout de suite. Je suis noyé dans un bordel que je ne comprends pas. Toujours derrière elle, je la regarde nue de dos en train de cuisiner. Putain, elle m’agace a être aussi jolie… Je viens derrière elle et me colle avant de lui dégager des mains ce qu’elle fait.

« Arrête de cuisiner. Met toi à genoux, je n'ai pas joui. »

Putain, cette femme est trop belle et je n'ai aucune putain de logique. Ou alors est-ce que je suis en train de chercher les limites ? Bordel, j’ai envie d’elle maintenant. Y’a pas deux secondes, j’avais plus du tout envie de la toucher et là… Putain… Elle va finir par s’en aller, c’est sûr. Aucune chance que ça passe… Putain, pourquoi elle me laisse faire autant de chose comme bon me semble putain ?
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MessageSujet: Re: Pas coopératif (Lily)   Pas coopératif (Lily) EmptySam 31 Déc - 3:57

J’en suis encore à me demander si partir est une meilleure alternative que de rester pour nous préparer un petit plat savoureux. Il a fait preuve de méchanceté envers moi plus d’une fois ce soir et pourtant je suis encore là. Malheureusement je ne peux pas me résoudre à le laisser seul et savoir qu’il se noie dans sa tristesse ne me rendra pas plus heureuse que lui. Je me dis que si je peux lui apporter un petit réconfort en restant, c’est que je me dois de le faire. N’importe qui à ma place le ferait non ? Ce qui m’embête c’est de devoir le faire à poil de nouveau parce que ce n’est pas du tout ce que j’envisageais comme fin de soirée ou ce que j’aurais choisi pour donner suite à son rejet. Je n’arrive pas à comprendre pourquoi il dit me préférer comme cela. Je comprends qu’il me trouve jolie, c’est bien, mais pourquoi alors il m’a repoussé tout à l’heure ? Cet homme est un sac rempli d’énigmes que je ne peux pas décoder parce qu’il a enlevé des indices à chacune d’entre elles. Ou alors, encore mieux, il est comme un puzzle de 1000 morceaux auquel on aurait retiré plus de la moitié des pièces sans nous donner l’image initiale. C’est possible d’en faire des bouts, mais de là à savoir ce qu’on est sur le point de refaire il y a une marge. On marche à l’aveugle tout simplement, alors pourquoi j’ai envie de recoller le tout en un morceau ? Pourquoi me donner tant de mal ? Il me plait, oui, je ne peux pas le cacher, mais pourquoi je me donne autant de mal ? Dire que je le laisse tout de même me mettre nue une deuxième fois et que je frisonne de plaisir à la seule idée de ressentir ces mains se balader sur moi. Lilly tu es pathétique… Je le laisse me manipuler, soupire quand il se colle à moi encore une fois et ferme les yeux quand je délaisse ce que je fais, même si je le fais par automatisme depuis de nombreuses années.

« Arrête de cuisiner. Mets-toi à genoux, je n’ai pas joui. »

J’aurais pu m’abandonner à ces caresses encore une fois. J’aurais pu repousser ma fierté au fond d’un tiroir pour avoir la possibilité de me laisser bercer par ces coups de reins. J’aurais pu, mais au lieu de fondre je me fige. Je n’ai plus envie non plus, pas comme ça, pas de cette façon.  

Non Aaron, non parce que tu dois prendre une douche et parce que tu dois réfléchir un peu, je pense. Je vote pour de la douche froide, celle qui te réveillera un peu les neurones et quand tu sortiras on va manger et ensuite on va discuter comme deux grandes personnes. Je n’ai plus envie de baiser non plus.

Prononcer de telles paroles prend toute ma volonté. Dire de telles choses ne me ressemble pas, pas du tout. Je crois même que j’en tremble d’inconfort, d’angoisse. L’inconnu fait peur et je ne sais pas comment il réagira à ce tour de force. Avec un < s’il vous plait >, des mots gentils ou je ne sais pas quoi de plus positif c’était pourtant un oui assuré.

Va !!

Petit mot solitaire que je prononce sans me retourner vers lui avant de reprendre le couteau et les légumes. Cuisiner m’apaise et avant de laisser mes tremblements devenir incontrôlables, je me dois de les noyer dans les gestes rassurants et banals. Cela n’empêche pas mon cœur de battre comme un fou furieux. Je dois me retenir de n e pas me jeter à ces pieds, me retenir de ne pas le supplier de pardonner mon manque de gentillesse en son égard. Son membre doit lui faire mal s’il se rabaisse à me demander de l’aide non ? Je fais quoi s’il me jette dehors ? Je ne veux pas qu’il me demande de foutre le camp… NON, non Lilly, tu dois garder ta fierté bien en vue sinon tu… sinon je ne sais pas en fait. On m’a pourtant prévenu. J’ai besoin de sa présence, de sa chaleur, de son regard… surtout quand celui-ci se pose sur moi avec envie. Il ne me blesse pas de façon conscience n’est-ce pas ? Il est juste… ailleurs. Oui, voilà, il est ailleurs, mais il finir par venir vers moi. Je dois poursuivre la confection du repas, oublier sa présence jusqu’au moment où il sera prêt à discuter. Oui, voilà, je vais faire cela.
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MessageSujet: Re: Pas coopératif (Lily)   Pas coopératif (Lily) EmptyMer 4 Jan - 22:21

C’est quoi cette meuf ? Comment elle peut être aussi belle et aussi parfaite ? Je lui crache littéralement à la gueule et elle, elle me dorlote comme si une douche et bon petit plat allaient tout arranger ? C’est quoi une femme modèle des années 50 le côté bombe sexuelle en plus ? Le pire, c’est que j’aurais adoré qu’elle m’éclate la bouteille de bière sur la gueule au lieu de me la verser dessus. J’aurais amplement mérité ça. Aucune femme, aucune personne au monde n’aurait pu encaisser cette agression verbale que je lui ai infligé. Et elle, elle est déjà prête à tout faire pour que je me sente bien et que je me calme ? C’est quoi le délire à la ma sorcière bien-aimée ? Elle va ma recevoir le soir avec un verre d’alcool et me sucer la queue pendant que je regarderai le foot à la télé en critiquant sa cuisine ? Putain, c’est le délire cette femme… Je la regarde commencer à cuisiner. On dirait qu’elle y tient à son idée ? Bon alors comme elle veut se la jouer comme ça, je ne vais pas me priver pour prendre mon pied. Alors qu’elle enfile cette foutue robe pour aller cuisiner, je me ramène derrière elle pour la lui retirer prétextant que je préfère qu’elle reste comme ça. Cette robe à toute façon beaucoup plus de valeur roulée en boule à ses pieds.

Merde, j’étais prêt à la foutre dehors et là maintenant qu’elle cuisine et que je viens de la re foutre à poil voilà qu’elle réveille mes envies de sale merdeux… Elle est gaulée comme une déesse. Elle est totalement mon genre de nana. C’est bien ce qui m’a fait vrillé plus tôt… Elle lui ressemble beaucoup trop. Et je déteste ça… Mais je crois que j’ai besoin qu’elle réalise que je suis un vrai connard et qu’elle se barre, alors je vais pousser le curseur du mec odieux. Je lui ordonne d’arrêter de cuisiner et de se foutre à genoux, car je n’ai pas joui. Elle marque un temps et je suis à deux doigts de me dire qu’elle va le faire et qu’elle n’a aucun amour-propre, mais voilà qu’elle me prends à revers en refusant. Pas si soumise que ça la blondinette, on dirait. Elle me conseille la douche froide pour me réveiller les neurones et me dit qu’après on va discuter et qu’ensuite, on parlera parce qu’elle n’a pas envie de baiser non plus. Elle est tendue et me tourne toujours le dos. Je déteste cette réponse et voilà qu’elle m’ordonne d’y aller d’un simple « va ». Je suis déçu. Furieux. Je ne dis rien un instant et sans prévenir, je gratifie son cul parfait d’une vive claque qui résonne dans la pièce.

« Salope »

Pourquoi ? Parce qu’elle ne répond pas à mes caprices ? Parce qu’elle montre un peu de résistance ? Parce que je veux qu’elle ne me donne pas ? Elle a une lame dans la main. Peut-être qu’avec un peu de chance, elle se tournera et me plantera. Oh, ça ne fera que la seconde fois de ma vie en espérant que cette fois, j’y passe… Les gentils voisins m’ont sauvé à l’âge de 5 ans la dernière fois que c’est arrivé et depuis j’ai une vie « merveilleuse »… Je tire une dernière latte de ma clope et la jette dans le plat qu’elle a commencé à cuisiner. Je me tiens derrière elle et saisis mon gros sexe toujours raide pour me masturber face à son cul posant ma main libre sur sa hanche comme pour la tenir en place comme je le veux. J’ai envie de jouir pas de bouffer apprends à écouter…

« Je t’en prie continue, je vais me débrouiller. Au pire, cambre-toi un peu plus… »

Aller t’as une lame dans la main. Tourne-toi et frappe. Avec un peu de chance et un bon avocat, tu feras passer ça pour de la légitime défense. Avec la drogue qu’on va retrouver ici et ma vie débridée aucune chance qu’on te ne te donne pas raison jolie blonde. Aller frappe rends moi ce service. Tu ne vas pas me laisser continuer comme ça non ? Au pire prends tes affaires et casses toi t'es largement trop bien pour moi petite conne.
Lilly Wilson
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MessageSujet: Re: Pas coopératif (Lily)   Pas coopératif (Lily) EmptyVen 20 Jan - 23:37

Cet homme est mon phare. Je ne sais pas pourquoi, mais j’ai besoin de lui comme mes poumons ont besoin d’oxygène. Quelques-unes de mes connaissances me disent et redisent que ce mec c’est de la merde, qu’il devrait me traiter mieux qu’il ne le fait et ainsi de suite, mais moi je sais qu’il le fait parce qu’il ne connait pas mieux. Je sais que dans le fond il m’aime bien, mais qu’il ne sait pas comment me le démontrer. Il a mal et je peux l’aider, lui tendre la main, lui donner un peu de lumière quand il en a besoin. En venant le voir aujourd’hui je me suis dit que ça nous fera du bien de passer du temps ensemble. Du temps qu’il veut, mais ne veut pas partager si je me fie à ces réactions. Il veut, mais ne veut pas. Il me baise et soudainement il n’en a plus envie. OK, je comprends, je lui offre donc de faire autre chose et il revient à la charge… Je suis un peu beaucoup confuse là et je crois que c’est avec raison. En vrai il aurait dû me foutre dehors après lui avoir verser la bière dessus, mais il ne l’a pas fait. Qu’est-ce qu’il veut ? Il attend quoi de moi ? Tout ce que je demande c’est un peu d’affection, un regard doux, un tendre baiser dans le creux de mon cou après m’avoir pris dans ses bras. Au lieu de cela il est venu se positionner derrière moi pour me soutirer ma robe… encore. Ensuite il m’ordonne de le sucer… Le sucer ? Bah non, il pousse le bouchon un peu loin non ? Je cuisine et il sent la bière, je ne vais pas me mettre à genoux quand même. Lui ordonner d’aller, se laver me semblait donc la meilleure chose à faire, idée qu’il ne semble pas partager. Il semble même furieux, mais pourquoi ?

« Salope »

J’ai peut-être ou peut-être pas laisser un cri de surprise et de douleur passer mes lèvres au moment où il a fait claquer mon cul. Difficile à dire puisque je suis sous le choc. La suite? Il a de la chance que je ne sois pas une femme violente parce qu’il méritait que je lui arrache les yeux avec le bout de mon couteau, celui que je tiens encore dans la main. Vous voulez savoir ce qu’il a fait? Il a lancé son mégot dans le plat que je préparais avec beaucoup d’amour. Si, je vous le jure, il a osé profaner mon chef-d’œuvre. Il me faut un moment, après l’assassinat de mon plat, pour me rendre compte qu’il se masturbe dans mon dos. Il se prend pourquoi ? Un chien en rut qui zigne sur tout ce qui passe ?

Au pire, cambre-toi un peu plus… »

Mon premier réflexe après cette insulte et de planter le couteau dans la planche de bois et croyez-moi si je vous dis que je l’ai planter dedans solide. Tout mon bras a vibré sous l’effet du contrecoup. JE me suis ensuite retourné pour lui envoyer un coup de poing sur la gueule. Mon entrainement è la boxe, 4 jours semaines, aura fini par servir à quelque chose non ? Je n’ai pas la force de Mike Tyson, mais mon crochet du droit est tout de même pas mal. J’arrive à faire bouger le sac de sable d’habitude, ce qui est plutôt bien. Pas assez pour l’envoyer au plancher en revanche, mais bon, au moment j’ai réussi à le faire reculer juste assez pour pouvoir quitter la cuisine, pour me rendre dans le salon. Une fois là je me place derrière l’un des fauteuils afin que celui-ci devienne mon bouclier. Il ne peut rien contre moi avec le meuble entre nous n’est-ce pas ? Voilà, c’est bien ce que je pensais et une fois hors de danger j’ose ouvrir la bouche. J’arrive même à lever la voix, ce qui en dit long sur le niveau de colère qui gronde en moi.

Je ne suis pas venu ici pour que tu me traites de salope ni pour que tu te comportes en idiot.

Le mot gros connard aurait été plus approprié, mais passons.

Je ne suis pas une pute que l’on paie une fois les couilles vides, j’ai des sentiments.

Des sentiments qu’il ne semble pas vouloir reconnaitre, mais passons pour cela aussi.

Un moment je suis belle, l’autre je suis une salope… tu as envie, tu n’as pas envie, tu as de nouveau envie… Tout ce que je veux, moi, c’est être avec toi et toi tu me traites comme si j’étais un yoyo.

Bravo ma belle, belle comparaison.

Je ne te demande pas de m’aimer, mais de me traiter comme une femme avec des sentiments.

C’est moi ou j’en demande beaucoup ?

Tu peux te mettre ton repas là ou le soleil ne brille jamais je me moque de savoir si tu as faim ou pas et non, NON, je ne veux pas baiser ce soir, pas si tu ne me le demandes pas gentiment.

C’est ça ou rien.
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MessageSujet: Re: Pas coopératif (Lily)   Pas coopératif (Lily) EmptyDim 22 Jan - 19:27

Va te faire foutre sale connasse blonde trop parfaite. Toi et ton cul divin, ta gueule d’ange, tes seins de marbre à la perfection absolue. Ta gentillesse étourdissante et ta splendeur absolue. Je n'ai pas besoin qu’on me sauve. Je n'ai pas besoin qu’on me fasse à bouffer. J’ai juste besoin qu’on me tire une balle en pleine tête et qu’on vomisse sur mon cadavre. J’étouffe dans ce corps trop étroit pour le mal qui y gronde. PERSONNE n’y peut rien. Personne ne peut me sauver et plus on essaye plus je vais repousser les gens. Je ne suis pas aimable. Personne ne peut m’aimer. Personne ne peut m’aider, car je ne laisserais personne le faire. Alors je gâche le plat qu’elle me prépare avec une infinie douceur. Je commence à me branler face à son cul parfait juste parce que je veux… La faire fuir. Je veux qu’elle me déteste. Qu’elle cesse de chercher la moindre chose à sauver dans mon âme à la dérive qu’elle oublie de venir à mon aider et qu’elle me laisse me noyer. Pire qu’elle m’achève. Qu’elle maintienne ma tête sous l’eau et me laisse suffoquer et m’éteindre… Elle plante le couteau dans la planche et j’ai presque cru qu’il allait se casser en deux. Merde pourquoi elle ne m’a pas frappé avec ? J’aurai aimé ça. J’aurais voulu qu’elle me tue. Je n’ai pas le droit de le faire. J’ai promis. Et même si j’ai mal, je dois rester ici et vivre, j’en ai plus vraiment la force. J’en ai marre. J’en ai assez. Lily se tourne et je me prends ce coup parfait au visage. Ma mâchoire craque. Je suis incapable de me battre. Mes jambes flanchent et je réalise que je suis au sol hébété.

« Putain, on ne m'a pas cogné comme ça depuis la maternelle… »

Et elle n’est pas aussi costaud que cet agent d’entretien qui m’a frappé avec sa grosse paluche. Elle m’a bien défoncé. J’ai la mâchoire qui craque encore, mais elle semble toujours accrochée à mon visage et les dents sont toutes là… C’est une bonne chose… Je crois… Soudain, elle rage et laissant éclater sa colère me disant mes 4 vérités. Elle me dit tout ce que je fais mal et me parle de son envie d’être avec moi. J’encaisse toutes les infos et je dis rien le temps qu’elle finisse. Je laisse planer le silence quelques secondes et secoue la tête comme pour m’éviter de m’évanouir.

« … Je prends note. »

Je réponds quoi à ce bordel de mots et de rage ? Pas de clope a porté. Si j’avais un couteau, je me le collerais bien dans le bide histoire de faire amende honorable. Ouais le truc des Samurais, c’est cool, puis ce n'est pas du suicide c’est genre… Retrouver son honneur… Je regarde la blonde toute nue qui me fixe d’en haut alors que je me suis assis nu le cul au sol le dos contre les portes des placards bas de la cuisine la regardant alors que j’ai encore la tête qui tourne. Je cesse de regarder le corps parfait et nu de cette femme pour croiser son regard. Mélange de rage et de tristesse. Putain pas la pitié. Pas de tristesse, déteste moi et jette moi. Je ne veux pas qu’on ressente d’autre choses pour moi ! Une vague de tristesse me tape les entrailles. Comment ? Pourquoi ? J’en sais rien. Mon corps est comme ça. Je passe d’une émotion à l’autre sans contrôle. Je suis incapable de traverser ou de gérer une émotion. Elle me frappe et je l’encaisse de plein fouet. Je ramène mes genoux vers moi et pose mes bras dessus pour baisser la tête et regarder le sol. Le coup m’a étourdi et j’ai la nausée. Mais c’est moi que je déteste. Je retiens les larmes aussi fort que je peux. Mais je sanglote. Je tente de contenir, mais ça sort. Ça sort putain de merde. Mes épaules tressautent malgré moi. Je ne suis qu’une merde. Et personne pour me mettre une balle dans la tête pour que ça s’arrête. Je suis un parasite et personne ne prend le temps de me supprimer. J’ai promis. Je n'ai pas le droit de me foutre en l’air.

« Tire-toi s’il te plaît… »

C’est tout ce que j’arrive à articuler alors que les sanglots me débordent. J’ai toujours mal à en crever et j’arrive pas à l’exprimer autrement. J’ai mal depuis le jour ou elle est morte. J’ai mal en continu et jamais ça ne s’arrête. Parfois, ça se calme un peu, mais c’est toujours là et ça revient me claquer la gueule. Il vaut mieux qu’elle parte. Qu’elle me déteste et qu’elle me laisse crever dans mon coin comme la merde pitoyable que je suis.
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MessageSujet: Re: Pas coopératif (Lily)   Pas coopératif (Lily) EmptyDim 22 Jan - 21:51

Qui est cet homme ? Quelle a té sa vie pour que son âme soit si à vif qu’il ne laisse personne tenter de lui venir en aide. Je ne suis pas ici par pitié. Je ne suis pas ici pour l’embêter. Je suis ici parce qu’il me plait et parce que, même si j’ai dû mal à me l’avouer, je l’aime. Je suis une cause perdue. J’aime ceux qui ne veulent pas être aimés. Aaron n’est pas le premier des hommes aimés qui se permet de prendre mon cœur entre ses mains afin de le laisser tomber du 18 -ème étage. Je devrais laisser tomber, je devrais, mais je ne veux pas. Combien de temps passera avant que je ne me décide à jeter la serviette ? Plus de 24 heures, c’est sûr, mais combien de temps ? Précisément ? Des années ? J’avance dans la vie en mordant dans l’espoir qu’elle m’offre, acceptant de ce fait d’avoir à me péter la gueule de temps en temps. Son cœur avant le mien. Je suis pathétique, mais cet homme je l’ai dans la peau et à le voir ainsi torturer me fais mourir à petit feu.  

À tout ce venin que je viens de lui cracher à la figure il me répond : « … Je prends note. » Mais quoi ? QUOI ? Il prend note et c’est tout ? Ah non, il y a encore de la vie en lui. Les larmes c’est la vie, elles parlent pour nous, nous soulagent, nous permettent de vivre nos émotions. Je suis là, debout, je le regarde et le prendre dans mes bras pour le bercer est tout ce que je souhaite faire. Pourtant je ne fais rien, enfin si, je le regarde, mais je ne m’approche pas, ne dis rien pour le soulager de sa peine, rien. Je suis là, debout, et je le regarde. Ces larmes sont devenues les miennes, mes joues sont elles aussi inondées de sa tristesse.

« Tire-toi s’il te plaît… »

Sans prononcer le moindre mot, j’avance, me penche et récupère ma robe avant de l’enfiler par-dessus ma tête. Je porte déjà mes bottes donc, de ce côté, pas besoin de grand-chose. Toujours en silence, je me dirige ensuite vers la chambre afin de récupérer mon sac à main, objet important qui ne doit pas être laissé derrière. Quand je reviens dans la cuisine, Aaron n’a pas bougé et cette vision me poignarde d’un nouveau coup de poignard. Je me trouve lâche de quitter un homme à terre, mais je ne sais pas ce que je peux faire de plus, ce soir, pour aider son esprit à retrouver le droit chemin. Je m’approche donc de lui une dernière fois afin de déposer un doux baiser sur sa tête.

Je retourne chez moi ce soir Aaron. Tu m’as demandé de te laisser et bien que t’obéir me bouleverse je ne vais pas t’imposer ma présence. Sache seulement que tu es celui qu’il me faut…

Une dernière caresse, j’essuie mes propres larmes, puis tourne les talons. Laporte de son appartement me semble plus difficile à ouvrir que d’habitude et la fraicheur de la nuit me glace le sang. Il sait où me trouver non? Je fais quoi s’il ne me revient pas ? Baisser les bras n’étant pas une option, il ne me restera plus qu’à m’inventer une raison pour revenir le voir. Je sors mon téléphone pour demander un UBER, puis, pendant que j’y suis, je lui envoie un petit texto.

Je t’aime !

J’hésite à l’envoyer. C’est trop ? Au point ou j’en suis… < envoyer >. Voilà, c’est fait, à moi la nuit maintenant.
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